Les éditeurs sont-ils vraiment tenus d’écrire ?
Une fois rangé des voitures, quand bien même continuerait-il à accompagner quelques uns de ses auteurs, un éditeur a le choix entre lire et écrire. Gaston Gallimard s’était bien gardé de prendre la plume quand Bernard Grasset ne pouvait s’en empêcher. Mais même lorsqu’il cède à la tentation de l’écriture, souvent après avoir juré ses grands dieux durant toute sa carrière que jamais il ne succomberait à un tel pêché d’orgueil, l’éditeur hésite entre raconter sa vie et raconter celle des autres. Dans le premier cas, il présente son ours comme un « roman », alors que cela ne trompe personne (André Balland) ; dans le second aussi, étant entendu que tout lecteur averti y verra un roman-à-clefs (Claude Durand).
Rares sont ceux qui annoncent frontalement des Mémoires (Edmond Buchet, Maurice Girodias, Eric Losfeld, Pierre Belfond, Jean-Jacques Pauvert), et plus rares encore ceux qui font tout simplement œuvre d’écrivain pleinement détaché de ses anciennes fonctions (François Maspéro). Le plus étrange est que la plupart commettent sur le plan de la forme, du style, de la composition, les erreurs et maladresses qu’ils n’ont cessé de reprocher, à juste titre, à leurs auteurs. A croire que le « livre d’éditeur » serait devenu un genre en soi, avec ses différentes variantes. Deux viennent de paraître qui nous y ramènent.
Teresa Cremisi (Alexandrie, 1945) est depuis vingt-cinq ans l’une des rares femmes d’influence de l’édition française. De son pouvoir et sa capacité de séduction, subtil alliage de caractère, de charme, d’intelligence, de culture, d’exotisme, de doute et de légèreté, elle use pour faire et non pour défaire. Après des débuts à Rome au mitan des années soixante (des Vespa dans un paysage de Corot) chez Garzanti où elle est passée par presque tous les métiers du livre, elle travaille pour la Rai, l’Espresso et la Stampa avant d’être remarquée par Antoine Gallimard à la foire de Francfort. Il en fera son premier ministre, son bras droit, son « homme » de confiance. A elle les relations au quotidien avec nombre d’auteurs parmi les piliers de la maison, les Kundera, Modiano, Roth etc
Très vite, elle en devient l’indispensable rouage. Tant et si bien que Wikipédia, qui se trompe déjà en la décrétant « naturalisée française » (alors qu’elle y a échoué pour des raisons administratives), écrit curieusement qu’elle a « obtenu » le prix Goncourt en 2000 et 2001, comme si elle était l’auteur de Ingrid Caven et de Rouge Brésil. Puis ce sera l’émigration vers Flammarion, lors de sa reprise par un groupe italien qui la nomme Pdg de la vieille maison, à charge pour elle de la redynamiser, ce qu’elle réussira avec éclat en lui permettant de renouer avec le succès grâce notamment à Michel Houellebecq, Christine Angot, Yasmina Reza, Franz-Olivier Giesbert, Jean-Christophe Rufin, Catherine Millet…
L’éditeur ayant été récemment absorbé par le groupe Gallimard, Teresa Cremisi s’y est maintenue avant de prendre le large par rapport aux taches managériales en se consacrant exclusivement au suivi de ses auteurs et à l’écriture de La Triomphante (190 pages, 17 euros, Equateurs). C’est dans ce roman que vous ne trouverez pas tout ce que vous venez de lire au-dessus. Enfin, « roman »… C’est bien d’un récit autobiographique qu’il s’agit, avec quelques écarts. Pas de clés. Pas de codes. Pas de cryptage. Pas de dédicataire. Pas de phrase d’écrivain en épigraphe. Mais un bel autoportrait en creux, sans complaisance, malgré les pas de côté de la fiction.
C’est l’histoire d’une fille d’Alexandrie qui a grandi dans ce qui fut une exemplaire babel cosmopolite, de l’enfant d’un père expert à la bourse du coton et d’une mère sculptrice, d’une élève de Notre-Dame de Sion qui a choisi de se faire baptiser à l’âge de neuf ans comme si cela pouvait mettre un terme à son identité incertaine, d’une italo-indo-judéo-hispano-britannique à l’imagination portuaire, d’une femme mûre qui sait se retourner sur son passé sans éprouver de nostalgie pour le monde d’avant, malgré le souvenir prégnant de la beauté de la baie d’Aboukir, tant elle se veut pragmatique, dure sous les accès de tendresse, d’une personnalité indépendante qui sait beaucoup de choses mais ne ressent rien, qui a choisi la France par amour pour sa langue et sa culture. On ne trouvera dans ce récit sensible, coloré, sensuel nulle allusion au milieu littéraire, et c’est heureux. A peine une remarque en passant qui vaut pour les autres comme pour elle :
« Tout patron est un tyran édulcoré ».
Juste un bouquet d’émotions liées à des choses vues et des réflexions sur la vie comme elle va inspirées d’un peu partout. Les pages les plus réussies évoquent le bonheur d’être au monde l’été dans des villages de la côte amalfitaine, parmi les rires, les éclats de voix, les houspillages, le vin du pays et la langueur du temps sur les petites places ombragées au retour des pêcheurs. D’autres pages sont consacrées aux livres qui l’ont faite : Salammbô, les Sept piliers de la sagesse, la Ligne d’ombre de Conrad et les poèmes de son compatriote Constantin Cavafis dévorés dans un puissant désir d’identification, et avec la conviction qu’un jour ou l’autre elle engagerait des décisions en fonction de ce qu’elle y avait lu. Sans oublier sa BD de chevet, Corto Maltese, où Hugo Pratt a placé une réflexion digne de Sacha Guitry :
« Les femmes seraient merveilleuses si on pouvait tomber dans leurs bras sans tomber entre leurs mains ».
On y trouve même l’ébauche d’un prochain roman, un vrai, très prometteur, dont les traces, déjà rassemblées, font rêver l’auteur : l’histoire de François de Sales, un officier de marine de la Royale du milieu du XIXème siècle, qui signait au crayon Ed. Jouneau ses dessins de navires, qui a probablement participé à la prise des îles Marquises, s’étant embarqué à bord de La Triomphante, laquelle donne son titre au livre de Teresa Cremisi. Au fond une femme à la recherche de triomphes introuvables pour avoir toujours bridé son tempérament, ses impulsions, son impatience, et pour ne s’être pas autorisée, aveu murmuré entre les mots, ce qui rend son histoire d’autant plus attachante.
Le livre de Jonathan Galassi, patron de Farrar, Straus and Giroux où il a récemment publié Les Corrections de Jonathan Franzen et Middlesex de Jeffrey Eugenides, est d’une toute autre catégorie tout en relevant du même genre puisque c’est un livre d’éditeur. Muse (272 pages, $ 18, Knopf) est le premier roman du traducteur en anglais de Leopardi et Montale, et d’un poète respecté de 66 ans qui étudia naguère Elizabeth Bishop et Robert Lowell à Harvard. Ce qui se présente comme une histoire d’amour se passe dans le milieu de l’édition. C’est supposé être écrit aux environs de 2021.
La loyauté d’un jeune directeur littéraire y est déchirée entre deux figures tutélaires inspirées de deux grandes personnalités de l’édition américaine. Air connu. C’est bien le seul point commun avec l’Ecrivain fantôme de Philip Roth et les Papiers d’Aspern de Henry James. Comme l’auteur est depuis longtemps de la partie, il évoque un monde d’avant, les good old days où, au sein du New York littéraire, les relations entre auteurs et éditeurs étaient courtoises, élégantes, brillantes. Idéal ! A croire que l’édition y était une activité de gentlemen. C’est à se demander même si on y parlait d’argent et si les maisons concurrentes se livraient à un mercato. Cela dit, c’était un temps où, il est vrai, près de 15 000 « fans » pouvaient se presser dans un stade de base-ball pour écouter T.S. Eliot prononcer une conférence… On croit rêver.
