Poétique de Céline, éthique de Kraus
L’ego-histoire, c’est bien, surtout lorsque d’autres que des historiens s’en emparent aussi. Encore faut-il avoir envie de sacrifier au racontage de mézigue, expression qui n’est pas de Louis-Ferdinand Céline mais de Jacques Perret. Il est remarquable qu’un écrivain aussi tempétueux ait suscité un exégète aussi paisible qu’Henri Godard. Comment devient-on le spécialiste les plus respecté et le plus incontesté de l’œuvre d’un grand écrivain ? Richard Ellman avait autrefois répondu pour Joyce ; Jean-Yves Tadié pourrait répondre pour Proust, Pierre Citron pour Giono. Jacques Body pour Giraudoux, Henri Mitterand pour Zola… En attendant, Henri Godard le fait dans A travers Céline, la littérature (215 pages, 17,50 euros, Gallimard). Ou comment il s’est frayé son propre chemin dans le maquis de la graphie, des manuscrits, des lettres, des contradictions, des mensonges, des exagérations de Céline. Cette œuvre, et non cette vie, ne pas confondre, il y est tombé par hasard. C’était en 1957, il avait 20 ans, D’un château l’autre venait de paraître chez Gallimard, curieux livre défini par son auteur comme « une certaine façon d’exister, ni absolument fiction, ni absolument réelle ». Louis-Ferdinand Céline y racontait, avec son sens du comique et de l’hyperbole, l’exil du gouvernement de Vichy et de collaborationnistes parisiens dans la ville et au château
de Sigmaringen (Wurtemberg), chez les Hohenzollern, durant les quelques mois qu’il y passa en transit entre la fin de 1944 et le début de 1945. Le jeune Godard, alors plutôt féru de littératures grecque et latine, reçut cette lecture comme un choc et crut y déceler une modalité nouvelle du roman, quelque chose comme un style neuf créé pour épouser le vécu de cette expérience exceptionnelle. Puis le hasard fit les choses.
Rabelais étant au programme de l’agrégation de Lettres, et un club de livres le rééditant avec une interview du proscrit de Meudon en guise de préface, il s’enhardit à aller sonner à sa grille pour lui demander conseil. Furtif mais intense. Et à mesure qu’il entra dans ce labyrinthe, il se déprit de ses Montherlant, mais pas ses chers Malraux, Giono, Guilloux et encore moins de Faulkner-le-patron qui résistait car sa force était au moins égale à celle, tellurique, d’un Céline.
Voilà, ça a débuté comme ça. C’est aussi simple. A une réserve près qu’il n’aurait pas rencontrée s’il avait consacré ses travaux et ses jours à tout autre écrivain français : le « problème moral » posé par certains aspects du corpus célinien. Non pas le Voyage au bout de la nuit que le normalien dévora, la puissance de la satire qu’il savoura dans la première partie, puis au-delà du cri poussé contre la guerre, l’amorce d’un renversement des codes et conventions de l’écriture romanesque, l’annonce d’une subversion du langage, étant entendu que le premier de ses huit romans est de facture assez classique, encore dans les clous.
Non, le problème moral, il faut bien entendu le chercher du côté des pamphlets, et d’abord Bagatelles pour un massacre entièrement composé autour d’une idée fixe ressassée, martelée ad nauseam : les juifs sont la perte du monde civilisé. S’ensuivent des centaines de pages délirantes où tout le monde ou presque l’est plus ou moins, selon le procédé rhétorique de l’énumération, les uns et les autres nommément dénoncés avant d’être traînés dans la fange avec une étonnante imagination lexicale dans le registre de l’injure scatologique. Henri Godard n’en revenait pas, n’ayant jamais eu à lire auparavant un déferlement de haine raciale d’une telle intensité sous la plume d’un écrivain contemporain :
« Un tel antisémitisme n’agresse pas seulement les juifs, il agresse au moment où il les lit quiconque lit ces injures, s’il n’est pas lui-même antisémite. »
Puis il lut tout Céline, sans oublier les lettres. C’est ainsi que malgré les trois pamphlets (curieusement, il ne le traite pas de « pamphlétaire » mais de « publiciste éruptif », terme désuet désignant les journalistes au temps des gazettes, ou des folliculaires et autres auteurs tous azimuts, mais qui ne reflète en rien la spécificité de ces trois livres), en dépit du jugement moral porté par ceux qui en prenaient prétexte pour récuser toute l’œuvre de Céline, et grâce à Mort à crédit qu’il tient à raison pour son chef d’œuvre, il se chercha en Sorbonne un directeur de thèse qui acceptât de le suivre dans ce monde-là. Ce qui n’allait pas de soi… C’est ainsi qu’il devint par la suite l’éditeur savant de la Pléiade Céline, de sa correspondance, de ses recueils d’articles. Sa thèse, publiée en 1985 sous le titre Poétique de Céline (on la trouve en poche dans la collection Tel), s’imposa rapidement comme étant l’une des rares analyses sereine capable de démonter la dynamique interne de cette œuvre explosive. Ce qui lui valut un article d’un collègue chinois intitulé : « Henri Godard, l’homme qui transporte de la dynamite et qui ne se fait pas sauter » – ce qui était assez bien vu. Godard fut de ceux qui révélèrent de manière convaincante que sous l’ordure, la grossièreté, la violence, on pouvait trouver des trésors de finesse, de subtilité et de profondeur. Il osa même y déceler de l’empathie, à condition, il est vrai, de mettre l’agressivité célinienne à distance.
La poétique de Céline selon Godard ? Un français populaire, un moyen et non une fin, qui est le fond musical du texte mais pas sa note unique ; un travail de déconstruction de la phrase tendant à désarticuler le texte dans sa continuité et ses enchaînements ; une oralité faite de segments séparés par des silences eux-mêmes matérialisés par trois points de suspension détournant l’usage traditionnel de ce signe de ponctuation, et permettant ainsi au dernier mot de vibrer dans ce vide ; une haine de la matière objectivée dans son aversion pour tout ce qui est compact, rigide, gros, inerte, lourd, synonyme de mort . On n’imagine pas à quel point les libertés que cette œuvre romanesque prenait avec la langue ont pu libérer ses lecteurs (mis à part ce que ses pamphlets ont libéré de refoulement, d’inhibition, d’abjection et d’instinct de mort chez d’autres) ; dans son récit de formation Les Feux de Saint-Elme (Gallimard) qui vient de paraître, Daniel Cordier consacre plusieurs pages à l’effet que la lecture de Mort à crédit produisit sur lui, à16 ans en 1936 ; une vraie purge culturelle qui l’arracha brutalement à son milieu bourgeois, qui l’enthousiasma tout en l’écoeurant ; les jeux entre garçons dans le collège en Angleterre décrits dans leur bestialité la plus crue (« enculage », « branlage », suçade », « poignet ») jetaient sur les siens un éclairage des plus captivants et des plus troublants : « Je ne pouvais croire que l’Amour auquel nous rêvions tous aboutisse à cette boucherie grotesque et sale »
Ce coup de projecteur est l’occasion pour Henri Godard de dresser le bilan. S’il a évolué, c’est dans un sens qui en surprendra plus d’un : après avoir exploré comme nul autre les couches sédimentées de son œuvre dans sa totalité irréductible, il a découvert son humanité et même « sa disposition à la compassion », malgré le conflit de valeurs qui surgit inévitablement entre ce qui nous fait admirer le génial créateur et ce qui nous fait mépriser le médiocre salaud, malgré tout.
Il ne me serait jamais venu l’idée d’associer dans un même billet Louis-Ferdinand Céline à Karl Kraus ; j’ignore même si les comparatistes se sont déjà emparés du duo -mais ils ont déjà fait pire. Il a fallu le hasard des parutions en librairie pour que, juste après le Godard, je me plonge dans le « demi » Spécial Karl Kraus (l’autre moitié est consacré à Alfred Kubin) concocté par la revue Europe (No 1021, 410 pages, 20 euros). Les passerelles ne manquent pourtant pas entre le Français et l’Autrichien : usage de la satire comme d’une arme de destruction massive, puissance du comique, goût de la provocation, dénonciation de la guerre, tendance à l’hyperbole, unicité de l’éthique et de l’esthétique, jusqu’à la violence de l’antisémitisme… Pour le reste, la critique radicale de Kraus relève d’un autre monde, d’une autre logique, d’autres moyens. Ce dossier vient à point car elle est de plus en plus souvent citée chez nous sans que ses œuvres complètes soient disponibles en français et nous parvient par des truchements, celui de sociologues comme Pierre Bourdieu, de philosophes tels que Jacques Bouveresse notamment, les deux privilégiant sa critique radicale des médias, ou aux Etats-Unis, celui du romancier Jonathan Franzen The Kraus Project (2013) sorte de « Kraus pour les nuls » permettant d’appliquer sa pensée à notre quotidien.
De Kraus, outre ses aphorismes dont on use et abuse, on connaît surtout le défi permanent qu’il lança par ses attaques répétées dans les petits cahiers rouges de sa revue, un anti-journal qu’il publia à l’enseigne de Die Fackel (La Torche). 922 numéros parurent entre 1899 et 1936. Il pouvait s’emparer des sujets les plus insignifiants pour leur donner une dimension politique nationale, sinon universelle, par la puissance de sa satire. Sa technique se tenait sur deux piliers : son grand art de la citation et une éthique reposant sur le rôle de la loi, le respect du droit, et, partant, la grandeur de la justice. Avec ces armes, il s’employa à nettoyer son époque.
