Pour saluer Raoul Girardet
« Vu de droite, cela vous va comme titre ? – Non, cela ne me va pas. Trop réducteur ». Et il tint bon des semaines durant face à la demande courtoise mais insistante de l’éditeur François-Xavier de Vivie, alors le patron de Perrin. Et Raoul Girardet, qui vient de disparaître à 95 ans, co-auteur en 1990 d’un livre d’entretiens conduits par votre serviteur, obtint gain de cause. Le titre lui convenait d’autant plus qu’il l’avait trouvé : Singulièrement libre. Ce qu’il était. Autrement dit marginal, non-conformiste, peu complaisant, ennemi des tabous, mais résolument à droite et fier de l’être, ne reniant rien des valeurs qui l’avaient fait : honneur, fidélité, tradition. « Vous êtes sûr, M. Girardet ? En renonçant à « Vu de droite », vous vendrez deux fois moins… – Ah, et alors ? »
Cet homme de convictions, qui n’avait pas son drapeau tricolore dans sa poche, était de la classe d’un Raymond Aron. D’où vient qu’il fut bien moins connu et moins célébré ? D’une certaine paresse qu’il était le premier à reconnaître non sans coquetterie. La France était sa spécialité. Son œuvre est mince (une dizaine de livres) et, à son image, discrète ; mais dense, puissante, influente. Elle eut un large rayon d’action. Sa bibliographie, constituée principalement d’essais historiques sur la société militaire, le nationalisme et l’idée coloniale français, était sans commune mesure avec son aura. Rarement un professeur aura été autant respecté, adulé, à SciencesPo qui était « sa » maison, mais aussi en Sorbonne, à l’Ena, à l’X, à l’Ecole de guerre où il avait également enseigné quarante années durant. Il faut dire que son charme était par bien des côtés irrésistible.
Ironique et précis, ce styliste s’incarnait dans son style en toutes choses. Polémiste et bretteur à ses heures, il ne perdait jamais son calme, le sourire aux lèvres. Son franc-parler n’en était pas moins ravageur à l’occasion. Avec un sens de la litote dont il était coutumier, et un souci de la langue aussi affirmé à l’écrit qu’à l’oral, d’une intelligence érudite zébrée d’intuitions lumineuses, préoccupé de clarté dans l’expression, de concision en toutes circonstances, d’esprit de synthèse, de netteté de la pensée, il se présentait comme « un universitaire accepté par ses pairs et non récusé par ses étudiants ». Lorsque je fus convaincu que le grand historien du sentiment national préférait décidément se promener, discuter avec les étudiant(e)s et lire plutôt que de s’atteler à l’épreuve des « Mémoires » que tant d’éditeurs lui réclamaient depuis tant d’années, je le poussai à les parler à défaut de les écrire. Ce qui m’était arrivé à une autre occasion dans les mêmes circonstances et pour les mêmes motifs, avec Antoine Blondin. Pour qu’une trace biographique reste de leur passage ici-bas, dans le fol espoir d’éclairer un peu plus leur œuvre, car cela seul compte, et non pour livrer y un misérable tas de secrets.
On parla donc : ses origines, sa famille, sa jeunesse entre les deux guerres à l’Action française et les Camelots du roi, la défiance vis à vis de la pénétration de certaines valeurs dans les esprits européens qu’il conceptualisera plus tard comme une « imprégnation fasciste », la clandestinité et la Résistance sous l’Occupation, Fresnes dans les derniers temps, l’hostilité au résistantialisme, le combat pour l’Algérie française, l’OAS, la prison à nouveau (jamais il ne perdit une occasion de dénoncer publiquement la faute et le crime du général de Gaulle lorsque celui-ci lâcha les Harkis qui avaient servi la France), les amitiés indéfectibles sur la durée du romancier Jacques Laurent et de l’historien Philippe Ariès, l’admiration inentamée et reconnaissante pour son maître Pierre Renouvin, l’admiration critique pour Maurras, le souvenir d’étudiants prometteurs qui ont fait leur chemin (Jacques Attali, Jean-Pierre Chevènement, Laurent Fabius, Zeev Sternhell et tant d’autres)… Il était tout sauf sectaire.
« Qui aime –et je cite au hasard- les jardins, les chiens et les collines de l’Ombrie, Giraudoux et les fresques de Santa Maria Novella, la Marianne de Marivaux et le lent glissement des nuages sur le ciel, se situera toujours, en tout cas pour moi,, sur un plan plus réel de compréhension et d’intimité que bien des partisans, anciens ou moins anciens de mon bord »
Il se voulait le témoin, mais un témoin certes engagé, du passage de la France d’un monde à l’autre : la France de la messe en latin et des instituteurs aux cols durs cravatés de noir, la France de la victoire glorieuse et épuisée, marquant de ses taches roses la carte du monde, un pays dont les femmes ressemblaient encore aux dessins de Benjamin Rabier (mais qui se souvient encore de Benjamin Rabier ?), cette France qui fut la sienne et qu’il n’évoquait pas sans nostalgie, passant le relais à une nouvelle France « où je me retrouve sujet d’une toute autre patrie, citoyen d’un tout autre pays ».
Lorsque parut Singulièrement libre, Jacques Laurent m’écrivit une longue lettre formulant un reproche : trop de politique ! La vie, ce n’est pas cela. Sans se concerter avec son ami, Girardet me fit la même remarque tant la politique lui apparaissait comme la pire tare de la vie intellectuelle française. Trop d’idéologie ! Non qu’il reniât quoi que ce soit d’un passé qu’il considérait avec fierté. Mais il regrettait qu’on lui ait accordé tant de place au détriment de ce qui avait véritablement fait sa sensibilité : Giraudoux « qui n’est plus lu car il s’exprimait dans un français si beau qu’il en est devenu aujourd’hui illisible », Péguy dont une phrase (« Celui qui rend une place ne sera jamais qu’un salaud, quand même il serait marguillier de sa paroisse”) découverte dans L’Argent avait engagé et gouverné sa propre vie tout au long du XXème siècle, la détestation de Sartre et de Malraux, la fascination pour l’essai de Claude Digeon sur la Crise allemande de la pensée française (PUF, 1959), quelques tableaux inoubliables, des films d’Eric Rohmer incarnant à ses yeux l’élégance française… Toutes choses bien plus profondes et plus marquantes que la politique.
Raoul Girardet creusa toute sa vie le même sillon jusqu’à ce que, il y a une dizaine d’années, le destin l’enveloppe progressivement dans les brumes d’Alzheimer. L’homme intime et privé, tout autant que l’historien des idées politiques, demeura fidèle à une certaine idée de la France. Pour qu’il n’ait pas œuvré en vain, espérons qu’il ne l’a pas emportée avec lui.
812 Réponses pour Pour saluer Raoul Girardet
Bon papier.
Ah ! RG, la liberté et les auteurs à succès signés Gallimard 😉
On se souvient Assouline, un exemple de Rabier :
http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/2/20/Benjamin_rabier_le_printemps.jpg/260px-Benjamin_rabier_le_printemps.jpg
La France dort.
la détestation de Sartre et de Malraux
—
Personne ne connnait ce grand historien français hors les frontières de la plus petite France. A-t-il au moins été traduit en langue étrangère? Je n’ne suis pas sûr. C’est dire son rayonnement…Le monde entier connait les deux qu’il aborrhait, et qui continuent à inspirer bien des vocations, notamment sur les campus des pays émergents.
