de Pierre Assouline

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Les fantômes de l’hôtel Aletti et ceux de la Maison indigène

Les fantômes de l’hôtel Aletti et ceux de la Maison indigène

Mais où, dans quel roman et sous la plume de quel écrivain, n’y a-t-il pas au moins un chapitre sur l’épidémie ? Chaque jour, il en pleut comme à Gravelotte. A croire que l’on voudrait se rassurer en examinant comment cela se passait dans la fiction en d’autres siècles et d’autres époques. La Fontaine, Daniel Defoe, Thomas Mann, José Saramago, Boccace, Mary Shelley, Stephen King, Richard Ford (la liste s’allonge de jour en jour) etc sans oublier Albert Camus, bien sûr, dont l’Obs nous assure qu’il avait « vraiment tout prédit, étape par étape » ! Basta ! Un article du New Yorker résume tout ça d’un trait :

« Dans la littérature de pestilence, la plus grande menace n’est pas la perte de vies humaines mais la perte de ce qui nous rend humains ».

Nous prend alors l’envie d’en sortir, de fuir les histoires de confinement et les huis-clos, notre bibliothèque-à-la-maison n’ayant décidemment pas vocation à être aussi anxiogène que le Journal télévisé en le prolongeant. En sortir pour naviguer soit en sources sûres du côté des classiques, soit dans les parages des nouveautés sacrifiées. Car il y en a eu juste « avant », à la veille du grand bouleversement. Le temps d’être envoyées à la presse, d’être déballées des caisses et mises en pile par les libraires et il a fallu tirer le rideau. Ces livres morts-nés pour le public reparaitront-ils au début de l’été (peu probable) ou à la rentrée (mais quid du programme prévu initialement ?) ? On imagine l’angoisse de l’auteur qui a trimé trois ans pour écrire son livre et qui le voit disparaitre au bout de trois jours. Idem pour les cinéastes, peintres, photographes, dramaturges.

Parmi les livres que j’ai reçus, il en est trois qui m’ont hélé tant ils se rejoignent, encore que leurs factures soient antagonistes. Ce qui les relie pourtant ? L’Algérie, celle d’autrefois. Sixième roman du tandem Canesi & Rahmani, Ultime preuve d’amour (270 pages, 18,50 euros, Anne Carrière) s’ouvre sur la journée du 19 mars 1962, date qui sonne la fin de l’Algérie française mais pas celle de la guerre d’Algérie -pour cela il faudra attendre le massacre des européens à Oran quatre mois plus tard et la proclamation de l’indépendance. Depuis, une forme de guerre se poursuit entre Français et Algériens, ailleurs et par d’autres moyens, dans les esprits. Quatre personnages principaux. Chacun sa partition, son point de vue, sa propre note dans ce roman choral, plein de frémissements, de pudeur, de délicatesse à peine troublée par la violence des ultras des derniers temps de l’Algérie française après le cessez-le-feu.

On perçoit les événements à l’écoute d’Europe 1 sur le Radiola tandis qu’au Triomphe, on projette Babette s’en va-t-en guerre. Pierre Leroy, pied-noir, lecteur de l’Echo d’Alger, étudiant en médecine, militant OAS jusqu’à ce que son père, un homme de gauche qui serait bien resté dans la nouvelle Algérie, soit muté à Brest. Ce jour-là, « je quittais le monde des souvenirs pour entrer dans celui de la nostalgie ».  En se laissant captiver par la lecture de l’Etranger, il s’identifie à Meursault et réécrit le roman en pensée : « Ce matin l’Algérie est morte ». Inès Khelifa, qui elle aussi se destine à la chirurgie, mi-arabe mi-kabyle issue d’une famille stricte sur le respect des principes et de l’islam, est la fille d’une bigotte et d’un directeur d’école à la Bouzaréah, dans la banlieue d’Alger, promu directeur de l’administration générale après la guerre. Ils ont grandi ensemble. Sans « les événements » avant qu’on dise « la guerre », ils seraient encore ensemble, mariés.

De France, il lui écrit une lettre qui lui revient avec deux tampons, lesquels, une fois côte à côte donnent étrangement : « Alger n’habite plus à l’adresse indiquée ». On retrouve Inès dans les années 90, lorsque la fièvre islamiste plonge l’Algérie dans une parenthèse de terreur dont elle n’a cessé depuis de conjurer le spectre. Elle est devenue thanatopractrice. Refusant que les familles des assassinés subissent « la double peine », elle s’emploie à recoudre les têtes des corps décapités par les terroristes en privilégiant le surjet intradermique sur les points séparés afin que la ligne de couture en devienne quasiment invisible. Elle rend forme humaine aux victimes.

Durant une trentaine d’années, Pierre et Inès se suivent de loin en loin. Un amour jamais éteint, des sentiments intacts. Ils se sont mariés chacun de leur côté, lui a divorcé et vit seul, elle est restée avec son mari : « Pierre était en embuscade, il ne demandait qu’à revivre. »  Conçu comme le puzzle d’une mémoire à la dérive, ce n’est pas un roman fait de bons sentiments, comme Gide les redoutait, mais animé d’une vraie générosité, de celle que l’on espère mais que l’on n’attend pas, surtout lorsqu’on la voit sourdre dans les moments de crise, de guerre.

Au fond, si tout s’opposait à ce que leurs vies ne fassent qu’une (à commencer par leurs familles, leurs milieux, leurs camps, la guerre…), l’Histoire a décidé pour eux par le départ forcé de l’un. Dans La Fantasia (283 pages, 19,90 euros, Albin Michel), premier roman aux relents d’autobiographie familiale de l’historien Loris Chavanette, Mariane l’héroïne, une femme mûre mariée à un colon, brave l’interdit sans que « les événements » pèsent sur la courbe du destin en vivant un grand amour avec Antar, un jeune Arabe andalou descendant des Maures de Grenade, dans la chaleur suffocante de l’été 1953 entre Tlemcen et Mostaganem.

On s’attache tout autant aux personnages de pure fiction par Michel Canesi et Jamil Rahmani tant l’identification est naturelle : qui n’a jamais éprouvé que le premier amour serait le dernier ? Sur ce canevas des plus classiques, qui sonne comme un poncif, les auteurs ont édifié une histoire dans l’Histoire qui dit bien plus que ce qu’elle raconte, dénuée de tout manichéisme malgré ce que l’année 1962 avait de radicale. Avec en musique de fond Seras-tu là ?, l’une des plus belles chansons de Michel Berger ou le concerto pour flûte et violon de Telemann que jouait l’orchestre de l’hôtel Aletti quand elle l’y attendait. Alger est leur écrin, une ville dans sa lumière inouïe, une capitale encore si française par son architecture, ses magasins, ses rues, ses ficus et ses palmiers. Rue la Fayette et rue Michelet, boulevard Baudin et rue Daguerre, boulevard du Telemly et boulevard Saint-Saëns, des noms comme autant de madeleines, de même que la pâtisserie Tilburg, et ses concurrentes, La Parisienne et La Princière, la parfumerie Cabessa, le club des Pins, Moretti, Surcouf, Castiglione, avec force majuscules, une musique en soi que la seule évocation de ces noms, et la Grande Poste, qui domine le paysage urbain sans l’écraser.

L’hôtel Aletti est au fond le personnage principal de ce roman, l’établissement le plus symbolique, le plus chargé d’histoire de la ville, construit par les frères Aletti à l’occasion du centenaire de la présence française et inauguré en 1930 par Charlie Chaplin. Un conservatoire de légendes coloniales comme le furent le Continental à Saïgon, le Raffles à Singapour et quelques autres. Mohand, son groom, est le confesseur muet, fil rouge de l’histoire, leur histoire qui eut pour théâtre la chambre 310, la leur à jamais : « En fait, les colons ont été remplacés par d’autres colons. Ils nt tout volé, les maisons, les magasins et l’argent du pétrole » murmure le groom de l’Aletti. Le grand hôtel restauré s’appelle désormais Es-Safir. Mohand a tout vu, tout vécu sans jamais que son humilité n’en soit entamée. Il est le témoin dont on sait que nul ne témoignera pour lui quand il ne sera plus de ce monde.

Il est un autre lieu de mémoire que l’hôtel Aletti à Alger, d’un tout autre genre, qui suscite comme il se doit un livre d’un tout autre esprit – encore qu’il ne soit pas sans rapport avec celui que Canesi & Rahmani avaient consacré à la Villa Taylor à Marrakech il y a près de trois ans. Non un roman mais, ce qui est plus approprié s’agissant d’un retour sur le passé ébauché par une réminiscence familiale un récit. Il tient tant de l’évocation, avec ce que cela suppose d’imprécis, de flou, d’incertain lumineux, que de l’enquête avec ce que cela implique de détails et de précisions. Autant de traces que de preuves dans La Maison indigène (172 pages, 19,50 euros, Actes sud) de Claro, connu tant pour ses romans (CosmoZ, Crash-Test…), ses traductions (Pynchon, Rushdie, Barth, Danielewski, Gass, Vollmann, Selby, Gaddis, Alan Moore…), l’excellence de la collection de littérature américaine « Lot 49 » qu’il co-dirige au Cherche-Midi que pour le tranchant de son blog.

Il surgit avec ce nouveau texte là où on ne l’attend pas, dans un registre qu’on ne lui connaît pas, atuobiographique dans la veine de la chronique familiale. C’est peu dire qu’il surprend. Comme l’hôtel Aletti, la Maison indigène avait été bâtie en 1930 pour le centenaire de la colonisation de l’Algérie par les Français. Pas sûr que l’auteur se serait attaché à son destin si elle n’avait été construite dans un style néomauresque par un architecte du nom de Léon Claro, son propre grand-père lui-même né à Oran, sur la commande du gouvernement. On peut même dire que l’écrivain de la famille n’en aurait rien fait tant il avait rejeté ce passé-là par tropisme autant que par tempérament –jusqu’à appeler « la maison indigeste » cette chose qui figurait à elle seule sa famille, l’héritage, la transmission, les legs, toutes choses qu’il croyait avoir mis définitivement à distance et qui lui reviennent soudainement par l’image de cette maison là-bas qui porte son nom, un patronyme venu des Baléares espagnoles comme nombre d’oranais, Majorque du côté paternel, Minorque du côté maternel.

Mais dès lors que ce nom de Claro y était attaché, nom qui sonne comme un pseudonyme depuis qu’il en a soustrait le Christophe mais qui n’en est pas un, il s’est mis à considérer la chose comme une boite noire, qu’on l’appelât la « Maison indigène », « la Villa du Centenaire », voire la « Maison du Millénaire », ou tout simplement la « Maison Claro », comme ça se disait à Alger autrefois, ou même la « Maison mauresque » comme disait un certain Albert Camus (il lui a consacré un texte sous ce titre en avril 1933), actuel best-seller en poche en France, en Espagne et en Italie mais pour d’autres raisons. Le sachant, on examine avec un sourire complice La Maison indigène (172 pages, 19,50 euros, Actes sud) surmonté du nom de Claro. Ainsi, la maison a deux fois le même nom mais pas le même auteur. Nul n’y a vécu dans cette bâtisse blanche située place d’Estrées à Alger, en lisière de la Casbah dont elle représente une maison-type dans son asymétrie et ses erreurs, ce qui augmente son mystère. L’architecte la voulait si authentique dans son imperfection qu’il demanda à ses maçons de crépir les murs en se servant uniquement de semelles d’espadrilles et à l’exclusion de tout fil à plomb.

