de Pierre Assouline

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Le « swing » de l’aviron ou la poésie en mouvement

Le « swing » de l’aviron ou la poésie en mouvement

Qu’on se rassure : il n’est pas plus nécessaire d’avoir pratiqué l’aviron pour apprécier Ils étaient un seul homme (The Boys in the Boat, traduit de l’anglais/Etats-Unis par Grégory Martin, 456 pages, 21,90 euros, La librairie Vuibert) que de connaître les règles des soixante-quatre cases pour goûter Le joueur d’échecs de Zweig ou La défense Loujine de Nabokov. C’est justement l’un des miracles de la littérature que de nous sensibiliser par le biais de l’universel à un monde qui nous est étranger sans passer par le filtre de la connaissance, ni par celui de l’expérience directe. Encore que pour ce qui est des échecs comme pour l’aviron, j’avoue être de parti pris : je leur dois (presque) tout. Du moins un essentiel qui ne s’enseigne certainement pas sur les bancs des écoles fussent-elles grandes. Le jeu d’échecs, et son grand art de l’anticipation, on en reparlera une autre fois.

Tenons nous en à l’aviron. Pour certains, un sport ; pour d’autres, une torture ; pour d’autres encore, mystiques de la chose, un mode de vie, un état d’esprit, un supplément d’âme. J’ignore si Daniel James Brown en est. Même pas sûr. N’empêche qu’il signe là, avec ce récit inspiré, d’une vraie qualité d’écriture dans le genre, l’un des rares grands livres sur le sujet. Difficile surtout quand on vient après The Amateurs (1985) dans lequel David Halberstam racontait l’effort de quatre rameurs pour gagner la médaille d’or aux Jeux de 1984. Or non seulement l’auteur y parvient, mais il le dépasse de plusieurs longueurs par l’ampleur et l’ambition de son projet.82891

L’autre livre, aussi fort mais dans un registre différent, était paru en français en 1998. L’écrivain néerlandais H.M. van den Brink avait écrit un magnifique roman Sur l’eau (Over het water, traduit par Anita Concas, Gallimard) : à la veille de la seconde guerre mondiale, deux amis dont l’un était promis aux persécutions annoncées, ne vivaient que pour faire glisser leur Deux sans barreur sur l’Amstel, dans la perspective d’une compétition espérée par leur entraîneur allemand, mais qui n’aura jamais lieu. Avec Ils étaient un seul homme, la tonalité est différente bien que l’époque soit la même. Le titre même est déjà un programme. Il est tiré de Moby Dick :

« Ils étaient un seul homme ; non pas trente. Comme le vaisseau qui les contenait, tous étaient faits de choses différentes : chêne, érable, pin, goudron et chanvre (toutes se combinant néanmoins entre elles pour ne former qu’une unique coque lancée sur son chemin, équilibrée et dirigée par la longue quille centrale), les individualités différentes de l’équipage, le courage de cet homme, les craintes de cet autre, toutes les variétés humaines se trouvaient une seule » (traduction de Lucien Jacques, Joan Smith et Jean Giono).

Il faut savoir que le huit de pointe (chacun n’ayant qu’un seul aviron, bâbord ou tribord) est, dans l’univers des compétitions, le plus prestigieux des équipages. Celui qui requiert, une fois maîtrisée la technique dans ses moindres détails jusqu’à en faire un réflexe naturel, les plus grandes capacités d’endurance, de stratégie, de concentration, de volonté, de résistance à la douleur et, accessoirement, de puissance musculaire. Tout pour parvenir à l’harmonie, à l’équilibre et au rythme.

gal1936s_l_0539Il faut également savoir que dans l’entre-deux-guerres, l’aviron, l’un des rares sports où l’homme se bat farouchement tout en restant assis sur son cul, était presque aussi populaire dans les universitaires que le base-ball ou le football américain, si l’on en juge par la couverture médiatique dont il bénéficiait. De nombreux supporters suivaient les régates. L’université de Californie tenait alors la dragée haute à l’université de Washington dans la course qui les opposait chaque année sous les encouragements de plus de cent mille spectateurs ; elle n’avait rien à envier au rituel duel entre Oxford et Cambridge. Ce livre, dont je confesse humblement qu’il m’a transporté, et pour cause, raconte l’histoire de l’équipe américaine d’aviron qui humilia les Allemands en général, et Hitler en particulier, en remportant l’épreuve reine aux fameux Jeux olympiques de Berlin de l’été 1936.

Ils rament sur le Husky Clipper qu’ils appellent entre eux, tout simplement, « le bateau ». Comme s’il n’y en eut pas d’autre et comme s’il ne s’agissait que de cela alors que chaque exemplaire est une œuvre d’art unique, artisanale, conçue par George Pocock, l’un des héros de ce livre avec l’entraîneur, le barreur et, bien entendu, les huit rameurs. Un tel bateau lancé par de tels rameurs est transcendé par l’expérience partagée. Ils le cajolent comme leur enfant. Un huit sorti des mains de Pocock coûte alors le prix d’une Cadillac LaSalle neuve. Sa coque est souple, vivante, et lorsque l’équipage est à son meilleur, il ne fait qu’un avec la coque. L’artiste qui l’a façonné a eu quelques années avant l’idée alors révolutionnaire de remplacer le cèdre espagnol cloué en bandes pour tenir la coque, par du cèdre de l’Ouest (Thuja plicata) venu de Colombie-Britannique, plus poreux, plus léger, plus facile à façonner car moins dense, plus flexible tout en étant plus solide. Un miracle de l’avis de tous lorsqu’ils éprouvèrent l’exceptionnelle élasticité qui lui conférait une force invisible.jeux-olympiques-8292936

Voix grave de baryton amplifiée par le mégaphone, le barreur, le plus frêle et le plus petit (1,73m pour 54 kgs) à bord du bateau mais d’une force de caractère peu commune, malin, meneur et cérébral, il hurle des ordres, encourage, stimule, réconforte, admoneste, engueule huit types qui respectent son autorité alors que chacun pourrait d’une pichenette le balancer à l’eau. « C’est peut-être la relation la plus incongrue que l’on trouve dans le sport » observe justement l’auteur. Si le bateau reste dans la trajectoire, c’est grâce à lui et à sa dextérité dans le maniement des tire-veille ; s’il s’en écarte, c’est à cause de lui. Obéissant au rythme et à l’intensité que leur dicte chef de nage (le No 1), à l’alchimie mystérieuse des ajustements minutieux entre la puissance d’un côté et la cadence de l’autre, ils doivent coordonner et synchroniser leurs gestes dans une absolue précision avant de fouetter l’eau. Pas de temps mort, pas de remplacement, pas de feinte, pas de cinéma dans ce sport-là.

Un faux mouvement d’un seul rameur, souvent dû à un défaut de concentration, et la couleur à l’extrémité de la pelle est prise dans un tourbillon qui freine l’embarcation, ce qui peut non seulement fiche en l’air l’effort de tous, mais leur faire prendre l’eau. Il ne faut penser qu’à regarder la nuque du rameur devant soi et n’écouter que la voix du barreur. Or plus la cadence est élevée, plus il est difficile de bien ramer, plus la douleur est prégnante et plus le risque d’une catastrophe se précise. Que la couleur à l’extrémité d’une pelle fende l’eau avec une fraction de seconde de retard sur les autres et c’en est fini. L’effondrement de l’un entraîne celui de tous. On n’est pas plus solidaires. Pas de star ni de prima donna dans ce sport. La question ne se pose même pas tant elle est vitale : ils sont vraiment huit comme un seul homme, le titre du livre n’est pas abusivement lyrique, Melville avait tout compris. En ce sens, l’aviron, surtout en huit, est vraiment une école de la vie. Qu’on se le dise : « On ne rame pas pour soi mais pour les autres ».

Berlin_1936_olympiadenLa majeure partie du récit est consacrée à tout ce qui précède l’événement : le recrutement, les aléas de la sélection, les préparatifs, les courses, l’entraînement… Il est très américain dans sa narration, avec une foule de détails personnels sur chacun des rameurs, sur les doutes du coach, sur les environnements familiaux des uns et des autres, leurs histoires d’amour et une fine chronique en creux de l’Amérique de la Dépression. Le traducteur a parfaitement rendu en français non seulement l’esprit des choses, des personnes et des lieux, mais encore le lexique propre à l’aviron : prise d’eau, coulisse, dégagé, pale, fausse pelle etc. On regrettera juste, à une dizaine de reprises tout de même, l’emploi de « rame » en lieu et place d’ « aviron » ou de « pelle ». Qu’importe. On est avec ces étudiants de l’université de Washington, le pied sur le chemin de coulisse avant d’embarquer, puis dans leur sillage par tous les temps, sur le lac Washington au niveau de Union Bay, à Seattle. Le plus petit mesure 1,83m, le plus grand plus de de deux mètres. D’un poids moyen de 86 kgs chacun, à eux neuf, ils pèsent 750 kgs, un fardeau à faire oublier au bateau. C’est l’équipe des Freshmen.

Dans ce petit monde-là, le swing est l’autre nom de la grâce. C’est l’unisson des mouvements, la synchronisation absolue des souffles, nirvana quasiment impossible à préserver, à supposer qu’on l’ait atteint, lorsque la cadence est rapide (36 coups/minute plutôt que 26) et que l’instant du sprint approche. Alors l’effort se métamorphose en plaisir dans un au-delà de la souffrance, on entre dans une quatrième dimension et il faut bien du talent à Daniel James Brown, appuyé sur sa force de conviction, pour nous y faire pénétrer.

Et les Jeux ? Et l’Allemagne nazie ? On n’arrive que dans les cent dernières pages au bassin d’aviron de Grünau, et au village des rameurs, à Köpenick (sud-est de Berlin), les rameurs y étant logés… à l’école de police. Avery Brundage, le patron du comité olympique, peut se réjouir de ce que l’appel au boycott soit un échec : « Aucun pays depuis la Grèce antique n’a fait sien l’authentique esprit olympique comme l’Allemagne ». Ce qui n’empêche pas l’un des envoyés du New York Times, dans sa lettre quotidienne, de noter :

« Mr Brundage est arrivé à bon port (…) là où des robots faits par et pour Hitler tourmentent et persécutent des morts-vivants (…) Pendant deux mois, les morts vont rester enterrés. Mais après la clôture des jeux Olympiques en septembre, leurs tombes seront profanées (…) et les morts arpenteront de nouveau les rues des villes allemandes ».

