Pour saluer Claude Durand, éditeur « intuitu personae »
Il vient de disparaître à 76 ans, dont quarante-cinq dans le bâtiment. Entendez : l’édition. Il avait fait ses classes au Seuil dès 1958 où il publia des dissidents de l’Est et des romanciers latino-américains, traduisant certains de ceux-ci avec sa femme Carmen d’origine cubaine. Le Garcia Marquez de Cent ans de solitude et le Soljénitsyne de l’Archipel du Goulag furent ses grandes révélations, et par la même ses grandes découvertes, de cette époque. Vingt ans plus tard, il quitta une maison qu’il aurait aimé diriger pour Grasset dont on lui proposa la direction générale. Le courant ne passa pas et deux années ne s’étaient pas écoulées avant qu’on le retrouve Pdg de Fayard, grande et vieille maison qu’il bouleversa en s’y installant pour trente ans.
Il était à la fois celui qui projetait sa Maison dans l’avenir, enjoignant ses collaborateurs à s’inscrire dans la durée, à ne pas s’interdire les projets patrimoniaux à la rentabilité incertaine mais à l’intérêt certain pour la vie des idées ((l’énorme biographie de Rimbaud par le regretté Jean-Jacques Lefrère, ou celle de Victor Hugo en plusieurs volumes par Jean-Marc Hovasse la Correspondance de Satie etc), tout en se consacrant lui-même de son côté à monter des coups, spectaculaires, médiatiques, à court terme, d’une qualité discutable, et qu’il savait lancer et imposer comme nul autre, mais susceptibles de tenir le devant de la scène pendant quelques mois, de faire rentrer de l’argent frais dans la maison
Orgueilleux, mû par une constante volonté de revanche sociale, l’ancien instituteur issu des milieux populaires, né à Livry-Gargan en 1938, avait longtemps rêvé de faire partie d’une certaine élite. Sa candidature in extremis à 75 ans à un fauteuil vacant à l’Académie française, encouragée et appuyée par l’un de ses auteurs les plus fidèles (Hélène Carrère d’Encausse, secrétaire perpétuel) était sa dernière chance pour « en être » enfin par-delà les réseaux où il s’était progressivement intégré.
Une puissance de travail hors pair. On connaît peu d’éditeur à la tête d’une maison de la dimension de Fayard qui ait autant payé de sa personne dans le travail avec l’auteur, relisant les manuscrits un crayon rouge à la main, et jusqu’aux épreuves qu’il relisait jusqu’aux derniers moment – mais on connaît peu d’éditeurs qui ait eu un passé d’instituteur et qui le soient restés face à leurs auteurs. Il est vrai que son manque de confiance mêlé d’angoisse le retenait de déléguer nombre de tâches.
Claude Durand n’était pas éditeur aux heures de bureau mais en permanence, samedi, dimanche et fêtes. Il ne le vivait pas comme une profession mais comme un mode de vie et un état d’esprit, voire comme une vision du monde. Ses débuts dans l’ombre de Jean Cayrol au Seuil n’y sont pas étrangers.
Il n’avait pas de goût pour les couvertures, souvent bâclées lorsqu’elles étaient de son seul ressort, abandonnées à la seule typographie par facilité. Seul le contenu l’intéressait. Mais si sa réussite fut incontestablement dans plusieurs secteurs (histoire, biographies, essais, sciences humaines, spiritualité et musique notamment), la patte Durand demeura invisible en littérature.
Des faux pas, il y en eut, qu’il fut trop fier pour ne jamais les reconnaître : certaines enquêtes bourrées d’erreurs parce que bouclées dans la hâte (La face cachée du Monde, de Pierre Péan et Philippe Cohen) ou un tome contesté du Journal de Renaud Camus, La campagne de France, pour lequel il n’hésita pas à se mouiller personnellement en signant une préface quasi militante ; il le fit également, avec la même jubilation tant il jouissait de provoquer et d’agacer le milieu littéraire, lorsqu’il préfaça le médiocre et ragoteur Journal de Jacques Brenner en cinq tomes qu’il n’hésita pas à qualifier de « monumental ». D’autres encore. Quant au transfert sonnant et trébuchant de Michel Houellebecq pour La possibilité d’une île, arraché à Flammarion avec son éditeur pour la possibilité d’un Goncourt, il se conclut in fine par le retour de l’auteur au bercail.
Cela lui sera peu compté quand subsistera longtemps encore l’image de l’éditeur/traducteur de Cent ans de solitude et de celui de l’œuvre d’Alexandre Soljénitsyne. Avec ce dernier, de même que pour quelques autres (Ismaël Kadaré), il exerça également la fonction d’agent littéraire mondial, en dépit du possible conflit d’intérêt. De même, ce qui est moins connu, car ce qui relève des contrats n’est guère public, était-il personnellement lié à nombre de ses auteurs par une clause intuitu personae qui leur permettait de quitter la Maison s’il était amené à la quitter, pratique discutable lorsqu’on occupe un poste de Pdg d’une maison au sein d’un groupe, Hachette en l’espèce. C’était son privilège, acquis grâce à sa douce et forte personnalité, à son réseau d’amitiés. l’air de rien, cette clause le définissait mieux que tout article tant par son caractère secret et dérogatoire que par le lien personnel et intime exceptionnel qu’elle supposait entre lui et « ses » auteurs.
Politiquement, il pouvait éditer toutes tendances confondues, aussi bien François Mitterrand que Edouard Balladur tout en restant attaché à Simone Signoret, Jacques Attali ou Lech Walesa, mais demeurait fidèle aux idéaux mendésistes de sa jeunesse. Ce tropisme le définissait aussi sur le plan humain. D’un tempérament plutôt secret, il parlait peu, murmurait le plus souvent, et préférait écouter. De ses passages au Seuil et chez Grasset, il avait conservé l’amertume de ne les avoir pas dirigées, sentiment vindicatif qui lui valut de fortes inimitiés dans un milieu dont il était l’un des maillons tout en s’en tenant à l’écart.
En avril 2009, celui qui avait été l’éditeur, et souvent l’ami de Alexandre Soljenitsyne, Madeleine Chapsal, Danilo Kis, Max Gallo, Jacques Attali, Janine Boissard, Pierre Péan, Jean Vautrin, Michel Rio, Erik Orsenna, Juan Goytisolo, Jean-Marc Hovasse, Patrick Besson, Frédérick Tristan, Yann Quéffelec, Jeanne Champion, Angelo Rinaldi, Elisabeth Badinter, Michel Chaillou, Eric Neuhoff, Nadine Trintignant, Alain Fleisher, Christine Arnothy, Norman Spinrad, Alain Vircondelet, Jean-Luc Barré, Bernard Violet, Mehdi Belhadj Kacem, Jean-Louis Debré, Emmanuel Le Roy-Ladurie, Jean-Robert Pitte, Anne Pons, Marc Fumaroli, et des centaines d’autres, avait rendu son tablier au groupe Hachette pour raisons de santé (insuffisance respiratoire de grand fumeur) après avoir passé près de trente ans à la tête de « sa » maison. Il n’en continua pas moins à suivre jusqu’en 2011 certains des auteurs qui lui étaient attachés dans un bureau … de l’immeuble d’à côté afin de dissiper toute ambiguïté vis à vis de son successeur, Olivier Nora.
