Mourir… dormir, dormir ! Rêver peut-être !
Est-ce le roman de la disparition ou celui du sommeil ? A moins que ce ne soit l’un dans l’autre, ce qui disparaît de nous lorsque nous nous abandonnons au sommeil. Katharina Hagena a si bien enchevêtré les deux dans son deuxième roman L’Envol du héron (Vom Schlafen und Verschwinden, traduit de l’allemand par Corinna Gepner, 380 pages, 22 euros, Editions Anne Carrière) qu’on s’y laisse prendre. Sa construction n’a pourtant rien de machiavélique, rien de sophistiqué non plus. Au contraire, la fluidité et la douceur même pour faire surgir de page en page le lien secret entre ses trois personnages. Celle qui n’a jamais renoncé à rechercher à la jumelle dans la forêt son fils disparu il y a longtemps déjà. Celle qui ne s’est pas jamais remise d’avoir été abandonnée enceinte par l’homme qu’elle aimait. Et celui qui passe son temps à rechercher ses papiers égarés, messager en quête de signes et de traces. Leurs récits de vies s’entrecroisent et se frôlent sans se toucher. Une sensation du monde s’en dégage, empreinte d’une vraie tendresse mais inquiète et mélancolique. Pour dire quoi ? Qu’il est impossible d’oublier.
Professeur de littérature anglaise et allemande à l’université de Hambourg, Katharina Hagena (Karlsruhe, 1967) a consacré sa thèse à l’Ulysses de James Joyce, roman dont elle est devenue une spécialiste (mais rassurez-vous, cela ne se devine pas à la lecture de son roman, ni imprégnation, ni pastiche). L’un de ses trois personnages principaux est également universitaire, en plus de soigner les gens. Elle se voyait médecin-sans-frontières.
« La sonorité de ces mots exerçait sur moi un attrait véritablement érotique. Sans frontières, cela voulait dire fougue et liberté, cela avait quelque chose de turbulent et d’indompté que je n’avais pas mais que je voulais absolument conquérir. A Fribourg, j’engageai aussitôt une liaison turbulente et indomptée avec un médecin sans frontières, mais comme il était marié, sa fougue ne s’exerçait qu’à l’intérieur de frontières assez étroites, ce que je ne pouvais supporter. Je mis donc fin à cette relation au bout de deux mois ».
Une somnologue, donc, qui va d’un congrès l’autre. Entre collègues, ils s’y projettent des films de patients, généralement des maires ou des pasteurs, espionnés dans leur sommeil par des caméras infrarouges. Et que je baise le matelas (tiens, remarque l’un, ça sonne comme « maîtresse »), et que je boxe l’oreiller ! Entendez qu’elle traque les sommeils (le sommeil paradoxal, le sommeil profond… ) non seulement chez les patients mais chez Ovide (le sommeil habite sous une montagne), du côté de chez Pline. Celui-ci disait que, pour lutter contre l’impossibilité de fermer les yeux à la nuit tombée, il fallait coudre un bec de héron dans une peau d’âne et se l’attacher au front. Autres moyens : un doigt coupé et posé sur la table de chevet. On dit aussi qu’il suffit de poser une aigremoine sur la tête du dormeur à son insu et que cela suffit à l’empêcher de se réveiller. La bile d’anguille passe également pour être un bon remède. On fait, paraît-il, de beaux rêves avec du sang de la huppe recueilli dans un tissu et appliqué sur les tempes. Il s’avère même qu’une femme endormie dit tout si l’on place du lait de louve sur son cou, voire des testicules de renard sur son cœur. Ceux qui jugeaient ces procédés un peu complexes avaient le droit de le remplacer par un autre : la corne gauche d’une chèvre, ou le crâne d’un loup, glissés sous l’oreiller. Ou plus directement, au même endroit : l’absinthe.
C’est un roman plein de gens qui rusent avec eux-mêmes en se défilant devant le sommeil. On y rêve de dormir dans l’espoir insensé d’échapper aux souffrances du cœur. “Mourir… dormir, c’est tout ;… Calmer enfin, dit-on, dans le sommeil les affreux battements du cœur ?.. Mourir… dormir, dormir ! Rêver peut-être !”. Où que l’on aille, Shakespeare n’est jamais loin (Hamlet, III, 1).. Ce n’est pourtant pas lui mais Pascal en ses Pensées qui est invité à éclairer cette histoire prenante en épigraphe :
« Qui sait si cette autre moitié de la vie où nous pensons veiller n’est pas un autre sommeil un peu différent du premier, dont nous nous éveillons quand nous pensons dormir ? Et qui doute que si on rêvait en compagnie et que par hasard les songes s’accordassent, ce qui est assez ordinaire, et qu’on veillât en solitude, on ne crût les choses renversées ? ».
L’insomniaque, c’est celui qui attend. Le bout de la nuit, le début du jour, le sommeil, la tombée de la nuit… Il guette le moment où l’inaccessible l’emportera. C’est un roman traversé de martins-pêcheurs, de rossignols, de pics épeiches, de sangliers urbains, de corneilles mantelées, de chouettes, de buses, de faucons et de grenouilles taureaux du lac. En tournant les pages, on entend le bourdonnement métallique des cygnes en vol, le cri d’un geai et dans le fond, le grondement du Rhin. « Quand la nature vous tombe dessus dans la ville, on se sent complètement désarmé ». Les gens y sont des hérons, immobiles des heures durant sur le lac jusqu’à ce qu’ils tirent d’un coup de bec fulgurant un poisson argenté et tressaillant des eaux calmes. Un jeune historien de l’université de Heidelberg, qui effectue des recherches sur un camp d’entrainement des forces de sécurité destinées aux anciennes colonies allemandes du Sud-Ouest africain, découvre un jour dans les archives que les militaires s’entraînaient au tir sur les hérons cendrés.
On comprend que l’éditeur français de cet écrivain traduit un peu partout dans le monde ait voulu rendre Vom Schlafen und Verschwinden par L’Envol du héron. Il faut adapter et s’adapter. Pareillement lorsqu’il est question des jalousies de la maison qui permettent de regarder au-dehors sans que ceux du dehors puissent voir à l’intérieur. Il y a quelque chose de l’ordre de la séduction dans la jalousie.
« Le terme allemand Eifersucht n’évoque plus la jalousie, mais un trouble du contrôle pulsionnel, un appétit incontrôlé. »
On lit « coma », la mère d’un des personnages y étant plongé, et on entend déjà « amoc » puis « amok ». Pas étonnant que Katharina Hagena place si haut, non pas le livre de Stefan Zweig, mais Les élixirs du diable de E.T.A. Hoffmann. La toile d’araignée des trois récits s’organise et nous enserre dans un vif sentiment de la perte. Celui-là même qui la fait écrire. Et transmettre ce qui la hante : du sommeil et du rêve, lequel est le gardien de l’autre ?
(Photos D.R. et Henri Cartier-Bresson)
482 Réponses pour Mourir… dormir, dormir ! Rêver peut-être !
@ rose dit:12 décembre 2013 à 22 h 38: Ma bonne Rose, vous auriez dû vous excuser, d’avoir mal lu mon commentaire. Ne pas confondre « le meilleur moment » avec « un de mes meilleurs moments ». C’est élémentaire.
Le vaillant petit tailleur est une confiture 100% pure imagination, un tourbillon construit affolant qui m’a paru difficile pour une première lecture de cet auteur, démolir Nizard, l’auteur et moi m’ont plu je ne suis pas venue à bout du hérisson à cause du hérisson. Vous devriez faire un détour Rose.
Chaloux je n’ai pas douté un seul instant que ses atouts vous séduisent cependant vos secrets s’ils restent dans la confidence font un peu messes basses et je ne vois pas qu’un curé soit là pour les deviner.
