Passer l’hiver avec Schubert
Il y a quelques temps dans ces colonnes même, j’exhortais éditeurs et traducteurs (car c’est ce sont souvent ces derniers qui découvrent, révèlent et apportent les textes aux comités de lecture) de s’emparer d’un livre dont la lecture en anglais m’avait fasciné : le récit d’une obsession et de son anatomie par le grand ténor Ian Bostridge (Londres, 1964) dans Schubert’s Winter Journey publié par Faber and Faber en Grande-Bretagne et Knopf aux Etats-Unis. Et depuis, chaque fois qu’un micro m’était tendu notamment à France Musique et France Culture, quel que fut le sujet, je m’arrangeais pour placer mon petit couplet sur l’émerveillement que m’avait causé la lecture de ce livre, ce qui me valut à chaque fois courriers et courriels d’auditeurs pressés d’en savoir davantage. Gardons-nous de croire en notre influence, coupable pêché d’orgueil. Cela a dû alimenter le bouche-à-oreillece petit concert a peut-être eu sa part dans la parution aujourd’hui du Voyage d’hiver de Schubert (traduit de l’anglais et de l’allemand par Denis-Armand Canal, 440 pages, 29 euros, Actes sud). Une édition qui rend justice à l’édition originale non seulement la délicatesse de sa traduction (avec le souci de respecter leur musique en musique par Schubert lorsqu’il s’est agi de traduire les poèmes de Wilhelm Müller) mais encore par le soin apporté à la fabrication de l’objet ; car sans relever de la catégorie « Beaux-Livres », ce qu’il n’est en rien à commencer par le format courant, il est illustré selon le voeu de Ian Bostridge par des incrustations de tableaux bien sûr mais aussi de poèmes, portées, photos, dessins et même le logo de la Deutsche Post !
Cette enquête ne captivera pas seulement les interprètes, les férus d’histoire de la musique et les mélomanes mais tout autant ceux sur qui le romantisme allemand exerce une durable et profonde séduction. Ce livre est des rares à pouvoir modifier tant l’interprétation que l’écoute d’une oeuvre aussi célèbre, même si le récital de lieder n’occupe plus la place suprême qui était autrefois la sienne tant dans la vie privée quotidienne que dans les concerts publics. Ian Bostridge, lui, a grandi avec les enregistrement du pianiste Gerald Moore et la voix de Dietrich Fisher-Dieskau. Difficile de s’en déprendre, il l’admet. Son livre n’en demeure pas moins le fruit d’une intime fréquentation d’une grande oeuvre par son interprète, une rumination de vingt ans comme peu d’écrivains y consentent avant de coucher sur le papier le motif de leur tourment. On peut goûter ce voyage dans le voyage, plus allègre que l’austère beauté qu’il analyse, sans avoir en permanence dans le creux de l’oreille les vingt-quatre lieder qui constituent le Winterreise de Schubert, le grain de la voix du chanteur, les accords du piano ni même les poèmes de Wilhelm Müller qui disent l’amour, la perte, l’identité, la crise existentielle, le sens de la vie…
Au long de ses soliloques, un jeune homme abandonne l’amour de sa vie et se résigne lentement à l’idée de sa propre mort. Son désastre amoureux ne peut aboutir qu’à un départ car il sent dès lors un étranger dans ce qui fut le décor de sa passion. Au cours de son périple de retour, il fait d’étranges expériences avec des lieux et des choses de la nature, jusqu’à ce que dans le chant ultime, il rencontre le joueur de vielle (Der Leiermann ou The Hurdy-Gurdy Man, audacieusement rapproché de Mr Tambourine man). Ce voyageur est un exilé solitaire dont Bostridge invite à décrypter la lamentation enfouie au cœur de son secret. Dans son élan, il n’hésite pas à lui prêter des intentions, sinon une biographie, suggérant par exemple que le jeune homme avait dû être viré pour avoir commis le faux-pas d’avoir une liaison avec la jeune fille dont il était le précepteur. Et pourquoi pas ? Il se permet tout, jusqu’à nous faire part de son admiration pour Bob Dylan, Billie Holiday et Frank Sinatra.
Schubert a composé ce voyage d’hiver à la toute fin de sa courte vie, à 31 ans en 1828. C’était un vrai gentil, lui. Pas un faible : un homme profondément bon. Incroyable ce qu’il a pu donner, pour rien, naturellement. Bostridge a le mérite de le rappeler, ce qui ne l’empêche pas de nous entretenir de sa combinaison du Volkslied et du Kunstlied, de la simplicité de l’un et du raffinement de l’autre, ou de son culte de la nuit. Ou de ce que le voyage chez Schubert a quelque chose de fantastique, de surnaturel et même, osons le dire, de religieux. On ne célèbrera jamais assez le discret génie de celui qui a osé inscrire la trompe de chasse dans sa messe en la bémol majeur, et pas petitement puisqu’il lui a fait sonner le sanctus !
La lecture de ce livre est plus que mélancolique (il est vrai que le sous-titre « Anatomie d’une obsession » n’est pas sans résonance avec le fameux Anatomie de la mélancolie de Robert Burton), parfois joyeusement déprimante, et plus encore sur un fond de paysage enneigé, mais non sans humour, avec un je-ne-sais-quoi de sardonique. Bostridge fait d’ailleurs remarquer que Beckett était un grand fan de cette œuvre. N’empêche que, malgré la solitude du voyageur, on pense moins aux personnages de son théâtre qu’à un mot de Cioran assurant que « la musique est ce qui nous aide à être un peu mieux malheureux ». Pourtant, ces lieder de Schubert sont certes pleins de désespoir mais plus encore de passion, de sensualité et d’humour ; Bostridge ne va pas jusqu’à écrire que le silence qui clôt un concert du Voyage d’hiver est encore de la musique, mais il distingue la qualité de ce silence-là des autres. Et il sait parfois se taire dans son enquête, se lançant à lui-même et à nous autres lecteurs l’injonction « Assez de musicologie ! » quand il sent qu’il en fait trop sur l’assimilation du triolet ou la configuration rythmique. Ce même silence qui selon lui clôt tout récital du Voyage d’hiver :
« Un silence se fait, une fois éteints dans la salle les échos de la dernière phrase de la vielle- silence souvent prolongé et qui fait partie de l’expérience partagée pendant le cycle. Silence interprété autant par le public que par les artistes. Suivent habituellement les applaudissements « muets » qui peuvent se transformer en acclamations (…) Les règles normales du récital de chant sont ici suspendues. Aucun « bis » n’a été préparé : le public n’en attend pas, si enthousiaste qu’ait pu être sa réception du concert, et il n’y en aura pas de toute façon. Il règne un sentiment de gravité, d’avoir approché un univers supérieur quelque chose d’ineffable et d’intouchable »
C’est peu dire que cette œuvre (elle dure soixante-dix minutes en tout) jouit d’une discographie abondante. Dietrich Fischer-Dieskau l’a même en registrée à cinq reprises. Par des barytons donc (Schubert en avait tant écrit pour le baryton Vogl) mais aussi par des barytons-basse, des mezzo-sopranos, des ténors, des femmes aussi donc (Christina Schaefer) car l’œuvre ne propose pas un message mais une rencontre… Mais on ne sache pas qu’aucun d’entre eux ait jamais consacré des centaines de pages à creuser l’envoutement provoqué par le compagnonnage du Voyage d’hiver. C’est aussi que Ian Bostridge est un musicien atypique en ce qu’il n’a pas été formé dans les écoles de musiques et les conservatoires, mais plutôt du côté des historiens puisqu’il est diplômé d’histoire et de philosophie des sciences après avoir étudié à Oxford puis Cambridge et qu’il a un temps enseigné la théorie politique et l’histoire de l’Angleterre au XVIIIème siècle (il n’est chanteur professionnel que depuis l’âge de 30 ans). Et même parmi eux, il est marginal puisqu’il avoue que sans le moteur de recherche dans son ordinateur, il n’aurait pu mener ses recherches à bien.
