Patrick Modiano et Annie Ernaux sur le fil incertain de leur mémoire
Un malaise s’installe, un certain trouble nous enveloppe, puis nous envahit avant de nous hanter durablement. C’est la magie Modiano, dès l’entame. Rien à expliquer sinon cela n’en serait pas. Un homme trouve un carnet d’adresses perdu et insiste pour le ramener à son propriétaire. Mais en le feuilletant, il tombe sur un nom pour lequel il manifeste une intense curiosité. Son insistance n’est donc pas gratuite.
Dès la première page de Pour que tu ne te perdes pas dans le quartier (160 pages, 16,90 euros, Gallimard), roman sans dédicataire, fait inhabituel chez cet écrivain, tout est installé à commencer par l’atmosphère. On s’y croit, on y est. on y croit. Ce n’est pas pour rien que Modiano passe pour l’héritier de Simenon. L’incipit (« Presque rien »), puis l’identité du personnage principal (Jean Daragane), enfin le mot sous l’empire duquel se placera l’action (« légère »). Là où tant de romanciers se perdraient à définir ce que peut bien être un ton de maître-chanteur, deux mots surgissent mais si justes qu’ils se suffisent : « une voix molle et menaçante ». De quoi en faire un leitmotiv. En quelques lignes, tout est joué dans la plus extrême économie de moyens. En avançant en âge, Modiano se dépouille. Le grand art est d’y parvenir sans donner la moindre impression d’assèchement Le spectre de la solitude est déjà là qui planera sur tout le roman. D’autres personnages surgissent. Autant d’identités : Gilles Ottolini, Chantal Grippay, Maurice Caveing, Annie Astrand…
Modiano s’y livre à sa passion du cadastre. Rien ne l’enchante comme de trouver des vieux annuaires dans un marché de province. Il se délecte des numéros de téléphone d’autre fois. Ses livres sont pleins d’adresses : cette fois un 42 rue de l’Arcade, une rue Laferrière, un 18 rue Alfred-Dehodencq et un 73 boulevard Haussmann à la sonorité si proustienne dont on imagine sans mal qu’il recèle quelques uns de ces immeubles à double issue qui fascinent l’auteur, comme l’était celui où, jeune homme, il rendait visite à son père à son bureau, entrant rue Lord Byron et ressortant aux Champs Elysées. On l’imagine se royaumer en une pléiade d’annuaires périmés.
Jean Daragane, l’anti-héros de ce roman, est un homme en retrait. Il ne cherche pas à se faire de nouveaux amis, bien que sa courtoisie naturelle l’empêche de se montrer indisponible. L’Histoire naturelle de Buffon suffit à son bonheur. Il est de ces piétons de Paris qui savent distinguer un charme d’un tremble, et s’arrêtent pour parler aux arbres ; ils seront toujours là tels un point fixe, le seul susceptible de le raccrocher tant à la nature qu’à la culture. Une guerre ne modifierait en rien ses rapports avec un arbre ; il y verrait une balise rassurante dans un paysage dévasté. Jean Daragane incarne mieux que tout autre la fameuse maxime du naturaliste « Le style est l’homme même » que la vox populi a dégradé en « Le style, c’est l’homme ». Gilles Ottolini, l’homme qui vient troubler sa solitude, est un jockey raté devenu un parieur compulsif, auteur du Flâneur hippique aux éditions du Sablier.
Un détail suffit à préciser l’époque sans lourdeur : l’usage d’un téléphone portable. Les voici donc les deux partis à la recherche de ce mystérieux personnage qui n’est qu’un nom, Guy Torstel. Chemin faisant, notre anti-héros s’apercevra que cet homme qui ne lui était rien a pu jouer en coulisses un rôle insoupçonnable dans sa vie. Leurs pas les mèneront du côté de Saint-Leu-la-Forêt, un petit coin du Val d’Oise qui s’enorgueillit d’avoir abrité la pianiste Wanda Landowska et le poète Olivier Larronde, dans une maison d’un étage rue du Docteur Voustraat, réminiscence de celle de la rue du docteur Kurzenne à Jouy-en-Josas où le jeune Modiano et son frère Rudy vécurent une partie de leur enfance et que le dessinateur Edgar P. Jacobs immortalisera dans SOS Météores, l’une des aventures de Blake et Mortimer… Le genre de hasard inouï que l’écrivain commenterait à son habitude par un énigmatique « c’est bizarre … ». En enquêtant sur un épisode de son enfance, son personnage principal finit par ses demander s’il n’a pas rêvé car ses souvenirs ne concordent pas avec ceux des témoins. Soudain tout est brouillé, le réel vacille, l’imaginaire gagne. Alors autant rêver sa vie plutôt que de chercher vainement à en reconstituer les travaux et les jours ; autant rendre les armes quand s’impose un je-ne-sais-quoi de ouaté. L’été s’y inscrit comme « une saison métaphysique », ce qui rapproche davantage encore de la poésie urbaine d’un Chirico avec ses grandes places vides et écrasées de soleil.
Le temps rend le passé translucide. Cela n’a jamais été aussi vrai que dans ce roman plein d’échos assourdis de Remise de peine (1988), aussi discret que lumineux car l’Occupation n’est pas là pour faire écran. Cette fois, c’est ici et maintenant même si l’époque et les contemporains n’y sont guère envahissants. « Depuis dix ans déjà on avait changé de siècle », voilà et il est inutile d’en rajouter. La quête de la légèreté, cette inaccessible étoile, se fait par petites touches imperceptibles. Aux autres les grandes machines romanesques, leurs intrigues en machicoulis, leurs architectures chorales et leurs bavardages infinis ! Patrick Modiano a compris de longue date qu’il ne sait faire qu’une chose et qu’il serait fol de creuser le sillon d’un autre. Il compose et écrit en miniaturiste persan. La sagesse, c’est de le savoir et de s’y tenir. Ainsi construit-on une œuvre pérenne dans la durée. Cette fois, Stendhal s’est invité dans l’épigraphe : « Je ne puis pas donner la réalité des faits, je n’en puis présenter que l’ombre ». Tanizaki n’est pas loin car Modiano a écrit là son propre éloge de l’ombre ; il y a condensé son art poétique en une centaine de pages.
Les gens de Modiano sont naturellement mystérieux ; ils le sont comme tout le monde. Le romancier aime à citer ce jugement de Samuel Beckett sur Proust lorsqu’il en dit trop sur ses personnages : « Les expliquant, il épaissit leur mystère ». Ce qui renvoie à ce mot de Jean Paulhan peu importe à propos de qui : « Il gagne à être connu, il y gagne en mystère ». Avec Pour que tu ne te perdes pas dans le quartier, le fidèle lecteur de Modiano est assuré de mieux s’y retrouver dans son univers. C’est un traité de géographie urbaine à usage des piétons du Modianoland, le plus proche des pays lointains. Un précis plus exactement mais qui serait gouverné par l’imprécision.
Au fond, ce n’était pas un roman mais un rêve de roman, une buée de fiction, qui s’achève comme elle a commencé, sur presque rien. Mais quelle émeute de détails contient ce rien ou presque ! Tant de finesse et de subtilités dans la recherche incertaine d’un équilibre confèrent son halo secret à ce livre. Pour ouvrir une brèche dans le temps, l’auteur s’est appuyé sur la perte d’un carnet d’adresses et sur l’absence qu’elle creuse en nous. Qu’importe au fond ce que soit un objet ou une personne : seul compte le manque qui avive la mémoire.
Ici, c’est un objet. Chez Annie Ernaux, c’est une personne. Sa mère qui une fois encore domine son dernier livre. Ce ne sont pourtant que des entretiens. Mais autant ils étaient ratés et exaspérants la première fois qu’elle avait consenti à l’exercice il y a une dizaine d’années à cause des questions de son interlocuteur Frédéric-Yves Jeannet (L’écriture comme un couteau chez Stock), autant cette fois, avec Le vrai lieu (120 pages, 12,90 euros, Gallimard), le résultat est lumineux grâce au dispositif mis en place par son interlocutrice, la documentariste Michelle Porte. Séduite sinon conquise par le films que celle-ci avait consacrés aux lieux de Virginia Woolf et de Marguerite Duras, la romancière est donc retournée sur les lieux qui ont compté et comptent encore pour elle : celui de l’enfance et de l’adolescence (Yvetot), celui des études (Rouen), celui de l’accomplissement (Cergy). Y revenir non pour expliquer l’implacable et poignante beauté des Armoires vides, de La Place, de Passion simple, de La Honte ou des Années, mais pour mieux cerner le terreau où tout cela a poussé. Les familiers de cette œuvre devineront sans mal que l’écriture est son vrai lieu. Sa seule et unique maison depuis son plus jeune âge. Là qu’elle s’est mise à l’abri du monde et qu’elle n’en ait jamais vraiment sortie.