Le débat franco-français sans cesse remâché est l’impasse absolue, la camisole qui tue ce pays plpus sûrement que les délocalisations, Schengen, etc.
Il faudra un jour se pencher pour la fascination de Passou pour ces personnages troubles pour qui la terre ne ment pas. Que d’efforts pour gagner le droit d’être ‘français’à part entière…
Une ressemblance physique avec l’actuel premier ministre qui par son bilinguisme aide la France à se poser, tranquille, à coté de son puissant voisin. Bronzage iodé qui indique une vue de l’ouest, assurément.
Tout le billet respectueux de Passou tourne autour des choix clairs de Girardet et de sa singularité faite de franchise et de liberté …
Et bien non ! Il s’en trouve pour mettre en avant « la fascination de Passou pour ces personnages troubles ».
Trouble ! Girardet !
… comment peut-on être aussi bête pour se tromper si souvent ? Stupéfiant… En étant le contraire du défunt, probablement : un petit bon à rien délocalisé, arrogant sans raison, vivant au frais de la princesse, cette bonne fille qui entretient sa propre vermine.
Le défilé « Braque Haiti Conférences à l’auditorium visa pour l’image… » constitue-t-il un exercice test pour un dépistage de cette triste maladie qui sévit et nous ravit bien des esprits parmi, aussi, les plus brillants?
Quand on ne naît pas français on le devient. Idem pour pas mal de choses, il faut travailler pour obtenir le droit de l’être plus qu’autant que ce que la naissance vous confère.
« Sans ce concerter avec son ami, Girardet me fit la même remarque tant la politique lui apparaissait comme la pire tare de la vie intellectuelle française »
« Sans SE concerter avec son ami » … il me semble.
JC, vraisemblablement Passou écrit tout en écoutant Concert in Koln ou autre fadièse du répertoire.
« l’hostilité au résistantialisme, le combat pour l’Algérie française, l’OAS, la prison à nouveau »
—-
La clarté incarnée. La plus belle France.
La France qui gagne (Tony Parker,Teddy Thamgo, Teddy Riner et co. vous saluent bien.)
Tiens, ça me donne envie d’être gaulliste, comme l’ami Régis.
Il faut resituer ces positions dans le contexte historique, vous ne l’avez pas vécu, comment savoir où vous vous seriez situé à l’époque? Du moins est-il allé au bout de ses engagements(ceci dit, sans rien en savoir).
Et puis le stalinisme et Sartre?
Le niveau monte. Comme celui des eaux du Mékong. tien, il faut que j’aille voir au bout du jardin. Mes manguiers….
Souverains poncifs, priez pour moi!
Le stalinisme serait « un détail » ?
– Chef, on s’enfonce grave!
– T’inquiète, c’est juste la lourdeur qu’on trimballe et la boue dans laquelle qu’on est. Marche et tais-toi. On va les buter, ces melons!
Bloom, sinistre plaisanterie l’Algérie n’est plus française l’Algérie est en France, à votre avis pourquoi? Une langue commune?
Il ne pense qu’à buter, c’est donc un vice ?
Il est temps que ça se réveille derrière la ligne bleue des Vosges.
Raoul Girardet a déploré que soient abandonnés les partisans algériens qui ont combattu pour la France, a critiqué la récupération du mouvement de la Résistance opérée par des partis dont on peut douter du réel engagement en temps réel, et ce serait mal?? Qu’il ait défendu et soutenu le projet d’une Algérie française en ignorant la méthode employée reste discutable. Lire « Où j’ai laissé mon Âme « de Ferrari, insoutenable et éclairant.
Bloumy : quelques commentaires insignifiants pour amener cette vaniteuse vantardise : « son ami » Régis.
Confirmation: la France qui se lève tôt devrait rester couchée.
« l’Algérie est en France, à votre avis pourquoi? Une langue commune? »
Votre question, Bérénice, peut amener une réponse plus prosaïque. Moins noble, si vous voulez. Les généraux algériens, ayant confisqué à leur profit les ressources du pays mises en valeur par les Pieds-Noirs, ayant empêché les islamistes de prendre le pouvoir par les urnes, ayant fait plus de 100.000 morts en dix ans, la société algérienne étant bloquée, l’exode des barbus en France pouvait commencer pour une colonisation à l’envers au prétexte de regroupement, d’enrichissement par la diversité. Cette colonisation s’est déjà réalisée dans les urnes en France, FH ayant reçu l’adoubement des croyants à 93%. Ce n’est pas la « langue » qui est partagée, mais le gout de la colonisation, inversée depuis l’indépendance ratée. Juste retour des choses ?
… rester couchée, d’autant que Bloumy veille à la relever (la France).
Leo Bloom Pold de 6.05,
Quelle idée de comparer le rayonnement international d’un universitaire français qui n’a travaillé que sur les idées politiques en France (thème dont on sait qu’il passionne les foules un peu partout dans le monde ! mais soyez assuré qu’il n’est pas de recherche dans une université étrangère qui se penche là-dessus sans partir de Girardet) et ceux d’un écrivain et d’un philosophe dont l’oeuvre à des ambitions nécessairement universalistes…
Croyez-moi, et quoi que l’on puisse penser de son parcours, il est tout sauf trouble. Il n’y a pas plus net. C’est même sa qualité première.
A l’évidence nous en sommes à l’age de l’homme arc en ciel qui sort de son carquois la couleur qui lui permettra d’obtenir le plus grand bénéfice en terme d’électorat, sauf les démissionnaires nostalgiques de l’age des cavernes et qui espérons continueront d’influer sur le débat au moyen d’autres vecteurs que ceux utilisés part les tenants des titres. Si tant est que le débat soit plus que celui d’un illustre théâtre où se jouerait l’endroit d’un décor qui cache son revers.
Je fus élève de Raoul Girardet à Sciences-Po. Un professeur vénéré qui « élevait » l’esprit de ses étudiants.
« Pour un homme de ces années du XXe siècle à l’humeur un peu vive, un total de moins d’un an d’incarcération ne me paraît pas constituer un score particulièrement remarquable »Raoul Girardet cité par Jean-Philippe Catinchi, »le Monde »
Cette manière de ne pas la ramener me rappelle celle de Lucien Jerphagnon qui,à la question d’un journaliste qui lui demandait ce qu’il pouvait dire de son expérience de la déportation en Allemagne,avait répondu: »c’est quand même mieux d’être tout seul au cabinet »
« l’actuel premier ministre qui par son bilinguisme aide la France »
Tout porte à croire que l’actuel p.m. maîtrise aussi bien l’allemand que LML le français.
60 millions d’élèves dans la 5ème B, si ça, c’est pas une classe surchargée…
http://www.europe1.fr/International/Effroyable-le-lapsus-allemand-d-Ayrault-1313149/
Objection, Passou.
– Il est bien des historiens français qui sur des sujets français pas vraiment grand public ont été traduits en anglais et ont atteint une audience « planétaire »: je pense à Montaillou, de Le Roy Ladurie, Louis 14 et 20 M de F, de Pierre Goubert, pour n’en citer que deux.
Inversement, tout francophone ne s’intéresse pas nécessairement à la Formation de la classe ouvrière britannique, d’EP Thompson, mais chacun peut y avoir accès en français.
– Je ne suis pas sûr que la distinction entre l’historien voué au local et le philosophe à l’universel soit généralisable. En tous cas l’un peu devenir le relais de l’autre, cf. Lavisse, dans son Manuel d’histoire de France (Cours Moyen, 1912) : « En défendant la France, nous travaillons pour tous les hommes de tous les pays, car la France, depuis la Révolution, a répandu dans le monde les idées de justice et d’humanité. La France est la plus juste, la plus libre, la plus humaine des patries. »
Pour la clarté, je veux bien vous croire, il n’y a que la foi qui sauve, après tout.
