de Pierre Assouline

en savoir plus

La République des livres
Pour saluer Gérard Rondeau

Pour saluer Gérard Rondeau

Quelque chose passe dans le tremblé de l’image. Ce n’est qu’une photo parmi d’autres mais dans ses livres et ses albums, elles ont toutes ou presque cette signature invisible, sa patte, sa personnalité, un peu de son esprit et de son âme comme il sied à un artiste. Plusieurs de ses images peuplent mon quotidien sur mes murs sur ma table. Avec d’autres, elles nous expliquent ce qui nous arrive mieux que nous ne saurions le faire. Le propre de l’art. C’était l’un des photographes les plus fins, élégants, généreux, attentifs et patients que j’ai croisés depuis que je me passionne pour la photo (ça m’a pris à l’âge de 16 ans et ça ne m’a jamais lâché). Il s’appelait Gérard Rondeau, il nous a quittés hier à 63 ans à la suite d’un cancer fulgurant. Un ami irremplaçable. Il est parti comme il vivait : discrètement.

Il avait tiré le portrait de nombre d’écrivains, de poètes, d’artistes, de musiciens et de penseurs en tous genres pour le compte du Monde – et pour d’autres aussi. Il était du genre à avoir besoin d’une commande pour se mettre en branle. Elle le stimulait. Après, c’était parti. Ses albums reflétaient fidèlement tant l’homme que son travail. Des livres édités avec un soin remarquable, qu’il s’agisse de la fabrication, de la conception, de la mise en page. Très fouillés sous des apparences de fouillis, des images dans tous les sens, des légendes manuscrites au feutre noir, un grain inoubliable, une qualité de noir, de gris et de blanc des plus rares, tout ça pour dire les rencontres d’un regard qui a un vrai goût des autres. Olivier Frébourg, un proche, propageait ses livres à l’enseigne des éditions des Equateurs.rondeau

J’y ai retrouvé au détour d’une page, comme échappés du chapitre, les différents Rondeau que j’avais entr’aperçus ces dernières années : la première fois d’abord à Sarajevo accrochant sa série sur les coulisses du Louvre aux cimaises d’un centre culturel, puis dans l’album splendide qu’il fit avec son ami Yves Gibeau sur les champs de bataille de la Grande guerre, un petit matin au Sélect alors que je lui faisais du coude pour qu’il prenne Jean-Pierre Léaud tout enchifrené qui s’était assis par hasard à notre table et parlait tout seul, une autre fois à dîner quelque part en province où je l’avais scandalisé en lui avouant mon peu d’enthousiasme pour le vin de Champagne, plus tard encore dans le visionnage compulsif du film incroyable qu’il a réalisé avec une patience inouïe sur son ami le peintre Rebeyrolle dans son atelier même ; car il fallait bien un espèce d’amitié pour décider l’ours à ouvrir son atelier à l’objectif et à se laisser regarder au travail ; le filmeur est si fin que tout en se mouvant dans le motif qu’est sa peinture même, l’artiste évoque l’influence du Louvre, de Delacroix, de Géricault, de Rubens, de Rembrandt, du Titien et du Tintoret ; il en parle en homme du bâtiment et c’est passionnant ; jamais dans l’indiscrétion, Rondeau nous entraînait au coeur du laboratoire des forces obscures, dans les ténèbres expressionnistes de Rebyrolle et c’était prodigieux : rarement un peintre a accepté qu’un oeil extérieur, fut-il complice, viole pendant tant d’années son intimité de créateur.(Vidéo 2000/RMN 84mn).

gerard-rondeau-sarajevo-janvier-1994-haute-defTous ces Rondeau se retrouvent derrière l’objectif pointé sur l’éclat de rire d’Eric Clapton et l’énigmatique couple de Boileau et Narcejac, le sculpteur Richard Serra en abominable Hulk et Weyergans paumé comme jamais, Gilbert et George naphtalinisés à souhait et Jacques Derrida derrière la vitre, Antonio Tabucchi les yeux grands fermés et Sami Frey ténébrissime tel que dans le journal, Bernard Frank en ses murmures dissimulé derrières ses mains et Jean-Paul Kauffmann avec qui il avait fraternellement remonté la Marne, Poirot-Delpech à toute vitesse sous la coupole et Frédéric Dard au bord des larmes, Music dans le prolongement du personnage de son tableau et André Dhôtel en fantôme de lui-même. Il avait exposé aux Galeries Nationales du Grand Palais à Paris, à la National Gallery de Jakarta, à la Maison Européenne de la Photographie à Paris, au Festival de la Luz à Buenos-Aires, au Musée de l’Élysée à Lausanne, au Martin-Gropius-Bau à Berlin, mais aussi à Istanbul, New York, Sarajevo et Rome

Dans son art photographique, la curiosité était son guide, avec une profonde empathie, le reste n’étant que technique. Jamais de recadrage, dents du négatif apparentes ou bords peints en noir au risque du procédé, l’esprit de finesse à la rencontre de l’esprit de géométrie, que du noir et blanc bien charbonneux et profond d’un grain exceptionnel.  Il avait fait sienne l’une des phrases de l’écrivain du Grand Jeu, Roger Gilbert Lecomte, dont il se sentait si proche :

« Regarder à se crever les yeux, à éclater le crâne, avec les yeux de derrière les yeux, de derrière la tête, comme un aveugle avec un grand cri lumineux. »

Gérard Rondeau ne trichait pas. C’était quelqu’un de rare, pudique, élégant en toutes choses. J’ai passé une grande partie de la nuit assis à regarder ses photos. A l’aube, je n’en étais pas vraiment sorti. Ses personnages me poursuivent. Silhouettes, regards, lumières : tout un monde, son univers, sa sensibilité, son héritage. Tant qu’on les regardera, ils vivront.

(Photos de Gérard Rondeau extraites de son site)

x600x337_mea_gerard_rondeau-jpg-pagespeed-ic-0epjdalmvh

Cette entrée a été publiée dans arts.

820

commentaires

820 Réponses pour Pour saluer Gérard Rondeau

D. dit: à

Je ne vous ai pas beaucoup entendu sur le monochrome et là couleur, Bérénife.
Vous vous en foutez, c’est ça ?

bérénice dit: à

Un colonel est un dessert glacé composé traditionnellement d’un sorbet citron arrosé de vodka.

D. dit: à

Le journal de France 2, ce n’est pas grand-chose, j’y suis passé pas loin de dix fois, toujours le soir. Une fois ça a duré 11 minutes, on ne voulait pas me lâcher.

bérénice dit: à

D, du tout mais je ne suis guère théoricienne, le noir et blanc est une abstraction qui joue avec les lumières et l’échelle qui va du blanc au noir avec tout un nuancier de gris à laquelle il faut ajouter un talent pour les contrastes. La couleur est un avantage qui tire le photographe vers le cadre, l’image, la composition.

JC..... dit: à

Tout le monde se fout que l’on détruise la maison natale de notre cher Dolfie, ou celle de Bloomie le Leon des congés payés, ou celle de Montaigne, où Palmyre …

Versailles ? Notre Dame de Paris ? L’esplanade des mosquées ? GO ! ….

« Tout cède et rien ne tient bon » disait Benoit Hamon avant son malaise gagal…

D. dit: à

La prochaine fois, j’y emmènerai mon confrère Jacques B., pour lui donner un coup de pouce.

Annelise dit: à

Pierre Assouline passe à la fin du journal de 13h sur France 2 ce jour. Mais oui, votre Passou himself.

bérénice dit: à

D 13h10 Le journaliste était-il du genre féminin ou masculin? Vous êtes tellement beau , si j’avais été là je me serais jointe au mouvement pour un autographe , une invitation, un 50 mètres dans la piscine de votre choix, vous êtes toujours maître-nageur à l’Isle-Adam ?

