Pardonnez Moix, sauvez Sureau !
Qui déjà disait : « Pardonnez-moi, mais je n’ai pas eu le temps de faire court ? » En cherchant un peu, on finit par trouver. Non pas l’un de nos contemporains à la formule facile, mais un très grand d’autrefois. D’ailleurs, la citation exacte est :
« Mes Révérends Pères, mes lettres n’avaient pas accoutumé de se suivre de si près, ni d’être si étendues. Le peu de temps que j’ai eu a été cause de l’un et de l’autre. Je n’ai l’ait celle-ci plus longue que parce que je n’ai pas eu le loisir de la faire plus courte…»
Ainsi Pascal s’adressait-il aux jésuites à la fin de sa seizième Provinciale, le 4 décembre 1656. Il faudrait conserver ces lignes en tête lorsque la tentation nous prend de juger hâtivement de la longueur d’un roman, de la durée supposée de sa lecture et partant du nombre d’heures qu’elles voleront à notre fugace existence dans le monde terrestre. Ainsi en avons-nous lu ou entendu plus d’une fois, ici ou là, ces jours-ci des critiques dénoncer la brièveté de Le chemin des morts (55 pages, 7,50 euros, Gallimard) de François Sureau et la longueur de Naissance (1143 pages, 26 euros, Grasset) de Yann Moix. Elles étaient jugées également abusives et néfastes à leur carrière en librairie.
L’important est de trouver la bonne distance. Certains auteurs la trouvent à leurs débuts et ne s’en éloignent jamais (le cas de Modiano) ; d’autres ne cessent de varier les plaisirs. La plupart s’adaptent aux exigences de chacun de leur roman. On connaît peu de romanciers qui décident au moment de s’y mettre qu’ils vont écrire un texte de 172 pages ou de 865 pages. L’histoire dicte sa loi, elle impose son rythme, sa cadence, sa musique d’où découlent un certain nombre de pages. Le récit de Sureau fait à peine une cinquantaine de pages et la chose de Moix près de mille deux-cents pages. Et alors ? On écrit sous l’empire d’une nécessité, surtout ce genre de romans, et le reste suit. Le nombre de pages correspond à l’économie du livre.
On dira de Naissance que son auteur en fait trop, ce qui est vrai, mais n’est-ce pas le moins pour raconter la venue au monde d’un personnage qui est né sous le signe de l’excès, qui exagère, qui pousse à bout. C’est burlesque, grotesque, hénaurme, baroque, passionnant, exaspérant, profus, gonflé, insolent, énumératif, mégalo, poétique, drôle, pathétique, épique, démesuré. Un véritable torrent, mais de quoi au juste ? Une citation, une seule là où l’on eût craint d’en trouver quinze, en épigraphe : « Dieu n’ayant pu faire de nous des humbles fait de nous des humiliés » (Julien Green, Journal). Pourtant, en lisant le monstre, ou plutôt en s’en emparant à la diable par paquets, ici ou là, de temps en temps et certainement pas dans une lecture en continu, une autre citation ne nous a pas quitté : « C’est naître qu’il aurait pas fallu. » (Céline, Mort à crédit). Impossible de réduire ce roman à un résumé, celui-là plus encore que les autres qui sont de toutes façons irréductibles à une histoire même si elle donne une petite idée de ce que le livre a dans le ventre. C’est évidemment de lui qu’il s’agit, et de sa sensation du monde : l’histoire surécrite d’un enfant qui surnaît en venant au monde déjà circoncis, ce qui est mal vu dans une famille catholique. Des pages éblouissantes qui forcent vraiment l’admiration y côtoient en permanence des tunnels où un chaos syntaxique s’accumule et s’agrège à faire fuir. Il faut alors passer son chemin pour se perdre plus loin et retrouver une densité aussi étourdissante. Moix ne se refuse rien, et si une digression doit courir sur vingt pages, qu’elle courre ! Rien n’est hors-sujet puisque le sujet est partout. Enfin un auteur qui s’autorise ! Enfin, presque : à la demande de son éditeur, il a supprimé la mort dans l’âme une lettre d’amour à une Coréenne qui occupait, il est vrai, les cinq-cents dernières pages… Une chose est sûre : celui-là est bien un écrivain qui ne place rien au-dessus de la littérature. Sans ses outrances, pas de fulgurances. Il est bien la somme des violences de toutes natures qu’il a subies. Naissance, on peut en dire ce qu’on veut, mais consacrer l’essentiel de son jugement critique à son poids dans le sac de plage et son encombrement au lit, comme on a entendu certaines le faire au Masque et à la plume, est un signe de plus de la décadence de ce métier. La folie à l’œuvre dans ce livre magnifique et saoulant exige une lecture aussi déraisonnable qu’elle. Encore faut-il avoir envie de se laisser déborder par un écrivain très français, le seul à notre connaissance qui jouisse de son addiction aux deux Corées.
François Sureau ne cache pas la dimension autobiographique de son récit, mais il n’en fait pas un argument pour autant : le cas de conscience d’un jeune juriste des années 1980 qui doit trancher dans un cas d’extradition ; le nationaliste basque que son arrêt motivé renverra ou non de l’autre côté de la frontière, vacille entre la vie et la mort ; mais la France ne veut pas mettre d’obstacle au retour de l’Espagne à la démocratie ; renvoyé dans son pays faute d’asile politique, il y est assassiné par des vengeurs ; trente ans après, devenu avocat, l’ancien juriste du Conseil d’Etat demeure hanté par son souvenir et il sait que son ombre l’accompagnera jusqu’à la fin de ses jours. L’auteur du Chemin des morts aurait pu raconter la même histoire en 400 pages. C’eut été un autre livre. Sa brièveté correspond à un parti pris autant littéraire qu’esthétique. Tel quel, il a sa respiration et rien ne dit que l’émotion serait passée pareillement une fois détaillée, documentée, mise en scène, et partant, diluée. Sa sobriété est la note juste. Il tire sa puissance de son apparente sécheresse qui n’est en réalité que l’expression de sa retenue et de sa pudeur. On en est saisi. On a pu en dire autant ces dernières années de Inconnu à cette adresse ou de Soie, entre autres.
Le secret, c’est de connaître intimement sa distance, savoir quand s’y tenir et quand le dépasser. Sureau et Moix ont tous deux du souffle, mais l’épaisseur de leurs livres ne dit pas que le premier est court et le second, long. Ils ne le sont pas « trop » , ni l’un ni l’autre, car il n’y a heureusement pas de critère en la matière. Les deux sont également troublants, le rachitique et l’obèse. Il serait regrettable que la société des apparences leur fasse payer leur physique. Il faut sauver Sureau de sa plaquette, et pardonner à Moix sa profusion. Quand apprendra-t-on à séparer un texte de ce que son enveloppe annonce (le numérique nous y invite instamment…) ? Difficile d’oublier la manière sans art par laquelle Anatole France récusa A la recherche du temps perdu : « La vie est trop courte et Proust est trop long ». Cela dit, si je me fie au souvenir de conversations que j’ai pu avoir avec l’un et l’autre, François Sureau serait plutôt du genre à parler d’abondance, et Yann Moix du genre à écouter. Mais est-ce bien un paradoxe ?
(Photos Jean-Philippe Toussaint et Henri Zerdoun)
865 Réponses pour Pardonnez Moix, sauvez Sureau !
« … que c’est, pourquoi », quoi ?
« etc.. », quoi ?
Je reviens, et de la librairie, et sur ce passage :
« Les deux sont également troublants, le rachitique et l’obèse. Il serait regrettable que la société des apparences leur fasse payer leur physique. Il faut sauver Sureau de sa plaquette, et pardonner à Moix sa profusion. Quand apprendra-t-on à séparer un texte de ce que son enveloppe annonce (le numérique nous y invite instamment…) ? »*
L’un des premiers cours de maths dites « modernes » dont je me souvienne est que l’on ne peut pas comparer des tables et des chaises; les deux ensembles formant quand bien même un ensemble mobilier.
