Pour saluer Claude Durand, éditeur « intuitu personae »
Il vient de disparaître à 76 ans, dont quarante-cinq dans le bâtiment. Entendez : l’édition. Il avait fait ses classes au Seuil dès 1958 où il publia des dissidents de l’Est et des romanciers latino-américains, traduisant certains de ceux-ci avec sa femme Carmen d’origine cubaine. Le Garcia Marquez de Cent ans de solitude et le Soljénitsyne de l’Archipel du Goulag furent ses grandes révélations, et par la même ses grandes découvertes, de cette époque. Vingt ans plus tard, il quitta une maison qu’il aurait aimé diriger pour Grasset dont on lui proposa la direction générale. Le courant ne passa pas et deux années ne s’étaient pas écoulées avant qu’on le retrouve Pdg de Fayard, grande et vieille maison qu’il bouleversa en s’y installant pour trente ans.
Il était à la fois celui qui projetait sa Maison dans l’avenir, enjoignant ses collaborateurs à s’inscrire dans la durée, à ne pas s’interdire les projets patrimoniaux à la rentabilité incertaine mais à l’intérêt certain pour la vie des idées ((l’énorme biographie de Rimbaud par le regretté Jean-Jacques Lefrère, ou celle de Victor Hugo en plusieurs volumes par Jean-Marc Hovasse la Correspondance de Satie etc), tout en se consacrant lui-même de son côté à monter des coups, spectaculaires, médiatiques, à court terme, d’une qualité discutable, et qu’il savait lancer et imposer comme nul autre, mais susceptibles de tenir le devant de la scène pendant quelques mois, de faire rentrer de l’argent frais dans la maison
Orgueilleux, mû par une constante volonté de revanche sociale, l’ancien instituteur issu des milieux populaires, né à Livry-Gargan en 1938, avait longtemps rêvé de faire partie d’une certaine élite. Sa candidature in extremis à 75 ans à un fauteuil vacant à l’Académie française, encouragée et appuyée par l’un de ses auteurs les plus fidèles (Hélène Carrère d’Encausse, secrétaire perpétuel) était sa dernière chance pour « en être » enfin par-delà les réseaux où il s’était progressivement intégré.
Une puissance de travail hors pair. On connaît peu d’éditeur à la tête d’une maison de la dimension de Fayard qui ait autant payé de sa personne dans le travail avec l’auteur, relisant les manuscrits un crayon rouge à la main, et jusqu’aux épreuves qu’il relisait jusqu’aux derniers moment – mais on connaît peu d’éditeurs qui ait eu un passé d’instituteur et qui le soient restés face à leurs auteurs. Il est vrai que son manque de confiance mêlé d’angoisse le retenait de déléguer nombre de tâches.
Claude Durand n’était pas éditeur aux heures de bureau mais en permanence, samedi, dimanche et fêtes. Il ne le vivait pas comme une profession mais comme un mode de vie et un état d’esprit, voire comme une vision du monde. Ses débuts dans l’ombre de Jean Cayrol au Seuil n’y sont pas étrangers.
Il n’avait pas de goût pour les couvertures, souvent bâclées lorsqu’elles étaient de son seul ressort, abandonnées à la seule typographie par facilité. Seul le contenu l’intéressait. Mais si sa réussite fut incontestablement dans plusieurs secteurs (histoire, biographies, essais, sciences humaines, spiritualité et musique notamment), la patte Durand demeura invisible en littérature.
Des faux pas, il y en eut, qu’il fut trop fier pour ne jamais les reconnaître : certaines enquêtes bourrées d’erreurs parce que bouclées dans la hâte (La face cachée du Monde, de Pierre Péan et Philippe Cohen) ou un tome contesté du Journal de Renaud Camus, La campagne de France, pour lequel il n’hésita pas à se mouiller personnellement en signant une préface quasi militante ; il le fit également, avec la même jubilation tant il jouissait de provoquer et d’agacer le milieu littéraire, lorsqu’il préfaça le médiocre et ragoteur Journal de Jacques Brenner en cinq tomes qu’il n’hésita pas à qualifier de « monumental ». D’autres encore. Quant au transfert sonnant et trébuchant de Michel Houellebecq pour La possibilité d’une île, arraché à Flammarion avec son éditeur pour la possibilité d’un Goncourt, il se conclut in fine par le retour de l’auteur au bercail.
Cela lui sera peu compté quand subsistera longtemps encore l’image de l’éditeur/traducteur de Cent ans de solitude et de celui de l’œuvre d’Alexandre Soljénitsyne. Avec ce dernier, de même que pour quelques autres (Ismaël Kadaré), il exerça également la fonction d’agent littéraire mondial, en dépit du possible conflit d’intérêt. De même, ce qui est moins connu, car ce qui relève des contrats n’est guère public, était-il personnellement lié à nombre de ses auteurs par une clause intuitu personae qui leur permettait de quitter la Maison s’il était amené à la quitter, pratique discutable lorsqu’on occupe un poste de Pdg d’une maison au sein d’un groupe, Hachette en l’espèce. C’était son privilège, acquis grâce à sa douce et forte personnalité, à son réseau d’amitiés. l’air de rien, cette clause le définissait mieux que tout article tant par son caractère secret et dérogatoire que par le lien personnel et intime exceptionnel qu’elle supposait entre lui et « ses » auteurs.
Politiquement, il pouvait éditer toutes tendances confondues, aussi bien François Mitterrand que Edouard Balladur tout en restant attaché à Simone Signoret, Jacques Attali ou Lech Walesa, mais demeurait fidèle aux idéaux mendésistes de sa jeunesse. Ce tropisme le définissait aussi sur le plan humain. D’un tempérament plutôt secret, il parlait peu, murmurait le plus souvent, et préférait écouter. De ses passages au Seuil et chez Grasset, il avait conservé l’amertume de ne les avoir pas dirigées, sentiment vindicatif qui lui valut de fortes inimitiés dans un milieu dont il était l’un des maillons tout en s’en tenant à l’écart.
En avril 2009, celui qui avait été l’éditeur, et souvent l’ami de Alexandre Soljenitsyne, Madeleine Chapsal, Danilo Kis, Max Gallo, Jacques Attali, Janine Boissard, Pierre Péan, Jean Vautrin, Michel Rio, Erik Orsenna, Juan Goytisolo, Jean-Marc Hovasse, Patrick Besson, Frédérick Tristan, Yann Quéffelec, Jeanne Champion, Angelo Rinaldi, Elisabeth Badinter, Michel Chaillou, Eric Neuhoff, Nadine Trintignant, Alain Fleisher, Christine Arnothy, Norman Spinrad, Alain Vircondelet, Jean-Luc Barré, Bernard Violet, Mehdi Belhadj Kacem, Jean-Louis Debré, Emmanuel Le Roy-Ladurie, Jean-Robert Pitte, Anne Pons, Marc Fumaroli, et des centaines d’autres, avait rendu son tablier au groupe Hachette pour raisons de santé (insuffisance respiratoire de grand fumeur) après avoir passé près de trente ans à la tête de « sa » maison. Il n’en continua pas moins à suivre jusqu’en 2011 certains des auteurs qui lui étaient attachés dans un bureau … de l’immeuble d’à côté afin de dissiper toute ambiguïté vis à vis de son successeur, Olivier Nora.
Comme d’autres de ses pairs avant lui (Bernard Grasset, Robert Laffont, Pierre Belfond, André Balland…), il ne put s’empêcher d’écrire, convaincu d’avoir sacrifié sa vocation d’écrivain au profit de sa carrière d’éditeur. Il est vrai que le jury Médicis l’avait conforté dans cette conviction en couronnant sa Nuit zoologique en 1979. Une fois retraité, il publia quelques romans qu’il vaut mieux oublier, à commencer par ses romans à clés sur le milieu. J’aurais voulu être éditeur (Albin Michel) est rédigé dans un esprit potache. Même les noms fleurent bon le canular de khagneux, mais il y a un âge pour ça. On sait qu’il est toujours préférable d’agir par la bande plutôt que frontalement, et que le pas de côté donne une meilleure vision des choses. Mais là ? Les tribulations d’ « un explorateur ingénu de nos tribus éditoriales et littéraires » dans le marais de l’édition parisienne, l’un des milieux les plus incestueux et les plus conservateurs qui soient. Coups tordus, clientélisme chronique, jurés corrompus, livres de nègres, trafic d’influence, renvois d’ascenseur, vanitas vanitatum. Le plus extraordinaire, et cela dépasse ce seul cas, est de constater une fois de plus que, lorsqu’un éditeur se mêle d’écrire, il commet toutes les erreurs qu’il a reprochées à juste titre à ses auteurs durant toute sa carrière. On comprend que Claude Durand ait voulu être éditeur mais on ne comprend pas qu’il se soit cru auteur avec un tel livre.
Mieux vaut retenir son récit/dossier paru en 2011 Agent de Soljénitsyne (Fayard). Ni écrit ni édité, son livre n’en réussit pas moins à être passionnant tant la matière en est riche, foisonnante ; il est vrai qu’il est consacré à un personnage de choix, que l’auteur considère comme étant sans conteste « le plus grand écrivain de la seconde moitié du XXème siècle dont l’œuvre vivra longtemps ». Un dossier donc, truffé de notes, d’articles, de compte-rendus, de citations et surtout de lettres inédites entre le grand écrivain russe et, comment dire : son éditeur ? son agent international ? son représentant ? son meilleur avocat ? Il est à la fois son ombre et dans son ombre, dans la plus noble acception de l’expression.