Pour écrire ce qui apparaît comme un « Winterreise à travers les âges », il fait autant appel à la musicologie qu’à l’histoire culturelle et à la psychanalyse, mais sans excès car contrairement à tant d’universitaires, du moins des Américains, il ne passe pas son temps à conjecturer sur l’éventuelle homosexualité du compositeur (au milieu du XIXème siècle, il était courant de désigner la musique de Beethoven comme masculine, et celle de Schubert comme féminine !). Au fond, s’il a écrit ce livre, c’est aussi pour conserver en lui cette œuvre dans toute sa fraicheur alors qu’il l’a interprétée en public une centaine de fois, et qu’un nouveau pianiste, un nouveau public et une autre salle ne suffisent pas toujours à renouveler le bonheur des premières fois. En 1997 déjà, il avait ouvert une nouvelle voie en consacrant un documentaire au cycle romantique de Schubert que Channel 4 diffusa en Grande-Bretagne.
Digressif ? C’est peu dire. Il y est autant question de l’enseignement de Salieri ou du climat politique réactionnaire de l’Allemagne et de l’Autriche des années 1820 que de la formation et de la fonte des glaciers, de la fascination du compositeur pour les livres de James Fenimore Cooper, des effets de la syphilis sur le mental, de l’arbre magique au cœur de Des Lindenbaum ou de la culture teutonne. On s’en doute, les poèmes de Müller y sont passés au peigne fin tant pour eux-mêmes que dans une perspective comparatiste (Byron). C’est l’occasion pour l’auteur de payer sa dette à l’un de ses maîtres de jeunesse, son professeur d’allemand qui lui révéla la beauté poétique des lieder, et pas seulement ceux de Schubert.
Oserais-je l’avouer, si je me suis laissé emporter par cette exploration inouïe d’une œuvre musicale, c’est aussi parce que les Lieder de Schubert sont une de mes madeleines. Pas seulement le Voyage d’hiver , car il y en a près de six cents. Je n’ai pu m’empêcher d’en placer certains au cœur de mon roman Sigmaringen ; et si mon héros s’appelle Julius, c’est sans doute parce que j’avais en permanence sous les yeux la couverture du CD des lieder de Schubert interprétés par Ian Bostridge accompagné au piano par … Julius Drake. Mes préférés sont An Den Mond ou Auf Dem Wasser Zu Singen, ou encore Nacht und Traüme. Que des chants d’une pureté cristalline qui ont le pouvoir d’ouvrir plus largement l’âme toutes passions abolies.
C’est peu dire que l’on quitte ce livre à regret. En fait, on s’en sépare comme on abandonne une salle de concert après un récital du Winterreise. A la fin de son récit, Ian Bostridge dit que, contrairement aux autres concerts de musique classique, ic il n’y a pas de distance d’ébahissement entre le public et le chanteur, la virtuosité étant dissimulée, discrète, tant le public est invité à s’identifier au personnage habité par le chanteur.
« Dans ces conditions, après avoir pénétré si profondément des arcanes aussi intimes; après cette confrontation mutuelle de part et d’autre de la rampe; après avoir dévoilé nos fragilités réciproques pendant soixante-dix minutes (ce qui est une durée considérable), un retour à la « normalité » peut poser quelques problèmes. Les rituels de fins de concert peuvent aider tout bien que gêner : il est parfois impossible de faire les choses habituelles -retrouver des amis, prendre un verre, souper. La solitude est souvent plus attirante -et préférable »
Etrange comme il en va parfois de même avec les rituels de fin de lecture, de certaines lectures, d’une telle lecture.
(« Cantonnement d’étape devant Paris, 24 octobre 1870 » huile sur toile, 1894, de Anton von Werner, BPK/nationalgalerie ; « Ian Bostridge » photo D.R. ;
2 377 Réponses pour Passer l’hiver avec Schubert
des effets de la syphilis sur le mental
dracul c’est la grosse caisse
Je n’ai pu m’empêcher d’en placer certains au cœur de mon roman Sigmaringen
avé le ouifi
choubert avé dilanne et béquette..ça doit ça leffet dla sifilisse..quant à enjoliver ldesespoir..c’est pas trés fortiche non pus..vaut mieux lsilence des agneau à keupu..c’est que bête et méchant
« Cantonnement d’étape devant Paris, 24 octobre 1870 »
sapré dsapré lassouline et sa ptite musique militaire..plus fort que lui
le croquant « pêché »
Chaloux pabloseventyfive, enfourchez votre piano et mandez-nous votre touche
(et merdum, ça risque encore d’être long, tant pis, je fonce !)
Je ne sais pas si j’achèterai le livre indiqué par notre hôte – il me fait peur à cause de ce qu’il implique d’érudition musicale, et je pense que mes abyssales ignorances musicologiques, historiques sans parler de la contrée inconnue qu’est le romantisme allemand m’en interdisent l’accès. Mais par contre, je sais que le « Voyage d’Hiver » a été, pour moi, un choc émotionnel intense, alors que rien ne me prédestinait à ça.
Jeune fille, je n’avais aucune culture musicale autre que celle fournie, à la télévision, par Maritie et Gilbert Carpentier, c’est dire. Mais j’ai eu la chance de rencontrer des passionnés qui m’ont ouvert un peu les oreilles. Néanmoins, comme tous les enfants des classes populaires, l’opéra et le chant lyrique m’étaient inaccessibles. Oh, comme tout le monde, j’étais parfaitement capable de brailler du Bizet sous la douche « C’est la Carmencita, non, non, ce n’est pas elle ! », mais c’était à peu près tout…
Et puis un jour…
Je râlais ce matin-là, parce que c’était un dimanche mais que j’étais obligée pourtant d’aller travailler. Ma petite twingo et moi, vaillamment, nous montions et descendions les collines, parcourions les petites routes, traversions les villages endormis… Il était tôt, j’avais mis la radio, et, parce que le dimanche est réservé aux émissions religieuses et que je n’avais aucune envie de me taper la messe, j’avais changé de station et écoutais donc France Musique plutôt que l’habituelle France Culture…
Et là ! J’ai entendu une voix d’homme qui chantait, avec juste un piano derrière, et petit à petit, une tristesse, mais alors là, une tristesse épouvantable m’a saisie. Je n’ai absolument rien compris à ce qui m’arrivait, parce que rien ne m’avait préparée à cela, et surtout, rien ne correspondait à ce que je connaissais.
Pourtant, je croyais savoir ce que c’était qu’une « musique triste » : il y fallait des violons, beaucoup, un tempo étiré et langoureux, une mélodie sanglotante…
Et bien là, il n’y avait rien de tout ça. Le tempo n’était pas particulièrement lent, d’autant que le piano, derrière, ne semblait rien faire d’autre que de donner une cadence au chant – une simplicité dépourvu de tout pathos, quoi.. Et la voix du chanteur n’était pas gémissante, mais alors, pas du tout, au contraire. Quant aux violons, pas l’ombre de la queue du moindre manche à l’horizon…
N’empêche que j’ai eu les larmes aux yeux, sans savoir pourquoi, d’autant que je ne comprenais pas un fichtre mot de ce qui était chanté là. J’ai même dû arrêter la twingo sur le bord de la route ! Et j’ai attrapé au vol, quand le chant s’est arrêté, qu’il s’agissait d ‘un « voyage d’hiver », et que c’était un certain « Thomas Quastoff » qui chantait. Je n’ai même pas compris qu’il s’agissait de Schubert, et de toute façon, ce nom-là n’évoquait rien d’autre pour moi qu’un… poisson !!!
Quand je suis rentrée à la maison, j’ai fait des recherches (mais je ne savais pas bien encore manipuler internet, je me souviens) – et je suis tombée sur une vidéo avec Thomas Quasthoff, et j’ai été derechef bouleversée – parce que le chanteur était atteint de terribles malformations physiques.
Je n’ai toujours pas compris comment la tristesse du lieder (c’était « Auf dem Flusse », et ce fut le seul qui m’a fait un effet d’une telle intensité, même si j’ai par la suite tout écouté du Voyage d’hiver) avait pu me toucher, alors que je n’avais aucune des connaissances et des aptitudes requises pour comprendre ce genre de musique. J’ai écouté aussi, par la suite, tout le cycle des lieders par Fisher-Diskau et aussi avec une voix féminine. Je n’ai jamais retrouvé le bouleversement ressenti lors de cette matinée si triviale de ce dimanche, alors que j’étais « de mauvais poil » et à mille lieux de compatir aux souffrances amoureuses d’un jeune homme en voyage…
Je sais qu’ici, ma naïveté risque encore de me désigner comme objet de ridicule. Mais tant pis. Je trouve que la sensibilité humaine est parfois incroyable, pour ne pas dire « inouïe » puisque ce jour-là, précisément, j’ai vraiment écouté Schubert me chanter sa triste chanson !!!
