Paul Valéry à genoux devant son daimôn
Rares sont les correspondances d’écrivains qui ne contiennent pas leur lot de déchets : migraines & indigestions, courses à faire, considérations domestiques etc Les biographes en font aussi leur miel, contrairement aux lecteurs que cela assomme à juste titre. Les Lettres à Jean Voilier (547 pages, Gallimard) de Paul Valéry n’échappent à ce trébuchet du jugement. Disons qu’une fois balayées les mamours, polissonneries et roucoulades, de belles pépites surnagent. La dame a beau être sa chaude maîtresse, il n’en demeure pas moins le grand écrivain. Passons sur les poèmes assez niais qu’elle lui a inspirés, parus il y a six ans sous le titre Corona & Coronilla ; ils n’ajoutent rien à sa gloire, alors que certaines de ses lettres valent vraiment le détour. Ce qui ne va pas de soi s’agissant d’un créateur qui aura gaspillé une bonne partie de sa vie d’artiste dans les mondanités, dîners en ville et conférences.
Ce fort volume rassemble quelque 650 lettres de sa main, datant des années 1937-1945, éditées par Martine Boivin-Champeaux. Longtemps on en parla sous le manteau comme quelque chose d’explosif. Leur destinataire unique, en conflit chronique avec la famille Valéry (qui a fini par accorder imprimatur et nihil obstat à l’éditeur), les confia à une maison de vente aux enchères en 1982 ; la Bnf, ainsi que la Médiathèque et le Musée de la ville de Sète, dans le cimetière de laquelle repose Paul Valéry, en acquirent un certain nombre. Sa correspondante était une sacrée personnalité.
Née Jeanne Loviton, elle prit le pseudonyme de Jean Voilier pour signer ses romans, lesquels n’ont pas laissé un grand souvenir. Mariée au dramaturge Pierre Frondaie (L’Homme à l’Hispano), héritière des éditions juridiques Domat-Montchrestien, amante réputée dans le petit monde littéraire, elle divorça en 1936, peu avant que ne débute sa liaison avec Valéry, de vingt-huit ans son aîné, lequel préparait alors sa leçon inaugurale de la chaire de poétique au Collège de France. Leur correspondance débute à cette époque, se poursuit pendant la guerre alors qu’elle l’a quitté pour être la maîtresse de Robert Denoël, et s’achève en 1945 alors qu’elle est mise en cause dans l’assassinat de l’éditeur dans des circonstances jamais vraiment élucidées (le bibliophile célinien Henri Thyssens a réuni le plus complet dossier qui soit sur ce sujet). De toutes façons, Valéry meurt lui aussi à ce moment-là, mais elle n’y est pour rien. Voilà pour les présentations.
Quel Valéry révèle l’épistolier ainsi transi d’amour ? On le voit se désoler de manquer d’ « idées », carburant de son écriture quotidienne, oxygène du laboratoire portatif de ses Cahiers, mais pas du poète. Rien ne le hante comme la sombre perspective : être à sec. Il est envahi alors par une terrible impression de chute dans l’inutilité d’exister. Il connaît tout le poids de son néant comme « une haute tige rompue ». On assiste à sa paralysie intellectuelle à la suite de remontées d’acide et autres tourments gastriques, en plein conflit entre vie organique et vie supérieure. Mais il n’y a pas que des soucis de cet ordre. On découvre qu’en 1940, donc à 70 ans révolus, il lit Montaigne pour la première fois. On le sent racinien sur les bords (« loin de toi, tout est contre moi, tout me ruine en toi et conspire à me nuire »), mais il est vrai qu’il travaille alors sa préface à Phèdre. Et ses autres lectures ne le consolent pas à défaut de le distraire. Dans son Journal à peine publié en Pléiade, Gide dit de Valéry que sa vie est réglée comme un échiquier. Perfidie qui lui va droit au cœur, lui qui assure que sa vie n’est faite que de hasards, son œuvre aussi puisque toute sa prose, hormis les aphorismes, est le fruit de commandes. Du sur mesure.
Alors, quid de Paul Valéry in love ? Comme tout le monde, mais un peu plus. Entendez que le grand poète a les émois du commun mais les exprime avec une passion plus lyrique. Il use des même mots que vous et moi, mais pas dans le même ordre. Où qu’il soit en France (« le pays du mufle » vu d’Angleterre) ou en province où le mène son activité de conférencier, loin d’elle qui demeure à Paris 16 ou dans son château de Béduer (Lot), sa chérie, il la boit et la mange (« Miam, miam »). Elle est sa muse, son modèle, son thème et sa récompense ; mais loin de lui, avec un autre, elle est la cause unique de son enfer de tristesse. L’origine de son infernale solitude car « être vraiment seul, c’est penser à quelqu’un d’une certaine manière ». Mieux, ou pire, il va jusqu’à lui prédire, à elle qui tâtonne dans le roman, un destin à la Colette, ce qui est légèrement exagéré. Il sait se montrer différent du commun dès l’envoi, l’envol plutôt.
Nonobstant les quelconque « ma chérie » à notre portée, que de « Narcissa », « mon grand daimôn », « mon pauvre oiseau tout chaud », « mon gros objet d’amour », « mon petit touffu », « mon cœur, chérie, ma chère tête aux abois », « mon gros castor, chéri, ma loutre, mon opossum aux douceurs de vison », « petite connette chérie »… On ignore au juste ce qu’elle lui faisait mais cela devrait être quelque chose. Comme disait en une puissante formule le R.P. Hardouin en 1660 : « Ce ne serait pas la peine de s’être levé à quatre heures du matin, toute sa vie, pour penser comme tout le monde . Il n’en doute pas, elle saura faire œuvre ; aussi la prépare-t-il à l’épreuve :
« Une œuvre doit laisser à son auteur le sentiment qu’il a découvert et organisé une partie de soi. C’est là le bénéfice net et réel, qui n’est pas l’œuvre – mais l’avoir-fait-l’œuvre. L’on se dégage ainsi de l’évaluation par autrui. Pour moi, ce que me rapporte une œuvre = ce qu’elle m’a coûté »
Insupportable quand on a la manie de la perfection, en art comme en amour. « On ne s’ennuie pas assez ensemble ». Y a-t-il plus belle déclaration d’amour ? Nombre de lettres sont écrites dans un langage codé, souvent à la troisième personne où il interchange leurs sexes. On ne sait plus qui est « il » et qui est « elle ». Il adopte des signatures de fantaisie, clins d’œil à des personnages. Parfois drôle, parfois… « Pourra-t-on jamais séparer la bêtise de l’amour ? » En effet, même si dans ces moments-là, tout lui semble incommensurablement bête : « C’est une maladie à laquelle il l faudra que je trouve un nom grec pour en faire cadeau aux psychiatres ». N’empêche qu’elle le rend malade. Depuis le lit de Robert Denoël, elle consent à lui proposer une sorte de partage alors que lui n’attend plus qu’un appel ou un adieu.
Il se ronge loin d’elle, le monstre Pensée dévoré par le doute et l’abandon. Même lorsqu’il entend sa voix au téléphone, son timbre lui suffit pour en tirer un poème. vers dont cette correspondance est truffée et pas toujours pour le meilleur. Il est convaincu de perdre son temps dès qu’elle n’est plus à portée de vue, de voix, de toucher. « Fais-moi toi, fais toi moi ». Ah, Jean… Enfin, Jeanne. Son pouvoir sur lui est absolu car, il le reconnaît, elle lui est comme substantielle. Or, la sachant dans d’autres bras, plus elle consomme, plus il se consume. Air connu. Pas facile de relire Descartes pour les besoins d’une préface quand on se sent le Roi du vide. Les pages où Valéry amoureux nous touche le plus sont celles où il se hait, s’encolère contre lui-même, s’en veut d’avoir laissé échapper ce trésor, ce diamant vivant :
« Pourtant, la comparaison s’est imposée : une situation de roman tout banal s’est créée. Je ne me pardonnerai jamais cette avilissante défaite. Je finis cette vie en vulgarité, victime ridicule à mes propres yeux, après avoir cru l’achever dans un crépuscule d’amour absolu incorruptible et de puissance spirituelle reconnue par tous comme sévèrement et justement acquise ».
Paul Valéry y est tout à sa flamme pour son aimée lointaine. Rappelons que cela se passe entre 1937 et 1945. Pourtant, c’est à peine si l’on sent que pendant ce temps, le pays est en proie à la montée des périls, la guerre, l’Occupation, la Libération. Il y a bien une rencontre avec le maréchal Pétain à Vichy mais évoqué comme un déjeuner de têtes. Un détail au coin d’une phrase ici ou là, mais c’est tout juste. Ah, l’Amour… Message reçu : chacun de nous est le poème le plus obscur, et d’abord pour soi-même.
(« Paul Valéry et Jeanne Loviton dite Jean Voilier au château de Beduer » photo D.R. ; « Jeanne Loviton » photo D.R. ; « La tombe de la famille Grassi, où est enterré Paul Valery, au cimetière marin de Sète » photo Passou )
1 022 Réponses pour Paul Valéry à genoux devant son daimôn
« Jaloux, mon beau jaloux » ……
les commandos s’organisent
roo vla les einzatsgroupeune a baltringue poing comme
JC, ne voyez pas Chaloux partout.