JC..... dit: à

Annelise, vous devriez avoir honte ….

berguenzinc dit: à

on tombe dans le degré zéro de la niaiserie…..han han, superbeau, le keum….wesh !!!
affligeant. Et l’autre Superpastis qui continue à blobloter ses trucs de beauf…

Je prends un bon bol d’air. Je m’emmargeride un peu. Et je vous laisse vous pâmer sur ahque les beaux maîtres nageurs. On dirait du Boris Vian. Sans le génie, évidemment.

bérénice dit: à

Avant lui, tomates, araires, hommes masqués de métal, le jasmin,

JC..... dit: à

Tire toi, vieux fou ! tu nous ennuies …. pesamment.

bérénice dit: à

. Je m’emmargeride un peu.

C’est quoi ta bagnole?

la vie dans les bois dit: à

merci Chantal, le journal télé du jour dit tout sur la récolte des tomates. Maintenant pour apprendre à les lancer, faut s’exercer!

Annelise dit: à

Pas de scène en public, JC. C’est le pacte. Put the blame on me sur RdC uniquement. Je n’avais pas vu que Chantal avait été plus prompte, quel œil. PA un peu tout désigné pour un dictionnaire amoureux des écrivains ! Ciao.

bérénice dit: à

Berguenzinc, il ne sert à rien de gesticuler au milieu du grand Causse, l’inversion des valeurs est en route, aussi, voulais-je m’assurer de la qualité de vote conduite.

bérénice dit: à

Voilà Pierre!!!!!

Jibé dit: à

Qu’il s’agit, qu’il s’agit,… enfin Passou !
Deux des trois livres cités ont déjà fait l’objet d’un papier ici. Vous gardiez le meilleur pour la fin ?

Jibé dit: à

L’exofiction, ça lui a passé au-dessus des oreilles à la mignonne présentatrice !

Jibé dit: à

Annelise, merci pour l’info, mais au boulot, on attend une nouvelle page !

chantal dit: à

deux livres qui font peur brrr, je termine mon pamplemousse, c’était chouette Toni Erdman, merci Annelise ;).

bérénice dit: à

Chantal, mangez-vous ce fruit pour la beauté du mot prononcé a capella ou pour sa saveur, les deux peut-être?

D. dit: à

pfff…n’importe quoi, Berénice.
Si c’est pour répondre ça, ne vous fatiguez plus.

D. dit: à

Bon, Berguezinc est enfin parti. Espérons qu’il ne revienne pas. Je trouve qu’il met une mauvaise ambiance. Lui et JC, on dirait la Callas et Onassis.

chantal dit: à

bérénice c’est les deux, j’aime la fraîcheur qui éclabousse, il fait encore très beau dans le nord, un été indien.

arthur rimbaud en couverture du dico, la tête dans les étoiles …

Jibé dit: à

Merci, D., mais pour les plateaux télé j’ai déjà donné. Demandez à bérénice, elle m’avait fait aussi le coup de la groupie déchaînée. Ce n’était pas Patrick !!! ni Pierre !!! mais Jacky !!!, du temps où elle signait d’un autre pseudo.

Jibé dit: à

Toni Erdman, bof, Chantal !
En revanche, « Victoria », avec la belge Virginie Efira, une petite merveille de comédie intelligente. Mais que fait Annelise ?

Jibé dit: à

« Lui et JC, on dirait la Callas et Onassis. »

La voix de son mètre ! mais qui est qui, D. ?

chantal dit: à

je pense plutôt aller voir Franz de François Ozon, pour Patrick Nimey …

Jibé dit: à

Pierre Niney, Chantal ! C’est très bien aussi.

Jibé dit: à

Et c’est Frantz, Chantal !

Jibé dit: à

Pour Franco!s Ozon, c’est tout bon, bravo !

chantal dit: à

je faisais la blonde 😉 jibé, suis de bonne humeur !

Jibé dit: à

Tant mieux, Chantal. Moi aussi, je pars en vacances ce week end et j’ai rendu tous mes manuscrits !

chantal dit: à

Chic délivrance ! moi aussi je prend quelques jours en free style …

Janssen J-J dit: à

@mais qui sont les deux Frédos ?
Fred Mitterrand qu’a pas réussi à se mettre Fred Martel en tête, d’après un twitt à Passoul sur le côté droit. Des mondanités pipoles sans grand intérêt en soi.

Petit Rappel dit: à

Oui, Fille à la Voilette, en Virginie. Mais l’intérieur de cette bitte artificielle ne se visite pas. Seulement le point de vue.
Détail peu connu ici, ce sont les aquarelles faites par le Prince de Joinville au moment de la Guerre de Sécession qui ont permis de rétablir une bonne partie du centre ancien.
On peut rever sur le devenir de cette capitale coloniale anglaise si, uchroniquement parlant, il n’y avait pas eu 1775.

Delaporte dit: à

Je serais pour ma part tenté par le film de Mo.hamed Diab, « Clash », qui raconte la révolution en E.gypte de 2013.
Quant au film d’Ozon, on a déjà vu tellement de films sur 14-18…

Delaporte dit: à

Le film de Diab se passe en entier dans un fourgon-panier à salade qui sillonne les rues du Caire. Une prouesse. Claustrophobes s’abstenir !

Jibé dit: à

« Mo.hamed Diab, « Clash », qui raconte la révolution en E.gypte de 2013. »

Sans les points ça passe pas Delaporte ?
Je vais y aller cet après-midi. Mais dommage pour le Ozon, qui n’est pas réductible à 14-18. Et le pacte franco-allemand est d’autant plus d’actualité !

Delaporte dit: à

Dans un premier essai sans points, mon message a été englouti, Jibé… Peut-être Mo.hamed ?

Jibé dit: à

« CLASH : Certaines scènes sont susceptibles de heurter la sensibilité du public. »

Dans la fourgonnette !?

En revanche, on peut éviter « Taularde », avec Sophie Marceau, Delaporte. Rien que la bande-annonce nous en dissuade !

JC..... dit: à

Enfin, Delaporte !
Il n’y a pas eu de « révolution » en Egypte, ni dans aucun pays du Maghreb ou du MO : les Printemps arabes ? Euh …! à peine de « l’agitation » urbaine et une redistribution des cartes vitales : les privilèges !!!

Delaporte dit: à

Cette pauvre Sophie Marceau est une très bonne actrice, mais elle ne joue que dans des navets. Seul Zulawski lui a donné des rôles à sa mesure.

Delaporte dit: à

JC, vous êtes donc nostalgique des tyrans qui ont été balayés par les printemps arabe ?

berguenzinc dit: à

quel dommage pour JC et D. je ne suis pas tombé du haut de la Tour de la Clauze, ou n’ai pint eu d’AVC à 100km du premier hosto…en tous cas les gars, merci pour votre aimable charognerie.

En tous cas, sans WGG et moi, et les pochetronneries de ce cher bougereau, ça se pauledelise dur ici…sans parler des prurits soudains de Balai de Chiottes…TKT manque vraiment et Morasse, et Lazarillo…au moins, ça avait de la viande autour, les débats…

enfin, ô tempura, ô mauresque !

Mémérénice dit: à

———————————————————————————————————————————————————————————————————-°
———————————————————————————————
(le premier qui m’a compris lève le doigt!)

JC..... dit: à

« JC, vous êtes donc nostalgique des tyrans qui ont été balayés par les printemps arabe ? » (Delaporte)

Vous rigolez, mon ami ! Tyrans balayés ?!!!…. il n’y a pas eu de « Printemps arabes » : ce concept est une création occidentale bisounours.

La situation était meilleure avant l’agitation printanière foireuse. Interne et externe, aux pays touchés par le « printemps !

JC..... dit: à

Moi aussi le Kron me manque : plus on est de kron, plus on rit…

berguenzinc dit: à

kron en bourre…et kron s’tâte ! arrête , tu fais trop d’ski.

Janssen J-J dit: à

@elle ne joue que dans des navets
Quand même… dans La Boum, c’était la classe

D. dit: à

Sophie Marceau, c’est un bon débat je trouve.

Janssen J-J dit: à

@Put the blame on me sur RdC uniquement

voui l’Afrique noire a toujours servi de bouc émissaire blanc, c comsa, on n’en sortira jamais

JC..... dit: à

JJJ il aime les vieilleries… La Boum !….pourquoi pas Martine Carol, tant qu’on y est … !

