Paul Valéry à genoux devant son daimôn
Rares sont les correspondances d’écrivains qui ne contiennent pas leur lot de déchets : migraines & indigestions, courses à faire, considérations domestiques etc Les biographes en font aussi leur miel, contrairement aux lecteurs que cela assomme à juste titre. Les Lettres à Jean Voilier (547 pages, Gallimard) de Paul Valéry n’échappent à ce trébuchet du jugement. Disons qu’une fois balayées les mamours, polissonneries et roucoulades, de belles pépites surnagent. La dame a beau être sa chaude maîtresse, il n’en demeure pas moins le grand écrivain. Passons sur les poèmes assez niais qu’elle lui a inspirés, parus il y a six ans sous le titre Corona & Coronilla ; ils n’ajoutent rien à sa gloire, alors que certaines de ses lettres valent vraiment le détour. Ce qui ne va pas de soi s’agissant d’un créateur qui aura gaspillé une bonne partie de sa vie d’artiste dans les mondanités, dîners en ville et conférences.
Ce fort volume rassemble quelque 650 lettres de sa main, datant des années 1937-1945, éditées par Martine Boivin-Champeaux. Longtemps on en parla sous le manteau comme quelque chose d’explosif. Leur destinataire unique, en conflit chronique avec la famille Valéry (qui a fini par accorder imprimatur et nihil obstat à l’éditeur), les confia à une maison de vente aux enchères en 1982 ; la Bnf, ainsi que la Médiathèque et le Musée de la ville de Sète, dans le cimetière de laquelle repose Paul Valéry, en acquirent un certain nombre. Sa correspondante était une sacrée personnalité.
Née Jeanne Loviton, elle prit le pseudonyme de Jean Voilier pour signer ses romans, lesquels n’ont pas laissé un grand souvenir. Mariée au dramaturge Pierre Frondaie (L’Homme à l’Hispano), héritière des éditions juridiques Domat-Montchrestien, amante réputée dans le petit monde littéraire, elle divorça en 1936, peu avant que ne débute sa liaison avec Valéry, de vingt-huit ans son aîné, lequel préparait alors sa leçon inaugurale de la chaire de poétique au Collège de France. Leur correspondance débute à cette époque, se poursuit pendant la guerre alors qu’elle l’a quitté pour être la maîtresse de Robert Denoël, et s’achève en 1945 alors qu’elle est mise en cause dans l’assassinat de l’éditeur dans des circonstances jamais vraiment élucidées (le bibliophile célinien Henri Thyssens a réuni le plus complet dossier qui soit sur ce sujet). De toutes façons, Valéry meurt lui aussi à ce moment-là, mais elle n’y est pour rien. Voilà pour les présentations.
Quel Valéry révèle l’épistolier ainsi transi d’amour ? On le voit se désoler de manquer d’ « idées », carburant de son écriture quotidienne, oxygène du laboratoire portatif de ses Cahiers, mais pas du poète. Rien ne le hante comme la sombre perspective : être à sec. Il est envahi alors par une terrible impression de chute dans l’inutilité d’exister. Il connaît tout le poids de son néant comme « une haute tige rompue ». On assiste à sa paralysie intellectuelle à la suite de remontées d’acide et autres tourments gastriques, en plein conflit entre vie organique et vie supérieure. Mais il n’y a pas que des soucis de cet ordre. On découvre qu’en 1940, donc à 70 ans révolus, il lit Montaigne pour la première fois. On le sent racinien sur les bords (« loin de toi, tout est contre moi, tout me ruine en toi et conspire à me nuire »), mais il est vrai qu’il travaille alors sa préface à Phèdre. Et ses autres lectures ne le consolent pas à défaut de le distraire. Dans son Journal à peine publié en Pléiade, Gide dit de Valéry que sa vie est réglée comme un échiquier. Perfidie qui lui va droit au cœur, lui qui assure que sa vie n’est faite que de hasards, son œuvre aussi puisque toute sa prose, hormis les aphorismes, est le fruit de commandes. Du sur mesure.
Alors, quid de Paul Valéry in love ? Comme tout le monde, mais un peu plus. Entendez que le grand poète a les émois du commun mais les exprime avec une passion plus lyrique. Il use des même mots que vous et moi, mais pas dans le même ordre. Où qu’il soit en France (« le pays du mufle » vu d’Angleterre) ou en province où le mène son activité de conférencier, loin d’elle qui demeure à Paris 16 ou dans son château de Béduer (Lot), sa chérie, il la boit et la mange (« Miam, miam »). Elle est sa muse, son modèle, son thème et sa récompense ; mais loin de lui, avec un autre, elle est la cause unique de son enfer de tristesse. L’origine de son infernale solitude car « être vraiment seul, c’est penser à quelqu’un d’une certaine manière ». Mieux, ou pire, il va jusqu’à lui prédire, à elle qui tâtonne dans le roman, un destin à la Colette, ce qui est légèrement exagéré. Il sait se montrer différent du commun dès l’envoi, l’envol plutôt.
Nonobstant les quelconque « ma chérie » à notre portée, que de « Narcissa », « mon grand daimôn », « mon pauvre oiseau tout chaud », « mon gros objet d’amour », « mon petit touffu », « mon cœur, chérie, ma chère tête aux abois », « mon gros castor, chéri, ma loutre, mon opossum aux douceurs de vison », « petite connette chérie »… On ignore au juste ce qu’elle lui faisait mais cela devrait être quelque chose. Comme disait en une puissante formule le R.P. Hardouin en 1660 : « Ce ne serait pas la peine de s’être levé à quatre heures du matin, toute sa vie, pour penser comme tout le monde . Il n’en doute pas, elle saura faire œuvre ; aussi la prépare-t-il à l’épreuve :
« Une œuvre doit laisser à son auteur le sentiment qu’il a découvert et organisé une partie de soi. C’est là le bénéfice net et réel, qui n’est pas l’œuvre – mais l’avoir-fait-l’œuvre. L’on se dégage ainsi de l’évaluation par autrui. Pour moi, ce que me rapporte une œuvre = ce qu’elle m’a coûté »
Insupportable quand on a la manie de la perfection, en art comme en amour. « On ne s’ennuie pas assez ensemble ». Y a-t-il plus belle déclaration d’amour ? Nombre de lettres sont écrites dans un langage codé, souvent à la troisième personne où il interchange leurs sexes. On ne sait plus qui est « il » et qui est « elle ». Il adopte des signatures de fantaisie, clins d’œil à des personnages. Parfois drôle, parfois… « Pourra-t-on jamais séparer la bêtise de l’amour ? » En effet, même si dans ces moments-là, tout lui semble incommensurablement bête : « C’est une maladie à laquelle il l faudra que je trouve un nom grec pour en faire cadeau aux psychiatres ». N’empêche qu’elle le rend malade. Depuis le lit de Robert Denoël, elle consent à lui proposer une sorte de partage alors que lui n’attend plus qu’un appel ou un adieu.
Il se ronge loin d’elle, le monstre Pensée dévoré par le doute et l’abandon. Même lorsqu’il entend sa voix au téléphone, son timbre lui suffit pour en tirer un poème. vers dont cette correspondance est truffée et pas toujours pour le meilleur. Il est convaincu de perdre son temps dès qu’elle n’est plus à portée de vue, de voix, de toucher. « Fais-moi toi, fais toi moi ». Ah, Jean… Enfin, Jeanne. Son pouvoir sur lui est absolu car, il le reconnaît, elle lui est comme substantielle. Or, la sachant dans d’autres bras, plus elle consomme, plus il se consume. Air connu. Pas facile de relire Descartes pour les besoins d’une préface quand on se sent le Roi du vide. Les pages où Valéry amoureux nous touche le plus sont celles où il se hait, s’encolère contre lui-même, s’en veut d’avoir laissé échapper ce trésor, ce diamant vivant :
« Pourtant, la comparaison s’est imposée : une situation de roman tout banal s’est créée. Je ne me pardonnerai jamais cette avilissante défaite. Je finis cette vie en vulgarité, victime ridicule à mes propres yeux, après avoir cru l’achever dans un crépuscule d’amour absolu incorruptible et de puissance spirituelle reconnue par tous comme sévèrement et justement acquise ».
