
Le voilà, Perret !
Qui lit encore Jacques Perret (1901-1992) ? Une poignée de nostalgiques, et quand bien même, cela suffirait à maintenir vivant cet écrivain si français disparu en 1992. Mais ne vous méprenez pas : ces lecteurs-là ne regrettent pas tant une époque qu’une certaine manière de s’en sortir avec les mots, de nouer la langue commune à la langue classique pour la faire sourire. Cela a donné des récits (Le Caporal épinglé porté à l’écran par Jean Renoir), des romans (Le Vent dans les voiles, Les Biffins de Gonesse, Mutinerie à bord), des chroniques (Objets perdus), des souvenirs (Raisons de famille) réédités en format de poche chez Folio, et un Bande à part qui fut couronné du prix Interallié 1951, cérémonie à laquelle l’auteur arriva en retard, ce qui lui valut d’être accueilli par son complice Antoine Blondin sur un tonitruant : « Le voilà, Perret ! ». Parmi les plus attachants et les plus méconnus, Dans la musette du caporal (126 pages, 15 euros, Le Dilettante, 2011), qui rassemble sept textes jusqu’alors dispersés dans différentes revues qui les publièrent entre 1945 et 1964. L’armée, la guerre, le camp. Et au-delà de cette ligne d’horizon, ce qui dépasse l’homme et le pousse plus loin que lui-même : la fraternité des clandestins, le champ d’honneur, l’amour de la patrie et, comme il dirait, autres valeurs qui ne plus parlent qu’aux dinosaures tricolores.
Car Jacques Perret était de ces rares écrivains qui s’était fait une idée de son pays et s’y était tenu contre tous les vents et nombre de marées ; ses nombreux articles des années 50 et 60 dans Aspects de la France, Arts, Combat et Itinéraires en témoignent. Il ne cessait pas d’aimer sa patrie quand elle cessait d’être aimable. Perret était pour le trône et l’autel, tranquillement, sans agressivité, mais fermement, ainsi qu’il le rappela devant l’assistance médusée dans les tous premiers temps d’Apostrophes. Catholique et monarchiste de toujours et pour toujours. Ce qui ne l’empêcha pas, juste après sa quatrième tentative d’évasion réussie du stalag, de prendre le maquis et de rejoindre aussitôt l’ORA (Organisation de Résistance de l’Armée) tenue par des officiers de carrière pas très communistes. La moindre des choses pour celui qui se présente comme « Français, c’est à dire contribuable et mobilisable ». Il choisit la mitraillette car il ne croit qu’à la guerre à portée d’injures, et que les porte-parole sont rarement les porte-fusils. Maquisard non par idéologie mais par pure et instinctive réaction d’honneur : comme il est des circonstances où il serait déshonorant de ne pas s’engager, il n’a même pas réfléchi tant cela lui paraissait naturel.
Porté par un même élan, en pleine guerre d’Algérie, il prit fait et cause pour son fils, un parachutiste OAS de 24 ans qui risquait gros pour avoir voulu supprimer un ennemi de l’intérieur. Cela lui valut quatre condamnations pour offense au chef de l’Etat (le général, par lui surnommé « célèbre diplodocque aléatoire ») et le retrait de sa médaille militaire. La mosaïque de ces articles aux allures de nouvelles reflète bien son image de réfractaire, franc-tieur et marginal. En prime, on trouve quelques curiosités, comme les pages de « Scarlett derrière les barbelés », où l’ancien prisonnier de guerre rend hommage à Margaret Mitchell pour son Autant en emporte le vent : grâce à ce roman, tout le camp fut pris de scarlettine :
« L’ombre de cette fille émouvante nous suivait partout, elle nous parlait, nous encourageait, nous versait l’espoir et nous rendait la fierté. Les sentinelles devenaient les carpetbaggers, la faim, la misère et l’amour de Scarlett étaient les nôtres, la France était le Sud, et nous faisions le coup de feu avec le général Lee pour sauver l’honneur d’une société qui fut la nôtre, son idéal, ses fanfreluches et sa foi. Bénie soit Scarlett qui nous a susurré sous l’œil des barbares la merveilleuse histoire d’une civilisation dont nous voici les fragiles et derniers champions (…) Scarlett, agent secret de la civilisation dans les barbelés, nous a dit : « Soyez sudistes ! »
Rarement un roman populaire aura eu droit à une telle reconnaissance, en prise directe non avec ses qualités littéraires ou artistiques mais avec son cœur battant et son âme. Deux autres textes rapportent avec finesse et émotion le pèlerinage de Perret sur ses lieux de captivité en Allemagne, huit ans après la guerre. « Pour Ramos », éloge du maquisard inconnu et petit traité de fraternité, est tout aussi vibrant, dans sa manière, toute de pudeur et de discrétion. Mais le plus personnel de ces récits, et le plus inoubliable, celui qui ouvre le recueil, n’est pas consacré à la seconde guerre mondiale mais à la précédente : « La mort de mon grand frère » nous transporte dans la France d’avant où l’on comprenait « quelle institution miraculeuse était la famille où sans être d’accord sur rien on peut s’embrasser à propos de tout (…) Sur Dreyfus, déchirons-nous, mais sur Fachoda, holà ! ».
Si une nostalgie perce dans ces pages bouleversantes, c’est bien celle d’une harmonie perdue. De son propre aveu, dans la sienne, on cultivait depuis 1870 l’amour de la patrie comme « un sentiment dramatique, obligatoire et satisfaisant ». Avec le culte primitif de l’honneur, il convient (lorsqu’il publie ce texte dans la Revue des deux mondes, en 1964) que ce sont là des traits de mœurs tombés en suspicion et désuétude. Qu’en dirait-on aujourd’hui… En août 1914, Jacques Perret a 13 ans. Il voit son père et son frère partir à la guerre. Le premier est fait prisonnier ; quant au second, tireur, il savait que tout boutefeu doit s’attendre à des retours de flamme. Les casquapointes le lui ont rappelé cruellement. Leur mère se replia dignement « dans les larmes et sous les armes » ; écrasée de chagrin, elle n’en continua pas moins jusqu’au bout à « surveiller la France en veillant son enfant », s’abîmant dans la désolation jusqu’à ce qu’elle fut recrue de jours. Les lignes rapportant le voyage du père et du frère avec des déterreurs de cadavres, sur le champ de bataille, dans une Picardie transformée en « plaine figée dans son apocalypse », forment une page d’anthologie. Dans ce In memoriam comme dans ses récits de mer, il écrit si bien le français qu’on se demande parfois dans quelle langue il écrit.
Jacques Perret était un homme contre, un homme du refus. Rien de ce qui était français ne lui était étranger. Folliculaire de la réaction, écrivain du transcourant « plume Sergent-Major », styliste hors-pair qui buvait avec soin afin d’éviter tout faux-pli dans le jugement, il eut la faiblesse de ne jamais dire non à l’aventure et au voyage. Il tenait la littérature pour un art d’agrément qui aurait pris tournure de gagne-pain. Il aimait Aymé et aussi Bloy, Blondin, Conrad, Dos Passos; il en tenait pour le duc d’Anjou et la dimension sacrificielle de la messe selon saint Pie V. J’avais été à sa rencontre à la fin de ses jours, dans son appartement près du Jardin des Plantes où il cachait son bonheur d’être Français. Il avait quelque chose du Jacques Dufilho de Milady et du Crabe-tambour, les traits comme les idées, mais en moins âpre, plus doux. Dans sa chambre, il y avait deux cadres : dans l’un, le grand Turenne ; dans l’autre, son frère ainé Louis, tué à 21 ans dans la Somme en 1916.
Je me suis hâté de vous glisser deux mots sur Jacques Perret car nous avançons dans un monde où il n’y aura bientôt plus personne à qui parler de Jacques Perret. Une prochaine fois, je vous parlerais d’un autre Monsieur Jadis, un certain Antoine Blondin. C’est l’été, non ?
(« Jacques Perret » photo Sophie Bassouls)
569 Réponses pour Le voilà, Perret !
Superbe. Merci
Ce fut aussi, avant guerre , un homme de voyages et de journalisme. Pas de chance au cinéma, avec « Ernest Le Rebelle » , et même le Renoir, ou les deux metteurs en scène ont joué la divergence avec le Roman. Pour le reste, un écrivain du temps où la France était Nation, Souveraine, et non noyée dans Une Constitution Européenne imbecile et aberrante,. Pierre Assouline a raison. Nous sommes dans un monde qui a de moins en moins envie de parler de ce Perret là, et qu’il classera quelque jour dans cet enfer où il fourgue tout ceux qui lui déplaisent, et qui a nom « l’extrême droite ». sorte de gloubi-glouba ou l’on met tout ce que l’on veut et qui diffère de la chimère du rêve unitaire.
Merci, cher Passou… !
Ce Jacques Perret me plaît déjà beaucoup. Il en existe un autre, de même génération, philologiue (1906-1992) qui me plaît aussi beaucoup.
Une vie d’homme oubliée. Votre billet à la fin pessimiste est un beau combat. Merci.
Je regarde un autre combat difficile : un film de Terrance Malick, « Une vie cachée ». Franz Jagerstatter refusé de jurer fidélité à Adolf Hitler. Il est emprisonné. Son épouse le soutient malgré le mépris des villageois. Cat se passe dans un petit village du Tyrol quand l’Allemagne annexe l’Autriche. C’est aussi un combat, ô combien difficile.
Ne pas oublier non plus Benjamin Perret, le poete surréaliste qui se battit côté républicain pendant la guerre d’Espagne.
La famine cette fois bien réelle que le gouvernement israélien inflige aux gazaouis est un crime que rien ne peut justifier et qui rappelle ce que les nazis ont fait subir aux juifs dans les ghettos et dans les camps d’extermination et de concentration.
Il n’est pas imaginable que même une petite partie du peuple israélien accepte ça.
Il n’est pas imaginable que même une petite partie du peuple israélien accepte ça.
Un drame absolu.
Même Anne Sinclair s’est positionnée.
Benjamin Péret, poète surréaliste, ami de Joàn Miró, etc.
Ce n’est pas moins d’une centaine d’ONG qui parlent de famine de masse.
C’est à dire du niveau d’Holodomor.
On serait à une vingtaine d’enfants mourant par 24h dans les hôpitaux pour cause de seule dénutrition extrême.
Sans doute davantage en dehors.
Nombre susceptible d’augmenter dans les prochains jours.
Jägerstätter… Je viens de laisser ici un commentaire qui a été avalé sans apparaître. Trop long et tant pis. Simplement, la pièce de Felix Mitterer, l’expérience de théâtre de ma vie.
https://www.diepresse.com/1421613/theater-seliger-franz-jaegerstaetter-bitte-fuer-uns
Une citation de la romancière George Eliot qui le clôt donne la clé du titre : « Si les choses ne vont pas aussi mal pour vous et pour moi qu’elles eussent pu aller, remercions-en pour une grande part ceux qui vécurent fidèlement une vie cachée et qui reposent dans des tombes que personne ne visite plus.»
Cette citation s’affiche at la fin du film « Une vie cachée » de T. Malick. Elle va bien aussi avec ce billet
« Même Anne Sinclair .. » (Ce « même », cela en rappelle un autre…)
Je n’avais pas bien compris l’intérêt de ce nouveau billet, avant sa chute. Tout y est : n’oublions pas un écrivain depuis longtemps oublié, porteur d’une idéologie vraiment rancie, quoiqu’estimable ; s’en excuser pour dire que durant l’été, on a bien le droit de se laisser aller à exhumer de vieux fumets ; et surtout, raconter une anecdote : « je l’ai connu chez lui à la fin de sa vie ».