Ces entretiens ont ceci de remarquable qu’on y entend la voix de la romancière. La vérité personnelle de l’oral y rejoint la vérité universelle de l’écrit. Cette conversation participe pleinement de son œuvre en ce qu’elle ne provoque pas de hiatus avec les textes ; ils produisent le même son. Ce qu’on appellerait également un style, c’est à dire un accord secret entre la voix profonde de l’écrivain et les ressources de la langue. Celui d’une femme née en 1940 dans une famille modeste de la province normande, qui s’est enfouie/enfuie très jeune dans les livres pour n’en jamais sortir, et qui s’est décidée à écrire pour « venger ma race ». Elle a les mots juste pour dire ce que peut avoir d’écrasant la vue des immeubles patriciens de Bordeaux où les murs des maisons respirent « cette puissance ancienne d’un ordre social, de l’argent ».
Bien qu’elle ait passé la ligne en devenant professeur agrégée de Lettres modernes, elle se sent toujours dans l’entre-deux, inacceptée car étrangère à ce monde. Il y a dans ces pages sur le sentiment de l’effraction sitôt franchies les limites invisibles de certains arrondissements cossus de Paris, davantage de vérités que dans bien des enquêtes de sociologues sur la domination. Chez Annie Ernaux, la question sociale, et donc politique, est toujours tapie sous la littérature, son prestige qui éblouissait sa mère jusqu’à lui faire oublier le reste, le livre considéré comme un objet sacré jusqu’à se laver les mains avant de s’en saisir. La petite fille qu’elle fut, elle, n’oublie pas les scènes des parents, les reproches, les hurlements, les coups, la violence et cette scène traumatique entre eux aperçue dans la cave. Un instant décisif que ne réussira pas à balayer le leitmotiv des familles censé tout mettre à distance : « Bon, c’est fini, on n’en parle plus ! » Annie Ernaux touche les lecteurs parce qu’en parlant d’elle, elle leur parle d’eux ; elle a trouvé le point de rencontre sans quoi un récit demeure sans autre avenir que celui, très éphémère, de la nouveauté. Son lieu, l’écriture. Il n’y a pas en sortir. C’est son monde à elle entre celui d’où elle vient en pensant l’avoir trahi car quitté, et celui où elle a été en pensant n’y avoir pas sa place.
La littérature n’est pas la vie mais son éclaircissement. Toute la Recherche du temps perdu le murmure. Annie Ernaux et Patrick Modiano avancent sur le fil incertain de leur mémoire. En y mêlant les mémoires diffuses de leurs personnages, ils sauvent quelque chose d’un temps qui ne sera plus et l’inscrivent dans l’Histoire. A jamais ?
(« Biarritz en hiver » photo Passou ; « Patrick Modiano en pèlerinage rue du docteur Kurzenne à Jouy-en-Josas » photo Gilbert Nencioli ; Annie Ernaux photo Olivier Roller)
P.S. du 6 octobre : Ici un éclairant entretien de Patrick Modiano sur le plan de roman policier de son dernier livre.
1 191 Réponses pour Patrick Modiano et Annie Ernaux sur le fil incertain de leur mémoire
Une belle image !
La vie est un grand livre ouvert qui se refermera un jour.
Eh oh les commentateurs, ce n’est pas encore le moment de roupiller !
Va te coucher, Marcel. Il est tard.
Qué lecteurs?
Bon,
on prend tranquillement le temps.
Le WGG, c’est lourd sur l’estomac…
La photo en « en tête » est intéressante.
Ce que j’aime bien chez la puce,
c’est ces bonds…
Les piqures ?…
Épicure, et …
oublier les cheveux longs qui bouchent la douche.
« Elena dit: 27 septembre 2014 à 22 h 16 min »,
Je suis le jaune, vous êtes le blanc…
Les exégètes sur le jaune ou le blanc sont nombreux.
Jane Austen à une force d’attraction étonnante lorsque l’on découvre son œuvre.
Mais Agatha Christie fait mieux.
Aussitôt lu, aussitôt oublié.
Une relecture sans fin,
un instant de repos,
dans un maelstrom indéfinissable,
un voyage interplanétaire improbable,
(sauf pour D, le seul, l’unique, capable de se branler en lisant de l’Agatha),
(Mon Drieu, quel horreur!!!).
Respirez !…
N’y avait-il pas, sur la couverture
verte ou rouge des annuaires parisiens,
une réclame pour une agence de détective privé ?
Les numéros avaient trois lettres et quatre chiffres.
22àasnièrement.
…
…il en reste qu’écrire un roman,!…pour les gens qui n’ont pas vécus,…que sous » cloches » et » zoo « , à Paris,…
…reste à nous y habituer à se faire mettre des histoires imaginaires ou qui nous formate au dessins de la pensée unique, c’est pas innocent,!…d’écrire un livre express, pour en vivre,!…à la mode des choux de chez-nous,!…
…
…mais tout de même,…comparer à Simenon, qui excellait dans les sous-entendus,…à ne pas gratter-outre,!…
…en sachant, la chronométrie des mouvements des gens, leurs particularités et sujets à des atavismes, de corporatismes déclenchés aux remontoir,!…comme des mongols en clans,!…
…
…il reste pour moi, comme un épervier en leurres à faire foire et montreur d’ours,!…
…
…en sachant de prime abords, la discrétion qui est demandé à chacun, de s’occuper de ses affaires, dans un carnet d’adresses perdu,…
…
…déjà, que quand, on à aimer, ou désirer quelqu’un,…et que l’on se trouve à gérer ces indisponibilités à autrui,…outre que votre fruit du désir vous à été dérober, il se retrouve loin, d’être à vos soucis,…
…et tout le monde comprend, que vos projets, ne sont pas rester au frigo, ou sur du papier à rester sages comme une image,!…
…
…le temps, et la l’objet de vos désirs, convié et vendu comme marchandise de clan en clan social, à paraître et en voyages et libertés » mixées « ,…
…donne à vos souvenirs une réalité de purée en voie de pourritures-avancés,!…
…l’Attila en affaires, le coeur au bouillon,…
…un autre roman,!…à se taper,!…Ah,!Ah,!…Bip,!Bip,!…etc,!…Go,!…
…
…répete tes sourires sur la glace,!…etc,!etc,!…Oui,!…plus haut la jupe,!…Candide aux amis en sucettes, Simenon,!…
…ou est le crime,!…ou est le commerce des ascenseurs,!…mes ministres mes présidents,!…Ah,!…le chemin du bon dieux des bourre-dieux aux héritages,!…
…un pays,!…des putes & des gredins qui s’entendent comme larrons en foires,!…
…un dessins, un roman, des roses en bouturage,!…etc,!…envoyez,!…Go,!…
…
Saint-Leu-la-Forêt, un petit coin du Val d’Oise qui s’enorgueillit d’avoir abrité la pianiste Wanda Landowska et le poète Olivier Larronde,
—
…ainsi que la reine Hortense de Beauharnais, belle fille de Nabulion , qui “après sa séparation d’avec son mari (qui prit le titre de « comte de Saint-Leu »), en 1810, (…) conserva (le château de ) Saint-Leu, où elle donna des fêtes brillantes.” Wiki.
On ajoutera que l’équipe de foot locale a souvent joué le rôle de petit poucet de la Coupe de France , que dans les Contemplations, Hugo, en résidence dans le Haut Saint-Prix souligne la beauté du lieu:
« Connaissez-vous sur la colline
Qui joint Montlignon à Saint-Leu,
Une terrasse qui s’incline
Entre un bois sombre et le ciel bleu ?
Lieu ideal pour y débuter son existence,vous pouvez m’en croire.
« qu’elle n’en ait jamais vraiment sortie. »
Joli…
Joli ?
Sauf qu’avec Annie Ernaux, il se passe un phénomène qui se produit presque toujours avec les très bons écrivains : l’oeuvre s’est émancipée des causes de son existence.