Vous confirmez poster la majorité des commentaires signés miroir, mon beau miroir ?
C’est plus digne que sur le ventre
..la position du missionnaire zouzou
en plus, ce coup ci, les Brits vont pas venir nous aider, ils boudent
pêpêpe..se disent que des transactions foireuse avec le calife en euro c’est ptête pas si con
Miroir, mon beau miroir,
J’ai entendu dire que Chaloux avait brisé les siens, brisé de voir chaque jour les ravages du temps à l’œuvre…
bouguereau dit: 30 juin 2014 à 11 h 05 min
(C’est plus digne que sur le ventre)
..la position du missionnaire
La géopolitique est tout un art à la base
« se disent que des transactions foireuse avec le calife en euro c’est ptête pas si con »
ils ont le sens du commerce
JC, mon cher, j’ai un peu plus de 45 ans, pas encore l’âge de briser les miroirs. Plutôt celui de faire en sorte de ne pas avoir à les briser trop vite.
Pour le reste, Pablo avait raison, je viens de lire Valéry face à ses idoles de Cioran (Quarto, P. 1560), excellent profil. Rien à voir avec ce ce que raconte ce pauvre Bouguereau qui cochonne tout ce qu’il touche, confond Valéry avec Auguste Comte et la littérature avec je ne sais quoi, une sorte de militantisme de comptoir à base de matérialisme historique trempé dans le vermouth cassis.
« Je ne vote jamais blanc » Chaloux, hier .
Non c’est vrai vous avez voté Verts, je saisis la perche que vous tendez, c’est une façon de parler, je n’écris pas et si j’ai imaginé un instant au tout début de cette affreuse histoire qui nous relie, qu’une éternité s’ouvrait et que nous en étions la preuve, j’en suis aujourd’hui à regretter cette exception française mais sûrement ne reste-t-il à faire des saisons qui se succèdent identiques, une lecture ininterrompue pour vaincre le parasitage continu, la raison du plus fort… vous êtes fou sans scrupule et bénéficiaire d’une intelligence qui ne nous porte pas chance. Je n’entendrai jamais, je le crains, dans ces conditions, votre talent. Nice time.
Chaloux, c’est mon vieil humanisme qui me joue des tours : j’adore aider les personnes fragiles…
D’un autre côté, il ne faut pas tomber dans l’excès ! Voilà pourquoi, il faut canonner les embarcations qui polluent le Canal de Sicile. Pas les yachts de Rodriguez, hein …
miroir, mon beau miroir dit: 30 juin 2014 à 11 h 04 min
JC, ne voyez pas Chaloux partout.
Vous confirmez poster la majorité des commentaires signés miroir, mon beau miroir?
M’étonne pas. Tout JC est en petit matériel.
Bérénice, je n’ai rien compris, mais je respecte votre pensée.
Monsieur Chaloux a une façon de dézinguer bouguereau qui me plaît beaucoup, la classe !
ma mère ! re le toteune kopf de christian..j’ai peur
Chaloux dit: 30 juin 2014 à 11 h 33 min
« JC, ne voyez pas Chaloux partout. »
C’est plus fort que moi, je suis comme Snow White, comme Jeanne d’Arc, comme Bérénice…
ein zwei..keupu
Chaloux dit: 30 juin 2014 à 10 h 04 min
Chaloux vire en tête.
Passant sur la droite de tous ses adversaires (JC, aquarius, Pablo, …) il plonge dans le virage démagogie et émerge en tête dans la ligne droite, une brise marine salue l’exploit.
Haïgwepa dit: 30 juin 2014 à 11 h 41 min
Heu… entre le gros problème de l’UE avec la notion de démocratie et « la démagogie »…je vois pas.
On ne sait plus qui est « il » et qui est « elle »
La cocotte, ça sert à rien.
Un mec qui peut, il y pense jamais au gode-ceinture…
C’est Mme Bouguereau qui doit contente. A mon avis, elle barrée depuis longtemps…
Ne vous moquez pas de Bouguereau qui a la franchise d’avouer qu’il considère ses gode-ceintures, dorés ainsi que les kalachnikov du regretté Saddam Hussein, comme des extensions de son âme perdue ! Respect. Car… que sont vos pianos ? vos bibliothèques ? vos voiliers ? vos maitresses ? vos icônes diverses ? sinon des extensions de vous-mêmes….
Bonne journée !
JC, vous confondez « extensions » et « prothèses ». J’ai toujours pensé qu’on était très mal formé dans le tertiaire.
miroir, mon beau miroir dit: 30 juin 2014 à 10 h 54 min
Pas de majuscule à Miroir, toute la différence.
Encore un usurpateur incapable de s’assumer,
ça sent son Thierry.
Tout le problème de Bouguereau tourne d’ailleurs autour de l’absence du phallus dans sa psyché. Son langage ordurier (par lequel il l’appelle), son obsession des accessoires, délimitent l’impossibilité d’une représentation de sa virilité absente.
Sur la photo elle ferme les yeux à cause du soleil et il lui dit ces mots deès lors historiques ‘t’as d’beaux yeux tu sais »
Chaloux dit: 30 juin 2014 à 11 h 57 min
Madame Bouguereau a bien de la chance d’avoir un mari attentionné, le mien qui bande aussi mou qu’un commentaire de TKT ne m’a pas honoré depuis le début des années 90.
A 45 ans il baisouille son crapaud, sa seule activité orgasmique.
des extensions de son âme perdue !
tlé joli !
..zouzou dit que moise avec ses deux en zinc dessus sa tête ça fait plus smart..imaginons le ensemble à la besogne, et rendons lui gloire
A 45 ans il baisouille son crapaud, sa seule activité orgasmique.
Ah que non, j’aimerais bien, j’aurais plus de temps pour la lecture…
Bonne journée,
…
…@,…JC,…à 10 h 02 mn,…( type Sant’Angelo le mafieux,…),…en passant!,…
…
…je laisse parler!,…des homonymes peut-être!,…de ses contrées lointaines!,…
…
…mon , père, disait souvent, il vaut mieux avoir des amis,…que beaucoup d’argent!,…
…quand,!…il est mort,…il n’avait , ni l’un ,…ni l’autre!,…
…
…JC,…tu ne vomit jamais d’insulter des gens que tu ne connait pas!,…
…
…aujourd’hui,…de ce que je vois!,…Oui!,…
…tout est permis,…Oui!,…même faire la pute à ciel ouvert,…si,…ce n’est, que dans nos contrées et contours,…tout glisse dans les excès,…& par les tolérances,…tout glisse en débauches!,…et de plus, en plus d’abjects à l’argent!,…et crises des profits
…la nature passe encore!,…
…et de ces faits, quelles évolutions choisir!,…de ne rien à verbaliser!,…
…quand, la soupe fait l’homme,…qui reste en manque d’étiquettes,…
…vous manger avec les doigts Sire!,…vous voudriez que je mange avec mes pieds!,…mon coyote tout azimuts!,…Bip,…Bip!,…
…
…et tout ces gens dans les cercles vicieux des plaisirs hors-normes, se perdent,…en honneurs, respectabilités, crédits, auditoires!,…et j’en passe,…reléguer comme parias & pestes!,…
…
…Oui!,…une éducation, responsable, et des connaissances des échiquiers de ces milieux,…livrer à eux-mêmes!,…
…
…voulez-vous, faire portez le chapeau à notre démocratie de ces excès,…et à l’Union Européenne des républiques!,…
…en êtes-vous vendu, à une cause ou l’autre,…quel régulateur, êtes-vous!,…donc!,…etc!,…
…
…pensez avant d’agir!,…ou écrire!,…connaître avant de divaguer!,…vous protéger quelque chose avec ces diversions sur mon dos!,…
…je vous fait de l’ombre!,…je ne me suis même pas portez à postulez » conseillez communal »,…en magouilles à bandes des cinq!,…
…une autre!,…quand vous voulez!,…
…
…mon intelligence m’a suffit à ne pas me trempée dans ces milieux des complaisances abstraites des pouvoirs!,…
…
…je n’ai pas à craindre ni les dieux ni les hommes,…dans leurs jugements!,…forces en est aux éléments!,…
…etc!,…çà ira,…en réponse à tes chatouilles!,…Ah!,…Ah!,…Bip!,…Bip!,…etc!,…
…envoyez!,…d’un trait!,…
daimôn : 7lettres => domina !
7 signes mais 6 lettres comme domina
H.R. se mélange dans ses comptes.
Cerveau toujours aussi mal rangé.
JC….. dit: 30 juin 2014 à 10 h 49:
« …pour lutter contre les Chinois, malicieux, nombreux et rusés … »:
Ducornaud, vous avez oublié une chose, les Chinois sont extrêmement travailleurs et « Kiasu ». Pour le reste, JCouille, les Japonais qui ont et avaient les mêmes qualités, plus le sens de la discipline comme les Allemands ou les Suisses germanophones, ont quand même vu leur empire disparaître. Intéressant aussi, dans les années 1920, les Japonais ont connu une gauche triomphante, le libéralisme au sens européen du terme. Puis vint l’extrême-droite nationaliste, c’est à dire des gens comme vous; nous connaissons le résultat, Hiroshima… Les Allemands ont connu le même sort, avec du matériel non atomique et presque toutes les villes bombardées.
