de Pierre Assouline

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La République des livres
Pour saluer aussi d’autres Pauvert

Pour saluer aussi d’autres Pauvert

« Quel est aujourd’hui l’éditeur qui fait ce job ? » se demande Paul Edel sur son blog dans la chute de son hommage à Jean-Jacques Pauvert qui vient de disparaître à 88 ans. La question, posée ès-qualités par un critique littéraire doublé d’un écrivain, vaut d’être méditée car on la retrouve un peu partout dans les nécrologies du grand-éditeur-de-Sade qui fut aussi celui d’André Hardellet (il se retrouva au tribunal pour Lourdes, lentes), Siné, Topor, Mandiargues, Breton, Bataille, Albertine Sarrazin, Brigitte Lozerec’h, Hortense Dufour et l’exhumateur de textes d’Oscar Panizza, Georges Darien, Alfred Jarry, Léon Bloy, Raymond Roussel…

Paul Edel cite à juste titre les fleurons du catalogue Pauvert, mais aussi, chose plus curieuse, La Littérature à l’estomac de Julien Gracq dont le blogueur nous dit qu’il s’est « empressé » de le publier. Or on sait que ce pamphlet, paru dans un premier temps en janvier 1950 dans la revue Empédocle, a été repris aussitôt après en un mince volume par son éditeur de toujours José Corti, ainsi que onze ans après au sein du recueil Préférences. Mais par quel miracle a-t-il pu faire également l’objet d’une édition chez Jean-Jacques Pauvert sous le même titre en 1964 ? On aimerait le savoir. Cela nous renseignerait peut-être sur les limites du style Pauvert, des méthodes qui, si elles n’enlèvent rien au courage, à l’audace, à l’indépendance du « grand décalé », autorisent à mettre un bémol sur l’admiration.ArticlePauvert

On peut comprendre que certains imprimeurs jadis acculés à la faillite ou au dépôt de bilan par ceux des éditions Pauvert aient conservé un souvenir plus contrasté du « non-conformiste de l’édition ». Certains auteurs ou ayant-droits également marqués par sa désinvolture. Car c’est aussi cela un éditeur, et pas seulement celui qui laisse un beau catalogue. Ou des Mémoires. Ceux de Jean-Jacques Pauvert ont laissé la trace d’un exercice d’autosatisfaction sans mélange. A croire qu’il avait inventé le métier et que celui-ci allait mourir avec lui. Il est vrai qu’il avait tout fait dans ce milieu, avec une force de conviction exaltée par son goût de la provocation, et qu’il était des rares à savoir chercher, découvrir et surtout lire, ce qui s’appelle lire, à défaut de savoir compter.

Alors, quel éditeur fait aujourd’hui le « job » ? La plupart, tout simplement. En assumant les risques, lesquels ne consistent pas nécessairement à affronter les juges de la XVIIème chambre. Certains, de moyenne ou de petite taille, le font à leur compte en province ; d’autres, un peu moins indépendants parfois, à Paris ; mais leur personnalité étant moins flamboyante que celle de Pauvert, on en parle moins voilà tout ; leur discret catalogue en témoigne, qu’il s’agisse d’auteurs contemporains, inédits et inconnus, ou d’oubliés du siècle échu qu’ils ont à cœur de rééditer, mais à bas bruit. Car contrairement à une idée reçue devenue un poncif de toute réflexion sur ce métier, répandu par le pamphlet d’André Schiffrin L’édition sans éditeurs (La Fabrique, 1999), il n’est pas exclusivement aux mains de managers analphabètes, il s’en faut. Le fait est, aussi, que les temps ont changé et qu’il faut vraiment aller la chercher pour trouver la censure. Elle concerne essentiellement la pédophilie, le négationnisme et les appels à la haine raciale, dans la presse surtout car l’écrivain, lui, peut s’abriter derrière les exigences de la fiction.

De toute façon, le mot même de « censure » perd de sa substance dès lors que l’on veut bien lire en ligne. Des livres d’Henry Miller, Léon Degrelle avaient bien été interdits dans les années 50, et même L’homme de gingembre de JP. Donleavy, la Lolita de Nabokov sous Guy Mollet. Depuis, ils sont disponibles en format de poche et dans les plus prestigieuses collections. Quant à Sade, cela fait déjà longtemps qu’il dépucèle, viole, déchire, écartèle, torture et trucide en format de poche dans les meilleures éditions critiques. Ces jours-ci encore, un volume Sade paraît dans la Pléiade (le marquis s’y divinise depuis un quart de siècle déjà) sous la direction experte de Michel Delon : Les cent vingt journées de Sodome, Justine ou les malheurs de la vertu, La philosophie dans le boudoir… Quand Sade fit son entrée dans la fameuse collection, l’éditeur lança une campagne publicitaire avec le slogan :

« L’Enfer sur papier bible ».

La formule a disparu depuis, et pour cause : elle ferait sourire. Sauf peut-être le grand critique américain Roger Shattuck, le philosophe Michel Onfray et d’autres qui estiment qu’une telle horreur n’a pas sa place sous de si prestigieux auspices. A quoi Michel Delon répond dans sa présentation :

« Nous proposions en 1990 de donner à Sade sa place dans la Bibliothèque de la Pléiade « sans banalisation ni provocation ». Il l’occupe désormais, mais ne se laisse pas facilement ranger, quelque part entre Rousseau et les sagas islandaises. C’est la fonction de la littérature de ne pas se réduire à un classement préalable, de ne jamais se reposer sur la certitude de valeurs intangibles. Sade incarne un principe d’inquiétude et de dérangement qui nous oblige à le relire et à nous demander ce que lire veut dire ».

Il fallut autrefois un Pauvert, à la suite de Maurice Heine et de Gilbert Lely, pour sortir les romans de Sade de l’enfer. Mais aujourd’hui, ce n’est pas la censure qui envoie les textes en enfer : c’est l’indifférence, l’oubli, la méconnaissance, l’inculture et surtout, l’autocensure, le fléau qui ne dit pas son nom.

(illustration Gray)

Scellé

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire.

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commentaires

1 054 Réponses pour Pour saluer aussi d’autres Pauvert

des journées entières dans les arbres dit: à

Je pense que le château de Miolans est encore visitable, à cette époque de l’année.

jem dit: à

Pierre Assouline écrit dans cet hommage : « De toute façon, le mot même de « censure » perd de sa substance dès lors que l’on veut bien lire en ligne. » Mais l’Internet, justement, n’est-il pas la forme la plus subtile de la censure, et la plus efficace, en réduisant tout à un même degré zéro de l’anonymat ? C’est contre cela qu’il faudrait lutter, je pense.

Jacques Barozzi dit: à

Erdéliens, erdéliennes, prenez-en de la graine, on peut rester courtois tout en distillant quelques vacheries : Passou-Paul Edel, beau match en perspective !

Clopine dit: à

Jem, un « hommage » comme celui d’aujourd’hui ressemble bien plutôt à une mise au point, de celles qu’on opère via la lunette de la carabine, juste avant d’appuyer sur la gâchette…

L’hommage, le vrai, lui, est chez Paul Edel.

Ce qui permet aux humbles lecteurs que nous sommes de faire, finalement, notre petite tambouille : vous prenez les deux textes, l’édelien et le passoulinien, vous prenez tout le bien que pense le premier, tout le mal qu’affirme le second, vous secouez, vous goûter le résultat mitigé : vous ne devez pas être loin de la vérité.

Si tant est qu’elle existe.

Jacques Barozzi dit: à

Oui, Clopine, Paul Edel termine par « Qui fera le job (pas le Job) » et Passou ti(t)re : Pour saluer d’autres Pauvert(s) !
Tous aux abris !

ACP dit: à

Clopine dit: 1 octobre 2014 à 13 h 49 min
Mais elle existe au moins (la vérité) chez Bobby Lapointe

Combien de fois depuis près de 9 ans…
Dix, quinze fois ?
Résultat…… RIEN.

Une preuve par l’absurde de l’absence totale de capacité de remise en cause de la part de Madame Trouillefou.

BOBY, il s’appelle BOBY.

Sergio dit: à

« un critique littéraire doublé d’un écrivain » : Ha mais c’est une conurbation… Euh non… Une confrérie ! Comme le pinard…

Sergio dit: à

Jacques Barozzi dit: 1 octobre 2014 à 13 h 58 min
Paul Edel termine par « Qui fera le job (pas le Job) » et Passou ti(t)re : Pour saluer d’autres Pauvert(s) !
Tous aux abris !

Ha ils sont entiers contre nous, hein !