« Au commencement était la presse, et puis advint le monde » écrivit-il. Les journalistes et le journalisme, censés incarner la corruption, étaient la cible première du polémiste ; ils reçurent ses premières flèches les plus empoisonnées et y survécurent. Le milieu juif libéral viennois, dont il était issu (il s’était converti au catholicisme en 1911), fut son autre cible privilégiée. Comme Céline, c’est encore ce qui fait problème et retient certains de ses admirateurs d’être entiers dans leur admiration, les forçant à un « mais » de circonstance. L’article qu’y consacre Sigurd Paul Scheichl dans ce dossier de la revue Europe entend rendre justice à Kraus sur l’épineuse question. Non seulement, il le disculpe de son antisémitisme, cette jüdischer Selbsthass dont on se demande encore s’il faut la traduire par « haine juive de soi » ou « haine de soi juive », mais il veut nous convaincre de sa qualité d’adversaire de l’antisémitisme – ce qui est pousser le bouchon un peu loin. Comme pour Céline, il nous invite à considérer ses écrits litigieux comme « des textes littéraires et non pas des analyses politiques ». Qu’il ait moqué les antisémites comme des « troglodytes », qu’il ait exprimé sa passion pour Offenbach et qu’il ait reproché à une amie son aversion pour la physionomie d’un pianiste dans une lettre de 1929 ne suffit pas à convaincre, ni à dissiper le fait que « sa rhétorique antilibérale puisse prêter à des malentendus ». Dommage que ce dossier n’ait pas également donné la parole, d’une manière ou d’une autre, à Jacques Le Rider et Claude David, deux germanistes sans indulgence pour Kraus.
L’admiration que lui vouaient nombre d’intellectuels, d’écrivains, d’artistes, de poètes avait pris un tour sectaire, quelque chose d’une vénération d’ordre religieux, comme seul un Stefan George pouvait s’enorgueillir. Il y eut même une expression consacrée pour la définir, comme le rappelle d’entrée Gérald Stieg, responsable de ce dossier : « le culte de Kraus » (Krausianerei). La reproduction de messages d’admiration, issus d’une enquête de 1913, donne l’étendue de son emprise sur Elias Canetti, Walter Benjamin, Franz Werfel, Oscar Kokoschka, Adolf Loos, Hermann Broch, Arnold Schönberg, Thomas Mann ; quant à ceux, nombreux, qui le méprisaient, seul Stefan Zweig a eu le courage de se manifester, mais dans des termes que leur mièvrerie rend inoffensifs : « …sa personnalité (inaccessible à ma sympathie)… ! ». A tout prendre, un Kraus préfèrera toujours des ennemis à sa hauteur, c’est à dire d’une agressivité égale à la sienne. Comment ne pas songer au statut de Céline dans la critique lorsqu’on découvre la remarque que fit Peter Altenberg :
« Si Karl Kraus n’était pas attaqué, incompris, insulté de la manière dont il l’est, ce serait presque à désespérer de la véracité de son œuvre ! »
En 1933, il résolut de se taire, comme il s’était tu en 1914. Parce que sa parole s’estimait inopérante, et la puissance poétique de son éthique sociale vaincue par avance, comme si elle était hors de propos, déplacée, face au monde qui s’annonçait. « Mir fällt zu Hitler nichts ein » écrit-il.
« Moi, rien ne me vient à l’esprit au sujet de Hitler ».
Une phrase que l’on n’a pas fini de commenter et dont Valérie Robert remarque finement qu’elle est aussi difficile à traduire en française qu’en allemand; une manière de souligner qu’au fond, se situer publiquement hors-champ comme il le fait, c’est aussi une façon d’être de plain-pied dans son époque par la puissance provocatrice du silence. Peut-être est-ce le lot des visionnaires. Karl Kraus fut exceptionnel non seulement par sa force de frappe intellectuelle, mais par sa capacité d’anticipation, une effrayante lucidité reposant sur la fusion de réel et de l’irréel, qui lui faisait décrire l’Allemagne comme « un camp de concentration » dès 1915. Marcel Ray, qui fut son ami et son traducteur, le faisant découvrir au public français dès 1927, le jugeait « incommode » et le présentait volontiers comme « la mauvaise conscience de Vienne ». Il espérait que la colonne vertébrale, l’échine de la ville, du pays et de leurs habitants sortiraient renforcés de ses coups de pied. Ceux-ci en ont vu d’autres depuis avec les Thomas Bernhard, Elfriede Jelinek, Peter Handke, et on ne peut pas dire que… Retenons l’expression de gratitude de Marcel Ray :
« J’ai trois raisons de remercier Karl Kraus. Il sauve l’étranger vivant à Vienne de la maladie du sommeil. Il encourage les ennemis de la veulerie littéraire à exiger beaucoup de la langue allemande. Il réconcilie l’Européen avec l’austriacité »
Karl Kraus est mort à 62 ans. C’était en 1936. On connaît la suite. S’y serait-il longtemps maintenu dans le silence ?
(« Vu du pont l’autre jour à Kiev » photo Passou ; « Portraits de Céline » photo D.R. ; « Portraits de Karl Kraus » photo D.R. et tableau d’Oscar Kokoschka, 1925)
1 076 Réponses pour Poétique de Céline, éthique de Kraus
« De Kraus, outre ses aphorismes dont on use et abuse… »
(P. Assouline)
Pas assez, à mon goût:
« Plus tu regardes les mots de près, plus ils te regardent de loin. »
« Le diable est bien optimiste s’il croit pouvoir rendre les gens plus mauvais qu’ils ne sont. »
« Celle qui est pleinement femme trompe pour jouir. L’autre jouit pour tromper. »
« Le mal ne prospère jamais mieux que lorsqu’un idéal est placé devant. »
« Le surhomme est un idéal prématuré qui suppose l’homme. »
« Ne pas avoir d’idées et savoir les exprimer: c’est ce qui fait le journaliste. »
« Une pensée n’est légitime que si on a le sentiment de se surprendre en flagrant délit de plagiat de soi. »
« Pourquoi certains écrivent-ils? Parce qu’ils n’ont pas assez de caractère pour ne pas écrire. »
« Le parlementarisme est la mise en caserne de la prostitution politique. »
« Mais où est-ce que je prends donc tout ce temps pour ne pas lire tant de choses? »
« Malheur à la loi! La plupart de mes contemporains sont la triste conséquence d’un avortement omis. »
Clopine et bouguereau viennent d’ouvrir une librairie « everything friendly » (gay, nude, you-name-it) à New York en plein Central Park. Les affaires reprennent (dans le secteur du livre.)
http://www.huffingtonpost.com/2014/05/05/topless-book-club-new-york-photos-nsfw_n_5267320.html?ncid=fcbklnkushpmg00000063
@,…xlew.m,…
……………Oh! putain!,…j’était si près de la réalité!,…
……………Nostradamousse!,…t’à rien à faire,…encore pilonné,…du chapeau!,…
…je suis en première,…et je vois des métronomes!,…HOT!,…Thot!,…Math!,…Trique!,…etc!,…
…Ah!,…Ah!,…Bip!,…Bip!,…etc!,…
…
de nota dit: 6 mai 2014 à 18 h 35 min
(merci !)
Niwatthamrong Boonsongpaisan, PM intérimaire, plus simple à prononcer qu’Apichatpong Weerasethakul, « père » de l’Oncle Boonmee.
Vous faites très fort, Dr Lecter
There is an universal tendency among mankind to conceive all beings like themselves, and to transfer to every object, those qualities, with which they are familiarly acquainted, and of which they are intimately conscious. We find human faces in the moon, armies in the clouds; and by a natural propensity, if not corrected by experience and reflection, ascribe malice or good- will to every thing, that hurts or pleases us.
David Hume
…
…@,…Pablo75,…à,…18 h 39,…
…
……………,vous arrivez à me lire,…vous avez!,…un jeux de filtres complet!,…Oui!…
……………,c’est personnel!,…of course!,…
…etc,…
@ bof
Céline intéresse les jeunes parce qu’il sent le soufre – une odeur que les jeunes adorent…. C’est ce que n’arrivent pas à comprendre les professionnels du politiquement correct, avec à leur tête le ridicule matamore catalan soi-disant expert en communication mais qui, visiblement, a « la comprenette enrayée », comme disait je ne sais plus qui.
(Par contre, je dois avouer que j’ai été étonné de l’intelligence du commentaire sur l’antisémitisme de Céline du fanatique Widergänger hier « à 22 h 58 min »).
Patron, on lui casse la gueule, à ueda ?
Ne vous en faites pas, Clopine, ueda ne s’en prend à vous que pour faire sa cour à Daaphnée. Il faut bien que le corps exulte, pardonnez-lui. Il a le droit, lui aussi, d’avoir une vie sexuelle.
Pablo75 dit: 7 mai 2014 à 19 h 09 min
« De Kraus, outre ses aphorismes dont on use et abuse… »
Pas assez, à mon goût
Certains sont excellents.
Mais les bons mots ne supportent pas la mise en liste.
Céline intéresse les jeunes parce qu’il sent le soufre
encore un (petit prof ?) qui ne tiendra pas jusqu’au bout de la nuit.
@ Lancien, secrétariat (et autres petites mains)
Ohlalalala….
Détendez-vous les mecs!
Je ne sais pas moi…
Sous un billet saluant Céline et Kraus, apprenez à danser!
Soyez taquins, marrants, provocateurs…
D’avance, je vous serre dans mes bras!
— xlew, un sacré endroit, même s’il n’est pas vraiment sexy.
Les filles sont marrantes.
La petite brune au nez pointu, c’est elle qui est maline et qu’il faut inviter à prendre un verre!
(Guts feeling only)
Pablo du 75, il faut rappeler qu’à une certaine époque, pas si lointaine, le voyage était au programme dans les lycées français, sans que les profs fassent de la retape politique ou idéologique en classe.
Je vous parle d’une époque éthique. A moins que ce ne soit d’une époque épique.
xlew,
en partie normal, à NY une décision de justice du juillet 1992 permet aux femmes d’aller torse nu dans la rue…
Il est exact que les jeunes, quelques uns… les plus malins, font semblant d’aimer Camus et Céline qui sentent le soufre ancien : ça plait aux parents qui croient leurs enfants proches d’eux, càd aussi intelligents, lesquels enfants bouffent, baisent et pioncent à la maison ….