Allons, allons, pour Bloumy, il n’est de GrandUnviversitaire que parmi ceux qui ont publié 1°/ dans les revues anglo-saxonnes 2°/ uniquement celles classées triple A.
D’autant que Bloumy veille à la relever (sa mentula omnisciente).
Je ne connaissais Girardet que de nom, mais deux phrases de l’article me l’ont rendu instantanément sympathique: « Cet homme de convictions, qui n’avait pas son drapeau tricolore dans sa poche, était de la classe d’un Raymond Aron » et surtout: « la détestation de Sartre et de Malraux ». Quelqu’un qui déteste les deux plus grands escrocs de la littérature française du XXe siècle ne peut être qu’un type lucide et bien informé.
@ Leo Bloom Pold
« Le monde entier connait les deux qu’il aborrhait, et qui continuent à inspirer bien des vocations, notamment sur les campus des pays émergents. »
« Le nombre des imbéciles est infini », dit la Bible. Et Rabelais: « Amys, vous noterez que par le monde y a beaucoup plus de couillons que d’hommes » (Le Cinquième livre, VIII).
« Personne ne connnait ce grand historien français hors les frontières de la plus petite France. A-t-il au moins été traduit en langue étrangère? »
Comme d’habitude, tu te trompes. Deux de ses livres ont été traduits en espagnol: « Mitos y mitologías políticas » et « El nacionalismo francés ».
Deux de ses livres ont été traduits en espagnol
Pablo75 dit: 26 septembre 2013 à 8 h 52 min
Por favor, para este tio, cuando se habla de idioma, solo se trata del ingles.
A-t-il au moins été traduit en langue étrangère? »
—
cela ressemble à une question… oui, c’est une question.
c’est quoi ce machin à tutoyer? pas souvenur d’avoir gardé les chèvres avec un homuncule braillard, pourtant.
pass by, weevil….
(Rassurez-moi : on parle d’accident domestique quand, p. ex, un enfant se brûle avec le lait qui était sur le feu, n’est-ce pas ?)
Que d’efforts pour gagner le droit d’être ‘français’à part entière…
c’est quoi ces conneries « d’efforts » kabloom..à la france on succombe..et des mangues pour l’humilier !..c’est bon c’est certain..et dieu n’a pas voulu qu’elles y poussent pour qu’il en reste un peu pour les autres
Benjamin Rabier (mais qui se souvient encore de Benjamin Rabier ?)
..internet lassouline, c’est une microstar internet..c’est fou cque c’est à la mode ce genre de crobard..les gens, faut se souvenir d’eux lassouline
tu sais kabloom..les mecs de droite font pas dla politique normalement à la loyal..dabord il commence par dire « je fais pas de politique »..puis il ajoute « ..ou trés peu »..aprés il continue « je préfère ma soeur ».. »le soleil ».. »le ciel bleu »..qui objectivement est de leur coté c’est certain..dailleurs il suffirait de leur demander.. »un bon poête sait le faire, lui! « il ne font pas de politique, eux! aprés avoir esprimé leur « goûts »..détachés..simple..sans excitation..zont horreur des ecxitations..il esprime leur « détestation »..là on a le droit de se lacher un peu que diable!
..c’est pas ça, c’est tout un exercice de style per sé de causer comme ça, ça forge la plume direc tout petit, chafouin dans la franchise, franc du collier a clou de mollosse..par coeur que jles connais
@ Leo Bloom Pold
« c’est quoi ce machin à tutoyer? »
Pauvre chou… En plus d’un pédant hors normes, tu es de du genre à vouvoyer ton chien, je vois (un genre de minaudier qui n’existe qu’en France, d’ailleurs).
@ MDR
« para este tio, cuando se habla de idioma, solo se trata del ingles. »
Exactly… 😉
– Qu’est qui vous arrive, mon petit monsieur ? Cinq dents de devant cassées, c’est malheureux …
– Cheu foulez-vous, dochteur ! Ma femme dit que « chest un acchident domechtique » !
« La France qui gagne (Tony Parker,Teddy Thamgo, Teddy Riner et co. vous saluent bien.) »
Ah ce bloom, deux de ces jeunes héros du socialisme triomphant ( malgré eux) ont un jeune passé TROUBLE, l’ un pour violence sur une athlète féminine lors d’ un stage, l’ autre pour avoir dénoncé et fait renvoyé une serveuse lors d’une soirée…et que dire encore du troisième, la presse en est encore chaude de ses nouvelles!
On a raté Thuram et sa médaille de cogneur patenté!
Après une petite virée du côté des manguiers, je suis rassuré (Phil, si vous passez, je mets le St Emilion au frais, c’est promis). Le grand fleuve couleur café (pas Combelle) m’inspire une catachrèse à dix baths qui me fait bien marrer – mais qu’il est kong…
(un genre de minaudier qui n’existe qu’en France, d’ailleurs)
lance lui une mangue pourrie a la giffe kabloom..et insulte le en mandarin ce redneck de l’aute coté du riogrande
« aprés il continue »le soleil ».. »le ciel bleu »..qui objectivement est de leur coté c’est certain.. » (bouguereau)
C’est ça, tu politises la nature, tu finis sénateur comme Placé.
..hé ouais zouzou..la science ça fait les mecs de droite tout couillon..vla lprobloc
note qu’elle est pas plus science que le poête est bon..sauf que voilà..pour faire barrage reste pus qule pognon..et la rhetorique du pognon paradoxalement c’est la ruine du mec de droite..c’est trop cru tu comprends..ça se voit trop
Effectivement on a tous entendu parler de
Tony Parker,Teddy Thamgo, Teddy Riner et co.
…Mais pas de Girardet, oui, c’est bien le cas de le dire!
Euh, Bloom, votre entrée en scène à l’acte I me paraît ratée à 100%.
C’en est même remarquable.
Bientôt, l’acte II.
« note qu’elle est pas plus science que le poête est bon..sauf que voilà..pour faire barrage reste pus qule pognon.. »
Tu t’embroulles, mec.
Si on parle d’un Girardet, quelle place occupe le pognon, et la science avec un grand S?
Ah ce bloom, deux de ces jeunes héros du socialisme triomphant ( malgré eux) ont un jeune passé TROUBLE, l’ un pour violence sur une athlète féminine lors d’ un stage, l’ autre pour avoir dénoncé et fait renvoyé une serveuse lors d’une soirée…et que dire encore du troisième, la presse en est encore chaude de ses nouvelles!
—
Les RG ne sont pas un mythe. Charmant personnage, le condé.
T’inquiète le Boug, il y a mieux que la mangue pourrie, le durian – c’est comme une matraque d’homme préhistorique, c’est interdit dans les transports en commun, ça pue le Vieux Lille puissance 10, et ça tue les farang qui le bouffent en buvant de l’alcool.
Comme l’autre taré est complètement imbibé, ça va l’envoyer rejoindre Girardet. Y pourront dégoiser sur Jean Sol.
jla trouve trés bonne ton entrée kabloom..shakespeare c’t’un lourd..londre c’est comme amsterdam « plein de bière et de drame »..et ça pue la morue..et maintenant il te fourgue la morue plus cher que le loup..de ligne attation..je parle pas de ces saloperies élévée au gras de jambon dans les pays du nord
Des contraintes budgétaires imprévues nous obligent à annuler l’Acte II du one man show d’un obscur artiste de rue, Bloomie le Hugly, titulaire pourtant du prestigieux certificat d’études comiques.