Sauver Sureau ?
Sûrement pas. Ou alors de quoi ?
Est-ce qu’un récit, dense, dont le poids volumique ne se mesure pas en nombre de pages, mais en temps de lecture et de recherche ( même numérique ? enfin disons sur internet)-car oui, pour lire de la page 1 à 21 ce n’est pas une histoire de quelques minutes-, est-ce que ce récit -là a besoin d’être sauvé ?
Non, à aucun moment ce me semble.
Ce n’est pas une question de souffle pour tenir une quelconque « distance » en kilomètres de lignes écrites, de sprint ou d’endurance, c’est une question d’effort- ici de compréhension historique- et servie par une plume sèche qui se passe de flonflons.
On ne peut pas le demander à tout le monde et n’importe qui cet effort de lecture. ( sauf à Phil)
C’est kom sa.
D’ailleurs les « facilités » que l’on peut lire ici sur le pavé (loufoque ?) de Moix en sont la plus belle démonstration.
Raymonde, tenez bon !
Je suis avec vous. Tout contre vous.
Ps: Renato et Jacques Barozzi, merci pour Pavese.
A bientôt Marcel.
le néologisme n’est pas de mon invention:
ha j’avais mal compris, c’est pas grave, t’écris ça en anglais mistakographie.. misprintographie..et hop c’est plus global vontraube
D. GaDriella en haut-talons et bas à résilles, je vous l’ai déjà écrit: en Suisse, une psychanalyse est supportée par les assurances maladies. Un seul critère, le psychanalyste doit être aussi enregistré comme Dr. med. psychiatre. D’autre part vous connnentez à longueur de journée et ni vous ni JC ou un de vos autres mille pseudos de psychopathe, n’est guéri. Vous devriez essayer une retraite dans un monastère de moines contemplatifs, non que vous soyez guérissable, mais au moins cela sentirait moins le pathos D.bile
Bon, d’accords bouguereau, sur mon blog il n’y a pas assez de Français, mais des Américains, des Italiens, et des… bon, je ne me rappelle pas le mot que tu as employé pour le Japonais et le Africains, mais c’était raciste et digne du coq déplumé que tu est.
« etc.. », quoi ?
heptamètre de quintillien..tout ceux qui « lisent » les images savent ça
Tout le monde vend quelque chose à tout le monde sur ce blog, Renato.
Une vente virtuelle de sentiments, d’émotions, de ressentiments et autres choses gratuites… Gratuites, Renato, tu comprends ce mot.
Tout est gratuit, même le bonheur, encore faut-il le savoir.
ton site c’est un site de grand antifachiss rénato..épicétou
Bouguereau, justement en anglais ou en allemand cela ne passe pas. Il faudrait toujours employer le juste mot (peu importe dans quelle langue) quelque soit la langue générale du texte.
Il faut expliquer ça au « déplumé » qui répond au nom de bouguereau, Gabriella… éventuellement le comprendre vous-même.
en anglais ou en allemand cela ne passe pas
si ça marche que dans un patois laisse tomber vontraube..faut être global ! moi a ta place je soliciterais les services de kabloom..il te trouverais quelquechose de shakespearien..les blogs c’est aussi l’entraide vontraube et pas que dire des méchancetés
« mais vous avez évidemment le droit de vendre votre produit comme bon vous semble. »
C’est bas, renato, moi qui vous offrais de grimper tout en haut d’une colline turinoise !
@Jacques
je me suis fait la même réflexion.
Sur le blog d’Henri Zerdoun. Cette photo, il l’a publiée sur son blog le lundi 11.02.2013 à 07:40
Il s’agissait de la crue de la Seine de février. Il offrait deux photos ce matin-là : celle-ci et une autre en noir et blanc. Il avait donné comme titre : « crue du jour et de la nuit ». Vous pouvez les voir sur son blog à cette date. (suivre le lien sous le billet).
C’est d’autant plus émouvant que depuis le 7 juin, il n’a plus donné de nouvelles. Le blog s’est figé sur un autoportrait émouvant et un merci. Il nous offrait plusieurs fois par semaine ces photos rares où dans le quotidien il saisissait l’étrangeté des passants nous plongeant dans des pensées égrenées au fil des commentaires. Un sacré artiste, un homme profond et discret.
« La robe bleu » serait donc une rêverie poétique de Pierre Assouline. Mystère…
Ah ! Jacques, parce que vous croyez vraiment que je ne suis jamais monté jusqu’à Superga, ni sur le collines des Langes ?
Le mystère de « La robe bleu » d’HenriI Zerdou, à suivre…
Christiane,
« La Robe bleu » n’est pas un titre de Henri Zerdoun, mais il se peut qu’il y a eu méprise à partir de ça :
http://henrizerdoun.blogspot.fr/2007/08/peinture-frache.html
Je n’en doute pas, justement, renato. Et ce texte de Pavese doit rayonner particulièrement dans votre mémoire !
Coteaux et vallées de cette colline sont verts et profonds.
Entre les vignobles, les sentiers conduisent des filles vêtues
de violentes couleurs qui viennent, en folles bandes,
pour cajoler la chèvre et crier vers la plaine.
Quelquefois apparaissent des files de paniers pleins de fruits
mais jamais ils ne montent jusqu’en haut : recroquevillés,
les paysans les emportent chez eux, sur le dos,
et ils plongent à nouveau au milieu du feuillage.
Ils ont bien trop à faire pour aller voir l’ermite.
Les paysans, ils montent, ils descendent, et ils bêchent sans trêve.
S’ils ont soif, ils lampent un peu de vin : le goulot enfoncé
dans la bouche, ils lèvent les yeux vers le sommet brûlé.
Le matin, à la fraiche, ils reviennent déjà, harassés
par le travail de l’aube, et si un pouilleux passe,
toute l’eau que déverse les puits au milieu des récoltes
est pour lui, pour qu’il boive. Ils ricanent vers les bandes
de femmes
et se demandent quand, vêtues de peaux de chèvres, on les verra
assises
sur toutes les collines se brunir au soleil.
« des filles vêtues
de violentes couleurs qui viennent, en folles bandes,
pour cajoler la chèvre et crier vers la plaine. »
Faites la chèvre, et tout sera bien, renato !
La cause de mon conflit avec PE à propos de Pavese n’est pas à chercher dans l’œuvre, mais dans l’homme car, indépendamment de ses douteuses relations avec les femmes, on n’adhère pas au Parti fasciste pour faire plaisir à sa sœur ni aux idées communistes pour faire plaisir aux copains.
Pour le reste, je n’attends pas PE pour savoir quel écrivain est Pavese
Servir d’appât, Jacques ?! et pour capturer quel animal ?
Le donne, renato !
Mais je sais que vous n’êtes pas un homme des collines urbaines, mais plutôt des hautes montagnes désertes…
Le boug, lui, il préfère faire le bouc !
Voyons Jacques ! croyez-vous vraiment que les hautes montagnes désertes sont un désert ?
On préfère le faune boug à la pythonisse reinato…
Des goût et des couleurs.
Cela dit :
Sic ubi nescio quis Lycia de gente virorum
rettulit exitium, satyri reminiscitur alter,
quem Tritoniaca Latous harundine victum
adfecit poena. ‘quid me mihi detrahis?’ inquit;
‘a! piget, a! non est’ clamabat ‘tibia tanti.’
clamanti cutis est summos direpta per artus,
nec quicquam nisi vulnus erat; cruor undique manat,
detectique patent nervi, trepidaeque sine ulla
pelle micant venae; salientia viscera possis
et perlucentes numerare in pectore fibras.
illum ruricolae, silvarum numina, fauni
et satyri fratres et tunc quoque carus Olympus
et nymphae flerunt, et quisquis montibus illis
lanigerosque greges armentaque bucera pavit.
fertilis inmaduit madefactaque terra caducas
concepit lacrimas ac venis perbibit imis;
quas ubi fecit aquam, vacuas emisit in auras.
inde petens rapidus ripis declivibus aequor
Marsya nomen habet, Phrygiae liquidissimus amnis.