Comme d’autres de ses pairs avant lui (Bernard Grasset, Robert Laffont, Pierre Belfond, André Balland…), il ne put s’empêcher d’écrire, convaincu d’avoir sacrifié sa vocation d’écrivain au profit de sa carrière d’éditeur. Il est vrai que le jury Médicis l’avait conforté dans cette conviction en couronnant sa Nuit zoologique en 1979. Une fois retraité, il publia quelques romans qu’il vaut mieux oublier, à commencer par ses romans à clés sur le milieu. J’aurais voulu être éditeur (Albin Michel) est rédigé dans un esprit potache. Même les noms fleurent bon le canular de khagneux, mais il y a un âge pour ça. On sait qu’il est toujours préférable d’agir par la bande plutôt que frontalement, et que le pas de côté donne une meilleure vision des choses. Mais là ? Les tribulations d’ « un explorateur ingénu de nos tribus éditoriales et littéraires » dans le marais de l’édition parisienne, l’un des milieux les plus incestueux et les plus conservateurs qui soient. Coups tordus, clientélisme chronique, jurés corrompus, livres de nègres, trafic d’influence, renvois d’ascenseur, vanitas vanitatum. Le plus extraordinaire, et cela dépasse ce seul cas, est de constater une fois de plus que, lorsqu’un éditeur se mêle d’écrire, il commet toutes les erreurs qu’il a reprochées à juste titre à ses auteurs durant toute sa carrière. On comprend que Claude Durand ait voulu être éditeur mais on ne comprend pas qu’il se soit cru auteur avec un tel livre.
Mieux vaut retenir son récit/dossier paru en 2011 Agent de Soljénitsyne (Fayard). Ni écrit ni édité, son livre n’en réussit pas moins à être passionnant tant la matière en est riche, foisonnante ; il est vrai qu’il est consacré à un personnage de choix, que l’auteur considère comme étant sans conteste « le plus grand écrivain de la seconde moitié du XXème siècle dont l’œuvre vivra longtemps ». Un dossier donc, truffé de notes, d’articles, de compte-rendus, de citations et surtout de lettres inédites entre le grand écrivain russe et, comment dire : son éditeur ? son agent international ? son représentant ? son meilleur avocat ? Il est à la fois son ombre et dans son ombre, dans la plus noble acception de l’expression.
On voit que ce n’est jamais simple avec Claude Durand. Il est vrai que l’on connaît peu d’éditeurs français qui se soient maintenus tout en passant de l’autre côté de la barrière, éditeur et agent à la fois, tout en s’offrant le luxe de dénigrer le rôle de ces derniers, du moins en France. Qu’importe, c’était Soljénitsyne le sujet et peu étaient aussi aptes à en parler de l’intérieur que Claude Durand. Non pour l’analyse de l’œuvre (il n’était pas slavisant et ne connaissait pas un mot de russe) mais pour l’histoire agitée, aussi intellectuelle que politique et médiatique, de la publication de cette oeuvre. Les deux hommes étaient liés par une fidélité réciproque de 35 ans, le cas est assez rare pour être signalé, l’écrivain allant jusqu’à présenter son éditeur/agent/ami qui a la haute main sur toutes ses affaires littéraires comme « un homme plein de sang-froid et d’audace en qui il y a du duelliste de l’Ancienne France ».
Si Claude Durand agaçait, c’est aussi qu’il n’hésitait pas à donner des leçons, à faire la morale et à rappeler publiquement ses confrères à la déontologie du métier. Cela passait par des préfaces, des tribunes libres et même, pendant quelques temps, vers 2007, par le biais du « Blog Arthème » sur le site de Fayard. Les billets en étaient de toute évidence inspirés sinon rédigés par lui, si l’on en juge par le style, la liberté de ton et l’esprit de ce qui se ressemble fort à un droit de réponse permanent de celui qui n’aimait rien tant que la position du franc-tireur.
Il aimait à se définir comme un « mercenaire de l’édition » ce que seuls les imbéciles prenaient au premier degré. Il entendait par là rappeler une vieille distinction, que l’on oublie trop souvent, entre le fondateur-propriétaire de sa maison, et celui qui la dirige parce qu’un groupe lui en a confié la responsabilité. La différence, c’est l’argent : une chose est de risquer le sien, un autre est d’engager celui des autres. Car Claude Durand savait que l’édition est fondamentalement un métier de joueur. Et à ce jeu, il fut incontestablement l’un des meilleurs.
Contrairement aux poncifs que nous ont servis les médias pour annoncer sa disparition, Claude Durand n’était ni le pape ni l’empereur de l’édition. Mais, chose rare dans ce métier, il y laissera son empreinte. Celle d’un grand éditeur.
(« Claude Durand en promenade dans un marché de Budapest il y a une quinzaine d’années » photo Passou)
671 Réponses pour Pour saluer Claude Durand, éditeur « intuitu personae »
Je n’ai pas souvenir d’avoir eu recours à l’impératif dans mes (rares) recommandations de lecture. Bizarre…
C’est un conseil, j’ai aimé le détour et fonction de mon faible pouvoir je n’en suis qu’à une recommandation quoique ce soit une ancienne lecture dont je ne sais si elle me réjouirait autant qu’à l’époque( post attentat 11 septembre).
Tenir à ne se la jouer que modeste lectrice pour n’avoir pas à assumer ce que vous écrivez je ne sais rien de vous mais là je trouve que vous feriez bien mieux de vous faire encore plus petite. Dans votre petit tas.
ici Londres: Benito JC dit le Fourbe est une vieille ordure, vous pouvez répéter ad infinitum
Enfin l’art et essai ne nous conduira plus jusqu’au « Déclin de l’empire américain » propos amusant également mais la programmation locale nous abreuve de discours lénifiants la plupart du temps. A Paris il y eut le trou des Halles qui mit un temps certain à trouver son comblement, ici c’est l’impasse sur tout un pan culturel qui je le crains ne trouvera pas d’issue. Rares pépites et encore en ratissant large.
Dans votre petit tas.
Mépris, décidément les civilités connaissent de piètres formules.
Des reflets de poses ça donne pas toujours envie. C’est tout.
Dire.
Tenir à ne se la jouer que modeste lectrice
Je ne mens pas, je travaille et ne passe pas tout mon temps à explorer les océans littéraires, ne suis pas à proprement parler une intellectuelle. Faudrait-il tous nous rayer de cette carte pour excès d’honnêteté, je plains ceux qui tentent de se faire passer pour ce qu’ils ne sont pas ou plus car arrive un moment où ils sont démasqués.
Faudrait-il tous nous rayer de cette carte pour excès d’honnêteté
Gonflés collectifs honnêtes ? Non mais…
Puer la mafia. Comme un petit péteur des cités. Gardez ça. Jusqu’à la tombe. Il y en a déjà…
Je citais ce titre et il n’a rien d’une attaque personnelle, c’est un mixte entre une colère et une étude de mœurs complaisante qui revendique je cois notre liberté.
Et les mauvais souvenirs n’aideront pas !
Allez voler un enfant dans une autre garderie. J’ai 47 ans et je n’ai pas vécu que du blabla dans ma vie. Bonne soirée.
crois, vous êtes incompréhensible à moins que vous ne vous trompiez de cible . Que souhaitez-vous exprimer exactement?
« J’ai 47 ans » Ah bientôt la ménopause, quelle galère que ses prémisses.
Bon, la jeunesse qui a besoin d’implants pour arriver à se donner l’illusion de faire des jaloux, hein…
Et puis un peu marre de se faire traiter de gonzesse par des pisseuses hors d’âge… Excusez l’humeur…
Vous n’aviez qu’à vous situer sexuellement, moi c’est entre deux comme pour Entremont, c’est vraiment bon.
9 mai 2015 à 19 h 32 min
47 ans,c’est l’âge de Herzog, Bellow en ayant alors 49…..
’47ans, vous êtes des jeunesses !
Passou, vous mettez des bannières pour les sites de rencontre sexuelle quand vous voulez hein…
vous êtes des jeunesses !
On en bavera peut-être pas autant que les enfants des ados attardés. On verra…
… on verra accoudé à table
Je ne sais pas. Faut trouver ce qu’il y a lire. Et pardon de ne pas faire le grand manitou genre voulez-vous continuer oui/non gigamegaragnagnangan de plus de n fois dix ans et proutprout.