Vous parliez de l’empire ottoman décadent, mais JC-le-scientifique, citez moi un seul empire qui ne se soit pas effondré ?
Un peu de décadence vous aurait fait du bien, vous seriez peut-être moins bilieux.
Il ne changera jamais, le fossile.
Alors Ducornaud-JCouille, on peut toujours mettre une majuscule quand un mot commence un texte et que l’on ne met pas des parenthèses.
Vous voyez TKT partout, en ce moment il n’est pas là.
Si vous saviez qui je suis, vous seriez étonné.
Je suis un collectif à votre image.
il ne changera jamais, le vieux fossile
Observatoire de l’Helvète dit: 30 juin 2014 à 13 h 07 min
Il ne changera jamais, le fossile
Même pour ne pas dire une connerie l’usurpation est un vilain défaut.
Miroir, mon beau miroir dit: 30 juin 2014 à 13 h 09 min
Alors Ducornaud-JCouille, on peut toujours mettre une majuscule quand un mot commence un texte et que l’on ne met pas des parenthèses.
Vous voyez TKT partout, en ce moment il n’est pas là.
Si vous saviez qui je suis, vous seriez étonné.
Je suis un collectif à votre image
Salut Thierry.
JC….. dit: 30 juin 2014 à 11 h 40:
Mais non, JCouille, vous êtes une copie presque conforme de D.bile.
Comme vous êtes largement plus âgé que lui, et que vous n’êtes pas vierge, vous n’en n’êtes que plus frustré et bilieux.
Collectif anonyme dit: 30 juin 2014 à 13 h 15 min
Mais Thierry nous savons tous ici que depuis des années vous êtes le plus grand usurpateur de ce blog, rien de nouveau sous le soleil.
L’avantage depuis que passou a sa propre structure de blogs c’est la suppression du bouton « alerter », vous ne pouvez donc plus vous en servir au gré de vos angoisses.
Je suis sûr que cela vous manque terriblement.
«…arriver au niveau expressionniste… » ?!
Il serait intéressant si ce crétin nous parlerait un peu, juste un peu, du pourquoi du choix de ce mot (expressionniste) car, à bien regarder, il y a quelque chose qui cloche, étant donnée l’environnement donné… cela indépendamment du fait que l’auteur du post en question soit une cloche fêlée ; et, de par ses simplifications à 2 balles, un complice objectif de l’extrême gauche… nous comptons beaucoup sur son esprit similiscientifique pour nous apporter un moment de saine hilarité…
Sur la photo du haut, elle lui dit « C’est comme ça et pas autrement », et alors il dit « Tes ordres sont des prières » (cf jc et la patronne, ueda et daafffdaaaafff)
Et « il faut tenter de vivre », !
Quand le jeune Paul s’écrivait à lui-même …
« (…)Les femmes sont pour lui de gracieux petits animaux qui ont eu la perverse habileté de détourner sur elles l’attention de trop d’esprits. On les place au sommet des autels de l’art et nos élégants psychologues (!) savent mieux, – hélas – noter leurs bouderies de chienne, leurs grifferies de chatte que démonter le difficile cerveau d’un Ampère, d’un Delacroix, d’un Edgar Poe.
Enfin, car il faut terminer cette autopsie, disons qu’il a peu aimé, et toujours à travers quelque rêve. Il contient beaucoup de personnages divers et un témoin principal qui regarde tous ces fantoches s’agiter…
L’avenir lui semble plutôt renfrogné. L’obligation du labeur l’épouvante, car il a toujours frémi sous la règle. Cependant il faut vivre ! …
Il regrette de faire des vers, ce qui peut lui briser les carrières et lui faire échapper la bonne place ; de plus il les fait trop mauvais ou trop siens pour qu’on les goûte.
Il a peu d’illusions sur les choses. Mais beaucoup intérieures. Il pense souvent qu’il n’y a rien hors de lui et finit par le croire.
Signe particulier : Réduit en schèmes toute théorie et s’efforce de la faire entrer dans la pratique de sa vie.
P. VALERY.
Ceci entre nous. »
JC, vous êtes comme D.bile, un pervers-narcissique.
Vous prenez votre miroir pour une fenêtre.
Quant au bouton « alerter », je ne l’ai utilisé que quand D. avait dépassé les bornes du connentaire fou.
Vous copiez-collez les connentaires de D., la plupart sont tellement borderline et pathologiques, qu’il serait ridicule de réclamer. Votre but à vous deux, n’est-il pas de rendre ce Blog un miroir de vos selles ?
Pour vos commentaires de merde du genre raciste fou, pas besoin du bouton « alerter », il n’y a sur cette nouvelle RdL, que peu de censure. Pourtant vous entrez souvent dans le genre de commentaire interdit par la loi, ainsi vos propos aussi fous que hors-la-loi à propos de Madame Taubira.
PS: Quant à vous deux, vous êtes les champions pour venir pleurer quand vous êtes censurés. Vous venez ici, pleurnicher quand Paul Edel vous censure. Vous êtes deux voyous, le genre de crapules qui porteraient plainte quand la police les maltraiterait, même pris en flagrant délit de lynchage physique. Voyous et décidés de rester anonymes, D. par exemple, fait dans ses culottes, un vrai minable.
Paul V. aurait eu 22/20 à l’épreuve du bac de français 2014.
Bon aprèm !
Bérénice, je n’ai rien compris, mais je respecte votre pensée.
Qu’auriez-vous à y gagner, l’intérêt vous sert de guide, je ne vous crois pas, et si ce n’est pour vous, si je me trompe d’adresse, c’est pour l’un des vôtres.
« (…)Les femmes sont pour lui de gracieux petits animaux qui ont eu la perverse habileté… »
Il est tout à fait probable que le mince auteur n’ait eu à rencontrer que de petits animaux et subséquemment proportionnellement dotés d’un petit cul, pour ça qu’il craquait et rien d’autre.
Il ne fut pas le premier (et il ne sera pas le dernier) à se sentir en droit d’être bête… il y a par ici un prof qui devrait en prendre la graine…
Paul V. aurait eu 22/20 à l’épreuve du bac de français 2014.
Paul Valéry n’aurait jamais accepté d’être surévalué, et s’il avait vécu en 2014, gageons qu’il aurait préféré à un diner avec Marine Lepel, une entrevue avec Cohn-Bendit.
Quelle intelligence cartésienne a eue P.V. de se savoir n’écrire que pour quelques un(e)s
-et les 2 commentaires, si on peut dire, qui ont suivi l’envoi,ici, de « la lettre de Paul à Moi » ne sont pas représentatifs de l’échantillonnage, mais me confortent dans ma reflexion-
C’était peut-être ça son pari pascalien à lui, finalement.
bref, laissons-là, la radasse de maniatis et ses métamorphoses d’eau vide.
…
…@,…f de bassan!,…
……………….., 8 lettres c’est mieux!,…
…daimôns,…toujours avec un » s « , pour le pluriel,…c’est mieux!,…en cas de manque!,…
…
…comme pour des planètes autour du soleil,………………………….
…….daimônsexsex!,…encore meilleur!,…
…….pour dormir en paix,…………….
…
…….Non,……va voir pharaon,…pour sa traite des blanches!,…au pétrole-gaz!,…
…….tu vas les prendre ces pillules-bleus,…Noooonnnnnn!,…merde !,…alors!,…
…….
…….l’origine de la soupe bleu,…pour se promener avec une queue de cheval sur sa tête,…ma cousine germaine-bien-monté à cheval grand’dieu!,…la cavalerie alliée en renfort,…à nous les vestales aux champs!,…
…
…même pas vingt et un centimètres !,…il faut repasser jeune-homme!,…
…vous ne faite pas le pois-chiche!,…à la soupe au champignon!,…
…avale, une pour papa, une pour maman!,…
…des daimôns en pralines!,…et comme suppositoires, etc!,…
…
ne sont pas représentatifs de l’échantillonnage
tant mieux, nous ne sommes pas dans un labo qui fabrique une pâte lisse, gommant toutes les particularités dans un melting-pot infernal, éliminant le juif errant, l’arabe, le roumain sans papiers, l’érythréen pas noyé.
TKT dit: 30 juin 2014 à 13 h 39 min
Pauvre Thierry qui ne comprendra jamais rien, enfin je suis bienheureux d’apprendre que admets être un usurpateur de pseudos patenté et un spécialiste incontesté des ciseaux de la censure, ces qualités et compétences t’honorent.
A part ça mon Thierry chéri je ne suis toujours ni D. ni JC mais comme il faut bien que tu alimentes tes fantasmes et ta paranoïa je te laisse à tes divagations de petit-bourgeois franchouillard.
A part ça, comment va le bichon ?
Il pisse toujours sur tes Bata à glands ?
