de Pierre Assouline

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La République des livres
Patrick Modiano et Annie Ernaux sur le fil incertain de leur mémoire

Patrick Modiano et Annie Ernaux sur le fil incertain de leur mémoire

Un malaise s’installe, un certain trouble nous enveloppe, puis nous envahit avant de nous hanter durablement. C’est la magie Modiano, dès l’entame. Rien à expliquer sinon cela n’en serait pas. Un homme trouve un carnet d’adresses perdu et insiste pour le ramener à son propriétaire. Mais en le feuilletant, il tombe sur un nom pour lequel il manifeste une intense curiosité. Son insistance n’est donc pas gratuite.

Dès la première page de Pour que tu ne te perdes pas dans le quartier (160 pages, 16,90 euros, Gallimard), roman sans dédicataire, fait inhabituel chez cet écrivain, tout est installé à commencer par l’atmosphère. On s’y croit, on y est. on y croit. Ce n’est pas pour rien que Modiano passe pour l’héritier de Simenon. L’incipit (« Presque rien »), puis l’identité du personnage principal (Jean Daragane), enfin le mot sous l’empire duquel se placera l’action (« légère »). Là où tant de romanciers se perdraient à définir ce que peut bien être un ton de maître-chanteur, deux mots surgissent mais si justes qu’ils se suffisent : « une voix molle et menaçante ». De quoi en faire un leitmotiv. En quelques lignes, tout est joué dans la plus extrême économie de moyens. En avançant en âge, Modiano se dépouille. Le grand art est d’y parvenir sans donner la moindre impression d’assèchement Le spectre de la solitude est déjà là qui planera sur tout le roman. D’autres personnages surgissent. Autant d’identités : Gilles Ottolini, Chantal Grippay, Maurice Caveing, Annie Astrand…

Modiano s’y livre à sa passion du cadastre. Rien ne l’enchante comme de trouver des vieux annuaires dans un marché de province. Il se délecte des numéros de téléphone d’autre fois. Ses livres sont pleins d’adresses : cette fois un 42 rue de l’Arcade, une rue Laferrière, un 18 rue Alfred-Dehodencq et un 73 boulevard Haussmann à la sonorité si proustienne dont on imagine sans mal qu’il recèle quelques uns de ces immeubles à double issue qui fascinent l’auteur, comme l’était celui où, jeune homme, il rendait visite à son père à son bureau, entrant rue Lord Byron et ressortant aux Champs Elysées. On l’imagine se royaumer en une pléiade d’annuaires périmés.

Jean Daragane, l’anti-héros de ce roman, est un homme en retrait. Il ne cherche pas à se faire de nouveaux amis, bien que sa courtoisie naturelle l’empêche de se montrer indisponible. L’Histoire naturelle de Buffon suffit à son bonheur. Il est de ces piétons de Paris qui savent distinguer un charme d’un tremble, et s’arrêtent pour parler aux arbres ; ils seront toujours là tels un point fixe, le seul susceptible de le raccrocher tant à la nature qu’à la culture. Une guerre ne modifierait en rien ses rapports avec un arbre ; il y verrait une balise rassurante dans un paysage dévasté. Jean Daragane incarne mieux que tout autre la fameuse maxime du naturaliste « Le style est l’homme même » que la vox populi a dégradé en « Le style, c’est l’homme ». Gilles Ottolini, l’homme qui vient troubler sa solitude, est un jockey raté devenu un parieur compulsif, auteur du Flâneur hippique aux éditions du Sablier.

Un détail suffit à préciser l’époque sans lourdeur : l’usage d’un téléphone portable. Les voici donc les deux partis à la recherche de ce mystérieux personnage qui n’est qu’un nom, Guy Torstel. Chemin faisant, notre anti-héros s’apercevra que cet homme qui ne lui était rien a pu jouer en coulisses un rôle insoupçonnable dans sa vie. Leurs pas les mèneront du côté de Saint-Leu-la-Forêt, un petit coin du modianoVal d’Oise qui s’enorgueillit d’avoir abrité la pianiste Wanda Landowska et le poète Olivier Larronde, dans une maison d’un étage rue du Docteur Voustraat, réminiscence de celle de la rue du docteur Kurzenne à Jouy-en-Josas où le jeune Modiano et son frère Rudy vécurent une partie de leur enfance et que le dessinateur Edgar P. Jacobs immortalisera dans SOS Météores, l’une des aventures de Blake et Mortimer… Le genre de hasard inouï que l’écrivain commenterait à son habitude par un énigmatique « c’est bizarre … ». En enquêtant sur un épisode de son enfance, son personnage principal finit par ses demander s’il n’a pas rêvé car ses souvenirs ne concordent pas avec ceux des témoins. Soudain tout est brouillé, le réel vacille, l’imaginaire gagne. Alors autant rêver sa vie plutôt que de chercher vainement à en reconstituer les travaux et les jours ; autant rendre les armes quand s’impose un je-ne-sais-quoi de ouaté. L’été s’y inscrit comme « une saison métaphysique », ce qui rapproche davantage encore de la poésie urbaine d’un Chirico avec ses grandes places vides et écrasées de soleil.

Le temps rend le passé translucide. Cela n’a jamais été aussi vrai que dans ce roman plein d’échos assourdis de Remise de peine (1988), aussi discret que lumineux car l’Occupation n’est pas là pour faire écran. Cette fois, c’est ici et maintenant même si l’époque et les contemporains n’y sont guère envahissants. « Depuis dix ans déjà on avait changé de siècle », voilà et il est inutile d’en rajouter. La quête de la légèreté, cette inaccessible étoile, se fait par petites touches imperceptibles. Aux autres les grandes machines romanesques, leurs intrigues en machicoulis, leurs architectures chorales et leurs bavardages infinis ! Patrick Modiano a compris de longue date qu’il ne sait faire qu’une chose et qu’il serait fol de creuser le sillon d’un autre. Il compose et écrit en miniaturiste persan. La sagesse, c’est de le savoir et de s’y tenir. Ainsi construit-on une œuvre pérenne dans la durée. Cette fois, Stendhal s’est invité dans l’épigraphe : « Je ne puis pas donner la réalité des faits, je n’en puis présenter que l’ombre ». Tanizaki n’est pas loin car Modiano a écrit là son propre éloge de l’ombre ; il y a condensé son art poétique en une centaine de pages.

Les gens de Modiano sont naturellement mystérieux ; ils le sont comme tout le monde. Le romancier aime à citer ce jugement de Samuel Beckett sur Proust lorsqu’il en dit trop sur ses personnages : « Les expliquant, il épaissit leur mystère ». Ce qui renvoie à ce mot de Jean Paulhan peu importe à propos de qui : « Il gagne à être connu, il y gagne en mystère ». Avec Pour que tu ne te perdes pas dans le quartier, le fidèle lecteur de Modiano est assuré de mieux s’y retrouver dans son univers. C’est un traité de géographie urbaine à usage des piétons du Modianoland, le plus proche des pays lointains. Un précis plus exactement mais qui serait gouverné par l’imprécision.

Au fond, ce n’était pas un roman mais un rêve de roman, une buée de fiction, qui s’achève comme elle a commencé, sur presque rien. Mais quelle émeute de détails contient ce rien ou presque ! Tant de finesse et de subtilités dans la recherche incertaine d’un équilibre confèrent son halo secret à ce livre. Pour ouvrir une brèche dans le temps, l’auteur s’est appuyé sur la perte d’un carnet d’adresses et sur l’absence qu’elle creuse en nous. Qu’importe au fond ce que soit un objet ou une personne : seul compte le manque qui avive la mémoire.