D’autres, après un hommage courtoise et poli évoquent dans la foulée le surréaliste Benjamin Perret. Quant à moij, CT, je veux bien saluer le grossier chanteur populaire Pierre Perret toujours vivant, en dépit de son grand âge. N’ayons pas peur de devenir une vieille carcasse…
https://www.youtube.com/watch?app=desktop&v=HvxgNU_aQvU&t=0s.
Netanyahu n’est désormais qu’un criminel de guerre.
Next Antoine Blondin ?… On crainj le pire pour l’été 2025. Déjà qu’on a Rufin nous racontant le great Alex Dumas ! On râcle les fonds… des mongols fiers, avant de rang-trer dans l’automne.
Bon, je sorsj à ma plage, ahahahahadj.
Bàv @ tous les trolls de l’herdélisme,
@ 9.24… Pourquoi « désormais » ? Il l’a toujours été. Mais il assume de faire le job… se disant bin qu’un jour, son peuple y donnera raison dans sa longue histoire mouvementée, même s’il doit être sévèrement puni par l’actuelle justice internationale des goyim.
J’ai pas juste, là… le punckt, hein ?
Bàv,
@ Ce « même », cela en rappelle un autre…
Ah voui, genre Mme D. Horviller, le femme d’Itzack ?
Mais il est odieux, le troll de jjj, ce matin !
Perret était l’auteur préféré de mon beau-père, qui m’avait chargé de lui trouver d’occasion les livres de lui qui lui manquaient. Une année on avait réédité l’un d’eux qu’il n’avait pas (je crois que c’était « Le Jardin des Plantes »). Je vais à la FNAC de Bordeaux et je le demande. La chargée du rayon littérature française, qui avait au moins 50 ans, me dit avec un grand sourire condescendant: « Jacques Perret? Vous voulez dire Pierre Perret. » Vexé, je lui dis bien fort pour que d’autres clients entendent, que Jacques Perret est l’un des plus grands écrivains français vivants. Elle ne me croit pas et demande à un collège qui était dans le coin s’il connait Jacques Perret. Le type lui répond: « Pierre Perret, tu veux dire ». Ahuri, je leur ai répondu: « Laissez tomber. Je vais chez Mollat ».
On en pince aussi pour le peintre Valentin Perret.
Hurkhurkhurk
Moi, j’étais chez Mollat en 1976, et quand je leur eus demandé le bouquin « de l’inconvénient d’être né », on me pria derechef d’aller voir au département des bouquins de médecine universitaire, rayon obstétrique et gynéco. Connaissaient pas Cioran ? « On peut pas connaître tous les toubibs non plus », me rétorqua aimablement l’employé… Etaij tellement tordu en moi, mais perplexe en public, pris de timidité entre lard et cochon, que je n’insistai pas outre mesure. Je revins plus tard… Soupir.
Qu’est-ce que « un femme », Monsieur ou Madame « D. D. » ?
Vous étiez un petit jeune qui avait presque tout à apprendre, à l’époque.
En 76 il y a eu une belle canicule.
On peut se demander pourquoi, alors que d’autres, classés à droite , défendent la poésie aragonisante, d’autres , classés à gauche, rentrent dans le chou de Jacques Perret, coupable « d’idéologie rance « c’est à dire point à la mode. On signalera quand même que la dite « idéologie »tint la France durant mille ans avec quelques politiques de premier ordre . Je doute que la République, par les temps où nous vivons, en fasse autant…
Le voilà, MC !
Bon prosateur.
*
* *
Il pleut
A Dieppe, presque tous les jours, je vais jusqu’au bour de la jetée.
Ce jeudi, en revenant, depuis cinq minutes il pleut.
Je croise une jeune fille, qui a son téléphone portable devant la bouche. Elle dit : « Oh ! Quel temps de merde, putain ! ». A sa place, j’aurais dit sans doute : « Il pleut. »
un beau texte, et une belle photographie.
Cela parle d’une France si lointaine, comme si elle n’avait jamais existé, comme si elle s’était évaporée Etait-ce une belle France ? je ne sais que dire, mais il semblerait que oui, une France qui vivait encore dans l’honneur d’être une Nation. Comme je ne sais rien ni de cette France imaginaire, ni de Jacques Perret, je resterai là.
Les adages de la planète de Mr. Short
A la Sainte Brigitte patronne de l’Europe, Marc s’exclame : « le dinosaure tricolore, c’est moi ! »
Il pleut. A Dieppe, presque tous les jours, je vais jusqu’au bour de la jetée. Ce jeudi, en revenant, depuis cinq minutes il pleut.
Je croise une jeune fille, qui a son téléphone portable devant la bouche. Elle dit : « Oh ! Quel temps de merde, putain ! ». A sa place, j’aurais dit sans doute : « Il pleut. »
Patrice Charoulet dit: 23 juillet 2025 à 11h23
Les commentaires de Charoulet sont passionnants. Et quel homme admirable ! C’est le Marc-Aurèle du blog…
Obsolète le moderne Jacques Perret !
« Le latiniste Jacques Perret est connu en dehors du monde de la philologie classique pour l’invention du mot « ordinateur ». En 1955, à l’initiative de François Girard, un de ses anciens étudiants devenu responsable de la publicité chez IBM France et de Christian de Waldner, président d’IBM France, il propose le mot « ordinateur » comme équivalent de l’anglais computer. Le terme est retenu par IBM et rapidement adopté par le grand public. (wiki)
Merde, c’est pas la bon Jacques Perret !
J’ai indiqué à ma soeur et sa petite fille, en vacances chez moi, le bon plan pour entrer à Notre-Dame sans faire la queue.
Hier, vers midi, elles ont contourné les deux longues files d’attente et se sont dirigées vers une porte latérale, sans personne devant.
A l’entrée, elles ont demandé : « Pour la messe, par où peut-on passer ? »
« Allez-y ! », leur fut-il répondu, en les laissant entrer sans même un coup d’oeil à leur sac.
ça marche !
(messes à 8 h, 12 h et 18 h)
un femme ?… = sa meuf
Jazzi, entrer dans la cathédrale en mentant ne pose donc aucun problème ?
Mentir est un péché et celui-ci est aggravé par la sainteté du lieu et le prétexte mensonger de la Sainte Messe, renouvellement du sacrifice de NS Jésus-Christ.
C’est déloyal, Jazzi, ce « passe droit » ! Vous allez faire s’engorger les portes latérales de Notre-Dame !
Claudio Bahia ne pourra même pas y entrer avec son épouse lors de sa future visite touristique, car, toujours honnêtes, ils ne voulaient pas nécessairement assister aux Offices de 8, 12 et 18 heures.
ah oui, la RDL est bien d’accord avec le troll de D. (sévissant à 12.25). Ce n’est pas bien de mentir à l’approche d’un lieu saint. Même Donald Trump cessa d’y faire le pitre pour s’y recueillir humblement et faire amende honorable de ses nombreux pêchés.
Un bel écrivain, toujours tiré à quatre épingles.
Le Perret épinglé !
Faire d une sainte spécialiste es prophéties absconses la co-patronne de l’ Europe, c’etait peut etre de l’humour papal, Jean Langoncet…. Dinosauresquement. ( Il en faut!) MC
@ »Pourquoi « désormais » ? Il l’a toujours été. Mais il assume de faire le job… se disant bin qu’un jour, son peuple y donnera raison dans sa longue histoire mouvementée, même s’il doit être sévèrement puni par l’actuelle justice internationale des goyim.
J’ai pas juste, là… le punckt, hein ? »
tout à fait Simone !
d’ailleurs le chancelier allemand a dit comme toi qu’il faisait le sale boulot (dirty work) pour les autres (qui sont ces autres ?)
peut-être l’actuel chancelier allemand avait-il en tête la transformation de Gaza en nouveau ghetto de Varsovie ?
à l’époque de ce type dont parle passou des français se battaient pour défendre leur patrie, maintenant le bataillon Azov se bat à notre place pour défendre nos valeurs… changement d’époque.
Donner le mensonge en exemple éducatif à sa petite fille, c’est très bien.
Bravo. Cela aggravée encore davantage le péché commis. On est aux portes du précipice du péché mortel. Monsieur Court pourra vous le confirmer.
Et toi, Jazzi, tu t’en fais le héraut ?
Lorsque l’on évoque Blondin, on ne peut s’empêcher de penser au Tour de France! 🙂
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Je suis écœuré du mal présent partout
Les gens se sont habitués au mal et c’est tout juste s’ils ne sont pas prêts à présenter le vice comme vertu pour paraître astucieux devant le monde.
Beurk. Ça me dégoûte. Repentez-vous tant qu’il en est encore temps.
Au tout de taille de France, BLBG?
C’est un Perret de feu que Benjamin Perret, Paul Edel!
Merci de nous le rappeler.
Péret!
Qui est cette Simone, Puck ?
Celle d’intervaille ? Tu regardais aussi ? Moi j’adorais. Guy Lux est mort et c’est une grande perte.
Quant à Simone Garnier, elle a 94 ans.
Interville.
Moi j’ai donné un conseil exempt de tout péché: arriver avant 9 heures!
Et toc!
(il faut dire que j’avais aussi parlé de l’entrée pour la messe, mais pour y assister bien sûr!)
@ qui sont ces autres ? (13.26)
Simone… Veille ?…, en voiture Beauvoir !.
« Dirty work » ? Une notion sociologique forgée par Everett Hughes, jadis, aujourd’hui popularisée par le « sens commun » germanique qui s’y connait toujours en la matière. Et vous n’auriez pas crtu si bien dire, l’puncky-des-bons-tuyaux !…
Petit rappel de culturgé…, pour info.
file:///C:/Users/Utilisateur/Downloads/les-honnetes-gens-et-le-sale-boulot%20(4).pdf
J’avais un peu oublié Jacques Perret. Il a évidemment tout ma sympathie posthume et honte à ceux qui essayent de détourner l’attention de ce grand personnage au profit d’autres Perret…
Pas vrai JJJ? Il vous emmerde bien, vous ne pouvez même pas nier sa qualité de grand résistant, de vrai résistant, pour la France, 100% pour la France… vous voyez ce que je veux dire.
Oui Closer. Mais ce n’est pas pour autant qu’il convient de se justifier comme vous le faites sur ce blog.
C’est inconvenant.
@ un Perret de feu que Benjamin Perret (13.51 / Péret)
Exact…, il avait même les « rouilles encagées », le bougr’ !
Quant à l’Auguste, il s’est contenté de construire des édifices dans un style gothique industriel avec du bon gros béton armé, genre Théâtre des champs Elysées ou Palais d’Iéna. Etc.
Oui, je vois toujours ce que vous voulez dire (14.04). Et vous avez raison… Non, moij ne vous emmerde pas, j’ai au contraire pas mal de respect pour l’alacrité de votre intelligence libéralo conservatrice et vigilante. Il en faut, les gens en sont tellement dénués de nos jours, si vous voyez ce que jvoulions dire. Rachida Darty est présumée innocente. On ne le dira jamais assez sur cette chaîne toujours suspectée de déviationnisme gauchiste. Bàv,
Dati
Monsieur Charoulet, si votre pensée profonde est de dénoncer l’effroyable vulgarité de beaucoup de jeunes filles de notre époque, je vous comprends et vous soutiens parce que moi qui suis parfois obligé de prendre les transports en commun, je peux vous dire que ce que je vois et ce que j’entends, voire dans certains cas ce que je sens (avec mon odorat) est à pleurer. Nous vivons certainement les derniers instants de notre civilisation et que Macron soit à la tête de cette France décadente n’est pas un hasard mais un fait logique.
Heureusement tout le monde aura compris que D. D. ce n’est pas moi.
D’ailleurs mes initiales c’est D. de A.