Exact,
pour Raoul, y’a pas foule!
Et ça me met les boules
Ces trouducs, ces maboules
qui causent dans la semoule
Ma culture c’est tango, latino, ta/moule
au passage et puis c’est cool!
Merci de vos remarques, u. On va essayer de se bonifier. A chacun ses petits défauts.
le durian
vontraube en avait déà parlé ici même..vontraube il s’y connait en machin qui pue c’est certain
DJ, je t’adore mais tu rames (hi,hi!)sec!
La « catachrèse » de Bloumy n’en étant pas une, on en conclut qu’en lieu de DEA il n’a obtenu qu’un DEL (sic)… L pour « légères ». ll s’est aussi tropicalisé du coté du bulbe.
En Asie du Sud-Est, le durian, c’est comme le kimchi en Corée, ça pue que tu le veuilles ou non.
En attendant, et histoire d’avoir encore un peu plus la mangue pour le lancer de dur-durian à la tronche de l’autre escobar, je retourne à la consolidation du FSP mobilisateur C.F.S.
Le trouble Malraux, voleur et prédateur avant de s’ envoler vers le succès…
..l’argent peut pas tout..les gens l’interdisent
« s’ envoler vers le succès… »
De sa fameuse brigade Espagnole, voulez-vous dire?
Faut pas confondre le Sang Poumy et le champagne, comme le chant Bloomy et la castagne!
« je parle pas de ces saloperies élévée au gras de jambon dans les pays du nord » (b.)
Toi aussi, en politique, tu regrettes la malbouffe?
(Le lien: politique, nation, histoire)
Après l’éditorialiste du Monde, la validation du sociologue:
« Roms : la vocation de Manuel Valls », par Eric Fassin (Le Monde)
Il illustre le ravage de « l’analyse des discours », qui accommode les cacahuètes de la sémiologie à la vinaigrette de la théorie méta-politique.
C’est un discours du maître, même si le maître revêt les hardes de l’outsider globalisé.
On cherchera en vain, chez ce sociologue, une étude empirique des propos et des actes des principaux partenaires de ce drame social: roms de France, roms de Roumanie, municipalités, riverains, policiers…
Le prêtre, sous l’habit de lumières du « radical chic ».
Pour ma part, ma réponse est le Stinkefinger réservé par M. Steinbrück à ses critiques
http://www.letemps.ch/rw/Le_Temps/Quotidien/2013/09/13/International/ImagesWeb/sueddeutsche%20Stinkefinger%20Peer%20Steinbrück–672×359.jpg
Bel incipit, dear passou.
Malraux, l’esprit embazardé comme un cimetière de Prague, parlait mieux qu’il n’écrivait, Girardet invite donc naturellment à relire Giraudoux pour la phrase, tant l’esprit de France se retrempe de sa littérature. Les avatars é-Millettés d’aujourd’hui, genre Camus, tige gaytoïsé à la Finkielkraut, ne doivent pas faire oublier les débats confisqués (par abus de « résistensialisme » ?) à la couleur Combelle qui firent la France d’hier et celle d’avant.
Difficile d’accompagner le foie gras avec un Saint Emilion sans l’avoir servi..frappé. Bloom s’y emploie et, ma foi, voyons si l’exercice est profitable, comme disait Lang (pas Jack. Fritz.)
u.,
il faudrait commencer par les discriminations dont ils sont victimes dans le pays d’origine, et, éventuellement, demander des comptes à propos de l’argent que l’UE a alloué à leur intention, et qui est fini on ne sait où… si l’article du Monde ne parle pas de ça il ne vaut pas la peine de le lire.
@ Leo Bloom Pold dit:26 septembre 2013 à 10 h 09:
Le Durian c’est comme l’odeur de……..D.-JC, infâme !
Pour ce qui est du kimchi, cela sent assez mauvais quand ce n’est pas encore cuit et seulement macéré, mais pas plus que certains fromages à pâte molle. Cela se mange comme un condiment ou en Dim Sum/Ravioli asiatique. J’ai un extraordinaire souvenir de kimchi en Dim Sum cuit à la vapeur, puis frit de couleur doré. Et puisque vous parlez de cuisine coréenne, le meilleur sont ces petits plats d’accompagnement, se présentant comme de minuscules tapas. Dans les restaurants de Seoul, quand une ravière est vide, c’est automatiquement remplie à nouveau. Le grand-magasin Huandai, a un étage alimentation qui rappelle le KWD, c’est immense et plus luxurieux, mais moins jolie que le Harrod’s Food.
Pour les restaurants coréens, le quartier du Louvre, en est plein et dans dans une rue tout près un super-marché coréen.
Et puisque vous parlez de cuisine coréenne, le meilleur sont ces petits plats d’accompagnement, se présentant comme de minuscules tapas.
—
Je crois me souvenir que le kimchi en fait partie, les radis blancs au piment itou, simplement di-vin…
Goûtés pour la première fois rue des Cannettes, en même temps que le bouton d’or de la maitresse de maison aux matins calmes et nuits de torrent.
« Confirmation: la France qui se lève tôt devrait rester couchée. » Ce M.Bloom qui commente grassement ce blog depuis 6h05 et continue encore jusqu’à 10h09 en a fait sa devise? Vraiment rien d’autre à faire dans la vie?
vontraube..herr doktor en sent bon
Le prêtre, sous l’habit de lumières du « radical chic ».
calçon zébré à pois..tu craques le sac zouzou
il faudrait commencer par les discriminations dont ils sont victimes dans le pays d’origine
gueubelçe c’est toujours l’alpha
Malraux, l’esprit embazardé comme un cimetière de Prague, parlait mieux qu’il n’écrivait
..avec youtube c’est dans l’marbre tout pareil que giraudoux illisibe..
à la librairie y vende des cierges parfumés au hakik phil..t’en achétes un avec un pad coréen et tu load malraux..un peu que ça dépote
le premier mec de droite qui a des idées
@ bouguereau dit:26 septembre 2013 à 9 h 59: « le durian
vontraube en avait déà parlé ici même..vontraube il s’y connait en machin qui pue c’est certain »:
Bof, quand on a vécu à Singapore, on connait l’odeur du D.urian et même, le goût, tout à fait écœurant, D.goûtant. En sorbet c’est la présentation la moins infecte. J’ai essayé par curiosité ce fruit qui pue, je me veux flexible, il n’y a rien de pire…
En dehors du D.urian, je ne pense pas m’y connaître en mauvaises odeurs, pas plus que vous. Mais moins que les fachos qui trainent leurs commentaires débiles (per se ?) sur la toile.
La meilleure odeur de l’Asie du sud-est, celle des fleurs blanches et rose, ces extraordinaires Frangipani.
By the way, il faut remettre Raoul Girardet dans son contexte de génération. Résistant, puis OAS, ce n’est pas incompatible. Avoir voulu garder l’Algérie dans le giron français, n’est pas un crime, mais en son temps un mauvaise vision sur l’avenir. Si les Algériens, comme les Juifs locaux, étaient devenus Français, l’Histoire se serrait peut-être écrite autrement ? Ceux qui considèrent que l’Algérie se trouve en France, en texte clair, qu’il y a moins de Français de souche que de Français d’origine du Maghreb, en ajoutant ceux qui sont encore des Nationaux Algériens: Ces mêmes xénophobes sont ceux qui collaborèrent à la Shoah ou sont leurs héritiers.