(Et peut-on dire qu’Annie Ernaux se soit « mise à l’abri du monde », fut-ce dans l’écriture? A mon avis, c’est tout le contraire. There is no hiding place down here…)
Bescherelle dit: 28 septembre 2014 à 7 h 00 min
Ben voui, qu’elle n’en soit pas sortie, ou qu’elle n’en soit pas avoir sorti ?… Oh, le Goncourt promet d’être et d’avoir….
Vivre chez les putes n’a pas franchement l’air de rendre heureux… Passons…
Respirez !…
Le commentaire va jusqu’à la critique sans douter toutefois que le goût la passion l’intérêt plus ou moins centré qu’exerce la littérature sur le lecteur la lectrice ne puisse finir par ressembler à un exercice d’appropriation ou d’expropriation se justifiant exclusivement par l’accès à l’œuvre qui aura été approchée un peu comme le fan hystérique d’un club décrète sans l’objectiver tout à fait que la chemise la chanson le chanteur lui appartiennent, allant ainsi confondre sa territorialité avec celle de l’objet ou du sujet admiré.
Mme Michu dit: 28 septembre 2014 à 7 h 10 min
Vivre chez les putes n’a pas franchement l’air de rendre heureux…
Doit dépendre de l’âge qu’on a…
Vous tapez à côté !
Saint-Leu : sans oublier M. de l’Espagnolette, le fameux prince de Condé qu’on retrouva pendu, sans doute par sa maîtresse Mme de Feuchères, il est vrai pour une raison supérieure.
Les environs de Montmorency étaient bien charmants il y a trente ans. Maintenant, une abominable banlieue saturée de rond-points…
Vous tapez à côté !
Pas tant que ça… Un vieux monsieur doit y trouver une certaine chaleur.
Michu bouillue Michu foutue?
pour une raison supérieure
Le respect de l’instruction ?
Vous laisse quelque minutes à vos plaisirs de cocottes…
ah Chaloux, si vous évoquez M. de l’Espagnolette et Madame de Feuchères, MCourt (sur pattes) ne va pas pouvoir dissimuler son érection
belle éclaircie ce matin sans JC et bougue-rototo !
Saint-Leu-la-Forêt, un petit coin du Val d’Oise qui s’enorgueillit d’avoir abrité la pianiste Wanda Landowska et le poète Olivier Larronde, (Bloom)
Et moi ? j’habite Saint-Leu-la-Forêt , moi aussi. Pas un mot sur moi ?
Mort de Jean-Jacques Pauvert, éditeur de Sade et d’«Histoire d’O»
http://www.leparisien.fr/livres/l-editeur-jean-jacques-pauvert-est-decede-27-09-2014-4169641.php
Saint-Leu-la-Forêt, un petit coin du Val d’Oise qui s’enorgueillit d’avoir abrité la pianiste Wanda Landowska et le poète Olivier Larronde, (Bloom)
Mort de Jean-Jacques Pauvert, éditeur de Sade et d’«Histoire d’O» (jacques barozzi)
Entre le Bloom qui recopie le dépliant de l’office du tourisme de Saint-Leu-la-Forêt et le Barozzi qui emprunte la teneur de ses posts aux entrefilets nécrologiques de son canard favori, le fil des commentaires de la RdL atteint des sommets d’inspiration absolument sidérants.
Chaloux dit: 28 septembre 2014 à 7 h 26 min
Les environs de Montmorency étaient bien charmants il y a trente ans. Maintenant, une abominable banlieue saturée de rond-points…
–
oui Clopine, c’est ben affreux.
La foule :
– JC ! Bougros ! JC ! Bougros !
Les critiques d’art :
– Alba ! Alba ! Alba …!
Valérie Trierweiler exfiltrée à Barbés :
merci à elle de montrer sans le vouloir à l’ensemble des Français que Paris intramuros possède aussi ses propres ghettos.
Élections de Sénateurs : « risque » d’avoir un ou deux Sénateurs FN au bout du compte alors que le FN est soutenu par 50 % des Français.
Quel odieux scandale dans un pays démocratique.
« Aux autres les grandes machines romanesques, leurs intrigues en machicoulis, leurs architectures chorales et leurs bavardages infinis ! »
Notre ami tousse.
Bien vu, ueda, une vacherie en aigre-doux de Passou ou réponse du berger à la bergère ?
D. dit: 28 septembre 2014 à 10 h 22 min
Valérie Trierweiler exfiltrée à Barbés
Les gens.
Elle aime les gens.
Vous aimez les gens, D.?
Voilà : un avion décolle de Tombouctou et…
Associer deux rondes,
celle d’un manège forain
et celle des vagues océanes.
Mémornément.
Je l’écris sans snobisme, je n’ai jamais lu un livre de PM ni de AE.
En général, on demande: « S’il fallait commencer, quel livre me conseilleriez vous? »
Ça flatte le questionné, mais on a facilement l’air d’un con, un peu obséquieux aussi, comme un lèche-cul qui s’assigne un programme de travail.
« Si je ne devais en lire qu’un…? »
C’est mieux.
Quoique, ça froisse le questionné, cette désinvolture.
On le dépouille de sa noblesse, il aime rarement ça.
ueda 28 septembre 2014 à 10 h 55 min
Cete pauvre femme!
au lieu d’aller se réfugier à pécul!
Passou, le 73 boulevard Haussmann, c’est un très bel immeuble avec en face de l’entrée sur la rue, au fond de la cour, une belle et grande marquise. Et vous savez dans quel roman cet endroit a été choisi pour une scène ? Dans le roman de Zola, Nana (c’est pas vraiment proustien). C’est là qu’au début du roman, Nana se rend à une réunion de ses amies (de bonnes putains) pour faire la fête. C’est tout près du square Louis XVI où j’allais faire mes pâtés quand j’étais tout petit. Proust a habité bien sûr un peu en face mais plus du côté de Saint-Augustin, et mon grand-père avait sa maison de haute couture au 63, tout près (pour l’anecdote).
« D’autres personnages surgissent. Autant d’identités : Gilles Ottolini, Chantal Grippay, Maurice Caveing, Annie Astrand… »
Etrange, la présence de quelqu’un de bien réel, Maurice Caveing, pote de Desanti, historien des mathématiques…
Les autres aussi sont de faux fictifs?
Le petit cheval blanc domine fièrement le ressac tandis que l’humble silhouette sombre avance courbé contre le vent…
Paulfortement
trois seuls êtres vous manquent: pas étonnant, trois cons épicépire
« C’est tout près du square Louis XVI où j’allais faire mes pâtés quand j’étais tout petit. »
Vous êtes grand, mon ami, et vous ne nous avez pas encore délivré votre pâté réglementaire et quotidien.
Y’a pas un truc frappant dans votre paupiette?
Dans son livre sur les êtres mathématiques publié chez Vrin, camarade JC, Caveing pose qu’il ne s’agit jamais que de relations.
C’est pas un peu roide?
On ne s’expose pas à l’objection des naïfs, « qu’est-ce qu’une relation qui ne serait pas entre des termes »?
Caveing butte un peu sur Zermelo-Fraenkel, j’écris ça sans snobisme, je n’y entends rien.
Tous ce quartier est plein d’effroyables fantômes, y flottent encore notamment les mannes de nos Augustes décapités, un frémissement me saisit toujours en entrant dans ce triste petit square au temple d’inspiration orthodoxe !
Zermelo-Fraenkel c’est un nom typiquement modianesque, ueda.
Un petit qui marse bien
Jacques Barozzi dit: 28 septembre 2014 à 11 h 14 min
Tous ce quartier est plein d’effroyables fantômes, y flottent encore notamment les mannes de nos Augustes décapités, un frémissement me saisit toujours en entrant dans ce triste petit square au temple d’inspiration orthodoxe !
Cette phrase est belle.
Un p’tit mot sur les Augustes, pour l’ignoramus?
Louis XVI et Marie-Antoinette, entre autres !