Paul Valéry y est tout à sa flamme pour son aimée lointaine. Rappelons que cela se passe entre 1937 et 1945. Pourtant, c’est à peine si l’on sent que pendant ce temps, le pays est en proie à la montée des périls, la guerre, l’Occupation, la Libération. Il y a bien une rencontre avec le maréchal Pétain à Vichy mais évoqué comme un déjeuner de têtes. Un détail au coin d’une phrase ici ou là, mais c’est tout juste. Ah, l’Amour… Message reçu : chacun de nous est le poème le plus obscur, et d’abord pour soi-même.
(« Paul Valéry et Jeanne Loviton dite Jean Voilier au château de Beduer » photo D.R. ; « Jeanne Loviton » photo D.R. ; « La tombe de la famille Grassi, où est enterré Paul Valery, au cimetière marin de Sète » photo Passou )
1 022 Réponses pour Paul Valéry à genoux devant son daimôn
Les esprits réfléchis alors ça c’est de la chiralité ça rigole plus du tout…
Chaloux dit: 29 juin 2014 à 14 h 10 min
P’tain Chaloux t’arrives, maintenant le gigot est trop cuit !
C’est ainsi que ces interrogations sur le savoir se nourrirent chez le poète de la fréquentation de l’univers scientifique : lecteur de Bergson, d’Einstein, de Louis de Broglie et Langevin, Paul Valéry devait devenir en 1935 membre de l’Académie des Sciences de Lisbonne. (Des Journées)
Et tout ça pour finir par s’amouracher d’une radasse d’arrière-bassin de radoub comme la Loviton/Voilier ! La vieillesse est un naufrage !
La santé, c’est le silence des organes
..là zouzou..en allemand même clopine elle dirait que c’est pas vraie
Daaphnée dit: 29 juin 2014 à 14 h 18 min
des gigots
Ha oui mais c’est les manches dessous il y a des biceps énormes…
C’est pas la première fois que je mets bouguereau à quatre pattes en position d’être bourré, mais là c’est le pompon. Le fait qu’il tente de s’associer avec cette moule d’Alba sur le prétexte d’un texte aussi médiocre, montre qu’il s’en est pris plein le f…
-Critiques : le plus sale roquet peut faire une blessure mortelle. Il suffit qu’il ait la rage.
..cheuloux a son carnet de vactination à jour
Révérend Père O. de Prébois dit: 29 juin 2014 à 14 h 21 min
une radasse
Justement elle hamène à boire…
..monte..descend..bouchon
Bouguereau, tu peux faire le mariole, tu l’as en steak tartare…
-Avec les femmes, c’est toujours la même chose: d’abord au bras, puis dans les bras, puis sur les bras. Avec elles, on va à chaque fois des petits mots aux grands mots et enfin, aux gros mots.
..chez les bourges de la ville c’est du trop long dirait clopine
bouguereau dit: 29 juin 2014 à 14 h 28 min
..chez les bourges de la ville c’est du trop long dirait clopine
Bouguereau, dans le lieu commun des faubourgs, tu peux passer pour à peu près crédible, pour les sous-lecteurs dont tu fais la joie.
N’en sors plus!
Huitain dans le goût de « Charmes »
Lecteur de Langevin, d’Einstein et de Broglie,
Sincère admirateur du grand Henri Bergson,
Membre de l’Académie des Sciences de Lisbon,
Et tout ça, dites-moi, pour finir dans quel lit
Souillé par la moitié du cheptel masculin
Parisien ? A mon âge et jouissant de ma notoriété ?
Dans celui de la mère Loviton / Voilier,
Cacochyme julot d’une foutue putain !
Les deux styles se ressemblent étonnament, non !
Ah .
« émois du commun mais les exprime avec une passion plus lyrique » : pourquoi, en radians ça va pas ? Ou alors une table de Bouvart et Ratinet…
j’aime bien les engueulades, c’est ce qui fait le sel de l’espace commentaires, faut reconnaître.
pour une fois, chaloux fait preuve d’un peu de fantaisie mais il est, jusqu’ici, encore surpassé par bouguereau. c’est dommage. je suis sûr qu’il va faire un effort et le combat sera plus égal.
widergänger a la dent dure, c’est bien, mais il lui manque un peu de second degré, ça sent trop la sincérité parfois. il va se ressaisir, n’en doutons pas, et la rigolade va battre son plein.
on aprend que en huitième de finale,aprés élimination de Desnos, louis Aragon avec « le paysan de paris » marque un but à zéro contre andré breton avec « nadja ».
le jeu collectif d’aragon l’a emporté contre la trop grande confiance de Breton et quelques tirs aux buts qui heurtent la barre.le stade enthousiaste nra pas compris des errement esotériques defensifs du buteur andré breton mais son équipe surréaliste resserrée compte bien prendre sa revanche en quart de finale.
Huitain dans le goût de « Charmes » (mézigue)
Là, ça devient grave. Je sais bien que la potion magique a des effets dopants, mais là, je sens qu’y faut que j’arête (de poisson).
bouguereau appelle Clopine vingt fois par jour, son désespoir amoureux est touchant, il se prend pour Valéry l’éCONduit; keupu est revenu, lui, merci
mais son équipe surréaliste resserrée compte bien prendre sa revanche en quart de finale. (Paul Edel)
Vu comme il les a traités pour la plupart, ça m’étonnerait pas qu’il se retrouve seul dans la cage pour la séance de tirs au but.
Le club des poètes dit: 29 juin 2014 à 14 h 57 min
pour une fois, chaloux fait preuve d’un peu de fantaisie mais il est, jusqu’ici, encore surpassé par bouguereau.
La vérité, Bouguereau s’en est pris plein son fion…
V’la son p’tit JC qui tente de r’dresser la barre….
Dérisoire…
On s’croirait à la chambre….
Minable…
la charcuterie de Michel Alba devient vraiment indigeste, il est temps pour lui de changer de crèmerie, ya de la place chez Popaul, Christiane l’attend, aaaah Michel !
Révérend Père O. de Prébois dit: 29 juin 2014 à 14 h 21 min
Ce qui est surprenant c’est qu’elle ait survécu, la Jeanne.
Jusqu’à 93 ans. Mais disparue des radars ?
J’étais en train de relire ça et là quelques commentaires en RDL ( bientôt 6 ans !)
Le moins que l’on puisse dire sur cette affaire, c’est que nous n’en savons toujours pas grand chose.
Il y a bien un Gondon Zola qui a essayé de résoudre l’énigme.
Le père de Noël est il ? Est-il quoi, au fait.
Valéry à genoux, Bouguereau à quat’pattes le falsard baissé, bourré tellement rouge qu’il demande grâce en faisant un petit compliment à Alba.
Tragique dimanche…
Jeanne Loviton/ Voilier ( à Popaul) – Ah ! mon vieux complice !
Popaul – Hélas,ma chère, la peau de mes couilles aussi !
Manipulez, manipulez, il en restera toujours quelque chose dit: 29 juin 2014 à 15 h 03 min
Aïe aïe aïe, chaloux baisse, le voici mené à la mi-temps. espérons qu’il n’a pas dit son dernier mot.
Révérend Père O. de Prébois dit: 29 juin 2014 à 15 h 08 min
la vanne est excellente, mais elle est éculée, je la connaissais déjà il y a cinquante ans.
(comme le temps passe)
bouguereau, c’est Pierre Gattaz dans un baraputes
Le club des poètes dit: 29 juin 2014 à 15 h 09 min
Pas besoin d’être chaloux pour voir que Bouguereau s’en est pris plein le calbute.
Ce qui est surprenant c’est qu’elle ait survécu, la Jeanne.
Jusqu’à 93 ans. Mais disparue des radars ? (Des Journées..)
Moi je suis sûr que c’est la Jeanne qui a mis dans les mains de Popaul le soufflant qui a expédié Denoël. On se doute que notre grande conscience nationale regimba, mais elle céda, à mon avis, à une argument décisif : « C’est ça, ou bien tes gâteries, tu te les feras tout seul « .
