Place Taksim, lire c’est résister
Après un mois de manifestations réprimées avec la violence policière que l’on sait (plusieurs morts, des milliers de blessés), et la place nette faite à coups de lance à eau et de gaz lacrymogène dans le parc Gezi attenant à la place Taksim désormais aussi célèbre que la place Tahrir, un homme seul a poursuivi la lutte à sa manière. En s’y tenant debout immobile pendant des heures. Devenu l’icône du mouvement par la force d’une seule photo, un peu comme le fut à « son corps défendant » le jeune chinois stoppant par sa seule présence une colonne de chars sur la place Tian-An-Men, le chorégraphe du nom de Erdem Gunduz a fait des émules dans toute la Turquie. D’autres « hommes à l’arrêt » ont pris le relais de sa présence muette et non-violente. Mais à Istanbul, le mouvement a pris ces derniers jours un autre visage avec l’apparition d’hommes et de femmes, certes debout et immobiles, mais ostensiblement plongés dans la lecture d’un livre. Jusqu’à inspirer un « Taksim Square Book Club », comment en témoigne le blog du photographe anglais George Henton.
Nul doute que si son reportage n’était pas aussi fort, et si largement diffusé par Al-Jazeera, l’initiative aurait rencontré moins d’écho. Que lisent-ils en turc, en anglais, en français (ici toutes les photos en grand format) ? Des discours et des biographies de Mustafa Kemal Atatürk, le père de la République laïque turque, dont le portrait leur fait face puisque le centre culturel qui porte son nom se situe sur cette place ; Le Mythe de Sisyphe d’Albert Camus , Trois jours chez ma mère de François Weyergans, Des feuilles dans la bourrasque de Gabriel Garcia Marquez, La crise du 
monde moderne de René Guénon, La Métamorphose de Kafka, La Fin des temps de Haruki Murakami, Et Nietzsche a pleuré de Irvin David Yalom, Resurrection Gallipoli 1915 de Turgut Ozakman, des nouvelles de Tezer Ozlu, le livre le plus plébiscité par les lecteurs de la place Taksim étant, d’après le photographe, 1984 de George Orwell. Quel chemin parcouru depuis les tous débuts du mouvement lancé à l’origine par des écologistes contre le projet de destruction du parc Gezi, sa piétonnisation, la reconstruction d’une caserne et la construction d’un centre commercial ! La réaction du pouvoir fut si radicale que le mouvement déborda largement son objectif initial et se mua rapidement dans tout le pays en contestation contre un gouvernement islamiste qui a multiplié les initiatives autoritaires restreignant les libertés.
Ils lisent tranquillement, sereinement, sans proférer le moindre slogan ni harceler les policiers et les soldats omniprésents dans le quartier. Ils le font à visage découvert malgré les risques de fichage et de poursuite judiciaire. On verra bien si dans la Turquie d’Erdogan la lecture publique et silencieuse est tenue pour un « acte de vandalisme », c’est à dire comme une dénonciation vue comme une insupportable provocation, et si des hommes et des femmes, figés en autant de statues de sel, ont pu durablement l’ériger en un acte de résistance au régime.
(Photos de George Henton)
587 Réponses pour Place Taksim, lire c’est résister
Bloom dit:
à
La place des places tend à s’accroître. Les rapports entre urbanisme et révolution/révolte sont passionnants.
...com /ma dit:
à
avec émotion .et merci pour ce reportage .
Bloom dit:
à
Le livre a sa place.
Le livre à sa place.
JC dit:
à
J’espère que ces vandales-lecteurs vont être pourchassés, jugés, punis, par le nouveau Patate Türk, l’inestimable Erdogan, chantre de la croissance capitaliste turque, idole du Bazar.
Ces femmes qui lisent, au lieu de faire des enfants, le ménage et la cuisine ! Ces femmes qui ne sont pas voilées !!! … on voit bien que dans ce pays musulman immense, ce ne sont pas de bonnes musulmanes. Seulement des filles perdues, quoi … des presque-Femen déracinées.
La lecture pour s’opposer au vote rural conservateur qui est tout sauf modernité ? Perdu d’avance … comme ailleurs.
Dans quelques temps, on retrouvera ces braves gens instruits, sincères, impuissants et fichés en Turquie, dérouler leur vie nouvelle en Allemagne !
Qu’Allah Tout-Puissant fasse échouer définitivement l’entrée de la Turquie dans notre merdier européen … !
furgole dit:
à
En France aussi, il y a des veilleurs debout, et beaucoup. Ils protestent contre les dérives fascisantes et policières de l’état hollandien récemment condamné (comme la Turquie, tiens, tiens…) par le Conseil de l’Europe, contre la gazage de manifestants pacifiques, contre des centaines de gardes à vue illégales, contre la condamnation à deux mois de prison ferme d’un jeune, Nicolas Bernard-Buss, dont le seul crime est d’avoir manifesté de façon non violente, alors que tant de criminels dangereux sont renvoyés d’une tape sur l’épaule
Mais cela, la presse aux ordres n’en parle pas. Pour être informé, il faut lire des blogues dissidents (comme le salon beige) ou le rapport très circonstancié (94 pages) et édifiant soumis au Conseil de l’Europe. De toutes ces atteintes aux libertés fondamentales qui se passent devant notre porte, quand en parlerez-vous, monsieur Assouline ?
Jacques Barozzi dit:
à
Et personne pour lire Pierre Loti, alors que le café qui porte son nom est l’un des sites les plus visités d’Istanbul !
http://librairie-marine.com/documents/loti/aziyade-poche.jpg
Chaloux dit:
à
Lire pour résister, c’est magnifique et bouleversant.
Une bonne part du sens de la vie est là.
Quelques lignes lues hier.
« »Qu’est-ce que l’histoire? Est-elle une succession ordonnée et pre-ordonnée d’événements – auquel cas elle serait « providentielle » et « finaliste », en chemin vers une issue de rédemption sociale et de spiritualité éclairée? – ou ne consiste-t-elle qu’en l’enregistrement (forcément incomplet) d’un fatras de faits tragiques et monstrueux, d’événements pacifiques et édifiants (nettement moins fréquents)? Chacun en juge selon ses convictions philosophiques ou religieuses. Mais le fait est que notre temps -avec ses massacres épouvantables, l’inflexible égoïsme des classes, catégories, corporations, ethnies et religions dressées les unes contre les autres, le niveau culturel catastrophique des masses subjuguées, uniformisées et abruties par les médias et la publicité, l’arrogance et l’inculture des centres de pouvoir, la recherche du profit à tout prix et par tous les moyens, les privilèges dorés de quelques uns tandis que sont innombrables ceux qui tentent juste de survivre -semble donner raison à la seconde hypothèse, que personne n’a résumé aussi efficacement que James Joyce, quand, dans Ulysse, il met dans la bouche de Stephen Dedalus ce verdict affligé : « L’histoire est un cauchemar dont je cherche à m’éveiller » ».
Luca Canali, De Jules César à Jésus Christ.
Arlea.
JC dit:
à
Furgole, voyons ….! Vous imaginez Passou en Batman, luttant pour la justice et le droit ? Vous imaginez Passou en Superman ? Juré le jour, Justicier la nuit ? Impossible…
Ce qui plaît à Passou, c’est l’imagerie épinalienne, et malgré cela surréaliste, de combattants armés de livres. Il faut avouer que nous avons tellement été émus par le cabas du petit chinetoque égaré devant une colonne de char. On croit aux images, en Occident doucereux…
Moi, ça me fait plutôt marrer (je crois aux vertus de la kalachnikov plutôt qu’aux romans lus sur une place) mais vous savez que j’ai mauvais fond, bien encrassé, bien grossier.
JC dit:
à
« Lire pour résister, c’est magnifique et bouleversant. »
Lire est un acte de résistance « intérieur ». A cet égard, nous sommes d’accord.
Cependant, heureusement que la révolte contre le nazisme a été conduite par des gens armés d’autres chose que des livres ! C’est l’économie de guerre qui a permis la liberté. Si on avait dû compter uniquement sur la bravoure des lecteurs debout, assis ou couchés …!
Chaloux dit:
à
Non JC, nous ne sommes pas d’accord. Qu’est-ce qui a armé le bras des libérateurs, en plus d’intérêts bien compris? Tout une civilisation de pensée et de livres. Sans compter la trace laissée. Voyez Victor Klemperer.
JC dit:
à
Votre explication naïve m’enchante, Chaloux ! Une civilisation de pensée et de livres a gagné ? réglements de compte entre Impériaux, plutôt.
