Le « voyage » de Ferdinand Balmer
Cela ne pouvait décemment pas commencer autrement que par « Ca a commencé comme ça… ». L’incipit du Voyage au bout de la nuit n’est peut-être pas aussi connu que celui de la Princesse de Clèves, de la Recherche ou de l’Etranger, mais tout de même. On en use souvent comme d’un clin d’œil ou un d’un signe de reconnaissance. Le comédien Jean-François Balmer est depuis quelques jours Ferdinand Bardamu sur la scène du Théâtre de l’Oeuvre à Paris, à une encablure de la place de Clichy, détail qui n’est pas superflu s’agissant du bonhomme Céline. Le spectateur se sent d’emblée dans le motif. Une fois mise à distance toute vaine polémique sur le polémiste, comment rendre en une heure et trente sept minutes « la symphonie agitée de la nuit pour rien » ?
Il a fallu couper bien sûr dans le monstre de Céline sinon, on y serait encore. Quatre parties, autant de moments : la guerre, l’Afrique, l’Amérique, la banlieue. Les morceaux d’anthologie sont là : « L’amour, c’est l’infini à la portée des caniches… Il faut choisir : mourir ou mentir… Le voyage, c’est la recherche de ce petit vertige pour couillons… New York, une ville debout…». Mais le vrai choix de l’adaptateur Nicolas Massadau est ailleurs. Il est dans la sonorité générale que rend son découpage. Evacuées la misanthropie et la misogynie –et pourquoi pas ? Mais il n’a pu retirer le noir de ce texte enténébré où les rares éclairs de lumière ne sont que des faire-valoir de l’ombre, et où les injonctions surgissent dans du jus de fumée. De la musique pour faire danser la vie. Son personnage, le comédien le voit comme un homme naïf et ahuri, jamais remis d’avoir survécu au grand abattoir. L’essentiel est sauvegardé, transcendé, magnifié par l’extraordinaire métier de Jean-François Balmer : la pièce rend justice au génie comique de Céline. A sa faculté de s’épanouir dans le clownesque. Ce n’est pas Luchini qui fait du Luchini, ce n’est pas même Balmer qui fait du Céline : c’est Bardamu qui vous parle en personne.
Hier soir, dans le morceau sur l’Amérique, il y eut comme des blancs, des hésitations, des silences suivis d’une baisse de rythme. La sonnerie d’un portable venait de le déstabiliser, lui qui n’a rien d’un hypermnésique, lui qui exerce sa mémoire comme un muscle. Du travail et encore du travail. Celui qui s’appliquera autant que lui fera aussi bien : air connu, de Bach à Céline (le bandeau de Mort à crédit). Et voilà que cette saloperie impromptue venait lui casser la baraque alors que tout le monde buvait ses paroles. Une musique de sonar audible dans tout le théâtre, interminable, insistante, infernale, qui insultait la musique de l’écrivain. Un condensé de toute la grossièreté de l’époque, la nôtre. Après ce mauvais moment qui menaçait de laisser des traces, il fallut retrouver le fil et remonter la pente. On comprendrait qu’un jour, brusquement, un comédien tire le rideau comme on claque la porte. Mais où qu’il aille en lui ou hors de lui, on comprend bien que le spectre de la guerre le hante. La guerre, clé du livre et de l’homme ; son pacifisme a des résonances voltairiennes, car Candide n’est jamais loin de ceux qui la dénoncent. Il faut toute la puissance du jeu de Balmer, tour à tour chuchotant ou vociférant, lâchant parfois la bride à son accent légèrement trainant sur la fin, du canton de Neuchâtel, pour nous le faire ressentir sans jamais en rajouter. Rarement celui qui donne à entendre aura ainsi donner à (re)lire.
Lorsqu’il a salué, on sentait qu’il s’en voulait alors qu’il n’y était pour rien, et qu’il maudissait secrètement tous les Sfr, les Bouygues, les Orange de la création. Les derniers mots que son personnage venait de prononcer lui allait bien : « … et qu’on n’en parle plus ». Grand comédien, grand texte, grande soirée.
