L’ego-péplum d’Emmanuel Carrère
Il y a des livres qu’on aimerait aimer pour de multiples raisons : on suit l’auteur de longue date, sa personne a toute notre sympathie, les bonheurs de lecture qu’il nous a déjà offerts sont encore vivaces, l’annonce même de son projet nous avait déjà enthousiasmé en son temps (et quand en plus, on a écrit Vies de Job, on se sent déjà en complicité). Seulement voilà : on aimerait mais on n’y arrive pas. Difficile de se dire déçu car un écrivain ne doit jamais rien à ses lecteurs. Il n’a de comptes à rendre à personne. Il écrit ce qu’il a à écrire pour le meilleur et pour le pire, et débrouillez-vous avec ça. Emmanuel Carrère se remettra sans peine de ma voix discordante dans le concert d’éloges qui accueille déjà Le Royaume (630 pages, 23,90 euros, Pol). C’est peu dire qu’il a la carte : prix littéraires, critiques au rendez-vous, public fidèle… Il est des rares à bénéficier d’un automatisme dans la ferveur. Pourtant, on imagine mal qu’un tel livre vitrifie la rentrée, comme ce fut le cas avec les romans de Michel Houellebecq, même si, de La vie catholique au Nouvel Observateur en passant par Télérama, ils s’y sont déjà presque tous mis, et dans les grandes largeurs. Quelle couverture alors que le livre ne sort qu’en septembre ! Le royaume des cieux médiatiques est à lui. C’est là un privilège dont les mécanismes demeurent une énigme, mais qu’importe : seul compte le texte.
C’est d’une quête personnelle qu’il s’agit. Celle d’un Français de 56 ans nommé Emmanuel Carrère, auteur d’une douzaine de livres, qui se demande comment il a bien pu, lui le laïc, avoir une crise de foi à l’automne 1990. Trois ans durant, il avait alors renoué avec son baptême et vécu intensément le catholicisme. Rencontres, échanges, partages, doutes, lectures et la messe tous les soirs à 19h, en l’église Saint-Séverin, avec confession et communion à la clé. Et d’embarquer ses enfants dans son aventure spirituelle. On conçoit que cela secoue. Mais pourquoi y revenir longtemps après, une fois virée la cuti ? Un paragraphe en donne une idée : celui où l’auteur s’ouvre à son agent de sa panne d’inspiration, de l’assèchement de son imaginaire, de sa pénurie de sujet. Une première fois, sur les conseils de celui-ci, cela donnera une originale biographie de Philip K. Dick (Je suis vivant et vous êtes morts, Seuil, 1993). Quelques livres et épisodes dépressifs plus tard, il se résout à se retourner vers son moment mystique. Non seulement pour s’expliquer à lui-même les détours de son chemin vers le Très-Haut, mais encore pour explorer les origines du christianisme en se focalisant sur l’évangile de Luc et les épîtres de Paul. Ainsi une quête se mue-t-elle en enquête. Fort bien. Mais ce qui me gêne le plus, c’est qu’Emmanuel Carrère soit convaincu qu’un livre, c’est « un sujet » :
« J’ai l’œil pour repérer un sujet quand j’en aperçois un” assure-t-il, non sans fierté.
Or un récit, puisque celui-ci n’est pas vraiment un roman même s’il reconnaît que c’est celui de ses livres dans lequel la part d’invention est la plus importante, c’est tout ce qu’on veut, un cœur qui bat, du chagrin développé par la grammaire, une dépression habillée de syntaxe, un moyen de comprendre ce qui nous arrive, tout mais pas un « sujet » ! Sauf au lycée.
La première partie, longue d’une centaine de pages, mêle un certain nombre de considérations personnelles sur la vie comme elle va, la légèreté du joug du Christ, l’insoutenable légèreté des Lettres, les problèmes avec la baby-sitter, aux repentirs et doutes existentiels d’un ancien catho dogmatique, à ses problèmes conjugaux, à l’influence de sa marraine Jacqueline qui a écrit nombre de cantiques. Les trois parties suivantes se collètent avec les Ecritures dans les versions comparées de la Bible de Jérusalem, de la TOB et de Lemaître de Sacy, savant scrupule des plus louables. Mais à la Carrère, c’est à dire avec l’esprit et la manière d’un fan de Philip K. Dick, qui voit dans l’histoire des débuts du christianisme des ressemblances troublantes avec Les Revenants.
« C’est l’histoire de quelque chose d’impossible et qui pourtant advient » écrit-il dans le prologue. Certes, encore que dit comme cela, le compas est si largement ouvert que nombre d’événements de par le monde seraient concernés.
Des naïvetés y côtoient des lieux communs et des erreurs, ou des contre-sens comme cette drôle d’idée de vouloir à tout prix faire d’Ekklesia la transcription grecque de l’hébreu tsahal « qui veut dire l’assemblée et désigne aujourd’hui l’armée israélienne », alors que Tsahal est tout simplement l’acronyme de Tsva Hagana LeIsrael qui signifie « Forces de défense d’Israël » et qu’en hébreu « assemblée » se dit klal ou knesset ; ou Flavius Josèphe présenté comme « un ami » de Titus alors qu’il n’est que son protégé ; ou Luc « se serrant la ceinture » pour acheter La guerre des Juifs, comme si c’était une nouveauté, à la Fnac etc.
On sait la pauvreté d’une pensée qui s’exprime par analogies. Or ce livre en est plein. C’est ainsi que l’on voit débarquer Lucky Luke, le général de Gaulle, Ben Laden et Mel Gibson à tout instant en pleine exégèse. Ce qui donne par exemple :
« Paul de Tarse n’était ni Philip K. Dick ni Staline- même s’il tenait un peu de ces deux hommes remarquables ».
Nous voilà bien avancés même si c’est de paranoïa qu’il s’agit. Or toute la fresque est de cette encre. Emmanuel Carrère dit avoir mis sept ans à venir à bout de son projet littéraro-spirituel ; on se demande pourquoi. La bibliographie manque cruellement à la fin (on a bien repéré Ernest Renan et Hyam Jacoby au passage mais guère plus). Son exposé, tant de l’ancien que du nouveau testament, est d’un didactisme confondant. La Torah pour les nuls ! Les Evangiles racontés à mes enfants ! On attendait moins de niaiseries sulpiciennes. Si c’est cela l’universalisme paulinien, autant s’engager tout de suite dans le djihad en Irak ! Dans un premier temps, je me suis dit que tout esprit frotté d’un peu de catéchisme en sourirait et que le public ne suivrait pas cette fois l’auteur dans sa vie et ces autres vies que la sienne ; mais je me suis ravisé lorsque des voix amies m’ont appris l’ignorance crasse des Français sur les origines du christianisme, et sur le fait que nombre d’entre eux allaient tout découvrir dans ce livre. Au passage, ils y apprendront également (cela doit être important car l’auteur y consacre près de onze pages) que, pour ce qui est des films X, les filles qui se masturbent face caméra ont la faveur des fantasmes d’Emmanuel Carrère, tout cela pour finir par se demander si la Vierge Marie elle-même ne se branlait pas puisqu’elle avait sûrement un clitoris comme tout le monde…
L’auteur reconnaît n’avoir pu venir à bout des Mémoires d’Hadrien de Marguerite Yourcenar. Lorsqu’on lit Le Royaume, on comprend pourquoi. L’un est aussi écrit que l’autre ne l’est pas. Non que sa langue en soit vulgaire à force de vouloir vulgariser. Mais elle se veut si familière, elle en devient si relâchée, qu’elle finit par être ordinaire. Ce qui est incompréhensible quand on a écrit La Moustache, La classe de neige, L’adversaire, Un roman russe, D’autres vies que la mienne. Aujourd’hui, Emmanuel Carrère dit avoir du mal à se passer de « la folie du christianisme ». Il ne croit plus mais on ne dira pas qu’il n’y croit plus car il demeure très attaché aux leçons de vie du message évangélique. Ses derniers mots à l’issue de son enquête sont pour s’interroger sur sa fidélité à lui-même. Ai-je trahi le jeune homme que j’ai été ? Fidélité, le plus beau mot du livre. Car c’est bien l’auteur le vrai sujet de cet ego-péplum revendiqué comme tel. Regrets éternels pour le lecteur qui aurait tant aimé s’y royaumer.