JC….. dit: 30 juin 2014 à 6 h 46 min
De même, quand on est un homme, un vrai, un héros d’immeuble, il ne faut pas oublier de descendre la poubelle le soir, en essayant de ne pas faire de confusion entre les sacs.
Sinon madame Dodin va râler comme un boeuf…
Christian Estrosi, maire de Nice : « L’utilisation ostentatoire des drapeaux étrangers est donc interdite dans le centre de la ville de Nice de 18 heures à 4 heures du matin et ce, jusqu’à la fin de la Coupe du monde le dimanche 13 juillet prochain »
Les ambassades du Luxembourg, du Lichtenstein, de San Marin, d’Andorre et de Monaco ont violemment protesté contre cette interdiction abusive.
Conversation avec un Français ce matin à l’hôtel :
« Vous en avez de la chance…
— Pardon ?!
— Vous n’avez pas à rentrer aujourd’hui.
— Personne ne vous empêche de partir demain…
— Il faut bien que je travaille, et qu’ils perdent ou qu’ils gagnent, je ne sais pas à quelle heure on pourra dormir.
— Qu’ils perdent ou qu’ils gagnent, quoi, qui ?
— Vous en avez de la chance, vous ne savez même pas de quoi je parle ».
Informations prises, ce soir il y a : France-Nigeria et Allemagne-Algérie… en un sens il avait raison : j’
Oups ! en un sens il avait raison : j’ai de la chance.
bouguereau est tellement effondré qu’il vient de s’enfiler son gode ceinture à l’envers, aïe! ouille!
Renato dit: 30 juin 2014 à 15 h 23 min
Conversation avec un Français ce matin à l’hôtel
Il est devenu garçon d’étage…
Dommage que notre ami Barozzi ne soit pas là pour nous donner de ces petits drames sportifs une version imaginée, faite de métissages joyeux et de convivialité.
Dans ces occasions, c’est plutôt un vieux fond qui remonte à la surface et la conjoncture donne à ce fond une allure légèrement sinistre.
Et si on parlait de Hitler? d’Auschwitz? de Staline?
Là c’est risque zéro!
Communion et consensus…
On est tous des-résistants!
On est tous des-dissidents!
des journées entières dans les arbres dit: 30 juin 2014 à 13 h 34 min
nos élégants psychologues (!) savent mieux, – hélas – noter leurs bouderies de chienne, leurs grifferies de chatte que démonter le difficile cerveau d’un Ampère, d’un Delacroix, d’un Edgar Poe.
C’est le contraire ! On dit « une simple femme » parce que l’on ne peut pas dire « une femme simple »…
C’est drôle tout de même que la vieille peau venimeuse, qui signe « béré la vraie » ait des trous d’air dans sa mémoire; ses penchants phobiques ayant une haineuse tendance à revêtir toujours le même aspect, d’aussi loin que l’on puisse ici tracer ses « commentaires ».
Sergio, ah oui, vous aussi vous avez des souvenirs d’enfance dans les arbres, des journées entières ?
Tenez parait qu’il y en a qui ont manqué d’air :
Un rapport de l’ATSB publié jeudi accrédite le scénario d’une dépressurisation du cockpit. L’hypothèse de « l’hypoxie (diminution du taux d’oxygène dans le sang) d’un équipage incapable de réagir semble le mieux coïncider avec les éléments dont nous disposons », indique ce rapport.
http://www.ouest-france.fr/vol-mh370-le-boeing-en-pilotage-automatique-lequipage-inconscient-2659377
ueda dit: 30 juin 2014 à 15 h 53 min
Et si on parlait de Hitler? d’Auschwitz? de Staline?
Ha oui le point gamma GT ! Mais faut d’abord habsorber, hein…
des journées entières dans les arbres dit: 30 juin 2014 à 15 h 57 min
des souvenirs d’enfance dans les arbres, des journées entières ?
Les tranchées ! Personne pouvait sacquer que je collabore pas au temps présent… Mais j’avais raison y s’est fait sans moi… Du coup même sans usine j’ai aussi bouffé tout le temps…
Ah, je comprends sergio-grichka, vous êtes un doriphore des champs; comme y’a des doriphores de paris.
@Adieu café…
Il n’y est pas fait mention d’étage… vous devriez mieux lire… ou… au moins, lire… Cela dit, tout travail est honorable… bon, évidemment pas pour un petit merdeux…
La phrase de Valéry citée fait peut etre écho à celle de Maeterlinck, très citée alors: « Nous ne nous connaissons pas assez, nous n’avons pas encore su nous taire ensemble »
Reste que Maeterlinck, esprit lucide, n’ a jamais fait jouer Intérieur. Alors parler de théatralité est assez cocasse;
Le chapitre des « petites vies » se trouve surtout développé dans la Sagesse et la Destinée, soit dix années après. quant au précurseur du Théatre de l’Absurde, il se laisse enterrer dés 1919.
En passant, les « alexandrins compassés » du Cimetière Marin, qu’a lu je ne sais plus qui sont des Octosyllabes, dont il est fait un usage royal dans la Pythie. Mais La Pythie, c’est sans doute bon aussi, de l’avis du néo_scolastique qui n’admire que selon les règles, et dont la Gare de Perpignan est le Bac de français, « pour les poubelles de l’histoire »??!
Bien à vous.
MC
Adieu café… dit: 30 juin 2014 à 15 h 51 min
t’as raison, Toto, je plaisante bêtement.
y’a des doriphores de paris.
comme les champipi?
La ministre de la Culture estime qu’on « est tous un peu concernés » par le match de l’Algérie contre l’Allemagne « on a tous un peu d’Algérie au cœur, ce soir » (AFP)
Aurélie ! Aurélie ! Guiliguili ! Ahahaha ! Pas d’Algérie au cœur pour nous ! On n’est pas pour les infidèles, on est pour les Allemands parce que c’est des chrétiens, des frères d’Europe, hurkhurk ! Vive l’Allemagne !
Des journées dans les arbres, je ne vous connais pas mais vous témoignez de suffisamment d’arrogance pour m’adresser des mots dont je ne vous suis pas redevable et je ne saisis pas tout à fait comment vous auriez accès à mon disque dur, je vous prie donc de cesser de m’importuner avec vos insinuations.
Bien que ne se prêtant que peu à la lecture je vous rappelle que nous tombons tous sous la théorie de l’iceberg et j’ajoute que votre vie privée ne m’intéresse pas du tout, autre chose à faire, peut-être encore faut-il que je vous en présente de excuses, au point où vous semblez vous situer à savoir au dessus de tout. Merci de me lâcher l’élastique, Trouvez-vous un amant qui le fait bien, cela pourrait vous aider à retrouver paix calme et sérénité.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Iceberg
ses penchants phobiques
Je regrette des journées mais penchants et phobies sont antagonistes, la phobie fait fuir, le penchant se rapprocher. alors pour résumer en gros, je ne suis pas maso ni sadique, ne suis pas homosexuelle ni phobe, ni pédophile quoique phobe, pas photophobique bien qu’aimant les solaires, pas pornophile ni phage et les gens font ce qu’ils veulent de leur psyché en impression, pas xénophobe.
« Trouvez-vous un amant qui le fait bien, cela pourrait vous aider à retrouver paix calme et sérénité. »
Toute la journée dans les arbres ? Gare au gorille !
@Adieu café…
Ce n’est pas le cas de faire une crise de nerfs seulement parce que vous n’avez pas une vie enviable ; ou du moins, la vie que vous aurez aimé avoir — c’est ce qui donne à voir votre conduite infantile. Mais il n’est jamais trop tard, commencez déjà par manger votre soupe : vous deviendrez une grande personne et des possibilités vous seront données pour ne pas vous perdre en infligeant des petites avanies…
même que la vieille peau venimeuse,
J’ai 55ans et suis indemne de toutes infections contagieuses et je n’ai pas cette habitude de chercher querelle à qui ne m’en cherche.
toujours le même aspect, d’aussi loin que l’on puisse ici tracer ses « commentaires ».
Appartenez-vous à un organe de surveillance ou répression? Des vôtres je ne lis pas tout, je m’épargne cette fatigue car il est des jours où vous êtes trop voyante. je zappe.
@ »béré la vraie »,
vous le laisse comme un os à ronger, en répondeur automatique:
ni plus ni moins -et tout cela en même temps- que les 3 premières lignes de mon 30 juin 2014 à 15H57.
c’est l’heure du mache
bonchoir.
Que je n’ai pas lu et dont je me contre-fiche, vous n’êtes qu’un satellite.
rectificatif: effectivement je l’ai lu, j’adore décortiquer les arachides, on n’est jamais déçu au pire ça passe le temps.
Faites attention à la correction, c’est important la correction, ou vos pairs ne pourraient plus bientôt ne voir en vous qu’une femme de plus envisageable au tableau de chasse.
Quoique les gazelles n’aient pas de cornes je soupçonne toujours phobique que les prédateurs de type masculin armés comme il se doit affectionne ce gibier que nous constituons pour un safari-lit, j’appartiens à une autre espèce, le vivarium ne peut pas vous accueillir des journées, méfiez-vous (en moi la parano) des carquois et des bazookaha, redoutables et embusqués derrière la moindre élégante façade de style néo-gothique.