Ici, c’est un objet. Chez Annie Ernaux, c’est une personne. Sa mère qui une fois encore domine son dernier livre. Ce ne sont pourtant que des entretiens. Mais autant ils étaient ratés et exaspérants la première fois qu’elle avait consenti à l’exercice il y a une dizaine d’années à cause des questions de son interlocuteur Frédéric-Yves Jeannet (L’écriture comme un couteau chez Stock), autant cette fois, avec Le vrai lieu (120 pages, 12,90 euros, Gallimard), le résultat est lumineux grâce au dispositif mis en place par son interlocutrice, la documentariste Michelle Porte. Séduite sinon conquise par le films que celle-ci avait consacrés aux lieux de Virginia Woolf et de Marguerite Duras, la romancière est donc retournée sur les lieux qui ont compté et comptent encore pour elle : celui de l’enfance et de l’adolescence (Yvetot), celui des études (Rouen), celui de l’accomplissement (Cergy). Y revenir non pour expliquer l’implacable et poignante beauté des Armoires vides, de La Place, de Passion simple, de La Honte ou des Années, mais pour mieux cerner le terreau où tout cela a poussé. Les familiers de cette œuvre devineront sans mal que l’écriture est son vrai lieu. Sa seule et unique maison depuis son plus jeune âge. Là qu’elle s’est mise à l’abri du monde et qu’elle n’en ait jamais vraiment sortie.ernaux-annie01

Ces entretiens ont ceci de remarquable qu’on y entend la voix de la romancière. La vérité personnelle de l’oral y rejoint la vérité universelle de l’écrit. Cette conversation participe pleinement de son œuvre en ce qu’elle ne provoque pas de hiatus avec les textes ; ils produisent le même son. Ce qu’on appellerait également un style, c’est à dire un accord secret entre la voix profonde de l’écrivain et les ressources de la langue. Celui d’une femme née en 1940 dans une famille modeste de la province normande, qui s’est enfouie/enfuie très jeune dans les livres pour n’en jamais sortir, et qui s’est décidée à écrire pour « venger ma race ». Elle a les mots juste pour dire ce que peut avoir d’écrasant la vue des immeubles patriciens de Bordeaux où les murs des maisons respirent « cette puissance ancienne d’un ordre social, de l’argent ».

Bien qu’elle ait passé la ligne en devenant professeur agrégée de Lettres modernes, elle se sent toujours dans l’entre-deux, inacceptée car étrangère à ce monde. Il y a dans ces pages sur le sentiment de l’effraction sitôt franchies les limites invisibles de certains arrondissements cossus de Paris, davantage de vérités que dans bien des enquêtes de sociologues sur la domination. Chez Annie Ernaux, la question sociale, et donc politique, est toujours tapie sous la littérature, son prestige qui éblouissait sa mère jusqu’à lui faire oublier le reste, le livre considéré comme un objet sacré jusqu’à se laver les mains avant de s’en saisir. La petite fille qu’elle fut, elle, n’oublie pas les scènes des parents, les reproches, les hurlements, les coups, la violence et cette scène traumatique entre eux aperçue dans la cave. Un instant décisif que ne réussira pas à balayer le leitmotiv des familles censé tout mettre à distance : « Bon, c’est fini, on n’en parle plus ! » Annie Ernaux touche les lecteurs parce qu’en parlant d’elle, elle leur parle d’eux ; elle a trouvé le point de rencontre sans quoi un récit demeure sans autre avenir que celui, très éphémère, de la nouveauté. Son lieu, l’écriture. Il n’y a pas en sortir. C’est son monde à elle entre celui d’où elle vient en pensant l’avoir trahi car quitté, et celui où elle a été en pensant n’y avoir pas sa place.

La littérature n’est pas la vie mais son éclaircissement. Toute la Recherche du temps perdu le murmure. Annie Ernaux et Patrick Modiano avancent sur le fil incertain de leur mémoire. En y mêlant les mémoires diffuses de leurs personnages, ils sauvent quelque chose d’un temps qui ne sera plus et l’inscrivent dans l’Histoire. A jamais ?

(« Biarritz en hiver » photo Passou ; « Patrick Modiano en pèlerinage rue du docteur Kurzenne à Jouy-en-Josas » photo Gilbert Nencioli ; Annie Ernaux photo Olivier Roller)

P.S. du 6 octobre : Ici un éclairant entretien de Patrick Modiano sur le plan de roman policier de son dernier livre.

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

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commentaires

1 191 Réponses pour Patrick Modiano et Annie Ernaux sur le fil incertain de leur mémoire

abdelkader dit: à

vous ne m’avez toujours pas compris, Alba: vous parlez de livres que vous n’avez pas lus, d’émotions que vous n’avez pas eues et d’origines bien plus exotiques que ne le sont les vôtres en réalité…vous êtes une fraude, Alba, un pauvre type…et vous n’avez pas le centième de l’intelligence ou de l’experience que vous pavoisez ici…je suis sur que vos eleves le savent aussi…a cet age-la, ils ont le radar anti-connerie qui fonctionne encore…des profs comme vous le leur enleveront au fil des annees…

Observatoire de la diversité des Nobel dit: à

Rappel

Sans religion : des tas de Prix Nobel
Juifs : des tas, aussi…
Chrétiens : des tas…
Musulmans : un tout petit nombre achetés au prix du marché pétrolier

Widergänger dit: à

Mais mon grand Abdelkaka, je trouve que déjà le fait de réussir à ce point comme vous le décrivez la fraude gigantesque que vous dites, relève à mes yeux du génie le plus absolu !

Donc, soit je suis un vrai génie, soit je suis un vrai génie de la fraude. Dans les deux cas, vous devriez me saluez bien bas, mon grand Abdelkaka…!

Widergänger dit: à

À lire le dernier livre d’Elie Barnavi, Six thèses sur la guerre, Flammarion.

Si vous voulez mieux comprendre le Moyen-Orient et ce qui s’y passe. Elie Barnavi est un homme attachant que j’apprécie.

Sergio dit: à

Daaphnée dit: 28 septembre 2014 à 17 h 05 min
une île, hémisphère sud ..

Il y aurait l’Antarctique, qui est une île, dans l’hémisphère sud, seulement il y a des tests faut pas être agressif… Mais c’est chauffé, hein !

abdelkader dit: à

vous êtes une fraude, Alba, un pauvre type…

Widergänger dit: à

Mais oui, mon grand Abdelkaka, une grosse fraude frauduleuse et toi un gros gros couillon…

ueda dit: à

Sergio dit: 28 septembre 2014 à 17 h 43 min
Daaphnée dit: 28 septembre 2014 à 17 h 05 min
une île, hémisphère sud ..

Une île sympa avec seulement nos amis WG et Abdelkader.

Un navire passe les reprendre un an plus tard.

On fait des tests avant/ après: poids, sociabilité, croyances religieuses…

Widergänger dit: à

J. Attali est en colère contre le monde politique.

Widergänger dit: à

ueda me semble bcp trop optimiste… Deux jours, et ils ne reste plus rien…

ueda dit: à

« On fait des tests avant/ après: croyances religieuses… »

– Tu n’as rien compris à Abraham
– Ibrahim!
– Abraham!

– Nombriliste ethnocentré!
– Surgeon inutile!

– Ta vision du monde est plate comme l’Hadramaout
– Et toi, tu fais de l’associationnisme refoulé (shirq)

Tourné par Bunuel, façon Vache lactée, colour by DeLuxe, sound by Dolby

J’achète mon ticket!

ueda dit: à

Widergänger dit: 28 septembre 2014 à 17 h 55 min
J. Attali est en colère contre le monde politique.

العتال, le portefaix…
Celui que Nietzsche appelait le chameau de la culture…

(Mais naturellement qu’il a aussi des qualités!
La première étant un col de chemise qui suscite ma jalousie et mon interrogation: pundit indien? cadre maoïste? clergyman hétérodoxe?)