Sergio dit: à

Clopine dit: 1 octobre 2014 à 13 h 45 min
la gâchette…

La queue de détente ; Diane chasseresse devrait savoir cela ! Mais bon avec tous ces Bibelforscher comme dirait Ferdine…

pado dit: à

« Alors, quel éditeur fait aujourd’hui le « job » ? La plupart, tout simplement »
………..
« Mais aujourd’hui, ce n’est pas la censure qui envoie les textes en enfer : c’est l’indifférence, l’oubli, la méconnaissance, l’inculture et surtout, l’autocensure, le fléau qui ne dit pas son nom. »

Euh, yapa comme une légère contradiction là.

Beaux débuts! dit: à

Tenez, à propos de Pauvert…

Malraux André. L’ homme et la culture artistique. Pauvert 1947 in-8.br,50 p. couverture rempliée, E.O. 1/7 ex. de tête num. sur Japon (c’est le n°1), seul tirage avec 43 sur Arches. C’est le texte de la conférence faite à l’ UNESCO le 4 nov. 1946. L’ une des 1ères publication de J.J. Pauvert..
1500 euros!

sucettes dit: à

Assouline ne déclare pas la guerre à Paul Edel, il apporte des précisions face aux inquiétudes selon lui non fondées de manque de successeurs possibles à Pauvert.

Puis il prolonge sur les éditeurs et la censure, c’est plus complet dans l’information, moins émotif/subjectif comme rédaction, et c’est on ne peut plus étayé.

sucettes dit: à

Beaux débuts vous achetez/ revendez du Pauvert ? C’est côté ?

Jacques Barozzi dit: à

« Ha ils sont entiers contre nous, hein ! »

Pas spécialement, Sergio, mais dans une guerre, fût-elle à fleuret moucheté, on sait jamais comment ça peut tourner !

Jacques Barozzi dit: à

Enfin, sucettes, dire que les éditeurs sont toujours aussi bons mais que les auteurs sont de plus en plus timorés, j’appelle pas ça de l’information…

Jacques Barozzi dit: à

ça me rappelle l’argumentaire de l’actuelle équipe municipale. On leur dit que Paris est de plus en plus sale et elle répond que c’est la faute de l’incivilité des Parisiens. Pendant ce temps elle a fermé les robinets d’eau pourtant non potable et obstrué les bouches d’évacuation des égouts !

sucettes dit: à

en somme c’est une incitation de Pierre Assouline à s’autoriser d’écrire même sur les sujets les plus tangents. Il prendrait son pot du wouikende avec le responsable des Arènes que cela ne m’étonnerait pas. Je vais me prendre un petit congé avec ma clef usb.

Sergio dit: à

Jacques Barozzi dit: 1 octobre 2014 à 14 h 46 min
on sait jamais comment ça peut tourner !

En baston général comme dirait Renaud ! Avec la winchester, pom, pom, de l’adjoint au maire, pom, pom…

hamlet dit: à

c’est celui qu’on appelait le martien ?
parce que les martiens ont la peau ver…
bon c’est pas grave, laissez tomber.

hamlet dit: à

si c’est pour pomper tout ce que dit Paul Edel… je vois pas l’intérêt d’avoir un blog à soi.
à ce compte moi aussi je peux avoir un blog… et je recopierai tout ce que dit Clopine sur le sien.

hamlet dit: à

c’est vrai que c’est fou combien le monde a changé depuis les années 60.
juste apèrs les années 60 on eu droit aux années 70.
après les années 80.
après ça il y a eu la décennie 90.
à la suite de laquelle ont eu lieu les années 2000.
et après hop ! les années 2010 ! où nous sommes encore.

mais bon, je ne voudrais pas non plus trop complexifier une discussion déjà assez compliquée.

hamlet dit: à

le fond du problème il est politique.

à la question de Paul Edel il faut répondre personne, simplement parce que ce n’est plus possible !

quel serait l’équivalent aujourd’hui ?
l’éditeur qui se pointe et se dit je vais être le nouveau Pauvert : il fait quoi ?
rien, nada.

pourquoi ? parce qu’il n’y a plus de bourgeoisie, plus de curé, plus personne à outrager, même Millet il outrage personne.

sur que si on prend un Mauvignier, un le Clezio ou un Mathias Enard avec eux la censure elle n’aurait pas servi à grand chose.

maintenant les écrivains se censurent tout seuls, comme des grands, ils n’ont besoin de personne pour les faire taire : c’est pas la peine de les faire taire de toute façon ils n’ont rien à rien !

à part pour parler du travail de deuil suite à la mort à 98 ans de leur grand oncle…
mon dieu quelle misère.

hamlet dit: à

entre Reinhardt qui dit voulori défendre la cause des femmes !
Beigbeder qui dit aimer les femmes surtout quand elles sont jeunes et à poil.

nos écrivains aiment tout le monde et ils sont prêts à défendre toutes causes, les veuves, les orphelins, les orphelinats, les crémières et leurs vaches….. parce qu’ils aiment tout le monde ! ils aiment la vie ! ils sont contre la misère, contre la guerre, contre l’oppression, ils dénoncent les humiliations, les oppressions…

même le type censé être le plus grand censeur, le plus grand inquisiteur de la censure, tu le laisses deux minutes dans une librairie il se flingue.

comment en est-en arrivé dans un monde où il n’y plus rien à censurer ?
comment c’est possible ?

un monde où il n’y pas plus rien à transgresser, en dehors bien sûr de l’Islam, comme si dire du mal d’un truc dont personne n’a rien à cirer c’était le summum de la transgression !
le Coran a dit… ohhh! mais c’est pas bien ça de critiquer la religion des autres..
en France, en 2014, la seule transgression c’est de dire du mal du coran…
tu parles d’une affaire d’état.

au secours Sade revient ! ils sont devenus neuneus !

hamlet dit: à

qui peut faire ce job aujourd’hui ?

poser cette question prouve une chose : qu’on a pas les yeux en face des trous.

sérieux c’est débile comme question.

c’est comme demander : qui est encore capable en France de faire en charrette à boeufs Paris Lyon en moins d’un mois !
qui peut faire ce job ?

on n’en sait rien mais le seul truc qu’on sait c’est qu’on s’en fout…

comment on peut demander aux gens de savoir lire des livres alors qu’ils n’arrivent même pas à lire le monde qui les entoure ?
c’est pathétique.

hamlet dit: à

la vieilles bourgeoisie, traditionnelle, ne voulait pas que la culture devienne un produit de consommation.

c’est des types comme Pauvert qui ont transformé ce monde en produit culturel de consommation.

hamlet dit: à

c’est marrant parce que les types pensaient libérer la société, faire péter les verrous, ils n’imaginaient pas une seconde qu’ils étaient en train de livrer le monde au pouvoir des comptables et des philosophes.

Sergio dit: à

hamlet dit: 1 octobre 2014 à 15 h 52 min
un monde où il n’y pas plus rien à transgresser, en dehors bien sûr de l’Islam

Ha voilà une très bonne idée : il est peut-être pas soluble dans le dollar, dans Internet, dans la technique, dans la croissance, mais il l’est forcément dans le rire, et même à un bon rang ; reprenons simplement les images d’Epinal dans Tintin, tout y est, et d’actualité. Ils finiront bien par nous lâcher, corboeuf !

JC..... dit: à

Franchement, Pauvert ?….. c’est un passé qui ne se reproduira jamais plus, une belle anomalie. Game over ! … c’est pas ça qui va faire avancer la guimbarde française vers un avenir économique, politique et culturel nouveau et sympathique !

Et moi, en ce moment charnière, y a que ça qui m’intéresse : raison pour laquelle je viens ennuyer ici les bobos, et j’y mets tout mon coeur.

On aurait du faire ça en 33/36 au lieu de s’occuper de congés payés !

Clopine dit: à

ACP, vous avez PARFAITEMENT raison : j’exagère. Mais j’ai bien peur de continuer dans l’exagération.

Mon tout premier petit chat s’appelait Bobby, avec deux « b », comme « bébé » ; mes doigts, obéissant très certainement à ce saligaud de surmoi, me ramènent toujours à lui, quand j’écris le nom de l’autre.

Que voulez-vous, on n’est pas à Lapointe tout le temps (demandez à Jc !)