Janssen J-J dit: à

@à peine de « l’agitation » urbaine et une redistribution des cartes vitales

voui, c’est comme à la Sublime porte, où avez-vous vu un coup d’état, vous, aucun avortement, même pas une fausse couche. Quant à « l’agitation Da.es.h », mais t’as rêvé trop fort ou quoi. Allez, retourne te coucher, t’as la probité vierge qui connaîtra jamais le printemps.

Janssen J-J dit: à

@pourquoi pas Martine Carol,
oui pourquoi pas ? Qu’est-ce que t’as contre elle, au juste ?

Sergio dit: à

C’est pas possible que y ait plus rien à dire sur Heidegger faudrait peut-être un peu se creuser…

Janssen J-J dit: à

16.49 mais non, tout a été dit. On a changé de logissielle, faut suiv’, mat’nant c’est titine caca et son balai de chiottes de marque TKKT.

D. dit: à

Heiddeger, le père de la bombe atomique ?

Grand Rappel dit: à

à 15 heures 22 : Petit rappel a l’air d’aimer les bittes artificielles… et les autres, les vraies ?

Sergio dit: à

D. dit: 16 septembre 2016 à 17 h 05 min
Heiddeger, le père de la bombe atomique ?

Ha non ça c’est Schwartzenegger il les lance comme les Shadoks elles retombent jamais c’est pour ça qu’on en construit tout le temps…

Maintenant comment ça s’écrit au juste faudrait que je retrouve mes revues j’en ai au moins six mètres cubes…

berguenzinc dit: à

moi je préfère Niederegger, le meilleur fabricant de marzipan de Lübeck…mmmm fourré aux ananas..ou aux pistaches, ach…bédi filu !

ou même Schwarzenegger, passque là, au moins , on ne prend pas le cerveau au court-bouillon !

« Ontologie kantienne et présence du Daseyn dans l’oeuvre de Terminator ». Ça , ça a de la gueule..de quoi remplir Cérisy..

Janssen J-J dit: à

En ce moment, il y a un bon SAV de Boltanski sur C. Charle et L. Jeanpierre (78 euros pour 1582 pages), pas cher pour se cultiver ailleurs que dans la République Démocratique du Congo sur la VIF.

Janssen J-J dit: à

@et les autres, les vraies ?
mais ça exhist’pu depuis qu’on est tousses augmentés.

Petit Rappel dit: à

Ah, grand Rappel, quand nous direz-vous quelque chose d’intelligent?

berguenzinc dit: à

&Petit Rappel

Quand il aura fini sa Grande Varappe…

Sergio dit: à

berguenzinc dit: 16 septembre 2016 à 17 h 21 min
Lübeck…

Hansastadt Lübeck… C’est dans les coins d’un film de Wenders… C’est aussi là qu’on voyait les panneaux « Drei geteilt ? Niemals ! »

Et puis alors les tramways des hordes entières les vélos se coinçaient tellement il y avait de rails… Et la plage ! Des colonnes infernales de Käfig… Maintenant on n’aurait plus assez de monde pour les conduire !

berguenzinc dit: à

nein Sergio ! Der Amerikanische Freund a pour cadre Hambourg.. Mais ce n’est pas si loin…et c’est aussi une Hansestadt, et une fameuse.
A propes, j’avais répondu aux interrogations de qui vous savez sur les pierres de Metz; hier soir. Peut-être avez-vous lu?

bàv

berguenzinc dit: à

les Käfer qui pétaradaient en direction de Timmendorfer Strand, la grande plage de Lübeck…avec une passe étroite au débouché de la ria qui s’ouvre sur Lûbeck..la fontière avec la DDR passait non pas au milieu de cette vastes ria, mais à cinq mètres au large de la plage orientale. Autrement dit, dans l’eau vous étiez en BRD, et si vous accostiez, clic clac kodak balluchonné par la Vopo de DDR…;le Père Ubu, quoi..;maintenant, tout ça, heureusement, c’est bien loin…

D. dit: à

Ha non ça c’est Schwartzenegger

Ah oui ça y est ça me revient.

Delaporte dit: à

Encore plus loin que Duchamp :

« Pour une fois, les visiteurs du musée Guggenheim à New York pourront toucher une oeuvre, et bien plus encore. Le public peut en effet se servir des toilettes en or massif, créées par l’artiste italien Maurizio Cattelan. »

D. dit: à

Kodak, c’est américain, pas Est-allemand.
Ca ne tient pas debout vos histoire, Berguenzinc.

bérénice dit: à

Chantal ( alias LDVB, la fille à la voilette, Olga, Chiara…) ici aussi dans le sud ouest sont distribués ces films, j’irai voir le dernier Ozon qui semble-t-il n’est pas à la hauteur de certains critiques, Toni Erdman en VO et en séance matinale, chic ! de quoi divertir la perturbation prévue et attendue dans le golfe de Gascogne. Sinon au free style préférez le Free lance qui conviendrait mieux à votre gestion de crise et comblerait votre trésorerie pour laquelle comme pour nous tous, rien n’est jamais gratuit.

bouguereau dit: à

Heiddeger, le père de la bombe atomique ?

le nom a été déposé pour une chaine de brasserie à jéruzalème..copie conforme de la maison a wolfi..biere dasein en pression

bouguereau dit: à

Ca ne tient pas debout vos histoire, Berguenzinc

y’a des poignées dans les chiottes dédé..hun peu partout dailleurs..comme dans l’métro..c’est dracul qu’a déposé l’concèpe

Sergio dit: à

berguenzinc dit: 16 septembre 2016 à 18 h 48 min

C’est un autre film, où il se balade avec ses projecteurs à arc et fait le tour des cinémas.

J’avais complètement oublié que les trains allemands roulaient à droite ; et alors effectivement, à Reding (sortie de Sarrebourg) celui qui vient de Metz (vers Stras) est bien à droite, et je me souviens encore de la minuscule et terrible gare de Lützelbourg, avec sa cigogne en plaque de métal bien propre à glacer les sangs quand on voit cela pour la première fois : le train était bien sur la voie de droite ! C’est dans les coins de Phalsbourg, du plan incliné, etc…

Pour Metz aussi, la campagne urbanistique on avait dû au moins effleurer cela en Histoire, vers la première par là…

bouguereau dit: à

toilettes en or massif, créées par l’artiste italien Maurizio Cattelan

pour un pays c’est pas brillant qu’il dirait rénateau

berguenzinc dit: à

D. dit: 16 septembre 2016 à 19 h 13 min

eh Duglandin, tu es déjà allé à Timmendorfer Strand, avant la réunif?
et puis clic clac kodak, c’est une espression

@Sergio « Jm Laufe der Zeit » !!!! Au fil du temps !

bouguereau dit: à

ça me rappelle sylvestère haprés son premier rocky..que pas personne voulait phynancer..il a ramassé tant de thune quil s’est fait faire une lunette de chiotte en or massif « pour que ses copins en profite »..des photos havait tourné..hon l’avait traité de bourrin dans le nytimes..il havait dit ‘c’est fait exprés’..comme quoi..tu savais qu’il peignait sylvestère dédé?

D. dit: à

tu es déjà allé à Timmendorfer Strand, avant la réunif?

J’avoue que non. J’ai raté quoi ?

bérénice dit: à

Chantal qui place un mémérénice, 57ans et je ne peux en rien effacer quelques une de ces années à moins de succomber aux méthodes actuelles ( luminothérapie, botox, lifting ) , cependant je ne couche pas ni avec des plus vieux ou même des hommes de mon âge car descendue du dernier train assez tôt, j’éprouve quelques difficultés à rejoindre ma classe d’âge et à relier les vaguons qui séparent l’âge de ma dernière aventure au jour présent . Mes amitiés à Chaloux et ses 59 ans s’il vous arrive d’entretenir un commerce qui ne soit pas purement intellectuel, si vous l’aviez rencontré quadra, il vous aurait explosée d’envie et rendue encore plus jalouse en raison d’une activité paranormale et érotique, quel séducteur il était et à l’évidence est-il resté.