(Photos de Jean-Pierre Bertin-Maghit)
1 014 Réponses pour L’ego-péplum d’Emmanuel Carrère
« Ai-je trahi le jeune home que j’ai été ? »
…j’M !
« Crise de foi »
…j’aime !
A ce Carrère là, préférer de toute façon Jean-Claude Carrière … Bonne soirée, mes gentils passouliniens de luxe !
mel gibson? des filles qui se masturbent! lucky luke, jesus, de gaulle et ben laden!Ah, nom de dieu! enfin un film de mocky!
Un vrai roman décadent postmoderne…
(… superbe travail d’éboueur littéraire, Maître Assouline ! Compliments mérités !…)
C’est vrai que les Mémoires d’Hadrien, c’est trop écrit. Je suis d’accord.
À mon avis, la prochaine étape pour lui, c’est le suicide.
C’est vrai aussi qu’un roman n’est pas un « sujet ». Tant de chefs-d’œuvre dont ledit « sujet » est à priori insignifiant.
Je ne peux pas dire que j’ai gagné 23,90 €, je ne les aurai pas mis (rien que l’écouter m’insupporte alors le lire) mais merci quand même à passou.
J’ai déjà essayé de le lire par le passé, son livre m’est tombé des mains.
je n’ai jamais réussi à lire plus de trois pages de ses livres, comme Proust (et encore !)
« Et d’embarquer ses enfants dans son aventure spirituelle. »
Je sens que je ne vais pas changer d’avis.
Une confirmation par ailleurs : l’absence d’une critique littéraire journalistique en France… Tous des bœufs ou peu s’en faut.
« des ressemblances troublantes avec Les Revenants. »
Carrère, Michel, même combat ?
Je n’en crois pas un mot.
Je dis ça je dis rien,
mais j’ai l’impression que pour le Goncourt il va lui manquer une voix.
« sinterroger sur sa fidélité à lui-même »
Je comprends qu’il faille créer un verbe pour décrire une telle action.
« trahi le jeune home »
Une cabane d’enfance ?
Non!non!non!la sainte vierge ne se tirlipotait pas la capsule! le penser est infâme,l’écrire est blasphématoire,le propager est satanique! Les plus hautes autorités ecclésiastiques appellent à un rassemblement devant le parvis de Notre-Dame, demain, dès la fin de l’office des laudes. Venez sans les enfants, car celui qui a proféré cette monstruosité est un protégé de la République, et on ne nous laissera pas crier notre indignation, O mes frères, sans que de vilains crs ne nous violentent avec leur grosses matraques.
C’est pas demain la veille que je vais retrouver la foi… en la littérature !
Passou m’a tuer…
Petit jeu de fin des vacances : saurez-vous trouver
une, des analogies, du début du billet
au bas du commentarium ?
Spiritopaupèrimétriquement.
je présume que bouguereau va fantasmer sur le clitoris de la vierge, ce vieux débris, attation dirait JC
Alors là, c’est pas juste.
Je sors de la librairie, et ce livre n’était pas en rayon.
j’ai lu son interview dans télérama, quel salmigondis à se tortiller dans tous les sens pour se justifier, piteusement
vani dit: 23 août 2014 à 18 h 57 min
Vani, vidi, vici…
De toute façon, c’est partie remise.
J’ai pris 2 gros livres » rentrée littéraire »; j’ai vérifié: les épigraphes ne sont pas ceux de la rentrée RDL.
Pauvre Baroz, un homme sans foi ni loi…
merci pour ce bel article Monsieur Assouline.
il a 56 ans, déjà ? les années passent vite. c’est vrai qu’il a toujours eu du flair pour repérer les bons sujets.
bon je me précipite de ce pas acheter ce livre !
non je rigole.
« Paul de Tarse n’était ni Philip K. Dick ni Staline- même s’il tenait un peu de ces deux hommes remarquables ».
c’est à ce genre de phrase qu’on mesure toute l’intelligence de notre littérature actuelle.
Carrère a non seulement du flair pour trouver les sujets mais en plus c’est un de nos écrivains qui a le plus de jugeote, ce qui donne une idée des autres.
il faudrait demander aux autres à qui ils compareraient Paul ?
il faudrait poser la question à Darrieussecq.
sérieux par les temps qui courent comparer Saint Paul à Philip K.Dick et Staline c’est vraiment le moins pire qu’on puisse obtenir.
Décidément, c’est une rentrée littéraire qui s’annonce mal. L’éreintement de Beigbeder dans « Le Monde » d’hier par Chevillard, et puis celui de Carrère par Pierre Assouline aujourd’hui. Lisons donc plutôt les auteurs dont parlent ces deux livres à paraître (j’ai fait un tour dans ma librairie cet après-midi, aucun n’était arrivé), comme pour s’appuyer sur des béquilles : Salinger, pour le premier, malgré les réserves du même Chevillard (qui est vraiment très difficile), et saint Luc et saint Paul pour le second, dont personne ne trouvera rien à redire, même sur ce blog de la république des livres…
“Nabokov n’est plus mon idéal littéraire.
La position de supériorité constante dans laquelle il se place,
qui autrefois me séduisait, aujourd’hui me gêne.”
_______
Au moins quelque chose d’intéressant. Je comprends que ça l’ait gêné, moi ça m’a gêné d’emblée !
j’en connais un autre qui bénéficie d’un automatisme dans la ferveur.
Il faut l’écouter : encore un très grand moment d’émotions radiophoniques, on atteint des sommets, à ce rythme on se demande jusqu’où il ira.
c’est même plus le niveau des brèves de comptoir, on a franchi un cap.
c’est même plus du poujadisme, de la posture morale évidente, c’est plus du populisme, de la démagogie, c’est même pas du Beppe Grillo, c’est autre chose, en pire, et pendant ce temps à France Culture tout le monde trouve ça normal.
Clopine dites moi si je ne me trompe pas vous y étiez avec Jacques Barozzi ? c’est où vous vous êtes rencontrés ?
c’est bien vous qui posez la dernière question sur l’existence de l’âme ?
et Jacky pose juste avant celle sur le clonage de Jesus ?
L’autre jour j’ai parlé de la tradition de Saint Paul dans la littérature du XIXè siècle. Un vieux truc, ça sent un peu le rance. Faudrait plutôt casser les reins à Saint Paul comme l’a fait un numéro de l’Institut des études lévinassiennes. Là, c’est beaucoup plus intéressant. Montrer comme il tripatouille le sens de la Torah, etc. Mais est-ce qu’on peut en faire un récit ?
@Jem,
Pour Beigbeider, je dirais: c’est pas bien grave. Il refera la ligne sur le capot de sa caisse.
En revanche Job et Luc, voilà une lutte titanesque.
Merci à mes correcteurs.
Les Mémoire sd’Hadrien c’est quand même très beau comme une belle salle de bain avec des robinets en or massif. On a envie de prendre un bain et de rester longtemps dans la baignoire…
on se demande si ça valait le coup de vider les églises si c’est pour en arriver à ce résultat.
