Pour saluer Raoul Girardet
« Vu de droite, cela vous va comme titre ? – Non, cela ne me va pas. Trop réducteur ». Et il tint bon des semaines durant face à la demande courtoise mais insistante de l’éditeur François-Xavier de Vivie, alors le patron de Perrin. Et Raoul Girardet, qui vient de disparaître à 95 ans, co-auteur en 1990 d’un livre d’entretiens conduits par votre serviteur, obtint gain de cause. Le titre lui convenait d’autant plus qu’il l’avait trouvé : Singulièrement libre. Ce qu’il était. Autrement dit marginal, non-conformiste, peu complaisant, ennemi des tabous, mais résolument à droite et fier de l’être, ne reniant rien des valeurs qui l’avaient fait : honneur, fidélité, tradition. « Vous êtes sûr, M. Girardet ? En renonçant à « Vu de droite », vous vendrez deux fois moins… – Ah, et alors ? »
Cet homme de convictions, qui n’avait pas son drapeau tricolore dans sa poche, était de la classe d’un Raymond Aron. D’où vient qu’il fut bien moins connu et moins célébré ? D’une certaine paresse qu’il était le premier à reconnaître non sans coquetterie. La France était sa spécialité. Son œuvre est mince (une dizaine de livres) et, à son image, discrète ; mais dense, puissante, influente. Elle eut un large rayon d’action. Sa bibliographie, constituée principalement d’essais historiques sur la société militaire, le nationalisme et l’idée coloniale français, était sans commune mesure avec son aura. Rarement un professeur aura été autant respecté, adulé, à SciencesPo qui était « sa » maison, mais aussi en Sorbonne, à l’Ena, à l’X, à l’Ecole de guerre où il avait également enseigné quarante années durant. Il faut dire que son charme était par bien des côtés irrésistible.
Ironique et précis, ce styliste s’incarnait dans son style en toutes choses. Polémiste et bretteur à ses heures, il ne perdait jamais son calme, le sourire aux lèvres. Son franc-parler n’en était pas moins ravageur à l’occasion. Avec un sens de la litote dont il était coutumier, et un souci de la langue aussi affirmé à l’écrit qu’à l’oral, d’une intelligence érudite zébrée d’intuitions lumineuses, préoccupé de clarté dans l’expression, de concision en toutes circonstances, d’esprit de synthèse, de netteté de la pensée, il se présentait comme « un universitaire accepté par ses pairs et non récusé par ses étudiants ». Lorsque je fus convaincu que le grand historien du sentiment national préférait décidément se promener, discuter avec les étudiant(e)s et lire plutôt que de s’atteler à l’épreuve des « Mémoires » que tant d’éditeurs lui réclamaient depuis tant d’années, je le poussai à les parler à défaut de les écrire. Ce qui m’était arrivé à une autre occasion dans les mêmes circonstances et pour les mêmes motifs, avec Antoine Blondin. Pour qu’une trace biographique reste de leur passage ici-bas, dans le fol espoir d’éclairer un peu plus leur œuvre, car cela seul compte, et non pour livrer y un misérable tas de secrets.
On parla donc : ses origines, sa famille, sa jeunesse entre les deux guerres à l’Action française et les Camelots du roi, la défiance vis à vis de la pénétration de certaines valeurs dans les esprits européens qu’il conceptualisera plus tard comme une « imprégnation fasciste », la clandestinité et la Résistance sous l’Occupation, Fresnes dans les derniers temps, l’hostilité au résistantialisme, le combat pour l’Algérie française, l’OAS, la prison à nouveau (jamais il ne perdit une occasion de dénoncer publiquement la faute et le crime du général de Gaulle lorsque celui-ci lâcha les Harkis qui avaient servi la France), les amitiés indéfectibles sur la durée du romancier Jacques Laurent et de l’historien Philippe Ariès, l’admiration inentamée et reconnaissante pour son maître Pierre Renouvin, l’admiration critique pour Maurras, le souvenir d’étudiants prometteurs qui ont fait leur chemin (Jacques Attali, Jean-Pierre Chevènement, Laurent Fabius, Zeev Sternhell et tant d’autres)… Il était tout sauf sectaire.
« Qui aime –et je cite au hasard- les jardins, les chiens et les collines de l’Ombrie, Giraudoux et les fresques de Santa Maria Novella, la Marianne de Marivaux et le lent glissement des nuages sur le ciel, se situera toujours, en tout cas pour moi,, sur un plan plus réel de compréhension et d’intimité que bien des partisans, anciens ou moins anciens de mon bord »
Il se voulait le témoin, mais un témoin certes engagé, du passage de la France d’un monde à l’autre : la France de la messe en latin et des instituteurs aux cols durs cravatés de noir, la France de la victoire glorieuse et épuisée, marquant de ses taches roses la carte du monde, un pays dont les femmes ressemblaient encore aux dessins de Benjamin Rabier (mais qui se souvient encore de Benjamin Rabier ?), cette France qui fut la sienne et qu’il n’évoquait pas sans nostalgie, passant le relais à une nouvelle France « où je me retrouve sujet d’une toute autre patrie, citoyen d’un tout autre pays ».
Lorsque parut Singulièrement libre, Jacques Laurent m’écrivit une longue lettre formulant un reproche : trop de politique ! La vie, ce n’est pas cela. Sans se concerter avec son ami, Girardet me fit la même remarque tant la politique lui apparaissait comme la pire tare de la vie intellectuelle française. Trop d’idéologie ! Non qu’il reniât quoi que ce soit d’un passé qu’il considérait avec fierté. Mais il regrettait qu’on lui ait accordé tant de place au détriment de ce qui avait véritablement fait sa sensibilité : Giraudoux « qui n’est plus lu car il s’exprimait dans un français si beau qu’il en est devenu aujourd’hui illisible », Péguy dont une phrase (« Celui qui rend une place ne sera jamais qu’un salaud, quand même il serait marguillier de sa paroisse”) découverte dans L’Argent avait engagé et gouverné sa propre vie tout au long du XXème siècle, la détestation de Sartre et de Malraux, la fascination pour l’essai de Claude Digeon sur la Crise allemande de la pensée française (PUF, 1959), quelques tableaux inoubliables, des films d’Eric Rohmer incarnant à ses yeux l’élégance française… Toutes choses bien plus profondes et plus marquantes que la politique.
Raoul Girardet creusa toute sa vie le même sillon jusqu’à ce que, il y a une dizaine d’années, le destin l’enveloppe progressivement dans les brumes d’Alzheimer. L’homme intime et privé, tout autant que l’historien des idées politiques, demeura fidèle à une certaine idée de la France. Pour qu’il n’ait pas œuvré en vain, espérons qu’il ne l’a pas emportée avec lui.