Sur ce plan-là, celui du contexte, Daniel James Brown n’en fait pas trop ; on n’en regrettera pas moins qu’il verse parfois dans l’anachronisme : pourquoi se projeter dans la Nuit de cristal avec deux ans d’avance quand les libertés étaient déjà bafouées (dictature du parti unique, répression tous azimuts, législation raciale, création pour les opposants de camps de concentration dont celui de Dachau dès 1933) pour ceux qui voulaient bien les voir derrière la vitrine bien propre des Jeux ? L’équipe allemande, issue du club d’aviron dit des « Vikings », est la favorite. L’équipe italienne n’est pas composée de jeunes étudiants mais d’ouvriers plus âgés et plus robustes, et l’équipe australienne, de policiers aguerris.

Même pour filmer l’aviron avec ses collaborateurs et leur matériel (une trentaine de caméras, soixante cameramen sans compter les preneurs de son), Leni Riefenstahl dut encore se battre contre Goebbels, affronter à nouveau la colère du ministre de la Propagande, qui ne voulait pas que l’image du Führer offerte au public soit gâtée par la présence massive de techniciens et d’appareils à ses côtés ; il craignait qu’elle y perde en pureté, et donc en impact sur les foules ; la cinéaste eut le plus grand mal à lui faire admettre que le public visé par son film était bien plus important et plus durable.

Les rameurs allemands remportèrent toutes les compétitions d’aviron (7 médailles !), discipline alors la plus populaire des Jeux après l’athlétisme. Le Deutschlandlied et le Horst-Wessel Lied ne cessèrent de résonner, comme cela avait été le cas lors de la cérémonie d’ouverture sous la baguette du chef Richard Strauss, lorsque les délégations défilèrent devant le Führer, certains lui adressant le salut nazi, comme le firent les 110 000 spectateurs, d’autres le salut olympique inspiré à Coubertin par le salut du bataillon de Joinville, les deux n’étant pas sans ressemblance (à ceci près que, dans le second, la paume tournée vers le sol était maintenue sur le côté plutôt que vers l’avant). Les sportifs français avaient opté pour un entre-deux qui fut jugé ambigu ; les Américains avaient placé leur chapeau de paille sur le cœur et tourné leur visage vers lui ; seul leur drapeau semblait vraiment défier Hitler.

La finale du Huit de pointe avec barreur, la plus prestigieuse des épreuves nautiques, devait être l’apothéose du triomphe personnel du Führer sur « ses » Jeux, l’athlète noir américain Jesse Owens ayant déjà remporté ses quatre médailles d’or. L’assignation des lignes d’eau privilégia non les meilleurs temps des épreuves éliminatoires mais les rameurs allemands, italiens et suisses ; ils bénéficièrent des lignes à l’abri du rivage sur le Langer See ; les équipages hongrois, britannique et américain se retrouvaient à l’extérieur, les plus exposés au vent de tête ou de travers, et ce jour-là aux bourrasques de biais, position qui d’emblée les handicapait de deux longueurs. C’était scandaleux mais c’était ainsi et on se doute que bien peu auraient trouvé à y redire parmi les 75 000 supporters massés sur le parcours ; ils ne furent pas plus choqués lorsque le starter agita son drapeau au-dessus de la tête et lança un discret rapide « Messieurs, êtes-vous prêts ? Partez ! » en s’adressant aux lignes 1 et 2, ce qui valut aux britanniques et aux américains de partir quelques secondes après les autres, avec un coup et demi de retard… (suivre ici la course). Bientôt les huit embarcations à la coque enduite d’huile de blanc de baleine glissèrent sur l’eau « comme un essaim d’araignée aux longues pattes ». Le bateau allemand fit la course en tête galvanisé par des « Deutsch-land ! Deutsch-land ! Deutsch-land ! » et des « Sieg Heil ! Sieg Hiel ! Sieg Hiel ! » si puissants grâce à la réverbération que la voix des barreurs avait du mal à se faire entendre, même pour le chef de nage qui leur faisait face à 45 cm à peine.

 Les Britanniques avaient brûlé leurs réserves à mi-chemin ; pas les Américains ; il est vrai qu’aux 800 mètres, ils étaient encore bons derniers ; leurs temps intermédiaires étaient alarmants, ce qui plongeait dans l’angoisse leurs compatriotes au pays, dont beaucoup avaient l’oreille vissée au poste de TSF. A 500 mètres de l’arrivée, ils accusaient encore une longueur de retard derrière l’Allemagne et l’Italie. Alors Bobby Moch, le barreur de l’université de Washington, eut le coup de génie de mentir à ses équipiers. « Encore vingt coups ! » leur hurlait-il afin de les pousser à puiser dans leurs réserves insoupçonnées ; mais arrivé à quinze, il recommençait : « Plus que vingt coups encore ! » C’était un truc dont il n’avait jamais abusé auparavant afin de rester crédible le jour du grand jour. Ils ramaient à une cadence pour eux inédite (44 coups/minute) et le cœur suivait (200 battements/minute). Ils vivaient les six minutes les plus importantes de leur vie. Et leur Husky Clipper franchit la ligne d’arrivée avec six dixièmes de seconde d’avance sur les Italiens, et une seconde sur les Allemands.

Soudain, le silence se fit sur le stade nautique, comme si on avait baissé un interrupteur. Hitler fit volte-face et s’en alla sans dire un mot, suivi par Goebbels, Goering et les autres. Mais dans le film Les Dieux du stade (de son titre original Olympia) de Leni Riefenstahl, la scène de la course d’aviron n’en demeure pas moins l’une des plus spectaculaires. Daniel James Brown, lui, parvient à un résultat similaire avec d’autres moyens ; il maintient le suspens jusqu’au bout même si le lecteur connaît déjà la fin de l’histoire, annoncée dès la couverture et la quatrième de couverture du livre (Kenneth Branagh en fera bientôt un film -peut-être la version nautique des Chariots de feu…)

Ils s’appelaient Herbert Morris, Charles Day, Gordon Adam, John White, James McMillin, Joseph Rantz, George Hunt, Donald Hume, Robert Moch. Non des fils de grands bourgeois, malgré la réputation d’élitisme que la légende anglaise a donné à ce sport, mais de fermiers et de pêcheurs. Les neuf Américains n’avaient pas seulement uni leurs efforts pour se dépasser et produire quelque chose qui les dépassait. En lisant les journaux de leur pays, ils comprirent qu’ils avaient humilié le Führer chez lui. Mais sans attendre de rentrer à Seattle, ils savaient qu’ils avaient trouvé le « swing » et que ce moment de grâce resterait gravé à jamais dans leur mémoire. Celle de chacun et celle de l’équipage.

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commentaires

638 Réponses pour Le « swing » de l’aviron ou la poésie en mouvement

Daaphnée dit: à

Mon q.i. sur la commode

Il est certain que vous pouvez toujours poser votre gros cul sur la commode ..

Daaphnée dit: à

c’est une question de métabolisme

oui, et de morphologie ..

Paul Edel dit: à

ciboulette, ca fait au moins 15 jours que je n’ai pas oté un petit troll tout vibrionnant de mon étang..ca me manque un peu..

En passant dit: à

Le premier chapitre d’une œuvre secrète de l’auteur a été publié par le quotidien espagnol La Vanguardia. Avant de mourir, le Colombien, insatisfait de sa fin, l’a laissée inachevée. L’éditeur Random House souhaiterait la publier à titre posthume.

Avant de mourir, Gabriel García Márquez planchait sur une nouvelle qu’il a fini par laisser inachevée. Son titre: Nous nous verrons en août (En agosto nos vemos). Une histoire que l’auteur colombien a commencé à écrire dans les années 90. Peu convaincu par la fin de son récit, il avait fait le choix de ne pas le publier. Claudio López, l’éditeur de Random House souhaite désormais revenir sur cette décision. Il devrait faire paraître la nouvelle au titre d’œuvre inachevée, si la famille du défunt donne son accord.

Trois jours après la mort de García Márquez, le quotidien espagnol La Vanguardia a publié, sur son site, le premier chapitre de ces écrits. Ce passage que l’écrivain lisait déjà en public en 1999, révèle l’existence de Ana Magdalena Bach: une femme mariée âgée de 52 ans et qui visite, tous les ans le même jour, la tombe de sa mère, enterrée sur une île tropicale. «Elle est retournée sur l’île le vendredi 16 août à bord du ferry de deux heures de l’après-midi. Elle portait une chemise à carreaux, un jean, des chaussures simples à talons plats et sans chaussettes, une ombrelle en satin, et, pour unique bagage, une serviette de plage», peut-on lire dans le quotidien espagnol.

Selon Gerald Matin, le biographe de García Márquez, Nous nous verrons en août était initialement pensé comme une nouvelle destinée à un recueil, avant de devenir une succession d’histoires construites autour de la même héroïne à qui il arrive, chaque année, une aventure différente. Ce premier chapitre a été, par ailleurs, ovationné par des écrivains et des critiques contactés par La

Toujours Gabo dit: à

Le 8 décembre 1982, Gabriel Garcia Marquez monte à la tribune de l’Académie suédoise recevoir son prix Nobel de littérature. L’auteur de Cent ans de solitude y livre un discours poignant sur son continent, dévasté par la colonisation puis déchiré par les dictatures, mais prêt à se relever.

« Antonio Pigafetta, un navigateur florentin qui a accompagné Magellan lors du premier voyage autour du monde, a écrit lors de son passage par notre Amérique du Sud une chronique rigoureuse qui paraît cependant être une aventure de l’imagination. Il raconte qu’il a vu des cochons avec le nombril sur les hanches, des oiseaux sans griffe, dont les femelles couvaient dans le dos des mâles, et d’autres oiseaux, semblables à des pélicans sans langue au bec pareil à des cuillères. Il raconte qu’il a vu une créature animale avec une tête et des oreilles de mule, un corps de chameau, des pattes de cerf et un hennissement de cheval. Il raconte qu’ils ont mis le premier en Patagonie en face d’un miroir, et que ce géant exalté a perdu l’usage de la raison, effrayé par sa propre image.