D. dit: à

La présentatrice du 13 h est très bien.
Ça change de Pujadas.

berguenzinc dit: à

D. dit: 16 septembre 2016 à 19 h 30 min

Mais…justement, ce tracé de frontières absolument fou ! enfin, laissons tomber. Pas grave.

D. dit: à

…mais c’est quand même vous que je préfère, Bérénice, n’allez pas vous méprendre.

bouguereau dit: à

Kodak, c’est américain

je veux..mais hon dit pas que c’est litlère qu’a été l’un des premier a hutiliser la couleur..pour ça que lassouline aime pas ptête

D. dit: à

Non, non, allez-y Breguenzinx, si ça vous intéresse il faut nous faire partager votre entousiasme.
Ce soir je mange du merlan avec du riz, c’est vendredi.

bouguereau dit: à

Ça change de Pujadas

hon a henvie de lui planter des gros clous dans la tête comme les statues africaine de berci..en pinhead tribal il frait un malheur

bouguereau dit: à

je mange du merlan

les yeux dans la poele vont te regarder dédé

bouguereau dit: à

..hon peut couper la tête..mais c’est tricher

berguenzinc dit: à

@ bérénice dit: 16 septembre 2016 à 19 h 31 min

c’est triste comme tout ce que vous racontez….mais je vous comprends. J’ai 59 balais et ça me fait bien chier, d’autant que j’ai le palpitant en rade, et que je suis un peu nasebroque…je ne tiendrai pas sans le contrôle technique des 150000 km !

bah !!! tant pis…la vie st quand même pas si mal.. Mort, qu’est-ce qu’on doit s’emmerdrer…

berguenzinc dit: à

@ bérénice dit: 16 septembre 2016 à 19 h 31 min

c’est triste comme tout ce que vous racontez….mais je vous comprends. J’ai 59 balais et ça me fait bien caganis, d’autant que j’ai le palpitant en rade, et que je suis un peu nasebroque…je ne tiendrai pas sans le contrôle technique des 150000 km !

bah !!! tant pis…la vie st quand même pas si mal.. Mort, qu’est-ce qu’on doit s’emmerdrer…

bérénice dit: à

La mort quand elle ne survient pas injustement trop tôt est attendue, repos de l’âme, nul affect, dissolution de l’être et de tout ce qui peut l’irriguer en respectant ou non une volonté d’être impliqué, d’ailleurs ne le sommes nous pas tous à baigner dans ce siècle dont nous ne verrons pas le fin: émotions, sentiments, sensations, pensées, bien-être, mal-être et malaise ou bonheur.

D. dit: à

Une vraie pluie abondante, fraiche et venteuse tombe sur Paris. C’est un vrai bonheur. Elle annonce un merveilleux automne avec des bogues de châtaignes, des champignons délicieux, des feuilles mortes et ce petit pincement au cœur qui nous prend parce qu’il est temps d’oublier l’été et d’aller hiberner au fond d’un bureau ou d’une salle de classe.

bérénice dit: à

c’est triste comme tout ce que vous racontez

Berguenzinc à rapprocher on ne naît pas femme, on le devient ou de Rousseau qui voit que la société rendrait les hommes mauvais; je suis d’un naturel joyeux, les épreuves vraisemblablement réussissent à faire de certains des chiffons de souffrance où comme un courant alternatif vient cependant ressusciter un état d’esprit primitif que dame nature nous a légué . Mais enfin comment en dehors de notre histoire personnelle pourrions nous rester insensible à cette écologie déréglée des relations humaines, on peut en regardant autour pour relativiser et se dire en dernier ressort qu’on a la vie sauve.

Jibé dit: à

Excellent, le « Clash », Delaporte !

Jibé dit: à

« Une vraie pluie abondante, fraiche et venteuse tombe sur Paris. C’est un vrai bonheur. Elle annonce un merveilleux automne avec des bogues de châtaignes, des champignons délicieux, des feuilles mortes et ce petit pincement au cœur qui nous prend parce qu’il est temps d’oublier l’été et d’aller hiberner au fond d’un bureau ou d’une salle de classe. »

D., cet après-midi, avant d’aller au cinéma, je suis passé à la Fnac des Halles. J’avais quelques livres à acheter pour emmener avec moi en vacances au Portugal. Sur le comptoir des renseignements il y avait uniquement une pile du Goût de l’été. J’ai dis à la vendeuse que j’en étais l’auteur et lui ai demandé s’il se vendait bien. Elle ma gentiment donné les chiffres (13 exemplaires en juillet…) puis m’a déclaré : « Ce qu’il nous faudrait maintenant c’est un Goût de l’automne ! »…

Devrais-je faire les quatre saisons ?

rose dit: à

vendrai j’ai noté : l’important étant l’ouverture des jardins au grand public

de rien bérénice, pour ce lieu magnifique : c’est moi qui ait donné l’info. renato n’a que confirmé. Pas plus.

l’horticulture : chaleur était un bien grand mot. Le gel aurait convenu : ces agrumes doivent être protégés du gel impérativement d’où la construction d’orangeries et/ou de serres pour les mettre à l’abri en hiver. Sauf au sud d l’Italie en Sicile en Grèce etc. où ils peuvent rester dehors. Ailleurs, c’est risqué. Ceci étant précisé, en horticulture, je touche ma bille bien plus que vous qui achetez vos tomates bio.

rose dit: à

venaria
b… de correcteur automatique

JC..... dit: à

Bérénice, je suis votre remède idéal : 93 ans, fauteuil roulant inox en parfait état, bon à touffair …

Chez vous, chez moi, au Sénat, ou en terrain neutre ?

D. dit: à

Devrais-je faire les quatre saisons ?

Oui, je vous offre mes 4 lignes de 19h 50 pour l’automne.

rose dit: à

vous êtes d’un naturel joyeux : eh bien ce n’est pas nous qui en profitons ; ceci étant si vous le dites, je veux bien vous croire.

Delaporte dit: à

Jibé dit: 16 septembre 2016 à 20 h 02 min
Cela ne m’étonne pas, je vais y aller demain soir.

bérénice dit: à

rose, j’espère que je réussis à vous faire entendre mon goût pour l’ironie. Et puis à côté d’une méchanceté déclarée que vaudrait ma prétendue tristesse qui n’en veut pas à la terre entière, ne se venge pas sur d’innocents vivants , n’éprouve de plaisir à semer le mal pour se désennuyer ou parce que ce serait une naturelle inclination. Qu’est-ce qu’on se marre! n’est-t-il pas?

bérénice dit: à

jibé , un constat: vous auriez grand besoin d’un support publicitaire.

bérénice dit: à

rose, je sais que vous avez beaucoup bourlingué , étudié le vivant dans des milieux à tout le moins hostiles, j’ai vu beaucoup de gens mourir entre autres faits marquants, cela peut aider à garder le cap comme cela peut pousser aussi d’un ensemble convenu à fuir par la dérision, vanité .

Petit Rappel dit: à

Seul regret, il manque la grande Chaconne finale.

la vie dans les bois dit: à

Entendu tout à l’heure dans l’autoradio franchissant une limite du territoire high in emotion, que ce grand maître du thriller, ancien grand reporter, aux romans bien documentés, avait reçu une « injonction » de son épouse, lui enjoignant de ne plus écrire. How shocking.
http://m.culturebox.francetvinfo.fr/livres/biographie-memoire/frederick-forsyth-le-veteran-du-thriller-tire-sa-reverence-avec-l-outsider-240253

Tanti baci dall’Italia
Sergio, please, pour ce week-end du patrimoine, et pour les pierres, faites un effort, sans gonflette.

rose dit: à

>Bérénice
Non je n’avais pas vu/lu votre ironie et suis étonnée de lire ce que vous dites de vous -naturel joyeux etc.

Ai vécu ce que vous vivez.
L’alcool est la pire maîtresse possible pour un homme. Dans Gengis Cohn, Gary écrit « celui qui boit cherche à oublier ».
Mais puisqu’on n’oublie pas, pourquoi boire ?
La maladie est horriblement addictive.