(Photos Dunnara Meas)
271 Réponses pour Le « voyage » de Ferdinand Balmer
Boh vaut mieux pas faire d’études sérieusement que… Euh non pas faire sérieusement d’études… Euh… Sérieusement pas faire d’études que faire pas sérieusement… Enfin bon finalement c’est pas très limpide…
JC, la terre n’est pas plate, parce que je l’ai vue quand j’étais en orbite non stationnaire à 152 km de hauteur. Par contre elle est creuse, vraiment creuse.
La Terre n’est pas plate, D. ? Mais…depuis quand ? je ne me suis aperçu de rien !
La Terre est creuse, parce que ça je l’ai vu aussi JC. Je connais plusieurs entrées. Oui, Bugarach en est une, mais très secondaire, et interdite en service normal. Par contre il y a de très nombreuses entrées sous-marines avec des sas étanches performants, et même des entrées sous-lacustres, dont celle que j’ai pu emprunté sous le Lac Baïkal et qui m’a permis de visiter, trop rapidement il est vrai, le monde de la Terre Creuse. On peut vraiment parler d’un Monde, parce que tout l’espace est utilisé, c’est assez phénoménal quant on voit ça pour la première fois. Enfin, en ce qui me concerne, j’ai trouvé ça phénoménal.
La Terre est creuse, parce que ça je l’ai vu aussi JC. Je connais plusieurs entrées. Oui, Bugarach en est une, mais très secondaire, et interdite en service normal. Par contre il y a de très nombreuses entrées sous-marines avec des sas étanches performants, et même des entrées sous-lacustres, dont celle que j’ai pu emprunté sous le Lac Baïkal et qui m’a permis de visiter, trop rapidement il est vrai, le monde de la Terre Creuse. On peut vraiment parler d’un Monde, parce que tout l’espace est utilisé, c’est assez phénoménal quant on voit ça pour la première fois. Enfin, en ce qui me concerne, j’ai trouvé ça phénoménal.
Sergio, c’est bien vous qui avez écrit le 15h48 ? Parce que l’épidémie de belzébutique se propage à une vitesse stupéfiante. Elle viendrait d’un informaticien de WordPress, il paraît. Angoissant … et sans réponse du corps médical, pour l’instant.
La Terre quand même c’est difficile à savoir vu que de toutes manières elle est basse donc ça dépend. Et c’est bien malheureux si elle pouvait parler, car en tout état de cause elle ne ment pas…
Pardon : celle que j’ai pu emprunteR. Qu’est-ce qui m’arrive aujourd’hui ?
Deux amis de la planète m’avaient dit qu’un matin magique, ils avaient vu la Terre creuse. Mais comment est ce possible, puisqu’elle est plate ? je suis un peu perdu…
Je crois que JC a un imitateur. J’ai du mal à reconnaître le JC que j’admire dans les sornettes qu’il écrit aujourd’hui.
WordStress finalement c’est comme Windows, tout le monde dit que c’est affreux mais tout le monde en boit c’est le velours de l’estomac…
« Je crois que JC a un imitateur »
Belzébuth ! Belzébuth !
Je sais que vous êtes crédule, pardon, croyant, D.
Que pensez vous de l’annonce faite pendant sa dernière messe par Don Vito Lombardo, curé de l’église sicilienne de San Lorenzo, qu’il allait épouser sa compagne enceinte de 5 mois ?
Paraît qu’il vont appeler le gniard Loui-Ferdinand ! Vous y croyez, vous ?
Ce blog est sous l’emprise du diable. J’ai l’impression que tous les commentaires sont écrits par un robot démoniaque. Y compris les miens. Ils m’échappent.
On peut mettre un peu de creux dans ce qui est plat, à condition d’une certaine épaisseur. Mais enfin, là n’est pas le sujet, puisque la Terre est ronde en raison de son petit noyau radioactif ultra-dense et ultra-véloce.