(Ovide, Métamorphoses)
renato, la soeurette de Niche a viré estrèmdroite pour faire plaisir à son frérot.
Comme quoi, Phil, la famille est souvent un désastre.
Renato, on peut aussi s’inscrire pendant une dictature, au parti au pouvoir, pour faciliter les voies d’accès d’une carrière. Tout dépend de la date de l’inscription au parti. Pour le NSDAP, y être depuis 1922 ou 24, ne veut pas dire la même qu’après 1933. En 1933, certains le firent par opportunisme, en 1922-23, par illumination noire. Pour le parti communiste, sans le recul que nous avons, cela peut être considéré comme avoir un peu de compassion pour les plus pauvres. Je parle bien entendu de la période où l’on pouvait encore se faire des illusions sur la mise en pratique du marxisme.
oui renato, les fasciss sont affaires de famille. les communiss, c’est pour sortir de la famille. Comme Visconti. enfin vous comprenez.
Traube, à propos de Pavese ce ne sont pas des spéculations, c’est lui-même qui l’a dit afin de se justifier.
« croyez-vous vraiment que les hautes montagnes désertes sont un désert ? »
N’ayant pratiqué ni le désert ni les hauts sommets, je ne saurais répondre à cette question géographico-métaphysique, renato. Posez la question à votre ami Chaloux, peut-être ?
Ha ben le Parti Ouvrier Allemand au moins y avait de la place, c’est pas comme chez les francs-macs où faut faire vingt mille thèses avant d’espérer quoi que ce soit…
Phil, Visconti, qui était par ailleurs un gars sympathique, n’est vraiment pas sorti de la famille… disons qu’il y a à Milan une longue tradition de bourgeois de gauche. Cette prise de position de Luchino n’a donc fait son effet qu’à l’étranger, mais sans conséquences ‘nei patrî lidi’, si ce n’est que ce fut bon pour la carrière du « Gattopardo » car Togliatti, qui avait boycotté le livre de Tomasi, donna ordre à la critique de ne pas démolir le film aussi.
(Vous savez sans doute que la Scala fut bâtie à la place de l’église Santa Maria alla Scala, bâtie, elle, sur un terrain appartenant aux Visconti comme hommage de Bernabò Visconti à son épouse Regina della Scala (de la famille des Scaligeri). Or, il faut savoir que dans la direction de la Scala l’on trouve toujours un Visconti…)
La réponse était dans la question, Jacques.
PE admet la censure ; il y a peu il m’affirmait sereinement du contraire ; faudrait savoir
ton inversion dans les préséances historique est classique vontraube..on a beaucoup pardonné aux grand fachiss tendance nouar d’être anticommuniss..a se demander si c’eux qui croyaient le plus à la mise en pratique du marxisme et à la défense des pov etoye pas ceux qui n’en voulaient absolument pas..et si aprés c’était que de la « divine providence » vontraube?..thinkovit
TKT dit: 9 septembre 2013 à 13 h 37 min
Quelque part le seul Politique normal, c’est Jacques Delanoé ?
pis n’oublie jamais -jamais- que la divine providence a pourvu a ce que ça soit les coco qui te débarassent des fachiss…l’histoire on y comprend qu’dalle vontraube
Des goût et des couleurs.
Cela dit :
vla que l’rénato sprend pour apollon..c’est pasque ça doit rimer avec couillon
« La réponse était dans la question »
Alors ma question sera que recherchez-vous, que trouvez-vous dans la montagne, renato ?
Et comme d’habitude vous n’y répondrez pas…
renato dit: 9 septembre 2013 à 14 h 59 min
Traube, à propos de Pavese ce ne sont pas des spéculations, c’est lui-même qui l’a dit afin de se justifier.
Quelque part le seul Politique normal, c’est Jacques Delanoé ?
c’est pourtant vrai qu’elle est bien..quelquepart
Tu vois bouguereau que t’interprètes mal ? J’ai seulement rappelé que ce ne fut pas toujours bon d’être faune. « Cela dit », j’aimerais savoir où tu vois l’identification dont tu parles…
Et pourquoi devrais-je vous répondre Jacques ?
t’as fait l’casting rénato..
oui quand on est un faux cul on ne répond pas aux questions embarassantes on dit qu’on les comprend pas et subisdièrement on allume des contre feu en disant que les autres le sont..t’as fait l’casting aussi
On dirait qu’il est en train de lire Poilant-magazine, Salut les bidasses ou Satanik…
« Et pourquoi devrais-je vous répondre »
Pour que nous puissions mieux vous connaître, peut-être ?
satanik..j’osais encore moins l’acheter que lui..et là l’achetrais pas..beibegé en rédac chef..c’est la débandade
Il n’y a pas à être ou ne pas être faux cul bouguereau, je ne vois vraiment pas pourquoi Jacques me pose cette question, d’autant plus que, si je ne fais pas erreur, il a déjà la réponse ; et, d’un autre côté, nous avons, lui et moi, déjà parlé de la question des questions qu’il se croit en droit de poser.
toi même tu t’autorises comme un petit préfet rénato..faux cul, cherche, t’as la médaille apollon
(Ah ! Jacques, la réponse était in « Journal de Zermatt », et vous disiez l’avoir lu…)
Certes que je m’autorise des questions, mais regarde bien, c’est quand tu craches l’une de tes approximations à mon propos, et je crois être en droit de te demander la signification d’un nœud dont je suis le sujet, même si ce nœud tu le « vends » comme fragment prose…
@ P.Assouline
« Il s’agissait du militant basque Javier Ibarrategui. Il a été abattu place San Nicola à Pampelune. Il était en froid avec les milieux nationalistes auxquels il appartenait depuis qu’il avait condamné l’assassinat de l’amiral Carrero Blanco. L’assassinat, à midi par deux hommes cagoulés en scooter, avait été attribué aux GAL. »
Impossible de trouver sur le Net quelque chose sur ce Javier Ibarrategui. En plus, dans la liste des assassinats attribués aux GAL, aucun a été perpétré à Pampelune. Mais le plus étrange de ce que vous dites c’est qu’il était en froid avec les milieux nationalistes depuis qu’il avait condamné l’assassinat de l’amiral Carrero Blanc. Or, ça, c’est quelque chose de totalement impossible. Tous les anti-franquistes, moi le premier (j’avais 15 ans dans une famille qui détestait « el Caudillo »), ont applaudi ce jour-là l’action de l’ETA, grâce à laquelle la dictature de Franco a reçu un coup mortel. Seuls ceux qui détestaient la démocratie, la vieille garde franquiste qui s’accrochait au pouvoir, avait été contre cet attentat.
Donc, à mon avis, Sureau a inventé son histoire, très invraisemblable pour quelqu’un qui connaît un peu l’histoire contemporaine de l’Espagne.
j’vends pas d’noeud rénato..tu dois m’prende pour un aute..note que moi chte dmande pas qui..chus poli
et vous disiez l’avoir lu…
Malheur, baroz, renato t’a pris en défaut. Tu vas t’en remettre ?
ferme ta gueule dracul
bouguereau dit: 9 septembre 2013 à 15 h 56 min
j’vends pas d’noeud
Menteur !
arrête, putain, merde, bouguereau, t’es vachement grossier.
@renato dit: 9 septembre 2013 à 14 h 04 min
C’est gentil d’être remonté si loin pour trouver cette fascinante photo. Oui, comme le dit Jacques : le mystère reste… Et il est beau, ainsi. Pourquoi faudrait-il des réponses à toutes les questions ?
Comment ça tu ne vends pas de nœuds, et tu les appelles comment tes fragment prose ?
Marceline Desbordes-Valmore, vous lisant, aurait écrit « Les roses de Saadi »
« J’ai voulu ce matin te rapporter des roses ;
Mais j’en avais tant pris dans mes ceintures closes
Que les nœuds trop serrés n’ont pu les contenir.