Widergänger dit: à

J. Attali est un type formidable. Pas un génie mais un type génial ! Un déçu de la politique.

kicking dit: à

Aligne, bordel!

ouais mais le problème c’est qu’ici -ailleurs aussi- semble n’y avoir que des cons qui prennent leur pied comme ils le posent, faudra m’excuser d’aimer le perdre les miss&misters..

kicking dit: à

croyances religieuses…

avec du papier qu’on touche pour se donner confiance ?

ueda dit: à

(1) Widergänger dit: 28 septembre 2014 à 18 h 12 min
J. Attali est un type formidable.
(2) Widergänger dit: 28 septembre 2014 à 17 h 37 min
Elie Barnavi est un homme attachant que j’apprécie.

On a le droit de nuancer?
D’accord avec le (2) davantage qu’avec le (1)

Barnavi est un gentleman exquis.
Mais il faut se méfier des charmeurs, voyez Zhou Enlai.

Ensuite, sur le fond, on discute.
Je n’opine ni devant l’un ni devant l’autre.

Sam Harkande dit: à

pour Jacky Barozizi : Popeye est tombé sur une bite d’amarrage qui avait perdu un t

des journees entieres dans les arbres dit: à

Tout a fait , a qui se le demandait, aucun artbre a l ‘altitude atteinte today, pas de quoi affoler l »altimetre, mais le palpitant. Se royaumer dans l’extase. Sinon ne me souviens plus quel illumine parlait aux arbres.
Bonne soiree.

ueda dit: à

Photo 1

Ça me choque.

Fellini ne peut être arraché à sa mer.
Transposé dans l’Atlantique, ça fout le cafard.

kicking dit: à

quel illumine parlait aux arbres

mais non mais non, c’est pas pire quand il y a foule..

ueda dit: à

des journees entieres dans les arbres dit: 28 septembre 2014 à 18 h 21 min
Bonne soirée.

Un jour, l’honorable bouguereau a pointé avec finesse le côté dérisoire de ces « belle soirée » et autres « à tantôt ».

Ne vous en allez pas, Djedla, vous avez votre place à cette table

Je suis tout au bout, avec la plèbe de ceux qu’ont pas lu.
Entre les lettrés et les cancres, chacun peut choisir sa place.

ueda dit: à

Remarquez que si on y ajoute les quatre doigts de deux guillemets, c’est tout à fait acceptable.

« Bon papier ».

« Bonne soirée! »

kicking dit: à

bref, encore une journée à contempler le réel des chochottes, c’est pas forcément l’extase mais ça désespère de moins en moins.. la vie est ayor..

Widergänger dit: à

J. Attali pense qu’il va y avoir une révolution en France à cause de l’absence de réformes qui plombent le pays.

D Spuk dit: à

Au nom de mon fantôme, buveur de bière, mangeur de saucisses et caninphile, je déplore le peu de succès aux sénatoriales, pour les sous-fifres de Marine Le pen. Sainte-Marine, future Présidente de la France-aux-Français-de-souche élue en un tour en 2017. Je ne me trompe jamais dans mes prédictions.
Vive Madame Le pen
Vive Mimi
Vive JC
Vive D.

ueda dit: à

kicking dit: 28 septembre 2014 à 18 h 31 min
bref, encore une journée à contempler le réel des chochottes, c’est pas forcément l’extase mais ça désespère de moins en moins.. la vie est ayor..

La vie est aussi ici, kicking, le temps qu’on y passe.

Frappez donc.

Chaloux dit: à

Ueda,
un brin de courtoisie peut-il être dérisoire?
Quant aux pointages « avec finesse »… Vous devez avoir un don.
Bonne soirée,

Sam Harkande dit: à

pour Jacques Barozizi : danke schön, bite sehr !

Widergänger dit: à

J. Attali président de la République !

C’est le seul capable de nous sauver du merdier actuel et nous sauver de la ruine dans dix ans !

JC..... dit: à

Aaaaaaaah !

Mouiller une ancre dans le Francis Drake Channel pour reposer notre 50 pieds, Abdel attaché au fer qui descend, descend…

Puis plonger pour le remonter, le sauver, et lui dire en bon occidental fier de sa culture :

« Tu vois ? Connard, nous somme bons… nous sommes les meilleurs ! »

Chaloux dit: à

WGG, Attali nous ruinera aussi bien que les autres, peut-être mieux encore, mais il saura nous expliquer pourquoi c’est bien.

ueda dit: à

Chaloux dit: 28 septembre 2014 à 18 h 53 min
Ueda,
un brin de courtoisie peut-il être dérisoire?

Ami Chaloux,
Dans le ping-pong bouguereau/ Chaloux, la courtoisie semble non-pertinente, des deux côtés (votre problème, mes amis).

En revanche, dans le jeu de paume (sur fond de viole de gambe prescrit par M. de Sainte Colombe, if you please) ueda/ bouguereau et ueda/ Chaloux, il me semble qu’elle est constante, sous des formes un peu particulières.

Alberic Schlœderförm dit: à

D. a raison, ueda est un con.

Phil dit: à

Bonne nouvelle, un petit Modiano à boire avec un espresso sur une terrasse rive gauche.
Attali président fera mettre des portes capitonnées partout dans le pays, ce qui aidera à supporter la fête de la musique.

ueda dit: à

Widergänger dit: 28 septembre 2014 à 18 h 58 min
J. Attali président de la République !
C’est le seul capable de nous sauver du merdier actuel et nous sauver de la ruine dans dix ans !

Je suppose que vous vous attendez à un bon rire.

Cette intelligente girouette n’a cessé de changer de position.

(Et pour ce qui est de Max Weber… hein? Vous vous rappelez ses conneries?)

Que voulez-vous, chacun apporte sa pierre, et sur le chapitre de la BERD, notre ami Abdelkader se fait avec raison l’écho de la stupéfaction anglaise.

ueda dit: à

Alberic Schlœderförm dit: 28 septembre 2014 à 19 h 06 min
D. a raison, ueda est un con.

C’est pas l’tout.

En vue de quoi, mon cher?
Tout est là.

ueda dit: à

Phil dit: 28 septembre 2014 à 19 h 07 min
Bonne nouvelle, un petit Modiano à boire avec un espresso sur une terrasse rive gauche.

Sur le champ?
Phil, vous n’allez pas dormir.

Widergänger dit: à

Non, vous vous trompez complètement sur J. Attali. C’est le seul qui soit lucide dans ce pays. Vous n’y entendez rien.

Il faut qu’en 2017 J. Attali soit président ! Avec Hollande Premier ministre.

Alberic Schlœderförm dit: à

ueda dit: 28 septembre 2014 à 19 h 09 min
C’est pas l’tout.
En vue de quoi, mon cher?
Tout est là.

La preuve est faite ; ueda est vraiment un con.

Widergänger dit: à

Ce que dit J. Attali sur Max Weber dans son sur l’argent et les Juifs est très vrai.

J. Attali est un grand homme, un grand intellectuel. J’ai entièrement confiance en lui.

Alberic Schlœderförm dit: à

Widergänger dit: 28 septembre 2014 à 19 h 10 min
Il faut qu’en 2017 J. Attali soit président ! Avec Hollande Premier ministre.

Widergänger est aussi con que ueda. Qui l’eût cru ?

ueda dit: à

JC….. dit: 28 septembre 2014 à 19 h 00 min
Aaaaaaaah !
Puis plonger pour le remonter, le sauver, et lui dire en bon occidental fier de sa culture :

Fort/ Da!
C’est ça?

Attends-voir.
La mère Miller ou la mère Roudinesco?

Selon Leibnitz (passion secrète de hamlet), l’une des deux mères a nécessairement tort.

Daaphnée dit: à

Ueda/ bouguereau et ueda/ Chaloux, il me semble qu’elle est constante, sous des formes un peu particulières.