Attendez, JC, je me renseigne et le robot vous répondra.
ne trouvez vous pas que la circulation devient ici circulaire ou rotatoire,le début devient la fin et inversement ,impossible d’attraper la queue de l’animal si c’en est un mais bien sur non,le blog tourne en rond cherchant son astre central ou peut être le noyau fait campagne pour acquérir ses fidèles électrons?pataphysique
mon mari est un commentateur officiel et régulier de la rdl. méfiez-vous c’est un pervers et un mauvais hommer. il vous fera croire qu’il vous aime bien et sous un autre nom il vous cassera du sucre sur le dos. il pastichera un commentateur pour attaquer quelqu’un et faire d’une pierre deux coups.à part son scooter et deux blogs rien ne l’intéresse dans la vie.il n’a pas de temps pour lire même si il le fait croire ou faire l’amour. télévision ou internet c’est la seule chose qu’il sait faire.je n’appelle pas cela un homme.mais je ne dirais pas qui c’est, je suis trop bonne trop c. ji sait bien..
Taisez-vous, W. Vos propos sont absurdes. Vous me rappelez parfois cette fofolle de Bérénice.
D,Elégant D ,nous voguons sur un vieux container,ne voyez vous rien venir?
C’est quoi un Commentateur officiel de la RdL ? Ils ont une carte barrée tricolore ?
Je peux avoir la mienne dans ce cas ?
D Elégant D tentai je donc! nous voguons sur un vieux container,ne voyez vous rien venir? d’heureux cela va sans dire s’il faut l’écrire par sécurité
@dédé
c’est un intervenaute comme vous mais c’est pas vous
@dédé
c’est un intervenaute comme vous mais c’est pas vpous
C’est réducteur, code barre épicétou …
Lâche, que je suis, au(x) 2ème(s) des turgescentezélect(r)(i)ons, j’m’rabats, sans fierté, sur le PS – what a shame …
je trépigne d’impatience : la réaction de tkt, voire ses réactions (il a des pertinences qui « marquent ») ; m’étalerai pas plus (sic), ici, les malentendus des mal-comprenants me surprennent (et perso, j’peux en faire partie..)
Bien sûr, vous pouvez avoir votre carte de Commentateur Officiel de la RdL !
Il vous suffit d’envoyer 5 euros à l’adresse suivante : Père Noel, Ile de Porquerolles, France. Toutes nos cartes sont bénies par Passou et signées par le président renato.
impossible d’en placer un de plus,la consigne est au naufrage,pas question de secourir les non élus des dieux puisqu’ils président à la séance.J’écrivais à votre intention cher D que notre situation des plus inconfortables nous conduisait à voguer sur un vieux container,dont le contenu nous reste à ce jour inconnu ,portés par des courants peu porteurs de plus,je ne sais si l’écrit sera abordable avec la quiétude requise et suffisante
je ne vais pas tout vous expliquer depuis le debout, je n’ai pas le temps de chercher les références.
Pardon : du foie gras, sans trait d’union. Je vous l’ai dit, un robot démoniaque écrit parfois à ma place.
fumé y compris pour les poissons se révèle toxique et cancérigène mieux vaut manger cru tout ce qui se présente à l’étalage que fumé c’est mauvais
Personne n’est D., sauf moi. Et mon robot.
C’est quoi, cette histoire de batard de curé en sicile ? Pourquoi Louis-Ferdinand ? Et ma queue fourchue qui a rayé la baignoire, damned !
Je sais bien que JC et renato signent parfois D. pour me faire une farce. Mais ce n’est pas grave. Entre eux et moi il y a de la tendresse.
C’est mon Papa qui me l’a acheté pour mes 15 ans. J’ai pu aller à Aurillac tout seul. Trente-deux kilomètres mine de rien. Au retour, j’ai mis le robinet sur la réserve.
Pourrait-on supprimer le commentaire de 16h41, qui est une ignominie ?
moi je n’apprécierais pas qu’on me casse du sucre sur le dos ,est-ce du sucre en morceaux?
Je veux parler du commentaire de « la concubine », évidemment.
Mettre le robinet sur la réserve, une ignominie, et pourquoi-donc je vous prie ?
Je crois que j’ai un peu trop commenté aujourd’hui, je vais donc m’arrêter. Mais la vraie raison est que je refuse d’être lu par des individus comme W.