La prestigieuse maison actuellement dirigée par Jonathan Galassi y apparaît sous le nom de Purcell & Stern. Mais à la différence de son modèle, elle peut faire un best-seller d’un recueil de poésie (là, on est vraiment dans le rêve), en l’espèce les poèmes d’une certaine Ida Perkins à propos de laquelle l’auteur pousse le jeu jusqu’à publier en annexe une bibliographie fantasmée. Or le problème des romans-à-clefs, c’est qu’il n’en reste plus grand chose dès lors que l’on se débarrasse du trousseau par manque de goût pour la serrurerie littéraire. On suppose que l’auteur s’est amusé à constituer ce puzzle, exercice ô combien plaisant. Mais au-delà de son cercle, circonscrit à quelques quartiers de New York ? Tout cela pour dire que c’était mieux avant dans ce monde de brutes ? La vérité est tellement plus simple : avant c’était toujours mieux parce qu’on était plus jeune et plus pur. Sa nostalgie, il eut été mieux inspiré d’en faire un poème plutôt qu’un roman. Un poème ne supporte pas le bruit des clés.
(« La villa Ambron à Alexandrie qu’habita Lawrence Durrell » photo D.R. ; « New York » photos Passou)
578 Réponses pour Les éditeurs sont-ils vraiment tenus d’écrire ?
Pour le plaisir narcissique d’écrire le premier commentaire.
La question de savoir qui devrait écrire ou pas se pose surtout pour les journalistes. Trente ans qu’ils nous emmièlent avec des tonnes de « romans » tout juste bons à récupérer pour allumer le feu. Trente ans qu’ils dévalorisent l’écrit et la littérature en usurpant une profession qui n’est pas la leur et à laquelle ils ne comprennent rien.
Cordialement !
Comme le dit Jean d’O, le journalisme est illisible, et la littérature n’est pas lue.
J’avoue avoir fait un ctrl f, pour savoir si M. Houellebecq était cité. Mais non.
« un poème ne supporte pas le bruit des clés »
C’est très subtil.
Editrice de C. Angot en plus. Tout pour déplaire ici !
« Il y a ce jour cuisant où la narratrice, qui porte à la France « un amour un peu insensé » depuis l’enfance, se voit refuser la nationalité française. »
http://culturebox.francetvinfo.fr/livres/romans/la-triomphante-premier-roman-de-teresa-cremisi-devoile-des-blessures-218523
« d’une élève de Notre-Dame de Sion »
Cela même bien plus haut que science-po…
Il y a combien de livres cités dans ce billet, au juste ?
« Pas de clés. Pas de codes. Pas de cryptage. Pas de dédicataire. Pas de phrase d’écrivain en épigraphe. »
Là, je vais vous le dire, c’est une faute capitale.
Pas de reconnaissance de dettes, tu es self-made. Ici, (toujours) cela ne pardonne pas.
« Elle rattrape son retard en italien (qu’elle parle mais n’écrit pas encore correctement) »
source culturbox à propos de Mme.Cremisi..
Nous en savons nous aussi quelque chose.
Il nous semble que la première photographie publiée par Passou a déjà été publiée en illustration princeps.
c’est vraiment grave de mauvaise foi, je trouve, cette descente en flamme d’une femme qui restera d’exception dans l’édition française. Non apparentée Gaston et consorts.
Cette histoire de poème qui ne supporte pas le bruit des clés : Vous la recopierez. Comme vous pourrez, comme un parvenu. Avec vos manques surtout, vos manques d’humanité et peut-être, va savoir, d’humilité ?
« Des décennies plus tard, la narratrice se souvient comme d’un eden de la plage ensoleillée d’Aboukir où son père, inlassablement, retraçait la bataille du même nom (qui se solda en 1798 par la victoire de Nelson sur Bonaparte). Et où l’on dégustait, à l’approche du soir, des oursins découpés avec des couteaux rouillés. »
même lien.
personnalité indépendante sait beaucoup de choses mais ne ressent rien,
la ligne qui sépare le tyran du patron est-elle plus sue que ressentie?
Trente ans…. vous datez l’enmielage depuis la fin des années Pivot, dear Chaloux ? Oui. Il y a une ou deux de vos phrases bizarrement construites, dear passou. L’émotion à causer de madame Cremisi, sans doute.
« mais ne ressent rien »
C’est sûr que ce mettre à poil des sentiments de la sensiblerie, ce ne doit pas être le genre de Madame Cremisi.
oups, lire: se mettre à poil. Comme chez le psy.
qui a choisi de se faire baptiser à l’âge de neuf ans comme si cela pouvait mettre un terme à son identité incertaine,
ce choix a neuf ans lui a suffi
Phil, ce doit être l’effet Dalida.
Ha ben la baraque elle a un rien de pourrave comme celle des Indes, là, de Hahaime…
Du film, hein, en vrai j’ai pas été voir d’ailleurs c’est sûrement plein de crocos dans le Tibre… I zon dû bouffer le vélo !
« Corto Maltese, où Hugo Pratt a placé une réflexion digne de Sacha Guitry : « Les femmes seraient merveilleuses si on pouvait tomber dans leurs bras sans tomber entre leurs mains ». »
Corto il dit une phrase aussi longue ? Ca prend au moins trois pages, non ?
« Un bon mariage est celui d’une femme aveugle et un mari sourd. »
Michel de Montaigne
« Le premier baiser qu’on obtient d’une femme est comme le premier cornichon qu’on parvient à extraire du bocal. Le reste vient tout seul. »
Mark Twain
Tout à la fin du bocal il reste des petits oignons-grelots assez difficile à attraper.
« Celui qui cherche une femme belle, bonne et intelligente, n’en cherche pas une mais trois. »
Oscar Wilde
J’ai beau relire et relire « une fois rangé des voitures », la signification de cette proposition demeure une énigme pour moi. Si quelqu’un pouvait m’éclairer ?
C’est faux, Chaloux. Bérénice est réellement belle, bonne et belle à la fois.
Dear Phil, je compte surtout à partir de mon entrée en Sorbonne, temps où il existait encore des Yourcenar, des Char, des Gracq, des Cabanis, mais où toute une flopée de monte-bourricot journalistes – et souvent les plus médiocres, il n’y a pas de hasard- ont commencé à se dire « écrivains ». Il faut vous dire que j’achète souvent dans les brocantes de ces romanticules que je feuillette avant de les vouer à faire partir le feu d’une cuisinière à bois et d’un insert par moi chéris (j’ai toujours aimé les cuisinières à bois). Tous les Garcin y sont déjà passés plusieurs fois, et quand je n’en ai plus, je note sur mon petit carnet : »Se ravitailler en Garcin ».
« La grande tactique des femmes est de faire croire qu’elles aiment quand elles n’aiment pas, et lorsqu’elles aiment, de le dissimuler. »
Cocteau.
D. dit: 17 juin 2015 à 0 h 54 min
Tout à la fin du bocal il reste des petits oignons-grelots assez difficile à attraper.
Il faut les piquer.