JC..... dit: à

On s’en fout du filet qui sauve la mauvaise trapéziste … même si c’est un chat !

petites pièces dit: à

14 h 59 min

tout le monde peut pas créer des emplois fictifs

bouguereau dit: à

De toute façon, le mot même de « censure » perd de sa substance dès lors que l’on veut bien lire en ligne

hum lassouline..je porte plainte contre ton barnom pour..je sais pas..usurpation de phantome dochvits dans la culotte à dracul..histoire de mettre la rate du juge au court bouillon et tu dois enlever tes archives à coup sûr..j’dirais a madame cheuloux la vraie de minauder à l’officier que t’as pas la tête solide et qu’t’es un dangeureux sociopathe qui recrute en syrie..et tu danses

bouguereau dit: à

j’ai le bras long..mais je me retiens..

bouguereau dit: à

un monde où il n’y pas plus rien à transgresser, en dehors bien sûr de l’Islam

bien sur que la meilleur façon daller en taule c’est de faire l’antisémite..autocensure?..flag!

On rêve...... dit: à

Bobby, avec deux « b », comme « bébé »

D. dit: à

Sur Wikipédia il est écrit qu’il était « cancre incurable » et je n’ai pu m’empêcher de sourire en repensant à un ancien commentateur, lui-même cancre incurable, dont je ne me souviens plus du nom mais cela me reviendra sans doute.

D. dit: à

Comme quoi on peut être cancre incurable et réussir à bien vendre des trucs. Je me demande même si c’est pas une sorte d’autisme.

Sergio dit: à

bouguereau dit: 1 octobre 2014 à 16 h 58 min
j’ai le bras long

Au couché c’est pas bien bon, parce qu’il y a un parallélogramme terrible. Le mieux c’est des bras courts, avec en outre des muscles, donc, d’autant plus ramassés, et un torse énorme : on est presque encore bras tendus lorsque la barre est en bas ! Ha les gaspards…

épicétout dit: à

« en France, en 2014, la seule transgression c’est de dire du mal du coran »

tu parles, on s’en fout

bouguereau dit: à

..mais bon le biznèce s’en charge tellement qu’on a même pas besoin d’y penser qu’il dirait zouz..pfiou il srait soulagé..qu’est ce exactement que l’autocensure ? ha zigmound y parlait de cul..de maman..d’enculer papa.. »le refoulé c’est ce qui ne fait pas vende »..non « c’est l’idée de ce qu’on croit qui ne fait pas vende »..non non.. »c’est d’écrire pasque c’est vraiment un truc de con qui rapporte rien »..aller vas y jicé..à toi..étonne moi

Sergio dit: à

Le bémol, c’est bien ; ça fait de jolis effémouvants…

à l'évidence dit: à

voilà un beau blog avec un Passou présentant des sujets intéressants et avec des commentateurs cultivés et intelligents… et PATATRAS bougue-rototo et JC se pointent pour foutre leurs merdes et tout gâcher… vivement la censure qu’on soit débarrassés de ces ploucs débiles et qu’on n’en parle plus ? je sais qu’il ne faut pas rêver mais un jour viendra j’en certaine

sam sufi dit: à

« un truc de con qui rapporte rien  »

remarque, si ça mange pas de pain c’est déjà pas mal par les temps qui courent

ueda dit: à

j’ai le bras long..mais je me retiens..

Mouais. On dit ça et on finit par se lâcher.

JC..... dit: à

à l’évidence dit: 1 octobre 2014 à 17 h 15 min
« … vivement la censure qu’on soit débarrassés de ces ploucs débiles et qu’on n’en parle plus ? »

Ne soyez pas suicidaire, ma chère, nous tolérons tout à fait votre apport infinitésimal à ce blog prestigieux !….

bouguereau dit: à

vivement la censure qu’on soit débarrassés de ces ploucs débiles et qu’on n’en parle plus ? je sais qu’il ne faut pas rêver

..con comme un nitché1

hamlet dit: à

Critique d’Onfray à Sade : « écrire des méchancetés c’est pas bien ! »

réponse de Sade à Onfray:

«Oh ! Quelle énigme que cet Onfray ! dit le duc. – Oui, mon ami, dit Curval. Et voilà ce qui a fait dire à un homme de beaucoup d’esprit qu’il valait mieux le foutre que de le comprendre.»

JC..... dit: à

Bienvenu parmi nous, Flash Cordon !

A ce que je vois vous êtes fort bien soigné à Charenton …. le résultat est remarquable !

Je sens que votre apport sera riche de sens…. Gaudeamus !

keupu dit: à

ta gueule bougue-rototo, va baver ailleurs, épitétarte comme un gode goeringien

bouguereau dit: à

qu’il valait mieux le foutre que de le comprendre

et toi qu’es vachement impliqué keupu..t’en penses quoi

bouguereau dit: à

« l’officier de police » sur fond pisseux ça me rappel des trucs enfouis dans ma mémoire..il me faudrait un choc psychologique pour que ça me revienne

hamlet dit: à

Michel Onfray a écrit dans son grand livre « Onfray, mémoires d’un penseur libertaire nietzschéen épicurien hédoniste anti kantien anti sadien camusien médiatique » :

Nietzsche c’est bien, Sade c’est pas bien, Kant c’est pas bien, Montaigne c’est bien, Hegel c’est pas bien, Camus c’est bien, Sartre c’est pas bien, Spinoza c’est bien, Diogène c’est bien, Socrate c’est pas bien, Epicure c’est bien bien, Aristote c’est pas bien….

le malheur d’Onfray est que beaucoup n’ont pas pas saisi cette oeuvre magistrale, peut-être les générations futures réussiront à entrer dans toute la complexité de cette pensée, souhaitons-leur !….

keupu dit: à

le choc psychologique : une bonne baffe dans ta tronche, enfoiré de nitché2

Tibèrus padus dit: à

JC….. dit: 1 octobre 2014 à 16 h 34 min
On aurait du faire ça en 33/36

Après JC ?
Ce n’était pas déjà un peu tard ?

hamlet dit: à

greubou tu sais ce qui est beau en toi ? c’est que toi t’es un vrai édonisse !
tu préfères la pulsion de vie à la pulsion de mort, le plaisir à la souffrance, la joie à la douleur, le jour à la nuit, la caresse au coup de boule, le sucré à la mer qu’on voit danser sur les charbons ardents, les avants mondes aux arrières mondes…

tu savais que Sade a écrit un livre sur les édonisses comme toi ? même Justine c’est une édonisse qui s’ignore.

Bernadette dit: à

mes chers bouguereau et JC, je serai toujours là pour prier pour vous, ne lisez pas ces méchants renégats qui vous assaillent, je prie dieu tous les jours pour vous, chère âmes innocentes, longue vie à vous dans les voies du seigneur, amen

Bernadette dit: à

ce vilain keupu a déjà un pied en enfer, que satan le punisse et que les tourments emplissent sa pauvre âme impure, le seigneur est avec vous

hamlet dit: à

greubou t’as pas connu l’époque où Sade était encore interdit ?
les femmes voilées, voilà tout ce qui reste aujourd’hui de l’érotisme, ne voir d’une femme que ses yeux et imaginer le reste… c’est ça l’érotisme.

hamlet dit: à

« Sauf peut-être le grand critique américain Roger Shattuck, le philosophe Michel Onfray et d’autres qui estiment qu’une telle horreur n’a pas sa place sous de si prestigieux auspices. »

le philosophe Michel Onfray c’est limite un oxymore.
il suffit de dire « le philosophe » et tout le monde sait qui c’est vu qu’il y en a pas d’autres.
il n’est pas philosophe il est toute la philosophie !

plus tard, nos arrières petits enfants, au lieu de dire « Spinoza le philosophe » ils diront « Spinoza l’Onfray ».

hamlet dit: à

Onfray a réussi à faire de la philo ce que Bernar Pivot a fait de la littérature : une obscénité médiatique.

hamlet dit: à

beaucoup ont cru qu’Heidegger avait sginé le glas de la philosophie en démontrant qu’il était possible d’être philosophe et nazi.

et bien non, Michel Onfray a fait mieux, il a démontré qu’on pouvait être à la fois philosophe et clown médiatique.

quelle sera la prochaine étape ?

Artémise dit: à

Cette oraison funèbre prend parfois des allures d’éreintement. La sévérité des attendus paraît justifiée, preuves à l’appui. Cela n’enlève rien aux mérites d’un éditeur qui fut audacieux. La petite collection « Libertés », au nom si justifié, restera l’emblème de cette audace. L’édition, dans la collection, de « La littérature à l’estomac », indique le copyright : « 1961 Librairie José Corti. »
Il fallait les audaces de Pauvert en un temps où la France restait prisonnière du corset d’une certaine pruderie. Tante Yvonne régnait à l’Elysée… Depuis longtemps, Pauvert était un peu oublié, dépassé par sa propre victoire. Autres temps, autres moeurs éditoriales.

hamlet dit: à

la grande controverse philosophique actuelle oppose Ferry, Enthoven et Onfray sur la question de savoir s’il est préférable de philosopher à la télé, à la radio, au théâtre ou sur un bateau….