Ce livre bref et fascinant, qui contient les germes de nos romans d’aujourd’hui, est peut-être le témoignage le plus stupéfiant de notre perception de cette époque. Les Chroniques des Indes nous en a laissés d’autres tout aussi fascinants. L’Eldorado, notre pays tant désiré et illusoire, a été dessiné sur de nombreuses cartes pendant de longues années, changeant de lieu et de forme selon l’imagination des cartographes. À la recherche de la fontaine de jouvence, le mythique Alvar Núñez Cabeza de Vaca a exploré le nord du Mexique durant huit années dans une expédition illusoire, dont les membres se sont dévorés entre eux, et dont cinq seulement, sur les 600 qui étaient partis, sont revenus. L’un des nombreux mystères qui n’ont jamais été élucidés, est celui des 11.000 mules chargées de cent livres d’or chacune, qui, un jour, sont sorties de Cuzco pour payer le sauvetage d’Atahualpa et qui ne sont jamais arrivées à destination. Plus tard, au temps des colonies, des poules, élevées dans les plaines alluviales, se vendaient à Carthagène. Dans leur gésier se trouvaient des pépites d’or. Cette soif de l’or des fondateurs nous a poursuivis jusqu’il y a peu. Au siècle passé encore, la mission allemande chargée d’étudier la construction d’un chemin de fer interocéanique dans l’isthme de Panama, a conclu que le projet était viable à condition que les rails ne fussent pas faits en fer, qui était un métal peu abondant dans la région, mais d’or.

Mélanchonnerie aux morts... dit: à

Mélenchon et Robespierre… Un con qui se compare à un fou.

p'tit post-it --> onenote dit: à

OneNote dit: 30 avril 2014 à 11 h 37 min
C’est toujours agaçant d’entendre dire que la langue anglaise serait plus riche que la langue française parce qu’elle compterait plus de mots pour exprimer la même chose – quand on sait qu’une partie non négligeable des mots anglais découlent directement du français… Lire Henriette Walter et son livre Honni soit qui mal y pense pour avoir un aperçu sur le sujet…

hi, c’est grâce à Fluide Glacial, via Br. Léandri, que j’ai pu lire qq livres de cette Henriette Walter ! waouh ! elle a un dy-na-misme d’écriture (par moment musical*), mêlé à des curiosités ‘diverses & variées’ (on y sent même, me semblait-il, à une « idée européenne – diverse, variée ET avariée-
merci onenote, de m’avoir fait cette piqûre de rappel(Léandri est en retraite, comme Gotli(e)b * LML, dont j’apprécie les envolées linguistiques, n’apprécierait pas cette muse (affirm° gratuite, of course)
– pssttt : FEU d’ARTIFICE dans LE CIEL,

Jacques Barozzi dit: à

Pourquoi Henri III a t-il choisi cette devise en langue française : « Honni soit qui mal y pense » (« evil to him who evil thinks. »), vers le milieu du XVe siècle ?

n integre dit: à

‘Honi..’

honnir dit: à

‘Honnir’ est un vieux verbe qui, comme nous le dit le Robert, signifie : « Dénoncer, vouer à la détestation et au mépris publics de façon à couvrir de honte ».

Notre expression est à l’origine la devise de l’Ordre de la Jarretière, en Angleterre, le plus important ordre de la chevalerie britannique.
La légende dit que la comtesse de Salisbury, qui était la maîtresse d’Edouard III, laissa tomber sa jarretière au cours d’un bal de la cour. Lorsque le roi la ramassa et la rendit à la comtesse, les plaisanteries des courtisans fusèrent ; alors il s’écria :  » Honni soit qui mal y pense » et promit à sa favorite de faire de ce ruban bleu un insigne si prestigieux et désiré que les courtisans les plus fiers ou ambitieux s’estimeraient plus qu’heureux de le porter. Ce qui est effectivement devenu le cas, l’admission dans l’ordre donnant droit au titre de « Sir ».

Cette expression s’emploie maintenant à l’attention de ceux qui suspecteraient des intentions malicieuses ou malveillantes derrière des paroles prononcées ou des actes accomplis sans aucune arrière-pensée.

http://www.expressio.fr/expressions/honni-soit-qui-mal-y-pense.php

kicking dit: à

des paroles prononcées ou des actes accomplis sans aucune arrière-pensée

de l’utilité de l’idéologie en quelques mots.. ah! si pantyfion n’existait pas..

Chaloux dit: à

Jacques Barozzi dit: 30 avril 2014 à 21 h 09 min

« Pourquoi Henri III a t-il choisi (…), vers le milieu du XVe siècle ? »

Jacques, c’est parce qu’il était très en avance sur son temps….

rose dit: à

Non les rameurs ne s’épilent pas.
Les équipes ne sont pas mixtes (pour la concentration) ; il existe des équipes de filles.
Les hommes ont une forme olympique : les muscles qui travaillent sont les jambes (des chevilles jusqu’aux cuisses) les abdo. le dos, les épaules. Sport complet, l’aviron.
Sous les pieds, je crois, des espèces de starting block dans lesquels on s’enquille, mais dedans on ne démarre pas ; il semblerait que les pieds circulent sur un rail qui coulisse au fond du bateau. A moins que ce ne soit fixe : à vérifier.

Voilà : le type qui scande (ou la fille pour les équipages de filles) a le rôle essentiel de transmettre le rythme à son team. Il est le pourquoi du succès qui tient essentiellement à son charisme magnifique (et stupéfiant), parce que, in situ, il ne fait rien, mais alors rien du tout. D’ordinaire, il ne crie pas, l’homme de nage, & peut utiliser un sifflet. Avant c’était un tambour, pour les rameurs des galères qui fonctionnaient sur le même principe.
On dit aussi les bancs de nage. C’est comme une pagaie la rame mais avec un quart de tour au bout pour fendre l’eau.

Salut à tous

>Daaphnée, ce n’est pas grave vos coms ; soyez heureuse et râlez moins. Vous avez des côtés adorables. Quand je rentre, je me bouge et je vous copie/colle le banquet d’Ella Maillard : je suis désormais cap.

Jacques Barozzi dit: à

Oui, pardon, c’était Edouard et non Henri III ; elle devait être bien jolie la favorite pour inspirer un si bel acte d’amour à son roi !

Jacques Barozzi dit: à

En ce temps-là, on s’exprimait en français dans la noble Angleterre…

Jacques Barozzi dit: à

Et c’est au sud de l’Hexagone qu’était né l’amour courtois…

Jacques Barozzi dit: à

« Non les rameurs ne s’épilent pas. »

Mais ils nous rasent, rose !

Sergio dit: à

rose dit: 30 avril 2014 à 21 h 42 min
Les hommes ont une forme olympique

Y a qu’à voir Ben-Hur déjà il arrache tout le pandémonium de chaînes pire qu’Obélix, et ensuite il nage avec Messala sous un bras et la galère sous l’autre…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…c’est affligeant,…toute cette aspiration à chercher une aiguille dans une botte de foin!,…

…partageons notre  » sucre « ,…

… » Eloge de l’anormalité « ,…Plon, 2014,…par Matthieu Pigasse,…


…pas de commentaires,…pas les moyens,…en dessous des milliardaires!,…

…etc,…le temps passe pour tous!,…

D. dit: à

Paul Edel a écrit ca ca.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…encore en  » odeurs  » entre seins de tout poils!,…etc!,…aux parfums cognitifs!,…

Abdelkader dit: à

Giovanni, suis pas psy mais z’avez des problemes d’ordre cognitif et empathique…si j’etais psy, je vous aurais offert le traitement gratis…si si…mais comme je ne le suis pas, je voudrai quand meme que vous sachiez que je partage votre douleur…dur dur d’être un saint Simon de nos jours…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…on est , comme on naît, sans efforts,…du naturel,…
…différents,…aux choix de prendre ses vessies pour des lanternes,…par exemple,…

…à chaque naissance, chacun sa montagne,…

…quand, aux psy’s,…déjà,…des inquisiteurs,…au service du Capital-Eglises d’abrutis,…

…rien,…ne vaut, de garder son esprit dégager de toute contraintes pour rester objectif,…

…l’érosion des qualités, c’est se soumettre aux dogmes des héritiers bourgeois à ce système,…des cognitions,…

…chaque métier, comme ton ébénisterie,…tout n’est plus qu’Yké-A,…du mentaliste compressé,…etc,…

Bloom dit: à

Quelques devises plus ou moins dévaluées:

Royaume Uni: Dieu et mon droit
USA: In God We Trust
Inde: सत्यमेव जयते = La vérité seule triomphe (idem pour la République tchèque)
Thaliande: ชาติ ศาสนา พระมหากษัตริย์ = Nation, religion, monarque
Brésil: Ordem et progresso
Canada: A mari usque ad mare = D’un océan/D’une mer / l’autre
Et Tahiti?
– Tahiti Nui Māre’are’a, bien sûr!

Marcel dit: à

Douceur

Tu veux de moi de la douceur,
Amour, ma reine des princesses,
Des baisers au coin de ton cœur,
Tu veux de moi de la douceur.

Mais pour moi le plus grand bonheur,
C’est lorsque je pince tes fesses.
Tu veux de moi de la douceur,
Amour, ma reine des princesses.

Jean Calbrix, le 01/05/14

Lazarillo dit: à

Je passais par là, j’a »et pour etre docteur es conneries, faut juste passer son temps sur internet…et acheter un diplome en ligne… » Abdeladolf, ce doctorat vous l’avez obtenu avec la mention très honorable et les félicitations du jury!

Lazarillo dit: à

Je voulais dire que je passais par là, que j’avais vu de la lumière et que je suis monté faire un tour. Et en fait de lumière je suis tombé sur l’un des très consternants commentaires d’Abdeladolf, que je n’oublie pas.

JC..... dit: à

De la part du Ministère de l’Economie :
« Bonne Fête du Travail aux 5,5 millions de chômeurs ! »

Bloom dit: à

une partie non négligeable des mots anglais découlent directement du français…

Guillaume le Bâtard, 1066, le Doomesday Book, Henry 2 et son « empire » pays des Highlands aux Pyrénées, auraient donc vraiment existé…L’Angleterre serait-elle cette colonie française qui a mal tourné..?
Bon, mais, quel intérêt à avoir 2 fois le même mot: freedom & liberty, pig et pork, sheep & mutton, Marks & Spencer’s, feed & nourish, help & assist, wish & desire, deep & profound etc & so forth??? L’anglais, langue bilingue germano latine par le biais du latin et du français, parsemée de vocables celtiques persistants essayerait-il de se faire passer pour plus « riche » que le français, langue pourtant parfaite, parlée par tous les diplomates au 18e s.?

Etrange aussi qu’on se comprenne pas ou de travers, comme nous dit cette pièce propagandiste anti-France de ce Shakespeare qui, à 450 ans, n’est toujours pas mort….

Henry: Then I will kiss your lips, Kate.
Katharine: Les dames et les demoiselles pour être baisées devant leurs noces, il n’est pas la coutume de France.
Henry: Madam my interpreter, what says she?
Alice: Dat is not to be de fashon pour les ladies of France – I cannot tell vat is baiser en Anglish.
Henry: To kiss.
Alice: Your majeste entendre bettre que moi.
Henry: It is not fashion for the maids in France to kiss before they are married, would she say?
Alice: Oui, vraiment.

