Mona Ozouf face à ses énigmes
C’est rassurant, un intellectuel qui dit qu’il ne sait pas. Un chercheur qui reconnaît qu’à l’issue de quelques décennies de recherches, il bute toujours sur l’infracassable noyau d’énigmes à ses yeux irrésolues. Un esprit brillant qui ne renonce pas à entreprendre et à se lancer dans de nouveaux chantiers d’écriture pour comprendre même s’il sait que le temps lui est compté. On a beau avoir souvent lu et écouté Mona Ozouf, on y retourne lorsque l’occasion se présente car on sait qu’on n’en repartira pas les mains vides. Il y aura toujours quelque chose en plus. C’était le cas hier dans le cadre du 26ème Printemps du livre de Cassis. Il y avait du monde, il faisait beau, l’historien italien Carlo Ginzbourg venait d’enchanter le public avec ses récits de sorcières médiévales et de procès d’inquisition, de le troubler en lui révélant que l’historia d’Hérodote avait certes partie liée avec l’enquête mais… médicale, et de l’intriguer en lui avouant qu’il menait une conversation ininterrompue depuis ses années estudiantines avec le Mimésis d’Erich Auerbach, avant de se retirer sur une injonction amicale : «Il est urgent de réapprendre à lire lentement, c’est crucial sinon nous serons vaincus par l’ignorance électronique ».
Alors Mona Ozouf lui succéda à la tribune. Interrogée par les deux animateurs, Serge Koster et Antoine Spire, à propos de ses deux plus récents ouvrages (Composition française et La Cause des livres, Gallimard), elle se montra comme à l’accoutumée brillante, pondérée mais déterminée. Un peu d’actualité pour commencer. S’étant récemment exprimée sur la panthéonisation des grands hommes (la République en cherche un à tout prix en ce moment, histoire de ressouder illusoirement les Français autour de ce qui reste du grand roman national), elle n’hésita pas à répéter, quitte à froisser les féministes, que ce n’était pas un lieu pour les femmes. Marie Curie y est sans aucun doute à sa place mais franchement qui aurait cœur à arracher George Sand à Nohant, et qui imaginerait Colette dans cette sépulture glacée, elle qui aimait tant vivre entre ses fleurs et ses confitures ? Bref, le Panthéon n’est pas apte à accueillir des femmes : « On peut même se demander s’il n’y aurait pas incompatibilité entre le monument et le féminin même si… il y a de toute évidence dans le féminin une conscience particulière du temps qui constitue sa sensibilité ». Voilà pourquoi elle vote pour le résistant Pierre Brossollette. On put passer à autre chose. A ce qui, de sa vie, irrigue son œuvre. A l’idée de la singularité bretonne chez cette républicaine, fille de la laïque. Quelques faits et souvenirs rassemblées comme autant de traces mnésiques : une grand-mère qui apprit à lire à 24 ans pour ne pas confier la rédaction de ses lettres d’amour à un écrivain public ; un père instituteur dans le public et militant de la cause bretonne, un rouge ami de prêtres ; une Mme Guilloux (le femme de Louis, l’écrivain) qui fut son professeur éclairée ; la conviction qu’Eschyle était breton quand on a lu jeune Les Perses en breton.
Comment cette somme d’éclats peut-elle faire passer l’idée qu’on peut cultiver sa particularité bretonne sans jamais sacrifier l’universalité française, tension au sein de laquelle s’articule sa pensée ? On raconte, on explique. Ce que c’est que de grandir dans les livres quand on aime rien tant que s’y ensevelir, entre trois bibliothèques : paternelle (Renan, Chateaubriand, Lamennais), maternelle (Tchékhov, Tourgueniev, Rosamonde Lehmann), communale (Hugo etc). Avec un seul auteur commun aux trois : Frédéric Mistral. On analyse : « A l’école laïque, on n’est pas spécifié. L’égalité est abstraite. L’inégalité du mérite impose une constante remise en question ». On se souvient de Jules Ferry qui mit fin au caractère menaçant du livre en assumant sa dimension critique, lors de sa fameuse répartie à la Chambre lors du débat sur l’Instruction : « Nous sommes pour la lecture quand bien même nous ne devrions lire que de mauvais livres ». Traduisez : la lecture est en soi émancipatrice. Mona Ozouf n’a pas son pareil pour traduire du français au français avec une clarté exemplaire. Prof un jour, prof toujours. Une allusion de l’un de ses interrogateurs à la nécessité de convertir la honte en orgueil, et elle précise aussitôt : honte d’être breton comme stigmate d’infériorité sociale et linguistique « aussitôt transcendée par des parents qui vous aident à en sortir en vous faisant honte de cette honte ».
Des regrets ? Après l’Ecole normale, avoir opté pour l’agrégation de philosophie plutôt que pour des études de Lettres, et tout cela pour finir historienne de la Révolution française, mais à sa manière : en choisissant de s’intéresser à la fête révolutionnaire au carrefour de toutes ces disciplines croisées avec l’anthropologie ; sa manière, c’est aussi de continuer encore à mettre des guillemets à « historienne » quand elle s’entend présenter comme telle. Déçue par l’accueil d’Albert Soboul, celle qui fit « un stage de quatre ans » au PC se tourne avec bonheur vers Alphonse Dupront. Le temps a passé depuis. Elle a fait une œuvre et viré sa cuti, comme son ami François Furet dans le livre duquel (Le passé d’une illusion) elle se reconnaît tout à fait. Depuis que Jaurès a déclaré « C’est à côté de Robespierre que j’irais m’asseoir », les historiens de la Révolution sont toujours sommés de dire à côté de qui ils se placeraient à table. Disons qu’elle passe pour girondine mais précise nécessairement que « c’est toujours plus compliqué que cela ». Sinon, ne ferait-elle pas toujours face à des énigmes malgré tous ses livres, articles, conférences consacrés à « son » sujet. Alors elle avoue, dût-elle passer pour naïve, ce qu’elle pas, auprès de ceux qui prétendent connaître les réponses depuis longtemps :
« Pourquoi, les délégués des Etats généraux rédigent-ils une déclaration des droits de l’Homme, donc à destination de l’humanité toute entière, et non des droits des Français, comme ce fut le cas dans d’autres pays ? Je ne sais pas. Pourquoi la Révolution, qui commence comme une aube glorieuse saluée dans le monde, tourne-t-elle en échec et terreur ? Elle a eu des adversaires, et sa magnifique ambition portait en elle son envers : toute obsession de pureté entraîne l’exclusion et l’épuration : soit, mais encore car cela ne suffit pas »
Elle n’aime que les choses qui durent, Mona Ozouf (1931). Moins les preuves que les traces. Il en est une qui surgit soudain dans la conversation, s’immisce et s’impose. Alors cette intelligence en action à l’impeccable éloquence, si enveloppante dans sa douceur et si convaincante par sa logique, s’arrête de parler. Une pause, comme un léger embarras. Elle évoque un homme, un Péguy breton. Elle avait 4 ans quand il est mort. Yann Sohier, son père. Sa photo n’a jamais quitté son bureau à Plouha (Côtes d’Armor), puis Saint-Brieuc et Rennes, durant toute son enfance, son adolescence, sa jeunesse. « La photo d’un absent mais il était on ne peut plus présent ». On comprend alors que ce passé là n’est pas passé, et tout est dit de cet énigme dans un soupir, et un sourire.
(« Sens interdit » photo de Jean-Pierre Bertin-Maghit ; « Mona Ozouf » photo de Sandrine Roudeix)
819 Réponses pour Mona Ozouf face à ses énigmes
« La visée égalitariste et antiélitiste de l’école d’aujourd’hui… » l’ouverture de sciences PO à des ressortissants brillants de la banlieue sans conteste risque de déstabiliser l’ordre mondial et nivelle par le bas le niveaux de cette grande école, idem pour normale sup un QI d’escargot suffit à la prépa; c’est évident le socle des institutions se verra bientôt confié à des incompétents et les concours sont truqués, les diplômes de fin d’années achetés, et le parcours du combattant qui s’ensuit pour les plus ambitieux une grande réception où il suffit de faire du pied à son voisin quand on est femme et jouer des coudes quand on est homme.
« C’est une digue »
Une digue, c’est fait pour céder ! ce qui se vérifie…
« Tout cède, rien ne tiens bon ».
…. Après avoir donné l’illusion d’un certain pouvoir surnaturel aux naïfs.
Inutile de traiter le commentateur de congre, il s’en bat les amygdales externes.
bérénice,
Tout s’achète !
(à combien, votre dernière estimation ….?)
@DHHune fois, une femme me demanda , à l vue de mon travail, si j’étais d’origine bretonne .
je ne compris pas pourquoi : elle me dit alors à quoi cela lui faisait penser,elle qui ne connaissait pas mon patronyme, non plus
Chacune m’a beaucoup appris en me racontant: mis je ne saurais dire si c’était des « traces mnésiques »: ce n’étaient pas des chatons , Cela demeure quand même énigmatique , plus que votre choix, pour ce blog, des consonnes de votre patronyme, avez-vous dit
« Faites-moi comprendre. Est-ce que, démocratiquement, vous proposez que l’on décapite Mélenchon aussi ? »
A la condition qu’un retour arrière soit toujours possible, la tête, éructante, de la Mélenche bavant ses conneries vieillottes sur un plateau d’argent….ça aurait de la gueule ! Allons-y !
berenice ecrit:
« l’ouverture de sciences PO à des ressortissants brillants de la banlieue »
savez vous qu ces recrutements representent une part epilonesque du recrutement de sciences Po,qu’il est d’une selectivité telle que ceux qui y entrent par cette voie sont exceptionnellemnt brillants.
en revanche un enfant de cadre superieur moyennement doué ,qui est devenu bilingue pour avoir passé une partie de sa vie à l’etranger peut reussir sans difficulté le concours d’entrée.
l’ecole de la republique ne permet plus aujourd’hui cette trajectoire pour les enfants de talent comparable issus de milieux defavorisés.
et de plus Sciences PO ,c’est tout le contraire d’une grande ecole ,un mythe fabriqué par feu Descoigs
mais le plus amusant est qu’idéologiquement il était très proche des parents Ozouf
pas sur qu’il n’y ait que la « tolérance » à la religion..comme tous les français ou presque j’ai un vieux coup de coeur pour la bretagne et cette « honte » d’être breton n’a jamais existé, pas plus que dêtre bougnat, z’ont été assez laminé pour des raisons démographique politique et économique comme les vendéens par exempe..le collabo anatole a lui beaucoup « fait » pour la bretagne..alors que se servir de particularisme pour faire de la contrebande idéologique à la noix..merde
Richie pour les intimes, DHH.