De mon côté plus jamais ça. J’ai vécu dix ans en tant que compagne d’un alcoolique et c’est, à mes yeux, la pire situation qui soit pour une femme.

Ce que je voulais vous dire, c’est que votre regard est incessamment tourné vers votre compagnon, qui, sur ce blog, vous le rend bien mal puisqu’il la joue collectif. Ce qui est fort appréciable pour autrui. Mais pas pour vous.

Rendez juste à César ce qui lui appartient.

Le reste est bien lourd à porter.

Jim Harrison aussi a fini sa vie en n’écrivant plus, en laissant le chat dormir sur ses feuillets.

Non ; n’imaginez pas que nous tolérons ni acceptons ses comportements délictueux à lui. Il a un chemin de vie dans la douleur. Vous le saviez puisque votre référence était Sébastien. C’est lui, ce Sébastien percé de flèches, qui a été choisi par Diego Gary dans S ou le souvenir d’enfance pour signifier la douleur d’avoir sa mère puis son père qui se sont suicidés.
Le laissant seul au monde.

Tâchez de vous préserver si tant faire se peut. Et ne vous en prenez pas à nous. Nous n’y sommes pour rien.
Pas même spectateurs.
Juste sur le chemin.

rose dit: à

>Bérénice
Et puis, quant à votre première conclusion et bien non, de manière générale je ne me marre pas (sauf à des trucs bêtes mais betes).
Des que l’on aborde l’égoïsme le quant à soi ou bien l’entre soi, l’économie de soi ou de moyens, le « ratatinement » etc. Cela ne me fait pas rire. Pou tant, je suis plongėe dans l’humour juif par ce que je lis et bien cela ne me fait pas rire l’humour juif.
J’ai dûne poser la question a7quelqu’un qui m’à répondu « oui c’est vrai ».
Pour moi, le savon est de Marseille.
Le reste me terrifie.
Mais je n’ai pas de dibbuk.
Et le point de vue choisi par Gary est passionnant : l’autre porte seul le poids de ce qu’il vous fait subir.

Lorsque je me marre, béré, c’est franc et massif : pas sur le dos d’autrui. Mais là votre connotation qu’est ce qu’on se marre est, in fine, extrêmement triste…

rose dit: à

Ma foi, c’est fait de moi, cas Isabeau
M’a conjuré de lui faire un rondeau.
Cela me met en une peine extrême.
Quoi! treize vers huit en eau, cinq en ème
Je lui ferais aussi tôt un bateau.
En voilà cinq pourtant en un monceau.
Faisons-en huit en invoquant Brodeau,
Et puis mettons, par quelque stratagème :
Ma foi, c’est fait,
Si je pouvais encor de mon cerveau
Tirer cinq vers, l’ouvrage serait beau;
Mais, cependant, je suis dedans l’onzième.
Et ci je crois que je fais le douzième :
En voilà treize ajustés au niveau.
Ma foi, c’est fait.

Un rondeau pour Rondeau en terre désormais ou en poussière.
Pour ses deux enfants, qu’ils gardent le meilleur de leur père. Et tracent leur route droite.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…disparaître à 63 ans subitement d’un cancer fulgurent,!…un photographe qui en à mis trop la main à la pâte de chimies et manipulations au labo,!…
…pour en vivre,!…accroché à son métier,!…exit une autre fonction polyvalente,…boulanger, ou marchand des quatre saisons,!…
…c’est tendance victime en fond de cour de cette crise, pour notre capitalisme à se voir chacun en châtelain,!…et toutes les charges de notoriétés sur le dos, T.V.A., comprise,!…hors-champs,!…

…des tableaux , faut payer d’avance, déjà mon Van Gogh,…inutile de travailler pour rien ou pour des systèmes juifs du management,!…se tourner les pouces et garder sa la santé,…
…contre les murs, du béton armé,!…Ah,!Ah,!…etc,!…Go,!…

bérénice dit: à

1-Et ne vous en prenez pas à nous.

2- Mais là votre connotation qu’est ce qu’on se marre est, in fine, extrêmement triste…

Pour le 1 chère rose , il me semble que ce soit un de me principes quoique je ne sois pas adepte du tendre l’autre joue ou du genre à me laisser emmerder sans réagir.

Pour le 2 non moins chère rose, la réflexion s’attache à certains détails que la décence ou la discrétion m’interdisent d’ajouter au débat si c’en est un, mais effectivement le constat ne laisse d’imprimer sa tristesse entre les pages , être sensible il faudrait pouvoir demeurer indifférent à tant de renoncements, de trahisons, de vilenies, de bassesses, la liste est longue autant qu’affligeante, nous restent les belles lettres écrites en une langue courageuse renouvelée loin de la mort annoncée et du commun.

Merci Rose de votre attention dévouée et renouvelée.

bérénice dit: à

_L’alcool est la pire maîtresse possible pour un homme. Dans Gengis Cohn, Gary écrit « celui qui boit cherche à oublier ». rose

Et puis pour ce qui précède je ne saisis pas à quoi vous le raccordez, en tout cas cela ne me concerne pas.

_ votre compagnon, qui, sur ce blog, vous le rend bien mal puisqu’il la joue collectif. Ce qui est fort . rose
Ce n’est pas mon compagnon, je suis son obligée de laquelle il a du s’accommoder en transformant cet inattendu en fond de commerce d’une part, en jeu sadique ( je ne suis pas maso) d’autre part dans une indifférence totale (et pour cause) à notre sort pourvu que la situation lui rapporte en terme pécuniaire pour finir après avoir connu d’autres stades, c’est un exploitant sans foi ni loi qui me gratifie depuis deux décennies de mots pensés pour tout signe de reconnaissance, la méthode Coué pour bouée et saisissant toutes les occasions de tirer bénéfice de la situation sans pour autant porter assistance; sûrement est-ce que ma difficulté reste un aliment privilégié ou juste un plus à son bien-être . Pour résumer , Chère Rose, nous naviguons dans le glauque et l’injuste depuis longtemps, ne restez plus qu’à y ajouter les options de divers psychopathes ayant pignon sur rue pour être tout à fait broyé. Voilà, je vous souhaite un excellent week-end .

JC..... dit: à

Il souffle un bon gros mistral, dehors. Nuit noire. Les mats chantent, les pins dansent un peu. Les drisses résonnent au vent…

Les chats ont pointé la truffe sur l’une des terrasses, immédiatement suivi d’une marche arrière précipitée, puis sur l’autre un peu plus abritée côté sud, avec retour rapide à l’intérieur… l’automne arrive et c’est bien.

Le chat est un animal bourgeois. Un animal intelligent.

bérénice dit: à

22h48 . LDVB.

Nevermore (Verlaine)

Allons, mon pauvre coeur, allons, mon vieux complice,
Redresse et peins à neuf tous tes arcs triomphaux ;
Brûle un encens ranci sur tes autels d’or faux ;
Sème de fleurs les bords béants du précipice ;
Allons, mon pauvre coeur, allons, mon vieux complice !
Pousse à Dieu ton cantique, à chantre rajeuni ;
Entonne, orgue enroué, des Te Deum splendides ;
vieillard prématuré, mets du fard sur tes rides ;
Couvre-toi de tapis mordorés, mur jauni ;
Pousse à Dieu ton cantique, à chantre rajeuni.
Sonnez, grelots ; sonnez, clochettes ; sonnez, cloches !
Car mon rêve impossible a pris corps et je l’ai
Entre mes bras pressé : le Bonheur, cet ailé
voyageur qui de l’Homme évite les approches,
– Sonnez, grelots ; sonnez, clochettes ; sonnez, cloches !
Le Bonheur a marché côte à côte avec moi ;
Mais la FATALITE ne connaît point de trêve :
Le ver est dans le fruit, le réveil dans le rêve,
Et le remords est dans l’amour : telle est la loi.
– Le Bonheur a marché côte à côte avec moi

bérénice dit: à

Le chat est un animal bourgeois. Un animal intelligent.

L’intelligence s’applique à toutes sortes de domaines, celui du pire aussi. Et puis la bourgeoisie, vous parlez d’une référence infaillible!

