de Pierre Assouline

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La République des livres
Le voilà, Perret !

Le voilà, Perret !

Qui lit encore Jacques Perret (1901-1992) ? Une poignée de nostalgiques, et quand bien même, cela suffirait à maintenir vivant cet écrivain si français disparu en 1992. Mais ne vous méprenez pas : ces lecteurs-là ne regrettent pas tant une époque qu’une certaine manière de s’en sortir avec les mots, de nouer la langue commune à la langue classique pour la faire sourire. Cela a donné des récits (Le Caporal épinglé porté à l’écran par Jean Renoir), des romans (Le Vent dans les voiles, Les Biffins de Gonesse, Mutinerie à bord), des chroniques (Objets perdus), des souvenirs (Raisons de famille) réédités en format de poche chez Folio, et un Bande à part qui fut couronné du prix  Interallié  1951, cérémonie à laquelle l’auteur arriva en retard, ce qui lui valut d’être accueilli par son complice Antoine Blondin sur un tonitruant : « Le voilà, Perret ! ». Parmi les plus attachants et les plus méconnus, Dans la musette du caporal (126 pages, 15 euros, Le Dilettante, 2011), qui rassemble sept textes jusqu’alors dispersés dans différentes revues qui les publièrent entre 1945 et 1964. L’armée, la guerre, le camp. Et au-delà de cette ligne d’horizon, ce qui dépasse l’homme et le pousse plus loin que lui-même : la fraternité des clandestins, le champ d’honneur, l’amour de la patrie et, comme il dirait, autres valeurs qui ne plus parlent qu’aux dinosaures tricolores.

Car Jacques Perret était de ces rares écrivains qui s’était fait une idée de son pays et s’y était tenu contre tous les vents et nombre de marées ; ses nombreux articles des années 50 et 60 dans Aspects de la France, Arts, Combat et Itinéraires en témoignent. Il ne cessait pas d’aimer sa patrie quand elle cessait d’être aimable. Perret était pour le trône et l’autel, tranquillement, sans agressivité, mais fermement, ainsi qu’il le rappela devant l’assistance médusée dans les tous premiers temps d’Apostrophes. Catholique et monarchiste de toujours et pour toujours. Ce qui ne l’empêcha pas, juste après sa quatrième tentative d’évasion réussie du stalag, de prendre le maquis et de rejoindre aussitôt l’ORA (Organisation de Résistance de l’Armée) tenue par des officiers de carrière pas très communistes. La moindre des choses pour celui qui se présente comme « Français, c’est à dire contribuable et mobilisable ». Il choisit la mitraillette car il ne croit qu’à la guerre à portée d’injures, et que les porte-parole sont rarement les porte-fusils. Maquisard non par idéologie mais par pure et instinctive réaction d’honneur : comme il est des circonstances où il serait déshonorant de ne pas s’engager, il n’a même pas réfléchi tant cela lui paraissait naturel.

Porté par un même élan, en pleine guerre d’Algérie, il prit fait et cause pour son fils, un parachutiste OAS de 24 ans qui risquait gros pour avoir voulu supprimer un ennemi de l’intérieur. Cela lui valut quatre condamnations pour offense au chef de l’Etat (le général, par lui surnommé « célèbre diplodocque aléatoire ») et le retrait de sa médaille militaire. La mosaïque de ces articles aux allures de nouvelles reflète bien son image de réfractaire, franc-tieur et marginal. En prime, on trouve quelques curiosités, comme les pages de « Scarlett derrière les barbelés », où l’ancien prisonnier de guerre rend hommage à Margaret Mitchell pour son Autant en emporte le vent : grâce à ce roman, tout le camp fut pris de scarlettine :

 « L’ombre de cette fille émouvante nous suivait partout, elle nous parlait, nous encourageait, nous versait l’espoir et nous rendait la fierté. Les sentinelles devenaient les carpetbaggers, la faim, la misère et l’amour de Scarlett étaient les nôtres, la France était le Sud, et nous faisions le coup de feu avec le général Lee pour sauver l’honneur d’une société qui fut la nôtre, son idéal, ses fanfreluches et sa foi. Bénie soit Scarlett qui nous a susurré sous l’œil des barbares la merveilleuse histoire d’une civilisation dont nous voici les fragiles et derniers champions (…) Scarlett, agent secret de la civilisation dans les barbelés, nous a dit : « Soyez sudistes ! »

Rarement un roman populaire aura eu droit à une telle reconnaissance, en prise directe non avec ses qualités littéraires ou artistiques mais avec son cœur battant et son âme. Deux autres textes rapportent avec finesse et émotion le pèlerinage de Perret sur ses lieux de captivité en Allemagne, huit ans après la guerre. « Pour Ramos », éloge du maquisard inconnu et petit traité de fraternité, est tout aussi vibrant, dans sa manière, toute de pudeur et de discrétion. Mais le plus personnel de ces récits, et le plus inoubliable, celui qui ouvre le recueil, n’est pas consacré à la seconde guerre mondiale mais à la précédente : « La mort de mon grand frère » nous transporte dans la France d’avant où l’on comprenait « quelle institution miraculeuse était la famille où sans être d’accord sur rien on peut s’embrasser à propos de tout (…) Sur Dreyfus, déchirons-nous, mais sur Fachoda, holà ! ».

Si une nostalgie perce dans ces pages bouleversantes, c’est bien celle d’une harmonie perdue. De son propre aveu, dans la sienne, on cultivait depuis 1870 l’amour de la patrie comme « un sentiment dramatique, obligatoire et satisfaisant ». Avec le culte primitif de l’honneur, il convient (lorsqu’il publie ce texte dans la Revue des deux mondes, en 1964) que ce sont là des traits de mœurs tombés en suspicion et désuétude. Qu’en dirait-on aujourd’hui… En août 1914, Jacques Perret a 13 ans. Il voit son père et son frère partir à la guerre. Le premier est fait prisonnier ; quant au second, tireur, il savait que tout boutefeu doit s’attendre à des retours de flamme. Les casquapointes le lui ont rappelé cruellement. Leur mère se replia dignement « dans les larmes et sous les armes » ; écrasée de chagrin, elle n’en continua pas moins jusqu’au bout à « surveiller la France en veillant son enfant », s’abîmant dans la désolation jusqu’à ce qu’elle fut recrue de jours. Les lignes rapportant le voyage du père et du frère avec des déterreurs de cadavres, sur le champ de bataille, dans une Picardie transformée en « plaine figée dans son apocalypse », forment une page d’anthologie. Dans ce In memoriam comme dans ses récits de mer, il écrit si bien le français qu’on se demande parfois dans quelle langue il écrit.

Jacques Perret était un homme contre, un homme du refus. Rien de ce qui était français ne lui était étranger. Folliculaire de la réaction, écrivain du transcourant « plume Sergent-Major », styliste hors-pair qui buvait avec soin afin d’éviter tout faux-pli dans le jugement, il eut la faiblesse de ne jamais dire non à l’aventure et au voyage. Il tenait la littérature pour un art d’agrément qui aurait pris tournure de gagne-pain. Il aimait Aymé et aussi Bloy, Blondin, Conrad, Dos Passos; il en tenait pour le duc d’Anjou et la dimension sacrificielle de la messe selon saint Pie V. J’avais été à sa rencontre à la fin de ses jours, dans son appartement près du Jardin des Plantes où il cachait son bonheur d’être Français. Il avait quelque chose du Jacques Dufilho de Milady et du Crabe-tambour, les traits comme les idées, mais en moins âpre, plus doux. Dans sa chambre, il y avait deux cadres : dans l’un, le grand Turenne ; dans l’autre, son frère ainé Louis, tué à 21 ans dans la Somme en 1916.

Je me suis hâté de vous glisser deux mots sur Jacques Perret car nous avançons dans un monde où il n’y aura bientôt plus personne à qui parler de Jacques Perret. Une prochaine fois, je vous parlerais d’un autre Monsieur Jadis, un certain Antoine Blondin. C’est l’été, non ?

(« Jacques Perret » photo Sophie Bassouls)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire, Littérature de langue française.

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1 404 Réponses pour Le voilà, Perret !

Chaloux dit: 27 juillet 2025 à 8h08

Moi aussi, je m’apprécie, et je me comprends parfaitement.

J’m’en vas au marché.

D. dit: 27 juillet 2025 à 8h10

Clopine. La vie éternelle est commencée dès notre venue au monde par la Grâce de Dieu et par rien d’autre.
Libres, mais connaissant le bien et le mal à la différence des êtres animaux plus simples, nous faisons ce que nous voulons de notre reconnaissance et de notre amour envers Dieu. Ainsi nous sommes d’abord notre propre juge. C’est Clopine qui juge et jugera Clopine avant que Dieu ne consente à la juger.

Chaloux dit: 27 juillet 2025 à 8h12

« En termes vulgaires ».

Parole d’experte.

Pardonnez-moi mon Dieu, j’ai encore révolutionné l’Ehpad!

Hurkhurkhurk !

D. dit: 27 juillet 2025 à 8h15

Une chose est certaine : il ne sera plus toléré à terme que les saints et les saintes,les justes qui se tiennent heureux dans la lumière aimante de Dieu et n’ont d’autre désir que Sa louange soient perturbés voire empêchés par des âmes trop bas descendues.

MC dit: 27 juillet 2025 à 8h16

Chaloux vous illustrez merveilleusement ce que vient de dire Clopine. Malheureusement, comme vous la trouvez à priori «  idiote » , vous ne vous en apercevez pas…. MC

closer dit: 27 juillet 2025 à 8h22

Les fameux patous qui protègent les troupeaux sont efficaces mais ils peuvent être dangereux pour les promeneurs par exemple car ils sont dressés pour repousser quiconque s’approche du troupeau. Il faut aussi pouvoir se les payer.
Je me souviens du récit atroce d’un éleveur qui avait retrouver une vache agonisante parce qu’un loup avait commencé à la dévorer par le ventre sans la tuer. Ils peuvent faire ça avec de gros animaux, cheval, âne…Rien que d’écrire ça me donne envie d’exterminer toute une horde de ces sales bestioles qui ont terrorisé les humains pendant des siècles.

D. dit: 27 juillet 2025 à 8h24

Oui il y a des 1ère classe, des 2èmes classes, des 3èles et même des 666èmes dans le long train de la vie éternelle. Les billets ne s’achètent pas. Nous nous classons nous-même par ce que nous pensons, disons et faisons à l’égard de Dieu et de son prochain.
Chacun à sa place et si les derniers wagons pèsent trop lourds, sont trop bruyants et infects alors ils seront laissés.

Evangile de Jésus-Christ selon saint Jean, ch. 15

01 Moi, je suis la vraie vigne, et mon Père est le vigneron.

02 Tout sarment qui est en moi, mais qui ne porte pas de fruit, mon Père l’enlève ; tout sarment qui porte du fruit, il le purifie en le taillant, pour qu’il en porte davantage.

03 Mais vous, déjà vous voici purifiés grâce à la parole que je vous ai dite.

04 Demeurez en moi, comme moi en vous. De même que le sarment ne peut pas porter de fruit par lui-même s’il ne demeure pas sur la vigne, de même vous non plus, si vous ne demeurez pas en moi.

05 Moi, je suis la vigne, et vous, les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure, celui-là porte beaucoup de fruit, car, en dehors de moi, vous ne pouvez rien faire.

06 Si quelqu’un ne demeure pas en moi, il est, comme le sarment, jeté dehors, et il se dessèche. Les sarments secs, on les ramasse, on les jette au feu, et ils brûlent.

07 Si vous demeurez en moi, et que mes paroles demeurent en vous, demandez tout ce que vous voulez, et cela se réalisera pour vous.

08 Ce qui fait la gloire de mon Père, c’est que vous portiez beaucoup de fruit et que vous soyez pour moi des disciples.

09 Comme le Père m’a aimé, moi aussi je vous ai aimés. Demeurez dans mon amour.

10 Si vous gardez mes commandements, vous demeurerez dans mon amour, comme moi, j’ai gardé les commandements de mon Père, et je demeure dans son amour.

11 Je vous ai dit cela pour que ma joie soit en vous, et que votre joie soit parfaite.

12 Mon commandement, le voici : Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés.

13 Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu’on aime.