C’est Jacob Taubes je crois qui disait que l’histoire des hommes récente était bornée par Saint Paul et Freud, le premier par l’extension l’élection, du domaine de la faute et du pardon du genre : c’est moi qui ai commis la faute mais je serai pardonné et le second en externalisant la faute : c’est pas moi qui ai fauté c’est mon inconscient….
nous sommes entrés dans une troisième époque, du grand tout culturel où les philosophes nous expliquent que Freud était un sale type parce qu’il trompait sa femme et la cerise sur le gâteau les écrivains nous sortent que Saint Paul c’est Staline.
Il faudrait que Darrieussecq ou Camille Laurens écrive un bouquin là dessus, histoire de rigoler, au point où nous en sommes….
Pour rapprocher ekklesia de Tsahal, faut quand même le faire ! C’est énooooorme comme aurait dit Flaubert.
jem dit: 23 août 2014 à 19 h 46 min
Décidément, c’est une rentrée littéraire qui s’annonce mal. L’éreintement de Beigbeder dans « Le Monde » d’hier par Chevillard
Notons quand même que passou fait oeuvre critique (mais non je fayotes pas) alors que Chevillard fait gugusse pour noces et banquets.
Deux façons de voir et d’écrire.
ML casser les reins à Saint Paul, un a essayé : Nietzsche, sauf qu’il reconnait s’attaquer à un très gros morceau.
que ce soit Paul ou Platon, il faut reconnaitre un truc à Nietzsche, lui au moins, avait conscience de la grandeur de ses adversaires, à tel point qu’il n’a pas réussi à faire bouger la statue de Paul d’un millimètre, parce que Paul a réussi là où tous ont échoué, son épître aux Romains était une déclaration de guerre faite à l’impérium, avec ses petits moyens il en est sorti vainqueur de ce combat.
Nietzsche n’était pas compétent. Il ne connaissait pas la Torah en hébreu s’il connaissait le grec. Il faut lire le numéro des Etudes lévinassiennes qui s’est intéressé au problème. Passionnant. Il doit y avoir d’ailleurs des conférences en ligne sur le site de l’Institut à ce sujet (faut payer un peu pour les voir).
« Passou m’a tuer… »
Tranquille, Jacques, s’il ne vous twitte pas, vous ne courrez aucun risque…
À mon avis le Carrère, là, il a un grain. Il finira mal…
j’avais écouté Carrere chez Finky sur Limonov, Finky lui demande s’il ne trouve pas son personnage quelque peu nietzschéen et l’autre lui répond : j’en sais rien je connais pas Nietzsche…
et là on se dit qu’on a quand même un problème, quoi qu’on en dise, il faut pas dire du mal des gens, en plus il écrit super bien, comme pour Onfray : ses lecteurs ne sont pas tous que des imbéciles, mais là quand même on a un gros problème.
alors c’est bien que tous ces écrivains aillent aux limites de leur intelligence, qu’ils se cognent à de grandes questions : Dieu, la Foi, l’immortalité de l’âme, la magie de la grâce et du pardon.
tant qu’ils écrivent la vie des autres qui se prennent une grosse vague sur la tête en vacances passe encore, mais s’attaquer aux grandes questions de l’humanité sans sombrer dans la brève de comptoir là il faut en avoir de la modestie, et le problème est ces types ils sont tout sauf modestes parce que la modestie et l’humilité ont totalement disparu de ce monde fait d’individus gonflés à l’hélium qui planent dans les sommets stratosphériques.
c’est pathétique.
Le christianimse doit presque tout à saint Paul et à saint Augustin, c’est certain. On en a oublié le Christ même… Mais il est indéniable que saint Paul était un grand penseur religieux, un esprit retors et pernicieux. Un fanatique là ou le Christ n’est qu’amour.
«…e me suis ravisé lorsque des voix amies m’ont appris l’ignorance crasse des Français sur les origines du christianisme… »
Vrai, et on commence à en apercevoir quelque signe dans les commentaires… et ce n’est que le début, d’ici à 1000 et quelques on aura bien ri.
«…et sur le fait que nombre d’entre eux allaient tout découvrir dans ce livre. »
J’en doute fort : ce n’est pas un livre qui va « corriger » des siècles de jugements pré-faits dans un sens comme dans l’autre.
« l’ignorance crasse des Français sur les origines du christianisme »
désolé mais personne n’est ignorant : tout le monde a lu le traité d’athéologie d’Onfray ! en plus tout le monde a regardé les émissions Corpus Christi sur arte, de Mordillat et je sais plus qui, des émissions passionnantes.
en plus tout le monde sait faire la différence entre un sunnite, un chiite, un druze, un alaouite, un frère musulman, un je sais pas quoi.
personne n’est ignare, nous sommes tous surinformés.
nos gamins vont à l’école, ils sont brillants.
nos politiques font de grandes écoles, ils sont brillants.
nos intellectuels font des super écoles ils sont hyper brillants.
nos journalistes font des superbes écoles : ils sont hyper brillants.
il y a cent ans les gens étaient vachement moins intelligents, et vachement bien moins informés sur ce qui se passait en Irak.
on ne peut pas laisser dire que nous sommes ignorants.
par contre on a un gros problème avec la critique littéraire ! parce que laisser passer des imbéciles pareils, à ce niveau, ça fait dix ans que je dis que ce type à la qi d’une huitre !
alors désolé mais il faut que chacun commence par balayer devant sa porte.
le problème c’est que les journalsites et les critiques littéraires sont intouchables, comme ils se congratulent, ils se cooptent, entre eux personne n’ose dire un mot !
tout le monde a peur, c’est l’omerta, attention ce sont des poules aux oeufs de l’édition, les chiffres des ventes de livres vont baisser, attention il ne faut pas broncher, tout le mode est paralysé par la peur, ça fait vingt ans que plus personne n’ose l’ouvrir !
c’est facile de dire que les gens sont ignares !
après ça, je suis désolé mais il faut pas s’étonner qu’un type compare Saint Paul à Groucho Marx, c’était inscrit d’emblée dans l’histoire, il suffisait de la lire !
… « les journalsites », pas mal.
moi, je suis cheminot, je suis conducteur de Ter. Ça ne m’empêche pas d’avoir un oeil sur la khulthur…mais enfin, ces pourris avec leurs diplômes. L’essence de l’homme dépendrait donc des colifichets? Napoléon savait qu’il fallait , pour se concilier les caniches, leur distribuer des hochets. Médailles, diplômes. Moi, quand ,je conduis 1000 personnes à 140 à l’heure, je me dis que je suis comme Dieu. Entre mes mains il y a la vie de ces 1000 personnes, dont peut-être des gonzes de la RDL, des agrégés, des gens qui ont le capes, des traducteurs de RIlke ou de Gombrowicz…alors WG, qui m’a l’air d’être le seul vrai savant de ce blog, son capes ,il vous le cristallise et vous le fout , en barre compacte , dans le cul.
on a changé de rubrique , alors je recommence
Onfray? ben moi, je ne comprends rien à la philo des philosophes de salon. Onfray, je comprends. C’est clair et ça donne envie de lire les textes et les auteurs dont il parle. Remarquez, un conducteur de TER Sud Rail, il a pas besoin de philo, hein, les branchés? hein?
jÉRÔME ET VINCENT BARRY LYNDON dit: 23 août 2014 à 20 h 46 min
on a changé de rubrique , alors je recommence
Dommage.
T’as raison, ERRARE, les pue-la-sueur n’ont rien à foutre ici. Alors j’y reste, pour te faire chier.
Widergänger dit: 23 août 2014 à 20 h 18 min
À mon avis le Carrère, là, il a un grain. Il finira mal…
Doit-on le dire? Je pense qu’Alba ne finira pas bien non plus.
de nota hier Tournier disant à peu près « j’aurais honte de parler de Tournier » Si quelques écrivains pouvaient le lire… ça nous ferait des lectures… Ravages du marketing.