D. d’A, pardon.
file:///C:/Users/Utilisateur/Downloads/les-honnetes-gens-et-le-sale-boulot%20(4).pdf
——–
Les gens ont tous compris que D. D., c’est J J-J, encore faudrait-il pouvoir le prouver par 9, ou 74 et 75… Les trolls ont de ces ruses, hein ?…
Ce que je voulais dire, Closer -ne le prenez pas mal-, c’est que comme ça ne convient pas, du coup c’est inconvenant. C’est tout. Sans plus.
En réalité, personne ne le connaissait mais tout se passe comme si la fachosphère, grande résistante sous Pétain le Pieux, découvrait soudain un grand homme, grand patriote depuis des temps immémoriaux, grand poète, grand iconique intransigeant sur ses valeurs.
Quant TU creuses un peu la bio, TU t’aperçois quand même que son catholicisme et son royalisme nationalistes avaient subi pas mal de variations et d’altérations. Pivot, épinglant le caporal, avait dû feindre l’étonnement, comme à son habitude. Wouarf.
Tout à l’heure je rentre chez moi après avoir fait des courses et j’entends sur France Musique (je laisse tjs la radio allumée quand je sors pour peu de temps) Christian Merlin expliquer pourquoi Boulez a habité Baden-Baden. D’abord parce qu’il y avait des amis dans la ville (il habitait dans le même immeuble qu’eux) et après, en résumé, parce que dans une telle petite ville il avait la paix qu’il n’aurait jamais eu à Paris, Vienne ou Berlin. Dans sa très grande maison de l’époque de Bismarck, qui avait un très grand jardin et était située à côté de la Forêt Noire, personne venait l’emmerder – ce que je comprends très bien.
Ce que je comprends mal ou pas du tout, c’est comme dans ces conditions idéales de travail et avec une oreille exceptionnelle comme la sienne, il n’a produit que du « bruit mal organisé » que certains optimistes considèrent comme de la musique (ceux qui ne sont pas d’accord avec moi qui se tapent, assis sur leurs canapés, les 46 minutes de son « Répons » et après on en parle).
Les Sagas musicales par Lionel Esparza
Pierre Boulez, une vie sur le ring 3/5 : Le chef
https://www.radiofrance.fr/francemusique/podcasts/les-sagas-musicales/episode-3-le-chef-4377853
le gros problème des conspirationnistes comme mézigue (je renvoie à la lecture de mon prochain excellent ouvrage « comment je suis devenu complotiste ») c’est que la réalité dépasse toujours l’imagination…
le journaliste Matt Taibbi explique dans une vidéo que de suite après l’élection de Trump en 2016 aucun média américain ne parlait d’ingérence russe, même le NY Times avait écrit un article avec un type de la CIA disant : pas d’ingérence russe dans l’élection.
jusqu’au 9 décembre 2016 : ce jour là (plutôt ce soir là parce que la réunion a débutté le soir et a duré presuqe tout la nuit) Obama réunit tous les officiels des renseignements : à la fin de cette réunion un communiqué dit « il y a eu une ingérence russe dans les élections ! »
tous les médias mainstream (NY Times, Washington Post, CNN, MSNBC, ABS News etc…) ont publié un article le même jour : le 9 décembre (donc avant le fin de la réunion où ils disent « il y a eu une ingérence de la Russe dans l’élection ».
à partir de là Obama virent toutes les personnes (DNI, CIA, FBI etc…) qui prétendent le contraire et ce discours devient le narratif officiel à partir duquel la procédure d’empeachment contre Trump va être lancée !
ce même narratif sur « l’ingérence russe » va être repris par tous les médias français et européens !
je veux dire tous les écrivains genre le Carré et tous les autres c’est tous des petits bras, des amateurs, des gros nuls face à la réalité !
on connaissait tous les liens entre le pouvoir et les médias, mais là, fomentez un coup d’état et un changement de régime aux US en 2017 exactement comme ils l’ont fait en Ukraine 3 ans plus tôt je veux dire c’est un truc grandiose !
on plus on retrouve les mêmes autour d’Obama que ceux qui ont fait le coup d’état à Kiev : Victoria Nuland et tous les autres ! tous les néocons : ils sont tous là !
sérieux littérairement parlant c’est une histoire grandiose !
Je préfère Leroy Merlin à Ionel Esfuerza sur FM, quand ils causent de Boulèze. Ils ont tous les deux compris que pour fabriquer du bruit, il fallait un minimum de silence auprès de la Forêt noire. Pour Heidegger, c’était un peu pareil.
Bàv.
Jamais de ma bie je n’ai été assez bête pour copier-coller un lien interne de mon disque dur dansbun commentaire. Donc ça ne peut pas être moi, mais bien JJJ. La démonstration est claire, nette, précise et limpide.
Dès le 9 décembre 2016, j’avais compris qu’Obama avait fomenté un complot contre Trump pour l’empêcher de ravir la place d’Hilary…
Et il vous fallu neuf ans pour vous en rendre compte, puncky ! C’est un brin ballot pour votre futur ouvrage (dédicassé par Jordan B.), non ?
Bàv,
Boulez était un très bon chef, il faut lui reconnaître ça. Et il connaissait très bien les musiciens, savait qui choisir et recruter selon les circonstances.
En effet ses compositions font fuir 99 % des gens. Le 1% restant disant apprécier étant composé ou de menteurs ou de détraqués débutants ou confirmés.
14.37, c’était la ruse suprême de D.D.
Tapez via Wiki sur les deux occurrences suivantes, et vous entrez dans la boîte de D d’A(urillac) :
——————–
Everett C. HUGHES
Cairn.info
https://shs.cairn.info › article › TRAV_024_0021 › pdf
* Cet article a été initialement publié sous le titre Good People and Dirty Work, in. Social Problems, vol. 10, no 1, p. 3-11, 1962. Il est publié ici avec l …
Taper également :
Good People and Dirty Work by Everett C. Hughes
jstor
https://www.jstor.org › stable
de EC Hughes · 1962 · Cité 1178 fois — I only want to close one easy way out of serious consideration of the problem of good people and dirty work, by demonstrating that the Germans were and are.
Bàv,
c’est vrai que le monde de ce cousin de Pierre Perret avait quelque chose de plus simple, presque plus naïf.
même si on a des types de gauche collabos et des types d’extrême droite résistants, et même si ces grands résistants vont ensuite torturé les algériens à la Gégène c’est quand même plus simple.
même si des gens d’extrême droite ont caché des juifs et que des socialistes les ont dénoncés je veux dire dans le fond ça reste simple.
par exemple si sur le blogapassou je parle d’une famille d’extrême droite qui a caché des juifs et qu’une famille de gauche les a dénoncés et qu’ils ont tous finis fusillés personne ne va m’insulter.
parce que les gens savent que le monde est complexe et que les hommes sont complexes et que tout est complexe.
par contre si je dis qu’Obama a tenté de faire un coup d’état en 2016 avec l’aide des néoconservateurs pour virer Trump là c’est différent.
ou bien si je dis que le conflit en Ukraine a démarré non pas à cause des russes mais à cause des anglo américains là c’est différent.
c’est différent dans le sens où pour l’Ukraine les choses ne doivent pas être complexes : il y a un méchant et un gentil, noir et blanc et c’est pas complexe !
comme quoi les choses sont complexes…
14.37, c’était la ruse suprême de D.D.
Tapez via Wiki sur les deux occurrences suivantes, et vous entrez dans la boîte de D d’A(urillac) :
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Everett C. HUGHES
Cairn.info
https://shs.cairn.info › article › TRAV_024_0021 › pdf
* Cet article a été initialement publié sous le titre Good People and Dirty Work, in. Social Problems, vol. 10, no 1, p. 3-11, 1962. Il est publié ici avec l …
Taper également :
Good People and Dirty Work by Everett C. Hughes
dans jstor.org › stable
de EC Hughes · 1962 · Cité 1178 fois — I only want to close one easy way out of serious consideration of the problem of good people and dirty work, by demonstrating that the Germans were and are.
Bàv,
@ »Et il vous fallu neuf ans pour vous en rendre compte, puncky ! C’est un brin ballot pour votre futur ouvrage (dédicassé par Jordan B.), non ? »
c’est qui ? le frère de Michael Jordan ? si vous le connaissez je veux bien qu’il le dédicace, dites-lui que j’adore le basket !
ça c’est une des astuces de Tchoupi : répondre à une question en tenant des propos insensés..
« Arrêt subit du «Soulier de satin» au Festival d’Avignon »
Non, ce n’est pas différent, c’est exactement pareil.
Les syllogismes de la complexité resteront toujours ancrés dans l’amertume de la simplicité, comme disait le fasciste roumain.
Bàv,
@ »Dès le 9 décembre 2016, j’avais compris qu’Obama avait fomenté un complot contre Trump pour l’empêcher de ravir la place d’Hilary…
Et il vous fallu neuf ans pour vous en rendre compte »
tu étais au courant ? sérieux ?
et tu sais ce qu’il risque ?
je veux dire faire un coup d’état aux Etats Unis c’est quoi la peine ?
tu dois savoir toi ?
si tu le savais et que t’as rien dit tu crois qu’ils peuvent te poursuivre pour complicité ?
Tchoupi, le Monténégrin, ne confondait point les réponses à de simples points de vue et affirmations gratuites. De surcroît, il ne confondait pas les chaussures de basket avec les paniers à salades. Il n’avait pas encore acquis le sens du non-sense et du gros burlesque en dépit d’un solipsisme porté à l’universalité. Bàv,
oui je savais, mais je me br… de son sort actuel. Il ne risque rien du tout, cela dit, et moij non plus, t’inquiète… T’es toujours trop émotif sur ces sujets d’actu dérivée. Ici on parle de Jacques Perret, pas de Jacques Prévert… Vu ?
Après Perret et Blondin, il y aura Nimier et Jacques Laurent!
Logique, non?
scoop : 3j savait depuis le début qu’il n’y a jamais eu d’ingérence russe dans les élections américaines en 2016…
pourquoi tu l’as gardé pour toi ? t’avais peur qu’on dise que t’es un complotiste ?
dans mon ouvrage « comment je suis devenu conspirationniste » je consacre un chapitre à l’histoire du conspirationnisme et j’explique à quelle époque c’est né et aussi à quelle époque ça a pris de l’essor et pourquoi…
et maintenant je vais être obligé de consacrer un chapitre aussi à 3j consacré aux complotistes qui ne disent pas aux autres ce qu’ils savent…
un complotiste taiseux c’est un type où tout se passe dans sa tête, putain je sens que ça va être le chapitre le plus compliqué à écrire…
3j tu veux pas m’aider ?
Puck, excuse-moi mais je suis obligé de te demander si tu sais quel jour on est.
Moi je regarde le Soulier satiné diffusé en quatre épisodes sur une chaine de télévision depuis la Comédie Française de l’an passé. Ca permet de souffler un brin et de passer quatre bonnes nuits, à l’abri du bouillard, dans son fauteuil. Les mecs d’Avignon, ils s’imaginaient sans doute que Ruf allait leur garantir un soleil de minuit. Remboursé, qu’ils ont dit !… Tous, des râleurs, ces parigots en croisière. Bande de … !
« Après Perret et Blondin, il y aura Nimier et Jacques Laurent! »
exact ! l’été, avec la canicule, c’est le moment où passou ose parler de ses amours interdits….
genre ah Nimier, Blondin et les autres hussards sur le toit, si vous saviez combien je vous aime et combien vous me manquez mes amours…
et après à l’automne passou redevient normal pour se remettre en condition de refiler le Goncourt à un type ou une meuf ou un trans politiquement correct…
@Après Perret et Blondin, il y aura Nimier et Jacques Laurent!
Logique, non?
Oui, mais n’oubliez pas qu’au commencement était Aragon (combien de divisions ?)
parce que les Blondin et les Nimier on les aime bien mais surtout en photo…
en peu comme ces anciens bistrots de St Germain devenus salons de thé pour vieilles touristes américaines où l’on voit accrochés au mur les photos en noir et blanc avec des artisans et des ouvrier qui venaient boire leur pinards le matin accoudés au zinc la gauloise aux lèvres avant d’aller au boulot : les vieilles américaines de Washington DC elles adorent.. ces photos
@ 3j tu veux pas m’aider ?