« Win/win » diraient les journalistes dans le coup !
Camarade ueda,
Clopine a t elle besoin des autres ?
Evidemment !
Ne serait-ce que pour lui renvoyer son image.
Une image favorable….
Naturellement !
« Bonne morphitude », comme dirait la pintade du dindon.
Dire que j’aime les extraterrestres, c’est tout simplement n’avoir rien compris à la question extraterrestre.
Les entités extraterrestres ne sont pas « aimables » tout simplement parce qu’il existe une énorme distance entre leurs motivation et les nôtres. Je pensais que vous aviez au moins compris cela. Même pas.
Je le dis et je le redis, et mettez-vous bien ça dans la tête une fois pour toute, crénom de nom : ils ne sont ni nos amis, ni nos ennemis, et le corollaire s’applique parfaitement.
Qu’un dément irresponsable, Mariani, puisse raconter dans les gazettes que l’esclavage en Afrique fut, est, sera, un acte barbare local, non-importé par les occidentaux pervers, cela est inadmissible ! Ecrasons cette vermine !
Rappelons : L’esclavage est un effet du capitalisme amoral européen : ni l’Arabie Heureuse, ni l’Afrique Joyeuse ne l’ont pratiqué indépendamment des blancs pourris, venus « apporter leur apport » en se mettant au goût des mœurs locales…
Ça y est, Branche, je vous vois!
Oui, moi aussi, au Café de l’Industrie
C’est bien vous au fond, derrière les trois Japonais?
Eh oui, je vois qu’on pianote sur son smart-truc au rythme de notre bon Passou!
On n’entend pas bien… ça gueule de partout…
Mais c’est sympa!
D’accord!…
Vous avez l’air charmante!
Mais non je ne plaisante pas
C’était une bonne surprise!
(Ben mon colon…
C’est pas une brindille)
D. dit: 7 mai 2014 à 20 h 30 min
vous êtes branché U, mais UFO, alors.
« L’esprit Bibendum et de « Pif Gadget » souffle sur lui. C’est un petit bonhomme joufflu, naïvement dessiné, vert gazon qui plus est. Un personnage de BD, ludique et pataud, désormais inséparable de Cetelem (groupe BNP Paribas), numéro un en France et en Europe du crédit à la consommation. Autant dire le mariage du « doudou » rassurant et du démon tentateur derrière lequel se dissimule la menace du surendettement. »
source: les échos.
Je vais aller chercher cet exemplaire du voyage dans ma bibli, et je reviens.
(Secrétariat, je te salue
C’est la cohue, par ici…)
“ CLERMONT-FERRAND — Dominique Descotes, un chercheur clermontois qui vient d’exhumer un théorème de géométrie de Blaise Pascal jusqu’alors inconnu, est un passionné du célèbre philosophe et mathématicien, dont il a suivi les traces jusqu’en Auvergne.
A l’occasion de la numérisation du manuscrit original des Pensées – un travail de fourmi entamé il y a une dizaine d’années – le chercheur a mis la main sur ce document inédit, un morceau de papier usé, découpé, sur lequel on peut voir un dessin et des sommes de surfaces.
Le texte, seule note mathématique écrite de la main de Pascal, était « sous les yeux de tous, mais personne n’avait cherché à le comprendre parce que la plupart de ceux qui consultent le manuscrit des Pensées (conservé à la Bibliothèque nationale de France à Paris) s’intéressent uniquement à la partie littéraire », explique-t-il.” (…)
DJEDLA(Des journées entières…,oui je me permets d’écrire votre pseudo de manière « acronymique »,car l’écrire en entier c’est un peu long,et puis djedla c’est joli,maintenant si ça vous offusque,je peux très bien écrire votre pseudo en entier,il suffit de me le demander)en tous cas c’est bien aimable à vous de me remercier pour le lien sur Bouveresse,rien ne vous y obligeait et je sais qu’au moins une personne ici aura entendu les propos de ce monsieur,propos qui mériteraient une plus grande audience,vous en conviendrez,je crois.
Clermont-Ferrand est une Préfecture de Région très agréable et cela ne m’étonne pas qu’un tel terreau donne naissance à des génies.
Ce que j’aime à Clermont-Ferrand, ce sont les petits Fouga qui décollent, font un tour et recollent.
http://www.youtube.com/watch?v=xdo69ZkakqA
/ dit: 7 mai 2014 à 18 h 47 min
il s’en vend combien par an de ce voyage???
En Folio, plus de dix mille.
si l’on en croit les statistiques, ça fait 3000 voyage achetés par des représentants de notre belle jeunesse soit moins de 0,5%
de nota dit: 7 mai 2014 à 21 h 09 min
j’en conviens De Nota, j’en conviens, soyez-en certain, que cette parole- celle de Bouveresse- mérite d’être écoutée. Surtout pour les littéraires.
J’ai un autre problème de soir; il est abyssal. Croyant pouvoir retrouver aisément ce voyage, édité en poche, dans ma bibli, j’ai du brasser une bonne centaine de bouquins.
C’est un vertige auquel je ne m’attendais pas.
Un étourdissement.
Et le pire pour moi est que je ne sais pas où je l’ai rangé.
« Et le pire pour moi est que je ne sais pas où je l’ai rangé. »
Votre petit-fils a dû vous le piquer, Djedla !
Il faut tenir compte aussi de celles et ceux qui n’ont qu’à puiser dans les diverses bibliothèques familliales, bof…
Barozzi, les grands mères c’est un bouquin de D. Lessing; je viens de le voir dans ma bibli.
Je vais le retrouver ce bouquin. Surtout pour le passage concernant la danseuse, celle qu’affectionnait Céline.
oui, enfin, c’est pas le moment de me faire la leçon sur le pluriel de grand-mère.
Cela ne me concerne pas.
Corboeuf l’heure de vol sur Fouga ça doit douiller…
des journées entières dans les arbres dit: J’ai un autre problème de soir; il est abyssal. Croyant pouvoir retrouver aisément ce voyage
Dans ces cas-là faut prendre le taureau par les cornes le réécrire ! De toutes manières ça datait un peu… Le mieux comme en course d’orientation partir du passage des Bérésinas…
« J’ai un autre problème de soir; il est abyssal. Croyant pouvoir retrouver aisément ce voyage »
C’est là que la CDD révèle toute son utilité et, incidemment, sa beauté…
Ça douille terriblement. Kérosène, pièces détachées, mécaniciens, assurance, garage, taxes. Pour rien au monde je n’en achèterais un.
De toutes façons je n’ai pas de licence de pilote. Hurk hurk hurk épicétou.
Le virage à 4G ça se monnaye, il est vrai.
Et l’alignement une fois le seuil de piste passé, c’est pas tout le monde qui s’y risque.
@ bof
« si l’on en croit les statistiques, ça fait 3000 voyage achetés par des représentants de notre belle jeunesse soit moins de 0,5% ».
Tiens ! Et tu fais quoi des jeunes qui lisent les exemplaires des parents, des frères, des amis, ou achetés d’occasion, ou piratés en format électronique? Selon ta façon de raisonner moi je devrais avoir une centaine de livres chez moi. Et pourtant j’en ai plus de 12 000. Étonnant, non? (Samedi dernier, aux Puces de Montreuil, j’en ai acheté 16 et 13 cds classiques pour 20 € – avis aux amateurs).
Pour revenir au sujet qui nous intéresse, je peux vous révéler que certaines productions cinématographiques de long métrage montrent sciemment une réalité très différente de la réalité pour endormir le grand public friand de merveilleux.
Durant ces décennies d’anesthésie savamment orchestrée, l’invasion, inéluctable, a confortablement progressé. Elle prend son temps, mais elle est bien là, froide, régulière et méthodique.
Je ne suis pas particulièrement parano, mais c’est la vérité.
Ueda dit: 7 mai 2014 à 12 h 02 min
Les anglishes n’ont pas attendu ce compte-rendu sur Le contexte intellectuel a Vienne pour decouvrir l’Histoire et la Culture…c’est un language de franchouillard… je n’arrive toujours pas a comprendre cet engouement Francais pour la pensee teutone…franchement, z’auraient mieux fait de la garder pour eux-memes, quand on sait ce que ca a donne par la suite…
Après une centaine de triolets, on passe aux sonnets.
Solitude
Seul dans la nuit obscure, on se prend à rêver.
Combien de pas faut-il du mal être au bien être ?
Ne pas voir ce bas monde et fermer la fenêtre.
La solitude est bonne, il nous faut l’éprouver.
Courte est l’échelle, ami, pour vouloir s’élever.
Il n’est pas évident de naître ou de renaître.
Le doute te saisit, le désespoir pénètre,
En butte aux quolibets, tu n’oses les braver.
Mais la nuit sera douce, et douce l’ombre brune.
Les étoiles sauront t’apaiser comme aucune.
Tu seras bien en toi dans ton isolement.
Fuit le troupeau qui bêle et la meute arrogante,
Car après le tumulte et le déferlement,
La rose refleurit tout au bout de l’attente.
Jean Calbrix, le 08/05/14
> c’est un language de franchouillard
Is your hand tormented by suffer ?
Dédé,
J’ai pour vous, et votre savoir immense, la plus grande estime, le plus grand respect, vous le savez… Je crois que vous dites vrai.
L’invasion extragalactique est en cours, je le sens …
Une angoisse sourde m’étreint à l’idée que certains d’entre nous, Erdéeliens de souche, puissent être des lézards de Sirius caché sous des burkas de peau humaine, choix de couleurs différentes possible .
Qui sont-ils ? Bouguereau et son gode haute fréquence ? Gianni lo Diavolo en serait-il un dont la communication serait enrayée, bip ! bip ! Ah ! Clopine, Christiane, Rose, Daaphnée, DHH, Chantal seraient elles finalement des mâles siriaques à écailles dures ? Des sous-officiers cruels ?