>TKT Bérénice
non merci
TKT il ne s’agit pas de ça mais de l’envahissement massif du marché par leurs produits avec toutes les conséquences que ceci implique pour l’Economie. Sans parler des conditions imposées aux travailleurs chinois qui peut-être seront les nôtres.
Bérénice, juste une photo de mon petit piano au milieu d’un océan de livres.
Quant à mes secrets, je n’en ai pas. J’ai tout dit.
Rose vous lisez avez lu lirez mille fois plus que moi et l’océan sans limite. No problem.
D’ailleurs, on devrait tous faire ça.
Voici d’où je vous écris.
Remarquons en premier lieu qu’un désordre statique est imaginé comme un ensemble agité : les étoiles sont si nombreuses qu’elles paraissent, dans les belles nuits d’été, fourmiller. La multiplicité est agitation.Il n’y a pas, dans la littérature, une seul chaos immobile. Tout au plus on trouve, comme chez Huysmans, un chaos immobilisé, un chaos pétrifié. Et ce n’est pas pour rien que dans les livres du XVIIIème siècle et des siècles antérieurs, on voit le mot chaos orthographié cahots.
de Gaston Bachelard
In La terre et les rêveries du repos
essai
sur ce, rêveries, have nice dreams
Bérénice, il faut toujours se méfier des produits extrêmement bon marché. Le public veut payer le moins possible. D’autre part même les Chinois, vont faire manufacturer ailleurs, au Vietnam, au Cambodge, pour ne prendre que ces deux exemples.
>bérénice
mais non : je lis deux lignes et je pars en voyage.
ce n’est pas océans : c’est océans + mers + fleuves + rivières + rus + lacs + tout ce qui est liquide.
Magnifique.
Je suis sur mon petit sampan et je vogue.
Belle vie à vous ; la mienne me convient : très tranquille très silencieuse, très paisible.
Attention, Arcadius, il existe des Suisses allemands qui ne sont pas crétins.
Je vous fais également un gros bisou sur la joue, Thierry. Parce que je sais que vous ne m’en voulez pas et qu’avec le temps, vous ne pouvez que m’apprécier.
(Ils se font tous la bise en se souhaitant une bonne nuit, ce n’est plus un salon mais un dortoir !)
…
…c’est bien, en toute chose,…ne pas jeter le bébé avec l’eau du bain,…
…
…penser libre utile,…c’est bien,…mais attention à soit,…de ne devenir inutile, ou néfaste aux autres raisons,…
…
…et de plus à éviter,…des gens qui ont mal vécues,…& qui se rabattent sur leurs fonctions nouvelles de commandeurs pour » casser les couilles « ,…à ceux qui vivent tranquilles et confortables avec deux fois rien,…
…je suis pour un conservatisme » éclairé « ,…il y a dans le progrès et sa penser, une destruction de l’âme de vivre,…ses joies et ses gauloiseries primordiales à une vie pleine & équilibrée,…au moins,…pour en être encadrer de respect,…et dans la condition humaine,…
…je ne suis pas devenu de » droite & abrutis « ,…j’essaye de me concilier à tous pour le meilleur dans les articulations sociales amovibles des respects,…l’air de rien,…etc,…
…envoyez,…la plénitude,…
…
Noël en famille, chez les Kim, en Corée du Nord : un mort.
6 h 42 min
vous voyez bien que je dois revenir vous sauver des socialos
Noël en famille, chez les Kim, en Corée du Nord : un mort
tu ne comptes que les patrons..c’est a des détails comme ça qu’on voit que t’es de droite
Quant à mes secrets, je n’en ai pas. J’ai tout dit.
« il y a des choses trés secrètes et trés rares qui me mettent loin devant les autres et que je ne peux pas dire ici »
quel menteur ce cheuloux !
il faut toujours se méfier des produits extrêmement bon marché. Le public veut payer le moins possible
bref si y’avait que des riches qui « achètent de la marque » et qui emploie du personnel de maison sans papier logé à la cave, ça délocaliserait pas
me mettent loin devant les autres
excusez -le, sa tête chaloupe depuis que le filtre daafnoze (((((((((((((irresistble, comme chacun sait (((((((((((((d’ailleurs (((((toutes))))) les femmes sont jalouses d’elle )))))))))))) lui a tourné la tête
si vous n’aimez pas d’Ormesson laissez le vivre à l’ombre de votre silence
à l’ombre à l’ombre..il voulait se faire parachuter sur dubrovnique..cheuloux aurait du se taire et le laisser faire c’est ça que tu veux dire béré ? la voix de cheuloux l’a sauvé épicétou
Le Grand Leader de la RdL, Kim Jung Passou, a confirmé avoir « éliminé Lin Piao Boug, un proche de l’ancienne garde littéraire du blog, et purgé son clan rétrograde et corrompu ».
Dans un communiqué aux accents de mise en garde, le taulier du régime avait précisé que Lin Piao Boug avait formé un groupe séditieux à l’intérieur du parti et nommé des fidèles à des postes stratégiques, tel que John Brown, TKT, Chaloux, Marcel, Dédé, LML, Renato et JC, afin de servir ses ambitions littéraires.
Lin Piao Boug picolait sec entre les repas, exprimait une indépendance d’esprit nuisible à la littérature et entretenait des « relations inappropriées » avec les femmes, parmi elles, Rose, Daaphnée et Christiane. Homosexuel saisonnier, il aurait mis la main sur JB, un travesti célèbre du showbiz parisien et était devenu « affecté par le mode de vie capitaliste », poursuivait le communiqué.
« N’ayant pas voté Hollande car malade idéologiquement, extrêmement oisif et nonchalant, Lin Piao Boug consommait des quantités énormes de bon vins et gaspillait des devises étrangères dans les casinos alors qu’il était soigné à Monaco aux frais du parti littéraire », avait détaillé le Korean Drouant News, organe de presse de notre cher Grand Leader, Kim Jung Passou.
Mais oui mais oui JC t’agite pas, on sait que kim est très méchant, pas la peine de t’épuiser à écrire ta revue de presse habituelle, personne ne te lit plus de trois mots dans le meilleurs des cas- Allez, , sage, reprends un cachet
Si il y en a bien un qui n’avance pas travesti, ici, je suis celui-là, Marc-Antoine-D.-Chaloux…
Avec Daaphnée-Béré vous avez fait de ce blog un bouge sordide dont vous êtes les Thénardier.
Même Clopine-Cosette a dû s’enfuir !
L’honnête paysanne Clopine-Cosette s’est enfuie pour sauver sa vertu des assauts lamentablement corporels de Lin Piao Boug, aidé de ses serviles complices.
Honte sur eux !
« Dany Laferrière, écrivain québécois d’origine haïtienne, élu au premier tour à l’Académie française au fauteuil de Hector Bianciotti. »
Simple question : Il est possible d’être Académicien français sans avoir la nationalité française.
Un fauteuil est-il réservé à cet usage : Julien Grenn, Hector Bianciotti, Dany Laferrière ?
Julien Green, of course !
Ces critiques contre Kim m’inquiètent. On a vite fait de s’en prendre à tous les hommes enveloppés en politique.
Kim Jong-il avait répété à juste titre à son fils la vision de Staline « Les cadres décident de tout ».
Certains ici ne l’ont pas compris et se livrent au dénigrement.
Le boug c’est notre Jean Valjean, à bas les Thénardier, que visiblement il dérange dans leurs petites combines !
TKT, qui n’avance pas masqué non plus, ainsi que renato, a probablement raison, JC, D., u. sont des avatars hétéronymiques…
Et rose, qui semble bien informée en a trop dit ou pas assez…
« Ce bouge à commentaires, ce grenier à bavardages… » (Balzac).
Passou peut-il confirmer ?