14 Vous êtes mes amis si vous faites ce que je vous commande.

15 Je ne vous appelle plus serviteurs, car le serviteur ne sait pas ce que fait son maître ; je vous appelle mes amis, car tout ce que j’ai entendu de mon Père, je vous l’ai fait connaître.

16 Ce n’est pas vous qui m’avez choisi, c’est moi qui vous ai choisis et établis, afin que vous alliez, que vous portiez du fruit, et que votre fruit demeure. Alors, tout ce que vous demanderez au Père en mon nom, il vous le donnera.

17 Voici ce que je vous commande : c’est de vous aimer les uns les autres.

18 Si le monde a de la haine contre vous, sachez qu’il en a eu d’abord contre moi.

19 Si vous apparteniez au monde, le monde aimerait ce qui est à lui. Mais vous n’appartenez pas au monde, puisque je vous ai choisis en vous prenant dans le monde ; voilà pourquoi le monde a de la haine contre vous.

20 Rappelez-vous la parole que je vous ai dite : un serviteur n’est pas plus grand que son maître. Si l’on m’a persécuté, on vous persécutera, vous aussi. Si l’on a gardé ma parole, on gardera aussi la vôtre.

21 Les gens vous traiteront ainsi à cause de mon nom, parce qu’ils ne connaissent pas Celui qui m’a envoyé.

22 Si je n’étais pas venu, si je ne leur avais pas parlé, ils n’auraient pas de péché ; mais à présent ils sont sans excuse pour leur péché.

23 Celui qui a de la haine contre moi a de la haine aussi contre mon Père.

24 Si je n’avais pas fait parmi eux ces œuvres que personne d’autre n’a faites, ils n’auraient pas de péché. Mais à présent, ils ont vu, et ils sont remplis de haine contre moi et contre mon Père.

25 Ainsi s’est accomplie cette parole écrite dans leur Loi : Ils m’ont haï sans raison.

26 Quand viendra le Défenseur, que je vous enverrai d’auprès du Père, lui, l’Esprit de vérité qui procède du Père, il rendra témoignage en ma faveur.

27 Et vous aussi, vous allez rendre témoignage, car vous êtes avec moi depuis le commencement.

Chaloux dit: 27 juillet 2025 à 8h26

Je n’ai aucun sentiment de classe. Je pense et j’ai toujours pensé qu’il n’existe pas pire bassesse que ce sentiment. Il y a des gens exceptionnels dans tous les milieux. Mais le contraire est aussi vrai.

Chaloux dit: 27 juillet 2025 à 8h33

Je ne trouve pas Clopine « à priori idiote », il y a 18 ans que je la lis.

« À posteriori » serait plus juste!

Hurkhurkhurk !

Chaloux dit: 27 juillet 2025 à 8h44

Il y a ceux qui tiennent des propos antisémites et ceux qui ne les voient pas.

Quelle société!

Renelle dit: 27 juillet 2025 à 8h46

Fichtre quelle élégance dans vos propos « vieilles mites lfi decomposees »
Que je sois âgée (75 ans) de la fi ne vous autorise pas à ces injures
Qu’avez vous donc écrit dans le commentaire sur phares des supposes écrits antisémites de jjj vous ne l’avez point encore dévoilé pourquoi?
Vous avez donc mis en cause le blog de pierre assouline et donc sa responsabilité puisque les fameux propos ont ete trouvés sur son blog .mais à mon avis de vieille folle fi vous n’avez rien fait et les derniers propos de jjj le démontrent
De plus l écrit soi disant incrime n’est en rien antisémite..et ironie vous écoutez la messe à vos dires .quel paradoxe.mais venant de vous parfait delateur cela ne m’étonné pas..

Chaloux dit: 27 juillet 2025 à 8h54

Renelle, ainsi que je l’ai indiqué, la Gigi est en récidive antisémite. Je dois retrouver ses propos précédents, ce que je n’ai pas le temps de faire aujourd’hui. Ce sera possible en début de semaine.

Je ne peux pas passer mon dimanche à énerver des personnes âgées. J’ai autre chose à faire. Cela dit, on peut être une vieille mite à trente ans, bien que sur ce blog on manque d’exemples de ce cas.

Chaloux dit: 27 juillet 2025 à 8h57

Oui, il faut dénoncer l’antisémitisme. Il le faut.

Je vais bien entendu effectuer ce signalement à Pharos. Q

Phil dit: 27 juillet 2025 à 9h03

Tout le monde est un peu antisémite sur le prestigieux blog à passou, dear Chaloux, antisémitisme littéraire de bon aloi, de salon disait le considérable blogger Tkt depuis les rives du lac de Zurich, à dose homopathique dirait Baroz qui ne lit pas assez Barrès.

lmd dit: 27 juillet 2025 à 9h08

Chaloux dit: 24 juillet 2025 à 8h46 : «Environ 95% de la grande culture est à droite. [….]. Personnellement, je ne ferais pas l’économie de Barrès, de Léon Daudet, de Jacques Bainville, de Funck-Brentano et de beaucoup d’autres. Et même de certains textes de Maurras».
Ne pas faire l’économie des champions de l’antisémitisme le plus coriace et écrire le 27 juillet 2025 à 8h57 «Oui, il faut dénoncer l’antisémitisme. Il le faut. Je vais bien entendu effectuer ce signalement à Pharos».

La grande culture a bon dos.

Chaloux dit: 27 juillet 2025 à 9h18

Pierre Assouline a déjà évoqué ce problème en 2018 à propos de l’éviction de Maurras des commémorations. J’étais parfaitement de son avis, opposé à cette éviction.

Chaloux dit: 27 juillet 2025 à 9h20

Le problème des gens d’ici c’est que la plupart n’a aucune rigueur intellectuelle.

renato dit: 27 juillet 2025 à 9h20

Les animaux tuent pour manger et s’il n’y avait pas d’idiots qui tuent des animaux sauvages pour le plaisir, les loups et les ours seraient moins invasifs.

Alors, si le critère est « tuer », plus ou moins cruellement, déjà seulement au XXe siècle, les humains ont commis des massacres inimaginables (il ne sert à rien de faire une liste, tout le monde connaît les faits). Alors, que faire ? Exterminer cette horde de nuisibles ? Et qui en assumera la responsabilité ?

Christiane dit: 27 juillet 2025 à 9h23

MC, vous écriviez le 25 juillet à 17h47
Christiane, dans Sur Catherine de Médicis, l’évocation du Tumulte d’ Amboise frappe. Mais plus encore, la dernière partie, Les Deux Rêves, où apparaissent un Avocat et un Chirurgien bien connus , mais pas pour ces raisons là, au Dix Huitieme Siècle. Ces rêves sont intéressants, l’un est apologétique, l’autre va plus loin qu’on ne pense. »

Je viens de lire cette troisième partie.
Le final et sa révélation est sidérante :
« – Monsieur de Robespierre, voulez-vous me faire le plaisir de mettre monsieur Marat chez lui, car il est hors d’état de se soutenir, lui dit-elle.
-Volontiers, madame, répondit monsieur de Robespierre avec une manière galante, je voudrais que vous m’ordonnassiez quelque chose de plus difficile à faire. »
Il y a mille surprises dans ce souper qui termine « Sur Catherine de Médicis  » d’Honoré de Balzac.
Ainsi cet aparté entre Beaumarchais et le narrateur :
– L’avocat n’est pas si bête, dis-je à Beaumarchais.
– Oh ! il est lourd et froid. Mais vous voyez que la province recèle encore de bonnes gens qui prennent au sérieux les théories politiques et notre histoire de France. C’est un levain qui fermentera. »
Quant à son apparence :
« Je regardai plus particulièrement alors le chirurgien, et j’éprouvai je ne sais quel sentiment d’horreur. Son teint terreux, des traits à la fois ignobles et grands, offraient une expression exacte de ce que vous me permettez de nommer la canaille.(…)
– Cet homme-là doit enterrer plus d’un malade, dis-je à mon voisin. »
Une remarque dans le récit des guerres de religion donne comme le tocsin : « Sang ! Sang ! ce mot retentissait à mes oreilles comme un tintement. »
« Les deux rêves » de cette troisième partie… Je ne m’attendais pas à cela ! Ce repas qui aurait eu lieu en août 1786 recèle bien des surprises…
Merci.

J J-J dit: 27 juillet 2025 à 9h33

Relevé matinal écoeuré d’HC.
@ 21.19 / Tu es un sale hypocrite et une sale crapule, de la plus ignoble espèce.
@ 8.08 / Je m’en vas au marché (sic)…
Pour la délation citoyenne, au marché de la Kommandantur Pharos/DGSI… TU prends juste à droite, puis 3e rue à gauche en sortant de chez TOI de Levallois-Perret, puis 3e étage, mon bon. Tu leur dis que tu viens de la part de JJJ. Sont déjà au courant et otujours ouverts le dimanche
Allez, un peu de courage pour une fois avec TON panier à légumes sous le bras. Personne TE reconnaîtra dans la rue. A moinss que T’aies pas encore préparé ton billet, depuis le temps que TU engranges. Hurk ???

MC dit: 27 juillet 2025 à 10h21

Oui, c’est très curieux cette brisure de temporalité. Catherine communique avec Robespierre par le rêve, mais dans ce rêve, elle se montre admirablement au courant de ce qui s’est passé depuis . ( Richelieu et Mazarin sont cités, Robespierre figurait d’ailleurs chez les narrateur à titre de comparaison pour le Protestantisme! Alors il y a au moins deux lectures possibles. La plus évidente: Catherine transmet au futur Incorruptible son Héritage. La seconde : si les protestants sont comme Robespierre, ne faut-il pas voir dans la Terreur une revanche systématique
et moderne sur la Saint Barthélémy, mais appliquée aux nobles , au Roi, à la Monarchie? Un massacre moderne et général qui n’a pas la sympathie de. Balzac. «  Ce sont choses de Gouvernement, «  dit l’ Avocat avant de raconter son rêve….

Christiane dit: 27 juillet 2025 à 10h35

Merci, MC, pour cet éclairage. Chez SV, sous « L’opéra de Shaya » un lien pour vous (Carlo Ginzburg).

Chaloux dit: 27 juillet 2025 à 10h42

Pour être tout à fait clair, et mieux renseigner Pharos sur le contexte que je rencontre, j’ai également décidé de joindre toutes les réponses qui m’ont été faites ce matin, patronyme, profession, et aire géographique lorsque je les ai.

Gigi, merci pour «  kommandantur », ça va beaucoup leur plaire!

(Je comprends que ce matin tu aies un petit peu mal au ventre)

Chaloux dit: 27 juillet 2025 à 10h45

Il se pourrait qu’un peu plus tard tu aies un petit peu mal ailleurs !

Hurkhurkhurk !

J J-J dit: 27 juillet 2025 à 10h49

@ 8.22 / ça me donne envie d’exterminer toute une horde de ces sales bestioles qui ont terrorisé les humains pendant des siècles (sic) /
Si je puis me permettre, Closer, vous commettez une confusion historique avec « pendant des siècles ». Une passionnante et vaste étude d’anthropologie abordant le sujet de « la chasse au loup », montre qu’au cours de l’histoire, la coexistence des loups et des humains fut, non pas toujours harmonieuse, mais au moins pacifique. Mais qu’un grand basculement s’opéra au XIXe siècle quand le loup devint « ennemi de l’Etat ». in, Charles Stépanoff, chapitre 16 [Le pouvoir cosmopolitique], in « L’animal et la mort, chasse, modernité et crise du sauvage », Paris, La Découverte, 2021, p. 245-259).
—–
(je cite) : (…) les nombreuses victimes de la bête du Gévaudan et la centaine d’autres cas de loups tueurs d’hommes en série sont en grande partie la conséquences du désarmement de la population par le pouvoir pour assurer le monopole des officiers de louveterie et des troupes envoyées en renfort de Paris. Le Gévaudan n’est qu’un cas resté célèbre parmi de très nombreuses autres tragédies : 10 000 attaques de loups sur l’homme ont été recensées dans les archives françaises. Les cahiers de doléances en témoignent en 1789 : « il y a une grande quantité de loups qui détruisent le bétail, [le pauvre manouvrier] ne pouvant s’en défendre, n’ayant aucune arme à feu et n’osant même pas chasser un lièvre qui mangerait les choses du jardin, sans encourir une amende, étant guettés par les gardes du seigneur ». C’est cette vulnérabilité organisée par les pouvoirs publics qui explique la saignée et la terreur subies par le monde paysan et, partant, la haine moderne contre le loup en rupture avec les traditions mythiques et rituelles anciennes. La guerre contre le loup ne sera finalement gagnée que grâce à la centralisation de l’administration accomplie au XIXe s (op. cit, p. 258).