Ne confondons pas le papier cadeau, càd l’emballage, avec le contenu …
presle dit:
à
On croit aux images,
simpliste au temps d’internet !tout tout comme cette vision épinalienne de PAssouline pour qui a lu yalom (Dans le secret des miroirs (Every Day Gets a Little Closer, A Twice-Told Therapy),)
Le bourreau de l’amour, histoires de psychothérapie (Love’s Executioner and other tales of psychotherapy),
Jacques Barozzi dit:
à
Le livre, c’est le ver de la poésie dans le fruit de la tyrannie, extrait « troublant » d’Aziyadé :
« Une nuit tiède de juin, étendus tous deux à terre dans la campagne, nous attendions deux heures du matin,-l’heure convenue.-Je me souviens de cette belle nuit étoilée, où l’on n’entendait que le faible bruit de la mer calme. Les cyprès dessinaient sur la montagne des larmes noires, les platanes des masses obscures ; de loin en loin, de vieilles bornes séculaires marquaient la place oubliée de quelque derviche d’autrefois ; l’herbe sèche, la mousse et le lichen avaient bonne odeur ; c’était un bonheur d’être en pleine campagne une pareille nuit, et il faisait bon vivre.
Mais Samuel paraissait subir cette corvée nocturne avec une détestable humeur, et ne me répondait même plus.
Alors je lui pris la main pour la première fois, en signe d’amitié, et lui fis en espagnol à peu près ce discours :
-Mon bon Samuel, vous dormez chaque nuit sur la terre dure ou sur des planches ; l’herbe qui est ici est meilleure et sent bon comme le serpolet. Dormez, et vous serez de plus belle humeur après. N’êtes-vous pas content de moi ? et qu’ai-je pu vous faire ?
Sa main tremblait dans la mienne et la serrait plus qu’il n’eût été nécessaire.
-Che volete, dit-il d’une voix sombre et troublée, che volete mî ?
(Que voulez-vous de moi ?) …
Quelque chose d’inouï et de ténébreux avait un moment passé dans la tête du pauvre Samuel ;-dans le vieil Orient tout est possible !-et puis il s’était couvert la figure de ses bras, et restait là, terrifié de lui-même, immobile et tremblant … »
Chaloux dit:
à
JC, il me semble que vous avez passé sans les voir quatre ou cinq mots. Bonne journée.
JC dit:
à
Il n’est pas impossible que j’ai fais preuve de négligence en passant 4 ou 5 mots importants. Problème classique émetteur/récepteur… Bonne journée, Chaloux !
presle dit:
à
JC dit: 28 juin 2013 à 8 h 33 m
il n’est pas impossible non plus que vous en perdiez aussi l’orthographe que vous aimez exhiber sur blog comme votre plus belle et enviable et raisonnée et lumineuse conquête
chantal boedts dit:
à
Kenan Görgün
REBELLION PARK # OCCUPYWHAT ?
Tu ne peux pas marcher
Tu ne peux pas « t’arrêter »
Tu ne peux pas t’asseoir
Tu ne peux pas écrire
Tu ne peux pas dire « mensonge »
Tu ne peux dire la vérité
Tu ne peux pas sortir en rue
Tu ne peux pas t’y protéger
Tu ne peux pas soigner le blessé
Tu ne peux ni défendre ni accuser
Tu ne peux pas questionner
Tu ne peux même pas répondre
Tu ne peux pas occuper les parcs
Ni signaler qu’ils les détruisent
Tu ne peux pas occuper les places
Ni leur reprocher de les occuper
Tu ne peux pas déposer de fleurs
Tu ne peux pas enterrer les morts
Tu ne peux pas pleurer ton enfant
Ni demander où sont les absents
Leurs actes sont qualifiés d’héroïques
Et on ne demande pas de comptes aux héros
Tu ne peux pas dire « faisons la paix »
Tu ne peux pas dire « vous aviez promis »
Tu ne peux pas te souvenir d’hier
Tu ne peux pas exiger de « demain »
Ton pays n’est plus à toi
C’est écrit dans leurs lois
Tu ne peux plus occuper tes pensées
Tu ne peux plus occuper tes idées
Tu ne peux plus occuper ton corps
Tu ne peux plus occuper ta dignité
Tu ne peux pas
Tu ne peux pas
Tu ne peux pas
…Accepter cela.
JC dit:
à
Presle, vous m’avez pourri la matinée avec votre saillie sur l’ortograf ! Chantal, j’étais à deux doigts de pleurer : le rap, c’est ma faiblesse coupable…
barbara dit:
à
Ich bin ein taksimer !
Jacques Barozzi dit:
à
« j’étais à deux doigts de pleurer »
JC et ML, tout nus, place Taksim, qu’on rigole un peu !
Jacques Barozzi dit:
à
« Le numérique représente 3,1% du C.A. de l’édition française en 2012, contre 2% en 2011. »
Tout augmente !
« 555 romans français et étrangers paraitront à la rentrée, contre 646 l’an dernier. Mais davantage de premiers romans »
Tout baisse !
genovefa dit:
à
Tout baisse!( Baroz)
(Surtout lorsqu’on est nu, à deux, sur une place désormais devenue célèbre dans le monde entier!)
JC dit:
à
Nous ne danserons place Taksim, au son d’une musique sortie des cornemuses du respecté Bagad d’Ankara, l’ami LML et moi, que MARIES par le Père Noel de Bègles ….
Ce sera à la fois géant et honteux d’exposer, nus, nos corps athlétiques aux vertus littéraires sans mélange, enlacés, enturqués, homo-généisés, dans un tango celte du meilleur effet…
Bloom dit:
à
atteintes aux libertés fondamentales
—
Késaco?
JC dit:
à
Puisqu’on est dans le Tantouzland par la faute de ce petit chenapan de Barozzi, notons que le Pape François, celui du Vatican, pas notre stagiaire, est en train de serrer les boulons du lobby ecclésiastique gay, et surtout contrôler étroitement la Blanchisserie Bancaire du Vatican, alimentée par la religiosité mafieuse.
Il est bon le successeur du théologien à la retraite … très bon !
Bloom dit:
à
atteintes aux libertés fondamentales
—
En tous cas, le furegrole peut s’exprimer librement ici; la liberté d’expression doit pas être une liberté fondamentale.
police culturelle? dit:
à
@Bloom
Quelques informations, hors majorité officielle d’état…
http://www.koztoujours.fr/
Il y a même un avis de Patrick Kéchichian du Journal Lacroix, ancien du Monde, quelle honte!
Bloom dit:
à
M’est avis que les manifestants anti-homos, anti-choix de vie, ne lisent pas. Et encore moins dans une langue étrangère, et encore moins Kafka et Orwell dans l’orignal. En bons turcophobes putatifs, à l’instar du premier des leurs, ancien biling biling, il n’auront certainement jamais entendu parler de Turgut Ozakman, de Tezer Ozlu, d’Ozdemir Ince ou d’Enis Batur.
Il leur sera difficle de faire passer l’absence de culture du côté du progès.
genovefa dit:
à
S’il suffisait de lire pour être du « bon côté », combien d’intellectuels fascistes ou nazis cela aurait évité…
barbara dit:
à
quand on pense qu’il y a encore des gens en liberté comme ce JC pour écrire tant de conneries !
JC dit:
à
Bloom fait « simple », tant il est simple ! « Lisez, vous serez sauvé ! » (avec un plus pour les polyglottes )… !!!
Je me demande si je n’ai pas un dauphin de taille, question connerie ?…..
bouguereau dit:
à
C’est l’économie de guerre qui a permis la liberté. Si on avait dû compter uniquement sur la bravoure des lecteurs debout, assis ou couchés …!
l’économie de guerre..t’es un fétichiss abstrait jicé..un planqué de rond de cuir militaro industriel qui met des coup de couteau dans le dos au courageux : mein kampf est un live qui se vend bien..brévik veut nous abreuver de ses écrits..tous les tueurs en série adorent les bouquins..sur eux
Bloom dit:
à
@9 h 43 min
L’info offcielle catho resemble à s’y méprendre à du tout opinon. A chacun la sienne.
Terrible photo de Rana Plaza, saine indignation…Normal, devant un tel scandale, il est difficile de ne pas être d’accord sur l(‘indignité des nouveaux esclavagistes, Gap, Jules, Carrefour, Auchan, et titti quanti.