Il est tant que la vérité éclate au grand jour !
baroz on est une bande de jeunes on se fend la poire
Monsieur Barozzi ! la preuve est faite que TKT et D. sont la même personne, un séminariste en fuite bien connu. Ne faites pas l’in-nocent !
Une bande de jeunes… séniors dont une ménopausée !
@10 h 03 min
tout à fait, adolphe! il faut arrêter l’invasion des cocos -monsieur françois h est bien trop à gauche
« une ménopausée ! »
quelle horreur
Faux, monsieur Barozzi ! Faux ! Tous et toutes, nous avons nos règles, ici.
JC on t’a dit de prendre tes cachets
« Il est tant que la vérité éclate au grand jour ! » (J-L Mélanchon, rassemblement du 5 décembre).
« Faux, monsieur Barozzi ! Faux ! Tous et toutes, nous avons nos règles, ici. »
Seules les toutes ont leur règles, et seulement une fois par mois.
Monsieur Barozzi ! la preuve est faite que TKT et D. sont la même personne, un séminariste en fuite bien connu.
Enfin le retour de Mgr Gayot, le dernier humaniste.
Sam,
vous connaissez JC, le servile complice de LP Boug ? Horreur ! N’en parlez plus ! Si l’on sonne chez vous, n’ouvrez pas : ce sont les miliciens de Kim Passou qui vous emmèneront mourir (d’ennui) chez les Immortels. !
Il est possible d’être Académicien français sans avoir la nationalité française. C’est très bien. Il est aujourd’hui difficile d’élire un aristocrate. Un type qui s’appelle Gaetan de la Pétaudière part avec un handicap.
A bas les hétéronymes!
Mais l’autonyme revendiqué n’est que la devanture qui cache la boutique obscure.
J’ai tout de même quelques avantages, français je parle, coloré je suis, rien écrit j’ai, maçon je réseaute !
Danny Laferrière est le fils d’un ancien maire de Port au Prince, assasiné par les tontons macoutes.
Qu’avez-vous lu de lui jacques pour vous en faire sa trompette ?
plus précisément son père a été condamné à l’exil sous papa doc, et c’est suite à l’assasinat d’un de s’est proches journaliste, qu’il a du lui-même quitter l’île pour se réfugier au Québec.
Il a été privé des siens pendant de nombreuses années, son livre l’énigme du retour est une ressouvenante qui mêle le passé et le présent avec beaucoup de poésie et de délicatesse. Il était très attaché à sa mère.
Bouguereau Chaloux représente une marque de parasol bien connue, pour ça que je soumettais l’idée, only for that,don’t you know?
Ce récit est aussi celui d’un retour mélancolique, sur une terre qu’il ne reconnaît plus , un deuil, celui de son père. Très attaché aux siens, il ne pouvait ne pas être aux obsèques de son père.
Surnom Don King.
http://evene.lefigaro.fr/celebre/biographie/dany-laferriere-3584.php
Afin de compléter la revue de presse, en recherche d’une éloge dans Libération, Minute, Charly Hebdo
Un éloge
»
Depuis Carnets d’un été (La Galerne, 1982), en passant par La Montagne (L’Aire, 1989), Comptines à l’aneth (L’Age d’Homme, 1996) ou L’Appel des hérons (L’Age d’Homme, 2011), Laurence Chauvy cisèle des textes sensibles, journaux, poèmes, nouvelles, chroniques, récits, où la nature, les jardins, les enfants, les oiseaux, l’expérience du monde au quotidien ont une part importante. Les lecteurs du Temps la connaissent aussi pour les critiques d’art tout en délicatesse qu’elle publie régulièrement dans ces colonnes. »
je vous remercie renato, ce livre donne envie de se promener dedans.
j’ai trouvé ceci sur la toile, un ouvrage de Laferrière peu connu, duquel il parle avec une certaine conviction qui lui est propre ;
J’ouvrirai ce lien juste après LB, chaque chose en son temps, priorité musique laissant cette lettre de cachet attendre la fin d’un ravissement.
Jacques Barozzi dit: 13 décembre 2013 à 10 h 13 min
Passou peut-il confirmer ?
Il est tant que la vérité éclate au grand jour !
Oui mais, ça demandera du temps, Jacounet.
tu te crois obligé de justifier en faisant des volutes et des floues..de la simplicité béré, en tout de la simplcité, même pour faire les sphinx
Le boug c’est notre Jean Valjean
causette ça rime avec lunette
Non, Barozzi, JC, D et U ne sont pas la même personne. Motivations différentes. D vient pour déconner, JC pour faire chier, U pour se faire mousser.
Quant à Chaloux, il prend la RdL pour un club de rencontres
j’ai trouvé ceci sur la toile, un ouvrage de Laferrière peu connu,
oui interssant..mais laisse sur sa faim
« si on sait comment je pense on finira par savoir comment je vis »
cette continuité entre le livre et ce que je pense et ce que je vis c’est une vieille lune de la litterature réactualisée
c’est tentant comme il le dit, seulement tentant, ce n’est pas vrai
me rappelle la fin d’un fameux film « le chanteur, pas la chanson »
allez jle remets pour l’odeur de sable chaud et baroz
« Non, Barozzi …/… D vient pour déconner, JC pour faire chier, U pour se faire mousser.
Quant à Chaloux, il prend la RdL pour un club de rencontres »
Machine-outil,
le principe de la « tournante littéraire de banlieue, dans les caves » est appliqué en RdL. Le mois prochain D. fera chier, JC se fera mousser, U. déconnera à plein tubes. Seul Chaloux abandonnera son piano, de temps à autre, pour draguer les minettes du blog…
« Le goût du baroz » chez Pipelet&Pipeau Edition
http://www.stockofolie.fr/1403-1316-large/deguisement-de-danseur-en-tutu-pour-homme.jpg
L’ennemi arrive du nord Mali pour prendre à revers les troupes de monsieur Nollande.
http://jean.calbrix.free.fr/images/chameaux.jpg
Les minettes, n’exagérons pas seulement nous rejoignons nientot l’age de Jean D’Ormesson et Chaloux dans toute sa vigueur de conquérant court le risque de la déception; vis à vis de lui j’ai déposé forfait depuis des lurettes alors que bravant les frontières monsieur Chaloux délaissait son quartier pour prendre l’aéroplane direction les gratte-ciel pour quelques compagnies en couverture. Toujours été plus vieille au point de ne pas éllaborer ni plan ni B.
Bouguereau c’est quoi cette histoire de sphinx? J’ai un nez pour preuve je ne peux pas sortir sans kleenex par temps froid, si vous souhaitez des preuves…
bérénice dit: 13 décembre 2013 à 13 h 50 min
Penser à dissuader bérénice de postuler à l’académie française.
« Coup de torchon » de l’armée de monsieur Nollande. Trésor de guerre : dix machettes et un casse-tête serti de diamants. Monsieur Giscard a mis une option sur le casse-tête.
Il semble que Charly Hebdo soit fort en politique internationale et en économie, s’ils mettent sur pied un bon service sport il peut devenir ‘le’ journal de référence.
Sans trafic nous fait de l’humour CFA, comme dirait daaphnée : ça vaut pas lourd.
Envol raté ! Le Héron vient de s’immobiliser en bout de piste.
recalé d’office dit: 13 décembre 2013 à 15 h 33 min
Sans trafic nous fait de l’humour CFA, comme dirait daaphnée : ça vaut pas lourd.
Tu travailles pour quelle agence de notation ?
« sans trafic » se rit des horreurs de la guerre, se boyaute en pissant sur les cadavres. L’agence de notation JC lui met AAA.
« dissuader bérénice de postuler à l’académie française. »
Bérénice est déjà membre de l’Académie française, sous son nom d’état civil.