On voit que ce n’est jamais simple avec Claude Durand. Il est vrai que l’on connaît peu d’éditeurs français qui se soient maintenus tout en passant de l’autre côté de la barrière, éditeur et agent à la fois, tout en s’offrant le luxe de dénigrer le rôle de ces derniers, du moins en France. Qu’importe, c’était Soljénitsyne le sujet et peu étaient aussi aptes à en parler de l’intérieur que Claude Durand. Non pour l’analyse de l’œuvre (il n’était pas slavisant et ne connaissait pas un mot de russe) mais pour l’histoire agitée, aussi intellectuelle que politique et médiatique, de la publication de cette oeuvre. Les deux hommes étaient liés par une fidélité réciproque de 35 ans, le cas est assez rare pour être signalé, l’écrivain allant jusqu’à présenter son éditeur/agent/ami qui a la haute main sur toutes ses affaires littéraires comme « un homme plein de sang-froid et d’audace en qui il y a du duelliste de l’Ancienne France ».
Si Claude Durand agaçait, c’est aussi qu’il n’hésitait pas à donner des leçons, à faire la morale et à rappeler publiquement ses confrères à la déontologie du métier. Cela passait par des préfaces, des tribunes libres et même, pendant quelques temps, vers 2007, par le biais du « Blog Arthème » sur le site de Fayard. Les billets en étaient de toute évidence inspirés sinon rédigés par lui, si l’on en juge par le style, la liberté de ton et l’esprit de ce qui se ressemble fort à un droit de réponse permanent de celui qui n’aimait rien tant que la position du franc-tireur.
Il aimait à se définir comme un « mercenaire de l’édition » ce que seuls les imbéciles prenaient au premier degré. Il entendait par là rappeler une vieille distinction, que l’on oublie trop souvent, entre le fondateur-propriétaire de sa maison, et celui qui la dirige parce qu’un groupe lui en a confié la responsabilité. La différence, c’est l’argent : une chose est de risquer le sien, un autre est d’engager celui des autres. Car Claude Durand savait que l’édition est fondamentalement un métier de joueur. Et à ce jeu, il fut incontestablement l’un des meilleurs.
Contrairement aux poncifs que nous ont servis les médias pour annoncer sa disparition, Claude Durand n’était ni le pape ni l’empereur de l’édition. Mais, chose rare dans ce métier, il y laissera son empreinte. Celle d’un grand éditeur.
(« Claude Durand en promenade dans un marché de Budapest il y a une quinzaine d’années » photo Passou)
671 Réponses pour Pour saluer Claude Durand, éditeur « intuitu personae »
sigh dit: 11 mai 2015 à 8 h 50 min
Vous êtes comme mes élèves, vous ne savez pas lire les passages ironiques. Je vous invite à mes cours si vous avez le temps… Vous apprendrez (peut-être) à savoir lire l’ironie ! On peut toujours rêver, hein !
« Notre monde est rempli de contradictions »
A commencer par vous ou moi, WGG.
En effet, Attila ! C’est dire s’ils sont bien formatés par leur maître !
Oui, mais vous ou moi, n’avons pas en mains les manettes pour gouverner le monde ! Ce qui implique des responsabilités quant auxdites contradictions pour les faire diminuer au lieu de les augmenter !
Des « esclaves » logés dans des quatre étoiles et faisant leurs achats dans les plus grandes boutiques de la ville. On voit que vous avez le sens des mots, WGG !
Ce qui était particulièrement cocasse chez ces jeunes esclaves chinoises, c’est qu’elles étaient toutes fières, toutes communistes qu’elles étaient sensées être, d’avoir dépensé quelque 7000 € dans l’achat de babioles de luxe…
Seriez-vous formaté par l’Education nationale, WGG ?
Attila, allez donc voir un jour un film intitulé Stillife sur la Chine et ses potentats de province. Vous verrez ce qu’il en est de la Chine réelle et de ses esclaves et de ses petits maîtres.
Faudrait-il fermer tous les musées et vendre aux plus offrants les chefs-d’oeuvres entreposés ?
Economies d’un côté et remboursement de la dette de l’autre : bonjour la prospérité !
D.ieu soit loué ! J’appartiens à une génération à laquelle l’École a appris à résister à la doxa ambiante en apprenant à exercer son intelligence pour devenir des citoyens capables de penser par eux-mêmes. Ce qui risque fort d’être la dernière avec la réforme Belkacem.
Très beau film dont nous avons parlé chez Sophie Avon, WGG, ainsi que de biens d’autres en Chine, en Inde ou ailleurs : le cinéma contemporain mieux que la littérature aborde ces sujets là !
Pauvre Belkacem, sa réforme et sa personne seront oubliées avant que d’être : les prof en ont vu passer d’autres…
Un pays qui traite si mal l’Éducation est un pays inquiétant. Il faudrait comptabiliser le nombre de réformes dans l’Éducation depuis trente ans ! Les réformes sont faites en réalité pour faire vivre les maisons d’édition qui renouvellent ainsi assez fréquemment leurs stocks de livres scolaires…
un potentat chinois avec ses 6000 esclaves
—
Rares étaient les propriétaires qui offraient des vacances à leur esclaves. Un jour de repos, tout au plus. Et quand on sait que le budget vacances de « l’esclave chinois » qui se rend en France en vacances est de 7 000 euros, on se dit que les amalgames sont bien hâtifs.
Intéressons plutôt aux « esclaves britanniques » soumis au régime du « contrat heure zéro », qui a fait chuter le chômage de » à 4 millions au Royaume Uni, résultats qui permettent aux Conservateurs de se faire réélire dans un fauteuil Chippendale, malgré la volonté affichée de réduire de 12 milliards £ (17 milliards d’euros) le budget de l’aide sociale (santé, retraite, aides…). Il y a là, si je ne m’abuse, un retour inquiétant de la servitude volontaire obligée…
Plus prosaïquement, la vente de 6 500 visas Schengen à 60€ assurerait plus de 40 années de subvention pour une Alliance française en Chine ou une année de subvention pour 40 établissements en Asie/Afrique.
Tous les raccourcis ne sont pas bons à prendre.
JC….. dit: 11 mai 2015 à 7 h 17 min
« Faites donc un effort pour les comprendre, JC, ce n’est pas de leur faute… »
Adepte du principe de moindre action, ‘la Nature agit toujours par les voies les plus simples et les plus courtes’…. ayant lu avec passion le bouquin de Florence MARTIN-ROBINE chez Vuibert « Histoire du principe de moindre action, trois siècles de principes variationnels de FERMAT à FEYNMAN », ….. il n’est pas question que je fasse le moindre effort de compréhension.
Parfaitement!
Le système scolaire français est conçu en réalité pour permettre à une toute petite élite sociale/intellectuelle d’intégrer les Grandes Écoles de la République (Polytechnique, Centrale, Normale Sup, l’Ena, etc.). Les autres, c’est marche ou crève. C’est ça qu’il faut réformer. Mais on en est très très loin. C’est Bentolila qui a raison : le collège en France est le cimetière des élèves fragiles, c’est-à-dire 70% des élèves.
Mais si, Bloom, ce raccourci-là est excellent pour comprendre la Chine moderne. Ouvrez les yeux du fond de votre Orient barbare…
Bab dit: 11 mai 2015 à 8 h 57 min
« Supériorité de la culture politique britannique : les battus (rejetés sur leur programme) démissionnent immédiatement. »
Très juste, et très sain.
Revoir cet agité du bocage, Sarko ce pitre minable, faire le coup du « Je reviens pour vous sauver, vous que j’aime … ! « , c’est lamentable.
Widergänger dit: 11 mai 2015 à 8 h 36 min
Bien dit. Je suis d’ accord avec ce que vous énoncez là.
Parlons de l’ esclavage par manque d’ esprit critique, voulez-vous?
Widergänger dit: 11 mai 2015 à 8 h 57 min
c’était de l’ironie (« Notre monde est rempli de contradictions »)
Il faut avoir la vocation pour être pédagogue dans notre cher vieux pays !
Chez nous, on affirme qu’on a la solution que nos crétins de voisins européens n’ont pas, on réforme en attachant son nom de ministre au papier, on envoie le papier pour application dans les provinces, on essaie d’appliquer l’inapplicable car pensé dans les bureaux, puis…. cerise sur le gâteau…. on ne « contrôle » jamais une procédure mise en place.
On est sur de sa réussite…. et c’est l’échec assuré !
Tout le contraire d’une attitude de bon sens, le suivi, le contrôle, l’ajustement, en vigueur dans le privé. Pas étonnant qu’aucune réforme dans l’EN ne soit sortie des sables mouvants, ministériels et syndicaux !
Un dernier éclat de rire avant de vous quitter, texte piqué dans le Figaro !
« François Hollande partage avec Che Guevara une « résistance hors du commun », a estimé ce matin le secrétaire d’Etat Thierry Mandon à propos de la Une de Libération affichant un photomontage du président français et du leader mythique de la Révolution cubaine. »
C’est beau comme une analyse politique de feu, le regretté cordonnier, Ceaucescu…
Ah, bah vi, mon petit chéri !
Tu penses que c’est par sainteté ou par masochisme que WGG ne soit pas passé dans le privé, JC ?
Le système scolaire français est conçu en réalité pour permettre à une toute petite élite sociale/intellectuelle d’intégrer les Grandes Écoles de la République (Polytechnique, Centrale, Normale Sup, l’Ena, etc.). Les autres, c’est marche ou crève. (Widergänger)
Hola ! Bourdieu n’aurait jamais osé s’aventurer si loin. Mais alors mais alors mais alors (mais alors), si l’on considère que le grec, le latin et l’allemand sont essentiellement, dans notre système scolaire, des matières destinées à regrouper les enfants de l’élite sociale dans les bonnes classes, alors alors mézalor l’actuel projet de réforme va dans le sens de l’évolution prônée par Widergänger. Sans compter qu’avec la réforme des programmes d’histoire, notre bon vieux roman national façon Malet-Isaac va s’en prendre un coup de vieux que je ne te dit que ça. Youpi ! Vive Najat ! En plus, elle est belle comme une démone,celle-là.