Mona Ozou semble sortie du « Grand Meaulnes », incarnation de François.
13h40 En quoi consiste aujourd’hui votre travail?
Votre commentaire plutôt décousu ne m’en dit guère plus que ça, mais surement suis-je indiscrète et puis quelle impact votre activité aurait-elle sur votre territoire réflexif… de plus; chacun sait que les facteurs environnementaux n’influent pas sur nos itinéraires et notre espace vital
Sciences Po : merde propre…
savaient leur orthographe sur le bout du surin
excellent jean marron..excellent!..15 jours de mitard avec genet..voyage de noce inoubliabe..baroz vert de jalousie
Il est mort !
Il est mort, Giulio !
Giulio Andreotti, l’immortel auteur de :
« Je reconnais mes limites, mais quand je regarde autour de moi, je réalise que je ne vis pas vraiment dans un monde de géants. »
Inoubliable Giulio…. RIP.
la « laïque » d’autrefois ne menait pas tout le monde à l’excellence, mais conduisait chacun au sommet de ce que son talent lui permettait
non bien sur..bourdieu doit beaucoup a baudelot, L’école primaire divise, irréfutabe.
la laique d’autrefois était simenonienne, à fond, comme les curés les instit avaient acquis une ingénirie sociale assez infinie
bérénice dit: 6 mai 2013 à 13 h 54 min
vous savez même que vous êtes indiscrète : très bien . après les histoires de Crète et de ses crét.. ois et de crêtes, on arrivera bien, via les énigmes, aux abîmes et à être « face à l’abîme » ! et là, sorciers, sorcières , ne vous trompez pas de menhir ni de dolmen pour les rendez-vous.
malheur à ceux qui ne supportent pas qu’il y ait des énigmes et qu’il y en aura peut-être encore longtemps pour tous , et On enverra P.Assouline pour les identifier, comme énigmes,
Le jeune Gaston Flosse vient de remporter les élections territoriales en Kanakie, dite Polynésie française. Pourquoi bouder son plaisir….?
Bourdieu ? ….
Bourdieu ?
Mais bien sûr : le camembert Boudieu ne coule jamais.
le camembert Boudieu ne coule jamais
l’oeil vif et toujours les bons réflesques le jicé..t’aurais fait un bon breton
pas l’épagneul !
Pourquoi bouder son plaisir….?
tu devrais aller te branler sur la jambe de kabloom..il aimerait pas
JC laudateur de toutes les mafias.
La Sicile lui colle à la peau.
« Nos lycées comptent sans doute bien des jeunes filles qui ont le potentiel de devenir des Mona Ozouf , mais qui , parquées dans des classes heterogenes ,soumises à un enseignement adapté au niveau des plus faibles et sans capital culturel familial pour compenser ces handicaps, deviendront au mieux aides-comptables . » (rédigé par DHH)
Cette analyse de DHH conviendrait parfaitement pour décrire aussi bien les lycées des années cinquante du siècle dernier. Sauf sur un point : les luycées de ce temps-là proposaient en effet un enseignement inadapté au niveau des plus faible. Qu’est-ce que préfère DHH ? Qu’il soit mieux adapté aux plus faibles ou l’inverse. le point de vue de DHH n’est qu’une défense des lycées élitistes d’autrefois, légèrement relouquée pour que ça ne se voie pas trop. Dans les familles bourgeoises, on cultive l’art de remettre les vieilles robes au goût du jour.
« la laique d’autrefois était simenonienne » (rédigé par bouguereau)
???… saint-simonienne ?
c’est évident le socle des institutions se verra bientôt confié à des incompétents et les concours sont truqués, les diplômes de fin d’années achetés, et le parcours du combattant qui s’ensuit pour les plus ambitieux une grande réception où il suffit de faire du pied à son voisin quand on est femme et jouer des coudes quand on est homme. (rédigé par bérénice)
De la nuance avant toute chose…
Cette envolée de Bérénice me fait penser à je ne sais plus quel prophète barbu d’un album de Tintin qui prophétisait la fin du monde en agitant ses manches.
Franchement l’E.N. pose mal le problème : l’éducation, c’est pour l’élite. Les faibles on en fait des esclaves. Depuis toujours !
(ne vous fâchez pas ! toutes les sociétés ont besoin d’esclaves… d’ailleurs … vous … moi….)
« Cette analyse de DHH conviendrait parfaitement pour décrire aussi bien les lycées des années cinquante du siècle dernier. Sauf sur un point : les luycées de ce temps-là proposaient en effet un enseignement inadapté au niveau des plus faible. Qu’est-ce que préfère DHH ? Qu’il soit mieux adapté aux plus faibles ou l’inverse. le point de vue de DHH n’est qu’une défense des lycées élitistes d’autrefois, légèrement relouquée pour que ça ne se voie pas trop. Dans les familles bourgeoises, on cultive l’art de remettre les vieilles robes au goût du jour. » (rédigé par mézigue)
Foutre ! on dirait du Popaul Edel. Ressortons notre Bescherelle et notre Larousse.
« ..t’aurais fait un bon breton… tu devrais aller te branler sur la jambe de kabloom..il aimerait pas ! »
Bougboug,
je voudrais bien ! mais il n’accepte que les asiates… c’est pas croyable ce que les humanistes deviennent racistes, camera parties et lumières éteintes…
au lieu de théoriser sur DHH, lui proposer de s’émanciper un peu avec des outils pour apprendre l’anglais
Belle figure que celle de Louis Guillou, le grand Briochin.
Un billet, je crois, lui avait été consacré?
En « lisant lentement » le Retour d’URSS (mieux vaut tard que jamais), je vois que Gide mentionne peu LG, qu’il avait fait venir (c’est Dabit, naturellement, le martyr).
Résister à Aragon et refuser d’écrire contre le livre de Gide, quitte à devoir partir, c’était bien…
Voici du Gide:
« Ne plus se sentir exploité, c’est énorme. Mais comprendre qu’on l’est encore et ne plus savoir par qui; ne plus trouver à qui se plaindre de sa misère, qui accuser!… Dans cet évanouissement du grief, je crains que Celine n’ait raison de voir le parfait comble de l’horreur. Il dit puissamment: ‘Encore nous ici, on s’amuse! On n’est pas forcé de prétendre! On est encore des ‘opprimés’! On peut reporter tout le maléfice du destin sur le cancer de l’Exploiteur! Et puis se conduire comme des garces. Ni vu, ni connu!… Mais quand on a plus le droit de détruire? Et qu’on ne peut même pas râler? La vie devient intolérable! »
Dites, Passou,
Je suis inquiet. Elle va s’en sortir Azouf Demonia, depuis le temps qu’elle est face à ses énigmes ?
non..simenon
disons que la selection sociale se fait maintenant ailleurs et à un autre moment et qu’elle est surtout plus obscur qu’elle arriverait a faire croire qu’elle n’exiss pas jean marron..moi j’ai été à l’école de mon patelin, en 7 éme je me souviens trés bien que la moitié de la classe a peu prés était orienté vers des « formations professionnelles » et ceci sans aucun rapport avec son niveau, et les parents et l’instit y avaient cogité trés froidement, pour l’autre moitié fallait qu’il y ait une volonté affirmée des parents..et des capacités « standards »..l’instit te regardait longuement, en tirant sur sa pipe, avec l’oeil du destin comme l’inpèsscteur maigret
Guillou > Guilloux
esclave ?
La plupart de ces médecins établis à Rome étaient des esclaves ou des affranchis. De nombreuses inscriptions mentionnent les esclaves attachés aux grandes maisons, surtout à la maison impériale. Certains médecins étaient même des esclaves publics. Il y a cependant des Grecs libres. Jules César conféra le droit de cité à un certain nombre d’entre eux.
http://www2b.ac-lille.fr/weblettres/tice/medecin/medrom.htm
1) disons que la selection sociale se fait maintenant ailleurs et à un autre moment et qu’elle est surtout plus obscur qu’elle arriverait a faire croire qu’elle n’exiss pas
2) Dans cet évanouissement du grief, je crains que Celine n’ait raison de voir le parfait comble de l’horreur
@JBrown
Je ne suis pas d’accord .
Le lycée d’autrefois, des annéees 50 ,celui que j’ai eu la chance de fréquenter sous la férule de profs merveilleux , et auquel je dois tout ce que j’ai pu devenir dans les cinquante ans qui ont suivi, n’était pas une machine à éliminer les faibles .
En revanche,des lors qu’il etait le lieu d’un enseignement exigeant, il incitait chaque eleve a aller jusqu’au bout de ses possibilités, et il donnait ainsi leur chance à des enfants que leur univers familial et social ne destinait pas aux parcours qu’ils ont eu .
l’épisode de ferdine qui sent la crotte est exemplaire
2) Dans cet évanouissement du grief, je crains que Celine n’ait raison de voir le parfait comble de l’horreur
c’est pas faux comme dirait le breton jicé
« Cette analyse de DHH conviendrait parfaitement pour décrire aussi bien les lycées des années cinquante du siècle dernier »
Jean Marron
Lycées des années cinquante, environ 15% d’une classe d’âge, dont une majorité de mecs.
Toujours aussi machiste le JB.
et comme le sait Carlo Ginzbourg ‘(au fond c’esgt le b.a .ba -sauf que l’esclave par excellen à Rome, c’est le fils –
un autre lien pour tous
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/crai_0065-0536_1868_num_12_1_67523
Elle est là, la connerie de l’égalitarisme proclamé par les décapités de la révolution française : il n’y a d’égalité qu’en droit, càd potentielle … hélas ! Confusion souvent des pauvres, toujours crédules, qui se croient vite égaux, car républicains !
Il nous faut des esclaves ravis de l’être, heureux … bien payés…à l’ancienne… et des maîtres pas trop malheureux… car les soucis qu’inflige la gestion de grands patrimoines, c’est usant !
Mais on y arrivera : le changement c’est maintenant !
Je ne suis pas d’accord .
