Monsieur Girard n’est pas bégueule
Mais que veut-il au juste, le phénomène de la rentrée ? Le beurre, l’argent du beurre et le cul du crémier ? J’ai déjà écrit dans ces colonnes (c’est ici pour les mal-voyants de la Toile) tout le bien que je pensais de Pour en finir avec Eddy Bellegueule, un vrai… coup de poing dans la gueule, ainsi que Cavanna définissait un bon dessin de presse. Inutile de revenir sur ses qualités littéraires, sa force, sa maîtrise. Le problème s’est désormais déplacé de la rubrique littéraire à celle des faits divers (rebaptisée « Société » en levant le petit doigt). Lorsqu’un écrivain subit un tel traitement, c’est heureux pour ses finances, moins pour sa réputation. C’est signe que le poétique va se dégrader en politique.
Avec Edouard Louis, cela n’a pas manqué. On dira qu’il n’est ni le premier ni le dernier. N’est-ce pas Cocteau qui assurait en substance qu’au-delà de 10 000 exemplaires, tout succès était un malentendu ? Encore qu’en l’espèce, ça se corse. Une révolte des personnages comme en ont récemment affrontée Pierre Jourde et Christine Angot. Le risque à courir. Ils l’ont affronté. Eddy Bellegueule alias Edouard Louis, lui, semble vouloir l’éviter tout en récoltant les fruits. Sa double identité éclate sur la couverture sur laquelle est également précisé le genre officiel du livre : « roman ». Certes… Il n’a pas poussé jusqu’à placer sur la page de garde l’hypocrite mention habituelle : « Toute ressemblance avec… pure coïncidence etc… » Or, comme de juste, le phénomène Bellegueule a suscité la curiosité des reporters. Celle de Fabrice Julien et Gaël Rivallain du Courrier Picard, puis celle de David Caviglioli du Nouvel Observateur. Parfaitement dans leur rôle, ils sont allés rendre visite à la famille du côté d’Hallencourt (Somme). Ils ont pu constater que, si on n’était pas chez les Guermantes, ce n’était pas non plus Germinal. Au vrai, elle est atterrée d’être décrite comme ivrognasse, raciste, analphabète, homophobe, inculte et beauf comme ce n’est plus permis, malgré le niveau d’études supérieures des enfants, qui ont tous du mérite même s’ils n’ont pas directement intégré Normale sup.
Eddy aurait forcé le trait. A quoi l’intéressé se récrie en rappelant que c’est un roman, une fiction, bref une création artistique, non sans avoir depuis deux mois répondu à quantité d’interviews de la presse écrite et de la radio sur le mode du témoignage personnel. C’est là que le bât blesse. L’histoire littéraire ne manque pas de précédents ; encore les auteurs avaient-ils le courage d’assumer leur double statut. Ce qui n’est pas le cas. Eddy prend très mal toute cette histoire. Et de dénoncer la violence de classe sur des accents qui n’auraient pas déplu au Pierre Bourdieu de La Distinction. Et de traiter de raciste et de populiste l’envoyé de l’Obs en terre picarde réputée arriérée. Dommage. Le futur sociologue en lui pourra toujours en faire un objet d’étude en replaçant son affaire dans le champ médiatique.
Nul doute qu’il y intègrera la lettre que le critique littéraire Jacques-Pierre Amette vient d’adresser à ses parents. Celui-ci y appelle à la rescousse une escouade d’enfants brimés, Balzac, Baudelaire, Proust, Mauriac, Bazin, n’en jetez plus, sans imaginer que la famille Bellegueule se fiche bien de leurs histoires, elle qui refuse simplement de voir le nom des siens publiquement traîné dans la boue. Nonobstant, il leur conseille in fine de se réjouir plutôt que de se lamenter :
“Oui, l’artiste est un inquiétant traître face à l’humanité. Ma conclusion est : profitez de la célébrité de votre fils. Dans votre village, énormément de gens vont à la fois vous soutenir, vous plaindre, vous montrer de l’amitié mais sachez que, en douce, au fond, ils vont envier votre sort car votre fils a réussi à Paris.”
Quant à moi, je préfère profiter du raffut médiatique, et rameuter les lecteurs par l’odeur du scandale alléchés, pour faire passer en contrebande un livre dont personne n’aurait entendu parler autrement. Une petite merveille que m’a fait découvrir l’autre jour, alors que mes pas me portaient vers Bordeaux, David Vincent, responsable de la fiction à la librairie Mollat et co-animateur d’une petite maison d’édition sise à Talence. Car il arrive que les éditeurs n’aient pas tort. Qu’ils n’en rajoutent pas lorsqu’ils flattent un livre par eux choisi. Bref, connaissez-vous Monsieur Stark (138 pages, 9 euros, L’Arbre vengeur) ? Moi non plus. Il est vrai que son auteur n’encombre pas les colonnes ni les tréteaux. Le fait est que Pierre Girard est non seulement suisse mais mort. Et ce depuis 1956, c’est dire (mais genevois, il l’a toujours été).
Directeur en Europe de l’usine de la Turkish and American Cigarettes Co où il est interdit de fumer, M. Stark, 45 ans, maître de la rationalisation, obsédé non des produits mais des méthodes, est connu pour avoir inclus dans le règlement intérieur l’interdiction pour les directeurs d’usine de tomber amoureux des jeunes filles, et réciproquement. Or, au moment où il est inspecté par deux spécialistes des mœurs bureaucratiques et de l’organisation de l’organisation, son secrétaire est remplacé par la sémillante Séphora… Lui qui n’avait jamais joui que de la lecture d’une étude sur l’Organisation des Usines d’Allumettes Suédoises, et de l’écriture d’un rapport sur la Condition du Travail sous la reine Victoria, voilà qu’il vit sa première aventure sentimentale. On se croirait dans les Temps modernes de Chaplin. Impossible que Pierre Girard ne l’ait pas eu à l’esprit en écrivant car le film était sorti deux avant la parution du livre (Fayard, 1938, avec une pub pour Mein Kampf au dos !)