A propos de Malet Isaac, Georges Perec, dans les années soixante-dix, s’amusait à recopier la table des matières du vénérable manuel (recueilli dans « Penser, classer »). Edifiant. En dehors du roman national (et surtout colonial) franco-français et de celui de quelques puissances occidentales ( Royaume-Uni surtout, Allemagne, Etats-Unis, point de salut. Pour Malet-Isaac, le reste du monde n’existait pour ainsi dire pas. Et pas seulement la Chine, l’Inde ou l’Amérique latine, mais aussi bien la Hongrie, le Portugal ou la Norvège. Vive l’histoire mondialisée.
En Suède, les socio-démocrates s’y sont pris très tôt pour réformer l’École. Dès les années 1940. Et ils ont procédé justement par des expérimentations, des ajustements. Mais en France, comme le dit très justement JC, on veut attacher son nom à une réforme. C’est le crapeau… qui veut se faire aussi gros que le bœuf ! Sont ridicules ces Franzousettes de ministres !
J.-M. Le Perv dit: 11 mai 2015 à 9 h 38 min
Mais t’as rien compris, mon pauvre Pervers, lis plutôt l’entretien de Bayrou sur le latin et le grec dans le JDD, et tu comprendras (peut-être…!) ce qu’il en est des langues anciennes, qui ne sont pas en soi élitistes. Mais ça, t’es pas cap de comprendre. trop borné, trop buté.
Un dernier éclat de rire avant de vous quitter, texte piqué dans le Figaro ! (JC)
Que « le Figaro » soit une publication faisant dans le comique (involontaire), il y a longtemps qu’on le savait. Il suffit pour s’en convaincre de consulter la liste de ses collaborateurs.
Le comique de la chose se trouve plutôt ici !
http://journal.liberation.fr/publication/liberation/1854/#!/0_0
Dans l’École privée, ce n’est pas mieux, c’est pareil. Les Écoles sous contrat suivent les mêmes programmes. Aucune différence. Simplement, les élèves perturbateurs sont quasiment inexistants.
À Drancy, il faut bien comprendre que le cours commence par cinq à dix minutes de chahuts, le temps que les élèves fassent le tour de la classe pour demander aux copains, qui un stylo pour pouvoir écrire, qui des feuilles, qui le livre que très peu d’élèves apportent avec eux. Si le cours est un cours delecture sur une œuvre, on peut être assuré que seuls 5 à 6 élèves ont apporté leur livre, les autres non ! Ensuite, une bonne moitié des élèves ne prennent pas le cours ou de manière très incertaine et ne participent pas du tout à la construction du sens du texte ; ils se contentent de recopier comme des bêtes de somme ce qui est écrit au tableau. La plupart sortent du collège sans avoir jamais appris à lire et à assimiler les techniques de narratologie qu’on est censé leur apprendre. Il faut voir les réponses au Brevet des Collèges et les rédactions ; je corrige depuis plus de vingt ans et dans tous les coins de Paris et de banlieue. C’est toujours aussi nul. Sinon pire chaque année. La grosse masse des élèves n’apprend rien au collège ; les élèves n’ont pas accès à la littérature et à la compréhension des textes. Ils ne comprennent quasiment rien à ce qu’on leur donne à lire en grande majorité. Faudra pas ensuite s’étonner que la France tourne au cauchemar.
l’entretien de Bayrou sur le latin et le grec dans le JDD (Widergänger)
C’est quoi, le JDD ? Le Figaro du pauvre ? Lire Bayrou ? Mais personne ne le prend plus au sérieux. Même ses copains de droite le tiennent pour un clown.
Trop borné, trop buté…!
L’enseignement de l’histoire a dépassé depuis très longtemps le Malet-Isaac ! Faut pas déconner ! Seuls les vieux schnocks ringards comme toi l’ignorent.
En préférant la dimension éditoriale généraliste
de ce billet à celle de la casquette du disparu,
il est piquant de le trouver coincé entre des coups
(plus ou moins discutables) et une déontologie !
Milieusement.
les élèves n’ont pas accès à la littérature et à la compréhension des textes. Ils ne comprennent quasiment rien à ce qu’on leur donne à lire en grande majorité. Faudra pas ensuite s’étonner que la France tourne au cauchemar. (Widergänger)
C’est qu’on ne leur donne pas à lire la littérature et les textes qui s’accordent à leur culture familiale et à leurs préoccupations. Ce ne sont pas les élèves qui sont en retard, mais les programmes et les enseignants du genre Widergänger (vive Najat). Le cauchemar de Widergänger est un rêve bleu pour d’autres. Finissons-en avec l’apprentissage de la littérature nazionale, du roman nazional et des humanités gréco-latines néo-nazionales. Oui au grand remplacement ethnico-culturel.
C….. dit: 11 mai 2015 à 9 h 32 min
« François Hollande partage avec Che Guevara une « résistance hors du commun », a estimé ce matin le secrétaire d’Etat Thierry Mandon
N’oublions pas qu’il a été nommé Sous-secrétaire à la Simplification.
« Simplement, les élèves perturbateurs sont quasiment inexistants. »
L’argent amènerait donc le calme !
Aucune réforme ne pourra faire que les perturbateurs s’intéressent aux cours, WGG ?
Brighelli : du crétin au con, dix ans de dérives
Le Point – Publié le 09/09/2014 à 07:35 – Modifié le 09/09/2014 à 07:53
Presque une décennie après « La Fabrique du crétin », Alain Bentolila publie son propre coup de gueule : « Comment sommes-nous devenus si cons ? » Brighelli l’a lu.
C’est là :
http://www.lepoint.fr/invites-du-point/jean-paul-brighelli/brighelli-du-cretin-au-con-dix-ans-de-derives-09-09-2014-1861457_1886.php
Widergänger dit: 11 mai 2015 à 9 h 56 min
L’enseignement de l’histoire a dépassé depuis très longtemps le Malet-Isaac !
Faut pas
dé
conn
er !
Tu craches sur Georges Perec maintenant ? ça ne m’étonne pas. Espèce de traître. Faux Juif !
À lire dans Le Point : les Nouveaux Puritains, ces pédagogistes fous qui veulent nous rééduquer. Et Eliette Abecassis : J’ai peur d’être juive en France. Et c’est reparti, cette bonne vieille France pétainiste.
Ce serait quoi « les textes qui s’accordent à leur culture familiale et à leurs préoccupations », JB ? Du rap et des films porno ?
Ah, l’image de la France, je vous dis pas, mes pauvres chéris !
DIONYSOS, noir car il avait picolé cet ivrogne, vient de me parler du CRAN en rigolant :
CRAN ? deux bonnes lettres sur quatre, la première et la dernière. Il eut été plus judicieux, et conforme à l’esprit de cette association blafarde, de remplacer le « R » et le « A »… par une seule lettre : un « O » !
Mais non, Attila ! C’est Jamel Deb-bouze, qui joue dans La Vache. Une prédestination assurément…!
Seule une propension à l’ivrognerie peut expliquer la comparaison entre l’aimable Adolf Hitler, remarquable écrivain toujours lu, auteur d’une pièce de théâtre à succès restée plusieurs années à l’affiche et vue par des millions de gens en Europe, et cette crapule de Bibi Netanyahu qui résiste toujours à la sympathique invite de ses voisins à retourner chez mon copain HADES …
Il faut être vraiment très naïf pour croire que la quasi totalité des parents qui font choisir le grec et le latin à leurs moutards le font pour une autre raison que la perspective de les retrouver inscrits dans une « bonne » classe. Quant à s’imaginer que lesdits moutards occuperont plus tard leurs moments perdus à lire Cicéron et Démosthène dans le texte, l’hypothèse relève du burlesque le plus pur. L’actuel projet de réforme n’est pas liberticide pour le grec et le latin, hélas. Ce n’est qu’une demi-mesure de plus, destinée à maintenir en état de coma artificiel les humanités gréco-latines alors qu’il faudrait les tuer une bonne fois pour toutes. Débranche !
La querelle des prof, WGG et JB, censurée par Passou, c’était déjà dans le Bourgeois gentilhomme de Molière, Acte 1 scène 2 :
MAÎTRE D’ARMES.- Et c’est en quoi l’on voit de quelle considération nous autres nous devons être dans un État, et combien la science des armes l’emporte hautement sur toutes les autres sciences inutiles, comme la danse, la musique, la…
MAÎTRE À DANSER.- Tout beau, Monsieur le tireur d’armes. Ne parlez de la danse qu’avec respect.
MAÎTRE DE MUSIQUE.- Apprenez, je vous prie, à mieux traiter l’excellence de la musique.
MAÎTRE D’ARMES.- Vous êtes de plaisantes gens, de vouloir comparer vos sciences à la mienne !
MAÎTRE DE MUSIQUE.- Voyez un peu l’homme d’importance !
MAÎTRE À DANSER.- Voilà un plaisant animal, avec son plastron !
MAÎTRE D’ARMES.- Mon petit maître à danser, je vous ferais danser comme il faut. Et vous, mon petit musicien, je vous ferais chanter de la belle manière.
MAÎTRE À DANSER.- Monsieur le batteur de fer, je vous apprendrai votre métier.
MONSIEUR JOURDAIN, au Maître à danser.- Ètes-vous fou de l’aller quereller, lui qui entend la tierce et la quarte, et qui sait tuer un homme par raison démonstrative ?
MAÎTRE À DANSER.- Je me moque de sa raison démonstrative, et de sa tierce, et de sa quarte.
MONSIEUR JOURDAIN.- Tout doux, vous dis-je.
MAÎTRE D’ARMES.- Comment ? petit impertinent.
MONSIEUR JOURDAIN.- Eh mon Maître d’armes.