Cher Pierre Assouline,
Je vous remercie de m’avoir cité dans votre billet consacré à la correspondance Valéry-Loviton. Cela m’a valu quelques «billets» de vos lecteurs. Comme je n’ai rien à vendre, et que mon site n’est pas un blog, je refuse naturellement toute polémique. Mais je dois constater, et cela m’attriste, que le niveau intellectuel des « interveneurs » sur votre page web est devenu atterrant. Ce n’est plus un défouloir, c’est un dépotoir. Il n’y a plus une intervention sur dix qui mérite d’être lue. Bravo, vous plafonnez à plus de 1200 messages… Et alors ? Fallait-il devenir académicien pour provoquer une telle cohorte d’insanités ? Il y a quelques années, je regrettais déjà, souvenez-vous, qu’on vous écrive des âneries. Vous traînez désormais des veaux sans culture. Et en ribambelle. Permettez que je m’esquive, pour le compte.
vous le laisse comme un os à ronger, en répondeur automatique:
Dernière remarque: Vous n’êtes pas le centre de mes occupations, pas une fixation, j’aime beaucoup Mozart et mon frigidaire est plein. Je vous renvoie votre aumône qui je crois conviendra à un une autre que moi.
« Quel Valéry révèle l’épistolier ainsi transi d’amour ? »
Un immortel
http://fr.wikipedia.org/wiki/Transi
C’est un peu facile, mais j’ai plus le temps; après y’a match. Avec des aimez-vous-vivants, des françois, quoi.
Le billet commençait ainsi:
« Rares sont les correspondances d’écrivains qui ne contiennent pas leur lot de déchets »
Le problème vient du recyclage qui se fait sans tri.
Thyssens vient à point pour redresser la barre, la jauge du niveau du commentaire, un rien moralisateur, un brin culpabilisant, un soupçon d’élitisme et le tour est joué, la France va se relever.
Qu’en pensez-vous des journées, passés au tamis de thyssens ni vous ni moi ni D ni bouguereau ne resteraient, nous attendrions WDGG dissertant,Chaloux suffisant, Daaphnée virevoltante, Pablo75 brillant de mille feux, U cherchant l’inspiration modeste, Renato loyal, JC polémiquant
Vous traînez désormais des veaux sans culture
tu parles d’un moise en corne de savon que tu fais lassouline..
L’occasion pour moi de remercier M. Thyssens, concernant le dossier Denoël, travail mis gracieusement à disposition sur son site.
On n’oubliera pas non plus de saluer l’auteur, -sans toutefois faire de génuflexion !-, de l’énorme bio de Gaston Gallimard, ainsi que d’un opuscule sur l’épuration des intellectuels; auteur illustre inconnu, devenu Académicien, aux dernières nouvelles.
ni vous ni moi ni D ni bouguereau ne resteraient
qu’est ce que c’est que ces propositions malpropres béré..
On n’oubliera pas non plus de saluer l’auteur,
N’oubliez pas des journées d’écrire en votre nom ou faut il vous passer le micro comme dans un meeting?
un safari-lit
ha c’est élégant..et un peu que les gazelles ont des cornes
Bouguereau il fallait des exemples pour contrecarrer le modèle autocratique autoritariste aussi vous ai-je sacrifié sur l’autel, ne m’en veuillez pas je vous rend votre tête vous n’a
« Nous ne nous connaissons pas assez, nous n’avons pas encore su nous taire ensemble »
en même temps la santé du couple c’est le silence des organes meusieu courte..clopine et l’arétin sont intraitabe..j’allais dire que l’arétin en fait des caisses mais le mot résonne trop
Je vous rends votre tête vous n’aurez qu’à la recoller, mais enfin trêve de plaisanteries, desj va piquer sa crise et nous sortir son moulin d’articles tous plus alléchants les uns que les autres.
Changera jamais, ce pauvre Court, toujours aussi bête.
aussi vous ai-je sacrifié sur l’autel
j’aurais kiffé être ton abbé boulan béré
encore une belle-mère!
« Thomason decided to do some sleuthing. The review had come postmarked Waltham, Mass., so she asked her daughter, who was studying at Harvard, to go to the address supplied and see if Pavlo Slobodjans’kyj existed. When her daughter knocked on the door, it was opened by Paul Wexler’s mother-in-law.
Ce que M. Thyssens s’acharne à vouloir nous faire comprendre c’est que le procès Denoël est terminé. Non lieu partout.
Après est-ce que ça va calmer tout le monde, c’est pas certain.
Les tribunaux croulent sous des milliers de dossiers récents, de quoi s’agiter un peu.
Thyssens,
vous écrivez : « Fallait-il devenir académicien pour provoquer une telle cohorte d’insanités ? »
Que voulez-vous, liberté d’expression oblige… cela dit, tout le monde sait qu’il faut brasser beaucoup de sable pour peu d’or… en outre, tout le monde n’est pas si chaud lorsqu’il s’agit de mettre son or sur la place publique… gratuitement, j’entends…
À part ça, je lis maintenant « The Flight from the Enchanter », de Iris Murdoch, c’est un vieux livre (1956) mais encore très lisible, je vous le conseille.
BàV
Thyssens dit: 30 juin 2014 à 18 h 04 min
le niveau intellectuel
Cher Monsieur Thyssens,
nous vous remercions sincérement de votre sympathique remarque sur nos capacités cérébrales.
Soyez sûr qu’elle nous va droit au coeur.
En retour nous aimerions à notre tour vous exprimer toutes nos amicales réflexions sur vos propres capacités.
Dans ce but pouvez-vous nous faire parvenir un petit texte d’une dizaine de lignes nous permettant de développer nos argumentaires ?
Nous sommes désolés de vous imposer ce petit exercice, mais le seul texte de vous (ou plus sûrement d’un usurpateur) qui nous soit parvenu ici ne peut nous donner une réelle estimation de votre niveau.
P.S. au 19 h 02 min
Faute du Iris Murdoch, M. Thyssens, voilà le catalogue Milton Bradley de 1889 :
https://archive.org/stream/catalogueofgames00milt#page/51/mode/1up
Bérénice, 55 ans c’est presque l’âge de D.
D. à l’âge des pré-retraités (mis dehors car plus adaptable), ce n’est pas vraiment jeune, c’est plutôt vieux dans un monde qui cultive le jeunisme.
Je sais, j’ai 68 ans, mais ce n’est pas une raison pour trouver jeune des gens qui ne sont que moins vieux que moi.
J’assume mon âge, sans plaisir, quand je me trouverais vraiment vieux, dépendant, peut-être aurais-je le courage de partir plus vite.
Vive les Bleus
Vive la France
Bonchoir
…
…tout, n’est pas d’être très vieux,…
…l’important, c’est de ne pas tomber dans la grasse des » contents à sous » de tout poils & débauchés à jamais!,…
…encore de rester dans le fer de lance de l’excellence,…ou disparaître!,…
…rien à lâcher à la plèbe indigne d’abrutis et soumise à tout les vents & trépas!,…
…vivre dans son souvenir et l’esprit d’avoir accomplis son destin!,…au valhalla!,…avec un peu de liqueur çà passe mieux!,…le valhalla!,…Ah!,…Ah!,…etc!,…
…
Paul Valéry n’écrira pas ce livre idéal. N’aurait-il pas été de toute façon en contradiction avec la pensée de l’écrivain ? « Ma manière de regarder les choses littéraires, c’est sous l’espèce de travail, des actes, des conditions de fabrication. Une oeuvre pour moi n’est pas un être complet et qui se suffise – c’est une dépouille d’animal, une toile d’araignée, une coque ou conque désertée, un cocon », écrit-il dans ce nouveau volume.
http://poesieimmediate.blog.lemonde.fr/2012/10/20/paul-valery-entrer-en-soi-meme-arme-jusquaux-dents/
« La réaction du travail de l’esprit sur l’esprit même est si importante que bien souvent elle mérite d’être considérée plus longtemps, plus attentivement que le travail ou l’œuvre de travail même. »
Didon, M. Thyssen devrait revenir plus souvent.
« Message reçu : chacun de nous est le poème le plus obscur, et d’abord pour soi-même. »
Ah l’amour de Dark Vador, ça ça pardonne pas.
…
…@,…f.de bassan,…à 20 h 48 mn,… Oui!,…Oui!,…O.K.,!…
…
…vous en avez dans la tête!,…vous faite çà toute seule!,…ou vous suivez un mémoire à la trace!,…
…
…il oublie!,…j’ose le croire!,…l’esprit espiègle – jeune – spontané des créations!,…
…
…il possède des cribles,…genre pochoir à mon avis,…dans ses pensées,…et il remplis ses cases!,…
…
…il y a vraiment un art de l’inachevé,…est ce l’instinct, ou une simulation doctrinale!,…
…
…après quels esprits court’il,…encore!,…entre 37 & 45,…
…
…l’art d’être vite content avec des simulacres de pensées!,…de derrière le miroir!,…encore!,…il a bon!,…etc!,…
…
C’était une bonne idée, » dessine-moi un mouton ».
http://1.bp.blogspot.com/-yAIxEHlXuOA/UflGSKFX4OI/AAAAAAAAAHc/jeYZgMdRwTA/s1600/Jean+Voilier_Ville+Ouverte_3.jpg
La lithographie est du « Transi »
Correction: D. a l’âge des pré-retraités
il n’était peut-être pas si mal vu de parler de
pervers narcissique sur ce blog , ce qui expliquerait d’ailleurs la désaffection de quelques contributeurs et contributrices
« pervers narcissiques » ?