– Henry V

renato dit: à

– Nous vivons en quel siècle, déjà ?
– Le premier du troisième millénaire.
– vous en êtes sûr ?
– C’est ce que l’on raconte.

Le boulet! dit: à

il semblerait que les pieds circulent sur un rail qui coulisse au fond du bateau. A moins que ce ne soit fixe : à vérifier.
Rose

Vu que tu n’y connais rien, ferme-la!

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…Ah!Leni,Leni!……

…il me semble,…qu’elle change de visage,…comme de masque!,…

…entre sa vie courante en sa compagnie son autoportrait, et Olympia,…des photos très retouchées,…du Morphing avant la lettre,…
…etc,…

Putin..... dit: à

Ah ! Leni ! Leni !
Lenin ! Comme tu nous manques, Vladimir Ilitch …!

bouguereau dit: à

– Le premier du troisième millénaire.
– vous en êtes sûr ?

l’père rénato tu lui dis au ptit jour qu’on est du temps des romains il te répond « t’es sur » tu opines avec autorité avec un gourdin il sm’et à 4 pattes et va aboyer à la lourde

JC dit: à

La grosse différence entre moi et JV c’est que je suis le seul à être gardien d’une certaine moralité.

bouguereau dit: à

cette pièce propagandiste anti-France de ce Shakespeare

c’est l’sentiment d’infériorité kabloom..shakespeare c’est du franglais..comme « chausseur »..et une dizaine de siècle plus tard t’as les montipython qui te refont l’coup du moyen age picard trés british..et tout ça trés froidement..sans déconner dans le fond

D. dit: à

Mince je m’ai trompé.

D. dit: à

Mais tagueule, Bouguereau.

bouguereau dit: à

il semblerait que les pieds circulent sur un rail qui coulisse au fond du bateau

..en dessous de la ligne de flotaison tout est trés graissé.. »comme mon cul sur une toile cirée » disait l’évèque odon

D. dit: à

Il serait grand temps de changer de billet, parce que celui-là n’a en gros intéressé personne à part quelques-uns qui se forcent pour faire plaisir soit-disant.

renato dit: à

Ah, ce bouguereau et ses expressions inutilement alambiquées !

D. dit: à

Ça t’excite, Bouguereau, hein ?

Daaphnée dit: à

des photos très retouchées,…du Morphing avant la lettre,…

Plutôt un esthétisme particulier, du néo-classicisme à l’idéal de pureté ..

bouguereau dit: à

je suis tombé sur l’un des très consternants commentaires d’Abdeladolf, que je n’oublie pas

..quand même..tu t’en donnes..du mal

D. dit: à

renato a une expression beaucoup plus simple, mais demeurant incompréhensible.

bouguereau dit: à

goering ? jamais retouché..immeur naturliche !

D. dit: à

A propos de Morphing, sachez que cette expression est utilisée par les spécialistes des États-majors miltaiores au sujet de cette potentialité que possèdent de nombreux vaisseaux extraterrestres de se reconfigurer très rapidement, ou de se diviser, de s’assembler avec d’autres, de générer des pseudo-sondes en un clin d’œil, comme l’explosion d’une fusée d’artifice dans le ciel, mais dans le plus parfait silence et à la différence que les trucs lumineux générés t’entourent en un clin d’œil, apparaissent et disparaissent, font baisser la température et dilatent le temps à qui mieux-mieux.

bouguereau dit: à

expressions inutilement alambiquées !

c’est rapport à mes origines hohenzolern par le facteur et connetable de bourbon par..mais là tu t’immisces rénateau c’est secret

bouguereau dit: à

font baisser la température et dilatent le temps à qui mieux-mieux.

ce monde est un vaste branle dédé..vaut mieux pas être son troudbal

guy dit: à

 » c’est au sud de l’Hexagone qu’était né l’amour courtois »

la grâce des ceintures de chasteté : un bon moyen des’assurer de la fidélité de la dame (d’où la nostalgie des moches et oncs (les jc) pour les Croisades&taientfidèles

bouguereau dit: à

» c’est au sud de l’Hexagone qu’était né l’amour courtois »

un truc de pédé honteux..en picardie y’avait longtemps qu’on avait fait son comingue aout

renato dit: à

« c’est rapport à mes origines hohenzolern par le facteur et connetable de bourbon par..mais là tu t’immisces rénateau c’est secret »

C’est toi qui parles d’origines… moi, je me suis limité à un constat : expressions inutilement alambiquées…

guy dit: à

« .shakespeare c’est du franglais »

c’est sûr, l’English à shakespeare c’est clair comme de l’eau de roche ! plus fastoche à percuter ya pas

bouguereau dit: à

chausseur et shakespeare notait..les italiens aussi..des faiseurs épicétou

û dit: à

« goering ? jamais retouché..immeur naturliche ! »

pareil pour daaphnée

bouguereau dit: à

plus fastoche à percuter ya pas

plus facile pour un français..c’est là que git le lièvre drolatique

bouguereau dit: à

û

pour qui est ce circonflesque

cheers dit: à

quel intérêt à avoir 2 fois le même mot: freedom & liberty, pig et pork, sheep & mutton,

intérêt ? justefruit del’histoire, c’est comme ça c’est tout
et ça n’est pas deux foislemêmemot, ya une nuance par ex les noms d’animaux susdits, a l’un est cru l’autre cuit- pour le reste les mots non saxons font plus chic ou lettré ( » par ex I have a fatigue », etc )

bouguereau dit: à

moi, je me suis limité à un constat : expressions inutilement alambiquées…

constat constat..pisque t’es assermenté donne un exempe..en plus court, l’alambique fait plus long

trop drôle dit: à

« plus facile pour un français. »

comprendre, lire shakespeare dans le texte ah ah ah

guy dit: à

« pour qui est ce circonflesque »

pour rigoler (ce pauvre u.,chevalier de la p. du blog… )

bouguereau dit: à

pour le reste les mots non saxons font plus chic ou lettré ( » par ex I have a fatigue », etc )

hum..je sais pas..pas mal d’auteur anglais qui ont fait la chasse autant que possibe aux mot latin..évidemment au club..à la city..à oxford..: que des bourrins

la fête aux travailleurs dit: à

jicé toujours premier à défendre les défavorisés vafaire une minimanif devant chez raymond le nabot pour réclamer les millards piqués au peuple par ce dernier

bouguereau dit: à

comprendre, lire shakespeare dans le texte ah ah ah

..évidemment un francais qui a des rudiments de brit..note bien que ce n’est pas un secret, dmande a kabloom certaine traduction littéral du français sonne vaguement « alambiqué » pour un anglais..l’alambiqué qui énerve oxford..cy fait

renato dit: à

« l’alambique fait plus long »

Pas nécessairement…

bouguereau dit: à

tu constate des trucs a part toi rénato..des trucs incommunicabes…c’est pas alambiqué du tout ça..si?

What a mess! dit: à

û. n’est pas u. isn’t it?

Ciboulette dit: à

pas besoin du mauvais temps pour avoir une sale journée, ya qu’à lire bouguereau ta gueule keupu

guy dit: à

pas mal d’auteur anglais qui ont fait la chasse autant que possibe aux mot latin..évidemment au club..à la city..à oxford..: que des bourrins

après WWII comme dirait dear TKT et les espoirs démocratiques désenchantés à cause du cynisme des politiciens ya une tendance à se montrer enragé pour faire peuple quoi cf ça a commencé avec la génération des jeunes hommes en colère
mais pour les posh ça reste un critère
(accent compris la sorcière maggie avait pris des cours de diction etc après de sir Lawrence Olivier (il avait besoin depounds?)
L’anglais des Shakespeare est une des plus belles langues qui soient
voir Hamlet avec Lawrence Olivie justement et les sonnets dits par Richard buton et autres grands acteurs
Les étudiants de licence d’anglais sont incapables de comprendre sans traduction l’anglais de Shakespeare

je recommencerai pas dit: à

û. n’est pas u. isn’t it?

non û n’est pas u.

bouguereau dit: à

après WWII comme dirait dear TKT

non..c’était même une mode le revival au 19eme chez les brits..quand je parlais de rudiment..c’est un peu plus que ça

Marcel dit: à

Bloom dit: 1 mai 2014 à 6 h 59 min
une partie non négligeable des mots anglais découlent directement du français…

Guillaume le Bâtard, 1066, le Doomesday Book, Henry 2 et son « empire » pays des Highlands aux Pyrénées, auraient donc vraiment existé…L’Angleterre serait-elle cette colonie française qui a mal tourné..?

Tu dérailles complètement mon pauvre Bloom. L’Angleterre était une colonie normande !(relis mon cadavre se sent fiévreux à Evreux)

xlew.m dit: à

bouguereau dit: 1 mai 2014 à 10 h 25 min
shakespeare c’est du franglais…et une dizaine de siècle plus tard t’as les montipython qui te refont l’coup du moyen age picard trés british..et tout ça trés froidement..sans déconner dans le fond

Ta théorie pourrait se tenir en Sorbonne. ton résumé est malin, un peu hussard, on dirait que tu refais Azincourt et que tu mets un tampon au fils de Marie de Bohun, mais incontestablement y’a d’ça.
« Sinon, la tapisserie de Bayeux, tu la trouves « figée » aussi la tapisserie de Bayeux ? » (avec la voix et les yeux de Dame Birgit de Bardow.)

Daaphnée dit: à

Alalala, dommage que Paul Edel ne se garde pas ses trolls rances et débiles !

renato dit: à

Ce n’est, la tienne, qu’une manière… donc…

Daaphnée dit: à

L’anglais des Shakespeare est une des plus belles langues qui soient
voir Hamlet avec Lawrence Olivie justement et les sonnets dits par Richard buton et autres grands acteurs

C’est certain, ce sont les acteurs qui font la langue ! Non mais, d’où sort-il ce gnome !?

renato dit: à

« L’Angleterre était une colonie normande ! »

Il y a l’histoire (plus archéologie) et la légende nationale… dite « roman »… certains peinent à faire la différence…

Marcel dit: à

Le muguet sent la rose, cette année.
Et la rose sent un peu la merde.
Quoiqu’il ne faille pas insulter la merde.
Comme le clamait les carabins : et si la rose a des épines (libérales), toi merde, tu n’en as pas.

Marcel dit: à

renato dit: 1 mai 2014 à 11 h 22 min
« L’Angleterre était une colonie normande ! »

Il y a l’histoire (plus archéologie) et la légende nationale… dite « roman »… certains peinent à faire la différence…

Il faut promouvoir renato, historien en chef de la RdL.