Ce tableau d’Anton von Werner a fait la couverture de « Mademoiselle Fifi » en livre de poche.
https://livre.fnac.com/a208385/Guy-de-Maupassant-Mademoiselle-Fifi
Ah, merci, W.
http://www.lepoint.fr/culture/assouline-sur-les-traces-de-ses-ancetres-sefarades-en-espagne-06-07-2017-2140964_3.php
Le jeune homme et la mort….
Schubert, c’est pas celui qui a inspiré la chanson « il jouait du piano assis » ?
@clopine . votre supposée naïveté ne vous désigne nullement comme objet de ridicule .J’ai fait une expérience comparable .Au milieu des années 1980 ,j’étais dans ma voiture et j’ai entendu Sylvie Germain parler de l’un de ses premiers livres » Le livre des Nuits » . Ce fut une expérience vraiment intense. La lecture du » livre des Nuits » fut aussi une expérience intense.
Passou,
vous écrivez : « le Voyage d’hiver » … Je n’ai pu m’empêcher d’en placer certains au cœur de mon roman Sigmaringen ; et si mon héros s’appelle Julius, c’est sans doute parce que j’avais en permanence sous les yeux la couverture du CD des lieder de Schubert interprétés par Ian Bostridge accompagné au piano par … Julius Drake. »
J’imagine que vous l’avez écouté en boucle pendant l’écriture de « Sigmaringen »… Oui, une œuvre envoûtante…
Et ce roman qui va sortir et dont j’ignorais l’existence, mémoire d’enfance… Écriture liée à votre long séjour en Espagne, il est né baignant dans quelle œuvre musicale ?
Le lied que je prefere , c’est celui interprété par Julie Fuchs à l’église de la Madeleine.
J’attends surtout « le songe d’une nuit d’été » de felix Mendelssohn
Ce nouveau livre de « Passou » annoncé de longue date, j’m en va le lire au son des castagnettes.
Bonne Clopine, prenez du Champagne au petit déjeuner et vous n’apprécierez pas moins ce brave Schubert qui préférait sûrement traverser l’empire autrichien en diligence pullmann pluôt que sur un canasson twingo.
et que je n’avais aucune envie de me taper la messe,
Vous auriez pu être une chanoinesse perverse, Clopine!
Et si vous n’ aimez pas, n’ en dégoûtez pas les autres! 😉
Sans les messes, une grande partie de la musique dite classique n’ existerait plus…
n’ existerait pas 😉
( la fatigue de sauter les pâtés de WGG…)
Comme Sebald*, Paula Jacques et Muñoz Molina*, mêlez-vous l’histoire réelle de votre famille émigrant, en exil, à des histoires imaginaires ? Comment faire ressurgir le passé enfoui ? Je pense à votre autre roman « Vies de Job » et en particulier au chapitre « Souffrance ».
« car demande à la génération précédente,
et sois attentif à l’expérience de leurs pères,
puisque nous sommes d’hier et ne savons pas,
puisque nos jours sur terre sont une ombre,
n’est-ce pas eux qui t’instruiront, qui te parleront,
et qui de leur cœur extrairont des mots ? » (Job, VIII, 8-11, trad. E.Dhorme)
Le roman familial accorde deux variantes à la légende. L’une orgueilleusement berbère, l’autre fièrement séfarade. Mon grand-père penche plutôt pour la première, la version sahraouie. Lorsque j’évoque l’autre devant lui, celle qui a fui l’Inquisition espagnole, en insistant sur le azul (entendez « assoul ») de notre nom, un sourire mutin se dessine sur ses lèvres tandis que le bleu de ses yeux se lève vers le bleu des miens, puisque la tradition orale veut qu’un Assouline par génération ait les yeux bleus depuis « toujours ». (p.334)
* »Les Emigrants », « Les Anneaux de Saturne », « Austerlitz » pour Sebald
« Séfarade » pour M.Molina
« Au moins il ne pleut pas » P.Jacques
» ceux sur qui le romantisme allemand exerce une durable et profonde séduction », je passe mon tour.
À bientôt
A propos de Deleuze, je dois préciser que mon jugement concernait surtout l’extrait cité et rien d’autre : n’étant ni philosophe ni compilateur Internet, je serais bien incapable d’évaluer son apport à la philosophie. Reste que le fond de cet extrait n’apporte rien de nouveau puisqu’il se trouve chez Proust même. (La seconde citation vient en droite ligne de Freud et d’une psychanalyse éculée, ce que le lecteur le plus léger, le plus distrait, le plus incompétent, devrait être capable de repérer, mais je ne commente pas davantage, si ce n’est pour m’interroger sur une méthode de lecture qui ne serait capable de souligner que le controuvé, mais passons. Certainement pas sans rapport avec la notion de culture profonde dont parlait DHH). Tout cela vraiment étrange, d’autant que l’auteur des lignes auxquelles je fais allusion avait écrit ici même n’avoir lu de Proust que le digest d’Assouline et que, sans nouvelles nouvelles de ce front, on n’a pas l’impression qu’une lecture complète ait été entreprise ni qu’elle ait trouvé de conclusion.
L’ouvrage en question, Proust et les Signes</i, je l’ai lu il y a bien longtemps sans qu’il me laisse grand souvenir, sans doute pour la simple raison qu’il est plus utile aux philosophes qu’aux lecteurs de Proust. J’ai d’ailleurs retrouvé cette impression en lisant d’autres textes de Deleuze sur la littérature, sa préface à Apocalypse de D.H. Lawrence, par exemple.
Quant à Deleuze lui-même, on peut guère lui retirer son talent de grand causeur, son légendaire Abécédaire en témoigne, mais ce n’est tout de même pas une nouvelle du jour, ni lui faire offense, que de constater qu’il est aujourd’hui extrêmement contesté.
Pour ce qui est du fond de l’affaire, le cheminement vers l’œuvre d’art est-il vraiment le sujet de La Recherche ? C’est une question qui se pose. Disons que ce sujet, entre autres choses (car il en est aussi jusqu’à un certain point l’aria) fait tenir ensemble toute une série d’éléments peu faits pour cohabiter, et offre au livre une cohérence intellectuelle sans laquelle il serait peut-être plus difficilement acceptable, ou serait révalé au rang de souvenirs fictifs. C’est dire si on est loin du compte.
« Un silence se fait, une fois éteints dans la salle les échos de la dernière phrase de la vielle- silence souvent prolongé et qui fait partie de l’expérience partagée pendant le cycle. Silence interprété autant par le public que par les artistes. Suivent habituellement les applaudissements « muets » qui peuvent se transformer en acclamations (…) Les règles normales du récital de chant sont ici suspendues. Aucun « bis » n’a été préparé : le public n’en attend pas, si enthousiaste qu’ait pu être sa réception du concert, et il n’y en aura pas de toute façon. Il règne un sentiment de gravité, d’avoir approché un univers supérieur quelque chose d’ineffable et d’intouchable »
J’y étais!
Fischer Dieskau, Brendel, salle Pleyel, 25 juin 1984
Une petite place au petit bouquin de Bellamy qui recoupe celui-ci dans la foulée n’aurait peut-être pas été de trop ?…, je pense… Mais point trop de pub ne faut à ce gars-là, j’en conviens, comme je l’ai dit avant-hier, drôle de coïncidence, Passoul. Et puis, OB ne consacre que 4 pages, (177-180), au voyage d’hiver. J’avais noté mon agacement et n’avais pas encore lu son admiration un brin ridicule pour Jean d’O. évoquant Schubert ! (p. 174)… Il s’enfonçait. Ceci dit, comme vous, il s’est rattrapé sur cette éternelle histoire d’amour des garçons et de syphilis qui commence à êtr epesante. Musique féminine ou masculine ? Il rétorque : « vous connaissez de la musique gay, vous ? Moi pas ». L’essentiel pour clore ce chapitre est que si on n’a jamais pleuré à l’écoute du trio op. 100 découvert dans la twingo de barry lyndon, alors on n’est pas un homme ! Moi, voilà ce que je lui dis à la dame de Sigmaringen en Normandie. Biz !