Les envahisseurs auraient ils infesté le gouvernement de notre cher vieux pays ? Hollande…un lézard casqué, nul mais lubrique reproducteur ?… Qui sont-ils ces envahisseurs ? Et Passou ….a t il un rôle dans cette invasion galactique ? J’ai parfois l’impression qu’il cherche à nous endormir avec Céline et Kraus !
J’angoisse, l’âme, le coeur aussi noirs que le café …
…
…@,…des journées entières dans les arbres,…le 7 mai 2014 à 9 h 17 mn,…
…
…comme vous dites, si bien,…autrement dit, par moi-même!,…
…
…voir et développer les articulations ( du pouvoir ),…qui se mettent à jour, au fur et à mesures, que l’on lit, et compare,…
…
…( non, seulement l’enseignement Doxa d’endoctriné!,…imposé par l’état,…)
…
…mais, aussi, les donnés à sa bibliothèque, les interchangeabilités logiques des raisonnements!,…
…
…et comparez!,…les niveaux scolastiques,…entre époques!,…et résultats sur le progrès industriel!,…
…
…une réalité,…semble en relief,…
…le management!,…de l’élite d’entreprise lier aux actionnaires et bourgeois-tiers-papedébiles!,…
…
…et de limité le progrès!,…à des progrès d’asservissement aux plèbes de nouveaux riches,…de commerces à la » Berlusconisme éclairé du genre Marquis de mes fesses à l' » Optimum à Vilfredo Pareto « ,…
…et toute, son école à Stalag 13 Mondialiste,…au moteur » nazy-juif-catholique papale « ,…les saints du terroir!,…
…Ah!,…Ah!,…Bip!,…Bip!,…etc,…
…envoyez!,…une autre!,…
…
des journées entières dans les arbres Points de suspension dit: 7 mai 2014 à 15 h 28 min
Ouh la la, encore un torturé du bulbe.
Encore qu’une tonne suffira à alimenter le débat mais cessez de vous prendre pour Duras, vous seriez du genre vieille histoire que vous ne surprendriez pas, La vie est ailleurs… Le dernier Kundera? Have a nice day… sugar…
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…@,…J.C.,…Monsieur!,…est servis!,…
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…quel échiquier!,…sur le miniature, avec le pantographe à pointe-aimanté sur commandes!,…
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…une opération des cerveaux – lubriques aux gains pharaoniques,…nos High’s – School’s d’enfoirés!,…of course!,…etc!,…
…envoyez!,…la vache!,…
Un poirier énorme portant des milliers de fruits, tous ou presque gâtés, agités d’asticots complices, l’arbre fruitier ployant sous la charge inutile de ses trop nombreuses poires immangeables…
Au pied de l’arbre, un petit homme bedonnant, rondouillard, souriant dans son costume trop étroit, qui tend à son assistant agité, un noiraud hispanique, une lime à ongles fatiguée.
« Coupe ! Coupe donc ! » lui dit-il. Le petit catalan ne l’écoute même pas tant il est occupé à expliquer à une foule de journalistes sa « réforme territoriale ». Derrière des barrières d’incrédulité, la foule clairsemée se marre connaissant le résultat d’avance !
« haine juive de soi » ou « haine de soi juive »,
—
ou « haine de soi(,)juif ».
…
…@,…youtube!,…( I can’t get no )Satisfaction,…The Rolling Stones,…
…etc!,…
…
… » Le Sauvetage « , un Picasso adjugé pour 22 millions d’€uros à N-Y,…etc!,…
…
…ma santé!,…vaut mieux!,…que de peindre à perte!,…Allé! Louis! Ah !,…collabo’s!,…etc!,…
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l’austriacité
—
Maladie grave? Gastéropode fossilisé? Couleur caca d’oie?
Difficle de trouver plus laid vocable.
A compter du 8 mai 1945, l’Allemagne s’effondre et son leadership se trouve remplacée par celui des USA en Europe de l’Ouest.
Deux ans de tâtonnement et le Plan Marshall booste l’Europe d’une façon absolument fantastique. Les américains gagnent ainsi sur tous les tableaux : ils évitent la récession chez eux, ils aident à la reconstruction des nations européennes exsangues, et ils implantent durablement les éléments de lutte, économique, politique et autres, contre les communistes pilotés par Moscou qui refuse le Plan Marshall…
70 ans plus tard, l’Allemagne est leader européen, la France est toujours aussi molle, enfermée dans ses idéologies antiques qui la paralysent, les multinationales américaines installent un traité atlantique qui les avantage… Bravo les américains !
deux journées entières à peine dans les arbres dit: 7 mai 2014 à 21 h 52 min
j’en conviens, j’en conviens, soyez-en certain, J’ai un autre problème de soir; il est abyssal. Croyant pouvoir retrouver aisément ce voyage, édité en poche, dans ma bibli, j’ai du brasser une bonne centaine de bouquins.
C’est un vertige auquel je ne m’attendais pas.
Un étourdissement.
Et le pire pour moi est que je ne sais pas où je l’ai rangé.
You’re so gay !
Bloom dit: 8 mai 2014 à 8 h 18 min
Difficle de trouver plus laid vocable.
Dear Bloom, « austriacité » garde une beauté sonore pour ceux qui ont connu mille ans de monarchie. Pour les autres, le butoir de la « germanité » suffira.
L’austriacité est parée des atours de Babenberg.
Phil,
Ce n’est pas tant le concept que l’horreur sonore du terme.
Vous connaissez mon tropisme: ‘Austrianness » vous a une autre gueule, tout de même. En plus, il répond de façon parfaite aux règles de formation des substantifs bâtis sur d’autres substantifs (« N »+ness = caractère/qualité de ce qui est « N »). Où se trouve la rationnalité grammaticale?
Savez-vous quel est l’allemand? Un mot en ‘-keit’?
Pas croyable ! ce sont des révoltes (ou rebellions) et ils les appellent « révolutions » ! puis, lorsque la chose part en fumée, ils s’étonnent… Enfin ! comme le père de Tristram enseigne… appelez les choses par leur nom, puis, etc., etc.
Pablo75 dit: 8 mai 2014 à 0 h 17 min
@ bof
« si l’on en croit les statistiques, ça fait 3000 voyage achetés par des représentants de notre belle jeunesse soit moins de 0,5% ».
Tiens ! Et tu fais quoi des jeunes qui lisent les exemplaires des parents, des frères, des amis, ou achetés d’occasion, ou piratés en format électronique? Selon ta façon de raisonner moi je devrais avoir une centaine de livres chez moi. Et pourtant j’en ai plus de 12 000. Étonnant, non? (Samedi dernier, aux Puces de Montreuil, j’en ai acheté 16 et 13 cds classiques pour 20 € – avis aux amateurs).
12000 livres, 10 fois la bibliothèque de Montaigne, Pablo75!! vous les avez tous lus ?. vous êtes un sage, je vous salue!. et vous, vous pouvez continuer à me tutoyer
Bloom, il me semble qu’il faudra dire en allemand (autrichien) »Austriazität » (avec un tour sonore d’une demi-valse).
Qui s’oppose à « Deutschtum », sans racine latine.
Et l’österreich-ungarn continuera d’engloutir la germanité dans les tourbillons du Danube.
JC….. dit: 8 mai 2014 à 8 h 20 min
A compter du 8 mai 1945, l’Allemagne s’effondre et son leadership se trouve remplacée par celui des USA en Europe de l’Ouest.
Deux ans de tâtonnement et le Plan Marshall booste l’Europe d’une façon absolument fantastique. Les américains gagnent ainsi sur tous les tableaux : ils évitent la récession chez eux, ils aident à la reconstruction des nations européennes exsangues, et ils implantent durablement les éléments de lutte, économique, politique et autres, contre les communistes pilotés par Moscou qui refuse le Plan Marshall…
70 ans plus tard, l’Allemagne est leader européen, la France est toujours aussi molle, enfermée dans ses idéologies antiques qui la paralysent, les multinationales américaines installent un traité atlantique qui les avantage… Bravo les américains !
JC vous êtes l’Alexandre Adler de la RDL, le Jacques Attali de Porquerolles, un jour la Russie, L’autre l’Amérique ou la Chine, mais comment faites vous pour savoir tout ça?
bof dit: 8 mai 2014 à 9 h 22 min
Pablo parlait de 12 000 livres (sterling).
Chevalinité n’est rien d’autre que chevalinité… equinitas, pour faire simple…
« haine juive de soi » ou « haine de soi juive »,
–
ou « haine de soi(,)juif ».
les 3 mein oberchtourmrf..et oui si faut noter que c’est un marqueur certain pour l’identité de chrestien le goye c’est un repoussoir pour krauss..l’essentialisme a ceci de particulier que seul ceux qui en sont ont autorité pour en parler..ou ceux qui veulent sa destruction..objectivement il se rtrouve souvent à défende la même ligne..quand à ceux qui sont les deux ce sont des diamants noirs..hé oui il ne peuvent pas se départir..vdqs.. »ils se haissent »..on appelle ça « un dam » chez les alqueumiss.. kurkurkurk
equinitas, pour faire simple…
findus, libéral de mes deux
l’austriacitude c’est celui qui à la vazeline phil..ha tu perds la main
Bravo les américains !
haine de soi ou amour de largent
Bouguereau et son gode haute fréquence ?
langsam jicé ! langsam..
karl krauss y pouvait pas encadrer les journaliss institutionel..mais alors pas du tout..tous des gueubels!..un bloggueurs un vrai un tatoué
un genre d’onfray intelligent plutot qu’un céline
krauss c’est un mec de la parole céline de l’écrit..de l’esprit de l’escalier en colimaçon en bois au grenier en fer forgé chez les boniches en pierre à la cave pour aller chercher la bouteille d’eau minérale..on passe pas par les appartements des riches..on veut pas déranger
idéologies antiques
L’idéologie des néocons ignares (euphémisme) est tellement neuve, nouvelle, jeune
» Bravo les américains ! »
JC être toujours du bon côté
..ma mère jicé ferme ta gueule..
jamais que je dirais ça jicé..tu le sais bien
bof dit: 8 mai 2014 à 9 h 26 min
« JC vous êtes l’Alexandre Adler* de la RDL, le Jacques Attali de Porquerolles, un jour la Russie, l’autre l’Amérique ou la Chine, mais comment faites vous pour savoir tout ça? »
Mon papa, économiste de marché noir, puis profiteur du plan américain, du trfic des piastres en Indo, m’a tout raconté. En ce moment il est sur un coup fameux, mais chut !…Il est fort, mon papa.