Quant à la messe en latin, cela ne plaide pas non plus pour Raoul Girardet, mais bon, cela ne regarde que les gens qui fréquentent les églises sur des bases régulières.
Malraux voleur ? Chacun a une part d’ombre. Pour moi, le pire de Malraux, fut sa diction..
Pour moi, le pire de Malraux, fut sa diction..
c’est comme le vieux lille..kabloom sait bien que « ça a pas le gout d’l’odeur » comme aucun anglais ne pourra jamais comprende
Bougreau, Malraux a devancé la génération ipode, lessivage par oreillettes.
Portrait d’un homme battu !
@ “le bouton d’or de la maitresse de maison aux matins calmes et nuits de torrent.“: Comme le bouton est au singulier (not the Gertrude Stein’s « Tender Buttons »), pourriez vous expliquer de quoi vous parlez ?
le lien
en ajoutant ceux qui sont encore des Nationaux Algériens: Ces mêmes xénophobes sont ceux qui collaborèrent à la Shoah ou sont leurs héritiers
ce que j’aime chez toi vontraube c’est ces courts circuits pas possibe..et en fait t’as pas tort..car en vérité la droite c’est le poéte..et la gauche la science..ma mère la science molle de la sociologie caisse qu’elle leur aurait foutu sur la gueule ! ça aurait pas été beau à voir c’est certain..degaulle qui avait des préscience de nez qui coule avant le match a du passer une drole de nuit dans les cordes avant de se décider
le lien
« dze link » on dit baroz..t’es homo par trouille et démissions baroz..monte un peu sur le ring espèce de..
Je raccourcis les circuits ? Ou je mets en présence des fils électriques qui en principe, ne se rencontrent que rarement ?
La matinée est bonne, D.urian est une bonne image odorifère.
Cela me rappelle un film avec Divine
« Le Durian c’est comme l’odeur de……..D.-JC, infâme ! »
TKT
La burne ne peut s’en empêcher, c’est d’ailleurs à cela qu’on la reconnait.
Cela me rappelle un film avec Divine
..ptouptou..c’était degueu
De Gaulle est en réalité le sauveur des partisans de l’Algérie française.
Le maintien des départements d’Algérie dans la France exigeant à terme l’égalité des droits, ces coloniaux à courte vue se seraient retrouvés dans une entité franco-arabe. Les problèmes qui agitent aujourd’hui ce courant au titre de l’immigration aurait été multipliés par 100.
De Gaulle avait eu le réalisme de voir que cette fusion était impossible et, du reste, souhaitée par personne.
En coupant les liens dans un contexte de pré-guerre civile, il a permis à la droite nationale de concilier le sens de l’honneur et un amour prétendu des Arabes dans la solidarité avec une communauté particulière, bien définie et localisée (les Harkis rapatriés).
Le rêve de l’honneur préservé faisant l’économie de ses conséquences.
Que ce lâchage des Harkis soit une faute, ayant généré un crime (le
massacre des Harkis), il est aujourd’hui à la fois juste et facile de le constater.
La tête de veau de Melun, n’a plus besoin d’entrainement et quant à ses burnes ? En a-t-il ? D.urian se dit vierge (même pas de plaisir solitaire), JC se dit de Porquerolles et y draguer en scooter. Vu la taille de l’île, on comprend qu’il soit encore puceau. Sauf que bien entendu son Porquerolles est une cité de banlieue dans une ville du Groß Paris.
D.bile votre « athlète de Vaud », depuis 2005, franchement, vous devriez changer de plaisanteries qui ne font rire que vous et Deschiens.
Vous pouvez mettre burne au pluriel, dans le meilleur des cas cela va par deux. D et JC, deux burnes ? Non, 1 durian en guise de « private parts »
« Pour moi, le pire de Malraux, fut sa diction.. »
N’accablons pas l’homme, mettons aussi en cause la dentisterie.
Cela me rappelle un film avec Divine
TKT
Tu faiblis vontraube, il faut écrire D.ivine.
T’es pas cohérent.
Non, Ducornaud, je ne prononce pas Divine à la française.
Mais que vous soyez divine quand vous signez Annette, est une possibilité.
TKT dit: 26 septembre 2013 à 12 h 19 min
Encore un abus de mauvais vin (tu dois vider seul ta cave ou quoi ?) dès le matin.
Ca te rend tout grognon.
Ou alors c’est le bichon qui a encore pissé sur tes Bata.
Faut dire que des Bata à glands c’est tentant.
Pour l’Athlète de Vaud depuis 2005, tu sais bien que c’est faux, deux à trois ans au mieux et même pas de moi (ce que je peux regretter)
Tu ne seras toujours qu’une burne solitaire mon petit Thierry, aigrie et rabougrie sans autre talent que d’être un dernier rejeton.
« dze link », le boug !
http://www.aol.fr/video/un-guitariste-joue-sans-les-mains/517944662/
Perso je trouve que la blog assoulinien tend parfois vers une « chambre verte », à la manière de Truffaut : l’autel des morts, en quelque sorte… Je dois avouer que cela m’éloigne un peu de notre hôte. Une personnalité comme celle de Girardet (disons, vite fait mal fait, droit dans ses bottes) ne m’attire nullement. Mais on peut respecter – de loin, fort heureusement, de loin. En tout cas, notre hôte s’en tire fort honorablement. Mais attention aux chambres funéraires, elles ne se rouvrent que difficilement (parfois).
Sinon, j’ai craqué : je me suis inscrite sur le forum de Breaking Bad, cette épatante série shakespearienne. Ahaha.
TKT, Hearst utilisait « Rosebud » pour parler de celui de son amante, les Chinois l’appellent « yīn dì » 阴蒂, ou « yīnhé » (阴核), le Tantrisme l’honore d’un mantra « salut à toi, joyau du lotus ».
Mieux que le Round Britain Quiz!
TKT dit: 26 septembre 2013 à 12 h 29 min
Non, Ducornaud, je ne prononce pas Divine à la française.
??????????
comme D.urian ?
12h53
Bloom, si vous vous sentez obligé d’expliquer l’ensemble des choses que TKT est inapte à comprendre, nous n’allons plus lire que vous.
Dites la reine du com- si vous retrouvez une connexion- que nous écriviez-vous déjà ?
Que Germaine Tillion était aussi apolitique, qu’elle a été résistante, n’a pas cautionné les généraux qui ont pratiqué la torture en Algérie, qu’elle a été claire, pas non plus sectaire et a creusé son sillon ?
C’est bien ça ?
Un bouillon KUB une branlette et au lit.
D.bile alias JC: Louboutin fait une paire de mocassins à dessin écossais et ornés de glands. Aussi une paire de sneakers, toujours pour Monsieur, avec des piquants en verre Swarovsky, ce serait l’idéal pour vous botter les fesses. Amusant quand vous êtes vexé, vous versez dans les images de chaussures et de chien. Franchement, il est temps que vous vous renouveliez, trouvez autre chose. Quant au mauvais vin, c’est aussi bêtissime. Allez Ducornaud, cessez aussi de me tutoyer, c’est vulgaire quand on n’a pas été présentés. Vous avez passé l’âge du tutoiement, à moins bien sûr que vous soyez un ancien tollard. Il y a longtemps que vous ne parlez plus de fine aigrette et culottes de peau, un de vos gags débiles.
« dze link », le boug !