Chaloux dit: 23 août 2014 à 20 h 53 min
de nota hier citant Tournier…
Widergänger dit: 23 août 2014 à 19 h 57 min
Les Mémoire sd’Hadrien c’est quand même très beau comme une belle salle de bain avec des robinets en or massif. On a envie de prendre un bain et de rester longtemps dans la baignoire…
Il faut dire, ça va déjà pas très bien…
E. Carrère, fils de maman d’Encausse dont le propre papa était collabo, tient en son pédigrée autant de matière à dépression qu’à roman. La première pouvant servir au second, il est béni des dieux. Faut aimer, ce qui n’est pas trop mon verre de vin de datte.
Je viens de combler une de mes nombreuses lacunes avec Tian zhu ding/A Touch of Sin de mon réalisateur pourtant préféré, Jia Zhangke. C’est l’expression ‘close to the bone’ qui me vient à l’esprit. On y touche vraiment à l’os: violence sociale, sexuelle, crapuleuse, mafieuse, ‘gratuite’, cause et / ou conséquence d’une dignité humaine bafouée du Shanxi à Dongguan en passant par Chongqing…C’est brut, brutal et léché à la fois (les scènes d’opéra populaire en écho ou miroir, le serpent qui traverse la route).
La vie est courte et les ego-trip des privilégiés me gonflent grave. Je m’en vais de ce pas revoir le Jia Zhangke, cette chronique de la Chine contre elle-même. A chacun son peplum.
Tiens (mais rien d’étonnant) les directrices de conscience sont déjà passées.
On trimbale la parole qu’on peut!
jÉRÔME ET VINCENT BARRY LYNDON dit: 23 août 2014 à 20 h 53 min
T’es hargneuse Colette, une problème digestif ?
Chaloux revient, Chaloux crache.
C’est-il faire autre chose ?
« mon verre de vin de datte »
Vin d’amandes, vin de datte…..
ça picole bizarre sur la rdl.
un bon coup de rouge pour faire passer ?
Pour le championnat de france des écrivains, on devrait peut-être créer des divisions?oui, le bordel c’est que tous les écrivains participent aux championnat dans la même division, ce serait plus clair si pour ce championnat il existait, disons: cinq divisions! la première avec une vingtaine de participants, la seconde avec une centaine, la troisième avec trois centaines,la nationale avec un bon millier et la régionale avec un foutu plusieurs milliers!
Et la critique littéraire ce serait comme dans « l’équipe », par exemple avec carrère on lirait un papier le concernant à la rubrique « championnat de france des écrivains de deuxième division », beigbeder? troisième division, levy? nationale.
ça éviterait les chamailleries, les lecteurs supporters de la première division y causeraient pas avec ceux de la deuxième, qui, eux-mêmes, causeraient pas avec ceux de la troisième et ainsi de suite.
C’est n’importe quoi?
Mais c’est déjà n’importe quoi! Alors…Cambremer!
Tiens, ce pauvre MàC est revenu et signe maintenant « Vincent Barry Lindon ». Et un no-life, un!
un bon coup de rouge pour faire passer ?
à la rigueur le gout de trop peu..y’en a pas de mauvais
y’en a pas de mauvais
Pas la masse critique ?
dracul vaut toujours son pesant de russe analphabètes..
*
Bloom, faudrait arreter la tournée des pubs.
Vous péchez par excès. Et tout ce qui est excessif est insignifiant.
Vous a pas plu cette dame patronesse chinoise qui oeuvre pour les US ?
Dites, ce n’est pas vous, quand même, qui ne jugez – sous différents pseudos- le fils ( ancien coopérant en Indonésie) que par rapport au secrétaire perpétuel de l’Académie ?
Il vous faudra reprendre ce train, celui du roman russe, qui mène à Kotelnitch.
Il y a des collaborations plus honteuses; je vous le dis.
un sage à dit « il faut croire que je suis vieux, je commence à craindre le mauvais vin »
« bérénice dit: 23 août 2014 à 14 h 45 min
Le permafrost peut bien dévoiler ses squelettes de mammouths »,
Du côté de Magadan, ce sont des milliers de cadavres humains qui vont ressortir avec au pied une petite tablette en bois marquée au graphite.
Ce projet semble extravagant.
Pas mal le projet de de nota.
Le problème ce sera la sélection initiale et les procédures de montée/descente.
On a des chances (!) pour que Le Monde des Livres et Chevillard soient dans le comité de sélection, vous imaginez, un critique (je ne parle pas d’écrivain) de district régional qui a le droit de vote.
JC ne va jamais l’accepter.
un sage à dit
il s’était retiré dans un presbytère ?
WG 19h57
Marrant!
Dur d’être écrivain de nos jours… Qu’est ce qui est le pire? Se livrer en pâture ou se faire dévorer?
Je vous lis depuis quelques temps et apprécie votre verve et votre talent. Aujourd’hui, je lis votre billet avec surprise. Pourquoi cette méchanceté? Vous savez ce que j’y entends? Beaucoup de déception bien-sûr, mais aussi de l’envie. Pourquoi? Vous qui écrivez…
Lyndon, tu n’as pas honte, espèce de démago?
mais enfin..si la synagogue est aveugle..si dracul est cul de jatte..mel gibson bon cinéaste..c’est pas de sa faute à yavé lassouline..il ne te doit rien..il n’a pas de compte a te rende
– De façon générale, qu’est-ce qu’un sujet de livre, pour vous ?
– Je ne sais que répondre. Mais je sais aussi que j’ai l’œil pour repérer un sujet quand j’en aperçois un.
Euh, Passou, vous jouez à quoi là ??? Au journaliste chochotte ?
on devrait peut-être créer des divisions?
des poules plutôt dénota..division ça fait panzère..fait gaffe un peu
espèce de démago
Allons bon, tout le monde ne va pas au hammam tous les jours!
E. Carrère, fils de maman d’Encausse dont le propre papa était collabo
tu devrais prende note lassouline..court..net..au rasoir..du journalisme anglosaxon
Vin d’amandes, vin de datte…..
ça picole bizarre sur la rdl.
le vin de rubarbe c’est un peu stupéfiant..mais un bouleau de romain
Oui, en effet, là je crois que c’est vraiment Màc, le cheminot de sud rail… Mais je peux toujours me tromper. Salut Màc, si c’est toi ! Passe-moi un coup de bigo à l’occasion, hein !
Les Mémoire sd’Hadrien c’est quand même très beau comme une belle salle de bain avec des robinets en or massif. On a envie de prendre un bain et de rester longtemps dans la baignoire…
voilà dracul..ça c’est pas mal..trés bon début..
tu vas pas nous saloper la scène avec des trucs salement homos tout de suite dracul..poursuis l’enluminure
Nietzsche n’était pas compétent. Il ne connaissait pas la Torah en hébreu
et il ne savait même pas tirer à l’uzi le con
En France, il n’y a pas l’équivalent de Volker Weidermann, de Peter Härtling, de Julia Frank.
L’autre connard vient de nous parler de sa névrose d’il y a plus de trente ans ! Mais franchement qu’est-ce qu’on en a à foutre de sa putain de névrose mystico-vazouillarde ! Et pis, c’est pas comme le récit de Weidermann (157 pages), c’est carrément la grosse merde qui sort : 630 pages ! Et, comme dit Godard dans son dernier film, ça fait flop quand ça tombe dans la cuvette des WC ! Merde !
des poules plutôt dénota..division ça fait panzère..fait gaffe un peu
des poules…ça fait championnat de pétanque! tu veux me saloper mon beau projet…on désespère le chômeur ici, je file chez popol…là-bas ils ont la fibre sociale… epicétou
Lavande va encore s’arracher les cheveux…
Moi, chez Popaul, j’ai le privilège d’être banni… Sinon, j’irai bien lui casser sa baraque, au popaul…
Mais quand je vais reprendre les cours, je vais lui envoyer quelques scud, au Popaul, par le moyen des ordinateurs du collège… Ah, ça va barder, mes petits chéris !