Mon hypothèse se heurte à une affaire de dates :Popaul serait mort en juillet 45, et Denoël en décembre. Mais les dates, on sait ce que ça vaut. Et puis rien n’empêche d’envisager que, sur l’ordre de la Jeanne, Popaul ait fait semblant d’être mort, jusqu’au jour J.
la vanne est excellente, mais elle est éculée, je la connaissais déjà il y a cinquante ans.
(comme le temps passe) (Le Club des poètes)
C’était à l’intention des petits jeunes, qui ne la connaissaient pas encore. Transmettre est le devoir des aînés.
d’ailleurs chaloux a fait bouffer la poussière à bouguereau, vidédérangé et jsec, y a qu’eux pour pas voir.
le seul qu’arrive à faire déguerpir bouguereau c’est chaloux, c’est un signe.
ça va torcher rouge chez bouguereau ce soir
C’était à l’intention des petits jeunes, qui ne la connaissaient pas encore.
mmm ?
Il n’est pas dit que l’humour des casernes connaisse aujourd’hui le même succès qu’à votre époque ..
bouguereau à terre: l’occasion de le piétiner un peu plus, comme lui le fait aux autres, et paf dans les dents et le reste
Moi je suis sûr que c’est la Jeanne qui a mis dans les mains de Popaul le soufflant qui a expédié Denoël. On se doute que notre grande conscience nationale regimba, mais elle céda, à mon avis, à une argument décisif : « C’est ça, ou bien tes gâteries, tu te les feras tout seul « . (Prébois)
Sans être certain, ça semble être corroboré par le poème suivant qui est contemporain (dans Corona et Coronilla).
Un homme aussi raidi contre la tentation de la masturbation n’hésitera pas en revanche à se saisir d’un pétard:
Ô chaude image qui me tente…
Tais-toi, Cervelle… Et toi, ma main
Ne vas pas, par le bas chemin
Manœuvrer à tromper l’attente…
Ne pense plus… Ne touche point:
Une amante n’est pas un poing
Qui donne la vie avec rage…
Ô comment vaincre cet émoi
Et ne pas déchainer l’orage
Qui grossit et monte de moi?
« mmm ?
Il n’est pas dit que l’humour des casernes connaisse aujourd’hui le même succès qu’à votre époque .. »
Hélas, Daaphnée, l’abolition du service militaire a été un désastre littéraire.
voulez-vous dire, uedada, que tous les Popaul sont des branleurs ?
ueda dit: 29 juin 2014 à 15 h 53 min
un désastre littéraire.
Oui maréchaogis !
Un baraputes c’est très bien excellent. D’ailleurs on doit pouvoir payer par carte ou même par téléphone. Seulement pour cloper, c’est draossen sous le brasero ! Ha les gaspards… Si ça continue ils vont nous mettre à l’eau de Vichy…
Bon, je me demande s’il ne faut pas calmer quelques esprits échauffés ..
Tiens, un extrait de Mallarmé ..
(impossible de restituer la mise en page ici)
Igitur Ou La Folie D’Elbehnon
« Ce conte (qui) s’adresse à l’intelligence du lecteur qui met les choses en scène, elle-même. » SM
« Certainement subsiste une présence de minuit.
L’heure n’a pas disparu par un miroir, ne s’est pas enfouie en tentures, évoquant un ameublement par sa vacante sonorité. Je me rappelle que son or allait feindre en l’absence un joyau nul de rêverie, riche et inutile survivance, sinon que sur la complexité marine et stellaire d’une orfèvrerie se lisaient le hasard infinis des conjonctions. (…) Et du Minuit demeure la présence en la vision d’une chambre du temps où le mystérieux ameublement arrête un vague frémissement de pensée, lumineuse brisure du retour de ses ondes et de leur élargissement premier, cependant que s’immobilise, (dans une mouvante limite), la place antérieure de la chûte de l’heure en un calme narcotique de moi pur longtemps rêvé ; mais dont le temps est résolu en des tentures sur lesquelles s’est arrêté, les complétant de sa splendeur, le frémissement amorti, dans l’oubli, comme une chevelure languissante, autour du visage, éclairé de mystère, aux yeux nuls pareils au miroir, de l’hôte, dénué de toute signification que de présence.
C’est le rêve pur d’un Minuit, en soi disparu (…) »
On trouve une version numérisée en ligne .. à peu près aussi illisible qu’une version papier. Ce qui, en définitive, ne contrariera que les plus obtus ..
http://www.youscribe.com/catalogue/livres/litterature/igitur-stephane-mallarme-357239
Chaloux dit: 29 juin 2014 à 14 h 23 min
C’est pas la première fois que je mets bouguereau à quatre pattes en position d’être bourré, mais là c’est le pompon. Le fait qu’il tente de s’associer avec cette moule d’Alba sur le prétexte d’un texte aussi médiocre, montre qu’il s’en est pris plein le f…
Il faut bien l’admettre, plus obtus, bête à manger du foin, stupide et ridicule que Chaloux yapa.
Chef d’escadrile il est, chef d’escadrille il restera.
Pour oser, il ose, impossible de ne pas le reconnaître.
( Magiques, U., ces qqs lignes de Mallarmé, non ?)
« Daaphnée dit: 29 juin 2014 à 16 h 16 min
( Magiques, U., ces qqs lignes de Mallarmé, non ?) »
Ça m’évoque une magnifique robe en soie de ma maman.
Ce commentaire est probablement régressif.
Ça m’évoque une magnifique robe en soie de ma maman.
Ce commentaire est probablement régressif.
Tant que ce n’est pas une chambrée de pioupious ..
Je sais pas pourquoi et même je l’ignore, par certains côtés et surtout celui qu’on voit, la photo de Valéry me fait subrepticement penser à la fameuse toile où Wolfgang a des jambes de six bras…
Vu l’objet volant identifié dit: 29 juin 2014 à 16 h 10 min
Chef d’escadrille
Oui alors déjà un seul avion tout petit avec une seule hélice ça fait ce que ça veut pire qu’un bai brun, halordidon une escadrille au complet complète intégralement…
Le poète est toujours en rut
En rut contre la vie
En rut contre la mort
Paul Valéry en fut l’un des plus grands
Et parfois aussi bandant
Ce fut l’un de nos derniers troudadours
Un baladin de l’Amour
…
Paul Valéry ? heu, le papa de François ?
elle a l’air d’avoir les pâturons en peu ensablés la Jeanne
‘…Je pourrais opérer ce que la linguistique conversationnelle appelle une « troncation » …’
Dans mon domaine a moi, la troncation c’est quand on perd un chiffre significatif (généralement, on traite avec 6 chiffres après la virgule)…a grand volume, ca risque de devenir tres tres significatif indeed…sinon, dans le domaine de la chirurgie, la troncation dont de laquelle,, c’est quand on vous soulage du prépuce, connue plus vulgairement aussi sous le nom de circoncision…si je me souviens bien, vous n’avez pas eu ce privilège, a cause que vous seriez faux-juif, d’après les rabbins des bois…perso, je me suis fait faire un peu de chirurgie esthétique sur le zob par le boucher du quartier qui avait offert un prix d’amis a mon grand-père…résultat des courses, j’en ai un qui brille au soleil, tel le phare d’Alexandrie…
Excellente démonstration, logique implaquable ! clap, clap !
(psitt : sans avoir lu, un livre de Michou Well – si ce n’est avoir feuilleté et lu au pif qq pg,en librairie – résultat des courses : Lassouline fait un nouveau billet, qd Michou est couronné ; après lectures :
1. du billet
2. de TOUS les commentaires
–> je m’lance dans la lecture intégrame de ses books, poésie, aussi … punaise ! j’ai pesté contre moi, les a-pri-horib (?)
Thanks M.(A.)L.
Vu l’objet bien identifié (une tarte avec des plumes) dit: 29 juin 2014 à 16 h 10 min
On peut être con et faire mettre bouguereau à quatre pattes. Où est le problème?