MAÎTRE À DANSER.- Comment ? grand cheval de carrosse.
MONSIEUR JOURDAIN.- Eh mon Maître à danser.
MAÎTRE D’ARMES.- Si je me jette sur vous…
MONSIEUR JOURDAIN.- Doucement.
MAÎTRE À DANSER.- Si je mets sur vous la main…
MONSIEUR JOURDAIN.- Tout beau.
MAÎTRE D’ARMES.- Je vous étrillerai d’un air…
MONSIEUR JOURDAIN.- De grâce.
MAÎTRE À DANSER.- Je vous rosserai d’une manière…
MONSIEUR JOURDAIN.- Je vous prie.
MAÎTRE DE MUSIQUE.- Laissez-nous un peu lui apprendre à parler.
MONSIEUR JOURDAIN.- Mon Dieu. arrêtez-vous.
Seule une propension à l’ivrognerie peut expliquer la comparaison entre l’aimable Adolf Hitler, remarquable écrivain toujours lu, auteur d’une pièce de théâtre à succès restée plusieurs années à l’affiche et vue par des millions de gens en Europe, et cette crapule de Bibi Netanyahu (Zeus)
ça c’est bien vrai. Quelle idée, je vous le demande.
La querelle des prof, WGG et JB, censurée par Passou(Attila)
Comment ça, « censurée par passou » ? Passou ne censure jamais rien, vu qu’en défenseur pur et dur de la ligne Charlie, il est pour la liberté d’expression sans restriction ni réserve. Par conséquent, sous peine de se retrouver gravement en contradiction avec lui-même, Passou s’interdit de censurer quoi que ce soit. Suggérer le contraire serait pure calomnie.
Le cinéaste français contemporain qui rend le plus bel hommage à l’Ecole républicaine est A. Kechiche, dans La vie d’Adèle 1 & 2.
« cette bonne vieille France pétainiste. »WGG
Où l’ on retrouve en pire le schéma de certaines lois élaborées par le front populaire et appliquées sous le régime de Pétain!
Si les lois liberticides votées par la gauche propre sur elle étaient appliquées à la mode MLP.
Le pouvoir PS nous fabriquerait-il les grilles de nos futures prisons politiques?
Pour le coup, la Chine s’est encore modernisée. Et il ne s’agit que de la 43e ville, avec une population de 4.5 millions d’ha, pas Beijing ou Shanghai. Depuis la dernière fois, la wifi est disponible dans les bus municipaux, gratuite.
Dites wifi sur la côte d’azur: ils comprennent même pas, ces simples rentiers d’un patrimoine dont ils ne sont pas responsables.
Je me suis aperçu que quelques uns de mes posts récents étaient passés à la trappe, ainsi d’ailleurs qu’un ou deux posts de Widergänger. Attila aurait-il raison? Dans ce cas il faudrait conclure que Passou est un adepte de la ligne Charlie, mais modérée. Soyez Charlie, mais avec modération.
Soyez Charlie, mais avec modération
Celle-là, je m’en vas de ce pas l’expédier au courrier des lecteurs de « Charlie Hebdo ».
Benito JC la lopette nous a quitté « définitivement » une fois de plus… et Zeus de réapparaître… dire qu’il se croit plus malin que nous/vous tous
…
…restons sérieux, même sans imaginations,!…
…Oui,!…ces chinois,!…pour acheté,…
…
…& avec la mondialisation,…nous achèterons les copies en nombres, en retour,!…
…à prix plancher,!…à la Jaques Coeur en rondelles,!…etc,!…
…un genre de hold-up du savoir faire,!…
…déjà, avant, avec les japonnais, auto-moto-photo,…( concurrence en ruse ),!…
…pendant ce temps, tu place en bourse,!…le savoir faire perdue,…du tourisme forcé,!…du généreux patron,!…de par ses surplus à distribuer,!…
…
…souvenir des fours métallurgiques,!…
…bon, pour une copie standard,!…Ah,!Ah,!…équitable,!…etc,!…
…
Je suis d’accord avec WGG sur Voltaire : sa tolérance (essentielle dans l’affaire Calas) allait de pair avec un antisémitisme « serein » et un déisme bien ancré. Mais le tout badigeonné d’un humour qu’un d’Ormesson ne renierait pas… Et qui fait qu’on pardonnera beaucoup à Voltaire (notamment les préjugés de son temps).
Je ne résiste pas au plaisir de recopier son petit poème sur Spinoza, qui illustre le propos ci-dessus :
Alors un petit juif, au long nez, au teint blême,
Pauvre, mais satisfait, pensif et retiré,
Esprit subtil et creux, moins lu que célébré,
Caché sous le manteau de Descartes, son maître,
Marchant à pas comptés, s’approche du grand être :
« Pardonnez-moi », dit-il, en lui parlant tout bas,
« Mais je pense, entre nous, que vous n’existez pas. »
Rencontré mon copain marocain, au volant d’une Mercedes grand luxe. Il va sur ses soixante-quinze ans. En pleine forme. De sa première femme, il a eu cinq enfants. Avec la nouvelle, il en est au troisième, un poupard de six mois. Huit au total. Y a pas à dire: le Grand Remplacement se fera à la trique !
« Dites wifi sur la côte d’azur: ils comprennent même pas, ces simples rentiers* d’un patrimoine dont ils ne sont pas responsables. » (Bloom)
Celui-là, Bloomie, s’il n’existait pas il faudrait l’inventer et lui confier en gestion les labos de la Sildecon Valley !
*nous avons, dans ce prodigieux sud ensoleillé, les meilleurs rentiers d’Europe !
Femmes de France, ô patriotiques soeurs ! Au travail !….
Nous combattrons le Grand Remplacement et leur minarets de carton-pâte par nos minarets mentuleux, actifs, et salvateurs !
Pour sauver la France, donnez vous à tous les passants (blancs et porteur d’une croix ou d’une kippa) ! Sans réserve !
Seuls vos ventres peuvent sauver notre civilisation parfaite !
Esprit subtil et creux
sur la question du grand être, c’était plutôt Voltaire qui l’était, creux.
Dites wifi sur la côte d’azur: ils comprennent même pas (Bloom)
Il nous prend pour qui, le Bloom ? Une ouioui, j’en ai offert une à une jeune fille à la page, alors j’ai pas de leçon de modernité à recevoir.
Réveil des particularismes locaux autour du cimetière marin de la mer morte. De quoi être fier. De quoi, déjà?
Pour saluer les morts du SOUDAN :
« Les hostilités en cours dans l’Etat d’Unité ont obligé toutes les organisations non-gouvernementales et les agences des Nations unies à évacuer leurs personnels » de la région, a indiqué le responsable de l’ONU pour le Soudan du Sud, Toby Lanzer, dans un communiqué, en ajoutant que « plus de 300.000 personnes se retrouvent sans assistance de base ».
On ne rit pas.
On ne pleure pas non plus.
On constate et on passe à autre chose….
On a beau deviner que JB ne pense pas vraiment qu’il faut jeter par dessus bord tout ce qui a fait son éducation et sa culture et qu’il maîtrise ou a maîtrisé mieux que personne, on reste interdit devant tant de haine nihiliste répétée inlassablement, sauf ça et là quelques moments de raison et de lucidité.
Du second degré…mouais…je finis par en douter.
Molière a tout dit, Attila.
J’adore Bloom qui combat les stéréotypes et l' »essentialisation » de l’Autre, mais nous en sort sans vergogne dès qu’il s’agit des retraités blancs de la Côte d’Azur qui, dans l’ensemble, égorgent assez rarement qui que ce soit et se font peu sauter avec une ceinture d’explosifs…
Une caricature de la gauche bobo ce Bloom.
Qu’est ce qu’il fait le PNB, Petit Nul Bedonnant, quand il foire dans l’hexagone ? Il voyage … pour impressionner le bolo de base, peopolisable à souhait !
Qui c’est y qui reste en France pour jacter bêtement, et prendra les coups ? C’est le petit Duce catalan à courtes pattes, et la gazelle marocaine aux beaux yeux torves et d’autres cronnards !….
Vous aimez la politique ? la conduite des affaires de la cité vous paraît bonne ? … Optic 2000 a ce qu’il faut pour améliorer votre vision…
J’aime voir souffrir les bêtes sauvages dans les zoo….
Je viens en RdL pour voir le Bloom aller et venir comme un tigre déplumé* derrière la grille de sa cage, fou d’étroitesse solitudinaire !
* si l’image du tigre déplumé ne vous plait pas, passez du tigre à l’autruche…
Barozzi, je ne comprends pas ce pseudo d’Attila. Il ne vous va pas du tout. Vous êtes beaucoup trop civilisé pour ça. Annibal, prénom qui pouvait être vénitien (bien qu’Annibale Caracci soit né à Bologne), vous allait beaucoup mieux.
Attila c’est le surnom que Bécassine, son amie de cœur, lui a donné : moi, elle m’appelle Tarzan …
Je ne suis pas d’accord avec tous les commentaires, bien sûr (notamment ceux de Ueda, dont le cas est désespérant), mais dans l’ensemble le résultat me paraît satisfaisant.
D.
Je suis certain que vous êtes la réincarnation de ce merveilleux créateur d’avatar, Fernando Pessoa…
Je crois que vous vous trompez, closer, Attila n’est pas le pseudo de Jacques mais de sa sœur.
Vous faites erreur, JC, j’ai toujours eu le même pseudo, qui est d’ailleurs mon initiale.
Günter Grass, Le Tambour, c’est de la saucisse, qu’elle dit la madame…
C’est une bonne critique en plus ! C’est tout à fait ça.
« Attila n’est pas le pseudo de Jacques mais de sa sœur. »
C’est exact. Il s’agit de mon épouse. Et je dois dire que je n’ai eu qu’à me réjouir jusqu’ici d’avoir Jacques comme beau-frère, malgré son physique ingrat.