…
…le libéralisme économique innovateur c’est un piège à cons de plus,!…
…
…tout est prévu pour retomber, dans les mains des reconversions à l’Optimum de Parretto entre états-Trust’s,!…
…les droites et centre-gauches,…tous complices à se taire, pour faire de nouveaux pauvres-nantis,!…la révolution douce,!…
…prérogatives des états,!…savoir voler tout le monde,!…par décrets et lois bien » ciblés « ,…le clan mafieux contre les indépendances,…à promenés en dérisions les peuples aux vacuités,!…etc,!…
…
…le nouveau Moyen-Âge,…aux fonctions de connivences-royale,…
…faire dépenser plus, pour vivre ses fins de jours comptés,!…le bordel-complet au dessus des états,…participons,!…à la drogue de l’argent et la comandatuur sur Stallag 13,!…Mondial,!…
…
…les guerres, déjà à formater les rebelles adéquats,!…
…Oui,!…une partie d’échec,!…sans châteaux ni domaines,…détruire les concepts des Tartufes-usurpateurs,…plus riches que mon sort,!…Ah,!…
…
…Yaooo,!…Ah,!Ah,!…l’empereur Giovanni I,…tôt ou tard,!…tout le monde à la boucherie des petits-riens,!…le strp-tease,!…un leurre pour s’y pendre haut et court,!…
…
…écrire,…pour les âmes-nues ,…des courtois nues du culs,!…vous préférer celle-là,!…Non,…trop vielle à 11 ans,!…déjà avec une main dedans,!…c’est trop large,!…
…Ah,!Ah,!…etc,!…
…prendre à sa charge les conneries d’Ô’ truie’s,!…Bip,!Bip,!…Go,!…Ah,!Ah,!…
…nos gay’s en formations en lignes,!…les mains aux culs d’académiciens,!…
…
…l’empire à la notoriété,!… » ne vous posez q’une question, qu’un service, que pouvez-vous faire pour l’état libre, » national-zoocialiste « ,!…une guerre de plus pour la solidarité corporatiste,!…
…la guerre civile,!…est déjà en nous,!…applaudissez vos Mentor,!…Ah,!Ah,!…
…divisez pour régner,!…envoyez,!…
…
Le cimetière du square Louis XVI était un lieu romantique par excellence. V. Hugo comme Chateaubriand venaient y rendre hommage aux décapités dans leur jeunesse. J’y vais m’asseoir de temps en temps un moment alors que je passe dans le coin. Le petit jardin attenant est très agréable. Et puis l’immeuble où vivait Proust est quasiment en face. Je venait y faire du patin à roulettes dans mon enfance juste après la période des pâtés de sable…
« Je venait y faire du patin à roulettes dans mon enfance juste après la période des pâtés de sable… » (WG)
Du pâté au patin…
Ah, ça sent son littéraire!
ueda, un extrait de mon « Histoire des jardins de Paris », manuscrit inédit :
« SQUARE LOUIS-XVI 1865
8° arr., rue Pasquier, M° Saint-Augustin ou Saint-Lazare
C’est dans le petit cimetière de la Madeleine, ouvert en 1722 rue d’Anjou, que furent inhumées un grand nombre des victimes de la Révolution qui avaient trouvé la mort sur l’échafaud. Parmi elles, le roi Louis XVI, guillotiné le 21 janvier 1793 place de la Révolution (place de la Concorde) et la reine Marie-Antoinette, le 16 octobre suivant.
Le cimetière fut fermé en 1794 pour des raisons de salubrité, désaffecté et le terrain vendu par lots. Le royaliste Descloseaux en acquit une grande partie et se chargea bénévolement d’entretenir ce lieu qui abritait les restes du monarque.
Dès son arrivée au pouvoir, Louis XVIII ordonna que des fouilles soient entreprises dans l’ancien cimetière afin de retrouver les corps de son frère et de sa belle-sœur, qu’il fit transférer le 21 janvier 1815, jour anniversaire de la mort du roi, en la basilique de Saint-Denis.
L’année suivante, Louis XVIII décidait de faire élever un monument à la mémoire de Louis XVI et de Marie-Antoinette. Les plans en furent confiés à l’architecte Pierre Fontaine, qui avait été, avec Charles Percier, l’architecte favori de Napoléon. Mais Percier ayant renoncé à ses activités dès le retour au pouvoir de la monarchie, c’est Fontaine seul qui mena les travaux de la Chapelle expiatoire de 1816 à 1826. Dans un enclos bordé d’ifs, une allée conduisait à la chapelle en forme de croix grecque précédée d’un fronton à colonnade. A l’intérieur prirent place deux groupes en marbre blanc représentant Louis XVI assisté par un ange, œuvre du sculpteur François-Joseph Bosio, et Marie-Antoinette aux pieds de la Religion, sous les traits de Madame Elisabeth, sœur du roi, par Jean-Pierre Cortot. Dans la crypte, un autel fut élevé à l’endroit même où les dépouilles royales avaient été retrouvées.
A l’extérieur, deux rangées de tombeaux à arcades, de part et d’autre de l’édifice, abritent les corps retrouvés lors des fouilles, parmi lesquels ceux de Charlotte Corday, qui avait assassiné Marat en 1793, et de Philippe-Egalité.
Après le percement du boulevard Haussmann en 1864, la Ville aménagea en 1865 le square Louis-XVI, dont la végétation dissimule à demi le monument néoclassique alors que Fontaine lui avait donné un aspect plus solennel dans un cadre dépouillé. »
Oui, la photo de Biarritz par Passou est très réussie. Il a un vrai talent de photographe, notre Passou. Il va sûrement en faire une expo un de ces jours. Faudra nous le dire, hein, Passou, qu’on puisse au moins un jour vous serrer la pogne.
Merci, Jacques
La chapelle expiatoire… Sosthènes de La Rochefoucauld…
Voilà un homme dont on envie le prénom.
« l’écriture comme un couteau » , je viens de le découvrir ces temps- ci après avoir lu l’essai d’annie Ernaux sur les hypermachés..
« l’écriture comme un couteau » est un livre d entretiens précis, honnête, combatif, plein d’aperçus intelligents pour qui s’intéresse à la grande Annie.. indispensable pour comprendre le sens général de son œuvre,ses thèmes, et ses liens avec le passé, lù norlandie, (c’est pas loin de chez Clopine..)la société actuelle, les classes sociales,ses parents, l’ascension sociale etc.. livre lumineux. Et qui dit aussi beaucoup sur la manière dont Annie Ernaux travaille. Livre excellent, là je vous trouve bien sévère Assouline.
Le cimetière se visite d’ailleurs, on descend dans la crypte où l’autel se trouve juste à l’emplacement où on a retrouvé le corps décapité de Louis XVI, du côté de la rue d’Anjou.
Je me contenterai de mes points Régali. Sur ce, messieurs, à vos joufflus
Annie Ernaux c’est un peu notre George Sand… ce qui n’est pas forcément un compliment… Et on se souvient du papier qu’elle avait publié dans ce journal ordurier qu’est devenu Le Monde contre le bouquin de Richard Millet, qui avait eu des conséquences fâcheuses sur sa carrière d’éditorialiste chez Gallimard, dont Passou s’était d’ailleurs fait l’écho ici même.
Oui, La Place, j’ai lu, je l’ai même fait étudier une année à mes élèves. Oui, bof…C’est une Maurice Genevois des villes.
Pour la chambre de Proust, hélas, il faut aller à Carnavalet, une banque s’est installée dans les murs de l’immeuble où habitait l’auteur de la Recherche…
Et La femme gelée, elle s’est quand même bien dégelée depuis…
Widergänger dit: 28 septembre 2014 à 10 h 15 min
Mon pauvre Abdelkader, quand est-ce que vous saurez qu’il existe en espagnol des poèmes qui s’appellent « alba » parce qu’ils chantent l’aube ?
Vous êtes un illettré et au nom de votre illettrisme, vous venez insulter les gens cultivés ! C’est un peu fort de café !
C’est très possible que je sois un illettré …je n’ai jamais caché le fait qu’il y’a bien plus de bouquins que je n’ai pas lus, que de bouquins que j’ai lus, si vous voyez ce que je veux dire…je dirai même plus : vous et moi, aussi incroyable que cela puisse paraitre a l’œil nu, avons une chose en commun : les livres que nous n’avons pas lus…seulement, moi, perso, je n’en fait pas un camembert…bref, aussi illettré que je sois, je vous demande depuis quelques jours d’éclairer mon illettrisme, quant a la langue ou alba voudrait dire aube…vous avez mentionné l’espagnol et le portugais, ben apparemment non…j’ai même été sur wiki et , la aussi, nada, que dalle, Walou…de tas de dérivés, mais aube ? nah…regardez pour vous-même :
http://en.wikipedia.org/wiki/Alba_(disambiguation)
alors, si vous cessiez de me balancer des vannes et essayez plutot de répondre a question, pourtant tres simple : alba veut dire aube dans quelle langue ? merci a vous.