Le lycée d’autrefois, des annéees 50 ,celui que j’ai eu la chance de fréquenter sous la férule de profs merveilleux , et auquel je dois tout ce que j’ai pu devenir dans les cinquante ans qui ont suivi, n’était pas une machine à éliminer les faibles .
En revanche,des lors qu’il etait le lieu d’un enseignement exigeant, il incitait chaque eleve a aller jusqu’au bout de ses possibilités, et il donnait ainsi leur chance à des enfants que leur univers familial et social ne destinait pas aux parcours qu’ils ont eu .
En extrapolant à partir de votre cas personnel, vous aboutissez à une vision fortement idéalisée. Vous oubliez, me semble-t-il, que, dans ces établissements qui dispensaient, en effet, un enseignement de très grande qualité, les plus faibles (qui, aujourd’hui, seraient acceptés au lycée) n’entraient tout simplement pas.
Il y a une métairie tout au fond du brouillard…
Brownie,
maintenant, les futurs nuls, ils rentrent et emm*rdent les meilleurs… où est le progrès !
(ne vous fâchez pas, c’est pour faire avancer la réflexion…)
« profs merveilleux , et auquel je dois tout ce que j’ai pu devenir dans les cinquante ans qui ont suivi »
Compte tenu du résultat, ça se discute…
@brown;
le recrutement des lycéees n’etait pas un recrutement de classe,pas plus de mon temps que plus tard
j’ai aussi eté prof de lycée,plus tard au debut des l annéees 60,notamment en province ,et nos eleves etaient dans leur quasi totalité d’origine très lodeste,filles d’ouvriers ,de petits employés ou d’agriculteurs;
beaucoup d’entre elles ont fait des etudes superieures ,certaines sont devenues de brillantes normaliennes .
je ne suis pas sure que l’ecole d’aujourd’hui les aurait installéees dans les mêmes conditions dans ce qu’on appelle l’ascenseur social
aucun souvenir d’avoir eu des professeurs remarquables dans le secondaire mais certains me convinrent bien, par leur caractère un peu « fou » quand même , et j’en i eu un désir de m’instruire, me socialiser un peu aussi .
m’instruire sssez pour préciser qu’au premier plan de la photo il y a une noria
noria « La noria (Arabe: ناعورة, nā‘ūra, Syriaque: ܢܥܘܪܐ, nā‘urā) désigne originellement une machine hydraulique permettant d’élever l’eau en utilisant l’énergie produite par le courant. Par analogie de fonctionnement, « noria » a désigné par la suite
wiki
@JC 15 h 10
qu’est-ce qui vous permet de juger du resultat?
avez vous rencontré mes anciennes eleves,ou des gens qui m’on approché dans ma vie professionnelle ?
j’en ai eu
l’esclave par excellence
mon ordi regimbe !
en général dhh..tant de crâpeaux qui font rien qu’a ruiner le boulot d’une seule colombe
DHH dit: 6 mai 2013 à 15 h 16 min
Je ne vois qu’une excuse : alzheimer
Judith,
acceptez toutes mes excuses, je supputais sans raison que les profs ne pèsent guère, 50 ans plus tard, dans la vie active de qui que ce soit …!
Faudrait rajouter un alligator, quand même…
Il nous faut des esclaves ravis de l’être
mais non, faut chasser jusqu’à l’idée qu’ils puissent jamais l’être un jour, et que tout peut être plus pire à moins qu’il en fasse souffrir un autre à leur place..ça daccord c’est du managment jicé
DHH vous perdez votre orthographe cette fois-ci !
ne vous laissez pas entraîner dans des polémiques sur votre pratique.
Mais enfin, Bougboug, c’est infiniment plus simple de trouver le bonheur dans les règles simples de l’esclavage, non ?
Faudrait rajouter un alligator, quand même…
les colombes se boufferaient l’cul de rage..l’horreur autour du marigot
La modestie des élèves des lycées de filles des années soixante n’est plus à louer.
c’est infiniment plus simple de trouver le bonheur dans les règles simples de l’esclavage, non ?
faut des prêtres..beaucoup de prêtre..si ça coutait qu’un bras ou une jambe..mais la bite y passe
Non mais pour être esclave faut avoir des muscles énormes et huileux pire que sur les affiches des Rouges…
« La modestie des élèves des lycées de filles des années soixante n’est plus à louer. »
Elle était gratuite, m’a t on dit.
@JC 15 h 24
« je supputais sans raison que les profs ne pèsent guère, 50 ans plus tard, dans la vie active de qui que ce soit »
eh bien vous vous trompez,soit que vous n’ayez pas eu de profs de grande qualité ,soit que vous etes trop jeune pour avoir sur votre vie un regard qui vous permette de bien mesurer ce qu’ils vous ont apporté
C’est pas vrai, Sergio, Platon et Cervantes l’ont été, esclaves, et c’était pas des schwartzie !
« j’ai aussi eté prof de lycée,plus tard au debut des l annéees 60,notamment en province ,et nos eleves etaient dans leur quasi totalité d’origine très lodeste,filles d’ouvriers ,de petits employés ou d’agriculteurs; »
DHH
68 est passé par là et nous a mis que des enfants de riches dans les lycées.
alors qu’il y avait une totale mixité dans le primaire, je ne sais plus quand la mixité est apparue dans le secondaire tant pour les élèves que pour les professeurs , ni de quand date le slogan allez les filles :
voici un lien pour tous
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/ahess_0395-2649_1993_num_48_4_279193_t1_1049_0000_002
judith,
Qu’est ce qui vous permet de me dire ça, les yeux dans le clavier : ne pas avoir un regard pour mesurer ce qu’ils m’ont apporté !!!
Et puis d’abord, trop jeune, c’est pas un défaut !
(ils étaient excellents… pendant quelques temps … le reste, c’est le monde qui vous fait et vous-même !)
voici un lien pour tous
entre la générosité et limpuissance..y’a une nuance bon dieu
sergio démontrait la supériorité des rouges..et puis jicé..platon..cervantès..qu’est ce tu veux qu’il pousse au kolkoz avec des minus pareil..
« Et puis d’abord, trop jeune, c’est pas un défaut ! »
JC
En retraite et toujours jeune.
Pas belle la vie.
(Je vous trouve assez cavaliers avec notre doyenne DHH, digne de notre respect à tous. Mais les critiques, souvent inélégantes, sont sans doute destinées à lui conserver sa jeunesse d’esprit, ce qu’elle démontre constamment avec indulgence…)
Même aujourd’hui, les plus faibles ne son t pas acceptés au lycée. On raconte souvent n’importe quoi sur l’Ecole de la République, surtout ici. Mais c’est encore DHH qui a raison. Sous prétexte d’égalitarisme, l’Ecole de la République est devenue hyperélitiste. Seuls y peuvent réussir ceux qui sont nés avec une petite cuiller en or dans la bouche, des parents financièrement sans difficultés et cultivés. Même dans les beaux quartiers où j’enseigne depuis maintenant quelques bonnes années, la différence entre les parents cultivés qui savent s’occuper de leurs enfants et les autres se fait cruellement sentir. Leurs destins est déjà tout tracés, il ne faut pas se faire d’illusion. L’Ecole rend plus forts les forts et plus faibles les faibles qui ne font rien pour réussir à l’Ecole qui ne leur lance plus aucun défi. L’Ecole au contraire les flatte, les conforte dans leur bêtise sinon ne les y encourage. La sélection se fait insidieusement comme un couperet qui tombe venu de nulle part, d’abord dans le passage entre le collège et le lycée, où il y a déjà un sérieux écrémage — et ce n’est pas parce qu’on passe dans un lycée qu’on est sûr ni d’y rester ni d’être à la hauteur même si on décroche un bac (il y a lycée et lycée selon la bonne hypocrisie française qui ne dit jamais les choses comme elles sont…), ensuite un second écrémage juste après le bac pour ceux qui passent en classe prépa et les autres, enfin un dernier pour ceux qui peuvent suivre à l’université et les autres (une hécatombe en fin de première année (ce qu’on ne dit jamais) avec nos 80% d’une classe d’âge qui sont prétendument capables de décrocher le bac, sans compter les magouilles des statistiques et les trafics de notes par la haute administration via les jurys d’examens pour remonter les notes afin de ne pas faire mentir le ministre toujours prêt à éjecter en cas de réalité au bac révélée… C’est un jeu de dupe connu par tous, caché sous le boisseau par tous pour tous, bref c’est la France moisie…
L’Ecole est devenu une machine à décerveler les cerveaux, une fabrique de crétins. Mis à part les brillants élèves qui se débrouillent de mieux en mieux, les autres suivent, passent de classe en classe sans rien comprendre ni dans les matières scientifiques, en maths notamment, ni en français : la subtilité ironique de Voltaire leur est devenue totalement hermétique, les discussions politiques et philosophiques qu’on peut engager à partir des textes de Diderot ne concernent qu’une petite élite capable de ne pas absorber comme des moutons ce qu’ils lisent.
À part ça, bilan de l’Ecole globalement positif, comme disait l’autre…! On voyage beaucoup à l’Ecole de la République, qui tend à devenir un club med bis pour cerveau en passe de devenir une valise. Sans compter les cours pour apprendre à bien manger sans devenir obèse, les cours pour apprendre à bien conduire pour ne pas rapidement finir au cimetière, les cours pour ne pas se faire chiper son gros blouson de cuir ou son ipad à 800 € au sortir du collège, bientôt des cours pour apprendre à respecter ses parents, ses professeurs et ses petits camarades…
Barozzi, qu’est ce que tu fais vieille France !
(…moisie, ajouterait l’ami ML)
@jacques barozzi
merci!
sont sans doute destinées à lui conserver sa jeunesse d’esprit
comme quoi l’esprit est quelquefois de trop..pour tout a fait faire le chevalier servant propre sur lui baroz
ceux qui ont oublié que P.Assouline déjà écrit un billet sur Lahire (le lien pour tous) sont des impuissants de la mémoire, du style, et de la pensée . il sn convaincront surement pas judith , ni moi de leurs talents . Ceux de judith n’ont guère éclairé ce blog: on peut peut-être le lui dire .
Pyramide,
Il faut s’arrêter de travailler le plus tôt possible, surtout pour d’autres.
15h49
Le faux-cul est de retour.
Et une Europe qui se couche devant le nouveau fascisme :
Lire l’Islam radical est une arme de destruction massive de Guy Millière est un vrai tonique. Il vous donne la force de continuer… d’avancer dans l’espoir que le vrai triomphera du faux. Que la pensée perverse reconnaîtra ses erreurs, que Satan ne conduit pas le bal.