… Et pour répondre à RM (9.20), voici du même anthropologue, une conclusion possible sur l’état de la gestion politique actuelle de l’enjeu, au moins dans la France d’aujourd’hui, qui invite à regarder différemment les conflits actuels autour du loup.
(je cite) « Le système d’indemnisation des pertes parmi les troupeaux attaqués, calqué sur le modèle des dégâts de sangliers (…) inventé dans les années 1960, tend à faire des éleveurs ovins des nourrisseurs de loups rémunérés par l’Etat, comme les cultivateurs sont devenus des éleveurs passifs de sangliers. Paradoxalement, le mythe du prédateur sauvage est peut-être en train de transformer le loup en animal domestique, protégé et nourri par la puissance publique (…). Les éleveurs sont payés pour subir passivement des attaques de loups dont l’Etat et les scientifiques revendiquent une gestion à distance, souvent inefficace puisqu’elle ne différencie pas les loups selon leur comportement et leur rôle dans les meutes. Alors que l’éleveur-chasseur de Sibérie (et probablement celui du Néolithique) assume seul un face-à-face ambivalent avec son voisin le loup qui entremêle respect, rivalité et justice, ces trois fonctions sont réparties chez nous, par une étrange division du travail, entre différentes catégories sociales : ECOLOGISTES, BERGERS et LOUVETIERS… (op. cit., p. 259)

Comme d’habitude pour les estimables punckts de service, il s’agit de savoir de laquelle de ces catégories d’appartenance on parle.

*** Pour ma part, en tant qu’ECOLO, non CHASSEUR, mais attentif à mon entourage de chasseurs soucieux de participer au « prélèvement des nuisibles », je suis d’avis que cesse les guerres entre eux, et qu’on puisse trouver ensemble sur le terrain des plages de consensus, au sujet de solutions plus pacifiées des attaques des loups et des ours contre les troupeaux. Depuis ma retraite à la campagne anéfé, j’ai personnellement pas mal évolué dans mes préjugés contre les « viandards ».
La somme impressionnante et très nuancée de Stépanoff m’a pas mal aidé à m’en départir, et à m’ouvrir à la compréhension d’autres mondes. J’espère qu’il en ira de même sur ce dossier brûlant, en Herdélie. Bàv,

Maurice revient... dit: 27 juillet 2025 à 10h52

MC, Clopine, Janssen JJ et closer sont tous des antisémites, mais comme ils ont la trouille, ils font tout pour cacher cette haine diffuse et sournoise.
MC le breton catho, closer le droitard facho, Clopine et JJJ, enfin, les deux islamo-gauchistes, ne peuvent être qu’antisémites.
Il faut les signaler par des voies légales pour les bannir de ce blog et même les punir.
Je vais m’y atteler.

Janssen J-J dit: 27 juillet 2025 à 11h02

Je vais bien entendu effectuer ce signalement à Pharos (…) Gigi, merci pour « kommandantur », ça va beaucoup leur plaire!

Bien entendu Et indéniablement !… ce sont mes potes de la cellule en question qui se chambrent ainsi entre eux, non pas en gestapistes mais en agents de la Kommandantur, quand ils voient les énergumènes de votre acabit débarquer dans leurs murs. Ils vous attendent de pied ferme, prévenus de la venue d’une certaine Henriette Chafoin74-92 sévissant toujours sur la fameuse RDL.
Ils lisent avant vous tout ce que raconte le commentarium, inutile de vous fatiguer à recopier les réactions des autres à vos insultes, en dehors des miennes, elles ne feraient que vous enfoncer encore un peu plus. Bon petit pétainiste moyen, vous êtes et resterez toujours, hélas, quoiqu’il vous en coûte de le reconnaître. Hurkt ! Bon courage !… Nous n’allez quand même pas décevoir l’RDL, hein ?

puck dit: 27 juillet 2025 à 11h07

« Tout le monde est un peu antisémite sur le prestigieux blog à passou, dear Chaloux, antisémitisme littéraire de bon aloi, de salon disait le considérable blogger Tkt depuis les rives du lac de Zurich, à dose homopathique dirait Baroz qui ne lit pas assez Barrès. »

dear filou, j’ai bien peur qu’on ne puisse pas être « une peu » antisémite.
cette idée rappelle un peu comme la phrase de Bernanos du genre le nazisme a déshonoré l’antisémitisme.

en fait ça n’a vraiment pas de sens : la Shoah ce n’est pas un crime seulement nazi : c’est un crime européen qui se préparait depuis 2000 ans.

même un type comme Céline aurait dû être jugé à Nuremberg et être pendu en 1945.

sauf que Nuremberg c’était juste du théâtre pour éviter de mettre Churchill dans le lot des antisémites qui ont rendu possible la Shoah.

pour ça que ce qui se passe actuellement avec le conflit en Ukraine est une espèce de court circuit dans l’espace temps qui nous transporte là : en 1945 qui est le moment où ce conflit a commencé et où démarre cette alliance entre les anglo américains et les bandéristes.

même l’hystérie slavophobe qui règne aujourd’hui en Europe surtout dans des pays comme l’Allemagne est comme une percée dans l’espace temps.

donc non : on ne peut pas être « un peu » antisémite comme on ne peut pas être « un peu » anti slave.

Claudio Bahia dit: 27 juillet 2025 à 11h14

@ « La somme impressionnante et très nuancée de Stépanoff m’a pas mal aidé à m’en départir, et à m’ouvrir à la compréhension d’autres mondes. J’espère qu’il en ira de même sur ce dossier brûlant, en Herdélie. Bàv, »
Ce qui prouve qu’il n’est jamais trop tard pour penser juste, pour penser mieux, mais pour un donneur de leçons, c’est très bien , encourageant !
Très intéressant résumé sur une aussi intéressante étude de ce Mr Stépanof
par contre je désire moi aussi apprendre : qu’est-ce que une campagne anéfé ?? (le correcteur me souligne ce mot en rouge)
moi, je ne bave pas, mais je vous salue

J J-J dit: 27 juillet 2025 à 11h15

Et il faut « faire » avec la lâcheté du double d’Henriette (10.52), le troll qui rapplique sans cesse derrière elle… Reviens ! Maurice, j’ai les mêmes à la maison, racontait une célèbre pub pour les raviolis. C’est ainsi, le robot tolère ce qu’il veut, après tout, « faut faire » avec l’IA, dénoncer sans cesse son antisémitisme… kurk ?

puck dit: 27 juillet 2025 à 11h18

« moi, je ne bave pas, mais je vous salue »

« bàv » c’était comme ça que MàC finissait tous ses commentaires.

quand on le sait c’est d’autant plus insupportable de le lire dans les commentaires de l’autre crétin.

rose dit: 27 juillet 2025 à 11h18

Les patous sont remplacés/ ou épaulés désormais, à l’estive, par des bergers d’Anatolie. Des espèces de monstres à quatre pattes qui ressemblent à des ours blancs.

Janssen J-J dit: 27 juillet 2025 à 11h18

@ CB, « ma campagne » (je vis à la campagne charentaise depuis 2020, après avoir vécu à Paris et Meudon durant 35 ans)… « Anéfé » = contraction vernaculaire méridionale de « en effet »… Un éternel petit clin d’oeil 🙂 à mon amie, Marie-Lys P.

Chaloux dit: 27 juillet 2025 à 11h21

Qui a parlé du CRIF? Excellente idée. Et un petit dossier au CRIF. Gigi, j’espère que tu y as des amis!

Gigi, tu m’en donnes du travail, mais je vais m’en acquitter avec joie!

J J-J dit: 27 juillet 2025 à 11h23

11.18 – Désolé pour l’offense à la mémoire de MàC et si le crétin vous insupporte. J’avais oublié sa signature et ignorais que vous n’en aviez pas encore fait le deuil. Et Widerganger, comment finissait-il ses messages, au juste ?

rose dit: 27 juillet 2025 à 11h24

j’ai entendu que les loups adoraient égorger les ânes et s’attaquaient mêmes aux bovins et aux chevaux.

En Aveyron, les vaches en fin de gestation, leurs veaux qui viennent de naître, sont attaqués et bouffés par des nuées de centaines de vautours qui descendent des Causses où on les a réintroduits. Le procédé est particulièrement atroce.

Pour le plateau du Vercors,le berger n’était pas avec son troupeau.

J J-J dit: 27 juillet 2025 à 11h29

11.21 Désolé, mais il ne vous sera pas rémunéré, comme l’était jadis aux chiens, l’offrande au corbeau (l’os corbin). Le CRIF ? Voulez-vous d’autres adresses plus réceptives encore ?… Dites-nous avant que je ne sorte vous accompagner à la Kommandantur.

J J-J dit: 27 juillet 2025 à 11h32

ah oui, r^z (11.24), merci pour ce petit rappel de WGG !… Il avait du talent, ce gars-là !…
Et bouguereau, c’était quoi, déjà ?

Claudio Bahia dit: 27 juillet 2025 à 11h33

Christiane dit: 27 juillet 2025 à 8h12
FL et Renato, c’est un plaisir de suivre vos échanges sur le paysage.

mais vous oubliez Closer, qui, je crois, est à l’origine de ces échanges, et y a participé , et cela m’a intéressé

Walter dit: 27 juillet 2025 à 11h33

La Gigi a peur. Elle délire.
On va bien s’occuper de toi, vieille salope, tu vas voir.

J J-J dit: 27 juillet 2025 à 11h38

@ CB – Je serais un « donneur de leçon », à vos yeux. Si vous le ressentez ainsi, why not ?… Mais sachez que j’apprends plus encore des « leçons » des autres, dans les livres et sur les blogs littéraires, croyez le bien !… Bàv, moi non plus, je ne bave pas. Je vous traduis juste mon sigle pacifique : bien à vous !

Claudio Bahia dit: 27 juillet 2025 à 11h41

@ closer
… Rien que d’écrire ça me donne envie d’exterminer toute une horde de ces sales bestioles qui ont terrorisé les humains pendant des siècles.

mais que se passe-t-il avec vous ce matin; grosse mauvaise humeur.
à propos: je dois écrire (toujours avec plaisir et amabilité) closer ou Closer ? je viens de découvrir que ce mot est aussi celui de uma revista du genre comme on en trouve aussi au Brésil. Pas encore croisé ici au prtugal

closer dit: 27 juillet 2025 à 12h07

Merci Claudio. J’écris closer. J’avais raconté l’origine de ce pseudo peu élégant, qui remonte à Hollande et son scooter…
Je ne me souviens pas d’un « Closer » brésilien; je lisais la « Veja » que j’achetais religieusement à ma kioskière au bout de la rue, une farouche monarchiste qui parlait de Dom Pedro, « o nosso querido ». Une dame charmante.

C’est vrai que cette manie des écolos de défendre les prédateurs carnassiers plutôt que leurs victimes et le fruit du travail de gens qui ont le courage de passer des mois seuls en montagne ou de se lever à 5h du mat. 7 jours sur 7 pour s’occuper de leur troupeau, a le don de me mettre en fureur!

closer dit: 27 juillet 2025 à 12h14

Au fait, j’ai une question que je voulais vous posez depuis un certain temps, Claudio…Etiez vous familier du portugais du Portugal avant de vous y installer? Sinon, avez vous tout compris immédiatement?
Moi je ne comprenais à peu près rien quand un portugais parlait! Un peu comme quand un québécois de la cambrousse parle français…
Je précise pour ceux qui ne connaissent pas le monde lusophone que la langue est pratiquement la même; c’est vraiment l’accent qui change tout.