…
…la villa Ambron à Alexandrie,…restauré çà,!…
…
…c’est comme l’Acropole,…
…
…créer du dégoût de vivre » ensemble « , avec des intolérants, des primates,!…
…
…quel niveau de corruption pour l’entretien des bâtiments,!…
…
…çà me fait penser, à un monument » Maya « , dans la jungle tropicale,!…Si,!…
…etc,!…des éditeurs,!…
…et, déjà, nos textes en lignes,!…etc,!…allez passons,!…
…
« avant d’être remarquée par Antoine Gallimard à la foire de Francfort. »
J’ai mis cette phrase sous les yeux de ma chipie de fille à l’instant( elle est levée, elle passe philo ce matin)et lui ai demandé comment elle l’a comprenait:
-Euh… Antoine Gallimard, c’est le Gallimard des éditions? oui, que j’ai dit, ma fille a donc enchaîné: ben, la foire de Francfort, c’est le truc avec la bière et les saucisses! c’est Antoine Gallimard qui a remarqué une meuf à cette foire…
J’ai donc précisé à ma fille que la foire de Francfort est une foire du livre et la plus ancienne au monde!!! On a bien rigolé et ma fille a ajouté:
– ah bon! mais y’a certainement de la bière et des saucisses »
-de la « petite bière » et des « saucisses »? , mais c’est bien possible!
Claude François était un de ces Alexandrins qui durent faire leur valise pour ne pas terminer dans un cercueil. D’après un de ces anciens camarades de classe devenu homme d’affaires franco-australien, c’était un petit morveux qui ne se lavait pas tous les jours. L’usage de la baignoire lui fut fatal…
c’était un petit morveux
quelle voix superbe cependant
« Trente ans qu’ils dévalorisent l’écrit et la littérature en usurpant une profession qui n’est pas la leur et à laquelle ils ne comprennent rien »
L’exception confirme la règle
Je trouve que le Siège Social de Gallimard, en illustration, est bien « fatigué »….
Philip Larkin panthéonisé façon sauce à la menthe, envoyé au Coin des Poètes, en l’abbaye de Westminster. They f*ck you up, your Queen & country…
« avant d’être remarquée par Antoine Gallimard à la foire de Francfort. »
Elle avait quel âge, en 1989 ?
Constance le Grip : atteinte à la liberté de l’information? Les « Républicains-Medef » par le biais de Bruxelles nous préparent une curieuse « république ».
Change de métier, Constance…
On comprend mieux maintenant leur nouvelle dénomination : « Les républicains », un genre de pense-bête, un nœud à leur mouchoir, pour ne pas oublier qu’ils veulent détruire la république…
Cordialement!
Allons Chaloux ! Allons ! Les Républicains ne détruiront pas plus la République que les Socialistes la bichonnent à coup de marteaux idéologiques et d’incompétence érigée en vertu ! …
« avant d’être remarquée par Antoine Gallimard à la foire de Francfort. »
C’est le genre de vacherie dont Passou a le secret !
Mais c’est très juste et très bien vu au final : l’Antoine est un vrai maquignon et Francfort est une foire aux bestiaux !
A propos de cette affaire Le Grip -qui devrait démissionner immédiatement pour atteinte à la démocratie-, que disent nos deux chapons, Chapon-Braillard et Chapon-Mou? Rien du tout, apparemment. C’était bien la peine de voter « à gauche ».
Bonne journée,
… Soyons raisonnables ! Il nous faut en France un fascisme modéré, une justice expéditive, une police puissante et respectée, un Führer sympathique …. Les Teutons, y z’ont bien Angèle, non ?
Mon cher JC, c’est bien Emmanuel Todd qui a raison : le Piss et les Repue devraient fusionner. Ce qui permettrait à une gauche qui soit une gauche de se reconstituer, puisqu’on ne peut plus être de gauche et voter à gauche (dans 5 ans, être de gauche sera devenu un délit).
« pour ne pas oublier qu’ils veulent détruire la république… »
le chant des casseroles
(dans 5 ans, être de gauche sera devenu un délit). (Chaloux)
Attention, dire ça aujourd’hui c’est déjà un délit !…..
« avant d’être remarquée par Antoine Gallimard à la foire de Francfort. »
Quand un homme évoque aussi grossièrement l’ascension d’une femme (heureusement, Gallimard ne l’a pas « remarquée » au salon de l’escalade), c’est généralement qu’elle lui a refusé quelque chose.
La phrase d’Hugo Pratt est parfaitement réversible, tant les hommes qui nous ouvrent les bras nous ferment souvent les portes…
D’habitude, je me méfie des « femmes d’influence » qui « oeuvrent dans l’ombre » (d’un homme, généralement). Mais le portrait dressé par notre hôte est si attachant que ce profil de femme (« une femme à la recherche de triomphes introuvables ») se détache nettement de toutes les Trierweiler du monde…
Désormais, le service le plus important de toutes maisons d’éditions, c’est le service commercial !
Ceux qui se disent de gauche sont toujours de droite et inversement…
Chaloux dit: 17 juin 2015 à 1 h 24 min
Laissez-leur le droit de ne pas aimer les cornichons.
Toi, président de la république, prends ta retraite. (Retraite chapon).
« Ceux qui se disent de gauche sont toujours de droite et inversement… »
Attila fait psy – socio- et – à la fois
« ne pas aimer les cornichons. »
ils n’ont rien fait de mal
Dear baroz, en Allemagne toutes les foires sont dites des « Messe », qui étaient effectivement dites avant leur ouverture en grande pompe. Gallimard (petit-fils) a pu se sentir inspirer à la vue d’une égyptienne en train de saxonner à Francfort. Gallimard (grand-père) collectionnait femmes et voitures mais n’allait pas à la messe.
« ne pas aimer les cornichons. »
…. mais…. alors…. si c’est ça….. c’est la mort du vivre-ensemble, man !…..
Attila dit:
Jacquot-dit, vous fûtes toujours un pitoyable contempteur de la chose publique.
Wikipédia, qui se trompe déjà en la décrétant « naturalisée française » (billet)
Ah, ben je l’ai entendue un matin à la radio, cette dame, et elle disait qu’elle venait effectivement d’être naturalisée française. C’était sur France Inter. Mais peut-être qu’elle se trompe aussi.
Dans le fond, l’article 49.3 dont se sert le Méchant Petit Caudillo Catalan (MPCC) contre sa majorité socialiste des députés de gauche (représentant soi-disant le Peuple : en fait une photo instantanée de la France anti-sarkozyste de l’époque)…c’est le fascisme modéré à la française, sauce catalane !
Arriba Manuelito ! la muerte para la democracia !
beaucoup se détournent de ce blog qui devient souvent une tribune politique, dommage
L’actualité littéraire puisée dans wikipedia, c’est un peu commme du passoulinisme face au crémisisme, autant dire une poule devant un tesson ou la perplexité du pivot devant de l’hagège. Parfois, c’est drôle, souvent sans grand intérêt.
en Allemagne toutes les foires sont dites des « Messe »
n’est-il pas vrai que des écrivains y lisent des passages de leurs écrits, ça doit être sympa non?
« tyran édulcoré » est une formule malheureuse.Ratée.
à la messe on se contente de faire la quête, Phil, au marché au bétail littéraire de Francfort on signe des contrats à coup de gros chèques !
« formule malheureuse.Ratée. »
Recalée au bac, la Cremisi, WGG ?
Jacky, quand nous ponds-tu un « Le goût du dégoût »… sujet actuel s’il en est ?
Robbe-Grillet était à l’origine chercheur ingénieur agronome. Michel Deguy est professeur de philosophie à l’origine. On ne voit pas pourquoi les journalistes devraient être moins légitimes que les autres à écrire.
Le problème n’est pas là. Mais dans le talent ou pas.
« tyran édulcoré », ça fait bonbon acidulé. C’est nul.
Deux citations, l’une de Cocteau, l’autre d’Oscar Wilde, sur les femmes…On se demande s’ils sont bien placés pour en parler. A quand Montherlant?
Question citations, il y en a de meilleures que d’autres. Celle-ci, de Tocqueville, par exemple !
« Or, il est facile de voir qu’il n’y a pas de société qui puisse prospérer sans croyances semblables, ou plutôt il n’y en a point qui subsistent ainsi; car, sans idées communes, il n’y a pas d’action commune, et, sans action commune, il existe encore des hommes, mais non un corps social. Pour qu’il y ait société, et, à plus forte raison, pour que cette société prospère, il faut donc que tous les esprits des citoyens soient toujours rassemblés et tenus ensemble par quelques idées principales »
Ce qui est nul c’est la généralisation, WGG !