Guy Millière a un grand talent. Le lire c’est se familiariser avec les belles qualités de l’esprit français : clarté de l’analyse, simplicité du style, équilibre de la phrase, justesse du ton. Ces qualités, Guy Millière les applique dans son combat spirituel contre les politiques criminelles dissimulées dans les atours de l’humanitaire, cette grande gabegie de la finance politique détournée de ses bonnes intentions originelles.
Les nombreux livres de Guy Millière nous apportent toujours quantités d’informations, d’analyses ponctuelles et toujours exactes. Ce livre ne décevra pas. Un souffle prophétique anime cette courte compilation de réflexions notées au fil des événements. Car, pour Millière, les événements ne sont pas des accidents fortuits, mais le langage d’une causalité qui projette l’avenir. Gare à l’étourdi qui se laisserait piéger par la superficialité journalistique car il serait inéluctablement broyé par les forces qui meuvent les temps.
Dans son introduction, Millière annonce la profonde et rapide mutation du monde – une mutation portée par la houle d’une mondialisation en accélération. Le livre explore dans trois chapitres classés par thèmes, ses causes et ses conséquences.
Le premier chapitre est consacré à ce que l’auteur appelle des définitions. Car il est évident que l’organe de la pensée ne peut appréhender et comprendre un problème que s’il dispose d’outils adéquats, c’est-à-dire des mots clairs. Or c’est précisément la démarche inverse que nous impose la toute-puissance du politiquement correct. Victimes de mots biaisés et du décalage entre discours et réalité, nous nous débattons dans une confusion sciemment entretenue. Or Millière ne craint pas les mots et donne de bonnes définitions.
Millière affirme avec raison que les printemps arabes n’ont apporté qu’un hiver islamique qui s’installe pour durer. Cela était prévisible car les conditions dans le monde musulman ne laissaient guère présager l’instauration d’institutions démocratiques garantissant l’égalité, la sécurité légale et un certain degré de liberté pour tous. Ce chaos outre-Méditerranée surgi des profondeurs d’un tribalisme fanatique se répercutera en Europe par des vagues d’immigration et des agressions djihadistes.
Les dirigeants occidentaux, EU et Amérique, y prêtèrent la main, jouant les apprentis sorciers. Prisonniers du déni et de l’inversion du sens, ils laissèrent la machine s’emballer et facilitèrent l’émergence d’un pouvoir transnational des Frères Musulmans. Ils aidèrent ce mouvement « modéré » à monopoliser le pouvoir, s’en remettant, pour la sécurité de leur pays, à « une soumission préventive », selon l’expression de l’auteur. Autrement dit, par le recours à la bonne vieille dhimmitude qu’ils connaissent bien.
Ce que l’on appelle aujourd’hui ‘le déclin de l’Europe’ résulte de la politique du triumvirat Prodi-Solana-Patten aux commandes de l’Union européenne et appliquant au pas de charge le programme d’union fusionnelle des deux rives de la Méditerranée, et exposé dans le texte de base de la Fondation Anna Lindh.
La perversion du sens des mots sape la résistance de l’Europe
Les impôts de la glèbe européenne pourvurent aux milliards consacrés à la promotion du juste djihadisme palestinien et à la délégitimation d’Israël, prologue à celle des nations européennes. Ils financèrent la réécriture de l’histoire, l’inversion des valeurs pour infuser les principes de justice djihadiste et cimenter la solidarité Nord-Sud par le conditionnement des peuples européens à la dhimmitude. Ce dessein conçu, élaboré, planifié dès les années 1960 s’est enfin réalisé aujourd’hui et le sera encore plus demain. Des générations s’y sont consacrées, vantant cette union méditerranéenne comme le grand projet du siècle, le fondement de la sécurité européenne grâce à son enracinement dans les critères djihadistes du bien, de la paix et de la justice dont elles se firent les hérauts dans toutes les arènes. L’inversion du sens entre agressé et agresseur fit de la résistance d’Israël agressé dans sa patrie historique l’agresseur des djihadistes. C’est cette perversion du sens des mots qui sapent la résistance de l’Europe.
La sélection se fait insidieusement comme un couperet qui tombe venu de nulle part
..des tas de gars avant newton avait découvert la gravitation..mais voilà l’école ne les pas retenu..encore un coup de kabloom
..le coup du père françois évidemment
P.Assouline a déjà écrit .
J’en ai assez de la classe pour aujourd’hui !
je m’émancipe ,
Sérieusement, il n’est pas acceptable de continuer à aider les printemps arabes, tunisiens, lybien, égyptiens, ou syriens : pure perte de temps, d’argent, d’identité européenne … ! Aucune intervention souhaitable de pays tiers.
Comme les rebelles de toute façon ont utilisé du gaz sarin, ils se sont d’eux-mêmes coupés l’herbe sous le pied ! Sont condamnés à s’autodétruire, comme dans Mission impossible… Voilà comment finira Mahomet !
LML 15h51
Beau représentant de cette France moisie qu’il appelle de ses voeux.
Petit discours mariniste du plus bel effet.
Bravo Mimi.
Comme dirait JC, vivement la retraite dit: 6 mai 2013 à 16 h 08 min
Pauvre discours d’ignare, d’hypocrite et de Jean Foutre !
16:08 Je ne trouve rien d’anormal aux réflexions fort juste de notre Mauvaise Langue : il a juste parfois l’insulte trop fusante, mais c’est ainsi … Qui s’en offusque manque de sérenité !
LML,
comme je ne connais pas ce Millière je suis allé voir sur wiki.
J’avoue n’avoir lu qu’une phrase qui se termine par :
« Il adopte dans ses écrits des positions atlantistes, libérales, néoconservatrices et sionistes. »
Je crois que je vais m’abstenir.
Ha y a une espèce de canard mais il va couler…
« Ce dessein conçu, élaboré, planifié dès les années 1960 s’est enfin réalisé aujourd’hui et le sera encore plus demain, etc. »
Il serait utile d’indiquer, ML, que cette proposition n’est pas de vous mais de Bat Ye’or.
On a bien raison de se mobiliser contre l’islamisme, le totalitarisme du 21ème siècle, mais la pensée de cet auteur est (formellement) paranoïaque et fonctionne sur le mode du Post hoc ergo propter hoc.
…
…Non,…y a pas que cela,…
…
…comme un flair des grands crus aux parfums,…
…
…quelque chose,…lié à l’indépendance des états-unis,…La Fayette,…
…une mise au piloris de la résistance de la guerre de cent-ans,…
…c’était bien camoufler la révolution française par la » Perfide Albion « ,…
…un Azyncourt du théâtre des loges franc-maçon de nos marionnettes,…
…
…çà doit en faire encore, des lignées irréprochables aux quatre quartiers,…de la république,…
…
…my lady,…Ys Sir,…
…qu’est ce que je pêche aujourd’hui,…dans le ruisseau ou la marre,…esturgeons, maquereaux, truites,…
…Oui,…et quand, pourrais je vous voir dans mes filets,…Après,…
…Pêcher d’abord,…de haute-liesse,…ensuite le panier « tutti-frutti »,…
…
…Oui, votre bain se fait attendre,…bien sur que vous me méritez,…
…encore quelques » gay’s » diversions à peaufiner mon lapin,…et je suis à vous,…avec le beurre,…etc,…my lord’s,…
…Greenwitch c’est pas pour les cloches,…
…
…ces habitudes d’élites,…etc,…aux pieds ma panthère » rose « ,…Vert-Bio-( tout les partis avec ou sans parfums ),…
…etc,…
16h12
Serein
U,
pour avoir lu un de ses ouvrages, Eurabia, la nommée Bat Ye’or ne m’apparait pas plus parano ou stupide que les bisounours qui n’ont rien compris aux combats en cours et continuent de parler d’humanisme multiculti !…
« Les nombreux livres de Guy Millière nous apportent toujours quantités d’informations, d’analyses ponctuelles et toujours exactes. »
Toujours exactes?
C’est un spécialiste?
« Ce livre ne décevra pas. Un souffle prophétique anime cette courte compilation de réflexions notées au fil des événements. »
Hum, une « courte compilation » avec un « souffle prophétique »…
C’est pas pour les gogos?
Ne me dites pas que vous allez l’acheter!
Le feuilleter, à la rigueur…
c’est ue suggestion pour mauvaise langue : de même qu’il y a des jours sans ordi, peut-être mauvaise langue peut-il s’imposer un interdit (voir la photo) et s’interdire pendant deux ou trois billets la ritournelle avec le verbe moisir , ce qui ne peut que lui être très utile pour d’autres écritures qu’il met en oeuvre hors ce mur de ses lamentations , et avec d’autres interlocuteurs ?
bonnes aérations
…
…un halo sur ma boule de cristal,…
…Hèllo, le soleil brille,brille, brille,… Hèllo !,…
…
« Hum, une courte compilation avec un souffle prophétique » « …
On a bien acheté, en masse, les couillonnades à l’eau de rose de feu Hessel !!! Pourquoi pas l’autre ?….
» le recrutement des lycéees n’etait pas un recrutement de classe,pas plus de mon temps que plus tard » (rédigé par DHH)
Ce n’est pas sérieux, ce que vous dites là, DHH. Jusqu’à la fin des années soixante au moins, ce recrutement excluait largement les enfants des classes populaires (ouvriers et paysans, petits employés), non, évidemment, que de quelconques directives y incitassent, mais tout simplement par l’effet de la pesanteur sociale. Il faut se garder, dans ce domaine, des impressions personnelles dans une situation particulière. D’ailleurs, qu’en est-il encore aujourd’hui. Ce n’est pas parce que les L.E.P. ont droit aujourd’hui à l’appellation « lycées » qu’ils ne s’adressent pas avant tout aux classes populaires. Et vous connaissez comme moi les stratégies d’évitement qui permettent encore aujourd’hui de réserver pratiquement certains établissements et certaines classes aux enfants des classes moins défavorisées. Notre système d’ enseignement laïque a de grandes vertus, mais ses vertus égalitaristes me paraissent modestes.
C’est parfait : MOISI… je ne m’en lasse pas ! France moisie, l’expression est juste : il suffit d’aller voir ailleurs pour en être persuadé.
Lorsqu’on voit tant de conn*rds autour d’un pitre comme la Mélenche en retard de deux guerres !