Widergänger dit: à

Pour mieux comprendre Sade, on peut aussi lire les ouvrages de Michel Delon et de Christophe Abramovici, deux grands spécialistes du savoir-vivre libertin au 18ème siècle.

à l'évidence dit: à

hamlet, il y a UN vrai philosophe, Enthoven, et deux clowns médiatiques

IFOP dit: à

ENQUÊTE DE TERRAIN/
Quels sont ceux qui tirent leur coup:
1) une fois par semaine
3) trois fois par semaine
4) moins d’une fois par semaine
4) plus de trois par semaine

(relis la question avant de choisir une réponse )

Daaphnée dit: à

Pour mieux comprendre Sade, on peut aussi lire les ouvrages de Michel Delon et de Christophe Abramovici, deux grands spécialistes du savoir-vivre libertin au 18ème siècle

Votre proposition révèle une incompréhension profonde du XVIII°, ML !
Il ne s’agit pas de « savoir vivre » mais de penser malgré le savoir-vivre du XVIII°, concernant le Marquis ..

à l'évidence dit: à

ceux qui tirent leurs coups mais loupent toujours la cible : bougue-rototo et JC, demandez-leur

Widergänger dit: à

Le bouquin d’Eric Marty aussi : Pourquoi ont-ils pris Sade au sérieux ?

Artémise dit: à

la grande controverse philosophique actuelle oppose Ferry, Enthoven et Onfray sur la question de savoir s’il est préférable de philosopher à la télé, à la radio, au théâtre ou sur un bateau…. (Hamlet)

Le mot « philosophe » est aujourd’hui galvaudé, et les gens que vous citez sont, au mieux, des vulgarisateurs de talent. Il existe pourtant encore, même en France, d’authentiques philosophes, mais les médias les ignorent et on trouve leur nom et les titres de leurs ouvrages ailleurs que dans les catalogues des éditeurs grand public. Je citerais volontiers un Marcel Conche, mais je ne suis pas spécialiste. On a profit, incidemment, à lire cet auteur pour découvrir que Heidegger était un authentique et génial philosophe, et pas seulement un sympathisant des nazis.

Clopine dit: à

Hamlet, je vous aime bien, car vous avez la détestation onfraysienne aussi salubre et véhémente qu’une marée du Cotentin. Irrépressible et sans aucune autre parade que d’attendre « que ça se passe », quoi.

Mais de là à évoquer, dans une provocation à l a jc, « l’érotisme » du voile, niqab ou autre : là, je ne peux plus vous suivre. Vous auriez pu, aussi, défendre l’esthétisme d’une certaine étoile jaune, si joliment positionnée pour éclairer les tenues d’hier…

Allez, un bon mouvement, Hamlet. Admettez la boulette !!!

Daaphnée dit: à

Vous avez un grand problème, ML.
Vous ne savez lire que les titres; merci pour celui dont vous me gratifiez.
En revanche, que cela ne vous dispense pas d’observer votre abyssale incompréhension des suggestions que j’ai la générosité de vous adresser ..

Artémise dit: à

1947 : Pauvert publie l’ « Histoire de Juliette ». La même année, Pierre Klossowski fait paraître « Sade, mon prochain » (chez un autre éditeur).

Daaphnée dit: à

Ah ! ML aurait tant aimé être un intellectuel .
Pauvre ML ! C’est triste ..

bref dit: à

suite à vos délires excrémentiels d’hier soir, je proposais le surnom de CACA-BOUDIN pour votre petite personne ML!! fini Foutriquet et nunuche: CACA-BOUDIN alias Widangeur

des journées entières dans les arbres dit: à

flash spécial jc dit: 1 octobre 2014 à 18 h 34 min
Ah, c’est bon, ça.

à l'évidence dit: à

je préfère la franchise de ML (sauf parfois dans l’outrance) à la fourberie de JC et aux méga-conneries de bougue-rototo, nuance

La voix d'outre manche dit: à

Y paraît que Wiwi picole en triant ses fiches de lecture que c’est du boulot que son inspecteur lui a dit fissa fissa.

des journées entières dans les arbres dit: à

Artémise dit: 1 octobre 2014 à 18 h 14 min

Autres moeurs … 1 euro et 99 centimes.

L’Enfer ! ( de la BNF)

« C’est maintenant, ami lecteur, qu’il faut disposer ton cœur et ton esprit au récit le plus impur qui ait jamais été fait depuis que le monde existe, le pareil livre ne se rencontrant, ni chez les anciens, ni chez les modernes.[…] Sans doute beaucoup de tous les écarts que tu vas voir t’échaufferont au point de te coûter du foutre, et voilà tout ce qu’il nous faut, si nous n’avions pas tout dit, tout analysé, comment toi à le prendre et à laisser tout le reste, un autre en fera autant »

Court dit: à

La Mauvaise Langue est papolatre dans son amour des Mandarins, Bref. Ce n’est pas le seul ^paradoxe dontnous gratifie cette douce, aimante, et polie, personnalité!
MC

Artémise dit: à

Vous avez un grand problème, ML. (Daaphnée)

Daaphnée manie l’euphémisme avec grâce.

Ma vie pour une scène! dit: à

Foutriquet: le rôle d’une vie!

bref dit: à

Artémise dit: 1 octobre 2014 à 18 h 34 min

la grande controverse philosophique actuelle oppose Ferry, Enthoven et Onfray sur la question de savoir s’il est préférable de philosopher à la télé, à la radio, au théâtre ou sur un bateau…. (Hamlet)

Le mot « philosophe » est aujourd’hui galvaudé, et les gens que vous citez sont, au mieux, des vulgarisateurs de talent. »

heureusement qu’on a BHL et Finkie……

des journées entières dans les arbres dit: à

Une histoire rocambolesque !

Le sulfureux manuscrit des « Cent Vingt Journées de Sodome », écrit par Sade à la Bastille en 1785, caché, volé, vendu, disputé en justice en Suisse et en France et enfin racheté 7 millions d’euros, revient enfin à Paris, l’année du bicentenaire de la mort du « divin marquis ». « Ce manuscrit exceptionnel, volé en 1982, signalé à Interpol, et disputé par deux familles, est enfin de retour en France, au terme d’une histoire rocambolesque.

Mais il m’a fallu trois ans d’âpres négociations », avoue à l’AFP son nouveau propriétaire, Gérard Lhéritier, président fondateur d’Aristophil et du Musée des Lettres et Manuscrits, un établissement privé. L’homme d’affaires a « déboursé au total 7 millions d’euros » pour cet original très convoité du marquis de Sade (1740-1814), qui devient l’un des trois manuscrits les plus chers conservés en France. Il est assuré 12 millions d’euros par les Llyods. Le rouleau autographe de cette oeuvre mythique, catalogue de perversions sexuelles d’une violence inouïe, rédigé à l’insu de ses geôliers par un Sade « embastillé », vient tout juste d’être rapatrié de Genève.
http://www.francetvinfo.fr/culture/le-manuscrit-des-cent-vingt-journees-de-sodome-de-retour-en-france_568051.html

de nota dit: à

-Marc Fumaroli: entre le premier et le second Sollers, outre le talent, il y a un autre point de continuité qui me fascine.C’est la façon dont, dans Tel quel hier, dans le Monde aujourd’hui,vous brandissez Sade comme un drapeau.Si Mallarmé est un poète sublime, que ses plus grands disciples ont pourtant suivis avec précaution, Sade est un cas de féodal graphomane que je ne souhaite à aucune littérature de ranger parmi ses classiques. Car il est bien le point le plus extrême de stérilité et de ressassement qu’ait atteint la littérature épuisée des Lumières. Faire de Sade le drapeau d’une reconquête littéraire, c’est travailler à étendre un peu plus le désert, la sécheresse, l’hystérie.
-Philippe Sollers:il m’arrive de parler de Sade, soit, mais pas tout le temps! Je suis évidemment en complet désaccord avec vous;Je crois que Sade est un très grand romancier, par la force de son imagination, l’extraordinaire construction de ses livres, le nombre de choses qu’on y apprend- pensons à l’Italie de Juliette. C’est aussi un témoin capital de la Terreur. Ce que j’ai envie de montrer, en m’intéressant aux classiques, c’est qu’on peut les lire tous aujourd’hui en fonction les uns des autres.Je ne trouve pas inutile qu’on puisse lire Sade et Chateaubriand en même temps,ou Voltaire et Bossuet. Le type d’histoire littéraire dans lequel nous avons vécus pendant très longtemps a deux particularités: premièrement, d’opposer deux camps- c’est une constante de la littérature française-, Voltaire contre Rousseau,Bossuet contre Fénelon, Racine contre Corneille,Sartre contre Camus,etc.,et, deuxièmement, le système de l’exclusion. On monte des panthéons qui excluent brutalement tel ou tel auteur. Il y a dans votre désir d’exclure Sade je ne sais quelle intolérance en fonction de je ne sais quel panthéon.
-Marc Fumaroli: je ne l’exclue nullement.Je le laisse seulement sur le second rayon où on le range quand la crise d’adolescence est passée.