Vous, par exemple ?
TKT dit: 30 juin 2014 à 22 h 44 min
Correction
Une vraie nouveauté pour vous TKT cet emploi du terme « correction », êtes-vous bien sûr de connaître sa signification ?
Rien dans vos propos depuis près de 10 ans ne nous a préparé à envisager une compréhension ou une utilisation de ce mot par vous.
Est-ce un nouvel aspect de votre personnalité pourtant si monolithique ?
Thyssens dit: 30 juin 2014 à 18 h 04 min
Et en ribambelle
Bon, mais ça fait combien ? C’est comme un groupe d’armées, ou si c’est commandé par un maréchaogis ?
Ce que vous dites n’est pas très gentil pour les monolithes, Puidepée.
Court n’est pas si bête que ça, mais en général il est long et on a pas que ça à faire, il ne s’en rend pas compte, mais il suffit de lui dire gentiment.
Je suis très occupé en journée, en ce moment, ce qui explique mes interventions de plus en plus tardives. Et puis ont m’a donnée plus de responsabilités et aussi un plus gros salaire. Carrément trois fois celui que je percevais. Je suis devenu responsable de ma collègue, que je vais déménager de bureau parce qu’elle n’a pas à partager le mien à présent. Comme quoi la jeunesse, charme et dents longues ne suffisent pas toujours à avancer quand à côté se trouvent sagesse, calme, efficacité, discrétion (et charme aussi).
Je suis devenu responsable de ma collègue, que je vais déménager de bureau parce qu’elle n’a pas à partager le mien à présent.
D., tu devrais réécrire cette phrase, à moins que ce soit un faux D. ?
c’est vrai que je ne m’identifie pas du tout à P.Assouline, et que je trouve que le coup du « poème obscur » est trop flagorneur pour ne pas être une ironie de trop .
sont celles où il se hait, s’encolère contre lui-même, s’en veut d’avoir laissé échapper ce trésor, ce diamant vivant :
on a l’impression qu’il commence de se rapprocher de quelque vérité qui devrait porter à conséquence pour des lecteurs même s’il l’écrit encore de manière un peu grandiloquente au lieu d’en être pulvérisé
Mais enfin, que les Bleus gagnent je veux bien mais pourquoi en faire une telle affaire? On dirait que l’armée française vient de battre les Prussiens. Mais bon, on va me dire que le peuple a besoin d’être consolé. Soit…
…
…les maladies nationalistes,…quand l’histoire prend le pas, sur l’indépendance des esprits!,…
…
…par, ici,…la concurrence,…suivez ce parcourt,…pour vous tordre le cou!,…vos formulaires à remplir, pour être des nôtres!,…sans vos états d’âmes!,…
…
…la machine d’état à stratifier,…les légales inégalités entre pairs aux droits et libertés,…
…Oh!,…nos indiens de souches en cartes et territoires , aux réserves de souches prussiennes!,…ou françaises!,…
…
…qui vit par la force de l’épée, mourras par celle-ci,…
…aux universitaires copier/coller à deux balles d’esprit en boites nationalistes aux doigts dans le milieux!,…
…académiciens ou en êtes-vous!,…aux hontes et vertus!,…les vôtres, les nôtres, les leurs!,…
…les ridicules aux portefeuilles!,…en sous-mains !,…
…etc!,…
sans doute n’ai-je pas lu le billet comme il devait être lu:on voit assez nettement la séduction du lecteur approché par le versant érotique : »la chose »!!
et le fait est que cela est séduisant cette maîtresse femme et le plus cérébral des poètes français leur idylle (ce narcissa est à hurler)avant , avant …
mais il est aussi l’occasion pour le biographe de séparer lecteur et biographe, au rebours de la relation amoureuse qui joue les « confusions » il/elle , et soudain on se demande pourquoi ainsi et non autrement ce jeu du biographe
» Mais je dois constater, et cela m’attriste, que le niveau intellectuel des « interveneurs » sur votre page web est devenu atterrant. Ce n’est plus un défouloir, c’est un dépotoir. » (Henri Thyssens)
Je ne voudrais pas fâcher un homme qui m’est parfaitement inconnu… et qui le restera ! Cependant, juger « le niveau intellectuel » des autres mammifères supérieurs est un acte bien risqué pour soi-même.
Que sait-il, ce brave libraire, du vrai qui existe derrière l’amusement virtuel sur un blog, même littéraire ? Rien … rien du tout !
Ce brave Henri Thyssens mérite le titre que j’usurpais jusqu’à présent : celui de Prince des Arrogants, pour ne pas employer un mot plus court.
J’ai connu des libraires plus intelligents, moins rageurs, plus enjoués… Bien à vous, monsieur.
Revenons aux choses sérieuses :
Bravo, la France !
Au revoir, l’Algérie !
Comme nous avons déjà battu l’Allemagne en 18, puis en 45, pas de souci à se faire pour le prochain combat de 14.
(Il est vrai que lors des deux premières victoires, l’arbitre du match était américain …)
« Il a fallu que je m’invente, que je creuse en moi »,
je me demande où j’ai déjà lu cette pensée du poète cérébral, en forme de conclusion qui te scotche-là, avec ta pelle et ton rateau…
Identification ?
http://www.narcisses.ch/img/img_2/varietes_narcisses_hybrid.jpg
Bravo, la France !
Au revoir, l’Algérie !
Et voilà, France-Allemagne à Rio si j’ai bien compris ..
Saperlipopette, j’en connais qui vont être excités comme des puces !
J’aime les Allemands d’amour ! Ce peuple magnifique, européen de la première heure, et qui l’est resté (pas comme ces faux-jetons d’Anglais), ce peuple le plus musicien de la Terre (Schumann, Bach, Mendelssohn, Mozart, Wagner, Richard Strauss etc.), ce peuple capable des plus étonnants contrastes (il a donné au monde dans la même foulée Albert Einstein et Adolf Hitler, faut le faire) ,ce peuple étonnant ne jouit pas seulement de la chancelière la plus sympa de toute l’Histoire du Reich, de l’économie la plus florissante de la communauté, c’est aussi le peuple le plus francophile qui soit ! La preuve : hier soir, il nous a évité un France-Algérie que, de l’Elysée à la plus humble des chaumières de l’hexagone, on voyait arriver avec l’angoisse que tu imagines.Je te dis pas le ouf de soulagement dans les préfectances et les commissariats. En plus, cerise sur le gâteau, on va se retrouver avec un Karim Benzema complètement décomplexé ! Il se murmure que même, pour la première fois de sa carrière internationale, il aurait l’intention de chanter la Marseillaise au début du quart de finale ! Vive l’Allemagne !
Jouissant (j’emploie toujours ce mot avec plaisir, pour ne pas dire ravissement …) d’un pouvoir de famille séculaire voire médiéval, je te fais ONESIPHORE de PREBOIS, Chevalier Teutonique !
PS : Si tu n’es pas d’accord, tu m’envoies 1500 euros pour le costume et les frais…
.Je te dis pas le ouf de soulagement dans les préfectances et les commissariats.
Ce que je vois surtout de positif, c’est que cet événement met en lumière le ridicule absolu de la place accordée à la pratique pseudo-religieuse:
le ramadan en pleine compétition sportive!
Sans compter qu’il s’agit normalement d’un jeûne qui devrait un peu « laver » le corps et l’esprit et que dans la pratique, les gens – du moins, ceertains – se goinfrent une fois la nuit venue … Ce n’est pas exactement ce qu’on peut imaginer d’un jeûne ..
Bref,une quintessence de l’hypocrisie dans cette pratique !
Daaphnée,
Il ne s’agit, au prétexte de purification, que de « soumission » aux règles divines : ça rassure, ça unit, ça empêche de penser plus loin …
de « soumission » aux règles divines
Tu parles d’un divin !
La parole d’un prophète (!) dont certains états se servent – via les intégristes qui y ont pris du pouvoir – pour garder sous leur joug les plus ignorants.
Prébois
hitler était autrichien
« ouf de soulagement dans les préfectances et les commissariats »
les débordements d’une petite minorité, qui crâme les voitures etc, font les délices des journalistes et de la fille du borgne
« Comme nous avons déjà battu l’Allemagne en 18, puis en 45, pas de souci à se faire pour le prochain combat de 14. »
Très encourageant en effet
« l’intention de chanter la Marseillaise »
tant que c’est pas l’Internationale..