Les nœuds ont éclaté. Les roses envolées
Dans le vent, à la mer s’en sont toutes allées.
Elles ont suivi l’eau pour ne plus revenir ;
La vague en a paru rouge et comme enflammée.
Ce soir, ma robe encore en est tout embaumée…
Respires-en sur moi l’odorant souvenir. »
je te méprise grave, boudegras
Marceline à poil ahahahahah
« On dirait qu’il est en train de lire Poilant-magazine »
Au vu des traces simili-séminales qui maculent le miroir, on pencherait plutôt pour Crépax en poche.
Sur papier vergé.
Aucun mérite Christiane, son blog est dans mes favoris, et je me souvenais vaguement de « robe bleu ».
Menteur !
jles donne..avec ruban et belle cocarde comme dans genet
Mais j’en avais tant pris dans mes ceintures closes
Que les nœuds trop serrés n’ont pu les contenir.
c’est malhonnête de faire des trucs pareils
Visiblement Christiane n’a pas perçu le second degré coquin du poème de Marceline Desbordes-Valmore.
tu les appelles comment tes fragment prose ?
des post..j’dis des posts..vontraube dit des « connentaires »..je ne sais pas s’il parle des siens, ça ne me regarde pas aprés tout
Paradoxe : Moix écrit pour les illettrés. Les illettrés lisent-ils des pavés de plus de mille pages ?
A la question « suis-je D.? », je ne saurais répondre, il faut demander à TKT.
[Que les nœuds trop serrés n’ont pu les cons tenir]
etc.
Merci renato pour votre updating viscontesque. Le Vicomte n’appartenait pas à une lignée de couilles molles.
A Milan qu’une fois l’an, n’ai pas remarqué l’influence des bourgeois de gauche dans la débauche « deutsche gabbanesque »…dédaignée par le cinéaste communisant à manchettes pour celle des Krupps.
« oui, je supprime les bavardages et le raffut trollesque quand ils n’ont aucun rapport avec la littérature et les livres ici abordés. c’est clair et net. »
Rédigé par : Paul Edel | le 09 septembre 2013 à 12:57
NOUS N’IRONS PLUS VISITER ANASTASIE EDEL PUISQUE C’EST CETTE PETITE VIEILLE QUI DEFINIT LA LOI ET L’ORDRE SUR LA PLACE PUBLIQUE QU’ELLE IMAGINE SIENNE …
ELLE EST OU, TA JEUNESSE, PAULO ? AU BAR DE LA MAISON DE RETRAITE ?! PLUTÔT PRES QUE LOIN, MALHEUREUSEMENT POUR TOI…
BON DECLIN !
Amas de signes-sons enchevêtrés, ça te dit mieux ?
Amas de signes-sons enchevêtrés, ça te dit mieux ? (renato)
Ah, oui ! Là, d’accord, je comprends.
Quant à moi, Annabella, je ne pense pas être JC mais TKT me jette dans le doute.
Paradoxe : Moix écrit pour les illettrés. Les illettrés lisent-ils des pavés de plus de mille pages ?
c’est une question de maintien..quand j’étais moutard j’avais comme un respect pour un liseur qu’était au milieu d’un pavé..évidemment avec une tableet ça se voit même pas..et puis 1000 pages c’est quoi ? 10mega ? comme un con j’ai acheté une clef usb tellement minuscule que j’ai du mettre un gros porte clef dessus..sinon adieu les jiguas
Eh bien, n’en déplaise aux pisse-vinaigre, chère christiane, je le trouve très beau, ce poème de Desbordes-Valmore. Notamment la sensualité inattendue du dernier vers.
quand j’étais moutard j’avais comme un respect pour un liseur qu’était au milieu d’un pavé..
Moi aussi. J’avais une camarade qui se vantait d’avoir lu Guerre et paix en entier, ça m’impressionnait énormément.
@ Donatella
Vous êtes keupu ?
JC….. dit: 9 septembre 2013 à 16 h 21 min
Remercie P Edel plutôt que de beugler : il te libère afin que tu puisses aller quêter pour renflouer l’épave Ump.
ah non, keupu c’est moi.
enfin je crois, je sais pu.
@Daniella dit: 9 septembre 2013 à 16 h 27 min
Moi aussi…
« Respires-en sur moi l’odorant souvenir. »
Daniella, elle marche à Impulse.
En même temps, Moix en 2013, c’est un peu Nabe en 1985.
Dis voir, Thierry, tu penses qu’Isabella est keupu ? Personnellement, ça m’étonnerait. Mais ton avis fera autorité, bien sûr.
Phil, Luchino Visconti était duc, comte, seigneur de divers patelins, et autre chose que vous trouverez in « Annuario della Nobiltà Italiana ».
(Curiosité : Alida Valli, alias Alida Maria Laura Altenburger baronne von Marckenstein und Frauenberg du Sacre Romain Empire Germanique.)
avec la finesse qui le caractérise, tkt aura sûrement reconnu m.court derrière daniella
Mdr dit: 9 septembre 2013 à 16 h 33 min
A renflouer une épave, je commencerai par toi, mon petit chou. Bien à toi !
très beau, ce poème de Desbordes-Valmore. Notamment la sensualité inattendue du dernier vers.
Pas si inattendu que ça, puisque pompé sans vergogne chez Baudelaire.Peut-être même était-ce Marceline, « la gourde
Où (le poète) hume à longs traits le vin du souvenir » ?
Mais « Moix, ce que j’aime chez Daniela
C’est que l’on peut y mettre les doigts »
Pour savoir qui se cache derrière un pseudo, demander à TKT : il a du flair, le limier … C’est pas lui qui se tromperait à tous les coups !
Elmer Fou de bites dit: 9 septembre 2013 à 16 h 42 min
Pas si inattendu que ça, puisque pompé sans vergogne chez Baudelaire
Tu serais pas croisé avec un petit con, des fois ?
JC….. dit: 9 septembre 2013 à 16 h 44 min
déconne pas, u., on t’a reconnu !
Après Dieudonné, JC s’essaie à plagier Bigeard. Qu’on m’apporte un crachoir !
“ Lisez-le ! “ , conclut Joseph Macé-Scarron au terme de son compte-rendu de « Naissance » , le récent roman de Yann Moix, dans « Le Magazine littéraire » de septembre. Enthousiasme sympathique; encore faudrait-il qu’il soit communicatif ; or, le peu qu’il cite — quelques lignes empruntées à ce gros pavé de plus de onze cents pages — ne me donne pas vraiment l’envie d’y aller voir. Il est vrai que je me méfie toujours de ce Macé-Scarron, craignant qu’à l’instar du héros de Georges Darien, il ne finisse par nous avouer : “cet article, que je publie, et que je signe, n’est pas de moi : je l’ai volé. “
De son coté, Pierre Assouline, sur son site de La République des livres , fait du même livre un commentaire globalement élogieux, encore que ses attendus soient plutôt ambigus. “ C’est burlesque, grotesque, hénaurme, baroque, passionnant, exaspérant, profus, gonflé, insolent, énumératif, mégalo, poétique, drôle, pathétique, épique, démesuré. Un véritable torrent, mais de quoi au juste ? “, écrit-il.