Et que dire alors de toute patronne ?
« On ne voit pas pourquoi les journalistes devraient être moins légitimes que les autres à écrire. »
Exact, WGG !
Question citations, il y en a d’excellentes. Celle-ci, de Régis Bolo de la Gambière, par exemple :
« Il y a toujours dans le vaste monde un c.on bien plus c.on que vous ! »
C’est rassurant. Est ce valable en RdL, je l’ignore… Possible…!
et Un bon mariage est celui d’une femme aveugle et un mari sourd. »
qui est le plus misogyne ?
on souoçonne que la réponse à la question dutitre est oui , mais à qui sont ils tenus d’écrire sans faute de syntaxe,
, de lexique , en fin sans qui proquo ?
il serait tellement plus simple de déterminer quels parmi les écrits sortis de chez un éditeur ne sont pas des « roman; ou même^si toute biographie n’est pas d’abord un roman «
au marché au bétail littéraire de Francfort on signe des contrats à coup de gros chèques !
!
Quelle vulgarité en effet ! Et comme si l’argent faisait le bonheur
Allez-vous enfin me dire ce que c’est que cette histoire de voitures ?
Et que signifie saxonner ?
Widergänger dit: 17 juin 2015 à 10 h 16 min
On ne voit pas pourquoi les journalistes devraient être moins légitimes que les autres à écrire.
En effet. Mais, en l’occurrence on fait allusion à autre chose. D’après Sollers, la vogue des journalistes romanciers vient d’une idée de Françoise Verny, qui s’était dit : si un journaliste publie un roman, on peut parier qu’il aura de la presse, ses confrères voudront en parler.
C’est ainsi qu’on a eu les Poivre d’Arvors, les Giesbert, les Hervé Claude et une flopée d’autres.
D. dit: 17 juin 2015 à 11 h 26 min
Et que signifie saxonner ?
Seul Phil le sait. Il y a des tas de choses qu’il est seul à savoir.
JC….. dit: 17 juin 2015 à 10 h 52 min
« Il y a toujours dans le vaste monde un c.on bien plus c.on que vous ! »
C’est rassurant. Est ce valable en RdL ?
Soyez sans crainte, JC, vous pouvez dormir sur vos lauriers, on ne vous détrônera pas de si tôt.
12 h 00 : et paf dans la tronche au Benitoto
L’art du virtuel : documentaire (réel) ou fiction (imaginaire ?
Il manque malheureusement les personnages d’où l’impression d’une ville fantôme !
https://lejournal.cnrs.fr/articles/ecoutez-le-paris-du-xviiie-siecle
Grâce à PIERRE MAURY, Passou est dispensé de quelques Pour saluer !
Tiens, il y a eu un sujet sur « De la divination ». Le hasard, au bac philo ce matin.
A la limite on aurait pu écrire : une fois rangées les voitures. Quand j’étais petit garçon, je rangeais mes voitures.
Attila, merci pour le lien et la balade sonore… Mais quand on joue (comme Clopinou) à Assassin’s creed, on peut se balader itou à Venise par exemple, avec les personnages en plus. Bon, l’assassin’s creed qui se passe pendant la révolution française a quelque peu fait hurler les historiens (il n’y a jamais eu de guillotine sur le parvis de Notre-Dame), et les sons des différents jeux sont sans doute moins « authentiques » que ceux présentés ici. Néanmoins, l’atmosphère est saisissante, et les reconstitutions plus que fidèles. J’adore ça. Mais le problème, c’est que je ne sais pas jouer aux jeux vidéos, alors je me fais massacrer rapidement quand je me promène là-bas…
R. C. dit: 17 juin 2015 à 12 h 00 min
Il y Marc Court, notre maître en culture classée bien propre haut-niveau, et Régis Court, le frère débile converti à l’islam salafiste … un raté que même sa maman elle l’aime pas, que même les humanitaires y s’en foutent.
EDUCATION NATIONALE
On trafique les notes pour que le « niveau monte ». Les professeurs collaborent. Prisonniers… Bref, il monte, le niveau.
…dans la cuvette des chiottes….
Attila dit: 17 juin 2015 à 9 h 05 min
Ceux qui se disent de gauche sont toujours de droite et inversement…
Pourriez-vous développer ? Parce que, dit comme ça, excusez-moi de vous l’avouer, ça n’a guère de sens ou, pour parler plus clairement, c’est très c.n.
On trafique les notes pour que le « niveau monte ». Les professeurs collaborent. (JC)
C’est plutôt le niveau de la réflexion de JC qui est-en dessous de celui de la cuvette. On lui conseillera de s’initier aux rudiments de la docimologie, science un peu plus complexe qu’il semble le croire.
Teresa… une amie ? « soy de carnes blandas y nonada impenetrables… »
http://antiguoescriba.blogspot.fr/
C’est plutôt le niveau de la réflexion de JC qui est-en dessous de celui de la cuvette (Anselme)
Vous marchez sur du velours, là, Anselme. Personne ne vous contredira sur ce point. (A part peut-être l’intéressé lui-même.)
quand on pense que JC a proposé qu’on passe les migrants au DDT… et que personne n’a moufté !
Bon, si ce que je dis n’intéresse personne je préfère encore m’en aller.
Widergänger dit: 17 juin 2015 à 10 h 16 min
Robbe-Grillet était à l’origine chercheur ingénieur agronome.
Vian, Piston (Centrale) ; faut pas s’étonner qu’il ait inventé des baraques qui se gonflent et qui se dégonflent…
Et, avant d’être commentateur, Sergio était mécano chez Ducati.
Anselme dit: 17 juin 2015 à 14 h 22 min
« On trafique les notes pour que le « niveau monte ». Les professeurs collaborent. (JC)
Je maintiens. On trafique. On obéis. par ailleurs, en toute amitié, je pense aussi qu’Anselme devrait cesser de se la jouer Première Division, surtout avec ses jambes et son anus artificiel, il salit le gazon …
Antonio,
Le DDT est un anti parasitaire parfait. Et que sont ces migrants, sinon … ? Pouvez vous m’expliquer votre raisonnement de brêle humaniste et le nombre que vous accueillez dans votre home, actuellement, vous pour qui fraternité est art de vivre ?
Confidence pour confidence dit: 17 juin 2015 à 16 h 01 min
Ducati
N’en parlez jamais, pensez-y toujours !
Le DDT de toutes manières y en a partout, sur la place Stan dans les catacombes à Paris, sur le trottoir roulant de Châtelet, à Toulon rue Tubano à Strasbourg dans la Petite France tout en haut de la tour de Pise du Lutetia des falaises des Feroé, et même dans les champs…
DDT : puisqu’il est partout, alors un bon coup de pulvérisation en plus sur la tronche du Benitoto…
Sur cette question, comme sur bien d’autres, je suis plutôt, dans les grandes lignes, disons dans l’ensemble, pour ce qui est de la vision générale du problème, et contrairement à JC, d’accord avec Jacques Barozzi.
Mais cela n’engage que moi, bien sûr. Et lui. D’une certaine manière, pour ne pas dire totalement, ou plus exactement à moitié, puisque c’est un avis partagé, quoique peut-être pas seulement partagé par lui et moi mais par beaucoup d’autres.