Merci de votre attention.
Je lis L’envol du héron de Katharina Hagena. Roman captivant. Le billet en souligne certains aspects essentiels, j’en découvre d’autres en suivant cette parole, cette confidence. Écriture fluide. Très bonne traduction de Corinna Gepner.
Quant au titre… le « héron » est vraiment important dans le déroulement de l’histoire.
« Bientôt je prendrai mon envol. Le héron ne passe que la nuit. » p.280. Aussi L’envol du héron est une belle trouvaille.
Brrr, l’ambiance s’est drôlement rafraichie … !
Tiens, Darkness on the delta,
Cassandra Wilson,
http://www.deezer.com/track/3100180
« L’envol du héron est une belle trouvaille. »
si l’auteur avait voulu mettre ce titre là, il l’aurait mis, non?
l’auteure elle
Carals Feudeud dit: 13 décembre 2013 à 17 h 30 min
« sans trafic » se rit des horreurs de la guerre, se boyaute en pissant sur les cadavres. L’agence de notation JC lui met AAA.
Tu confonds avec les GI d’Afghanistan, d’Abou Ghraib et de Guantanamo ?
Jacques Barozzi, si tu es là, frappe trois coups.
Quand je lis Cassandre, je lui sens pousser des ailes.
« Un jour sur ses longs pieds allait je ne sais où
Le Héron au long bec emmanché d’un long cou. »
appeler principe un prétexte ça colle à notre époque jusque dans la manière de considérer le réel..
« Elle se voyait médecin-sans-frontières. »
et puis dérapage sur l’érotisme.
JB, vous aviez raison, il y a un truc qui ne parait pas clair, sur l’érotisme des MSF.
Cela participe-t-il d’une tendance littéraire outre Rhin ?
Le rêve, etc.
http://www.msf.ch/
1 pdv :
le concernant j’ai depuis longtemps déclaré forfait alors qu’il bravait les frontières délaissant abandonnant son quartier pour prendre un aéroplane en direction des gratte-ciel pour quelques compagnes en couverture de magazine. Toujours été vieille au point de n’éllaborer ni plan ni B.
Est-ce que c’est mieux?
renato, belles harmonies douces, la femme dans tous les décors? il réussit à faire naitre une frustration, à qui sont ces jambes sans visage? On aimerait bien la voir.
Bérénice, il y a mieux:
« Transgresser les frontières : vers une herméneutique transformative de la gravitation quantique »
bérénice dit: 13 décembre 2013 à 19 h 36 min
Est-ce que c’est mieux?
Non. La ponctuation, bénédicte, la ponctuation ! On vous l’a dit cent fois.
C’est quoi, un pdv, renato mon ami ?
rdv, abréviation de : rendez-vous
pdv, avréviation de : pendez-vous
gravitation quantique, pouvez vous résumer afin que je tente d’avaler le tout?
gravitation quantique : formule inventée par des journées entières dans les arbres.
signification : néant.
… point de vue…
toute suite, Bérénice:
« Needless to say, these people should not be assumed to be in total agreement with the scientific and political views expressed here, nor are they responsible for any errors or obscurities which may inadvertently remain. »
http://www.physics.nyu.edu/sokal/transgress_v2/transgress_v2_singlefile.html
D’accord avec Cassandre: la page 280 est l’une des meilleures. J’aime bien la 168 aussi, et la 93.
Il c’est une elle, bérénice :
http://heidilender.com/about
des journées je ne sais si cette synthèse des résultats de recherche dans différentes aires vous aide à vivre en tout cas je ne dispose de personne qui puisse m’aider à comprendre, je lirai peut-etre bien que ma compétence soit assez éloignée du zéro et de l’infini, d’autres profiteront de votre communication.
Chaloux, votre opinion sur d’Ormesson m’intrigue fortement. Pas parce qu’il y a « Jean d’O » tatoué sur le bras de votre petit chanteur Julien Doré que cela l’empêche d’être un écrivain? Sans doute avez-vous raison et y a t-il une dimension mystérieuse dans ce qu’il fait? Mais je pense comme Daphné qu’il sucre un peu trop les fraises, comme on dit chez vous.
Pour recadrer le débat autour du billet : Pierre Assouline, va pour ce titre « Vol du héron » – après tout, pourquoi pas, si en effet l’auteur était d’accord comme vous le suggérez. La littéralité n’a pas besoin d’être toujours au rendez vous. Ce qui est peut-être en cause ici, que l’on tente de jauger, est la vigilance que l’on prête à Anne Carrière, « éditrice ».
J’avoue avoir eu du déplaisir en découvrant le roman d’un économiste que l’on voit beaucoup à la télé française, publié chez elle (« Le gué du tigre » de Philippe Dessertine)dont on m’avait rebattu les oreilles…commercialement! Résultat ? Pontifiant, écriture sans caractère ni aucune saveur. Une sorte de sino-Paulo Coelho, désarmant de naïveté prétentieuse. Je veux bien m’aventurer du côté de Katharina Hagena, mais Anne Carrière aurait intérêt à revoir ses critères, si elle veut convaincre. Un bon expert ou un bon journaliste en vue ne fait pas forcément un bon auteur!
Ou alors ce sera dormir, dormir…ou mourir (d’ennui!)
bérénice dit: 13 décembre 2013 à 20 h 30 min
aucune importance Bérénice; il faut parfois accepter de ne parler qu’à » quelques uns ».
Je tiens cela d’en haut lieu.
Vous vouliez un remède contre l’insomnie ?
Autre que vous coudre dans une peau d’âne scotchée au front, un bec de héron?
Alors, peut-être qu’une bonne camomille.
Le concernant j’avais eu à déclarer forfait, alors qu’il passait les frontières,délaissait ses quartiers pour des allers qui le laissaient au sommet des gratte-ciel en compagnie d’une couverture de magazine, sans retour possible, au point qu’aucun plan B ne put être écrit.
Des journées loin de vos préoccupations, je pensais dînant seule à seule avec moi-même à cette loi qui vise à amender sévèrement les clients des prostitué(e)s et voyait que cette loi allait accentuer le clivage social dans les différents réseaux dédiés à cette activité, d’un coté la base dans la rue qui ne pourra pas échapper au contrôle sur l’autre rive les escort qui travaillent pour de plus ou moins riches clients que les autorités n’iront pas inquiéter avec entre ces deux extrémités des procédés que je ne connais pas.
Qu’en pensez-vous sans que ce soit question de peau, d’âne, de bec de héron?
@Helmet Smith dit: 13 décembre 2013 à 20 h 00 min
Toujours difficile, rieur, de citer sans dévoiler. Ces pages où passe le héron (domaine de Marthe) nous font entrer progressivement dans un conte envoûtant* (complètement étranger aux fables de La Fontaine !) et que le récit de la narratrice, Ellen, décortique le réel avec une précision redoutable quant aux causes de l’insomnie et aux secrets de famille…
* »p.56
« Les hérons cendrés sont tous d’un gris différent, certains très clair, d’autres presque noir, des tons de cendre et de poussière. Et pour finir, il y a des jours où leur plumage paraît bleu. Peut-être qu’il reflète l’eau et que l’eau reflète le ciel et que le ciel reflète le plumage du héron.(…)Le héron est un messager de mort… »
je ne dispose de personne qui puisse m’aider à comprendre (Bérénice)
Dit comme ça, c’est touchant, mais qui ne pourrait en dire autant ?
si en effet l’auteur était d’accord comme vous le suggérez. (Caroline)
Assouline n’a rien suggéré du tout, il a aimablement éludé le problème. Considérons qu’il suppose que l’auteur était d’accord.