812 Réponses pour Pour saluer Raoul Girardet
voilà je vais écrire
>ton petit Alexandre le Grand.
Comme ça chacun saura à qui je parle.
Sans me faire iech, en fin de semaine.
Alors que je suis crevée.
N’écoutez pas l’infernal bouguereau, HR.
Vous avez le génie des pseudos.
Lacrym’, c’était pas mal.
>allez, je me casse
Les pseudos c’est l’enfer sauf si on sait qui c’est.
Le reste c’est des prétextes.
..et arrête de sucer tes manches de pijama c’est dégoutant..mais enfin dis quelquechose lacrim j’ai toujours peur que t’ai avalé quelquechose de travers..rassure moi
rose, c’est comme à l’opéra quand le héros annonce qu’il s’en va ou se meurt : ça ne prend pas moins d’une 1/2 heure.
grâce au lien de P.Assouline sur Goering , père aimant, j’ai appris latéralement que
« l’amour c’est gris et ça ressemble à un chou-fleur. »
c’est donc fractalement clopino-rosiste
http://www.lalibre.be/culture/livres/l-amour-ressemble-a-un-chou-fleur-5241258c3570bed7db9d600f
Bérénice, êtes-vous une rousse intégrale ?
Rose, pourriez-vous dire à Thierry de cesser de m’agresser, dans un souci d’équité.
Si je faisais une compilation des propos aussi insultants que dégoutants, diffamatoires et délirants tenus à mon encontre en seulement 24 heures, tout le monde en vomirait.
Le civisme vu par « Lit et Ratures »
« Le Durian c’est comme l’odeur de……..D.-JC, infâme ! »
Bel exemple pour les enfants qui nous lisent.
Allez, couché.
Le Boug et TKT , en plus de Phil, pour les prochaines mangues au St Emilion frappé.
Belle soirée où la coop culturelle franco-brésiilenne était à l’honneur: même 98 fait rire les pernmabouciens maintenant. Moment rare où la vie est une fête et la caipirinha le seul danger réel. Même les Coréens étaient en joie.
Mazchin: y va la fermer, ce Bloom.
Bidule: rien à foutre de ses conneries d’expat de merdre qui suce la moelle de la République.
Truc: prétentieux petit minable qui se prend pour le phénix de ces jungles.
Mékong!
Diablesse de caiprinha: > Pernambouciens
karaturitur dit: 26 septembre 2013 à 15 h 58 min
Très juste.
Je me demandais quel héritage pouvait laisser ce professeur à ses élèves; l’idée qu’ils pourraient en avoir.
– « un homme d’honneur » à Science Po
– un ‘pitaine dégradé du côté de la grande muette à Coëtquidan
– un anarchiste par tempérament tel qu’il se définit lui-même
Et tout ce coktail, ça donne quoi ?
Encore un beau culte de la personnalité.
Qu’est-ce qu’il parle bien, qu’est-ce qu’il s’exprime bien dans cette langue oubliée, et puis, Madame, ces écrivains qu’il appelle à sa cause, quelles références ! Un charme fou.
Joue pas de rock’n’roll pour moi, oh non !
rose dit: 26 septembre 2013 à 17 h 41 min
>Thierry …..
Jacques B….
Et moi j’y ai droit …..
Plus que lassant ce blog !
Nous ne vous le faisons pas dire ma chère rose.
Pourriez-vous être définitivement lassée ?
« sinon cela devient un galimatias indigeste. »
accord de tristan
Mais non, mais non, vous êtes bien sévère, rose est ce que nous pourrions appeler une « ligne claire » mais bien sûr il y a ce problème de boissons diverses et variées qu’elle ingurgite dès le lever du soleil, alors il est vrai qu’à partir de 15h00, la ligne vacille.
Finalement je retire ma question, Bérénice. J’ai peur qu’elle soit ambiguë.
Je préfère rester dans l’ignorance.
Deux point marquants de cette journée :
1) acheté 10 Valeurs actuelles pour soutenir cette remarquable publication. Je les distribuerai à mes rares amis.
2) acheté toute la collection de pâtes Barilla.
Ce soir je commence par des farfalle n°3 au pesto et parmesan AOC.
« Il reste que l’idée d’ouvrir une parenthèse de quelques jours de subversion à l’intérieur de l’ordre établi serait à reprendre, et même à institutionnaliser. Je verrais assez bien la célébration annuelle d’une fête commémorative de Mai. Occupation des locaux universitaires, libération graphomaniaque sur les murs, nasardes aux forces de l’ordre, professeur à bonnet d’âne promené marchant à quatre pattes et chevauché par un étudiant. (J’en ai connu quelques-uns, membres du corps enseignant bien sûr, mais je tairai leurs noms, que l’on n’aurait peine à convaincre du caractère régénérateur de ce type de happening.) Quelques jours plus tard, départ pour les vacances familiales. La rentrée suivante se ferait dans d’excellentes conditions. Les sociétés contemporaines n’accordent pas une place suffisante à la nécessaire expression de l’imaginaire dionysiaque… » RG et Passou
Pour le pesto, faute de trenette, les linguine…
« Occupation des locaux universitaires, libération graphomaniaque sur les murs, nasardes aux forces de l’ordre, professeur à bonnet d’âne promené marchant à quatre pattes et chevauché par un étudiant. »
Il y a déjà le carnaval pour ça…
karaturitur dit: 26 septembre 2013 à 16 h 49 min
48,
Cela manque de pédagogie !
Un lien, c’est peu de choses.
http://www.liberation.fr/livres/1999/09/30/monsieur-de-la-malice-de-la-resistance-a-la-sorbonne-itineraire-de-jean-toussaint-desanti-qui-comme-_284896
ine de claire dit: 26 septembre 2013 à 19 h 41 min
nasardes aux forces de l’ordre
C’est énormément insuffisant faut les boper ; avec un big stick comme Guignol…
Les farfalles c’est bon mais cru…
@u. 17.57 bien sûr, vous avez formellent raison mais enfin quoi… si on reprend le texte de PA ….
« l’hostilité au résistantialisme, le combat pour l’Algérie française, l’OAS… excusez du peu »
Chai pas moi, mais ça vous donne pas un peu l’impression qu’il y avait comme une cohérence idéologique et d’engagement chez le bon RG dans tout ça, non ?…
Après, on peut toujours jouer sur les mots et faire dans la pédanterie : « resistancialisme », idéologie à distinguer de la Résistance des résistants de la dernière heure ?… sans doute… Un peu comme de résister au « gaullisme », rien à voir avec la personne du grand Charles…, pas vrai ?