Non, non, j’ai déjà tout dit ce que j’avais à en dire durant la décennie 2010… il vous suffit de lire mon innombrable production scientifique à ce sujet sur les jstor.org et autres cairn.org, estimables banques de données, et de vous en inspirer pour écrire votre nouveau chapitre. Nous l’attendons tous avec impatience. On en Bàv d’avance.
3j ne mélangeons pas les torchons et les serviettes stp : toi t’as fait des trucs « sur » le conspirationnisme alors moi j’écris un live « de » conspirationniste !
je veux dire moi le conspirationnisme c’est comme l’âme éternelle chez Saint Augustin ! c’est du vécu !
Dans l’un de ses bouquins dédiés à ses amours littéraires (2004) et dans celui qui va paraître à la « rentrée » (2025), uniquement focalisé les Hussards, son éditeur n’hésite pas à le décrire lui-même comme tel ! Il dit :
« L’auteur qui prononce ces mots, écho du souvenir de grand lecteur qu’il est, on l’appellera par commodité un « hussard ». Hussard doit être entendu dans le sens que Bernard Franck prêta à Nimier-Laurent-Blondin. Quelqu’un qui ne croit ni à la République vertueuse, ni à la bonté naturelle de l’homme, ni à l’efficacité de la rhétorique protestataire mais à la toute-puissance de la littérature. Bref, l’une de ces têtes légères qui tiennent l’ironie frondeuse pour la première des vertus sociales, ou, si l’on veut, l’un de ces cœurs secs qui cultivent le mépris comme une sagesse roborative, ou encore, pour qu’on ait l’embarras du choix, l’un de ces dandies, qui se lassent comme on se révolte et qui pratiquent l’indifférence comme on éprouve un amour-passion ».
C’était assez bien vu… Mais attendons la suite, sur l’RDL, on devrait en apprendre un peu plus que sous la plume vespérale cultivée de notre hôte.
Pour le moment, maestro…
https://www.auventdesmots.fr/livre/9782914437417-a-hue-et-a-dia-carnet-de-lectures-d-un-nomade-sedentaire-philippe-pichon/
d’ailleurs l’exemple avec Saint Augustin est hyper bien trouvé !
le conspirationnisme c’est un cheminement intérieur.
on a plusieurs périodes :
– le Doute
– la Révélation
– l’Imprégnation
– la Transformation
– le Chemin de Croix
– le Sacrifice
– la Résurrection
etc….
15?26, ouij. Raison de plus pour ne pouvoir ni m’ingérer, ni vous aider. Votre entreprise, unique en son genre, doit rester totalement exempte de la moindre influence parasitaire de quiconque. Inattaquable. Pure et extra blanche. Bàv,
Déserts médicaux
Rituellement, chaque année je consultais un médecin spécialiste, à Dieppe, par précaution. Il a plié bagage. Il n’y a plus un seul médecin de sa spécialité dans ma (petite) ville.
J’ai tenté d’obtenir un RDV dans un rayon de 60km. En vain. A chaque fois, l’on m’ a demandé si
j’étais patient de ce médecin. J’ai répondu « Non ». L’on m’a dit que le médecin ne prenait pas de nouveau patient.
Un membre de ma famille qui était patient d’un médecin de cette spécialité à Rouen lui a écrit une lettre pour implorer un RDV pour son frère. Miracle ! Ce 23 juillet, coup de fil de mon frère. Le médecin spécialiste lui dit que je dois téléphoner à son secrétariat le 10 novembre 2025 pour obtenir un RDV début 2026.
Je suis un grand privilégié … dans mon désert médical. J’en ai conscience.
Les aventures de monsieur Mulot, français moyen. Socio-logirque !
Puck ? Le jour d’aujourd’hui qu’on est et aussi combien j’ai de doigts.
Et vite.
Dans le 1% je crois me souvenir qu’il y avait Chirac.
@Dinosauresquement. ( Il en faut!) MC
Mais de quoi donc ? De la biodiversité façon Spielberg du jurassique ?
Toujours quelqu’un à insulter:
« Tout y est : n’oublions pas un écrivain depuis longtemps oublié, porteur d’une idéologie vraiment rancie (…). »
Doit avoir toujours les mains moites, graisseuses,
– visqueuses
@Pablo, pour Boulez, j’avais plutôt entendu d’homosexualité (son domestique ou secrétaire).
Je n’écoute pas sa musique ( et peu de choses après 1950). Ce qui m’étonne surtout c’est qu’il ait pu dire que si Schubert n’avait pas existé l’histoire de la musique n’en serait pas changée, et autres propos du même tonneau.
Être obligé de révéler que je suis un Orlhac pour avoir la paix… je vous jure…
Chaloux, la Turangalila Symphonie c’est postérieur à 1950 et c’est tout de même pas mal! Surtout en salle. A vrai dire je ne l’ai jamais réécoutée enregistrée, peut-être de peur d’être déçu.
Autant pour moi, elle a été composée en 45/48, mais surtout jouée des années plus tard…
Bien d’accord, Closer, ça décoiffe. C’est de Messiaen,
En 1975 par l’Orchestre de Paris dirigé par Seiji Osawa…mais tu étais sans doute au berceau…
Schubert est pratiquement aussi important que Beethoven dans l’histoire de la musique. C’est surtout qu’il est né après lui et est mort bien plus jeune. Il nous manque la dimension d’un Schubert vieillissant survivant à Beethoven.
Tout simplement.
« Qui lit encore Jacques Perret (1901-1992) ? »
Moi !
Un chanteur navigateur à qui j’avais passé « Dans les forêts de Sibérie » de Tesson m’a dit essaye plutôt « Role de plaisance »
Vous avez raison D., cependant je serais plus prudent quant à la question « Schubert vieillissant » : il est mort et ce qu’il a fait, est fait, et c’est amplement suffisant — pensez ai terrible et voilé à Andante con moto de la huitième. Il aurait certainement été intéressant de le suivre dans sa vieillesse, mais on pourrait en dire autant de Mozart. En revanche, le vieillissement et la comparaison avec LvB n’est pas un critère intéressant puisque LvB est mort à 57 ans, certes pas jeune mais pas vieux non plus.
ai terrible > AU terrible
Closer, Messiaen, quelle bonne idée. Je vais ré-explorer… et on en reparle.
Souvenez-vous aussi, D., de la Grande Symphonie, dont Schumann dit : « Elle a agi sur nous (lui et Mendelssohn) comme aucune autre symphonie après celles de Beethoven. »
Oui je me souviens.
Ah !… je viens de comprendre le jeu de mots dans le titre du billet… LEVALLOIS PERRET. Ouarf !
@ closer (19.17)… au temps pour moi !…, au temps pourmoij.
Bàv et BN @ Bilhoreau.
Autant, jamais au temps! Je ne céderai pas là dessus!
Il était temps!
Ce qui m’étonne surtout c’est qu’il ait pu dire que si Schubert n’avait pas existé l’histoire de la musique n’en serait pas changée, et autres propos du même tonneau.
Chaloux dit: 23 juillet 2025 à 18h20
C’est ce que je ne lui pardonne pas. Ce con méprisait Schubert, mais aussi Sibelius ou Chostakovitch et même Messiaen, pour ne pas parler du jazz. Si encore il avait été un compositeur génial, on aurait pu lui pardonner. Mais il a été incapable d’écrire une seule mélodie, il n’a écrit que des bruits inécoutables. C’était un prétentieux.
Il a fait dépenser à la France des milliards avec son IRCAM qui n’a pas produit une seule oeuvre valable. Et parce que Benoît Duteurtre a écrit la vérité sur sa nullité dans son « Requiem pour une avant-garde », ses amis l’ont traité de révisionniste nazi et l’on comparé à Faurisson.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Beno%C3%AEt_Duteurtre
Bref, un fumiste qui a su bien se vendre en profitant du nombre infini d’imbéciles qu’il y a dans ce monde, comme dit la Bible.
la Turangalila Symphonie […] c’est tout de même pas mal! Surtout en salle.
closer dit: 23 juillet 2025 à 19h15
Pour Boulez, c’était de la « musique de bordel ». Il faut quand même être très con pour aller dire cela.
«…Christian Merlin expliquer pourquoi Boulez a habité Baden-Baden…»
Je crois savoir que Boulez était sourd et qu’il fallait souvent lui répéter deux fois la même chose, d’où son installation à Baden-Baden.
PLAN, RATAPLAN…
Les cerveaux de la France Eternelle, forcément dans l’opposition politique la plus noble, ont réussi leur coup.
L’avenir se devine, radieux, à la portée de tous !
Nous allons passer, demain, de « LIBERTE EGALITE FRATERNITE » – un slogan débile qui a perdu tout son sens – à « BLOQUONS TOUT ! ».
Merci mon dieu !
J’ai habité Levallois-Perret, 13 rue Rivay, il y a plus de vingt-cinq ans, Il y avait une belle école en meulière en face, elle a été remplacée par un immeuble. Tout un symbole.
@Pablo. En tout cas, l’histoire de la musique n’aurait pas été changée si Boulez n’avait existé. Un bémol, cependant, c’est un très bon chef. Son Pelleas, par exemple, est une grande réussite.
On ne parle plus beaucoup de Marcel Landowski, je vais en écouter pendant mes petites vacances. C’est assez subtil, il me semble.
(J’aime bien Jean Françaix).
Et Martinu?
Il y a dans Boulez quelque chose du syndrome du pape du dodécaphonisme. On ne lui demande pas d’être un bon musicien, mais d’incarner une sorte de modernité. Une discussion avec Éric Tanguy à propos d’une de ses premiers œuvres retirée du commerce est très révélatrice à cet égard. comme je lui demandais comment il avait pu écrire ça , il me repondit « c’est mon devoir d’ Ircam! Et je l’ai retiré du commerce ! »
Le Boulez lapidaire et un brin con c’était le côté ridicule de la culture française des années 1950, avec ses diktats, ses excommunications, etc. – ça se fait, ça ne se fait pas —. Je trouve particulièrement appréciable qu’il n’ait pas excommunié les Chansons populaires de Berio.
Il est finalement passé à la direction avec des résultats admirables, comme peut en témoigner quiconque était à Bayreuth pour le Ring du centenaire.
Les Chansons populaires ni Folk Songs (de Berio)
En 1947,Jacques Perret a raté de peu le Goncourt, qui a été attribué cette année là à Jean-Louis Curtis pour « les Forêts de la nuit ». Roger Nimier était furieux que Perret ne reçoive pas le Goncourt avec son « Caporal épinglé » .Je crois que Perret a obtenu l’interallié.
L’oeuf à la coque. Désormais, il m’arrive de manger un oeuf à la coque au petit-déjeuner. Ca n’a pas toujours été le cas,loin s’en faut, et même,l’oeuf à la coque a participé à la prise de conscience,imparfaite et diffuse, des différences sociales.
Les transclasses,comme Annie Ernaux ou Didier Eribon, ont témoigné de cette prise de conscience, parfois brutale,parfois douloureuse, provoquant toujours l’inquiétude…Et une autrice comme Rose Lamy raconte la colère qui s’est emparée d’elle,ce jour-là. Il s’agissait, pour elle, de… Joe Dassin ! (pendant une soirée, elle a pris pleinement conscience de la violence symbolique déployée dans le mépris de classe, puisque ceux qui,tard dans la nuit, se trémoussaient sur « les petits pains au chocolat », exprimaient qu’il s’agissait là de « plaisir coupable »)…
Moi,pendant mon enfance, la prise de conscience que j’appartenais à un milieu social déterminé était beaucoup plus confuse, éparse, non analysée. Mais elle pointait quand même,notamment à cause de l’oeuf à la coque…
Où, dans quels films américains, dans quelle adaptation du Poirot d’Agatha Christie, dans quels livres avais-je vu des oeufs à la coque servis au petit- déjeuner ? Et pourquoi en avais-je conclu qu’il s’agissait là d’une pratique de riches,de personnes raffinées, si différentes de ma famille ?