*physiquement Alexandre, ce serait plutôt le Gros que le Grand…
ta geule singe de keupu
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…@,…bof,…9 h 22 mn,…
…
…vous les avez tous lus ?,…il comble les trous de son intégrité participative!,…comme moi!,…
…
…donc, nous disions,…
…la limonade aux abricots et aux pêches!,…
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…différents des beignets aux fruits!,…
…of course!,…etc!,…
Crevure de Dédé, je ne vais quand même pas serrer un à un tes multiples pseudopodes.
dédé c’est l’ourobouros il a tellement la haine de lui que c’est à se mordre sa queue et ses burnes
il comble les trous de son intégrité participative!
c’est la bravitude
Pink Narcissus dit: 8 mai 2014 à 8 h 20 min
Je sais maintenant, ce moment d’incertitude vite estompé, où est allé cet exemplaire du « Voyage au bout de la nuit de L.F. Céline » édité en format poche Folioplus classiques, -recommandé pour les classes de lycée- la dernière version que j’ai pu feuilleter.
Au recyclage papier.
Il a trainé des mois derrière le siège passage d’un véhicule qui a depuis changé de main.
Vous avez un message militant, soldat rose, à faire passer, en cette journée commémorative ?
Dites-le en chantant, au moins.
Publiciste hystérique serait plus approprié qu’éruptif, non ?
en tout cas il ne s’est pas beaucoup trompé..adolf loos c’est quand même un cas, c’est paradoxal qu’un vrai artisan comme lui lui rende un tel hommage
des journées entières dans les arbres dit: 8 mai 2014 à 10 h 02 min
Pink Narcissus dit: 8 mai 2014 à 8 h 20 min
Je sais maintenant, ce moment d’incertitude vite estompé, où est allé cet exemplaire du lycée- la dernière que j’ai pu feuilleter.
Au recyclage papier.
Il a trainé des mois derrière le siège passage d’un véhicule qui a depuis changé de main.
You’re so dramatically gay !
Je ne peux que me rallier aux considérations de JC sur la France et l’Europe.
Trois jours fériés en mai, faisant perdre des sommes colossales aux entreprises déjà en difficulté, et dont certaines vont jusqu’à ne pas verser de dividendes à leurs actionnaires, en gros c’est se tenir sur le bord de la falaise.
L’Ukraine ?
Regardez ses photos ! ce n’est plus la même chose depuis que la main de Passou y a posé le pied …
Quel rebelle !
Quel remue-ménage…
Je ne suis pas D., et encore moins Puck.
J’avais simplement repris au vol cette injure du puffy old fart qui sait tout et fait la leçon à tout le monde.
Aujourd’hui, c’est férié. Je m’étais dit : c’est le jour des glandeurs, c’est pour moi. Mais, à peine arrivé, je vois que bouguereau fait de la lèche au puffy et s’aplatit devant jicé.
Je me sens intrus. (Je veux pas déranger, comme dit bouguereau.) Je vous laisse.
Pink Narcissus dit: 8 mai 2014 à 10 h 13 min
Marcel ray, c’est pas celui qui a écrit un truc sur la crise agraire et l’Europe ?
« Regardez ses photos ! »
un concept, une litote.
des journées entières dans les arbres dit: 8 mai 2014 à 10 h 19 min
Avec quoi peut fort bien rimer « litote » ?…
« Je me sens intrus. »
Encore une histoire de god, Dédé.
« J’ai trainé des mois derrière le siège passage d’un véhicule qui a depuis changé de main. »
Ben mon colon…
tweet
« George RR Martin défend son « Game of throne » contre les accusations de violence sexuelle gratuite. »
Revenons à KRAUS :
« Moi, rien ne me vient à l’esprit au sujet de Hitler »
Moi, non plus.
Navrant que l’on ne puisse obtenir de réponse sérieuse des morts !
J’aurai bien aimé entendre celle de Karl Kraus, à propos de cette imbécile pub TV pour l’Europe sans Frontières, « animée » par ces couillons de Boon et Gallienne, pitres lamentable au service d’une cause tordue …
info pour faire plaisir à JC : le cinéaste André Téchiné envisage l’adaptation de Eddy Bellegueule
JC….. dit: 8 mai 2014 à 9 h 53 min
bof dit: 8 mai 2014 à 9 h 26 min
« JC vous êtes l’Alexandre Adler* de la RDL, le Jacques Attali de Porquerolles, un jour la Russie, l’autre l’Amérique ou la Chine, mais comment faites vous pour savoir tout ça? »
Mon papa, économiste de marché noir, puis profiteur du plan américain, du trfic des piastres en Indo, m’a tout raconté. En ce moment il est sur un coup fameux, mais chut !…Il est fort, mon papa.
*physiquement Alexandre, ce serait plutôt le Gros que le Grand…
mais il n’a dénoncé personne*, c’est pour ça que vous le respectez!
* enfin, pas d’honnêtes français, ça redonne foi dans l’Homme!
Daaphnée dit: 8 mai 2014 à 11 h 30 min
( aujourd’hui vernissage de l’expo des photographies de Rafael Sanz Lobato à Madrid ..
Disons, dans la province de Madrid, en banlieue quoi…
Vraiment excellent le commentaire de Widergänger du 6 mai 2014 à 22 h 58 min.sur Céline.
Avec des nuances quand même. Bien sur W. a raison de ramener à des proportions assez limitées l’apport et la « nouveauté » littéraire de Céline, son picaresque devenu apocalyptique.. Mais la « vocifération antisémite » de Céline est à étudier de prés. –ette vociferation qui sert d’ailleurs tout autant à accabler la Collaboration francaise fasciste dans « rigodon » ou » Sigmaringen , cette rhétorique obsessionnelle sur « la bougnoulisation du monde, c’est celle qui a cours aujourd’hui.. ce qu’il dit dans « l’ ecole des cadavres » sur « les métissages dégradants, ce qu’il dit des « afro polaks », des « balto ruthènes »,, des « moldo finnois » dans « nord » ou dans la fin de « rigodon », est aujourd’hui repris actuellement dans les populismes actuels.. dans les discours politiques de partis europeens.. tout ceci fait de céline le premier grand haut parleur littéraire d’une frénésie antisémite, d’une haine l’autre pourrait-on dire… et qui dure et persévère et se revivifie actuellement. Céline est, si je puis dire, le premier qui exprime dans son ampleur et sa folie absolue l’affolante passion vociférante antisémite dans toute son étendue. Cf ce qu’on peut entendre dans certains bistrots.. c’est pourquoi je crois qu’il faut imprimer, étudier et éditer les pamphlets de Céline, les commenter analyser par des historiens, des sociologues, des philosophes, les décortiquer, car ce n’est pas le petit carré d’un petit délire personnel.. les écrits d’ un « cinglé » qui étnnait et faisiait sourire des officiers allemands , de si bon gout…comme Jünger.,ce ne sont pas des textes d’un un psychiquement déréglé, Mais d’un homme qui écoute et exprime son époque dans ses composantes abjectes..
Céline ne nous enferme pas dans une simple pathologie individuelle, mais donne l’expression d’une abjectation historique dans sa vraie dimension…
Le tort justement du politiquement correct actuellement, c’est de croire qu’on pourrait par un vague schématisme méthodique, un simplisme moralisateur beta , ou un féminisme qui fait de l’anachronisme son cheval de bataille pour condamner tel ou tel écrivain, ( du genre :dejà Euripide traite honteusement les femmes, ne le lisons pas..)Non, il ne faut pas sous -estimer la fureur exacerbée renouvelée, la passion vertigineuse et flamboyante de cet antisémitisme. Céline nous colle dedans dans ses œuvres. Nous ne vivons pas dans un monde bisounours.
.Céline exprime dans sa fureur achilienne ,verbeuse, râbachée, cette dinguerie antisémite dont Widerganger parle bien.
Cette réalité historique devenue réalité apocalyptique en actes, elle s’exprime dans « Nord, » dans « d’un château l’autre » , « Rigodon » et pas dans Gide ou Saint-Exupery ou Drieu.. 1945 ressemble davantage à un roman de Céline qu’à un roman de Gide. Le réel a lieu dans les romans de Céline.
Alcobendas est une ville située dans la Communauté de Madrid en Espagne, et située au nord de la capitale espagnole.
Limitrophe des villes de Madrid, Paracuellos de Jarama et San Sebastián de los Reyes, la ville est desservie par la ligne 10 du métro de Madrid et par la ligne C4A du réseau de cercanías RENFE (trains de banlieue), avec deux arrêts : Valdelasfuentes et Alcobendas San Sebastián de los Reyes, son terminus.
Daaphnée dit: 8 mai 2014 à 11 h 42 min
L’expo. est à Madrid, crétin !
C’est comme dire qu’une expo à Juvisy/Orge se tient à Paris. Crétine !
Pour l’info sur Téchiné adaptant « en finir avec Eddy Bellegueule », je suis allée chez mon ophtalmologue hier. Vous vous en foutez, évidemment, mais attendez un peu.
Il n’y a que chez mon ophtalmo que je lis le Figaro magazine. Des vieux numéros, certes, mais justement : je trouve cela assez plaisant, de confronter le passé et le présent. Une impression d’étrangeté, à voir ce qui semblait si important, si digne d’intérêt, hier, et que l’on a complètement oublié quelques semaines plus tard… Re bref.