Clopine, ça doit faire 4 ou 5 fois que je mentionne ce nom ici sans le moindre écho, même pas de la part de Chaloux ou de Pablo, mais tant pis, je m’obstine: HANS HOTTER, accompagnement, Gerald Moore, 1954…
On le trouve sur le net:
https://www.youtube.com/watch?v=H_X6WBVR1mU
Vous retrouverez peut-être votre émotion, qui sait?
Closer, je n’étais pas à ce concert de 1984, mais à celui de la tournée d’adieu de Fischer Dieskau, quelques années plus tard (je ne me souviens pas de l’année exacte), toujours à Pleyel. Beau souvenir. (Également, vers la même époque, les derniers récitals de Gérard Souzay à Gaveau).
Je vous avoue que je n’ai jamais écouté Hans Potter. J’ai de plus en plus de mal avec le lied en boîte, c’est pour moi une musique qui s’écoute dans un salon à trois mètres des musiciens, ou en récital. Et il y a longtemps que, peut-être par manque de temps -et par monomanie, je suis passé aux transcriptions de Liszt.
https://www.youtube.com/watch?v=HV1srnizYhk
Quant à Schubert, quelle histoire…
je lis sur Amazon que le roman à paraître de Pierre Assouline s’intitule SEFARAD
Deux livres au moins sont déjà connus sous ce titre: celui ,médiocre, fabriqué à coup de poncifs et de recettes passe-partout d’Elyette Abecassis et le merveilleux livre sui generis de Muunoz Molina :fascinante lecture qui juxtapose et entremêle brèves nouvelles, échos de souvenirs personnels ,biographies reconstituées , anecdotes et narrations de rencontres surprenantes.
un merveille de puissance stylistique et d’originalité littéraire, que le titre du dernier opus de Passou me fournit une occasion de rappeler à l’attention des commentateurs
Pas révalé, ravalé…
@Chaloux dit: 8 janvier 2018 à 12 h 44 min
Merci, Chaloux, pour ce retour. Oui, à chacun ses pistes de lecture. Ce narrateur-personnage, le héros, ou ce narrateur-écrivain, qui se confond parfois avec l’écrivain lui-même sans toutefois se révéler tout à fait, est obsédé par une quête, vacillant entre le réel et la fiction, à la recherche d’un passé enfoui dans sa mémoire, pas tout à fait effacé. Il tisse, de page en page, croisant les fils des morts et des vivants (qui vieillissent pour entrer eux aussi dans le monde des morts) La Recherche.
Deleuze a tenté d’éclairer La Recherche par la vie psychique de Proust et sa quête, par une intuition : l’art plus fort que la mort. J’aime qu’il ait creusé cette intuition mais votre façon de la lire est tout à fait cohérente et justifiable.
L’univers romanesque est pour moi, un art. On entre en écriture comme dans une deuxième vie entre le temps qui s’écoule et le temps immobile…
Quel est le pays de l’enfance retrouvée pour Proust ? La mère, qui seule pourrait incarner l’absence de temps.
Mais la mort l’atteindra, il écrira… 3000 pages. Labyrinthe où leurs voix se croisent. Être « il », être « elle »… avec tant de vérité et d’amour. Elle qui voulait qu’il n’arrive rien « au petit Marcel »… Écrire deviendra son insomnie, le temps de la douleur.
Puis, Albertine. On n’aime que ce qui nous échappe…
Il ne lui reste que les mots… Le monde y est revécu comme une œuvre d’art. Bonheur paradoxal
comme pour la musique de Vinteuil :
« Tout ce résidu réel que nous sommes obligés de garder pour nous-mêmes, que la causerie ne peut transmettre même de l’ami à l’ami, du maître au disciple, de l’amant à la maîtresse, cet ineffable qui différencie qualitativement ce que chacun a senti et qu’il est obligé de laisser au seuil des phrases où il ne peut communiquer avec autrui qu’en se limitant à des points extérieurs communs à tous et sans intérêt, l’art, l’art d’un Vinteuil comme celui d’un Elstir, le fait apparaître, extériorisant dans les couleurs du spectre la composition intime de ces mondes que nous appelons les individus, et que sans l’art nous ne connaîtrions jamais. »
Voilà, Chaloux, c’est en accord avec ce billet magnifique sur « Le voyage d’hiver » de Schubert.
(PS : W. a écrit quelque chose de très beau sur vous, hier, en répondant à Rose.)
Closer, merci : j’ai commencé d’écouter, la voix m’apparaît plus « feutrée » que celle de Diskau ? Allez, oserai-je un « c’est un magicien, ce Potter », sans encourir vos foudres ?
Je sais qu’ici, ma naïveté risque encore de me désigner comme objet de ridicule.
–
Absolument.
J’adore le Diskau moi aussi.
(PS : W. a écrit quelque chose de très beau sur vous, hier, en répondant à Rose.)
Christiane, Rose a écrit des choses très senties, c’est une femme qui a beaucoup d’intuition. Pour le reste, je crois que vous avez été victime d’hallucination (passagère, j’espère). Ce à quoi je pense que vous faites allusion ne me concerne pas.
En tout cas la messe à pu éviter de se taper Clopine, tant mieux pour elle.
HURK HURK HURK…
Je sais c’est pas chrétien. Mais bon. Des fois.
Quoi, Clopine ne serait pas folle de la messe?
Clopine, des milliers d’hommes et de femmes ont ete bouleversés par l’écoute
d’une oeuvre du répertoire classique à laquelle rien ne les avait préparé et c’est heureux! la musique est un langage universel, excusez ce truisme, et n’importe quel individu peut être touché par une oeuvre du répertoire classique. En vous étonnant, mais êtes vous sincère ? de votre surprenante aptitude à avoir ete sensible à un lied de Schubert malgré votre inculture musicale, vous affirmez deux choses, la premiere que la sensibilité à la musique classique est affaire d’éducation et donc de classe sociale, la seconde que votre sensibilité vous distingue comme un être exceptionnel…
Pas de quoi Clopine. Vous pouvez y aller avec Potter!
Hans Hotter est un baryton basse et la date de l’enregistrement peut aussi expliquer cette impression de « feutré » que vous exprimez.
Complément (wiki): « Il est aussi l’un des plus admirables chanteurs de lieder, capable d’alléger son immense voix et de s’appuyer sur un legato infini. Il a chanté 127 fois le cycle du Voyage d’hiver (Winterreise) de Franz Schubert, qu’il aborde pour la première fois dès 1941, à Hambourg. Il l’a enregistré quatre fois au disque »
» le lied en boîte, c’est pour moi une musique qui s’écoute dans un salon à trois mètres des musiciens, ou en récital. »
J’ai presque connu ces conditions idéales à la Grange de Meslay avec Matthias Goerne…Disons à quatre mètres de la scène!
Closer, j’allais assez souvent il y a quelques années, à des concerts privés, mais je sors beaucoup moins maintenant, et l’usage, sauf peut-être dans certains milieux, semble s’en être raréfié. Un des plus beaux récitals à côté du piano dont je me souvienne, c’est Shirley Horn à la Villa.
de nota, sans doute avez-vous raison sur l’absurdité de mon étonnement – Schubert étant effectivement capable de cela, d’émouvoir même ceux qui sont le plus loin de lui, mais par contre, vous avez tort en croyant que l’expression de cet étonnement visait à me désigner comme « exceptionnelle ». Hélas ! Je sais trop quelle souffrance (relative) et quelle solitude (relative aussi) sont attachées aux pas de quiconque n’est pas « comme les autres » pour craindre plus que tout un quelconque côté exceptionnel (en bien ou au contraire en mal, comme Jc est exceptionnellement nuisible ou Mcourt est exceptionnellement boursouflé) chez moi. Je repousse ad nauseam mes différences, cherche à « appartenir » (sans jamais y parvenir) au sort commun, je me raserai la tête et marcherai sur les mains si cela s’avérait suffisant.