Pour lire l’intégralité de cet entretien:
file:///C:/Users/Fabrice/Downloads/002622550.pdf

Madame de Valognes dit: à

à MCourt (sur papattes) : tu peux toujours parler, gonflé le mec

bref dit: à

La voix d’outre manche dit: 1 octobre 2014 à 18 h 54 min

Y paraît que Wiwi picole en triant ses fiches de lecture que c’est du boulot que son inspecteur lui a dit fissa fissa. »

de mémoire c’est un amateur de rosé (le vin des alcoolos) de la région toulousaine

des journées entières dans les arbres dit: à

je relis la notice:

« Vers la fin du règne de Louis le Grand, quatre psychopathes âgés de quarante-cinq à soixante ans et dont la fortune immense est le produit du meurtre et de la concussion, le duc de Blangis, l’évêque son frère, le président de Curval et le financier Durcet, s’enferment pour une orgie sans nom dans un château perdu de la Forêt-Noire, avec quarante-deux objets de luxure soumis à leur pouvoir absolu: les épouses, très jeunes et merveilleusement belles: Constance, fille de Durcet et femme de Blangis (marié pour la quatrième fois et qui a tué ses autres épouses); Adélaïde, fille de Curval et femme de Durcet; Julie, fille de Blangis, née de son premier lit, et femme de Curval; Aline, fille adultérine de l’ évêque et de la deuxième épouse de Blangis; un sérail de huit jeunes garçons et de huit jeunes filles ravis à leurs parents et « dont les attraits sont au-dessus de toute expressions »

et je me dis qu’il y a un anachronisme langagier; saurez-vous le reconnaitre ?

http://gallica.bnf.fr/VisuSNE?id=oai_portail.izibook.com_2934-9782866882129&r=Six+de+coeur&lang=FR

Bernadette dit: à

MCourt papolâtre, j’adore (non, c’est une blague)

kicking dit: à

faut pas confondre boudoir et supermarché non plus..

de nota dit: à

Mais de là à évoquer, dans une provocation à l a jc, « l’érotisme » du voile, niqab ou autre : là, je ne peux plus vous suivre. Vous auriez pu, aussi, défendre l’esthétisme d’une certaine étoile jaune, si joliment positionnée pour éclairer les tenues d’hier…

Clopine, dès que vous évoquez un épisode de la persécution juive,vous sortez une connerie.
Comparez Le voile et « l’étoile jaune », c’est ne rien comprendre à rien.
Les filles voilées ne sont pas persécutées par un état totalitaire.

des journées entières dans les arbres dit: à

On avait privé le divin marquis de la lecture de Jean-Jacques, qui herborisait en toute innocence, le saviez-vous ?

des journées entières dans les arbres dit: à

Kiking, c’est le billet pour vous !
fallait que vous reveniez updater l’Histoire, à votre façon. Midnight Express ?

à l'évidence dit: à

19:04 les filles voilées ne sont pas persécutées ? demandez-leur donc

Bloom dit: à

Hormis le côté « Règlement de compte à OK mon blog contre le tien », il y a dans ce billet un ton désabusé auquel Passou ne nous avait pas habitué.
Quelle la provocation littéraire pour rivaliser avec les décapitations en « live »…?

Artémise dit: à

Avouons que Sade, dans l’ensemble, c’est puissamment chiant. Mais heureusement il y a « La philosophie dans le boudoir », et là, oublié le pornographe répétitif toujours trop long. Notre marquis se décide à être divin. « La philosophie dans le boudoir » se hausse sans effort au niveau des plus hautes réussites en prose du siècle, les meilleurs Diderot par exemple. Un joyau.

fin de journée dit: à

retrouvé une vidéo de Jacques Sochjer très intéressante sur les Ô D.ieux.

un homme d’une érudition remarquable, il avait invité Onfray, mais m’a glissé gentiment en off : tu n’est pas obligée d’acheter ses livres mais tu peux venir à mes cours en élève libre chuuuut :

http://www.rtbf.be/video/detail_noms-de-dieux?id=1743353

Artémise dit: à

les filles voilées ne sont pas persécutées ? demandez-leur donc (A l’évidence)

C’est vrai que, dans Sade, les nonnes voilées sodomisées contre leur gré, ça ne manque pas.

des journées entières dans les arbres dit: à

kicking, c’est bien la peine de ramener votre sale tronche de speedé (pas eu votre dose ?) sur ce billet; le marquis pratiquait tout. Sauf la grossiéreté de langage.

des journées entières dans les arbres dit: à

kicking, il semble que vous ayez été piraté par un reclus de la Bastille, « sous influence ».

Contre la censure avec Pauvert dit: à

bref dit: 1 octobre 2014 à 18 h 51 min

suite à vos délires excrémentiels d’hier soir, je proposais le surnom de CACA-BOUDIN pour votre petite personne ML!! fini Foutriquet et nunuche: CACA-BOUDIN alias Widangeur

Là, c’est à mourir de rire, bref est la censure hygiéniste!

« Bref : Nettoyant ménager qui fera briller vos sanitaires

Le nettoyant ménager Bref vous procure une propreté impeccable et parfumée pour les toilettes, la salle de bain et la cuisine.

Profitez de bon de réduction Bref sur la Belle Adresse. »
Source Google

beaux débuts! dit: à

sucettes dit: 1 octobre 2014 à 14 h 43 min

Beaux débuts vous achetez/ revendez du Pauvert ? C’est côté ?

Non pas, on le trouve en vente dans le derbier catalogue de J.-F. Fourcade, livres anciens et modernes, catalogue d’ octobre 2014 que je viens de recevoir.
C’ est 3, rue bautreillis dans le 14ème à Paris.
Que de belles choses en matières de documents littéraires, oui, magnifiques!
( Absent pour cause de sport aéré…soleil magnifique aussi,le contraire d’ici!)

abdelkader dit: à

Daaphnée dit: 1 octobre 2014 à 17 h 42 min
– La France aujourd’hui, en gros, gagne des musulmans et perd des juifs (qui font leur aliya)
C’est bien regrettable, mais c’est factuellement vrai.
Ensuite la question, c’est: on fait quoi?
Z’en faites pas trop…ils ont tous la nationalité double ou triple…le jour ou ca commencera a sentir le fioul en Palestine, ils seront les premiers a tout d’un coup se rappeler de leurs origines françaises, belges ou même suisses, tiens…sinon, vous et la coUille molle papottez pour pas dire grand-chose…allez jusqu’au bout logique de votre argumentation, n’ayez pas peur voyons…vous vivez encore dans un pays libre ou personne ne viendra défoncer votre porte a 3h du mat pour vous demander des comptes…c’est ce que je demandais la dernière fois a vot’camarade mono-testicUlaire après qu’il ait couvert sa tête de faux-cul avec son slip…dites-le donc…on fait quoi?

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…Bon,…depuis ce matin, je suis coupée sur numéricable,…rien de Spécial,…

…une forme de censure entre Paris & Bruxelles,…pour les indépendantistes de tous poils,…

…comme quoi, le cul,…c’est rien,…pour faire perdre la raison des intérêts & privilèges du grouppir à l’€uro,…les libertés dans un sac à poigne,…Cybercafé,…en attendant que çà se répare dans les têtes d’oignons, à deux baal’s,…Ah,Ah,…etc,…

…les histoires de culs,…des censurés de Pologne aussi,…sur un dictionnaire sur les enfers érotiques,…à demain,…
…envoyez,…

beaux débuts! dit: à

Je suis bien évidemment contre toute censure…avec Pauvert qui fréquenta Malraux avant de « se fâcher » avec les autres ministres gaullistes.
Dans ce catalogue, d’autres auteurs connus édités par Pauvert.