C’est tout juste si on le chicanera sur un passage : « L’architecte de la Maison indigène est algérois et, partant, algérien, donc français –puisqu’alors les deux termes sont synonymes aux yeux de la métropole ». Justement, non : que ce soit en métropole comme dans les trois départements français que constituait alors l’Algérie, les uns et les autres prenaient bien garde quand ils les nommaient de distinguer les Français d’Algérie et/ou pieds-noirs des Algériens, ces derniers étant majoritairement musulmans. Ah…, ce titre de chapitre « Pieds-noirs et mains sales », si chargé de mépris et d’ignorance, ce dont il ne disconvient pas puisqu’il débute par un aveu : « Je ne sais pas l’Algérie ». C’est peu dire que la nostalgérie l’exaspère. S’il avait été en âge et en situation de choisir un camp, nul doute qu’il aurait pris le parti des « invisibles ». 

En se lançant dans cette enquête, Claro a voulu déplier le pli du temps. Il a trouvé dès l’entame la note juste, la bonne couleur, le ton qu’il fallait, réfrénant ses colères et sa rage contre un vestige du colonialisme à « l’aura douteuse », forcément, pour mieux laisser s’exprimer sa sensibilité et les émotions que le bâtiment provoque en lui. Ce qu’il recherche dans ce récit vibrant, émouvant, d’une écriture très retenue par la volonté de ne rien laisser déborder qui en gâte la sobriété, c’est « l’alpha de la raison d’être » des pages qu’il noircit dans l’obscurité d’une recherche guidée par des repères lumineux, s’interdisant d’« inhaler sans réfléchir la fumée assassine du souvenir ». Ca ne risque pas dès lors qu’on reconnaît que tout héros de la libération de l’Algérie qu’ils furent dans la clandestinité, Ali la pointe et Yacef Saadi n’en avaient pas moins été des maquereaux dans le civil.

Camus y est un peu partout en embuscade, mais aussi le libraire-éditeur Edmond Charlot, l’écrivain et critique oranais Emmanuel Roblès, Jean Sénac, le poète français naturalisé algérien assassiné en 1973, Le Corbusier venu donner des conférences sur l’urbanisme (son architecte ne lui a pas fait visiter la Maison indigène de crainte qu’il la décrète « œuvre pastiche »), Luchino Visconti préparant le tournage de l’adaptation de L’Etranger, tous se croisant jusqu’à s’entremêler dans la quête de l’auteur :

« Entre l’Arabe anonyme abattu par Meursault en 1942, le corps-acteur de l’Arabe criblé de balles imaginaires par Mastroianni en 1967 et le poète Sénac poignardé dans sa cave court un étrange fil rouge qu’il faut s’efforcer de suivre et de dénouer, un fil qui serpente dans le labyrinthe algérien, reliant divers protagonistes inattendus »

La reconstitution de son diorama familial le mène jusque là. Après Kamel Daoud, Claro a lui aussi cherché l’Arabe, mais pas le même. Non celui du roman de Camus mais celui du film de Visconti. Celui qui interprétait le rôle du sans-nom et sans identité. Il l’a retrouvé, Brahim Haggiag, incarnation d’Ali la Pointe dans l’inoubliable Bataille d’Alger de Pontecorvo, de l’inconnu assassiné sur la plage dans L’Etranger, et puis dans Patrouille à l’est de Amar Laskri, Chronique des années de braise de Lakhdar-Hamina, Les folles années du twist de Mahmoud Zemmouri… Comment devient-on ce que l’on est ? C’est cela qui le taraude, s’agissant moins de lui-même que de son père : « Quand-comment-où mon père bascula dans la poésie ? ». Si son grand-père architecte n’avait quitté l’Algérie qu’en 1964, son père, lui, était parti en 1951. Il s’appelait Henri Claro. Dans une lettre, Jean Sénac le décrit comme « une espèce d’excité à la recherche de son sens ». Qu’il l’ait trouvé ou pas, il valait bien un livre, ce livre-là, qui vaut vraiment d’être lu.

(« Charlie Chaplin, Carlos Gardel et autres à l’inauguration de l’Hôtel Aletti ; la Maison indigène » à Alger ; « Scène de L’Etranger de Luchino Visconti avec, à debout gauche, Marcello Mastroianni » photos D.R)

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

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commentaires

1 042 Réponses pour Les fantômes de l’hôtel Aletti et ceux de la Maison indigène

Jazzi dit: à

New York au coeur du cyclone !

OZYMANDIAS dit: à

Marie Sasseur,
Vous avez raison, chère Marie, j’ai 80 ans ÷ 2 + 5 = 45 ans !
C’est un âge à la fois critique et… comique !

et alii dit: à

nerd-élienne

Marie Sasseur dit: à

Ouf Ozy, vous faites baisser la moyenne.

et alii dit: à

C’est un âge à la fois critique et… comique !la crise de la quarantaine

Janssen J-J dit: à

@ Quels critères sont à respecter pour participer ?

Etre gentil et bienveillant avec tous les erdéliens, même les plus stupides (87% du panel affilié) et « constructif » avec passou, sans l’épargner ni le lécher, mais sans jamais l’injurier directement ni être trop ordurier dans l’extrémisme éventuel de vos prises de position. Il est assez tolérant à l’égard de la liberté d’opinion (sauf en cas d’incitation à la haine raciale etc).
En outre, la fausse adresse de votre pseudo doit toujours être la même.
Kamarade Etalli vous donnera d’autres conseils avisés au fur et à mesure.
Bienvenue.

D. dit: à

Jazzi, va voir comment est en ce moment respecté le confinement dans les cités.
Tu y trouveras des jeunes en rassemblement toute la journée, rentrant ensuite contaminer leur famille. Tout est dit.
J’ai fait tout-à-l’heure min heure de sport, j’ai une petite cité HLM dans mon rayon de 1 km et bingo, ils étaient tous dehors en groupe sans aucun respect des gestes barrières et des distances. Pire, certains avaient forcé l’accès du terrain de sport voisin. Ce sont les mêmes qui iront faire du scandale dans les services d’urgence si leur mère ou leur père est atteint.

et alii dit: à

Quels critères sont à respecter pour participer ?
si possible, respecter les pseudos,sans orthographe fantaisiste(signe de non bienveillance)ni acronymie dudit pseudo

Marie Sasseur dit: à

Les critères surtout celui de l’âge, vont être très durs pour la rdl…

« Nous avons demandé à plusieurs équipes de travailler sur cette question en étudiant l’opportunité, la faisabilité d’un déconfinement qui serait régionalisé, qui serait sujet à une politique de test (…) en fonction, qui sait, de classes d’âge », a indiqué Edouard Philippe. 
France Bleu

Marie Sasseur dit: à

Par exemple, choisi parmi d’autres, si on suit la logique « philippique » qui se prépare, un vieux en ehpad à Poitiers sera plus vite deconfiné qu’un vieux en ehpad à Marseille.

Nicolas dit: à

Il est allé niquer sa mère le petit pédant de boug?

Jazzi dit: à

D., moi j’ai fait deux trois courses sur l’avenue Daumesnil, à deux pas de chez moi. Tous les clochards étaient en place !

B dit: à

En complément, Le poisson:

Si l’Ancien Testament ne fait guère référence aux poissons en dehors de l’épisode relaté, c’est en revanche une marée de poisson qui va submerger le christianisme naissant, en devenant l’un des symboles les plus puissants, bien avant la Croix.

https://fr.aleteia.org/2019/05/07/bestiaire-de-la-bible-le-poisson/

Jazzi dit: à

« Etre gentil et bienveillant avec tous les erdéliens, même les plus stupides (87% du panel affilié) et « constructif » avec passou, sans l’épargner ni le lécher, mais sans jamais l’injurier directement ni être trop ordurier dans l’extrémisme éventuel de vos prises de position. Il est assez tolérant à l’égard de la liberté d’opinion (sauf en cas d’incitation à la haine raciale etc). »

Mais c’est exactement ce que je fais ici, JJJ !

D. dit: à

Bien sûr tous les habitants de ces cités ne sont pas à mettre dans le même panier. On sait très bien que 1/4 seulement suffisent à tout pourrir. Ce 1/4 s’appelle la racaille. Et j’affirme haut et fort que la racaille indocile et rebelle est pour une bonne part responsable de l’extension rapide de l’épidémie, que se soit en Italie, en France ou en Espagne.

et alii dit: à

B il manque quand même la baleine de Jonas et le Leviathan de Job

Jazzi dit: à

« Les vieux de Paris et de Colmar »

renato est à Genève, MS !

B dit: à

Espérons que les transferts de patients prouvent leur étanchéité ainsi que celle des établissements où les patients sont accueillis. Du travail pour tous , de bas en haut.

B dit: à

Et alii, elle apparaît dans un autre lien mais je ne vais pas tous les envoyer, on me croira catho alors que .

et alii dit: à

depuis quand Renato est-il un « vieux »?

nous rajeunissons chaque jour!

et alii dit: à

d’ailleurs, je rappelle l’interdi du judaïsme
il est interdit d’être vieux

Jazzi dit: à

Pour Marie Sasseur nous sommes tous des vieux, et alii !

et alii dit: à

“Il est interdit d’être vieux” enseigne la sagesse Breslev – laquelle n’a jamais nié les rhumatismes, ni la regrettable tendance de certaines maladies à tenter de pourrir la vie des uns et des autres – mais s’est contenté de donner sur ce point un enseignement: Tsouress, soucis, enquiquinements: mode d’emploi.

Alors, voilà: l’épidémie guette, il fait plutôt froid, nous avons des inquiétudes, des soucis, des chagrins même parfois, on s’inquiète pour celles et ceux que l’on aime, on se réveille la nuit en se tournant et retournant: pourvu qu’il s’en tire, pourvu qu’elle n’ait rien de grave: ainsi sommes-nous.

On se réveille aussi parce qu’on a un os ou un tendon dansant la java, bêtement.

Il faut réagir, il faut aussitôt être jeune: là est le secret
Il faut réagir, il faut aussitôt être jeune là est le secret. Soyez jeune comme le pouvez, comme la vie vous l’offre: nous avons mille possibilités. »
https://www.tribunejuive.info/2020/02/28/jacques-neuburger-il-est-interdit-detre-vieux/

et alii dit: à

interdit!
voilà que je laisse des fautes comme les gosses!

B dit: à

D, je ne plaide pas pour tous les circonstances atténuantes, si au moins nous disposions de masques. Est ce que des tentatives d’information et d’éducation pour la santé ont lieu là où elles sont nécessaires?

Janssen J-J dit: à

@ un vieux en ehpad à Poitiers sera plus vite deconfiné qu’un vieux en ehpad à Marseille.

Cette remarque est particulièrement ignoble, icite. De la pure perversion haineuse,,issue de la caillera du drkwb, étonne guère.