Sergio dit: 17 juin 2015 à 16 h 30 min
Le DDT de toutes manières y en a partout
Ce n’est pas tout à fait exact. De nos jours, le dichlorodiphényltrichloroéthane (ou bis p-chlorophényl-2,2 trichloro-1,1,1 éthane, ou encore le 1,1,1-trichloro-2,2-bis(p-chlorophényl)éthane pour la nomenclature chimique) est surtout utilisé dans les pays où la lutte contre le paludisme et le typhus est une priorité. Sur cette question, comme sur bien d’autres, je suis plutôt, dans les grandes lignes, disons dans l’ensemble, pour ce qui est de la vision générale du problème, et contrairement à Sergio, d’accord avec mon frère.
même pas un peu de compassion, Benitoto, vous le champion de la con passion ?
Si je ne commets pas d’erreur, Jean Calbrix est, sous de nombreux pseudos et un renvoi à un blog « les zones érogènes etc », un des participants les plus assidus de ce blog-ci. Un troll, de plus, qui démontre souvent son machisme primaire quand il s’adresse à moi, mais aussi un écrivain qui n’hésite pas à solliciter des gens comme moi, pour voter pour un poème mis en compétition quelque part…
Et qui oublie de remercier.
Car Jean Calbrix est normand, certes, mais le titre de son dernier ouvrage provient évidemment de ma fréquentation de ce charmant sous-bois qu’est la République des Livres…
Jugez-en : « mon cadavre brait en Pays de Bray », franchement, c’est tout droit issu de mes facéties, ici…
L’élégance n’est visiblement pas la caractéristique principale de Calbrix, qui aurait évidemment dû m’offrir son bouquin, accompagné de quelques paroles plaisantes et complices…
Bah, encore un indélicat, voilà tout !
JEAN CALBRIX C’EST DONC JC….. ça alors
Autant que vous le sachiez : demain débute le Ramdam ! Quel bonheur … le ramdam. Quelle intelligence dans le quotidien…
Je me suis converti.
On n’est jamais trop en avance sur les évènements. Je me suis muslimisé pour un tiers. Mais ne le dites pas à Papa…il est plutôt du second tiers, ni à Maman, elle m’excommunierait fissa, chrétienté oblige !
Me voila polythéiste ! Je fais la fête tout le temps.
Oui ! vous les connaissez, Papa et Maman. Le secret est éventé de longue date :
JE SUIS LE FRUIT DES AMOURS COUPABLES DE PIERRE ASSOULINE ET URSULA ANDRESS !
Ayant hérité de la beauté de l’un et de l’intelligence de l’autre, ma vie est un enchantement …
Je vous raconte ça demain matin, okay ?
Cela nous changera de Macron qui a épousé sa mère, de la littérature qui est à la vie ce qu’est la marseillaise à un nocturne de Chopin, de la politique qui est la science des mansots… Bonne soirée !
Nous rappelons à tous et à toutes que Ici Londres émet depuis Vesoul …. ondes très courtes.
le Jocrisse et l’intubé dit: 17 juin 2015 à 17 h 16 min
« mon cadavre brait en Pays de Bray »
Hé ben, c’est la gloire, au contraire ! Faut positiver comme ils disent à la Rdoute…
Une fois j’ai eu peur que l’on revienne me fracturer de nuit ma vitrine d’expo, pour une croûte dont je n’avais pas voulu me fatiguer à discutailler le prix (de vente, donc) dans la journée.
Il n’y a rien rien eu, mais après tout, s’il y avait eu…
le Jocrisse et l’intubé dit: 17 juin 2015 à 17 h 16 min
Si je ne commets pas d’erreur, Jean Calbrix est, sous de nombreux pseudos et un renvoi à un blog « les zones érogènes etc »
Eh bien, si, l’erreur et commise, madame. Les zones érogènes, c’est Jambrun (et ses mille hétéronymes). Jean Calbrix ne vient plus, mais postait ici sous le pseudo de Marcel, et n’avait en rien le comportement d’un troll. Les deux personnages n’ont rien en commun.
Comment peut-on me confondre avec Jean Calbrix !!! Dingue ….!
Le poète-poète est le fruit naturel, bien qu’avarié, des amours coupables de Daniel Rops et Marguerite Yourcenar. Laquelle avait bu, le prenant pour Alain Delon…
Passons….
Le samouraï, ça laisse des traces, des stigmates, des bubons. Mais Calbrix est à la poésie ce que Jean Yanne est à Verlaine….
JC devrait quand même se reposer parce que a son âge il fait de grosses journées. Arrivé vers 18 heures, on sent nettement le commentaire bâclé, voire la confusion dans l’empressement.
JC….. dit: 17 juin 2015 à 18 h 00 min
Comment peut-on me confondre avec Jean Calbrix !!!
Impossible, malgré les initiales. Jean Calbrix est un vrai mathématicien, doublé d’un homme sympathique.
Quant à le confondre avec Anselme la Grande Colette, ça me semblait tout aussi impossible.
Disons-le tout de go : il radote.
D. dit: 17 juin 2015 à 18 h 04 min
JC devrait quand même se reposer parce que a son âge
Détrompez-vous, D. JC a tout d’un vieux schnock, pense comme un vieux schnock, fanfaronne comme un vieux schnock, mais ce n’est encore qu’un idiot quinquagénaire.
Il est vrai qu’on le disait déjà vieux à vingt ans, mais l’âge mental n’est pas l’âge des artères.
Je défie tout mathématicien sérieux d’intéresser les littéraires de ce blog comme je tente de le faire depuis une décennie, en essayant de les sortir de leur passe temps dérisoire.
Mon diplôme de Doctorat en Physique théorique, maitre de thèse JM Souriau, est disponible sur Mentula_Mathematica.com.
Bonne nuit, les petits.
JC….. dit: 17 juin 2015 à 18 h 11 min
Mon diplôme de Doctorat en Physique théorique
Ah, ça, c’est bien, mon grand. Ta maman doit être fière de toi.
Pas de quoi être fier de ce qui ne coûte que peu d’effort … J’envie Ceaucescu qui a démarré cordonnier : quelle belle époque ! L’ascenseur social fonctionnait parfaitement.
Je n’a pas eu enfant avec Pierre A. : rapport sexuel satisfaisant oui, plaisir conversatoire oui, gros ventre non ! Gute nacht !
Jean Calbrix ?
– vrai mathématicien
– homme sympathique
– bon poète
Trois erreurs grossières
– enseignant banal
– gauchiste pénible
– mirlitonneux pompeux/pompant
Ca alors, JC !! Avez-vous connu Pioum ?
La terrasse non seulement faut pas passer dessous mais faut pas aller dessus…
Ou alors pour lancer un chat ; ça serait… une version remaniée, quoi…
Rebsamen/ Macron ?
Une lutte de géants !
le cafard contre le moustique ….
Tu voudrais pas grandir un peu, JC ?
T’es vraiment lourd avec tes enfantillages. Et que j’ai un diplôme par ci, et que je suis plus intelligent que Calbrix, et que j’ai l’air d’un nul mais que c’est pas vrai, j’étais un bon élève et na, et na !
Pff .. comme dit la potesse à Ueda. Tu pompes l’air à la longue, tu le sais, ça ?
closer dit: 17 juin 2015 à 10 h 21 min
Evidemment. Qui peut-on plus profondément observer et connaître qu’un rival?
Albablabla, ta réponse montre que tu n’as rien compris. Dès qu’on s’élève un peu, toi tu creuses.
Bonne soirée,
Ne soyez pas vaches avec ce pauvre JC. Il est clair qu’il souffre d’un problème de reconnaissance. Il vient ici pour essayer d’exister. Sa vie ne doit pas être marrante. Il a besoin de se faire mousser, de se convaincre qu’on le déteste à cause de son intelligence supérieure, il est obligé de se raccrocher à des illusions pour ne pas sombrer dans la déprime.
Si le fait de commenter (si on peut dire) ici lui sert de thérapie, tant mieux. Ça doit soulager ses proches.
Chaloux dit: 17 juin 2015 à 19 h 17 min
Dès qu’on s’élève un peu, toi tu creuses
Oui enfin si le gus qui a le pistolet chargé commence à s’élever en ballon comme Gambetta, il va plus rien surveiller du tout à celui qui creuse !