JC..... dit: à

Euh …. okay !….n’en parlons plus….

la vie dans les bois dit: à

Je n’ai pas suivi la tragi-comédie en cours , il semble qu’il y ait une psycho-thérapie de groupe se mette en place parmi les vieilles de presque 60 ans. Si elles pouvaient faire comme elles ont dit, se retrouver le jour des morts, ce serait fair play pour les autres. Mais non,.
________________________

Dans le journal de la télé où a été présenté la sortie du dico de la littérature, édité chez Plon, j’ai entendu un conseil de lecture aux femmes, leur prescrivant la lecture du roman « .une chanson douce ». Le prescripteur avait l’air serieux pourtant.

la vie dans les bois dit: à

J’espère que ce roman , « une chanson douce  » sera chronique sur la rdl, il a été cité comme meilleur roman chez Gallimard, cette rentrée.

bérénice dit: à

Je n’ai pas suivi la tragi-comédie en cours , il semble qu’il y ait une psycho-thérapie de groupe se mette en place parmi les vieilles de presque 60 ans. Si elles pouvaient faire comme elles ont dit, se retrouver le jour des morts, ce serait fair play pour les autres. Mais non,.

LDVB: Occupez vous donc de vos enfants plutôt que des vieilles de 60ans et nous ne parlerons pas du poids des mots du choc des photos qui ont trouvé auprès d’eux une audience des plus éducatives, il semblerait que votre bilan éducatif ne soit pas des plus fameux. La contamination et la cruauté mentale occasionnent de bien curieuses fleurs souffreteuses, revoir Baudelaire dans l’édition Cosnard qui vraisemblablement aurait besoin de plus d’une psychothérapie familiale sans pour autant qu’elle se pose en remède à tant de blessure. Ou peut-être proposer post-mortem « rose bonbon » déballé et autorisé. Il n’y a pas qu »en Thaîlande et au Népal que soit constaté un commerce de l’enfance et en Inde qu’ils commencent à travailler trop tôt.

bérénice dit: à

exofiction:Fait de société: Une mère tout ce qu’il y a de plus recommandable prostituait sa fille et réussit à rendre fou son fils rejeté et maltraité parce qu’i ne correspondait pas à l’image de l’enfant idéal, souffrant depuis sa naissance d’u handicap. La mère ne s’étant jamais remise et n’ayant jamais pu faire son deuil en conçut un désir de vengeance inextinguible à l’égard de ceux qui contenaient une promesse intacte et s’ingénia à saboter ces belles enfances de diverses manières sans en être inquiétée. Les services sociaux alertés sur le tard n’ont à ce jour pas porter de réponse et le signalement au greffe attend une réponse qui nous l’espérons réduira à néant la nuisance d’une folie qui sans avoir été clairement désignée perdura dans le temps pour y semer à défaut d’un jardin des victimes innocentes marquées pour la vie.

bérénice dit: à

du dico de la littérature,

Oui, vous l’avez cité hier avec ce trés beau portrait de Rimbaud au sortir de l’adolescence, en couverture, la tête dans les étoiles.

bérénice dit: à

Le prescripteur avait l’air serieux pourtant.

En plus d’afficher une mine fraîche et dispo, tout à fait à l’aise sur ce plateau de télévision. Pierre Assouline en vois de starisation.

bérénice dit: à

voie.

la vie dans les bois dit: à

Ici il fait à peine 6 deg.C, et je m’en vais de bon matin vers les sommets à peine blanchis.
kss, kss, benetrice, continue d’ aboyer, devant son ecran.
Elle a l’air d’avoir de gros soucis dans sa tête d’abrutie.

Chaloux dit: à

Bérénice, vous me vieillissez de dix ans. Ce ne sont pas des choses à faire.

La RDL semble avoir perdu en route son Gracchus Cafouillus. Pas d’inquiétude, il raccrochera bientôt son wagon.

Bon week-end.

bérénice dit: à

Le déni doit vous être d’une aide incomparable, je ne suis pas dans votre tête ni dans celle de vos enfants qui ont du s’avaler une des bouillies issues d’un savoir-faire trans-générationnel. Si l’important pour vous se situe dans le visible, continuez d’y croire après tout la camisole chimique peut réussir à amoindrir le dégât et cela ne se verra pas pour honorer votre culte des apparences et alléger votre conscience, cependant quelques doutes concernant son existence, certaines maladies en exemptent le patient qui poursuit son but centré uniquement et mu par la satisfaction qu’il en éprouve une fois atteint . Après tout certaines espèces et nous ne pouvons nous extraire du règne animal mangent leurs petits.

bérénice dit: à

Bérénice, vous me vieillissez de dix ans. Ce ne sont pas des choses à faire.

Chaloux ou vous avez rencontré certaines personnalités que vous citez alors que votre maman vous véhiculait en poussette , wiki mentirait, quant au faire, je vous laisse à vos parties mondaines et bourgeoises, vous en savez plus que moi qui ne suis pas des vôtres. Je m’en voudrais un peu plus qu’une honte qui se limite à l’énonciation avant de rechuter pour ne pas aller plus loin que ce mur auquel je vous entends vous confronter de façon récurrente sans pour autant vous le voir dépasser.

bérénice dit: à

kss, kss, benetrice, continue d’ aboyer, devant son ecran.

D’une part je n’aboie pas et reste en dépit de vos insinuations aussi menteuses qu’impuissantes à effacer votre vérité, à cultiver une correction qui se passe des vulgarités dont vous vous réservez un usage répétitif et illustrent bien le piédestal ridicule sur lequel vous juchez vos échecs et vos intrigues pitoyables quand on connait la coulisse de vos exploits.

JC..... dit: à

La coulisse, c’est le pied…

bérénice dit: à

Elle a l’air d’avoir de gros soucis dans sa tête d’abrutie.

Je ne souffre pas d’obésité et ne suis en rien brutale, je ne suis pas du genre à bousculer un jeune homme qui s’en retourne , le tabasser, chercher à lui rompre les parties génitales en trouant le lobe de son oreille écrasée par le choc sur le gravier d’une allée. Pas abrutie non plus à laisser mes enfants entre des mains mercantiles, pas abrutie à meurtrir deux frères laissés sans surveillance. Pas abrutie à soudoyer et corrompre des autorités en vue d’exclure un qui aurait mérité d’aller au bout de sa chance. Remerciez donc ces abrutis de vos amis si bien placés, ils sont nombreux pour satisfaire votre psychopathie .
Bien à vous.

bérénice dit: à

Quant à cette histoire de clebs, Dieu que vous tombez bien bas. Pauvre petit.

renato dit: à

Et puis, nous avons ces champions de la médiocrité qui, propagande religieuse poussiéreuse et quelque philosophe rouillé aidant, arrivent encore à se persuader de la suprématie et de l’unicité de notre espèce.

Il est évident que si on réfléchi en termes de resources disponibles, notre espèce, étant majoritairement composée d’abrutis violents, a pris une place inconsidéré sur la scène du monde. Cela dit, il semble que selon certains grands esprits se reproduire comme des mouches sur la viande pourrie ce soit ce qu’il y a de plus admirable — ce qui en dit long relativement au bon fonctionnement du contenu de la courge décorative qui leur sert de boîte crânienne et, incidemment, relativise beaucoup la qualité de la pensée économique qu’ils arrivent à élaborer.