Mais quand je vais reprendre les cours, je vais lui envoyer quelques scud, au Popaul, par le moyen des ordinateurs du collège…
On ne vous paye pas pour faire le guignol avec les ordinateurs du collège!
Je fais ce que je veux dans la salle des profs, mon petit chéri ! Et je t’emmerde…!
La catho, la catho… Son rabatteur c’est l’Islam !
Soldes de Kleenex usités pour longs tarins!
La fidélité c’est déjà de l’identité…
L’étiquette fait tache d’encre et s’écrit avec la colle?
Etonnant ! Trois centurions romains, trois occupants, occupent une place importante dans l’œuvre de Luc.
http://www.bible-service.net/extranet/current/pages/510.html
Luc, médecin
Il est le seul des quatre Evangélistes à décrire les maladies avec une précision médicale, pour désigner par exemple la localisation d’une paralysie et pour utiliser des termes médicaux. Vers la fin du Moyen-Age, les médecins l’adoptent comme leur saint patron. A partir du 15ème siècle, la rentrée en Faculté de Médecine se fait le jour de la fête de saint Luc, le 18 octobre. Les médecins militaires, aussi bien dans leurs hôpitaux qu’en opérations, fêtent la saint Luc.
Luc est renommé également comme peintre de la Vierge, peut-être parce qu’il est celui qui décrit avec le plus d’attention Marie. Certains tableaux en Syrie et à Rome, sont dit peints par lui. Il arrive que sur des gravures ou des peintures du XVe siècle, Luc soit représenté à la fois en écrivain (évangéliste) et en peintre ; et quelquefois, avec les habits du médecin. Actuellement quelques établissements médicaux et quelques galeries de peintures portent le nom de Luc.
http://www.etdieudanstoutca.com/bible/luc/sa-bio
M. Assouline, continuez à faire entendre votre voix! Il est bon de voir critiquer un livre qui a déplu à son lecteur – les erreurs et les maladresses, quand on les repère en abondance, déçoivent, j’en ai fait l’expérience avec quelques auteurs…
« Moi, chez Popaul, j’ai le privilège d’être banni… Sinon, j’irai bien lui casser sa baraque, au popaul…
Mais quand je vais reprendre les cours, je vais lui envoyer quelques scud, au Popaul, par le moyen des ordinateurs du collège… Ah, ça va barder, mes petits chéris ! »
Le pauvre ! que de petites satisfactions…
Les ego-livres de six cents pages minimum sont à la mode. Moix, Moix. Littell aussi a versé dans l’ego-livre, mal écrit, of course.
Carrère paye peut-être sa proximité avec Camus.
Ah, il a pas compris que je plaisantais, le renato ! Ce que que l’esprit de sérieux tout de même ! Tu parles si je m’en fous du blog à Popaul…! Mais alors là, tu peux pas savoir, mon pote renato!
Le Christ aussi était une espèce de médecin de village. C’était très courant à l’époque d’après les spécialistes historiens.
70 47 23. Je répète : 70 47 23.
…
…mon texte dU 23 août 2014 à 21 h 38 mn,…est censuré,!…
…
…ceci met fin à ma participation,!…
…
…raisonné entre clans mafieux français et étrangers d’€urope,!…bonne chance,!…
…
Bah autant continuer à fermer ma gueule, j’serai dans mon rôle.
Voyons voir… 62 14 55 ?
WGG :
si j’ai bien compris,
vous vous estimez comme l’ectoplasme de ce blog.
Désolé, mais pour moi, vous n’en n’êtes que le chancre !.
Bàv,
B.
…
…mon texte intégral,… du 23 août 21 h 38 mn,!…
…
…censuré,…pour les connaisseurs,!…
…
…Bon,!…si je comprend bien,…c’est juste un livre,…pour le Royaume de Jéhowah,!…et les tarés soumis,!…
…pour paraître plus saints que les autres,et plus dociles comme collabos, dans les administrations du genre bonnes à tout faire complices d’Histoires d’Ô,…
…
…et, autres complicités de survis pour étrangers,…à manger dans les mains du patronat et corporations d’états du style moyen-âge,!…le livre comme instrument de mendicité du pouvoir,des pays comme l’Italie, l’Espagne, la Hongrie, la Pologne,…
…qui ont une clientèle d’abrutis des sectes sado-maso,…
…le bas de l’échelle du bien & du mâle,…les cathos victimes de leurs araignées persécuteurs avec profits des messes & évangiles-sophistes,…
…
…rien de nouveau,…pour exploitez son prochain pour se changer des Ö Puces Dei,!…
…les libertés des lois pour escroquer son monde,!…complicités et connivences d’état,!…
…les meilleures ventes, se feront avec probabilités dans le régime hongrois actuel,!…
…encore que, ils soient instruit à lire,…du lèche-culs au Christ-Unique,…
…
…la culture dans la merde évangélique de l’espoir au travail volontaire gratuit,…en tout les pays et régions gérer en cloîtres monastiques pour raisons de suprématies entre tribus d’états,!…européens,!…
…
…re-colonisez l’Europe à cons du Christ en croix à nos Ukraines lucres & haines,!…Cinéma à Visconti Seigneurs,!…
…à la caste des profiteurs du peuple, comme moutons et pigeons en casseroles,!…
…
…écrire,…pourvu que çà rapporte,…& manger à tout les rateliers,!…
…
…presque mieux que la mendicité des jeunes-filles à Bruxelles,…qui doivent faire leurs chiffres,!…qu’elles libertés du rendement,!…la dignité indigne cousue d’or,!…les nobles mendiants,!…tient,!…
…
…Livres & Cinémas,!…du bidon pour exploitez son peuple abrutis bien endoctriner,!…
…
…sans nostalgies,…un genre, le Royaume de Métropolis suite,!…Ah,!Ah,!…etc,!…
…envoyez,!…à la racaille des connaisseurs,!… etc,!…
…
…
…ou est l’outrance,…en attente de modération,!…
…
…il y a vraiment de quoi envoyez les censeurs dans le cirque aux lions affamés,!…
…ou du moins, pas très loin,…
…
…je laisse mon texte ouvert,!…
…à le fourgué à chaque suppression,!…
…qu’elle France aujourd’hui,!…de censuré çà,!…
…pauvres cons,!…démagogues,!…etc,!…
…envoyez,!…
L’ère de l’égo, du légo,le jeu est autre, moix est un autrex, le lego erre et le convoi russe repasse la frontières.
Vive le vin de datte, hips,hips, hourra…hips, legs, boobs…l’être aimé joue un air de vie….
Homme est-il ? dit: 23 août 2014 à 21 h 09 min
Chaloux revient, Chaloux crache.
C’est-il faire autre chose ?
C’est-il que je ferais autre chose que passer? Ce « sait-il » de carnaval me gène un peu pour répondre… L’arrogance des illettrés va devenir un sujet romanesque, -et ce commentateur finira mal, assurément.
(Microbout aime les Mémoires d’Hadrien en salle de bain à robinets dorés. C’est Rome au lotissement. Il fallait s’y attendre).
Une route s’ouvre…
« Prenons une route, n’importe laquelle puisque toute route mène ailleurs ».
Salut.
Queue d’histoires de vieux culs!