“ Hénaurme”, “exaspérant”, “profus”, “gonflé”, “énumératif”, “mégalo”, “démesuré” : autant d’épithètes mi-chair mi-poisson, dont la façade élogieuse dissimule de grosses réserves. “Baroque”, entre autres, est l’épithète fourre-tout. Qu’est-ce au juste que “baroque” ? Depuis le temps qu’on s’interroge sur le sens précis de ce terme emprunté à l’histoire des arts plastiques (de l’architecture à l’origine), on n’est pas encore parvenu à une définition sur laquelle tout le monde s’accorde. Un désordre apparent, dissimulant une ordonnance secrète, un ordre nouveau non encore répertorié, c’est peut-être cela aussi, le baroque, auquel cas l’épithète pourrait en effet convenir au livre de Yann Moix, à condition qu’il y ait cohérence, ordonnance, mais rien n’est moins sûr. Assouline fait partie de ces critiques soucieux d’assurer leurs arrières et de ménager l’avenir : quoi qu’il arrive, quel que soit le destin du livre, il: aura eu raison, en tout cas on ne pourra pas lui reprocher d’avoir eu complètement tort. “ Un véritable torrent, mais de quoi au juste”, s’interroge-t-il, et son incertitude pose en effet un problème de fond. Va pour le torrent, la profusion, la démesure ; il en existe en littérature de glorieux exemples (Rabelais, Céline, entre autres), mais si rien de puissamment organique ne les canalise ni ne les organise, si nulle cohérence, nulle architectonique n’est décelable, ce n’est plus de l’art, mais du laisser-aller. On ne peut pas accuser Assouline d’excès de prudence : quand on a affaire à un “monstre” (c’est le mot qu’il emploie pour qualifier le livre), à moins d’avoir le coup de génie et de mettre pile-poil dans le mille avant tout le monde, il faudra beaucoup d’autres lectures que la sienne et que celle de Macé-Scaron pour cerner ce qui fait l’intérêt — voire l’importance — de ce livre de Yann Moix.
L’histoire d’un livre, à partir du moment où il a été publié, se confond avec celle de sa réception. Histoire complqiuée, pleine d’enseignements. On sait quels jugements contradictoires furent portés par les uns et les autres lors de la publication de grands livres, aujourd’hui unanimement célébrés comme des classiques, « Du côté de chez Swann », pour ne citer que celui-là. Il faut souvent des années avant que la perspicacité des meilleurs critiques successifs n’ait mis en lumière l’essentiel. L’essentiel seulement. Rappelons aussi que le regard sur une oeuvre change de génération en génération : nous ne lisons plus Racine comme le lisaient ses contemporains. Relisons Roland Barthes…
Dans l’histoire de la réception critique, les gens comme Macé-Scaron, Assouline et leurs confrères des médias sont en première ligne. Ce sont eux qui affrontent le déferlement des nouveautés. Ils essuient les plâtres et, ce faisant, prennent de gros risques : ne pas voir passer ce qui méritait l’intérêt, proférer de très grosses âneries, porter aux nues la roupie de sansonnet ou, à l’inverse, cracher sur le nanan… Rude métier. Ayons pour eux, s’ils l’exercent avec honnêteté et conscience, considération et indulgence. Nous ne voudrions pas être à leur place.
Ainsi, Assouline, Macé-Scaron et leurs confrères s’acquittent-ils, en général, très honnêtement de leur tâche, qui est de rendre compte, dans l’urgence, de l’actualité littéraire; ce faisant, surtout à l’approche de la distribution des peaux d’âne, ils risquent, qu’ils le veuillent ou non, d’apparaître avant tout comme les auxiliaires bénévoles (du moins on l’espère!) des campagnes de promotion éditoriale et du commerce de la librairie.
Mais si le critique propose, c’est le lecteur qui dispose, en toute souveraineté. “ Lisez-le ?” — Peut-être, a-t-on envie de répondre à Joseph Macé-Scaron. On verra. quand on aura le temps. Quand on le décidera.Dans cinq ans. Dans dix ans : c’est un délai raisonnable pour qu’un bouquin se fasse, pour qu’il prenne de la bouteille, si, entre temps, il n’a pas tourné en piquette. C’est que notre temps à nous, lecteurs conséquents, n’est pas celui du critique. A lui le temps court des lectures rapides et des papiers pondus dans l’urgence. A nous le temps long des lectures lentes et des jugements réfléchis. Nous autres, qui nous considérons comme des lecteurs sérieux, et qui, après tout, le sommes, nous n’accordons qu’une attention des plus limitées à des enthousiasmes que nous présumons, non sans raisons, devoir être passagers. Nous autres, lecteurs sérieux, qui ne courons pas la poste aux nouveautés, nous avons le temps, nous prenons tout notre temps avant de nous prononcer, avant de nous abandonner à l’enthousiasme. L’enthousiasme est une denrée trop précieuse pour être gaspillée, dans l’illusion du moment. En plus, nous n’aimons pas l’enthousiasme par procuration. Nous prenons acte de l’enthousiasme du critique, avec intérêt, mais toujours avec des pincettes. Sous bénéfice d’inventaire. La confiance n’est pas notre fort. Nous entendons y aller voir, à notre heure. Peut-être. Mais pas avant d’en avoir longuement délibéré avec nous-mêmes. C’est que nous sommes d’authentiques enthousiastes. Aussi n’aimons-nous rien tant que l’enthousiasme qui dure. Intact, trente ou quarante ans après la première lecture. Mais cinq ans, c’est un délai raisonnable. Plus de cinq ans après, mon enthousiasme pour « Les Onze » ou pour « Les Particules élémentaires » reste intact. Bon signe, ça. En ce moment, je découvre avec un enthousiasme de néophyte l’ »Histoire d’Italie » , de Francesco Guicciardini (1); une très vieille bouteille, de plus de cinq cents ans d’âge. “dire que j’aurais pu rater ça ! “, me dis-je en frissonnant. Alors, l’actualité littéraire de l’automne 2013, je m’en fiche un peu. C’est la rançon du véritable enthousiasme.
JC, chez P Edel, c’est comme un trou d’air en avion.
John Brown dit: 9 septembre 2013 à 16 h 55 min
Ne pas oublier que Yann Moix feuilletonne au Figaro (littéraire ?)
Mdr, chez Assouline, c’est comme un troudu, un troudu, …. ah, crotte !
c’est vrai que jc a de l’humour et l’esprit sportif, qu’il vient ici pour rigoler, on avait remarqué
John Brown,
Si vous ne l’avez déjà lu, du Guicciardini je vous conseille « Considerazioni sui Discorsi del Machiavelli », où Guicciardini conteste la philosophie de l’histoire qui sert à Machiavelli pour fonder son classicisme, et nie l’idée chère à M. de l’histoire comme magistra vitae car il affirme qu’elle n’est d’aucun aide parce que le monde est dominé par une réalité relative et fragmentaire dominée par le hasard et des accidents ce qui implique que nous ne pouvons choisir quoi faire que par le biais du discernement.
Si vous ne l’avez déjà lu, du Guicciardini je vous conseille « Considerazioni sui Discorsi del Machiavelli » (renato)
En existe-t-il une traduction française récente ? Je suppose que l’italien de Guicciardini et de Machiavel pose au lecteur italien d’aujourd’hui des problèmes analogues à ceux que posent au lecteur français les textes de Rabelais ou de Commynes. Lisant quelques extraits de Commynes en regard des textes de Guicciardini , je me disais que la langue du premier évoquait un barbare mal dégrossi, comparée, à celle, magnifique, du Florentin. C’était sans doute très injuste car j’oubliais que je lisais le second dans la traduction moderne très réussie de l’équipe dirigée par Jean-Louis Fournel et Jean-Claude Zancarini (travail vraiment exemplaire publié dans la collection « Bouquins »).
à Mdr 17:04… moi aussi je me suis fait éjecter il y a quelque temps : « foutez-moi la paix » par mail perso !
nadine m dit: 9 septembre 2013 à 17 h 13 min
Nadine, vous avez vu juste !
Croire que ce que l’on dit, en général, est important, ne pas voir les limites naturelles des dialogues anonymes, confondre l’arène du blog avec le déjeuner chez Drouant, s’engager en politique, en mathématiques, en communication, en humanisme, en littérature… c’est déconner grave.
L’abus de sérieux nuit gravement à la santé sexuelle !