20h42 vous n’y croirai peut-être pas mais il m’arrive vraisemblablement d’une autre galaxie des rêves érotiques et des objets fantasmatiques, l’autre jour par exemple, je dormais quand soudain dans ma main ( pas l’aigle noir, non…) un sexe turgescent comme je ne me souvenais pas s’est proposé à mes sens et insista à ma préhension, étonnée d’abord je ne pus résister à l’invite et appréciai ce membre viril et avide qui réussit à tirer de mon sommeil de jolis soupirs, hélas la sensation satisfaisante et excitante disparut fugacement et depuis j’allume des cierges en priant pour que le songe devienne réalité, pseudo ne saurait mentir.
Vous cherchez une réaction à quoi exactement ?
vous n’y croyez pas mais je dispose d’exemples plus éloquents qui diront tout de ce qui trouble irrémédiablement mon profil et inquièterait plus d’un praticien. En d’autres temps on aurait fait de moi une sainte comme une de celle qui ont été témoin d’apparitions quoiqu’il ne s’agisse en l’occurrence que de perceptions et qu’en un sens ce soit bien pratique et tellement plus puissant que ce qui se peut vivre en réalité quand un autre vous sollicite avant ou après un repas arrosé ou non.
La réactionnaire qui a de la peine à s’assumer là…
cucul & concon aujourd’hui, pipi & caca demain.
A mes fautes pour commencer, ensuite je n’attends rien de bien bien du genre.
Vous feriez un piètre inspecteur et un mauvais commissaire, de quelles preuves disposeriez-vous pour m’accuser de « réaction » si tant est qu’on agisse librement et libéré des facteurs environnementaux ou qu’il soit possible d’opposer la raison à notre arc réflexe, à nos pulsions, à nos décisions à la con.
(ah mais c’est qu’il faut rester correct)
donc, voulais seulement dire que je me demande si je ne préfère pas les vieux Qons qui ne peuvent parler de sexe qu’en parlant de fric à put.es aux vieilles co—nasses en manque de docteur…
Le jour où vous vous sentirez libre de parler clair, ma pauvre…
Oh vous savez les vieilles ne sont pas seulement en manque docteur, ajoutez la reconnaissance, la connaissance pour certaines et tant d’autres qualités qu’elles n’auront pas su ou pu cultiver au cours de leur long périple qui parfois les a mené aux portes d’un enfer fait travail famille patrie.
ah ben pour les saucisses vous alors…
Pour parler clair, j’attends comme de la hotte du père Noel un candidat qui donne envie de se rendre au bureau.
On suit, on suit, avec intérêt,les avances de la hairdresser pour pitbulls à son chien. Et c’est quelque chose; survivront-ils à leur nuit sexuelle de détresse psychiatrique ? Seul l’avenir de leur grande solitude le dira.
allez, maintenant après une sur la reconnaissance une autre sur l’autorité, allez hop, et j’arrêterai là parce que ma pauvre, les voix dans la tête ça peut s’effacer, vous devriez essayer…
ne corrigerez-vous pas ces fautes dispersées?
La vie ne parlons pas schizophrénie il me semble que vous en connaissez un rayon qui hélas m’échappe mais voici une occasion de vous répandre en explications.
Le point psy se la joue atteint. Encore…
Comme disait Claude Durand, il faut prendre le caudillisme avec humour.
Et à lire la hairdresser pour pitbulls et la jeunesse « de 47 ans », c’est évident.
La fée clocloche a fait tinter son truc on n’est pas des anonymes. C’est magique…
Justement à lire votre réaction je pensais avoir pourtant tenter d’introduire un peu d’humour dans le fil de ce colloque ou collège, au choix selon l’importance accordée à la chose. Visiblement cela a échappé à votre interprétation toujours sérieuse du commentaire et respectueuse des commenteurs, et si vous n’accordiez aucune confiance à certains dont moi, sachez qu’en dépit de votre intarissable documentation je n’éprouve ni confiance ni respect ni estime pour quelqu’un de votre genre, écumant du mépris des bourgeois arrivistes.
Ah ben ça faudrait vraiment le prouver.
Et je ne suis pas en train de négocier un prix…
On dirait que le réalisme magique de Gabo dit quelque chose à « la jeunesse ».
Vous reniflez quelqu’un ? Ici seuls les mots ont une existence à mes yeux. Tenez-vous le pour dit.
pour un qui ne fait usage de l’impératif
Et déchirez encore votre Robert des noms propres qui ne sont pas ceux que je trouve le plus savoureux puisque vous ne pouvez pas faire autre chose.
Je ne sais comment vous dire: merci pour ce moment.
Ce n’est pas tous les jours, que j’ai l’occasion de rire, comme vous dites entre vous: de me marrer ?
pour un qui ne fait usage de l’impératif
quand c’est dit c’est dit, vous pourrez tortillez encore longtemps…
comme vous dites entre vous: de me marrer ?
ben non, semblerait que là on s’est marré plus ou moins ensemble mais ça vous ferait tellement ch.er de l’admettre…
(et le z du tortillez va comme une inconnue tordue à l’agitatrice d’un r qu’elle ne saurait assumer)
Ce n’est pas tous les jours
Tout de même, vous n’avez vraiment pas de chance.
Vous venez de faire le 256ème commentaire.
Or 256 = 2 puissance 8
J’adore décomposer les nombres de commentaires en puissances de quelque chose. Et là nous avons une puissance de 2.
Généralement un bon commissaire était un inspecteur moyen. Et il est rare que de bons inspecteurs deviennent d’excellents commissaires, mais cela arrive quand même.
Ce que je vous explique là est un peu transcendant, j’en conviens, mais c’est pourtant comme ça que ça se passe et il y a derrière des arbres de causalités en pagaille.
De même un bon pilote de chasse est rarement excellent mathématicien. Les meilleurs sont ceux de l’Aéronavale et ont été recrutés niveau bac.
On retrouve un peu la grenouille à la petite échelle.
Cruel destin ou illusion de mourir?
Quoi ? Tout le monde s’est suicidé en récitant un texte ? Et ça c’est passé où ? Notre Dame de Paris ?
en 1969 on avait un marché grâce à la technologie des pipelines pour le pétrole (et Archimède). Mais non, des cartels…
Bon, laissons les curetons compter leurs ouailles…
parce que je veux vivre en Bretagne, je suis réac?
…
…je vous dis pas,!…j’ai perdu, 20 kg,…en 3 mois,!…
…continuons cette cure salvatrice,!…
…autant, la stabilisé mon poids à 70 kg,!…
…ou encore, un peu moins,!…
…
…et alors,…de tous les commentaires, ce que j’en pense,!…vous avez devinez,!…
…continuez,!…etc,!…
…
…tout est secret,!…c’est encore mieux, que de s’enchérir,…sur mes commandes de tableaux,!…
…
…je ne vend, plus rien de toute façons, en Plus,!…trop précieux,!…
…
…Ah,!Ah,!…allé joué à la guéguerre à gauche ou à droite,!…aux offshore leaks,!…
…l’échiquier, les mêmes pièces,!…avec d’autres noms,!…
…dans la régulation,!…etc,!…légère modification des points topographiques en reliefs,!…entre liens d’intérêts,!…et ses valeurs,!…
…Ah,!Ah,!…
parce que je veux vivre en Bretagne, je suis réac?
tout dépend de la masse que tu trimbales dirait Giovanni
D. dit: 9 mai 2015 à 21 h 58 min
De même un bon pilote de chasse est rarement excellent mathématicien.
Mais il y a en permanence des calculs numériques simples, qu’il est quand même plus rapide de pouvoir faire de tête que de manipuler un clavier, petit ou grand.