Vous oubliez le facteur âge .. l’âge ..
Tiens, vous auriez 3 ou 4 ans vous en seriez à hésiter à vous taper sur la tête avec la pelle en plastique ou vous faire des bisous ..

A 3 , U., au milieu vous auriez des bisous de chaque côté pendant que par-dessus votre tête Chaloux et le Boug’ pourraient joyeusement s’aplatir les cheveux .. Ou le contraire.

Widergänger dit: à

Ueda est un type qui croit être intelligent et qui croit tout comprendre. En réalité il ne comprend pas grand chose et se trompe souvent sur les gens, notamment sur Attali, qu’il connaît très très mal.

Ueda est typique de la France qui perd.

ueda dit: à

Alberic Schlœderförm dit: 28 septembre 2014 à 19 h 14 min
Widergänger est aussi con que ueda. Qui l’eût cru ?

Pèpèpe, Wotan-Alberich, mon frère

Cette position confortable est impossible.

Attends-voir..
Non compossible?

Daaphnée dit: à

(( au fait, beau film sur arte

« Au tournant des années 2000, le timide Jean-Baptiste effectue ses premiers pas d’auteur de BD avec son copain Guy. Dans une fête, il croise Laura, qu’il a jadis admirée de loin, et retombe immédiatement sous son charme… L’adaptation de l’un des plus beaux romans graphiques contemporains : une chronique amoureuse au temps du sida emplie de générosité, de gravité et de poésie. »

PILULES BLEUES
http://www.arte.tv/guide/fr/050547-000/pilules-bleues

ueda dit: à

Daaphnée dit: 28 septembre 2014 à 19 h 14 min

Bonsoir, Daaphnée
Vous avez (attentivement) regardé la série Bad Men?

Le thème du « Zou bizou » m’a fasciné…

Hélas…
Il y a peu, on nous donnait la culture sans confession…

Alberic Schlœderförm dit: à

Ce soir, dîner de têtes :
Widergänger, ueda, Chaloux, JC, Daaphnée.
Ouah, ça va être bien.

bérénice dit: à

18 h 21 min
Tout a fait , a qui se le demandait, aucun artbre a l ‘altitude atteinte today

Unité de calcul, le pied et non pas le degré.

bouguereau dit: à

J’ai entièrement confiance en lui

voilà dracul où ton bât blesse..ça devrait tmettre la puce a l’oreille qut’es ptête un bourrin..si c’est pas un peu dla maieutique ça dracul..mate un peu le muscle

Widergänger dit: à

Là, vous vous trompez ! Moi, je suis un génie. La preuve : Je suis capable de voir que J. Attali est aussi un génie. Les autres, c’est-à-dire le franchouillard moyen, ne voit en lui qu’un fraudeur. Comme Abdelkaka qui me voit de la même manière.

Pour que Juppé, qui lui même est un type extrêmement intelligent, vienne voir Attali pour discuter avec lui de ses idées, je peux vous assurer que J. Attali est un type extraordinaire sur qui la France devrait compter. Il y a quand même heureusement quelques types extraordinaires dans ce pays : J. Attali, Juppé, Hollande et quelques autres.

Chaloux dit: à

Ueda, je suis assez las de cette guéguerre, d’autant que ce pauvre boumou est bien bas.
Je contresigne le reste.

(Commencé le Jean Lorrain -Fayard- de Thibaut d’Anthonay, qui dormait dans ma bibliothèque. Fine et prenante lecture.)

bouguereau dit: à

Alberic Schlœderförm

tu dois ête disaineur chez ikéa..tu te laves dans une cuve en galva?

ueda dit: à

Widergänger dit: 28 septembre 2014 à 19 h 14 min
Ueda est typique de la France qui perd.

Très bien.

Maintenant (vous êtes là, Bloom?), laissez moi vous donner une leçon de diplomatie.

Voici ce qu’il faut dire, en terre orientale.

« Premièrement, vous avez raison.
Deuxièmement, pouvez-vous m’aider? »

Ensuite, vous profitez du désarroi.
Dois-je vous faire un dessin?

bouguereau dit: à

ma mère encore la madone des kommandantours..l’officier de police sors a funf hur etc.

Alberic Schlœderförm dit: à

Le problème, c’est que les cons ne s’entendent pas forcément entre eux. Dès après le ricard, il risque d’y avoir des frictions entre JC et Daaphnée, Widergänger et Chaloux.
ueda comptera les points, il est très fort pour ça, c’est le propre du con.

bouguereau dit: à

Ueda est typique de la France qui perd

un ilot de perte dans un océan de profit dracul..c’est ça le biznèce

ueda dit: à

Chaloux dit: 28 septembre 2014 à 19 h 20 min
Ueda, je suis assez las de cette guéguerre

Chaloux mon frère, c’est très simple, c’est comme avec une femme.
Arrêtez de votre propre chef.

« Mais vous le savez déjà »
(C.P., contributeur historique -et exagérément jupitérien- de la Rdl)

ueda dit: à

Alberic Schlœderförm dit: 28 septembre 2014 à 19 h 23 min
ueda comptera les points, il est très fort pour ça, c’est le propre du con.

Ouais…
On commence par dire ça, on finit par critiquer le parlementarisme.

Widergänger dit: à

Faudrait :
J. Attali président
Juppé aux affaires étrangères
Hollande premier ministre.

Là la France aurait des chances de se sortir du merdier et de devenir une grande puissance politique et le moteur de l’Europe. Qui supplanterait l’Allemagne pour permettre d’instaurer en Europe un mode de vie sympathique à la social-démocrate.

Mais pourquoi on le fait pas bon D.ieu !

En plus Attali c’est un copain à Depardieu, il permettrait à Depardieu de revenir avec ses gros sous. Au lieu d’aller lécher le cul de Poutine.

Mais pourquoi, on le fait pas, merde !

Alberic Schlœderförm dit: à

Ultime preuve que ueda est un con : il me répond.
Faut être vraiment con pour me répondre.

bouguereau dit: à

Attali c’est un copain à Depardieu

c’est pas popo..peut on te faire confiance dracul?

Alberic Schlœderförm dit: à

Widergänger dit: 28 septembre 2014 à 19 h 26 min
Mais pourquoi, on le fait pas, merde !

Peut-être parce que ce serait une énorme connerie.
Mais je ne fais que conjecturer.

bouguereau dit: à

Attali c’est un copain à Depardieu

..parceque si c’est vrai..c’est un coup des luminati épicétou..enfin des alba..bon d.ieu mais c’est bien sûr!

Widergänger dit: à

Moi, je vote pour le trio de la France gagnante : Attali, Juppé, Hollande !

Allez, on monte un comité de soutien ! Et on y va pour 2017 !

Tiens, si j’étais l’écrivain célèbre que je suis appelé à devenir, je le ferais. Mais c’est comme avec mes morts, j’arrive toujours trop tard !

Moi, j’ai pas envie de voir fondre mes économie en 2025 ! J’ai pas envie d’être ruiné. J’en ai trop chié.

Widergänger dit: à

Non, c’est tout simplement que Depardieu a joué comme acteur dans les pièces d’Attali ! Attali le connaît très bien.

Chaloux dit: à

https://www.youtube.com/watch?v=wIjOtNZ–20

Pour apaiser le boumou, la suite du Casse-Noisette de l’immense Tchaïkovski. transcription de M. Pletnev, par Alexei Volodin, un pianiste que je ne connaissais point, mais dont le moins qu’on puisse dire, en dehors de quelques pains très pardonnables, c’est qu’il sait se tenir.

Ecoute ça mon gros, ça va te calmer.

Alberic Schlœderförm dit: à

Widergänger dit: 28 septembre 2014 à 19 h 30 min
Moi, j’ai pas envie de voir fondre mes économie en 2025 !