« CETTE PETITE VIEILLE QUI DEFINIT LA LOI ET L’ORDRE SUR LA PLACE PUBLIQUE QU’ELLE IMAGINE SIENNE … »
Si jeune et déjà si puissant, tolérant et perspicace, le JC!
jc, je plaisantais – vous aimez vous moquer, rabaisser à zéro amis ne supportez pas la moindre critique-qu’en pense votre psy
..dans un pageot t’es pas a faire le con avec cax et foil et catamaran de 30 mètres..t’es pas hilard coatché par oreillette par un pro pour te dire quoi faire..t’es ton patron et ton prolo
t’es tout seul jicé..et prend ça à la lègère et t’es viré..c’est du sérieux tu l’sais bien
j’allais dire c’est du boulot..en plus faut rester créatif ! non mais j’aimerais t’y voir..ça m’frait marrer
Mais si le critique propose, c’est le lecteur qui dispose, en toute souveraineté. “ Lisez-le ?”
imagine jean marron un aute biznèce modèle..mettons c’est gratos mais plus c’est lu plus ça cartonne pour les pubs..ou..mettons que c’est toi qui donne une note pour ventiler les points qui donne droit a droit d’auteur..ha!
comment qu’il fait le critique ?
test
J’ai rencontré par relations indirectes pas mal de psys, dans des relations amicales libres où l’on échangeait sur le sujet en toute franchise*. Autant d’historiens, autant d’histoires. Autant d’analystes, autant d’analyses …Tous m’ont fait comprendre que la demande du patient est une demande liée à une souffrance importante.
Vous pensez réellement que j’ai un psy !…Pourquoi ?
*encore qu’il faille être prudent sur cette affirmation
..moi je dis que lassouline s’essie un peu dans ce genre là..y’a plusieurs message multiplexé comme dirait dédé..t’as les métacodes ou pas..tu lis « achète pov con »..ou « casse toi c’est dla merde »..jle sais j’entends les deux
John Brown,
Vous trouvez le PDF gratuit en italien. Il y a quelques difficultés (fusse pour fosse — Vinegia pour Venezia, et ainsi de suite), mais en gros c’est un italien lisible :
Après une recherche superficielle, j’ai trouvé un e-book en fr. à 19,46€, mais je n’ai pas pu en évaluer la qualité.
Ce post avec liens ne passe pas, désolé.
Bernadette, le Popaul, il m’a gonflé !
Vous pensez réellement que j’ai un psy !…Pourquoi ?
rouler sans cax ça laisse des séquelles..sergio c’est comme ça qu’on l’appel au bistrot
aujourd’hui un jeune homme m’a raconté qu’il était né avec une hernie diaphragmatique, maladie dont souffrait sa mère,professeur de philosophie, et dont deux enfants avant lui étaient morts .
il m’a soudain montré une immense cicatrice en soulevant son T shirt, tout en me racontant qu’il se destinait à la danse’activité qu’il avait découverte assez jeune dans un centre spécialisé avec des méthodes dont j’ai oublié le nom .
Il m’a raconté qu’il était suivi par toutes sortes de psys , ce qui lui réussissait -il avait eu le bac, bien sûr, avec un aménagement particulier parce qu’il écrit mieux à l’ordinateur qu’à la main où c’est un supplice .
alors je dois dire que ce pénis de Moix me porte déjà sur les nerfs .
reusement que t’écris sur computeur urcurc, le monde est pas si mal fait
John Brown,
j’ai mis le post avec liens sur votre blog.
« alors je dois dire que ce pénis de Moix me porte déjà sur les nerfs »
Urucu,
surtout, tenez nous au courant de l’évolution du phénomène, nous sommes une tapée de curieux pervers, ici bas. On est pas chez Popaul…
Six-cent cinquante petits folios et Moix et Moix et Moix,
Je pense et tu lis, c’est la c’est la vie*…
*la vie du rail, la vie déraille, demandez « Vache Hebdo », la seule gazette des vrais vétos…
JC….. dit: 9 septembre 2013 à 18 h 00 min
Urucu,
On est pas chez Popaul…
Chez Popaul, Urucu signe aya.
enfants aya , je signerai quand et où je voudrais , et je ne suis pas addict des fils de bobinotori : j’ai rencontré encore une adorable japonaise qui travaille à Paris
John Brown,
j’ai mis le post avec liens sur votre blog. (Renato)
Merci, mais je ne l’ai pas trouvé.
Un torii ou tori-i (鳥居?) est un portail traditionnel japonais. Il est communément érigé à l’entrée d’un sanctuaire shintoïste, afin de séparer l’enceinte sacrée de l’environnement profane.
John Brown,
Il est sous « The right time (2) : l’erreur de Chamfort ».
Torii (鳥居?) signifie littéralement « là où sont les oiseaux », mais peut aussi se traduire plus précisément par « perchoir à coq(s) ». Lié au mécanisme de la naissance du Soleil, le coq est parfois vénéré dans de grands sanctuaires shintô, dont l’Atsuta-jingū.
d’ailleurs il y a un bel article dans le numéro « reste » q qui a toujours été perçu par le psychiatre reste et, le délire c’est ce quiulon laquelle dans la psychose i a pour titre « loin de l’histoire » où l’on peut lire que « dans la violence de l’interprétation , Piera Castoriadis Aulagnier formule l’hypothèse selon laquelle dans la psychose, le délire c’est ce qui reste et qui a toujours été perçu par la psychiatrie et la psychanalyse comme insignifiant puisque non productif
excuse pour l’interpolation etc
or délirer, c’et « créer une interprétation de la violence subie » P.A.(piera C A)
allons, Moix écrit pour votre club à sourires à la famille petits chéris
l’article a pour titre « loin de l’histoire »
Oui, et pour toi c’est Erika Leonard James qui écrit.
Pablo75 dit: 9 septembre 2013 à 15 h 55 min
Alors des châteaux en Espagne, y’en a plein.
Années 2000 et quelques:
De mémoire au sud de Pampelune, il y a une zone désertique; à pied elle ne se pratique que par temps sec à cause de la nature argileuse du terrain, et après la pluie on s’enlise. Ce désert c’est les Bardenas Reales; mais au sud, il y aussi Logrono, Tudela, et plus à l’est, la cathédrale de Burgos.
Une merveille de voyage, je me souviens. Surtout d’une maraude aux coings, mémorable, tout comme les descentes dans les Riojas.
Mais pour l’affaire littéraire qui nous intéresse, le contexte historique est là:
http://www.lexpress.fr/informations/la-veritable-histoire-des-gal_602551.html
Pablo, ce petit livre va vous captiver.
Sur la base de cette réflexion:
D’un point de vue moral, religieux croyant, la lecture de ce livre de F. Sureau fait mettre un m majuscule à mal, un b majuscule à bien.
il fait réfléchir à la notion de péché, d’indifférence, de rédemption, de confession ( comme sur le site La Croix et sur le site du basque S.alker, et ici aussi, oh si !)
D’un point de vue éthique, celui du péripaéticien, grec migrant en situation régulière, un peu philosophe sur les bords, qui se gausse un peu de cette nouvelle lubie française » la charte de la laïcité » ce petit livre pose la question de savoir quelle est la meilleure attitude à avoir, ce qui est bien, pour quelqu’un qui a la responsabilité de décision pour la vie d’un autre, bien pour l’autre, tenant compte à la fois du temps ( époque), de l’espace (lieu) et des forces en présence (personnes).
D’un point de vue humain, c’est le récit d’un homme qui a pris une décision importante concernant un autre, à un âge donné.
Décision qui se révèlerait être, des années plus tard, différente ce celle prise à l’époque.
F. Sureau est maintenant avocat et traite plutôt d’affaires concernant des demandeurs d’asile selon sources » numériques »
Voilà Pablo.
Si une certitude encore, F. Sureau ne fabule pas.