« Doit-on le dire? Je pense qu’Alba ne finira pas bien non plus. »
Nous finirons tous de la même façon, c’est prévu…
Pourquoi parler de cet Emmanuel Carrère ?
..Ah ! …chômeur de longue durée ?! … Il faut lui trouver un boulot intelligent … avant qu’il devienne vraiment dingue.
« L’arrogance des illettrés »
Ces salauds veulent s’arroger un privilège réservé aux lettrés… Un comble, noble Chaloux !
de nota,
votre proposition d’organiser le Championnat de France des Ecrivains, morts et/ou vifs, est remarquable !!!
Il faut des Première division, des Seconde, du National et même pire … pour ceux qui savent à peine jouer.
Bravo !
Arnaud et Benoit
Ego-peplum ?
Non !
Laurel et Hardy
autant continuer à fermer ma gueule, j’serai dans mon rôle
et tu te frottes la panse avec le clavier, les tripes c’est vraiment pas ton truc..
oh putain.. encore des listes.. les courses à mémères j’te jure..
Qui fut lauré du Goncourt en 1914?
Adrien Bertrand. Pour son roman « L’appel du sol ».
Ce pauvre bougre, blessé en 1914, meurt en 1917.
Il écrivit aussi de la poésie, on signalera « Les jardins de Priape »(1915).
Sa veuve ayant laissé un capital à l’académie Goncourt pour récompenser l’oeuvre d’un poète, il faudra attendre l’année 1985 pour que la première bourse Goncourt-Adrien Bertrand soit décernée,à Claude Roy.
1985? Qu’est-ce qu’ils ont fabriqués avec la tune de la veuve Bertrand de 1914 à 1985? Hein? on a fait bombance? Grands crus,cigares et filles légères? Ah,C’est du joli.
Chaloux dit: 24 août 2014 à 5 h 01 min
Lard ou cochon, tu ne sais mon Chachal, mais ne peux résister.
Le petit maître qui voudrait tant matter a pris le dessus, mais plus élégamment que d’habitude je l’avoue.
A Bientôt.
Et le prix Goncourt de 1913?
Marc Elder! Pour son roman « le Peuple de la mer! qui retrace la vie des pêcheurs de Noirmoutier,quand on sait que Le « Grand Meaulnes » et « Du côté de chez Swann » étaient également retenus pour le prix…on se dit ah,c’est du joli!
Et en 1912? Je vous le donne en mille,André Savignon! Pour son roman « Filles de la pluie » mais c’est du même »une femme dans chaque port » que je voudrais bien trouver,il est illustré,c’est très joli.
Widergänger dit: 24 août 2014 à 0 h 46 min
« Le Christ aussi était une espèce de médecin de village. C’était très courant à l’époque d’après les spécialistes historiens. »
Une sorte de hippie halluciné. Plein de dingues se proclamant prophètes parcouraient dans la région à l’époque comme ML en droite ligne
parcouraient la région
JC….. dit: 24 août 2014 à 5 h 26 min
..Ah ! …chômeur de longue durée ?! … Il faut lui trouver un boulot intelligent … avant qu’il devienne vraiment dingue.
craignos le portrait à JC
Widergänger dit: 24 août 2014 à 0 h 46 min
Le Christ aussi était une espèce de médecin de village. C’était très courant à l’époque d’après les spécialistes historiens
Toujours visqueux pour faire suer? Habemus beau dimance en perspectative..
Fausse manoeuvre dont le but était de relever ces « spécialistes historiens » qui m’enchantent.
craignos le portrait à JC
Pour recycler une ménopausée faudrait déjà trouver la combinaison!
Mme Michu et antoine.
Deux vieux rabougris avant l’âge.
Pas beau à voir.
Vérification des amarres, avec ce putain de mistral…
Question. Pour quelle raison se préoccupe thon, chez Passou, d’Emmanuel Carrère ? L’impériale et auguste République des Livres ne va tout de même pas finir en ONG humanitaire pour écrivains en panne de « sujet », n’est ce pas ?!
Faire le troll ou passer pour beau, faut choisir mon petit…
Le Christ ? Un fada de prophète qui a réussi. Un type manipulé par la haute bourgeoisie juive de l’époque. Un indépendantiste de l’époque antiromain. Beaucoup de charisme, pas de télé, les foules suivent… ça leur fait une distraction.
Le curieux, dans ces affaires de prophètes, c’est que beaucoup de leurs conneries ont passé les siècles ! Alors qu’une connerie normale ne survit pas une heure ! Va comprendre…
L’Arabe heureux, l’autre épileptique, c’est pareil… Facile d’avoir du succès à cette époque, et dans ce milieu où l’insolation est chose courante !
Et ici, qu’est ce que nous avons comme prophètes capable de passer les siècles ? Renaud Camus ? Richard Millet ? Jean-Luc Mélenchon ? Benoit Hamon ? Cécile Duflot (non, mdr, c’est une gonzesse !)… l’ami Wiedergangster, peut-être !
Pourquoi Héraclite n’a pas réussi ? Obscur, exigeant, il avait un atout, au départ … Va savoir…
IFOP Dernier sondage
Hollande : 17% de satisfaits
Valls : 36% de satisfaits
L’égo-péplum socialiste rétrécit … Pas de panique ! La relève est prête. Deux jeunes, dynamiques, volontaires : Juppé/ Bayrou. Bandant ! … on passe des couilles molles aux vies de mulets : priapophobes, les mecs !
Peut-être, finalement, que Carrère est l’écrivain représentatif de ce temps ?
Moi, j’aurais illustré ce billet avec des exemples d’art paléo-chrétienne… mais bon, on ne peut pas demander beaucoup…
@JC (beaucoup de leurs conneries ont passé les siècles ! Alors qu’une connerie normale ne survit pas une heure ! Va comprendre…)
ça sert d’idéologie encore et toujours
Ah ! c’est vrai ! « art » c’est m. en fr.
« L’égo-péplum socialiste rétrécit … Pas de panique ! La relève est prête. Deux jeunes, dynamiques, volontaires : Juppé/ Bayrou. »
on passe du collectivisme à la voix de la raison
Luc.fr
Michael Lonsdale parle de Frère Luc, moine au monastère de Tibhirine, personnage qu’il incarne dans « Des hommes et des dieux ». Un personnage qu’il compare à Mère Térésa ou soeur Emmanuelle
http://www.la-croix.com/Religion/Actualite/Michael-Lonsdale-Fr.-Luc-comme-un-ami-que-je-rencontrais-_NG_-2010-09-22-578108
chiffon rouge dit: 24 août 2014 à 6 h 44 min
« plus élégamment que d’habitude je l’avoue. »
Mal placé pour te faire arbitre des élégances.
Ferme ta gueule.
« on passe du collectivisme à la voix de la raison »
C’est un passage qui nécessite que l’on oublie la vanité, ce vice qu’informe le « légende » nationale…
renato
il faudrait un homme un vrai
on passe des couilles molles aux vies de mulets
il faudrait un jc
Je vais aussi offrir ce livre à ma tata Jacqueline. Elle adore ces histoires qui commencent par des messes dites dans des granges à foin.
Merci Monsieur Assouline, vous m’otez un doute, j’étais tentée.
Déjà « Un roman russe » sentait l’ego surdimensionné et mon admiration pour Carrère avait pris du plomb dans l’aile, un peu revigorée par « D’autres vies que la mienne « . Mais là, donc, il semble bien ne s’agir que de la sienne et je m’en contrefous !
Je suis athée -je n’en remercie que moi-même.
On m’a imposé dix-sept ans d’instruction religieuse – où j’excellais puisque j’y pistais les failles, on ma trempée dans les bénitiers, mais il ne m’en est restée qu’un esprit critique féroce -merci!- et une terrible allergie aux discours sirupeux des curetons et autres.