En voilà un qui ne se regarde pas écrire. On le sent tout à son bonheur de raconter, le sourire aux lèvres, mais pas imbécile heureux pour un sou. Tout l’inverse, une intelligence aiguë en action, mais sans la moindre malveillance, ni la moindre intention de nuire, de régler un compte, de donner des clés. Comme ce M. Stark fait du bien par ces temps de dérision et de cynisme ! Surtout quand on le sent enfin prêt à divorcer d’avec lui-même après tant d’années de mauvais ménage.
Il pousse la délicatesse jusqu’à user avec modération d’un sens aigu de la litote. C’est si léger, drôle et savoureux qu’on se croirait égaré dans un film de Jacques Tati, mais sans la moindre envie d’en sortir. Ce M. Stark, on voudrait vivre à son rythme. Les fauteuils y sont en aluminium, les tables en acier laqué, et l’humour, américain aussi. C’est dire si son épopée bureaucratique et industrielle met de bonne humeur. Serait-elle campagnarde et viticole qu’il en serait de même. Tout est dans le ton :
« le soupir préhistorique des sapins… le whisky glissant ses gemmes dans les esprits… une maison comme un hurlement de béton lancé par un architecte pour se libérer d’une pensée épouvantable… comme des pécheresses qui redevenaient jeunes filles dès que leur avait adressé la parole Rainer Maria Rilke…«
Monsieur Stark n’est certes pas le premier récit où l’on croise un saumon venu de la Baltique en passant les Alpes ; mais il est le seul qui y parvient en sautant de gare en gare. Cette ode à l’idéale pureté des bureaux fera la joie des jeunes lecteurs avides d’émotions douces, et de vieux lecteurs, pas blasés mais souvent las, avides d’entendre enfin une voix nouvelle. On comprend que l’auteur ait aimé Swift, Sterne et Toepffer. Mais il faut vraiment s’être laissé prendre par la molle du lac pour voir en lui un « Giraudoux suisse » comme les gazettes l’ont hâtivement consacré en son temps. Trop fantaisiste, trop intimiste, trop rêveur, trop Barnabooth. D’ailleurs Larbaud fut son ami. Giraudoux, lui, écrit si bien le français, un français de porcelaine, qu’il en est devenu illisible pour nos contemporains. Alors que Pierre Girard se lit sans effort (encore que pour « l’intaille », je m’en suis allé dictionnariser)
Plus on le lit, plus on le félicite d’avoir abandonné la carrière d’agent de change à l’enseigne de Girard, Pasche & Cie. On ne sait au juste ce qui y a perdu le grand art de la transaction financière, mais on sait ce qui y a gagné la littérature. Une vingtaine de livres, dont plusieurs réédités à l’Âge d’homme (ah, ce titre ! Charles dégoûté des Beefsteaks) ainsi que des billets colligés sous le titre Menus propos. Sa ville, pas ingrate, l’a lauré de son grand prix. Son canton peut lui être reconnaissant car il est le décor principal de ses histoires. On croit savoir qu’il a même composé un oratorio patriotique pour la fête des vignerons de Vevey, avant d’épouser en secondes noces la fille du directeur de la Tribune de Genève. C’est dire si son talent est multiforme. Pas bégueule, ce M. Girard.
La chose est livrée précédée d’une épastrouillante préface d’un auteur maison, Thierry Laget. Si vous n’avez pas compris que ce petit livre est beau comme l’Helvétie, c’est que vous êtes bouché à l’émeri. Nos services nous apprennent que son édition a bénéficié du soutien de la région Aquitaine. Il aurait mérité en sus celui de l’Union des Banques Suisses.
(Photos Henri Cartier-Bresson actuellement exposées au Centre Pompidou à Paris)
634 Réponses pour Monsieur Girard n’est pas bégueule
Clopine, bon dieu, arrêtez de ferrailler
..toi avec la croix gammé et le tshirt zyklon b t’es plus fort que cheuloux?..c’est la bataille au sommet
Le pseudo Clopine, il a toujours ce sentiment olympien de lui-même ou bien ? C’est consternant de devoir s’infuser ses créations littéraires, ses propos multipolaires etc à tout bout de champ. On dirait du TéKaTeux sous amphés. au secours, c’est comment qu’on compose le 18 sur un blog ?
il bout mon cheuloux
tu peux parler de croix gammée, toi, avec ton pote goering et ton gode ceinture en peau de zébi
Curiosa, je vous en supplie : votre humanisme sent le renfermé… Ne derviez-vous pas… au moins de temps en temps ?…. Bien à vous
attation keupu..je supporte tout..mais si on dit du mal de mes amis..là je me controle pus
vas-y, décontrôle-toi, conssemarre
http://www.animated-gifs.eu/leisure-cinema-spiderman/0045.gif
.
Hé bien, tout cela est très excitant
excitant voui, quand on cause un peu plus fort les deux zigotos se carapatent aussitôt avec ce qui leur reste de queue entre les jambes
Ce que c’est quand même que la molle du lac. Pour un peu plus de 6 euros, on a le beurre, l’argent du beurre, beaucoup de réflexion, et ce, sans état d’âme. Et même un supplément rose saumon qui ne vient pas de la Baltique.
On aimerai maintenant en finir avec Eddy grande gueule sur tous les médias.
@ Jacques Barozzi
« Les Argentins sont plus italiens qu’espagnols? »
Les Argentins sont prétentieux, fanatiques, snobs, baratineurs, frivoles, tricheurs, culottés… C’est un mélange (explosif) d’italien, espagnol (basques et galiciens surtout) et autochtone sud-américain.
Je ne sais plus qui a dit: « L’Argentin est un italien qui parle espagnol et se croit Français ».
C’est dire si Borges est un ovni dans son pays, qui ne l’a jamais mérité.
En fait, dans le supplément saumon, on apprend que la miss E.L. James gagne plus que les stars du sport.
Je voulais préciser, aux lecteurs du monde, pour faire bonne mesure, que le petit Nicolas sera exposé au salon du livre de Paris.
C’est quand le cassis?
Samu Social Club,
Début mai, Cassis, SSC, début mai.
Vous êtes du CFC l’ami?
Non, JC, nous ne sommes pas interchangeables.
Crétinus de Bouguereau, tu ne me fais pas bouillir. Je faisais juste une sieste entre le départ de l’accordeur -un génie- et le mien par la route.
Bon week-end
Pablo,
vous faites dans la psychologie des peuples?