ça c’est du foot djob comme dirait clopine
Clopine, la superbe photo de Clopin de la tête de votre chien à l’arrière de la calêche est digne de figurer dans la collection de renato !
Il y a longtemps que vous ne parlez plus de fine aigrette et culottes de peau, un de vos gags débiles
tu courcircuites derechef vontraube..tu dis « assez « pour ajouter tout de suite aprés « encore ! »
voir tout en bas !
D. alias JC sent le Durian, en plus mauvais, mais entre D. et Divine, aucun lien. Divine était plein de talent et franchement, elle devait être vierge de nulle part.
Que diriez vous de D.membré ?
« salut à toi, joyau du lotus »
en allemand ça donne « zig heil, rosenknospe’
C’est clair, y’a certaines couleuvres que l’on n’avalera pas !
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5836692x/f16.highres
Merci, Jacques, je transmettrai. Le chien s’appelle Ti’Punch : souvenir de Martinique, et jusqu’à cette année, ce mot n’était pas entré dans le dictionnaire. Nous avons désormais un chien commun – un chien d’infidèle, évidemment.
La « calèche » est un demi-tonneau, du genre que Charles Bovary conduisait, très certainement…
« Il faut dire que son charme était par bien des côtés irrésistible. »
ire résistible, indeed.
Moi, je suis pour qu’on réduise Malraux ses vols de statuettes khmères; Girardet à son appartenance à l’OAS, Sartre à son compagnonnage avec le PC, Passou à son siège de juré Goncourt, Foucault à son homosexualité, Derrida à sa judéité, Shakespeare à ses « lost years », Malcolm Lowry à son alcoolisme, Pound à son fascisme, Heaney à sa traduction de Beowulf, Gabo à son amitié avec Fidel, Van Gogh à Auvers, Goya à sa surdité, Blum à sa moutache…
Vive l’unidimensionnel jivariste!
@ Clopine: Il a une bonne gueule votre chien et un doux regard.
Look à la Peter Graves. Mission impossible.
« Le chien s’appelle Ti’Punch »
Le servil coupé en dés, avec liz gluant entoulé de feuille de bananier.
Avec petit velle de lhum du Planteul.
Lao Wang, cuisinier chinois.
Bloom, un siège de juré Goncourt, n’est ni une faute, ni un délit.
Pourquoi réduire les gens à une facette de leur personnalité ? Vous avez raison, sauf que quand même, certains facettes prennent le devant.
« Pour qu’il n’ait pas œuvré en vain, espérons qu’il ne l’a pas emportée avec lui. »
y’a un « nous » abusif, là; de le dire , ça c’est mission possible pour moi, Phil !
sapré tkt..toujours un air de facette vega
Jacques, le Blog de Renato se lit comme un Who’s who artistique et c’est le blanc et le noir qui est utilisé.
les journées dans les arbres,
le pluriel de majesté est tombé en déshérence. Il n’est pas le seul.
TKT dit: 26 septembre 2013 à 13 h 14 min
D.bile alias JC: Louboutin
Ah quand même !
Vous voyez tous ceux qui pensent que Thierry est un vrai con incapable de comprendre quoi que ce soit.
Après une bonne dizaine répétition, il a enfin vérifié sur wiki, maintenant il écrit Louboutin comme tout un chacun.
Bravo Thierry, encore un effort avec Todd’s et tu pourras remettre tes Bata.
Lowry, Under The Volcano
« But it’s amazing when you come to think of it how the human spirit seems to blossom in the shadow of the abattoir! »
Traduction de Claro:
« Incroyable quand on y pense la façon qu’à l’esprit humain de s’épanouir à l’ombre des abattoirs… »
Pas mal du tout, mais Claro a oublié de traduire « seems to »…C’est vrai qu’il est chiant ce Lowry, avec ses 3 verbes dans une seule phrase. Pas question d’en faire un adverbe (apparemment, visiblement)(la façon qu’a visiblement l’être humain…). Ca sonne mal, donc ça gicle. C’t’un point de vue…
C’est un peu mieux que de réduire Lowry à son alcoolisme, mais…
–
Machin : fait iech ce Bloom
Truc: un bouffon, ouais
Bidule: il est nul, le naze
What’his name: seems to…
–
Ah, le Mékong…
Le pluriel de majesté est tombé en déshérence, nous dit Phil.
Bof, c’est comme les comptes en banque en déshérence, il faut chercher un usage respectant les héritiers.
D. on doit écrire: après une dizaine « de » répétitions.
Vous voulez toujours corriger les autres et vous écrivez comme une bonniche de la campagne.
Voui, Phil, merci de lever toute ambiguïté sur ce particularisme français de France d’avant, qui peut ici, dans la chute, prêter à confusion.
On a les engagements qu’on peut, n’est-ce pas.
Bloom, un siège de juré Goncourt, n’est ni une faute, ni un délit.
—
Objection, TKT, si c’est pour voter pour Ferrari, c’est une grave faute de goût. Et our Henri Pourrat (Goncoirt 1941) c’est quasi un crime…
pour / Goncourt
It’s amazing when you come to think of it how the Bloumy’s spirit seems to blossom in the shadow of the abattoir!
TKT dit: 26 septembre 2013 à 13 h 59 min
Exact, pensez à la journée notaires pour vos héritiers.
La journée du don, c’est demain.
L’alcoolisme est une maladie qui amoindrit l’individu la cécité des intello face aux crimes des communistes se couvre providentiellement du bénéfice du doute, placer ce genre de défaillance sur le même plan que la judéité l’homosexualité pour classer les hommes dans une catégorie qui les éloignerait d’une clairvoyance certaine me parait plutôt malvenue. Il est vrai que Julien Dray conserve sa place au PS, qu’Althusser a continué de penser en dépit du meurtre de sa femme, que les époux Balkani forment un couple respectable que Luc Ferry fut contraint de revenir sur certaines déclarations injurieuses, Bernard Tapi est une victime. Réduire l’homme à ses fautes, crimes, hypocrisies, malhonnêtetés et la scène politique entre autres scènes se désertifierait, que deviendrions-nous sans eux? L’honnêteté est une vue de l’esprit très vite priée de replier bagages.
Mais qu’attend Claro, petit traducteur de seconde zone, pour proposer à Bloumy de revoir ses versions ?
mais tkt.. les héritiers qui ne comprennent rien à l’héritage, c’est justement ce que passoupline se décarcasse à expliquer comme un poivrier
TKT dit: 26 septembre 2013 à 14 h 03 min
Il y a du vrai dans ce qu’écrit l’observatoire, vous êtes vraiment une burne TKT.
TK c’est le Sony Chan de la Rdl.
Clopine: Il a une bonne gueule votre chien et un doux regard
empathy for the doggy..
il faut chercher un usage respectant les héritiers
belle définition du nous aristocratique vontraube
vous êtes vraiment une burne TKT
pour nous il en faut au moins 2 par tête vontraube..plus si entente aurait dit clemenceau
passoupline se décarcasse à expliquer comme un poivrier
sans moustache l’image est un peu leste
On sent laborieusement soigné le travail effectué pour la présente nécro. Mais si le style convient dans l’ensemble pour la mémoire du bonhomme, le contenu ne fait pas oublier un intellectuel bien peu sympathique, et qui n’aurait pas gagné à être plus connu, dieu merci.