@ML
ce que vous dites j’ai pu l’observer chez de « bons »eleves d’un lycée d’aujourd’hui que je rencontrais tous les mercredis apres-midi.
il etait desolant de reconnaître chez ces enfants intellectuellemnt doués l’absence de bases solides qui leur aurait assuré une reussite à la mesure de leurs capcités ;
que repondre à une fille intelligente qui en premiere ne connaît pas le sens du mot odieux et croit que quand Antigone dit à Creon qu’il est odieux c’est son attitude sacrilege (hostile à Dieu) qu’elle denonce.
ne sont-ils pas penalisé les eleves dont les profs au nom de la valeur egale de toutes les cultures et de tous les langages encouragent le laxisme SMS, et trouvent normal que sur les sacs poubelles installés au lycée et sur lesquels figure un slogan choisi par les eleves avec la benediction de l’administration ,ce slogan soit CETOIKICHOISI ?
« l’Islam radical est une arme de destruction massive » (ouvrage cité par LML)
Le sionisme radical ne l’est pas moins. D’ailleurs ils sont frères. Frères ennemis certes, mais frères au moins par la barbe. Un peu comme LML et Montandon sont l’envers et l’endroit d’une même médaille. Hi hi hi.
JC et LML main dans la main.
Les néocons en ordre de bataille.
Et alors le problème, c’est que le canard va prendre le sens interdit…
Jambrun, tu es sympathique mais il t’arrive de dire des conneries énormes : j’espère que tu les fais exprès. rassure nous, vite ! L’islam radical est infiniment plus meurtrier et impérialiste que le sionisme radical, crénom !
« Lorsqu’on voit tant de conn*rds autour d’un pitre comme la Mélenche en retard de deux guerres »
JC
Eh oui, mais dix fois plus autour de Frigide en retard de………..on ne compte plus.
@john brown
ce que vous dites de la selection sociale operée par le lycée vaut peut-etre pour les grands lycées de grande villes .
ce n’etait pas le cas de lycéees dans lesquels je suis passée ,à blois puis à chartres.
et même à Paris quand j’ai été nommée dans un lycée du quatorzieme arrondissement, à montparnasse ,la directrice en m’accueillant m’a expliqué que ,mises à part quelques filles d’artistes,l’essentiel de ses ouailles etait constitué par des enfants pour qui le bac representait une promotion sociale
Judith, ne vous en faites pas : les meilleurs sortiront du fumier E.N., les autres non ! C’est la vie !
(au sens des réalistes. Bien sûr, les autres, les humanistes, se tordent les mains de douleur devant tant d’injustice et envoyent leurs enfants dans un bon lycée …)
DHH , votre hitoire me fait penser à celle que rpporte Tobie Nathan, qui était à Cassis d’près le proramme , sur son blog* sur ce père qui voulait appeler son enfant « liberté- droit de l’homme », ce dont il a été empêché .
*page Mère père et manque
http://tobienathan.wordpress.com/
que je copie du blog :
C’est pourtant nier l’évidence. D’abord, il ne s’agit jamais de faire simplement un enfant, mais de fabriquer un petit américain, un petit français ou un petit malien… Sitôt que la femme est enceinte, voilà que tout le monde s’y intéresse. C’est un garçon ou c’est une fille ? Et qui est le père ? Et pourquoi tout le monde a-t-il voix au chapitre, sinon parce qu’il s’agit d’une question sociale qui concerne tout le monde.
à croire que je rate à tous les coups la première marche : le a
que rapporte
d’après le
oeeo 16:57,
Tout le monde n’a pas la chance d’avoir un père congolais….
bon t’en as une minus jicé..sur les petites iles y’a beaucoup de consanguins alcoliques..c’est pas de pot
les meilleurs sortiront du fumier E.N.
ma mère de ma mère comment ratrapper ce coup là..heu ..c’est sur eux que poussent les plus belles roses ddh
Et alors si l’alligator se ramène, à tous les coups ça va faire comme dans Pierre et le loup…
bon t’en as une minus jicé
Plus petite que zouzou ?
Boug, tu me sauves une mise déjà bien atteinte …. merci !
dis donc sergio dans créon y’a pas d’aligator odieux..et du coup on sait pas quoi te répondre..sinon que t’as du dépasser la première..et t’as coulé une bielle
Jambrun, tu es sympathique mais il t’arrive de dire des conneries énormes : j’espère que tu les fais exprès. rassure nous, vite ! L’islam radical est infiniment plus meurtrier et impérialiste que le sionisme radical, crénom ! (rédigé par JC)
J’avais écrit ça spécialement à l’intention de LML mais il n’a même pas réagi. Si même les provocs à deux balles font long feu, où va-t-on ? Et puis merdre ! si c’est comme ça, je m’en vas commenter chez Popaul Edel.
» J’avais écrit ça spécialement à l’intention de LML mais il n’a même pas réagi. » (rédigé par mézigue)
A moins que le parallèle LML/ Montandon ne lui soit resté en travers. Je n’y crois pas trop, mais qui sait. La bête semble avoir le cuir résistant. Au fait, à part les bordées d’injures habituelles, il s’est abstenu de me répondre sur le fond. Et si j’en remettais une couche, pour voir ?
jean marron c’est un soldieur of fortune comme bob..
JB,
N’y va pas ! Chez Paul, c’est du lourd : il parle même de livres qui ne sont pas traduits en bon françois !
bouguereau dit: 6 mai 2013 à 17 h 18 min
y’a pas d’aligator odieux
Oui mais si je mets un loup, je sais pas trop mais ça doit pas savoir nager, les loups, en tous cas en apnée, donc il va se prendre le sens interdit et du coup il pourra pas avaler le canard…
» quand Antigone dit à Creon qu’il est odieux c’est son attitude sacrilege (hostile à Dieu) qu’elle denonce. » (rédigé par DHH)
Mais il a pu lui paraître odieux aussi à cause de ça.
Voir aussi le vers célèbre (« Athalie », III, 5):
» Ô mon Dieu, ô mon Dieu, ô combien c’est odieux ! »
Je vous signale aussi que la graphie CETOIKICHOISI aurait été jugée normale et saine par notre maître à tous, Raymond Q. (tiens, ça me rappelle cette dame de la meilleure société, outrée parce que les profs de sa fille, inscrite en DEUG de lettres, lui faisaient étudier « Les Fleurs bleues » : « Vous vous rendez compte, mon cher Monsieur, me disait-elle, aller dénicher ce Raymond Kénô (elle prononçait comme ça), alors que notre littérature ne manque pas d’auteurs connus et recommandables ». Je crois qu’elle avait cité Claude Farrère et René Bazin. J’avais lâchement (quoique discrètement) opiné, évitant de lui faire remarquer que si sa fille regimbait à étudier Kénô, elle ferait peut-être mieux de renoncer à des études de lettres (vu le mauvais goût de tant de professeurs de nos jours); il est vrai qu’elle me payait (grassement) pour rattraper le coup à fifille qui, en grec, se tapait « Lysistrata ». Mamine ! Je dus m’évertuer, avec une virtuosité qui, avec le recul du temps,me semble proprement surnaturelle, à désamorcer les vannes les moins sortables, pour les rendre inoffensives à ses oreilles virginales et catholiques.
@jB
sauf que DOUKIPUDONTAN ,qui ressemble à cetoikichoisi,c’est une sorte de second degre.
quant à lysistrata la traduction Budé d’autrefois respectait la chasteté des oreilles virginales.
quand lysistrata harangue ses cpompagnes elle leur fait jurer de « s’abstenir du membre »
Odieux, odieux… Oderint dum timeant épicétou…
sauf que DOUKIPUDONTAN ,qui ressemble à cetoikichoisi,c’est une sorte de second degre.
quant à lysistrata la traduction Budé d’autrefois respectait la chasteté des oreilles virginales.
quand lysistrata harangue ses cpompagnes elle leur fait jurer de « s’abstenir du membre »
DHH
Euh, « etoikichoisi » c’est peut-être comme « s’abstenir du membre », du second degré.
Faut pas croire, sont pas tous cons ces jeunots.
…
…je dirais même plus, c’est trop facile,…de dire j’ai fait l’E.N.A.,…et Saumur,…
…
…chacun peut avoir une limite au savoir près du génie,…et voir passer des bronzes,…
…
…d’autant que faire toute ses « écoles »,…
…auprès de ses maîtres, en son château,…question de distanciation sans plus,…
…un snobisme privé tout au plus,…
…l’école avec ses classes particulières,…pour ses biens-fondés pas encore fondues,…
…la voiture du châtelain est avancée,…Oui,…il suis des cours par sosie,…( sécurité oblige ), t’a rien trouvé de mieux,…
…la folie des grandeurs,…il est l’or, de l’échafaud,…il est neuf heure,…l’échafaud,…Non c’est pas moi,…c’est l’autre,…Ou çà,…Oups, partis,…
…Alors là le coup de l’échafaud, vous me ferez vingt pompes tout les matins,…c’est dis,…etc,…
…
Sant’Angelo Giovanni dit: 6 mai 2013 à 18 h 30 min
Saumur,…
Saumur ça va encore, c’est après, à Verrie, que ça se corse… Faut faire comme Ferdine, rescalader son ours… Ou alors comme Portat des Oncelles avec sa pièce de monnaie…
@OEEO de nombreuses fois vous citez ce Tobie Nathan,, pour continuer d’être indiscrète et pour détendre l’ambiance trop à l’étude de ce blog à cette heure trente du jour, serait-ce que vous entreteniez un lien confusionnel avec cet homme que vous louez depuis quelques post une révélation sinon qui à manquer nous conduirait à passer à coté de l’essentiel?