@ Oui, jzmn… faites partie des saints erdéliens : 13% du panel affilié.

et alii dit: à

LSPvous signale le prix des lettres
Un décret préparé par le Conseil Supérieur de la Langue Française (CSLF) du
Ministère de la Culture devrait interdire, à compter du mercredi 1er avril 2020, les sons qui
occasionnent le plus de postillons dans les lieux publics. L’amende serait de 3€ pour un f- ou
un ch-, de 1,60€ pour un p- ou un t-, sauf port d’un masque FFP2. D’après une source proche
du cabinet, les mots femme et enfant seraient pour l’instant exceptés, le gouvernement jugeant
que l’opinion n’est pas encore prête : « La nation n’est déjà mûre ».
Selon le site Lexique.org de l’Université de Savoie, les mots concernés les plus
fréquents sont essentiellement : chaud, chéri, chose, enfant, faire, falloir, faux, fou, froid,
famille, femme, fiche, papa, pas, un peu, peut-être, pourquoi, temps, toujours, tout, trop, très,
tu, toi. Voici donc les premières recommandations, que chacun pourra compléter:
https://storage.googleapis.com/prd-blogs/2020/04/9b75e2cc-le-tutoiement-bientot-interdit.pdf

et alii dit: à

donc « fantôme »(le billet) -et même phantasme- ça passe plus

et alii dit: à

d’après vous, ce prix des lettres est-il un poisson d’avril?

Nicolas dit: à

Je suis encore en train de me demander où il a vu des libres-penseurs? C’est bien là tout le problème, viendra m’étaler sa science demain.
Bonne nuit

B dit: à

Libé

Une commande française de masques détournée vers les Etats-Unis sur un tarmac chinois
Par Dominique Albertini — 1 avril 2020 à 14:27
Les collectivités tentent d’importer des millions de masques pour les distribuer à leurs soignants et aux Ehpad. Mais l’une de ces commande a été raflée à coups de dollars par des Américains

B dit: à

C’est pas un poisson.

Jazzi dit: à

B., l’Europe doit se reconstruire sur le social !

renato dit: à

L’A4 est devenu un produit de première nécessité.

Marie Sasseur dit: à

« d’après vous, ce prix des lettres est-il un poisson d’avril? »

Non.
La preuve:

Mon chéri, il va falloir peut-etre faire quelque chose pour la famille. Tu as toujours tout tres bien fait,comme du feu dans la cheminée quand il faisait trop froid pour les enfants, en bon papa. Ta femme se fiche, et pas qu’un peu de ce temps fou qui te tient loin de moi, toi, mon fils.
Ecrit de l’ehpad, avec les mots suivants:

chaud, chéri, chose, enfant, faire, falloir, faux, fou, froid,
famille, femme, fiche, papa, pas, un peu, peut-être, pourquoi, temps, toujours, tout, trop, très,
tu, toi.

B dit: à

Le décret n’a pas je crois été adopté, c’est une piste de réflexion intéressante, ils doivent mourir d’ennui derrière leur bureau. Désolée , l’usage de la lettre p, b, b est producteur de ces fameuses gouttelettes et nous radioactifs des efforts afin d’en restreindre l’usage.
Onc, inenvisageable de recourir aux formules de olitesse pour vous souhaier une onne soirée. Notons donc pour l’immense, nul autre recours, hélas.

B dit: à

P b d etc, pardonnez m’y mistake. Et si on parlait chinois est ce que cela n’amoindrirait pas les ravages de la maladie. Bilan présumé en Chine, 40 000 morts, quand même.

Clopine dit: à

pourquoi ne sommes-nous pas, nous les littéraires, les erdéliens, capables de ça ? D’une mosaïque d’où, en ces temps de confinement, jaillirait cependant, malgré tout, un « nous » qui pourrait donner envie de croire en un avenir pour notre présence en cette planète ?

Ou, plus simplement, permettrait de faire quelque chose, ensemble, de beau ?

Je suis sûre que si nous mêlions nos voix…

Bref.

Bref.

B dit: à

Le pic de contamination n’est pas atteint, le pays connu pour indiscipliné et le premier ministre envisage une reprise cloisonnée de l’activité économique à dans deux semaines, sans masques, sans surchausses, sans blouses et pour des régions entieres? Bof Bof.

Nicolas dit: à

C bô la RDL clopine c’est parce que tu sais pas regarder.

Nicolas dit: à

Pablo tu le fais mon thème ? Je suis né le 26 avril 1978 à 11h55.

Nicolas dit: à

« Yvonne Chevallier est la femme du maire d’Orléans qui sera élu député puis entrera au gouvernement de l’époque (1951). Ils se sont connus alors qu’il était interne en médecine et elle infirmière. Elle devint sa maîtresse et ils se marient un peu plus tard. Ils ont deux enfants. Un couple apparement sans histoire. Le mariage n’abolit pas l’amour charnel qui les lie. Mais à lui tout réussit : ce jeune ambitieux poursuit rapidement son ascension sociale, sa carrière politique. Elle a peine à suivre, malgré ses efforts.
Un détail m’a frappé, ému même. Peu cultivée, venue d’une famille modeste, comme on dit, elle lisait, avant les dîners en ville où le couple était convié, les pages littéraires des journaux, histoire de se montrer au courant, de faire bonne figure, dans l’espoir de donner le change. Je trouvais cela pathétique !
Tout occupé par sa réussite, heureux de la réputation qu’il a acquise dans sa ville, le docteur Chevalier s’éloigne d’Yvonne, va de plus en plus à Paris. Bientôt ce sera la chambre à part. Elle finit par apprendre que son mari a une jeune maîtresse, une femme mariée, elle aussi, qu’elle connaît et qui passe pour infidèle. Tout se sait, tout se propage, dans une ville de province.
Alors Yvonne Chevallier devient la proie de la jalousie, comme si cette femme possessive était à son tour possédées (et là, je cesse de l’accompagner, tant la volonté acharnée de posséder l’autre comme s’il était sa chose me révulse). Elle harcèle le mari de la jeune maîtresse, lui enjoint d’intervenir, mais cet homme, qui est au courant de la liaison de sa femme, n’en fait pas un drame. Son seul souci est de protéger son commerce, ses enfants, d’éviter tout scandale. Il tente de calmer Yvonne qui, pour sa part, l’accuse de lâcheté. Pour elle le mariage est chose sacrée, il exige la fidélité.
Pendant ce temps le docteur, successivement, je le rappelle, maire, député, ministre, ne cesse d’humilier Yvonne. Plus elle se traîne à ses pieds, plus elle le supplie, plus il lui adresse des propos blessants : elle est bête, ignare, pas question qu’il fasse l’amour avec elle.
Un soir, il se montre particulièrement odieux. Entre deux séjours à Paris, où il a rendez vous avec sa maîtresse, il est passé à la maison pour se changer et prendre du linge propre. Yvonne le lui prépare (ah, les épouses dévouées !). Il est en caleçon. Il fait un geste obscène accompagné de ces mots : « Ça, c’est pas pour toi, je la réserve à l’autre » (le président à l’audience rapportera le propos en termes plus pudiques). Cette fois, au mot de trop répond le geste de trop. L’acte se substitue aux mots. Yvonne prend le revolver qu’elle réussi à se procurer. Elle tire cinq balles. Elle le tue.
Bien qu’elle ait commis un meurtre, elle est acquittée. Le jury a dû être ému par cette femme humble, bonne mère, épouse fidèle, dont le mari a trahi, bafoué l’amour qu’elle n’a cessé de lui vouer.
Le rôle joué par l’opinion publique, ses croyances, ses préjugés est considérable. Par exemple au cours du procès Chevallier, ce fut le mari de la maîtresse – celui qui voulait sauvegarder son commerce – que l’opinion prit pour cible. S’il s’était montré moins complaisant, s’il avait exigé que sa femme rompe avec Chevallier, le meurtre eût été évité. Peut être ce brave homme avait il une conception « moderne » du mariage, celle d’un pacte entre les époux qui autorise les aventures extra-conjugales pourvu qu’on ne se le cache pas. »
Pontalis

rose dit: à

2 avril 2020, à 4h36

À la fin de cette énième interview, le professeur Raoult présente l’équipe qui l’entoure.
Où l’on comprend la notion d’autorité ; compétence, bienveillance, travail acharné.

Merci puck pour la tendresse, je vais transmettre.

https://www.youtube.com/watch?v=mo0LIzdXFkk

rose dit: à

« Coronavirus : les pompiers marseillais testent un système de détection du SARS-CoV-2 dans l’environnement

Un laboratoire mobile a été adapté pour mesurer la présence de l’ARN viral sur des surfaces ou des filtres à air. L’objectif est d’aider à la levée du confinement.

Par Nathalie Guibert Publié hier à 15h04, mis à jour hier à 18h31

Temps deLecture 2 min.

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Etre capable de détecter le coronavirus dans une pièce ou dans l’air ambiant ? Ce serait fondamental pour demain, quand il faudra lever le confinement et réorganiser la vie des Français. Ce sera possible, a affirmé mardi 31 mars au Monde le chef des marins pompiers de Marseille. « Dans la phase qui va suivre le pic de l’épidémie de Covid-19, il sera crucial d’isoler les cas positifs et de vérifier la présence du virus dans des environnements particuliers : des usines qui veulent repartir, des sites contaminés, une pièce », affirme le contre-amiral Patrick Augier, commandant du bataillon militaire. »

Plus belle la vie.
On vous soutiendra de toutes nos forces particulièrement ténues.

Qui va être admiré à la fin de la crise sanitaire ?
Les soignants, les enseignants.
Les caissiers, la Poste, les paysans.

Qui ve être heureux de renvoyer ses gosses à l’école ? Les parents. 😉

rose dit: à

Chaloux
Un tit’hérisson pour toi
https://www.pinterest.com.au/pin/759349187151290092/?%24ios_deeplink_path=pinterest%3A%2F%2Fpin%2F759349187151290092&%24android_deeplink_path=pinterest%3A%2F%2Fpin%2F759349187151290092&amp_client_id=amp-bni58rA1t8tI8rOq5YrboA&utm_source=168&utm_medium=2160&current_page_url=https%3A%2F%2Fwww.pinterest.com.au%2Fpin%2F380413499756189187%2F&install_id=5110d9c3f55a4d729a9990abe9fa5197&%24fallback_url=https%3A%2F%2Fwww.pinterest.com.au%2Fpin%2F759349187151290092%2F&_branch_match_id=767725031695058109

rose dit: à

Je vais l’adopter. Avec mon oie.

rose dit: à

Renato

C’est vous qui avez publié cette photo là ?

William Legrand dit: à

Info pour les Andouilles de ce blog, JiCé et bouguereau
votre bonne copine Lucienne a ouvert un blog perso uù elle parle beaucoup de vous, allez -y faire un tour, c’est hilarant car vous en prenez plein la gueule
bien à vous
W L

Chaloux dit: à

Personne n’a proposé « niquedouille »?

Chaloux dit: à

Charmant petit hérisson, Rose, le hérisson est un animal charmant, mais il ne s’apprivoise pas, c’est contraire à son obstinée religion de liberté.

Ajoutons pour la niquedouilloclopine que si les musiciens qui jouent le Boléro n’avaient pas de texte commun, ils ne seraient pas réunis. Sa comparaison tombe donc à l’eau comme la plupart de ses comparaisons et l’essentiel de sa pensée. C’est l’envers de la pêche miraculeuse.