Pi, koi kon en dise, y’a une différence entre être aux Affaires (F. Sureau) , et être à ses petites affaires ( Moix)
allons, Moix écrit pour votre club à sourires à la famille petits chéris (Urucu)
petits chéris… petits chéris… ça me rappelle quelqu’un… Bon Dieu ! mais c’est bien sûr !
c’est plus ditrait que discret un homme
« . Il n’en fallait pas plus pour que le Mirror fasse le lien avec une autre affaire embarrassante pour le distrait David Cameron : il y a un an, il avait oublié sa fille dans un pub. »
http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2013/09/09/distraction-la-valise-confidentielle-de-david-cameron-oubliee-dans-le-train/#xtor=RSS-32280322
distrait
Sur la liste des Goncourt, on note 2 romans Flammarion et un seul Gallimard, assez drôle ah teresa, belle revanche ,beau travail.
Teresa non sparare – Fred Buscaglione
Certains sont convaincus que je me suis aujourd’hui manifesté sous mille pseudos.
Je peux leur certifier que c’est totalement faux.
Je n’ai tout simplement pas accès à Internet en journée. Primo.
Secundo, j’ai un abonnement à 3€ 90 de chez la Poste, lequel ne comprend pas l’option data. Largement suffisant dans la mesure ou personne ne m’appelle. Mais j’en ai quand même besoin pour appeler la police quand je constate une infraction ou un délit. Question de civisme.
Par ailleurs, mon vieux Ericson T 28-S n’a pas les data.
Le soir, je partage la bande passante de ma voisine, une vieille dame qui utilise très peu Internet et qui me le permet très aimablement.
Madame Huguette R., si vous voulez vraiment tout savoir. Elle avait laissé sa Wifi en Wep, je lui ai mis en wpa2 psk, avec une superclé.
Grâce à moi elle ne craint plus rien.
Jacques Barozzi dit: 9 septembre 2013 à 14 h 22 min
Le donne, renato !
Mais je sais que vous n’êtes pas un homme des collines urbaines, mais plutôt des hautes montagnes désertes…
Colmar (du latin columbarium : « colombier »),
199m au-dessus du niveau de la mer.
115000 habitants.
Tout à fait ça…
renato dit: 9 septembre 2013 à 12 h 05 m
Cela dit, PE peut censurer chez lui comme bon lui semble, mais qu’il ne vienne pas raconter que chez lui on ne censure pas.
C’était peut-être devenu insupportable, les manifestations de ton moi suri.
Pourquoi son blog est muet…
renato dit: 9 septembre 2013 à 15 h 54 min
Certes que je m’autorise des questions, mais regarde bien, c’est quand tu craches l’une de tes approximations à mon propos, et je crois être en droit de te demander la signification d’un nœud dont je suis le sujet, même si ce nœud tu le « vends » comme fragment prose…
Paul Edel dit: 9 septembre 2013 à 19 h 58 min
Sur la liste des Goncourt, on note 2 romans Flammarion et un seul Gallimard, assez drôle ah teresa, belle revanche ,beau travail.
9 septembre 2013 à 20 h 56 min
ce qui permet de remarquer que ni les fous niles hommes politiques,(ni aucune maison d’édition )n’ont le privilège des dénis (etc),( ni d’ un….quoi ? quoi? un inconscient)
Elmer Fou de bites dit: 9 septembre 2013 à 16 h 42 min
Elmer, tenez-vous au courant avant de raconter n’importe quelle connerie.
Marcelline Desbordes-Valmore était beaucoup plus âgée que Baudelaire, et déjà une vieille dame quand il a commencé à publier.
Baudelaire a dit de Marcelline :
« Elle est née poète ».
Crétin.
Tu caches mal ta jalousie.
L’oeuvre de Baudelaire est une synthèse. C’est plutôt lui qui a beaucoup pompé.
Oui c’est vrai que je suis jaloux.
Ah ! Ce divin pouvoir d’emberlificoter,
Pourquoi Donc, sacredieu, me l’a-t-on refusé?
Que celui qui a dit que mes commentaires étaient ennuyeux soit béni. Et qu’il sache que je l’aime comme un frère.
Je vais manger. Du poulet froid.
Mais j’aimerais qu’on arrête d’embêter toto, qui d’ailleurs s’appelle renato. Ce n’est pas parce qu’il est comme il est qu’il faut que vous soyez comme vous êtes.
Si au moins il y avait ici de vraies blagues de toto. Par exemple une comme ça :
Toto dit à la maîtresse:
– Maîtresse, saviez-vous que les boules de Noël ont du poil?
La maîtresse :
– Ben non, voyons! Y a pas de poil après les boules de Noël!
Toto :
– Hé! Noël! Montre tes boules à la maîtresse…
ayant relu troiX foix plutôt que deux
Une chose est sûre : celui-là est bien un écrivain qui ne place rien au-dessus de la littérature.
je supposeu’on peut en conclure qu’il y a des écrivains pour lesquels la littérature n’est pas le sommet des sommets, aux yeux de P.Assouline du moins
si l’on pouvait poser une question à P.Assouline, ce serait:
la littérature est-elle ce qu’il place au plus haut en toutes circonstances et sinon quand , et depuis quand (ces mots étant les premiers du talmud sauf erreur
Le premier mot du talmud est une question sur le temps : Meemataï?
http://www.idixa.net/Pixa/pagixa-0509182153.html
bonsoir
C’est une question plutôt primaire, très XXe siècle avec toutes ses petites et grandes manies, ses jugements préfets et ses idéologies à deux balles.
On peut place au plus haut, et en toutes circonstances, ses enfants, sa compagne, la voiture, le match, la cuisine, et ainsi de suite, et être un très bon écrivain.
À front de ça on trouve souvent des écrivains plutôt moyens qui placent au plus haut, et en toutes circonstances, la littérature, mais ils restent des écrivains moyens.
Urucu dit: 9 septembre 2013 à 21 h 46 min
ayant relu troiX foix plutôt que deux
Une chose est sûre : celui-là est bien un écrivain qui ne place rien au-dessus de la littérature.
Urucucu, tu prends le problème par le mauvais bout.
Est-ce que le fait de « ne rien placer au-dessus de la littérature » fait un écrivain?
Le Cardinal de Retz (c’est un exemple) a mis beaucoup de choses au-dessus de la littérature, presque tout. Son destin l’atteste. Il a écrit après. Et c’est un des plus grands styles français. Un pouvoir d’étonner, de faire jouir, au point que le lecteur souvent n’est pas très loin de tomber en pâmoison, comme une précieuse.
La question n’est donc pas là.
Ce n’est pas qu’un homme place la littérature au-dessus de tout qui fait un écrivain,- c’est ce que la littérature a fait de cet homme.
Oups ! place > placer
renato dit: 9 septembre 2013 à 22 h 24 min
À front de ça on trouve souvent des écrivains plutôt moyens qui placent au plus haut, et en toutes circonstances, la littérature, mais ils restent des écrivains moyens.
C’est comme Toto. Son désir d’intelligence l’a laissé tel qu’il est.
Ta gueule dracul..
« Son désir d’intelligence l’a laissé tel qu’il est. »
Est-ce qu’il faut avoir fait l’expérience du désir d’intelligence pour imaginer ce même désir chez l’autre ? Il faudrait qu’un de ces quatre j’essaie, cela pourrait être gisant.
Paul Edel dit: 9 septembre 2013 à 19 h 58 min
Sur la liste des Goncourt, on note 2 romans Flammarion et un seul Gallimard, assez drôle ah teresa, belle revanche ,beau travail.
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Voilà condensé ce qui fait la grandeur de la littérature française actuelle. Et sa noblesse.
Il faudrait qu’un de ces quatre j’essaie, cela pourrait être gisant.
Grisant mais définitif…
« Mais j’aimerais qu’on arrête d’embêter toto, qui d’ailleurs s’appelle renato. »
Je vous remercie de la peine que vous prenez. Cependant, je dois vous dire que le fait d’avoir un troll à moi c’est assez gratifiant ; c’est vrai qu’il ne vaut pas un animal de compagnie, mais puisque, compte tenu de l’effort qu’il fournit, il ne coûte rien, on ne va pas se plaindre.