@ D. dit:26 septembre 2013 à 18 h 59 min
« Rose, pourriez-vous dire à Thierry de cesser de m’agresser, dans un souci d’équité. Si je faisais une compilation des propos aussi insultants que dégoutants, diffamatoires et délirants tenus à mon encontre en seulement 24 heures, tout le monde en vomirait. »:
Par contre vous, vous m’agressez depuis 2005, tout y est passé ou presque: pédophilie, fraude fiscale, vente de vins éventés etc…
Oui je sais, ancien petit-enfant violé, tout vous est permis, n’este-ce pas ? Sous vos divers pseudos, de Pathos à JC, vous tenez des propos racistes envers tout le monde. Vous êtes bien un excrément non bio-dégradable. Si au moins vous portiez plainte, vous seriez obligé de vous dévoiler. By the way, Ducornaud, votre portrait orne toujours mes blogs, sous la Note » D. le pervers narcissique de la RdL. »
Vous aviez essayé de le faire disparaitre, en prétextant que ce n’était pas vous… Tous vos commentaires sont du même acabit, quand vous ne vous en prenez püas à moi, vous vous en prenez à quelqu’un d’autre. Non D., vous n’êtes pas une victime et seul votre prédateur est responsable, attaquez le et s’il a disparu, allez sur sa tombe faire une orgie de vodka.
Vous aviez aussi attaqué Clopine, bref D., vous êtes un pervers narcissique et dans la vraie vie un vraie timide, même pas capable de regarder quelqu’un dans les yeux l’espace de quelques secondes.
Je répète ma proposition, vous m’envoyez votre vraie identité certifiée et j’enlève votre portrait en veste blanche et petites lunettes, sourire niais, de mes Blogs. C’est honnête, non ? Tout le monde vous connait, D-JC, personne ne peut vous prendre pour une victime.
Paul Edel s’est débarrassé de vous, sauf un dernier connentaires signé « renata », une allusion à Christiane et la RdL. Vous êtes même venu ici sur la RdL, pour que les lecteurs aillent visiter et lire le Blog de Paul Edel. Vous disiez, têtedenœud, que le Blog en question était fermé de l’intérieur.
PS: J’ai une compilation sur mon PC, de vos commentaires les plus odieux, franchement vous ne me faites pas peur. Quant à vos connentaires qui ne sont que délires d’alcoolique déjà toqué, ils sont tellement bêtissimes qu’il est inutile de les rappeler.
Enlevez votre masque, toujours masqué vous ne faites preuve que de manque de burnes. Burne votre mot favoris, avec quelques bondieuseries que l’on pourrait oublier. Un catholique comme vous, cela vaut rien
« Il y a ceux que l’on a appelés les « non-conformistes des années 30 ». Je suis en effet de ces jeunes gens, qui à cette époque, aux alentours de 1935, les ont lus avec ferveur. Ils combattaient systématiquement l’ordre politique, social et moral qui était, en France et dans l’Occident démocratique, l’ordre établi. Ils recherchaient un système nouveau, un « ordre nouveau » qui ne serait ni libéral, ni socialiste, ni celui de la démocratie parlementaire, ni celui du totalitarisme. Les uns penchaient vers une sorte de fascisme « à visage humain », les autres vers une sorte de solidarisme de type proudhonien. Il est bien certain que leurs conceptions, que l’on retrouve aussi bien dans certains aspects de la révolution nationale que dans les aspirations idéologiques d’une large partie de la Résistance, ont continué à fortement marquer, du moins jusqu’à une certaine époque, toute une génération militante dont, si vous y tenez, j’ai fait partie.
Notre seule non-conformité cependant, et notre seule vraie fierté, je voudrais le redire, sont d’avoir été à partir d’une certaine date les incroyants des grandes religions séculières de notre temps. Nous n’avons exalté ni la grande figure de Staline, ni la sagesse du petit livre rouge, ni le prophétisme du tiers-mondisme. Dans ce siècle éminemment révérencieux, n’aurions-nous maintenu que quelques valeurs d’irrespect, ce ne serait déjà pas si mal. » RG et Passou
Merci pour vos conseils éclairés, renato. J’achèterai demain plusieurs paquets de linguine Barilla.
Mais là je suis contraint de vous dire Adieu pour toujours. Ce n’est pas de la comédie, cette fois-ci c’est la bonne, il en fallait une et c’est celle-là. Je suis en larmes et je n’ai pas honte de le dire. D’ailleurs un bel homme comme moi qui pleure, c’est plus que beau.
Rose votre intervention étonnante me parait bien brutale, de plus aucune intention de faire »chialer » les gens ni de « pisser » dans le lavabo, je n’emprunterais à votre lexique sous aucun prétexte, burnes? et puis quoi encore? Que vous choisissiez un prénom de femme pour habiller votre virilité vous regarde et cela parvenait à vous conférer la douceur qui vous manque, vos mots n’éveillent aucun parfum. Que vous sortiez d’une Sorbonne ou de chez l’éditeur en tout cas n’arrange en rien votre humeur, massacrante cependant veuillez noter que je ne m’adressai pas précisément (comme Romain dans la promesse) à vous mais que bien que ceci ne présente que peu d’intérêt, sans véritable argumentation je me laissai aller à donner mon sentiment quant à un certain délitement des êtres en charge de régler nos affaires et tracer au besoin une série de repères utiles en société.
sans imaginer faire de peine, facher, ni plaire, je signale, en guise de remerciements, et d’excuses à tous , et plus particulièrement à P.Assouline, la revue des livres avec la page sur les métamorphoses de l’intellectuel juif par exemple
« En accompagnement de l’article « Spinoza et les Juifs (1). Fabrication d’un faux », de Laurent Bove, et de l’entretien avec Ivan Segré »Spinoza et les Juifs (2). L’entreprise réactionnaire de Jean-Claude Milner », publié dans la RdL n°13 à propos de l’ouvrage de Jean-Claude Milner, Le Sage trompeur, nous republions ici un article de Enzo Traverso, paru dans la RdL n°1.
Vous êtes sûre de votre majuscule à sorbonne, Bérénice ?
« Il est bien certain que leurs conceptions, que l’on retrouve aussi bien dans certains aspects de la révolution nationale que dans les aspirations idéologiques d’une large partie de la Résistance, ont continué à fortement marquer, du moins jusqu’à une certaine époque, toute une génération militante dont, si vous y tenez, j’ai fait partie. »
Fine de Claire, une question me turlupine, RG ne serait-il pas allé -aurait-il souhaité- faire un tour à Uriage vers 1940, des fois ?