Janssen J-J dit: à

Bjr @ Nicolas,

Hamida M’h a quand même soutenu la prise de position de Kamel D. sur le Hirak algérien…

« Hamida M’hamsadji – Kamel Daoud : vous devriez lire les commentaires qui répondent aux textes-fleuves de vos détracteurs. Vous verrez qu’ils sont nombreux les algériens qui, non seulement sont d’accord avec votre analyse, mais aussi qui conspuent les organisateurs de cette cabale contre vous. Moi je n’ai vu dans leurs écrits, qu’une occasion de paraître ».

Je me demande si n’êtes ps trop jeune (42 ans ?) pour vous immiscer dans un tel débat. Rappelez-vous à quel point vous vous êtes trompé, comme beaucoup d’autres, sur la prétendue contribution libératrice des réseaux sociaux dans l’émergence des divers « printemps arabes » de 2011.
Bien cordialement,

et alii dit: à

, le hérisson est un animal charmant, mais il ne s’apprivoise pas, c’est contraire à son obstinée religion de liberté.
désolée de vous contester;le hérisson est un animal adorable, affectueux , très tendre er aime la vie de famille;le mien,Suppilu,que j’avais trouvé dans le jardin, dormait dans une -sa- boite au pied de mon lit, où je le caressais;je l’ai nourri au biberon et allai lui acheter des vers;ce n’est pas une vie de faire matriarche pour une famille de grande mixité culinaire, et linguistique, avec la chatte, Bali, le chien, Harold, les vers à soie-pour lesquels il faut aller chercher des feuilles de murier(et la chambre de mon fils impénétrable)et tour ce monde qui veut « échanger »,sa boite, son placard, son maître même!

et alii dit: à

tout ce monde

Janssen J-J dit: à

@ un « nous » qui pourrait donner envie de croire en un avenir pour notre présence en cette planète ?
Ce désir de fusion collective en erdélie est estimable par les temps qui courent, où l’on a envie de se réchauffer, mais personne n’acceptera jamais l’idée de vous y voir en primus inter pares. En tout cas, pas moi… A cause de ma certitude au sujet de votre propension involontaire, mais indécrottable, à glacer les reins plutôt que de les réchauffer. Bien sûr, j’aimerais avoir tort ou me tromper à votre sujet comme à celui de quelques autres, mais non, je vous connais trop. Je ne sens jamais aucune signe d’amendement personnel sous votre plume depuis 15 ans. Et vous le savez, plus on vieillit, plus les mauvais plis empirents, comme le reconnaissait Marcel dans le temps retrouvé.
Bon, je sors pour aller délivrer Georges, Monique et Viviane. Ils s’impatientent. Après quoi, je ferai mes 20 tours de jardin (350 m chacun) comme tous les matins.
A plusse.

et alii dit: à

Suppiluliuma ier (écrit aussi Šuppiluliuma ou Shuppiluliuma) est un roi hittite du Nouvel Empire qui régna environ de 1344 à 1322 av. J.-C

bouguereau dit: à

désolée de vous contester

toutafé renfield..ça s’apprivoise trés bien..mais il est désormais hinterdit de lhenfermer..mon larbin bazarde comme bonne clopine ses velléités à la campagne..pire qules vieilles machines a laver d’antan

et alii dit: à

ça, c’est sur la toile, mais pas mon Suppilu à moi
Suppiluliuma meurt de la peste provoquée par les déportations qu’il avait ordonnées de prisonniers égyptiens en 1336 av. J.-C. Arnuwanda lui succède

bouguereau dit: à

mes 20 tours de jardin (350 m chacun) comme tous les matins

on y tartarine haussi renfield..nique saint dnis

Chaloux dit: à

et alii, lisez les vrais spécialistes. Le hérisson ne s’apprivoise pas.

et alii dit: à

non mais, SUPPILU était né à côté de la maison de Cézanne, entre des cerisiers !et je le sortais, sans laisse!

bouguereau dit: à

Non, rose, la photo vient d’ici :

vaut mieux pas toucher les ptis d’animaux sauvage rénateaux..sauf si qu’on leur veut du mal

et alii dit: à

, lisez les vrais spécialistes.
sur que je ne suis pas spécialiste du tout;Suppilu a été mon unique! il présentait son ventre pour les caresses, un bonheur

William Legrand dit: à

Gaga bouguereau nous ressort renfield… bientôt goering ou yavé, l’Andouille supplémentaire ?

rose dit: à

Renato

Quelques uns à adopter.
Famille d’accueil.
Ai noté les longues pattes de l’ânon et du poulain qui se déplient lorsque le petit naît.
Aussi la tête immense de l’écureuil nouveau-né en rapport à son corps chétif (le cerveau).
Le mien de hérissin hiberne dans la paille dans une poubelle de cent litres. Cela implique de ne plus mettre des granulés anti escargorts.
Jamais apprivoisé, mais anciennenent un venait manger les croquettes du chien.

bouguereau dit: à

« Une partie des Algériens confond laïcité et athéisme, pourquoi cette confusion ?
Historiquement, ce sont des libres-penseurs qui ont mené le combat contre le fanatisme. »

ton thème c’est corniaud enfilé trouduc nico..hassez perdu de temps tas dmoujiks..mfaut la journée pour aller au bout dmes propriété à chval

renato dit: à

Contre les escargots la bière, rose — enterrez un verre avec deux doigts de bière et contrôlez tous les jours —.

Chaloux dit: à

En nourrissant les hérissons, on les domestique (ils deviennent « semi-domestiques ») mais on ne les apprivoise pas.

Chaloux dit: à

Pourquoi se débarrasser des escargots?

renato dit: à

Escargots & limasses, rose.

Giovanni Sant'Angelo dit: à

…jeudi 2 avril 2020 à 10 h 22 min.

…l’harmonie forcée,…quoi encore,!…Ah,!Ah,!

…l’emploi  » canapé « ,…ou en est-il ?!…

…pour en finir, ou en somme nous,…avec l’urbanisme lié à l’A.D.N., social et politique en Europe,!…fleuron des modernités,…of course,!…Ah,!Ah,!

…rien que des espérances dans les strates de luttes de classes très artificielles liés aux fortunes d’héritages,…

…à nos écoles Saint-Cyr,…enfants de notables,!…à nos A.D.N. royalistes pour l’urbanisme à l’Académie française, la patrie du cul,!…en culture,…Ah,!Ah,!…

…l’urbanisme soumis aux banques pour les misères aux populations,…
…vivre et mourir, de la brique au ventre,!…
…etc,…etc,…un colossal fiasco du capitalisme,…vivre dans la mer.de des intérêts et marges de profit,!…

…quelle société d’Abondance, pour qui,!…
…quel A.D.N., du lucre des patries ?,…
…etc,…l’Europe mon cul,!…à remplir,!…
…of course,!…mes Albion’s,…
…envoyez,!…

Nicolas dit: à

3j le Printemps arabe c’est passionnant, je n’y croyait pas au début, et puis après oui et puis ça a un peu foiré mais c’était prévisible, les révolutions ne se font pas en un jour. Ça manquait d’intellectuel et d’opposition qui ont été dezinguės pendant plusieurs décennies. L’armée aussi compte, en Égypte par exemple elle n’a pas joué le rôle jusqu’au bout. D’autre part les réseaux sociaux y ont joué un rôle centrale qui n’a pas disparu. J’ajouterai que chaque pays est différent et qu’en Algérie ça n’a pas eu la même empleur. J’ai beaucoup appris et y ai perdu encore quelques illusions. Quand à mon jeune âge allez dire ça å ceux qui défilent dans la rue… c’est bête comme remarque. Je leur souhaite de réussir mais c’est pas gagné…
Je ne connais pas très bien l’histoire de l’Algérie, je me renseigne, à première vu instinctivement je me dis que sans athée ou une forte remise en cause de la religion ça va être difficile. Mais les pays arabes ce n’est pas la France. Peut être faudrait il regarder du côté des anglo-saxons? Vous vous y connaissez en révolution anglo-saxonne?

et alii dit: à

j’avais lu plusieurs histoires
Les escargots apprécient la peinture. Des façades ravalées sont aussitôt dévorées par les gastéropodes bretons.
libé

Nicolas dit: à

bouguereau dit: à

Puisqu’il me maudit, je me venge à mon tour en me détournant de lui

c’est fouetter la mer..je crois plutôt que les ‘libres penseurs’ en général ont été hutilitariss..à quoi sert il..rend il le monde meilleur..et total du finiche ses fidèles ne sont il pas plus hutilitariss que moi etc..

Quelqu’un peut prendre ça en photo pour les archives de la RDL

et alii dit: à

l’IIBR échantillonnait plusieurs kits de test COVID-19 proposés avant que le pays ne les commande en masse.
D’autres recherches prometteuses sur les vaccins par des scientifiques israéliens comprennent plusieurs projets d’urgence dans les laboratoires de l’ Institut technologique Technion-Israël de Haïfa, ainsi que le MIGAL – Galilee Research Institute à Kiryat Shmona.

Plusieurs laboratoires à l’étranger travaillent également dur pour trouver un vaccin, dont : CanSino Biologics en Chine; Moderna et INOVIO Pharmaceuticals aux États-Unis; et CureVac et BioNTech en Allemagne.

Marie Sasseur dit: à

Poetes, vos papiers.

« Son livre s’appelle Il a neigé tant de silences. C’est un vers que je trouve inouï au regard de ce qui nous arrive. Quand la neige tombe, surtout dans les pays où elle est rare, on se dit tiens, il a neigé. Le confinement est arrivé un peu comme ça. Bon, on nous avait prévenus un peu avant, mais quand même… Il a fallu du temps pour s’adapter à être entouré de neige, si je puis dire. Et je trouvais que ce vers-là disait de façon douce quelque chose de violent. »
Baudry lu par Y. le Men.

Il a neigé tant de silence

sur la page, que ce qui fut jadis écrit

porte le sceau des sans-visage.

https://www.franceculture.fr/emissions/confinement-votre/yvon-le-men-ou-nous-faudra-t-il-aller

William Legrand dit: à

Gaga bouguereau se tire comme une lavette, il n’a plus rien de NEUF à dire, bon débarras l’Andouille 2

William Legrand dit: à

à cheval, Gaga ? à quatre pattes plutôt, impotent de partout

Chaloux dit: à

Tout le monde le sait, dès que le bout mol émet une idée, ce qui lui arrive rarement, c’est une énormité. Un petit frustré post-nazi tout mou, une merde molle.

hamlet dit: à

quelques réflexions sur l’astrologie.

1 – @je suis né à 11h55 : à la question de savoir si tu aurais été moi con si tu étais né 5mn avant ou 5mn après il suffit de te lire pour en douter.

2 – si Pythagore, Platon, Aristote, Ptolemée, Herodote, O. Khayyam, St. Thomas d’Aquin, Hildegarde de Bingen, Dante, Durer, Rabelais, Copernic, J. Cardan, Tycho-Brahe, Miguel Servet, Giordano Bruno, Luther, Shakespeare, F. Bacon, Kepler, Velázquez, Galilée, Newton, Goethe, Balzac, Pasteur, Yeats, Pessoa, Jung, Max Jacob, Huidobro, J. Green, Junger, Raymond Abellio ou Cortázar et bien d’autres grands esprits croyaient dans l’astrologie c’est forcément que ça marche.

d’ailleurs Aristote croyait aussi dans le fait que le vent était à l’origine de la fécondation de juments et ça marche aussi.

tout comme : si Durer et St Thomas d’Aquin et bien d’autres croyaient dans le Paradis, l’Enfer, le Pugatoire et la Sainte virginité de Marie c’est que ça marche.