Marcel dit: à

le clamaient

Cette inversion du sujet quelle poisse.

bouguereau dit: à

Cette inversion du sujet quelle poisse

quelle merde martchélo..il faut de la consistance mais pas trop non plus..c’est teutchy

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…le boulet,…à,…9 h 06 ,…
…encore chaud sortis des fonderie,…pas de quoi nous faire un feux d’artifice sans poudre à morphing,…
…le quart d’heure  » américain « ,…çà rame pour la compétition,…ce n’est pas, que de la tarte à rose,…
…du pure self-training avec le Gode mit uns!,…de papa,…qui vaille au grain!,…

…D,…le Morphing qui dilate le temps à qui mieux-mieux!,…de retour des  » visiteurs « ,…etc,…

…Ah!,leli,Leli!,…sur cet auto-portait elle ressemble à ma mère,…en plus vieille,…
…mais un air de  » famille « ,…sur cet autoportrait seulement!,…
…un détail objectif à signalé,…

…par contre sur les photos en compagnie de la clique au fuhreur,…ou en plus jeune et le visage  » gros « ,…rien du tout,…


…c’est pour çà!, que je dis,…que l’auto-portrait,… Ah!,Leli,Leli!,…me semble une imposture, en gros Morphing,…
…les visages de cette personne,…sont en caméléon-style-morphing,…à la Leni Riefenstahl!,…mais retouchée ou embellie,…
…précision etc!,…

Bloom dit: à

Tu dérailles complètement mon pauvre Bloom. L’Angleterre était une colonie normande !(relis mon cadavre se sent fiévreux à Evreux)

Calbrix, ce n’est pas parce qu’on s’est mis aux lettres après une carrière dans les chiffres que l’on va récupérer le retard accumulé. Perso, je m’abstiens de mathématiser.

Shame on you, pompous ass: vous (je hais le tutoiement méprisant) n’aurez même pas reconnu la célèbre saillie de Clémenceau:

« Ah, l’Angleterre, cette colonie française qui a mal tourné. »

Continuez à faire vos vers de mirlitons, vous serez moins ridicule (c’est dire!) qu’à me donner des leçons d’anglais. Here endeth the lesson.

Jacques Barozzi dit: à

Quelqu’un a t-il lu ce nouveau journal, le un 1 ?

renato dit: à

Question de la valeur du serment de Bayeux selon Harold et selon Guillaume… Marcel !

bouguereau dit: à

la rose sent un peu la merde

« ma rose sent l’andouillette » comme aurait dit la picarde..en shakespire ça donne « does my rose sniffe dze andouillette à l’amande grillée? »..et laurence olivier de répondre « even if i try to tell better i couldnt »

Jacques Barozzi dit: à

Bloom, Clemenceau, sans accent !

bouguereau dit: à

clem sans accent kabloom..sergio arrête pas de me reprende la dessus..comme le nez de cléopatre il y a des choses comme ça qui comptent

bouguereau dit: à

et toi baroz, ta rose..l’amande grillé ?

bouguereau dit: à

« Sinon, la tapisserie de Bayeux, tu la trouves « figée » aussi la tapisserie de Bayeux ? » (avec la voix et les yeux de Dame Birgit de Bardow.)

tiens il y a eu une émission ouyam samedi dernier sur arte..et bien j’ai trouvé les reconstitutions assez bonnes..surtout la chetron de guillaune..pas mal vu..pas trop de roman..et puis on dit pas la tapisserie de bayeux mais celle de la reine mathilde..

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…peut-être une thenique à la James Bond, pour se changer le visage le temps d’un mieux-mieux à visiteurs,…
…avec un lots de masques,…pour la nuit,…et le lendemain,…pour 48 h,…en Star,…pour un gay’s à changer de monture!,…
…des agents-doubles,…dans la soupe du 1° Mai,…etc,…
…de là!,…N° 6,…

Bloom dit: à

Sans accent, yes…Clemenceau, dit le « Tigré »…

Marcel dit: à

Cela fait deux fois que l’on parle d’Aliénor d’Aquitaine sans la nommer. Pour l’amour courtois (Jacques 23 h 18) et le duché d’aquitaine dans sa corbeille de mariage avec Henri II (Bloom 6h 59).
Au passage, il y a deux femmes au destin extraordinaire : Aliénor et Catherine de Médicis, toutes deux, avec 400 ans d’intervalle, ont épousé un Henri II.

L’amour courtois fut promu par Aliénor. Elle amena toute sa troupe de troubadour à la cour du roi de France Louis VII qu’elle venait d’épouser, une espèce de moine peu porté sur la gaudriole. Dix ans plus tard, elle épousa Henri II, duc de Normandie, duc d’Anjou, roi d’Angleterre et d’Ecosse (il n’y avait pas encore de loi contre les cumuls !). Pendant son règne, il fit main basse sur la Bretagne et l’Irlande.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…peut-être une technique,…à la James Bond,…etc,…comme les emplois à Chirac,…pour toucher plus!,…en travaillant moins!,…of course !,…un little  » Bordeaux « ,…au sang impur,…à cuvé au fût!,…etc,…du muguet Sir!,…of course!,…

Bloom dit: à

voir Hamlet avec Lawrence Olivie justement et les sonnets dits par Richard buton et autres grands acteurs

Et on n’a pas d’enregistrements de David Garrick ou d’Edmund Kean.
Ai eu la chance de voir Henry IV parts 1 & 2 il y a 5 ans au Globe: Roger Allam simplement gé-nial dans le rôle de Falstaff:

« What is honor? A word. What is in that word “honor”? What is that “honor”? Air. A trim reckoning. Who hath it? He that died o’ Wednesday. Doth he feel it? No. Doth he hear it? No. ‘Tis insensible, then? Yea, to the dead. But will it not live with the living? No. Why? Detraction will not suffer it. Therefore, I’ll none of it. Honor is a mere scutcheon. And so ends my catechism. »

Et cette petite crapule de Prince Hal, triomphateur de Hotspur, noceur impénitent, qui, devenu Henry V, brise le coeur de son ancien compagnon de débauche et professeur de vie en faisant mine de ne pas le reconnaitre:

« I know thee not, old man »

Brrr….Digne d’un cadre de l’umph ou du psss…

Bloom dit: à

Mumtaz, pas mal non plus, dans son Taj Mahal. Et Cixi dans sa Cité…

Phi dit: à

une espèce de moine peu porté sur la gaudriole.

sapré Marcel. L’histoire revue par Chaussé aux moines. Les moines étaient bottés et défrichaient le païen à coups de râteaux dans les mandibules.
Jeanne d’Arc comprenait les angliches sans traducteur.

On vit dans un drôle de monde dit: à

Rixe en salle des profs : département Lettres Vs département Maths. Match nul.

Marcel dit: à

D’abord, je dis tu à tous ceux que j’aime.

Ensuite, ton argument de poids est d’une logique sans faille. Clemenceau a dit !
Circulez il n’y a plus rien à voir.

Tu te dis lettreux mais tu fais dans le sophisme, mon ami, et tu ponctues tes faux arguments avec des insultes. Déjà tu nous sortais l’équation : antisioniste = antisémite.

Ne te lance pas dans les mathématiques, cette science demande un peu de rigueur et ne se résume pas à des chiffres. Ce serait trop te demander.
A la revoyure puits de sciences autoproclamé.

JC..... dit: à

« Perso, je m’abstiens de mathématiser. »

Un matheux peut lire, écrire et poétiser, dans la plus grande joie, la plus grande facilité et la plus totale réussite … !

Là où un pauvre angliciste délocalisé comme l’arrogant et plat Bloom s’avèrera incapable de raisonner comme il convient, ce qu’exigent les mathématiques de haut niveau…héhéhé !

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…et question de partir sans fumée!,…se bourrée de tout les  » tabars « ,…nom d’une pipe!,…elle con-prend vite,…
…à la gloire des conscrits,…sous scellés,…du tabac bon à tirer!,…etc,…

…l’église à cons pour l’économie des Cyclope à Baal,…
…le sang hun-pour la gloriole!,…une cuite entre les dents,…la sans-sûre dévoilée-nue,…les chats-pitres aux à bois, à la langue tirée,…
…de la soupe à morphing!,…trépassons au muguet fleurit,…of course!,…etc!,…

milou en mai dit: à

faut arrêter de fumer le muguet giovanni

vos commentaires, ça rame! dit: à

G.S.A. vous devriez faire du sport…

loïc dit: à

Guillaume le Conquérant n’a pas « envahi » l’Angleterre : c’est lui (et pas Harold) qu’avant de crever le roi Edouard avait désigné héritier de la couronne
Encore maintenant chez une certaine catégorie de Brits de la haute, ça fait chic d’avoir un patronyme French

rameur de fond dit: à

Paradoxalement aucun commentaire n’a relevé la « poésie en marche » de ce sport, son ramage en quelque sorte?

loïc dit: à

« C’est certain, ce sont les acteurs qui font la langue ! Non mais, d’où sort-il ce gnome !? »

mais qu’elle est cocon n e cette pauvre daaffffnette (((((((((((mais chhuuuttt))))))))))))))

rameur de fond dit: à

La question est :  » en quoi le swing de l’ aviron est de la poésie en mouvement? »

orson dit: à

Jacques Barozzi dit: 30 avril 2014 à 23 h 17 min
Et c’est au sud de l’Hexagone qu’était né l’amour courtois…

Dans l’Espagne maure

rameur de fond dit: à

On connait depuis les travaux de Paul Zumthor dans son La lettre et la voix  » combien l’ oralité du barreur est essentielle à une avancée, à la glisse de la truelle de la langue en une  » théâtralité généralisée « !

loïc dit: à

ameur de fond dit: 1 mai 2014 à 14 h 23 min
La question est : » en quoi le swing de l’ aviron est de la poésie en mouvement? »

vous allez nous le dire

rameur de fond dit: à

La langue, cette truelle obstinée que nul n’ ignore…

ya matheux et matheux dit: à

@JCBonne Fête du Travail aux 5,5 millions de chômeurs ! »

jicé le binaire va sûrement trouver une solution au chômage

rameur de fond dit: à

Vous plaisantez loïc?
On ne se farci pas impunément tous ce couloir de commentaires radoteurs pour vous apporter soudainement la lumière au fond de la pièce ( de théâtre)!

rameur de fond dit: à

D’ ailleurs, comme vous l’ écrivez :  » loïc dit: 1 mai 2014 à 14 h 30 min

ameur de fond  »

Je suis un amer du fond ( de la pièce…)

bérénice dit: à

à la gloire des conscrits,…
Giovanni, l’inspiration me manque mais compte tenu du sujet, la gloire des circoncis ne serait-elle la bienvenue dans ces pages historiques et accueillantes?