Mais quant à l’universalisme de Schubert, j’ai cependant des doutes : j’ai, comme de bien entendu, tenter de faire écouter le « Voyage d’Hiver » à mes proches… Flop abyssal du côté Clopin, qui m’a plantée là pour reprendre son accordéon diatonique et se faire une petite gigue irlandaise sur le pouce. Regard d’incompréhension totale chez le tout jeune, à l’époque, Clopinou. Un autre de mes potes, guitariste distingué et amateur de Bach avant toute chose, a peut-être légèrement bronché, mais s’est détourné tout de suite de la chose. Bref : ici comme là-bas, je me suis retrouvée seule face à l’incompréhension (mais comme, à force, j’ai le cuir épais, ça ne m’a pas alertée plus que cela !) ; je crois cependant qu’il faut effectivement une éducation particulière pour comprendre et apprécier vraiment les lieders. Et pour moi, à part l’anecdote racontée plus bas et qui reste totalement isolée, l’accès est difficile, compliqué, voire interdit…
la premiere que la sensibilité à la musique classique est affaire d’éducation et donc de classe sociale, la seconde que votre sensibilité vous distingue comme un être exceptionnel…
c’est comme dracul et la juivrie hinternationale..c’est pas trés surprenant dénota..plus ou moinsse t’es lélu..et je n’ai qu’une chose a ajouter à plus de 2.50 m des musicos t’es un prolo..pas plus prés dénota!..attation!..sinon t’es l’larbin qui sert les rafraichissments
jrappelle qui fut hun temps même mon larbin kiffait dracul..et que j’étais un grotantisémite a le pourrir..si si..c’étoye la référence du concert privée de la crème de jéruzalème..mainant à par lassouline et drh tout l’monde y se rcule..de peur d’ête vu comme un larbin qui lèche les burnes..
Widergänger dit: 7 janvier 2018 à 20 h 59 min
sur Claude Hagège et la langue yiddish.
merci à vous; j’ai trouvé.
lproblème bonne clopine c’est qutu racontes ça benoitement et qu’ça sniffe son calcule et entregens pour faire suer polo sous son tricot d’peau..
..pour que polo il ait cho sous son..dis l’contraire !
Disons à quatre mètres de la scène!
on est pas du même monde cloclo..chte cause pus
Clopine, vous êtes évidemment quelqu’un d’exceptionnel.
Quant à Schubert, il est tellement fin, et si souvent discret dans ses épanchements, qu’il est presque toujours un goût tardif. Dans le cursus pianistique, il y a une sorte de passage obligé, les impromptus opus 90 (D. 899), surtout le 2e et le 4e. A douze ans, j’ai appris ça à fond de train pour en finir le plus rapidement possible avec une formalité sans intérêt. C’est beaucoup plus tard, vers l’âge de quarante ans – en dépit d’une curieuse expérience faite très jeune-, que j’ai commencé à vraiment entendre Schubert, en même temps d’ailleurs que j’ai redécouvert Brahms. Il y a une profonde affinité entre ces deux compositeurs, ou plutôt une sorte de courage commun, qu’on retrouve parfois aussi chez Ravel. (le courage du poète, qu’il ne faut pas mésestimer, vous dirait Cocteau, encore qu’ils aillent certainement l’un et l’autre bien au-delà de ce courage-là, car il existe évidemment un courage par-delà celui du poète, – et alors le poète devient autre chose qu’un simple poète. C’est l’étape ultime, le Jugement Dernier des créateurs. Schubert et Brahms y sont parvenus).
Je sais qu’ici, ma naïveté risque encore de me désigner comme objet de ridicule
..c’est cqui est bon pour polo..note il a pas tout a fait tord..je peux l’comprende..et même t’oses l’objet en lousdé sans honte..des fois jme dmande si tu veux pas l’tuer
Quant à Schubert, il est tellement fin, et si souvent discret dans ses épanchements, qu’il est presque toujours un goût tardif
sapré dsapré larbin..il a l’étiquette ‘moins 80%!’ qui dépasse du col..polo y solde pas lui !
Le pauvre boumou est en train de se décomposer sous nos yeux. Il pourrait nous épargner ça, cette misère intellectuelle devenue complète, cette molle flaque d’esprit, ce résidu dégouttant de cercueil mal joint (Voir Charlot s’amuse).
Parce que la boursouflure n’est pas dans ces lignes ou vous nous imposez votre moi tartiné à longueur de paragraphes? Première nouvelle! Clopine rime avec tartine, et souvent des plus indigestes.
des étiquettes qui dépassent des manches haussi..et toujours dégoulinant dlabrevoir a bidet où les précédents l’on déjà chté..
Clopine rime avec tartine
henfin meussieu courte..tu veux en dégouter polo..mais il répondrait ‘et havec bien du beurre dessus..’
boumou n’est même plus capable d’entendre le son des premières pelletées de terre sonnant sur son couvercle.
(c’est au moins du shakespeare)..mon larbin lisant ses foutues fiches comme guy lusque
bouguereau dit: 8 janvier 2018 à 14 h 42 min
Quelqu’un pourrait-il traduire? Comprends rien.
Pauvre boumou, quel a-fessement. Faudra-t-il lui faire dire une messe?
@Chaloux dit: 8 janvier 2018 à 13 h 57 min
Ce que vous dites sur Rose est très juste. Bien sûr que le dialogue semble impossible entre eux.
« Clopine rime avec tartine » se lamente le p’tit Court ; quant à lui, c’est évidemment tarte et tartignole
Ah, je relis, Chaloux. Oups ! j’ai inversé, je voulais écrire l’inverse : Rose répondant à W. dans ce commentaire : « rose – 7 janvier 2018 à 23 h 42 m :
« widergänger
la grosse différence entre Chaloux et vous c’ est que vous – moi je- ramenez toujours tout à vous. il faut que la terre tourne autour de vous.
Chaloux lui n’ est jamais moi je.
il sait participer à un univers dont il est membre minuscule et essentiel.
ce que j’aime tout particulièrement chez lui, outre le fait qu’ il s’ intéresse à autrui est son profond désir d’ égalité.
pas de combat de chef wider : prenez moins de place et intéressez- vous à chaloux sincèrement. vos qualités seront mises en exergue et vos défauts atténués. »
Oui, j’aime mieux ça, Christiane. Je dois dire que vous m’étonniez beaucoup. Il n’est pas de temps de paix – et il n’y en eu jamais contrairement à ce que raconte la bouse molle, qui me semble aujourd’hui particulièrement liquéfiée- entre Blabla et moi.
Lavande,
le film documentaireque vous évoquiez avec enthousiasme, passe ce soir, sur une chaîne cinéma : « Le Concours » de Claire Simon (L’entrée à la Fémis, la grande école du cinéma). Je vais le regarder en pensant à ce que vous en aviez dit (ces évènements minuscules qui émaillent le documentaire et en font parfois une œuvre de fiction. Prix du meilleur documentaire cinéma, Biennale de Venise 2016.
(Il était peu distribué dans les salles et était resté peu de temps à l’affiche.)
Chaloux – 15h38
Lapsus ou acte manqué ? opposition, dit-on, entre deux intentions, dont l’une au moins est inconsciente, exprimant un désir caché : que ce soit lui qui ait écrit ces lignes !.
me demande si Pablosenventyfive va négocier le bouquin musical à passou à one iouro dans ses puces
J’ai suivi l’altercation entre rose et WGG hier et j’ai trouvé, contre toute attente, quelque chose de touchant dans les propos de WWG. En effet, j’ai récemment écrit un billet sur le thème du rejet et alors que WGG dit être un ours, je dirais plutôt un petit animal blessé. En effet, il a associé plusieurs fois les rapports humains à la cruauté. Tout est dit. Rejeter avant d’être rejeté car on a déjà expérimenté les dégâts du rejet.
Moi-même je m’approche de la misanthropie absolue en vieillissant. Pour le moment, j’entretiens encore une vie sociale, mais elle ne cesse de s’amenuiser car comme WGG, je suis extrêmement exigeante (et fatiguée de la bêtise humaine).
Voilà. Tout cela pour dire qu’il faut savoir lire entre les lignes et tenter l’empathie. Je retourne à Camus. Bonne soirée.
je retourne à Camus
lequel ?
Passer l’hiver avec boumou… Mais passera-t-il l’hiver?
(Très drôle, Phil, votre lequel).
Dans la mouvance du post ci-dessous de ED,je considère que chacun peut certes penser ce qu’il veut de la personnalité de Wgg ,du moins celle déroutante et caricaturale qu’il s’ingénie à mettre en scène sur le blog et dont la dimension canularesques est probable
Il n’empêche que, sauf à être de mauvaise foi ,il y a deux qualités que ses détracteurs ne peuvent pas ne pas lui reconnaître: l’étendue et la diversité de sa culture et le fait qu’il est de toute évidence un merveilleux prof
deachach quand elle veut se mettre dans le rôle d’arbitre, elleflingue tout le monde en espérant que dieu reconnaîtra les siens. Un vieux chameau aussi, icelle.