« Il y a de toute évidence un devoir de réserve que l’historien doit maintenir à l’égard de lui-même. » Les mêmes
Ce ne sera jamais le vrai départ, D., vous avez besoin de support psychiatrique ou, pourquoi pas, l’aide d’un pasteur protestamt.
D comment ça vous partez? Hélas non je ne suis pas rousse intégrale! Je vous souhaite toutes les rousses désirables si c’est votre préférence mais restez encore un peu, qui m’amusera autant que vous?
une sorbonne, sans majuscule, n’est accessible qu’aux initiés…
Non, Bérénice. Je ne suis pas un amuseur.
TKT dit: 26 septembre 2013 à 20 h 49 min
Ce ne sera jamais le vrai départ, D., vous avez besoin de support psychiatrique ou, pourquoi pas, l’aide d’un pasteur protestamt
Allez, fin des émissions. Pour toujours.
une sorbonne sans majuscule est un équipement de chimiste, c’est plus clair, je pense.
ayant renoncé à comprendre bien des aspects de ce blog, je me sens encore plus inapte à y poster que ceux qui s’entre glosent sur les majuscules et titillent P.Assouline pour une coquille dans le billet .
j’avais pris le parti de considérer les jeux de certains commentateurs tels D comme une effet du dispositif blog :
le monde aujourd’hui publiait sur un blog un article avec la question Peut-on censurer au nom de la science ?
tandis qu’un autre site ie des idées- publiait un état des questions darwiniennes dont il me semble utile de prendre connaissance
» L’histoire des sciences et le « racisme »
juif »
bonsoir
TKT dit: 26 septembre 2013 à 20 h 14 min
Génial Thierry !
Une évidence vous avez beaucoup travaillé.
Toute cette préparation sur word, ce peaufinage du texte, le passage à l’analyse orthographique, vraiment génial.
Ok c’est un tissu de conneries, risibles même pour un enfant de six ans, mais j’avoue que l’effort est louable, cette tentative (au combien vaine) pour transformer la réalité, pour essayer d’oublier votre paranoïa, vous honore.
Mais la réalité nous rattrape toujours Thierry.
Vous n’êtes qu’une burne fan d’un bichon, chaussée de Bata à glands le pull en cachemire bouton d’or jeté négligemment sur les épaules.
Un vrai petit-bourgeois franchouillard qui croit que vendre du 3ème cru classé est le summum de la réussite professionnelle.
Chacun fait ce qu’il lui plait de son héritage, vous avez choisi.
(…) »Il y a de toute évidence un devoir de réserve que l’historien doit maintenir à l’égard de lui-même. Mais le problème est plus complexe. Qu’il le veuille ou non, l’historien se situe dans un espace de temps déterminé. Qu’il le veuille ou non, il est condamné à partager les habitudes de pensée, les passions ou les vicissitudes de son temps. Simultanément, cependant, l’historien se trouve sommé, par l’exercice même de son métier, de se situer hors du temps, de se dépouiller dans ses observations et ses jugements des passions, des préjugés et des modes de pensée qui sont ceux de son temps. » (…) RG et Passou
Le marchand de sable n’est pas passé, Virginia L parvient plutôt bien juchée sur son blanc nuage à nous servir certains soirs de sa ligne scintillante, attendons. Il n’est peut être pas trop tard ou serait-ce que le ciel obstrué de noires nuées nous gâche cette féerie?
« une coquille dans le billet »
Oui, on peut résumer ainsi, 48.
Bonsoir.
fine de claire message en l’air dit: 26 septembre 2013 à 21 h 15 min
C’est me semble-t-il une grande chance de R.Girardet d’avoir rencontré un homme comme P.Assouline pour se retourner
« Paul Edel s’est débarrassé de vous »
TKT
Dans votre cas TKT le cas ne c’est pas posé,
les deux ou trois fois ou vous avez tenté un commentaire, vous avez été tellement hué que depuis des années vous vous abstenez.
A juste raison.
trouvée
http://www.newyorker.com/images/2013/09/30/g290/130930_books-lee-siegel-hatchet-jobs_g290.jpg
fine de claire message en l’air dit: 26 septembre 2013 à 21 h 15 min
« historien »
« historien du sentiment national ».
C’est très sentimental, en somme, cette « histoire ».
Certainement, karaturitur, et vice-versa. Je trouve leurs échanges passionnants, graves et drôles à la fois ; finalement assez intemporels. Diagonal devrait en suggérer la lecture à ses étudiants.
« finalement assez intemporels »
C’est de l’humour belge ?
Parlant du zéro, je pense à un autre professeur, qu’il est encore temps de saluer :
« commençons par réviser l’addition »
>TKT
je vous ai lu et à peine les autres et sauté bérénice.
Non vous n’agressez pas. En tout cas pas en premier. Vous vous défendez.
Vous l’aurez à l’ancienneté.
Ne vous laissez pas avoir par le portrait qu’eux tentent de donner de vous et qui ne correspond en rien à votre réalité tangible.
Elle c’est une pire horreur et lui je ne sais qui il est.
Ils ont tous les deux leurs chances de devenir meilleurs.
Je ne la lis plus, elle. L’air pur m’est vital.
désormais, ce blog ne prendra plus de commentaires.
Rédigé par : pauledel | le 25 septembre 2013 à 17:30
> le couple maudit :
Voilà où vous conduisez vous deux, avec vos horreurs permanentes, vos interlocuteurs : razzia, terres brûlées et tout ce qui s’ensuit. Vous êtes responsables des horreurs que vous semez et qui vous nourrissent.
tordu
fine de claire dit: 26 septembre 2013 à 21 h 45 min
Diagonal devrait en suggérer la lecture à ses étudiants.
il est vraisemblable qu’ils sont beaucoup plus lus que c’est avoué, et par les étudiants et par les professeurs .
Encore , comme le dit P.Assouline qui n’a jamais cru que j’étais même capable de lui inventer un autre « petit nom » imprononcé et
donc inviolé, mais non imprononçable,que je saurais encore et encore m’instruire sur la toile ,48 fois Nauclea latifolia plutôt qu’une
bonsoir!
Rose je répondais à votre propos par politesse. Une brindille est si facile à enjamber je vous ferai grâce du saut, réservez-le à d’autres terrains plus aptes à recevoir votre largesse d’esprit. Cela dit le parachute, c’est pas mal non plus.