Etait-ce parce que,chez nous, il n’était pas question d’oeuf à la coque ? Quand quatre enfants (nés sur cinq ans…) s’asseoient à la table d’un artisan menuisier, et qu’il faut à la fois se dépêcher pour partir à l’heure à l’école, et en même temps se nourrir suffisamment,c’est bol de café au lait et tartines à la margarine, et adieu pour les mouillettes, point final…
Il y a eu aussi le court de tennis, en contrebas du stade, qui a fait gamberger mes dix ans. Je sentais,rien qu’à regarder les joueurs et surtout les joueuses, que je n’étais pas « comme eux »,qu’ils étaient élancés, élégants,que cela ne leur posait pas de problème de porter du blanc, etc. Encore aujourd’hui,quand je regarde Roland Garros à la télévision, ce court de tennis de mon enfance rôde derrière l’écran…
Ah et puis, tant que j’y suis. Moi,le billet du jour de notre hôte m’inquiète. Cette célébration des auteurs d’avant-hier (les »hussards », non ?) classés les plus « à droite » du monde littéraire, de quelle obscure nostalgie est-elle issue, et que signifie-t-elle exactement ? Le regret d’un temps où l’on pouvait avoir les idées les plus rétrogrades possibles, mais … Avec classe ? Pierre Assouline souhaite-t-il revenir à ce bon vieux temps ?
Alors que tout vacille autour de nous, et que le néo-fascisme a le pied dans l’entrebâillement de la porte, qu’est-ce que cette nostalgie-là signifie ? Que les milieux littéraires d’aujourd’hui, l’élite intellectuelle parisienne, se réfugient dans le passé, en admettant « de facto » qu’il n’y a plus de quoi se battre, qu’on entérine le fait, et qu’on approuve peut-être,même, les victoires du Rassemblement National,en se contentant de soupirer « tout de même,l’extrême-droite n’est plus ce qu’elle était. Avant, on pouvait se permettre de mettre de l’élégance dans l’expression d’idées… (qui puent néanmoins,ndlr)).
Et ça, ça me fait peur, parce que, depuis quelques années,allons,disons que ça coïncide avec l’arrivée de Macron au pouvoir,j’ai l’impression (ce n’est qu’une opinion, mais peut-être un jour sera-t-elle étayée historiquement ?) que c’est un phénomène sournois qui gagne partout, dans les medias par exemple,et qui envahit la Rdl, si différente aujourd’hui de ce qu’elle était au début.Une sorte de « jeter d’éponge », ou de « droitisation » des idées…
Et ça,ça me fait peur.
Oui, il a eu l’interallié. C’est avec ce prix qu’il s’est acheté ce voilier de huit mètres avec lequel il aimait naviguer avec son ami Collier, graveur. Une traversée en solitaire sur le tape-cul, évoquée par Soleil vert. Plaisance…
Collot
Solitaire mais à deux. Écrit avec une langue savoureuse, riche pleine d’humour et de questions de lexique, l’origine des mots. Surtout pas une évocation d’une traversée de plaisance, presque un livre de philosophie. Ce commandant du voilier ressemble fort au caporal épinglé.
Un grand écrivain. Des choix politiques discutables, n’aimant ni De Gaulle, ni Malraux. Ayant tout accepter pour défendre son fils impliqué avec l’OAS dans la mort d’un gendarme. Un homme de main. Lui, l’écrivain ? Baroudeur et voyageur. Ayant fait mille métiers, s’étant lié à des groupes peu recommandables. Mais le lire est un délice tant il joue avec la langue en amoureux de la littérature. Encore un choix de Pierre Assouline qui a at voir avec la faille, la faute, le faux pas. Intéressantes ces chroniques que personne n’ose écrire …
accepté – à
https://www.gallimard.fr/catalogue/role-de-plaisance/9782070104413
De l’un à l’autre… Vacillement.
Il n’est pas étonnant que Clopine ait découvert les oeufs (à la coque ou autrement) chez Agatha Christie pour le breakfast, puisque les anglais mangent toujours des oeufs au petit déjeuner et les français presque jamais, qq soit leur classe sociale!
Dutilleux, Poulenc, ce n’est pas mal non plus.
, Allons, Clopine, vous regarde, Roland Garris à la télévision , c’est un progrès! Au fait, qui peut se dire qu’il est légitime de fréquenter un cours de tennis ? Pas vous, pas moi. Vu le temps de cuisson modéré de l’œuf à la coque, on est surpris de vos conclusions. Nous étions deux, et pourtant nous y avions droit de temps en temps. Quand aux goûts de Pierre Assouline, ils vont à ceux qui écrivent bien indépendamment de leur appartenance politique, et c’est très bien. Pensez-vous que la littérature digne de ce nom ne soit que de gauche? Mais « l’ Esprit souffle où il veut! » A titre d’exemple, vous voyez-vous travaillant sur Corneille sans avoir lu « Plaisir à Corneille « ( circa 1930) de Robert Brasillach?! Vous y perdriez, et moi aussi.Alors pourquoi pas Perret? Quant au «Neo- Fascisme qui met le pied dans l’entrebaillement de la porte « ( il vaut le coup parfois de respecter vos métaphores ), je trouve qu’on fait beaucoup usage de l’appellation d’ « extrême droite « pour désigner une qui soit sûre d’elle même, depuis François Fillon. C’est un peu le « tarte à la crème! « de notre époque. Au fait , parle-t-on semblablement « d’extrême gauche « à propos de Matthieu Pigasse, votre Bollore? Non, on préfère ne rien en dire, d’ailleurs , ce qui fournit à Delphine Ernotte un bon prétexte pour taper sur C New, qui , comme dans la Fable , devient « Ce pelé, ce galeux, d’où venait tout le mal ». Je n’en abuse pas, mais j’estime qu’un pluralisme des idées est nécessaire à la télévision, au rebours de Madame Ernotte, qui a dit ( propos enregistré, hélas pour elle!) que sa mission n’était «pas de montrer la France, mais la France telle qu’elle devrait être « C’est à dire une sombre succursale PS LFI, sans place pour les autres . Tel n’a pas toujours été le cas . On se souvient d’un débat Alain Peyrefitte-Georges Marchais , et d’autres. C’est cela que la télévision actuelle a fait disparaître , ou a transformé au mieux en bétaillère à candidats. ( plus de dix sur le plateau, je crois) . Si ce n’ était pas mieux avant, c’était au moins plus équitable . Voilà chère Clopine, ce que j’avais à vous dire. Je vous salue, MC ´.
L’épisode suivant (5) : avoir raison avec Jean Giono. Son rapport au réel dans l’écriture.
ALTERATIONS IDELOGIQUES SUR LES RESEAUX SOCIAUX
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1 – (PA / billet : Perret était de ces rares écrivains qui s’était fait une idée de son pays et s’y était tenu contre tous les vents et nombre de marées (…) ; il ne cessait pas d’aimer sa patrie quand elle cessait d’être aimable. Perret était pour le trône et l’autel, tranquillement, sans agressivité, mais fermement (…). Catholique et monarchiste de toujours et pour toujours…
2 – (JJJ, 9.21 résumant à sa façon, le propos en sous-off de PA : « Tout y est : n’oublions pas un écrivain depuis longtemps oublié, porteur d’une idéologie vraiment rancie, quoiqu’estimable ; s’en excuser pour dire que durant l’été, on a bien le droit de se laisser aller à exhumer de vieux fumets ; et surtout, raconter une anecdote : « je l’ai connu chez lui à la fin de sa vie » (sic)
3 – MC (10.47 Jacques Perret, coupable « d’idéologie rance « c’est à dire point à la mode. On signalera quand même que la dite « idéologie » tint la France durant mille ans avec quelques politiques de premier ordre. Sic
4 – Closer (14.04/ Pas vrai JJJ ? Il vous emmerde bien, vous ne pouvez même pas nier sa qualité de grand résistant, de vrai résistant, pour la France, 100 % pour la France… Sic
5 – « Toujours quelqu’un à insulter, les mains visqueuses »… Sic
DECRYPTONS LE FILM
1 – « porteur d’une idéologie vraiment rancie quoiqu’estimable »… (déduit de la métaphore de l’aristocratie et du goupillon, des valeurs de tout temps « progressistes », mais, pour compenser le cas échéant, patriote engagé dans le bon camp de la Résistance)…
2 – « coupable d’idéologie rancie, c’est-à-dire point à la mode… Bref, « coupable » dans les yeux d’un gauchiste, mais « innocent » dans les yeux d’un fasciste ? – On commence à dérailler grave… Spéculation déraillante et insane, au temps pour lui.
3 – « Il vous emmerde bien »…-> « Toujours quelqu’un à insulter, les mains visqueuses » (etc.)
Voilà qu’est arrivée la meute habituelle des larbins, « défenseurs haineux » librement déchainés à partir du premier fixateur idéologique de la bonne ligne bleue de défense Horizon…
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RETOUR AUX EAUX CALMES (avec notre hôte),… des portugais, des femmes et des enfants d’abord…, et puis, de passionnants morceaux de vie vécus dans le 75 et le 92.
(CB / 11.39 – une France qui vivait encore dans l’honneur d’être une Nation. Comme je ne sais rien ni de cette France imaginaire, ni de Jacques Perret, je resterai là (sic).
(RPTV 1 / Perret était l’auteur préféré de mon beau-père (sic) – Allons bon !
(RPTV 2 / J’ai habité Levallois-Perret, 13 rue Rivay, (sic) – Allons bon !
(PE / Roger Nimier était furieux que Perret ne reçoive pas le Goncourt avec son « Caporal épinglé» (sic) – Allons bon ! Source ?
(CT / Le regret d’un temps où l’on pouvait avoir les idées les plus rétrogrades possibles, mais … avec classe ? Pierre Assouline souhaite-t-il revenir à ce bon vieux temps ? (sic) Allons bon. Qui sait ?
(CP / Un grand écrivain. Des choix politiques discutables (sic). Allons bon, mange pas de pain de mie, de la synthèse et du consensus, l’en faut bin… 🙂
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Passons à autre chose de moins controversé, SVP : Boulèze ? Neta ? Charoulet ? Poutine ? Trump ? Rachilda ? Non… Du cinéma plutôt, RPMV.
Hier soir, « Dangerous animal », le thriller le plus nul qu’on ait jamais vu depuis les Dents de la mer… Encensé par Le Monde, le Canard et Télérama, pourtant. Décidément, toutes les planètes s’alignent sur les Convulsionnaires de St Médard et de Marie Alacoque !
Bàv à tte la sympathique bande herdéliqu sur les bords. Gloups 🙂
très beau résumé !!! t’as bien raison il faut savoir résumer pour bien légiférer !
Paraitrait que c la journée mondiale des cousinades (Bing). Ils ont mis sur la photo du jour, une famille de langrayens bruns, blottis sur une branche, pour nous rappeler cette tendresse fraternelle. Ces oiseaux aiment vivre ensemble, se suivre, se percher côte à côte. Un peu comme nous, en somme, quand on retrouve nos cousins autour d’un repas, d’une blague ou d’un simple souvenir.