Moisson bougueresque dit: à

bouguereau dit: 1 octobre 2014 à 17 h 41 min
« l’officier de police » sur fond pisseux
bouguereau dit: 1 octobre 2014 à 17 h 08 min
.de maman..d’enculer papa.. »
bouguereau dit: 1 octobre 2014 à 14 h 39 min
sans que les haricots n’accrochassent
au cul de la marmite »..
bouguereau dit: 1 octobre 2014 à 14 h 10 min
si j’étais caméraman j’aurais une érection
(Conditionnel bienvenu)
bouguereau dit: 1 octobre 2014 à 13 h 57 min
enfant d’putain
bouguereau dit: 1 octobre 2014 à 13 h 54 min
pour faire bien profond comme à la ciotat faut une gousse d’ail dans l’cul
bouguereau dit: 1 octobre 2014 à 12 h 22 min
comme ‘albaaa’ en haut de l’escalier tartiné de merde..

Sûr, le bouguereau ça doit être un beau latrino…

ueda dit: à

abdelkader dit: 1 octobre 2014 à 19 h 48 min
Z’en faites pas trop…

La question posée était celle du contenu des propos tenus par Alain Finkielkraut.

Soit vous participez et lisez d’abord, soit vous vous taisez.

abdel dit: à

Ah…on me dit de me taire…y’a Arsenal qui joue la…on en reparlera, si vous le voulez bien…remarquez, que vous le vouliez ou pas, heu…comment vous dire?

des journées entières dans les arbres dit: à

« Vous m’avez fait former des fantômes qu’il faudra que je réalise »

des journées entières dans les arbres dit: à

Abdel, ce soir je plains l’Atletico de Madrid.
J’espère un score honorable de « la vieille dame » (private torinese joke)

fin de journée dit: à

bon, numéricable ce n’est pas terrible comme provider sant’angello, en tout cas par ici, tjrs il saute chez mes parents pareil, demandez peut – être une nouvelle ligne plus fiable sur paris ? Moi, demain j’ai corvée imprimante foireuse.

beaux débuts, c’est que j’ai été voir sur ebay pendant votre excursion, les prix les plus variés sur le Pauvert .. vos catalogues sont pour le très rare.

D. dit: à

Ce soir je mange du cabillaud frit.
J’adore ça.

Moisson d'ivraie bloguesque dit: à

Moisson bougueresque dit: 1 octobre 2014 à 19 h 55 min

Un(e) crétin(e) capable de faire ce genre coller/coller est digne d’un TKT accumulant les fiches et les lettres à la Kommandantur.
Un corbeau bien noir, un petit Torquemada du net, une vraie bouse.

Moisson bougueresque dit: à

Moisson d’ivraie bloguesque dit: 1 octobre 2014 à 20 h 38 min

Où, n’en quel pays, est-il interdit de CITER ce qui a été donné à lire?

La bouse, c’est toi, petite frappe fascisante…

beaux débuts dit: à

beaux débuts, c’est que j’ai été voir sur ebay pendant votre excursion, les prix les plus variés sur le Pauvert .. vos catalogues sont pour le très rare.

Pas forcément.
J’ ai noté un nombre incalculable de livres d’auteurs dédicacés à Maurice Nadeau…
( Fabuleuse bibliothèque, toute une histoire littéraire que celle de maurice Nadeau!)
Notre libraire parisien a dû avoir l’achat fin et persuasif!
ebay, c’est pour les images panini…

bref dit: à

Contre la censure avec Pauvert

drôle, un pseudo qui ne vous ressemble pas ML, comme quoi tout arrive!!

fin de journée dit: à

Aristophil c’est des voleurs, ils spéculent sur les manuscrits en blanchissant de l’argent pour le compte de clients à qui ils promettent une plus – value tournante, ils ont une officine chez nous, j’ai pu voir une expo payante de manuscrits inédits de simenon du beau travail, mais ils ont le fisc au derrière. C’est peut – être médisant, mais ils sont super rive droite.

beaux débuts dit: à

Tenez, de Gilbert Lély, l’ Épouse infidèle J.J. Pauvert 1966 in-8 en ff, couv. remp.29p. non coupé. E.O.1/74 ex. num.sur vélin d’Arches orné de deux eaux-fortes originales signées de Léonor Fini
500 euros…

Miroir, mon beau miroir dit: à

Moisson bougueresque dit: 1 octobre 2014 à 20 h 45 min
petite frappe fascisante…

La preuve par la connerie

Cruelle logique dit: à

Moisson d’ivraie bloguesque dit: 1 octobre 2014 à 20 h 38 min

bouguereau, si ce que vous écrivez vous met à ce point mal à l’aise à la relecture, il ne faut pas l’écrire.

fin de journée dit: à

je suis parfois un peu con, je n’achète pas sur le net je me faufile parfois en salle de vente j’aime bien l’ambiance, j’étais surtout curieux des auteurs édités, c’est la succession nadeau alors qui figure dans votre catalogue ?

Moisson bougueresque dit: à

Miroir, mon beau miroir dit: 1 octobre 2014 à 21 h 00 min

La preuve… par la lecture.

contre la censure... dit: à

Bref, giclez un bon coup avant de tirer la chasse!
je ne suis pas Ml et n’aime pas les dames patronnesses donneuse de leçon.
On ne cache pas la merde avec des bombes à odeur de rose, Bref!

beaux débuts dit: à

c’est la succession nadeau alors qui figure dans votre catalogue ?

Ce n’est évidemment pas « mon catalogue »…La bibliothèque de Maurice Nadeau doit être « phénoménale » et il s’agit bien ici d’ une certaine partie d’icelle.
Mais je ne suis pas dans le secret des dieux!

fin de journée dit: à

zen svp si j’écrit un vague catalogue vous êtes satisfait ?

Cruelle logique dit: à

Dans sa grandeur imaginaire, boumou, en bon petit Pinochet des mouches, veut bien qu’on le souffre, il ne veut pas qu’on le cite…

Le b.a. ba n'est pas à la portée de tout un chacun dit: à

Cruelle logique dit: 1 octobre 2014 à 21 h 02 min

Encore un qui apprendra à lire avec son testament.
Dans longtemps, j’espère pour lui.

beaux débuts dit: à

Il vous faut acheter, fin de journée, bien que le tirage est de 5000 exemplaires, un peu gros face au prix proposé et l’on remarque un rafistolage au scotch sur le côté gauche de la couverture.
Pour moi, cela ne vaut pas le prix de 290 euros…
( Estimation gratuite.)

Cruelle logique dit: à

Le b.a. ba n’est pas à la portée de tout un chacun dit: 1 octobre 2014 à 21 h 13 min

Tu l’as dit, bouffi, on le constate surtout en regardant le niveau de ta prose… Affligeant.

fin de journée dit: à

@ beaux débuts;

merci pour l’expertise, d’autant que l’enchère n’est pas fini (e )

belle soirée à vous

Sirius dit: à

Chez Popaul, belle analyse de ce qui oppose l’art de Modiano à celui de Proust…Rien à voir en effet.

La logique est parfois cruelle pour les débutants dit: à

Cruelle logique dit: 1 octobre 2014 à 21 h 13 min
il ne veut pas qu’on le cite…

Mais si bien sûr, citez bouguereau, mettez en valeur son verbe puissant, mais par pitié evitez-nous vos jérémiades et larmoiements de chaisière de Saint-Nicolas du Chardonnet.
Un cul-béni chez Sade, quelle tristesse.

Cher Dieu, laisse -les dormir... dit: à

ce qui oppose l’art de Modiano à celui de Proust

pauvre popaul, quelle courge…

Courte et bonne dit: à

a logique est parfois cruelle pour les débutants dit: 1 octobre 2014 à 21 h 22 min

Mais si bien sûr, citez bouguereau, mettez en valeur son verbe puissant.

Là, je pense que vous avez fait une faute de frappe (pas étonnant quand on vous lit).

Rétablissons:
« Mais si bien sûr, citez bouguereau, mettez en valeur son verbe pissant. »

Sinon, pour votre microcéphalie, vous voyez quelqu’un? Pauvre burne… (tiens, c’est dit).

fin de journée dit: à

paul edel celui qui vient commenter comme un oiseau furtif chez assouline alors que le contraire m’étonnerait bien ..

bref dit: à

tu vas finir dans la m…e ML!!

contre la censure… dit: 1 octobre 2014 à 21 h 04 min

Bref, giclez un bon coup avant de tirer la chasse!
je ne suis pas Ml et n’aime pas les dames patronnesses donneuse de leçon.
On ne cache pas la merde avec des bombes à odeur de rose, Bref!

La vie chalouesque n'est pas un long fleuve tranquille dit: à

Cruelle logique.