Non vous n’agressez pas. En tout cas pas en premier.
rose
Peut-être savez-vous lire rose ?
Voici la première ligne du premier commentaire de TKT aujourd’hui :
« Le Durian c’est comme l’odeur de……..D.-JC, infâme ! »
Il faut donc croire que pour vous ce genre de merveilleuse phrase tékatienne correspond à une adorable marque de sympathie envers ses petits camarades.
Merci de me confirmer ce point.
« Diagonal devrait en suggérer la lecture à ses étudiants. »
HR
Vous êtes sûr qu’il est prof, HR ?
Moi j’avais cru comprendre qu’il faisait plutôt dans la recherche des coupables.
« C’est maintenant, en fin de compte, toute la question des institutions de la Ve République qui se trouve posée. Il va de soi que les fondateurs du régime mis en place en 1958 n’ont nullement dans leurs perspectives l’image d’un « Etat-spectacle ». Ils parlaient essentiellement d’un Etat « restauré »… » RG et Passou
je eux pour un souvenir(ou plusieurs)essayer un nouveau pseudo qui commence par ultram : et pourrait s’y réduire si vous voulez bien
…
…Dieu,…à la 3°personne,…
…
…que veux tu,…qui est tu,…t’a du mérite,… » il me l’a dit « ,…( il » Dieu » ),…
…
…Sciences Po, Sorbonne, Ena, l’X, l’école de guerre ( quarante ans ),…
…un saint scribe de Sciences fictions,…
…
…en somme un autre, genre de manipulateur pour effectuer, implanter, des convictions à certains » esprits » désoeuvrés,…
…
…consigne maintenance » Cinéma social » désintéressée,…
…la chimie du verbe dans les officines,…etc,…
…
rose,
je ne vous lis plus.
Un problème ?
a rose signalons le site iec
http://www.institutemilieduchatelet.org/
D. vous n’êtes pas mon camarade, mais un fou qui me poursuit depuis 2005. Oui, vous avez au moins réussit une chose, je pense à vous, Verfolgungswahn ou plutôt réponse constante à vos attaques. Et puis au contraire du durian, vous sentez mauvais et vous pensez encore pire, un vrai salopard et votre pathologie n’excuse rien. Vous n’êtes pas une victime, enfin vous ne l’êtes plus depuis la puberté quand vous êtes devenu trop âgé pour votre prédateur. Et croyez moi, quand je reçois 1, je réponds par 1000. Vous êtes une merde, quelque soit le pseudo utilisé. Le pire vous êtes mauvais perdant et jamais, vous voulez perdre la face. Bizarre, vous n’avez pas de face, car voyez vous la face, c’est le regard. Bon, je vais essayer de ne plus vous répondre, cela ne sert à rien, vous êtes indécrottable. Je sens chez vous le profond désir de nuire aux Blogs, n’importe lequel fait l’affaire. Vous avez fait fermer les commentaires chez Paul Edel, et ici, vous n’y arriverez pas.
Je trouve quand même invraisemblable que l’on ne puisse pas faire taire un troll, on retrouve bien ceux qui vague sur les sites terroristes. Bref, économiquement, vous ne valez pas le coup de faire fermer votre gueule de Pitbul enragé.
Je vous laisse fermenter dans votre jus de durian pourri et votre eau bénite moisie. Mes salutations à JC, Tetram, Pas D., miroir etc…
Avez vous dans votre vie, jamais eu le dernier mot ? Avez vous dans votre vie le moindre vrai plaisir de but atteint ?
Je devrais pouvoir avoir pitié de vous, mais cela ne passe pas. Votre enfance volée, je suis désolé pour ce que vous étiez avant, mais je ne compte pas payer pour votre prédateur.
Allez D. JC, videz une bouteille de vodka et si possible, quelques autres dans la nuit.
Pourquoi ne buvez vous pas français ? Cela ne soule pas assez vite ?
fine de claire dit: 26 septembre 2013 à 22 h 21 min
N’en jetez plus.
Faire l’apologie de la « résistance » de l’oas, il faut demander à Diagonal. M’enfin, il va vous cravater tout ça.
« De cette France, je connais fort bien les faiblesses et les tares: le malthusianisme, la vanité cocardière, l’étroitesse du conformisme moral, l’ampleur des inégalités sociales, la persistance d’une guerre religieuse larvée. » RG et Passou
fine de claire dit: 26 septembre 2013 à 23 h 08 min
merci de votre effort pour soutenir le billet de citations .
Les citations à comparaître m’indiffèrent ; elles n’engagent que les auteurs
Les citations à comparaître m’indiffèrent ; elles n’engagent que les auteurs
mais ce sont les échanges des auteurs qui nous intéressent au premier chef .
il n’est pas certains que nous ne soyons pas
tous concernés par ce qui s’est dit et comment , et même jusque datns nos recherches et nos amitiés nos familles , nos boulots: cela m’étonnerait que P.Assouline n’y ait pas pensé dans le temps même où il conduisait -selon son mot ( en dux)les entretiens
TKT dit: 26 septembre 2013 à 22 h 46 min
Mon cher Thierry, n’étant pas D. je ne peux répondre à sa place mais je sens poindre comme une certaine agressivité à son égard.
Personnellement je la trouve très injuste, l’apport de D. et de ses multiple pseudos à ce blog me parait irremplaçable et nous sommes très nombreux à le considérer ainsi.
Par ailleurs, le voir sous le même chapeau que JC est à peu près aussi absurde que d’imaginer C.P. comme un avatar créé par vous.
Les deux sont hors de votre sphère, ils sont vivants et s’efforcent de penser (bien, mal, chacun juge suivant ses goûts)
Vous êtes et resterez dans l’incapacité de comprendre. Vous qui ne survivez que par l’injure et la détestation des autres, toute notion d’intelligence vous est à jamais étrangère.
Soyez bien sûr que j’en suis triste pour vous.
Rose, vous en pensez quoi de ce commentaire de 22h46 ?
Une ode à l’amour ?
« Vous avez fait fermer les commentaires chez Paul Edel »
TKT
Nouvelle obsession tékatienne.
La burne s’auto-alimente.
« cela m’étonnerait que P.Assouline n’y ait pas pensé dans le temps même où il conduisait -selon son mot ( en dux)les entretiens »
oui, enfin, des mots tout ça.
Revenons en à la chute.
La chute du billet. Un présent qui ne passe pas.
le monde donne des exemples d’échanges
XOXO – Le harcèlement n’est pas reconnu en cas de familiarité réciproque
cette citation de 23 h 08 min m’impressionne :
ultram dit: 26 septembre 2013 à 23 h 43 min
C’est pour qui ce commentaire ?