Et ce qui est important, c’est que l’émotion s’attaque en premier lieu à cette faculté, ce qui la rend aléatoire sans un entraînement soutenu, le pilotage ne s’effectuant jamais autrement que sous une certaine tension.
Il en faudra encore combien pour consoler tous ces geignards ?
n’infoblog dit: 9 mai 2015 à 22 h 21 min
parce que je veux vivre en Bretagne, je suis réac?
Comme on veut on choise : il y a de la Bretagne rouge dans les grands ports de pêche, dans ceux abritant des arsenaux et des chantiers navals.
Evidemment, sur les terres du marquis de Maulévrier*…
* le patron de Stofflet…
On connaissait la scène où Jane Fonda jette un coup d’oeil au cadran de sa montre. Dans la réalité qui dépasse sans être celle que vous croyez elle doit réviser son manuel de péripatéticienne. Et ça aboie professionnalisme dans toutes les chaires…
…
…je me suis peser, tantôt, sur la balance de ma mère,!…
…et, incroyable,!…( tout mes habits sont trop larges )
…
…mon objectif,…arriver à 65 kg,…dans 3 mois,!…
…mais avec précautions en douceur,!…
…et stabiliser le même poids,!…
…
…évidement, il faut bien, se connaître sois-même,…pour avec précautions, se mettre à maigrir, tout seul,!…( avec la recette adaptée,!…secrets,…) of course,!…
…
…mais, çà fait quelque chose, de retrouver, son ventre plat,!…inoui,!…
…
…les ceintures à changer,!…
…et tout le temps, retrouver les pulsions du bas ventre, musculaire,!…un autre » académisme « ,…
…c’est fantastique,!…
…être vieux d’âge, avec tout mon savoir, mes coordinations,!…et jeune, en excellente santé corporelle,!…et musculaire,!…à bientôt 65 ans,!…retrouver ses quinze ans,!…
…si, çà, c’est pas de l’or,!…
…pourvu, que le ne touche pas l’éternité,!…Ah,!Ah,!…etc,!…
…vive la santé,!…
…enfin,!…
…je dois écrire,…
…<< le corps victime de notre niveau d'intelligence de notre cerveau,!…persécuteur,!…<<,…
…allons,!…donc,!…etc,!…
…
Personne n’a parlé d’ombre depuis un moment. Vous allez vous faire remettre au pas par votre maîtresse les petits…
Si j’ai bien compris vous m’avez traité de grenouille, ranato?
Je ne vous en veux pas, mais c’est mal.
Vous avez parfaitement raison, Sergio.
Mais un excellent mathématicien est bien plus qu’un calculateur.
Sergio Bretagne rouge ou pas, au moins là-bas j’ai l’impression que rien de ce monde ne m’atteindra, oyez! rien à cirer!
sympa votre psychanalyste, un peu surmené mais bon
Trou du c.l on vous l’a déjà dit et faut plus que des plombes pour compter le temps écoulé mais vous êtes bouché par des m.rdes. La vie tout en excuse des m.rd.ux.
Afficher un tel vide après avoir tout bouffé c’est sidérant faut dire.
Mais bon, je vais encore devoir tenir le rôle de celui qui cherche la merde à la place d’un autre et le pire c’est que cela plaira…
Je ne mens pas, je travaille
Moi je travaillais et d’autres ont préféré mentir. Chacun ses problèmes. Aucune envie de vous suivre ou vous faire aller vers un quelconque bureau, geindre ainsi pour dire triomphalement ensuite qu’on n’en a rien à cirer… Allez là où vous n’irez pas plus loin et restez-y. Cela suffira comme cohérence à mes yeux.
Et je rigole doucement.
Pardon…
(et cela me surprend encore, c’est tout dire…)
Mais bon, je crois quand même qu’avant d’entrer dans un bureau lundi je vais prendre quelques flyers à l’accueil pour en aider une à se torcher.
Rose j’entrevoyais un scrutin, rien d’autre. Ensuite je ne savais pas ces quelques scribouilles si sonores, les acouphènes sont souvent liés à l’installation d’une surdité, vous devriez cesser d’écouter Beethoven ou vous finirez comme lui mais sans rien laisser de ces chefs-d’œuvre dramatiquement tristes. Mozart a fini à la fosse commune, c’est rassurant, seul les génies finissent oubliés de tous aussi comme l’écart est incommensurablement démesuré entre l’un d’eux et le commun, l’espoir subsistera jusqu’à ce point d’horizon de rallier l’humanité bien-pensante.
http://www.dailymotion.com/video/x4xlfs_bohm-mozart-requiem-introitus_music
Il y aussi la très florale chanteuse que vous aimiez à la folie je crois et pour cause, vous comprenez aisément que les femmes vieillissantes trouvent un refuge au sein d’un répertoire moins bossa
https://www.youtube.com/watch?v=pCIS_EhnHLU
j’ignorais qu’à moins de deux un clan fut possible, je tente dès aujourd’hui la conférence de presse, j’incarnerai tous les personnages y compris la partie technique, micro, sono, bande-son banderoles, confettis, tracts à la sortie, merci.
Cornecul ! la journée commence bien …
Ma chatte Mimi, la salopiote féline, a pissé sur les œuvres complètes de Victor Hugo en 10 volumes croupissant dans la grande pièce encombrée d’étagères Billy surchargées faisant office de bibliothèque !
Heureusement, c’est une édition populaire, édition pourrie puisque destinée au prolétaires, 1890 Paul Ollendorff, mais enfin … le volume Correspondances à souffert.
Victor Hugo en bas de bibliothèque, j’aurais dû exiger une édition étanche.
C’était tentant pour Mimi la malicieuse … Par bonheur, mon Coran n’a pas souffert. Un Coran doit se placer au plus haut, c’est la moindre des choses.
« Le 10 mai 2015, jour de la commémoration de l’abolition de l’esclavage, François Hollande inaugurera le Mémorial ACTe à Pointe-à-Pitre en Guadeloupe. » (AFP)
Vous y croyez, vous qui lisez ça, à l’abolition de l’esclavage….uhuhu !
Vous y croyez, vous qui avez vu le mélodrame théâtral, à l’esprit du 11 janvier…. ohoho !
Si vous croyez à ces enfumages politiciens de gauche, c’est que vous êtes faciles à Niké ……
7h16 je ne sais quel hasard me fait stationner à l’est depuis quelques mois et vous ne pouvez pas avoir eu vent de cette fameuse politique de « terre brûlée » , rien trouvé de mieux, le temps fera le reste.
droite gauche c’est de l’ordre du décor. Le centre se meurt, l’extrême-droite reste à proscrire. Qu’Est-ce qui reste?
« tout en se consacrant lui-même de son côté à monter des coups, spectaculaires, médiatiques, à court terme, d’une qualité discutable, et qu’il savait lancer et imposer comme nul autre, mais susceptibles de tenir le devant de la scène pendant quelques mois, de faire rentrer de l’argent frais dans la maison »
Qui aime bien châtie bien (bis) !
le marais de l’édition parisienne, l’un des milieux les plus incestueux et les plus conservateurs qui soient. Coups tordus, clientélisme chronique, jurés corrompus, livres de nègres, trafic d’influence, renvois d’ascenseur, vanitas vanitatum
Brrrr…! Comme dirait JC, la descente aux grands fonds de l’édition, c’est pas la plongée dans les eaux limpides de Port-Cros. » Pour chaluter Glauque Dugland « , par Petar Gazoline, pêcheur en eaux troubles…
rien depuis le détournement de max headroom.
Surtout ne vous méprenez pas sur mon propos, il s’agit juste d’une suggestion rapportée car logique :
« …et si, puisqu’on a tout essayé, on essayait le fascisme blanc raciste hétéro xénophobe eurosceptique libéral sécuritaire ? »
comme dit mon voisin, un type qui a du jugement, il était cadre sup à la Caisse des dépôts.