C’est un détail, mais c’est très emmerdant de faire des oeufs à la coque pour une famille nombreuse, à cause des 3 minutes ou 3 minutes et demi suivant les goûts de chacun!
le truc c’est qu’y’a comme une déconnexion entre ces catégories bien distinctes là on a ça, là ça, là ça etc…
et une réalité actuelle totalement irrationnelle.
je veux dire aujourd’hui les discours politiques et médiatiques en France sont complètement à côté de leurs pompes.
entre les idées et les valeurs que nous prétendons défendre d’un côté et nos actes d’un autre côté c’est le grand écart complet !
je veux dire les gens sont totalement perdus dans leur tête.
que ce soit la faillite économique, l’Ukraine, Gaza, Trump, Poutine, les chinois, les sanctions économiques, l’entrée dans un monde multipolaire alors que nous étions habitués à n’avoir qu’un pole sud et nord.
c’est la confusion la plus totale !
le seul truc qu’on puisse faire aujourd’hui c’est fuir cette confusion actuelle pour se réfugier dans les livres ou dans la vie de ce grand père de Pierre Perret où le monde nous parait plus simple.
il faut que les individus se réfugient dans des mondes simples du passé pour échapper à l’irrationnalité actuelle pour ne pas sombrer complet dans la folie.
du coup je suis d’accord à 100% avec ta façon de légiférer !!!
@ »C’est un détail, mais c’est très emmerdant de faire des oeufs à la coque pour une famille nombreuse, à cause des 3 minutes ou 3 minutes et demi suivant les goûts de chacun! »
c’est tout sauf un détail !
au contraire c’est un des mystères profonds de l’existence.
Vous avez aussi « Le Sillage » sur l’île d’Oléron…en plus de Coutenceau…Quel veinard ce JJJ!
Tout ça vient de David Abiker et de son guide rouge quotidien.
Je ne vous le fais pas dire puck! j’ai peur que CT n’ait pas assez approfondi ce sujet capital.
OAS signifie « Organisation de l’Armée Secrète ».
les mecs c’était déjà à l’époque des complotistes.
aujourd’hui si on devait faire un sondage dans l’armée, je suis sûr qu’on verrait que plus de 90% des officiers pensent que Macron devrait être interné dans un hôpital psy : pour eux la seule menace existentielle pour la France c’est pas Poutine c’est Macron.
ça c’est un truc qui devrait être médiatisé parce que ça rassurerait les français qui depuis l’arrivée de Macron on multiplié par 1.000 leur consommation d’anxiolytiques.
Environ 95% de la grande culture est à droite. Le reste, c’est, par exemple, Aragon…
Personnellement, je ne ferais pas l’économie de Barrès, de Léon Daudet, de Jacques Bainville, de Funck-Brentano et de beaucoup d’autres. Et même de certains textes de Maurras.
@ 8.31 J’ignore si les gens sont perdus dans leur tête de David Aboulker. Dans celle du Punckt, indubitablement. Il faut alors se réfugier dans les livres complotistes et dans le sien, profondément vécu. Ce qui permet de ne pas affronter soi-même de dissonance cognitive trop grave pour soi-même avec nos neurones-reflets qui s’en batlek.
@ CT / La haute bourgeoisie est liée à l’oeuf à la coque par le biais de son usage exclusif de l’instrument du coupe-coquille en argent, tenu le petit doigt en l’air et la bouche en cul de poule, un instrument totalement méconnu des grossiers milieux ruraux et populaires de naguère.
Aujourd’hui, grâce à la démocratie participative et l’augmentation du cheptel des poules de batterie, tout le monde en trouve chez Lidl et peut manger comme la haute bourgeoisie qui mouille.
https://www.amazon.fr/s?k=coupe+coquille+d%27oeuf&adgrpid=115925902548&hvadid=702223310325&hvdev=c&hvexpln=0&hvlocphy=9055095&hvnetw=g&hvocijid=12953299344187928232–&hvqmt=e&hvrand=12953299344187928232&hvtargid=kwd-949955090788&hydadcr=13341_2405458&mcid=a2969acd20fe3d1c85602f178dd5bc25&tag=googhydr0a8-21&ref=pd_sl_874cgiyznr_e
Bàv,
JJJ,
Non-seulement vous prélevez, mais écourtée les phrases et inventez leur fin à votre guise. C’est vraiment moche. Vous vous prenez pour qui ? Le juge impartial des honnêtés ? Commencez par faire le tri dans vos revirements…
écourtez
Un mixte de Jacques Dufilho et de François Mauriac plutôt, sur cette photo, non ? (en popu madré et/ou bourgeois ranci).
Chère Christiane, restez chrétienne et calme, voyons ! La RDL ne vous veut aucun mal, du moins son représentant le plus impartial. Bàv,
@ (suite). Pour ce qui vous concerne, il y avait une émoticône…
—-
(CP / Un grand écrivain. Des choix politiques discutables (sic). Allons bon, mange pas de pain de mie, de la synthèse et du consensus, l’en faut bin… 🙂
Vous ne savez pas y lire de l’humour ? Je vous ai toujours dit que vous étiez trop susceptible et soupe au lait. Pire que moij. Allons, bonj, oubliez toussa, voyons !
Abiker, pas Aboulker JJJ! Faites un peu attention…
Il faudrait renverser la proposition. Il y a une droite (extrême) populaire, qui déplaît à la bourgeoisie, (mais les anticapitalistes lui font,eux,horreur !) et n’est pas estampillée « culturellement légitime).Et il y a une droite élitiste,bourgeoise,qui se pare de la « grande culture » comme prétexte pour affirmer sa supériorité… J’ai longtemps cru, et le diable sait que je peux encore y croire,idéaliste que je suis, que la « grande culture » transcende son origine sociale et peut s’adresser à tous. Et qu’in fine,ce qu’on admire le plus dans les chefs d’oeuvre du passé, ce sont les idéaux humanistes et progressistes qui y surgissent, parfois « à l’insu du plein gré » de leurs auteurs.Ainsi, prenons Céline, le médecin Destouches :malgré lui,l’humanité, à travers le travail sur le langage pseudo-populaire qu’il emploie, sourd du Voyage au bout de la nuit, et à mon sens c’est pour cela que ce livre vaudra toujours d’être lu. Par contre, les pamphlets antisémites, où toute valeur morale a disparu, sont à mon sens à exclure définitivement de la « grande culture ». Ce que j’en dis,hein, n’est qu’une opinion.
Oui,c’est ça qui est rigolo.J’ai investi l’humble et économique oeuf à la coque d’une « valeur de classe » qu’il n’avait certes pas…Je pense aussi à ces films américains, souvent la scène se passe sur la Riviera ou la côte d’Azur, et où on voit des Cary Grant se servir élégamment d’une cuillère d’argent pour tapoter le petit bout de l’oeuf, sur une belle terrasse entourée de fleurs…. Mais que ma classe sociale d’origine fasse partie des dominées,ça, par contre, pas de doute – et j’acquiesce pleinement aux propos de Rose Lamy, auxquels je vous renvoie, ô erdéliens !
Dufilho en effet il y a qq chose…Mauriac non, celui ci avait l’air trop tourmenté, le péché, la grâce, la rédemption et tout le toutim…
Tiens, au fait, peut-être que quelqu’un.e.d’entre vous peut me rendre service.J’ai un souvenir littéraire, une lecture dans Balzac,je pense, qui décrit le déjeuner de deux vieux avares (un frère et sa soeur, je crois), qui se partagent minutieusement un oeuf à la coque, « en surveillant la plus parfaite égalité dans la longueur des mouillettes ». Je cite de mémoire, mais j’aimerais bien retrouver la référence exacte de ce passage, pour rafraîchir mon souvenir…
« Environ 95% de la grande culture est à droite. »
coool ! et comme depuis les années 80 la gauche a pris le contrôle de la culture en procédant à épuration de tout ce qui concernait la droite, la patrie et la souveraineté nationale, pour aller dans le sens d’un humanisme globaliste forcément on a eu droit à la Clezio, Gaudé, Enard, Modiano, Quignard, Carrère etc….
le plus drôle est que cette gauche est devenue hyper belliciste et c’est au nom de leur humanisme et autres valeurs à la c.n que cette gauche a zigouillé 1 million d’ukrainiens pour rien sinon pour enrichir les potes à Zelinski, qu’ils sont devenus les meilleurs amis des nostalgiques ukrainiens de la division das Reich.
je pense que dans 100 ans ce sera hyper dangereux pour les historiens de se pencher sur l’histoire actuelle les mecs il vont tous mourir de rire avant de terminer leur livre.
9.13 Volontairement… Pas compris qui est cette personne et ce qu’elle f… sur l’ile d’Oléron. Can you explain ? Joël Dicker ? Bàv
9.22 tu l’as dans la peau (d’chagrin), léon, léon, léon 😉 Bàv,
Et nous voilàj repartis dans les délires paranos des années quarante …
(la Clezio, Gaudé, Enard, Modiano, Quignard, Carrère… la grande culture belliciste de gauche ?, sic)
Qui diable y résisterait ?
en fait ces gauche actuelle hyper belliciste c’est le résultat d’une gauche livrée à elle-même durant 40 ans.
après avoir procédé à un nettoyage ethnique de tout ce qui s’opposait à leurs valeurs humanistes dans leur pays ils ont décidé de partir en croisade et là ils sont tombés sur un clone de Dostoïevski du coup ils se sont dit on va prendre notre armée de néo nazis pour le dégommer comme des gamins qui jouent au soldat de plomb….
« Qui diable y résisterait ? »
ce n’est pas la question d’y résister c’est de respecter la philosophie du Yin et du Yang pour permettre au monde de conserver un équilibre naturel.
sache petit scarabée que dès que tu agis de telle sorte de déséquilibrer cet ordre naturel alors tu entres le monde des ténèbres avec des monstres et des zombies qui sortent des tombes et tout un tas de trucvs de ce genre.
le problème est que cette gauche était tellement arrogante qu’elle a préféré erratique tout ce qui ne lui ressemblait pas.
tu me suis petit scarabée ?
@ »Et nous voilàj repartis dans les délires paranos des années quarante … »
voilà ça c’est le refrain qu’on nous sert depuis 40 ans et tu vois où ça nous a menés ?
tes années elles ont ressurgi quand des militaires qui portaient sur le corps des tatouages de la division das Reich sont venus s’entrainer à quelques kms d’Oradour sur Glane.
ça c’est le pire insulte qu’on pouvait faire à la mémoire de ces gens qui ont été massacrés dans ce village.
il n’y a qu’une élue locale qui osé le dire et elle s’est fait traitée de pro russe !
à partir de là tes années 40 tu peux de les carrer bien profond là où tu sais espèce de sale hypocrite !
Je ne vois pas de quel Balzac il s’agit mais je note le coup d’oeil génial de celui-ci avec cette histoire de longueur de mouillettes!
J’ai commencé récemment « Les Mémoires de deux jeunes mariées ». Vous noterez le féminin pluriel. Il ne s’agit pas d’un couple mais de deux amies qui viennent de sortir du couvent pour se marier et qui s’écrivent. L’une est ambitieuse, brillante, blonde et court les bals à Paris dans la perspective d’un « beau mariage ». L’autre est provinciale, d’une famille désargentée et se résigne à épouser un noble plus âgé pour rendre service à son père.
Beaucoup d’entre vous ont sans doute lu ce Balzac. Je voulais seulement souligner l’admiration du lecteur devant la facilité, je devrais plutôt écrire le génie, avec lequel ce bourgeois provincial grassouillet au visage ingrat se glisse dans la peau de ces deux jeunes femmes aussi dissemblables que possible. C’est hallucinant de vérité!
Et c’est comme cela dans toute La Comédie Humaine.
Pardon pour ces banalités.
En 1947,Jacques Perret a raté de peu le Goncourt, qui a été attribué cette année là à Jean-Louis Curtis pour « les Forêts de la nuit ». Roger Nimier était furieux que Perret ne reçoive pas le Goncourt avec son « Caporal épinglé » .Je crois que Perret a obtenu l’interallié.