« garder sous leur joug les plus ignorants »
c’est la moindre des choses
Histoire de revisiter les sentiers battus, j’ai lu « L’Homme qui aimait les îles », de D.H.Lawrence, aux éditions de l’Arbre vengeur. 81 pages( en comptant la préface) , 9 euros, ce qui fait la page à 11 centimes d’euros environ. A titre de comparaison, les 1200 pages d’Oeuvres de George Steiner publiées en Quarto coûtent 25 euros, soit environ 2 centimes la page. A ce tarif, ça va devenir plus rentable d’être un petit éditeur qu’un mastodonte comme Gallimard. Dans sa préface, le dénommé Thierry Gillyboeuf se borne à peu près à résumer l’histoire (parfaitement claire dans son déroulement et sa signification) et à nous l’expliquer. Y a des gens qui prennent vraiment les lecteurs pour des cons.
les débordements d’une petite minorité, qui crâme les voitures etc, font les délices
Si c’est pour faire les « délices » de .. et être stigmatisé, il faut vraiment être débile profond!
Pour le reste: dura lex, sed lex.
« L’Homme qui aimait les îles »
Comme « L’homme qui aimait les femmes » (Truffaut) ?
Le jeûne est un acte de contrition qui contraint, rassemble et compte ses fidèles.
Quant à l’hypocrisie elle ressemble à l’expiration après l’inspiration, une doublure à nos exemples parfaits, l’envers du décor qui permet à chacun de se dégonfler un peu de sa charge négative s’il ne trouve pas à exprimer avec franchise les tiraillements intérieurs si déchirants et si embarrassants à avouer, type envie, ressentiment, jalousie, rivalité, désaccord, revendication, ambition frustrée, l’hypocrisie se rencontre à tous les étages, dans tous les domaines, quelque soient les circonstances. Le jeûne des catholiques moins astreignant permettait aux plus riches de se nourrir de gibiers d’eau de poissons d’écrevisses tandis que les paysans risquaient l’enfer s’ils mangeaient un morceau de lard. Pas mieux.
Qu’est devenu Marcel, le poète en bras de chemise?
Le jeûne des catholiques moins astreignant permettait aux plus riches de se nourrir de gibiers d’eau de poissons d’écrevisses tandis que les paysans risquaient l’enfer s’ils mangeaient un morceau de lard.
Que des bouseux, en enfer! En plus.
Bof, le ballon, ce qu’il est devenu, ce n’est qu’une version de panem et circenses revue et corrigé par l’appétit aveugle, c’est-à-dire une version soft du clientélisme, ou du moins une pratique pour le compléter — il suffit de voir l’enthousiasme ou le désespoir des chefs d’état selon l’issue du match. Et puis l’on nous parle de l’esprit sportif et de l’exemple pour la jeunesse, et toutes ces aménités.
La Satire de Juvénal en dit long : « Ces Romains qui distribuaient naguère les faisceaux, les légions, tous les honneurs enfin, languissent aujourd’hui dans un honteux repos : du pain et les jeux du cirque, voilà l’objet unique de leurs désirs inquiets ».
Enfin… Fini le beau temps des amateurs car que ce soient eu qui enflamment les stades, c’est la seule condition pour que le ballon ait un quelque sens.
pour compléter votre version de l’hypocrisie des religions, bien que vous n’ayez rien à en apprendre, forcément vous savez. L’enfer a changé de version avec Marx, on est entré dans un rapport de classes plus nettement laïc et défini.
un rapport de classes plus nettement laïc et défini.
Quelle sauce vous nous faites, Bérénice !
« L’Homme qui aimait les îles »
Vous n’avez pas oublié que ce fut le titre du billet précédent ou d’avant-hier.
Une sauce post-révolution industrielle bien que le peuple fut encore pieux, furent introduites à sa culture, d’autres notions qui provenaient d’un autre bréviaire, d’autres saints en quelque sorte.
« Que des bouseux, en enfer! »
Pas vrai. L’enfer est un espace démocratique, on y trouve de tout, il suffit de revoir les péchés capitaux — il suffit de les évaluer pour se rendre compte qu’il y en a qui ne sont pas à la portée de tout le monde. Pour ce qui est du lard, dans l’esprit de la norme, il est juste que celui qu’en a mange un jour de jeûne ait en enfer, il n’avait qu’à manger de la graisse d’oie (qui est bon, très bon, même)… ou de la graisse de baleine (qui est aussi très bon, selon les témoignages).
« il suffit de voir l’enthousiasme ou le désespoir des chefs d’état selon l’issue du match. Et puis l’on nous parle de l’esprit sportif et de l’exemple pour la jeunesse, et toutes ces aménités. »
c‘est moins pire qu’une énième boucherie
« Si c’est pour faire les « délices » de .. et être stigmatisé, il faut vraiment être débile profond! »
les provocateurs
« L’Homme qui aimait les îles » — « L’Homme qui aimait les femmes », il y a quelque chose comme 50 ans entra le premier et le deuxième…
« Le jeûne des catholiques »
permet aux estomacs de faire de la place pour les prochaines festivités pascales ou autres
« c‘est moins pire qu’une énième boucherie »
Étant donné le niveau de civilisation que l’on vante à tout but de champ, on devrait pouvoir se passer de l’un et de l’autre…
« les débordements d’une petite minorité, qui crâme les voitures etc, font les délices des journalistes et de la fille du borgne »
C’est ce que j’aime chez Dino : la hauteur de vue ! Pour lui, tout va bien, la non-intégration d’une masse de gens, c’est un complot journalistique et d’extrême droite !…
Non mais quel pizzaïolo, ce Dino !
les disparus du blog : Barozzi, hélas. bouguereau, enfin (espérons-le)
les disparus du blog : Barozzi, hélas. bouguereau, enfin (espérons-le)
Ici Loncon, toujours pas!
Le jeûne catholique consiste à ne prendre qu’un seul repas par jour avec deux petites collations (facultatives) le matin et le soir, sans « grignoter » entre les repas, et on peut consommer tout au long de la journée les liquides, même riches (lait sucrés etc.).
Pour ce que qui est de la petite polémique à propos du respect du ramadan chez les joueurs Algériens, je crois qu’ils tombent sous la même réserve en usage chez les catholiques à l’époque où le jeûne était obligatoire : les restriction du droit naturel — la santé, l’âge, le devoir d’état, etc. Ce qui me semble juste.
« Pour lui, tout va bien, la non-intégration d’une masse de gens, »
tout va mal et une masse (énorme et menaçante) de sarrasins le couteau entre les dents ne pense qu’à voler vos biens (et vous égorger)
JC le figaro et votre madone sont bien trop à gauche
Et Gallimard a racheté les éditions Denoël, après l’assassinat de son co-fondateur.
Ceci pour préciser le lien vers le « dossier complet de Henri Thyssens ». La Voilier a toujours aimé les belles montures.
Ne nous affolons pas !
Nous materons rapidement les Sarrasins, pour l’instant occupés à leur Carême, s’ils venaient à renforcer leur dynamisme affectueusement animé, impossible chez eux pour cause de printemps foireux.
Notre Milice Chrétienne est en place à Porquerolles… disséminée sous un déguisement discret de baigneurs. Dans chaque string, une arme.
Indeed, Phil. Ce qui a fait dire à P.V.: « c’est terrible d’aimer un toboggan. »
La Voilier aimait les tours manèges, le saviez-vous; moi non plus.
Elle a écrit un « Historique des manèges de foires, avec dessin, histoire et fiche technique pour chaque manège. »
JC….. dit: 1 juillet 2014 à 9 h 55 min
Ne nous affolons pas !
la camisole est fin prête (pour plus de sécurité)
« la non-intégration d’une masse de gens »
c’est bien pire, surtout à porquerolles la situation est terrible
Desjournées, le sujet de l’assassinat de Denoël et le rachat par Gallimard est un chevau-léger du prestigieux blog à passouline. Les anciens comme Baroz aimaient souffler dans les voiles malgré l’assurance de passou d’avoir retourné tous les cartons d’archives disponibles. Une ultime biographie de l’éditeur flamand, promise par une aimable dame, est en progress…depuis quelques années.
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Lire cet entretien croisé sur l’intelligence artificielle et les fondements de l’humanisme numérique : vaut le détour, malgré sa brièveté relative …
intelligence artificielle : P.Assouline donne des liens pour se faire ????
la terminologie des auteur a été méticuleusement arrêtée comme on sent un travail concerté , et déterminé ,on se dit que ce qui semble rester en suspend trouve dans l’une de oeuvres citées .
A propos, puisque « de l’intelligence de Taine » est de 1892 , la première guerre mondiale éclatera 47 ans après : voilà pour la continuité et les « calculs »
LA FIN DES SACS-POURBELLES
« La Cour européenne des droits de l’homme a validé aujourd’hui la loi française du 11 octobre 2010 qui interdit de « dissimuler son visage » dans l’espace public, notamment à l’aide d’un voile islamiste intégral.
La Cour a souligné que « la préservation des conditions du ‘vivre ensemble’ était un objectif légitime » des autorités françaises.
L’arrêt de la Cour de Strasbourg, qui a été rendu par la grande chambre, sa formation la plus solennelle, est définitif. » (AFP)
Elle a écrit un « Historique des manèges de foires, avec dessin, histoire et fiche technique pour chaque manège. »
Une queue serpentine d’inventions, provenant de la grande foire exposition, un peu de retard avec les mêmes manèges en fonction pour amuser petits et grands.