C’est facile, c’est farrah fawcett, mais c’était bien écrit.
– Tu es fou, je lui ai répondu ! moi, je suis pour un collectivisme hollandais, métissé, ouvert aux immigrants, mariage inter-espèces animales, amoureux des étrangères, gaulliste avec une justice taubiresque
– Espèce de salaud, m’a t il dit, je savais bien que tu étais un humaniste friqué et pourri !
– n’oublie pas moisi et nauséabond ! et sombre comme un héros et mantille …
c’est nul, ne lisez pas ces merdes que dit Lacan, comme Blanchot.
Hé, Phistamène, tu veux 300 balles pour ton jambon?
Pavillon français à la Biennale de Venise: 650 000 € d’aide publique pour un arbre qui avance. Macbeth, sans le texte, sans Shakespeare….
Vous m’avez déjà vu gonfler un matelas pneu. ?
Durand n’était ni le pape ni l’empereur de l’édition.
Tout au plus un condottiere de qualité. Mais quand, en lisant Guichardin, on est amené à comparer les mérites et les turpitudes des uns e des autres, c’est plutôt un compliment.
« Sur la balance de ma mère »!… Elle a quel âge la mère de la balance ? (85, bon poids ?)
Il ne faut pas trop longtemps « résider à l’est », dans les banlieues de Strasbourg notamment, ni d’ailleurs séjourner trop longtemps dans les brumes de l’introït du Requiem au risque de s’égarer dans la fosse commune des lieux communs.
Le décès de claude Durand semble avoir été perdu de vue, chemin faisant.
Chacun reste campé sur ses positions de canapé, or quand on s’en revient de l’office du dimanche matin pénétré et raffermi de Dieu, ça peut aider à en changer.
Teresa Crémisi quitte Flammarion. Enfin D. va-t-il pouvoir y publier plus aisément ses ouvrages d’ufologie.
les mérites et les turpitudes des uns e des autres
Ortograf en situation : A l’italienne.
Chacun reste campé sur ses positions de canapé (Nulholland)
C’est le moment de relire l’Arétin.
Le blog officiel de la Succion Française de l’Inertnationale Eugèniste
(sic)
C’est dommage que dans le sous-titre du blog si spirituel de ces messieurs-dames, on trouve encore deux coquilles.
Oui, hélas, il est bien dur de changer de canapé, Ophéliche.
@PA ; (…souvent l’ami de Alexandre Soljenitsyne, Madeleine Chapsal, Danilo Kis, Max Gallo, Jacques Attali, Janine Boissard, Pierre Péan, Jean Vautrin, Michel Rio, Erik Orsenna, Juan Goytisolo, Jean-Marc Hovasse, Patrick Besson, Frédérick Tristan, Yann Quéffelec, Jeanne Champion, Angelo Rinaldi, Elisabeth Badinter, Michel Chaillou, Eric Neuhoff, Nadine Trintignant, Alain Fleisher, Christine Arnothy, Norman Spinrad, Alain Vircondelet, Jean-Luc Barré, Bernard Violet, Mehdi Belhadj Kacem, Jean-Louis Debré, Emmanuel Le Roy-Ladurie, Jean-Robert Pitte, Anne Pons, Marc Fumaroli)…,
Pensez-vous vraiment qu’on puisse être l’ami de tout ce beau monde mélangé et rustique à la fois ? Ouh là, là, si c’est vrai, ça n’a pas dû lui être facile à Claude tous les jours, hein ? Déjà qu’en avoir un ou une seule dans la vraie vie (et je ne parle pas de la page Facebook de Montaigne et la Boétie), c’est si rare et si difficile…
pour protester contre l’injure faite à Benito JC dit le Fourbe, ses copains ont défilé le 8 mai sur la Place Rouge
je voudrais dire à tous le seniors, je le aime.
et souvent l’ami de Alexandre Soljenitsyne, Madeleine Chapsal, Danilo Kis, Max Gallo, Jacques Attali, Janine Boissard, Pierre Péan [etc.]
Les jours impairs ou les années bissextiles ?
C’est pas des fautes de carrément grave, quoi.
J.-M. Le Perv dit: 10 mai 2015 à 11 h 54 min
« Chacun reste campé sur ses positions de canapé (Nulholland) C’est le moment de relire l’Arétin. »
Enfin revient sur le tapis, notre Aretin : un des rares philosophes « praticable »…
Juncker, le Luxembourgeois fou, veut établir des « quotas » d’immigrés illégaux en Europa, alors qu’il faut, dans un acte d’humanité souvent mal compris par des incultes endormis, couler les barquettes des passeurs, ces nouveaux négriers !
Belkacem fait l’unanimité contre elle. Elle a beau jeu de traiter ses opposants avec mépris. C’est Bentolila, dans Le Point, qui a dit l’essentiel, à savoir que depuis trente ans de réformes en réformes les responsables politiques refusent de traiter les problèmes dans une fuite en avant toujours plus dramatique.
Des « quotas d’immigrés illégaux », c’est une expression qui n’a guère de sens !
Il s’agit bien de cela, mon ami, de quotas d’immigrés lampedusiens … !
Bon. Qui est-ce qui me déprogramme un univers à constantes fixes?
je ne sais pas si un éditeur est aussi un correcteur, parce qu’avec passou y a du taf rien que sur cet article!!! bonjour les accords!!!
…
…@,…Nulholland Drive,…à 11 h 51 min,!…
…
…quel, boulot,!…tout ces incrédules,!…
…
… » sur la balance de ma mère « , et habillé,!…85 kg, bon poids ?.
…
…Oui,!…j’ai perdu 20 kg,!…
…et, je compte arriver à me stabiliser à 65 kg,…cool,…d’ici à 3 mois,!…
…
…sans efforts , ni pressions de jaloux, pour » savoir comment « ,!…de mes trouvailles,!…
…
…secrets, c’est secrets,!…
…
…comme les premiers daguerréotypes de Louis Daguerre,!…Ah,!Ah,!…
…
…les sciences acquises,…çà sert,…
…
…pas seulement, pour faire les courtisans du matin au soir,…pour l’Académie de n’importe quoi,!…
…recousues des prestiges à Louis XIV, de grand – Con français de l’Histoire, avec ses pirouettes de glandeur,!…
…etc,!…
en demain s’éternnnnnnnnnise.
Gianni !!!
Nous sommes sur un blog littéraire, et la pesée des idées devrait nous empêcher de parler poids.
Cependant …. passer de 85 kg à 65 kg, ce n’est pas rien ? Adieu à la pasta ! Cette femme mérite vraiment un tel effort pondéral ?…
Qu’aux niçois, qu’aux niçois
C’est une obsession que cette Belkacem, WGG !
Vous en rêvez la nuit ?
Elle doit être la cause de vos plus belles pollutions nocturnes ?
question : on peut être ordure et fiotte en même temps
réponse : voui, Benito JC dit le Fourbe
Merci pour cette page de l’histoire de l’édition en France. @ireneomontilla1, http://antiguoescriba.blogspot.fr/
…
…JC….à 14 h 01 min,…
…
…çà n’a rien à voir, avec l’effort pondéral,!…ou les femmes,…qui restent accrocher aux parfums des liasses et lingots d’or,!…
…
…j’ai déjà maigri 20 kg,!…depuis peu,!…
…
…c’est dans la poche,!…au ralentis les 20 kg, de plus à perdre,!…cool,!…
…
…arriver, à vivre plus léger,!…même à moins de 60 kg,!…c’est pas un luxe,…
…
…c’est une stratégie d’équilibre sur son échiquier personnel de la santé,!…
…remettre les pièces à leurs places,!…
…
…de toutes façons, il y a pas de quoi faire envier,!…
…surtout sans châteaux et autres gadgets de la » jet » société,!…de trouvères,…
…etc,!…
…je reviens d’un ban de soleil au jardin,!…c’est tout,!…
…l’économie,… » graisses et développements « ,!…
…je prend l’air,!…etc,!…
…
Enfin, Attila…. vous connaissez les femmes….. !