Sinon en 1947 étaient publiés : Boris Vian « L’Ecume des jours », Albert Camus « La Peste », Raymond Queneau « Exercices de style ». Et Jean Genet donnait « Les Bonnes » au théâtre.
La littérature c’est le contraire de Rachida Dati. Il y a beaucoup de travail. Et ça rapporte pas grand chose.
Clopine, vous avez trop peu de références culturelles pour qu’on puisse vous répondre.
Moi j’aimerais bien savoir en vertu de quel manichéisme ce qui est a droite est nécessairement « fasciste »,( JJJ, passant toute mesure!) et ce qui est à gauche, nécessairement angélique ou positif, il me semble? Pour ne citer que ce fait, que c’est une chambre de gauche rad-soc qui donna les pleins pouvoirs à Petain….
Balzac ?
Dans « Eugénie Grandet », le cousin Charles se régale d’un œuf à la coque :
“Oh ! des œufs frais, dit Charles, qui semblable aux gens habitués au luxe ne pensait déjà plus à son perdreau. Mais c’est délicieux, si vous aviez du beurre ?”
Un autre œuf à la coque dans « Maître Cornélius ». Là c’est le repas de deux personnes.
Il n’y a rien de bon à attendre de ceux qui confondent les illustrateurs avec les peintres. Il en va de même pour les compositeurs. Boulez, qui était avant tout un théoricien, a tenté une démarche très française : rationaliser.
Nous avons tous étudié la généralisation des paramètres qu’il a préconisé, ce que même les Viennois n’avaient pas jugé approprié car eux ils ont fondé leur réflexion sur la seule équivalence harmonique des douze demi-tons et l’élargissement connexe de la dissonance (émancipation de la dissonance), en d’autres termes, créer une séquence de 12 sons, ce qui équivaut à choisir une tonalité, et est compréhensible puisque même le Stravinsky tardif avait accepté cette technique — sans que la qualité de son travail en souffre —. Mais, selon Boulez nous devrions créer aussi des séquences rythmiques et dynamiques ce qui inhibe le processus créatif, car si la série d’intervalles (séquence) est l’équivalent de la tonalité, une séquence de durées et de dynamiques ne sont pas l’équivalente à la respiration, donc de la construction de la phrase.
Pour faire court, Boulez a tenté de rationaliser la création de la phrase, il y a derrière le mythe de l’artiste scientifique avec la catastrophe qui va avec, mais il fallait bien que quelqu’un essaie, et c’est précisément pour cette raison qu’on l’a écouté.
«… transclasses… »
Voilà une autre connerie. Il faut être un vrai idiot pour transformer tout en clichés pseudo-politiques.
Par exemple, on ne fait plus jamais l’éloge de Dutourd, à cause de l’image déplorable que lui infligeait sa collaboration au Figaro. Mais c’est un très bon écrivain, avec une pointe de tradition anglaise. Au bon beurre, c’est hilarant.
Donc, dans cette nouvelle de Balzac, Maître Cornelius, un vieil avare fait condamner par Louis XI ses serviteurs qu’il accuse de vol alors que c’est lui-même, somnambule qui se lève la nuit et se vole !
vers la fin de la nouvelle, on peut lire page 53 :
« De l’autre côté de cette cheminée, était une table de noyer à pieds contournés, sur laquelle se trouvait un œuf dans une assiette, et dix ou douze petites mouillettes dures et sèches, coupées avec une studieuse parcimonie. (…)
Le prétendu Philippe Goulenoire vit alors le frère et la sœur trempant dans cet œuf, à tour de rôle, avec gravité, mais avec la même précision que les soldats mettent à plonger en temps égaux la cuiller dans la gamelle, leurs mouillettes respectives qu’ils teignaient à peine, afin de combiner la durée de l’œuf avec le nombre de mouillettes. Ce manège se faisait en silence. Tout en mangeant… »
Closer, (9h53), oui, je pense la même chose. ces écrivains sont surprenants !
Boulez, en prononçant le z en plus, c’est plutôt le nom d’un éboueur, d’un mécanicien, d’un charcutier, d’un plombier ou même d’un escroc.
Pas du tout d’un compositeur ou d’un musicien.
Les noms sont prédestinés, ils ne mentent pas.
Boulez, compositeur ?!
Imposteur oui.
Sur les mémoires de deux jeunes mariées, un excellent téléfilm avec Fanny Ardant sur le site de l’Ina.
Dutourd Au bon beurre, je souscris (De Gaulle aussi…)
@Renato, intéressant.
@ »Moi j’aimerais bien savoir en vertu de quel manichéisme ce qui est a droite est nécessairement « fasciste »,( JJJ, passant toute mesure!) et ce qui est à gauche, nécessairement angélique ou positif, il me semble? »
la réponse à votre question est, me semble-t-il, évidente.
si vous prenez par exemple un thème comme le « souverainisme », avec une droite souverainiste et une gauche mondialiste, sur ce thème il ne peut y avoir d’arrangement ou de tolérance, du coup on n’a pas d’autres choix que de diaboliser pour dégommer l’adversaire.
d’autant que sur la question question de la souveraineté la France a atteient un point de non retour, la France ne s’appartient plus, c’est pour ça que quand Macron va en Chine il emmène avec lui Ursula : Macron est un « young global leader » donc un produit de Davos, médiatiquement fabriqué par des oligarques globalistes, dans leurs médias tout ce qui n’est pas globaliste est fasciste ! c’est quasi automatique.
sauf que ce n’est pas la seule irrationalité des discours politiques.
La Gigi se prend pour la juge du blog !
Et tous les autres lui crient à la face : « Ta gueule, la purge ! ».
@ Cl…, Un peu d’Henri Vincenot, en moins plouc bin sûr, peut-être, non ?…
https://www.google.com/search?q=henri+vincenot&rlz=1C1GCEA_enFR1067FR1067&oq=henri+vincenot&gs_lcrp=EgZjaHJvbWUqCggAEAAY4wIYgAQyCggAEAAY4wIYgAQyBwgBEC4YgAQyBwgCEC4YgAQyBwgDEAAYgAQyBwgEEAAYgAQyBwgFEC4YgAQyBwgGEAAYgAQyBwgHEAAYgAQyDQgIEC4YrwEYxwEYgAQyBwgJEAAYgATSAQk0NjgxajBqMTWoAgiwAgHxBQ1DD104B5JS&sourceid=chrome&ie=UTF-8#vhid=odZWxCExPILroM&vssid=_wBCCaKbaJdadkdUPtqOP8Ak_48
@ al’MC/PR – rimeur : le simple « plaisir » d’opposer gauchiste à fasciste. On ne voit toujours pas en quoi vous vous sentez concerné, mon bon… Un tropisme paranoïde mal placé du bon côté, peut-être ? On ne parle pas des extrêmes qui se rejoignent comme dans un cercle vicieux que l’on caresserait, car ces deux idéologies ne sont évidemment pas réductibles à l’arc droite/gauche, par effet de régression logistique… Vous mélangez tout à suffisance, mon bon père, avec l’appui des rad-soc à la Chambre… Toujours et tout le temps, comme les punckt de service qui n’auraient pas suffisamment de références culturelles en terme d’histoire des idées politiques pour qu’on prenne le temps de leur répondre (sic, « parole du jour », du grand tard littéraire, par l’hilarant Jean Dutourd, l’oeil au bon beurre noir 😉
Je sais bien que ce n’est pas de votre faute, MC… tout le monde a ses biais de distorsion enracinés, certain.es, bien plus que d’autres. Et c’est heureux, en démocratie participative virtuelle, quand ils peuvent s’exprimer et être scrupuleusement analysés par les observateurs consciencieux, neutres, et parfois bienveillants.
Bàv,
11.14, Ta gueule, keupu ?… c’est le troll d’ Henriette Puncky74 qui s’adresse à Jissé75, ou quoi ?
tu croij que l’maestri s’intéresse à jeandutourd@wanadoo.org, Wedo ? (11.06) /// Moij l’imaginais avoir avoir un brin plus de klasse à Kolmar, quand même !
Très bien, les œufs au petit déjeuner.
Prendre des bios ou des bleu-blanc-coeur. 2 minimum. Pas de bacon, par contre. Mauvais pour la santé, le bacon. Accompagner de quelques noix.
En parlant de « klasse », à un certain moment, il serait opportun commencer à faire de la politique et pas seulement jouer avec des clichés. Oui, déjà seulement le concept de « transclasse » est une connerie conçue dans le but de geler la société, de la fixer dans une position utile à quelque opportuniste politique. Un héritage de l’esprit des années 50 ?
La Gigi est un agent au service de la fachosphère socialiste, une mafia qui ne se cache même plus. Une vermine parmi d’autres.
@Renato, je vous comprends sur l’âge de Schubert qui avait fait ce qu’il avait à faire. Evidemment, on ne saura jamais. Pour Beethoven aussi, l’oeuvre semble former une trajectoire qui aboutit et où la fin de sa vie semble–pardon–advenir au bon moment. Mais que sait-on? Ses esquisses post-quatuor semblent pointer dans une direction différente de la trajectoire précédente, plus joyeuse. On l’associe tellement au piano, mais il est connu que cet instrument ne le satisfaisait plus. Je regardais ce matin les dernières sonates, et il me semble que l’orientation vers les cordes, et à l’écart de la percussion du piano, y est déjà esquissée, par exemple dans l’Arioso dolente (Op 110), avec toutes ces notes qui marquent le temps et mais qui ne répètent pas la double croche précédente, se contentant de la maintenir, comme le ferait un violon. Encore plus d’exemple dns l’Arietta (Op. 111). Par ailleurs, on connait aussi la boutade de Gould, Mozart? il est mort trop tard.
Je comprends mal ce « syndrome du pape du dodécaphonisme » MC, car le langage dodécaphonique était devenu un matériau solidement établi dans l’histoire de la musique, avec des caractéristiques précises, bien avant que Boulez ne s’y intéresse ; et il représentait déjà pour Stravinsky l’un des nombreux langages qui pouvaient être employés dans la dimension qu’on pourrait considérer comme « néoclassique ».
D’ailleurs, les compositeurs que Stravinsky étudia avec le plus d’intérêt n’étaient pas Schoenberg ou Berg, mais Webern, c’est-à-dire le musicien qui n’avait pas simplement appliqué la méthode dodécaphonique de Schoenberg, mais s’en était inspiré pour une forme d’écriture élaborée et historiquement riche qui est devenue un chapitre à part entière en parlant de sérialité dans la seconde moitié du XXe.
Ces dernières sonates,.. je repense à ce que disait Natia Boulanger: Beethoven, on y revient toujours comme dans un lit qu’on connait bien.
Evoquons plutôt des « transfuges de champs » chez certains d’entre ceux qui, avec la distance suffisante, en ont observé la praxis de l’intérieur de leur mentor. Laissons tomber les « transfuges de classe », un brin tombés en désuétude (?), semblerait-il, au profit des « transclasses »… Chez une femme qui pense sur elle-même et théorise un brin… Quelle horreur, RM et MC !
https://www.google.com/search?q=chantal+jaquet+quand+on+peut+on+veut&rlz=1C1GCEA_enFR1067FR1067&oq=chantal+jacquet&gs_lcrp=EgZjaHJvbWUqCQgDEAAYChiABDIGCAAQRRg5MgkIARAuGAoYgAQyCQgCEAAYChiABDIJCAMQABgKGIAEMgkIBBAAGAoYgAQyCQgFEAAYChiABDIJCAYQABgKGIAEMgkIBxAAGAoYgAQyCggIEAAYChgWGB7SAQoxNDM1OWowajE1qAIIsAIB8QVivUmK1UnKHw&sourceid=chrome&ie=UTF-8#fpstate=ive&vld=cid:85576bd0,vid:x2tj3CE2qQE,st:0
Quand on peut, on veut ?… pas vrai, CT ?…
Donc, plutôt que de « syndrome du pape du dodécaphonisme » je parlerais de « syndrome du pape du sérialisme intégrale » — sans oublier le fait que déjà Messiaen avait tenté une application de la série à tous les paramètres.