2 – comment éviter les mauvais astrologues : le mieux pour trouver un bon astrologue est de regarder sur les pages jaunes de l’annuaire et se fier aux étoiles. Ainsi 1000 avis 5 étoiles ça fait déjà 5000 étoiles, et même si 5000 étoiles ça ne fait pas une galaxie ou la Voie Lactée ça reste un bon élément pour bien choisir son astrologue.

3 – sur le devenir de l’astrologie : jusqu’à nos jours le principe de l’astrologie reposait sur le poids de l’inné sur celui de l’acquis et du libre arbitre. Il semble, notamment en se référant au dernier congrès des astrologues africains qui s’est tenu à Tombouctou en novembre dernier que nous allons assister à un changement de paradigme dans ce domaine. En effet l’astrologue moderne n’est plus celui qui dira à une personne, comme s’il s’agissait d’une fatalité dessinée par les étoiles : mon pauvre vieux, désolé vous êtes scorpion ascendant capricorne, mais au contraire celui qui permettra à cette personne de devenir un gémeaux ascendant vierge s’il le souhaite, et ceci au prix d’un travail sur lui-même basé sur la volonté et l’effort physique et moral.
La phrase de conclusion de ce colloque retentit comme un slogan définissant ce l’astrologie de demain : « devenez le signe que vous souhaiter devenir ! ».

et voilà ! j’espère que ce commentaire aura permis à ceux qui posaient des questions d’en savoir plus.

renato dit: à

Au prix de la feuille de laitue, Chaloux, sauver ces 4 qui poussent paisiblement dans un coin du jardin peut ne pas être sans intérêt.

hamlet dit: à

souhaiteZ

hamlet dit: à

et pour celui qui croit à l’astrologie, et qui disait il y a qq jours qu’il ne fallait pas s’inquiéter pour le coronavirus vu que la grippe saisonnière fait bien plus de milliers de morts je n’ai qu’un conseil à lui donner : change au plus vite d’astrologue !!!

hamlet dit: à

sur ce je retourne hiberner en compagnie de Pynchon !

prenez tous bien soin de vous bande de bâtards !

Nicolas dit: à

Tout de suite les grands mots omelette, comme si tu avais été épargné. Sache que j’ai des vues sur une sagitaire, ce qui n’est pas anodin.

et alii dit: à

Tirade sur l’astrologie de Edmond, fils bâtard de Gloucester (King Lear,
acte I scène 2)

Edmond est un salaud cynique qui vient d’inventer un faux complot pour
couler son frère légitime, Edgar, dans l’esprit de leur père. Gloucester
vient d’exprimer sa douleur et sa colère, et rappelle de récentes éclipses
qui auraient une influence néfaste sur les catastrophes. (Aujourd’hui, on
les mettrait sur le compte de la génétique…) »Edmond, demeuré seul, rigole :

« Voilà bien l’insigne sottise de ce monde ; quand notre fortune est mal en
point – et ce sont souvent les dérèglements de notre propre conduite – nous
rendons coupables de nos désastres le soleil, la lune et les étoiles, comme
si nous étions scélérats par nécessité, sots par contrainte du ciel, des
canailles, des voleurs et des traîtres par prédominance astrale ; ivrognes,
menteurs et adultères par obéissance forcée à une influence planétaire, et
comme si tout le mal que nous faisons se faisait à l’instigation des dieux.
Admirable excuse de l’homme, ce paillard : mettre ses instincts de bouc sur
le compte d’une étoile ! Mon père et ma mère se sont accouplés sous la queue
du dragon et ma nativité fut sous la grande Ourse ; il s’ensuit que je suis
dur et lubrique. Foutre ! J’aurais été ce que je suis si l’étoile la plus
virginale du firmament avais scintillé quand on m’a fait bâtard. »

Trad. De l’éd. « Bouquins », Robert Laffont.

hamlet dit: à

@et alii :
« les maux désespérés ne sont guéris que par de désespérés remèdes, ou pas du tout » (Hamlet IV – 3)

William Legrand dit: à

bien dit à propos du Gaga, Chaloux, Lucienne va être ravie

et alii dit: à

hamlet
In all of Shakespeare’s 37 plays there are more than a hundred allusions to astrology, and many of his characters’ actions are said to be favored or hindered by the stars. The signs of the zodiac are mentioned in six of Shakespeare’s plays, and the planets may even be blamed for disasters, especially as they wander from their spheres. Several of Shakespeare’s characters were governed by particular stars, as Posthumous was born under the benevolent planet Jupiter, and thus had a favorable destiny at the end of the play. Another character, Monsieur Parolles, was born under Mars and became known fittingly as a soldier. The moon–known for its influence on emotions and self-image–was said to govern Elizabeth, who wept throughout the play Richard III. These examples and many other astrological passages scattered throughout his dramatic works show that Shakespeare was at least interested in astrology and used the art abundantly in the creation of some of his most striking passages.
https://www.beliefnet.com/columnists/astrologicalmusings/2006/05/astrology-in-the-works-of-will.html

Jazzi dit: à

Oui mais quel remède désespéré contre le coronavirus, hamlet ?
La chloroquine ?

et alii dit: à

, many believe that the character of Prospero was modeled on Queen Elizabeth’s court astrologer, John Dee, who was one of the most renowned astrologers of all time. He was a respected mathematician and astronomer as well as a leading expert in navigation, as well as being an early “channeler” of some of the more remote angels. »
lien donné

Jazzi dit: à

Bien qu’enfant légitime, je n’ai rien contre les bâtards, parfois les meilleurs !

et alii dit: à

, many of the scientists who succeeded Copernicus strengthened the appeal of astrology including Johannes Kepler, another contemporary of Shakespeare. Carl Sagan referred to Kepler as “the last scientific astrologer,” which many would dispute but it does show the respect to which he is accorded. Kepler never lost his love for the mystery and magic of the study of the celestial spheres: he was quoted by Franz Hammer as saying, “May God free me from astronomy, so that I can devote myself to the effort of my work on the harmony of the world.”

Jazzi dit: à

Ce n’est pas parce que nous comprenons l’anglais qu’il faille en abuser, et alii ! Notre langue commune n’est-ce pas le français ?

et alii dit: à

Vous pouvez installer la traduc sur l’ordi

et alii dit: à

Dans Rotten Bodies : Class and Contagion in Eighteenth-Century Britain, Kevin Siena s’intéresse aux conceptions des maladies épidémiques, et aux attitudes adoptées à leur égard pendant le long XVIIIe siècle, tout en s’autorisant des incursions dans le XVIIe siècle (les premiers chapitres), et, plus brièvement, dans le XIXe siècle (dans les chapitres de conclusion).
https://laviedesidees.fr/Contagion-une-histoire-culturelle.html

hamlet dit: à

@et alii :

« Voilà bien l’insigne sottise de ce monde ; quand notre fortune est mal en
point – et ce sont souvent les dérèglements de notre propre conduite – nous
rendons coupables de nos désastres le soleil, la lune et les étoiles, comme
si nous étions scélérats par nécessité(…) »

rien de nouveau sous le soleil.

de nos jours ça peut être un virus qui peut soudainement éclairer les esprits sur les méfaits d’un libéralisme sauvage !

et les gens se prennent à rêver, qu’il existât, dans un coin paisible de notre beau pays, une petite ville, située entre Blois et Angers, dans la douceru angevine, une petite entreprise, un bâtiment moderne, carré, sur 3 étages, qui fabriquent des masques de protection pour les fournir à tous les hôpitaux, au personnel hospitalier, à ces infirmières qui travaillent 60 heures par semaines, avec des heures sup non rémunérées, au péril de leur vie…

mais hélas ce petit bâtiment n’existe pas, c’est juste un rêve engendré par un petit organisme gros de qq nanomètres.

et ainsi, comme par miracle, un tas de rêves surgissent et s’accumulent !

vous imaginez et alii ? ces masques fait d’un bout de tissus et d’une petite lanière de rien du tout aurait éviter de confiner tout un pays et de mettre son économie en rideau !

tout ça pour des masques de protection en tissus… pourquoi donc ? c’est juste la faute à l’absurdité des logiques comptables libérales….

et voilà des rêves qui permettent de voir le monde tel qu’il aurait dû être…

et à chaque grande catastrophes ces mêmes rêves reviennent, et reviennent encore !

comment un virus réussirait-il à faire ce qu’aucun de nous ne parvient à faire ? éclairer les esprits de nos hommes et femmes politiques ?

ce virus révèle une réalité ? non je ne peux y croire ! même le plus con des hommes politiques est toujours moins con qu’un virus ! et pourtant et alii…

alors, comme à chaque catastrophe ils nous disent : il y aura un avant et un après !

vous y croyez vous ? moi non, je préfère encore, comme Pablo, croire aux astres, plutôt qu’aux hommes politiques et à ces virus qui leur redonnerait de la lucidité pour leur montrer les réalités du monde !

hamlet dit: à

autre chose marrante que vient de nous apprendre ce virus : « la santé publique ne doit pas se soumettre au règles de la comptabilité libérale ».

vous imaginez le scoop !

jusque là on avait des journalistes pour nous pondre des scoops à la con que tout le monde savait déjà ! maintenant on a des virus.

c’est génial ! pourquoi aller voir des astrologues quand on a des virus qui nous éclairent sur notre monde encore mieux que des ampoules halogènes !

hamlet dit: à

Jazzi, tu vois tu avais raison ! ça sert plus à rien d’avoir une conscience politique ! il suffit d’attendre la prochaine catastrophe…

et alii dit: à

À propos de : Kyle Harper, Comment l’empire romain s’est effondré. Le climat, les maladies et la chute de Rome, La Découverte

par Gabrielle Frija, le 19 juillet 2019
L’Empire romain s’est effondré parce que le climat s’est modifié au Ve siècle. Le refroidissement a favorisé le développement de germes et de pandémies dévastatrices, qu’on ne peut cependant comprendre sans s’intéresser à la mondialisation romaine et à la circulation des produits et des hommes.
vie des idées dossier recension

hamlet dit: à

avant on avait Camus qui nous écrivait la Peste comme allégorie de l’occupation allemande.

maintenant on a un virus qui nous écrit un roman comme allégorie du capitalisme libéral mondialisé.

passou le prochain Goncourt faudra le donner au Covid-19 c’est de loin le meilleur écrivain actuel.

Jazzi dit: à

« La peste antonine ou « peste galénique » frappa l’empire romain à la fin de la dynastie « antonine ». On attribue totuefois cette épidémie – l’une des mieux documentées de l’Antiquité – à la variole ou une maladie infectieuse semblable. D’après de récentes estimations, elle aurait considérablement réduit la population romaine, en faisant près de 10 millions de morts entre 166 et 189, dont potentiellement 2 empereurs : Lucius Verus et Marc Aurèle. »
http://www.sympatico.ca/sujet/Auteur/Vanessa%20Hauguel

Jazzi dit: à

Pour ceux qui n’ouvrent pas mes liens de peur d’être contaminés !