Quant à l’unicité (le rire, la mort; etc.), puisque le XIXe « n’est plus » depuis longtemps déjà, il faudrait que ces champions de la médiocrité changent finalement de siècle, et qu’ils prêtent, un minimum d’attention aux autres espèces, éventuellement; et si à cause d’une sensibilité estropiée ils en son incapables, qu’ils regardent de près les plus récents études dédiés. Certes, afin de flatter leur ego, ces humains qui n’ont pas un actif de quelque valeur (pour ne pas dire qu’ils n’ont point d’actif et guère de valeurs), se rassurent en se disant qu’ils sont quelque chose de plus qu’un chien, qu’un merle, qu’une taupe, et jeter un coup d’œil aux plus récents études dédiés risquerait de les distraire, peut-être même leur apprendre quelque chose… Enfin! il est choquant qu’ils soient, encore, porteur de risibles préjugés, parce que l’on parle de gens qui peuvent se prévaloir d’une éducation.

bérénice dit: à

Et vos lectures en palimpseste ne pourront rien modifier à votre tare congénitale, votre classe sociale ainsi que votre sens de l’intrigue en forme de nasse ou de piège vous exempte de justice, c’est assez dommage. Qui comptez vous séduire aux prochaines présidentielles? Enfin qui puisse arriver au sommet de l’Etat pour exhausser vos voeux puis couvrir, coincé, vos saloperies?

renato dit: à

et qu’ils prêtent, un minimum > et qu’ils prêtent un minimum

JC..... dit: à

« Enfin! il est choquant qu’ils soient, encore, porteur de risibles préjugés, parce que l’on parle de gens qui peuvent se prévaloir d’une éducation. » (Renato)

Se prévaloir d’une éducation qui éviterait de porter de risibles préjugés est probablement le plus risible des préjugés !

renato dit: à

Puisque les « éduqués » se plaignent ou tournent en dérision les lacunes des autres on peut rire de leurs préjugés. Ou pas?

Janssen J-J dit: à

@se rassurent en se disant qu’ils sont quelque chose de plus qu’un chien, qu’un merle, qu’une taupe

mais il y en a de bien plus grands, plus rares aussi, qui ne se « rassurent » pas en expliquant leur condition de « devenir-cloportes ». Et ceux là, K., je pense qu’ils sauvent l’humanité d’une part de sa condition animale. Ils aident à lui faire comprendre où se situe exactement sa place dans la chaine précaire du vivant.

Chaloux dit: à

Chaloux ou vous avez rencontré certaines personnalités

Qui, Bérénice? Je ne vois pas. Précisez.

Janssen J-J dit: à

@5.51 J’ai souvent remarqué votre capacité à transmettre de vos émotions nocturnes ou matutinales, fortes et apaisées, dans un élan apparemment authentique. Pourquoi les détruire par des accumulations d’immondices dans la journée ? C’est un peu dommage, vous méritez mieux que cet auto-avilissement permanent. Bonne journée dans l’île de tous les plaisirs.

Janssen J-J dit: à

7.53 perdu en route son Gracchus Cafouillus.
Il vous manque un peu, j’ai l’impression… mais voui, il va revenir bien vite avec une nouvelle saillie sur hdgguère, flobère, montègne, nitch ou scandhale, et des ‘que vous vous êtes des abrutis, mes pauvres chéris’. Qu’il prenne son temps quand même, une peu de vie (retirée) dans les bois (de la forêt noire) ne peut nuire à personne, l’espace d’un we.

gontrand dit: à

« Gary écrit « celui qui boit cherche à oublier ». »

Rose, c’est Patrick Besson je crois qui disait: « on ne boit pas pour oublier, on boit pour se souvenir »…c’est très vrai, pensez-y…

Janssen J-J dit: à

Seuls les éduqués peuvent rire de leurs propres préjugés au sujet de la non éducation des autres. A l’inverse, hélas, les autres ne le peuvent pas toujours ni souvent. C’est bien le drââââme de la nature socialement inégalitaire des hommes devant l’éducation (nationale). Voila pourquoi il faut sans cesse aux éduqués combler le déficit des plus mal lotis, car si à court terme, ils ont tout à y perdre eux-mêmes, à + long terme au contraire, ils ont tout à y gagner. C’est ce que pensent aussi Corbin et Delacomptée, en attendant la livraison du lave-vaisselle.

bouguereau dit: à

« Gary écrit « celui qui boit cherche à oublier ». »

je cherche pas je trouve

JC..... dit: à

« C’est un peu dommage, vous méritez mieux que cet auto-avilissement permanent. » (JJJ)

Qu’en sais tu, ô étranger arrogant, qu’en sais tu, piétinant ta semoule verbale …!?

bouguereau dit: à

Un oracle:

quand une machine a coude en croise une ote sous les arbes..rénateau y médite

gontrand dit: à

Frantz n’est pas un film « sur 14-18 ». C’est un film sur la culpabilité et le remord…

Moyen d’ailleurs, Niney frise parfois le ridicule dans un scénario mélodramatique à la limite de l’invraisemblable. Paula Beer sauve le film. En particulier, la séquence française où elle a le premier rôle est très bonne.

Si vous voulez voir un thriller parfait dans la grande tradition américaine, avec une country music formidable en prime, allez voir « Comancheria », une petite merveille.

Janssen J-J dit: à

je cherche pas je trouve… l’inspiration, et surtout je prouve mon être au monde, ma Vérité au fond de la dive. Bonjour, comment sava, à matin ?

bouguereau dit: à

Enfin! il est choquant qu’ils soient, encore, porteur de risibles préjugés

rénateau y’est prés a sjeter dans l’camion poubelle pour faire la star

bouguereau dit: à

surtout je prouve mon être au monde

point c’est l’contraire..aux taupes..aux rats d’égouts..aux cloportes..havec rénateau on doute pas dnous nous..mais poul camion poubelle..j’manque de courage

bouguereau dit: à

..c’est quelle star qui sjette dans un camion poubelle jjj ?

bouguereau dit: à

Le chat est un animal bourgeois. Un animal intelligent

y sont tous à la cgt jicé..carabasse est à la botte

sans commentaires dit: à

François Ozon
Maurice Rostand
Pierre Niney…
Sans commentaires…

berguenzinc dit: à

ça modére zone, comme Paul …bande d’imbéciles de concepteurs d’algorithmes bien pudibonds, genre fessebouques, crétins stipendisés par tous les bigots du monde..

Chaconne ne passe pas

berguenzinc dit: à

ça modére zone, comme Paul …bande d’imbéciles de concepteurs d’algorithmes bien pudibonds, genre fessebouques, crétins stipendisés par tous les bigots du monde..

berguenzinc dit: à

chac.onne
chac.onne
chac.onne

test d’imbécilité modéramerdre

berguenzinc dit: à

yeah……a cute entertainment experience !!!!

chac.onne, ces crétins ont jugé, ç l’aune de leur terrifainte inculture que chac.onne était un « gros mot », rhôlalalalalala.
On est revenu 150 en arrière, à l’époque où l’on transperçait la bite et la chagatte des statues antiques pour leur coller une feuille de vigne. Ou quand les porteurs de djellabah bousillaient les figures humaines..
la RATP a remplacé la pipe de Monsieur Hulot par un petit moulinet pour enfants.
Sur Fessedebouc , les brutis zuckerberguiens ont décidé que la photo de la petite fllle de 1972 napalmisée par les bons soins de Johnson était de caractère pédopornographique.

Époque de merdre…heureusement , y a Jarry et la Chanson du Décervelage.
https://www.youtube.com/watch?v=Y1lmZpDNp6Y

JC..... dit: à

Don Quijote de la Bergue….. uhuhu !

berguenzinc dit: à

JC , t’as eu raison d’écrire Don Quijote, parce que les nez de boeuf castrateurs de la modémachin auraient analysé Don Quichotte comme Donc, Il chi.otte…alors couik.

Pour le reste , je t’envoie un seau de bren.

Chaloux dit: à

Dans son recueil d’articles, La Chandelle Verte, Jarry raconte qu’on a retrouvé le corps d’un sergent de ville avec le crâne rempli de papier-journal. Il en conclut que tous les sergents de ville ont le crâne rempli de papier-journal.

berguenzinc dit: à

tu ouah, « bren », ils sont si khons qu’ils ne pigent pas. Il y avait la LTI , Lingua Tertii Imperii, il y a LRL Lingua Respubliae Librorum

berguenzinc dit: à

faudrait les remettre en servie, la machine à décerveler, le pince-porc et le démanche-comanche Et l’explose-khonnards.