ML, si vous faites un graphique, vous mettez la quantité de hauts diplomés en abscisse et l’état du monde en ordonnée vous verrez que l’état du monde empire de manière inversement proportionnelle au nombre de sur diplômés.
si l’école rendait les gens plus intelligents ça se saurait, depuis le temps.
quant aux livres : le fait de lire, lentement ou rapidement n’apporte absolument rien, à personne.
avez-vous tiré un bénéfice de vos lectures de romans ? si ou lequel ?
j’aimerais bien que quelqu’un me dise ce qu’il a déjà appris en lisant un roman.
je veux bien Monsieur Assouline aille chez Drouot pour faire des affaires avec le fils Simenon, c’est normal c’est son métier, il vit des livres, mais nous ML nous sommes des lecteurs ! des coeurs purs ! nous n’avons pas à nous raconter des histoires !
il n’y a que Finkielkrault qui s’imagine avoir appris des trésors dans les livres, il suffit de l’écouter parler deux minutes pour se convaincre de ufait qu’il se met le doigt dans l’oeil : « blablabla en lisant Kundera j’ai compris les méfaits du totalitarisme soviétique blablabla ».
je veux bie qu’on vive une époque où on aime bien prendre les gens pour des imbéciles mais il y a quand même une limite au ridicule.
sérieux ML vous êtes en train de vous ridiculer, etre Chaloux et son PQ et vous, vous nous faites une sacrée paire de nouilles.
sérieux nous sommes en train de sombrer dans le ridicule.
« quant aux livres : le fait de lire, lentement ou rapidement n’apporte absolument rien, à personne. » (rédigé par Hamlet)
On voit bien que vous n’avez pas essayé.
@berenice, il semble surtout que vous ne devriez lire un peu plus , et un peu plus lentement les billets : ici j’ai cité Tobie Nathan notamment parce qu’il était à Cassis aussi et parce son billet explicitait les questions en jeu à partir deson expérience personnelle .
sognez bien votre cher Titus et son alter ego et sa doublure dans votre peplum’story au lieu d’essayer de m’empoisonner .
je ne vous répondrai plus jamais.
et Si Tobie Nathan est votre problème, il a un blog,pour l’immédiat, et vous répondra s’il le juge bon .
« j’aimerais bien que quelqu’un me dise ce qu’il a déjà appris en lisant un roman. » (rédigé par Hamlet)
Fabuleux sujet de bac de français ! De quoi renouveler les vieilles condamnations façon Bossuet ( « ces froides et dangereuses fictions » ). J’ai appris… j’ai appris… que je n’avais rien appris : déjà ça de pris.
« L’homme est un dieu en ruines. »
…
« L’homme est le nain de lui-même. »
Je confirme ce que vous dites, DHH : le nivellement par le bas tend à rendre idiot même nos meilleurs élèves. C’est affligeant mais on en est là.
Les coupables, c’est toute la clique des JB, des u. à hue et à dia… Tous des Jean Foutre, de prétendus démocrates, en fait des pourvoyeurs de mensonges politiques et de médiocrité intellectuelle. Les mêmes imbéciles patentés que dans les années 30, la même rage pour flatter la connerie humaine, histoire de se sentir supérieur. Bref, des pauvres types, les éternels floués de l’histoire qui traversent la vie sans jamais rien y comprendre. Des bœufs.
Ben si faut lire Orsenna, on apprend des trucs sur le Gulf-Stream…
Hamlet lire colore l’esprit affine la sensibilité offre la possibilité de réaliser un voyage aux destinations aléatoires et force est de constater que le bénéfice varie d’un lecteur à l’autre sans envisager les niveaux de lecture propres à chacun, l’effet varie sinon il suffirait pour uniformiser la pensée de proposer les mêmes livres à tous pour en faire un troupeau docile et malléable ou opter pour un heureux les simples d’esprit et commencer d’abêtir l’ensemble
soignez bien
1) je n’entreteins aucun lien passionné avec l’oeuvre de Tobie Nathan, ni avec sa personne , et encore moins confusionnel .
bérénice, je n’ai pas l’obsession des psys des gens de ce blog .
bérénice, mettez donc un petit canrd en plastic dans votre bain,vous vous sentirez beaucoup mieux
» On les doit à Clet Abraham, un artiste qui vit à Florence quand il ne parcourt pas l’Europe à la recherche de ses proies, des panneaux propres et visibles où exercer son art. Et qui signe simplement « Clet », son vrai prénom, porté par quelques hommes seulement, principalement à l’extrême ouest de la Bretagne et en particulier sur l’île de Sein (Finistère).
http://transports.blog.lemonde.fr/files/2013/05/Clet-13-300×300.jpg
http://transports.blog.lemonde.fr/2013/05/02/cet-artiste-qui-detourne-les-panneaux-de-signalisation/
« À un moment de notre histoire tout le monde aura son doctorat,
et si par malheur un philosophe, dégoûté par la dégradation de la connaissance, se déclarerait analphabète, on le poursuivrait en justice. »
Ennio Flaiano
« Tous des Jean Foutre, de prétendus démocrates, en fait des pourvoyeurs de mensonges politiques et de médiocrité intellectuelle. »
Pas que de l’autre côté ce soit mieux. En tout cas la question n’est pas ce que l’école fait, mais ce que l’individu fait. Tout le reste ce ne sont que des excuses…
et un spécial traces de sorcellerie
http://wizza.fr/wp-content/uploads/2011/08/panneaux_signalisation_street_art_2.jpg
C’est un comble, ce système, il met en modération pour une citation avec lien du mondeen écho au blog et qui aurait du revenir dix fois à ‘esprit des commentateurs avant que je les relance sur leur permis de naviguer !
ce soir ils vont vivre le grand nouage d’aiguillettes bien fait !
oeeo très intéressant! une de mes collègues m’accusa récemment d’avoir le diable aux trousses ce à quoi je répondis que je préférerais cela à cette solitude ennuyeuse,d’où tenez-vous ce cliché que je visite la rue dans l’espoir d’y rencontrer une entité correspondante?
que je sache, je mets les sources et les liens : en voici encore un pour les suppléments d’âme
http://wizza.fr/wp-content/uploads/2011/08/panneaux_signalisation_street_art_2.jpg
« Les coupables, c’est toute la clique des JB, des u. à hue et à dia… Tous des Jean Foutre, de prétendus démocrates,(etc.) (rédigé par LML)
Fielleux, hargneux, rogneux, c’est bien ce que je disais : Montandon redivivus !
« Les coupables, c’est toute la clique des JB, des u. à hue et à dia… Tous des Jean Foutre, de prétendus démocrates, en fait des pourvoyeurs de mensonges politiques et de médiocrité intellectuelle. Les mêmes imbéciles patentés que dans les années 30, la même rage pour flatter la connerie humaine, histoire de se sentir supérieur. Bref, des pauvres types, les éternels floués de l’histoire qui traversent la vie sans jamais rien y comprendre. Des bœufs. » (rédigé par LML)
Si ce type avait le centième du millionnième du talent d’un Léon Bloy pour l’invective, mais non: ce sont les mêmes sempiternelles injures grossières, sans l’ombre d’une ombre d’imagination. Triste sire, vraiment.
Même pas fielleux. Simplement objectif !
Vous êtes tellement niais, mon pauvre JB ! Quel dialogue prétendez-vous entretenir avec toutes vos ballivernes que vous nous déversez sur la gueule à longueur de journée ? Vous croyez que c’est drôle de lire toutes vos inepties, et quel sérieux est le vôtre en plus pour nous les gratifier ! Devriez aller faire une cure de silence à la Trappe, on s’ennuierait moins. Votre connerie, ça finit par encombrer.
c’est vrai qu’il y a maintenant des cours de nouage d’aiguillette ?qui les assure ?
parce qu’avant de s’inscrire , il faut quelques garanties ?
et il y a un diplome , avec invitations à faire des performances à des colloques ?là, ça vaut le coup !
Alors là le coup de l’échafaud
Bon ben si les ascenseurs sont eux aussi atteints par l’esprit d’escalier il y a assurément là de quoi provoquer quelques filous cahots
Hamlet, c’est pas la moitié d’un c.., ce serait plutôt un autobus bien rempli, voire les embouteillages à 6 H du soir. Grandiose.
oeeo dit: 6 mai 2013 à 20 h 02 min
c’est vrai qu’il y a maintenant des cours de nouage d’aiguillette ?qui les assure ?
parce qu’avant de s’inscrire , il faut quelques garanties ?
et il y a un diplome , avec invitations à faire des performances à des colloques ?là, ça vaut le coup !
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Ne plaisantez pas avec ce genre de chose. Vous n’avez aucune idée des force que cela fait intervenir, ni des tenants, ni des aboutissants.
ah bon ? devant une scène représentant un individu, assis sur son fauteuil, écoutant les sonates de Scarlatti en lisant un roman…
et à côté un chat, roulé en boule sous un rayon de soleil..
vous en déduisez la supériorité de l’homme sur l’animal.
n’importe quel être humain ayant un minimum conscience de son existence échangerait sa place conntre celle de son chat, lui filer son fauteuil et son roman et se rouler en boule sur le canapé à place.
quant aux voyages ils ne sont qu’une succession fatigante de paysages dont on n’en voit jmais le bout.
Hamlet, ce que vous écrivez ne prouve qu’une chose: vous ne savez pas vivre. Vous, on en voit très vite le bout. LA FERME !
ne resterait que Scarlatti, qu’est-ce qui vous gene tant dans l’accès au langage des hommes? La musique étant celui des Dieux
demander chez Grasset : si la philosophie est à la mode elle ne le doit pas à ce qu’elle est mais au fait que son mécanisme est tout à fait adapté aux lois capaitalistes de l’offre et de la demande : pour un qui connait les rectettes du bonheur on en a 300 mille qui ne savent et qui sont prêts à acheter le livre pour l’apprendre.
le gros avantage est comme ces 300 mille, après avoir lu le livre n’ont toujours pas compris, ils sont prêt à en racheter un autre.
c’est la loi fondamentale de la philosophie : celui qui sait continue de savoir et ceux qui ne savent ne sauront jamais et de ce fait resteront toujours des clients potentiels de Grasset.
le pire qui pourrait arriver pour un éditeur comme Grasset c’est qu’un philosophe écrive un livre compréhensible par tous.
qu’ils se rassurent ce n’est pas demai la veille que ça arrivera la philosphie restera longtemps la poule aux oeufs d’or de l’édition.
d’ailleurs ¨Platon, est un peu le père de la publicité et de l’image de marque, avait toutes les raisons de méfier des livres : le livre est la porte ouverte aux sophistes ! clamait-il à qui voulait l’entendre.
Platon, par bonheur, n’aura pas su la quantité phénomélnale de bouquins écrits par des platoniciens.
Chaloux dit: 6 mai 2013 à 20 h 09 min
Chouette Chachal est là.
Deux pédants pour le prix d’un, belle soirée en perspective.
Bon, Mimi parfois il est drôle, l’autre il n’est qu’affligeant, baudruche proche de l’explosion.