Bel Kacem, c’est la dernière des dernières ! Tout en façade, rien derrière le décor en carton-pâte.
n’infoblog dit: 10 mai 2015 à 0 h 15 min
là-bas j’ai l’impression que rien de ce monde ne m’atteindra
C’était sérieux, l’histoire du réduit breton ! On avait fait commencer le chiffrage d’une ligne fortifiée à l’entrée de la péninsule, toute la région, donc, par un gros entrepreneur national ou au moins régional, il a pas eu le temps de finir les Fritz étaient là… Je sais pas s’il a été embauché ensuite par l’organisation Todt… En tous cas il reste du local à louer !
D. dit: 10 mai 2015 à 0 h 06 min
Mais un excellent mathématicien est bien plus qu’un calculateur.
A mon avis il peut même en être pratiquement incapable, de calculer, sous réserve de conserver ce sens des proportions, cette topologie qui lui permettent de ne pas passer à côté d’idées intéressantes.
Elle est bien, sa casquette, on dirait qu’il l’a trouvée à Berlin fin quatre-vingt-neuf auprès d’un petit revendeur par terre sur le sol…
GRAND ECART
Passer de Paul Morand « Venises » à Fernando Pessoa « le livre de l’intranquillité », c’est l’assurance pour le bolo standard que je suis de s’escagasser la tige de jade contre le sol de la grande terrasse où le beau temps me scotche, médusé …
Un grand écart douloureux mais jouissif.
Pour saluer, pour saluer… C’est pas dangereux ? Vaut mieux faire partie des types à qui on dit pas bonjour, non ? Ca fleure bon le pari de Pascal…
« A l’occasion de la journée nationale des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leur abolition le 10 mai, le Conseil représentatif des associations noires pose la question des réparations aux descendants de négriers français. » (Figaro)
P’Tin ! Pourquoi ne pas attendre que les chefs de villages négriers africains qui vendaient les nègres captifs aux négriers blancs et aux négriers arabes REPARENT, eux aussi …. uhuhu !
On nage en plein délire cranesque. Relire Petre-Grenouilleau et son bouquin remarquable sur la traite, atlantique et arabe….
JC….. dit: 10 mai 2015 à 17 h 12 min
Oui, mais alors là, mon petit chéri, tu pèches par gourmandise ! La gourmandise est un péché mortel, ne l’oublie pas.
Pessoa se lit religieusement comme on fait une prière au néant.
JC….. dit: 10 mai 2015 à 17 h 56 min
Là, mon petit chéri, c’est bien toi qu’as raison !
Allons grenouiller avec le Grenouilleau.
je connais pas cette espèce d’arbre, mais vous confondez charlotte et se chercher des ricards.
Houlà y a de l’atente de modération qui tourne dans le coin…
La gourmandise n’est pas un péché !
Le seul péché-mangeaille, c’est la gloutonnerie, la goinfrerie, ce qui ne m’arrive jamais compte tenu de l’excellente éducation reçue dans ma studieuse jeunesse.
Non, c’est bon, sauf l’atente…
Cette époque est bien pathétique avec ses commémorations. Si Nietzsche était encore de ce monde, il nous dirait que toute cette moraline baveuse cache une terrible et tragique haine de la vie. Et il aurait raison ! Le musée de l’esclavage aux Antilles, c’est tout simplement un délire. De tout ça ne peut sortir rien de bon pour l’avenir. Nous vivons dans un monde gelée comme les paroles à la fin du Quart-Livre de Rabelais. C’est Peter Härtling qui le dit si bien :
„Wir gleichen dem namenlosen Wanderer. Wir wandern nicht mehr, um anzukommen, wir sind unterwegs in einer frostigen, auskühlenden Welt.“
– Peter Härtling in Der Wanderer, 1988
Soljenitsyne était quand même un vile réactionnaire, un ami de Poutine. Et les deux tomes qu’il a consacré chez Fayard en tradale à l’histoire des Juifs de Russie est une véritable honte pour le monde civilisé. Un tombereau d’ordures déversé sur le peuple juif !
Cette excellente éducation, dont nous subissons les douloureux effets toute notre vie, retarde ma remise par les autorités incompétentes de mon diplôme de « Grand Rabelaisien », mon rêve, mon aboutissement, ma joie pure !
J’en veux à mes géniteurs aimants et à mes maitres excellents d’avoir tenté de paralyser ma vie d’homme libre sous prétexte de respect des lois, de courtoisie, de politesse, d’humanisme et autres couillonnades sociales !
Ah ! les salopiots….!
Le Musée de l’Esclavage – qui paie cette bouffonnerie ? – fait partie des paravents derrière lesquels, au nom d’une « réparation » idiote, s’abritent des populations entièrement assistées et attentistes !
Les rackets du CRAN….. ! Quels simagrées…
« Si Nietzsche était encore de ce monde »
Hamlet va pas tarder à rappliquer
« Un tombereau d’ordures déversé sur le peuple juif ! »
Les premiers pogroms ont commencé en Russie
oh non, on a retrouvé le mec du pédiluve qui faisait prendre son pied à des petits enfants.
ah ouais claude autant lara parce que hop le cheval en fait
vous pouvez mettre un mot sur le sujet avec votre verbe et le complément?
Claude Durand est mort. Condoléances à la famille. On y passera tous. N’en faisons pas un fromage.
Benito JC dit le Fourbe n’est pas encore mort. Condoléances aux commentateurs. On n’y passera pas tous, pas la peine d’en faire un maroilles
Qu’est-ce qu’on s’est marré en mettant queue leu-leu
Widergänger dit: 10 mai 2015 à 18 h 15 min
Soljenitsyne était quand même un vile réactionnaire, un ami de Poutine.
C’est ce qui a été dit, en effet ; seulement, c’est l’un des seuls à avoir pu faire passer ses самиздат. Etre là au bon moment…
giulietta massina dit: 10 mai 2015 à 18 h 49 min
n’est pas encore mort
Ha oui c’est bizarre normalement c’est les gars qu’on salue qui sont morts…
« On y passera tous. »
Tous ne ressuscitent pas
« Comme n’importe qui (enfin presque) »
C’est vous, rose?
Comme n’importe qui (enfin presque) dit: 10 mai 2015 à 19 h 02 min
Pot de colle c’est pour être sûr ?
C’est affreux les gars qui « se positionnent » ; ils n’agissent pas sur le système, ils se font porter par lui… Là pour être vil ça l’est !
Mais sur le sujet qui nous occupe l’auteur avait quand même écrit l’ours, qui est loin de se cantonner à l’événementiel, qui représente un important travail d’étude ; maintenant, faf ou pas, it’s another question…
Vocabulaire repesentant.
toi tu te contentes des voiles à Harfleur.
Le musée de l’esclavage aux Antilles c’est comme le musée du judaïsme dans le Marais ?
Il ne faut pas non plus oublier, à cette occasion, la figure d’un autre grand éditeur, contemporain de Durand, mais mort il y a déjà dix ans : Yves Berger. Personnalité plus méridionale, avec l’accent du sud, il avait l’art chaque saison de rafler le maximum de prix littéraires. Il était également écrivain, romancier assez doué qui avait obtenu le Femina pour « Le Sud ». On l’a du reste un peu oublié, même en tant qu’éditeur, et je crains qu’il en aille de même pour Claude Durand. L’édition se « modernise », et peut-être pas dans le bon sens, sans doute…
Attila, je ne savais pas que l’esclavage était votre religion…
Lors d’un dîner bourgeois chez des amis du coin, un très vieux monsieur demande, à personne en particulier, pourquoi les Juifs chassés d’Europe centrale où ils suintaient la misère, ont plutôt bien réussi en France, alors que les Arabes…
Ah, répond un invité, les Juifs ont tout fait pour devenir invisibles, ce qui les a rendus odieux auprès des bien-pensants vichyssants, alors que les Arabes font le contraire, ce qui les rend tout aussi odieux.