L’emploi de majuscules ou de minuscules a aussi un sens : XOXO signifiant « gros bisous, gros câlins » alors que xoxo signifie juste « bisous et câlins ».
oui, enfin, des mots tout ça.
n’exagérez pas vous non plus :on peut ne plus envoyer un post non plus : c’est plus facile
Ducornaud de 23…35, bien sûr vous n’êtes ni D., ni JC, vous êtes bien plus que ces deux là, vous êtes le tout. Plus haut vous avez connenté sur Rose en signant l’observatoire de l’helvète; Combien de bouteilles de vodka ingurgitées ? Pour ce qui est de votre « Vous qui ne survivez que par l’injure et la détestation des autres, toute notion d’intelligence vous est à jamais étrangère. », vous devez me confondre avec D. et surtout JC. D’ailleurs quand je ne suis pas là, vous foncez sur Renato.
Pour vous Renato est Alsacien, car il est domicilié en Alsace, et moi, domicilié à Zürich, j’en deviens Helvétique. Et cette confusion entre domiciliation et nationalité, vous l’avez signée de tous vos pseudos.
Oui, vous êtes très nombreux et vous faites légion, vadiou le comptable hors-marché du travail, utilise le vous de majesté…
Encore une fois, votre tutoiement ne prouve que votre vulgarité, car franchement, qui tutoie autres que ces proches ? Pas moi en tous les cas, en français je ne tutoie que les gens qui me sont sympathiques et plus ou moins égaux. Avouez au moins que vous êtes supérieur…….en pathologie irréversible bien sûr.
Je vous souhaite une très mauvaise nuit, et un coma éthylique irréversible.
que « ses » proches
ultram, je ne sais pas, posez la question à qui de droit
« Ces constatations sont banales. Ce sur quoi, en revanche, l’on passe cependant de façon générale assez gaillardement, c’est d’abord sur le phénomène, pourtant bien évident, de ce que j’appellerais la servilisation de la vie citoyenne. La Comtesse de Boigne affirmait dans ses Mémoires, que je lisais l’autre jour, et à propos du Premier Empire, que ce qui l’avait toujours le plus frappée dans l’attitude des français à l’égard du pouvoir était le goût de la servilité. Celui-ci atteint aujourd’hui un niveau rarement égalé.
Reportez-vous seulement à la littérature qui, dans une certaine presse et dans un certain milieu (mais ils sont larges) s’est trouvée consacrée, au moment de l’élection présidentielle, à l’exaltation de la personne de l’actuel président de la République. » RG et Passou
Je ne sais pas qui est Observatoire de l’Helvète, mais je n’aime pas du tout sa façon de parler de moi. Je ne suis absolument pas ce qu’il écrit et ce que Thierry dit de moi est en définitive assez juste, sauf quand il imagine que j’écris sous différent pseudonymes alors que je n’en utilise qu’un seul : D.
J’ai au moins une qualité parmi quelques défauts que je veux bien reconnaitre : la franchise et la sincérité. Je suis incapable de mentir et en définitive je déteste brouiller les pistes.
Voilà. Mise au point est faite et à présent je consens à tourner la page et à rester parmi vous.
Demain je pars pour Santorin à 7h 40. Il vaut mieux que je dorme.
Ce soir j’ai mangé de la salade de poulpe. C’est assez gouteux et très consistant.
Quelques alias depuis 2005: Observatoire de l’helvète, Pathos, Connemara, Nollet, Tetram, Alcyone, Diogène de la toile, Fiat, Fiat Lux, 500 watts, à volonté, Bof, Lawza, Fournier, miroir mon beau miroir, Annette, Themis, Dimitri d’Arlatan, Deneb, JC etc
TKT dit: 26 septembre 2013 à 23 h 52 min
bien sûr vous n’êtes ni D., ni JC, vous êtes bien plus que ces deux là, vous êtes le tout.
Etre, moi, le seul dieu de TKT, quelle responsabilité.
Pourquoi un tel honneur ?
En suis-je capable ?
Serais-je à la hauteur de son besoin d’absolu ?
Thierry, me permettez-vous de réfléchir avant d’accepter ?
Merci.
ultram dit: 26 septembre 2013 à 23 h 52 min
boh, la facilité c’est trouver un autre historien, moins « engagé » ( mal barré?) qui a pu écrire des ouvrages sur l’histoire de l’armée française. Une histoire à lire en famille.
Enfin, ici c’est l’histoire de l’armée allemande :
http://www.livresenfamille.fr/p4531-philippe_masson_histoire_de_armee_allemande.html
TKT dit: 27 septembre 2013 à 0 h 07 min
Tes fiches ne sont absolument pas à jour mon Kron.enbourg chéri.
Ton esprit embrumé mélange tout.
Mais il faut avouer que pour tenir à jour quotidiennement ce fichier de tes obsessions il faut allier une véritable capacité de nuisance et un goût immodéré pour le flicage.
Rohmer était donc allemand ; j’aurais su j’aurais pas venu
Verfolgungswahn ! Das kann ich nicht !
QUARANTE-CINQ
La perfection achevée
semble imparfaite.
Et pourtant
elle rayonne sans fin.
La plénitude parfaite
paraît vide.
Et pourtant
elle est intarissable.
Elle donne sans jamais s’épuiser.
Une franchise extrême semble fausse.
Une habileté extrême entrave le geste.
Une éloquence extrême ne persuade personne.
le mouvement triomphe du froid,
et c’est l’immobilité
qui triomphe
de l’ardeur.
C’est dans le calme
et la sérénité que
réside le bonheur,
car la quiétude et l’immobilité
règlent le monde.
Ainsi est-il.
Revenons au sujet abordé par Passou
Raoul Girardet était un homme tolérant,ce qui ne semble pas être le cas de tous les de ce site qui vident leurs querelles à coup d’injures grossières.Ceux qui eurent la chance d’être ses élèves s’en souviendront avec respect.Sa pensée était claire et droite (si j’ose dire).
‘…l’hostilité au résistantialisme…’
what the fuck is that?
je reviens après une petite absence et finalement ‘dorénavant tout sera comme avant’ comme disait l’autre…Sartre, Malraux, Camus je connais un peu mais Girardet? heu…non…un chantre de l’Algérie française et ce l’OAS? nah…perso, j’préfère Olivier Giroud et Bacary Sagna…ca c’est des français dont la France devrait être fière…chez nous a Arsenal, on les adore tout simplement…imaginez 60.000 supporters qui chantent leur simple mais sincère ode a Giroud sur l’air de Hey Jude des Beatles…z’ont fait ca pour Girardet? comment? c’est ce que je pensais aussi…sinon, Aznavour fait le Royal Albert Hall et j’ai déjà mes tickets…ca aussi c’est un grand français, même et surtout s’il vient d’ailleurs, n’en déplaise a M. l’abée et au garde-champêtre…
Paul Edel s’est mal expliqué car en réalité, il n’empêche personne de commenter sur son blog (comme il le dit en ouverture des commentaires), il faut simplement être connecté pour mettre en ligne un commentaire.