Chaloux s’essaie au raisonnement.
Cruel.

bref dit: à

contre la censure… dit: 1 octobre 2014 à 21 h 04 min

Bref, giclez un bon coup avant de tirer la chasse!
je ne suis pas Ml et n’aime pas les dames patronnesses donneuse de leçon.
On ne cache pas la merde avec des bombes à odeur de rose, Bref!

les commentateurs sur La RDL sont comme les hommes politiques, mon pauvre widangeur, increvable tu le sais mieux que quiconque ML

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…fin de journée,…à…20 h 36 mn,!…

…numericable,!…doit marché droit, techniquement,!…il n’est pas là, à censurer,!…c’est pas son Job,!…d’avoir des collabo’s du pouvoir à en découdre,!…

…un lien,…sur la censure érotique,!…

… » le livre des livres érotiques  »
…par Emmanuel Pierrat. Chêne.

…détails entre autres,!…
… » Pauliska ou la Femme Frivole  »
…illustrations de Radiguet « ,…librairie Ollendorff 1900.

…ce qui est, que les aspects de l’érotisme sont des logiques de la politique, sur des diaphragmes analogues,!…bien sur savoir dessiner à la main lever çà aide sous tout les plans,!…en partages,!…Ah,!Ah,!…Bip,!Bip,!…Go,!…etc,!…

des journées entières dans les arbres dit: à

fin de journée dit: 1 octobre 2014 à 19 h 16 min
merci.

L'humour de Chaloux est à se p..... dessus dit: à

Courte et bonne dit: 1 octobre 2014 à 21 h 24 min
Mais si bien sûr, citez bouguereau, mettez en valeur son verbe puissant.
Là, je pense que vous avez fait une faute de frappe (pas étonnant quand on vous lit).
Rétablissons:
« Mais si bien sûr, citez bouguereau, mettez en valeur son verbe pissant.

Ouarrffff !
Chaloux je t’aime.
T’es con mais si beau dans ta grandeur.

Court dit: à

La bibliothèque de Jacques Brenner passe chez Henri Vignes. Quelques belles pièces.

MC

Courte et bonne dit: à

Z’avez vu, je vous ai trouvé un tenia… Vous laisse avec lui…

(« Le verbe puissant de boumou »… hurkhurkhurk).

Toi, t’es pas la moitié d’une tête de cul…

fin de journée dit: à

merci sant’angelo pour l’information du chêne:
le livre des livres érotiques »
…par Emmanuel Pierrat.

c’est le top !

Edouard dit: à

Hamlet 15.42, voila le probleme, ces ecrivains bien gentils, bien appliques a enfoncer des portes bien ouvertes. Au moindre risque pris, le systeme tape sur les doigts du contrevenant avec une regle en fer. Reagissons, bordel! J aime biem Mauvignier, ce fromage pasteurise, j aime bien le lire mais comme Le Clezio, c est devenu un gentil mainstream engraisse par l engrenage, bien pensant, correct sous la denonciation de surface, pour etre sur que les chaisieres de Telerama, les bobos de Libe ou des Inrocks suivent! Faut pas que ce soit trop complique. La prise de risque majeure maintenant? L intelligence et la nuance en lieu et place de la pensee unique, estampillee correcte

Agence matrimoniale avachy-partout dit: à

Vidégrandverre, si vous n’apprenez pas à parler convenablement aux dames, vous finirez célibataire!

Respectueusement dit: à

Widergänger dit: 1 octobre 2014 à 21 h 38 min
sale pétasse ! T’es simplement une honte !

Là Michel je crois que vous exagérez.
Une honte nous sommes d’accord.
Mais pétasse ?
J’ai un doute.
En a-t-elle réellement les capacités ?
Car il en faut.

fin de journée dit: à

je suis en délicatesse avec vous ml, si au moins vous variez votre palette d’insultes, mais quelle pauvreté de vocabulaire, même un lecteur de tintin au fin fond d’une cahute à trois planche fait mieux.

je tape sur goolge insultes et j’ai un choix énorme .. permettez on s’en contre – clappe les castagnettes de vos coliques frénétiques.

Colombin dit: à

Franchement, Bref, arrêtez de nous passer votre produit-moi sur WGG, ça ne sert à rien et vous vous répétez.
On a déjà Chaloux-bouguereau, on ne veut pas de Bref-WGG, bon sang, vous comprenez oui ou MERDE!

ueda dit: à

Mâtin, quel échange…

Bérénice avait soulevé le problème de stades chez les écrivains, appelés A, O, et P.

Et chez les commentateurs?

Ce soir, le A domine grâce à notre ami WG, très en forme (coprolâtrie?), mais on perçoit déjà quelque belles annonces de O et de P.
À demain?

Widergänger dit: à

La comparaison/différence que fait Popaul entre Proust et Modiano est tout à fait juste. Je ne vois pas pourquoi un gros connard d’ici trouve à y redire ! Il n’y a aucune discussion possible avec tous ces gros connards qui viennent nous faire chier ici !

Mais je ne sais pas qui aurait cru bon de dire que Modiano c’est comme Proust. Encore un de ces foutus illettrés à la Daaphnée sans doute. Un gros incompétent/un CON PÉTANT ! Ce serait ne rien comprendre ni à Proust ni à Modiano. Il y en a tellement, il est vrai, qui lisent sans rien comprendre à ce qu’ils lisent.

bérénice dit: à

A Grand décalé mauvais décalage! Quelle fusion des esprits vient à fleurir cette tombe, c’est rafraichissant et enrichissant. Un bel hommage.

fin de journée dit: à

il ne faut pas être grand – clerc pour différencier Proust de Modiano, l’un est plus récent que l’autre dans sa manière de dire son monde, est – vraiment là un billet de critique littéraire ? C’est un ramassis d’impressions écrites de manière bancale avec des prétentions de nuances qui sourdent perfidement.

Widergänger dit: à

Pauliska ou la perversité moderne, ou les mémoires d’une Polonaise, c’est surtout un roman de Révéroni de Saint Cyr. Publié dans la collection dirigée par Michel Delon chez Desjonquières, en 2001 je crois bien.

Un grand roman, c’est aussi Paulina 1880, de Pierre Jean Jouve. Divinement écrit.

Widergänger dit: à

Non, pas du tout ! Popaul, il a son style, mais tout ce qu’il dit est fort juste. Rien à y redire. Il dit exactement, avec ses mots à lui, à proposd e Proust (et en des formules ramassées et très efficaces en plus), ce que Tadié dit dans sa langue d’universitaire. Mais c’est la même chose pour le contenu. Et ce qu’il écrit de Modiano c’est très pertinent aussi, ça va droit à l’essentiel. Rien à y redire non plus. Pour trouver à y redire, faut simplement être un gros con ! On peut juste le compléter, approfondir ce qu’il dit qui est l’essentiel.

pas à chier dit: à

(Widergänger dit: 1 octobre 2014 à 22 h 07 min
il est d’un chiant, mais qu’est-ce-qu’il m’éclate ! sacré gus !)

Widergänger dit: à

La fuite des Juifs de France, ça a commencé après le discours de 67 de de Gaulle. Un ingénieur juif a foutu le camp en Israël devant le déni du droit d’Israël à défendre sa peau par ce connard de De Gaulle. Résultat : cet ingénieur a créé en Israël des drones, qui n’existait pas. Pour la défense d’Israël. Depuis la France achète à Israël des drones inventé par cet ingénieur. Voilà, c’est ça la France moisie, la France pourrie, la France antisémite. La France de merde avec des Français de merde comme Plenel et toute sa clique de trotskystes décalés (juifs ou pas) et d’abrutis d’extrême gauche.

bérénice dit: à

On peut lire ce soir combien il est plus aisé d’écrire des mots d’amour inspirés qu’un transport à la détestation. Avec toutes ces références qui tombent des arbres n’y en aura-t-il aucune qui illustre cet exercice de style si souvent malmené?

des journées entières dans les arbres dit: à

la vuieille radasse de maniatis est lesbienne ?
Elle me gonfle!

pas à chier bis dit: à

(Widergänger dit: 1 octobre 2014 à 22 h 07 min
le con, il a pris mon 1er post pour une flatterie, elle l’était +/- …, mais faut qu’il dérape grâve de chez grâve – certains israéliens doivent bien se gondoler, aussi, non ? rassurez-moi !)

Radio Moi Je dit: à

Vous connaissez l’histoire de Socrate qui demande à un pauvre passant qui n’en demandait pas tant : quel est celui qui pourra le mieux expliquer comment aller se faire cuire un œuf, le philosophe ou le cuisinier ?