Borges pas moins « ovni » que Roberto Juarroz,Alejandra Pizarnik ,Antonio Porchia et Macedonio Fernandez.
En Espagne, grandes manoeuvres dans le monde de l’édition, qui est de plus en plus concentré autour de deux grands groupes: Bertelsmann (qui vient d’acheter 7 maisons d’édition d’un coup, dont les prestigieuses Alfaguara, Taurus ou Aguilar) et Planeta (qui, non content d’avoir déjà plus de 50 maisons d’édition, vient d’acheter 64 % des éditions Grup 62, le plus important éditeur en catalan et propriétaire de maisons d’édition célébres comme Península et El Aleph).
http://vozpopuli.com/ocio-y-cultura/31817-se-acelera-el-proceso-de-concentracion-en-la-industria-editorial
j’ai des origines Argentines, je descends d’un danseur mondain de Bon-Air.
@ de nota
« Borges pas moins « ovni » que Roberto Juarroz,Alejandra Pizarnik ,Antonio Porchia et Macedonio Fernandez. »
Juarroz, Porchia, Macedonio Fdez ou la Pizarnik sont des troisièmes ou quatrièmes couteaux de la littérature et donc ils ne détonnent pas en Argentine. Borges est un miracle, une « apparition » non seulement dans ce coin de l’Amérique mais dans toute la littérature de langue espagnole du XXe siècle (comme Pessoa dans la langue portugaise). Borges (comme Pessoa) aurait dû être Français ou Anglais, mais jamais sud-américain.
Quand je dis que Clopine, dans ses écrits, devrait se mettre plus à nue, Cheloux, je ne parle pas de cul. Du tout. Mais de la plus intime des intimités : qu’elle sonde plus profond dans son coeur que dans ses idées, assez banales, et qu’elle aille plus profond dans ses contradictions : « plus à nue », comme la vérité !
« L’Argentin est un italien qui parle espagnol et se croit Français ».
Un peu de rigueur, mon cher Pablo! La citation exacte est: « L’Argentin est un italien qui parle espagnol et se prend pour un Anglais ».
Une autre: le mode de suicide préféré des Argentins est de se jeter du haut de leur ego…
Borges (comme Pessoa) aurait dû être Français ou Anglais, mais jamais sud-américain. (Pablo75)
Nul doute que Borges soit le plus européen des écrivains argentins, mais la merveille,chez lui, c’est plutôt la synthèse si réussie, si savoureuse, de l’Argentine et de l’Europe; on la trouve aussi chez son vieil ami Bioy Casares. Quid de Cortazar ?
Je suis le vrai D.
Dans le souci de faire obstacle à mon troll, je révèle une partie de mon identité. Je me prénomme Dominique. J’ai choisi Dimitri parce que j’admire la Grande Russie.
Je suis réellement comptable, et occupe à l’heure actuelle un réel poste de comptable dans une grande confiserie parisienne (mais pas nationale, comme certains ont pu le penser à tort).
J’habite dans un étage élevé de la Tour Totem sur le front se Seine, en outre.
Voilà pour cette mise au point qui était devenue indispensable.
5526 est une allusion que je comprends facilement, renato. Sa somme est 9 et 9 est mon chiffre. Vous voulez en venir où au juste ? PArce que je ne suis pas du genre à, si vous voyez ce que je veux dire, mais alors pas du tout du tout.
« Nos services nous apprennent que son édition a bénéficié du soutien de la région Aquitaine. Il aurait mérité en sus celui de l’Union des Banques Suisses. »
Et pas par le C.I.C ?
Pourtant la banque Pasche Girard et Cie.
TKT semble bien trop intoxiqué par le beurre dans les épinards et peut-être trop bégueule pour se mêler à la fête folklorique suisse des vignerons.
http://www.youtube.com/watch?v=N3x6cG0xiGw
je révèle une partie de mon identité. Je me prénomme Dominique. (D)
Quant à moi je m’appelle Maurice. Mais je n’en dévoilerai pas davantage car cela m’ (nous) emmènerait trop loin. Et puis il se fait tard.
C’est vrai aussi que résumer l’Argentine à Borges, c’est très parisien. Voir un peu suisse, mais à peine.
Voire, au cimetière.
Moi j’écoute XStoire de sheryo sur son myspace
https://myspace.com/sheryodsp
« On ne vient pas à Avignon uniquement pour voir des spectacles mais pour que l’horloge de notre conscience politique marche plus exacte après » wrouuuhhhh!!!
Que c’est beau !!! C’est Olovier PYi qui vient d’annoncer sur fond jaune (original!!!)Avignon 2014 (alors que le 2014 du Livre démarre à pein … et dans la peine)
Plus prosaïque R Hanin qui ne se prenait pas pour G Philippe, disait venir au Festival pour l’Hotel de l’Europe tout frais payé et bien bouffer (après toute la clique file dans le Luberon… pour régler l’année d’après)
En tout cas tourné résolument vers les 5 continents – et l’un d’eux plus particulièrement on le devine, car pour ce qui est des Esquimaux…-, on peut tout de même s’inquiéter de cette « programmation citoyenne »??!!
Ainsi l’invité togokolais G . Akakhap qui devrait avec [Même les chevaliers tombent de l’oubli] :
(-je cite):
« intriguer le jeune public… avec l’histoire d’une petite fille blanche qui rêve d’être un chevalier noir »
C’est que le Togo ayant pu être un protectorat allemand avant 1914, le chevalier noir de ses rêves ne serait-il
– et ce serait monstrueux!!! –
ne serait-il pas « Totenkopf » sur un « Panzer Tiger August » par hasard ?
Et que alors,ça serait pour de bon, en effet, un retour aux heures les plus noir noir noires…
de l’histoire de l’Horloge
Jacques Barozzi dit: 21 mars 2014 à 14 h 24 min
« Comme le lecteur de base, le boug veut, à juste titre, que vous y mettiez un peu plus de cul. »
Jicques, il y en a un de nous deux soit qui ne sait pas lire (ce serait moi), soit qui ne sait pas écrire (ce serait vous). Voyez-vous, Jocques, quand je lis « cul », j’écris sexualité. Si Jucques écrit « cul » et qu’il faut lire autre chose, il serait bien aimable à Jacques de le préciser en note.