Maintenant ce sont les djihadistes qui nous emmerdent en essayant de nous faire revivre le moyen-âge alors NON ! je ne lirai pas les confessions de M. Carrère et je serais désolée – mais pas si étonnée – qu’elles trouvent des oreilles attentives…
Que Carrère aille se faire soigner pour redevenir capable de nous pondre un bon roman.
renato dit: 24 août 2014 à 8 h 24 min
mais bon, on ne peut pas demander beaucoup…
Fais pas ton WG renato, déjà que tu as des dispositions, reste soft.
A chiffon siphonné dit: 24 août 2014 à 8 h 32 min
Salut Chaloux.
Alors qu’une connerie normale ne survit pas une heure !
autant dire que les mouches vivent plus longtemps..
on ne peut pas demander beaucoup…
quand ça rote plus que ça bouffe..
Des foules suivent ?
Faut pas exagérer non plus, la colline où le Christ prêchait au nord du lac de Tibériade n’est pas si importante que ça !
Oui, d’après les évangiles, on peut y lire, bien interprété par les historiens qui connaissent le contexte (j’ai le bouquin dans ma bibli de toute façon, mes petits chéris ignares), que le Christ était une sorte de guérisseur-mage de village.
et l’autre lourdingue qui reprend son cirque.. je vais finir par préférer les mémères qui se mirent dans leur couveuse.. je le sens..
« on m’a trempée dans les bénitiers »
Athée comme vous, Francesca, élevé comme vous dans la religion du Christ-Roi, votre cas m’a paru excessivement intéressant, à un détail technique près.
Soyons précis : je n’ai jamais trempé que trois doigts dans le bénitier et pour me signer. Comment a-t-il été procédé, en ce qui vous concerne …?
Bien à vous !
votre ami Gianni Calzone
Enfin, “Consigliori” ! puisqu’à un moment Passou dit : « l’ignorance crasse des Français sur les origines du christianisme », ça aurait été l’occasion rêvée pour passer un brin d’iconographie… que sais-je ? le bon berger, le paon, le banquet…
ah c’est sur qu’un slide show ça nous changerait du pas de côté.. enfin j’entends/j’veux dire ici..
JC, pour une fois qu’il y a une dame ici, va pas la faire déguerpir avec tes questions! Sois galant homme, la France te regarde.
Toutes les fois où j’ai fait un pas de côté, j’ai frôlé de majestueux étrons qui m’attendaient enroulés en spirale comme de puissants cobras !
Il y a derrière ma quête, derrière ma requête à Francesca, la curiosité du scientifique, toute entière…
Les évangiles de Luc et de Matthieu ont été mis par écrit entre 70 et 80, c’est-à-dire après la destruction du Temple et avant la chute de Massada qui a lieu en 73. Ces deux évangélistes écrivent dans une période extrêmement troublée sous le règne de l’empereur Vespasien nommé en 69. Paul est mort à Rome en 68. Marc a déjà écrit son évangile en 65 sous le règne de Néron (ce n’est pas la même situation). La grande révolte des Zélotes commence en 66. Jésus naît à Bethléem à la charnière des règnes d’Hérode le Grand et d’Archélaüs (Matthieu, 2/22, rapporte que le père du Christ, Joseph, craignait Archélaüs) sous le règne d’Auguste. Dans l’enfance du Christ, c’est Archélaüs qui gouverne la Judée, la Samarie (ce que les connards d’aujourd’hui appelle la Cisjordanie) et l’Idumée. Mais en 6 déjà, Archélaüs est dépouillé de ses biens et exilé dans la cité gauloise de Vienne près de Lyon.La Judée devient alorsd une province de l’empire de Rome, gouvernée par un procurateur, Coponius.Les autorités romaines décrètent alors le recensement de la population (Luc 2:1) ce qui déclenche l’opposition farouche des Zélotes et la révolte. Un mouvement insurrectionnelparti de la petite bourgade de Gamla tout au nord sur les pentes escarpées du plateau du Golan.
@Gare Lyon-Bangkok dit: 24 août 2014 à 3 h 53 min
Merci de ce lien.
En 14mn19 j’ai compris ce qu’est véritablement l’abandon.
Une démarche pascalienne inversée.
J’ai compris pourquoi l’auteur de « Vies de Job » doit-ne peut que- détester « une vie de Luc ».
(je ne pardonnerai pas ce passage du billet sur les filles du X, quand on sait que des indignations sont pour le moins sélectives… une histoire de Passion?)
J’ai aussi appris cela, dit de manière sybilline, dans cet entretien, à propos d’une traduction de la bible à laquelle E.C. a participé :
« En 2001, les éditions Bayard publient La Bible, Nouvelle Traduction, dans laquelle chaque livre de la Bible a été confié à un binôme composé d’un exégète et d’un auteur de la littérature contemporaine. Cette traduction en dialogue avec la culture contemporaine s’efforce d’éviter le vocabulaire typiquement ecclésial pour rejoindre un grand public qui évolue en dehors de toute culture chrétienne. Ainsi, on ne parle plus d’« Évangile » mais d’« Annonce », ni d’« Église » mais d’« Assemblée ». Le choix de rendre la poésie hébraïque par une forme de poésie contemporaine peut surprendre le lecteur habitué à des traductions classiques, mais il produit un texte très neuf, très décapant. Le refus de toute harmonisation dans le vocabulaire ou le style rend néanmoins cette traduction difficile à utiliser pour l’étude intertextuelle. Cette édition a repris l’ordre interconfessionnel inauguré par la TOB. Editeur : Bayard édition »
lien sur le site alliance biblique française
Tartarin de tarés abscons, vous vous vantez suffisamment de vos fréquentations…
Sibylle !
des indignations sont pour le moins sélectives…
Ah ben tiens, j’adorerais vous voir faire une pirouette lumineuse nous éclairant sur l’élitisme sans sélection.
Ceci est naturel, Djedla, de la volonté d’actualiser la Bible au parler des lecteurs des temps nouveaux.
Lecture faite en 1992 de la Bible Chouraqui chez Desclée de Brouwer, on pouvait déjà se sentir décoiffé par la traduction « originale », non-classique, du Dédé !
michu, la parenthèse est close.
« Satisfaits »
Cette invention de sondeurs laisse rêveur.
(« Prédire un avenir politique à Machin », c’est formidable)
Bobonne,
Au lit, tout de suite !
Il me vient comme un tiraillement spirituel…
Des morts-vivants errant dans un monde détruit : l’humour du désastre d’Antoine Volodine dans « Terminus radieux »
Un bon sujet pour ML ?
…
…on m’a trempé dans les bénitiers ( héritiers ),…( sic ),…
…attendons la fin , et le résultat des nouvelles législatures après 5 ans de jouer avec les couilles du peuples,!…ce qu’il adviendra,!…
…
…c’est quoi, cette histoire de loi Savary aux deux écoles d’héritiers,…
…
…qui permet à Mittérant de se faire élire,…et puis de lâcher le partis propulseur de sa gauche-communiste,…pour essayer de régner seul,…avec ses idées de S.F.I.O. en alambic,…du vin de rose,!…
…
…le président actuel, prend la même recette,…continuons le combat pour une justice sociale,…et lâche tout le monde,…avec des illettrés complices aux pouvoirs comme ministres,…sauf le collabos au château à sauver la France pourris juives-nazis de 1984,…
…
…à quand un président de gauche,…quand il sera d’extrême droite,!…au fascisme Mussolinien du vagabond payer les services secrets britanniques pour son journal Avanti,…
…
…un peu le bordel-politique,…qui travaille pour qui,…pour quelle sabotage dans les nations,!…
…
…un rappel à l’ordre social,!…etc,!…
…
JC, je suis moi aussi un grand scientifique, les mathématiques, les sciences sont notre seul lot. Aujourd’hui dimanche, je vais aller à la messe, vêtu d’un costume noir, d’une chemisette blanche en nylon aéré, de ma plus belle paire de Weston, héritage du curé d’Aurillac. Pour mon diner j’ai prévu, des escargots grillés empalés vivants sur des aiguilles à tricoter. Une salade d’herbes sauvages, un fromage frais, le tout arrosé d’une bière manufacturée par moi. Après, magnum de vodka et revue coquine achetée au Marais.