Modiano avec son pote Passou, qui avait encore des cheveux à cette époque…
ueda, saurez-vous trouver le point commun entre « Biarritz en hiver » et le boulevard Haussmann ?
Wiki vous cache bien des choses mon pauvre abdelkader.
N’importe qui qui a un semblant de culture espagnole sait parfaitement bien que le mot « alba » est utilisé en espagnol pour parler de ces fameux poèmes qui chantent l’aube. Et en portugais, idem !
Et vous n’êtes apparemment pas seulement un fichu illettré, mais aussi un être profondément borné et un vrai âne bâté !
une buée de fiction
..on se voit mettre un miroir dessus la bouche des personnages..ha c’est bien..on ne peut rapporter que l’ombre des faits et la buée des fictions.. »pour étudier le chien, il faut tuer le chien »
En italien, alba veut dire aube, Abdel.
http://www.youtube.com/watch?v=vaZYGX6BimI
assez d’onasmatique dracul..dracul ne respire pas..nibe pour la buée !
« Il va sûrement en faire une expo un de ces jours. Faudra nous le dire, hein, Passou, qu’on puisse au moins un jour vous serrer la pogne. »
Mauvaise attitude.
Devant Pierre Assouline, on met genou à terre, on baisse les yeux, on attend l’adoubement de Chevalier Littéraire, à l’épée à deux mains, ou la décapitation totalitaire et réductrice, typiquement islamique ….
« Biarritz en hiver » et le boulevard Haussmann ?
37.2..maââtin ça va plaire a lassouline..
Comme dit mon pote Karim, au bon vieux temps du collège, un soir que nous avions consommé trop de ‘black lebanese’ : tu te rends compte que nous sommes illettrés dans des centaines de langues ? cette réflexion m’a frappé, et me frappe encore, je l’avoue…
pas..je voulais dire pas
tu te rends compte que nous sommes illettrés dans des centaines de langues ?
sauf quand t’es brit gaga..
Enfin, il n’y en aura pas ici qui confirmera à ce crétin d’Abdelkader (qu’il nous fasse plus chier avec ça !) que le mot « alba » est utilisé en espagnol ?
Pas un qui aura pitié de nous ! Qu’on en finisse avec ce crétin !
Sur ce, messieurs, à vos joufflus
..c’est bien aussi
Ben, évidemment, le mot « aube » en français vient du latin ! Mais ce crétin d’Abdelkader ignore le b a ba de la culture ! Jamais vu un aussi gros con !
On en dit toujours trop sur Modiano.
mais quand bougue-rototo écrira-t-il quelques mots intelligents… c’est vrai que lorsqu’on sort d’une cuite avec goering…
les faits dracul sont des ombre ..et d’alba ça fait con..et la buée de gaga sniffe la stout..ce monde est une pétaudière dracul
c’est vrai que lorsqu’on sort d’une cuite
faux j’étais à pléyelle raclure! un bon groupe de roquènerolle..
C’est vrai que je suis borné …une déformation professionnelle…mais quand les faits changent, mon opinion aussi…ben, j’en ai parle a mon pote Pedro, qui bosse pour une grosse banque ici et il a l’avantage de parler et d’écrire le portugais bien mieux que vous et moi..et il me fait, aube? nah…mon pote Miguel, qui est espagnol, pareil…alors serait-il possible que vous , Alba, connaissiez ces 2 langues mieux que des indigènes éduqués?
c’est simple: envoyez moi une référence a ces fameux poèmes aubesques, que je puisse me cultiver en cette matinée dominicale…
« ce monde est une pétaudière dracul »
Tous à la crypte !
On en dit toujours trop sur Modiano
c’est bien dit..et sans bouffissure
Widergänger dit: 28 septembre 2014 à 11 h 53 min
Enfin, il n’y en aura pas ici qui confirmera à ce crétin d’Abdelkader (qu’il nous fasse plus chier avec ça !) que le mot « alba » est utilisé en espagnol ?
Pas un qui aura pitié de nous ! Qu’on en finisse avec ce crétin !
faites-le vous-meme, albatros…
…
…et tout les empereurs romains assassinés,…entre-eux,!…
…
…ils sont logés aux W.C,! du Vatican à Saint-Pierre l’emmerdeur,!…en lignes sur la voie Collabo’s un jour, collabo’s toujours,!…à deux prunes,!…
…le mérite de se démériter aux anges à poils,!…Ah,!etc,!…
…
Oui, mais plus on en dit, Nadine, plus c’est mystérieux !
ceci dit je t’aurais bien rendu la pareil avec gaga pour confirmer sa courge comme celle de cheuloux..mais là..sur l’espagne gaga a autant de droit que toi faut reconnaitre..olé épicétou
« …et tout les empereurs romains assassinés,…entre-eux,!… »
Comme en Corée du Nord aujourd’hui, GSA ?
C’est une évidence que plus on prétend se connaître, plus on s’ignore. C’est exactement ça que nous montre Rembrandt dans son autoportrait à l’atelier. Lire aussi « Loin de moi » de Clément Rosset, qui a consacré tout un ouvrage à ce problème de la connaissance de soi. Montaigne le dit aussi, s’écrire c’est forcément s’écrire infiniment. Montaigne le met en œuvre par ses commentaires infiniment repris sur ce qu’il a écrit, que les commentateurs des siècles suivants prolongent. Proust — et en cela reprenant une vieille structure en spirale des mémorialistes comme le montre bien mon vieux copain de khâgne Frédéric Briot dans l’ouvrage qu’il a publié sur les mémorialistes — en a fait la structure de La Recherche où la fin est un commencement, impliquant une nouvelle lecture des signes comme l’a montré Deleuze dans son bel ouvrage sur Proust et les signes.
Un détail suffit à préciser l’époque sans lourdeur : l’usage d’un téléphone portable
ça doit être une formule de style en ase mais je sais pas laquelle..qu’une bonne âme me préte un peu de sa buée ici même..je lui en serait reconnaissante
Mais il est complètement borné ce con !
JE ME TUE À VOUS DIRE QUE C’EST UN MOT ESPAGNOL !!!!!!!!!!!!!!
MAIS QUEL CON ! QUEL CON ! JAMAIS VU ÇA ENCORE !
Widergänger dit: 28 septembre 2014 à 11 h 55 min
Ben, évidemment, le mot « aube » en français vient du latin ! Mais ce crétin d’Abdelkader ignore le b a ba de la culture ! Jamais vu un aussi gros con !
c’est tres possible, mais en latin, alba veut dire blanc, pas aube…vous me saississez?
Que la vérité éclate ! Ces temps socialistes valériens sont les temps des aveux.
BRIGITTE ! J’ai quitté Edwige Feuillère, qui venait de succéder dans mon panthéon affectif à Mistinguett et Marie Curie, pour céder à tes avances libertariennes !
Bon anniversaire, Brigitte !
(Je n’oublierai jamais nos amours sur ce toboggan humide … 1968 : j’avais 6 ans)
C’est comme à mes élèves de 5ème, je leur dis souvent pour situer l’action dans le temps : Vous n’êtes pas forcé de l’indiquer avec lourdeur, vous pouvez vous aider d’indices (on fait même des exercices là-dessus !), par exemple si le narrateur parle d’un personnage qui a un téléphone portable, ça ne peut être qu’à notre époque. « Ah bon, Monsieur, ça n’existait pas avant ? » qu’ils me demandent… Eh non, que je leur réponds. C’est comme la télé et le coca, c’est assez récent… que je leur dis…
vous perdez vot’cool, Alba…calmez-vous…en espagnol ou en portugais alba ne veut pas dire aube…ni en latin, ni en zoulou, ni en chaoui..envoyez moi un lien a ces fameux poemes, donc…
Cool, Michel… ! nous savons tous que c’est un gland glandu, mou du bout et fliquant….
Je n’oublierai jamais nos amours sur ce toboggan humide
quand on ne peut en rapporter ni l’ombre ni la buée..on parle du toboggan..c’est un peu facile jicé
C’est comme la télé et le coca, c’est assez récent… que je leur dis…
quand tu parles de sodomie direct t’atteint à l’universel intemporel..et sans lourdeur dirait lassouline
« faux, j’étais à pleyel raclure » : t’aurais pas dû en partir roulure de vomissure
Bon anniversaire, Brigitte !
hé ben moi je lui souhaite..j’aime les têtes de cochon
Mais même en latin, ça veut aussi dire « aube ». On voit que vous n’avez pas de Gaffiot !