Paul Valéry à genoux devant son daimôn… de minuit ?
« Perso, je me suis fait faire un peu de chirurgie esthétique sur le zob par le boucher du quartier qui avait offert un prix d’amis a mon grand-père…résultat des courses, j’en ai un qui brille au soleil, tel le phare d’Alexandrie… » /abdelkader
Dans l’abondante liste des liaisons amoureuses de Jeanne Loviton/Jean Voilier, une certaine Yvonne Dornès (d’après Wikipedia)
Jeanne Loviton était donc une Voilier à vapeur.
elle a l’air d’avoir les pâturons en peu ensablés la Jeanne
Il faut bien dire que l’inspiration du
» Ô chaude image qui me tente…
Tais-toi, Cervelle… Et toi, ma main
Ne vas pas, par le bas chemin
Manœuvrer à tromper l’attente…
Ne pense plus… Ne touche point:
Une amante n’est pas un poing
Qui donne la vie avec rage…
Ô comment vaincre cet émoi
Et ne pas déchainer l’orage
Qui grossit et monte de moi? »
n’est pas du plus heureux effet.
C’est d’un nul !
Ben quoi dit: 29 juin 2014 à 17 h 18 min
On peut être con et faire mettre bouguereau à quatre pattes.
Impossible pour Chaloux, déjà qu’il ne casse pas une patte à un canard comment voulez-vous qu’il fasse avec quatre.
La fatuité n’a jamais remplacé un minimum de capacités.
Tais-toi, Cervelle…
alors qu’il aurait suffit d’y ajouter « mes burnes mes burnes, cessez de me gratter » et brel était qu’un copieur
en vérité bartez a copié avec son fragment amoureux.. « the brain in a vat » eut été un concêpe qui aurait enchanté valery..c’est certain
le poème est bon mais l’autopsie du karma est pas assez fine..en ce temps là y’avait pas ncis
je me suis fait faire un peu de chirurgie esthétique sur le zob par le boucher du quartier qui avait offert un prix d’amis a mon grand-père
« merguez merguez cesse de me bruler »..c’est un genre aprés tout gaga
Wolfgang a des jambes de six bras…
pas con c’est son air fatigué de vieil acédiaque.. »beau beau beau et con à la fois »..beau il en est pas sûr mais con il l’est jusqu’à l’os et ça le ramollit infiniment..la connerie ne lui donne aucune énergie et ça c’est pas normal, c’est ça que tu veux dire ?
..moi je préfère le voir montrant sa teub derrière son chapeau et elle y jetant un regard de haut..je suis pas comme toi je veux absolument garder une bonne image de lui..c’est ça le respect sergio
Après ces quelques années, il serait sain que vous pensiez à évoluer, Bouguereau. Je ne dis pas ça pour me ranger su côté de Chaloux, mais parfois j’arrive à comprendre ses motivations.
Et je vous préviens n’essayez pas de me dire d’aller me faire enculer parce que je ne l’accepterai pas.
Tu te souviens, Bérénice, quand je te disais je t’aime ici même sur ce blog. Qu’est-ce qu’on pouvait être cons l’un et l’autre, quand on y repense.
Tiens je vais faire le 666ème, pour conjurer le sort.
il serait sain que vous pensiez à évoluer, Bouguereau
c’est un mot inventé par ton patron pour disqualifier tes compétences dédé..je crois qu’on peut pas..mettons qu’on se prefectionne..mettons
Capette ? Pas capette dit: 29 juin 2014 à 17 h 48 min
Elle se venge, la grasse tanche; ça fait propos à Nenette, comme tout ce que tu racontes. C’est poilant.
Chalette dit: 29 juin 2014 à 18 h 43 min
Con Chita Chaloux grince des dents.
bouguereau dit: 29 juin 2014 à 18 h 20 min
il serait sain que vous pensiez
Déjà, « sain » et « penser », c’est au-dessus de ses forces.
Mais :
il serait l’heure que vous pensiez à vous laver les pieds, Bouguereau
il serait temps que vous pensiez à faire un peu de ménage, Bouguereau
il serait largement temps que vous pensiez à changer de slip, Bouguereau
il serait largement temps que vous pensiez à retirer ce truc du t. du c., Bouguereau. Comment vous appelez-ça, déjà?
A la limite, il pourrait peut-être comprendre ce genre de phrases, si on faisait les bons gestes au moment adéquat, et en criant très fort.
Le reste, non. Jamais.
Je ne vous raconte pas le gigot,
imbouffable,
tout ça à cause de ce crétin qui croit mettre tout le monde à quatre pattes alors qu’il est incapable de dresser son poisson rouge.
Monsieur de 18 h 57, laissez-moi vous dire que vous êtes ce que l’on appelle en langage certes populaire mais bien senti un petit con.
Non pas de gigot.
« Il lui déplaisait de digérer des agonies ». Yourcenar.
Pauvre Bouguereau… dit: 29 juin 2014 à 18 h 56 min
Chaloux en chaleur.
Et vous-même, Madame Chaloux, vous a-t-il mise à quatre pattes ? J’ai ouï dire que c’était une pratique en usage chez certains couples.
Pas encore besoin de pilules…
Depuis le temps que vous voyez mes photos sur ce blog, je rappelle à ceux qui ne l’auraient pas compris que l’initiale de mon nom de famille est R.
Eh oui, D.R., c’est moi.
Sachez que Monsieur mon mari ne ressent aucune chaleur depuis l’achat du crapaud ce qui d’ailleurs me convient parfaitement, il baisait comme il commente.
vous a-t-il mise à quatre pattes ? J’ai ouï dire que c’était une pratique en usage chez certains couples. (D.)
Je veux mon neveu.
Je sais que quelques-uns d’entre vous aiment faire étalage de toutes leurs initiales, comme, exemple pris tout à fait au hasard, TKT.
Personnellement, je préfère me limiter à une seule lettre.
Mêlez-vous, M. D., de votre cul.
(Je me demande ce que Chaloux trouve à fréquenter un tel ramassis. Vous êtes répugnants).
Quelques lettres à Jean sont disponibles, partiellement, sur la toile.
Depuis celle du 22 décembre 1937, jusqu’à celle inachevée deu 15 janvier 1943
Ces jeux d’écriture de P.V. à J.V. de poète à poète, sont assez élaborés pour ne pas penser que leur auteur en anticipait une possible édition publique.
…Une certaine idée de J.
Et puis il dessinait.
http://images.arcadja.com/valery_paul-%C3%A9t%C3%A9~OM0fe300~10157_20121212_3534_354.jpg
Ah, alors d’après vous, Révérend Père, Chaloux serait un adepte de cet exercice connu sous le nom, je crois, de « levrette ».
Pardonnez mon ignorance, mais faut-il être soi-même à quatre pattes pour procéder ?
» À la fin du monde, il y aura toujours quelqu’un qui ne voudra rien savoir avant d’avoir fini sa partie de dominos… »
lettre de Valery à sa femme, 1915
Ah mais, Madame Chaloux (vraie), sachez que je me mêle souvent de mon cul, je peux même vous dire que je m’y emmêle, pour ne rien vous cacher.
Tenez, puisque vous êtes là, pouvez-vous me répondre ? Lorsque Chaloux vous met à quatre pattes, s’y met-il lui aussi ?
Je vous demande cela, madame, à cause du billet. Pour faire un parallèle.
Parce que, si Valéry se met à genoux devant son daïmon, on peut dire que Chaloux se met à genoux derrière. C’est beaucoup moins élégant.
A tel point que j’en viens à me demander s’il est vraiment le grand lettré qu’il dit être.
Réflexion faite, je regrette d’avoir signé D. pour une raison simple : je ne suis pas D.
Cher Monsieur D., Chaloux ne me « met pas à quatre pattes ». Je m’y mets ou je ne m’y mets pas. S’il est lui-même à quatre pattes, sur une jambe, sur les genoux ou s’il fait des pointes, cela ne concerne que lui. Je suppose.
Veuillez passer à autre chose svp.