Allez, Fernando, fais pas le discret…. je t’ai reconnu !
L’enseignement du grec et du latin dans l’enseignement secondaire, c’est bidon, et ça ne date pas d’hier. C’est à l’Université qu’est la place de l’étude de ces langues, pas avant et pas ailleurs.
Quittons nous sur un dernier fou-rire :
En consultant le lien « Appel pour un « Avertissement » obligatoire à publier bientôt en liminaire de la prochaine réédition de « Mein Kampf », on apprend qu’il existe un groupe « Initiative pour la Prévention de la Haine !
IPH….. On ne rit pas : danger mortel.
on apprend qu’il existe un groupe « Initiative pour la Prévention de la Haine !
IPH….. On ne rit pas : danger mortel. (JC)
Le problème est qu’il existe un groupe concurrent, « Initiative pour la Propagation de la Haine », dont le sigle est le même : IPH. A qui se fier ?
Ben mon colon, je vous souhaite un physique aussi « ingrat » que celui de Jacques Barozzi : grand, mince, élancé, large d’épaules, une figure avenante et un regard d’une douceur lointaine, teintée d’une once de mélancolie, sous ses lunettes noires. Un regard qui s’éclaire cependant, quand on arrive à le faire sourire…
« un physique aussi « ingrat » que celui de Jacques Barozzi : grand, mince, élancé, large d’épaules, une figure avenante et un regard d’une douceur lointaine, teintée d’une once de mélancolie, sous ses lunettes noires. Un regard qui s’éclaire cependant, quand on arrive à le faire sourire… »
– c’est vrai : il fait au moins, 1 mètre 60, qu’il est grand… !
– son regard teinté sous ses lunettes noires, j’adore … !
Jaaackyyyyyy …. !!!!!!
Nananère.
Tout le monde ne peut pas être un vieillard mou, cacochyme et valétudinaire !
un grand écrivain a dit : « il y a des vulgarités qui retiennent »… j’ajoute, on lisant Benito JC dit le Fourbe
Sur ce qu’il faut penser des humanités classiques, il y a belle lurette que Georges Darien a dit l’essentiel, dans « Le Voleur ». Par exemple :
J’exécute le programme, très consciencieusement. D’abord, parce que je ne veux pas être puni. Les pensums sont ridicules, désagréables ; et je cherche avant tout à ne pas me laisser exaspérer par les injustices maladives d’un cuistre auquel j’aurai fourni un jour l’occasion de m’infliger un châtiment, mérité peut-être, et qui s’acharnera contre moi. Je tiens à n’avoir point de haine pour mes professeurs ; car je ne suis pas comme beaucoup d’autres enfants qui, abrutis par la discipline scolaire, n’ont de respect que pour les gens qui leur font du mal. Ces gens-là, je ne pourrais jamais les vénérer, jamais — et je préfère garder à leur égard, sans aller plus loin, des sentiments inexprimés.
Ensuite, ce n’est pas désagréable d’exécuter un programme, lorsqu’on le sait grotesque. Quand on a cette certitude, on éprouve quelque jouissance à travailler ; sans aucun enthousiasme, bien entendu, mais avec pas mal d’ironie. J’apprends donc cette Histoire des Morts — tout ça, c’est les procès verbaux des vieilles Morgues — cette Histoire des Morts qu’on nous enseigne en dédain des Actes des Vivants — comme on nous condamne à la gymnastique affaiblissante en haine du travail manuel qui fortifie. — J’interprète en un français pédantesque les œuvres d’auteurs grecs et latins dont les traductions excellentes se vendent pour rien, sur les quais. Je prends des notes sans nombre à des cours où l’on me récite avec conviction le contenu des livres que j’ai dans mon pupitre. Et je salis beaucoup de papier, et je gâche beaucoup d’encre pour faire, du contenu de volumes généralement consciencieux et qu’on trouve partout, des manuscrits ridicules.
Je me le demande souvent : à quoi sert, dans une pareille méthode d’enseignement, la découverte de l’imprimerie ?
Ce serait trop simple, sans doute, de nous apprendre uniquement ce qu’il est indispensable de savoir aujourd’hui : les langues vivantes, et de nous laisser nous instruire nous-mêmes en lisant les livres qui nous plairaient, et comme il nous plairait… Qu’est-ce que je saurai, quand je sortirai du collège, moi qui ne serai pas riche, moi qu’on vole pendant que je traduis le De officiis, moi qui dépense ici, inutilement, de l’argent dont j’aurai tant besoin, bientôt ? Qu’est-ce que je connaîtrai de l’existence, de cette existence qu’il me faudra conquérir, seul, jour par jour et pied à pied ? Ah ! si j’étais encore riche, seulement ! Je suis épouvanté de mon isolement et de mon impuissance…
On élève mon esprit, cependant. Je me laisse faire. Je porte le lourd spondée à bras tendu et je fais cascader le dactyle dansant. Je m’imprègne des grandes leçons morales que nous légua la sagesse antique. Le livre de la science, qu’on m’entr’ouvre très peu, afin de ne point m’éblouir, m’émerveille. Et la haute signification des faits historiques ne m’échappe pas le moins du monde. J’assiste avec une satisfaction visible à la ruine de Carthage ; je comprends que la fin de l’autonomie grecque, bien que déplorable, fut méritée. J’applaudis, comme il convient, à la victoire de Cicéron sur Catilina ; et aussi au triomphe de César. L’empire Romain s’établit, à ma grande joie ; c’était nécessaire ; « et Jésus-Christ vient au monde. » Pourtant, il faut être juste : les invasions des Barbares ont eu du bon ; pourquoi pas ? Quant aux Anglais, je sais que trois voix crieront éternellement contre eux, et que c’est fort heureux que Jeanne d’Arc les ait chassés de France. Je vois clairement que la destinée des Empires tient à un grain de sable ; que la Révolution française fut un grand mouvement libérateur, mais qu’il faut néanmoins en blâmer les excès… Poésie de faussaires ; science d’apprentis teinturiers ; géographie de collecteurs de taxes ; histoire de sergents recruteurs ; chronologie de fabricants d’almanachs…
On forme mon goût, aussi. Je vénère Horace, « qu’on aime à lire dans un bois » ; et Homère, « jeune encor de gloire. » J’estime fort Raphaël pour les Loges du Vatican, que j’ignore ; Michel-Ange, pour le Jugement Dernier, que je n’ai jamais vu. Boileau a mon admiration ; et Malherbe, qui vint enfin. Je sais que Molière est supérieur à Shakespeare et que si les Français n’ont pas de poème épique, c’est la faute à Voltaire. Je distingue soigneusement entre Bossuet, qui était un aigle, et Fénelon, qui fut un cygne. Plumages !… J’honore Franklin.
Je vis en vieillard…
« Un regard qui s’éclaire cependant, quand on arrive à le faire sourire… » (Barozzi vu par Clopine)
Et quel amant ! Un rostre à défoncer un taureau, au dire de sa sœur.
Passou, le discours de John « Garp » Irving, dans sa version anglaise, publiée par le Globe and Mail de Toronto:
http://www.theglobeandmail.com/arts/books-and-media/john-irvings-eulogy-for-gunter-grass/article24329937/
Il s’agit bien de John Irving, pas du sinistre historien pro-nazi & mosleyite David Irving, incarnation par excellence de la forme progressive tronquée.
L’absence de TKT se fait cruellement sentir. Son point de vue nous éclairerait beaucoup. Nous avons Bloom, c’est déjà bien, mais deux sons de cloche valent mieux qu’un.
On dirait bien que le malheureux sujet est épuisé flasque comme un bouskachi…
@ Christiane : L’homme qui aimait les arbres (film) de Jean Giono
http://www.youtube/watch?=n5RmEWp-Lsk
J.-M. Le Perv dit: 11 mai 2015 à 15 h 05 min
Je vis en vieillard
———————
En vieux schnock, tu veux dire. Ça, on avait compris !
…
…il y a des situations improvisées, ou mon âge à bientôt,…65 ans,!…
…est compte à rebours, & maigrir, direction à mes 65 kg,!…jeunesse, vitalité, et esprit d’à propos,!…
…se retrouver avec une meilleure généalogie de son vivant,…
…redevenir,!…soi-même,!…etc,!…
…
…
…je me suis trompé,…bientôt » 64 ans « ,!…
…né en 1951,!…of course,!…Ah,!Ah,!…
…
@jmlp 15.05 Excellentissime Darien;magnifique « Voleur »;que voilà une vraie, bonne et belle idée de rappeler ce caustique « personnage » à travers ce passage subtilement,finement et ironiquement lettré.
Erinnern Sie sich an den jüdischen Spielzeughändler in « Die Blechtrommel »? Er heißt Sigismund Markus und wird von den Nazis gezwungen, Selbstmord zu begehen. Als der Spielzeughändler stirbt, weiß der kleine Oskar, dass der Tag näher rückt, an dem er seine letzte Blechtrommel in Händen hält. Oskar trauert – nicht nur um sich, sondern um den armen Markus, und um ein Deutschland, das sich für immer an seinen Juden schuldig gemacht hat.
Das sind Oskars Worte: « Es war einmal ein Spielzeughändler, der hieß Markus und nahm mit sich alles Spielzeug aus dieser Welt. »
Ich weiß, wie sich Oskar fühlt. Günter Grass war der König der Spielzeughändler. Jetzt hat er uns verlassen und alles Spielzeug aus dieser Welt mitgenommen.
Vielen Dank.
____________
Mouiais…!