« Le sida est considéré comme une pandémie mondiale, les estimations de 2007 portant le nombre de personnes séropositives à 33, 2 millions. Si les premiers signes de l’épidémie remontent à la fin des années 1970, et qu’il est probable qu’il y eût d’autres nombreuses victimes avant cela, l’alerte est réellement sonnée en juillet 1981 lorsque le Centre pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) d’Atlanta relève plusieurs cas de victimes souffrant d’un déficit immunitaire inexpliqué. Le sigle SIDA, pour syndrome d’immunodéficience acquise ou syndrome d’immuno-dépression acquise, est adopté en 1982. Depuis 1981, le sida aurait causé plus de 30 millions de morts à travers le monde, un chiffre qui, malgré la prévention et les efforts mis en place, continue de croître. »

et alii dit: à

nicolas
Selon une étude chinoise, les chats peuvent aussi être infectés par le virus Sars-Cov-19 et le transmettre à leurs congénères. Mais pas les chiens, ni les cochons, les canards et les poules !
attention à Saga:ne le laissez pas sortir,comme l’envie en prend souvent à nos matous, d’aller sur les toits retrouver copains- et copines!

Petit Rappel dit: à

John Dee a peut-être conçu, c’est l’avis de Frances Yates, le premier Théâtre du Globe. Mais surement pas les pièces qui vont avec. question de temps.
L’ astrologie shakespearienne fait partie de la mimesis des personnages.
Shakespeare n’était peut-être pas Shakespeare, mais quelqu’un qui s’appelait comme lui.
Hugo
intéressant , mais se souvenir qu’après l’infarctus de 1878, il n’écrit plus grand chose.
Cela dit, ne pas oublier son Testament:
« Je refuse l’Oraison de toutes les Eglises.
Je crois en Dieu. »
Et l’échange avec Lecomte de Lisle: « Que dirais-je quand je verrai Dieu
« -Vous lui direz : « Bonjour, cher confrère! »
Je crois que la thèse du durcissement face à Vatican I est juste. Au corpus cité on peut ajouter Le Pape ou avec une avance d’un siècke, il flagelle cette fois le Vatican.
Bien à vous.
MC

Petit Rappel dit: à

« il n’écrit plus grand chose »
Jules Claretie, qui le fréquente, parlera de « première mort ».

Anna Fort dit: à

Le p’tit Cort a regardé sous les jupes de Clopine et il a trouvé dieu, pas étonnant !

Anna Fort dit: à

Petit rappel, J’ai voulu écrire : le p’tit Court

Soleil vert dit: à

Nous vivrions une dystopie :
https://reporterre.net/Le-monde-qui-vient-n-a-rien-d-une-utopie-c-est-un-cauchemar

Evidemment pas question de remettre en cause le confinement, mais les mesures de distanciation sociale prolongent en quelque sorte les nouveaux modes de production des entreprises liés à la dématérialisation et la numérisation. On pourrait faire un lien avec « Surveiller et punir » de Michel Foucault.

Clopine dit: à

En fait, je crois que tout ce qui va sortir, littérairement parlant, du confinement devrait faire référence à l' »l’emploi du temps », de Butor; Livre génial à mon sens, complexe et déroutant, et qu’il conviendrait de relire en ce moment, peut-être plus que Proust, Camus ou Giono…

(encore que j’ai une Pauline à la maison, et qu’à chaque fois que je l’appelle, pof, me voici hussarde, sur le toit !)

(merde, citer un nom, ici, c’est un viol. Bah, tant pis, vous n’en saurez pas plus.)

et alii dit: à

-c-est-un-cauchemar
et clopine a nightmare?

Chaloux dit: à

Renato, je n’ai pas de potager. Pour moi la notion de jardin irait plutôt dans le sens de refuge pour les animaux, une petite arche où quelques uns puissent vivre en paix. Même les taupes ont une action régulatrice des larves d’insectes etc.

hamlet dit: à

a-t-on déjà remis le Nobel d’économie à un virus ? non ? jamais ? et pourquoi donc pas ? après tout s’il devait changer l’ordre économique mondial ne le mérite-t-il pas ?

Nicolas dit: à

Tkt et alii Saga nous donne à tous des leçons de confinement

Chaloux dit: à

On n’a pas attendu la Vulgairoclopine pour s’apercevoir que L’Emploi du temps est un des plus grands romans du siècle.
Mais quel rapport avec ce qui va sortir « littérairement » du corona? Ce qui en va en sortir c’est tout bonnement qu’un certain nombre d’écrivains ont davantage de temps pour écrire. Mais pour écrire tout autre chose. Ce perpétuel mélange de lieu commun et d’ineptie finit pas être vraiment fatigant. Pourquoi la Coprophageoclopine éprouve-t-elle le besoin de ventiler le moindre de ses cacas dès il lui point au coin du trou du cul?

hamlet dit: à

Candide, en retournant dans sa métairie, fit de profondes réflexions sur le discours du Turc. Il dit à Pangloss et à Martin : « Ce bon vieillard me paraît s’être fait un sort bien préférable à celui des six rois avec qui nous avons eu l’honneur de souper. — Les grandeurs, dit Pangloss, sont fort dangereuses, selon le rapport de tous les philosophes : car enfin Églon, roi des Moabites, fut assassiné par Aod ; Absalon fut pendu par les cheveux et percé de trois dards ; le roi Nadab, fils de Jéroboam, fut tué par Baaza ; le roi Éla, par Zambri ; Ochosias, par Jéhu ; Athalia, par Joïada ; les rois Joachim, Jéchonias, Sédécias, furent esclaves. Vous savez comment périrent Crésus, Astyage, Darius, Denys de Syracuse, Pyrrhus, Persée, Annibal, Jugurtha, Arioviste, César, Pompée, Néron, Othon, Vitellius, Domitien, Richard II d’Angleterre, Édouard II, Henri VI, Richard III, Marie Stuart, Charles Ier, les trois Henri de France, l’empereur Henri IV ? Vous savez… — Je sais aussi, dit Candide, qu’il faut cultiver notre jardin. — Vous avez raison, dit Pangloss : car, quand l’homme fut mis dans le jardin d’Éden, il y fut mis ut operaretur eum, pour qu’il travaillât, ce qui prouve que l’homme n’est pas né pour le repos. — Travaillons sans raisonner, dit Martin ; c’est le seul moyen de rendre la vie supportable. »
Toute la petite société entra dans ce louable dessein ; chacun se mit à exercer ses talents. La petite terre rapporta beaucoup. Cunégonde était à la vérité bien laide ; mais elle devint une excellente pâtissière ; Paquette broda ; la vieille eut soin du linge. Il n’y eut pas jusqu’à frère Giroflée qui ne rendît service ; il fut un très bon menuisier, et même devint honnête homme ; et Pangloss disait quelquefois à Candide : « Tous les événements sont enchaînés dans le meilleur des mondes possibles ; car enfin, si vous n’aviez pas été chassé d’un beau château à grands coups de pied dans le derrière pour l’amour de Mlle Cunégonde, si vous n’aviez pas été mis à l’Inquisition, si vous n’aviez pas couru l’Amérique à pied, si vous n’aviez pas donné un bon coup d’épée au baron, si vous n’aviez pas perdu tous vos moutons du bon pays d’Eldorado, vous ne mangeriez pas ici des cédrats confits et des pistaches. — Cela est bien dit, répondit Candide, mais il faut cultiver notre jardin.

Chaloux dit: à

dès qu’il

Chaloux dit: à

fatiguant.

hamlet dit: à

« Mais quel rapport avec ce qui va sortir « littérairement » du corona?  »

non ! l’écrivain c’est bien lui ! c’est bien le corona qui tient la plume et qui nous écrit son roman ! nous n’en sommes que les personnages, ou au mieux les lecteurs.

hamlet dit: à

le corona dicte ses lois et l’homme subit ses tourments, il définit les règles du jeu et nous devons nous y conformer : le pouvoir appartient à celui qui écrit l’histoire.

depuis quand les hommes ont-ils cessé d’écrire leur histoire ?

cherchez dans les livres :
– désolé nous sommes impuissants
– désolé nous ne pouvons pas faire autrement
– désolé nous devons suivre les règles
– désolé c’est pas ma faute c’est comme ça
– désolé… mais ci désolé mais ça… désolé désolé désolé désolé

corona a mis fin à cette litanie de désolé !

Trump dit je veux racheter les droits de ce vaccin allemand, un an plus tôt ça se serait fait, là Merkel trouve l’argent pour que l’Allemagne conserve ce brevet !

et les autres embrayent : les uns disent on va reprendre la fabrication des principes actifs de nos médicaments et arrêter de la faire fabriquer en Inde et en Chine, les autres disent il faut que France retrouve sa souveraineté !

il faut refiler le Nobel d’économie à ce virus !

hamlet dit: à

sur ce je retourne hiberner en compagnie de Dostoïevski !

prenez bien soin de vous ma petite bande de débiles !

Clopine dit: à

… Car, bien entendu, les écrivains qui vont écrire PENDANT la période de confinement, et ceux qui vont écrire SUR ce confinement, en le prenant pour sujet, bref, tous ceux qui vont écrire pendant cette période, même les journaux intimes qui déplaisent à notre hôte, (à tort à mon sens) bref, toutes les écritures en fait vont avoir ceci à partager.

« ceci » : à savoir que, malgré les infinies différences de toutes les situations de confinement : citadin ou rural, confortable ou pénible, bien supporté ou intolérable, vécu en famille ou solitairement, dans l’abondance ou le dénuement, la bonne santé ou la maladie, toutes les situations ont un point commun, et à mon sens un seul.

A savoir que nous vivons un temps que nous n’avions pas programmé.

Nous pouvons meubler ce temps comme nous le voulons, bien sûr, mais il nous a été ordonné, imposé, et il nous est en plus mesuré.

Nous pouvons supputer de sa durée, ce n’est pas nous qui en déciderons.

Cette passivité, ce caractère subi de ce temps va forcément rejaillir dans l’écriture. Car l’écriture est aussi un jeu avec le temps – tous ceux, même les écrivains du dimanche comme moi, qui s’y essaient le savent bien : le temps que vous consacrez à l’écriture rejaillit à l’intérieur des phrases. Si vous êtes pressé, pour une raison x ou y, d' »en finir », cette hâte va se glisser dans vos phrases, dans votre intrigue. Si au contraire ce temps est devant vous aussi abondant, choisi et reposant que celui d’une croisière, cela se ressentira tout aussitôt. Et les phrases de Proust ont tout à voir avec la manière avec laquelle il ressentait ce temps, pour lui insomniaque et nocturne, qu’il leur consacrait.

Bien sûr, tout est possible : un écrivain peut mettre dix ans à écrire un récit bousculé, fiévreux, haletant et aux phrases rythmées comme par un métronome fou… Alors que chaque phrase aura pris des heures et des heures…

Tout est possible, bien sûr, mais une chose est sûre : l’écriture est rythmée par un temps choisi.

Or, celui que nous vivons n’est PAS choisi par nous…

D’où mon idée, que j’essayais d’exprimer maladroitement et synthétiquement ici (mais heureusement que les insultes de Chaloux m’amènent à tenter d’expliciter plus longuement cette petite idée, du coup je la considère avec plus d’indulgence, car plus je l’examine, plus je la trouve pertinente, ahahah) que l’écriture pendant cette période relèvera d’un EMPLOI DU TEMPS qui est juste la seule chose qui nous reste.