B dit: 27 juillet 2025 à 12h24

Chaloux 8h26 en extrapolant on pourrait comprendre que vous êtes élitiste. Des gens exceptionnels, sur quels plans? S’ils cochent toutes les cases jusqu’à la bonté d’âme ils sont admirables.

Christiane dit: 27 juillet 2025 à 12h32

Merci, Claudio. C’est rare que j’oublie closer. Je lis attentivement ce qu’il écrit en général mais là ayant dû m’absenter des blogs, j’ai été dépassée par la profusion des commentaires surtout qu’ils abordaient tant de sujets différents… Closer contemple les autres et les paysages a ec beaucoup de calme et de réserve. L’art est son élément de référence, souvent. Il me paraît droit et attentif,fiable aussi.
Toutefois cet espace réservé aux commentaires est sans cesse traversé de querelles, d’injures
Comme si une conversation sereine ne pouvait s’y tenir que par intermittence

Je lis depuis une heure un livre de. Notes choisi par Soleil vert. La compagnie des loups. Une réécriture sauvage des contes classiques dont ceux de Perrault. On pourrait penser que cette femme écrivain s’est inspirée des rageux qui hantent ce blog. Il s’agit d’Angela Carter qui aime un certain imaginaire macabre et magique. C’est aussi très érotique mais sa s insister. L’oppression des femmes est un sous-entendu qui conduit certains de ses contes vers des fins astucieuses.
Bref, Claudio, lire est un grand bonheur même si j’ai les yeux un peu fatigués en ce moment.

FL dit: 27 juillet 2025 à 13h06

« Comme dit dans le post précédent, il y avait d’innombrables Italiens illustres inhumés ici, en raison de la culture alternative qu’ils exprimaient dans la vie (« étrangère » à la culture dominante), et considérés, pour cette raison, comme « étrangers ». »

J’avais apprécié votre remarque Renato.

rose dit: 27 juillet 2025 à 13h17

Je l’ai rencontrée -Adèle Yon- et je n’ai pas lu son ouvrage, pas encore. Mais lorsque l’on lit ici que les récits de Clopine, où les miens, qui relatent une violence vécue et terrible et terrifiante se rangent dans une misère petite bourgeoise, et bien, moi, je trouve cela honteux.
La parole des femmes muselée, c’est terminé.
85 000 exemplaires vendus.
« Mon vrai nom est Elisabeth » : Succès phénoménal en librairie, le livre d’Adèle Yon « ouvre la parole » https://share.google/d5cOjUT6278xK4tG4

FL dit: 27 juillet 2025 à 13h26

C’est un bonheur de lire les Cendres de Gramsci. Je ne connais pas la métrique italienne. Je ne sais pas si les vers sont comptés, rythmés.

On sent Pasolini gêné aux entournures. Une conscience politique clivée dirais-je.

« […] Des passions effrénées
continuent de brûler sans scandale
les ossements de milliardaires de pays
plus puissants ; rôde, comme jamais éteinte,
l’ironie des princes, des pédérastes,
dont les corps sont épars dans ces urnes,
cendres jamais chastes. »

https://www.yeyebook.com/fr/pasolini-pier-paolo-texte-les-cendres-de-gramsci-poem-italie/

rose dit: 27 juillet 2025 à 13h26

C’est vrai que cette manie des écolos de défendre les prédateurs carnassiers plutôt que leurs victimes et le fruit du travail de gens qui ont le courage de passer des mois seuls en montagne ou de se lever à 5h du mat. 7 jours sur 7 pour s’occuper de leur troupeau, a le don de me mettre en fureur !

Je vous laisse en fureur, closer.
Pour avoir un ex-famille et toujours voisin berger, je sais la catastrophe complète qu’il représente.
Je ne ferai pas son portrait ici.
Depuis, plus de quarante ans, je m’intéresse aux loups.
Les orques m’inquiètent et désormais les vautours fauves.
Les types qui ont eu le safran déglingué, proches du pays basque, leur voilier n’était plus manœuvrable.
Les vautours qui ont mangé le beau et les organes de la vache qui venait de vêler, c’était foudroyant de cruauté.

Pour les autres, zéro hésitation.La nature number one.
Et j’assume d’être écolo.
Nota bene : cela fait une vingtaine d’année que les bergers ne gardent plus leurs moutons à l’estive.

rose dit: 27 juillet 2025 à 13h27

Entre parenthèse, passer des mois seul en montagne, c’est une des manières du bonheur fou.
Catherine Clément le sait, elle qui a investi la maison de sa grand-mère dans une campagne paumée.

FL dit: 27 juillet 2025 à 13h28

« Même chose à Florence, FL, comme dit plus haut. »

J’avais bien lu votre remarque. Ca correspond ce qu’en France on appelle les « carrés », carré juif, carré musulman.

renato dit: 27 juillet 2025 à 13h31

« Le 4h21 de Renato n’est pas un paysage. »

Puisque l’œuvre est présenté avec cet intitulé, dois-je en déduire qu’au musée archéologique de Naples ils ne savent pas ce qu’ils font ? Amusant.

closer dit: 27 juillet 2025 à 13h41

Si vous préférez Renato, ce n’est pas ce que, moi, j’appelle un paysage; mais le musée de Naples a sûrement raison.

puck dit: 27 juillet 2025 à 13h42

« Et Widerganger, comment finissait-il ses messages, au juste ? »

il finissait aussi par bàv.

ma foi, autant que je m’en souviens il fut un temps sur blogapassou où presque tout le monde finissait ses commentaires par bàv, à tel point que, comme moi, in ne lisait que la fin des commentaires, il semblait qu’il n’eût qu’une seule et même personne qui fréquentasse ce blog, à tel point que moi aussi je me mis à finir mes commentaires par bàv, me disant que si un autre personne faisasse comme moi et ne lû que la fin des commentaires il pensasse que je fus moi-même cette personne, c’est ainsi que je fis mes début de complotiste, plus tard, m’apercevant par le plus grand des hasards, qu’en ce temps-là, comme il n’y avait qu’une seule personne à fréquentasser ce blog, je me rendis compte et à l’évidence que je répondais à mes propres commentaires, c’est ainsi je fis l’expérience de la solitude, et ma foi je rendis vite compte que rien en ce monde qu’un complotiste seul, mais bon c’était avant.

closer dit: 27 juillet 2025 à 13h50

Parce que les brebis, les chèvres et les veaux ce n’est pas la nature, Rose?
Les bergers, les chevriers, les vachers, ont le droit de se défendre, m…! Et se défendre cela veut dire pouvoir tuer le prédateur avant qu’il ne tue.

La solution actuelle qui consiste à faire des « prélèvements » avec des battues quand les loups deviennent trop nombreux est parfaitement imbécile. Il vaudrait bien mieux permettre aux éleveurs de les tuer eux mêmes quand ils s’approchent. Au moins ils comprendraient qu’il ne faut pas s’approcher et peut être même qu’on en tuerait finalement moins qu’avec ces « prélèvements »…

puck dit: 27 juillet 2025 à 13h53

sur Marie-Madeleine dont j’ai lu le nom qq part, d’ailleurs je me demande pourquoi, donc il faut savoir qu’elle quitta la Judée pour se rendre à Marseille, en bateau, bien sûr pas à la nage, donc quand elle rencontrait des gens qui venaient faire leurs courses sur le Vieux Port, elle disait à qui voulait l’entendre qu’elle était Marie-Madeleine, sans doute était-elle assez persuasive, n’empêche qu’on la crut, et c’est là qu’on bâtit ce qui est aujourd’hui l’abbaye Saint Victor, ensuite Marie Madeleine partit à la Sainte Beaume d’où le fait que ce tableau dont qq parlait ici même mais j’en sais rien pourquoi sur MArie Madeleine on y voit le paysage bucolique de la Sainte Beaume avec sa grotte où se trouvent les ossements de MArie MAdeleine devenu lieu de pélerinage pour les bbdm (bobo de m.rde) parisiens qui descendent par bataillons en tvg pourrir la Provence qui désormais n’est plus paysage, mais seulement un décor sans âme, coupé de son héritage et de son histoire, et où même l’om n’arrive même plus à se hisser dans le top ten du championnat.

Christiane dit: 27 juillet 2025 à 13h56

Ah, j’ai retrouvé, Claudio, le commentaire d’origine de cet échange sur le paysage
8h35
« Répliques » sur le paysage ce matin. Evidemment Finky a parlé des éoliennes, mais heureusement la conversation a aussi tourné autour d’autres sujets, notamment l’invention du paysage comme sujet central de la peinture à partir du 16ième siècle. Intéressant coïncidence, c’est vers la même époque qu’est apparu le portrait individuel. (…) »

MC dit: 27 juillet 2025 à 13h56

Oui, Closer. Nous sommes dans un monde largement urbain qui prétendd réintroduire des espèces et bannir la chasse qui leur est faite. Et comme tous les en même temps, il est parfaitement intenable. Ce que j’appelle l’ecopaslogique…. MC

puck dit: 27 juillet 2025 à 14h02

je me souviens du temps où, quand on montait aux Baux et on regardait le paysage, un pauysage bordélique avec des champs mal découpés, des tracteurs qui ne démarraient pas, aujourd’hui quand on monte aux Baux en fait on ne voit plus de paysage, mais juste un décor, avec des champs tirés au cordeau et avec les tracteurs qui ont été remplacés par des Porsche 911 décapotables qui est l’emblème véhiculaire du nouveau riche.

et si on va plus au bord dans le Lubéron qui est devenu la résidence secondaire des éditeurs parisiens qui passent leur soirée à organiser des cocktails au bord de la piscine c’est encore pire et encore plus au nord dans la Drôme provençale qui est devenu le lieu où tous les experts comptables nationaux passent leur retraite à cultiver leurs oliviers c’est encore pire.

en fait il faudrait virer le mot « paysage » du dictionnaire et le remplacer par « lieu pourri par bobo de m.erde parisiens ».

puck dit: 27 juillet 2025 à 14h05

« Finky a parlé des éoliennes »

le truc qu’il faut bien voir sur les éoliennes c’est que justement on en trouve pas dans le Lubéron et la Drôme provençale, je veux dire tous ces lieux de résidence de parisiens qui votent pour les partis écologistes, parce que les mecs ils sont pas totalement c.ns, ils vont la promo des éoliennes, mais à condition de les construire loin de chez eux, de préférence à proximité de là où vivent les pauvres.

Christiane dit: 27 juillet 2025 à 14h08

Et la suite des commentaires de Closer :
« Michel Collot souligne l’avènement du paysage en peinture, les figures. pouvant être encore présentes, mais d’une certaine façon laissant au paysage la place principale sinon presque exclusive. « On voit apparaître progressivement ce qu’on a appelé le paysage comme genre : une représentation du paysage pour lui-même et non comme simple décor ».