@des journées entières dans les arbres dit: 13 décembre 2013 à 19 h 02 min
Le héron au long bec vous conseille la lecture d’une nouvelle d’Edith Wharton : Xingu.
d’un coté la base dans la rue qui ne pourra pas échapper au contrôle sur l’autre rive les escort qui travaillent pour de plus ou moins riches clients que les autorités n’iront pas inquiéter (B;)
C’est vrai que, comme disait Sartre, il est toujours déconseillé de désespérer Billancourt.
Effectivement, gravitation quantique ne veut pas dire grand chose. On devrait dire gravitation (expliquée) au niveau quantique.
De toutes façons, personne ne l’explique encore sauf moi.
quantique dédé..srv y faisait toujours mieux qu’les autes
» il y a un truc qui ne parait pas clair, sur l’érotisme des MSF « … .. .
Bof,
trop de viande,
chaque jour sa pinte,
alors l’érotisme…
Au plus simple des pulsions,
pas le temps d’aller plus loin.
La pinte de sang vous appelle,
encore et encore,
chaque jour…
Bien heureux si il reste du PQ pour faire les pansements.
Que voulez-vous,
le PQ : c’est hygiénique !,
quant-il y en a !!!.
Mais qu’a donc répondu Modigliani ??? ?? ?.
N’ed’Diou !.
On a pu lire ici ou là que tel ou tel tiendrait Oedipe Roi de Sophocle pour la plus belle pièce du monde peut être. Le vers 33
ἀνδρῶν δὲ πρῶτον ἔν τε συμφοραῖς βίου
confirme que des pièces de l’humanité elle est bien la première.
…
…ou en somme nous,…
…autant me réveillez ailleurs,…etc,…
…
Je pense quand même que le littéraire est toujours plus proche de la vérité que la grande majorité des métaphysiciens.
Ne vous frottez pas trop vite les mains : non seulement je suis littéraire, mais en plus j’appartiens à la très petite minorité des métaphysiciens qui détiennent les clefs de l’univers.
Maintenant, vous pouvez tous aller vous faire .. chez Bouguereau.
C’est une voie comme une autre pour aboutir à la connaissance des clefs de l’univers, mais elle est un peu plus longue que d’autres.
…
…mon Dieu,…j’ai collecter tellement de livres utiles,…( réorganiser ma bibliothèque )!,…
…des titres scientifiques à dormir debout,…des livres pour le progrès, la technologie de pointe,…les médecines,…la prévention d’abrutis de souches sûres,…
…la bourse et ses stratagèmes,…sans la Générale,…juste avec la colonelle,…la partouze je vous dis pas,…les danseuses à Cléopatre,…Oui,…à droite du milieu,…
…
…elle sort du couvent à Cu(l)-bas,…tout ces gestes gothiques,…ces bras d’honneurs,…la mutine du saint-siège sans doute,…etc,…
…çà nous fait chaud au coeur,…etc,…
…Allo!,…Cognac’j’ai,…du Bordel sur Air!,…l’avant garde lève le train,…arrière toute,…Moussaillon!,…etc,…
…rêver peut-être,…envoyez!,…
…
…
…aucun problème,…Mystère,…D,…je m’ennouie un peu vite!,…de tout,…
…riche de projet pour le paradis sur terre!,…
…tout le monde se contente de très peu!,…
…un génie de la lampe d’Aladin,…à rêver encore!,…etc,…
…
en fait JC et le faux interprète en langue des signes est une seule et même personne
sont
Cassandre, si c’est encore des histoires à dormir debout réveillé, il faut donner le lien:
http://www.gutenberg.org/files/24131/24131-h/24131-h.htm
Cassandre, vous prenez combien pour une séance d’ornithomancie ?
Tiens, Cassandre est doublée d’un(e) nouveau(elle) Cassandre(7:24). Nous n’apprécions pas les mêmes films ! Le dernier vu « La Vénus à la fourrure » de Polanski était superbe.
« Dormir, rêver »… S’agissant de ce blog, il ne fait plus du tout « rêver » ou alors uniquement dans le sens du cauchemar, ceci à cause de certain commentateur qui s’entend à le gangrener. Qu’attend le docteur Assouline pour pratiquer la seule opération qui puisse encore le sauver : l’amputation ? Personne ne songerait à reprocher à un chirurgien d’interrompre la progression de la pourriture.
D’un autre côté Cassandre, il est tolérable que certains billets soignent un lectorat, plus platonicien, féminin tendance psycho magazine, moyenne d’âge élevée, quoique jeune écervelée puisse aussi convenir, de toute façon sentimentaliste, genre extatique devant la dislocation de la madeleine dans une tasse de thé; disons en un mot : lectorat apte aux » signes ».
Ce pour quoi, perso, j’applique la tolérance zéro.
Vous reprendrez bien un peu d’Alain, avec le café ?
« Qu’est-ce donc que dormir ? C’est une manière de penser; dormir, c’est penser peu,
c’est penser le moins possible. Penser, c’est peser; dormir, c’est ne plus peser les
témoignages. C’est prendre comme vrai, sans examen, tout murmure des sens, et
tout le murmure du monde. Dormir, c’est accepter; c’est vouloir bien que les choses
soient absurdes, vouloir bien qu’elles naissent et meurent à tout moment; c’est ne pas trouver étrange que les distances soient supprimées, que le lourd ne pèse plus, que
le léger soit lourd, que le monde entier change soudain, comme, dans un décor de
théâtre, soudain les forêts, les châteaux forts, les clochers, la montagne, tout s’incline comme au souffle du vent, avant de s’engloutir sous la scène.
Oui, quand nous dormons, nous sommes un peu comme au théâtre; nous ne cherchons pas le vrai, du moins pour le moment; aussi accueillons-nous, sans surprise, les fantômes ridicules et les fantômes terribles. Au fond de nous subsiste une confiance dans les choses, une confiance dans la raison, une confiance dans la cité, et dans les portes fidèles, qui fait que nous nous disons : si je voulais examiner, si je voulais interroger ces fantômes, j’apercevrais autre chose qu’eux, par quoi je les expliquerais; je retrouverais, dans ce chaos, le monde; et, au lieu d’admirer la disparition subite du château fort, du pont et de la mer, j’admirerais l’art de l’ingénieur
et l’adresse du machiniste.
Eh bien, se réveiller, c’est justement se décider à cela. Se réveiller, c’est se refuser à croire sans comprendre; c’est examiner, c’est chercher autre chose que ce qui se montre; c’est mettre en doute ce qui se présente, étendre les mains pour essayer de
toucher ce que l’on voit, ouvrir les yeux pour essayer de voir ce que l’on touche; c’est
comparer des témoignages, et n’accepter que des images qui se tiennent; c’est
confronter le réel avec le possible afin d’atteindre le vrai; c’est dire à la première apparence : tu n’es pas. Se réveiller, c’est se mettre à la recherche du monde.
L’enfant, dans son berceau, lorsqu’il apprend à percevoir, quelle leçon de critique il
nous donne ! »
Salut,
fais pain d’épices, sablés, croquants, cookies and so on. Les biscuits l’emportent sur le reste.
Pas de sapin, pas de crèche, pas de neige sur les vitres, pas de nougat, pas de pâté en croûte, année sabbatique.
Pas le temps de rêver.
Pourtant cette nuit, M. a débarqué dans mon jardin au volant d’une immense voiture décapotable beige et verte. Alors qu’elle n’a pas le permis. Comme celle de Maria in Mankiewicz, la Comtesse aux pieds nus. Pourvu qu’elle se garde. Elle était en alerte rouge.
dois prier une autre Maria.
Cela marche, cela marche : un est ressuscité, alors que crucifié.
510 marches au dôme en priant Marie, ah et hop. C’est vrai, François en bas priait aussi avec l’armada de cardinaux.
Tant qu’à faire les choses autant les faire bien.
Se faire épauler par François, ce n’est pas donné à tout un chacun.