On nous impose ce temps. Nous ne pourrons donc que l’employer, contre notre volonté consciente et inconsciente…

Je doute fort que la moindre écriture issue de cette période soit l’équivalente d’une course sur un cheval au grand galop.

Nos phrases seront peut-être plus (dans le meilleur des cas et toutes proportions gardées, of course, comme celles de Proust, où l’on croit toujours voir scintiller la bave d’un escargot…

Je me trompe peut-être. Sûrement. Mettons que je viens de parler de moi, et passons.

En tout cas, l’occasion de relire Butor. Car c’est justement de ce jeu-là qu’il est question, dans son livre l’Emploi du Temps. De la manière dont ce dernier modifie l’écriture. Quand le héros écrit en juin ce qui se passait en mai de l’année d’avant. Quand il revient en septembre sur le mois d’août, etc. Quand il joue du temps comme on joue d’un accordéon, la virtuosité qui est manifeste est cette manipulation, cette transcendance n’hésitons pas à utiliser ce mot ahahah, que Butor a appliqué au propre temps, au temps réel, de son écriture…

Cette lecture de l’emploi du temps est donc bien plus adéquate, à mon sens, que le hussard sur le toit, qui est le récit (mené tambour battant) d’une épidémie de choléra, mais qui n’a rien à voir avec notre situation temporelle… Ou que la peste de Camus, pour les mêmes causes…

Voilà, voili, je m’en vais faire une mousse au chocolat. Nos amis citadins ne viennent plus chercher les oeufs que nous leur offrons d’habitude, et les poules, comme tous les ans à pareille époque battent des records de pondaisons. La mousse au chocolat a ceci de vertueux qu’elle nécessite 6 oeufs d’un seul coup d’un seul. Parfaite, donc…

Nicolas dit: à

Mais j’ai des œufs et du chocolat ! Best idea ever. C’est quoi la recette ?

Chaloux dit: à

L’écriture convertit n’importe quel temps, même celui de la prison qui n’est pas une exception spatio-temporelle mais un confinement vécu par des dizaines de milliers de personnes en France, en temps de travail. Ni plus ni moins. La décébroclopine ne voit pas qu’elle pense avec du papier-journal à la place du cerveau, comme le sergent de ville d’Alfred Jarry. C’est le « nous parlerons de la guerre » de la mère Verdurin à laquelle d’ailleurs cette vieille sotte ressemble. En infiniment petit.

Jazzi dit: à

Moi je m’étais dit laissons-nous submerger par un certain ennui qui aboutira peut-être à retrouver l’inspiration ?
Hélas, celle-ci se fait toujours attendre !

Chaloux dit: à

C’est quoi la recette?

Ben, tu te passes les œufs au chocolat…

Jazzi dit: à

Fédal le rêveur 12

« Ce matin-là, lorsque Fédal se présenta à la grille du château des Orties, un valet de pied l’attendait. La veille, il avait pris rendez-vous par téléphone avec le marquis, lui annonçant qu’il avait en poche la somme qu’il leur avait avancée. Tout au long de la conversation, le marquis avait paru gêné. Maintenant, Fédal était impatient de revoir sa mère et de la ramener chez eux. En arrivant, il avait trouvé la maison vide. Sa mère devait sans doute loger au château pour ne pas perdre de temps et travailler sans relâche au remboursement de la dette.
A présent, tout cela allait cesser. Comme il avait hâte de se retrouver dans les bras de sa petite maman chérie !
Tandis que le domestique le conduisait auprès du marquis, Fédal aperçut les deux molosses sagement couchés dans leur niche, à l’entrée.
Au salon, le maître des lieux l’attendait avec impatience. Affichant un air grave, il lui serra néanmoins la main chaleureusement. Puis l’entourant de son bras droit, il le dirigea vers un fauteuil. Etait-ce sa soudaine fortune qui lui valait tant d’égards ?
Resté debout devant lui, le marquis balbutia :

Ah ! Mon cher enfant…que je suis heureux de vous voir…J’aurais préféré d’autres circonstances…J’avais envoyé un émissaire au manoir de la Cour Brûlée pour vous prévenir…Mais vous étiez déjà parti…C’est d’ailleurs ainsi que j’ai appris la mort d’Anagram’…Enfin, il était vieux et malade…Pour lui, c’était prévisible…Mais laissons cela…C’est de votre mère dont je veux vous entretenir…Je ne savais pas où vous contacter…Quand vous m’avez appelé hier soir…J’ai manqué d’à- propos…J’attendais pourtant votre appel depuis longtemps…Je m’y étais préparé…Malgré tout j’ai été pris de court…J’aurais dû vous annoncer …Finalement c’est mieux ainsi…Je préfère vous dire en face la triste nouvelle…Votre mère…Votre pauvre mère…Eh bien…Elle nous a quittés au printemps…Elle est morte…Non point de fatigue…Dieu sait combien elle n’a pas ménagé ses efforts…Mais de tristesse…Oui mon cher enfant…Votre mère pensait qu’elle ne vous reverrait plus…Elle ne supportait plus votre absence…Le chagrin…Oui le chagrin…Et non pas la fatigue…croyez-moi…a eu raison de ses forces…Dieu ait son âme !

Fédal apprit encore de la bouche du marquis que sa mère reposait dans le petit cimetière marin, près du port. Ce fut alors à peu près tout pour les nouvelles. Il en savait d’ailleurs assez.
Un silence à couper au couteau s’abattit sur la pièce.
Enfin, peu à peu, il sortit de la léthargie dans laquelle il était tombé. Puis, toujours sans un mot, il quitta la maison de son hôte, oubliant de lui remettre le chèque qu’il gardait dans la poche intérieure de son élégante veste en alpaga.
Plus tard, sur la tombe de la défunte, il versa toutes les larmes qu’il avait jusqu’ici contenues :

« Hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi !hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi !hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi !… »

Dès cet instant, Fédal sut qu’il ne pourrait plus rêver. L’envie lui en était passée d’un coup. L’envie et la capacité.

« …hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi !hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi !… » »

et alii dit: à

REVOLUTION ANGLAISE
CE N EST PAS SANS RAISON QUE Freud avait appelé son fils OLIVER

DHH dit: à

Pas besoin de citer de l’anglais-pas intelligible pour tous- pour enfoncer cette porte ouverte ;Nous savons tous que la distinction entre astronomie et astrologie est récente, et que les savants de la renaissance qui ont fait progresser l’astronomie conduisaient aussi des travaux qui pour nous relèvent de l’astrologie , car ,sur ce sujet, la distinction que nous conceptualisons aujourd’hui entre ce qui releve de la science et ce qui relève de la pensée magique n’avait pas de sens

hamlet dit: à

@Mr Court, j’aime bien vous lire, vous avez une telle culture livresque que vous arrivez toujours à trouver une citation ou un exemple.

Comme je n’ai jamais aimé lire je me contente de ces mythes urbains, ma foi ils peuvent aussi avoir leur attrait, ils agglomèrent des petits fragments d’étrangeté de partout, au bout d’un moment plus personne n’est capable de voir le tableau dans sa totalité, c’est trop déstructuré. Toutefois nous nous débrouillons pour trier sur le volet les pièces problématiques, à Dieu ne plaise nous ne laissons pas abuser bien sûr, nous sommes trop à la coule pour ça, et pourtant il n’y a en définitive aucune preuve qu’une partie de ce puzzle ne soit pas vraie. Les pour, les contres, tout dégénère en dispute sur internet, ça s’enflamme, ça trolle, des fils de discussions qui ne font que s’enfoncer davantage dans la labyrinthe. Ma foi, les musées et les camps de la mort nazis sont désormais fermés aux touristes, les gens ne peuvent pas aller en Pologne, ces voyages organisés où ils vous donnent des mot dog polonais à manger dans le bus.

DHH, dit: à

@Jazzi
pas encore lu votre roman; je vous ai dit pourquoi ;si vous avez accédé au desir de Clopine de le recevoir en un seul morceau, je serais moi aussi intéressée.
avez vous pensé a l’envoyer a Pivot si bien disposé à votre égard?

hamlet dit: à

DHH, oui la modernité a donné l’avantage aux astronomes sur les astrologues et c’est bien regrettable !

l’après modernité verra sans doute astronomes, astrologues et chamans travailler main dans la main et là ce sera un progrès !

on a déjà une princesse norvégienne qui a donné l’exemple en se mariant avec un chamane californien dont l’enseignement est fort prisé par les dames de tous les pays, ce qui laisse présager que du très bon en terme d’avenir du féminisme :

https://www.youtube.com/watch?v=UnAac1Pvwrk

rose dit: à

Jazzi

Trouve autre chose

, il versa toutes les larmes qu’il avait jusqu’ici contenues :

« Hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi !hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi !hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi !… »

Dès cet instant, Fédal sut qu’il ne pourrait plus rêver. L’envie lui en était passée d’un coup. L’envie et la capacité.

« …hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi !hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi !… » »

Sur la tombe de ta mère, ce son ne convient pas. Moi je mettrais une phrase pour traduire le chagrin incommensurable et le gouffre qui s’ouvrit sous tes pieds. Je te fais confiance jazzi.

hamlet dit: à

« on ne peut pas faire d’omelette norvégienne sans casser d’œufs », c’est un proverbe nordique.

Jazzi dit: à

Les « hi hi hi » font raccord avec l’extrait suivant, rose…

et alii dit: à

Je veux, pour composer chastement mes églogues,
Coucher auprès du ciel, comme les astrologues,
Et, voisin des clochers, écouter en rêvant
Leurs hymnes solennels emportés par le vent.
Les deux mains au menton, du haut de ma mansarde,
Je verrai l’atelier qui chante et qui bavarde ;
Les tuyaux, les clochers, ces mâts de la cité,
Et les grands ciels qui font rêver d’éternité.

Il est doux, à travers les brumes, de voir naître
L’étoile dans l’azur, la lampe à la fenêtre,
Les fleuves de charbon monter au firmament
Et la lune verser son pâle enchantement.
Je verrai les printemps, les étés, les automnes ;
Et quand viendra l’hiver aux neiges monotones,
Je fermerai partout portières et volets
Pour bâtir dans la nuit mes féeriques palais.
Alors je rêverai des horizons bleuâtres,
Des jardins, des jets d’eau pleurant dans les albâtres,
Des baisers, des oiseaux chantant soir et matin,
Et tout ce que l’Idylle a de plus enfantin.
L’Émeute, tempêtant vainement à ma vitre,
Ne fera pas lever mon front de mon pupitre ;
Car je serai plongé dans cette volupté
D’évoquer le Printemps avec ma volonté,
De tirer un soleil de mon coeur, et de faire
De mes pensers brûlants une tiède atmosphère.
Baudelaire

hamlet dit: à

Jazzi, allez ! je sais que ta quête de reconnaissance est infinie, cela tient sans doute au regard que ta mère portait sur toi quand tu avais trois ans, mais sérieux, qu’attends-tu de la reconnaissance des personnes présentes sur ce blog : clopine, dhh, christiane, pedro, 3j etc… sérieux.