Comme n’importe qui (enfin presque) dit: 11 mai 2015 à 17 h 19 min
la délation choisie avec entourage anonyme
Houi mais faudrait déjà s’intéresser à ce que font les gens ! Enfin on peut toujours raconter, inventer… Mais si la réalité dépasse la miction ? Euh non…
Et puis en Lorraine question délation on a affaire à forte partie ! Collabo-pro, ils sont, depuis deux millénaires… Un coup le roi un coup l’empereur !
Ha c’est gothique…
Version anglaise de l’allemand plus bas
« Do you remember the Jewish toy merchant in The Tin Drum? His name is Sigismund Markus, and the Nazis force him to kill himself. When the toy merchant dies, little Oskar knows the day is coming when he will see his last tin drum. Oskar mourns – not only for himself but for poor Markus, and for a Germany forever guilty for its Jews.
Here is what Oskar says: “There was once a toy merchant, his name was Markus, and he took all the toys in the world away with him out of this world.”
I know how Oskar feels. Günter Grass was the king of the toy merchants. Now he has left us, and he took all the toys in the world away. »
Là c’est la phase après le point Godwin, mais vraiment énormément bien après à des parsecs, celle où y a plus personne qui s’engueule… Finalement on est un labo, quoi ! Comme l’émission de téloche avec des blondes dans des caches…
Comme n’importe qui (enfin presque) dit: 11 mai 2015 à 18 h 21 min
Saatchi&Saatchi ? à voir la variété des bouquins
Ben y a Ferdine mais il en a écrit plusieurs, hein ! I faut pas croire qu’il a hécrit qu’une seule phrase comme le collègue de Meursault chapeau bas… C’est dense, strié, défoncé comme une aquarelle qui s’obstine ! Hon pourrait presque le mettre en Pléiade…
Mais alors Saatchi c’est un des premiers titres que j’ai pris au RM, à l’époque ; et tous les jours dans le train je regardais, ça faisait que dégueuler ! Le lendemain, pareil ! Tous les jours même du Seigneur comme Rachel ça tombait encore plus bas… Je sais pas si ça a terminé à un franc comme les Goupil !
« Sur ce qu’il faut penser des humanités classiques, il y a belle lurette que Georges Darien a dit l’essentiel, dans « Le Voleur ». Par exemple : »
Le Pervers, le texte de Darien est un magnifique plaidoyer en faveur des humanités classiques! Il est évident qu’il n’aurait pas été capable d’écrire un texte aussi dense et sophistiqué sans une solide culture classique.
Quant aux traductions évoquées par Darien, bien sûr que je lis Homère ou Lucrèce en traduction, comme sans doute 99% de leurs lecteurs, mais si personne n’est en contact avec les langues d’origine dès le collège (et de façon sérieuse), comment espérer que se dégagent des cohortes suffisantes d’amateurs et d’érudits qui continueront à creuser et faire vivre ces textes.
Même Le Pervers devrait pouvoir comprendre qu’un français ne peut pas avoir le même rapport avec le latin et le grec qu’avec le sanscrit ou l’égyptien ancien.
« Version anglaise de l’allemand plus bas »
Qui s’y colle pour donner une version française à Clopine?
@Sirius18h55 .Grand merci à vous Sirius d’être en parfait accord avec mon post de 17h20.Lola Sirio salutem dat.
ça tombait encore plus bas »=> si vous voulez dire l’à propos des commentaires, je suis d’accord,et je n’en envoie pas un
Jacounet est passé de l’éléphant au cheval .
On ne sait pas pourquoi ..
Non non ça personne ne sait en fait vaiment au fond
nombrux ceux qui ont étudié le latin et le grec -le parlaient même!-avant l’âge de l’université aujourd’hui ;il ne faut pas abuser
nombreux
je me semandais si les commentateurs étaient gagnés par la frénésie de l’inceste du métier pour être aussi out
demandais
ça peut être le gus qui change de studio !
En fait, Sergio, M.Coppey ne joue pas au yoyo.
Non.
C’est moi, heu .. enfin .. qui l’ai écouté sur France musique et qui ai parlé de France cult.
Bon, il faut dire que je venais d’écouter, avant, sur France cult’, plusieurs émissions qui, que, en raison de la longue grève … m’avaient échappé.
Bref.
Coppey, pas mal du tout.
Qui n’hésite pas à un jeu un rien rugueux ..
à écouter:
c’est des types genre les Fourmis, eux.
…Vous avez raison, cher Pierre Assouline : le Journal du malheureux Jacques Brenner ne supporte pas la comparaison avec celui, par exemple, de son confrère Matthieu Galey. Mais ce qui est encore plus consternant c’est le travail éditorial : notes infrapaginales bâclées, incomplètes et fautives ; nombreuses erreurs dans les patronymes, etc. Déplorable, ce qui n’enlève rien aux autres mérites de Claude Durand.
Widergänger dit: 11 mai 2015 à 17 h 12 min
J.-M. Le Perv dit: 11 mai 2015 à 15 h 05 min
Je vis en vieillard
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En vieux schnock, tu veux dire. Ça, on avait compris !
Y a des vieux schnocks, les vieux branleurs et puis les vieux perroquets !
Un rien rugueux, Daaphnée ? Bon sang, vous avez pourtant sûrment écouté Rostropovitch dans le même exercice…
Bon sang, je sais que vous allez mal le prendre, me retirer toute légitimité etc. M’enfin. Faudrait quand même m’expliquer. C’est pas le tout d’être jeune, beau gosse, pleine face caméra, soupir appuyé juste avant de poser l’archet, tout ça pour sortir des sons aussi… Comment dire ? Etriqués, voilà, c’est cela que je cherchais.
Le vieux maître, lui, sur le même you tube, s’efface derrière son instrument. Pas de longue pause, pas de longues poses. Il attaque. Et le son se déploie, magnifique, ample, moiré…
« un rien rugueux », oui. Honnêtement, Daaphnée (si vous êtes capable d’honnêteté), qui, du vieil homme ou de l’enfant, continuera longtemps d’exister ?
Le Pervers, le texte de Darien est un magnifique plaidoyer en faveur des humanités classiques! Il est évident qu’il n’aurait pas été capable d’écrire un texte aussi dense et sophistiqué sans une solide culture classique. (Sirius)
C’est surtout la maîtrise de sa propre langue qui permet à Darien d’écrire ce texte en effet magnifique. Le temps perdu au collège et au lycée à l’étude du latin et du grec n’y est pour rien. Il a raison d’en dénoncer — avec quelle ironie féroce — l’inutilité. Les spécialistes capables de faire vivre la culture gréco-latine et d’en approfondir l’étude peuvent très bien se former dans le cadre de l’Université. Du reste, dans combien de collèges et de lycée l’enseignement des langues anciennes survit-il aujourd’hui ? Il n’est plus guère que le privilège désuet de quelques établissements situés dans les quartiers bourgeois des grandes villes. Finissons-en définitivement avec un enseignement qui coûte cher à l’Etat et ne rapporte à peu près rien à la collectivité.
La défense du grec et du latin est un combat d’arrière-garde qui ne concerne plus guère qu’une poignée d’attardés, dont les enseignants chargés d’enseigner ces matières. Il serait aisé d’intimider ces gens; quelques actions ciblées, ayant valeur d’exemples, y suffiraient.
On voit pas comment il pourrait coûter cher à l’Etat s’il n’est enseigné que dans quelques établissements huppés…
Ah, il est comique, notre Pervers ! Avec lui, on se croirait dans quelque film des années 50 au bar tabac du coin entre franchouillards qui discutent le bout de gras… sans rien savoir de quoi qu’ça cause…
Il serait aisé d’intimider ces gens; quelques actions ciblées, ayant valeur d’exemples, y suffiraient. (le Pervers)
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On sent qu’il va monter son armée secrète : les Pieds nickelés contre César !
Comme n’importe qui (enfin presque) dit: 11 mai 2015 à 19 h 54 min
Il est tout de même marrant le Sergio avec sa pub laborieuse pour qui n’en a pas besoin.
C’est passque je peux pas mettre mon URL, le lien sur mon blog normalement ; il a dû atterrir en liste noire par je ne sais quel sortilège, mécanique trop compliquée à la merci des erreurs de manipulations des modos etc. ; si je le mets, normalement, le post passe pas no pasaran !
Mais c’est pas grave, si c’est vraiment trop casse-couilles pour la docte compagnie, je le virerai au goulp ! A la trappe du père Ubu…
Avant Le voleur de Georges Darien il y avait eu la trilogie de Jacques Vingtras par Jules Valles dédicacée a tous ceux qui nourris de latin et de grec sont morts de faim !
Daaphnée dit: 11 mai 2015 à 20 h 15 min
en raison de la longue grève
Mais les grèves c’est bien ! Sans quoi les Shadoks seraient restés ad aeternum dans les tréfonds de l’oubli pire que le cardinal de la Balue… Publiés à la Pensée Universelle !
Bien des chefs d’établissements secondaires appliquent discrètement mais efficacement depuis des années les consignes rectorales visant à évacuer en douceur le grec et le latin de la liste des enseignements proposés. De nombreux collèges et lycées en sont aujourd’hui définitivement purgés. Les enseignants concernés assurent un peu plus d’heures de français et ce n’est pas plus mal.Il est exceptionnel que cette politique menée au coup par coup ait fait des vagues. La réforme proposée va dans le bon sens, celui d’une liquidation globale définitive, mais bien timidement.
« C’est surtout la maîtrise de sa propre langue qui permet à Darien d’écrire ce texte en effet magnifique. Le temps perdu au collège et au lycée à l’étude du latin et du grec n’y est pour rien. Il a raison d’en dénoncer — avec quelle ironie féroce — l’inutilité. » (Le Pervers).
La « maîtrise de sa propre langue » est évidemment passée par la connaissance approfondie des grands auteurs, eux-mêmes imprégnés de langues anciennes. Baudelaire et Rimbaud connaissaient parfaitement le latin, l’écrivaient couramment, Est-ce un hasard? Est-ce un hasard si la prose (oui la prose) de Baudelaire est d’une si incroyable perfection?