A quand un reportage sur les tanneries et l’élevage des crevettes au Bangladesh, où les conditions de travail sont mille fois pire que dans le secteur textile. Ah, désolé, c’est de l’info, pas de l’opinion…
bouguereau dit:
à
La crise du monde moderne de René Guénon
ben mon colon, je m’y attendais pas..c’est vrai qu’il est mort au caire
JC dit:
à
Bonjour barbara !
Dites moi : avez vous des nouvelles d’Ozymandias, votre petit protégé ?
(à moins que vous ne soyez pas cette charmante assistante …)
genovefa dit:
à
Bloom,
les « passage cochon de filipetti. » cela aide certainement à la » présence de culture du côté du progrès »…
« Culture du côté du progrès », quelle révélatrice expression de votre part, du Georges Marchais dans le texte!
( Jack Ralite c’est quand même autre chose!)
JC dit:
à
Bloom est contre l’esclavage : il était important de le faire savoir … Il est aussi pour la Liberté : c’est important, qu’il dit l’humaniste racé !
furgole dit:
à
Nous vivons ici dans ce que le rabbin Jakob Talmon, dans son ouvrage prophétique de 1955, a brillamment qualifié de démocratie totalitaire.
Une démocratie d’apparence, mais où tous les moyens d’information sont détenus d’une poigne de fer, par les tenants de la même idéologie. A quoi sert la liberté de voter, quand tous les électeurs ont été lobotomisés par un journal de vingt heures, outil qui aurait fait pleurer d’envie le bon Docteur Goebbels ? A part cela, vous êtes bien entendu libre de publier vos opinions dans une revue qui tirera à cent exemplaire, parce que la grosse presse bien pensante l’aura qualifiée de sulfureuse qu’elle soit de droite ou de gauche…
Vous êtes libres de manifester mais, même si vous êtes très nombreux, personne n’en parlera, alors que dis tenants de l’opinion majoritaire feront les gros titres.
Quand 98% des journalistes sont d’une tendance déterminée, quand la plupart des juges sont décidés à vous envoyer au trou si vous n’avez pas leur idées bien marquées, quel est encore le sens de la démocratie ?
bouguereau dit:
à
avez vous des nouvelles d’Ozymandias
tu voudrais pas faire l’humaniss jicé des fois ? non jicé pour être au dessus de tout soupçon faut dire « comment va ce petit enculé d’ozy? »
bouguereau dit:
à
Nous vivons ici dans ce que le rabbin Jakob Talmon
l’info officielle juive ?
bouguereau dit:
à
du Georges Marchais dans le texte!
encore un qui a écrit des lives..l’aurait mieux fait de se mettre le couteau entre les dents c’t’intello hin jicé
police culturelle? dit:
à
« L’info officielle catho »
L’argent, la police, le pouvoir discrétionnaire, ce sont vos amis et supérieurs qui le possèdent, Bloom.
Bergé à son troupeau sous couvert de démocratie.
Magnus Pym dit:
à
Au moins les Femen turques sont-elles très comme-il-faut : elle lisent pudiquement sur du papier, au lieu de faire lire sur leur balcon dénudé…
furgole dit:
à
@bouguereau. Non, pas la « pensée officielle juive », mais l’ouvre d’un grand penseur, qui avait perçu les dérives de notre époque, dont il lisait fort justement l’annonce dans le Contrat Social de Rousseau.
La judéité de Talmon suffirait-elle pour vous à le disqualifier ? Devrais-je y vois une forme, même larvaire, d’antisémitisme ?
Phil dit:
à
Gare aux lecteurs passifs.
en 42, des jeunes gens Français arboraient une étoile jaune fictive sur les Champs Elysées. Jünger observe: « ils n’ont pas compris que le temps de la discussion est fini ». ceci dit pour causer littérature.
tom dit:
à
à quoi sert de répondre au taré de pq, ce n’est qu’un c , aigri et raciste,à l’image de sa muse la grosse ma.i.net avec son unique neurone il est programmé pour haïr et être de plus en plus débile, ça l’humilie de constater que les populations musulmanes résistent – il se dit qu’il va crever sans s’être fait un « Arabe »..
bouguereau dit:
à
furgogol, les turpitudes que l’on conçoit on les voit..mais c’est pas si grave, un lavement au vinaigre de framboise tiède devrait facilement en venir a bout..tiens nous au courant et ne me remercie pas, c’est allah qui est grand
Bloom dit:
à
L’antisémtisme à l’état larvaire…un rapport avec la théorie de l’évolution?
Sollicité sur sa messagerie électronique, Rousseau, par retour de courriel précise que , je cite « je ne dois rien à Lucrèce et son De Rerum Natura, à Thomas Hobbes et son Leviathan, aux Deux traité sur le gouvernement civil de John Locke, ou encore aux écrits des éminents théoriciens du droit naturel que furent Grotius et Pufendorf ».
Il dit qu’il connait son coeur et connait les hommes et qu’il sait identifier un rat quand il en voit un.
Il ajoute qu’il déteste être instrumentalisé par les uns et les autres.
bouguereau dit:
à
Gare aux lecteurs passifs
c’est dangereux de lire des bouquin sur les noeuds marins phil
Phil dit:
à
bougreau, comme dit baroz, en Turquie on relit « le matelot » de Loti.
nikotapis géant dit:
à
« quand la plupart des juges sont décidés à vous envoyer au trou si vous n’avez pas leur idées bien marquées, quel est encore le sens de la démocratie ? »
c’est vrai merdre où cé qu’on va si la justice fait son boulot et envoille au trou les prédateurs escrocs truands et responsables de morts , c’est pas juste quoi
Bloom dit:
à
L’argent, la police, le pouvoir discrétionnaire, ce sont vos amis…qui le possèdent,
—
Merci de l’info – quel naïf ne faisais-je donc pas, hein? Bon sûr mais c’est bien sang…tout s’essplique…alleluia…
Pas à dire, ça assure béton dans l’camp d’en face. Tous nobelisables.. trop forts!
JC dit:
à
tom dit: 28 juin 2013 à 10 h 34 min
Mon petit Tom, retourne dans ta case*, téléphone fissa au bon psychiatre, le Docteur Sigmund, allonge toi calmement et raconte lui ton enfance : ça ira mieux. Tu en as bien besoin, poveretto !
JC dit:
à
bouguereau dit: 28 juin 2013 à 10 h 10 min
faut dire « comment va ce petit enculé d’ozy? »
Tiens, tu m’y fais penser, Bougboug, à cette question qui me taraudait le cortex ! Est ce que tu as déjà envisagé l’univers, le monde, l’Europe, la France, le 9.3, le Marais, sans trousduculs ni enculades ?….
(j’espère que tu ne trouves pas ma question indiscrète ? sinon, tu me l’emballes dans un exemplaire de journal, Les Echos de préférence à L’Huma, et tu me la renvois… subito. Bises !
u. dit:
à
JC, espèce de rabat-joie.
Une jeune femme debout lisant un livre (surtout un bon livre), quel délice.
C’est même un sentiment étrange et un peu dérangeant.
Comme la vision, le temps d’une seconde, d’un « quelque chose contre laquelle il est impossible d’être contre ».
Ça met à mal le sens critique, la distance ou même l’ironie…
Et merde.
Vivent les liseuses de la Place Taksim!
John Brown dit:
à
Lire en public l’innommable nanard qu’est « Trois jours chez ma mère » de Weyergan, voilà qui relève en effet d’une insupportable provocation.
JC dit:
à
Tiens ! un début d’énervement chez u. ? Curieux … Inhabituel !
Ne me dites pas que c’est parce que ce type de manifestation naïve, juvénile, infantile, en fait sourire quelques uns, dont je fais partie, connaissant la musique des rues …. et des places ! c’est du cinéma printanier, ces manifs, on voit le succès que ça donne en tunisie ou en Egypte…
cependant, crions tous ensemble mes frères :
« Vivent les liseuses de la place Taksim !…. et les autres ! »
John Brown dit:
à
« Pour être informé, il faut lire des blogues dissidents (comme le salon beige) » (rédigé par furgole)
En voilà un au moins qui ne cache pas ses sympathies. Heil Jean-Marie !