Je ne comprends pas très bien la nécessité pour Passoul d’en rajouter dans sa chute malheureuse, en croyant faire son petit effet (tic récurrent)… Il nous dit son espoir que Girardet n’ait point emporté avec lui une « certaine idée de (cette) France », … maurrassienne en diable, quoique bien dans le tempo des « non conformistes des années 30 » comme les a dépeints avec brio un Loubet del Bayle. En effet, comment les mânes de ce type ou de ses ancêtres, les gens de cette clique-là, pourraient-elles encore innerver l’horizon que les jeunes générations cosmopolites d’aujourd’hui doivent construire pour vivre dans leur monde du XXIe siècle ? En quoi ce Raoul G., « hostile au résistantialisme » -(sic)pour le charabia passoulinien du jour-, pourrait-il les aider de quelque façon à trouver leur propre chemin ? Franchement, au nom de l’amitié, du devoir et de l’estime (ce qu’on ne lui conteste pas), il y a quand même chez Passoul des notices nécro qui déraillent vraiment souvent dans ce qu’elles charrient implicitement… Trop dommage.
L’alcoolisme est une maladie qui amoindrit l’individu
mais augmente la foule
Bloom autres temps autres mœurs, replongez-vous dans l’affaire Pierre Botton Michel Noir et vous parcourrez la distance qui sépare, on ne badinait pas avec ce genre de dossier y compris quand les accusés témoignaient de rares et supérieures trajectoires.
pourrait-il les aider de quelque façon à trouver leur propre chemin ?
mais précisément..qu’aurait écrit et dit un girardet devant s’installer « en terre d’islam ? » par exemple ? ou au texas..non pas qu’il faille l’imaginer, c’est tout simplement lui l’étranger
Boh l’alcoolisme c’est pas mal…
dailleurs il en est parfaitement conscient..et les étrangers sans parole ont beaucoup a partager, ils s’aident dans les aéroports pour trouver les chiottes et un point d’eau potable..bref a vivre
Boh l’alcoolisme c’est pas mal…
mais ça pique
» bonne gueule et un doux regard »
C’est comme cela que l’on observe les bons chiens-chiens serviles…
bloom
les néocons et leurs défenseurs se défoulent ici, ras le bol en effet
mais soyez assuré qu’il n’est pas de recherche dans une université étrangère qui se penche là-dessus sans partir de Girardet) et ceux d’un écrivain et d’un philosophe dont l’oeuvre à des ambitions nécessairement universalistes…
le billet est un bel exemple d’éloge académique !après tout je lis aussi P.Assouline pour compendre le franco-français à partir de lui : mais son « à partir de Girardet me semble quand même excessif, même pour le genre élogo(-nécro ?)
Une certaine idée de la France:
http://www.ina.fr/video/I13043985/le-livre-de-poche-et-le-mepris-video.html
TKT dit: 26 septembre 2013 à 14 h 03 min
…et vous écrivez comme une bonniche de la campagne.
Thierry nous une leçon solide de civisme ce jour.
…..Thierry nous donne une leçon solide de civisme ce jour.
pour compendre le franco-français à partir de lui
les trouduculs accomplis ça a quelquechose d’insuportablement cosmoplite et on apprend rien de la certaine idée qu’il se font d’eux
Rarement un professeur aura été autant respecté, adulé, à SciencesPo qui était « sa » maison, mais aussi en Sorbonne, à l’Ena, à l’X, à l’Ecole de guerre où il avait également enseigné quarante années durant. Il faut dire que son charme était par bien des côtés irrésistible.
ce n’est pas un si bon signe de « santé » des élèves !
Une certaine idée de la France
..le croquant n’a pas de mépris, il ne donnerait même pas sa place de videur de chiotte
« Nos Ancêtres le Gaulois; »
Réduire l’homme à ses fautes, crimes, hypocrisies, malhonnêtetés et la scène politique entre autres scènes se désertifierait, que deviendrions-nous sans eux? L’honnêteté est une vue de l’esprit très vite priée de replier bagages.
que deviendrions-nous sans eux?
Cela va très bien merci.
L’honnêteté est une vue de l’esprit très vite priée de replier bagages
Parlez pour vous et gérez votre malhonnêteté.
Pour moi, cela va très bien ; merci encore.
Vous avez fait vos choix vous les porterez ad vitam aeternam et venez pas pleurer car vous serez extrêmement mal reçue. Préparez plutôt les cartons pour le prochain déménagement. Ceux qui traitent les autres de burnes sont les premières à l’être.
Ceci étant, chaque homme, la femme en étant, est propre à s’améliorer si la situation est propice pour le faire : quand c’est la dégringolade, c’est que cela arrange chacun. Arrêtez d’essayer de nous faire chialer.
L’alcoolisme est une maladie c’est vrai : ni un vice, ni une tare.
Je commence à croire que certains prennent cela comme un cadeau.
C’est leur histoire, pas la mienne.
Non merci.
pour comprendre P.Assouline et son goût du blog!
» « un universitaire accepté par ses pairs et non récusé par ses étudiants ». Lorsque je fus convaincu que le grand historien du sentiment national préférait décidément se promener, discuter avec les étudiant(e)s et lire plutôt que de s’atteler à l’épreuve des « Mémoires » que tant d’éditeurs lui réclamaient depuis tant d’années, »
>TKT il y a des frangipaniers aussi aux Antilles. L’odeur est douce et la couleur superbe. Cela vient de l’arbre Plumeria nommé ainsi en l’honneur du botaniste Plumier Charles du XVIIème siècle.
Avant c’était le Plumiera mais il y a eu agglutination sans doute (très difficile à prononcer avec le I suivant le m).
En fait c’est facile s’il n’y a pas de syllabe derrière, sinon l’on peut peut-être dire que c’est imprononçable.
depuis que j’ai entendu Touki dit « Monsieur de la Malice » rappeler à F.Jullien, lequel avait trouvé distingué d’enseigner publiquement que la philosophie ne s’était pas arrêtée à Derrida que les chinois n’avaient pas inventé le zéro, mes questions d’universalisme ont été exaspérées: hier enfin, j’ai trouvé c^té chinois une réponse à la question difficile que je m’étais formulée.
Non mais les X dans ces temps-là c’étaient tous des Rouges, avec un bicorne à la place des oreillettes…
>Rose…Ceci étant, chaque homme, la femme en étant…vous voulez dire que l’homme est une entité qui embrasse la femme? Parce qu’à l’heure de la théorie du genre, on n’est plus sûr de rien
Et alors l’Ouasse par exemple ça c’était bien ; surtout le Petit-Clamart : lol, qu’on eût maintenant…
justement l’homme étant une femme et la femme étant un homme, il est temps d’y voir clair. Comme quand tout est brouillé. Même si la sensibilité de chacun est particulière, et que l’on apprécie l’un -mais pas l’autre, mais alors, pas du tout !- à (ben je sais pas à quoi) je ne vois pas l’intérêt de vanter des comportements à risque.
La théorie des gender studies.
>Rose. C’est bien ce que je pensais, je préfère être un homme qui embrasse les femmes un peu comme Sacha Guitry qui préférait être contre (tout contre) elles.
« les jeunes générations cosomopolites d’aujourd’hui » download « Les déracinés » sans le savoir.
D._JC, vos insultes sont des compliments et je vous dis le mot de Cambronne……..ou plutôt je vous dis « ne prenez pas votre miroir pour une fenêtre ouverte sur les autres ».
Je ne vous traiterais pas de burne, et le mot con n’est pas tellement approprié, ce serait insulter Irène.
Sacha Guitry comme phallo/macho, il se pose là.
L’important étant un homme qui embrasse une femme et pas les femmes : intérêt zéro. Si vous consommez, consommez.