Ce soir y’à France Gall à la télé, au lieu du docu sur A. Appelfeld. Ils ont tout chamboulé les » pour saluer » dans leur programme télé.
« le fait qu’il est de toute évidence un merveilleux prof »
Ce n’est certainement pas le cas, et wgg l’a montré en racontant même comment cela se passait pour lui. Très mal. C’est un prof chahuté, souvent convoqué par le recteur pour se faire remonter les bretelles. Il a de plus un sens pédagogique tout à fait nul. Quand on veut transmettre une culture, encore faut-il en avoir une, et ne pas être dénué de la moindre qualité de coeur. wgg est un prof raté, un désastre !!!
l’étendue et la diversité de la culture de WGG… bien lu, bien vu, autre choses que les sermons wikis et la haine misogyne du bedeau de ce blog, le navrant et suffisant p’tit Court
wgg, qui sera bientôt à la retraite, pour le soulagement de ses élèves, n’a pas encore compris ce que voulait dire le mot « culture ». Il reste un pédant casseur de couilles, c’est tout.
ta gueule delaporte, va plutôt courir après Paul en skis
« Ce soir y’à France Gall à la télé, au lieu du docu sur A. Appelfeld. »
Comme Johnny pour d’Ormesson, France Gall et sa voix de crécelle pousse sur la touche l’écrivain, qui a le malheur de mourir au même moment qu’elle. Comme Piaf pour Cocteau.
Parler d’outre,
cela donne soif.
Campaï.
« ta gueule delaporte, va plutôt courir après Paul en skis »
wgg, je vous ai reconnu ! C’est le style de vos injures immondes…
Evidence dit: 8 janvier 2018 à 17 h 21 min
suce pets.
Blabla est une intelligence qui s’est empoisonnée au contact d’elle-même.
Comme Piaf pour Cocteau
on pouvoit un peu effeuiller la chrysanthème dlalourde..tous les deux ils fumaient le même calumet dla paix dirait phil..tèrezoune rafole de son humour d’oxford
non delalourde, lui c’est lui et moi c’est moi… chaloux = flatulences
pour moi Schubert ce sont des souvenirs très gais, des pièces courtes à danser fin juin pour un récital, l’odeur des fleurs, seringua, pivoines, et des kilomètres de tulle découpés pour faire danser …
les musiciens étant dans la fosse ou plus prosaïquement sur les bandes de l’enregistreur, cela permettait au rêve de s’incarner par le mouvement.
Sont pas gonflés, ces Pruscos, tiens !
suce pets
c’est dta condition mon larbin..jean d’o c’était toute l’argentrie dans la bouche qu’il disait
cela permettait au rêve de s’incarner par le mouvement
c’est surment un lien porno bonne clopine..clique pas
…Empoisonnée et détruite.
Parler d’outre,
cela donne soif
c’est un geste a maitriser..et le pif a pas l’même gout..c’est spèce
J’en pince plutôt pour cette version-là.
Jean, c’est la seule dont je me lasse pas… aide à passer l’hiver, avec shushub entre les deux…
https://www.youtube.com/watch?v=lgHGU8gqz9U
Je n’ai jamais trop apprécié France Gall. Une vilaine voix. Mais elle était pour ceux qui se tremoussaient devant starmania, une chanteuse « engagée ». Ce qui n’est pas très évident. Des bluettes à la con: prouve que tu existes.
l’étendue et la diversité de sa culture et le fait qu’il est de toute évidence un merveilleux prof
faut s’apler drh pour croire qu’on gonfle en proportion de sa culture étendue et diverse et de l’évidence qu’on fut bon prof..multiplié de la certitude que tous les autres ne peuvent en ête quejaloux..tu te signes bien là
– entre Blabla et moi
menteur..dailleurs jvais dmander a mon larbin qui concatène depuis des lustres les bons mots de dracul de faire un florilège des tiennes..raclure..(quelques claques et ça sra en lignes rapidosse)
Mon larbin boumou ne sait plus sur qui cracher sa vase de cercueil… Pauvre gars… qui se sentirait bien seul s’il n’y avait ce recours perpétuel à l’insulte et au salace… Providence de nullité.
Ce n’est certainement pas le cas, et wgg l’a montré en racontant même comment cela se passait pour lui. Très mal
la vérité dlalourde c’est qu’on s’en moque bien..et que ça n’a rien a voir ici dèçe..hévidemment mon larbin et toi même veulent moraliser et vaporiser leur gourme pour hinfecter alentour..certes il a eu tord comme drh de s’en prévaloire..comme keupu d’écorcher les ptis chiens d’une seule main..mais haprés tout bonne clopine en promet haussi telment à polo..et serdgio a une tel grosse moto avec boite a gants..
Mon larbin boumou va nous offrir …un florilège…(du latin florilegus, qui choisit les fleurs). On attend ça avec une impatience mêlée de dégoût, car on sait sur quoi auront poussé ces fleurs.
halors chaloux ça vient? je te préviens..pédro est daccord pour faire ton témoin et payer le protège dent..un pied dans la cage et tu perds tes droits a la main courante chez les keufs..mais pas ha ma sur la gueule sa compense..du courage mon larbin..une fois dans ta vie!
C’est une question de rythme pour une chorégraphie Horovitz est vif argent …
Cette version felinienne par contre a un autre accent : https://www.youtube.com/watch?v=axhETJzBpkM
Au fait il sort quand le nouveau livre de Passouline, j’ai lu quelque part qu’il comptait l’appeler Vuelvo, maintenant c’est Sépharad … c’est la foire d’embrouille ? ou un nouveau coup malicieux du chat Bébert qui a jeté un sort maléfique au postulant préfacier des pamphlets.
Mon larbin boumou va mettre des claques, à qui, il ne semble pas le savoir lui-même. Vite, un fossoyeur, des maçons, pour le sortir de là. Et qu’enfin il se lève!
(Shakespearien tendance Pernod?).
C’est une question de rythme
tu vois serdgio lassouline il aurait pus mettre au moins les fréres jacques..mais non..les frizés au botte salle qui siffle ton gnac comme béquète en short sur tes gnoux..y’a que ça qui lui fait des trucs
halors chaloux ça vient?
S’offrir cette illusion, dans son état, on peut le comprendre.
Il parait qu’A. Appelfeld aimait beaucoup les engagements de France Gall et de son mari, le fils de Jean Hamburger. J’aimerais que DHH (ne pas prononcer Daesch) puisse creuser son idée sur la merveilleuse aptitudes pédagogique de gwg enseignant (en classe ou sur la rdl ?), car apparemment les avis divergent faute de précisions. Or, tout ce qui va à l’encontre de l’agrèg. de la grammaire courante demande une meilleure élucidation pour l’intelligence du collectif, ce me semble.
..l’idée ne lui vient même pas qu’il pourrait se prendre par la peau du dos..il croirait hencore que c’est un hautre qui le poigne..sa conscience?..povre homme
(en classe ou sur la rdl ?)
pour les plus hantiché c’est comme rabin et curé et himam..hon l’est à plein temps
Pauvre molbou, pauvre larbin et sa rhétorique de petit pois, et ses petits poings qui s’agitent… des décennies d’impuissance.
S’offrir cette illusion, dans son état, on peut le comprendre
t’es le plus certain de ta lachté mon larbin et t’en couines..pour ça que tu me oinds
boumou,l’hercule de foireux… z’ai peur! Comme dans le Petit Poucet… Mais tais-toi donc.
@ Florilège, redites le lui avec les fleurs du mâle 🙂
http://www.infopresse.com/article/2016/2/18/la-violence-c-est-le-bouquet-point-final
@Phil
L’étranger
Pauvre boumou, qu’est-ce que j’irais me battre avec un résidu de caniveau comme lui…Ce n’est pas sérieux. Il faut que chacun sache rester à sa place et s’y tienne.
Dear Passou, vous êtes partout. à l’heure de l’espresso, entendu Lebrun (génération elkabachinoxydable) interviouwer Mme Duraffour qui fut ici déboulonnée. Si tout bien capté, la dame exige des notes pour les pamphlets de Céline en regard de chaque page comme pour la notice d’un téléviseur chinois, et non pas en fin de volume comme vous le proposez. dire que les romans de Gide et Yourcenar sont parus dans la pléiade sans aucun apparat critique. mais où vont nos ronds ?
revois toujours volontiers ce vintage film où Piccoli tourne en boucle son vinyle de « La jeune fille et la mort » pour trouver une introuvable femme en bleu. comme dirait Piccoli: ha !