Bon week-end,
Bardamu bénéficie de la part d’une modération scrupuleuse d’une clémence étonnante; et cela fait un moment que ça dure. Au-dessus des lois ?
Union des Banques Suisses.
Depuis la fusion entre les deux banques, UBS (union de banque suisse Bankverein) et SBS (société de banque suisse Bankgesellschaft SBG), le cigle UBS ne veut plus dire, officiellement, union de banque suisse. On a gardé UBS et les clefs de la SBG, dans le cigle.
Seuls les Français parlent encore d’Union de Banque Suisse, pays ayant du mal à aller de l’avant. Pays conservateur. Le seul pays aussi, où les BCBG manifestent dans la rue, contre le mariage pour tous.
@ HR, vous avez raison, j’ai horreur du folklore. D’autre part, je vis en suisse allemande, qu’irais-je faire dans une fête de vignerons du Léman ? J’ai horreur de la foule, des files d’attente, et de l’hystérie collective.
La Suisse est un pays qui a du mal à aller de l’avant ?
J’ai horreur de la foule, des files d’attente, et de l’hystérie collective.
–
Moi de même. Je suis capable de renoncer à beaucoup de choses pour ne pas me mélanger à la plèbe.
Marvelous, marvelous.
Bardamu dit: 21 mars 2014 à 20 h 24 min
C’est que le Togo ayant pu être un protectorat allemand avant 1914
Monsieur de la Ferté – Pierre Benoit.
Bonsoir D, bonne nuit.
« Curiosa dit: 21 mars 2014 à 17 h 51 min
excitant voui, quand on cause un peu plus fort les deux zigotos se carapatent aussitôt avec ce qui leur reste de queue entre les jambes »
Pas étonnant, c’est la faute à leur mère,
rien que de voir ce qui sortait de leurs entre-cuisses,
elles les ont châtrés !.
D’où leur acrimonie !!! !! !.
Pôv petits Zeus !.
« Curiosa dit: 21 mars 2014 à 17 h 51 min
excitant voui, quand on cause un peu plus fort les deux zigotos se carapatent aussitôt avec ce qui leur reste de queue entre les jambes »
Pas étonnant, c’est la faute à leur mère,
rien que de voir ce qui sortait de leurs entre-cuisses,
elles les ont châtrés !.
D’où leur acrimonie.
Pôv petits Zeus !.
Erreur 401 pour le doublon.
pas trop compris,
sauf pour le sujet !.
D. dit: 21 mars 2014 à 21 h 54 min
Moi de même. Je suis capable de renoncer à beaucoup de choses pour ne pas me mélanger à la plèbe.
La plèbe on peut. C’est les flics qu’y faut pas…
« Pablo75 dit: 21 mars 2014 à 18 h 40 min »
Un peu outrancié comme propos sur la littérature Sud-américaine,
du Mexique à la Terre de feu, en passant par Cuba !.
Bonsoir, Bérénice. Bonne nuit. Vous êtes la personne que j’apprécie le plus ici. Vous savez me comprendre et m’apprécier. Les autres passent complètement à côté. Ils sont comme des surfaces sombres et mates qui ne réfléchissent pas ma lumière, mais s’échauffent dangereusement. Vous vous êtes le diamant qui capte ma luminosité et la restitue par mille feux, diantre que c’est beau ce que j’écris et vous le savez.
Je me demande ce que sera demain. Encore 5 minutes pour en avoir un aperçu. C’est long.
En attendant je vais faire un tour tout nu sur mon balcon.
Voilà je suis revenu, il fait frisquet mais j’ai eu le temps d’arroser mes 3 oliviers de 150 ans d’âge en pots.
Ça y est il est 00h, le 22 mars est commencé.
J’ai l’impression d’être seul dans la nuit et de ne me confier qu’à moi-même. C’est assez grisant. Je peux crier, hurler tous mes secrets, personne ne m’entends.
Le 22 mars est commencé, mais ça ne concerne pas tous les fuseaux horaires, j’en suis bien conscient, rassurez-vous.
Rassure-toi.
En écrivant deux mots, je prends beaucoup moins de place qu’en en écrivant 250, comme certains font, sous prétexte d’être intéressant. Ça ne prend pas avec moi en tous cas.
@ aquarius
Il y a beaucoup de variantes de cette phrase. La première fois que je l’ai entendu, en Espagne, il y a plus de 35 ans et à un Argentin, c’était la version que j’ai donnée (et elle me paraît logique, tellement les Argentins aiment la France). On attribue à Borges celle-ci: « L’Argentin est un italien qui parle espagnol, pense en français et voudrait être Anglais. »
Il y a aussi beaucoup de blagues sur la façon qui ont les Argentins de péter plus haut que leur cul. Par exemple: « Quand il y a un orage avec des éclairs, les Argentins croient que c’est Dieu qui est en train de leur faire une photo ».
j’ai encore écris en en. J’aime écrire en en. On y est tellement habitué qu’on oublie que ça peut paraître cocasse pour qui s’y arrête.
que votre fatuité ne vous étouffe, D.
L’Argentine est un beau pays. Mais la qualité de la viande argentine est largement surfaite.
Grosse production au plan international certes, mais un bon bœuf limousin dépasse de très loin un bœuf argentin.
J’aime réellement le tango. Mais je me vois mal en danser un. D’ailleurs je ne danse pas, je ne supporte guère que mon aura en interpénètre une autre. Ça me fait une sorte de chatouillement désagréable qui me fait reculer.
Je dis des choses sensées, Béhémoth.
Juste une petite question, Béhémoth.
D’où sortez-vous ?
Eteins ton iphone pour voir
Du ventre d’une femme !.
Mais je ne me permettrai pas de dire,
comme Celine,
que depuis,
je n’ai fais que descendre.
Lemmy Caution
Un mort à chaque coin de rue,
On n’était pas chez Walt Dysney.
Vingt cadavres dans l’avenue,
Un mort à chaque coin de rue.
C’en fut fini des tirs à vue,
Quand disparut Peter Cheyney.
Un mort à chaque coin de rue,
On n’était pas chez Walt Disney.
TKT- petisuix, merci d’avoir présenté aussi simplement les Helvêtes et les Rhôdaniens.
http://www.asterix.com/la-collection/les-albums/asterix-chez-les-helvetes.html
(HR, c’est une autre idée fixe chez vous ?)