Oui, cher D., Chaloux se met à quatre pattes derrière moi et ça m’inquiète toujours car il lui arrive de se tromper d’orifice et, dans ces cas-là, au plus fort de l’extase, il se met à crier quelque chose comme rhââ bougro chté u.
Réflexion faite, je regrette d’avoir signé D. pour une raison simple : je ne suis pas D.
Dégage radasse épicétou
Pas tout à fait. Mettre Bouguereau à quatre pattes, c’est un sacrifice.
Je le fais pour le bien de la communauté.
comme elle me touche cette citation de 19 h 15 min
car cela ne me choque pas du tout qu’une personne avancée en age s’amourache encore, se passionne …pour une cause à laquelle elle s’identifie, et qu’on lui donne à interpréter comme son destin.
on pourrait au lieu de la partie de dominos, pour l’écrire en écho à des articles de l’actualité, penser à ces personnes qui doivent avoir tatoué toutes les surfaces de leur corps :la mesure de leur vie , ici nommée « le destin »?
Ce qu’il dit est vrai, il met parfois aussi M. Bouguereau à quatre pattes, dans le salon, pour lui faire subir les mêmes outrages qu’à moi, ce qui est très gênant quand nous avons des invités.
Mais, bon, ça ne m’étonne pas tellement parce que, d’après divers témoignages, il paraît qu’il fait souvent avec ses amis.
http://www.quaibranly.fr/fr/programmation/expositions/a-l-affiche/tatoueurs-tatoues.html
donc pour résumer, Chaloux pratique la levrette et la sodomie et alors? boudegras en fait certainement autant.
chaloux c’est au cul la vieille tous les soirs épicétou
Ma femme a raison. Il serait vraiment temps de passer à autre chose.
Voyons, je ne suis pas vieille ! Et vous vous faites une fausse idée de mon mari. Il peut-être violent, certes, surtout avec moi, mais ce n’est pas du tout un « séducteur », comme on dit. Mes amies ne le trouvent pas très beau, et la barbe les chatouille, disent-elles.
ho, violent, violent, n’exagérons pas, je l’ai souvent vu suppliant et puis son ventre est pneumatique, ça compense.
Sa barbe, j’aime pas trop, il a toujours des bouts de je ne sais quoi dedans.
vers dont cette correspondance est truffée et pas toujours pour le meilleur.
mais le plus important est peut-être d’avoir accepté de souffrir de poser le quelconque, comme mediation pour mémoire, vouée à être transformée,
comme les matériaux évoluant vers la création de récup, aujourd’hui.
message : « Chaloux est à quatre pattes »; je répète: « Chaloux est à quatre pattes ».
Vous atteignez un niveau de débilité inédit.
Bravo!
Lorsque je pense que certains, ici même, ont le culot de trouver que j’exagère en conneries …
Quelle injustice ! Quelle partialité ! Quelle mauvaise haine … Bonne soirée, mes petits choux adorés !
va te faire enculer ici Loncon de ta mère!
@ D. dit: 29 juin 2014 à 19 h 10: “Je sais que quelques-uns d’entre vous aiment faire étalage de toutes leurs initiales, comme, exemple pris tout à fait au hasard, TKT.
Personnellement, je préfère me limiter à une seule lettre. »:
Forcément, D., vous êtes radin, une seule initiale brodée avec un point, vous coute moins cher chez votre chemisier.
Marrant : tu as écrit ce comment’ à 12 h 53 min
j’écoutais frcul (j’avais « trouvé » un truc – sûr que Clo l’a trouvé aussi !)
Well, Michou : à écouter à toute tétesse l’émission de ce 29/06/14 « Tire ta langue » France culture, donc !
Sincerely (j’n’aime pas l’équivalent français),et,qui plus est, l’italien est plus que primaire pour moi (j’vais pas décliner toutes mes tares, hein) ; ça serait chouette, symba, que tu donnes ton avis (parmi tes multiples connaissances,je privilégirais les maths, en ce qui concerne skejeted’mande)remerciemenzanticipés
ps : ai balancé un comment’ sur le sit … pas passé ; m’suis envoyé le lien de cet’émission, non encore reçu … que du malheur
alors, si tu peux mettre du bonheur … renato peut y participer aussi, W.S. un « ritale » … et la démonstration que j’ai entendue est ma-gis-trââle –> appel donc
(Assouline ! ai-je raté un lien, un tweet, un truc quoi ? le book du mec publié en 2011 … pas chiadé les rechch,dans aucune bibli de la capitale, qui plus est … )
j’écoutais frcul
la santé c’est le silence des organes dracul..
il baisait comme il commente
ma mère de ma mère..ha elles est cruelle
pas de moutons à 5 pattes?
bouguereau dit: 29 juin 2014 à 20 h 39 min
Oui, celui-là je l’ai trouvé très drôle aussi, ça ne veut rien dire mais c’est amusant.
Cette histoire de dominos est très interessante.
Quel a pu être l’impact de la censure sur le courrier échangé entre le Maître et son Toi
26 SEPTEMBRE 1940 :
Les entiers postaux réservés à la correspondance familiale, type interzones à 13 lignes, sont mis en vente dans les départements de la Seine, Seine-et-Oise et Seine-et-Marne. Leur utilisation est obligatoire pour échanger des informations entre les deux zones. Leur utilisation sera progressivement étendue à tout le territoire.
Les supports sont de diverses couleurs ainsi que l’encre d’impression.
Les cartes envoyées d’une zone à l’autre ne doivent pas comporter de timbre additionnel au départ (sous lequel des renseignements pourraient être cachés). Par contre les cartes utilisées à l’intérieur d’une même zone le peuvent. Ce sera notamment le cas lors du changement de tarif de janvier 1942.
Les timbres taxe qui sont apposés à l’arrivée dans la zone occupée sont admis.
Les timbres fiscaux de légalisation de signature (certificats administratifs ou médicaux) apposés au départ en zone non-occupée sont également admis en zone occupée.
http://www.histoire-et-philatelie.fr/pages/001_france_assujettie/6000d_cartes_interzone_0940.html
Le lien ne passe pas ( je vais vérifier cela) mais le message était le suivant :
Cette histoire de dominos est très interessante.
Quel a pu être l’impact de la censure sur le courrier échangé entre le Maître et son Toi
26 SEPTEMBRE 1940 :
Les entiers postaux réservés à la correspondance familiale, type interzones à 13 lignes, sont mis en vente dans les départements de la Seine, Seine-et-Oise et Seine-et-Marne. Leur utilisation est obligatoire pour échanger des informations entre les deux zones. Leur utilisation sera progressivement étendue à tout le territoire.
Les supports sont de diverses couleurs ainsi que l’encre d’impression.
Les cartes envoyées d’une zone à l’autre ne doivent pas comporter de timbre additionnel au départ (sous lequel des renseignements pourraient être cachés). Par contre les cartes utilisées à l’intérieur d’une même zone le peuvent. Ce sera notamment le cas lors du changement de tarif de janvier 1942.
Les timbres taxe qui sont apposés à l’arrivée dans la zone occupée sont admis.
Les timbres fiscaux de légalisation de signature (certificats administratifs ou médicaux) apposés au départ en zone non-occupée sont également admis en zone occupée.
Je ne sais pas ce qu’a mon Chaloux, il est intenable ce soir. Il a voulu absolument voir Rabbi Jacob sur France 2 et, d’habitude, après une bouteille de côte du rhône, il s’endort devant la télé, mais là, il a mis un tutu (Dieu sait pourquoi il avait ça dans son placard) et il danse Le Lac des cygnes en chantant : « Regarde-moi, bouguereau, regarde-moi. »
Encore un essai et puis je laisse:
http://www.histoire-et-philatelie.fr/pages/001_france_assujettie/6000d_cartes_interzone_0940.html
Le lien donné ci-avant était pour illustrer une question: quel a pu être l’impact de la « gestion » du courrier à partir de 1940, sur les échanges entre le MaÎtre et son Toi.
il y a des mots interdits, je répète ne mettez pas certains mots dans vos envois; même s’ils sont innocents…
il n’en demeure pas moins le grand écrivain.
une personne cesse-t-elle d’être « le grand écrivain » , ou « le grand philosophe »,ou le grand acteur , pour le meilleur et/ou pour le pire, évidemment …..ou le grand psy (puisque c’est la grande référence de ce blog): mais d’où vient qu’il n’a pas été recommandé un essai sur les thérapies de, avec des personnes avancées en âge, (aussi bien le psy que son analysant !!)