JC dit:
à
Porquerolles par sa position geostratégique est aux premières loges pour être envahie attaquée les honnêtes gens se laisseront pas faire – sus aux méchants moi je dis et en prime je suis trop drôle
furonc du paraguay dit:
à
Encore un coup des socialos -on peut p’us prier et voler en paix -c’est la dictature, la preuve que le démon est aux commandes de la justice: « Un prélat, un membre des services secrets italiens et un intermédiaire financier ont été arrêtés vendredi dans le cadre d’une enquête de la justice italienne sur l’Institut des oeuvres de religion (IOR), la banque du Vatican, ont annoncé les médias. » (AFP)
Jacques Barozzi dit:
à
« Vivent les liseuses de la Place Taksim! »
J’ai toujours pas trouvé la contrepèterie !
furonc du paraguay dit:
à
Le ciel dément cette info diabolique: « les trois hommes sont soupçonnés de fraude et corruption. «
Jacques Barozzi dit:
à
Pissent les vicieuses dans la tasse… ?
furonc du paraguay dit:
à
le ciel dément qu’ils sont coupables- – la justice divine frappera le parquet
JC dit:
à
Johnnie, 11h08,
Tu as tort ! Il faut lire aussi ce qui n’est pas de ton bord … Le conseil est valable, éminemment pertinent !
Regarde la pépite extraite du blog « Réveil communiste », tu peux vérifier daté d’hier :
« Esteban Morales raconte pour la première fois son retour au Parti communiste de Cuba: « J’ai dû me battre pour continuer à me battre »
C’est pas de l’or…? et le reste à l’avenant.
u. dit:
à
« Tiens ! un début d’énervement chez u. ? » (JC)
Mais non, c’est à moi-même que je parle.
La réaction que vous avez eu (« La lecture pour s’opposer au vote rural conservateur qui est tout sauf modernité ? … Dans quelques temps, on retrouvera ces braves gens instruits, sincères, impuissants et fichés en Turquie, dérouler leur vie nouvelle en Allemagne ! »), je l’ai eu aussi.
Ce que je vois, ce n’est qu’un signe fragile.
Mais il emporte tellement mon adhésion que je suis heureux d’y céder.
L’érotique, le politique, le cosmique, tout ça ensemble…
Les commencements (la « natalité » au sens d’Arendt), l’instant utopique, rien de cela n’est dénué de sens.
Jicé, bougre de rôts ! dit:
à
« et tu me la renvois… subito »
Je crains fort de devoir aussi gâter ton déjeuner, jicé..mais surveille quand même tes renvois, hein ? Immer korrekt, das macht Effekt !
JC dit:
à
« Mais il emporte tellement mon adhésion que je suis heureux d’y céder. »
Logique !
JC dit:
à
« tu me la renvoies » ?
C’est mieux ? plus intelligible… ? Ah ! les profs : incorrigibles !
JC dit:
à
elle m’a dit de taper sur la gauche et les étrangers, j’obéis, ça m’occupe
carlo dit:
à
La seule question qui vaille : qu’en pense renato ?
carlo dit:
à
On sait déjà qu’il n’est pas d’accord, mais de quelle manière va-t-il le dire ? C’est la seule chose qui me préoccupe.
…com/ma dit:
à
Taksim est le nom d’une place et, par extension, du centre moderne d’Istanbul qui s’étend aux alentours, sur la rive occidentale (européenne) de la ville. C’est un centre nerveux multiculturel qui vit 24 heures sur 24, avec des flux de personnes importants, mais aussi un trafic routier intense sur le rond-point de la place du même nom. Elle est dans le district de Beyoğlu.
La place abrite le Cumhuriyet Anıtı (Monument de la République), qui a été construit en 1928 et commémore la création de la République turque, ainsi qu’un bâtiment de division des canalisations d’eaux (qui est à l’origine du nom de taksim, qui signifie « division » en arabe) datant du xviiie siècle. C’est également une station importante de bus vers les autres quartiers de la ville, même très éloignés.
La place est située au début de la fameuse Istiklal Caddesi, une longue rue piétonne dans laquelle un tramway fait des allers-retours.
u. dit:
à
Micro-événement en Iraq
Mais non, ce n’est pas pour attendrir JC!
(C’est aussi une pièce dans le débat douteux sur les pratiques animales en matière de « funérailles »)
…com/ma dit:
à
L’usage veut qu’on ne donne jamais la solution d’une contrepèterie, chacun devant la trouver lui-même. On dit qu’il faut être trois pour apprécier une contrepèterie : celui qui l’énonce, celui qui la comprend, et celui qui ne la comprend pas.
Notons bien que c’est le son et non l’orthographe qui compte, et cette correspondance phonétique doit être stricte. Ainsi, la confusion entre les phonèmes /ʒ/ et /g/ rend douteuse la phrase « ne pas connaître d’orgie sous un tel marasme » (Ne pas connaître d’orgasme sous un tel mari)4. De même, des cas tels que « J’ai une engelure qui m’empêche de fuir ! »4 restent exceptionnels. Et l’on ne saurait admettre « Le ministre des finances trouve toutes les baisses faisables », épinglée (mais publiée) par Le Canard enchaîné, ni une autre qui lui a échappé : « On voyait la ribaude de la tente aux festons » puisque « teston » en ancien français n’a jamais été confondu avec « téton ».
u. dit:
à
Je suis très ouvert en matière d’éthologie depuis le jour où j’ai surpris un chat en train de lire.
Oh, pas longtemps, mais il regardait les pages avec application.
Mais ne pas pouvoir comparer ses interprétations, c’est ça qui est frustrant.
tom dit:
à
JB 11h08
idem pour le connard de pq, ce toutou et fils naturel à jmlp
Jacques Barozzi dit:
à
Au bout de cette voie piétonne, où sont regroupées les principales ambassades européennes, on accède au quartier hyperbranché de Galata, qui s’articule autour de cette célèbre tour génoise d’où l’on a une vision panoramique sur la mer, le Bosphore et la Corne d’Or, et qui évoque tout à la fois Montmartre et Saint-Germain-des-Prés…
…com/ma dit:
à
@:u. dit: 28 juin 2013 à 12 h 07 min
Vilain , vous m ‘avez tiré les larmes des yeux .
…com/ma dit:
à
Le quartier de Galata est un quartier d’Istanbul, la plus grande ville de la Turquie. Galata est situé au nord de la Corne d’Or, position qui la sépare du vieux centre de la ville de l’ancienne Constantinople. La Corne d’or est traversée par plusieurs ponts, le plus connu étant le pont de Galata. Plus connu sous le nom de Karaköy, Galata est aujourd’hui un quartier du district de Beyoğlu.
Galata (également connu sous le nom de Pera à l’époque) était une colonie de la République de Gênes entre 1273 et 1453. Au centre du quartier se trouve la tour de Galata, construite par les Génois en 1348 au nord et au plus haut point de la citadelle.
Clinique du Traumatisme Youtube..... dit:
à
Notre patient, interrogé par notre service d’urgence à son arrivée a déclaré : « Je suis admis dans votre établissement renommé pour une seule raison : j’ai vu une video de chien enterrant un concept affectif et j’ai craqué ! »
Notre psychiatre l’a consolé du mieux qu’il a pu : « Ne vous inquiétez pas ! nous allons envoyer à votre âme damnée, monsieur u., la video du soldat bouffant un cœur d’ennemi… cela va le calmer… »
Jacques Barozzi dit:
à
C’est au sommet de l’autre rive de la Corne d’Or que se situe le café Loti.
http://cdn1.vtourist.com/4/4636149-piere_loti_cafe_Istanbul_Ili.jpg
John Brown dit:
à
L’initiative des protestataires turcs pourrait fournir une idée de marketing à nos éditeurs pour écouler leurs invendus. Par exemple, Gallimard pourrait engager chômeurs et SDF et les faire stationner dans les rues de Paris, les yeux rivés (quel supplice! on voit bien que les professions à risque, ça existe) sur l’exemplaire ouvert de quelque nanard de Weyergans, par exemple. On ne leur demanderait pas de le lire (les pauvres!), juste de faire semblant.
filipo péquutégniez dit:
à
Un évêque arrêté dans l’affaire de la banque du Vatican: la justice ne respecte vraiment rien ! elle est infestée de mécréants islamo- bolchos –
u. dit:
à
357 condamnés à des travaux d’intérêt public debouts (Cahuzac, Tapie, Guaino, DSK, Guerini, on en trouve tant qu’on veut), Place Saint Germain, avec en main les 357 romans français de la rentrée.
Ils ont le droit de parler pour faire la retape.
Ils ne partent que s’ils ont vendu le livre.
On fait le buzz.
infirmier de jc dit:
à
Pour le pervers de porquerolles, binaire qui ne s’est pas remis de la « perte » de l’Algérie, les musulmans ne peuvent être que des sous-hommes
service de presse compatissant dit:
à
u.
c’est injuste pour nicolas, dans l’ombre actuellement
arkiosque dit:
à
@U mais eux eur sport c’était d’faire du
yog ® out burglar !