Y’a un lien ?
C’est pas sûr. Moi je crois que oui.
Voili, voilà, voiloù.
bises, à +
soyez sages.
Les signes on y croit ou on n’y croit pas.
Les prières pareil.
Maintenant quand on croit à rien, on peut encore croire à la Poste.
Un bouquin, une BD, des chocolats (pour moi ce sera un bijou de la joaillerie, merci) un timbre (trois quatre qui coûtent la peau du cul) une adresse et hop. Je (tu)(elle) participe (s) (-) avec des espèces sonnantes et trébuchantes.
Moi, pour le bijou, je suis d’accord.
Pas du toc.
Un vrai.
Mon adresse est sur le bottin.
J’ai une grande boîte aux lettres, de dimension standard. Elle a été posée contre mon gré.
Mais depuis, elle y est.
Si c’est plus gros que la boîte aux lettres, je recevrai le facteur qui sonnera la cloche (là je tends le ba^ton, je le sais).
Avec toi j’y arriverai aussi, mais tu passes en deux alors que tu es en un. Question d’urgence. On peut pas être partout à la fois.
Bises.
Je sais déjà comment ; enfin, j’entrevois, j’entraperçois. D’abord, les gros blessés ; les petits ensuite, les tout petits TKT enfin. Il m’énerve, il m’énerve : il ne sait pas parler aux femmes, tu as cet avantage sur lui (et celui de ne pas être commercial !!!).
Et que je jette mes deux yeux sur toi.
A la Méjane aujourd’hui grande fiesta sur Camus. « Sa dernière conférence était le 14 décembre 1959 à l’IEF pour étudiants étrangers. Conférence relatée dans La Semaine à Aix du 13 janvier 1961 un an après sa mort accidentelle. »
Le 14 décembre 1957 « il prononçait une conférence devant les étudiants d’Uppsala qq. jours après la remise du prix Nobel de littérature publiée dans les discours de Suède sous le titre « l’artiste et son temps ». »
Hier, ai vu un bout de l’expo, en courant, toute en vidéos, géniale et moderne conception. Aujourd’hui et demain je verrai la suite.
Il écrit que -pour toi- journaliste est le plus beau métier du monde à condition de …(je noterai la suite ensuite).
Bises.
Arrête de râler.
Mets-toi en mouvement.
Transmets.
Donne.
Je veux bien un bijou moi aussi.
___________________________________________
Entre Francine et Janine y’a pas photo Francine est superbe. Janine aussi mais son Michel Gallimard de mari est moche comme un pou.
Gala, Images du monde. Voici.
__________________________________
Camus plus là, ses écrits restent.
Suis étonnée que personne ne soit à Aix pour fêter ce centanaire.
Nous aurions mangé ensemble à la brasserie Léopold à deux pas du cours Mirabeau. Nous aurions ensuite regardé une toile du moyen-âge, une annonciation dans l’église trucmuche, vu Casablanca avec Bogard l’inouï.
Et baisé sans ustensiles.
Nous aurions été heureux.
Et amoureux.
C’est pas grave.
C’est la vie.
Courage.
Allez de l’avant.
J’voudrai bien vous galvaniser…
Baiser sans aimer ça sert à rien.
Bon, Bérénice, ma Bérénice à moi, qu’est-ce que vous fichez ? Encore au pieu ?
@des journées entières dans les arbres dit: 14 décembre 2013 à 9 h 07 min
Hors préambule… ces lignes d’Alain sont intéressantes comme celles de D.Mabin (professeur de neurologie) sur « Le sommeil de Marcel Proust » qui montrent la façon anarchique qu’avait ce dernier de traiter ses insomnies.
Mais dans le roman de K.Hagena l’insomnie sert de toile de fond à l’écriture des souvenirs, à l’explorations des caractères et des mystères des personnes qui entourent Ellen, la narratrice :
« La fatigue recèle l’ardent désir du sommeil et la somnolence le souhait que le sommeil s’éloigne.(…) qu’est-ce qui est pire ? Éveil,fatigue, somnolence, toutes les différences semblent se fluidifier. Les pensées liquidées deviennent des rêves.(…) Je ne suis plus fatiguée, je suis épuisée. Épuisé, c’est bien plus que fatigué. Dans ma tête bruissent des bribes de mon ouvrage… Dans l’épuisement, n’y-a-t-il pas la possibilité de puiser dans un vide ?… »
On ne peut s’appuyer sur une œuvre romanesque pour étudier le sommeil et l’insomnie car le réel y est transformé et utilisé par la fiction. Admise cette réserve, ce roman est loin d’être détestable ou ennuyeux. Il est même très original dans sa construction à deux voix entre récurrence de veilles, d’insomnies et de rêves guettés par l’oubli (Le cahier et la métamorphose de Marthe n’en sont-ils pas un) ?
TKT est « commercial » ?!
Je ne vous permets pas de parler comme ceci à mon meilleur ami, Rose. Retirez-ça tout de suite s’il vous plait.
parler comme ceci à mon meilleur ami
fais pas ton commercial dédé
« Comment/pourquoi Elisabeth Monteiro Rodrigues a réintitulé « La main de Joseph Castorp » le roman de Joao Ricardo Pedro »
Réponse oiseuse et traduction gratuite !
La traduction littérale : « Ton visage sera le dernier », ne me parait pas « plate ». Elle fait un peu roman-photo, mais correspondait peut-être à la volonté de l’auteur portugais ?
« Ton cul sera le dernier et tu porteras mon deuil» ..ça ça fait matamor baroz
Cassandre, c’est un peu dans l’urgence que je vous lis.
Les somnologues y trouveront peut-être leur compte:
http://www.sfrms-sommeil.org/sommeil-et-culture/sommeil-et-culture-1/
Marcel est une source intarissables de recherches en tous genres.
J’ai préféré celle relative à la botanique.
A bientôt, je vous souhaite un bon week-end.
ps: je ne lirai pas la dame Hagena.
« La main de Joseph Castorp »
vontraube édition aurait ajouté juste des pointillé « La main de Joseph Castorp … » polo aurait rien a dire, c’est fair
anciennes colonies allemandes du Sud-Ouest africain, découvre un .
—
Actuelle Namibie, théâtre d’un génocide encore trop souvent oublié, le premier du 20e s, celui des Héréros et des Namaquas, en 1904-1907, au cours duquel fleurirent les massacres de masse, les famines forcées, les camps de concentration, les expériences médicales sur les vivants, tout un arsenal de déshumanisation dont allaient se ressaisir les Nazis pour purger des « indésirables », non leurs colonies africaines, mais leurs possessions européennes. Preuve, s’il en fallait, que le soit-disant franchissement du seuil de violence lors de la Première Guerre mondiale est surtout un franchissement « territorial »: les atrocités que s’infligèrent entre eux les Européens avaient déjà été infligées par les Européens aux peuples non européens, colonisés ou convoités. Nombre des généraux de 14-18 étaient d’ailleurs d’anciens des campagnes coloniales (Kitchener, Allenby, French, Galliéni, Lyautey, Mangin, von Falkenhayn…) Les guerres coloniales furent comme l’antichambre de la grande boucherie.
L’Allemagne a reconnu officiellement sa responsabilité dans ce génocide en 2004. Ce qui honore ses dirigeants d’alors, Gerhard Schröder en particulier.