Donc : le blog de PE ne prendra plus les commentaires venant d’intervenants non enregistrés.
Raoul Girardet n’aurait pas dit le contraire :
Comme on pourrait s’en douter en faisant un petit effort, le « résistantialisme » désigna après-guerre ceux qui firent carrière sur leur passé de résistant et en tirèrent maints avantages matériels ou professionnels. Lire à ce sujet la « Lettre ouverte aux directeurs de la Résistance » de Jean Paulhan.
@ Renato: Un enregistrement pour pouvoir commenter, rendant obligatoire une adresse e-mail réelle, vérifiable et traçable géographiquement, est le meilleur moyen pour se débarrasser des trolls car cela empêche l’usage de plusieurs pseudos (?). Cela oblige de donner une identité réelle, ce qui enverrait ailleurs les voyous du web.
Patrice Merville a raison, les commentaires devraient principalement se préoccuper de la Note. Ce qui n’empêche en rien les digressions et les conversations, voir polémiques, entre commentateurs.
La photo
Il y a comme une tension entre le haut et le bas du visage.
Le front haut et les yeux disent la réflexion.
La bouche, sensuelle, dit que Dieu ou l’Idéal n’a pas aboli les plaisirs de ce monde.
Le sourire ne traduit pas seulement l’ironie vis-à-vis des imbéciles, mais surtout l’accoutumance à défendre obstinément une opinion minoritaire.
Il y a du défi dans la commissure côté gauche: c’est là que se loge la tentation passée du coup de force propre à l’ancien activiste.
Salut, TKT.
Je regrette le temps où vous pouviez parler tranquillement d’art ou de Singapour.
Il me semble que les moqueurs qui vous accablent ont fini par mobiliser chez vous un temps et une énergie inutiles.
Ce n’est qu’un jeu de guignol.
Si vous l’ignoriez un certain temps, l’aggressivité se porterait ailleurs.
La mythologie de la rencontre du Vierge-de-partout extragalactique et du mec en Bata et au bichon, qui appartient à l’histoire de la RdL, est purement imaginaire. Elle en a fait rire plus d’un, qui ne lui accordaient aucune valeur réaliste.
Et puis, même si elles vous paraissent également haïssables (pas à moi), les entités JC et D n’ont aucun rapport.
« Le resistancialisme » a fait fonctionner les élites, surtout politiques, de la France sous De Gaulle. Avoir été « à Londres » était la palme d’excellence.
Sur le terrain, pendant la guerre, il y eut bien sûr les Résistants de la dernière heure, ceux qui comme Mitterrand changèrent de position en cours de route. Certains aussi qui étaient dans la police ou les préfectures, les ministères, qui grâce à leur poste dans l’administration purent faire de la résistance.
Les communistes tellement vilipendés aujourd’hui, à cause de Staline, furent une pièce moteur de la Résistance.
Je ne connaissais pas Raoul Girardet, cela me semble un parcours très Français. Une certaine idée de la France, comprenant une vision ancienne du colonialisme. La France, au contraire de l’Angleterre, possède encore d’anciennes colonies, qui sont devenus des départements ou territoires d’outre-mer. Ceci dit, pourquoi ces territoires Français, n’ont-ils pas droit à la même devise/monnaie que la France métropolitaine ?
u., permettez moi de ne pas répondre à votre commentaire, tout en réagissant quand même.
Quels sont vos autres pseudos ?
U. étant déjà utilisé, vous utilisez u. en minuscule et ce n’est pas par hasard.
Je ne vous connais pas, ne tient pas trop à vous connaitre et voyez vous, pourriez vous prouver que D. et JC ne sont pas un seul et même salopard ?
Moi non plus, bien sûr, mais cela ne change rien, ce désir d’être plusieurs et de dire la même chose au millimètre près, rend ces deux pseudonymes frères d’excrément.
Vierge de partout ? Non enculé vierge de partout.
u. dit: 27 septembre 2013 à 9 h 00 min
La photo
Il y a du défi dans la commissure côté gauche: c’est là que se loge la tentation passée du coup de force propre à l’ancien activiste.
Ah, là là, quelle triste psycho-morphologie aux sinistres relents!
Paul Lefraire,
Il ne s’agit pas ici de politique mais de fantaisie.
Pour ce qui est de la politique, vous n’êtes pas très rigoureux dans l’usage de votre cliché.
On ne dit pas « sinistre relent » mais « relent nauséabond ».
On peut, si l’on veut, passer au stomacal et parler de propos « nauséeux », mais on n’est pas obligé.
@TKT _ Frères de fiente? Ces curieux olibrius doivent nicher sur la même branche sans plus se préoccuper du devenir des gens du dessous. Plaisir des cimes!
« ce qui enverrait ailleurs les voyous du web. »tkt
Il existe d’autres façons d’ être un voyou du web, par exemple de vouloir révéler la véritable identité de ceux qui ont choisit l’ anonymat ou le pseudonymat, en publiant à leur insu leur photo, en voulant les réduire à leur « façade » en en les réduisant à une psycho-morphologie de bazar.
Un voyou, c’ est aussi celle ou celui qui parle volontairement hors-sujet sans se soucier du fil de la conversation.
TKT,
« u., permettez moi de ne pas répondre à votre commentaire, tout en réagissant quand même. »
Das heisst eine Verneinung!
« Pseudos »
U, ueda. Dans une vie antérieure, Zhu.
J’ai été deux ou trois fois « D » de façon transparente, dans un contexte de franche bouffonnerie, sans rapport avec vous.
Je n’attaque pas sous pseudo d’occasion (question de goût).
Tschüß!
Je vous accorde bien volontiers la fantaisie U, mais laissez-moi mon adjectif et le refus de l’ amalgame.
D’un autre coté l’utilisation de ce mot »excrément » me mène au souvenir de cette scène dans le film de bunuel « viva la muerte »(je crois) quand le représentant de l’ordre et du pouvoir défèque sur le prisonnier situé juste en dessous de lui. Plaisir de l’humiliation.