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…mais,…non,…de la  » bande « ,…

…c’est en réponse à…@,…Phi à 12 h 29,…

… » Jeanne d’Arc comprenait les anglais sans traducteur,… »

…on peut ajouter du  » bâtiment « ,…

…parce qu’elle en faisait à sa tête en  » solo  » et construisait en licorne apprivoisée,…
…pour ses seuls ambitions, genre,…famille pour être soumis aux ambitions , aux le Pen Trust’ & C°,…Da,…Da,…Da,…etc,…

…et, vous n’aviez pas fait ce lien!,…
…bonjours les dégâts!,…avec la Marseillaise!,…envoyez!,…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…@,…
…G.S.A.vous devriez faire du sport,…
…faut arrêter de fumer le muguet giovanni,…

…on ne peut plus plaisanter!,…

…je fait du sport,…et je ne fume jamais!,…

…un peu, le goal!,…etc,…

Bloom dit: à

Ensuite, ton argument de poids est d’une logique sans faille. Clemenceau a dit !
Circulez il n’y a plus rien à voir.

C’est ce qu’on appelle une allusion, ou de l’intertexutalité. Ce que les mauvais élèves ne saisissent généralement pas.
Confit de prétention, voilà que l’acariâtre enfileur de vers de mirlitons rabâche et remâche ses veilles frustrations.

Pas bien beaux, les retraités de la mathématique agrippés au blog à Passou… Unilingues, travaillés par la haine du prochain, ces vieilles peaux ont le fumet de la mort qui vient.

Court, dit: à

Phil, Jeanne parlait parfois franglais, non sans malice pour écorcher les noms, comme tout le monde à cette époque:
« Vous, Classidas, La Poule, etc »
Comprendre Glassdale et Poole, entre autres;
Bien à vous.
MC

Chaloux dit: à

Bloom, Elle vient pour nous tous.

Sergio dit: à

rameur de fond dit: 1 mai 2014 à 14 h 34 min
ce couloir de commentaires radoteurs

Des Gummis ! Comme dans le Glas celui d’Ernesto…

Marcel dit: à

Bloom dit: 1 mai 2014 à 15 h 20 min

Vers mirlitonesque

L’autre jour tout au fond d’un blog,
Bloom déféqua, ce sans façon.
Il dit, flairant comme un bull-dog,
C’est littéraire, c’est fait maison.

Amusons Bloom..... dit: à

Si 2+2=4 dans le système décimal, 10+10 =100 en base 2 … En base 60 ?
(Est-ce que ce singe, polyglotte mais monocouche, pensera à enlever la peau de la banane avant d’y planter ses ratiches jaunies ?)

poetry in motion dit: à

La scansion du barreur est un début de poésie.

Sergio dit: à

rameur de fond dit: 1 mai 2014 à 14 h 23 min
La question est : » en quoi le swing de l’ aviron est de la poésie en mouvement? »

C’est un peu syncrétique, mais je crois que je vois un peu. Lorsque l’on regarde, à par exemple la téloche, ce mouvement finalement assez magique des esquifs, il peut venir à l’esprit, curieusement, la notion de changement de repère, bien que cela n’ait à proprement parler rien de commun. Après, pour « la poésie en mouvement », ben ça suit, quoi…

Amusons Bloom (part two)..... dit: à

Il est là notre coq au plumage joli,
Fier de lui, ergotant, sa vue nous réjouit !
Hélas, poules s’en vont car à la vérité
Ce coq est un chapon : frimer n’est pas jouer.

Jacques Barozzi dit: à

Et ce cadavre à l’Elysee, c’en est où, Marcel ?

Marcel dit: à

Bloom, mon petit Bloom, toi qui te targues de littérature, il y a une faute de prosodie dans mon 15 h 53. Sauras-tu la trouver au moins ?

(Ou alors, qui t’autorise à juger de la poésie des autres ?)

Marcel dit: à

Jacques Barozzi dit: 1 mai 2014 à 16 h 24 min

J’attend que Rottweiler fasse la peau à Julie, Jacques.

paul bémute dit: à

J’attend que Rottweiler fasse la peau à Julie,

quoi, elles squattent mon palais?

Amusons Bloom (part three)..... dit: à

Sur la route de Pen-zac,
Gouz gouz la irac,
Gouz gouz la irac,

Sur la route de Pen-zac,
Les rieurs vont en zig-zag.

On danse la déBloomée
Le pauv’gars est amusant
Car bourré, imbibé,
Il fait honte au Quai d’Orsay…

Bloom dit: à

Jean Calbrix, vous êtes un facétieux. Je ne connais pas les « fautes » de prosodie, et depuis que je ne suis plus étudiant ni prof, la littérature, discipline exigeante s’il en est, est pour moi tout sauf affaire de règles, théorèmes, scolies et démonstrations. Joyce is my forte, my man et Artaud un des grands.
Faites-vous plaisir en écrivant, au contraire, mais, de grâce, ne sortez pas votre queue à tout bout de champ en clamant qu’elle est la lus grosse.
Bien que mes textes et traductions soient publiés dans des revues pas franchement confidentielles, je ne suis que tangentiellement lié à la littérature. Je gère des équipes, des budgets, établis des programmations de diffusion et coopération culturelle & artistique, recherche des financements publics et privés, écris mes discours et ceux de mes ambassadeurs, des télégrammes diplomatiques, participe au conseils d’orientation stratégiques de mon ministère, etc etc, et occuperai en septembre prochain un joli nouveau poste. N’ayant besoin que de peu d’heures de sommeil, j’ai aussi une vie de famille épanouie, et essaie de lire beaucoup dans au moins deux langues.
De temps en temps, je viens me délasser ici avec ceux que j’aime bien: TKT, u., Phil, Bouguereau, Abdelkader…

Bloom dit: à

et Baroz, oeuf corse

Bloom dit: à

la Plus…

JC..... dit: à

Je ne comprends pas l’attitude d’Amusons Bloom : j’aime bien Bloom, moi aussi, il apporte beaucoup à ce blog de prestige.

Son côté élitiste, cultivé, instruit, responsable, multiculti, équilibré, au service de la Nation, un écrivain connu … non, vraiment, j’aime beaucoup me délasser en le lisant.

Un type qui aime TKT et l’économe d’idées Abdel est estimable !

Jacques Barozzi dit: à

Oui, Bloom, Marcel a la plus grosse… barbe !

Bloom dit: à

qui t’autorise à juger de la poésie des autres ?)

Quand on met sa production dans le domaine public, on doit accepter d’être jugé, en bien ou en moins bien; c’est la règle du jeu.
Seuls les vaniteux et/ou les fascistes exigent d’être universellement appréciés.

Sergio dit: à

Bloom dit: 1 mai 2014 à 17 h 08 min
la littérature, discipline exigeante s’il en est, est pour moi tout sauf affaire de règles,

Si, parce qu’au moment d’écrire chaque mot (avec la Scabelli) on a une myriade de références, de souvenirs, de repères fixes ou mobiles qui envahissent l’esprit à la vitesse d’Attila sur son petit cheval, et or donc on débarque sur la question grosso modo suivante : est-ce que ça colle ? Et dans tout là-dedans il y a cinquante milliards de règles, aux neuf dixièmes subconscientes… Donc en conclusion je recommande la tonte du gazon, surtout en ville… Ou alors le train électrique comme Hermann ça fait de mal à personne…

Philippe Petit dit: à

et essaie de lire beaucoup dans au moins deux langues.

Pour un célèbre propagateur ( pas un propagandiste, n’est-ce pas?)de la culture française à l’étranger, une troisième langue à votre actif ne serait pas de trop.

Philippe Petit dit: à

Cela dit, Calbrix sa poésie s’entend, (je ne connais pas le personnage in vivo)c’est du swing à retardement, cette poésie à la pelle ne vaut pas qu’on fasse la manche pour elle.

JC..... dit: à

Avant de vous quitter, posons nous la question, la seule, la vraie, la plus importante, celle qui nous préoccupe, nous enchante, nous ouvre des mondes, celle qui jour et nuit nous turlupine :

« QUI A LA PLUS GROSSE ? »

Bibliothèque, naturellement.

Bloom dit: à

une troisième langue à votre actif ne serait pas de trop.

Shi da. Wo shuo itien zhongwen; Ni ne?
Onek Bangal jani, babaji, kintu tumi kichu buchi na, tai na ki?

Philippe Petit dit: à

cette poésie à la pelle ne vaut pas qu’on fasse la manche pour elle.( me stesso)
Pourtant il a pioché à fond sa prosodie!

DHH dit: à

@Bloom
Une réflexion que m’inspire votre échange avec Marcel:
Dans son opuscule intitulé « Structure du langage poétique »,reflexion alors novatrice sur la poesie ,qui a eu en son temps un certain retentissement, Jean Cohen écrivait :
« Dans la catégorie que l’on pourrait nommer « poèmes phoniques » parce qu’ils ne mettent en œuvre que les ressources sonores du langage, on ne peut ranger aucune œuvre littérairement importante. En relèvent seules ces productions de poètes du dimanche qui se contentent d’ajouter rime et mètre à ce qui reste sémantiquement prose »
Retrouvant récemment cet ouvrage, j’ai immédiatement pensé à la lecture de ce passage que, pour Marcel, c’est tous les jours Dimanche .
Une chance que vous n’avez pas l’air de lui envier, malgré vos semaines épuisantes d’agitation technocratique

Jacques Barozzi dit: à

L’un est créatif pas directement l’autre…

Daaphnée dit: à

Juste un mot pour rappeler à mon amie Clopine de ne pas rater Michel Onfray, ce soir, dans La Grande Librairie.. ((Bisou))

Touche pas mon minou dit: à

je viens me délasser ici avec ceux que j’aime bien: TKT, u., Phil, Bouguereau, Abdelkader…

bloom il aime pas les filles.

Daaphnée dit: à

Daaphnée dit: 1 mai 2014 à 18 h 12 min
Juste un mot pour rappeler à mon amie Clopine de ne pas rater Michel Onfray, ce soir, dans La Grande Librairie.. ((Bisou))

Après maintes tentatives infructueuses, le pot-de-colle niaiseux usurpe mon pseudo!
Quelle tristesse, ce si peu de moyens.
Pfff !