Bloom dit:
à
Puisqu’il est question de « liberté », je constate que la direction du seul établissement culturel français du Paraguay est à prendre à partir de septembre 2014. On précise qu’il s’agit du seul lieu où la parole était libre sous la dictature de Stroessner…On imagine la cata, avec la Teigne à sa tête…
bouguereau dit:
à
Je suis très ouvert en matière d’éthologie
tu sais que c’est un épagneul françeye ça meusieu..au cirque en belgique on crirait rembourseye..
bouguereau dit:
à
tu sais que toi renfield tu as tes chances dans un cirque à namur..ton maitre fereye beaucoup d’euro
JC dit:
à
infirmier de jc dit: 28 juin 2013 à 13 h 06 min
« Pour le pervers de porquerolles, binaire qui ne s’est pas remis de la « perte » de l’Algérie, les musulmans ne peuvent être que des sous-hommes »
1/ pourquoi ne pas interroger les vieux indigènes, sur le « gain » ?…
2/ quelle idée de limiter cette définition, sous-hommes, à une seule religion, à un seul pays, à une seule culture. Nous pouvons l’appliquer à nous-mêmes…
Bien à toi, mon chou !
bouguereau dit:
à
Ils ont le droit de parler pour faire la retape.
Ils ne partent que s’ils ont vendu le livre
ils le dédicacent le quimbou et le vende 10 fois le prix sur ébay sans bouger..la princesse avec le bistère signé par sarko..mais ça vaut une fortune malheureuye..évidemment si le blistère est arraché, jicé ten donnera pus que 300 euro..c’est la connerie a pas faire
la mémoire fraîche? dit:
à
« les musulmans ne peuvent être que des sous-hommes » infirmier de jc
paroles d’un ancien Maire Socialiste célèbre de Montpellier!
bouguereau dit:
à
..georges marchais a dit que dsk au sénat c’était un skènedâl..
renato dit:
à
Marianne Moore, The Paper Nautilus
For authorities whose hopes
are shaped by mercenaries?
Writers entrapped by
teatime fame and by
commuters’ comforts? Not for these
the paper nautilus
constructs her thin glass shell.
Giving her perishable
souvenir of hope, a dull
white outside and smooth-
edged inner surface
glossy as the sea, the watchful
maker of it guards it
day and night; she scarcely
eats until the eggs are hatched.
Buried eight-fold in her eight
arms, for she is in
a sense a devil-
fish, her glass ram’shorn-cradled freight
is hid but is not crushed;
as Hercules, bitten
by a crab loyal to the hydra,
was hindered to succeed,
the intensively
watched eggs coming from
the shell free it when they are freed,–
leaving its wasp-nest flaws
of white on white, and close-
laid Ionic chiton-folds
like the lines in the mane of
a Parthenon horse,
round which the arms had
wound themselves as if they knew love
is the only fortress
strong enough to trust to.
bouguereau dit:
à
nanard de Weyergans, par exemple. On ne leur demanderait pas de le lire (les pauvres!), juste de faire semblant
spécheul dédicace jean marron (ça devrait te donner tes idées..non?le pognons que tu frais avec..une volvo de 1975..1500 000 km au compteur..acheté sur ébay avec..chaloux mort de jalousie..)
http://www.youtube.com/watch?v=HkfC2dfNHGM
JC dit:
à
Pour avoir bien connu la Bête de Septimanie, je n’aurais jamais choisi, ni ancien, ni Maire, ni Socialiste … la plus proche comparaison me semblant devoir remonter jusqu’à Denys, fameux « tyran éclairé » de Syracuse, un bachar de l’époque platonicienne.
Repose en paix, Georges !
u. dit:
à
« Pour avoir bien connu la Bête de Septimanie »
Les 3/4 des anciens Maos ont beaucoup grossi.
Les Trotskards sont restés plus secs.
Je n’en tire aucune conclusion.
JC dit:
à
On peut avoir connu une personne, en dehors du protocolaire codifié, par l’intermédiaire d’une troisième relation, disons plus libre … me suis-je bien fait comprendre ?
arkiosque dit:
à
à Uno Koto(n)
j’ai fait phot ortograpH à 13 h 14 min
burgliard ?
demande à
yalom Mensonges sur le Divan (Lying on the Couch),
bouguereau dit:
à
Les Trotskards sont restés plus secs
..pour faire mieux l’entriss couleur muraille des fusillés tu devrais te taper plus de burgeur jicé..zouzou l’aurait encore dans l’fion bien profond..sans en tirer plus de conclusion évidemment
renato dit:
à
« Les Trotskards sont restés plus secs. »
Oui, mais avec un peu de bedaine…
Jacques Barozzi dit:
à
Que l’on aime le personnage ou pas, il faut reconnaitre que Georges Frêche a fait du bon boulot à Montpellier :
« Ville de tradition cosmopolite et œcuménique, Montpellier a connu un profond essor démographique dans les années 1960 avec l’arrivée massive des Pieds-Noirs d’Afrique du Nord et l’immigration maghrébine et espagnole. C’est désormais une cité active, caractérisée par une population jeune, et qui a su développer à sa proche périphérie de nouveaux quartiers et renouveler ses ressources et son industrie. Ville particulièrement attractive et jouissant d’une démographie en constante croissance, Montpellier totalisait au dernier recensement de 2008 plus de 250 000 habitants, et plus de 400 000 pour son agglomération, se hissant désormais à la huitième place nationale. »
(in « Le goût de Montpellier »)
généralités dit:
à
9h43 il est aujourd’hui encore possible de supposer que le principe d’indépendance de la justice soit de mise en regard de la prétendue séparation des pouvoirs et en dépit d’une ébauche de réforme en sens inverse cependant l’erreur enferme et ceux qu’elle enferme ne semblent pas disposer à en sortir car s’ils le faisaient l’erreur en cause deviendrait remarquable et nous savons tous que la justice l’état tiennent à leur pouvoir discrétionnaire leur dictionnaire leur terminologie langue de bois ou de pacotille selon, avec de temps à autres des rocs des pythons des inaliénables des irréductibles qui sortent du rang et rafraîchissent les mémoires redéfinissent la ligne tapent le rappel sonnent le tocsin ou se prennent un pruneau afin de mettre un terme à leur volonté opiniâtre.
Jacques Barozzi dit:
à
« Né à la fin des années 1970 à l’initiative de Georges Frêche, maire de 1977 à 2004, et de son adjoint à l’urbanisation Raymond Dugrand – qui s’inspire du plan d’urbanisme d’Eugène Baudouin de 1943 –, le projet d’Antigone a pour objectif de libérer du foncier et d’ouvrir la ville vers le sud-est. Conçu par l’architecte catalan Ricardo Bofill, relié au centre ancien par les Echelles de la ville – allusion aux métiers de la cité médiévale répartis en sept échelles –, ce quartier néoclassique s’étire jusqu’au Lez, dont le cours est alors canalisé. L’axe ainsi tracé depuis la place du Nombre-d’Or jusqu’à celle de l’Europe est chargée de symboles : il a la même longueur que l’avenue des Champs-Elysées, 1800 mètres, et fait aussi écho à l’axe structurant Montpellier à l’ouest, de la place royale du Peyrou à la rue Foch. Ainsi, alors qu’au XIXe siècle, palais de justice et préfecture avaient été placés le long de la rue Foch dans le prolongement de la place royale, au XXe siècle, l’hôtel d’Agglomération – sur la place de Zeus – et l’hôtel de Région aux allures d’arc de triomphe marquent un nouvel axe politique qui part de la mairie – avant que celle-ci ne se déplace plus au sud, dans un bâtiment conçu par Jean Nouvel. Autre acte symbolique : le 1er mai 1981, juste avant son élection à la présidence de la République, François Mitterrand vient poser la première pierre d’Antigone. Avant de réaliser lui-même, quelques années plus tard, à Paris, un programme urbain prolongeant d’un côté l’axe des Champs-Elysées et l’Arc de Triomphe vers l’arche de la Défense, et de l’autre vers la pyramide du Louvre…
Répondant à la formidable expansion de la population montpelliéraine, Antigone fourmille de clins d’œil à la civilisation gréco-romaine. Outre les noms des rues et des places, les petits bâtiments situés en contrebas de l’hôtel de région ont la forme de temples gréco-romains. Au milieu, une copie de la Victoire de Samothrace se tient fièrement, dirigée vers la ville et l’agglomération. Au cœur d’Antigone, la piscine olympique de Bofill fait face à la médiathèque de Paul Chemetov et Borja Huidobro. Ainsi sont rapprochés, comme dans la Grèce antique, les lieux où il est bon de cultiver son corps et son esprit. Les trois éphèbes à demi plongés dans la fontaine de la place de Thessalie voisine ne sont-ils pas un clin d’œil à cette philosophie ? »
(Marie Susplugas, « Montpellier secret et insolite », Editions Les Beaux jours, 2010)
bérénice dit:
à
Bouguereau vous n’aviez pas avoué votre dyslexie, autre chose à déposer? Nous afons les grands moyens de fou faire parler!