33 € sur un livret A et Widergänger croit avoir des sous. C’est pas être con, ça ?

bouguereau dit: à

tsais moi les perruques le soir ça m’tient chaud mon cheuloux..

Daaphnée dit: à

Moi, j’ai pas envie de voir fondre mes économie en 2025 ! J’ai pas envie d’être ruiné. J’en ai trop chié.

Vous auriez anticipé .. vous auriez tout claqué.
Pas de regrets.

Chaloux dit: à

Ueda, je veux bien essayer mais je ne vous promets rien!

Alberic Schlœderförm dit: à

Merci de votre attention.

Widergänger dit: à

Attali fait partie des cents intellectuels les plus écoutés dans le monde. Attali n’est pas seulement un homme d’une très grande intelligence. C’est aussi un homme profondément humain et bon. Un homme chaleureux et généreux. C’est l’homme idéal pour occupé la fonction de président de la République.

Ses prophéties pour le 21ème siècle sont en train de se réaliser. Il est le seul à savoir comment agir sur les manettes pour nous préserver de la catastrophe qu’il voit arriver à l’horizon 2050. J’aurais alors 96 ans, avec la vie devant moi. Je compte vivre 150 ans.

bouguereau dit: à

Attali le connaît très bien

ça m’a l’air surtout d’éte du biznèce..l’un se fait enfler par l’autre..mais lequel dracul?

Widergänger dit: à

Non, en 2025, c’est prévu, j’aurais plusieurs centaines de milliers d’euros en banque.

bouguereau dit: à

C’est aussi un homme profondément humain et bon.

si c’est lui qui le dit comme cheuloux..les mecs qui se prêtent à eux même dracul..t’as confiance?

bouguereau dit: à

en 2025, c’est prévu, j’aurais plusieurs centaines de milliers d’euros en banque

time iz money..ça c’est se préter à soi même dracul ! le beau le bien vient en susse..grace divine aux riches..t’es pas con dracul

Pinpin dit: à

J’aurais alors 96 ans, avec la vie devant moi. Je compte vivre 150 ans.

Sans baiser, ça sert à rien.

Chaloux dit: à

boumou, c’est le connais-toi toi-même. Je suis moins bon qu’autrefois parce que j’en ai marre qu’on m’emmerde. Mais je reste tout de même assez bon. Suffisamment.

bouguereau dit: à

Moi, j’ai pas envie de voir fondre mes économie en 2025 ! J’ai pas envie d’être ruiné. J’en ai trop chié.

y’a une relation de cause a effet chtement..c’est prouvé

Widergänger dit: à

Non, ce n’est pas lui qui le dit de lui. C’est moi qui le dit de lui. Il en donne en plus des preuves chaque jour.

Vraiment Attali c’est notre grand homme du moment. Honnêtement, je le vois réellement président de la République en 2017. Les Français vont l’élire et il a envie de se présenter à ce poste, on le sent. La situation sera telle qu’il se proposera parce qu’il a un grand sens du service à son pays, la France, et d’autant plus qu’il est juif. Un juif exemplaire. Un homme remarquable.

JC..... dit: à

« l’une des deux mères a nécessairement tort. »

Aucune mère n’a jamais agi en « assez bonne mère »…. Médéa, peut être ?

Widergänger dit: à

Mais vous êtes trop pessimiste. Les viellards dans la Bible ont des enfants à des âges très avancés, plus que centenaire. Faut pas désespérer.

Et puis quand je serai un écrivain célèbre, elles viendront toutes à mes pieds, même Clopine.

Widergänger dit: à

Vous savez ce qu’a dit Balzac, ce qui va sûrement plaire à Clopine : Une femme n’est heureuse qu’au pied d’un homme.

Chaloux dit: à

WGG z’avez pas dû en connaître beaucoup. Balzac les connaissait aussi assez mal.

bérénice dit: à

Chaloux l’homme est un arbre pour la femme et vous connaissez la chanson.

Chaloux dit: à

Je pense surtout à Reiser. « Un con sera toujours un con, une conne sera toujours une femme ».

Turlututu dit: à

Vous vouliez dire zambèze?

Deneb dit: à

Mimi-le-génie:
Honnêtement, je le vois réellement président de la République en 2017. Les Français vont l’élire et il a envie de se présenter à ce poste, on le sent. La situation sera telle qu’il se proposera parce qu’il a un grand sens du service à son pays, la France

Deneb: Faux, Marine Le pen sera Présidente

Mimi, ton génie est littéraire, le mien est politique, tous deux nous produisons une jolie bouillie menthe-vanille.

bouguereau dit: à

c’est des salopes dracul..il a suffit à atali de le dire une ou deux fois et raf..il passe pour un sage et rif il te pique tes éconocroques..

Deneb dit: à

Moi aussi, Albakaka, j’ai des femmes à mes pieds, j’habite en haut de la Tour Mamelles. J’ai deux pénis, je ressemble à la Petronas Tower de CoupAllahLoupour.

bouguereau dit: à

zambèze?

ça rime riche..

bouguereau dit: à

Sans baiser, ça sert à rien.

y’a pas que le cul dans la vie..y’a le zambèze par exemple

Chaloux dit: à

Dans le poème si moqué de Kipling – par mon papa qui me disait que c’était un truc pour légionnaires- , il y a pourtant un vers qui est la clef de tout.
« Si tu peux être amant sans être fou d’amour ».

Hors-là, point de salut.

Turlututu dit: à

J’aime en remettre sur la qualité, pas sur la quantité.

Mme Michu dit: à

Toujours les mêmes tartes à la crème.

Combien de degrés de liberté ?

(Quand elles veulent bien sortir du moule hein)

Turlututu dit: à

veniez

hamlet dit: à

@Alba, chapeau !
mais j’en étais sûr, j’ai du flair : vous écrivez superbement bien ! et votre style ne sert pas à enfiler des perles.
ne perdez donc pas de temps sur ce blog !
gaspiller son temps quand on a votre talent c’est limite sacrilège.

des journées entières dans les arbres dit: à

kicking dit: 28 septembre 2014 à 18 h 31 min

Absolument, la vie est ailleurs. Cela dit ce n’est pas de vous que l’on attendra un avis pertinent sur cette littérature de chochotte de modiano.
Ce qui est bien avec les téléphones portables, finalement, c’est d’abord la disparition des annuaires.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…Oh,!…ou allons nous,!…çà peux se faire encore,…gouverner par décrets présidentiels,!…( ou quelque chose de semblable,!…Non,!…),…
…et, puis Rafarrin, s’est remis sur pieds,…

…tout çà, beaucoup de musique pour continuer,!…avec ou sans l’Attali – Attila président,!…en cas de nécessité, le retour de Lionel Jospin,!…en état de grâce,!…
…est ce qu’il seront encore en vie dans leurs cocoon’s à la prochaine présidentielle, c’est tout le bonheur qu’on leurs souhaite, pour sortir de l’immobilisme à faire plaisir aux eurocrates,!…
…bien du plaisir, pour un dîner de princes,!…
…Ah,!Ah,!…Bip,!Bip,!…Houra,!…etc,!…Go,!…

des journées entières dans les arbres dit: à

Qu’est-ce qu’on peut bien retenir des bouquins comme ceux présentés sur ce billet ?

J’espère simplement qu’ils sont édités sous format numérique uniquement. Pensez aux arbres !

Discussion autour du feu dit: à

Ce qui est bien avec les téléphones portables, finalement, c’est d’abord la disparition des annuaires.

Et avec la disparition des aiguilles à tricoter, c’est la disparition des chaussettes qui grattaient.

Jacques Barozzi dit: à

JC….. dit: 28 septembre 2014 à 16 h 18 min
A VENDRE

« L’amour et les forêts » d’Eric Reinhardt, acheté neuf sur les conseils d’un ancien ami, critique littéraire prestigieux, 21 euros 90.