J’aimerais que mon robot cesse de s’intéresser à mon robinet. Merci.
Pour tout l’or du monde je ne signerai jamais D. ou renato : tant de choses nous séparent. J’aurais honte…
zyva ! virtuellement, « la totale » de Vuillemin
J.brown, tellement imbu de sa personne-fin-lettré », me gonfle grâve –> ça va chier (du coup, histoire qu’il s’y prépare, Vuillemin
(Lindingre, c’est trop soft pour lui).
Oh ! eh ! Vuillemin, n’est pas à confondre avé Vilepin, hein!)
relire « la dent creuse »
C’est étrange, on dirait que les commentaires ne s’affichent pas dans le bon ordre.
Jean-Luc Lefort dit: 14 décembre 2012 à 17 h 12 min
C’est étrange, on dirait que les commentaires ne s’affichent pas dans le bon ordre.
Sans blague ? Ah, c’est fort de café ! Merci de le signaler Jean-Cul, vous êtes un ange.
Bon mais est-ce que dans la première période, celle du casse-pipe, on voit sur scène Portat des Oncelles dans son inoubliable tour de manège, sautant les obstacles presque arrêté, une pièce de monnaie sous les fesses pour démontrer l’assiette ? C’est primordial !
Je compatis grââveuh. Mon aide (sans préciser laquelle) pourrait-elle vous être utile – je peux, for exempeule, vous apporter qq gâteaux secs que nous grignoterons, accompagnés, soit d’un thé (de chine), soit d’un café (purarabica), vot’horaire (et non hoNOraire) sera mine. bàV (je ne vous bââve pas dessus, hein, on n’s’conn’est point)
» dont celle que j’ai pu emprunté sous le Lac Baïkal »
Ah, Dédé et ses emprunts russes…ses balades sur le lac Baïkal au son des balalaïkas, la chienne Laïka au pied et le Leica en bandoulière.Le bas laïcat (Dédé est défroqué)aime la grande moujik.
Ce qu’il omet de dire, l’astronome en culotte Kurt, c’est que lui-même, au cours de ses pérégrinations onirico-masturbatoires, a été emprunté à son nain su, à son sein nu, aussi.
Un peu comme dans le « Voyage fantastique » de l’estimable R.Fleischer, où l’on s’extasie aux exploits d’ Henri Krasucki (son nom d’artiste était Donald Pleasance, ça fait tout de suite plus distingué)et son staff de pseudo-savants vadrouillant dans un vaisseau dans un vaisseau, le Monde de la Tête Creuse de Dédé a été parcouru en tous sens, kreuz und queer, par un sous-marin miniaturisé, à la recherche de traces d’intelligence naturelle ou, à défaut, artificielle. Inutile de dire que l’équipage revint bredouille de ce rendez-vous en tête inconnue, juste très enrhumé because l’exposition prolongée aux courants d’air.
Primordial, c’est bien le mot. Je vois que vous êtes incollable sur la question, Sergio. Vous m’impressionnez presque autant que renato.
Et nous sommes toujours sans nouvelles de TK. Je commence à m’inquiéter. Je sais qu’il est assez primesautier et j’espère qu’il ne s’est pas fourré dans une sale histoire.
Oui mais maintenant sur la Yam dans les rues de Nancy quand il y a rien à faire qu’on peut pas bomber, en franchissant les gendarmes couchés je peux plus m’empêcher de penser à Portat des Oncelles…
Nous avons recueilli hier un anachorète déshydraté dans le désert de Casmanie prétendant se nommer Tron, Gron ou quelque chose comme Kron.
Presque nu, Berlutti aux pieds, très affaibli mais conscient autant que faire se peut, le susnommé Kron nous a beaucoup parlé dans son délire d’une « bande à passou » constituée de bardamutants dévoyés, sa seule famille.
Il s’est écrié avant de sombrer dans une profonde somnolence « Prévenez D. ! prévenez D.! ».
Prière envoyer de l’argent pour son entretien, couteux. Merci.