Christiane dit: 27 juillet 2025 à 14h17

Et le début de l’échange avec Renato et FL :
renato dit: 26 juillet 2025 à 10h31
Il faut voir, closer, parle-t-on de paysage ou de peinture de paysage ? (en it. paesaggismo). Bien à part les miniatures médiévales, où le paysage n’était qu’esquissé, ce qui me semble être le premier paysage sémantiquement voulu on peut le voir à Sant’Apollinare in Classe où quelques agneaux paissent sur un tapis de fleurs (…) »

Christiane dit: 27 juillet 2025 à 14h51

puck dit: 27 juillet 2025 à 13h53
« sur Marie-Madeleine dont j’ai lu le nom qq part, d’ailleurs je me demande pourquoi, donc il faut savoir qu’elle quitta la Judée pour se rendre à Marseille, en bateau, bien sûr pas à la nage, donc (…) »

Puck, ce n’est pas dans ce lieu qu’il faut la chercher mais toue haut, au col du Pilon, sur ce plateau balayey par le Mistral.
Ce qui est important, c’est cette solitude qu’elle a choisie pour intérioriser les évènements passés, ce grand bouleversement d’une mort horble puis ce matin au tombeau où une voix lui dit :
– Marie, que cherches tu ?
Une voix qui la nomme, une apparition qu’elle ne reconnaît pas, un envoi en Galilée pour dire ce qu’elle a vu et entendu…
Il faut imaginer cette solitude enclose sur une affection, murmurante. Tout, sauf oublier.
Ce paysage – puisque l’on parle de paysage – a inspirer Patinir magnifiquementeme si la montagne qu’il a peint ne ressemble pas à la sainte Baume, mais la montée, oui. Elle on la voit à peine sur le tableau. C’est un rendez-vous avec un paysage établi sous le ciel. Une femme et ce qu’elle porte en son cœur.
La forêt pour monter là-haut est dense, bordant, enserrant comme
pour le protéger un chemin. Et plus tard, là-haut, le roc raclé par les vents où rien ne pousse que quelques touffes d’herbe jaunies, sèches comme de la paille. Une minuscule petite chapelle. Qui l’a construite là… Je ne sais. Il n’y vient pas grand monde… Les pèlerins c’est l’étage de dessous, la grotte aménagée pour touristes. Si grotte il y a eu, elle devait être plus discrète, plus modeste, toute petite. Juste un filet d’eau et un abri. Les saints marchent sur les chemins du monde, s’abritent là où ils peuvent. Comme une force qui les pousse en avant. Il vont sans savoir la halte prochaine. Improbable. inconnue. Des pèlerins du vide. Ils ne pèsent pas sur le monde. Ce sont des pauvres. Une mélancolie propre aux ermites. Un souffle perdu semble avoir soutenu la marche de Marie-Madeleine. Son bout du monde a été pour elle la Sainte-Baume. Là-haut elle saluait les aubes, elle respirait le temps qui passe. Elle pensait à Lui. Un monde inhabitable, un ermitage de fortune. La fin d’un voyage. Le silence.
Pour l’approcher, il faut marcher avec lenteur sur ce chemin forestier. Un souvenir de rien. Juste un tressaillement intérieur.

Claudio Bahia dit: 27 juillet 2025 à 15h22

@closer
oui, la grammaire est la même, mais l’accent est bien différent.
Moi personnellement, j’ai toujours encore des difficulté. Je n’avais aucune expérience du portugais du Portugal, à part des amis qui les imitaient, et alors c’était amusant et
vraiment on riait de ce sotaque des portugais. Au tout debut, j’ai eu de la peine: les portugais mange presque toutes les voyelles, alors que nous nous prononçons toutes les lettres, surtout les voyelles, et même nous en rajoutons qui n’existent pas « ele tà no fooni », surtout nous les bahianais. notre langue parlée est nettement plus suave, plus gentil. Ici je trouve la langue un peu rude, un peu peut-être comme eux le sont, en tout cas leur vie passée, entre l’Eglise est les maitres des terres, n’était peut-être pas des plus « suave ».
en plus de cela, il y a une quantité énorme de noms qui sont complétement différents, et quand il y a une différence, le mot portugais s’approche souvent d’une origine française, ce qui est plus rare avec le brésilien.
Et cela va vous paraitre pas pensable: nous brésiliens (pas tous mais beaucoup + moi-même) trouvons les portugais « moins civilisés » que nous.
La médecine est au top niveau au Brésil, et les soins, à toutes les échelles, sont très bien. Je trouve la médecine du Portugal, un peu du « tiers-monde », n’est-ce pas paradoxal provenant d’un brésilien ??
Il y a autre chose qui perturbe une personne comme moi, c’est que nous sommes immédiatement identifiés, et catalogués comme « brésiliens » avec tout cela peut comporter de préjugés, et même difficultés, car bien entendu, et c’est normal, nous sommes mis dans un même panier tous.
Etrange pour nous aussi, ces lois ou réglements qui ne sont pas vraiment portugais, mais européens, une sorte de copié-collé, et cela étonne un brésilien (qui oublie le plus souvent son copié-collé avec les USA!)
Bonne fin de journée, et un jour je vous parlerai de la relation homme-animal des indiens des forets profondes

closer dit: 27 juillet 2025 à 16h02

Merci pour cette réponse détaillée, Claudio. Oui le Portugal, c’est l’Europe et, comme en France, je suppose qu’ils sont enserrés dans tout un tas de réglementations bruxelloises…

C’est vrai que la médecine est d’un niveau exceptionnel au Brésil, j’y ai eu recours plus d’une fois à Sao Paulo (malheureusement) mais j’ajouterais un bémol, à condition d’avoir une très bonne mutuelle…moi en tant qu’expatrié je n’avais aucun problème de financement des soins, mais je ne sais pas ce qu’il en est de l’ensemble des brésiliens.

J’ai ri comme vous aux « blagues portugaises » au Brésil, l’équivalent des blagues belges en France. Je me souviens d’une amie qui imitait les portugais d’une manière hilarante!
Je n’avais pas conscience qu’il y avait tant de vocabulaire différent, à part « trem » et « comboio »!
Bonne adaptation!

rose dit: 27 juillet 2025 à 18h17

Pas tout lu.
Marie Madeleine, avant Marseille (d’où elle remonta l’Huveaune, après aujourd’hui les plages du Prado, se posa aux Saintes Maries de la mer.
De la barcasse qui l’emmena, on inventa -en hommage- les navettes de l’abbaye de Saint Victor. À Marseille, on appelle cela le pointu.
Dans la basilique de Saint Maximin, quelle beauté rigoureuse !, certaines reliques de Marie Madeleine.

rose dit: 27 juillet 2025 à 18h18

Le pointu c’est la barcasse. Les navettes ce sont les gâteaux en forme de pointu devant et derrière.

closer dit: 27 juillet 2025 à 18h57

« Le plus grand de tous les accords », Trump.

Trump est de facto le Président des états occidentaux et pas seulement des USA.

Nous ferions beaucoup d’économies en virant Macron, Starmer, Merz, Ursula, etc et en reconnaissant Trump comme patron puisque c’est ce qu’il est effectivement. Il lui faudrait un président adjoint pour l’Europe. Je propose Georgia Meloni, la seule capable d’occuper ce poste.
Qu’en pensez-vous?

J J-J dit: 27 juillet 2025 à 19h02

@ 18.57 vous vous mettez à ressembler à Henriette75, mon bon… Etonnant et trôle, après votre échange avec M. Bahia. Bàv,
(nb / enfin le Tour de F. est terminé ! cékilagagné ?)

closer dit: 27 juillet 2025 à 19h09

Que l’histoire de Marie Madeleine à la Sainte Baume soit authentique ou non, on s’en fiche complètement.
Elle est tellement belle qu’elle ne peut qu’être vraie.

pourmapar dit: 27 juillet 2025 à 19h15

« On voit apparaître progressivement ce qu’on a appelé le paysage comme genre : une représentation du paysage pour lui-même et non comme simple décor ».

En 1790, Kant introduit l’art des jardins dans les beaux-arts et le scènes de la nature déchaînée dans la philosophie. La même,année, Wordsworth lit les signes de la révolution sur les routes et les rivières de la campagne française tandis que Burke dénonce ces révolutionnaires niveleurs qui appliquent à la société la symétrie à la française.Le paysage est aussi bien plus qu’un spectacle qui charme les yeux ou élève l’ âme. Il est une forme d’ unité de la diversité sensible qui bouleverse les règles de l’art et métaphorise l’ harmonie ou le désordre des communautés humaines.

B dit: 27 juillet 2025 à 19h36

Closer, une insolation? La Chine ne exerce sur le monde occidental par sa puissance commerciale, ses investissements, et ses achats de dettes de différents pays. Bien que ses forces armées sont pour le moment discrètes elles ne cessent de croître. Leur technologie en cette matière se développe et d’ailleurs sollicitée et employée dans la fabrication des drones russes.

En partant de ce critère, à la fin 2023, le premier créancier du monde est le Japon avec plus de 3 300 milliards de dollars de créances nettes. Il est suivi de près par l’Allemagne et la Chine

B dit: 27 juillet 2025 à 19h39

Source alternative économique. Que le président ambitionne pour son pays qu’il reste la première puissance mondiale peut se comprendre mais à moyen terme c’est pas gagné. Pas grave, comme il se fiche de nous, nous tomberons dans le filet du plus fort dont la raison est toujours là meilleure.

Claudio Bahia dit: 27 juillet 2025 à 19h43

@ Je propose Georgia Meloni, la seule capable d’occuper ce poste.
Je prend, et j’ajoute un bouton de 1000
Par contre si Mélenchon et le LFi sont élus président et ministres copains, alors des montagnes d’or et de sous vont aller émigrer en Suisse, et c’est alors que la Suisse pourra racheter la France et se l’anexer (j’espère que D ne me lit pas !!)

rose dit: 27 juillet 2025 à 19h45

closer

Je me suis exprimée trop hâtivement. Bien sûr que je suis du côté des chèvres(du Rove) et leurs congénères.
Je voulais dire tout simplement que la nature reprend ses droits.
Quoiqu’il se passe.
Ce sera pareil pour l’Everest.

Second point : nous formons une grande chaîne alimentaire.

puck dit: 27 juillet 2025 à 19h46

le gros problème avec les peintures de paysage c’est l’impossibilité des selfies, alors qu’avec le Apple Iphone 16 on peut avoir le paysage plus la personne qui prend la photo.

d’ailleurs c’est probablement ce que les peintres avaient à l’esprit ne représentant Madeleine ou autre avec en fond le paysage, c’était déjà à l’époque un selfie sauf qu’il mettait des plombes à le faire alors qu’avec le Iphone 16 en 30 secondes c’est bouclé.

exemple au hasard : si Marie Madeleine avait un Iphone 16 elle fait un selfie d’elle avec en fond la Sainte Baume.

rose dit: 27 juillet 2025 à 19h47

Christiane

Merci d’avoir réarticulé tout ce qui s’est dit sur le paysage !

Avez-vous trouvé le lien d’Henri L’héritier sur Louis XI ?

Clopine dit: 27 juillet 2025 à 19h51

Personne n’a commenté la photo de Perret mise en ligne par notre hôte, ni que c’était une unique photo (d’habitude, notre hôte en met deux ou trois), et que le bonhomme y paraît particulièrement sympathique, malicieux, intelligent, drôle et plutôt pas mal pour son âge. Et pourtant, pour un type intelligent et malicieux, comme la photo semble l’indiquer, être monarchiste et ultra-catholique, c’est adopter une idéologie qui est tout, sauf drôle, intelligente, malicieuse ou sympathique. C’est adopter une idéologie où l’on accepte les inégalités, où l’on vénère l’ordre établi, où l’on est établi (ou qu’on voudrait être établi) en h89aut dans la hiérarchie sociale, et où la lutte contre le nazisme ne relève pas d’un sursaut moral, mais d’un patriotisme qui ressemble fort à un nationalisme exacerbé, et débouche sur une forme, mais rien qu’une forme, de « résistance » en 40, en la mettant plus haut que les autres formes qu’elle a pu revêtire. « je n’aime pas la France à cause des efforts que le peuple français a faits pour changer l’ordre du monde, notamment à travers de 1789, mais parce que j’adhère à la théorie qu’il vaut mieux aimer son pays plutôt que tous les autres, car j’aime mieux mon identité plutôt que la remettre en cause, et je suis pour un ordre du monde qui nie la revendication de l’égalité entre les êtres humains et qui légitime le pacte social le plus inégalitaire qui soit, à savoir la monarchie.