Nombre des généraux de 14-18 étaient d’ailleurs d’anciens des campagnes coloniales
tu enfonces là des portes ouvertes, le mépris des vies humaines et la possiblité d’assumer un « sacrifice » vient de loin..mais n’oublie pas la technologie, tout devait se terminer rapidement, « à la baionnette » dans un bon bain de trop de sang.. mais bienvenue dans le 20éme siècle, et nous gonfle pas avec chrodeur « en particulier » steuplait
les atrocités que s’infligèrent entre eux les Européens avaient déjà été infligées par les Européens aux peuples non européens, colonisés ou convoités
..faudrait organiser un serrage de main de dieudonné à montoire
« Les guerres coloniales furent comme l’antichambre de la grande boucherie. »
Les guerres napoléoniennes aussi. La Saint-Barthélemy, pareil, celle du Péloponnèse, de même … Enfonceur de portes ouvertes !
De Marine Le pen à Hollande l’Africain, tout le mode s’accorde pour rejeter le rapport sur l’intégration remis récemment au gouvernement.
Celui-ci préconisait : d’«Assumer la dimension “arabe-orientale”» de la France.
A force d’occulter la réalité, nos « responsables » politiques ne devront pas s’étonner si celle-ci se rappelle à nous de façon intempestive !
DORMIR, DORMIR ! RÊVER PEUT-ÊTRE !
« Nombre des généraux de 14-18 étaient d’ailleurs d’anciens des campagnes coloniales »
En Algérie, bon nombre étaient des anciens d’Indochine. Au Vietnam, des Ricains avaient déjà combattu en Corée : ça s’appelle le suivi, faire carrière ! Misère … il faut toujours tout lui expliquer. Décaper la couche.
Monsieur Barozzi, vous voulez parler de, dixit notre Premier « l’excellent rapport des experts consultés », rapport de Tuot en lecture sur le site du gouvernement ?
des journées entières dans les arbres dit: 14 décembre 2013 à 9 h 07 min
Vous reprendrez bien un peu d’Alain, avec le café ?
« Qu’est-ce donc que dormir ? C’est une manière de penser; dormir, c’est penser peu,
c’est penser le moins possible.
Parole de penseur !
@des journées entières dans les arbres dit: 14 décembre 2013 à 10 h 51 min
Bon week-end aussi !
Une petite virée dans « Exils » de James Joyce ? Pas du tout pour « un lectorat, plus platonicien, féminin tendance psycho magazine, moyenne d’âge élevée, quoique jeune écervelée puisse aussi convenir, de toute façon sentimentaliste, genre extatique devant la dislocation de la madeleine dans une tasse de thé » !
ça s’appelle le suivi, faire carrière !
kabloom a raison la « culture » militaire coloniale a eu son vache d’effet..la scène de l’état major français dans un chateau de la loire dans les sentiers de la gloire est magnifique à ce titre..rien que ça justifiait l’interdiction du film
Les mots seraient-ils revalorisés à devenir des e-mots ?
« En Algérie, bon nombre étaient des anciens d’Indochine. Au Vietnam, des Ricains avaient déjà combattu en Corée »
En 14-18???
Sérieusement, dormir ? Utile pour que la carcasse récupère des forces. Rêver ? Connexion neuroniques aléatoires, inconscientes et incohérentes.
Secteur bien exploité par les poètes, les romantiques, les écrivains, les ivrognes, les psychanalystes et les politiques !
« tout le mode s’accorde pour rejeter le rapport sur l’intégration remis récemment au gouvernement.
Celui-ci préconisait : d’«Assumer la dimension “arabe-orientale”» de la France. »
« tout le monde » ?
Assumer cette dimension entre autres, çaferait mauvais genre?
Il faut suivre a raison ! Il faut assumer la dimension « arabo-orientale » de la France. Réécrire l’Histoire de France à la lumière de cette vérité.
Les razzias sarrazines étaient une apport extérieur enrichissant, l’esclavage n’est que le fait de Blancs hétéros européens, Charles Martel a été battu à Poitiers, et la diversité est notre avenir !
ta gueule et dehors boudegras le pollueur
Tout doux ma morue sèche, mon cancrelat, mon pou, ô ma femme!
..ta gueule Madame Keupu épicétou
Épicez tout !
Du Japon au Brésil, universitaires, éditeurs et traducteurs se disputent l’oeuvre de Pascal Quignard
Singulier, tout de même, le succès de cet écrivain inégal et surfait.
Se disputent ?
Bigre !
Un effet pervers du Goncourt ?
Quignard,est un auteur promu par le réseau culturel français, ce qui est plutôt bien, car dans les circuit plus « privés », il lui serait plus difficile, voire impossible d’exister.
C’est bien que nous servions encore à ça, même si je ne suis vraiment pas un grand fan de cet écrivain « francophone » (francoscribe, plutôt, non?).
Au train où vont les choses, le réseau aura disparu dans dix ans. il faut que les écrivains et autres « créateurs » subventionnés le sachent et en profitent.
Ce n’est pas la demande qui fait défaut, juste l’offre qui n’assure plus.
————-
« Après Modiano, NDiaye, Le Clézio, Michon et Chamoiseau, l’Institut français consacre une nouvelle monographie à l’un des écrivains francophones majeurs de notre époque : Pascal Quignard. Ce livre-CD de la collection « Auteurs » est coédité avec les éditions Gallimard et Grasset, en partenariat avec l’Ina. Il sera disponible en librairie dès avril et sera diffusé à l’ensemble des Postes du réseau culturel français à l’étranger, en accompagnement d’une tournée qu’effectuera l’auteur, dans un certain nombre de pays, en 2013 et 2014, avec le soutien du Département livre et promotion des savoirs de l’Institut français. »
—————
http://institutfrancais.com/fr/actualités/pascal-quignard-dans-la-collection-auteurs-de-linstitut-fr
« C’est bien que nous servions encore à ça ».
On se console comme on peut ! Vanitas vanitatum omnia vanitas,
Une pincée de sable comme un rêve,
« Le nombre de pages de ce livre est exactement infini. Aucune n’est la première, aucune n’est la dernière. Je ne sais pourquoi elles sont numérotées de cette façon arbitraire. Peut-être pour laisser entendre que les composants d’une série infinie peuvent être numérotés de façon absolument quelconque. »
Le livre de sable, Borges
pas de virgule après Q.
Jacques Barozzi dit: 14 décembre 2013 à 11 h 37 min
DORMIR, DORMIR ! RÊVER PEUT-ÊTRE !
non mais ça joue ou quoi de hurler ainsi comme un adjudant ?..
La ligne est composée d’un nombre infini de points ; le plan, d’un nombre infini de lignes ; le volume, d’un nombre infini de plans ; I’hypervolume, d’un nombre infini de volumes… Non, décidément, ce n’est pas là, more geometrico, la meilleure façon de commencer mon récit. C’est devenu une convention aujourd’hui d’affirmer de tout conte fantastique qu’il est véridique ; le mien, pourtant, est véridique.
Le livre de sable.
Bruno Gollnisch reprend les propositions de Bernard Lugan, africaniste d’extrême droite, proche de l’Action française : « La ‘seule solution’ estime [M. Lugan], pour éviter le chaos actuel aurait résidé dans ‘un partage territorial équitable’, ce que le pouvoir blanc de l’époque n’a pas su ou voulu faire, en lieu et place du ‘projet mondialiste de melting pot’ actuellement en vigueur avec les conséquences dramatiques que l’on sait pour tous les Sud-Africains. » En résumé, un « développement séparé »…
—
On se souviendra que certains fafs sévissant sur ce blog ont montré beaucoup de respect pour B.Lugan.
Il existe bien heureusement un monde réel hors le blog, où l’on appelle un chat un greffier, and a spade a flipping shovel.
They can fool some of the people some of the time, etc…
Tout à fait d’accord avec la proposition d’A. Neuhoff.