« Platon, est un peu le père de la publicité et de l’image de marque, avait toutes les raisons de méfier des livres… »
C’est dans le Phèdre ? Oui, c’est dans le Phèdre que, par un bref apologue, Socrate conteste à Thot l’importance de l’écriture et se prononce en faveur de la transmission orale. Bref, le médicament que Thot a inventé est un désastre pour la mémoire.
Ne plaisantez pas avec ce genre de chose.
est-ce que j’ai l’air de quelqu’un qui plaisante avec le genre, moi ? avec les énigmes? et sur un blog sérieux qui plus est , et même le plus sérieux, avec plein de philosophie , de servantes et savantes thraces?
vous voulez rire !
le langage ? je crois que c’est Foucault, grand platonicien, qui raconte dans les mots et les choses comment le langage remplace dans les livres la présence des hommes. Il parle de Nietzsche : la mort de l’homme s’est faite avec la mort de Dieu dans la mesure où les deux étaient intimement liés, après cet évènement la langage est devenu objet de sciences sérieuses : la philosophie du langage, Foucoualt parle de Wittgenstein, Russell… une véritable révolution.
le langage est un truc hyper intéressant à connaitre, il faut passer par là pour faire blablater les machines entre elles.
les informaticiens aiment bien les métaphores poétique : le cloud computing, les quebecois dient l’infonuagique, avec leur accent…
ni des tenants, ni des aboutissants
dédé..tu parles toujours comme si tu tenais un bon kilo de braquemart..mettons..mais..c’est bien l’tien au moins?
tu rfoules du goulot keupu
Ben si faut lire Orsenna, on apprend des trucs sur le Gulf-Stream…
on dit pas l’gulf stream dans les bistrots ou on sert de la trappiss..on dit le grand convoyeur chrétien de stricte obédience..parfaitment
Moi je préfère de loin Chaloux, beaucoup moins délirant. De la confiture aux cochons.
Chaloux en nuit de mais se préfère.. il faut rire ou pleurer?
Je ne suis pas l’auteur de ce qui a été posté ce soir. Je suis parti. Marre de discuter avec des crétins.
Je suis parti. Marre de discuter avec des crétins. (Chaloux)
Nous voilà débarrassés d’un imbecile.
Mais pas du gros con qui ne signe pas ces lignes… Ô monde imparfait.
Oeeo, ce nouage d’aiguillettes, je l’ai vu en train de se faire sur le maxi trimaran sodebo, au mouillage, il y a une dizaine de jours.
Un travail d’orfèvre que celui de ce travailleur de la mer à l’oeuvre. Et le regarder, ce sorcier, ce fut un peu l’hypnose.
Cette photo de JP BM ne représente pas bien la Bretagne; un marais oublié?
une énigme comme ça ? non merci.
Pour vous Oeeo, sans interdit :
http://www.trekearth.com/gallery/Polka/photo1402183.htm
Pour les menhirs, adressez-vous à Eugène, enfin son fantôme. Il habite Carnac, et les connait comme personne.
Vous êtes tellement niais, mon pauvre LML ! Quel dialogue prétendez-vous entretenir avec toutes vos ballivernes que vous nous déversez sur la gueule à longueur de journée ? Vous croyez que c’est drôle de lire toutes vos inepties, et quel sérieux est le vôtre en plus pour nous les gratifier ! Devriez aller faire une cure de silence à la Trappe, on s’ennuierait moins. Votre connerie, ça finit par encombrer.
Rappelons à LML/Montandon, le célèbre mais malheureux auteur de « Comment reconnaître l’essence du Juif en vingt clichés », que « ballivernes » ne prend qu’un seul « l ». Et brouillé avec l’orthographe, en plus du reste.
« Bref, le médicament que Thot a inventé est un désastre pour la mémoire. » (rédigé par renato)
Le peu que nous sommes capables de retenir de tout ce que nous avons lu en serait une preuve. Mais sommes-nous capables de retenir beaucoup plus de ce que nous avons entendu de vive voix ?
des journées entières dans les arbres
très beau et le fantôme qui guette le sorcier ah mais oui !vous avez raison !
Je crois avoir montré comment, en prétendant définir l’essence du Juif ( « Les Juifs se pensent universels » ) La Mauvaise Langue ne fait que décalquer le mode de pensée (si on peut parler de pensée) qui servit au docteur Montandon pour définir le Juif en déclinant les éléments de son essence (essence complètement fantasmatique, au demeurant) dans son ouvrage , « Comment reconnaître le Juif ». Cette démarche « intellectuelle », on le sait, est typique de l’antisémitisme à toutes les époques. Du point de vue du mécanisme mental, je suis donc fondé à poser l’équivalence : Montandon = La Mauvaise Langue. Elle peut paraître surprenante à certains mais elle repose sur une identité logique imparable ( La Mauvaise Langue a d’ailleurs été incapable de la contrer par des arguments logiques).
Partant de là, si l’on applique à La Mauvaise Langue/Montandon le principe du jeu proposé par Pierre Bayard dans « Aurais-je été résistant ou bourreau ? », on peut se demander dans quel camp, et, plus précisément, dans quel groupe, La Mauvaise Langue/Montandon se serait retrouvé si les dieux lui avaient fait la farce de le faire naître vers 1920 : dans celui des Einsatzgruppen ?
un entrtein du benandante CG. maintenant que la nuit s’installe
http://www.laviedesidees.fr/Les-contraintes-invisibles.html
Oeeo,
merci pour le lien sur Carlo Ginszourg, car celui donné dans » le billet » est tout simplement: illisible. A’Rin compris.
Voir:
http://www.fabula.org/actualites/mimesis-d-auerbach_3316.php
Mais, mais.
En lisant cela:
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/ahess_0395-2649_1995_num_50_1_279357_t1_0183_0000_000
me semble qu’il y a comme des trucs pas clairs dans la méthode de CG.
nozvezh vat !
Le problème du sens interdit c’est qu’on peut pas le laisser comme ça entorché au milieu du marais du Pripet, sinon forcément il va rouiller immédiatement…
…
…le plus drôle,…s’il en est,…peut-être dues aux » conditions sociales » existantes après l’ère dite » des barbares de tout poils « ,…depuis 2000, 3000, ans,…
…
…les filles à papa,…je l’aime,…Oui,…il en a combien,…mais ce qu’il est beau,…
…ma fille vous m’écoeuré,…relisé votre L’Arétin,…votre Pippa et votre Nanna,…vous êtes les pilastres de ma fortunes,…des chiens tous des chiens,…
…
…il n’y de raison que dans les bourses sonnantes et trébuchantes,…
…
…c’est çà,…et engendrer la mondialisation des bourses de gauche à droite,…
…achète toi une autre fille pour tes desseins cupides,…je t’ai déjà acheter,…
…Bon, je te rachète ma liberté à crédit,…mon faux-père,…
…
…tiens,…voilà un sujet de roman à Céline, sans ’40 – 45 ‘,…et sans » juifs « ,…
…ne peux tu allez à ta guise de l’un à l’autre,…avec ta soeur jumelle,…en prendre des maris aveuglés d’affaires,…Oh,…
…tout doux,…nous somme pas à Venise partout,…Vingt-Dieux,…etc,…et libre-court,…
…
…mon argent, le fruit de notre amour,…
…et le travail pour un trou de cul,..quelle misère, mon Dieu,…s’il en reste,…
…etc,…Stop ou encore,…
…
—— La Vire sinue sous d’autres pénombres
Tremblant à naître par les sentes luisantes
Tandis que le lutin aîné, revenant rejeté,
Se coule en ruine.
Non me ingraziare.
La partie continue.
…
…ton argent, et ta peau en couverture,…biche Ô ma boche,…déjà au Stalag 13,…
…ces filles des cavernes,…la pêche la main au maquereau,…Ah,…Ah,…
…etc,…rien de nouveau sous le ciel,…
… » comè prima « , Domenico Modugno,…’58’,…etc,…
…
« les éternels floués de l’histoire qui traversent la vie sans jamais rien y comprendre. Des bœufs. »
Ce n’est pas tout à fait exact, on castre les boeufs depuis le néolithique.
Nous sommes des êtres de culture et d’histoire, capables d’accroître la production, la rentabilité et la sécurité, l’imaginaire aussi.
En revanche, nous avons observé avec pitié la déchéance de nos voisins humains.
Selon M. Demoule, qui s’y connaît, lorsque les humains nous foutaient la paix en s’adonnant à la chasse et la cueillette, ils étaient plus beaux et plus forts qu’après avoir chaussé les pantoufles de l’agriculture et de l’élevage.
Des analyses de squelettes montrent des chasseurs-cueilleurs en moyenne plus grands et en meilleure santé que les agriculteurs sur des territoires partagés : au IVe millénaire avant notre ère, en Grèce et en Turquie, les nomades mâles mesurent en moyenne 1,78 m, les sédentaires 1,60 m.
Avoir toléré aussi longtemps de tels rachetoques à nos côtés, c’est encore une preuve de notre bonté.
Syrie : Fabius pour une solution politique après les raids israéliens
Le chef de la diplomatie française Laurent Fabius a plaidé lundi pour « une solution politique » dans le conflit syrien, après l’utilisation probable d’armes chimiques par les forces du président Assad et les deux raids israéliens en Syrie. « La situation en Syrie est une véritable tragédie », qui gagne les pays voisins, tels que la Jordanie ou le Liban, a déclaré le ministre des Affaires étrangères en visite à Hong Kong. « Il ne s’agit plus simplement d’un drame local, mais régional », a-t-il ajouté. « Nous pouvons comprendre (Israël) mais c’est un risque », a déclaré M. Fabius, car « si le conflit s’étend aux pays voisins, c’est un tournant dans la nature de ce conflit ».
…
…tout est possible avec des Si,…si nous serions intelligent de même niveau,…Si,…Non,…
…y aurait quelle évolution,…Atlantide,…
…quel chemin d’évolution choisir,…par quels critères objectifs universels,…
…avant d’autres météorites,…ou plus,…etc,…bonne soirée,…
…
Dans une supplique parue dans « Le Monde » datée du 25 avril, en particulier à l’adresse de Catherine Ashton, Haut Représentant de l’Union Européenne pour les Affaires Etrangères, un collectif « d’éminentes personnalités européennes » demande la relance du processus de paix israélo-palestinien.