Eh bien, il y avait un article sur Edouard Louis, dont j’ai trouvé la fin fort juste. Edouard Louis, disait le journaliste, était « un saumon royal élevé par des sardines »…
(J’aurais plutôt vu Tavernier que Téchiné, moi, sur un sujet pareil, m’enfin…)
Daaphnée dit: 8 mai 2014 à 12 h 07 min
Dafnoz petite chose insignifiante et prétentieuse nous montre encore une fois l’étendue de son indicible connerie.
Paul Edel dit: 8 mai 2014 à 11 h 53 min
Vraiment excellent le commentaire de Widergänger du 6 mai 2014 à 22 h 58 min.sur Céline.
en gros ML nous redit pratiquement ce que dit Charles Dantzig sur le gros c.n de Céline, sauf que Dantzig ne confond pas systématiquement l’usage du futurn avec celui du conditionnel comme le fait ML
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…nos piranhas chefs bistrots » flip! flip!…flipper!… le dos-fin,…en boîtes à chaussures!,…mini-jupe!,…
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…nos » misérables » en » peau d’ânes « ,…mes chéris bébés-nurses!,…nos Licornes à bichonnés!,…
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…les colles des biches Ô me biche!,…aux Tartufes de remplacement!,…et cognition!,…Tope-là!,…Ollez!,…aux parfums!,…etc,…
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…artistes!,…envoyez!,…Ollez!,…
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Daaphnée dit: 8 mai 2014 à 12 h 07 min
C’est surtout que votre espace mental est si minuscule, que hors de votre petit quartier vous vous sentez en terre étrangère ! Sombre crétin !
Alcobendas / Puerta del Sol : 17 km, 1/2h de transports en commun… Mais tu as raison : Alcobendas = Madrid, il se pourrait même que ce soit le centre historique de Madrid, le coeur de la capitale espagnole, je ne vais pas contrarier ton révisionnisme géographique.
« Vraiment excellent le commentaire de Widergänger du 6 mai 2014 à 22 h 58 min.sur Céline.
Avec des nuances quand même. »
Et quelles nuances, Paul, puisque dans tout le reste de votre commentaire vous démontrez, avec éclat, qu’il a totalement tort : on ne peut pas évacuer la question juive chez Céline, entre autres…
Ce blog, sur lequel je m’échoue parfois, m’a tout l’air d’être un fameux rendez-vous de tristes crétins – pour mettre sur leurs noms des visages, piocher dans la clientèle de l’Industrie est une bonne idée. Eux-mêmes semblent s’y reconnaître spontanément. Misère du destin…
« un saumon royal élevé par des sardines »…
chte file tous les saumons de merde gavé au motul corp pour un filet de sardine crue sur une baguette beurrée..ça s’élève pas
Ce blog, sur lequel je m’échoue parfois
ces vidanges échouées ça fait vilain pour les touristes
Avec des nuances quand même. »
ce trou du fion de dracul a mis le braquet « chef d’oeuvre » sur son vélo électrique qu’il grimpe a 2km/h en disant avec « mes mollets tout est plat »..ce dracul est une sinistre pute
Marccccc dit: 8 mai 2014 à 12 h 21 min
Ce blog, sur lequel je m’échoue parfois, m’a tout l’air d’être un fameux rendez-vous de tristes crétins
il y a du vrai, mais les chefs de file ne sont pas tristes : JC, u et Daaphnée sont très contents d’eux.
Oui, je les avais remarqués, ainsi que Barozzi, Bouguereau, etc… Faut vraiment rien avoir à faire de sa vie pour laisser ici chaque jour des dizaines de messages au concours du plus prétentieux participants.
mais les chefs de file
Trois amis attablés à un bistrot : Daaphné, JC et U.
Le loufiat est bouguereau, bien sûr, obséquieux et propre sur lui.
« radio keupute » comme dirait baroz
mais oui c’est bien lui..l’échoué..reconnaissabe comme un antique sac leclerc..t’as fait bon voyage?
Bouguereau « propre sur lui » ? avec ses saumons de merde et ses vidanges échouées, sa vilaine obsession du caca
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…j’ai oublié,…la liaison!,…furtive!,…
…………..,…Ah!,…Ah!,…Bip!,…Bip!,…etc!,…
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…ne mélangeons pas les torchons avec les serviettes !,…B.C.B.G.!,…
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…bichou-net!,…une case à remplir,…Oui!,…une croix, dans ce petit carré,…les lunettes à saumons!,…
…bon!,…je signe à ta place!,…dis Ah!,…Ah!,…Oh!,..Oh!,…
…les renforts de la cavalerie arrivent!,…
…Allez! çà vient!,…Nom de « Zeuz »!,…
…les cîmes!,…
…moi!,…je construit des marionnettes!,…
…continue!,…chouettes! Alors!,…etc!,…
…un coup de main au pinceau!,…
…
Un jour, une année, une vie (1)
Ce matin je me lève avec l’envie profonde de dormir encore.
Un café, mon seul salut pour l’instant !
Dans la cuisine, j’ai juste le temps de faire bouillir de l’eau dans une petite casserole et de la verser dans une tasse préalablement gratifiée de deux carrés de sucre et d’une bonne cuillerée de café lyophilisé.
C’est brûlant, sucré et corsé à souhait.
La bouche rincée par la suave amertume, je file sans plus tarder sous la douche, tandis que huit heures sonnent au clocher de l’église Saint-Charles.
A grandes giclures d’eau froide et de mousse savonneuse je décrasse mon corps dont la nuit sans fraîcheur n’a fait que raviver les suées de la veille.
Après m’être frictionné vigoureusement le torse d’une eau de Cologne à la lavande et brossé les dents d’une pâte mentholée, j’enfile un tee-shirt et un slip propres ainsi que mon bermuda de la semaine.
Claquettes aux pieds, porte claquée, j’enfourche le scooteur qui m’attend sagement au bas des escaliers et entreprends la descente vers le bord de mer.
Par contraste, l’air vivifiant chargé d’embruns, brassé au passage, rend encore plus menaçante la promesse de la canicule annoncée.
Neuf heures pile.
J’entre précipitamment dans le Beach-Café, situé en bout de plages, à l’extrémité est de la ville.
Depuis la salle vide, j’adresse un salut amical à Nico, que j’entends remuer des bouteilles dans la réserve, et file illico presto derrière le bar me préparer un expresso serré.
Tenant une caisse à bout de bras, le patron, tous muscles tendus, fait son apparition par l’entrebâillement de la porte du fond : « Déjà en train de me bouffer le bénéfice ! », dit-il avec son sourire irrésistible.
– La nuit a été courte et agitée, maugrée-je, d’un air entendu.
– Je n’en doute pas, conclut-il, avant de venir ranger les diverses canettes dans les casiers réfrigérés placés de part et d’autre sous le percolateur.
Le temps de la mise en place est le meilleur moment de la journée. Elle s’accomplit selon un ordonnancement immuable, qui laisse toute latitude au vagabondage de la pensée. Tandis que Nico se charge de renouveler la cave et de servir les rares clients de la matinée, j’ai pour mission de presser quelques litres de jus de fruits frais d’avance (orange, pamplemousse et citron), de remplir et nettoyer les ménagères (salières, poivrières, moutardiers, huiliers et vinaigriers) et de dresser les tables de la terrasse en prévision du déjeuner. Ensuite je descends en cuisine, aider le chef à finir la préparation des hors d’œuvres inscrits au menu du jour.
Après quoi, de midi trente à quinze heures, le coup de feu continu du service ne me laisse plus aucun répit.
A l’issue de ce premier marathon, totalement exténué, je n’ai généralement plus la force d’aller à la plage, et profite de la coupure pour aller faire la sieste dans ma chambre demeurée tiède, malgré les volets clos. Là, je tombe dans un sommeil profond, sans plus entendre les bruits effroyables du carrefour de la limite nord-ouest de la ville où se trouve mon logis.
A dix-huit heures, de retour au Beach-Café, j’entame alors un second long marathon, lui aussi sans discontinuité, qui commence à l’heure de l’apéritif et s’achève un peu après minuit.
« Eh bien, il y avait un article sur Edouard Louis, dont j’ai trouvé la fin fort juste. Edouard Louis, disait le journaliste, était « un saumon royal élevé par des sardines »… »
Propos d’une « morue, élevée par des maquereaux »…
Vite, vite, Barozzi, la suite de tes merveilleuses aventures… Nous n’en pouvons plus d’attendre… Quel êtrte merveilleux tu es…. Comme tu écris bien… Que tu es beau…
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…J.C.,…là,…tu pousse!,…c’est pas gentil!,…excusez-vous!,…
…tomber, dans cet excès de zèle!,…vous me décevez!,…
…toutefois!,…dans ce mondialiste cloaque de commentaires d' » Expresso »,…c’est bon pour une fois!,…ces sucres qui débordent les fonds pleins!,…etc!,…Flipper! aux pieds!,…
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Gianni, qui cherche trouve, non ?
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…Hot!,…il faut voir un peu plus large!,…
…pour ne pas finir trop court!,…
…rire!,…
…mais,…en laisser pour le surlendemain!,…
…etc!,…management!,…de la lubri-cité!,…du terroir!,…entre deux portes!,…
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Monsieur Sant Angelo, c’est l’heure de perndre vos gouttes. L’atelier thérapeutique va fermer. Bonne sieste.
Un jour, une année, une vie (2)
Le soir, je ne rentre plus directement chez moi.
Depuis quelques jours, je m’attarde le long de la promenade. Au lieu de bifurquer sur la droite, avant le vieux port, je poursuis ma route en direction de l’ouest, jusqu’au square public situé en bordure de mer et des derniers immeubles d’habitations.