Jazzi dit: à

Mais qu’attends-tu des lecteurs de tes livres publiés à compte d’auteur, hamlet ?

hamlet dit: à

« ces mythes urbains, ma foi ils peuvent aussi avoir leur attrait, ils agglomèrent des petits fragments d’étrangeté de partout, au bout d’un moment plus personne n’est capable de voir le tableau dans sa totalité, c’est trop déstructuré. Toutefois nous nous débrouillons pour trier sur le volet les pièces problématiques, à Dieu ne plaise nous ne laissons pas abuser bien sûr, nous sommes trop à la coule pour ça, et pourtant il n’y a en définitive aucune preuve qu’une partie de ce puzzle ne soit pas vraie. Les pour, les contres, tout dégénère en dispute sur internet, ça s’enflamme, ça trolle, des fils de discussions qui ne font que s’enfoncer davantage dans la labyrinthe. Ma foi, les musées et les camps de la mort nazis sont désormais fermés aux touristes, les gens ne peuvent pas aller en Pologne, ces voyages organisés où ils vous donnent des mot dog polonais à manger dans le bus. »

Sasseur !!!!!!!!!!

tu as reconnu l’extrait du « fonds perdus » de Pynchon ?

hamlet dit: à

Jazzi, hého moi j’en ai parlé ici ! c’est pablito !

les textes que j’avais copiés ici vous été destinés ! c’était un cadeau d’adieu le jour où j’ai définitivement quitté ce blog ! rien de plus !

c’est vous qui avez commencé à dire c’est nul, c’est bien, ou des débilités du genre : faudrait pas l’envoyer à un éditeur alors qu’il n’en avait jamais été question !

et puis je n’ai jamais attendu de reconnaissance, de personne !

tu perds complètement les pédales !

hamlet dit: à

Jazzi, hého moi j’en ai PAS parlé ici ! c’est pablito !

rose dit: à

Soleil vert

Lu l’article de Reporterre.
Je ne crois pas.
Ce confinement met en exergue les gens intelligents.
Dans mon entourage proche, il y a quelques personnes qui sont heureuses confinées ds un mode de vie autarcique.

Le grand projet -concernant l’enseignement par ex.- de dématérialisation ne rencontrera jamais majorité de pour. Pck le lien social des gosses/jeunes est primordial pour la formation de leur personnalité.
Quant au télétravail, c’est un autre sujet. À discuter. Nombre de jeunes auto-entrepreneurs ont déjà fait le choix de se regrouper en Starbuck coffee ou en bureaux loués en commun pour travailker ensemble.
Pourrait-on imaginer une conférence de rédaction matudinale sans regroupement autour d’une table ?

Nota bene : je suis radicalement contre sortir d’une expérience pareille pour aller vers un cauchemar.

Jazzi dit: à

« tout dégénère en dispute sur internet, ça s’enflamme, ça trolle, des fils de discussions qui ne font que s’enfoncer davantage dans la labyrinthe. »

C’est dans Pynchon, hamlet ?

@DHH, ce n’est pas un roman mais un conte en forme de rêve…

hamlet dit: à

les textes que j’avais copiés ici vous étAIENT destinés

hamlet dit: à

oui c’est dans Pynchon, pourquoi ?

rose dit: à

Jazzi

Ah.
Alors on attend le 13.

rose dit: à

Oui. C’est complètement un conte. Je confirme.

et alii dit: à

POÈME SYMPHONIQUE POUR 100 MÉTRONOMES – GYÖRGY LIGETI

Jazzi dit: à

C’est du pareil au même, hamlet,. Tout ce que l’on écrit et que l’on cherche à porter à la connaissance des autres, c’est autant de bouteilles jetées en mer !

Jazzi dit: à

Où jetées en mère ?

et alii dit: à

bouteilles jetées en mer !
et ça ce n’est pas comme bouteilles jetées à la mer

hamlet dit: à

Jazzi, en plus si tu avais victime d’inceste maternelle et violé par sa mère comme je l’ai été pendant l’enfance crois-moi qu’après ça la reconnaissance des autres c’est le dernier truc que tu recherches !!!

et alii dit: à

Une bouteille jetée à la mer il y a 132 ans a récemment été retrouvée échouée sur une plage à 180 kilomètres de Perth (Australie). C’est au cours d’une promenade en famille que Tonya Illman, à l’origine de la découverte, a eu l’œil attiré par cette « jolie bouteille ancienne » qu’elle a choisi de ramasser pour en faire un objet de décoration.

ABC Science

@ABCscience
The worlds oldest-known message in a bottle has been found on a WA beach 132 years after being tossed overboard by a German vessel. http://ab.co/2oO3w3V

Voir l’image sur Twitter
23
00:12 – 7 mars 2018
Informations sur les Publicités Twitter et confidentialité
Voir les autres Tweets de ABC Science
Mais en voulant enlever le sable entré dans le flacon, la petite amie de son fils a constaté que leur trouvaille renfermait un message roulé et entouré d’une ficelle, raconte ABC News. Une fois séchée, la feuille de papier s’est révélée être « un formulaire imprimé, écrit en allemand, avec des mots manuscrits quasi-effacé ».

Jetée depuis un navire allemand
Le document était daté du 12 juin 1886 et indiquait qu’il avait été jeté à l’eau depuis un voilier allemand, le Paula, à 950 kilomètres du rivage australien. Afin de mieux comprendre les courants marins dans le monde, l’observatoire naval allemand avait mené une opération scientifique entre 1864 et 1933. Des milliers de flacons avaient ainsi été jetés à la mer avec des précisions concernant les coordonnées du lieu de largage.

>> A lire aussi : VIDEO. Une bouteille à la mer envoyée par un Américain arrive deux ans après en France

Sur le verso du document découvert en Australie figurait un message demandant de faire parvenir la bouteille au consulat allemand le plus proche ou à l’observatoire naval allemand en précisant la date et le lieu de la découverte.

Record battu !
Les experts à qui les Illman ont confié leur trouvaille ont confirmé qu’il s’agissait bel et bien d’une bouteille de gin et d’un message datant tous les deux du XIXè siècle. Les spécialistes du musée d’Etat d’Australie-Occidentale ont même réussi à mettre la main sur le journal de bord du voilier d’où avait été jeté l’objet.

>> A lire aussi : Bretagne: Jetée à la mer aux Bahamas, la bouteille est retrouvée sur l’Île de Batz un an et demi plus tard

La bouteille, qui sera exposée au Musée maritime de Fremantle, est au passage devenue la bouteille à la mer ayant mis le plus de temps à être retrouvée. Le record était jusqu’ici de 108 ans.

MondeAustralieInsoliteMerBouteilleDecouverte

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PLUSD’ACTU

Jazzi dit: à

Yes, et alii, « thrown into the sea » !

hamlet dit: à

Jazzi, n’essaie pas encore de m’enfumer stp.

déjà ce truc tu l’as pondu simplement parce que je t’ai dit que tu étais un handicapé de l’imaginaire, du coup tu essaies de me prouver que tu as de l’imagination ! ce dont je continue de douter pour les raisons que je t’ai déjà données inhérente à ta sexualité.

et en plus ne me dis pas que tu ne recherches pas la reconnaissance des autres !

ne fais pas comme clopine : ne te mens pas à toi-même !

en plus il n’y a pas de mal à rechercher la reconnaissance : si Macron a voulu devenir président tu crois que c’est pas amour de la France peut-être ?

renato dit: à

Bleeding Edge

et alii dit: à

en un mot:overboard

Candide dit: à

@Hamlet :
ça fait plaisir, ce retour aux sources.

Jazzi dit: à

« victime d’inceste maternelle et violé par sa mère comme je l’ai été pendant l’enfance »

Tu ne nous en avais jamais parlé, hamlet ! Du Angot au masculin…

Jazzi dit: à

« ce truc », je l’ai pondu il y a plus de vingt ans, hamlet…

et alii dit: à

un mot pour les erdéliens à la manière de l’un d’eux
apotélésmatique \a.pɔs.te.le.ma.tik\ masculin et féminin identiques

(Antiquité) Relatif à une astrologie faite par l’inspection des planètes, des étoiles, du ciel.
Les anciens ont donné le nom d’Astrologie apotelesmatique ou sphere barbarique, à cette science pleine de superstition, qui concerne les effets & les influences des astres. (L’ENCYCLOPEDIE)

hamlet dit: à

et alii : vous pouvez me dire comment vous faites ?

je peux vous dire n’importe quelle phrase et vous êtes capable de me retrouver une centaine de lien sur internet ?

vous savez qu’avec ces facultés incroyables vous pourriez vous faire embaucher par les services secrets ?

Jazzi dit: à

« ne me dis pas que tu ne recherches pas la reconnaissance des autres ! »

Je n’ai jamais dit ça, hamlet, sinon pourquoi publierais-je ?

hamlet dit: à

Jazzi tu l’as petu-être pondu il y a vingt ans mais si tu le ressors aujourd’hui c’est pour ces raisons !

d’ailleurs tu l’as écrit toi-même dans un commentaire : pour me prouver que tu n’es pas un handicapé de l’imaginaire (je reprends tes propres mots) !

tu veux que je te le recherche ?

et alii dit: à

secret, hamlet, secret!

hamlet dit: à

Jazzi, c’est bien au moins nous sommes d’accord sur ce point !

bon, maintenant mon Jazzi, dans la période difficile que nous traversons il faudrait tu arrêtes de te centrer sur toi et que tu essaies pour une fois dans ta vie de penser aux autres !

tu imagines tous ces gens qui risquent leur vie dans les hôpitaux aujoud’hui parce que justement ils pensent plus aux autres qu’à eux-mêmes !

sérieux c’est indécent !

pense aux autres ! ou si tu ne veux pas penser à tous les autres pense au moins qu’à moi.

B dit: à

rechercher la reconnaissance : si Macron a voulu devenir président tu crois que c’est pas amour de la France peut-être ?

Pour se sentir moins seul, pour rencontrer des gens, pour gagner moins d’argent, pour habiter le palais transformé en ruche, pour commander un nouveau service à vaisselle, pour pouvoir cacher sa belle voiture dans les garages, pour occuper la Lanterne le week end ah ça oui il en avait rêvé, pour ne plus avoir à porter des costumes trop coûteux, si c’est pas pour tout cela je donne ma langue au chat.

et alii dit: à

Confessions via WhatsApp, messes sur YouTube : comment les prêtres s’adaptent
À l’approche de Pâques et en plein confinement, l’Église catholique se montre ingénieuse pour maintenir le lien avec ses fidèles.

Jazzi dit: à

« pense au moins qu’à moi »

Là ce ne serait pas indécent mais obscène, hamlet !
Tous les critiques ont souligné l’opportunité de mon goût de la paresse en temps de confinement.
Ne mets-je pas mon imagination au service des autres ?

et alii dit: à

on a bien assez de mège \mɛʒ\ masculin ici,inutile d’en rajouter

Autre orthographe de meige, dans le sens de « mauvais médecin ».

B dit: à

Nicolas, des oeufs du chocolat , je crois qu’il faut du sucre pour mousse au chocolat. Quand j’étais très jeune je preparais des desserts. Enfant même, des pâtisseries que j’offrais à mon père quand il rentrait du travail. Vous pourriez obtenir une bonne recette de celui ci sur le net. C’est pas compliqué du tout.

renato dit: à

Je ne comprends pas le titre Fond perdu, car Bleeding Edge est une métaphore qui dérive de « cutting edge » e « leading edge », deux métaphores pour « tranchant » — « bleeding » — ensenglenté — indique le danger intrinsèque d’une technologie si avancée qu’elle est potentiellement dangereuse pour l’utilisateur.

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