Bloom dit:
à
Pas confondre Montpellier (sa Comédie, son Courbet, ses 13 Vents) et le Mont Pelé (ses scories, ses laves, ses éruptions).
Frêche était un baron local comme il en existe amints en Gaule transalpine.
John Brown dit:
à
A l’exemple des protestataires turcs, on pourrait envisager un gigantesque mouvement (non-mouvement, en fait) de protestation contre le monde comme il va — les raisons de protester étant innombrables et infiniment variées — qui nous feraient tous descendre dans la rue avec un bouquin, grandiose ballet où, de façon aléatoire, les uns échangeraient leur bouquin avec les autres ( je te donne mon ancien testament, tu me files ton coran, passe-moi Rimbaud, je te fourgue Weyergans, Pascal versus les Onze mille verges etc. )
Pingback: Revue de presse : Place Taksim, lire c’est résister
arkiosque dit:
à
Quand bougeureau fait glou glou ,je bourre la gloute
bérénice dit:
à
14h34 je préfère son Corot, le petit tableau le 2ème de la galerie si l’on regarde à gauche en arrivant au premier étage, dommage aucun court sur le vol n’est dispensé publiquement et de toutes les façons j’aurais la trouille de le faire, comme ce vase aux larmes à Orsay, inviolable.
Jacques Barozzi dit:
à
« un baron local comme il en existe amints en Gaule transalpine. »
Gaston Deferre à Marseille, Jacques Médecin à Nice, Pierre Mauroy à Lille,
Jean-Marc Eyrault à Nantes, Alain Juppé à Bordeaux…
Bloom dit:
à
Les Brésiliens, ils lisent quoi?
Et les Ouigours?
Et les Cairotes, qui s’y collent de nouveau?
Que de lecteurs potentiels pour les classiques de la désobéissance civile!
arkiosque dit:
à
Moi aussi ,bérénice,je préfère son Corot qui évoque de nombreux souvenirs personnels pur moi. J ‘ai connu un conservateur de musée encore en activité qui partage mon avis!!
arkiosque dit:
à
JacquesBarozzi vous oubliez un autre Jacques (Chaban -Delmas )à Bordeaux . oMission volontaire?
Jacques Barozzi dit:
à
Les élections municipales sont les seules dont on peut juger concrétement du résultat de nos votes, ce sont celles auxquelles je participe le plus régulièrement.
Vivement 2014 !
NKM ou Hidalgo ?
bérénice dit:
à
JB 14h46 j’ai lu que JM Ayrault n’était pas à Nantes mais à coté, maintient-il cette position quelque soit son mandat?
Giulap dit:
à
NKM ou Hidalgo ?
NKM est une arriviste cynique et prête à n’importe quelle compromission. Mais il faut peut-être ça pour être maire.
bouguereau dit:
à
un baron local
c’est une totologie kabloom..t’aurais pus rajouté « reculé »..un peu comme jéruzalème
bouguereau dit:
à
comme ce vase aux larmes à Orsay, inviolable
un jour je flatte une potière de son art parfait..j’en fait des caisse..et à la fin elle me dit « les pots, ça se cassent »..tu parles trop
barbara dit:
à
NKM : précieuse ET ridicule
arkiosque dit:
à
antigone c’est pas d’l’atropine prélasérophilyophilisophicatrice(33 lettres j’ai bon!)
bouguereau dit:
à
passe-moi Rimbaud, je te fourgue Weyergans
tu ne crois pas si bien dire.. »la mauvaise monnaie chasse la bonne » c’est le crédo des monétariss et faut avouer que c’est tellement vraie que ça donne le vertige..ça a inspiré gide dailleurs, et longtemps, sa finesse d’analyse vient de là..bref en d’autre terme tu srais condamné a échanger ton bhl contre un atali et les lives finiraient dans les poubelles..alors qu’avec les fichiers numériques on échangerait que « les gout de »..et baroz srait une « internet star and poor »..et baroz s’en fout de l’argent il préfère la gloire..le monde est bien fait
bouguereau dit:
à
keupu -et- con
la bergère du troupeau dit:
à
La baronne Hidaldo, fadaise son fado!
barbara dit:
à
boudegras : pochtron et faiblard
Phil dit:
à
Le journal du journal de celui qui se fait enfiler…les exégètes à gide parlent de mise en abyme. espression que passoupline repasse à l’occasion (avec chevau-léger).
baroz risque la septimanie depuis un bon bout de temps.
Jacques Barozzi dit:
à
arkiosque, ma liste se voulait neutre de gauche à droite et elle est rangée dans l’ordre chronologique, des plus anciens aux plus contemporains.
Et elle finit par trois petits points (…)
Apprenez à lire avant d’essayer d’écrire en français clair, élégant et lisible !
J’aurais pu citer Jacques Chirac, qui fut un grand Maire pour Paris !
(par pudeur, ne parlons pas de Delanoë)…
Bloom dit:
à
Ne pas oublier feu Ramond Forny à Belfort…
Bloom dit:
à
Raymond…brr…
Bloom dit:
à
Et la mafia Joissain à Aix…brrr…
Jacques Barozzi dit:
à
Correctif : Lire léger en place de lisible.
Oui, le boug, seule la gloire compte, pour l’honneur, pas l’argent !
Non, Phil, je n’irai pas m’installer du côté de Montpellier, la région est par trop « rustique » à mon goût…
Je préfère encore ma Provence à la grâce plus italienne, les Alpes plutôt que les Pyrénée ! Et pourtant j’adore l’Espagne…
barbara dit:
à
cette semaine au cinéma, sortie de « Moi, moche et méchant » : BOUDEGRAS !
la bergère du troupeau dit:
à
Tenez Bloom, le dépaysement et les frissons( votre Brrr…)assurés, pas la peine d’ aller en Turquie!
Je vous conseille la vidéo avec le déploiement des forces de la Nation Socialiste…
bouguereau dit:
à
J’aurais pu citer Jacques Chirac, qui fut un grand Maire pour Paris !
objection !..tu regrettes surtout ta vigueur ta jeunesse le temps ou tu sentais bon le caveau baroz..jacques chirac n’en était qu’un mitoyen concomitant trés indifferent!..comme les noeils des l’idole contemplant les sacrifices du temps de salambo..en moins bien..avoue!
bouguereau dit:
à
J ‘ai connu un conservateur de musée encore en activité qui partage mon avis!!
..par exemple baroz..le « encore en activité » à son info connexe..je ne le suis plus or donc il m’a casse l’pot alors que j’étais plus agé que lui..vdqs dsk et disque de der
bouguereau dit:
à
justement même Chirac vous n’en aurez jamais entend parler autant que moi et de premier éperon bien baptisé !
ich bin mélquissédèque..
Jacques Barozzi dit:
à
« vous faites ce boniment vous avez trop besoin ‘aligenr des grands noms pour faire voir le vôtre . »
Vous pourriez réécrire correctement cette phrase, svp, arkiosque !
Sans oublier la suivante aussi !
JMBarroso dit:
à
Nationaux et Socialistes : Hollandais !
bouguereau dit:
à
mais baroz..on lit tellement profond dans renfield qu’on voit bien qu’il est tout pourri de polypes et qu’il devrait aller voir ton procto fissa..mais voilà meusieu tortille et veut mettre la sécu à plat..
JMBarroso dit:
à
Nicole Bricq : « Barroso n’a rien fait de son mandat »
Qui connaît Nicole Bricq ?
berny fictiv dit:
à
« un grand Maire pour Paris »
ah ça, on s’en est mis plein la lampe et les poches quatre milel balles de frais de bouche par jour et tous les emplis fictifs pour nos amis – malheureusement il a fallu quitter ce gigantesque et majestueux endroit – (l’élysée est bien trop exigu pour les grands génies )
edmond dit:
à
paroles d’un ancien Maire Socialiste célèbre de Montpellier!
paroles méridionales d’un maire adulé s’énervant contre les béni-oui-ouoi (les seuls que respectent les jeanmarie les faux -q comme toi ) : qui votent pour ton camp, qui se fout bien d’eux
edmond dit:
à
Baroz ya pas plus lourdingue que bofill !(mussolini, avant lui?!)