Vu d’outre-atlantique ce blog est passionnant.
Je ne peux en dire autant des commentaires ; on dirait un club de
» matantes » (expression québécoises pour mémères) qui tricotent en papotant les une sur les autres y allant de son trait acide; plutôt déplorable.
Papaoutai
dans nos sociétés occidentales avec les questions de temporalités particulières
http://www.slate.fr/lien/71501/psychotherapie-personnes-agees
règle d’or pour comprendre ce qu’écrit Chaloux. Il définit lui-même sa prose :
Chaloux dit: 29 juin 2014 à 20 h 55 min
ça ne veut rien dire mais c’est amusant.
Non, je déconne, bien sûr.
Ce que je voulais dire c’est que, vu du Québec, votre Chaloux m’a l’air d’un drôle de ouaouaron.
Mais c’est très bien ainsi, il faut toujours un bouffon dans un blog.
http://www.nytimes.com/interactive/2013/04/22/health/20130422_therapy.html?_r=2&
Non mais c’est quoi, ça vient d’où cette obsession de Chaloux pour les gens à quatre pattes?
pour mon Chaloux chéri :
En tout cas, à genoux, assis ou à quatre pattes, Chaloux sait faire parler de lui et je l’en félicite. Je suis sûr que c’est bon pour sa carrière.
Y en a marre de Chaloux ! Z’avez rien de mieux à faire que de parler de ce crétin ?
obsession de *** pour les gens à quatre pattes?
ça me rappelle l’histoire d’O à 4 pattes, puis à 2, puis à 3
Vous comprenez , n’est-ce pas, que je ne mentionne la troncation de mon zob que dans le but purement altruiste de relever le niveau du débat qui allait vers une direction plein sud…
usurpation de pseudo à 16 h 10 min
http://ugo.bratelli.free.fr/ValeryPaul/Valery-MonsieurTeste.pdf
Madame Chaloux (la vraie de vraie) dit: 29 juin 2014 à 19 h 40 min
Il peut-être violent, certes, surtout avec moi
Chaloux dit: 29 juin 2014 à 19 h 40 min
Ma femme a raison.
hou là
Encore une usurpatrice de pseudo. Ce commentaire n’est pas de moi :
Mme Chaloux (la vraie) dit: 29 juin 2014 à 19 h 11 min
Le commentaire 29 juin 2014 à 21 h 24 min est un faux. Des matantes, je vous dis.
Insupportable quand on a la manie de la perfection, en art comme en amour.
où on voit pointer la qualité d’amant comme un métier ….questions de compétence? de notation aussi ? ça serait bien erdélien !!
papaoutai dit: 29 juin 2014 à 21 h 26 min
Ce que je voulais dire c’est que, vu du Québec, votre Chaloux
Vu d’où? Un comique en vaut quelques millions d’autres…
Françoise, mon chou, cette chanson est abominable.
…
…il faut rester de marbre messieurs!,…intraitables!,…
…la censure feras le reste!,…
…en attendant!,…il y a de ses morceaux choisis!,…pour connaisseurs!,…
…attention!,…il y a toujours un gros minet qui écoute derrière chaque mur!,…c’est pas toujours qui ont crois!,…
…
…en tout cas!, il y de ces yeux de gamines qui te fixent!,…je n’imaginait pas être dans l’imaginaire de son tableau de chasse!,…
…j’ai tourné la tête et fermé les yeux!,…
…déjà pensé et lire dans les yeux d’Ô’ truie à cette âge avec insistance!,…
…une pitié en appétit,…de quoi rester avec une chair de poule!,…
…elle savent tout et trop!, trop tôt!,…
…mais quelle effronterie,…par gage entre elles!,…sans plus!,…
…il faut le voir !,…pour le croire!,…
…faut croire que j’ai une tête à planté des bandeleros!,…Ollé!,…
…il dois y avoir un peu de vrai mélangé au cinéma!,…dans ces films à » Lolitas & C° « ,…
…un voyageur tranquille à poivrer en plus du gros sel!,…alors ce Jambon de Parme,…
…une recette à l’oeil déjà à la portée des gamines!,…
…c’est le monde à l’envers dans certains milieux!,…les entourloupettes du silence !,…je peux donner à manger au cheval!,…avec une main!,…après l’autre!,…
…
…c’est quoi son daimon,…à Paul Valérie!,…
…discrète comédienne!,…de gros minet!,…c’est sur!,…au larmes de crocodiles!,…suivant,!…de la boucherie à l’oeil!,…
…etc!,…
Ha ça les boules de geisha c’est très bien paraît-il…
Rôôô dit: 29 juin 2014 à 19 h 35 min
pratique la levrette
Y a que les hamsters et nous…
le daimôn
P.Assouline socratise en diable mais pour quel daimôn ?
Sant’Angelo Giovanni dit: 29 juin 2014 à 22 h 33 min
de marbre
Au moins, ça dure ! Plusieurs heures en tous cas… Et puis ça fait un peu Amélie-les-bains, c’est sympa…
, “The Yiddish language represents the very conflict at the core of Jewish identity.”
“It’s like a young girl who has been raped by her father. This girl can’t deny her origins, of course, but she doesn’t want to have anything to do with her father. This is how many Jews think of Yiddish. But it’s a fact you can’t deny.”
…
…du calme Sergio!,…
…je dis çà!,…je dis rien!,…laisse le pot au feu loin de cela!,…
…tout est calme et serein!,…voilà,…j’ai rien dis!,…c’est fini!,…
…comment j’aurais du écrire autrement!,…en plus moue et désarticulé pour le moins d’impact!,…
…enfin, respectons la nature et son ordre des choses!,…suivant!,…
…c’est pas le dentiste des fois!,…en dix-versions !,…Oui!,…
…l’art d’apprendre à écrire sur le vif!,…
…Persé!,…tu l’a affronté à l’oeil! nu!,…
…
…Pub!,…employez vos Ray. Ban,….pour voyager sans risques de passer en Jambon de Parme!,…Ollé!,…
…célibataire un art!,…contre vents & marées!,…Ah!,…etc!,…
…
Une question me tracasse,
quel plaisir peut-on prendre à usurper un pseudo qui ne s’adresse aucunement à vous ?
J’ai du mal à comprendre le fonctionnement « intellectuel » de ces suceurs de roue.
Une absence totale d’imagination,
Suite et fin
Un manque de personnalité maladif, un goût prononcé les comédies de Dany Boon ?
J’hésite.
Sant’Angelo Giovanni dit: 29 juin 2014 à 23 h 15 min
du calme
Ha c’est l’été hein ! Ca dure que trois jours demain y rneige… Des congères de six mètres sur la place Stan… Les lanternes on croit qu’on les a posées par terre !
it’s a bit strong…
absence d’imagination ou lassitude dont seule surnage une intention maligne de nuire
Get’em out by friday
…
…Sergio,…il y des choses que je ne comprend pas vraiment le sens!,…
…j’ai l’impression,…d’entendre parler des significations opposées aux mêmes explications!,…un peu comme un sens positif et négatif qui font photo-relief par coïncidences express-décalées!,…
…
…et porté à refaire son image aux cribles des paramètres,…& donc autant rester sur ses acquis,…et exclure l’imagination trop débordante!,…de ces certitudes!,…en somme!,…
…a re-figurer à son point de départ!,…avant de conclure à des certitudes!,…ce qui n’est que jeux de loterie!,…
…
Los Ticos du Costa Rica contre la Grece de Maniatis? euh…y’a pas photo…Joel Campbell, le capitaine des Ticos est un Gunner d’Arsenal ou il reviendra cet ete…
Parlons football.