Mais il est con, ce pauvre abdelkaka, mais con ! Et l’image du monde arabe qu’il donne ! Putain ! On comprend mieux après l’avoir lu leur retard de plusieurs siècles !
tiens, le garde-champetre se joint a la melee albanaise…the more the merrier…salut dutrou!
WG écrit « Oui, La Place, j’ai lu, je l’ai même fait étudier une année à mes élèves. Oui, bof…C’est une Maurice Genevois des villes. » la forlume est aussi drole qu’injuste car vous avez oubliez que genevoix a écrit « ceux de 14 ».on peut réduire n’importe quel écrivain a à une formule marante et déplacée et si je voous disais que vous êtes un thomas berhnard sans oeuvre?
On l’imagine se royaumer en une pléiade d’annuaires périmés.
aprés « la passion du cadastre » ça laisse plus de gomme part terre que sergio
l’image du monde arabe, vous vous la carrez, bien profond, la ou jamais l’aube ne se pointe …
« je lui en serait reconnaissante »
Grande folle le boug !
la forlume
le mot est assez beau
J’en profite, en hommage à ma chère Brigitte dont c’est l’anniversaire, -dieux, quelle belle vie !- pour vous conseiller de CESSER de bouffer de la viande !
Dans une saloperie de cochon, une saleté de mouton égorgé EI, vous pouvez bouffer vos propres parents ! vos ancêtres morts ! René Coty ! Clovis, la salope ! Hiro-Hito, le timide engagé ! Mac Carthy, la tante, Luther, le King ! Saddam ! Ravaillac ! Jean Moulin à vent !
Bouffez des légumes : c’est meilleur pour vous, mes petits choux. Légumes bouffant des légumes … génial !
…
…Jacques Barozzi,!…comme en Corée du Nord,!…
…
…un système d’équilibre des politiques-Trust’s,…pour faire tourner le monde,!…
…
…même, sans impérialismes des capitalistes,…des peuples sont habitués à vivre soumis en lèche-culs,!…
…
…tu les délivre et donne toute libertés,…ils sont perdus, comme insectes abeilles ou fourmis,!…
…vivre indépendants sans Stalag 13 – €uro’s, c’est pas donné à tout le monde,!…ou le retour à Cuba avant Castro des connivences,!…
…la politique,!,…des contrastes à tirer son plan,!…un jour,…etc,!…des Rappetout’s,!…à Dallas partout,!…etc,!…Ah,!Ah,!…
…les guerres ces diversions,!…pour régner son Job à pitreries,!…Go,!…suivant,!…le collabo’s,!…pour W.C.,!…papier au cul,!…prête moi ta plume,!…Ah,!…
…
bon je vais bruncher…je compte sur vous pour relever le niveau d’education d’au moins un arabe, et de lui envoyer un lien a ces poemes matinaux…
Grande folle le boug !
c’est ça la dyslexie baroz..on est tout tour a tour..mais droit dans ses bottes toujours..tu votes pour moi
bon je vais bruncher
la forlume vaut zéro gaga
vous vous la carrez, bien profond, la ou jamais l’aube ne se pointe …
pas mal..mais tu serres trop les fesses en brunchant gaga
Tiens, mon gros connard d’abdelkader, en voilà un exemple de « alba » qui veut dire aube en espagnol. C’est un roman :
https://www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=33812
Connard !
Ben, c’est déjà ça ! Un Thomas Bernhard sans œuvre, c’est un sacré compliment ! Comme disait Racine, y a plus qu’à l’écrire…
Non, ce n’est pas un roman, mais un recueil de poèmes bilingue espagnol/français.
Mais vous allez voir, ce connard va encore trouvé à contester tellement il est borné !
Monsieur Abdelkader, Monsieur Michel Alba, professeur de 5ème, agrégé mythique de fiction, est Membre de l’Institut « Aube pour une langue nouvelle ». Grand auteur, merveilleux styliste, Kim Jung-un de la rue Morney, Michel Alba décide et nous, humbles cr…ns, nous devons obéir.
Alba, c’est aussi la région italienne des meilleures truffes de la péninsule. Vive Michel Alba, la truffe !
Truffe blanche, excellente rapée au dessus d’un risotto, vague odeur de cadavre ou, de fantôme.
Michel Alba, unique descendant d’une famille éteinte depuis des siècles, sorti droit du shtetl andalou, maître en yiddish méditerranéen, seul traducteur auto-certifié de la langue allemande. Widerspühler, vrai descendant de la Haute-Couture de pointe, vrai marchand d’art, extraordinaire Père Ubu de la RdL.
Monsieur Abdelkader, Michel Albakaka est mon héros
Un beau poème à l’aube de Cesare Pavese, Abdel
Lo spiraglio dell’alba
respira con la tua bocca
in fondo alle vie vuote.
Luce grigia i tuoi occhi,
dolci gocce dell’alba
sulle colline scure.
Il tuo passo e il tuo fiato
come il vento dell’alba
sommergono le case.
La città rabbrividisce,
odorano le pietre
sei la vita, il risveglio.
Stella sperduta
nella luce dell’alba,
cigolio della brezza,
tepore, respiro
è finita la notte.
Sei la luce e il mattino.
En plus, l’autre jour, mon collègue d’espagnol pour me dire bonjour me récite un poème espagnol qui est une « alba ».
Ah non, mais quel bœuf ce sinistre Abdelkaka ! La couche épaisse de connerie du mec ! Faudra que je raconte ça à Juan Carlos Ier.
Photo 2
Je ne te serre pas la main, mon vernis n’est pas sec.
On s’embrasse, si tu veux.
Deneb et Nollet dit: 28 septembre 2014 à 12 h 29 min
_________
Tiens, les nouveaux cons sont arrivés ! Tout frais.
Consultez le TLF , vous trouverez un renvoi à l’étymon Albe, qui procède, je le rajout,e du latin Alba, avec un exemple entre autres tiré de Roland, et la traduction de Bédier: « Au point du jour ».
MC
On la voit un peu partout cette photo avec Passou, sa pipe et Modiano en train de regarder la page de Mortimer.
Le hasard ! Rien que le hasard ! qui est D.ieu.
photo 3, ueda !
sur la photo 2, à gauche, tout contre Passou, j’ai reconnu Clopine !
Je n’aimerai pas habiter dans l’arrière plan de la photo n°2 … quel bled !
Plus fiable que Wikipédia, vous pouvez consulter Lexilogos, rubrique Multidictionnaire, sur l’étymon latin d’aube. Sans surprise, on lit Alba, avec une date de 1080.
MC
Jacques Barozzi dit: 28 septembre 2014 à 12 h 40 min
« sur la photo 2, à gauche, tout contre Passou, j’ai reconnu Clopine ! »
Facile de reconnaître Clopine : elle colle aux Utiles …
Ben, évidemment !
Ya que les courtiers à Wall Street qui ignore ça ! Courtiers aux idées courtes. Des dollars à la place des neurones…
qui est D.ieu.
Mimi, vous êtes D.ieu, je suis Dieu
Un beau type de femme, Annie E.
J’avais dit à ma libraire: je pars loin d’ici pour trois semaines, j’aimerais emporter un gros Quarto, vous me conseillez quoi?
Sur la table, j’avais repéré Pavese (mais comme je l’ai bien lu, le racheter ça offense mon côté rapiat), Semprun (mais j’ai un peu peur du face-à-face prolongé avec un progressiste)…
« Annie Ernaux? »
(J’avais ouvert, ouvrages courts, typo aérée, beaucoup de blanc)
– « Je ne crois pas que ce sois pour vous », qu’elle m’a dit.
J’ai lâchement consenti.
Tant pis, j’ai mis Ogawa Yoko sous mon bras, une autre femme remarquable.
Clopine en présence de Passou pour la première fois, ça doit valoir le détour. Le plus à plaindre, ce serait Passou. Il aurait des chances de finir la journée à Sainte-Anne…
JC….. dit: 28 septembre 2014 à 12 h 40 min
Je n’aimerai pas habiter dans l’arrière plan de la photo n°2 … quel bled !
Ça fait France d’avant.
Mais c’est pas son style, France d’avant, au romancier en imper?
Wall Street
Ne pas confondre avec la City
Michel Alba, est nul en géographie-économique.