J’appelle cela la droitisation de ce blog, et je le répète, ça me fait peur. La parole « libre » de ce blog » en est de plus en plus envahie. En appeler à l’intelligence ???

puck dit: 27 juillet 2025 à 19h55

concernant Apple il représentent la raison des droits de douanes de Trump à 30%

parce que 30% c’est le taux d’imposition des sociétés aux US.

si Apple payait des impôts aux US elle paierait 30% deson bénéfice.

alors que là Apple fait ses trucs en Asie : prix = 90 euros.
Apple les achètent en Irlande prix 990 euros
et ensuite Apple les vend 1.000 euros aux US.

comme ça il paye aux US les impôts sur 10 euros alors qu’en Irlande ils paye rien sur leur bénéfice de 900 euros.

en fait le truc qui décoiffe c’est la simplicité du mécanisme pour ne pas payer d’impôt.

on s’imagine qu’il faut des spécialistes pour faire des montages compliqués alors qu’1 gamin de 8 ans pourrait le faire.

du coup avec Trump Apple va l’avoir dans le baigneur.

puck dit: 27 juillet 2025 à 19h59

c’est la photo du type dont parle passou ?

incroyable !

j’étais tellement fasciné par le paysage derrière ce type, ces arbres magnifiques, que je n’avais même remarqué la présence de ce type sur la photo.

closer dit: 27 juillet 2025 à 20h06

Remettez vous Clopine! Evidemment que Perret est entré dans la Résistance dès qu’il l’a pu par patriotisme et rien d’autre. Si les allemands avaient été communistes, socialistes ou zoroastristes, il aurait fait la même chose. C’est pour cela qu’on l’aime, enfin moi en tout cas.
Vos résistants bolcheviques qui ont obéi aux ordres de Staline à l’été 1941, il ont certes rendu service, mais pour de mauvaises raisons (il y a peut-être des exceptions), vous pouvez vous les garder.

closer dit: 27 juillet 2025 à 20h13

Pas d’insolation aujourd’hui, B. On voit que vous vivez au sud…
J’exagère un peu, mais l’épisode d’aujourd’hui illustre parfaitement ma fiction.

rose dit: 27 juillet 2025 à 20h17

Personne n’a commenté la photo de Perret mise en ligne par notre hôte

Si.
Paul Edel a parlé de sa tenue entre autres.

closer dit: 27 juillet 2025 à 20h19

puck aujourd’hui a rejoint dexter de façon de plus en plus évidente. Je l’encourage à persévérer dans cette voie, plutôt que de nous emmerder avec ses péroraisons sans fin sur la Russie, l’Ukraine, les néo conservateurs, etc.

closer dit: 27 juillet 2025 à 20h26

« le bonhomme y paraît particulièrement sympathique, malicieux, intelligent, drôle et plutôt pas mal pour son âge. »

C’est vrai ça Clopine, mais non seulement il le paraît mais il est tout cela!
La dégauchisation de ce blog me rassure. Merci Passou.

Chaloux dit: 27 juillet 2025 à 20h32

Parmi les premiers à suivre de Gaulle, des membres de l’Action française.

L’ignorance de cette pauvre Clopine est décidément plus que crasse.

B dit: 27 juillet 2025 à 20h33

Closer, mourir pour des idées, d’accord, mais de mort lente.

Le premier réseau de résistance universitaire a été fondé par les communistes Jacques Decour, Georges Politzer et Jacques Solomon en septembre 1940 . Ils publient l’Université libre et La Pensée libre, qui se singularisent par leur propension à critiquer l’occupant.
https://fr.wikipedia

Pablo75 dit: 27 juillet 2025 à 20h43

Personne n’a commenté la photo de Perret mise en ligne par notre hôte, ni que c’était une unique photo (d’habitude, notre hôte en met deux ou trois), et que le bonhomme y paraît particulièrement sympathique, malicieux, intelligent, drôle et plutôt pas mal pour son âge.
Clopine dit: 27 juillet 2025 à 19h51

Comment tu sais l’âge de Perret sur la photo?

closer dit: 27 juillet 2025 à 20h55

Il y a toujours des exceptions, B.

« Quand le PCF négociait avec les nazis
En juin 1940, dans Paris occupé, les dirigeants communistes proposent aux autorités allemandes d’autoriser la reparution de « L’Humanité ». Leur argumentaire a été retrouvé. »
Le Monde

Pablo75 dit: 27 juillet 2025 à 21h02

L’ignorance de cette pauvre Clopine est décidément plus que crasse.
Chaloux dit: 27 juillet 2025 à 20h32

Comme toutes les personnes avec une vision du monde idéologique, elle ne sait penser qu’avec des idées (schématiques) toutes faites, avec des clichés simplistes, avec des raisonnements rudimentaires – idées, clichés et raisonnements vieux de presque 2 siècles.

Malgré ses lectures littéraires, elle n’a pas encore compris que le monde est beaucoup plus complexe que l’idéologie grossière sur laquelle elle s’appuie pour « l’analyser ». On se demande ce qu’elle a tiré comme enseignement de la lecture de Proust…

Walter dit: 27 juillet 2025 à 21h09

J’ai déjà commenté brièvement la photo en disant que c’est un bel écrivain, toujours tiré à quatre épingles, le Perret épinglé.
Clopine ne lit jamais les autres.
On comprend pourquoi son mari et son fils l’ont quittée.
Une femme égoïste, c’est rare, très rare.
Malheur à celui qui tombe sur une peste pareille.

B dit: 27 juillet 2025 à 21h10

Les résistants ont été de toutes obediences, qu’ils aient étémonarchistes, anarchistes, communistesn’otent rien à leur courage. Je ne vois pas ici qui risquerait sa vie pour son pays ou sauver une autre vie dans un contexte de guerre. Peut-etre une perte de confiance ou de foi occasionnée par la tenue des échanges.

renato dit: 27 juillet 2025 à 21h19

« Je ne vois pas ici qui risquerait sa vie pour son pays ou sauver une autre vie dans un contexte de guerre. »

On ne peut pas le dire. Parfois, une lavette se révèle courageux, tandis qu’une grande gueule se cache sous le lit.

Walter dit: 27 juillet 2025 à 21h20

Bérénice,
Arrête de parler politique internationale, tu es ridicule.
Tu as l’air d’une SDF commentant des photos de belles villas vues dans un journal !

B dit: 27 juillet 2025 à 21h26

Walter, je ne vous dois rien pas meme de retenir vos conseils ou tenir compte de votre avis, si vous n’avez rien d’autre à déclarer qui devrait me concerner ( me consterner?) vous conservez l’entière liberté de choisir les pseudos qui interessent l’exigeance de votre esprit rutilant .

rose dit: 27 juillet 2025 à 21h36

Apple ; ce soit être la fameuse optimisation fiscale.
Le Luxembourg. Le Bénélux. Les îles Caïmans.

MC dit: 27 juillet 2025 à 22h03

« Des résistants monarchistes ». Certes, dont Rémy,
Et sa Confrérie Notre Dame, mais certes pas Maurras, qui, pendant la Guerre, publie d’ anciens textes accompagnée de notes très contemporaines et parfaitement abjectes…

D. dit: 27 juillet 2025 à 22h03

Puck, j’ai pu lire la plupart des notes de 1979-80 relatives à la création du système de protection logicielle AppleSsafe, certaines annotées par Steve Wozniak lui-même et pleins de notes manuscrites des ingénieurs de l’époque.

Déjà on voyait qu’un des soucis d’Apple était le verrou et sa savante optimisation avec beaucoup de moyens de R&D mis en œuvre pour y parvenir.
C’était il y a…. 46 ans.

MC dit: 27 juillet 2025 à 22h06

On s’étonne d’ailleurs que le grand humaniste de la RDL parle de les relire. Car dans Maurras, il y a ça.

rose dit: 27 juillet 2025 à 22h28

avec beaucoup de moyens de R&D mis en œuvre pour y parvenir.

Merci de nous expliquer, si vous en voyez l’utilité.

JC..... dit: 28 juillet 2025 à 4h06

CLIMATOLOGIE

Vent de Mistral fort ce matin …. Cette brise de Nord- Ouest vérifie l’adage local : « Il souffle un vent à décorner les cocus ! »

Pas question donc de sortir nos cornes éventuelles !

Ce positionnement prudent est d’ailleurs peu respecté par les coqs et les poules du coin, bestioles voulant tirer parti de leur vie libre en république démocratique et populaire, là où règne une lubricité ensoleillée joyeusement partagée !

Ainsi soit il !

Christiane dit: 28 juillet 2025 à 4h07

Rose, vous me demandez : Avez-vous trouvé le lien d’Henri L’héritier sur Louis XI ?

Henri Lhéritier ? Les vendanges littéraires ? Vous l’aviez évoqué un jour lointain pour son érudition, sa joie de vivre, son blog.
Non, je n’ai pas lu ce qu’il a écrit sur Louis XI. Pas trouvé. Pas vraiment cherché. Je n’ai pas une passion immodérée pour les rois de France. Celui-ci occupe une grande place dans une nouvelle de Balzac, maître Cornélius lus en passant sans m’y apesanteur.
Je suis actuellement dans la réécriture de contes classiques par Angela Carter. La compagnie des loups. Une trouvaille de Soleil vert. Une belle écriture, une inspiration magique revisitant les contes de Perrault ou de Mme de Beaumont. Au passage, psychanalyse et féminisme. Très surprenant. ‘es fins de ces contes sont imprévisibles…
J’ai lu aussi votre mémoire des routes menant Marie-Madeleine at la Sainte-Baume. De cela aussi, nous avions écrit.
J’ai du mal ay suivre l’actualité de la RdL. Trop de commentaires qui partent dans tous les sens avec les intermèdes habituels pénibles et répétitifs. Ma vie étant précaire, ces temps-ci, je réserve mes forces pour d’autres lectures. J’espère que vous allez bien. On vous lit moins ici. Peut-être, voyagez-vous…
A un de ces jours. Amicalement.

Christiane dit: 28 juillet 2025 à 4h16

B. a une forte personnalité et ne met pas sa langue dans sa poche. Que d’énergie pour combattre les tartines de certain rageux ! J’aime beaucoup la lire. C’est comme le mistral qui brusquement de lève et secoue la Provence. Les femmes sont vaillantes ici et ne se laissent pas piétiner.
Il en faut pour égayer ces joutes masculines !

rose dit: 28 juillet 2025 à 4h48

Christiane

On y apprend un peu de son père.
https://share.google/WUnPmaHhY8y6L4CSV
Relire la rdl en 2009, c quelque chose !
Prenez soin de vos yeux en attendant la prochaine intervention que je vous espère réussie. Attendre l’implant au bloc qui n’arrive pas, cela paraît incroyable !

Pas de voyage, pas de vacances, pas de repliement sur soi. Je rencontre, pour de vrai, des gens inouïs, avec qui je parle ; je travaille beaucoup et m’occupe énormément de ma mère. Je suis quinze jours chez moi, une semaine avec ma mère, et ensuite quinze jours chez moi et une semaine avec ma mère. C’est une rotation de hamster.

Moins ici : j’ai eu ma dose, plus que de raison, de violence. Ce ne sont pas des injures ici. Les femmes, nous y sommes laminées et passées à l’essoreuse. En vertu de quoi ? Je n’ai pas besoin de l’agressivité pour vivre. Je tends vers, difficilement mais obstinément, vers le pacifisme.
Donc, symboliquement, je mets les voiles, en attendant, qui sait ? de les mettre pour de vrai.

Le meilleur pour vous, je vous souhaite.

Chaloux dit: 28 juillet 2025 à 4h54

Que répondre à une personne âgée qui nous dit elle-même que bientôt elle ne sera plus parmi nous?

Chaloux dit: 28 juillet 2025 à 5h52

Je ne crois pas que la protestation de Pierre Assouline visant l’éviction de Maurras des commémorations du ministère de la culture, avait pour objet d’agréer ses textes antisémites. Une fois encore, Monsieur Court nous pollue avec ses objections débiles.
Il ne suffit pas d’entasser les références (presque toujours avec la plus bouffonne imprécision) pour être intellectuellement crédible. Ce pauvre diable est loin du compte.

MC dit: 28 juillet 2025 à 6h08

Pardon, mais n’est-ce pas vous qui nous aviez dit vouloir le relire, Chaloux ? Sans commentaire sur vos jugements et appréciations. MC

Clopine dit: 28 juillet 2025 à 6h32

Sortir sur la terrasse. C’est une petite terrasse urbaine, vendue avec l’appartement. De quoi tout de même avoir trois jardinières, deux chèvrefeuilles et un érable du japon. Il est tôt.

Etre sur la terrasse, et « penser à autre chose ». Mais pourtant : il y a à la fois la rumeur sourde, constante et diffuse de la circulation automobile de la ville, en arrière-plan. Du ciel, brièvement, pendant quelques secondes, un bruit un peu plus précis : celui du moteur de l’avion qui se dirige vers une destination inconnue. D ‘autres bruits, confus ou précis, peut-être une dizaine en même temps, montent de la rue. Deux se détachent : un voisin, audiblement, manipule quelque chose de l’ordre d’une poubelle qu’on sort sur le palier d’un immeuble. Et UN oiseau chante, quelque part.