JC..... dit: à

Je garde le seau dédicacé, en souvenir ….

berguenzinc dit: à

T’as raison, ça aura de la valeur un jour, comme les boîtes de « merdre  » d’artiste »..cela dit, tu parlais de mistral , eh boen aujourd’hui, en Margeride, c’est la bise…il fait un froid de canard. On sent l’automne, avec ses champignons, comme disait je ne sais plus quel clampin , hier.

boudegras dit: à

10 heures 53, JC garde le seau mais on a toujours le sot : JC

Janssen J-J dit: à

@10.00 tu veux parler de james woods dans le rôle de max bercovicz ?

Jibé dit: à

« La lycéenne poignardée par un des ses camarades de classe à Villefranche-sur-Saône est décédée »

15 ans, l’âge de tous les dangers !

Jibé dit: à

« C’était annoncé, c’est désormais officiel. Marine le Pen a désigné ce samedi 17 septembre le sénateur-maire FN de Fréjus, David Rachline, comme directeur de sa campagne pour l’élection présidentielle. »

Un renouvellement de la classe politique qui devrait ravir JC !

JC..... dit: à

Je garde le seau, vous garderez le sot….

Mais il n’est pas impossible que je change de style, de pseudo, de parti politique, de sesque, de métier, de famille, d’île, de référentiel, de vices et de qualités …

Adieu ! …euh … à bientôt.

Le goût du FN..... dit: à

« Âgés tous les deux de 15 ans et scolarisés en première S au lycée Louis-Armand à Gleizé, commune proche de Villefranche, l’auteur des coups de couteau et la victime « étaient dans la même classe depuis la seconde et étaient devenus amis », avait indiqué le procureur. »

Une amitié mortelle … une réprimande s’impose à ce meurtrier de couleur sang…

Widergänger dit: à

Jean-Philippe, les réseaux sociaux c’est un trompe-l’œil. Ça passe pour être la libre expression démocratique du citoyen lambda, c’est en fait un fascisme insidieux qui empêche les gens de s’exprimer. Moi sur Linkedin, je ne sais pas quel imbécile m’a interdit de commentaire sans motivation, sans doute tout simplement parce que j’avais critiqué le blocage des « like » à 5 alors que j’en avais 50. Mais qu’est-ce que j’en ai à faire moi des like…?! Tu veux me dire ! On est dans la bêtise la plus crasse, un monde de parfaits idiots.

Janssen J-J dit: à

@9.52 qu’en sais-tu, piétinant ta semoule verbale ?

J’en sais plus sur toi que toi-même, je t’connais très bien comme tu peux pas l’imaginer depuis que j’étudie ton cas en tant que cyberprofiler, il est d’une extrême banalité : t’es pas mûr pour le j.iha.d frontiste. Seulement, tu vois même pas que t’es + clair ici que devant n’importe quel psy.

Janssen J-J dit: à

@11.00, comme disait je ne sais plus quel clampin.
Tu veux dire la clopine à clampinou ?

Sergio dit: à

Ha si l’Algorithme se réveille on est encore mal… Faudrait le coincer dans une bassine de ciment à prise rapide et le balancer au fond du Loch Ness !

Ou même hon prend quatre bassines ça sera plus stable…

Janssen J-J dit: à

Albee a expliqué que ce titre pouvait être interprété par la question suivante : « Qui a peur de vivre une vie sans illusions ? ». De celle qui étreint tous les internautes de la rdl, en somme.

Janssen J-J dit: à

@j’avais critiqué le blocage des « like » à 5 alors que j’en avais 50

C’est quoi des like, au juste ? Parait que t’en a rien à cirer des social networks, faudrait êt’ un peu + cohérent, comme pour ta philo, les p’tits chéribibis.

Janssen J-J dit: à

@Il en conclut que tous les sergents de ville ont le crâne rempli de papier-journal.

I’se prenait pour un sergent de ville, l’alfredjaja ?

closer dit: à

« Jean-Philippe, les réseaux sociaux c’est un trompe-l’œil.  »

J’ai toujours respecté le choix d’un pseudo et je ne comprend pas que l’on expose l’identité d’un commentateur, même s’il s’agit du prof dont le nom commence par un « A »…

Widergänger dit: à

Oui, Paul Watslawick a écrit tout un chapitre sur la pièce d’Albee dans son ouvrage sur la communication : Le langage du changement. Éléments de communication thérapeutique, 1978, trad. Seuil, 1980.

Et aussi tout un chapitre très explicite sur le Tractatus de Wittgenstein, qui explique très bien l’enjeu philosophique de ce traité célèbre du maître de Vienne.

berguenzinc dit: à

closer dit: 17 septembre 2016 à 14 h 45 min

bé non, raté…mon nom commence par G…comme Gédéon Grouadanmabaignoiretchaipaquouaenfer.

berguenzinc dit: à

like? LIKE ROLLIN’STONE
LIKE COMPLETE UNKNOWN
ben ça vaut dire comme, non?

et un petit like , c’est une liquette. ahménon, ça veut dire apprécier..aie laïkitte..

mais je ne vois pas le rapport.

ZEUS..... dit: à

Janssen J-J dit: 17 septembre 2016 à 14 h 16 min
@9.52 qu’en sais-tu, piétinant ta semoule verbale ?
« J’en sais plus sur toi que toi-même…/… »

AU FOU !

Sergio dit: à

« Il en conclut que tous les sergents de ville ont le crâne rempli de papier-journal. »

Houi mais avec les tirages qui ne cessent de baisser qu’est-ce qu’on va mettre à la place ?

ZEUS..... dit: à

« François Hollande recevra lundi le prix de «l’Homme d’État de l’année» à NYC » (Figaro.fr)

On ne rit pas !

Delaporte dit: à

Paul Watzlawick était le fondateur de la fameuse école dite de Palo Alto. Cela avait donné des manuels de psychologie très à la mode dans les années 80. Les psychiatres s’en servaient, car c’était relativement clair et concret.

Chaloux dit: à

Intéressant entretien avec Pierre Assouline sur France Musique avec une fin amusante, curieusement coupée.

Pour rester dans le ton (?) quelques mazurkas très intéressantes du grand interprète Ignaz Friedman. (Horowitz assurait que Friedman était le seul pianiste à le dépasser techniquement). Peut-être surtout pour celle qui commence à 2.23, un petit chef-d’œuvre (!) d’une page.

https://www.youtube.com/watch?v=WhNxJkMZtmA

Sergio dit: à

On mettrait deux trois lanternes, dans ces harbres, ben on les verrait mieux…

Centre Henri Pieron dit: à

Qu’il y ait eu quelqu’un de clair et complet dans la bordelique école de Palo Alto, c’est l’exception qui confirme la règle!

berguenzinc dit: à

eh bien alors, y a eu une météorite? tout le monde il est mort?
bon, je vais faire un feu, ça caille

Widergänger dit: à

Rien qu’une alerte attentat rue Saint-Denis !

Heureusement fausse alerte. Mais ça a suffit apparemment…

Widergänger dit: à

Si je comprends bien, dans ta Margeride d’adoption, tu t’apprêtes à voir bientôt les loups apparaître…

Widergänger dit: à

Jacques Derrida derrière sa vitre, comme s’il avait pressenti sa prochaine disparition ? Photo rétrospectivement assez émouvante. Ce qui est émouvant également, c’est que dans son séminaire sur « La bête et le souverain », Derrida parle à mots couverts, à plusieurs reprises, de sa mort prochaine quand il explique ce qu’il en est du « mourir » pour Heidegger. Comme si au fond son discours et sa vie venaient témoigner de la profondeur de ce que pense Heidegger de l’homme en tant qu’être-pour-la-mort et de différence essentielle d’avec la mort des animaux, différence pourtant que son séminaire s’efforce de contester.

bérénice dit: à

berguenzinc 11h, c’est D qui évoquait hier le charme de l’automne débutant, pas de champignons là où vous êtes?

bérénice dit: à

WGG les animaux seraient privés de conscience d’être du danger du mourir, d’où d’ailleurs la fuite quand un prédateur se présente. Depuis ce Martin qui vous est cher l’éthologie a avancé, l’ontologie s’est cimentée dans le buste d’Heidegger.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*

*