Douc il va s’arrêter de creuser c’est couru comme un sifflet de deux sous…
En tous cas la France entière est ce soir morte de rire à cause de l’affaire Nutella. Merci Ségolène pour cette excellente gestion des priorités concernant l’environnement de notre pays.
« pour info », l’erreur EST commise, que diable. Nous prétendons être sur un blog littéraire. Qu’à défaut d’élégance, de bienveillance et de générosité, les règles élémentaires soient respectées ici. Non ?
Roman d’éditeur, roman de normalienne, roman de diplomate, roman de présentateur…
En général, on salue de loin, peut-être à tort.
Pour tromper la distance j’ai lu aujourd’hui avec retard un roman de Kundera (L’immortalité), et me suis demandé pourquoi l’Académie suédoise avait choisi de couronner Le Clézio et Modiano, deux écrivains très estimables mais combien pâlichons comparés à un homme de la force de MK.
C’est un plaisir rare que de lire un roman intelligent de bout en bout, la plupart des romans sont des fantaisies misérables, achetées par des gens peu soucieux de leur temps de vie ou de la longueur de leurs étagères.
Ce que ne peut un homme.
Elle est magnifique la photo en couverture du livre de T. Cremisi.
Ce regard en arrière, une fois que l’on se met hors trafic, hors les routes maritimes des gros cargos, pour reprendre une image qui m’avait beaucoup plu, à propos d’un voilier nommé » désir », ce regard d’une femme qui ne doit plus aucun merci pour ce qu’elle est, qui aborde les 70’s avec une sérénité qui me fait penser à une celle d’une autre, de quelques années son aînée, avec cette classe, une élégance naturelle, qui leur fait se demander: » avons-nous assez navigué », comme le temps a passé , il est presque minuit et demi, dit l’une, et qui ouvre pour d’autres, toujours au volant , des perspectives rassurantes.
C’est à se demander même si on y parlait d’argent
C’est en effet, à lire ce billet, un trait remarquable de ces livres d’éditeurs ou de collaborateurs d’éditeurs : on dirait qu’il n’y est jamais question d’argent. Comme si l’édition n’était pas d’abord une activité commerciale dont le but, comme celui de toute entreprise commerciale, est d’abord de dégager des bénéfices . » Juste un bouquet d’émotions liées à des choses vues et des réflexions sur la vie comme elle va inspirées d’un peu partout. Les pages les plus réussies évoquent le bonheur d’être au monde l’été dans des villages de la côte amalfitaine, parmi les rires, les éclats de voix, les houspillages, le vin du pays et la langueur du temps sur les petites places ombragées au retour des pêcheurs. » Comme c’est joli. Idéal pour lire à la plage. Cachez ces contrats, ces comptes en banque, ces droits d’auteur et ces politiques commerciales que je ne saurais voir. Pour les réalités moins idylliques du monde de l’édition, relisez donc Balzac ; un peu daté peut-être, mais au moins ce n’était pas quelqu’un qui faisait dans le frou-frou.
…
…avec ou sans Nutella,!…
…
…çà ne change rien,!…tout est imiter pour l’indispensable goût,!…à tartiner,!…
…
…don Quichotte à ses moulins,!…après ses fours,!…à pains,!…à galettes,!…à croissants,!…
…
…
…une remarque, qui reste très vraie,!…
…
…la société de tout, bon,!…dans l’excès,!…
…mais comme dans » Dallas « ,…la concurrence loyale ou déloyale,!…c’est royal, avec les royalties,!…
…
…l’état c’est moi, à tour de rôle,!…
…je m’y accroche, c’est normal,!…je suis faite comme çà,!…et j’aime çà,!…
…
…merci, on connait,!…le milieu des présidents,!…des raclures présidentielles,!…
…
…merci, pas de pot de vin, pas de lèche-culs,!…c’est la fête des » Dallas school’s « ,…J.R….encore,!…social,!…
…
…la société, un monde à Dallas,!…la nouvelle donne,!…il faut s’y faire,!…on est né comme çà,!…Ah,!Ah,!…
…Bip,!Bip,!…suivant,!…
…mais, qu’est ce qu’on s’en fout,!…
…et de loin ou de près,!…etc,!…
…toutes ces sociétés et les familles à nous les glandés,!…
…etc,!…
or two (à défaut d’écrire, ils modèrent)
Lu dans le supplément « éco & entreprise » du « Monde » de ce jour : « Pour le FMI, les riches font fortune au détriment de la croissance ». Il y a peu, un certain Thomas Piketty disait la même chose et démontrait pourquoi. Ce serait intéressant de soumettre nos grosses entreprises éditoriales à ce genre d’enquête; ce serait sûrement plus instructif que l’évocation – ô combien attendrissante — des pince-fesses mondains sur la côte amalfitaine. Ah ! l’incorrigible légèreté de l’être…
On dirait qu’on est dans une période de vaches creuses pour les romans de fiction…
…
…je dirais, même plus,!…
…
…Dupont et Dupont,!…
…
…trouver des » riches » intelligents,!…ou çà,!…
…
…déjà, il faut en être craché en famille, tributs, ou autres corporatismes dans la société,!…
…
…alors, ce balai,!…avec le même crin,!…
…of course,!…etc,!…
…
Anselme dit: 17 juin 2015 à 22 h 33 min
des pince-fesses
C’est pas interdit ? On a oublié alors… Ou à moins que ça devienne obligatoire ! Havec des photos…
Ueda dit: 17 juin 2015 à 21 h 42 min
Je me souviens l’avoir lu à sa parution. Avec une terrible page dans laquelle la femme commence à discerner dans le visage de son mari celui de sa belle-mère.
On dirait qu’on est dans une période de vaches creuses pour les romans de fiction… (Sergio)
Peut-être. On entre en tout cas dans une période de vaches grasses pour les historiettes gentillettes et nombrilistes à lire sous le parasol. Les oeuvrettes évoquées dans ce billet en sont parfaitement représentatives.
Anselme dit: 17 juin 2015 à 22 h 56 min
Les oeuvrettes
Il y a un gus qui disait « la France s’ennuie »… Guizot, non ? Ben au moins elle a chaud, c’est déjà pas mal…
Ne faites surtout pas ctrl f, cela formate votre disque dur sans préavis.
Je rigole. Faites-le si vous voulez.
Un article pour Chaloux :http://www.liberation.fr/livres/2011/03/16/j-ai-toujours-reve-d-etre-un-ecrivain-journaliste_722006
Parmi les écrivains journalistes, on peut citer, entre autres, Jules Vallès, Georges Orwell, Joseph Roth, Antoine Blondin, etc.
La bnf a même organisé une exposition « Journalistes et écrivain au XIXè siècle ». Elle montre, entre autres, les imbrications entre l’art d’écrire des articles et le style des romanciers, notamment chez Proust qui en parodie les styles.
Notre brave Chaloux a certes une grande gueule mais elle ne montre rarement autre chose en l’ouvrant que son incompétence…
Bonne nuit, mon petit Chaloux chéri.
Tiens, cadeau pour notre petit Chaloux chéri à son passou :http://expositions.bnf.fr/presse/arret/13.htm
Ça lui permettra de progresser un chouillat, le Chaloux, dans sa connaissance des lettres françaises, nom d’un Chaloux !
Pour saluer Chaloux (qui n’est pas encore mort…) :
« D’abord le grand fléau qui nous rend tous malades,
Le seigneur Journalisme et ses pantalonnades,
Ce droit quotidien qu’un sot a de berner
Trois ou quatre milliers de sots, à déjeuner ;
Le règne du papier, l’abus de l’écriture,
Qui d’un plat feuilleton fait une dictature,
Tonneau d’encre bourbeux par Fréron défoncé,
Dont, jusque sur le trône, on est éclaboussé ; »
Musset, Sur la paresse, 29-36
C’est fou comme il est facile d’énerver les ballots ! Mais, qu’est ce qu’ils espèrent ces bulots ? Que leur gargouillis virtuel va changer le comportement d’un tiers parfaitement inconnu, étonnamment irréel ?! Ah, ces glandus …. ils ne changent jamais, les limaçons de la littérature !