Là, tel un centaure mécanique, je fais corps avec mon scooter. Après avoir ralenti, je m’arrête et observe, l’air de rien, sans couper le moteur, les rares silhouettes qui se déplacent furtivement entre le chalet de nécessité, à l’angle du jardin, et les denses bosquets sombres disséminés à l’intérieur.
Quelqu’un esquisse t-il un mouvement dans ma direction, je redémarre et disparaît aussi sec sur la route noire qui s’enfonce au loin entre les plages désertes et la ligne du chemin de fer que ne fréquentent plus à cette heure que les rares trains de nuit.
Vers le bout de la promenade, à la hauteur du blockhaus qui précède le tunnel sous-terrain permettant de rejoindre la zone industrielle, de l’autre côté des voies, immanquablement, je fais demi-tour.
Moins d’un quart d’heure plus tard, me voilà de nouveau à mon point de départ.
Un rituel nocturne, que je poursuis jusqu’à épuisement des forces et décide, dans un renoncement final, de rentrer me coucher.
…
…Marcooo!,…je vis seul,…et me débrouille de même!,…
…un verre de Bordeaux!,…merci!,…de vous soucier de ma santé,…
…
Angelo – Ah, la solitude, drame du monde moderne… certains en deviennent fous, parlent seuls, questions-réponses, bis repipitata, onomatotopées… Le vin n’arrange rien, même s’il console parfois… De tout coeur avec vous.
Jacques Barozzi dit: 8 mai 2014 à 12 h 45 min
Grazie mille caro Giacomo Barozzi per il tuo discorso.
Ci ritornero in Italia, as soon as possible!
Qu’est-ce que c’est que cette littérature de quai de gare, Jacques ?
J’espère que ce n’est pas de vous au moins, ce tissus de banalités mal ficelées et dignes d’un adolescent attardé ?
…
…@,…Marccccc,…
…
…………….,t’a un programme en tête!,…
…………….,sert’en pour toi même!,…
…
…ne tombe pas,…dans les pièges autour d’Alésia!,…etc!,…les renforts!,…Ah!,…
…
De toutes façon les phrases qui commencent par Je sont de mauvais augure. Ça sent l’ego qui arrive doucement sur la pointe des pieds.
Il est beaucoup plus subtil et adroit de parler de soi en se faisant passer pour un autre à la troisième personne du singulier. Et on peut même faire encore plus fort en lui changeant le sexe, je veux dire par le le genre.
« Sapore di mare, sapore di sabbia »
Sabbia, sabbia… il n’y aurait pas une vacherie caché derrière ce mot ?
Oups ! caché > cachéE
…
[…]
… Angelo …//!!°°X§;;%
– C’est çui qui dit qui y est…
– Toi non plus…
– J’allais le dire !
– Hoc unum ad pristinam fortunam Caesari defuit…
– Tant pis pour lui !
– Sa mère en short devant le Colisée…
– Comme Sainte Blandine ?
– Elémentaire…
– Vite, vite, mes gouttes !
– Drelin drelin drelin
– Ma cassette !
Par ailleurs, le passé est beaucoup plus élégant. Question de goût sûr, comme le choix des tonalités en musique.
Exemple :
Le soir, elle ne rentrait plus directement chez moi.
Depuis quelques jours, elle s’attardait le long de la promenade. Au lieu de bifurquer sur la droite, avant le vieux port, elle poursuivait ma route en direction de l’ouest, jusqu’au square public situé en bordure de mer et des derniers immeubles d’habitations.
Là, tel un centaure mécanique, elle faisait corps avec mon scooter. Après avoir ralenti, elle s’arrêtait et observait, l’aire de rien, sans couper le moteur, les rares silhouettes qui se déplaçaient furtivement entre le chalet de nécessité, à l’angle du jardin, et les denses bosquets sombres disséminés à l’intérieur.
Quelqu’un esquissait t-il un mouvement dans ma direction, elle redémarrait et disparaissait aussi sec sur la route noire qui s’enfonçait au loin entre les plages désertes et la ligne du chemin de fer que ne fréquentaient plus à cette heure que les rares trains de nuit.
Vers le bout de la promenade, à la hauteur du blockhaus qui précédait le tunnel sous-terrain permettant de rejoindre la zone industrielle, de l’autre côté des voies, immanquablement, elle faisait demi-tour.
Moins d’un quart d’heure plus tard, là voilà de nouveau à son point de départ.
Un rituel nocturne, qu’elle poursuivait jusqu’à épuisement des forces et décidait, dans un renoncement final, de rentrer me coucher.
« Sortir de la Royauté, c’est sortir de l’Histoire »
« Un rituel nocturne, qu’elle poursuivait jusqu’à épuisement des forces et décidait, dans un renoncement final, de rentrer me coucher. »
« Sortir de l’Europe, c’est sortir de l’Histoire »
renato dit: 8 mai 2014 à 13 h 41 min
Oups ! caché > cachéE
Vivement les vacances Dédé!
http://www.youtube.com/watch?v=lWgJjtmr7Yk
D. dit: 8 mai 2014 à 13 h 31 min
Qu’est-ce que c’est que cette littérature de quai de gare, Jacques ?
Jacques tient là le sujet d’un best seller.
Un jour, une année, une vie (3)
« La nuit a encore été courte ! », déclare Nico d’un air narquois.
Agenouillé à mes pieds en train de ranger des bouteilles, je contemple ses muscles dorsaux que moule avantageusement un t-shirt rouge vif sans manches. Ses épaisses boucles brunes laissent deviner une nuque puissante tandis que l’odeur épicée de son eau de toilette semble une émanation propre à sa peau brunie par le soleil.
– Tu t’es encore aspergé de vétiver, lui dis-je en lui décochant un coup de genou dans l’épaule gauche !
Vacillant sur le côté, il parvient à rétablir l’équilibre en s’agrippant au haut de ma cuisse.
– T’en profites parce que c’est ton dernier jour de travail, dire que tu étais tout timide quand je t’ai embauché. N’oublie pas le respect que tu me dois en tant qu’aîné et patron !
– Tu m’invites toujours à prendre un pot après le service ce soir, dis-je d’un ton de défi ?
– Bien sûr, c’est le moment ou jamais de faire plus ample connaissance, avant que le petit oiseau ne s’envole définitivement, conclut-il en riant !
On peut mettre un peu de participes présent, comme on mettrait du poivre.
Exemple :
Le soir, elle ne rentrait plus directement chez moi.
Depuis quelques jours, elle s’attardait le long de la promenade. Au lieu de bifurquer sur la droite, avant le vieux port, elle poursuivait sa route en direction de l’Ouest, jusqu’au square public en bordure de mer et des derniers immeubles d’habitations.
Là, tel un centaure mécanique faisant corps avec mon scooter, ayant ralenti, elle s’arrêtait. Et observait. L’air de rien, sans couper le moteur. Les rares silhouettes se déplaçant furtivement entre le chalet de nécessité, à l’angle du jardin et des denses bosquets sombres disséminés à l’intérieur.
Quelqu’un aurait-il esquissé un mouvement dans sa direction qu’elle aurait redémarré aussi sec et disparu sur la route noire s’enfaonçant au loin entre les plages désertes et la ligne du chemin de fer que ne fréquentaient plus à cette heure que les rares trains de nuit.
Vers le bout de la promenade, à la hauteur du blockhaus qui précédait le tunnel sous-terrain permettant de rejoindre la zone industrielle, de l’autre côté des voies, immanquablement elle faisait demi-tour.
De nouveau à son point de départ moins d’un quart d’heure plus tard.
Un rituel nocturne, qu’elle poursuivait jusqu’à épuisement des forces et décidait dans un renoncement final de rentrer se coucher.
Jacques Barozzi dit: 8 mai 2014 à 13 h 53 min
– Bien sûr, c’est le moment ou jamais de faire plus ample connaissance, avant que le petit oiseau ne s’envole définitivement, conclut-il en riant !
Enfin un peu de c.l !
Il est interdit de jeter de la nourriture aux animaux et d’encourager Jacques Barozzi.
Un battement de c.ls et un battement de c.ls, ça n’a rien à voir, cornegidouille !
Un jour, una année, une vie (4)
Après la coupure de l’après-midi, je reviens revêtu de mes plus beaux atours : un jean et un polo neufs, chaussé de mocassins en daim beige sans chaussettes.
Tandis que le service touche à sa fin, les amis de Nico débarquent au Beach-Café. Une bande de trentenaires, comme lui, menée par l’inévitable Pedro Vallombrosa. Un garçon affecté, au statut social indéfini, dont l’ascendant moral qu’il exerce visiblement sur Nico me paraît incompréhensible et néfaste. A t-il des intérêts dans l’affaire ou se contente-t-il de rabattre une partie de la jeunesse dorée locale au Beach-Café ? Nico et lui ont souvent des conciliabules à voix basse durant lesquels ils semblent élaborer d’étranges complots. Mais ce soir, outre les habituels jeunes gens, la compagnie s’est adjoint deux nouvelles recrues : deux brunes d’allure tapageuse, un peu vulgaires, que Pedro a présenté par leurs prénoms, Malika et Vanessa.
Alors que j’ai fini de ranger la terrasse, le groupe bruyant des fêtards, agglutinés au bar, n’a cessé d’empiler les tournées.
Malika, juchée sur un tabouret, l’épaule collée contre celle de Nico, avachi de l’autre côté du comptoir, surprend mon regard expectatif en direction de ce dernier.
« Qu’est-ce qu’il veut celui-là », demande-t-elle agressivement à la cantonade ?
– C’est notre petit lycéen qui a fini sa journée et veut aller se coucher, ricane Pedro Vallombrosa !
– Non, le reprend Nico, plus lycéen mais étudiant. Il a eu son bac en juin dernier et il part dans une semaine à la capitale pour y faire Sciences-Po. C’est son dernier jour de travail.
Passablement alcoolisé et plus intéressé à finir la nuit avec Malika, a t-il oublié notre rendez-vous ?
Déçu, je lui tends la main et lui fais mes adieux solennels en public.