« Grisant », merci.
D. dit: 9 septembre 2013 à 20 h 32 min
Mais j’en ai quand même besoin pour appeler la police
Et avec un porte-voix ?
Il faut dire que Toto est un tel réservoir de connerie que c’en est fascinant.
Il en déborde comme déborde une fosse d’aisance remplie de merde.
C’est son côté infini.
Mais il ne faut pas la mettre sur ce ton, animal de compagnie c’est gentil. Évidemment, on peut ne donner aucune valeur à toute la fatigue que vous mettez en jeu, mais cela ferait de moi un ingrat, une figure que je n’aime point.
Pas si fatigant, Toto, un peu de bon sens.
Pour toi, évidemment un effort difficilement envisageable.
D’ailleurs, cette histoire de jalousie ne doit pas être complètement fausse, c’est peut-être parce que j’ai dit qu’il ne vaut pas un animal de compagnie qu’il a pris mouche.
Mon Toto, tu montres la trame… Celle de ton orgueil démesuré. Comment veux-tu que ce soit possible? Con et orgueilleux à ce point-là… Tu en deviens insensé.
Orgueil ? Moi ? vous ne savez vraiment plus quoi dire, mais je comprends il ne faut pas être ni intelligent ni cultivé pour pratique métier de troll. Reposez vous, puisez quelques nouvelle bêtise dans vos souvenir d’étudiant. Vous en avez des souvenirs d’étudiant, vrai ?
Bon, maintena
Bon, maintenant j’ai à faire. Bonne nuit.
Bonne nuit, renato. Sachez que ce n’est pas moi qui vous persécute de la sorte. Je suis avec vous.
…
…le nouveau beaujolais nouveau en peinture,…
…
…le nouveau » Van Gogh « ,…au titre de » coucher de soleil à Montmajour « ,…
…
…même s’il est fait avec les couleurs d’origine de son époque et acheter en 1901,…etc,…etc,…et à croupir dans un grenier,…etc,…
…
…même que l’ambassadeur français lui à bien dit que c’est un faux,…
…
…
…pour moi,…aussi,…bien sûr,…je ne le sens pas comme » original de Van Gogh « ,…
…la composition trop mielleuse,…çà manque de couleurs et de contraste,…pour un coucher de soleil,…et ses arbres qui font taches sur le ciel,…Non Merci,…
…tout au plus,…une bonne imitation de style par Monet,…
…
…mais, comme coucher de soleil il a déjà fait mieux,… » Souvenirs du nord « ,…1890,…29 X 36,5,…
…
…d’ailleurs si tout les Van Gogh,…dans les catalogues seraient vrais,…combien de ses tableaux a t’il copier lui-même,…en double,…
…
…et puis, ces arbres,…sans ardeurs,…
…ces éparpillements,…sans » japonisme » dans l’ensemble,…bizarre,…
…
…avec çà,…mon » zin-dahlias » sur contre-plaqué en bois, de Van Gogh,…reste à expertisé,…
…
…de toute façon un tableau hollandais en cache un autre,…comme les poupées russes,…etc,…merci la diversion,…etc,…
…
Lacan a dit un jour « Je ne parle pas pour les idiots ». Pierre Rey, dans son ouvrage sur ses 10 ans (!) d’analyse « Une saison chez Lacan » / Laffont, le rapporte page 45. Il se plaignait du charabia des Ecrits…
Essayant de comprendre le conflit entre deux compères d’amitiés, l’un lacanien, l’autre freudien, j’ai eu la curiosité de lire la thèse de Lacan : « De la psychose paranoïaque dans ses rapports avec la personnalité » Points/ Seuil 115 (j’adore l’envoi à son frère Marc-François, R.P. bénédictin). Très instructif. Chiant aussi.
Et la correspondance de Freud avec Ferenczi, beaucoup plus intéressante.
La conclusion sommaire que j’en ai tiré, avant de passer à une autre curiosité (la psychanalyse c’est bien mais il ne faut pas en abuser), c’est que je suis « un idiot » pour Lacan (car le gourou reste pour moi un charlatan subtil qui ne me parle pas) et « un admirateur » pour Freud, essayant, lui, d’ouvrir littéralement une route nouvelle, et de créer un corps de spécialistes dans le monde « civilisé », en y mettant une ténacité et une énergie énorme.
J’ai même lu Marie Bonaparte, une vrai cinglée…la pauvre ! Au contraire de Groddeck, adorable dans ses efforts de choix entre la mère et la fille… ou Jung, le têtu.
Bref, Lacan est à mes yeux un charlatan, un pitre, plein de malice. Et cette idée en vaut bien une autre ! Par exemple celle de ces adorateurs lacaniens qui pensent à tort pouvoir démontrer qu’il est génial, ce qui n’est qu’un point de vue, tout aussi partisan que le mien.
(Et si vous voulez-vous amuser beaucoup et voir couler le sang, mettez en présence un coq lacanien et un coq freudien dans un dîner, et prenez les paris sur le vainqueur du combat !)
Un lacanien et/ou un freudien à Porquerolles ? Strictement impossible. Une retraitée de la Poste de Colmar et un ancien charcutier de Lisieux, à la rigueur.
Le plaisir d’un très bon café
http://www.youtube.com/watch?v=GR_dHPZ-hOc
Je vous parle d’un temps proche, cosmiquement et comiquement, où ça se passait au Vésinet, à Paris, càd 800 kms au nord d’Aix en Provence, autant dire en des lieux de perdition où le soleil à la flemme de monter…
A Porquerolles, les étiquettes sont vite délavées ! Enfin .. ! c’est ce qui se dit ! Postière et Charcutier sont de nobles fonctions : ça vous rappelle votre parentèle ?
Gagner un territoire civilisé étant plus facile à partir de Colmar (Basel ou Freiburg im Breisgau) qu’à partir de Paris ou de Marseille, on voit mal une retraitée de la Poste de Colmar partir se perdre sur une île, fut-ce la plus grande des trois îles d’Hyères…
Renato, vous n’allez pas nous faire croire qu’il existe une civilisation à l’est de Colmar (inclus ?)…!!!
on voit mal une retraitée de la Poste de Colmar partir se perdre sur une île, fut-ce la plus grande des trois îles d’Hyères…
Et le soleil té ! les boules, le pastaga, tout le folklore quoi…
renato dit: 9 septembre 2013 à 23 h 57 min
Orgueil ? Moi ?
N’avouez jamais…
Hé ! le non-animal-domestique, si on est orgueilleux on ne vient pas sur un blog où on risque de trouver des gens de votre espèce.
ça se passait au Vésinet, à Paris
dans la région parisienne serait plus exact
Ah ! Les Isles d’Or …
(Sans compter que pour une retraitée postale, avachie derrière un guichet toute sa vie, faire un tour en scooter rose repeint… plus la petite promenade dans la pinède… et les accessoires culturels … ehehé, ça fait des souvenirs !
« … tout le folklore quoi… »
On ne va pas se taper un wagon de scooters rose pour un brin de folklore sous assistance respiratoire…
Ces régionaux, ils ont fait le Grand Paris avant l’heure.
– « Ma fille est à Paris.
– Dans quel quartier ?
– La Courneuve ».
et les accessoires culturels …
Jolie métaphore pour désigner les cochonnets.
Ces Parisiens ! Ils prennent vite les Provinciaux pour des parvenus culturels … Faut les voir à l’estranger comme ils sont drôles !
« Faut les voir à l’estranger comme ils sont drôles ! »
Déjà lorsqu’ils se pavanent dans nos paisibles provinces le spectacle est saisissant.
L’Île d’Yeu l’été, les îles méditerranéennes l’hiver, ça m’irait.
sous assistance respiratoire…
A cause du mistral ?
renato dit: 10 septembre 2013 à 8 h 55 min
Sauf si on vient y faire l’orgueilleux…
Je sens comme le frémissement d’un commencement de ligue anti-parisiens entre l’Alsace et le Var.
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