Commençons la journée par LA NUIT ETOILEE, un poème de Jean Calbrix, Normand …
Le village est blotti dans le creux des collines,
Titanesques corps bleus de monstres abattus.
Un troupeau de forêts broute leurs flancs pentus
Protégeant les maisons du danger des ravines.
La nuit s’installe avec des reflets violines.
Face aux fenêtres d’or, des ifs noirs et tortus
Narguent le fin clocher de leurs faîtes pointus.
Le peuple paysan veille dans ses cuisines.
Sait-il ce qui se passe au-dessus des toits clairs ?
Ou n’est-ce de Vincent que visions d’éclairs,
Un ciel faramineux dans les yeux d’un myope ?
Les astres et la lune embrasent les néants,
La voix lactée explose en spires et galope
Dans un tohu-bohu de cachalots géants.
Alors ? Qui c’est qui avait raison ….
Ne soyons pas méchant !
Disons seulement que pour faire du Calbrix, il faut pousser bien fort, un peu comme pour faire de la Clopine, quoi.
Et, après tout, pourquoi ne pas être méchant ?…
Il y a cette phrase. Glissée au milieu des bagages dune petite société transhumante, entre l’Europe et le port d’Alexandrie.
Comme elle pourrait se transposer sur quais du port de Saigon.
« Nous étions riches, mais conscients que c’était une chance et par accident »
Une association d’idées.
lu d’un texte de Ciceron donné à commenter, hier, dans les Lycées:
» (…) Et si ces faits et ceux du même genre sont soumis à pareille nécessité, quel est l’évènement dont il faudra admettre qu’il arrive par accident ou par pur hasard ? »
On pourrait aussi considérer, de manière littéraire, T. Cremisi a vu en quelque sorte la même mendiante que Duras.
Dans les premières pages, il y a aussi une ambiance du lieu , où il ne serait pas non plus étonnant d’y croiser Lawrence d’Arabie.
« On ne trouvera dans ce récit sensible, coloré, sensuel nulle allusion au milieu littéraire, et c’est heureux »
On ne saura pas pourquoi c’est « heureux ».
Une chance ?
On a échappé au pire ?
Teresa n’est pas Gaston.
Mais elle s’est dévouée à ses auteurs.
En partant, cet éclat scintillant d’un poème de Sappho de Lesbos, ça nous changera de la poétique des forgerons….
Sitôt que je te vois,
la voix manque à mes lèvres,
ma langue est enchaînée,
une flamme subtile court
dans toutes mes veines,
les oreilles me tintent,
une sueur froide m’inonde,
tout mon corps frissonne,
je deviens plus pâle que l’herbe flétrie,
je demeure sans haleine,
il semble que je suis près d’expirer.
C’est bizzare, cela aurait dû prendre ici. Ce jeu très proustchien . Vous avez perdu vos clés ?
« Who is who? What is true? What is invented? »
« Mais au-delà de son cercle, circonscrit à quelques quartiers de New York ? » qui cela interess-t-il ?
Eh bien personne, pas plus que lorsque ce petit jeu se déroule dans le petit milieu littéraire de paris intra-muros. Et encore moins dans ses prolongements sur un réseau social, où ne se répondent plus que les idiots entre eux, comme le dit U. Eco. Ou comme l’a suggéré O. Rolin, lorsqu’ils ne lisent plus et passent leurs temps comme des « possédés ».
Bye, bye, bisou, bisou.
Widergänger dit: 18 juin 2015 à 0 h 49 min
Albablabla, tous mes remerciements pour ce travail qui a dû te demander un gros effort. En effet, on peut citer quatre ou cinq noms, toujours les mêmes, mais ça ne prouve rien. Cela dit, quand je constate que tu creuses, je te parle de tout autre chose que tu serais bien incapable de voir. C’est une vieille habitude que ce constat.
… En fait, je viens de retrouver une « clé ».
Une que j’avais laissée, lors d’un précédent petit voyage.
Je vous la laisse.
(Pour la journée, pas plus !)
http://www.liberation.fr/livres/2014/08/27/james-salter-en-pique-sur-le-monde-de-l-edition_1088178
JC….. dit: 17 juin 2015 à 16 h 09 min
…. On obéis. par ailleurs, en toute amitié… surtout avec ses jambes et son anus artificiel, il salit le gazon …
les ravages de l’éduc nat d’antan sur un cerveau artificiel greffé sur l’anus (le tout trouvé à pq)
JC….. dit: 17 juin 2015 à 16 h 13 min « le DDT est un anti parasitaire parfait. Et que sont ces migrants, sinon … ? »
Encore un post du brêle de pécul avec ses diplomes de m.rde et son hystérique nostalgie de ses colonies, que ce pauvre ueda va trouver intelligent juste et drôle
Amis Terriens grognons, salut !
Dites nous…quand allez-vous accepter les idées novatrices, vivifiantes, dynamiques, de notre demi-dieu de la Provocation, le remarquable JC, celui qui devrait vous servir d’exemple, plutôt que de repoussoir !? Pourquoi cette étrange intolérance à ses propos mesurés car réalistes ?
Une pointure comme ueda voit clair, lui. Il est plus brillant que vous, ueda, éternels râleurs obsessionnels que vous êtes… !
va falloir le passer au DDT lui aussi tellement c’est grave
Editeur écrivain,
écrivain critique,
critique éditeur,
jamais question
de confusion
des genres
ou, même,
de conflit
d’intérêts,
cette notion
si étrang(èr)e ?
Cumulabilement.
Mon pauvre Chaloux, t’es nul à ch.i.er er tu passes ton temps à la ramener…
Ueda dit: 17 juin 2015 à 21 h 42 min
me suis demandé pourquoi l’Académie suédoise avait choisi de couronner Le Clézio et Modiano, deux écrivains très estimables mais combien pâlichons comparés à un homme de la force de MK.
Curieux tropisme. Vous redécouvrez Kundera (vous avez bien raison) et aussitôt vous le mettez en balance comme nobelisable avec des auteurs français. Pourquoi ne pas dire « plus fort que Szymborska, Naipaul, Jelinek, Pinter, Herta Müller, Vargas Llosa, Tranströmer », par exemple ?
C’est pour faire votre Bloom ou parce que Kundera a écrit ses derniers texte en français ?
La villa d’Alexandrie est une belle illustration de l’attention portée à la littérature par la génération ouebisée. Devant cette ruine passent aujourd’hui quelques abonnés fesseboucs, suivis de femmes voilées.
Le frérot à ppda, dirigeant de franceculture aux riches souvenirs d’Alexandrie manière Claude François, ferait bien d’investir une partie du budget palissandre de radiofrance pour relever ces ruines.
le Jocrisse et l’intubé dit: 17 juin 2015 à 20 h 56 min
« pour info », l’erreur EST commise, que diable. Nous prétendons être sur un blog littéraire
Vous dites ça parce que vous ne faites jamais de faute de frappe ou parce que vous soupçonnez réellement ce commentateur de ne pas savoir conjuguer le verbe être à la troisième personne du singulier ?
Le fin du fin c’est quand JC, avec ses gros sabots, essaie d’imiter JB, ça fait rire et réfléchir ueda le philosophe
Tweet
Barbara Cassin et Florence Dupont lancent un appel pour une refondation de l’enseignement des Humanités. t.co/oCkUXpHZBM
Cet appel-là a une autre gueule (et des signataires d’un autre niveau) que la bluette de Bayrou/Bruckner/Onfray.