Pour changer demain j’assiste à un concert donné par une pianiste d’un univers différent :
@ 18.27 Mais voyons donc, ED, Renaud Camus n’a jamais écrit « l’Etranger » ! 🙂
la-violence-c-est-le-bouquet-point-final
tu crois que mon larbin va harguer prochainment qu’il est paxé?..tu me vois havec un si nul et locdu?..tu cherches à mfaire du mal
Piccoli tourne en boucle son vinyle
çui a la poupée gonflabe?
Janssen J-J dit: 8 janvier 2018 à 18 h 31 min
@ 18.27 Mais voyons donc, ED, Renaud Camus n’a jamais écrit « l’Etranger » ! 🙂
Vous avez tous un humour décapant sur ce blog, décidément 😉
@18.31, vous êtes partout.
C’est pas très sympa, comme entrée en apostrophes philosémite !
Il faut que chacun sache rester à sa place et s’y tienne
chaloux née croquant
c’est une apostrophe pivotante, dear JJJ.
18.33 voyez bin qu’on peut s’permett d’rigoler un brin, ED, quand gwg est retenu à l’école chez l’dirlo pour excès de zèle pédagogique…, à l’heure de l’apéro rdl !
Bouguereau 14 h 44 : raconter ça « benoitement » – tu ne crois pas si bien dire (ahaha).
Janssen J-J dit: 8 janvier 2018 à 18 h 39 min
18.33 voyez bin qu’on peut s’permett d’rigoler un brin, ED, quand gwg est retenu à l’école chez l’dirlo pour excès de zèle pédagogique…, à l’heure de l’apéro rdl !
Vous prenez l’apéro à cette heure-ci ? J’ai tout oublié dans mon Allemagne d’adoption.
Attention, Ed, Wgg peut manier l’anathème comme personne ; la petite bête blessée, l’admirable pédagogue, l’érudit, se fondent alors dans quelque chose d’assez malsain, qui pue de la gueule pour tout dire, et qui ne s’excusera jamais…
vous êtes partout
le problème c’est que si le bandeau c’est ‘céline avait raison’ ça sra en gros ‘ et quavec le peut être en plus..ça fra plus pti..mais j’ai vu dracul disant sur le billet davant ‘céline avait raison’..c’est comme l’imprimature
– tu ne crois pas si bien dire (ahaha)
hallons!..bien sur que si bonne clopine
@ tu cherches à mfaire du mal
Moi ??? mais tu décognes ou quoi ? Pas le moinsse du mondre voyons dhonc… J’avais juss cru comprend’ au fil du temps que t’étais amateur de fist fusking, voilà pourquoi je conseillais de te l’mettre au larbin ou inversement… mais y’a pas d’vipère au poing, ‘tattion, chacun fait ski veut, c la libherté.
Renaud Camus n’a jamais écrit « l’Etranger » !
le suivant hannule et remplace l’autre..c’est comme à l’armée mon amour..au suivant!
boumou, essaie plutôt avec Gigi la visqueuse, elle est prête!
Je ne remets pas en question la fréquence des insultes, que j’ai déjà constaté, et encore moins l’étalage de confiture concernant le judaïsme (d’ailleurs je ne sais plus qui parlait ici « d’étendue de la culture », mais bon, celle-ci me semble assez restreinte). Je me contentais de parler de la source.
la libherté
sherry
étalage de confiture concernant le judaïsme
hune performance qu’il dirait hun gros célinien
ED, toujours en rouge ??? i vouza à la bonne le tôlier RDL, ou alors c’est que l’robot reconnait pas les messages venus de l’Est, j’veux dire à l’Est de Nancy. C’est injuss ! Oui ! icite, c l’heure de l’apéro, ça se sent, non ?… mais c’est juste avec du Champomy sur la galette, hein, y’a des miettes sur le clavier, et ça soucie !
Gigi la visqueuse essayant d’attirer le boumou avec une galette et un verre de Champomy. On aura tout vu ici…
JJJ
Je confirme, ça se voit !
Je pense que le robot ne reconnaît pas mon site. Il se dit « aucun danger », donc notre hôte ne se soucie pas. Et il a raison !
toujours à féminiser pour conchier mon larbin..les femmes haussi et surtout t’ont taloché..ha ya pas dquoi rire c’est certain
toujours à féminiser pour conchyer mon larbin..les femmes haussi et surtout t’ont talochée..ha ya pas dquoi rire c’est certain
@ Gigi la visqueuse, elle est prête
T’ai déjà esssepliké que j’avions essayé et que ça m’avé fait trop mal, donc 2 fois…, bjr les fistules, que nenni ! Colette, c’était le surnom de JC, tu pourrais pas varier un brin plutôt que toujours ressucer les aut’, ou d’ressasser l’gwg ?… chéri ?
Sois coule avec ton nouveau copain d’ékhole, le bougre long. Va pu t’en restmé aux puces de Gérone, si tu con-thinues comme ça, mon ieux !
Pauvre bouse molle, tu m’en fais une belle toi aussi, avec Gigi la visqueuse… Aimez-vous, je n’y vois aucun inconvénient. Quoiqu’il en soit, on ne peut pas avoir été obsédé comme toi par certain accessoire, sans être profondément perturbé et même indécis de côté-là. Je ne fais que constater ce qui est.
Janssen J-J dit: 8 janvier 2018 à 18 h 59 min
Relis-toi, la visqueuse c’est aussi un constat. Et persévère!
L’élégance du pianiste, sa groupie, quoi !…
L’atmosphère est pas franchement schubertienne. Plutôt une atmosphère à la Louis Marchand.
Gigi : »ou d’ressasser l’gwg ?… chéri ? »
C’est l’ospedale qui moque de la charité!
à mon avis chaloux ne devrait pas dire du mal de gigi la poisseuse, car la main courante, il va jamais pouvoir la déposer au EDISCOUNT.
___________________________
@Au fait il sort quand le nouveau livre de Passouline
jeudi 11 janvier, c’est la folie partout en ville.
Mais faut pas commander chez amazon,une entreprise pas clean, en plus ils se sont trompés dans le titre.
le titre n’est pas SEFARAD, comme le signale deachach d’un blatèrement, mais : » retour à Séfarad »
ça fait un peu dark vador, le retour, mais comme conseillé, faudra lire » jusqu’au boouut » de la nuit.
Je ne sais pas non plus pourquoi il y a eu du flottement dans le titre.
En principe, il devait être beaucoup plus » destouchien »; on dit maintenant: polémique.
la vie dans les bois
Je ne vous ai rien demandé. Faites votre vie de connasse et oubliez-moi.
Je trouve le titre vraiment très convenu. J’aurais préféré autre chose de plus fantaisie, genre L’éducation espagnole, Avec ou sans Carmen,Pas Don Quichotte etc.
La charge du titre peut faire beaucoup pour l’écrivain en plein effort, comme un guide.
boh, moi je pense que » garez-vous, je reviens » fera très bien la rambla.
« Le concierge est sur la rambla
Ah ben ça, va y avoir du monde à la réception.
J’apprends les castagnettes
Elle peut aller voir ailleurs si j’y suis la vieille vipère ?
les castagnettes, c’est un truc, soit tu sais danser, soit tu ne sais pas.
https://www.youtube.com/watch?v=tYdZ9iEdB8U
et 19.24, s’y connait aussi en mains courantes dans les magasins discounts, ‘tattion, hein ! Parlemente beaucoup avec Ed et MC sur Chachal… Fait peur !
Biz à sylvain et henry david 🙂
Gigi, garde ta main pour bousemolle!
Doit pas courir bien vite…
Biz à sylvain et henry david
Oui, bonne idée, ce dernier a dit, texto:
« Ambulator nascitur, non fit »
merci la vie, quelques extraits en ligne :
Bumus Ab imo pectore vetus homo rogat arundo posse invenire eam stupri, Gigi.
Pas de merci, Chantal. En fait je considère votre demande initiale, un peu comme une insulte. Compte-tenu des moyens d’information disponibles… Mais bon, j’dois pas être dans les standards du show bizz.