Si le latin et le grec sont confinés à l’université, ils seront l’apanage de quelques érudits (comme le sanscrit, le pâli ou l’épigraphie égyptienne) qui ne les connaîtront jamais aussi à fond que s’ils les avaient pratiqués dès le collège. Or, je me répète, puisque Le Pervers fait semblant de ne pas comprendre, il y a une généalogie des langues et des cultures et, pour nous, elle inclut le latin et le grec.
Mais il est vrai qu’il s’en fout complètement puisqu’il a dit plus d’une fois qu’il voulait jeter par-dessus bord la langue et la culture françaises traditionnelles.
le Jocrisse et l’intubé dit: 11 mai 2015 à 22 h 27 min
s’efface derrière son instrument
Pourquoi ? Faut pas se dégonfler ! Si la partition est pas bonne on la refait discrétos… C’est ça la création d’entreprise !
La réforme proposée va dans le bon sens, celui d’une liquidation globale définitive, mais bien timidement. (moi)
On lira avec profit le rapport de l’Inspection générale intitulé « L’enseignement des langues et cultures de l’antiquité dans le second degré » qui étudie le processus et les procédures de liquidation de cet enseignement actuellement à l’oeuvre avec succès. L’expérience montre qu’on ne vient pas à bout sans difficultés ni patience d’archaïsmes invétérés tel que celui-là, surtout dans des structures aussi rigides que celles de l’Education nationale.
Demain je mangerai des maras des bois quoi riment avec je sais plus quoi.
Comme n’importe qui (enfin presque) dit: 11 mai 2015 à 23 h 17 min
de manière un peu moins pétaradante
Ca c’est l’avance à l’allumage ! Sûr et certain… Après faut quand même vérifier le jeu aux soupapes…
Si le latin et le grec sont confinés à l’université, ils seront l’apanage de quelques érudits (comme le sanscrit, le pâli ou l’épigraphie égyptienne) qui ne les connaîtront jamais aussi à fond que s’ils les avaient pratiqués dès le collège. (Sirius)
Bien sûr que si. C’est une question de motivation et d’organisation. Sirius fait l’éloge d’un modèle d’enseignement des humanités qui a dû connaître son heure de gloire dans les collèges de Jésuites d’avant 1789. Il conviendra certainement que ce modèle a fait son temps, de même que la bonne vieille culture frantsouèze d’arrière-grand-papa. Nos jeunes ont besoin d’autres nourritures, surtout les jeunes issus de l’immigration, de plus en plus nombreux, et qui seront la France de demain, une France probablement rebaptisée, et où les futurs Charles Baudelaire s’appelleront Mohammed ou Mounir et parleront un dialecte fortement teinté d’arabe. Ce n’est donc pas à ces jeunes gens de s’adapter à des contenus culturels dépassés, c’est à nous de comprendre leurs aspirations et d’y répondre. Une saine compréhension de l’avenir le veut ainsi.
Une saine compréhension de l’avenir le veut ainsi. (moi)
Poussons, poussons l’escarpoletteuh…
…
…moi, je vois, que les gouvernements actuels,…c’est de la pure m.rde,!…
…
…et terrorisent, chacun, leurs peuples,!…
…
…si c’est pas le mariage gays, c’est la suppression du latin grec, primeur,!…de notre humanisme,!…
…ridicule,!…à côté des offshores leack,…
…autant, apprendre le juif-mondial,…à quatre pattes,!…lèche,!…mon chien,!…de maître,!…de sale cabot,!…
…
…résumé,…d’un coup de marteau de Vulcain,!…le son vibre encore,!…
…c’est l’écho des chaînes brisées, dans la foie à nos privilèges des libertés,!…
…
…à nos présidents, croque-morts de nos Bourses,!…c’est l’économie des chiens en redingotes,!…
…Ah,!Ah,!…Bip,!Bip,!…Go,!…etc,!…
…
…
…je me suis rejouer, mes variations de thé,!…exquis,!…avec 1 sucre,!…chaque fois,…j’ai osé,!…
…une fois n’est pas coutume,!…un rien, en plus, pour la ligne à silhouette,!…etc,!…
…
DEUX NOUVELLES EXCEPTIONNELLES ET UNE CONCLUSION
– Conseils politiques : notre Pharaon a rencontré la Momie cubaine !
– Satisfactions : la courbe du chômage continue sa progression, le flicage règne !
– Conclusion : la FRANCE sur le chemin de CUBA … Courage, fuyons !
Le vivre-ensemble en IDF ? Ma kalach et moi …
Christian Bourgeois, qui a sorti la troisième édition du « Livre de l’intranquillité de Fernando Pessoa, peut remercier la traductrice Françoise LAYE : le lecteur plonge avec délices dans un texte d’une grande pureté…
Evidemment Pëssoa n’est pas Reinhardt, et ça se sent.
….Personne n’est parfait.
Revu hier soir une passionnante émission littéraire avec Lévi-Strauss, Le Clézio, Éribon & Tom Wolfe.
Lévi-Strauss, à propos de ses activités de Conseiller culturel à Washington » À Manhattan, hors Harlem, le seul lieu où il était possible de diner avec des diplomates noirs était le Waldorf Astoria. On téléphonait au maitre d’hôtel, qui installait discrètement un paravent. »
C’était en 1946-47.
Ahaha ! Un paravent …! Génial… c’était le bon temps : hélas le CRAN est venu et à remplacé le KKK… Tout fout le camp !
« Baisse des actes homophobes en France après la poussée de fièvre liée au mariage hollandais pour tous et son éclatant rôle révélateur. »
Dieu sait que nous faisons tout notre possible pour attaquer les fiottes solitaires et leur claquer la gueule, nous autres les Templiers de Baphomet, afin de rétablir la vérité éclatante de pureté : l’acte de sodomie est impur, la zoophilie aussi …
Un homme, une femme, un enfant… !
Raccourci révolutionnaire : la Maitresse des Cols.
Ouais ben pour les leçons que vous répétez, vous pourrez toujours repasser…
Nan mais je reviens pour un truc trop drôle vraiment, un tweet pondu à l’instant:
« Obama aurait menti à propos de la mort de Ben Laden selon #SeymourHersh. Qu’en pensez-vous? »
Franchement ça fait tout de même un peu « racontez-moi vos fantasmes » dans la rubrique docteur sexe chez cosmo…
…
…ne pas désiré la femme d’un autre,!…très bien,!…
…en, plus, la votre de promise, vérifié sa virginité vous même,!…
…apprenez lui,!…à vivre déjà, pour vous exclusivement,!…
…sans aucun écart » dis » professionnel,!…cure de jouvence, massage, spéculum,!…
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…et, alors ce godemichet,…il vibre bien,!…un crayon conté, un bic,!…la liste,!…etc,!…
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De gonzesse dressée sur mon chemin…
sexiste en plus. Pas de caméra? vous vivez dangereusement! On n’a pas le droit mais on le fait, la devise des voyous.
« …et, alors ce godemichet,…il vibre bien,!… » (Gianni l’Amoroso)
Soyez prudents ! N’achetez jamais un gode AIRBUS …
Faites confiance à notre godemichet fait main sur des plans approuvés par les sommités scientifiques les plus hautes, Heisenberg, Einstein, Turing, Marie Curie, Clopine d’ours, Cécile Duflot, notre gode est éprouvé, magnifique, dédicacé par le Patron lui-même…
En vente dans tous les bonnes boutiques du Vatican, utilisé dans les meilleurs couvents… le grand, le seul, le vrai : le gode BOUGUEREAU, c’est ce qu’il vous faut !
Appel pour un « Avertissement » obligatoire à publier bientôt en liminaire de la prochaine réédition de « Mein Kampf ».
Tout dépend de ce que contiendrait cet avertissement. Il convient de se méfier. Attention aussi à la collection qui accueillerait l’ouvrage : selon qu’il serait publié dans « la Librairie du XXIe siècle » ou dans « L’Imaginaire », l’idée que s’en ferait le public ne serait pas la même.
» D’une façon générale, on peut distinguer en Europe trois formes de tristesse : russe, portugaise et hongroise. » Cioran.
Une honte! Rien pour la France.
Sauf erreur, Baudelaire et Rimbaud n’ont pas été éduqués dans des collèges jésuites d’avant 1789…
Le Pervers en rajoute l’aigreur auto destructrice.
Comme JC à l’autre bout de l’échiquier politique, il teste la résistance de l’adversaire à la provocation. Mais il est beaucoup moins drôle que JC.
Pour ma part, j’en reste là.
Le Pervers en rajoute dans l’aigreur auto destructrice.
JC le mieux, le must, le top longue portée: l’ogive russe, la plus puissante et chargeable à tête nucléaire. Avec ça, nous voilà rassurés sans même entrevoir le reste de l’arsenal. Pas étonnant qu’il soit recommandable d’y trouver financement, ils font autorité.
Bérénice, notre inconscience franzouzesque nous interdit la tristesse : nous sommes spécialistes mondiaux de la catastrophe joyeuse et pérenne …
Appel pour un « Avertissement » obligatoire à publier bientôt en liminaire de la prochaine réédition de « Mein Kampf ».
En ce qui concerne « Mein Kampf », l’édition française aura fait preuve d’une frilosité commercialement improductive. Qu’on imagine un instant l’ouvrage figurant au catalogue de la défunte Bibliothèque Verte, entre « Les enfants du capitaine Grant » et « Trois hommes dans un bateau ». Ou en feuilleton, dans « la Semaine de Suzette ». Sur le marché de l’occasion, sa cote atteindrait certainement des sommets.
Appel pour un « Avertissement » obligatoire à publier bientôt en liminaire de la prochaine réédition de « Mein Kampf ».