» sur un réseau social, où ne se répondent plus que les idiots entre eux, »
Pourquoi se compliquer la vie, vous faites partie du lot!
« des signataires d’un autre niveau »
Il suffit de franchir le passage du bon sens à l’ intellectualité…
« Il suffit de franchir le passage du bon sens à l’ intellectualité… »
le premier qui comprend cette phrase gagne un yoyo autopropulsé en titane sulfurisé.
C. R. dit: 18 juin 2015 à 10 h 30 min
Curieux tropisme.
C’est pour faire votre Bloom ou parce que Kundera a écrit ses derniers texte en français ?
À votre avis?
« Faire son Bloom », marrant ça. Ça consiste en quoi?
Photo 1
La Chute de la Maison Europe.
Il dépend de la bande son que se spectacle soit vu comme une tragédie, une comédie, ou les deux.
Touite: Cassin/ Dupont
Bien meilleur que l’autre pétition, c’est sûr.
Le style est un peu limite: comme si, dans la peur de « faire chiant », les deux dames avaient un coup dans le nez.
Photo 3
Ces camarades en lutte ne sont pas des romanciers protestant contre leurs faibles tirages, mais des scénaristes engagés dans des bras de fer réguliers avec leurs patrons!
Ueda dit: 18 juin 2015 à 11 h 15 min
« Faire son Bloom », marrant ça. Ça consiste en quoi?
ça consiste, je suppose, à dénigrer tout ce qui est français.
(et à encenser tout ce qui est britannique ou irlandais)
ctv17 dit: 18 juin 2015 à 11 h 54 min
ça consiste, je suppose, à dénigrer tout ce qui est français.
Inconnu, par ici.
Vive la France!
Vive l’Europe!
Non, toutes les civilisations ne sont pas « égales »!
(Parole empruntée à un Nain politique, parce qu’il faut bien partir du sens commun pour entamer toute discussion).
ctv17 dit: 18 juin 2015 à 11 h 54 min
« Faire son Bloom », ça consiste en quoi?
ça consiste, je suppose, à dénigrer tout ce qui est français.
(et à encenser tout ce qui est britannique ou irlandais)
Il faut être juste avec Bloom: sa formation à la littérature de langue anglaise (et donc l’amour des classiques anglais) s’accompagne d’un attachement d’ordre politique aux Irlandais et d’une connaissance des voix diverses de l’ancien Raj britannique.
Ce n’est quand même pas un anglouillard, sur le modèle du franchouillard.
Ça s’agite, ça se contredit, ça reste vivant!
Ueda dit: 18 juin 2015 à 12 h 23 min
Ueda dit: 18 juin 2015 à 12 h 20 min
Bravo.
Ici Puck, à vous Cognac-Jay.
A demain, si vous l’voulez bien!
des ratés sur la séquence
Bon, un crapaud, ça saute.
Si on le prend sur on modèle, ça a du sens 😉
On tiré le 13 sur la 2. Pardon, c’est pour une explication éclair sur la seconde. Vous pouvez alerter vos médias qu’il n’y a pas d’autres de l’autre. Merci bisous (i.e la bise)
Ueda dit: 18 juin 2015 à 12 h 33 min
A demain, si vous l’voulez bien!
Mais bien sûr que nous le voulons. Pensez ! Un intervenant de votre classe ! Et surtout que deviendrait JC sans vous, sans un grand frère pour lui tenir la main ? Seul, méprisé de tous, sans cesse brocardé, tourné en ridicule, traité comme un âne ? Vous êtes son seul soutien, songez-y, ne le laissez pas tomber.
Le prélèvement à la source et les restrictions d’eau… en CA, sonar.
Ah bon, tu répondais à la 6.4.2?
Cambio, hombre.
Qui a dit : » Je lui en foutrais bien une dans la gueule que ça la tatane? »
dear passou, l’été arrive, la population s’éparpille, vous pourriez nous lâcher deux ou trois niouses qui pimentent ce potage à la Cremisi. par exemple (juste un exemple, hein) la dame préfére-t-elle la voile (Loviton) ou les grosses voitures ? Il faudrait aussi aider le soldat Baroz qui n’arrive plus à faire éditer ses goûts de plages depuis que le mercure est tombé dans le jupon de gallimard. Vous allez voir, quand les chinois vont rafler la mise, la rue du gaston laquée en canard boiteux de l’édition internationoule, des petites mains à coller les étiquettes à tous les étages et Sollers fichu en camp de redressement
Ce qu’on pourrait faire, quand même, c’est le tour de la baraque, pour voir si c’est pareillement ruiné derrière que devant… Ca dégourdit, et on ratisserait les épluchures au passage…
Sinon la Mendiante du Gange elle va venir elle va tout choper !
bein il a peut-être quelque chose dans le crane qui va pas lui rentrer t’à l’heure.
Lucien Flahouat dit: 18 juin 2015 à 13 h 51 min
A demain, si vous l’voulez bien!
Mais bien sûr que nous le voulons. Pensez ! Un intervenant de votre classe !
C’est vraiment trop gentil.
Et le cher Puck qui remet ça (Ueda dit: 18 juin 2015 à 12 h 58 min)
Crénom, il n’y a que sur ce blog qu’on pense à moi!
Le saviez-vous?
La vérité court comme le furet, il arrive qu’elle sorte de la bouche d’un Brice Porteflingue.
Ce garçon s’est documenté, il sait bien que le droit du sang est une invention de la Révolution française, mise en forme par le Code Napoléon (la nationalité se transmet par filiation, d’individu à individu). Il doit avoir lu Patrick Weil.
Notre République n’y a renoncé qu’à une époque où on manquait de bras pour produire et combattre. En ce temps-là, la machine à fabriquer des petits Français fonctionnait admirablement.
Aujourd’hui la conjoncture est différente, et le droit naturellement s’y adapter.
Voyez ces propos clairs et frappés du coin du bon sens!:
« A mon sens, il convient de réfléchir à trois pistes : suppression de l’automaticité de l’acquisition de la nationalité pour un enfant né sur le sol français de parents étrangers. Demain, devenir français doit être le résultat d’une volonté et non d’une passivité. Ensuite, le rétablissement du droit du sang dans des territoires d’outre-mer, comme Mayotte et La Réunion. Le sujet y dépasse largement les clivages partisans, car les abus sont innombrables. Enfin, n’acceptons plus que la nationalité soit accordée aux délinquants et aux enfants de clandestins, c’est-à-dire à ceux qui ont pénétré illégalement sur notre territoire. »
Quel contraste avec la purée de poix du camp d’en face!
Heureusement, la gauche boboïque est une entité autophage, elle se défait toute seule. Il faudra un jour avoir la bonté, pour les besoins du pluralisme, de subventionner ses rogatons.
On en fait des choses avec la parole, vous savez.
Uedada essaie vainement de faire rebander JC, peine perdue
Phil, quand le Mercure de France est entré dans le giron Gallimard, je n’étais pas né ou à peine… Faut réviser vos fiches !
Un petit mémento pour vous rafraîchir les idées ?
http://www.quickiwiki.com/fr/Simone_Gallimard
Et les mecs qui naissent dans les avions, les sous-marins, les icebergs ? Ca va encore se compliquer !
profitez pas pour vous rajeunir, dear baroz. le petit mercure a les fesses à l’air dans le monde incestueux de l’édition française.
Sergio, les mecs qui naissent dans les sous-marins ils sont inscrits directement dans le Livre des records. Ça leur fait déjà une carte de visite.
Filouette dit: 18 juin 2015 à 15 h 59 min
ils sont inscrits directement dans le Livre des records
S’il y avait que la commissaire politique comme femme à bord elle est repérée, hein…
Qui a dit que le monde marchait pas sur la tête?
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