Il va de soi que la Civilisation Occidentale, représentée par la France de Deschamps, pays des droits de l’homme et des 300 fromages, doit donner une leçon ce soir à ces sauvages nigérians, pays des islamistes fous qui enlèvent en toute impunité des centaines de jeunes chrétiennes pour les libérer de Jésus et les niquer, vite fait, bien fait.
Passe encore qu’ils libèrent ces jeunes beautés chrétiennes en remplaçant leur éducation intellectuelle par une sexualité de bon goût, mais ils détruisent les églises et les fidèles de cette épouvantable religion de l’erreur, faite d’amour et de tolérance !
Réagissons ! Les représentants de ce pays califesque, le Nigeria, doivent recevoir une bonne leçon, à la mesure de leur forfait : rester muets, inactifs, réjouis, devant de tels massacres.
Que la France, riche de sa diversité, leur foute un 2 à zéro !
Cela serait une Terrible Punition … à la mesure de notre vertu.
le poème est bon mais l’autopsie du karma est pas assez fine..en ce temps là y’avait pas ncis
Disons, le Boug’, que le moyen chez les meilleurs n’est pas sans intérêt .. bien évidemment . Même si le Valery de la poétique est un bonheur d’intelligence alors que le Valery poète peut ne pas enthousiasmer ..
bref .
C’est drôle, cette confusion, cette idée fausse de mon point de vue qu’on entend chez certains avec « modernité », même avec Dada ou le surréalisme, comme s’il y avait des ruptures en poésie – Baudelaire/Hugo et j’en passe .. – .
Avant/après ?!
Ah.
Peut-être cela tient-il à la manière dont une certaine Histoire littéraire est présentée ..
Toujours est-il que je n’y vois que des écarts qui disent d’autant , des filiations indéfectibles .. Et pas seulement parce qu’il n’y a pas de création ex nihilo .
Parlons de l’égalité
Il va sans dire que la nouvelle formation des maîtres d’école sur ces sujets va en révolter quelques uns ! Elle sera effectivement centrée sur ce constat nouveau, vieux comme le monde : « L’égalité, c’est la différence respectée » !
Hamon et la petite marocaine mignonne vont rappeler aux pédagogues des évidences incontournables au sujet des garçons et des filles :
-les petites filles sont des petits êtres charmants, intellectuellement sous-développés mais affectueux, qui seules peuvent porter 9 mois des lardons et mettre bas nos futurs téléspectateurs dans d’horribles souffrances.
-les petits garçons sont des petites brutes, intellectuellement sous-développés mais musclés et armés, qui seuls doivent continuer à se battre car, on ne sait jamais, les dinosaures, les ptérodactyles, les brontosaures* peuvent revenir, et il faudra bien les tuer avec leurs petits bras pour nourrir les membres du clan.
Il n’empêche que l’égalité entre les garçons et les filles est indispensable.
C’est pourquoi, il ne faut pas enfermer les filles dans des sac-poubelles, et se balader en short à côté d’elle par forte chaleur. De même, quand on est un homme, un vrai, un héros d’immeuble, il ne faut pas oublier de descendre la poubelle le soir, en essayant de ne pas faire de confusion entre les sacs.
Résumons : l’égalité, c’est la différence respectée. CQFD. Pardon ! ABCD …
* on en trouve dès aujourd’hui au sommet de l’Etat…
Revenons à Valery
Lorsqu’on parle de lui, c’est plus fort que moi, je pense à Alain, l’Emile Chartier … Bizarre, non ?
De la correspondance poétique
À l’image des sonnets cryptés de Nerval, ou de certains essais poéticoépistolaires
de Valéry, ce jeu dépasse de loin le divertissement : la lettre fait alors part
égale, ou presque, avec le poème. Mais leur disjonction n’anéantit pas forcément
leur interaction, comme le prouve l’intérêt des discours tenus par lettre sur les
oeuvres poétiques, qu’il s’agisse de celles de l’épistolier lui-même, de son destinataire,
ou encore d’une tierce personne.
Voir Lien : Correspondance et poésie JM Hovasse et actes colloque Brest 2009
http://www.pur-editions.fr/couvertures/1305554738_doc.pdf
beaucoup aimé lire:
« entre les esprits un commerce de
lettres et de vers, comme d’or et d’argent à la banque » citation de Cotin ( abbé)
Très fort l’auto-proclamation du « califat ».
On se montre au monde, on se rend visible en se dissimulant.
Le calife caché…
Le halo de mystère autour du caïd a aussi l’avantage de dérober aux yeux du monde sa nature de trou du cul.
Chez nous en revanche, l’honnête médiocrité démocratique de notre chef est montrée sous toutes les coutures.
(En slip sur les plages, cet été?
Avec une chambre à air autour de la taille?)
Pendant ce temps, la clause de confidentialité pour 5 ans sur TISA retire aux peuples la faculté de débattre des transformations qui bouleverseront leurs sociétés.
Ça c’est du sérieux.
(En slip sur les plages, cet été?
Avec une chambre à air autour de la taille?)
tous en calçon zouzou..tous!
ueda « Pendant ce temps, »
les faignants ont qu’à bosser épicétout
« une chambre à air autour de la taille »
ça ferait un beau titre de tube, il ne reste plus qu’à trouver les paroles
on ne sait jamais, les dinosaures, les ptérodactyles, les brontosaures* peuvent revenir, et il faudra bien les tuer avec leurs petits bras pour nourrir les membres du clan
dis donc jicé ça snif le parc texan créationiss..tu veux pas qu’il ai des uzi comme dracul a 5 ans toudmême
CQFD. Pardon ! ABCD
4aboqphié
e Valery de la poétique est un bonheur d’intelligence alors que le Valery poète peut ne pas enthousiasmer
ce qui est terribe c’est qu’audela du constat il y a quelquechose d’ultramoderne dans cette performance..la nature même de ta critique devrait en être changé, c’est le monde fini qui pointe ses rayon de bicyclette..moi jicé valery me fait bien plutot penser à duchamp
.mais valéry c’était pas le genre a se faire des cornes en mousse de shampoing..ni de tirer au pistolet comme jarry..ni de se faire inverti pour voir l’effet que ça fait.. »dans la clairière de l’étre » pour niquer heidegger..non..c’était un bécébégé..secrétaire particulier des yuppis..un collabo dafnoz
..un peu comme degaulle royaliss mais ayant calculé les techniques du blitzkrieg et confusément l’importance national non plus de la science mais de la technique..ya eu le réalisme soviétique l’américain..le fachiss le plus puissant, a périclité..et le français..valery est son prophète, bien plus que malraux
« ..un peu comme degaulle royaliss mais ayant calculé les techniques du blitzkrieg »
C’est ça.
Pourquoi pas Al Baghdadi, ses kalach et ses tweets?
Comme disent les sociologues, l’islamisme c’est l’autre modernité.
Autre? A l’écoute?
Bon enfant aussi?
« valéry c’était pas le genre a se faire des cornes en mousse de shampoing »
Tlé joli.
Tu sais, Bougboug, que nous sommes attaqués souvent sur notre rapport littéraire à la réalité. On nous reproche un verbe mal décliné … Nos sorts sont liés et Maître Passou nous guette, attendant la moindre faute pour nous coller des pénalités BNP !
Evitons le drame : nous devons nous améliorer et arriver au niveau expressionniste de Chaloux, Renato, TKT, Salmonelle et Djedla… en évitant si possible de contrarier les autres maniaques du langage, type Sant’Angelo le mafieux.
Promis ?….on essaie ?
Comme disent les sociologues, l’islamisme c’est l’autre modernité
..on sait bien que t’as mis des webcam dans les chiottes des filles zouzou..
Vous avez dit modernité ? modernité quoi ? plutôt que nous emmerder avec la « linguistique conversationnelle » et autres aménités (que c’est ce que les choses deviennent lorsque vous en faites usage), revoyiez l’histoire… puis, éventuellement vous causez
Il faudrait s’accorder sur l’usage du mot « modernité ».