Je ne vous dis pas merci pour les extraits, déjà parce que je les ai lus, et d’autre part car je préfère lire » jusqu’au bout », et ce sera version papier, puisque de toute façon on le lira quand même, non ?
Vous êtes du genre à céder votre place dans le métro, à un vieux, vous ?
Moi, ça va vraiment dépendre, de tout un tas de choses.
Sinon, vous avez vu, Beigebeder est accro à la schnouf et ça ne le réussit pas, décidément.
https://www.lesechos.fr/week-end/culture/livres/0301116707782-vie-sans-fin-ennui-sans-fond-2143112.php
Ah, ça plane haut sur Deleuze et Proust. Ah, ça oui, mes pauvres chéris, on atteint même des sommets…! De la gueuze à chaprout, ça prousti prostate…
Ceci dit, mes petits chéris, vous n’allez tout de même pas vous battre pour moi ! Je sais bien que je suis séduisant et sexy, mais de là à se battre, non ! Là, vous en faites trop.
Je n’ai jamais beaucoup couru après France Gall sans détester ses interprétations, plutôt plaisantes quand même, j’ai quand même du respect pour elle mais elle m’énervait un peu, je ne sais pas expliquer pourquoi, enfin si je sais pourquoi : elle était du signe de la Balance et c’est curieux je n’ai jamais réussi à accrocher avec les Balance.
Les Balance sont douées, reçoivent souvent des honneurs et assez tôt mais n’arrivent pas à exceller dans un art. Juste capable de montrer une petite maitrise. Les Balance sont en recherche d’admiration. Les Balance sont justes, évidemment, mais pas toujours, évidemment aussi.
Pour finir, les Balance font souvent de parfaits chefaillons : adjudants, chefs de rayons etc..
Il faut dire que France Gall, c’est quand même dans le show business, une cocue magnifique. Et digne, en plus.
Je préfère Véronique, qui sort faire une course, comme si de rien n’était.
Lire aussi :
Schubert. Douze moments musicaux et un roman
Peter Härtling
Les petites sucette de France Gall, c’est pas si mal…
Sûrement meilleures que les tiennes, toujours distingué le Blabla…
Voir aussi
L’Andantino.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Sonate_pour_piano_n%C2%BA_20_de_Schubert
Partir de Schubert et tomber à France Gall, la chute est rude!
MC
@the green line
Partir de Schubert
et retourner en hiver, voilà.
https://www.youtube.com/watch?v=Il6-lZYDpqY
Nico without her tambourine…
Une belle leçon arthurienne, qui commence par la D. 960.
les supports de communication ne (re)connaissent pas le beau facilement
dans un hôpital psychiatrique, faudrait remplacer les liens par la musique non ?
https://www.youtube.com/watch?v=8STlfXWKfVI
je sors de douze jours,
et si on entendait la fille qui dit j’ai été violée huit fois avant de me trancher les veines au rasoir et si on entendait l’homme qui dit dites à mon père – …- alors que la juge signale qu’il l’a tué.
suis out.
combien de temps encore pour évoluer ?
Paris-Texas?
https://www.youtube.com/watch?v=cnUNmscNBf8
yep… avec un brin d’harmonica en prime (les républiques se croisent bien quelque part)
https://www.youtube.com/watch?v=U661OJN81B4
>widergänger
sur l’amitié
-l’inventée Anne Franck avec Kitty dans son journal intime
-l’imaginaire Rinette dans lettres d’enfance/adolescence d’Antoine de Saint Exupéry
– la road movie sur les amours adolescentes libertaires
http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=18391041&cfilm=4235.html
je vous salue
https://www.youtube.com/watch?v=e52IMaE-3As
>widergänger
sur l’amitié
-l’inventée Anne Franck avec Kitty dans son journal intime
-l’imaginaire Rinette dans lettres d’enfance/adolescence d’Antoine de Saint Exupéry
– la road movie sur les amours adolescentes libertaires
http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=18391041&cfilm=4235.html
je vous salue
Ed dit: 8 janvier 2018 à 19 h 42 min
Elle peut aller voir ailleurs si j’y suis la vieille vipère ?
Bonne idée. +1
et ainsi ?
https://www.youtube.com/watch?v=8noeFpdfWcQ
‘tain je n’avais pas lu, chez la c.onn.sse EDDISCOUNT, elle vend de la poiscaille en très gros. Lui conseiller ce petit livre de Anne-Sophie Girard et Marie-Aldine Girard pour parfaire son apprentissage de vieux bouc sossiologue en chaleur.
Sinon, je suis bien désolée, et c’est bien malheureux de vous en faire part, mais ma version préférée est ici. Bien sûr, comment en doutiez-vous.
Chaloux dit: 8 janvier 2018 à 19 h 01 min
certain accessoire
On doit pouvoir en faire des super avec des fractales et une imprimante 3D ; mieux que les petits marchés africains (en argent massif, ivoire…), au demeurant fort sympathiques…
Bien sûr, c’est mieux ici.
https://www.youtube.com/watch?v=3kuFzjkUcLw
» sossiologue en chaleur »
Le pied!
Comme si, lorsque Dieu voulait perdre quelqu’un, il ne le rendait pas fou – mais rationnel »
lu ceci, (se perdre n’est-il pas se trouver ?)
De l’homme à l’homme vrai, le chemin passe par l’homme fou Michel Foucault
La tafiole serdgio lui, deux mandale et c’est une affaire qui roule par terre. Quand il aura fait son coming out, naturlich.
Et même avec avec une seule mandale, il se pourrait qu’il se couche, serdgio la tafiole.
Rarement lu une lavette comme serdgio. J’me demande si il aurait pas dû coucher avec son maquereau, pour qu’il me fiche la paix.
Car c’est son problème, non ? à serdgio, en plus d’être un peu bas de plafond. Comme Schubert, il a des choses de moeurs à cacher.
Pas joli, joli, tout ça.
Mais comme le lui disait son maquereau : serdgio a du mal à cracher sa valda.
chaloux
à la fin, les vagues dans la toile c’est un peu comme la femme qui sort de la toile dans la rose pourpre du caire et vient s’asseoir à côté de vous dans la salle.
https://www.youtube.com/watch?v=lNQg3gFWW3c
Sergio dit: 8 janvier 2018 à 22 h 12 min
au demeurant fort sympathiques…
je ne peux pas dire, jamais engagé la conversation avec un truc comme ça. L’avantage, si c’en est un, c’est qu’on n’a plus à sortir de chez soi…
serdgio est rentré à la base, avec bobonne qu’est pus là, les petits-enfants, tout ça ?
Comme c’est dommage. Juste au moment où on commençait à se » marrer » un peu.
D.
Par curiosité, que pensez-vous des Verseaux ?
Sergio,
Elle s’acharne aussi sur vous la vieille bique. Depuis quand laisse-t-on le WiFi dans les hospices pour déchets acariâtres ?
Je ne sais plus qui disait ici que France Gall avait une voix de crécelle. Je trouve cela exagéré même si je ne suis pas fan. À part Lio et son Banana Split, j’imagine difficilement une autre interprète pour les sucettes.
ducon, inutile de proposer ton diner à toute heure. Pour ce qui me concerne, c’est fait.
« De l’homme à l’homme vrai, le chemin passe par l’homme fou » Michel Foucault
On attend avec grande hâte pour début janvier le quatrième volume de l’Histoire de la sexualité, et tant pis pour ceux qui font déjà les dégoûtés. Ils n’y connaissent rien.
Toujours ma préférée de France Gall,
@the great late chuck berry / sorti du système solaire à bord de voyager
https://www.youtube.com/watch?v=677yJTm7hxo
Ed dit: 8 janvier 2018 à 23 h 16 min
Elle s’acharne aussi sur vous la vieille bique.
Sans précisément suggérer, il apparaît que la meilleure solution est encore la plus simple : ne jamais lui répondre, en sorte qu’elle finira par nous foutre la paix, peut-être même aller planter ses choux ailleurs ; Brighelli serait tout indiqué !
Mort Chuck Berry : avec les sondes Voyager, sa voix est déjà depuis longtemps dans l’espace
science et avenir :
https://www.sciencesetavenir.fr/espace/exploration/mort-chuck-berry-avec-les-sondes-voyager-sa-voix-est-deja-depuis-longtemps-dans-l-espace_111453
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