Réponse aux éminentes personalités europééennes
Démarche respectable si elle n’était accompagnée de commentaires douteux et inexacts laissant entendre que le conflit israélo-palestinien serait le conflit central du Proche-Orient.
A bien entendre, l’Etat d’Israël serait le principal responsable « d’une situation intenable avec l’expansion de colonies y compris Jérusalem et l’emprise israélienne sur les territoires occupés, en violation du droit international… ».
Curieusement, aucune allusion n’est faite aux actions terroristes du Hamas !
Curieusement, sont passés sous silence les nombreux conflits, combien plus dangereux pour la paix du monde : menace iranienne, situatiion explosive en Tunisie et en Egypte, drame en Syrie avec ses 100.000 morts, chaos en Irak où chiites et sunites continuent de s’entretuer, sans oublier le continent africain avec des centaines de milliers de victimes !
Au comble de l’exagération, ces éminentes personnalités poursuivent leur supplique en affirmant que « les générations à venir ne nous pardonneront pas d’avoir laissé le conflit s’enliser et surtout de n’avoir pris aucune sanction contre le déni du peuple palestinien à l’autodétermination ».
Il est important de rappeler que le droit international dans cette région prend comme référence les frontières de 1967.
Or ces frontières de 1967 sont un mythe que les palestiniens tentent de transformer en vérité universelle.
Ces frontières de 1967 n’ont aucun fondement juridique.
Le terme de ligne de 1967 fait référence à la ligne à partir de laquelle les forces israéliennes ont évolué au début des hostilités lorsque la guerre des 6 jours a éclaté en juin 1967.
Les accords de Rhodes en 1949 entre Israël et les Etats Arabes n’établirent pas de frontières mais des lignes d’armistice .
Tout au long des négociations, la série d’accords signés entre Israël et l’OLP réaffirme l’engagement des parties à négocier des frontières définitives.
Pour mémoire, souvent occultée, de 1948 à 1967, la Judée-Samarie (Cisjordanie) faisait partie de la Jordanie et la bande de Gaza appartenait à l’Egypte.
Les habitants de ces territoires n’ont jamais manifesté la moindre velléité d’indépendance et le monde arabe n’a jamais évoqué l’éventualité d’un Etat palestinien.
En revenant à nos éminentes personnalités parmi lesquelles figurent Lionel Jospin, Michel Rocard et l’inévitable Hubert Védrine, on reste confondu devant leur obsession palestinienne qui contribue, même s’ils s’en défendent, à la tentative de délégitimisation de l’Etat d’Israël.
Leur unique préoccupation c’est les palestiniens car nous disent-ils « il serait extrêmement périlleux de rester indifférent à un enjeu aussi explosif ».
Décidément, l’aveuglement de certains dirigeants européens n’a plus de limite.
Il ne fait aucun doute que leur attitude partiale et déséquilibrée disqualifie l’Union Européenne pour jouer le moindre rôle dans les négociations futures entre Israël et les palestiniens.
C’est dommage et tant pis pour l’Europe !
Roger Pinto/Président de SIONA
…
…chouette,…si tout le monde revendique son territoire 2000 après s’être refait une santé sous d’autres horizons,…
…allez Mrs les barbares, retourner tous chez vous,…les outre-mer,…et les outre-rhin,…
…Astérix,…Oui,…Jules,…enfin,…retrouvons nos moutons,…
…une petite rixe,…pour nous remettre en chaleur,…Ave Ceasar,…les morts te saluent,…
…toutes ces croix à la file indienne,…Oui,…
…quelle humanité Vert-Bio-écologique à Schtroumph de connivences,…
…etc,…qui joue les » perfides albion »s « ,…à la nouvelle » ère « ,…Ah,…Ah,…
…etc,…un tableau,…de merde,…tu pige,…
…
Hélas, Mauvaise Langue, j’éprouve toujours pour vous beaucoup de sympathie, croyez-le, mais vous égarez constamment dans de médiocres lectures.
Vous êtes sensible en matière littéraire (bravo), mais dès que vous mettez le pied dans des terrains historiques ou philosophiques, vous êtes perdu comme un enfant.
Vous tombez dans tous les panneaux!
Qu’avez-vous besoin de ce M. Pinto? Ne pouvez-vous pas réfléchir par vous même? N’êtes-vous pas un peu gêné par ce simplisme d’idéologue sur des sujets aussi graves?
Le billet du jour est consacré à Mme Ozouf, une historienne remarquable qui unit le savoir, la finesse et le talent.
Mon conseil: lisez la!
Et laissez-donc le tout-venant, vous valez mieux.
Je vous souhaite une bonne nuit.
——— Spend the years of learning squandering
Courage for the years of wandering
Through a world politely turning
From the loutishnes of learning
——— Emploie les années d’instruction en dissipant
Le courage des années d’égarement
Dans un monde tournant poliment
En ridicule
(*)
La rugosité de l’enseignement.
*****
—— then there
then there
then thence
daffodils
again
march then
again
a far cry
again
for one
so little
—— Alors là
Puis là
Puis encore là
L’amaryllis
Encore
Puis juin
Encore
Un hurlement distant
Encore
Pour 1
6 petit
*****
—— Vire will wind in other shadows
unborn through the bright ways tremble
and the old mind ghost-forsaken
sink into its havoc
—— La Vire sinue sous d’autres pénombres
Tremblant à naître par les sentes luisantes
Tandis que l’esprit aîné, revenant rejeté,
Se coule jusqu’à sa ruine.
(* crédit hamlet)
annoncé par le monde , un mystère avec des histoires d’eau et de fleurs :
Selon la spécialiste des langues anciennes du Moyen-Orient, cette erreur historique tiendrait à une mauvaise et « absurde » traduction d’écrits babyloniens et assyriens faite dans les années 1920, ainsi qu’à des confusions dans des textes en grec ancien et de la Rome antique. Après avoir révélé sa théorie en 1992, elle s’apprête à publier une somme sur la question le 23 mai :
http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2013/05/06/plan-b-les-mythiques-jardins-suspendus-de-babylone-passeraient-a-lennemi/
« Qu’avez-vous besoin de ce M. Pinto? Ne pouvez-vous pas réfléchir par vous même? N’êtes-vous pas un peu gêné par ce simplisme d’idéologue sur des sujets aussi graves? » (rédigé par u.)
Le cerveau de LML est programmé pour produire des stéréotypes, et c’est très difficile pour lui de penser par lui-même. De façon symptomatique, dès qu’on lui demande un tel effort, il se répand en basses invectives, signe d’un intense stress neuronal. Son sionisme de bas de gamme figé en clichés grossiers semble révélateur d’un antisémitisme latent.
Je propose de nommer « syndrome de Montandon » le trouble mental spécifique dont souffre manifestement notre ami La Mauvaise Langue, et qui consiste à penser le contraire de ce qu’il dit et à dire le contraire de ce qu’il pense. Par exemple, les éloges qu’il dispense aux Juifs et à Israël recouvrent autant d’injures et de crachats. De même les invectives grossières lancées contre tel ou tel contributeur de ce blog, c’est à lui-même en réalité qu’il les adresse. On imagine sans peine à quel point une telle affection est douloureuse,et notre compassion lui est acquise. Il faut sauver le soldat La Mauvaise Langue, et malgré lui s’il le faut.
Des commentateurs de ce blog semblent trop affectés par les sorties et Mauvaise Langue : il ‘est pas le seul de ce blog à présenter une orthographe de la langue française assez débraillée pour un professeur (j’ai oublié de quelle discipline) qui se met en posture d’auteur( avec des femmes à lui dévouées !): d’où vient que le blog se sente par lui si menacé , allant jusqu’à e faire l’un des pôles de ses conversations, ce qu’il cherche et à quoi il réussit ?
Sas ul doute est-il révélateur , mais peut-être d’une question qui est trop difficile à formuler pour ceux qui, comme lui, plaquent des mots ready made dans la panoplie des critiques et théoriciens en sciences humaines
La fusée européenne Vega Misogyn a décollé dans la nuit du lundi 6 au mardi 7 mai depuis le Centre spatial guyanais (CSG) de Kourou pour mettre en orbite deux petits satellites d’observation de la Terre.
Les objets satellisés depuis la Guyane ont été baptisé respectivement Najat et Christiane ; nous souhaitons à ces petits satellites de tourner convenablement autour de notre planète, sans créer ni retombées, ni gros dégâts et de se faire oublier définitivement.
Toute la bassesse de l’épouvantable Brown ne réussira pas à salir Sa Sainteté Notre chère Mauvaise Langue.
Et puis d’abord, YWHW reconnaitra les siens ! et l’infâme Brown ira brûler en enfer, lui et ses comparses : Dieu le Père nous l’a promis lors d’une extase pascalienne nocturne dont nous avons le secret… ! Assez Brown ! Assez !
« Langue-monde ou “jargon de ghetto”, le yiddish est déclaré en péril par l’Unesco. »
Langue morte ?
Quid du latin et du grec ancien ?
Qui donnera quelques livres (pounds) pour rafistoler le divan de Freud ?
des sujets graves:
« L’expérience Alpha (Antihydrogen Laser Physics Apparatus), bien que destinée à la mise en évidence d’éventuelles différences entre la matière et l’antimatière, n’avait pas pour but de découvrir l’existence de l’antigravité. Elle vient pourtant de servir à poser de nouvelles bornes sur son existence, qui reste à démontrer. »
extesion des énigmes :
« Ainsi, les chercheurs ont pu réaliser des mesures concernant le rapport entre la masse inerte (positive) et la masse gravitationnelle (l’équivalent de la charge électrique pour la gravitation) des atomes d’antihydrogène. Ce rapport doit être de 1 si l’on reste dans le cadre de la physique standard, mais il pourrait être supérieur à 1 en valeur absolue et surtout négatif, si une antigravité existe. Pour le moment on sait qu’il est compris entre -65 et +110, ce qui ne permet pas de conclure.
Il n’en reste pas moins que l’on commence, enfin, à pouvoir réaliser des expériences susceptibles d’apporter des réponses au sujet de l’antigravité et ses rapports avec l’antimatière. Leur précision devrait augmenter dans les années à venir, et si la chance s’invite à la partie, qui sait ce qui sera découvert.
Si Lucian n’a pas tenu pour opportun de le sauver, pourquoi faudrait-il qu’un fabricant ou un marchand de meubles le fasse ?
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