Qu’est-ce la modernité ? on peut parler d’état de crise : crise de la raison, par exemple, à laquelle on oppose automatiquement la raison comme instance transcendante ; ou, encore, la raison opposée à un ensable figé de conventions plus banalement dite « traditions ».
Sans aller chercher un exemple dans le présent (qu’il y en a qui se sentent tout de suite visés), la République romaine (Res publica Populi Romani) è moderne lorsque s’oppose aux institutions monarchiques ; elle ne l’est plus en 44 av. J.-C. ; et en 27, avec Octave et son entourage, la modernité a changé de champs.
Après, si on veut aller chercher du côté de « modo » et de « modus », l’espace juste esquissé plus haut devient plus complexe car c’est par là qui prend forme l’état de crise permanente qui caractérise la civilisation européenne — nous en avons le meilleure exemple dans contraintes sociales que nous produisons grâce aux développements technique permis par la raison et par la science, ce qui, à cause à la suprématie des moyens sur les fins, donne un projet imparfait — c’est, au juste, la situation que nous vivons maintenant.
À ses débuts, la modernité littéraire et artistique (Lord Byron, le dandysme, Poe, Baudelaire) trouve son espace d’action dans l’état de crise permanente, avec comme spécificité l’absence de finalité — d’où le malentendu de « l’art pour l’art » (« L’art pour l’art, et sans but ; tout but dénature l’art », Constant) qui inspira Baudelaire, et échoua avec Gautier. Cependant, une fois le malentendu mis au clair, l’absence de finalités retrouve sa juste place et les choses peuvent avancer plus ou moins bien, et en ligne de principe sans gros dégâts — nous pouvons, p. ex., ne pas porter rigueur aux Futuristes et aux Cubistes si leur travail sent un peu l’Académie…
La crise, donc : si d’un côté nous travaillons en rationalisant, de l’autre nous ne pouvons pas agir indépendamment de la subjectivation (Foucault : sujet, savoir, pouvoir, discours, corps) — ce qui n’est surtout pas un truc de psy, puisque le phénomène fit son apparition avec la Reforme. Plus envie de revisiter les années d’études… chacun peut conduire sa petite enquête…
À ce point, modernité ? vous avez dit modernité ? modernité quoi ?
ueda dit: 30 juin 2014 à 9 h 01 min
Je me demande s’il ne vaudrait pas mieux que le TISA fasse exploser l’Europe et qu’on en finisse avec ce truc qui ne sert qu’à nous empaffer. Le gouvernement européen c’est quoi? une sorte de dictature avec lequel il va falloir en finir?
Boug pardon ! j’ai oublié la formule de politesse : « Va te faire enfiler joyeusement ! »
« À ce point, modernité ? vous avez dit modernité ? modernité quoi ? » (Renato)
Euh… ?
…modernité, mon cul…?
On nous reproche un verbe mal décliné …
quand j’étais môme ma maitresse d’école quand elle fulminait contre « onkr » ça la rendait belle..je connaissais pas et renseignement pris j’ai trouvé ça assez débile..on devrait en faire une version cul
Vous avez dit modernité ? modernité quoi ?
oui en un mot c’est une démonstration de force
4eme fois, elle le mérite
http://www.youtube.com/watch?v=qGJSI48gkFc
« valery me fait bien plutot penser à duchamp »
Pas faux car, en ayant bien fréquenté (Degas, Mallarmé, etc.), ses choix ne peuvent qu’être « méticuleusement » réfléchies…
Bon, d’accord, choix c’est un mot masculin…
Nous devrions, nous Gaulois de souche, considérer Bruxelles comme la Roma de l’Empire, une chance tutélaire d’être enfin civilisés par des gens inconnus, mais propres sur eux, qui administrent, unifient, raisonnent, et plus généralement qui SAVENT …. uhuhuhu !
ueda va sûrement nous éclairer sur « Quand Paris et Londres refaisaient le Moyen-Orient sur le dos des Arabes »
http://rue89.nouvelobs.com/2014/06/28/quand-paris-londres-refaisaient-moyen-orient-dos-arabes-253272
« valéry c’était pas le genre a se faire des cornes en mousse de shampoing »
Moïse par Michelangelo.
«Je pense que parler football, aller à Solidays, ou aller à des théâtres d’improvisation de M. Debbouze, ce n’est pas le rôle d’un président de la République. En l’occurrence la Reine d’Angleterre est plus utile que François Hollande».
Propos scandaleux de notre Walkyrie nationale effrontée !!! Je sais bien qu’entre femmes, on s’entraide, mais là, c’est tout simplement HONTEUX !
ces empires, ces guerres, tous ces dingues criminels ah le monde était plus tranquille du temps des dinosaures
Ce pauvre Bouguereau a branché son ventilateur à débilités, ce matin. Ne connait rien de Valéry. Des bouts de trucs enfilés(!) les uns aux autres pour paraître « présentables ». Le pire de ce qu’on en disait dans les années, 70 quand personne ne le lisait.
Mathias,
Si vous souhaitez que l’on aborde le sujet :
« Quand Washington, Bruxelles et Riyad refont l’Europe sur le dos des Européens »
Faites nous signe …. !
Celles de Duchamp sont plutôt de cornes de bouc ; celle de Moïse plutôt de veau en phase de transformation…
«…sur le dos des Européens »
Puisque les Européens semblent incapables de toute action politique cohérente pour ce qui est de leurs futurs possibles, il y a un moment où il faut bien que quelqu’un prenne la main… et là, si on laisse champs libre aux eurosceptiques on se retrouve par enchantement en l’instant juste avant WWI…
« Je sais bien qu’entre femmes, on s’entraide » (jicézigue)
D’où la question vitale : Clopine, HR, Djedla, comme Elizabeth II, sont elles plus utile que François Hollande ?!
JC….. 30 juin 2014 à 10 h 36 min
on n’arrête pas le progrès, ça fait rêver
http://www.tv5.org/TV5Site/upload_image/infos/dilem_photo_1617_TV5270614.jpg
En d’autres mots, l’Europe protégée de ses démons…
Pas tout à fait comme avant WWI, car le Califat Islamique en constitution sera bien plus puissant, dynamique, nocif, que l’Empire Ottoman déclinant l’était.
(en plus, ce coup ci, les Brits vont pas venir nous aider, ils boudent, et les Ricains préfèreront garder des forces pour lutter contre les Chinois, malicieux, nombreux et rusés …)
« Quand Washington, Bruxelles et Riyad refont l’Europe sur le dos des Européens »
tant que ça rapporte what else
Monsieur Bouguereau, vous aimablement prié de fermer votre sale clapet odoriférant et baveux de toute urgence, les commandos s’organisent
« le Califat Islamique en constitution »
certains de leurs « ennemis » financent ceux qui les financent…
Toutes mes attaques prennent leur source, quand je me regarde dans une glace, le matin.
Je vis dans un perpétuel orgasme.
DSK par comparaison, est un amateur, je jouis sans partenaire rien qu’en écrivant des commentaires incendiaires, racistes, anti-tout, mon pied se prend au maximum quand j’attaque les Arabes, de préférence musulmans, insulter les gens aux origines non aryennes, particulièrement les Noirs, me mets en transe, j’en mouille mes pampers.
Quand j’insulte, je me sens le maître de la RdL, le génie incontournable de l’internet.
« Toutes mes attaques prennent leur source, quand je me regarde dans une glace, le matin.
Je vis dans un perpétuel orgasme. »
Passionnant
« certains de leurs « ennemis » financent ceux qui les financent… »
Vous connaissez sans doute l’histoire de l’espion Britannique envoyé en Union Soviétique — il semble que le M quelque chose ait même oublié son existence. Puis, un jour ils reçoivent un télégramme : « Pris le contrôle du Comité Centrale. Qu’est-ce que je fais maintenant ? ».
certains de leurs « ennemis » financent ceux qui les financent…
ça sniffe la main de sa soeur à jicé..
mathias dit: 30 juin 2014 à 10 h 25 min
ueda va sûrement nous éclairer sur « Quand Paris et Londres refaisaient le Moyen-Orient sur le dos des Arabes »
C’est plus digne que sur le ventre.
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