La truffe blanche confond Économiste et courtier
Pauvre homme !
Passou, on dirait le commissaire Maigret sur la photo !
Le cadavre ne doit pas être loin ?
« Un précis qui serait gouverné par l’imprécision. » (Passou)
Au-delà du jeu de mot et du paradoxe, c’est une pensée qui peut paraître fausse concernant le travail de Modiano.
Il y a une rigueur dans l’imprécision, qui n’est pas le fruit d’un négligé mais au contraire d’un effort pour rendre compte du réel. Il faut le préciser…
Les médiocres se vengent comme ils peuvent ! La méchanceté les habite.
Définition du diccionario de la lengua espanola.
alba(Del.lat, alba,f.de albus,blanco)
Primera luz del dia antes de salir el sol.
(première lumière du jour avant le lever du soleil.)
Toutefois,pour dire « aube » en espagnol on utilise plutôt le mot « amanecer ».
Surtout avec sa pipe !
Ils sont en train d’enquêter sur la mémoire de Modiano et ses lieux de mémoire.
C’est vrai que je suis borné (Abdelkader)
ça fait plaisir de lire enfin quelqu’un de sincère. La crème d’abrutis qui commentent sur ce blog feraient bien de s’en inspirer.
Oui, aujourd’hui, on utilise le mot « amenecer » mais au Moyen-Âge notamment, en espagnol comme en portugais on écrivait des « alba » qui chantaient l’aube.
Heureusement que mes élèves sont plus intelligents qu’Abdelkaka ! Je deviendrais chèvre avec des élèves comme lui.
« quel bled ! »
Le pays où l’on joui dans la toile, ueda !
http://img3.wikia.nocookie.net/__cb20070418065106/desencyclopedie/images/e/ef/Jouy_en_Josas_panneau.jpg
Popeye dit: 28 septembre 2014 à 12 h 57 min
___________
Popeye doit faire aprtie des « abrutis » sans crème. Des abrutis brutes.
Qui dira un jour le grand secret que recèle la bêtise inénarrable d’Abdelkaka ? Mais est-il pour autant mystérieux ?
Au prix où sont rémunérés les agrégés aujourd’hui, je ne suis pas vraiment sûr qu’elle ait passé la ligne, la Ernaux…!
Ce qui fait d’Annie Ernaux un écrivain secondaire justement, c’est qu’elle réduit la littérature à la question sociale.
Vous imaginez un peu Kafka et la question sociale ? Au moment de la déclaration de guerre en 1914, Kafka note qu’il va à la piscine.
Je deviendrais chèvre avec des élèves comme lui.
ML
Oh ! Notre luminosité !
« Chèvre » …. !
« Ernaux touche les lecteurs parce qu’en parlant d’elle, elle leur parle d’eux ; elle a trouvé le point de rencontre sans quoi un récit demeure sans autre avenir que celui, très éphémère, de la nouveauté. »
PA
Heu … la lecture par identification .. c’est assez couru, non ?
« Des dollars à la place des neurones… »
Sincèrement, je ferai bien un échange de la moitié de mes neurones occidentales (et inutiles) contre de bons dollars permettant « à peu près tout » …
(((( « Au prix où sont rémunérés »
ML, au « tarif » .. ! Je sais bien que certains aimeraient tout pouvoir acheter mais quand même !))))
Daaphnée dit: 28 septembre 2014 à 13 h 10 min
Je deviendrais chèvre avec des élèves comme lui.
ML
Pour notre ami, Daphnée, une population quelconque comprend des élèves, de futurs élèves et d’anciens élèves.
Pour savoir si les éléments profs constituent une classe à part, il faut demander à JC ou à Marcel, nos deux bourbakistes à moustaches.
Je n’ai pas de moustache, et le bourbakisme collectif fut, est, restera, un trampoline singulier !
« mes neurones occidentales »
Mais qu’est-ce qu’ils ont à tout féminiser, le monde serait-il devenu folle !
Daaphnée entame une période corrective comme d’autres et pas des moindres en ont vécue des bleus des roses…, tuss! ça va pas rigoler et devrait modifier significativement la trajectoire de l’orbite des satellites.
« La méchanceté les habite. »
On rencontre pourtant des bites gentilles !
au « tarif »
Comme les putes !
Salaire, conviendrait mieux…
Jacques quoique ce genre éloigne du propos, du thème central, le testicule féminise pourquoi pas le cerveau avec toutes ces nourritures dont il nous faut examiner la date de fabrication, les éléments qui les composent tentant vainement d’isoler les E numérotés et autres agents de conservation, sapidité… dans le but de déterminer si l’empaqueté peut s’insérer à nos consommations, rien n’étonnerait plus.
le grand secret que recèle la bêtise inénarrable d’Abdelkaka
oh rien que la tienne, comme toujours..
ah tiens baroz est au maquillage..
« aujourd’hui, on utilise le mot « amenecer » »
Et albatrocer ça existe pas? Que mépris pour ml!
Bon n’ergotons pas le secret qu’elle qu’en soit la provenance demeure un ingrédient qui éveille l’envie, l’intérêt, la curiosité retrouvée et bien placée, il réamorce le moteur de nos quêtes inlassables et jamais satisfaites.
ça dépend, là, ailleurs, je viens d’en lire deux -et pas vraiment du même bord- être semblablement petits.. mais cela n’a aucune espèce d’importance, c’est vrai..
kicking votre énoncé manque de clarté ou je n’y suis pas, de quoi parlez-vous précisément et si cela revêt une espèce d’importance susceptible d’attention?
Bleues.
Il est hors saison ce caroussel…JB aurait dezingue avec talent cette litterature prozac.. La sur la montagne fait soleil radieux. Extase.
Zola fait une oeuvre assez considerable avec la question sociale, WG. Chacun son territoire.
Ne caricaturez pas, dites simplemlent WG que vous n’aimez pas Ernaux. Moi,elle me pasionne Ernaux car justement son oeurve n’est pas du tout réductible à la question « sociale ».et si vous aviez bien lu thomas berhnard, lui aussi parle de la « question sociale » et de la place de sa mère et de son grand père dans le village dans « un enfant » par exemple…pr ailleurs, elle a eu un comportement lamentable en criant haro chez gallimard.. à propos de Richard Millet,lui aussi,lecteur de première force et bon écrivain.
Le dialogue Ernaux – FY Jeannet était en effet chiant comme la pluie… « L’écriture comme un couteau! » ça s’appelait; mais les autres livres de Jeannet , pourtant prescrits par le gratin de la critique (Ezine, Libé…), me sont tombés des yeux tout aussi vite…Faites donc un peu gaffe, vous, les « critiques-lecteurs-professionnels-qui-n’achetez-pas-vos-livres »!!!
Les naïfs, comme moi, qui suivent vos conseils, se retrouvent avec de grosses bouses dans les mains et, ensuite n’osent pas jeter l’objet – un livre, c’est sacré – et regardent dans leurs étagères la vilaine tranche de ces bouquins pas lus comme des intrus hostiles et puants.
…
…quelle soupe,!…allez tout avalez,!…
…
…et dire qu’on ne peut pas cracher dans sa soupe,!…
…maudit-anno,…j’ai avaler une mouche de trop,!…Oh,!…le beau renvois,!…
…tu te condamne à l’exil,!…purgatif,à l’huile de foie de morue,!…encore,!…
…ou est passé la bonne,!…analphabète,!…
…des comme çà on n’en fait plus,!…même du temps du Franco-Codillo aux lézards sous le soleil,!…
…
…comme en Espagne au temps de la flotte espagnole,…aux équipages de bergers,!…
…la nouvelle flotte française d’Air France, recherche aux Pôles d’Emplois,…des lapins de garenne pour faire court les vacances en jet’s,…toute saisons,…longs-courriers sur mesures en cabines , attachés vos ceintures pour des allers-retours hors-pistes,!…
…des métiers de remplacements » gay’s à escort’s-girl’s,!…tout dans l’uniforme » les ailles « ,…un charme qui sévit sur place,!…
…
…encore un renvoi,!…si c’est de la bière, c’est de la Gordon Finest Scotch Highland ale,!…
…indépendante,!…travaillez plus,!…pauv’r con,!…Ah,!Ah,!…avec Marseille en Bretagne,…Non,…çà ira,!…avec Nante canaris Gool,!…
…
…tiens ou sont les français,!…Ah,!…Oui,!…à Bruxelles,…un Stock,…aux Luxes & Bourres,!…la patrie – unis d’Attali,!…à Natalie à Bécaud,!…
…Ollé,!…Quasimodo à Notre Dame,…aux lits maintenant,!…les soeurs en prières,!…
…le fil incertain de leurs mémoire,…
…encore un verre,…pour le lien,!…etc,!…
…envoyez,! c’est mieux à l’envers pour la pose fixe,!…c’est » conne » vous voyez,!…Opus-Dei,!…Ah,!…Ah,!…Go,!…etc,!…
…
Jacques Barozzi dit: 28 septembre 2014 à 13 h 37 min
On rencontre pourtant des bites gentilles !