Bonjour D , voici d’une archive :
M. de Marnières, commandant en 1758 le vaisseau l’_Achille_; M. le Comte
de Grasse, le _Zéphir_; & M. Dumas, la frégate la _Syrène_; ces bâtimens
ayant tenu des croisières très-longues devant l’île Sainte-Hélène, tous
leurs équipages furent attaqués de scorbut à un très-haut degré, les
Maîtres même & quelques Officiers n’en furent pas exempts. On relâcha à
la baie des Saints; mais ces vaisseaux ayant été obligés d’en partir,
avant que les équipages fussent rétablis, & les viandes manquant
entièrement, on fut obligé de s’approvisionner de riz pour retourner en
France: cette seule nourriture rendit la santé aux équipages, malgré la
longueur de la traversée, entreprise dans une saison avancéeM. de Marnières, commandant en 1758 le vaisseau l’_Achille_; M. le Comte
de Grasse, le _Zéphir_; & M. Dumas, la frégate la _Syrène_; ces bâtimens
ayant tenu des croisières très-longues devant l’île Sainte-Hélène, tous
leurs équipages furent attaqués de scorbut à un très-haut degré, les
Maîtres même & quelques Officiers n’en furent pas exempts. On relâcha à
la baie des Saints; mais ces vaisseaux ayant été obligés d’en partir,
avant que les équipages fussent rétablis, & les viandes manquant
entièrement, on fut obligé de s’approvisionner de riz pour retourner en
France: cette seule nourriture rendit la santé aux équipages, malgré la
longueur de la traversée, entreprise dans une saison avancée
Mémoire sur les avantages qu’il y auroit à changer absolument la nourriture des gens de mer
Antoine Poissonnier-Desperrières
François-Célestin de Loynes La Coudraye
Elizabeth II n’aime pas qu’on lui vole ses cacahuètes
francetv info
Par francetv info – Il y a 3 heures 0 min
Rance info, c’est toujours l’heure des infos palam, palam, palam.
Il y a parfois des coquilles délicieuses.
PRÉFACE DE LA PREMIÈRE ÉDITION.
Il faut au moins quatre personnes à aggraver une sauce de salade, disent les
Espagnols. Les incompatibilités nécessaires ne pourront jamais coexister en un. A
dépensier doit gaspiller l’huile,et un avare distribuer le vinaigre. A
sage devrait passer le sel, et un fou devrait faire de l’agitation.
It requires at least four persons to compound a salad sauce, say the
Spaniards. The requisite incompatibilities can never co-exist in one. A
spendthrift should squander the oil, and a miser dole out the vinegar. A
wise man should dispense the salt, and a madman should do the stirring.
John Brown, vous êtes prié contre Elisabeth Monteiro Rodrigues (dans l’encadré La version du traducteur, en haut à droite) qui a traduit le titre « O teu rosto será o último » par « La Main de Joseph Castorp ».
…vous êtes prié de vous déchaîner contre…
on le dit: 14 décembre 2013 à 15 h 33 min
Merci pour la remarque délicieusement porno.
Non, je voulais dire que j’avais involontairement omis le F de France et que le traitement de texte, intelligent, m’a mis une majuscule à R, puisque lettre débutant une phrase. Cette coquille donc, n’était pas en relation avec les cacahuètes de la reine d’Angleterre.
Elisabeth Monteiro Rodrigues avait déjà traduit un livre précédent de Pedro : « En lo culotto deu zouavo ! ».
« La main de Joseph Castrop » s’imposait tout naturellement pour celui-ci.
En 1759, l’escadre de M. le Comte d’Aché manquant de provision de toute
espèce, tous les équipages ne subsistèrent, pendant près de trois mois,
qu’avec du riz cuit à l’eau sans autre assaisonnement. Le vin, le
biscuit, la farine & les salaisons manquoient absolument, & les Matelots
furent réduits à l’eau & à une très-petite quantité d’eau-de-vie de riz:
malgré cela, M. le Breton, Chirurgien-major, & plusieurs autres
personnes de l’escadre, ont assuré que les équipages ne s’étoient point
ressenti de cette disette apparente, & qu’à un peu de répugnance près
que les Matelots avoient d’abord montrée pour cette nourriture fade, on
ne pouvoit rien dire qui ne fût à son avantage.
Marc Antoine dit: 14 décembre 2013 à 11 h 59 min
ton maître borgne …
Jacques Barozzi dit: 14 décembre 2013 à 10 h 48 min
« Comment/pourquoi Elisabeth Monteiro Rodrigues a réintitulé « La main de Joseph Castorp » le roman de Joao Ricardo Pedro »
Réponse oiseuse et traduction gratuite !
La traduction littérale : « Ton visage sera le dernier », ne me parait pas « plate ». Elle fait un peu roman-photo, mais correspondait peut-être à la volonté de l’auteur portugais
non ça ne fait pas du tout roman photo- bien sûr que ça correspond à la volonté de l’auteur portugais -les éditeurs n’ont pas coutume d’imposer aux écrivains les titres des ouvrages de ces derniers
la traduction française du titre est racoleuse et absurde
John Brown, vous êtes prié contre Elisabeth Monteiro Rodrigues (dans l’encadré La version du traducteur, en haut à droite) qui a traduit le titre « O teu rosto será o último » par « La Main de Joseph Castorp ». (On le dit)
Merci de me prévenir. J’y vais de ce pas. comme dit le père Assouline : adaptez, adaptez, il faut s’adapter. l’adaptation, c’est la vie, c’est l’avenir, Darwin le savait déjà. Fort de mes connaissances, j’ai entrepris une nouvelle traduction de « l’agent secret », de Conrad, que je rebaptise « La gente secrète », et d’ « Ulysse de Joyce, que je rebaptise « Télémaque ».
Entre les Macé-Scaron qui pompent à droite et à gauche et les traductrices qui changent les titres, ré-écrivent les romans, on peut dire que la littérature contemporaine, c’est vraiment le grand n’importe quoi ; ça adapte à fond la caisse ! Le père Assouline circule parmi tout ça en balançant de grands coups de goupillon. Tous bénis, y a pas de souci.
Darwin le savait déjà
la selection naturelle n’est pas l’adaptation au milieu bordel de cul..lamarkiss!
délicieusement porno
les string en cachou de jean marron cheuloux se jette pas dessus..il se fait prier
La littérature est un produit.
har frankreich
http://31.media.tumblr.com/b61d50ef2544a3ba757aaeae17ef4184/tumblr_mxrnwyXS8a1riif31o1_500.jpg
La littérature est un produit
..it’s a good shit dirait kabloom..
En lo culotto deu zouavo !
tout de suite on sait que ta soeur a dla moustache
la selection naturelle n’est pas l’adaptation au milieu
Notre Bouboug’, purriez-vous précisez cette pensée profonde ?
Oh siiiiiiiiiiiiiiiiii .
Je vous vois très en verve, ce soir .
darwin c’est à la fois simple et trés difficile a comprende..tout change, ni adaption ni mérite..les favorisés niquent. point.
la selection naturelle n’est pas l’adaptation au milieu
c’est les plus forts qui gagnent
Je sens Daaphnée à deux doigts de proclamer une évidence : les Ecologistes ne comprennent rien à la nature.
« les favorisés niquent. point. »
…solférinien…!
« Télémaque ».
Il ne manque pas de culot ce Jauni Brownie, je vois d’ici Fenelon se redresser dans sa tombe ..
Remarquez, pourquoi ne pas voir dans Ulysse, un apprentissage ? Sand Dieu ( quoique !) ni maître ?
Après tout..
les favorisés niquent. point.
Certes. Mais les défavorisé, mon Boug’ préférés, qu’en faites-vous ?
Ici, ils ne manquent pas pour défiler la pancartes collées sur le front et va-z’y rarcisssste, fasscho et j’en passe !
Si en plus vous leur dites qu’ils sont condamnés à ne pas baiser ..
Ce n’est pas moi qui dirai le contraire, non.
Mais vous, vous allez faire des grincheux, non ?
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