S’émerveiller une seconde de la capacité du cerveau humain : car il n’a eu aucune hésitation à avoir en même temps perçu tous ses signaux sonores, et en avoir déduit, sans la moindre erreur, la signification tangible, réelle, quoi qu’ humaine, qui en découle.

Se désoler dans le même temps de la médiocrité du cerveau humain à décrypter ce que signifient « vraiment  » les sons perçus de la terrasse. Ce que ces sons disent de notre civilisation, et finalement de nous-mêmes.

Il fait un peu frisquet sur cette terrasse, même fin juillet, dirait-on.

Rentrer. L’earl grey nous attend.

rose dit: 28 juillet 2025 à 6h36

Chaloux dit: 28 juillet 2025 à 4h54
Que répondre à une personne âgée qui nous dit elle-même que bientôt elle ne sera plus parmi nous ?
Je leur réponds qu’il s’agit d’avoir la niaque. (Facile à dire).
Mais à l’étudiante en philo qui hésite a repasser l’agrégation une troisième fois, je dis pareil.
Appeler la mort, je l’entends tous les jours à Marseille avec « mais qu’est-ce que je fais là ? »
Je le vis, je l’entends.
Et tu voudrais mettre de la musique ?

Phil dit: 28 juillet 2025 à 6h53

L’earl grey nous attend

il mérite une tasse en porcelaine, tout sauf le boc à la starbuque

closer dit: 28 juillet 2025 à 7h44

Pour rappel:

« L’attitude de Rémy, ancien sympathisant d’Action française et catholique fervent, découle aussi d’une réalité longtemps occultée : la part importante qu’eurent dans la Résistance les patriotes d’inspiration maurrassienne et les anciens cagoulards. Celle-ci aurait été attestée par le général de Gaulle lui-même, auquel on prête ce mot : « A Londres, je n’avais avec moi que la synagogue et la Cagoule ».

Cela a évolué dans le temps bien sur mais le premier réflexe en dit long.

et alii dit: 28 juillet 2025 à 7h47

ET MOI JE DIS
CE NEST PAS PARCE QU4ELLE SEST SHOPPEE UNE RECONNAISSANCE D ANIMATRICE QUE ROSE DOIT LE CRIER SUR TOUS LES TUAS
C4EST L ETE

Jazzi dit: 28 juillet 2025 à 7h59

Un conte universel, tout en délicatesse et dureté, sur la relation père/fils dans la Chine contemporaine…

MC dit: 28 juillet 2025 à 7h59

Il a parlé aussi de la « petite noblesse, « , ce dont ses mots, comme plus prompte à rejoindre la France Libre que la Grande…

Jazzi dit: 28 juillet 2025 à 8h11

Déjà de retour !
Comme quoi, rose, il ne faut parler que de soit et jamais des autres et encore moins au nom des femmes, en général…

rose dit: 28 juillet 2025 à 8h13

Contente de vous lire Et alii !
Ah, oui ! Mon atelier peinture suite à ma visite à Giverny, avec trois résidents de l’Ehpad, avec le feu vert du directeur.
Il y a trois semaines, atelier, le jeudi aprem. Le vendredi midi, tout était foutu à la poubelle.
J’ai sauvé l’essentiel et fouillé ds les poubelles pour presque tout récupérer. Prête à continuer.
Et là, ce mardi dernier, découverte que tout ce que j’avais stocké dans la chambre de ma mère, caché derrière la rivière, a été de nouveau foutu à la poubelle.
Mais, l’an dernier, à la fête des mères, une corbeille de 50cm de diamètre avec quinze plantes diverses et variées a aussi été jetée à la poubelle. Ma mère dit cépamoi.

rose dit: 28 juillet 2025 à 8h16

Caché derrière la Tivi.

Le vendredi c la directrice adjointe plus une responsable de rien qui, ensemble, ont tout jeté à la poubelle.
Depuis longtemps, je sais que la seconde est une garce. Pas eu besoin de questionner C., c’est sorti tout seul.
De la chambre de ma mère, qui a tout jeté à la poubelle, je ne le sais pas.

rose dit: 28 juillet 2025 à 8h18

D’ailleurs, et alii, comme c drôle, le titre de l’œuvre d’art à la Monet, sauce rose Nantua, c’était « C’est l’été ! »

Jazzi dit: 28 juillet 2025 à 8h19

Sur les photos du haut, on peut mesurer toute l’élégance naturelle et bien française de Jacques Perret en regard de celle plus satisfaite et rubiconde d’un Winston Churchill !

rose dit: 28 juillet 2025 à 8h30

Sylvain Tesson peut aller se rhabiller tranquille. Ou sauter d’un toit sans les mains.
Quant à Emmanuel Carrère, qu’il continue à partager l’avion présidentiel, en devisant gaiement.

rose dit: 28 juillet 2025 à 8h34

puck dit: 27 juillet 2025 à 14h05
« Finky a parlé des éoliennes »

le truc qu’il faut bien voir sur les éoliennes c’est que justement on n’en trouve pas dans le Luberon et la Drôme provençale, je veux dire tous ces
lieux de résidence de parisiens qui
votent pour les partis écologistes,
parce que les mecs ils sont pas
totalement c.ns, ils font la promo des éoliennes, mais à condition de les construire loin de chez eux, de préférence à proximité de là où vivent les pauvres.

Ouaip.
Et c pareil pour les panneaux photovoltaïques.

Sybil Pythie dit: 28 juillet 2025 à 8h40

Au-delà des approximations, des vraies fausses vérités, des accomodements faciles avec les faits, l’excellent article de Nicolas Balique dans l’Histoire d’avril 2012, Maurras, prisonnier de ses haines. Extrait:

« A l’annonce du verdict, (Maurras) se lève et lance : « C’est la revanche de Dreyfus ! » Au-delà d’une pure provocation dans la lignée des unes auxquelles L’Action française avait habitué ses lecteurs, la formule exprime surtout la conviction de l’académicien de payer davantage le prix de haines exprimées depuis un demi-siècle que celui d’un engagement en faveur de l’occupant au cours des quatre années écoulées.

Ce sont des haines farouches qui chez Maurras s’entremêlent, se démultiplient, parfois s’entrechoquent. Il y a avant tout la haine de la démocratie et de la république, faibles parce qu’elles sont l’expression du plus grand nombre et d’un individualisme né de la Révolution, elle-même inspirée de la Réforme religieuse en Europe. Partant, il y a la haine du protestantisme, facteur d’anarchie dans l’Église et de corruption des esprits. Il y a ensuite la haine des Juifs, cerveaux d’un complot multiséculaire et agents d’un désordre perpétuel instigué à leur propre profit.

Il y a aussi la haine de l’Allemagne, romantique et barbare, comme de l’Angleterre, « félonne et protestante » sic. S’y ajoutent celle des « métèques », au sens grec du terme, facteurs de décadence de la cité, et celle des francs-maçons, sapeurs de la foi et complices du désordre juif et protestant. Il y a enfin le produit de toutes ces haines à partir duquel a été élaboré le socle de la doctrine monarchiste et contre-révolutionnaire dite de nationalisme intégral de L’Action française, haine des « quatre États confédérés », lancés selon lui à l’assaut de la patrie pour la ruiner et l’asservir. »

https://www.lhistoire.fr/maurras-prisonnier-de-ses-haines

J J-J dit: 28 juillet 2025 à 8h52

@ Sybil Pythie, seriez-vous de gauche ou plutôt issu.e de nulle part ?
MdNPRàcQI, Bàv,

J J-J dit: 28 juillet 2025 à 9h01

Il y aura toujours de sombres Baliques pour critiquer le grand écrivain Charles Maurras, et de sombres Salauds pour critiquer le grand penseur Louis-Ferdinand Céline… et enfin, des renaux kamus, toujours amoureux de leur image blanchie sous le harnois, pas encore grand remplacée par une plus jeune et plus basanée.

J J-J dit: 28 juillet 2025 à 9h07

Une éolienne a troublé mon champ de vision en Ecosse quand je m’apprêtais à planter mon tee et à tirer un stroke avant de convoquer Ursula. – « Virez-moi c’te merde du paysage ! »…

D. dit: 28 juillet 2025 à 9h15

La géothermie est en France l’énergie la plus discrète et la plus rentable. Il y a de nombreuses technologies, la plupart utilisant des pompes et des compresseurs alimentes électriquement.
En fait il « suffirait » que la majeure partie des calories et frigories actuellement produites électriquement le soient par géothermie. Cela allégera tellement le réseau national qu’il n’y aurait plus besoin d’éoliennes ni même de panneaux solaires. Ça personne ne vous le dis surtout pas EDF et RTE. Évidemment.

D. dit: 28 juillet 2025 à 9h20

R&D? Pardon. Recherche et Développement. Tout ce que la France ne fait pas assez ou pas du tout.

Soleil vert dit: 28 juillet 2025 à 9h29

Finky dans ses réflexions sur le paysage ne cite pas je crois Gaspard David Friedich. Si c’est avéré c’est une lacune qui invalide son propos

puck dit: 28 juillet 2025 à 9h29

dans mon excellent ouvrage « comment je suis devenu conspirationniste » y’a un chapitre où j’essaie d’étendre le concept de « fake news » des médias aux éditeurs.

d’ailleurs le chapitre s’intitule « Houellebecq, Angot… écrivains ou fake news ? »

comme c’est hyper compliqué de considérer les fake news éditoriales en les séparant du médiatique je reprends quelques grands exemples de « fake news » joyeusement relayés par tous les médias depuis 1945 (en fait toutes les guerres menées par l’occident depuis 1945 démarrent toujours sur des fake news ») aux fake news qui concerne l’édition.

par exemple je compare le coup des couveuses au Koweit qui à l’époque avaient relayé par tous les médias sans exceptions (preuve que le mot « journaliste » n’est plus vraiment très pertinent pour parler de ce métier) au cas Angot qui est aussi une fabrication médiatique, et à partir de là je regarde les similitudes et les différences.

puck dit: 28 juillet 2025 à 9h29

en fait le but est d’essayer d’analyser la façon dont on manipule l’opinion…

closer dit: 28 juillet 2025 à 9h31

Eh bien JB! En la personne de Renaud Camus, tu as trouvé quelqu’un d’encore plus narcissique que toi! Ce n’était pas facile pourtant.

puck dit: 28 juillet 2025 à 9h39

le monde de l’art et les artistes ont-ils une plus grande prédisposition naturelle à bouffer les fake news ?

probablement ça c’est plus une question d’ordre anthropologique.

une des références concernant cette question c’est cette vidéo de Goupil chez Ardisson, c’est un moment d’anthologie qui je pense restera dans l’histoire tellement son côté artistique lui donne une conviction qu’un non artiste n’a pas.

c’est à 7mn, on entend la mort :

https://www.youtube.com/watch?v=cZPhkC5Rbxo

puck dit: 28 juillet 2025 à 9h41

closer tu as réfléchis à la similitude entre colonialisme et nazisme ?

parce que moi mon but c’est de te faire cheminer dans ta tête pour découvrir des notions qui tu ignorais.

puck dit: 28 juillet 2025 à 9h49

Maurras vs Drieu vs Céline vs Renaud Camus.

ça c’est typiquement un problème médiatico temporel.

suivant qu’on se place dans les années 30, ou entre 39-45 et en 2025 la perspective est totalement différente.

là en général on fait intervenir ce qu’on appelle la « critique empirique » ou « l’empirisme critique » ou « l’empirisme logique » pour se détacher de ce facteur temporel.

d’ailleurs on retrouve ces changements temporels d’opinion parfois chez un même auteur.

exemple Houellebecq : fin des années 90 les Inrocks et Libé l’adoraient, aujourd’hui pour eux c’est un facho l’équivalent de Renaud Camus.

et pourtant Welbec est resté pareil : donc c’est le contexte médiatique qui a évolué vis à vis de lui.

d’où l’importance de cet aspect empirique dans la critique.

closer dit: 28 juillet 2025 à 9h50

SV, Finky n’était que l’animateur d’un débat entre deux invités sur le thème du paysage, voire de la nature, en général et non pas du paysage dans l’histoire de la peinture. La nature chez Rousseau, Chateaubriand, Descartes, Hobbes a été évoquée…

puck dit: 28 juillet 2025 à 9h56

@ »@ Sybil Pythie, seriez-vous de gauche ou plutôt issu.e de nulle part ? »

je crois bien qu’il est exactement comme toi.

demande lui s’il a voté pour Glucksmann il va te dire que oui.

il est aussi comme vous très imprégné de culture vision « Jack Lang » genre la culture fait de nous tous des frères, comme toi.

si ça se trouve c’est ton frère ? je veux dire un frère dont tu ignorais l’existence parce que vous n’avez pas la même mère, comme quoi ton père c’était plutôt un chaud lapin mon gars !