Grand silence.
Les Juifs ne sont pas devenus riches PARCE QU’il étaient invisibles mais tout simplement parce qu’ils pouvaient ici mettre en valeur leur savoir-faire alors qu’en Pologne c’était impossible à cause de la misère générale et des contraintes des lois de la communauté juive. Mais C.P. voit la condition des Juifs en Pologne régis par les lois communautaire comme un progrès… par rapport à la citoyenneté en France qui leur permettait en effet d’être invisible. Mais C.P. est un grand penseur de la modernité communautaire…
Vu « La Dame de Shanghai » ce soir sur Arte…On a beau dire, c’était mieux avant…
A l’instant, Marc Coppey, violoncelle
Bach : Prélude, Sarabande et Gigue, extrait de la 1ère Suite pour violoncelle seul BWV 1007
sur France Cult’, super !
« Elle doit être la cause de vos plus belles pollutions nocturnes ? »
Attila Baroze
Qu’est-ce-que l’on peut bien lui trouver à la belle Kacem? Cela demeure un mystère…Parmi cent femmes de son âge prises au hasard à Paris, au moins les trois quarts sont plus séduisantes qu’elle.
@Daaphnée dit: 10 mai 2015 à 22 h 23 min
A l’instant, Marc Coppey, violoncelle… Merci mais c’est sur France Musique
christiane dit: 10 mai 2015 à 22 h 54 min
@Daaphnée dit: 10 mai 2015 à 22 h 23 min
A l’instant, Marc Coppey, violoncelle… Merci mais c’est sur France Musique
Ca peut être le gus qui change de studio ! Violoncelle sous le bras viole de gambe comme dans le Würtemberg…
Je les connais, moi, les violoncelles, ils ont jamais rien à faire… A Nancy comme je suis au premier rang avec ma canne à cognac comme Toulouse-Lautrec, ils guettent la moindre inattention pour se lever me la piquer !
WGG, le musée du judaïsme n’est pas un musée religieux mais avant tout un lieu de la mémoire juive, non ?
Par comparaison, vous feriez apparaître Dieudonne sympathique !
Toujours aussi vain-dicatif à ce que je vois, mon brave Attali. Il est vrai que quand on s’appelle Attila… C’est pas Attali !
…
…est ce qu’on peux espérer,!…
…des commentaires, moins ( juifs ) du matin au soir,!…
…une autre ethnie sur la table ( pour changer ),…
…ou pour moi, vos raisonnements font huiles pour frittes,!…
…
…surtout, depuis qu’on sait, que la fortune n’est que du fait d’escrocs,!…
…
…Ah,!Ah,!…je ne savais pas,!…etc,!…
…envoyez,!…
Ben si ! Le musée du Judaïsme, c’est forcément religieux d’une manière ou d’une autre. Un Juif est forcément religieux d’une manière ou d’une autre. Qu’on le veuille ou non, que VOUS le vouliez ou non. Mais je crois que les gens comme vous ne peuvent pas comprendre ces choses-là. Ça dépasse l’Européen moyen qui ne comprend rien à Israël pour cette même raison. Même un Juif athée est religieux. Nombre de Juifs athées se définissent d’ailleurs comme Juifs orthodoxes et vivent à Jérusalem dans le quartier de Méha Cheharim. Certains sont même franchement Nietzschéens ! Ça peut vous surprendre mais c’est comme ça.
Lisez un jour l’entretien de Finkielkraut avec Benny Levy : Le Livre et les livres, entretien sur la laïcité, Verdier. Ils parlent très bien, Benny Levy, de ce problème du Vide transcendant dans ce bouquin. Notamment à partir de la page 70. C’est autour de ça que devaient tourner ses cours de philosophie à Jérusalem d’ailleurs.
Pourquoi ricaner alors bêtement, comme JC, sur la création de ce musée de l’esclavage, WGG, ça ne vous parait pas être une page importante dans l’histoire de l’humanité (ou plutôt de l’inhumanité) ?
signé: un citoyen sans arme
Pourquoi ricaner alors bêtement
Ah ben alors ça……..
doublepushgood doublepushgood
Un nom manque ici, celui de Roger Duchène, et de sa femme Jacqueline. ils ont renouvelé notre approche de Madame de Sévigné, de Bussy, et de quelques autres, Claude Durand les a publiés. Ils ont fait beaucoup pour le dix Septième siècle. C’est assez pour qu’ on ne les oublie pas. Eux et leur éditeur.
MC
MC
Mon cher Attila au petit pied, en réponse à ta question sur mon ricanement :
Le Musée de l’Esclavage ?
– couteux, inutile : qui paie cette bouffonnerie sinon le contribuable ?
– le CRAN demande une réparation contemporaine pour des faits lointains : absolument injuste !
– un paravent derrière lequel s’abritent des populations entièrement assistées
– oubli volontaire des chefs nègres de l’époque qui vendaient les captifs aux blancs et aux arabes
– oubli de la traite négrière arabe, plus importante et plus longue
– Petre-Grenouilleau a tout dit sur la traite atlantique, courte, et la traite arabe, actuelle…
Il faut être vraiment c.n pour accorder la moindre valeur à cette farce « humaniste » de Musée …!
…
…pièges à loups & plus,!…absents,!…
…
…par le garde champêtre,!…en amont,…
…du grand ou petit chaperon – rouge,!…à l’aval,!…
…et grand-mère vivante aussi,!…au clystère vivant c’est ouvert,!…
…
…la protection des animaux,!…
…nous dépecer,… à nous faire vivre dans l’histoire à des histoires qui ne nous concernent pas en nos familles,!…
…
…quels royaumes d’abrutis subsistent ils,!…pour en être le coq en pâté,!…
…les monopoles sans queues ni têtes,!…
…etc,!…
…et, mes châteaux, mes domaines, mon compte milliardaire,!…pourquoi faire,!…
…
…trop seul, et unique,!…pour une nouvelle civilisation sans leurres,!…
…enfin,!…et sans » sel ni poivre » aussi,!…
…reste les faux bordeaux chimiques,!…
…Ah,!Ah,!…etc,!…aux offshores leacks,!…etc,!…
…
…alors, ce mariage, avec tout ces clystères,!…jamais, sans » grandes fortunes « ,!…et tout et tout,!…
…non,…jamais laquais royal,!…c’est pour les nobles chevaliers de tout ordres,!…
…je me suis laisser dire,!…
…non,…je n’en sais rien encore,!…
…attendre les nouvelles fraîches,!…du primeur,!…aux jus,!…etc,!…
…par un jésuite éditeur,!…Ah,!Ah,!…
…
« Faites donc un effort pour les comprendre, JC, ce n’est pas de leur faute… »
Adepte du principe de moindre action, ‘la Nature agit toujours par les voies les plus simples et les plus courtes’…. ayant lu avec passion le bouquin de Florence MARTIN-ROBINE chez Vuibert « Histoire du principe de moindre action, trois siècles de principes variationnels de FERMAT à FEYNMAN », ….. il n’est pas question que je fasse le moindre effort de compréhension.
WG
« Attila, je ne savais pas que l’esclavage était votre religion… »
« les gens comme vous ne peuvent pas comprendre ces choses-là. Ça dépasse l’Européen moyen »
Baroz votre compte est bon, WG vous excommunie
« des populations entièrement assistées »
Rien que des fainéants
« il n’est pas question que je fasse le moindre effort de compréhension. »
Laissez tomber. Même en faisant des efforts, vous ne pourriez pas !