Retrouvailles RUSSIE-CRIMEE
La réponse de l’Europe et des USA n’a pas tardée : installation d’éoliennes géantes à Bruxelles et Washington, tournant à plein régime … EELV apprécie, Kiev aussi.
Quel vendeur, ce Passou : j’ai commandé Monsieur Stark, chez Amazon. Il en reste 1 en stock… Vite !
Ducornaud , il fallait lire la France, seul pays etc… Dugland, le mariage pour tous cela vous aurait dû vous faire comprendre qu’il s’agissait de la France.
Pour ce qui est de l’Argentine et de sa production de bœuf, avez vous jamais été en Argentine ? Non ? Vous n’êtes jamais allé nulle part ? Oui ?
Vous êtes nationaliste et vous ne vous basez que sur votre expérience de consommateur bas de gamme.
@ HR dans les branches: Je ne suis pas citoyen helvétique, mais vous le savez, vous vous mettez du même coté débile de D. et de JC. Vous confondez domiciliation et nationalité. Pas vraiment grave, tous les trois vous ne valez pas grand chose.
« donne a manger à un cochon il va chier sur ton perron »..clopine elle s’en fout elle a pas de perron..hin clopine ?
Le cochon chie dans sa cuisine épicétou
behemoth me rapelle un ami, qui criait dans les banlieux populaires de toulouse ‘vive le roi’ par provocation{pas royaliste du tout} et adorait la daube et l’entrecote « aux abattoires »
Mon objectif de l’année ? Arriver à la cheville de TKT !
(la descente va être longue…)
Thierry, vous défendez scandaleusement le Mariage des Mêmes et je vous approuve !
Il est bon que les laissés-pour-compte de la copulation reproductive tentent d’apparaitre aux yeux de la majorité hétérosexuelle, comme des Humains Normaux… hurk hurk !
SCOOP
Je viens de recevoir l’accord de Gallimarre pour l’édition de mon livre à la prochaine rentrée littéraire :
« Pour en finir avec Thierry BelleCuisse ! »
(Préface de D., notes et traduction des expressions helvètes, HR)
C’est l’anniversaire de Londres ce week end !
Oui ! Le refus de certains de nos sapeurs-pompiers de serrer la main de Manuel Valls est légitime.
Non ! le cadeau au ministre d’une moustachette Adolphine n’est qu’une fausse rumeur.
Le bœuf limousin est un produit de très haut de gamme, je regrette. Pour moi il est même le meilleur au monde avec ex-aequo avec le Chalosse et bien sûr le Salers, également Français. Je me demande parfois d’où vous sortez, TKT, pour ne pas vous être rendu compte de cela.
vous défendez scandaleusement le Mariage des Mêmes
mais non on est pas pareil jicé..pour commencer y’a un enculeur et un enculé..comme aurait dit reisero à sergio ça fait une différence bondieu
dédé clopine te dirait que la meilleure en tout c’est la génisse..c’est une perle
y’a un enculeur et un enculé
ou une enculeuse et une enculée..et la clopine dirait qu’on peut louer des strapontins..et cher !..c’est pas juste..ce monde n’est pas juste
clopine dirait qu’on peut louer des strapontins
..aux hétéros évidemment..on est surexploités épicétou
..je vois que le page rank de lassouline est menacé par la vazeline et le lycra encore..
Excusez-moi, Bérénice, je ne voudrais pas paraître pressant, mais êtes-vous réveillée et lucide ?
à moitié endormie c’est meilleur dédé..
« mais non on est pas pareil jicé..pour commencer y’a un enculeur et un enculé..
Si c’est pas du déterminisme social, ça…. affreux, affreux !
what are these knobs for?
Si c’est pas du déterminisme social, ça…. affreux, affreux !
tu crois qu’on apprend ça tout petit déjà ?..toi quand tu seras grand tu seras..et toi tu seras..
clopine dirait que ça fait bonnes fées..on te le demande pas
« Un article sur les Français d’Outre-mer du « Dictionnaire critique du racisme » (PUF) modifié à la suite d’une plainte. »
Nom d’un tweet ! Repeindre, repeindre, repeindre toute idée noire, en rose.
you know, the cynics, they said
désolé de m’apercevoir, Mr Assouline, que votre blog ne vous appartient plus, que vous ayez laissé la place à deux aigrefins, JC et bouguereau, vraiment désolé
Jean Meslier, curé d’Étrépigny dans les Ardennes de 1689 à sa mort en 1729, publia à titre posthume un Testament philosophique.
L’œuvre de Meslier se divise en huit parties, dont chacune vise à prouver la vanité et la fausseté des religions, en voici le plan :
1. Elles ne sont que des inventions humaines.
2. La foi, croyance aveugle, est un principe d’erreurs, d’illusions et d’impostures.
3. Fausseté des « prétendues visions et révélations divines ».
4. « Vanité et fausseté des prétendues prophéties de l’Ancien Testament ».
5. Erreurs de la doctrine et de la morale de la religion chrétienne.
6. La religion chrétienne autorise les abus et la tyrannie des grands.
7. Fausseté de la « prétendue existence des dieux ».
8. Fausseté de l’idée de la spiritualité et de l’immortalité de l’âme.
Nous recherchons activement les descendants de ce curé si peu catholique afin qu’ils présentent des excuses sincères et dédommagent financièrement nos nombreux amis croyants, juifs, chrétiens, musulmans, pour ces propos nauséabonds qui rappellent, hélas, les pires heures de notre passé Lumineux.
qui rappellent, hélas, les pires heures de notre passé Lumineux.
..le coup du dernier curé pendu avec ses tripes c’est d’une clarté olympienne..en crypto trotkiss tu honores un des pères du matérialisme dialectique jicé..saint pierre s’en souviendra
SS Club a raison ! Brisons là ! Je prend l’engagement immédiat de quitter le blog de Maître Pierre, définitivement, en laissant toute la place aux commentateurs de qualité…
Adieu à tous, vous allez me manquer !…
D, effective et réveillée, excusez mon absence quant à la lucidité elle devrait être géographique et là où je suis posée c’est une complexité à laquelle il faudrait préférer la « simplicité », question de survie.