Ce n’est pas inutile. De jeunes lecteurs pourraient qu’il s’agit de l’autobiographie posthume de Günter Grass.
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…calmé vous, je pense pour moi,!…je suis éternellement très, très exigeant,!…
…et, plus encore, trop exigeant pour moi,!…et j’aime çà,!…
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…le reste,!…forniquez vous le monde, je m’en fout,!…mais,! si,!…
…Oh,! la vache, pour nous tailler un steak,!…quoi d’autre,!…
…les lémuriens aux arbres,!…etc,!…
…mon nouveau papa,!…je chie dessus,!…Ah,!Ah,!…au dodo,!…à thé,!…
…etc,!…
Vous devriez applaudir, on propose du livre neuf pour un lectorat renouvelé, pas un survivant ou presque ne pourra contrarier sa lecture, un avertissement ça s’escamote commodément en dépit de l’obligation de l’y joindre par précaution éthique et pédagogique.
De jeunes lecteurs ?! Allons Jambrun ! Allons…. Il n’y a plus de jeunes lecteurs !
Il reste seulement quelques adultes, quelques vieilles, accrochés à d’antiques formations auto-bloquantes intellectuellement, une vieille élite d’enlumineurs de mouches, une confrérie des gagas de la Pléiade, des écrivaillons de boudoir jamais aérés, des critiques de salon zombies, des journalistes littéraires parfaitement dressés à être niais…
Les jeunes, eux, baisent hardiment comme lapins en clapier et nous font de beaux successeurs, dodus et charnus !
des critiques de salon zombies, des journalistes littéraires parfaitement dressés à être niais… (JC)
Ce n’est ps faux, hélas, ce n’est pas faux. Vous songez peut-être à Piotr Crassouline ? Ou à Emmanuel Tassoupline-Patchouline ?
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…à chacun, son plat farcis de maquereaux,!…
…non, merci,!…
…à chacun sa poule vierge au pot,!…au champs libre,!…etc,!…
…non édulcorée, de dogmes de trainées du bon Secours colonial,!…
…etc,!…
Jambrun, moi qui admirait les quelques vertus qui vous firent séduire sans coup férir celle que j’aimais en secret, votre Josette ! Quels propos vous tenez là…
Messire Passou de Drouant est ce qui se fait de mieux dans le domaine de la critique. Un centaure, un aigle, un hercule, un maciste de l’écrit, et, vous … protégé par des lois républicano-taubiresques n’ayant plus rien de naturel, vous … « petite souris folichonne » vous agressez notre Raminagrobis impérial et magnanime !
Honte cubaine sur vous, esclave de vos erreurs funestes, aveugle haineux… !
sexiste en plus. Pas de caméra? vous vivez dangereusement!
La liberté avec police, preuves, contrôle des labyrinthes, chiottes voir même intérieur intime vous la revendiquez timidement mais quand même…
je ne suis pas du bâtiment toutefois vous devriez faire attention, ça ne se fait pas d’utiliser n’importe quoi type provocation utile à sa propre publicité, cherchez, la force de l’argument réside en sa pertinence légale si possible. Vous cultivez la hargne démagogique, un trait de famille vraisemblablement, la fin justifie les moyens.
Mon Dieu, bérénice, vous ne trouvez pas assez de gros lourds toute seule ? Vous avez tout ce qu’il faut à ce qu’il me semble…
13 ans de harcèlement précédés de je ne sais combien de temps d’insinuations en préparation de terrain, c’est vrai que vivre sans caméra ni micro embarqué est devenu dangereux. Mais on peut aussi se dire que tout le monde n’est pas atteint à ce stade au niveau désir…
Terrible infatigable évidence.
Perché sur votre hauteur vous ne devriez rencontrer aucun problème pour éclairer cette évidence qui ne l’est que pour vous. Regardez autour en Europe, il y des pays qui économiquement s’en tirent mieux en exploitant plus mais qui idéologiquement sont confrontés à la même réaction, rencontrant le même type de difficultés. Et si on construisait une grande muraille autour de l’espace Schengen, ça ferait repartir toutes sortes d’industrie, la garde militaire avec mirador nous rappellerait de bons souvenirs.
« France, pays du crime de la pensée. »
France : droit de l’homme
Caraïbes : boit du rhum
Cuba : fait son cinéma
9h38 à force de voyager dans le brouillard vous réussissez à faire disparaître toute cohérence à vos stations, élucubrations qui nécessiteraient éclaircissement si vous tenez à communiquer.
Pour finir, c’est Claude Durand qui nous salue martialement…. RIP, Claude !
cette évidence qui ne l’est que pour vous
Elle ne l’était pas, justement !!!
Benito JC ce matin : ouaf ouaf ouaf ouaf ouaf ouaf ouaf ouaf ouaf grrrrrrrrrrrrrr grrrrrrrrrrrrrr ouaf
Et je ne m’en réjouis pas !
9h31 surement avez vous cette expérience des poids lourds, visuellement ils n’éveillent aucun désir, peut-être ne suis-je pas assez tordue pour aimer l’obésité. Les maigres ne me disent rien non plus.
9h42: trop noc.
https://www.youtube.com/watch?v=yQ0csrxB5n4&index=7&list=RDg7h25iJwq1M
…
…Non,!…c’est pas pour dire,!…
…
…si vous avez la maitrise de l’art,…du niveau entre Van Gogh et Renoir à son l’ESTAQUE 1881,!…et mes dispositions graphistes modernes,!…
…Non,!…
…je dois me farcir, quelques nouveaux tableaux ( une première vingtaine ),…
…réserves cachées,!…
…Oui,!…être plus léger,!…un plus,!…
…productifs,!…
Le journal de Brenner aurait dû effectivement être relu mais il est inadmissible que celui de Camus ne trouve plus d’éditeurs. Durand n’est pas (seul) responsable. Galey aurait mérité d’avoir ses chroniques éditées plutôt que de décrire sa vie à la freddy mercury, certes lettrée.
…
…Oui,!…style l’ESTAQUE 1882,!…pour être précis,!…etc,!…
…
9h52 Dieudonné?
@J.-M. Le Perv dit: 12 mai 2015 à 9 h 14 min
Oh ! mais qu’est-ce qui vous prend ? C’est ça votre pensée ? Infâme !
j’aime beaucoup le fleuret de JC à ce propos.
et où les futurs Charles Baudelaire s’appelleront Mohammed ou Mounir et parleront un dialecte fortement teinté d’arabe.
Abouli bibolot d’inatiti sonore
10:40, Benito JC rebande
Nouveau violent séisme au Népal ressenti dans toute la région.
giulietta massina dit: 12 mai 2015 à 10 h 52 min
Comme chaque jour après ses prières d’espoir il est en train de lustrer son scooter rose
« Nouveau violent séisme au Népal ressenti dans toute la région. »
L’Himalaya a déjà perdu quelques centimètres
‘Ségolène Royal a salué «un bon coup diplomatique»’
C’est le contraire.
Il est évident qu’il devait parler affaires avec Raul C., et, s’il ne pouvait rencontrer l’opposition, se contenter de la rencontre avec l’archevêque.
En aucun cas faire une visite publique à Castro.
La photo n’est là que pour sa gloriole personnelle, et pour rehausser ses talonnettes en vue de sa réélection
(en politique intérieure je ne vaux rien, mais voyez ma stature mondiale).
Le moineau cubain :
– je vole ! voyez mes ailes !
Les oiseaux européens :
– on voit surtout ton culte, eh cronnard !
Dans « Libération de ce jour », un dossier sur la réforme du collège, avec une photo de Najat, plus belle que jamais, avec pour titre « Et si elle avait raison ? ». Egalité ou élitisme, faut-il choisir ?
C’est pas Najat mais Camba qui aurait dû être le ministre de l’éducation.
La réforme aurait eu la gueule qui lui convenait.
Touite
Avertissement pédagogique au lecteur de « Mein Kampf »
‘Pédagogique’ ne va pas.
C’est traiter le lecteur comme un enfant ( ‘pais’).
Et le grand enfant devient rétif.
Mettez ‘historique’, ça passera mieux.
Ce texte est accessible et traduit largement, mâ shâ Allah, ce qui peut faire douter l’efficacité de la mesure.
Mais je suis pour: quand elle servirait, dans quelques cas, à un gamin pour argumenter contre son papa, ou le papa contre son gamin, ce serait toujours ça.
douter l’efficacité > douter de l’efficacité
Lorsque vous aurez fait comme Zhu, 10 ans de laogai 劳改, ou comme moi 15 ans de goulag Главное управление лагерей, ou comme Jambrun 20 ans de cabaret…. vous comprendrez que nous exigeons le plus grand respect de ceux qui n’ont connu que les Jésuites.
J’ai vraiment envie de changer de style, pour ma technique.
Allez, de la gauche, va, de la gauche.
– Liftier…
– fourte modulation là, chef
– Combien voulez vous d’étrons, monsieur Cameron ?
– Je n’en veux aucun, monsieur Juncker… !
Rideau.
Postulez !…
Lorsque vous aurez fait comme
Ouais bon il y a aussi ceux qui vivaient dans les cartons de chaussures…
Encore un candidat pour se mesurer le temps de rémanence ? Au minimum une incruste et des porte-parole sont à disposition a priori…
Pour saluer Ananta Bijoy Das
Troisième blogueur « séculariste » à être descendu cette année au Bengla-Desh.
Son corps a été haché dans la rue à coup de machette.
Agé de 33 ans, il était le directeur d’un trimestriel appelé ‘Jukti’ (‘Logic’).
Bab dit: 12 mai 2015 à 10 h 45 min
Charles Baudelaire
Abouli bibolot d’inatiti sonore
C’est un blog littéraire, Ueda. Mallarmé s’est retourné dans sa tombe, vous nous faites honte.
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