Parfait état extérieur. Merdique, mal foutu et inintéressant à l’intérieur.

Faire offre décente, supérieure à 1 euro. Location longue durée possible…

Attends encore un peu, JC, s’il a le Goncourt, sa côte peut remonter d’un coup ! Sinon, mets-le directement à la poubelle. En attendant, tu peux toujours le soumettre à la location…

kicking dit: à

bon, djedla oxygénée chérie, lâchez-vous une bonne fois et dites à tout le monde à quelle page Un Cirque Passe m’est tombée des mains, moi j’ai oublié ce détail..

des journées entières dans les arbres dit: à

Y’a un paquet de no life ici; finalement cette littérature prozac leur va comme un gant.

Les autres ont d’autres envies.

Napoléon a joué un rôle fondamental dans l’histoire de la cartographie française. C’est lui qui a donné l’impulsion initiale et nécessaire à deux grandes entreprises d’envergure nationale, à savoir la confection d’un cadastre parcellaire et celle de la Carte d’Etat-Major, réalisée au 1/80000ème entre 1832 et 1880.

http://cadastre.pagesperso-orange.fr/napo.htm

des journées entières dans les arbres dit: à

Kicking, et que dire de « la recherche… » murmure ?
C’est pas donner un bâton pour se faire battre c’t ânerie ?

des journées entières dans les arbres dit: à

« A jamais ? »

Ben si ça continue çakom, c’est pas exclu.

pschitt... dit: à

Les athéniens s’atteignirent dès la page 3 : il courait chercher la clef oubliéé, ils risquaient de rater leur train comme il avait raté le RER le jour de l’agreg et ce jour-là le ciel était bleu.

kicking dit: à

que dire de « la recherche… » murmure ?

??? ??? ???

(heu.. et si jamais vous avez un accident de babyliss ce soir je ne suis pas dans le coup non plus..)

des journées entières dans les arbres dit: à

kiking, evidemment si vous ne lisez pas non plus le billet ! Je ne vais pas non plus vous envoyer un télégramme.

Bref, kicking j’ai passé une excellente journée. Mais pas vous apparemment.
http://www.youtube.com/watch?v=ff_qwu57hok

kicking dit: à

mais alors de quoi tu te plains !

kicking dit: à

voudrais pas trop insister dans le style chameau mais l’intimité pour djedla ça doit être qu’hebdomadaire..

des journées entières dans les arbres dit: à

Je ne me plains pas. Je fais des constats,- pas toujours à l’amiable,- car la littérature est ailleurs aussi !

Bonsoir.

des journées entières dans les arbres dit: à

Donc, kicking dans mon intimité de la semaine à venir et suivante:

« Aristote mon père » de Annabel Lyon
et
« Les singuliers » d’Anne Percin.

Mais vous pouvez continuer avec Barozzi, il a des « goûts » plus à votre portée.

(laissez message sur répondeur, je débranche)

ririgogololo dit: à

« La cave vaudoise Testuz sous enquête pour coupage illicite de vin

La Maison Testuz, cave du vignoble vaudois de Lavaux, fait l’objet d’une enquête pénale pour coupage de vin illicite, a appris la RTS dimanche. »

kicking dit: à

jamais rien commencé avec barozzi, moi.. .. ..

Jacques Barozzi dit: à

Les bites de Sam Harkande, bientôt en librairie !

kicking dit: à

et dans l’hypothèse audacieuse (tu parles) où des lèche-cul auraient de sérieux problèmes maniaques de novelisation – pasolinienne ou autre – faudrait m’expliquer un peu plus clairement en quoi cela devrait devenir le mien..

chantal dit: à

le génie s’est endormi ?
Réponse Balzacienne :

« Plus sa vie est infâme, plus l’homme y tient; elle est alors une protestation, une vengeance de tous les instants ».

Epigraphe choisie par Michel Houellebecq à son roman Plateforme.

Mme Michu dit: à

Et ça se collectivise toussa ?

l'ombelle des talus dit: à

« …Annie Ernaux et Patrick Modiano avancent sur le fil incertain de leur mémoire. En y mêlant les mémoires diffuses de leurs personnages, ils sauvent quelque chose d’un temps qui ne sera plus et l’inscrivent dans l’Histoire. A jamais ? »
http://vimeo.com/13400050

Passou dit: à

Paul Edel, Si je suis sévère avec « L’écriture comme un couteau », le seul reproche que j’adresse à Annie Ernaux, ce n’est pas dans ce qu’elle dit; ses réponses sont lumineuses et apaisées, comme d’habitude. J’en veux surtout au questionneur, FY Jeannet, d’une prétention, d’une cuistrerie et d’une amphigourie sans nom.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…les bites, le cul, les sexes, çà nous rend, nombrilistes,!…presque débile,!…
…des vraies filles à marier encore dans l’excellence, çà ira,!…

…de là, à traire les propos pour formater des guines en devenir,…il y a une marge,!…

…revenons à des théories littéraires, que de personnaliser des objections à tauromacher son auditoire,!…c’est valable pour tous,!…Vla!,…
…etc,!…suivant,!…de ses psy’s en jarretelle,!…tourner un peu,!…presque un leurre,!…une grande clientèle,!…des attaches en or,!…vous écrivez des romans, à l’Ô de r’Ôse,!…
…c’est pour le nouveau Ali Baba,!…en concurrence,!…tutti-frutti,!…un beau sceau d’Ô,…vous voulez plus,!…aux ailes des paradis fiscaux,…Ah,!Ah,!…Croupir à l’€uro-land sans lâcher les baskets,!…Ah,!Ah,!…etc,!…
…une réserve de parachutes dorés à la feuilles,…sauter de votre tabouret,!…dans mes bras,!…recommencer, le test,…Oui,! c’est mieux,!…l’hémisphère sud encore ouvert, faut repenser votre guerre des boutons,!…of course,!…Ah,!Ah,!…etc,!…

chantal dit: à

J’en aurais bien aune autre d’épigraphe :

Si l’honnêteté ne consistait qu’à tout dire, il serait très facile d’être honnête, mais cela ne vaudrait rien, ce serait invivable et détruirait tout. Cette vertu nuirait à toutes les autres. Où commence alors le mensonge ?
Je dirais : là où nous prétendons être honnêtes, c’est à dire ne pas avoir de secret.
Être honnête veut dire être solitaire.

Max Frisch, Journal, 1949.

Jacques Barozzi dit: à

Attali Président !
Et pourquoi pas plutôt Cohn-Bendit, ML ?

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…être honnête veux dire être célibataire,!…

…être honnête veux dire être riche et intelligent,…et des questions de priorités à se résoudre,…de là à être célibataire,!…
…tout dépend des sens de chacun, aux niveaux des déclenchements qui correspondent avec une exactitude prémonitoire, ou les couples se formes libres sans contraintes,…
…un autre roman,…ou tout va de soi,…à travers les encombres, sans intelligences que le feeling, en quelques sortes,!…etc,!…
…de retour d’Anvers,!…Go,!…canapé,!…

Elle est un tuyau dit: à

Mon équipe permet de juger sur pièces
Quant au boucher de Sodibor, on voit ça après eux.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…c’est vrai , aussi, que venant d’un alémanique  » Suisse « ,!…Max Frich,…le mensonge est comme un pain,!…c’est tout les jours, une variété d’enfariner,!…son quotidien,!…un modus vivendi,!…
…Ah,!Ah,!…etc,!…

Candie dit: à

l’ombelle des talus dit: 28 septembre 2014 à 22 h 17 min
« …Annie Ernaux et Patrick Modiano avancent sur le fil incertain de leur mémoire. En y mêlant les mémoires diffuses de leurs personnages, ils sauvent quelque chose d’un temps qui ne sera plus et l’inscrivent dans l’Histoire. A jamais ? »
http://vimeo.com/13400050

http://www.youtube.com/watch?v=2adiYfv5rwA

chantal dit: à

Si W est Enfrisché , quand il prétend être sincère .. on a compris .. c’est dans Christa Wolf : Adieu aux fantômes .. chez Fayard .. bonsoir .. je m’en vais dormir .. sommeil du juste & draps bien frais.