Elena dit:
à
15:04
Render therefore unto Sir Thomas Gresham …
http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Anthonis_Mor_004.jpg
Cet autre Sir Thomas, je lui trouve quand même plus d’allure que Jose Manuel …
pomponette tarine dit:
à
edmond dit: 28 juin 2013 à 17 h 02 min
Oui, c’est que de la façade néo-baroque. De l’intérieur, on y voit à peine le soleil à Montpellier dans les apparts à Ricardo.
Pour la façade, c’est comme le néo-romain en Italie fasciste Mussolinienne, il y avait un peu de ça chez le maire national socialiste du bord de la méditerranée. Lui, c’était un homme, un vrai!
JMBarroso dit:
à
Hollande mis en examen pour escroquerie électorale en bande organisée ?
agent triple dit:
à
JC, on ne dit pas « épinalien », mais « spinalien »…je sais c’est un détail, mais tout de même…
JC dit:
à
Mais alors, agent 003, un cérébro-spinalien ?… Ce serait un intellectuel d’Epinal ?
®oße®† dit:
à
Entièrement d’accord avec l’oscar du qi.
edmond dit:
à
le fasciste de 17 h 35 rêve tout haut
ahbon dit:
à
le néo-romain en Italie fasciste Mussolinienne, il y avait un peu de ça chez le maire national socialiste du bord de la méditerranée
il a fait une politique fascisto-mussolinienne?
l'oscar du qi dit:
à
je vous convie à veiller ..sur et pas sous
les meilleures photos !
je maintiens vos préférés copains les sportifs du com par gros temps à toutes ficelles !
préférant de loin les places aux cours – le Mirabeau n’a que deux côtés officiellement moins que les sexes officiellement commentés aujourd’hui c’et peu même si c’est encore trop difficile pour vos passeurs même les survitaminés!(expression d’une libraire pour enfants)
happy les too much de Monsieur Pierre ( au carré )
l'oscar du qi dit:
à
C’est peu on ne badine pas avec le verbe être !
pomponette tarine dit:
à
@ahbon,
Il a favorisé les façades triomphalistes, pompeuses et sacrifié la vie à l’intérieur des appartements, je peux vous fournir des liens et des débats de revues d’art de l’époque…
( des colloques de gauche, d’ailleurs!)
ahbon dit:
à
les petites fenêtres c’est pas contre la chaleur ?
Et pour le reste, sa politique, mussolinienne?
ahbon dit:
à
bofill à paris c’est moche aussi
pomponette tarine dit:
à
C’est pas que ce soit moche abbon, c’ est que l’on a sacrifié l’espace intérieur à la façade, a l’apparat monumental des fausses colonnes…Bon, on ne va pas refaire un débat sur le post-modernisme en architecture…
®oße®† dit:
à
Bofill n’est pas un postmoderne, versubtil.
®oße®† dit:
à
l’oscar du qi dit: 28 juin 2013 à 18 h 14 min
C’est peu on ne badine pas avec le verbe être !
Voilà une vérité bien sentie.
bouguereau dit:
à
Bofill n’est pas un postmoderne
mais si hé..pis sont trojan horse c’était d’estaing..et destaing l’était encore plus biroute que chirac qui voulait faire son pompidol en zinc..des caves a coté de pompidol
bouguereau dit:
à
le post-modernisme en architecture…
en vérité c’est là qu’il a jamais eu un vrai sens aussi..le reste c’est du flanc déridien
pomponette tarine dit:
à
®oße®†
« Bon, on ne va pas refaire un débat sur le post-modernisme en architecture… »
Cela n’ est pas affirmer que Boffil est « post-moderne »…
Nuit des soldes.
bouguereau dit:
à
bofill s’il avait voulu refaire le caveau à baroz..ça aurait fait mal..mais voilà chirac l’avait pas mauvais gout..mais pas de gout du tout..aimer la despérado signe son zéro..son néant a été son atout..france pas moisie, aber guépasteurizen
Franz Hurkhurk dit:
à
ça, c’est postmoderne :
http://3.bp.blogspot.com/-aFFH3dkiec4/TcLBMet8wZI/AAAAAAAAAUg/wlU5vMYwAZ8/s1600/d7-Gehry%252C+MIT+Ray+and+Maria+Stata+Center%252C+Boston%252C+2004+%2528300dpi%2529.jpg
Franz Hurkhurk dit:
à
Bofill, c’est du post-néoclassique.
bouguereau dit:
à
c’ est que l’on a sacrifié l’espace intérieur à la façade
font tous ça, banane, seulement lui le faisait avec..comment dire..à la goeringue, et c’était gonflé..l’était pas plus musolinien que n’importe qui et son architecture non pus dailleurs..mainant il fait le con normal
Franz Hurkhurk dit:
à
font tous ça, banane,
pas du tout. Le Corbusier a eu une descendance, qui perdure.
bouguereau dit:
à
ça, c’est postmoderne
expressionniss cucul sans plus..bofill reprend des zimbol einzwei..bref un punk avec swastika..du théatre zozial..de la crise de nerfe
..ton gars c’est juste un plug photoshop
bouguereau dit:
à
pas du tout.
..tu me parlais du rapport prix de la façade, nein ?
Franz Hurkhurk dit:
à
expressionniss cucul
Mais le postmodernisme est cucul, justement. On te met des couleurs, on évide les façades, on crée des auvents inutiles, de faux arcs-boutants, etc.
DHH dit:
à
Curieux qu’au bout de plus d’une centaine de post il ne se soit pas trouvé un commentateur pour observer que c’est le mythe de Sisyphe de Camus que lit la jeune femme de la photo du haut
Et pourtant que de palabres possibles sur le rapport entre ce mythe de l’effort pénible et sempiternellement répété mais toujours voué à l’échec et la situation que vivent ces manifestants ; on peut se demander aussi ,si la lecture Camus fait du mythe ne leur inspire pas un sentiment d’âpre satisfaction malgré la fatalité de l’échec ,lui qui nous dit qu’il faut imaginer Sisyphe heureux ,heureux de prendre la mesure de sa grandeur dans la conscience qu’il a de la vanité de son supplice
Dans l’autre photo une jeune femme lit Orvell ;on peut aussi disserter sur cette rencontre d’un livre et de l’événement qui se joue
bouguereau dit:
à
Mais le postmodernisme est cucul, justement
oui, au premier degré, évidemment, l’ambiguité, brouillage et dérangement des règles, cest un formalisme de rupture, ça gueule, les dérangement optique et anté diluvien c’est dla nouille épicétou..et dla mauvaise vu qu’ça fait pas appel à l’artizanat d’art..un hymne à l’individu à mon cul
bouguereau dit:
à
Curieux qu’au bout de plus d’une centaine de post
tes ornières madame, le plus marrant c’est guénon et de loin..tes leçons de résignations via camus..vu dla bas ça doit faire satchère et satchère..scuz moi
partogenèse dit:
à
c’est le mythe de Sisyphe de Camus que lit la jeune femme de la photo du haut
C’est une photo truquée, DHH.
Egoyan dit:
à
il ne se soit pas trouvé un commentateur pour observer que c’est le mythe de Sisyphe de Camus que lit la jeune femme (DHH)
C’est signalé dans le billet, DHH. Il n’y a pas que les commentaires qui comptent…
bouguereau dit:
à
en fait elle a pas de culotte..tout se passe hors champs, on nous cache tout on nous dit rien dirait jicé
bouguereau dit:
à
Il n’y a pas que les commentaires qui comptent…
voilà..c’est le paradoxe de l’histoire et du temps présent le postmodernisme..dhh elle est postmoderne, elle a le droit de dire « avant moi y’avait jules césar et que des mochetés »..je tapprouves dhh..que jules !
bouguereau dit:
à
..sans te vexer lassouline..même goeringue elle l’a oublié..faut pas prende la mouche..c’est dicrétionnaire épicétou
bouguereau dit:
à
..putain mon fichti y va cramer..jules peut attendre merde
Egoyan dit:
à
« mouvement lancé à l’origine par des écologistes contre le projet de destruction du parc Gezi, sa piétonnisation, la reconstruction d’une caserne et la construction d’un centre commercial »
C’étaient pas vraiment des écolos. En fait, dans le parc Gezi, y avait des amoureux qui se bécotaient sur les bancs publics. Une caserne, un centre commercial… c’était mettre tout le monde en coupe réglée, surveillance des mœurs… entre autres.