Daaphnée dit: à

Le Daaphnée de 18 h 21 min est un usurpateur.
Je maintiens « mon amie Clopine » !!!!

Daaphnée dit: à

Désolée, je n’ai jamais aimé les idiotes .. Alors, vous-même ..

bouguereau dit: à

Quand on met sa production dans le domaine public, on doit accepter d’être jugé, en bien ou en moins bien; c’est la règle du jeu.

et ça rapporte pas un rond..oser en poésie ça vaut toujours quelquechose

bouguereau dit: à

ferme ta sale giffe raclure de keupu

Vu l'orthographe, cette fois c'est la vraie dit: à

Daaphnée dit: 1 mai 2014 à 18 h 37 min
Bon, comme il y en a qui mélange, confonde « poésie sonore » et swing (!)

Bloom dit: à

DDH, je n’envie personne et suis heureux quand mes rencontres m’enrichissent humainement et intellectuellement. C’est le cas dans ce boulot où l’on est amené à côtoyer des gens vraiment remarquables. Les plus grands sont les plus agréables. Les plus petits, souvent cabotins et prétentieux. Les Très Grands (j’en ai rencontré quelques-uns) sont des forces qui vont.
Mention spéciale pour les archéologues, formidables. Les danseurs et les danseuses aussi. Les plus chiants sont les plasticiens ou les mimes (feu Marceau excepté).
Le côté « entrepreneur culturel » est passionnant, c’est une autre partie du cerveau qui fonctionne (vous allez voir comment Mouche à boeuf va se précipiter sur ce qui précède).
Si Jean Calbrix (JC) est heureux de ses vers du dimanche, c’est tant mieux. Qu’on me permette juste de leur préférer ceux des autres jours dûs au talent de Derek Muldoon, Mathieu Brosseau, Mahmud Darwich et Abdlewahab Meddeb, pour n’en citer que quelques-uns.

Daaphnée dit: à

Vous, pouffiasse parmi les pouffiasse, on évite de vous mettre au pluriel .
La plupart des femmes en ont un peu plus dans la cervelle que vous !
Hé oui ….

Bloom dit: à

bloom il aime pas les filles.
—–
Vrai, il leur préfère les femmes. Distingo crucial.
Je rencontrai la première à 23 ans,
don du Bengale d’or et d’argent.

cette fois encore c'est la vraie dit: à

Daaphnée dit: 1 mai 2014 à 18 h 45 min

Vous, pouffiasse parmi les pouffiasse

bouguereau dit: à

..la notoriété ne fait pas notre plaisir kabloom souvent elle nous frustre…on s’en défend, ce n’est pas tant notre image mais l’idée qu’on se fait de soi qui est en jeux

Daaphnée dit: à

Vrai, il leur préfère les femmes. Distingo crucial.

Vous avez bien raison, il faudrait leur expliquer .
Quoique, à partir d’un certain âge, c’est foutu pour elles .. Too late !

c'est du vécu dit: à

Daaphnée dit: 1 mai 2014 à 18 h 54 min
Quoique, à partir d’un certain âge, c’est foutu pour elles .. Too late !

bouguereau dit: à

Vous avez bien raison, il faudrait leur expliquer

mais kabloom il n’est sait nibe…que sait on de ce qui va nous tenter

DHH dit: à

@Bloom
vous n’enviez personne .on le croit sans peine .
en revanche vous devez faire des envieux parmi tous ces profs,pas moins diplomés que vous, qui livrés aux gamins aimeraient bien sortir de cette galere comme vous vous en êtes sorti

Daaphnée dit: à

MMM .., le Boug’, vous-même vous faites le distinguo entre les grosses fifilles devenues vieilles ( …) et les femmes, non ?..

Bloom dit: à

Manquerait plus que Lawrence & Wishart ait le copyright de
কমিউনিস্ট পার্টির ইশতেহার ou de லுத்விக் ஃபாயர்பாக்கும் மூலச்சிறப்புள்ள ஜெர்மன் தத்துவஞானத்தின் முடிவும் !

Swing charity dit: à

 » Dans la catégorie que l’on pourrait nommer « poèmes phoniques » parce qu’ils ne mettent en œuvre que les ressources sonores du langage, on ne peut ranger aucune œuvre littérairement importante. » Cohen cité par DHH.
Cela se discute!
Prenez par exemple l’ anthologie de la poésie sonore de Chopin, Jean Michel Place éditeur…

Swing charity dit: à

Déjà faire le distingo entre poésie phonétique et poésie sonore…qui toutes les deux peuvent avoir du swing!

Bloom dit: à

tous ces profs,pas moins diplomés que vous, qui livrés aux gamins aimeraient bien sortir de cette galere comme vous vous en êtes sorti
—-
J’ai beaucoup d’amis profs et je connais leurs frustrations. Leurs limites, aussi. J’ai assisté à la mise à mort d’un métier sans lequel on ne peut faire société, un métier pour lequel j’étais programmé et que j’ai tant aimé.. Je suis déprogrammé mais reste solidaire.

Marcel dit: à

Bloom dit: 1 mai 2014 à 17 h 28 min
qui t’autorise à juger de la poésie des autres ?)

Tout lecteur aura remarqué que mon texte est amputé. J’ai écrit : Ou alors, qui t’autorise à juger la poésie des autres (en parlant des règles de prosodie).
Méthode de jésuite, ça !

Jean Calbrix, médaille d’argent aux jeux floraux de Toulouse en 2006 avec son rondel Merle, tant apprécié de Chaloux.

what else dit: à

deephnée
« les grosses fifilles devenues vieilles  »

daaaphnée vous avez le droit d’être grosse, fifille et vieille (vous continuez de vieillir)

Rôôôô dit: à

tu te sens conne et cernée wouatelze épicétou

Widergänger dit: à

@DHH
Il est évident que vos propos ne visent pas à rendre responsables les élèves de la galère des profs.

Les choses sont ambiguës.

Dieu soit loué, il existe encore des moments très agréables avec les élèves dans les classes. Quand ça marche bien. J’ai par exemple une classe de 5ème qui sont pour la plupart de brillants élèves avec qui on fait des choses remarquables. Il m’arrive de donner des cours à des élèves qui préparent le bac et même un en Première supérieure qui prépare Normale Sup avec lesquels le travail est intéressant. Tout cela pour dire que ce ne sont pas tant les élèves le problème que le système scolaire tel qu’il est devenu.

On s’en rend compte particulièrement bien, je trouve, avec la préparation au bachot. On demande aux élèves pour l’oral du bac des trucs complètement dingues comme l’histoire du genre romanesque du Roman comique de Scarron au XXè siècle à travers la présentation du personnage dans les incipit ; ou, dans l’histoire des arts, un thème qui y est lié, l’évolution de la représentation de la personne dans la peinture occidentale du Moyen-Âge jusqu’à aujourd’hui ou le discours utopique à travers les siècles ; ou de vraies problématiques littéraires difficiles pour des élèves qui prépare le bac : Roman et Histoire ; Roman et morale à travers des œuvres qui s’étalent sur plusieurs siècles.

Moi qui ai eu d’excellentes notes au bac de français quand je l’ai passé, je ne suis pas sûr que je serais capable de m’atteler à de telles questions et à une telle somme de lecture comme on le demande aux élèves qui passent le bac. Il y a là manifestement quelque chose de tout à fait bizarre dans les injonctions du programme telles qu’elles sont conçues en haut lieu pour le bac. Il y a à mon sens une volonté délibérée de casser le système, de le rendre inopérant, en donnant au système des ambitions telles qu’on est assuré que jamais la grosse masse des élèves sera capable d’y répondre, à part une toute petite élite d’élèves très privilégiés, ceux qui doivent probablement intégrer Normale Sup, c’est-à-dire pas plus de cent ou deux cents élèves en tout et pour tout. Le but de ce cassage, c’est à terme de privatiser le système avec un enseignement des riches, ceux qui suivent et qui savent rester tranquilles et actifs en classe et un enseignement pour la grosse masse informe des pauvres avec tous les problèmes qui vont avec. C’est comme ça, à mon avis, que l’UE a décider de solutionner le problème de la massification de l’enseignement. Il n’y a pas de quoi se réjouir. Mais dans ce sens-là, le métier de prof n’est pas condamné à la mort. Mais il est condamné à une profonde métamorphose qui n’est pas forcément pour le bien de la grosse masse informe en question. Je le vois avec un élève en particulier qui est pauvre qui vit en grande banlieue, qui est élève de 4ème dans un collège de ZEP, où ils ne sont qu’une vingtaine par classe. Dans sa classe, ils n’ont même pas de livre de classe. Quad je l’ai pris en main, il avait de grosse difficultés. Mais il est intelligent et ses parents bossent dur pour lui permettre d’avoir un prof particulier. Je lui fait faire les mêmes types d’exercices difficiles qu’à mes élèves qui ont souvent 20/20, notamment à un exercice très difficile qui consiste après avoir expliquer un texte de rédiger en quatre ou cinq lignes une synthèse de l’explication. C’est un exercice très formateur. Eh bien, lui aussi, malgré toutes ses nombreuses difficultés de départ, réussit admirablement bien ce genre d’exercice au point qu’il a demandé à son père de virer le prof qu’il avait avant pour me garder parce qu’avec moi il comprend tout et il a le sentiment de trouver désormais plaisir à faire du français et à commencer à mettre le nez dans Le Père Goriot de Balzac ou Le Colonel Chabert ou les discours de Victor Hugo à l’Assemblée nationale ou Candide de Voltaire ou Les Lettres persanes de Montesquieu avec ce fameux textes sur la mode qui l’a bien fait rire. Cela montre qu’on pourrait, si on s’en donnait les moyens, faire progresser et élever ces élèves de banlieue au sommet de la hiérarchie des ambitions intellectuelles qu’une démocratie moderne se doit d’avoir dans son programme politique. Mais il est manifeste que ce n’est pas du tout l’option qui a été choisi en haut lieu dans les instances dirigeantes de Bruxelles et qu’on a au contraire décider d’abandonner à leur triste sort toute cette masse d’élèves issus de milieu pauvre qui ont des conditions pourries pour étudier. C’est une honte mais c’est la réalité politique de nos pays en Europe. Et c’est le signe d’une profonde décadence parce que le savoir, la culture, c’est le nerf de la guerre économique.

faute d'accord, l' Europe saigne! dit: à

« C’est comme ça, à mon avis, que l’UE a décider de… » Widergänger.

Comme si votre faute d’accord était originaire du Parlement européen!
Comme si l’ Europe était responsable de la politique scolaire de la France, vous voulez rire, professeur?