Comme le dit plus haut notre Père Supérieur, envoyez nous beaucoup d’argent : le Kron est dépensier et il a bu en cave nos meilleurs crus « pour se remettre ».
test
Dans ces conditions, on le fout dehors à minuit, cet imposteur ! Ce ne sont pas les anachorètes qui manquent….
Tiens, je ne savais pas que Sergio avait un blog. Je vais aller voir.
et je le prouve
Une fois encore, de faux D. déclinés de multiples façon sont apparus, alors même que Bouguereau est absent. Si l’on parvenait à me démontrer qu’il n’y est pour rien, je sortirais aussitôt de ce blog sans aucune manière d’exorcisme.
C’est bien ce que je disais supra : ça n’est aucunement drôle. De plus je vous interdit de parler de Traube de cette façon ridicule.
Et alors ce banc, c’est vraiment celui du passage des bérésinas ?
Au JC de 17h58
Aucun risque que ce soit mon Kron à moi.
Mon TKTT bien aimé ne porterait jamais au grand jamais des copies.
Ses BerluTi sont des BerluTi ou rien.
Blanches de préférence.
Sergio, pas de belle démonstration dans CASSE-PIPE, mais j’y relève pour vous quelques phrases. Il s’agit de ce qui est promis par le brigadier Meheu au nouvel engagé quant à l’apprentissage de la monte :
» – T’as pas fini la polka ! …Tu vas couronner, galvaudeux!
…Comment que tu feras au manège ! Ca tient déjà pas en l’air… Ca va chier partout ! Pitié, misérable ! C’est ça qu’on envoye de Paris ? En avant les Russes ! pour le dressage pine de mouche ! Tous étriers sur l’encolure ! tout au feu dans son cul ! Au feu ! au feu ! le cul en rillette ! Il a péri par son derrière ! Le pauvre fi d’engagé ! Les miches en avant ! Maudit chiure ! Au pommeau je veux voir ! Voussez ! Le qui qui monte sur les couilles je le passe au falot ! C’est saisi ? En l’air les cuisses ! En l’air ! ils me bouillent ! ils me tuent les canaques ! Assis ! Plus de fesses au peloton ! C’est gagné !… »
Sergio, j’ai cueilli pour vous quelques phrases de CASSE-PIPE, mais c’est remontélà-haut…sous votre 19h40.
Et puis, à propos de théâtre, je me demande pourquoi on ne remonte pas L’EGLISE (peut-être la veuve ne le veut-elle pas, y compris à cause du troisième acte ?)… Céline lui-même trouvait que sa pièce n’était pas très bonne, mais j’en ai vu deux mises en scène, naguère, et c’était bien, quoi ! Le docteur Bardamu parle…et il y a une danseuse, pour emporter un peu toutes les misères.
Ah, ce Bardamu… Quel théâtre est pour lui la vie !
« Les êtres vont d’une comédie à une autre. Entre-temps la pièce n’est pas montée, ils n’en discernent pas encore les contours, leur rôle propice, alors ils restent là, les bras ballants devant l’évènement, les instincts repliés comme un parapluie, branlochants d’incohérence, réduits à eux-mêmes, c’est-à-dire à rien. Vaches sans train ».
Rude école, faut dire, que l’équitation…
Je vous plains.
je ne pourrais vous en écrire autant ,par manque de compassion ,après tout vous n’obtenez que ce que vous méritez.Je vous souhaite bien plus encore.
Propos à résonances très actuelles…
14 jours sans ecrire de commentaire,et voila quand meme bougre de rot et phil qui me citent. Misere,je suis dans le sud de l’Afrique et toujours cite apres deux semaines de silence.
PS: L’ordinateur de l’hotel ne connait pas l’accentuation francaise. Sorry, que les ayatholas m’en excusent.
D.,je suis en Namibie, dans le parc national d’Etosha. Pas le temps de passer des heures sur internet.
By the way, ne confondez pas votre tete avec la Terre.
Allez vous venir le 23.12.2012, pour connenter cette fin du monde qui n’arrive pas ?
Je vous souhaite une joyeuse nuit de noel et pas tro d’abus de vin de messe.
Merci
Le « voyage » de Ferdinand Balmer
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