Widergänger dit: à

Jourde disait la même chose il y a quelque temps : l’autocensure, le nouveau fléau qui s’est abattu sur la France. La chape de plomb des bien pensants, en tous domaines.

Comme dans le domaine de l’islam. Comme le dit si justement Finkielkraut face à ce connard de Plenel : Les Juifs n’ont même plus le droit de nommer leurs ennemis, ceux qui viennent les tuer dans les musées, ceux qui leur envoient des roquettes sur le coin de la gueule, ceux qui viennent les assassiner dans leur sommeil, y compris des bébés juifs. Cette pourriture de Médiapart n’a jamais dit un seul mot quand deux assassins palestiniens sont venus poignarder des enfants dans leur sommeil, qui étaient ceux d’un couple de Français qui avaient fait leur Alya pour s’installer en Judée-Samarie. Pas un seul mot, cette bande d’ordures à Médiapart. Et cette infâme pourriture de Plenel vient prétendre que Médiapart fait la part belle aux Juifs. Il n’y a pas de mot pour qualifier l’hypocrisie de ce type !

bérénice dit: à

Est-ce qu’on ne trouve pas présentés sur le blog de Claro de ces auteurs qui ne font pas de concession puisqu’il semble que ce soit un reproche fait à la littérature actuelle d’être tiède ou tiédasse pour continuer dans ce style cher à desjournées, enfin de ces textes qui arrachent à la langue des germinations étranges et nouvelles?

des journées entières dans les arbres dit: à

Et vous ne nous l’aviez pas dit , alors que, c’est bientôt Capitale !

Attaquer le soleil.

Alphonse Donatien de Sade (1740-1814) a bouleversé l’histoire de la littérature comme celle des arts, de manière clandestine d’abord puis en devenant un véritable mythe.
L’oeuvre du « Divin Marquis » remet en cause de manière radicale les questions de limite, proportion, débordement, les notions de beauté, de laideur, de sublime et l’image du corps. Il débarrasse de manière radicale le regard de tous ses présupposés religieux, idéologiques, moraux, sociaux.

http://www.musee-orsay.fr/fr/evenements/expositions/au-musee-dorsay/presentation-generale/article/sade-41230.html?tx_ttnews%5BbackPid%5D=254&cHash=3f6f98c92b

Oui mais dit: à

Combien d’enfants palestiniens morts sous les bombardements israéliens WDG?

pas à chier ter dit: à

( Radio Moi Je dit: 1 octobre 2014 à 22 h 41
wesh, pas mal ! je file , j’ai à terminer 2 articles de Charlie – ML ne doit pas lire cet hebdo, attaque assurée – et j’ai un bouquin sur le feu aussi – n’suis nullement membre d’un quelconque truc décernant des conneries, éloges, platitudes, mais des certains critiques, soft, vous poussent vers … etc … des merveilles, YEP !

bérénice dit: à

Il remet en cause une fois pour toutes, quelques siècles s’en sont nourri, nous voilà donc toujours au pied de l’œuvre à pied d’œuvre, y’a plus qu’à faire comme il a dit. Je garde Justine sous mon lit en livre inachevet.

Widergänger dit: à

Annie Le Brun, c’est bien. Mais ce que montre quand même Michel Delon et Abramovici et la critique moderne au sujet de Sade, c’est qu’il est très ancré dans les débats philosophiques du 18ème siècle. Il est très peu original, Sade, de ce point de vue. Sade, comme le dit fort justement Clément Rosset, c’est un style grandiloquent, sensationnel, la presse à scandale. Je suis assez du point de vue de Marc Fumaroli à cet égard. Je ne trouve pas que ce soit un grand écrivain. C’est un fleuve d’horreurs dans le style sensationnel. C’est même à vomir, comme le film de Pasolini, qu’on ne peut pas regarder, tranquille. On le voit une fois, pas deux. C’est insupportable.

Widergänger dit: à

Balzac avait lu Sade à l’évidence. Il y a du Sade chez Balzac, dans La Princesse de Langeais par exemple.

des journées entières dans les arbres dit: à

J’espère quand même que cette exposition au musée d’Orsay, dont le commissaire est Annie Le Brun, ne sera pas trop  » débordée ».

D. dit: à

Hamlet, je vous ai lu et j’ai l’honneur de vous dire que ce que vous racontez n’est pas intéressant du tout.

Widergänger dit: à

Oui mais dit: 1 octobre 2014 à 22 h 48 min
_________
Ferme ta gueule, grosse merde antisémite incompétente ! Si les Palestiniens ne veulent pas se faire tuer, ils n’ont qu’à faire la paix avec Israël. Et tous les salopards qui soutiennent les Palestiniens sont des enculés, des ordures d’antisémites.

bérénice dit: à

Je sors recharger les piles, bonne nuit.

des journées entières dans les arbres dit: à

Ml, vous avez une idée de l’athéisme chez le marquis ?

D. dit: à

Huit commentaires les uns à la suite des autres, aussi nullissimes les uns que les autres. Vous êtes limite parasite de blog.

D. dit: à

Je ne vous ai jamais apprécié, Hamlet. Voilà c’est dit. Autant que les choses soient claires.

des journées entières dans les arbres dit: à

ml, lors de vos soirées en terrasse avec la radasse islamophobe et raciste de maniatis, vous n’avez jamais pensé que vous étiez à deux doigts de vous entendre comme larrons en foire ?

Widergänger dit: à

Comme le dit fort justement Clément Rosset, il n’y a pas un type qui parle de Dieu que Sade !

BOA dit: à

Annie Le Brun, c’est bien. Mais ce que montre quand même Michel Delon et Abramovici et la critique moderne au sujet de Sade, c’est qu’il est très ancré dans les débats philosophiques du 18ème siècle.WDg

C’est ce que dit aussi Annie Lebrun!
Soudain d’un bloc d’abîme, Sade, chapître VI – L’ être, l’avoir et le manque

Widergänger dit: à

…pas un type qui parle plus de de Dieu que Sade !

Widergänger dit: à

Donc, pas si nouveau que ça, Sade !

BOA dit: à

Un vrai pignouf ce WGG!

Widergänger dit: à

BOA dit: 1 octobre 2014 à 23 h 09 min
Et vous une grosse merde pour dire ça de moi !

BOA dit: à

Hé oui, je ne boa pas vos paroles, moâ!

BOA dit: à

D’ailleurs, vous vous trompez. J’ai suivi un régime, moâ et je ne suis pas grosse comme vous en photo!

merci pour ces glaviote dit: à

W. un poil de vulve qui s’escagasse dans le vide ! Un costume lie de vin trop grand pour un tout petit navire.

BOA dit: à

Assez de nous jouer du biniou avec votre pensée binaire Attali/Rosset.
Il vous faut en sortir car ces deux là ne peuvent embrasser tous les problèmes philosophiques à eux tout seul.
Convenez-en!

Widergänger dit: à

EN PLUS VOUS ÊTES TELLEMENT UN GROS CON QUE VOUS VOYEZ DES « PROBLÈMES « PHILOSOPHIQUES PARTOUT ALORS QUE JE PARLE DU STYLE GRANDILOQUENT DE SADE. VOUS ÊTES UN TRÈS GROS CON !

BOA dit: à

Hier au soir, vous jouiez la triplette, affirmez-vous donc pour trois, faites un effort!
Et puis à force de vouloir trop être dans le monde du savoir on peut devenir un êtron dans l’ universelle constellation des savants, non?

Widergänger dit: à

BOA dit: 1 octobre 2014 à 23 h 28 min
Hier au soir, vous jouiez la triplette, affirmez-vous donc pour trois, faites un effort!
Et puis à force de vouloir trop être dans le monde du savoir on peut devenir un êtron dans l’ universelle constellation des savants, non?
_________
Peut-être, c’est votre cas, pas le mien. Je n’en strictement rien à voir avec ce que vous osez dired e moi. Vous êtes une merde, un immense connard avec un petit poi dans le crâne. Une ordure qui ne pense qu’à salir les autres.

BOA dit: à

« Annie Le Brun, c’est bien. Mais ce que montre quand même Michel Delon et Abramovici et la critique moderne au sujet de Sade, c’est qu’il est très ancré dans les débats philosophiques du 18ème siècle. »

Et le  » débat philosophique », c’est parler de style grandiloquent, Michel, triple pignouf?

On ne peut te trouver qu’une seule excuse, c’est que tu es en état d’ ébriété et que tu ne te souviens même pas de ce que tu as écrit il y a quelques secondes.

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