Et puis je ne suis pas dotée d’un logiciel assez puissant pour accueillir tous ces détails qui font se souvenir de l’œuvre monde, l’élagage ne suffit pourtant pas à l’oublier, l’oubli est une des conditions à laquelle il est préférable de souscrire si l’on veut continuer de progresser dans les couloirs et chenaux, voyez je ne suis pas assez décervelée pour ne plus y penser.
Ecoeurée, dégoutée mais surement est-ce un de ces lunes dont nous sommes souvent atteints, ça passera, se diluera dans le courant jusqu’à sa dilution dans le fini des vies.
Messieurs JC et Bouguereau, ce coup de freins m’aura frappé
D vous savez tant de choses qui ne vous servent à rien pour être que j’ignore et je peine à moudre ces grains pour cette mouture si fine qui sort de ces moulins qui n’écrivent que prières sans plus de religion. La foi est impossible.
TKT dit: 22 mars 2014 à 8 h 18 min
TKT, vous concernant, je ne risqe pas de confondre le mauvais grain de la piquette, je vous l’ai déjà dit. Ce n’est pas demain que vous divorcerez de vous-même.
coup de freins
un coup de reins, c’est mieux.
aucun risque; même dans une cave à vins où ne se retrouvent que des accros aux selfies, sans l’ombre d’un vigneron.
JC….. dit: 22 mars 2014 à 11 h 24 min
« Jean Meslier, curé d’Étrépigny dans les Ardennes de 1689 à sa mort en 1729, publia à titre posthume un Testament philosophique.
… »
Je viens de le commander sur Abebooks.
Merci de m’avoir rappelé l’existence de ce brave abbé.
D croire alors qu’il ne s’agit plus que de consommation, tous les mensonges sont réunis pour produire de belles embarcations, pour Cythère, pour l’enfer, pour nulle part. L’important ? participer à cette vaste entreprise utilisant toutes les définitions soit quelques milliards, exploitation de toutes les potentialités.
« qui veut voyager loin ménage sa monture », Jean Racine, Les plaideurs
Une de ces lunes.
Je sors, mon calque mon carbone mon outil me transforme en perroquet à plumes musicales, j’y préfère le vide, l’absence, la démission.
« La sociologie ou le vide », Gottfried Benn
aigrefins ? vous êtes trop gentil, ce sont plutôt des malfrats indésirables sur un blog littéraire
Vous savez-quoi? Si on superpose
Deuil et Mélancolie, de Freud et
Je suis vivant et vous êtes morts, de K. Dick
Y’a un sens qui appert
« Y’a un sens qui appert »
A Genève, peut-être.
http://www.philomag.com/les-idees/entretiens/jean-starobinski-la-melancolie-peut-etre-genereuse-8513
touché
Melon il fait vraiment Dupondt, hein… C’est pas si tant que ça un hasard qu’il soye belge alors…
D. dit: 22 mars 2014 à 10 h 22 min
le Salers, également Français
Auvergnat, déjà. Après on verra…
Pablo75 dit: 22 mars 2014 à 0 h 09 min
z’avez deja ete en Argentine? comment? non pas la station metro, le bled plutot…cui qui descend jusqu’a presque le pole sud…
…et maintenant la STASI dans les ARBRES…
C’est vrai qu’à passer son temps
en primate accroché aux branches,
le cul en l’air et la tête en bas,
on doit finir par trouver
l’inversion des valeurs
comme chose naturelle
et même belle !!
abdelkader dit: 22 mars 2014 à 14 h 37 min
jusqu’a presque le pole sud…
Les gardes champêtres ils sont molletonnés là-bas…
pourquoi tu ferais pas du feu, dis, François?
Il peut y avoir un gouffre entre les habitants de la péninsule ibérique et ceux de leurs anciennes colonies
(et les quelques habitants de Buenos Aires pédants ne représentent pas l’Argentine ni « les » Argentins, pas plus que par ex bhl ou raymond ou la marinette ne sont « les » Français
Un gouffre, c’est peut-être vide dit.
propos des traductions de Heidegger,
r
propos des traductions de Heidegger,
rappel ; de GAG* : Quand Freud attend le verbe
je l’ai repris , sans heidegger
* il précise lui qu’il n’est pas psy
Un gouffre, c’est peut-être vide dit
tous les peuples sont pas élus dédé..y’a les populos qui vont viennent se saoulent pètent et niquent leur mère au finiche..même sur sirius
« Quand il y a un orage avec des éclairs, les Argentins croient que c’est Dieu qui est en train de leur faire une photo »
c’est une histoire belge bardamol..qui était peut être polonaise..enfin ricaine puisqu’y sont leurs belges les polonais..tous les peuples tendent à la belgitude au finiche..mais phil te dirait, sinon pour un belge, pour tous les autres y’a du boulot..et du gros..aprés ça sra la fin de l’histoire..enfin non le début, de la belge
Il a un tacot à prendre pépé ? ; )
Dites, le Boug’, ne seriez-vous pas un peu tout confusionné avec votre Belge ?
Le type au melon, je trouve qu’il fait plutôt Brigades du tigre … ou plutôt brigade des moeurs .. biiiiiiiiiii !
Tiens, j’imagine assez en notre époque de rabougrissement des esprits revenir le melon à la mode, genre brigade des moeurs …
Dis, Sergio, c’est quand qu’on part à la mer sur la yam ?
( D., votre soucoupe, c’est du pipeau. Si .)
Buenos Aires ?
El sur ………
https://www.youtube.com/watch?v=Zmg7TNxHjFs
Vuelvo Al Sur
Vuelvo al Sur,
como se vuelve siempre al amor,
vuelvo a vos,
con mi deseo, con mi temor.
Llevo el Sur,
como un destino del corazon,
soy del Sur,
como los aires del bandoneon.
Sue?o el Sur,
inmensa luna, cielo al reves,
busco el Sur,
el tiempo abierto, y su despues.
Quiero al Sur,
su buena gente, su dignidad,
siento el Sur,
como tu cuerpo en la intimidad.
Te quiero Sur,
Sur, te quiero.
Vuelvo al Sur,
como se vuelve siempre al amor,
vuelvo a vos,
con mi deseo, con mi temor.
Quiero al Sur,
su buena gente, su dignidad,
siento el Sur,
como tu cuerpo en la intimidad.