…
…parler de tout, pour s’en foutre plus encore!,…
…c’est déjà, l’enseignement au peuple!,…pour s’en laver les mains!,…
…des soucis!,…Oui!,…
…à la relecture de nos poubelles!,…
…tout ces « amours’ avortés,…par l’économie d’esprit!,…remplacés par nos « sarrasins »de banlieue au carême différenciés!,…
…les nouveaux implants croissants nos dunes et nos rivages!,…tu l’a la liberté de ta femme!,…avec nos à voiles et à vapeurs!,…
…thé & couscous, sardines et cassoulet!,…
…les républiques des » cons » libres!,…
…ces lignées s’auto-détruirons aux automatiques lover-house!,…gaver de sexes et gode-ceinture par black-beurre-domestiques!,…
…
…les femmes encore plus » cons « , que leurs hommes!,…Oui!,…mais, c’est du cinéma!,…
…Vive la résurrection des avortés de la crise!,…et de l’esclavage aux non-partages des prospérités,…
…Vive nos domestiques, d’ou qu’ils sortent,…le roi seul!,…avec ses domestiques barbouzes!,…les républiques aux unions à deux balles!,…d’€uro’s!,…vibractils dans l’écul!,…etc!,…
…
…non, c’est pas du Paul Valéry à genoux,…devant une suite de trou de balles!,…je choisis!,…pauvre taré!,…
…c’est pas le dernier de la coupole!,…
…etc!,…bisous, tout plein!,…Ah!,..
…
…mon bon plaisir,…t’a encore rien vu!,…
…
A ce propos les 7h39 pas en grève ni en retard sur l’horaire annoncé fontt un peu j’ai deux amours, brasserie kanterbrau et boutique Kronenbourg…
Phil dit: 1 juillet 2014 à 10 h 48 min
M. Thyssens a l’air de dire -sur son site- que la biographie en progress- depuis au moins 8 ans ?- aurait comme qui dirait du plomb dans l’aile.
Je me suis aperçu récemment que l’année 2013 ne s’était enrichie que de deux articles en février et en septembre. J’avais pourtant « alimenté » mon site sans discontinuité dans la plupart de ses compartiments mais ces modifications n’apparaissent pas dans « Mises à jour ». Il fallut me rendre à l’évidence : « Robert Denoël, éditeur » a pris en huit ans une ampleur telle [plus de 3 000 pages imprimées] qu’il vaut mieux le considérer désormais comme un dictionnaire. Dès lors, l’utilisation du moteur de recherche devient indispensable. Rappelons-en l’usage :
Dernier message, avant de mettre les voiles, non-islamiques :
Nouvelles du dépotoir footballistique. On nous signale que les slogans du match DEUTSCHLAND-FRANCE ont été déposé à la FIFA sise à Rio, conformément au règlement du Mundial.
« Gott mit uns » pour le premier, « Gode für uns » pour le second.
la fin des sacs-poubelles: on se demande comment JC et bougros vont faire pour nous débarrasser des ordures qu’ils déversent sur ce blog
non, en fait, Phil, l’annonce de cette bio de l’éditeur rival de P.V., date au moins de l’âge de pierre numérique. Je dirais 15ans.
Ils ne rigolaient pas, comme l’impression que notre époque est un constat à l’amiable dont les fautifs seraient désignés d’office sans qu’il soit besoin d’un avocat pour plaider leur cause, et s’il s’agissait de démasquer les imposteurs, Dieu seul sait où cela nous mènerait, au jardin de Bagatelle, au milieu des attraction pour enfants? Grand capital…
Desj si j’étais chez vous, je dirais neuf mais sûrement est-ce moins, suis trop optimiste?
Ici Londres,
Les sacs dont parlait notre ami porquerollais sont des « sacs pour belles » … l’expression n’est pas géniale, mais positive pour les malheureuses beautés, prisonnières de leur sac. Bon Ramdam !
Denoël fut proprement liquidé au volant de sa citroën, dans la belle tradition des films noirs. Il aurait dû conserver l’amitié de son associé Steele avec lequel il édita Céline, toujours utile pour éviter les balles de l’épuration. Mais le flamand était fougueux, ce qui ne devait pas déplaire à la Voilier pas uniquement portée sur la rime.
La biographe pressentie doit éprouver quelques difficultés à ouvrir certains cartons.
JC 11 h 56 : « Gode für uns »… réponse de bougrais : « Gode ceinture für ich » (comme dirait son pote Göring)
http://www.thyssens.com/04assassinat/pieces_a_convic/dossier_disparu.php
Apparemment tout était calme en surface.
Paul Valéry, aussi serein que le discours académique qui fait son éloge.
extrait:
« Il est un peu moins connu que, dans Montpellier, un jeune homme de vingt ans, précocement sollicité, allait se préparer à faire, sur le même Villiers de l’Isle-Adam, sa première conférence. Le texte en est resté plus secret que les transes du débutant. Ces craintes sans doute eussent été augmentées, s’il avait dû lire ou parler, comme Mallarmé, pour un aréopage et chez une grande dame qui, par sa distinction et quelque énigmatique réserve, imposait à ceux qui l’approchaient, même si elle les tenait pour les premiers artistes du temps, un visible embarras. Mais, en quelle autre ville du monde que Paris, pouvoir imaginer une soirée aussi émouvante que celle où un poète, créateur d’un siècle de poésie épurée, lisait une incomparable prose, devant les hommes qui avaient inauguré un siècle de peinture nouvelle ? Cela, chez une amie, fille d’un subtil helléniste, puis élève de Corot, présentée peu après par Fantin-Latour à Manet, et qui, chez son professeur de musique, n’ayant eu d’yeux que pour un dessin d’Ingres, s’était préparée à devenir elle-même peintre de chefs-d’œuvre ? »
http://www.academie-francaise.fr/inauguration-dune-plaque-commemorative-apposee-sur-la-maison-de-paul-valery-paris
ps: Phil, la réalité doit être bien plus triviale. Il n’y a rien qui ne puisse s’acheter; même pas l’intention d’une bio.
pps: je trouve dommage que les alertes à répétition -signes cliniques- que semble donner Paul Valery sur son état de santé, dans ses lettres, n’ait pas été prises en compte; même par un hypocondriaque.
L’Union française pour le sauvetage de l’enfance fut en 1887, une des toutes premières associations laïques à poser le problème de l’enfant maltraité dans sa famille. Pendant plus de 100 ans, l’UFSE est venue en aide à des milliers de jeunes en difficulté, tout en s’efforçant d’adapter sans cesse ses interventions à des besoins en constante évolution.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Union_fran%C3%A7aise_pour_le_sauvetage_de_l%27enfance
« migraines & indigestions » j’ai récupéré ça dans la poubelle, c’est pour ça.
petit commentaire sur le mag litt du « crépuscule d’amour absolu »
« « C’est le jeu », dit-on couramment lorsque quelqu’un perd. Manière de dire qu’il fallait s’y préparer, que la norme c’est l’échec, qu’étrange aurait été la victoire – et qu’on joue avant tout pour perdre.
Le jeu, ça s’étudie… ! Scientifiquement.
Il est faux de dire que jouer c’est « vouloir perdre », c’est confondre émotion du joueur et probabilités de gains calculés… ! En théorie probabiliste des jeux, on peut déterminer si le jeu est « équilibré » entre gagner et perdre, ou si c’est de la tromperie d’escroc, ou un entre-deux…
… et pour le jeu amoureux, c’est pareil…. !
Il est faux de dire que jouer c’est « vouloir perdre »,
nash ne voulait vraisemblablement pas perdre sa « santé mentale » comme on dit ,mais on parle aussi d’inconscient , n’est-ce pas ?
Excellent Dr Lecter, un homme d’exception.
HR, je sais très bien ce que c’est que l’inconscient !
C’est le vieux concept, puis le truc nouveau, marque déposée Siggy, le ça du Groddeck, j’en passe et des meilleures, lacannes.
Un exemple ? Tu fais un bisou ‘conscient’ à ta maman. Attention ! C’est pas qu’un bisou conscient : tu n’as pas entendu ton ‘inconscient’ qui te dit : « BAISE LA ! ».
Si tu l’entends pas c’est l’inconscient. Si tu l’entends, t’es un gros dégueulasse !
Sur la photo du haut, il a quand même le teint cireux, le Popaul. Il est mort de quoi, au juste ?
Ben, il est mort de mort, répondrait un personnage de Giono. Ce qui est une réponse profondément sensée.
Au fond, la plus grande erreur de l’humanité, c’et d’avoir inventé la médecine. Et avec ses progrès incessants, ça ne s’arrange pas. Que de gens qui, sans l’intervention des médecins, seraient morts à leur heure, sans faire d’histoire, en toute naïveté, sont dévorés d’angoisse parce qu’on leur a dit ce qu’ils avaient et parce qu’il se sont laissés convaincre de se soigner.
Prébois,
La seule mort qui vaille : la petite …
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