« Sourires d’Asie »
on peut, comme mon mari et moi, ne pas apprécier ce maudit Modiano, mais quelle classe à côté de bougue-rototo et JC, les deux détritus de ce blog, pouah !
brève dit: 28 septembre 2014 à 15 h 05 min
es deux détritus
Si c’est de la cinquième conjugaison, ça fait bien detritus, mais si c’est de la seconde, c’est detriti… Il y a aussi un Romain, qui s’appelle comme cela… Il est pas beau, hein !
Extase.
Un mot démodé, poète maudit, coron et bourgeoisie chauffée au coke dans des villes noircies. Ellipse sur épileptique. La dernier scripteur de cet élément de langage ne m’a inspiré rien qui vaille mais chacun ses amortis au réel qui tombe comme la foudre au hasard en malédiction sur des vies disposées à l’épreuve. Ô rage et désespoir.
dès qu’on parle de bites, Barozizi frétille
à Sergio toto, consulte ton dico hé patate
bérénice dit: 28 septembre 2014 à 15 h 19 min
Extase.
chacun ses amortis au réel
Non mais c’est le réel qui doit s’hamortir, bretzel liquide !
Montrer la marchandise comme cela, c’est inusité rarissime, mais haprès tout… Faudrait voir ce que ça donne en 3D…
Sam Harkande dit: 28 septembre 2014 à 15 h 52 min
consulte ton dico
C’est surtout pour Salluste que c’est bon, tout est traduit dans le Gaffiot ! Mais halors le Bornecque, un scandale vitreux…
15h30 Alors que des fanatiques exposent leur méthode lâche, tuer des braves des innocents, pour le progrès de leur œuvre, vous auriez pu, même si ces monuments comptent parmi les réussites esthétiques architecturales du patrimoine mondial sans aucun doute répertoriable par l’Unesco, choisir un pseudo qui ne soit pas un rappel à ce monde qu’on aimerait pouvoir pacifiquement oublier dans la rumeur des affaires qui marchent sans complications, pour résumer.
devriez avoir honte de vous, Alba, a m’orienter sur le site de l’harmatan…mon firewall n’est pas tres impressione:
« Your connection is not private
Attackers might be trying to steal your information from http://www.editions-harmattan.fr (for example, passwords, messages, or credit cards). »
alors ce que pense l’harmattan de l’aube, disons que ca m’indiffère…
A VENDRE
« L’amour et les forêts » d’Eric Reinhardt, acheté neuf sur les conseils d’un ancien ami, critique littéraire prestigieux, 21 euros 90.
Parfait état extérieur. Merdique, mal foutu et inintéressant à l’intérieur.
Faire offre décente, supérieure à 1 euro. Location longue durée possible…
Sam Harkande dit: 28 septembre 2014 à 15 h 52 min
hé patate
C’est dangereux, d’être une patate, et voici pourquoi : à Peenemünde, il les distillaient pour en faire le propergol liquide de leurs maudites fusées. Mais havant, forcément, il fallait les cultiver, d’où d’immenses champs latifundiaires pires que chez Clopine, et gardés barbelés comme sous Parmentier. Donc naturellement nous les brits on en a fait une vallée heureuse, paradis des forteresses. Même les Ricains pour une fois ça tombait où ça devait…
le fil incertain de leurs mémoire
Je voudrais pas être trop méchante mais tout de même, yenaki quand ça flanche yenatant qu’à la fin yenapartout et même plus besoin de relever.
C’est dangereux, d’être une patate
Chaude ? Même plus, on les repère à l’odeur…
chère amie Mme Michu : merci d’évoquer ici JC et bougue-rototo deux sinistres mémoires
Mais havant, forcément, il fallait les cultiver
Et cultant, fumeusement, il fallait les havanner.
Oh mais c’est vous qui mes les avez brièvement rappelés.
je vais vous dire, Alba, pourquoi je vous ai mis sous le projecteur, pour un truc qui n’a aucune importance, en fin de compte…votre raisonnement est défectueux, et pis encore, vous ne le savez pas et pensez être vastement plus intelligent que vous ne l’êtes en réalité…en général, les gens comme vous, ne méritent même pas que je leur en fasse la remarque, mais pour vous, je fais une exception, vu que personne ici ne vous a relevé quand vous prétendîtes avoir lu le Tristram Shandy (peut-être aussi que vous n’êtes pas le seul a ne pas l’avoir lu, mais bon)…bref, certains ici vous font crédit…moi pas…vous êtes une personne pathétique et qui me ferait pitié, si ce n’était que vous êtes aussi méchant et noir de cœur…
Non je n’aime pas les gens, ueda. Les gens m’emmerdent. Les périodes de pur bonheur que j’aie eu dans ma vie -et que j’aurai de nouveau dès que mon intense acctivité professionnelle diminuera un peu- ont été avec Dieu et moi-même.
Désolé de vous le dire mais c’est la pure vérité.
chacun ses amortis au réel
si on trouve encore des arbres au sommet doit pas y avoir de quoi affoler l’altimètre non plus..
Mais mon pauvre Abdelkaka, vos jugement sur mon génie, je m’entape et m’en retape. Vous pensez bien. Des connards de votre acabit, le monde en chie à la pelle.
…
…recherche,…livre broché, intitulé » têtes de noeuds « ,…manifeste culturel, aux sucres édulcorés,…pour un meilleur jeux aux peaux-lices à Pôle-Emploi,!…
…le niveau-culture, pose-canapé, de rigueur,!…management aux défilés , près à porter fines lingeries,…postulez pour une formation au dessus de tout soupçon,!…
…une flèche nouvelle à votre carquois » fébrile « ,…
…Non,!…Giovanni,!…tu te rend ridicule,…c’est tout des gens sérieux du Livre,…tu nous fend le coeur, avec tes soupçons, sait tu,!…
…Allons donc,!…quand il y en à,…pour cinq, il en reste pour 10,!…en demi-ratio,!…la purée,!…livrée aux humanistes-sociaux aux centres à se secouer,!…
…tirer son coup à la chasse de la petite venerie,!…mes biches aux cols scellés,!…
…vous tamponnez Sir,!…la bête se capre,!…elle à bon dos,!…votre Bachus à Diane Sire à la cons,!…le beurre ou le saindoux aux huiles,!…etc,!…là maintenon le cap,!…Ah,!…
…
…recommencez vos habitudes à prendre,!…par les deux bouts,…Oui,!…tenez les chandelles,!…Oh,!…c’est profond la bête,!…
…biche Ô ma biche,!…lorsque tu souris,!…etc,!…envoyez,!…
…
kicking votre énoncé manque de clarté ou je n’y suis pas, de quoi parlez-vous précisément et si cela revêt une espèce d’importance susceptible d’attention?
Bérénice
l’hopital qui se fout de la charité ahahahahahaha te laisse pas faire, kiki! Aligne, bordel!
Non je n’aime pas les gens, ueda. Les gens m’emmerdent.
t’es trop sensibe dédé épitalachandelle qui chauffe
Mme Michu dit: 28 septembre 2014 à 16 h 39 min
Et cultant, fumeusement, il fallait les havanner.
Houi mais enfin pour les ramener il faut se farcir l’Atlantique, qui est toujours plein d’eau la plupart du temps, et havec des torpilles qui se reproduisent par milliers…
Islamic State is now the wealthiest militant group in the world, with a reported net worth of £1.2bn
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Plus riche que l’UMP?
havec des torpilles qui se reproduisent par milliers…
Comme ici, parfois, mais sans la mer.
Bon, la mer . Il faudrait se décider .. pour une île, hémisphère sud ..
pour Jacky Barozizi : « I bite my thumb, sir »
(Shakespeare, Romeo and Juliet)
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