Elle est un tuyau dit: à

Imam marché dessus?

Elle est un tuyau dit: à

Qu’est-ce qu’il dit Stanilas Thiénot?

Jacques Barozzi dit: à

« Adieu aux fantômes »

Pas du tout, Chantal, tu n’as rien compris, chez ML c’est : « Bonjour aux fantômes » !

Jacques Barozzi dit: à

C’était le 333e commentaire, que faut-il en penser D. ?

tradeF dit: à

Une femme téléphone avec son iphone 6+, elle fume une cigarette électronique.

Juste j’avais envie de raconter ça ici.

JC..... dit: à

En France, la démocratie représentative n’est pas représentative.

En effet, en 2014, dans les deux Chambres 30% des électeurs peuvent être « représentés » par 2 députés et deux sénateurs, seulement ! Cela ne choque personne … et les humanistes au cul de plomb, idiots utiles d’un système biaisé considèrent que c’est déjà trop, criant au fascisme.

Aussi réussi que la démocratie participative, le « dialogue social », amusement criminel entre partenaires/ennemis sociaux, continue à conduire au blocage, à la grève, à la faillite économique.

Bref, la France est un grand cirque où les animaux ont faim, dirigé par des clowns, sous l’œil étonné des spectateurs payant de plus en plus cher pour un spectacle déplorable…

Bonne journée !

JC..... dit: à

« La littérature n’est pas la vie mais son éclaircissement. » (Passou)

Eclaircissement ? Pas si évident que cela ! Affirmation valable, peut être, mais pour un nombre infinitésimal d’écrivains….

Le gros de la littérature n’éclaire pas la vie. Il fait divertissement, tout au plus.

JC..... dit: à

La littérature est la brioche des rassasiés…

bérénice dit: à

1h18 Est-ce qu’elle est ensuite victime d’électrocution ou hydro enfin n’importe quoi qui comporte une terminaison en « tion » « cution » ou encore aussi « cussion » comme discussion percussion répercussion lamentation exécution?

bérénice dit: à

JC vous ressemblez à un coq déprimé, ébouriffez ces plumes, vous faites peine à lire.

roland dit: à

« grand cirque où les animaux ont faim, dirigé par des clowns, sous l’œil étonné des spectateurs  »
Tire-toi alors

« payant de plus en plus cher pour un spectacle déplorable… »
surtout à PQ

roland dit: à

6 h 59 min

il patauge dans son jus d’adepte du borgne et sa madone, ça lui donne l’illusion d’être intelligent

JC..... dit: à

Déprimé ? Grand dieu, non ! Quelle erreur de jugement … Amusé, plutôt : passionnément.

bérénice dit: à

chantal 22h48 voici bien une vision réduite de l’honnêteté, moi j’y verrai une notion lexique un peu comme pour la connerie mais dans une autre direction, l’honnêteté peut-elle se passer d’une parole, il existe d’honnêtes recherches et travaux qui parlent d’eux-même, d’honnêtes gens qui se passent de discourir et toute une société qui ne cesse de discourir pour convaincre vraisemblablement. Tout silence est-il honnête ou défend-il cette idée?

JC..... dit: à

Cocasse ce lien entre « honnêteté » et le « dire ». On sait bien que seuls les actes comptent, pour qualifier l’honnêteté. Pas la parole …

bérénice dit: à

JC j’ai lu sur le site rue 89 que le pays avait acheté et payé plus d’un milliard d’euros une société minière qui était estimée à 200 millions, c’est dans ce livre « radioactif », avez-vous eu vent de cette affaire?

bérénice dit: à

honnêteté est confondue avec vérité qui s’énonce, notion de secret etc etc

Chaloux dit: à

Là qu’elle s’est mise à l’abri du monde et qu’elle n’en ait jamais vraiment sortie.

P. Assouline ne corrige plus ses étourderies. Il est devenu destroy.

« Bonne journée ».

cqfd dit: à

« seuls les actes comptent, pour qualifier l’honnêteté. Pas la parole  »

eh bien tais-toi donc

chantal dit: à

Le livre de Christa Wolf : Adieu aux fantômes, n’est pas vraiment un adieu, c’est une souffrance évoquée par Christa Wolf d’avoir été considérée dans l’opinion publique comme ayant « participé » aux espionnages de la Stasi, on y trouve de la correspondance. Son livre suivant qu’elle mettra bien du temps à composer sera Médée, un mythe de femme complexe qu’elle v transfigurer. Son importance littéraire est réelle, mais c’est Gunther Grass qui aura le Nobel. Il aurait voulu le partager avec elle dit -t -on , mais au regard de l’histoire il vaut mieux que ce ne soit pas ainsi je pense ..

Widergänger dit: à

Je l’ai acheté à Berlin, le Médée de Christa Wolf. Mais pas encore eu le temps de le lire.

L’auteur est un écrivain que j’apprécie beaucoup. Le début de Kein Ort. Nirgends est magnifique ; ça vous prend et vous emporte. Kleist fait partie de mon Panthéon.

Jacques Barozzi dit: à

Intéressant ce concept de « blog (littéraire) à l’abandon », Chantal, tu as des informations sur son auteur ?

Jacques Barozzi dit: à

Interessant aussi l’interview de Jean-Jacques Pauvert, publié par Passou en hommage à l’éditeur. Notamment cet extrait où l’on voit que le divin marquis à la langue classique exquise était très moderne dans la forme !

« C’est amusant : vous dites qu’éditer est un métier qui ne se termine jamais, et vous commencez votre carrière d’éditeur en publiant une oeuvre qui n’est pas terminée…

Concernant cette question, mon avis est nuancé. Je considère que l’inachèvement des «Cent Vingt Journées de Sodome» n’en est pas vraiment un. Bien sûr, Sade n’a pas fini le livre, mais il le finit quand même, par une sorte de résumé. »

Jacques Barozzi dit: à

Un jour, Jean-Jacques Pauvert, que j’avais longuement interviewé pour le « Gai Pied » m’avait invité à prendre un verre avec lui, et une ravissante jeune femme qui l’accompagnait, à la brasserie du Dôme à Montparnasse. C’est alors que j’ai goûté pour la première fois un apéritif qu’il affectionnait particulièrement et dont je n’avais jamais entendu parler : Le Clacquesin !

Jacques Barozzi dit: à

Ce passage aussi, où l’on voit que Jean Genet avait juste un peu pris d’avance sur ses recettes à venir !

« Vous aimiez les taulards à ce qu’il semble. Vous avez aussi édité Genet. C’était compliqué avec vous, comme avec Gallimard ?

Non, pas du tout. J’avais des rapports très amicaux avec lui, très immédiats. Je l’avais amené chez mes parents, par exemple. Cela s’est très bien passé, il était d’une courtoisie très cérémonieuse…

Comme sa langue, finalement.

Exactement. Ce n’était pas un truand… Il volait des livres à la librairie Gallimard, et puis c’est tout. Il posait sa serviette truquée sur des livres, qu’il glissait dedans, et puis il repartait avec. Aucun rapport avec la truandaille ordinaire. »

Sam Harkande dit: à

à Jacques Barozizi : votre affection à mon égard m’habite…

ueda dit: à

Widergänger dit: 28 septembre 2014 à 19 h 13 min
Ce que dit J. Attali sur Max Weber dans son sur l’argent et les Juifs est très vrai.
J. Attali est un grand homme, un grand intellectuel. J’ai entièrement confiance en lui.