Comme dit, « geler la société, la fixer dans une position utile à quelque opportuniste politique ».
@ le concept de « transclasse » est une connerie conçue dans le but de geler la société, etc, etc…
(RM)
Voilà Punckt, un nouvel exemple de complotisme pour nourrir votre introduction… Elle émane de chez qui on ne se serait pas vraiment attendu. Bilan : faut jamais s’étonner de rien sur cette chaine, en provenance de Colmar ou des trolls qui y pullulent, comme partout ailleurs, il est vrai.
Bàv,
@ Natia Boulanger (sic)… On croit comprendre qui était cette boulangère… Une grande artiste pétrissant son piano, hein ?… On y revient toujours comme dans un lit qu’on connait bien, et dont on n’a jamais lavé les draps flétris (sic), hein bétove ?! 😉
@ »@ le concept de « transclasse » est une connerie conçue dans le but de geler la société, etc, etc…
(RM)
Voilà Punckt, un nouvel exemple de complotisme pour nourrir votre introduction… »
non les complotistes ne prennent pas le problème sous cet angle ce qui leur permet d’aller encore plus loin sans s’éloigner du champ marxien ou bourdesien.
en fait tout est histoire de langage, donc il faut bien comprendre l’évolution du langage politique dans nos sociétés durant ces dernières décennies.
en fait ça a commencé quand les socialistes ont commencé à se soumettre aux lois du capitalisme dans les années 80, et là ils ont commencé à déplacer le concepts de « classe » à de « droits d’individus » en les regroupant sous différentes formes : immigrés, homos, femmes etc…
le résultat c’est que déjà là on ne parlait plus des droits des prolétaires, mais de droit des femmes, des homos, des immigrés etc.. sans prendre en compte leur appartenance sociale ex : une femme bourgeoise était rangée dans la même catégorie qu’un femme de ménage ou une ouvrière.
ce moment correspond à la prise en main du politique par les intellectuels, ce phénomène est inhérent à la problématique marxiste dès le départ, Marx lui même avait écrit que ses idées seraient portées de façon plus efficaces par les intellectuels que par les ouvriers, d’où le dévoiement de la pensée marxiste : limite même la révolution bolchévique est une révolution portée par des intellectuels sur le dos des prolétaires qui font en faire les frais.
ça c’est le pont de départ.
si tu regardes le langage aujourd’hui on oppose les populistes qui sont des fachos aux « vrais » démocrates.
en fait si on regarde ce qu’il se cache derrière ce vocabulaire utilisé par les médias on voit quoi ?
les « populistes » sont pour la plupart des types qui font passer l’intérêt national (donc l’intérêt de leur peuple) en premier.
alors que ce qui se clament « vrais » démocrates sont en vérité des élitistes qui font passer l’intérêt d’une élite, en fait une poignée d’oligarques avant les intérêts de leur peuple.
c’est exactement le cas avec Macron : si tu compares l’évolution de la richesse depuis 2016 dans les classes populaires à celle des élites oligarchiques tu vois que la première chute alors que la seconde a vu sa richesse au départ conséquente multiplié par 4 au minimum.
c’est logique puisque Macron a ét placé là par les oligarques dans ce seul but : celui de défendre leurs intérêts, ce qu’il a fait à merveille.
c’est le cas Macron en France, mais c’est aussi le cas de tous les globalistes mis en place par Davos !
je veux dire si on se retrouve avec un chancelier allemand qui était responsable Europe de Blackrock il faudrait être hyper naïf pour penser que c’est un hasard, naïf ou ignorant cad ne pas savoir ce qu’est Blackrock !
on comprend alors pourquoi tous ces types se tapent complet de l’intérêt national et des intérêt de leur peuple, de tous les peuples, limite même de l’intérêt du peuple ukrainien ! on voit bien que Merz ou Macron s’en tape de sacrifier tous les ukrainiens pour que leurs employeurs puissent récupérer les richesses de pays : l’Ukraine c’est pour eux un conflit de type colonialiste : c’est un pays avec des richesses naturelles ? on va spolier ces richesses qui à sacrifier les ukrainiens jusqu’au dernier ! un peu comme ce qui s’est passé en 14-18.
tu vois 3j, c’est juste une affaire de langage et comprendre ce qu’il se cache derrière les mots comme le mot valise « complotiste » inventé par les médias à la solde cette caste.
Ce manque d’autocritique de la part de la gauche persiste, cela doit être une conséquence d’un sociologisme d’emprunt.
La scène avec les œufs dans Honoré de Balzac se trouve-je crois ,à vérifier – dans « Eugénie Grandet », épopée de l’avarice chez un tonnelier de Saumur quand Charles, l’amoureux, invité , se lève tard et vient déjeuner .Pendant la matinée la cuisinière et Eugénie ont réussi à garnir la table de manière moins austère que d’habitude , avec des fruits, et des œufs qu’un voisin leur a donné. .Eugénie est glacée d’effroi à l’idée que son père , quand il entrera dans la pièce, découvre qu’il y a une telle abondance sur la table, car pour lui c ’est une horrible dépense. La scène dans mon souvenir, est vraiment une réussite de Balzac. On sent la cuisinière et la jeune fille en plein effroi dans l’attente de la réaction du tyran. Et quand Charles annonce au vieux Grandet que son père est mort, qu’il est désormais seul, le vieux ne témoigne d’aucun sentiment de compassion à l’annonce de cette mort mais est horrifié en calculant que ce garçon amoureux est sans doute pauvre et sans héritage. A noter que dans « La Rabouilleuse » (un des plus beaux Balzac) , à Issoudun, il y a un monstre d’avarice et de lubricité , le bonhomme Rouget. Là encore il y a plusieurs histoires avec des œufs, une recette d’omelette et comment la faire légère ; on également une blague , des rigolos ont remplacé des œufs frais par des œufs en plâtre chez le préfet. Enfin je note que pour Balzac, il y a une région où il place ses plus beaux monstres d’avarice , entre Bourges, Issoudun et Saumur.
@ Punckt, le mot valise « complotiste » inventé par les médias à la solde cette caste (sic). Pourquoi alors en user à tout bout de champ, à « trite pédagogique » ? Est-ce par manque de rigueur, duplicité, idiosyncrasie ou croyance en l’imbecillité foncière des erdéliens appartenant tou.tes à une fraction plutôt paupérise de la classe de la petite et moyenne bourgeoisie ?
@ Punckt, pourquoi ne pas troquer votre vision de l’oligarchie (de gauche et de droite) enrichie par des procédés mafieux, par le terme de « nouvelle classe dominante » (dotée de tous les capitaux économiques liés et accumulés par le fait d’une prédation capitaliste débridée et encouragée par les deux lois d’airain : « si je veux je peux » et « pas vu, pas pris ») ? Laquelle classe EST objectivement composée de la bourgeoisie libérale traditionnelle associée à cette oligarchie qui ne poursuivent au fond que la dégense de leurs intérêts privés et autres privilèges ?
Vous dites que : « les « populistes » (de droite et de gauche, NDLR ?) sont pour la plupart des « types qui font passer l’intérêt national (NDLR : donc l’intérêt de leur peuple) en premier ». C’est évidemment totalement absurde, mais faisons comme si vous aviez raison et qu’il y avait une part de vérité là dedans. Pourquoi ne pas alors évoquer une classe grandissante de pauvre néo-prolétarisée, la classe dominée par l’autre, définie supra ?
Vous resteriez ainsi dans les catégories d’une certaine orthodoxie néo-marxiste qui semble vous tenir toujours à coeur, sans avoir besoin de mobiliser des idéologies ultra libertariennes, bellicistes ou pacifistes, ou des doctrines autoritaires, toutes In-susceptibles d' »incarner le bien commun » dans les faits et dans les luttes.
Puisque vous chérissez l’exactitude des mots et des concepts, pourriez-vous nous donner in fine à appréhender ce qu’est pour vous la défense populaire du « bien commun », (en dehors de la somme d’intérêts catégoriels des minorités de pauvres différemment opprimées qui les habiterait communément, et sans recourir pour autant à une vision étroite et datée de la notion de « Nation » fermée).
Merci de m’éclairer si possible, sans botter en touche, comme à votre habitude. Voyez, j’essaie de faire moi-même des efforts pour aller vers vous. Cela dit, aucune obligation vôtre, comme je dis toujours. Hein ? Bàv, keupu (le verlan de punckt, je croisj).
Je sais, Renato. Cette papauté est typiquement française. Et comme on ignore ou analyse mal ce qui se fait ailleurs, les moutons suivent. JJJ, c’est facile de jouer au sociologue. Il n’empêche que votre formule était blessante, donnant à croire qu’il n’y avait pas d’autre possibilité. Je celle-là. Christiane vous l’a dit, Paul Edel un autre jour, et moi-même maintenant, cela fait tout de même du monde.Le passage sur les rad-soc évoque le nuage de la seiche qui s’enfuit. Pour l’œil de Balzac, Gozlan montre qu’il est excellent dans le romanesque, et nul dans la réalité. C ´ est l’escalier oublié lors de la construction des Jardies, mais c’est aussi une interminable promenade dans Paris avecGozlan, où Balzac tombe en arrêt devant un écriteau : Z Marcas. C ´est le déclic qui va l’amener à écrire le roman de ce titre. Et la promenade n’a servi qu’à ça… Bien à vous. MC. PS Sur Balzac et Gozlan, lire « Balzac en Pantoufles ». Il est Marseillais, mais n’exagère pas…
@ RM, (13.21) décidément vous me décevez de plus en plus avec vos jugements gratuits, je ne dis pas ineptes, mais bel et bien dépourvus de sens. No pb, Bàv.
Si vous n’aimez ni les transclasses ni les transgenres « de gauche », n’en dégouttez pas les autres, c’est le minimum de ce que j’oserai demander à votre compréhension de l’art « de droite ».
Bàv, no pb. — et basta, for me.
Eh bien, j’ai déçu le professeur-censeur de ces lieux, j’ai obtenu un résultat.
@ Il n’empêche que votre formule était blessante
Si vous imaginez que je sois insensible aux blessures que vous infligez à vos ennemi.es juré.s sous des formes en général plutôt sucrées que salées !… Désolé, si je vous ai heurté, ainsi que CP ou PE ????!!!! (ah bon ?)… Comme le disait, à tort, un de mes profs sociologues de droite assumée qui haïssait Bourdieu…: « Moi, vous savez, les blessures symboliques, elles ne m’auront jamais fait autant de mal au crâne que les blessures physiques ».
Evidemment, son point de vue pouvait se défendre. Il connaissait pas mal son Choupi… Car, de fait, la socio reste toujours un « sport de combat » (comme L. Wacquant le racontait à PB, quand celui-là faisait de « l’observation participante » sur les rings de Harlem).
Bàv, cher.
JJJ, c’est facile de jouer au sociologue (RM).
Non pas vraiment, on ne se départit pas si facilement de ses anciens réflexes professionnels, même si on essaie le plus possibles. E tnotez que je n’emplois pas le terme d’habitus que vous avez vous-ême trouvé chez de Certeau… Et icite, ce n’est pas toujours commode. Et chacun défend les lectures qui l’ont nourri, ce qui est somme tout bien normal et participe au « bien commun »… Evidemment, sans les invectives fusant de toutes parts (et auxquelles je participe volontiers, pas méchantes, mais apparemment blessantes – notez que je n’arrête pas de faire mon autocritique), ce serait mieux. Voilàj. Bàv.
***nb / Professeur-censeur ? Bof.
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