Egoyan dit:
à
(y avait même des homos qui draguaient… ça faisait mauvais genre)
Egoyan dit:
à
Le problème d’Erdogan, c’est qu’il a un nom arménien, ça lui reste en travers de la gorge.
ahbon dit:
à
« C’est pas que ce soit moche »
ah si, c’est lourdingue et triste
« Le Corbusier a eu une descendance, qui perdure »
Le Corbusier, Niemeyer et quelques autres, des grands archis!
pomponette tarine dit:
à
Pour le post-modernisme, voir Charles Jenks, son théoricien en architecture…et une note qui peut nous ramener au sujet, la ville, la foule et ses débordements…
Lire un livre sur une place publique est-ce « fractal », un accident des formes de vie sociale?
http://www.franceculture.fr/tags/charles-jencks
l'oscar du qi dit:
à
la première photo n’a pas seulement valeur de document : elle est belle !
pomponette tarine dit:
à
Comme quoi et en quoi Boffil participe ardemment au débat du postmodernisme avec la réflexion d’un philosophe, T. Ménissier,
http://tumultieordini.over-blog.com/article-contemporaneite-et-postmodernisme-41295450.html
pomponette tarine dit:
à
Et ce passage qui concerne nos « lecteurs subjectifs » de la place Taksim :
» Par suite, les émotions prennent un sens nouveau, la valeur d’une nouvelle authenticité et passent pour vecteur d’une nouvelle forme de cosmopolitisme ; cf. « We are the World », la chanson caritative composée en 1985 par Michael Jackson et Lionel Richie et interprétée par une vingtaine de stars afin de lutter contre la famine en Ethiopie, et surtout son succès planétaire (7,5 millions de titres vendus aux USA, plus de 20 millions dans le monde) ; sur le plan de la théorie politique, voir Georges E. Marcus, Le citoyen sentimental. Emotions et politique en démocratie, 2002 : sur la base du constat opéré par ce politiste pour comprendre le rôle des passions dans la vie civique contemporaine, il faut reconsidérer le projet républicain des modernes, car il ne s’applique plus pour un citoyen dont l’action politique se déploie à partir de sa raison. En tout cas, le désintérêt actuel pour la politique de type moderne atteste qu’il se joue un changement quant aux conditions psychologiques et sociales de l’investissement civique.
– Enfin quel est dans ce contexte le nouveau statut acquis par le registre religieux ? On voit apparaître une revendication de spiritualités sans « Eglise », débarrassées de l’autorité de la tradition ; voir à ce propos la réflexion récente de l’islamologue Olivier Roy, La sainte ignorance. Le temps de la religion sans culture, 2008.
Une telle qualification appelle des jugements variés. Il y a ainsi, au cœur du postmodernisme, une ambiguïté majeure :
– D’une part, la proposition architecturale d’un Bofill, entendue comme éclectisme et néoclassicisme (même s’il intègre ironiquement des citations distanciées), donne à penser que le postmodernisme se présente comme un retour au classicisme, à l’ornement, au décoratif et au divertissement – il faut occuper l’esprit du spectateur, en rompant avec l’exercice contemporain du fonctionnalisme et du minimalisme.
– De l’autre, les caractères « philosophiques » de la postmodernité incitent à penser que le style postmoderne achève ou radicalise la tendance la plus typique du modernisme : la critique des fondements de l’autorité – sensible dans la mise au premier plan d’une subjectivité toute puissante enfin libérée de toute entrave – apparaît comme le stade ultime de la revendication d’abolition des traditions, constitutive de l’esprit moderne. »
Philippe Ménissier
http://tumultieordini.over-blog.com/article-contemporaneite-et-postmodernisme-41295450.html
pomponette tarine dit:
à
THIERRY Ménissier…
Jacques Barozzi dit:
à
Perso, je ne suis pas fan du catalan Boffil, mais il n’y a pas que lui qui a refaçonné le nouveau Montpellier, et pour le réseau dense et varié du tramway conduisant jusqu’aux plages, ils ont pas été les derniers, à Montpellier…
bérénice dit:
à
19h23 « dans la conscience qu’il a de la vanité de son supplice, » je vous cite à propos de Sisyphe.
Vanité: défaut d’une personne vaine,satisfaite d’elle-même et étalant cette satisfaction. V.Complaisance, fatuité, jactance, orgueil, ostentation, prétention, suffisance.
Doit-on penser que votre choix d’employer cet élément pour illustrer ce mythe ne peut qu’orienter notre perception de votre interprétation fallacieuse, Sisyphe pourrait être lu courageux,acharné, masochiste, malchanceux. Selon vous il est heureux de prendre la mesure de sa grandeur dans la conscience qu’il a de la vanité de son supplice. Une vision en vaut-elle une autre?
u. dit:
à
JC a évoqué le « Tank man » de la Place Tiananmen de 1989.
(A ma stupéfaction, il a même écrasé une larme avec son poing tatoué, gros comme une tête d’enfant.
J’ai été ému par mon camarade JC)
Here’s the story behind, enfin pas vraiment l’histoire, juste un flashback.
Clopine Trouillefou dit:
à
J’ai lu l’article, puis me suis lancée dans les commentaires, mais au bout de la troisième intervention de JC, j’ai dû m’arrêter, tant ce dernier étouffe ce blog sous des insanités provocatrices… Je me faisais juste la réflexion qu’il s’agissait là de comportements de lecture que JAMAIS, au grand jamais, une anonyme « tablette » ne pourrait remplacer. Car ici la lecture est transformée en acte politique collectif, et le livre sert tout à la fois de lance et de bouclier, grâce à la notoriété des auteurs ainsi affichée sur les couvertures. Quand aurons-nous le courage (je pense aux féministes occidentales) de nous aussi nous tenir immobiles, lisant un livre ?
…
Ce pourrait être l’objet d’une question à la Barozzi : si vous alliez place Taksim, quel livre liriez-vous ?
…
Pour ma part, le premier jour, je lirai « du côté des petites filles » de Belotti (pas la peine de ricaner, JC, vous ne connaissez pas…), le second, « les années » d’Ernaux et le troisième, si l’occasion m’en était encore donnée, « sur l’admission des femmes au droit de cité », de Nicolas de Condorcet…
Clopine Trouillefou dit:
à
… Ah, il ne faudrait pas que j’oublie d’emmener « Une chambre à soi », d’une certaine Virginia Woolf, bien sûr…
Le Sous Doctorant dit:
à
Salutation au censeur !.
Le Sous Doctorant dit:
à
Spaciba, le Pierre Assouline,
toujours aussi courageux pour ceux qui refusent de parler de juiverie internationale !.
Le Sous Doctorant dit:
à
Et je me dresse,
seul,
sur ce putain de Bolg,
debout…
mais censuré.
Que les mannes de Chalamov et son texte « La brouette » m’accompagnent.
John Brown dit:
à
si vous alliez place Taksim, quel livre liriez-vous ? (rédigé par Clopine Trouillefou)
Moi ? Sans hésiter une seconde : « Consuelo », de George Sand. Acheté à la Fnac rue de Rennes en 66, jamais ouvert depuis : j’attendais l’occasion favorable, elle est trouvée, je pars pour Istanbul, je me fais une lecture non stop de « Consuelo ». Johnny le stylite, qu’on va m’appeler, car je prendrai des notes avec mon stylo.
l'oscar du qi dit:
à
il aurait été possible de ider à DHH que les noms des lvres apparaissent dans les liens et que P.Assoline ne les pas envoyés sans y regarder par deux fois : que les liens sont costitutifs à part entière du billet . ce qi montre l’intérêt d’internet
avec ceci
que ces personnes semblent donc bien rester en arrêt debout à lire d’après un mot d’ordre ont-ils choisi eux- mêmes leurs livres ?j(e le suppose mais non sans s’être orientés dans des liens ailleurs, avant.)
je trouve effectivement cela très fort autant la tenue , la dignité sans grandiloquence des acteurs et leur conscience du sens de leur démarche que le témoignage qui en est donné par ce reportage.
par ailleurs cela me rappelle un enterrement d’un ami peintre (dont les cendres furent jetées dans la Seine)où on avait demandé à ses amis d’amener quelque chose représentant leur lien avec cet ami (j’avais pris un livre et ce fut très dur pour moi)
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