>Thierry ce n’est pas vous qui traitez l’autre c’est l’autre qui vous traite.
Incessant et pénible au possible, intérêt nul. Maintenant Jacques B. est dans le lot. C’est comme la gangrène.
Et moi j’y ai droit au prorata de je ne sais quelles humeurs coriaces.
Plus que lassant ce blog !
Sacha Guitry comme phallo/macho, il se pose là, je suis bien d’accord à ceci près que certaines femmes semblaient apprécier, des sado/maso sans doute.
Alcools de Guillaume Apollinaire au moins on boit sans trinquer ! Sans injures, sans acrimonie, à se caricaturer pourquoi ne pas se prendre soi-même ?
rose, savez-vous si Paul Edel est rentré de Rome ?
vous vous faites un point de vue sans connaître les gens : quel en est l’intérêt ?
Puis, vous casez les gens dans des boîtes très étroites et vous les enterrez vivants. Quel est l’intérêt ?
Cela s’appelle de l’ostracisme.
Vous pouvez lui téléphoner pour le savoir.
Je ne suis pas concierge. Quoique, du hérisson, j’aimerais.
La fascination de Girardet pour le livre de Claude Digeon sur « la Crise allemande de la pensée française » est compréhensible.
Je me souviens d’avoir du le parcourir trop rapidement, pratiquement le pistolet sur la tempe, en me promettant d’un revenir un jour.
Comment ne pas s’intéresser à ce mouvement qui voit certains des meilleurs savants français partir en Allemagne après 1870, pour essayer d’y trouver les secrets d’une renaissance intellectuelle (et nationale)?
Les vieux Gabriel Monod, Michel Bréal ou Gaston Paris, puis plus profondément Lavisse, Seignobos, Blondel, Emile Durkheim, Marc Bloch, Lucien Herr, Charles Andler…
N’en jetez plus!
A l’époque du « je suis contre les femmes, tout contre » je ne savais pas que vous étiez un homme qui consommait les femmes. Maintenant j’en ai une idée avec « les poules de l’écrivain ». Toutes les poules.
C’est le problème… Un homme sur deux est une femme ; d’ailleurs c’est le grand Charles qui leur a donné le droit de vote et de regarder la télé…
« En quoi ce Raoul G., « hostile au résistantialisme » -(sic)pour le charabia passoulinien du jour-, pourrait-il les aider de quelque façon à trouver leur propre chemin ? »
Je ne suis pas de cet avis.
Le mot de résistantialisme (sans parler du néologisme plus récent de résistancialisme avec un c) est un concept ancien, tout à fait indispensable pour distinguer l’histoire (de la résistance) des idéologies qui l’instrumentalisent.
Girardet, résistant et historien, est dans une position parfaite pour exposer son point de vue (qui naturellement peut être critiqué).
Rose dit: « A l’époque du « je suis contre les femmes, tout contre » je ne savais pas que vous étiez un homme qui consommait les femmes. »
Puis Rose dit: « vous vous faites un point de vue sans connaître les gens : quel en est l’intérêt ? »
Je n’aurais su mieux écrire comme réponse.
était dans une position parfaite. Il n’est plus, las.
y avait-il en 1990 beaucoup de livres dont le titre affichait le mot libre, et constitué sur le même patron que « adverbe+ adjectif »
aujourd’hui, le titre qu’il a imposé me semble mieux réussir* dans le projet d’atteindre des lecteurs divers, ce qui est donner plus de chance au livre .
mais il ne me plaît pas pour autant! aléatoirement vôtre
* « homme libre toujours tu chériras »
OK désaccord complet avec vous.
Laissons là.
Il me souvient ce que vous écriviez à votre poule sur la faiblesse de ses arguments et qu’à la longue c’est lassant. Inutile de me réécrire, chaque fois que j’écris, je sais que je parle aussi de moi, avec toutes les faiblesses que cela implique.
Alors salut, j’ai du boulot trois fois hélas.
La différence entre vous et moi, laissons le pyjama, c’est de l’ordre de l’antiquité, c’est que j’essaie, péniblement souvent , mais je m’attache à, le plus possible, de ne jamais injurier les gens de manière systématique, de ne jamais pratiquer le harcèlement moral et de laisser toujours, à chacun, sa chance.
Et j’y crois tellement, de manière si convaincue, que cela irradie.
Pas besoin d’être à Sciences Po pour être immensément respecté/e, je vous l’assure. Il suffit – a priori- d’appliquer ce que l’on dit et de respecter l’autre comme un être vivant qui a toutes ses chances jusqu’à son dernier jour.
D’être honnête, sincère, de ne pas tricher.
Je vous le dis, vous m’éprouvez, et j’en ai un peu ras le bol d’être éprouvée par vous.
>Rose Ici les fils de discussion sont vite enchevrêtrés. Par pitié, citez vos destinataires même et surtout quand il s’agit de vous sinon cela devient un galimatias indigeste.
Ha le pyjama ça c’est l’horreur indescriptible…
lors de la première négo du salaire minimum son achat n’avait pas été inclus..le travailleur n’avait pas besoin de ça
Après une nuit, le pyjama a quelque chose d’indécent.
La chemise de nuit fait rire.
A poil, plus possible depuis Jean-Paul II.
Je n’ai pas la solution.
sur « Vu de »
je viens de lire un article sur les nombres premiers et dont la conclusion à la question clé « les mathématiques sont-elles une invention ou existaient-elles dans la nature » est formulée sur la rhétorique « vu de »
comme on sait pour P.Assouline ça commence en /comme de la musique (enchanté !)et finit en algèbre » alors qu’en français « on connait la chanson » : « tout finit par des chansons »:
le droit de vote et de regarder la télé…
tout ce que les femmes font est dévalorisé..il ne reste plus que le 45, les alcools forts, et la vitesse..tout en même temps t’impressionne encore tout juste les flics
à aucun moment il n’est s’agit de moi-même. Lorsque cela m’arrive je me cite >rose
je suis désolée à aucun moment vous ne m’obligerez à faire quelque chose qui me désolblige : or cela m’est très désagréable de parler à quelqu’un qui ne dit pas qui « grosso modo » il est.
Je hais, de manière virulente, cette manière violente intrusive, proche du viol à mes yeux imbéciles d’user et d’abuser de mille pseudos.
Si je parle à quelqu’un, je lui parle. Si je ne veux pas lui parler, je ne lui parle pas. Ce n’est quand même pas compliqué d’avoir la courtoisie d’être correct en ce sens.
Dans l’immédiat, j’aurais aimé que et TKT et Jacques B. et parfois moi-même cessions d’être agressés.
Moi, je voudrai, je tente de, je vais vers, c’est hyper-difficile aller vers la synergie je n’y arrive pas. C’est trop conflictuel. Qu’on se fasse une bonne guerre parfois, je suis la première, j’adore, mais tout le temps non.
Et puis que TKT et Jacques et moi soyons traités de sots et autres fadaises du même acabit, cela ne m’agrée pas.
Je préfère faire corps avec le groupe, solidairement.
Voilà. C’est tout.
mais ta gueule karikatur..
il n’est s’agi ? bof ?
désoblige
on n’oblige pas les gens même si vous êtes leur obligé.
je sais pas moi B-A BA.
C’est pas rosemary baby.
voilà : boug le dit quand je me dis à moi-même ta gueule j’écris
> rose
ta gueule rose
je m’incite à la fermer.
C’est pas sorcier quand même
rose, essaie d’être désirable un peu..
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