Vuelvo al Sur,
llevo el Sur,
te quiero Sur,
te quiero Sur…
Non, la voix de Roberto Goyeneche est irremplaçable,
sur fondée par V.Ocampo
1931 1979 : 48 ans
On a rien pu faire, c’était plus fort que lui
Daaphnée dit: 22 mars 2014 à 16 h 27 min
c’est quand qu’on part à la mer sur la yam ?
Dans quarante secondes. Les repose-pieds passagère sont abaissés, pleins volets train sorti…
Daaphnée dit: 22 mars 2014 à 16 h 27 min
Le type au melon, je trouve qu’il fait plutôt Brigades du tigre
Bon mais pas dans India song, hein ! Ca serait trop triste…
Super.
trainS sortiS, Trommelfeuer ! Il y a le train principal et la roulette de nez.
Je suis un Être supérieur, Daphnée, vous ne pourriez en dire autant.
Je regrette de vous être supérieur, mais c’est ainsi, vous êtes une femme, et moi je suis comme Marie la mère de JC. Ma propre mère était aussi l’épouse de Dieu.
Pump
pump
it
up
Avec une roulettes de nez, c’est au moins un mirage !
Avec juste 2 roues, ça me va très bien .
Les spectateurs :
http://alongtimealone.tumblr.com/post/13835008546/ancagray-my-favorite-is-the-guy-on-the-left
Ils vont trouver la formule
Daaphnée dit: 22 mars 2014 à 17 h 05 min
Avec une roulettes de nez, c’est au moins un mirage !
Ou alors en train classique, là c’est une roulette de queue. Seulement à ce moment-là au sol le nez masque tout et il faut se pencher hinaus e periculoso pour décoller à peu près droit ! Ah ils étaient forts, nos anciens…
Daphnée, je vous aime, comme j’aime Bérénice, JC et Marine.
Ce soir, je vais me faire un pot-au-feu végétarien, c’est moins cher.
De l’eau, une pomme de terre, une carotte jaune, une carotte orange et des oignons. Mon chat, qui partage ma vie, mes nuits et mes voyages dans la galaxie, aime aussi le pot-au-feu.
Daphnée, pourrions nous nous rencontrer, je vous propose un bar de la place Clichy. Vous me reconnaitrez facilement, je porte des chaussettes noires et un béret basque bleu marine. Un imperméable court, gris et marron. Mes chaussures Weston et un gilet de laine tricoté par ma maman. Je tiendrais à la main, la vie catholique et mon parapluie pliable que je porterais déplié.
Bardamu dit: 22 mars 2014 à 14 h 43 min
Inutile de hurler. Votre prose qui s’étale ici n’est pas trop compliquée à traduire.
D, je ne doute pas que le gilet tricoté par votre maman vous aille comme un gant … c’est risqué ..
1) vous risquez d’avoir une horde de Bérénice qui se précipite chez Charlot ..
2) peut-être pas que des Bérénice
3 )Il faudra plus que leur glisser une poignée de bonbons dans .. pour les calmer
Quoique, des bonbons ..
je me vois assez bien, Sergio, avec le bonnet en cuir des aviateurs de cette époque .
Totalement inefficace, mais très joli.
Un imperméable court
..sergio il en a un façon cache poussière pour faire léone..il lui faut ça pour cacher le six coup
Vous savez Daphnée, j’aurais été content pour vous à la fin
un pot-au-feu végétarien
un genre de poule au pot sans poule quoi
t’es un ravaillac dédé
le six coups, le six coups … le Boug’!
Vous, on ne sait toujours rien de votre calibre, en vrai.
D’abord .
dick bertha..je ne peux donner de rencarts que dans les gares
Ah mais c’est ça !
Ravaillac c’est celui qui a voulu zigouillé Henri de la poule au pot .
A force de passer ici, je sens que je vais devenir très forte en Histoire. Au moins autant que Lopine, en littérature.
Ouf !
dicke me reprendrait vontraube..
Le parapluie pliant faut un port d’armes…
..en même temps faut pas trop en savoir..sinon on est tétanisé..on copie malgré soi..on truque..et le juste milieu quand on le trouve c’est que probablement on l’a dépassé
avec un imper court on a un canon scié
Il faut dire que vu comme ça, avec ou sans port d’arme,
le Dick de ses dames,
sur fond étoilé,
pas mal, quand même ..
http://image.toutlecine.com/photos/d/i/c/dick-tracy-1990-13-g.jpg
Si vous voulez animer 10 minutes de réflexion…
On connait l’importance du commentaire de match de football dans le web 2.0, mais connaissez-vous celle de Qui roule bamboule, qui fournit, suit?
bouguereau dit: 22 mars 2014 à 17 h 34 min
façon cache poussière pour faire léone.
Ha ça faisait romantique c’était bien… Au pire avec la chanson de Lara ! Mais pas en scooter, hein ! Avec des anglo-arabes à seize quartiers…
Juste un fond étoilé avec juste un chat qui miaule dans un coin …
On pourrait imaginé tout ce qu’on veut ..
Ha ça faisait romantique c’était bien…
les gonzesses en short en maxi..et cuissardes ..naturliche comme ils disaient à l’époque
Quand on a pas de quoi intéresser une passagère, il est certain qu’une yam, cela peut aider, impressionner, abuser… jusqu’à la désillusion finale : les meilleurs roulent en scooter !
Daaphnée dit: 22 mars 2014 à 17 h 53 min
Il a tout de Lemmy Caution, Daaph.
les meilleurs roulent en scooter !
tellement qu’ils ont pensions alimentaires et charge de famille..ils roulent pas assez vite
pas mal, quand même ..
il avait trop une tête de craneur et reynolds trop une tête de beauf..et roger moore trop une tête d’homme battu..c’était pas évident d’être un homme en ce temps là
« D’autres ont réussi à faire briller la flamme tout en gardant leur métier dans la finance, en menant une double vie. C’est le cas de Martyn Shone, ancien crédit manager à Crédit Suisse. Ce jeune guitariste à l’abondante chevelure de hippie a fondé Honey Ryder, un groupe de rock, refusant de mettre sa passion au placard pendant son activité bancaire. «J’ai toujours voulu devenir musicien professionnel, et j’ai sans cesse jonglé avec mon emploi du temps pour jouer avec mon groupe, même quand je travaillais 70 heures par semaine à Crédit Suisse, se souvient-il. Une vraie double vie:je ne disais rien de ma vie de musicien à mes collègues. Je leur ai même caché que j’avais enregistré un album, «Rising Up», et que j’avais joué avec mon groupe au Festival de Glastonbury et à Moscou!» »
http://www.challenges.fr/affaires-privees/20090910.CHA3558/la-vie-d-artiste-d-ex-traders-la-finance-mene-a-tout.html
et hop, le son.
http://www.youtube.com/watch?v=xTIIcEtw3AA
Il y a des classiques incontournables.