L’éclat de rire matinal
(merci, ami!)

tradeF dit: à

Y’a des faisceaux à pas se prendre dans la gueule, et puis?

tradeF dit: à

(Laine Boadjilah)

chantal dit: à

Disons que mettre des extraits du journal de max frisch sans évoquer Christa Wolf et son mari, et Ingeborg Bachman en se contentant d’une entrevue à Ostende avec Zweig c’est très faible et peu reconnaissant ..

voilu.

JC..... dit: à

« Il posait sa serviette truquée sur des livres, qu’il glissait dedans, et puis il repartait avec. Aucun rapport avec la truandaille ordinaire. »

Morale de classe … Excellent !

Mme Michu dit: à

c’est très faible

Ou alors ça s’incerte (hein) pour ne pas dire autre chose..

Jacques Barozzi dit: à

JC, Pauvert était devenu ton voisin, ces dernières années il vivait dans un domaine de 15 hectares à Cavalaire. Enfin, lui c’est vrai, toi, après enquête sur le terrain, je n’ai trouvé personne à Porquerolles ayant jamais entendu parler de toi !

renato dit: à

(Il y a de bon que ce ne sont que des neurones mal fichus et pas des dollars, là, oui, nous aurions des soucis à nous faire…

Paul Edel dit: à

Bon papier sur Pauvert dans le Libé de ce matin.mais on oublie toujours comment il a publié Hardellet ou Georges Darien, des maitres.

Jacques Barozzi dit: à

« J’ai entièrement confiance en lui. »

De la croyance en économie politique considérée comme un bel art ?

JC..... dit: à

C’est pareil pour moi, Jacky ! A Porquerolles, personne n’a jamais entendu parler de toi …. uhuhu !

ueda dit: à

Touite Nobel

Quelle étrange liste, comme d’habitude

On lit les noms de Oz, Handke, Roth, Kundera (incontestables) mais aussi, mieux placé, celui de Mme Assia Djebar…

Jacques Barozzi dit: à

J’étais pourtant en pension chez des gais naturistes à l’île du Levant !

ueda dit: à

Merci, chantal, bon café

Sam Harkande dit: à

Je me souviens de Barozizi à l’île du Levant: la plus belle bite au couchant

Tetram de la Tour Mamelle dit: à

Quand j’ai inventé JC, j’aurais dû choisir une autre île, car je ne connais pas Porquerolles.

brève dit: à

pour JC pas besoin d’île, sa connerie est connue de partout, surtout ici

JC..... dit: à

J’ai inventé « brève » pour que les délires de cette petite crapule de hall d’immeuble me rendent sympathique … et ça marche !

brève dit: à

J’enrage

Alberic Schlœderförm dit: à

Jacques Barozzi m’a envoyé un mail pour me dire que JC….. était plus con que ueda.
Y a une nuance, bon Dieu, il ne s’agit pas du même type de connerie. JC….. est con au sens de « mal comprenant ». En un mot, il est bête. L’autre, ueda, est con au sens « pauvre type cauteleux, servile et néanmoins prétentieux ».

ueda dit: à

Alberic Schlœderförm dit: 29 septembre 2014 à 11 h 32 min
Jacques Barozzi m’a envoyé un mail pour me dire que JC….. était plus con que ueda.
Y a une nuance, bon Dieu, il ne s’agit pas du même type de connerie. JC….. est con au sens de « mal comprenant ». En un mot, il est bête. L’autre, ueda, est con au sens « pauvre type cauteleux, servile et néanmoins prétentieux ».

Qu’est-ce que tu veux, mon pauvre trognon, ça fait longtemps qu’on se dispute le pompon, tous les deux…

JC a des espadrilles et moi pas.
C’est un peu comme ça que je vois la différence.

Mme Michu dit: à

Anozer prick in the whole…

Mme Michu dit: à

Ah, les discours politiques… Un truc qui ne changera jamais…

Clopine Trouillefou, agitée du bocage... dit: à

Brève, Jc aura au moins une petite pointe d’humour ces temps-ci : chez Paul, il m’a traitée « d’agitée du bocage ». Pour du Jcé, c’est pas mal… (et ça m’a fait sourire !)

Tetram de la Tour Mamelle dit: à

Je porte des sabots de bois et plastiques, le modèle est une paire de Weston (prononcer veston). Dans des espadrilles, je transpire, car je porte des chaussettes de laine tricotées par feu ma maman.

brève dit: à

quelque chose me dit qu’Albéric Schoelmachin est bouguereau

Artémise dit: à

C’est la magie Modiano, dès l’entame

Je me demande ce qui reste de cette magie dans les traductions. Problème récurrent, dira-t-on, et qui ne touche pas que le seul Modiano. Est-ce que les livres de Modiano sont très lus à l’étranger ? On s’en fout, me répondra-t-on, puisque nous, on les lit en français. Le problème, cependant, m’intéresse, ne concernant d’ailleurs pas que le seul Modiano. Est-il un concurrent de Houellebecq qui fait le poids chez les Ricains ? Dans les universités amerlaudes, Modiano ou Ernaux ? ça me turlupine grave.

kicking dit: à

ça me turlupine grave

faire le poids est un gros problème, quand il ne devient pas énorme, c’est comme ça..

ueda dit: à

« Est-il un concurrent de Houellebecq qui fait le poids chez les Ricains ? Dans les universités amerlaudes, Modiano ou Ernaux ? ça me turlupine grave. »

Pourquoi ces angoisses, chère Artémise?

Quand on écrit comme un pied, pourquoi s’encombrer de littérature?

contrôle fiscal dit: à

acques Barozzi dit: 29 septembre 2014 à 10 h 40 min
Pauvert … vivait dans un domaine de 15 hectares à Cavalaire.

mazette, ça rapporte, l’édition.

kicking dit: à

d’ailleurs à la fin on se demande si des problèmes de masse critique il n’y en aurait pas un peu partout (et vraiment partout)..

ueda dit: à

Mais non, Albéric est une des nombreuses sephirot émanant de mon pote Dédé, qui a la bonté de veiller sur nous par delà les parsecs.

Courte dit: à

brève dit: 29 septembre 2014 à 11 h 50 min
quelque chose me dit qu’Albéric Schoelmachin est bouguereau

Quelque chose me le dit aussi.
« Trognon » ça va lui va comme un gant.
Jette-toi, « trognon ».

Widergänger dit: à

L’article sur Max Frisch souligne le manque d’attention à l’Autre comme thème central chez Max Frisch à travers les questions d’identité, ce qui n’est pas sans rappeler également la problématique kafkaïenne de l’aveuglement à l’égard de l’Autre mise en lumière par Walter H. Sokel dès le début de son œuvre (dans la nouvelle « Eine alltägliche Verwirrung » : Une confusion courante). Il y a là une convergence de vue, comme un prolongement personnel et intéressant, symptomatique du siècle.

Il faut comprendre l’incertitude qui plane sur les personnages de Modiano dans cette perspective aussi, me semble-t-il. Sinon, on rate quelque chose à la lecture.

Le thème de la confusion me semble primordiale : Irrungen, Wirrungen, chez Th. Fontane ; verschiedene Arte Wirrungen chez Max Frisch. Partir de la confusion est important.

Chaloux dit: à

Partir de la confusion est important.

Peut-être, WGG, mais faudrait voir à pas y rester…

Jacques Barozzi dit: à

La confusion chez Modiano vient surtout de l’identité floue de ses personnages, dont son père, Juif, faisant des affaires louches sous l’Occupation et fréquentant des collabos et des trafiquants de marché noirs, ML !

JC..... dit: à

« JC a des espadrilles et moi pas. » (ueda)

Mauvaises chaussures de pont ! Docksides de Sebago, bien plus solides à la mer …

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