J J-J dit: 28 juillet 2025 à 9h56

@ Quelques nouvelles de M J-François Bohnert et de son collègue, des juges intègres.
https://www.actu-juridique.fr/breves/institutions-judiciaires/peimane-ghaleh-marzban-nomme-president-du-tj-de-paris/

Ayant souhaité installer un dispositif de géothermie sur sa propriété,
1 vu qu’il disposait de l’espace nécessaire pour les tuyauteries,
2 mais s’avisant que le prix de l’installation était tellement prohibitif à court terme bien qu’on l’eût assuré de disposer d’une source d’énergie gratuite à perpétuité,
3 mais vu que les installateurs locaux se montraient réticents à assurer la garantie décennale d’entretien du dispositif très complexe de la tuyauterie enterrée en SAV,
=> il préféra décliner le conseil et se rabattre sur l’installation d’un chauffage au sol à partir de l’équipement d’une discrète chaudière à pellets, de la meilleure marque sur le marché.
Par ailleurs,
4a il ne protesta pas contre l’édification d’une éolienne à 500 m dont les pales au soleil déclinant stroboscopaient sa maison orientée au sud-ouest, au moins une heure par jour.
4b Ni contre la généralisation des couvertures des toitures de ses voisins par des panneaux photovoltaïques.
4c Ni enfin par le remplacement, sur le champ contigu à sa propriété, habituellement cultivé à coups de pesticides, d’une culture maraîchère biologique…. programmée dans deux ans, après le repos de la parcelle (projet d’une jeune agricultrice, acheteuse de la parcelle au vieux paysan ayant vendu son autre terrain à EDF pour l’édification de l’éolienne).

De ces témoignages de décisions et perceptions phénomènes dits de transition énergétiques, dont on pouvait empiriquement témoigner, la « leçon de morale » qu’il tira pour l’Herdélie fut qu’il n’était point besoin de croire en Dieu pour donner un minimum d’espoir aux futures générations. Comme le disait quelqu’un : « dans ce foutu pays, on ne croit à rien, mais on est capable de tout ».
Bàv (bien à vous)

puck dit: 28 juillet 2025 à 9h59

@ »La nature chez Rousseau, Chateaubriand, Descartes, Hobbes a été évoquée… »

quelle nature ? la nature genre les plantes ou la nature humaine ?

parce que suivant qu’on parle des plantes ou des hommes ces auteurs ne sont pas reliés entre eux de la même manière.

puck dit: 28 juillet 2025 à 10h02

si la géothermie n’est pas au point c’est plutôt une mauvaise nouvelle pour notre continent parce que la semaine dernière, exactement le jour, exactement à la même heure le Qatar et la Russie ont décidé d’arrêter leur vente de GNL à l’Europe.

comme on n’est plus trop potes avec les algériens je crois qu’il faut essayer de faire assez vite en sorte que la géothermie marche…

J J-J dit: 28 juillet 2025 à 10h05

@ on fait intervenir ce qu’on appelle la « critique empirique » ou « l’empirisme critique » ou « l’empirisme logique » pour se détacher de ce facteur temporel.

On ne relit jamais assez Matérialisme et Empiriocriticisme… Pourtant, Punck chez les soviets de la 1st génération, ç’avait de la gueule !. Comme l’Oulianov, il donnait les réponses en posant les questions. Bàv,

puck dit: 28 juillet 2025 à 10h08

la plus marrante c’est Kaja Kallas : elle est allée en Chine avec un dossier de 37 pages où étaient listés tous les reproches genre les droits de l’homme, la démocratie, le pétrole russe etc…

déjà quand on sait que les pays Baltes sont avec l’Ukraine l’endroit en Europe on l’on trouve le plus grand nombre de nostalgiques du nazisme c’est drôle.

mais quand on connait le caractère du ministre chinois des affaires étrangère qui est du genre pas commode c’est encore plus drôle.

du coup notre amie Kaja n’était pas arrivée au n°2 de sa liste que l’autre l’a carrément envoyée ch.er ! probablement de façon assez brutale parce qu’elle s’est renversée son mug de café sur sa robe…

puck dit: 28 juillet 2025 à 10h13

« Pourtant, Punck chez les soviets de la 1st génération, ç’avait de la gueule »

je sais pas trop mon ami.

je pense que ce qui a beaucoup plus de gueule c’est de savoir ce que tu penses à la fois de Renaud Camus et de tes petits amis ukrainiens du bataillon Azov.

je crois que tu devrais faire une mise à jour de ton logiciel.

parce qu’à côté des potes d’Azov, Renaud Camus c’est limite le gendre idéal…

en fait non ! oublie ! restez tous comme vous êtes !

j’adore toutes vos incohérences.

J J-J dit: 28 juillet 2025 à 10h15

@ 10.1O / il faut essayer de faire assez vite en sorte que (sic)

…toujours des traces de langage macronique sous la plume du nanar de service. Comme quoi, yheinj ? bàl,

puck dit: 28 juillet 2025 à 10h20

celle qui m’a étonné c’est Ursula : elle a bloqué l’envoi de 2 milliards d’euros à l’Ukraine parce que l’autre il a viré les services de contrôle anti corruption.

c’est sûr que quand il arrivait un max de milliards européens en Ukraine les mecs ils pouvaient se les partager entre eux sans problème.

maintenant qu’il y a moins de milliards qui arrivent ils vont devoir s’entretuer entre eux pour récupérer le max de pognon.

je pense qu’Ursula a dû s’apercevoir qu’en même tant qu’elle refilait tout ce pognon elle aurait dû mettre en route un système de suivi et de surveillance pour s’assurer que cet argent allait bien là où il devait aller.

puck dit: 28 juillet 2025 à 10h24

@ »toujours des traces de langage macronique sous la plume du nanar de service. »

je t’ai déjà dit : je n’ai (hélas) jamais été communiste.

par contre je suis marxiste, un vrai marxiste, limite je sais à quel âge Marx a fait sa première dent.

Marx était un génie et il restera dans l’histoire et on le ressortira dans 100 ans, dans 500 ans etc…

Claudio Bahia dit: 28 juillet 2025 à 10h25

puck dit: 28 juillet 2025 à 9h41
closer tu as réfléchis à la similitude entre colonialisme et nazisme ?

parce que moi mon but c’est de te faire cheminer dans ta tête pour découvrir des notions qui tu ignorais.

Ce Puck nous prend vraiment tous pour des imbéciles; alors qu’il est lui-même englué dans un fatrat de pensées circulaires, sans tête ni fin.
Quand allez-vous cesser de vous prendre pour un Fenix, un Alpha Tier, et de nous laisser tranquilles dans nos misérables vies sem futuros (sans espoirs)

puck dit: 28 juillet 2025 à 10h25

3j tu crois qu’on devrait leur envoyer Renaud Camus en Ukraine ?

je veux dire à la place de Glucksmann et BHL ?

ça aurait plus de gueule non ?

puck dit: 28 juillet 2025 à 10h27

@ »Ce Puck nous prend vraiment tous pour des imbéciles »

c’est la première que je lis un truc vrai et à peu près intelligent dans un de vos commentaires.

comme quoi faut pas désespérer…

puck dit: 28 juillet 2025 à 10h31

je suis désolé Bahia, mais closer n’avait jamais remarque que le nazisme et le colonialisme c’était des trucs tout à fait similaires.

un type comme closer s’en rendre compte ça peut changer sa perception du monde, voire même son existence, en plus comme il est vieux et qu’il ne reste plus beaucoup d’années à vivre t’imagines la Révélation ?

Walter dit: 28 juillet 2025 à 10h38

Docteur Franchouillard et Mister Brésilien !
Il s’amuse comme il peut, le vieux Closer Bahia !

Jazzi dit: 28 juillet 2025 à 10h52

« tu as trouvé quelqu’un d’encore plus narcissique que toi »

Oui, mais moi je ne suis pas maurassien, closer !
Uniquement barozzien…

Janssen J-J dit: 28 juillet 2025 à 11h22

10.24 je t’ai déjà dit : je n’ai (hélas) jamais été communiste.

Qui a parlé de ça ?… On VOUS renvoyait à VOS manques de lectures, Vladimir OULIANOVL notamment, qui n’était juste qu’un penseur et un acteur bolchévique de premier plan, pas un communiste, comme l’expliqua fort bien naguère Mme Carrère d’Encausse, la fille de son père.
Bàv,

MC dit: 28 juillet 2025 à 11h29

Un Maurrassien utilise le catholicisme mais n’y croit pas,, et comme l’illustre maître, le descend quand il peut( «  le poison du Magnificat ») , n’oublie pas l’Excommunication fulminée contre le mouvement. Baigne dans le plus noir antisémitisme, pas seulement celui des journaux, mais aussi des œuvres du maître rééditées entre 1940-45 avec des notes actualisantes et abjectes. Est à l’image du maître, ou dans le pastiche ( l’Ecole Romane, qui l’est si peu!) ou dans la surdité complète vis-à-vis du monde extérieur, ce qui lui permet de prendre du Comte tout à fait banal, pour du Corneille. «Et c’est ainsi qu’Allah est grand «  comme disait le cher Vialatte..,

J J-J dit: 28 juillet 2025 à 11h33

10.25 Je crois juste savoir qu’à la différence de Finkielkraut, BHL & Glucksmann, R. Camus se targue de n’être pas né juif. Mais je peux me tromper, bien sûr, ce qui, pour beaucoup, devrait pouvoir l’exonérer de son maurassisme « irremplaçable » /sic.
Pour le reste, le punckt de service, je continue à instruire à décharger mon dossier à votre seul usage. Bàv,

nb/ nul n’a du reste jamais pensé que Bahia et Closer étaient la même chose, en dehors de D92, P75 et de Walter Spanghero Revient74.

J J-J dit: 28 juillet 2025 à 11h39

@ englué dans un fatrat de pensées circulaires, sans tête ni fin ///
Très juste, CB (10.25)… sans queue ni tête, et vicieux comme serait devenu le cercle de sa cervelle qu’il aurait trop caressé.

Jazzi dit: 28 juillet 2025 à 11h48

Les maurassiens d’aujourd’hui, tel Renaud Camus, ont subsitué aux Juifs les Arabes et les Africains…

FL dit: 28 juillet 2025 à 12h04

Et il a moins emmerdé Barthes que ce pauvre Philippe Sollers.

J’ai cru pendant longtemps que c’était lui qui avait initié Barthes à la peinture de Cy Twombly mais je me trompe.

« En France, et à l’exception d’une discrète exposition organisée par Pierre Restany en 1961, Twombly apparaît sur la scène artistique avec deux expositions chez Yvon Lambert en été 1971 et au printemps 1974. Très vite le galeriste entreprend un catalogue raisonné des œuvres sur papier de la période 1973-1976, dont il demande à Roland Barthes d’écrire la préface. »

Encore une commande dirait Antoine Compagnon.

https://shs.cairn.info/revue-rue-descartes-2001-4-page-61?lang=fr

FL dit: 28 juillet 2025 à 12h27

Dans le poème il est question de deux géraniums à côté de la tombe de Gramsci. Or sur la photo on ne voit pas de géraniums.

Je soupçonne que la photographie a été prise après coup. Un journal qui voulait illustrer la parution du livre. Ou quelque chose de ce goût.

Sans compter la présence, incongrue, d’un photographe.

https://www.youtube.com/watch?v=dKUItScHUC8

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