Les cuissardes .. la fessée ..
http://www.fromageetdessert.com/wp-content/uploads/2009/09/spanking-girl-727173.jpg
non..je vois personne pouvant rivaliser avec kojac dafnoz..c’est dze définitive man
« ils roulent pas assez vite »
Ce n’est pas la vitesse qui est importante : nos clients le savent.
Ne vous moquez pas des chauves, le Boug’ …
Certains dégagent beucoup de phéromones.
Si si .
Nous savons qu’à Paris vous avez le choix entre une nulle et une conne … désolé !
effectivement, il peut arriver que, même celui qui ne la recherche pas pour lui-même, ne méprise pas la gloire, dans ce cas, nul doute que cette absence de convoitise lui permette d’échapper au mépris, ces êtres possèdent en eux ce calme qu’autrefois on nommait l’esprit de Rédemption.
: nos clients le savent.
franchement tu vois kojak sur une vespa..?..non faut du lourd et sobre
Retour d’un blog normand où la mièvrerie harlequine règne, et ce dans la plus joyeuse tristesse imaginable
https://www.youtube.com/watch?v=qPem0ONSI7c
c’est lui qui chante..
le monde avait bien un peu de retard pour dire que D.Rondeau s’était présenté deux fois à l’académie :
http://2.bp.blogspot.com/-Gm0GjNeoyNI/Ux1_wnpELsI/AAAAAAAASYg/eklBe5asLtk/s1600/StFrancois02.jpg
Mort de rire, c’est sur Julie Candebat
Je suis chauve, Daphnée, j’ai l’avantage de ne pas avoir de pellicules sur mes épaules. Je suis chauve, sauf une queue de cheval de cheveux fins couleur impressionniste, attachée avec un élastique de caoutchouc que j’ai emprunté à mon employeur. Cet élastique est de couleur rose.
VESPA Service Commercial….. dit: 22 mars 2014 à 18 h 01 min
les meilleurs roulent en scooter !
Houi mais dans l’Emilie jolie Capri c’est fini et peut-être même Castellammare… Avec une ombrelle ! Mais dans l’Europe normale c’est impraticable…
D. dit: 22 mars 2014 à 18 h 28 min
un élastique de caoutchouc que j’ai emprunté à mon employeur
Y faut pas oublier que Rockfeller, à ses débuts, a embauché comme comptable le seul qui avait ramassé un trombone traînant dans la cour…
« un élastique de caoutchouc… »
Le plaisir de s’arracher les peux qui restent ?
c’est lui qui chante..
mmm .. la voix d’Elvis en moins, quand même !
J’ai même pas le temps de réfléchir à ce que je fais parce que je sais pas si c’est bon
Savez-vous vraiment pourquoi vous êtes ici maintenant ?
Je vous connais tous.
Je sais que vous êtes des gens respectés et écoutés. Votre sagesse est reconnue et appréciée de tous. J’aimerais savoir quel chemin vous a mené jusqu’ici. Comment en êtes-vous arrivés à endosser ce rôle que vous tenez en ce moment même. Avez-vous désiré ce rôle ? Vous a-t-il été imposé par le destin ? Vous êtes des personnes honorables car vous portez en vous vos vérités. Savez-vous à quel moment de l’histoire des hommes commence ce chemin sur lequel vous avancez aujourd’hui sous le regard du monde ? Regardez bien, cherchez et vous découvrirez sous vos pas les traces des pas de vos prédécesseurs. Eux aussi étaient comme vous des gens honorables, comme vous ils portaient leurs vérités au fond leur âme. Leurs convictions leur ont permis de poser leurs pas, l’un après l’autre, et d’autres après eux ont continué cette longue marche, dans notre longue histoire catastrophique.
November 28 1986
hamlet dit: 22 mars 2014 à 19 h 01 min
N’auriez-vous pas posé une question assez similaire en d’autres temps ?
Est-ce l’amorce d’un nouveau départ ?
« Savez-vous vraiment pourquoi vous êtes ici maintenant ? »
Oui, je le sais… Papa et Maman étaient bourrés ce soir là. Comme tous les soirs ! C’étaient des communistes assoiffés de sang, de justice et de Kronenbourg.
où est passée votre mélancolie ?
nous avons donc oublié nos faiblesses ?
où sont passées nos faiblesses ?
où les cachons-nous ?
notre seule force est notre vanité.
nous rendons publiques nos grandeurs, nos faiblesses nous les dissimulons ? Pourquoi donc cette mystification ? de quoi avons-nous peur ? nous parlons de morale comme si elle était notre unique maison, comme si ce mot nous tendait une corde nous empêchant de tomber au fond d’un puits.
nous sommes des êtres de raison.
nous sommes aussi des altruistes admirables.
Mais au fond de nous-même, nous savons que la sagesse n’est qu’abondance de chagrin et que le savoir ajoutée à au savoir n’est aussi qu’abondance de chagrin.
Posez moi cet « Humain, trop humain », mon brave ! Arrêtez vos jérémiades et acceptez moi cette bière servie par ma cousine bavaroise !
N’oubliez pas, happy taxpayers, ce qui fait la force d’une démocratie, c’est comme pour le cholestérol : un bon TAUX d’abstention !
Taux élevé : bad news …
Taux faible : excellent !
Les résultats ? mais… ON S’EN FOUT … Le taux, vous dis-je !
ignorez-vous que dans notre époque comme dans toutes celles qui l’ont précédée la comptabilité du monde s’est écrite avec le sang des hommes par des hommes dont le cœur était rempli de sagesse et de raison.
hamlet, c’est quoi ça ? -> *
Il n’y pas de comptabilité du monde
..mais ferme ta gueule keupu
Et alors, ça marche comment votre systus?
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