Facile à comprendre, la mise en pratique raisonnée du Principe du Hollandais Volant.
« Lorsque vous avez conscience d’être un Président incompétent, incapable de traiter les problèmes économiques, de chômage, de sécurité, de société, d’éducation nationale, d’identité culturelle, d’immigration illégale, lorsque vous n’avez aucune idée neuve … que pouvez vous faire pour exister ? »
Il faut être vraiment c.n pour accorder la moindre valeur à cette farce « humaniste » de Musée …(JC )
JC lapépite de pq) et l’esclavage, c’est du sérieux
JC….. dit: 11 mai 2015 à 5 h 27 min
Il faut bien dire que JC a raison sur ce coup !
À une nuance près. La responsabilité des chefs nègres dans la traite des esclaves noirs n’exempte pas les Européens de leurs responsabilité dans la traite négrière.
Dans « La nègre de Surinam », d’ailleurs, Voltaire, dans Candide, montre bien dans le discours de l’esclave la responsabilité des Noirs eux-mêmes par l’honneur que ses parents ressentent d’honorer leur maître et par leur adhésion consciente à la religion qui légitime l’esclavage. Mais Voltaire indique aussi tout aussi clairement la responsabilité globale des Européens par leur indifférence au problème de l’esclavage, du moment qu’ils peuvent boire leur café sucré.
Il en est de même d’ailleurs aujourd’hui avec les marques de vêtements produits par des « esclaves » en Chine dans des conditions de travail effroyables qui ressemblent à des camps de travail pour des marques très en vue, ce qui a suscité ici des manifestations de consommateurs, ou la fabrication des ballons de football.
Et sur les Juifs, toujours d’accord avec Voltaire WGG ?
Je ne ricane pas du tout sur la création de ce musée, mon bon Attila. Je dis simplement comme JC que c’est beaucoup d’argent pour pas grand chose. Toujours la même gauche qui caresse les gens dans le sens du poil, qui crée ce climat idéologique de culpabilité réactionnaire (au lieu de lutter plus efficacement contre l’esclavage moderne) dont on voit les conséquences perverses dans la réforme du collège où on REMPLACE de fait l’enseignement de l’histoire de France par l’enseignement de l’Islam au Moyen-Âge ! Le chef de l’Etat, dans son discours, a justifié la création de ce musée en disant qu’il serait rassembleur autour de valeurs communes. Je n’en suis pas si sûr ! Est-ce qu’il a jamais déclaré que le musée de la Shoah rassemblerait les Français autour de valeurs communes ? Le musée de la Shoah, à Paris et à Berlin, et ailleurs dans le monde, n’empêche pas la montée de l’antisémitisme en Europe, hélas. La culture n’a jamais empêché la barbarie. Ne soyons pas naïfs ! Et ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit ; c’est une de vos manies (perverses s’il en est…) !
Sergio,
ce violoncelliste qui passe d’une radio à l’autre c’est digne d’un Tex Avery !
Superbe émission à réécouter sans modération :
http://www.francemusique.fr/emission/le-dimanche-ideal/2014-2015/le-canzoniere-grecanico-salentino-metismatic-armelle-khourdoian-satenik-khourdoian-pierre
Évidemment que non…! Mais c’est une autre histoire. La pensée de Voltaire participait de cet anti-judaïsme primaire qui était celui de son époque dans la lutte contre la tyrannie que l’Eglise chrétienne faisait peser sur la société. Mais il est pensable qu’il se serait indigné tout comme il l’a fait dans l’affaire Calas, du traitement ignoble dont ont été victimes les Juifs au XXème siècle. Mais son Dictionnaire philosophique est suffisamment ambigu pour qu’on puisse légitimement le soupçonner de quelque chose de plus que l’anti-judaïsme de combat, d’une haine particulière à l’encontre des Juifs, une colère qui ne s’explique pas sinon par l’ignorance, ce qui, pour un homme comme Voltaire, un des plus cultivé de son temps, ne peut que passer pour une faute grave, de toute façon.
…
…le rôle des artistes solidaires, corporatistes,!…Non,!…
…
…ou sont,!…les artistes aujourd’hui,!…
…des subventionnés de partis,!…
…et, l’état ou les communautés, vous subventionne, pour ceci ou cela,!…
…
…des artistes inféodés » politiquement nuls « ,!… » le grand » brol » des connivences » des gloutons à se distribuées des prix, plus nuls, les uns des autres,!…
…artistes, pour manger à sa soupe de soumis ( en décors ),à l’état persécuteur,…des libertés de mieux vivre son » Utopie « ,…de leader,!…
…le socialisme pour » artistes « ,!…
…non,…tous aux égouts,…l’artiste c’est l’état collectiviste,!…social-fascisme, alors,!…du fondement lèche-culs d’états,!…
…
…l’artiste,…au dessus du lot,!…
…
…ou artiste à tout les râteliers,!…pour faire » chevaliers de l’ordre « ,!…obscurantiste,!…
…ridicules et obscènes, de parler d’art,…aujourd’hui,!…
…avec, des fils à papa,!…échec & mat,…à copier/coller,!…Ah,!Ah,!…
…
…châteaux ou pas de fortunes,!…battre la mesure,!…Ollé,!…la tauromachie d’intellos,!…Ah,!Ah,!…Go,!…
…
« Je dis simplement comme JC que c’est beaucoup d’argent pour pas grand chose. »
« Le musée de la Shoah, à Paris et à Berlin, et ailleurs dans le monde, n’empêche pas la montée de l’antisémitisme en Europe, hélas. La culture n’a jamais empêché la barbarie. »
Conclusion selon vous : fermer le musée de la Shoa ?
Notre monde est rempli de contradictions, mon bon Attila. On crée un musée de l’esclavage aux Antilles sur le dos des contribuables qui n’ont pas le sou. Et dans le même temps, on reçoit à Nice en grandes pompes un potentat chinois avec ses 6000 esclaves pour des questions de gros sous. Vous avouerez quand même que c’est dérisoire.
La culture n’a jamais empêché la barbarie.
Faut raser les musées (avec au pouvoir des génies comme jc le monde irait bien mieux)
Le sens de la Shoah dans le monde moderne n’a pas du tout la même portée que l’esclavage d’autrefois. L’un et l’autre sont des monstruosités qui déshonorent l’humanité toute entière mais la Shoah est l’expression même de nos sociétés bureaucratiques.
Widergänger dit: 11 mai 2015 à 8 h 45 min
Notre monde est rempli de contradictions
quelle révélation! ah si seulement des lumières comme Widergänger (et toutou de pé-q) étaient aux manettes du monde!
On a beau dire ce qu’on voudra sur l’Allemagne. Tandis que Voltaire tapait à bras raccourcis sur les Juifs, Gœthe apprenait le yiddisch. Les nazis ont essayé de récupérer Gœthe avec son arbre à Buchenwald. Mais ça n’a pas marché. Nous, les bons petits Français des droits de l’homme, eh bien on ne peut en dire autant de Voltaire, tout voltairiens que nous soyons !
Sur la Promenade des Anglais, les 6 000 « esclaves » chinois avaient l’air aussi heureux que vous à Sitgès WGG !
Supériorité de la culture politique britannique
Les battus (rejetés sur leur programme) démissionnent immédiatement.
Chez nous, un ancien battu, qui avait juré de se faire oublier, revient.
Un chef, rejeté massivement par l’opinion, non seulement s’accroche mais fait tourner cyniquement son petit monde autour de la question de sa propre réélection.
Le mépris pour les hommes politiques n’est pas près de faiblir
(Quels taux d’abstention, déjà?)
671
commentaires