Nico prend alors une enveloppe dans la caisse, contourne le bar et vient me la donner en m’embrassant chaleureusement : « Tiens, voilà ton compte. Bonne chance pour la suite », ajoute-t-il d’un ton où j’entends comme un soulagement ou peut-être un regret.
…
…Bon!,…c’était bien!…les mutations!,…du feeling!,…
…à tantôt!,…à tous!,…
…on se lève pour Dannone!,…Ave César!,…
…
« Nico prend alors une enveloppe… »
Avec un prénom pareil, ce ne peut être qu’un nul.
Daaphnée n’ayant pas supporté le KO de « soyons précis » s’est défenestrée du 9ème étage de sa tour à St Ouen.
I love you, Jacky !!!
un jean et un polo neufs, chaussé de mocassins en daim beige sans chaussettes mais fourrés façon mouton.
un jean Levi’s et un polo Lacoste neufs, chaussé de mocassins Geox en daim beige
(La journée dont il est question ici se situe à la fin de l’été 1971.)
Jacques Barozzi dit: 8 mai 2014 à 14 h 02 min
faire Sciences-Po
Ca empêche pas de taper, ça… Ha non non non !
Un jour ?
« Ulysse (titre original Ulysses en anglais) est un roman de James Joyce, sorti dans un premier temps sous forme de feuilleton dans le magazine américain The Little Review (en) entre mars 1918 et décembre 1920, avant d’être publié dans son intégralité le 2 février 1922 à Paris par la librairie Shakespeare and Company fondée par Sylvia Beach (cela restera l’unique parution de la librairie).
Le roman relate les pérégrinations de Leopold Bloom et Stephen Dedalus, à travers la ville de Dublin lors d’une journée ordinaire… »
Pour l’année et la vie (à venir) ?
« L’Homme sans qualités (Der Mann ohne Eigenschaften) est un roman inachevé de l’écrivain autrichien Robert Musil.
Cette œuvre immense est considérée par Thomas Mann, avec Ulysse de James Joyce et À la recherche du temps perdu de Marcel Proust, comme un des plus grands romans du xxe siècle. »
Ce Big Ben tombé à terre comme les filles présente quelque chose d’exactement ferdinien…
1971, una giornata particolare…
Malika, Vanessa… Des pseudos bien sur.
C’est pas plutôt des prénoms en vogue 20 ans plus tard?
« Malika est un prénom féminin d’origine arabe (ملكة). Son équivalent masculin est Malik. Il signifie « reine ». C’est un prénom répandu en Afrique du Nord.
Il est parfois considéré comme un dérivé de Marie ; il est fêté à ce titre le 15 août ou le 26 août »
« una giornata particolare… », certo… mais deux de mes amies (même âge que moi) s’appellent Vanessa, et une, gallerista à Genève, s’appelait Malika…
Ok, ok les gars.
Je voulais dire Océane et Ludivine.
Marccccc dit: 8 mai 2014 à 12 h 33 min
Faut vraiment rien avoir à faire de sa vie pour laisser ici chaque jour des dizaines de messages au concours du plus prétentieux participants.
Arrête, Marc, tu me fais penser a ma grand-mère.
Daaphnée dit: 8 mai 2014 à 16 h 01 min
le polo, le brun qui vous règle votre compte ..
Ha mais on lui colle un coup de maillet sur la calebombe et l’affaire est dans le sac…
Non, Daaphnee, en 40 ans j’ai pris en tout et pour tout que 5 kilos, et, à mon grand étonnement, je plais encore…
Daaphnée dit: 8 mai 2014 à 15 h 51 min
Zut, elle s’est ratée !
à mon grand étonnement, je plais encore…
sapré baroz..
ueda dit: 8 mai 2014 à 15 h 55 min
Arrête, Marc, tu me fais penser a ma grand-mère.
Ce qu’il advint du beau brun qui ne m’a pas réglé mon compte, Sergio, je le disais dans le numéro 5 du feuilleton !
Mais malgré maints essais, ce commentaire ne veut pas passer, tout en me disant à chaque fois que j’envoyais un doublon ! Tout va t-il arriver en cascade ?
Malika, Vanessa…
3615..lassouline il aurait fait des thunes
Clopine dit: 8 mai 2014 à 12 h 13 min
Eh bien, il y avait un article sur Edouard Louis, dont j’ai trouvé la fin fort juste. Edouard Louis, disait le journaliste, était « un saumon royal élevé par des sardines »… »
les pauvres sont des c.ons disait Coluche qui savait de quoi il parlait, rien n’a changé!
chaussé de mocassins en daim beige sans chaussettes mais fourrés façon mouton.
ça devait rnauder..ha c’était pas encore la globalisation
rien n’a changé!
tou es touyours yeuhom jicé
Vivement le N° 5!!!!!
on lui colle un coup de maillet sur la calebombe et l’affaire est dans le sac…
continue a prende baroz pour un cageot toi
Bon, elle viens cette éjac..cascade?
J’ai commencé très jeune à violer les gamines de maternelle, les jeunes filles dérangées, les jeunes femmes en chaleur, les nonnes en attente du divin, les religieuses déçues, les postières rurales, les femmes de ménages incompétentes …
Ce n’est pas du vice, loin de là, mais de la stricte nécessité.
Affreusement laid depuis ma plus tendre enfance, je n’ai jamais pu dire comme l’ami Jacques : « à mon grand étonnement, je plais encore… »… JAMAIS !!!
pff.. ça gratouille au niveau de mes glandes de Skene
« JAMAIS !!! »
On sent comme un dépit ?
J’ai réessayé, même en changeant d’adresse, ça ne passe toujours pas, mais le doublon est enregistré. Patience, Daaphnée, à moins que Passou m’a tuer ?!
les postières rurales, les femmes de ménages incompétentes …
..trés bien
Daaphnée,
Pour quelle raison le mal usurpateur viendrait il d’un nain ? Cette malédiction attachée aux nains … pauvres nains ! tout le monde ne peut pas mesurer plus d’un mètre quatre vingt dix !
dans les back rooms, jacky, c’est surtout une affaire de tatonnements, non?
JC….. dit: 8 mai 2014 à 16 h 30 min
Daaphnée,
Pour quelle raison le mal usurpateur viendrait il d’un nain ?
Pardon? Toi, je te cause pas, voila, c’est tout!!
« c’est surtout une affaire de tatonnements, non? »
Oui, mais en général on prend soin de bien regarder avant celui que l’on va y suivre, Daaphnée…
Daaphnée, j’essaie de ramener notre ami Jacques dans le chemin de Dieu car son âme ridée est en danger…. et vous l’entrainez à nouveau dans les arrières salles de Sodome !
Aidons le ! Trouvons lui une jeune Nigériane ayant arrêté ses études prématurément…
Enfin je dis Daaphnée, mais c’est sans doute à son vil travesti que je réponds, non ?
J’ai horreur de l’anonymat !
JC….. dit: 8 mai 2014 à 16 h 36 min
Daaphnée, j’essaie de ramener
Hou! c’est pot de colle et Cie..
Mauvaise nouvelles de l’Ancien …
J’appelle :
« Allo, Jacques ? C’est toi ? »
On me répond :
« Oui, c’est moi ! C’est toi Bouguereau ?… »
J’ai raccroché. Naufrage…
on en apprend tout plein sur la sexualité des écrivains favoris de Popaul dans le Monde, même Flaubert qui… eh bé
Daaphnée dit: 8 mai 2014 à 16 h 42 min
Va te faire enculer, connasse!
Tiens, c’est une idée !
Jacques Barozzi dit: 8 mai 2014 à 16 h 14 min
Tout va t-il arriver en cascade ?
Non non y a un truc qui a déraillé faut trouver quoi. Est-ce qu’il y a oui ou non une censure personne ne le sait au juste. Si cela se trouve, c’est purement mécanique, une espèce de système expert en somme. Essaie de balancer par paragraphes, pour voir.
Het halor Cascade c’est l’un des personnages principaux de Guignol’s band, un honorable mac au coeur d’artichaut. Ce qu’il y a évidemment, faut pas le chercher outre mesure…
C’est lui, donc, qui accueille le Narrateur à London Bridge over troubled water…
« Essaie de balancer par paragraphes, pour voir. »
C’est déjà en paragraphes, Sergio !
Par phrases ou mots à mots ?
Voilà un paragraphe tout seul. On va bien voir :
Tandis que le service touche à sa fin, les amis de Nico débarquent au Beach-Café. Une bande de trentenaires, comme lui, menée par l’inévitable Pedro Vallombrosa. Un garçon affecté, au statut social indéfini, dont l’ascendant moral qu’il exerce visiblement sur Nico me paraît incompréhensible et néfaste. A t-il des intérêts dans l’affaire ou se contente-t-il de rabattre une partie de la jeunesse dorée locale au Beach-Café ? Nico et lui ont souvent des conciliabules à voix basse durant lesquels ils semblent élaborer d’étranges complots. Mais ce soir, outre les habituels jeunes gens, la compagnie s’est adjoint deux nouvelles recrues : deux brunes d’allure tapageuse, un peu vulgaires, que Pedro a présenté par leurs prénoms, Malika et Vanessa.
C’est bon. Maintenant, est-ce que cela va rester ?
Que demande le bon peuple des lecteurs ?
Des histoires de cul !
Voyez, Clopine, même à moi ils réclament que j’en mette dans mon trop chaste récit !
Un peu de patience, le roman est loin d’être achevé !
(panne momentanée de machine mais pas de moteur…)
bien plates excuses : c’est dans LIBÉRATION !
Jacques, au delà des problèmes évidents de style et de maîtrise évoqués supra, je ne vous encouragerai pas à écrire un roman tout simplement parce que vous n’avez rien à raconter.
Ce qui n’est pas mon cas.
Jacques, je veux bien être votre nègre, mais pas au black, entendons-nous bien. Je suis réglo.
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