Dans ce billet, il y a trois points d’exclamation, ce qui est rare.
Hypothèse simple, la longueur.
Un signe d’accablement toutes les 200 pages, ça reste quand même modéré.
« Au passage, ils y apprendront également (cela doit être important car l’auteur y consacre près de onze pages) que, pour ce qui est des films X, les filles qui se masturbent face caméra ont la faveur des fantasmes d’Emmanuel Carrère, tout cela pour finir par se demander si la Vierge Marie elle-même ne se branlait pas puisqu’elle avait sûrement un clitoris comme tout le monde… » (Passou)
Eberlué par votre dernière remarque, Maître Pierre, je suis allé sur le Port à la rencontre de plusieurs amis sûrs pour enquêter. Eh bien non ! « Tout le monde » n’a pas un clitoris sur soi, en particulier parmi les féroces combattants du zinc des bistrotiers de Porquerolles !
Widergänger dit: 24 août 2014 à 8 h 56 min
« bien interprété par LES historiens qui connaissent le contexte (j’ai LE bouquin dans ma bibli de toute façon, mes petits chéris ignares) »
ML
Wwwooouuuaaarrfff ! Le con.
Widergänger dit: 24 août 2014 à 9 h 15 min
Les histoires de gogueule par Mimi, c’est beau.
Dédé,
Puisque vous allez à la messe, demandez autour de vous aux fidèles de la religion du pape Jules II, quelle est la dimension moyenne des bénitiers contemporains …
C’est pour une discussion avec une copine italienne, sicilienne peut-être, ce qui n’est pas tout à fait la même chose.
…
…a bon,…
……..,alors notre Ponce Pilate,…à Lyon,…
…n’est pas mort,…tout seul à Lyon,…
…
…Archélaüs,…était déjà passé tout près à Vienne ( Lyon ),…
…régler des histoires entre familles au noir,!…Glu,…Glu,…Glu,!…
…bataille-navale,!…etc,!…
…
« J’ai l’œil pour repérer un sujet quand j’en aperçois un” assure-t-il, non sans fierté. »
c’est peut-être là plutôt la phrase d’un journaliste que d’un écrivain?
Aujourd’hui c’est la Saint-Barthélémy, ayons une pensée pour cette grande journée, quand les Français avaient encore le courage de tuer les protestants. Je rêve d’une France catholique, blanche, blonde, indépendante, gardée par les DCA et la maréchaussée. Quand je serais roi de France, j’interdirais la littérature, le théâtre, la danse en couple, le sexe en dehors de la procréation, le chocolat noir, les raisins noirs, le goudron, les voyages à l’étranger, les corbeaux albinos, les résidences secondaires de plus de 50 m2.
Esprit petit et aigri à 9 h 46 min…
« Nous voilà bien avancés même si c’est de paranoïa qu’il s’agit »
ça aussi, ça va prendre cher !
de nota dit: 24 août 2014 à 9 h 51 min
c’est peut-être là plutôt la phrase d’un journaliste que d’un écrivain?
Ah bravo de nota, maintenant va falloir se taper 50 lignes de Dédé sur le sujet.
Quoique, j’aime bien.
Y en a ici qui ne savent même pas ce que c’est qu’un livre… C’est dire dans quelle misère c’est ici. C’est pas gagné d’avance, hein,; Passou, pour éduquer un peu toute cette vermine d’athées impénitents à l’histoire du christianisme ! En plus je suis allé le chercher en Galilée, le bouquin, un des deux que j’ai sur le Christ. Celui dont je parle est édité par des moines de Galilée.
Bien d’accord avec vous, Dédé, je rêve moi aussi d’une France, bleu, blanc, blond !
Vous croyez qu’une Saint-Barthélemy, modèle islamique, est possible si, du coup, on s’allie avec les protestants ?
Pour la blondeur obligatoire, les coiffeurs vont être contents. Pour les Antillais à blanchir, va falloir retrouver la formule magique Michael Jackson ! Remboursé par la Sécu, hein ! on n’est pas des monstres…
Rassurez nous Dédé !
Ok pour interdire les voyages (qui déforment la jeunesse) mais on pourra tout de même aller en Bretagne, hein ?
A Paris, aussi ?… Bon … Pas dans le Marais ?… D’ac !
Elle a baigné son corps d’albâtre dans un bénitier en marbre (robinets d’or en option)
Je suis vierge, je puis vous assurer que je n’ai pas de clitoris, je suis doté d’un beau sexe mâle, sorte d’espion en cure de sommeil de saut d’homme et go more. Widder de Montbazillac, accepteriez vous de m’adopter ? Nous échangerions nos connaissances, je suis un expert en utopies, vous en arbre généalogique brillant. Nous devons cousiner, je suis un d’Armatan, grande famille russe de Camargue. J’ai du sang juif-protestant dans les veines, comme vous je suis amateur de vodka et mes ancêtres couchaient aussi avec des membres de la cour. Dans mon domaine d’Aurillac, j’ai aussi une cabane pour mes invités, pas d’eau courante, des watères closettes champêtres, un simple sling monté entre deux figuiers. Mimi, j’organiserais une fête à votre honneur. Tout le canton attend votre visite.
Ah… je sens que ma salle de bain avec robinets en or massif a tapé dans l’œil de ueda. D’ici qu’il s’y vautre toute la journée, y a pas loin…On a beau l’ostraciser celui-là, on le met à la porte, il rentre par la salle de bain…
» le Christ était une sorte de guérisseur-mage de village. »
Le charme marche auprès des hystériques
Mimi, je sais ce que sont les livres. Vous pouvez me trouver chez Gallimard, en train de lire gratos.
En plus je suis allé le chercher en Galilée, le bouquin,
Gloire à Widezeppelin! quand le vulgaire le commanderait sur amazon, notre illustre professeur, lui, saute dans un avion, franchit le mur du sion et donne ses euros à de pauvres moines. Gloria! Gloria in excelcis Deo!
Widergänger dit: 24 août 2014 à 9 h 15 min
_
Tout ça est parfaitement exact, Michel, mais nous le savions déjà. Pourquoi vousloir nous le rappeler ?
Je crois qu’avec D. nous avons, ici, un Emmanuel Carrère indigène ! Sans bourses délier, si je puis dire…
que Deneb est Deneb et D. est D.
Des Journées
Come et Damien furent aussi honorés come patrons des médecins.Ils étaient inscrits dans le Canon, et leur fete est toujours au calendrier.
Que Carrère ne soit pas Bernanos, on le savait.
Bien à vous.
MC
JC : travail-famille-patrie, le gars de la Marine !
« Tout le canton attend »
ç
Tout le canton attend
Çà sent la Suisse à plein nez tout ça. Si vous voyez ce que je veux dire.
« Pour la blondeur obligatoire, les coiffeurs vont être contents. Pour les Antillais à blanchir, va falloir retrouver la formule magique Michael Jackson ! Remboursé par la Sécu, hein ! on n’est pas des monstres… »
Et pour les Français de souche bas de bassin vous conseillez quoi, une rallonge des fémurs ?
Ben oui il fait sa pré-rentrée.
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