Abdelkader dit: à

Lazarillo dit: 1 mai 2014 à 4 h 59 min
Ah camarade Sancho…tout le plaisir etc itou…je suis touche que vous ne m’ oubliâtes point (en vot’absence, le blog de M.Pierre s’est pris d’un engouement inexplicable et contagieux pour le subjunctive) ce blog s’etait appauvri sans vous…si si…et devenu etrangement silencieux sans le grincement de la brouette dans de laquelle vous promenez vos magnifiques cojones, et qui annoncait votre Imminente Arrivee…sinon, malheureusement je n’ai pas de doctorat, meme pas en conneries, juste un brevet en ebenesterie…a propos, Garcia Marquez avait comparé la literature a l’ebenesterie…’z’en penser quoi, camarade?

Abdelkader dit: à

Sinon, les fotes d’ortho sont la responsibilite du iPad…

DHH dit: à

@wiederganger
tout à fait d’accord avec vous.
ce que vous denoncez est aussi le resultat d’une obsession egalitariste qui refuse l’elitisme democratique
De sorte qu’à vouloir aligner le niveau sur celui des plus mediocres dans l’enseignement public ,on instaure un elitisme de classe qui permet aux rejetons bourgeois au chaud dans les institutions privéees et autres boites de jezes d’atteindre le niveau qui leur reservera l’acces exclusif aux formations qualifiantes pour l’acces à l’elite ,grandes ecoles etc…
j’ai eu le bonheur d’enseigner avant 1968 dans des lycéees de filles de province et ce fut tres gratifiant que d’accomagner les progres et l’appofondissement de leurs culture chez ces jeunes qui appartenaient à ce qui constituait les milieux culturellement defavorisés d’alors, la France profonde et rurale
J’ai deux sevriennes à mon actif issues de cette population

Jacques Barozzi dit: à

Prof, ça mêne à tout, voyez le brillant cas de Bloom-le-Bienheureux !
Changez de métier pendant qu’il en est encore temps, ML !
A moins que vous glissiez tout doucement vers la retraite ?
Daaphnée, je crois qu’elle a déjà démissionné de l’enseignement public ?
Reste t-il encore d’autres profs dans la salle ?
u, sans doute !

D. dit: à

Prof, ça mène surtout aux semaines de 20 heures, voire 15 ainsi qu’aux 4 mois de vacances annuels.

Jacques Barozzi dit: à

Vous voulez les achever, D. ?

Widergänger dit: à

Pas faux, D. Pour une fois, vous dites quelque chose d’intéressant… Mais c’est 15 heures/sem pour un agrégé et 18h pour un certifié. Ce n’est pas seulement une différence d’heures (3 heures) mais de charge de travail. Une classe en moins, c’est beaucoup, je m’en aperçois d’autant plus maintenant que je suis agrégé.

Pour les congés, c’est bien quatre mois. Mais encore faut-il avoir l’argent qui permette de les réaliser. Or, si on compte bien, quatre mois de vacances, ça revient grosso modo par an à quelque 10 000 à 12 000 euros. Maintenant je peux me le permettre à peu près, sur le tard. Mais longtemps, ce fut impossible. J’utilisais mon temps de libre à lire énormément. Mais le choix initial de devenir prof est aussi un choix de vie et de valeur : la liberté de son temps (ce qui est un grand luxe) contre des revenus plus confortables que ceux d’un prof même agrégé. Quand je vois ceux qui ont fait le choix inverse, l’argent contre la culture, la lecture, la vie de l’esprit, je me dis que je n’ai pas fait le mauvais choix. Je ne les envie nullement. L’idéal bien sûr, c’est la culture et l’argent. Mais ce n’est pas réservé à tout le monde. Néanmoins, on peut chercher à s’en approcher par toutes sortes de moyens. Maintenant que je suis agrégé c’est ce que je cherche à faire par des traductions qui comblent en plus ma passion pour la traduction, travail qui est très stimulant aussi quand on a par ailleurs le désir chevillé au corps et l’ambition d’écrire ce qui nous tenaille sans arrêt et qui n’est pas facile à mettre en œuvre. Il faut aussi apprendre la patience. Mon idéal serait d’être nomade et de travailler à traduire et à écrire en me baladant sans arrêt à travers le monde entier. Aujourd’hui, ce n’est réservé qu’à une élite. Mais j’aimerais beaucoup ça jusqu’à même ne plus avoir du tout de chez soi, comme le juif errant.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…Oui!,…
…il y a, une base solide à assurer dans l’évolution humaine à travers,…les concepts des tricheries, de valeurs versions  » conformité « ,…pour  » héritiers stupides « ,…et  » crapules « ,…comme dans l’ordre-social à l’optimum de Vilfredo Pareto,…


…il reste, qu’un diplôme déjà,…même d’enseignent,…c’est limite un grand  » con « ,…complice,…à cacher des secrets pour rire dans l’éternité,…
…surtout, en concurrence de l’enseignement du même genre à Japon,…la revanche  » groupir « ,…

…un fait,…je suis, des cours d’enseignent aussi,…limites les endoctrinés genre  » nazi’s-juifs « ,…aux pieds,…

…en trois mois,…avec, mes recherches-propres!,…toute la stratégie acquise en tête,…et goodbye!,…et je laisse le cours en plan,…et je poursuis sur autre chose,…

…donc, vous vous trouvez avec des connaissances  » non-homologué « ,…par le système big-brother’s,…qui vous fait pitié!,…
…l’étiquette,…et mes connaissances,…à partager gratuites,…jamais!,…

…mon travail,…n’est pas à partager,…jouer aux  » crise’s du samedi-soir « ,…
…je n’entre pas dans la danse,…des trop con,…et ne me partage pas, en corporatisme-bourgeois,…des capitalismes  » crapules « ,…

…l’arène des jeux de gladiateurs,…dans les rues et publics,…

…trop  » taré et obsolète « ,…de telles valeurs,…en regard de l’état des sciences-techniques à ce jours,…
…les sciences humaines,…trop cognitives et politiques d’exclusions,…

…restez, dans votre modernité de règne usurpé!,…
…goodbye !,…saucisses !,…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…tu la veux ma  » montre « ,…rien à baiser,…

… » la Folie des grandeurs « ,…il est nov’Or Sire !,…Majesté !,…Trou de balles,…c’est aussi bien,…

…l’Ordre des Trous de balles à bouchés,…etc!,…mon n’honn’Or,…à dédales,…mon Minos Tarasboulba !,…Ah!,…etc!,…

D. dit: à

De toutes façons cela va cesser dans quelques années. Le monde change et l’on se dirige inéluctablement vers l’abolition des privilèges de caste. Donc inutile de chercher à les défendre, l’immanente justice s’appliquera d’elle-même tôt ou tard qu’on le veuille ou non.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…vivre dans une caste, le pieds,…et toujours raisons garder,…par les Nostradamus aux pieds!,…

…yes Sir!,…aussi avec moralité!,…les bonnes à tirer,…à coups de pieds,…du pouvoir à crasses,…des législatures !,…

…l’Aléonor d’Aquitaine,…l’arène en dot,…&,…troubadours, gladiateurs et singes en mutations sur arbres-généalogiques !,…
…le cirque,…avant la lettre!,…queue des miniatures!,…à l’Ô,…des grâces!,…etc!,…

Widergänger dit: à

@D
Ce que vous appelez avec un mélange d’envie, de cupidité et de jalousie « privilèges de caste », c’est simplement les avancées démocratiques d’après guerre dans les années Cinquante quand au sortir d’une période noire fut édifié le statut de la fonction publique.

Pour prendre des fonctionnaires pour une caste de privilégiés, il faut vraiment avoir le cerveau ramoli quand on sait que 1% des habitants de la planète possède la moitié des richesses mondiales. Plus crétin, tu meurs.

De toute façon, ce n’est pas la peine de vous fatiguer, on la connaît la façon de penser ou plus exactement de ne pas penser des gens de votre sorte. On a réussi à vous mettre dans la tête tout ce qu’il faut — et que vous avez très bien intériorisé comme un bon toutou fidèle à son maître — pour faire de vous un bon esclave taillable et corvéable à merci. Vous êtes un brave con de populiste. Le genre FN. Alors ne venez pas vous plaindre ensuite. Je trouve que vous n’en chiez pas encore assez.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…les chiens!,…çà se contente des os,…à la voix de son maître,…

…très fière,…de rapportez les balles, en balade pour ses besoins  » aux champs « ,…

…les toutouts à Mme, c’est encore mieux en Labrad’Or,…du silence!,…etc!,…

berenice dit: à

inéluctablement vers l’abolition des privilèges de caste. D.

Sur quelle hauteur vous perchez-vous pour voir ça? Peut-etre un phénomène hallucinatoire ou vous vous moquez… Voyez plutot comme le PS ressemble à s’y méprendre à une entreprise d’étiquettage, d’étiquettage PS bien entendu, un label, une garantie, une AOC.

JC..... dit: à

Dans un système rationnel, un groupe bénéficiant de l’emploi garanti à vie est une caste, protégée du chômage.

Peut être le seul avantage de cette caste de miséreux…

jean claude dit: à

c’est 15 heures/sem pour un agrégé et 18h pour un certifié

sans compter les heures de préparation de cours et les corrections d’exams et concours, outre qu’en fac les agrégés se tapent du boulot administratif, ça fait plus qu’un plein-temps
Mais le jaloux, qui râte les concours, joue les victimes au nom de sa nullité

les infirmiers de pq dit: à

merci aux sucreurs – le pauvre jicé ne supporte pas la contradiction il faut le ménager

sans blague dit: à

WiderGänger au sujet du nombre d’heures de cours, ajouter celui des préparation des cours e t celui des corrections d’examens et de concours, et en fac les agrégés doivent faire aussi du travail administratif, en plus, ce qui revient à bien plus d’heures que ce que vous dites

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…l’habitude des pubs et promotions à castes,…

…les héritiers d’état,…se faire payer le  » don  » d’enseigner et son parti corporatiste par les taxes prélever aux citoyens,…
…et , nous baiser de promesses universitaires et recherches gratuites,…aux loobyings de l’€urope,…les  » gros  » aux paradis fiscaux en plus!,…
…suce la démocratie universitaire du populisme chrétien,…

…mes Ray-Ban U.S.A.,…please !,…of course!,…

…nos scientifiques à l’invention des patates chaudes à 3 % de déficit,…pour permettre une meilleure section stratifié,…
…pour notre nouvelle caste de coupe-gorge des papes du Dieu Baal,…au Cyclope mondialiste !,…etc,…
…Stop ou encore!,…

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