Il faudrait en faisant l’impasse sur l’interprétation psychanalytique qui n’a surement pas manqué à ce film, pour que tout fonctionne parfaitement, que les administrés soient masochistes et les administrateurs détenteurs du pouvoir obtenu ou usurpé ou de droit divin soient sadiques, ainsi chaque partie en présence y trouverait son compte sans qu’aucun mot ne vienne troubler la saine ambiance.
Je recommande la préface de Girardet, en 1979, à une nouvelle édition du Hitler m’a dit de Hermann Rauschning, le tout récemment réédité chez Tempus.
Il pointe, aidé par sa « vue de droite », tout ce que l’aventure nazie doit à un individu.
Mais il suit trop Rauschning en voyant dans le nazisme un pur « nihilisme » destructeur, et loupe la découverte que va faire John Lukacs en 1990 et qui n’a pas fini d’irriguer les recherches : le nazisme était viable, sinon pour mille ans, du moins pour une génération ou deux, et a manqué d’un cheveu une victoire durable en mai-juin 1940.
Paulhan. Un autre avec une certaine idée de la France qui semble avoir oeuvré en vain.
Place à Franceculture.
Les pseudos multiples, lorsqu’ils sont d’un ajout sémantique en référence directe à une affirmation ou explication oiseuse posée antérieurement font office de réprobation populaire, de quolibet, de broderies langagières qui gardent tout leur intérêt sur un blog littéraire.
Je ne parle pas de ces stupides prénoms moralisateurs et des développeurs(euses)de pensées autistes.
le nazisme était viable, sinon pour mille ans, du moins pour une génération ou deux
« il aurait pu le faire » aurait pierre dac à francis blanche en gros goering..ça irrigue pas les tomates des découvertes pareil..mais presque
> La bouche, sensuelle, dit que Dieu ou l’Idéal n’a pas aboli les plaisirs de ce monde.
Ah non, on voit clairement qu’elle dit ‘T’as intérêt a courir vite, ma cocote’.
une certaine idée de la France qui semble avoir oeuvré en vin
4 kil/jour en 14 phil..les chleu avec leur romantisme a l’éther ont été enterré avant
défèque sur le prisonnier situé juste en dessous de lui
en même temps juste a coté ça aurait pas marché
certes Bougreau. Verhaeren aussi a fini par faire une sévère fixette sur le romantisme dévoyé des « chleu ». Un train lui a coupé les deux pieds en 16, à la mode « tutsi ».
Les vignerons bordelais ont fourni la Wehrmacht en vin à partir de l’automne quarante, capitaine bouguereau. Le charme marchandeur allemand n’aura pas oeuvré en vain. Les généraux avaient trouvé que la vinasse cognait moins fort que la gnôle à la cerise, c’était du win-win, tout le monde gagnait et conchiait la loi Hévin qui n’existait pourtant pas encore. C’était l’apport consenti de la France occupée dans la nouvelle Europe. ça a rapporté bien paraît-il. Le Landser d’outre-Rhin était content.
Quant à Girardet, il n’évoquait jamais sa résistance comme un haut fait de guerre (souvent des rencards montés dans l’improvisation la plus totale, de l’amateurisme, ce qui n’en réclamait pas moins un courage insensé, celui de la jeunesse.) Jean-François Revel avait la même réflexion.
9h30 – 9h34
La burne a encore marché sur la queue du bichon.
Après il s’étonne qu’il lui bouffe ses Bata.
‘T’as intérêt a courir vite, ma cocote’.
Si tu la lute, ta cocotte,tendre sera la turlutte!
le film de bunuel « viva la muerte »
Non pas Luis Bunuel, Bérénice, mais Francesco Arrabal.
vdqs..et dsk
il n’évoquait jamais sa résistance comme un haut fait de guerre
la bravoure vient aux barons sans effort..ils sont d’une autre trempe, la droite la vraie demande un conditionnement de ouf, tout petit qu’il faut qu’il soit pris..aprés c’est trop tard
..d’ailleurs dans cette droite il y a un respect et une reconnaissance de tout conditonnement, un tatouage vulgaire sur un batdaf arrive même a avoir de la classe et a créer chez eux une forme d’envie..par coeur que jles connais
Verhaeren
toute la belgique et les « boches du nord » l’on appris par coeur
..cette droite là a une notion du temps bien supérieur en qualité a celle de heidegger, la fameuse phrase « l’éducation arrive presque a changer la nature de l’homme’ il l’ont faite leur jusqu’à l’os, et contrairement a ce que l’on pourrait croire ce n’est pas une notion de gauche, c’est un trésor qu’elle leur a pris et elle sait elle que ce ne peut pas être la famille qui la porte..voilà tout le probloc et pourquoi nos filles sont muettes
l’éducation, comme le chinois, ça s’apprend.
bougue 10h34 effectivement il y a un rapport géograp^hique et hiérarchique, le prisonnier en état d’infériorité et enfermé ne peut s’échapper ni échapper à la déjection, nous autres tous égaux en droit et de fait évacuons sur un même niveau sauf les constipés bien évidemment qui cachent leur handicap et pousse très fort et sans bruit pour ne pas importuner le voisinage
Ja, ja, c’est ce que Sloterdjik appelle dressage, Menschenzüchtung, dans son fameux « Règles pour le parc humain ».
l’éducation, comme le chinois, ça s’apprend
ça se singe aussi..ça s’industrialise et c’est laid..et ça pédophile virtuellement..le rapport avec le chinois est d’actualité, l’éducation c’est un investissement d’une communauté..et surtout pas oublier de faire croire aux autres « communautés » le contraire
Ja, ja, c’est ce que Sloterdjik appelle dressage
à l’époque on a parlé de reich qui continuait sans qu’on l’sache..sloterdjik parlait surtout de biopolitique à la foucald
le prisonnier en état d’infériorité et enfermé ne peut s’échapper ni échapper à la déjection
le compissement est plus performatif..enfin pour l’homme ! et faut point en rire pisque freud a dit que c’était pour ça que les gonzesses avait été choisie avec grand discernement par la communauté pour garder le foyer..hurkurkurkuk
« de la classe d’un Raymond Aron. D’où vient qu’il fut bien moins connu et moins célébré ? »
= tout simplement parce qu’il s’est cantonné dans un champ disciplinaire plus limité : l’histoire militaire de la France, alors que Raymond Aron a abordé les champs existentiels de la pensée contemporaine se mettant au diapason de sartre et camus comme contradicteur
@8.28, Comme on pouvait s’en douter en invoquant les mânes de Jean Paulhan s’adressant aux directeurs de la Résistance, le maître des lieux inaugure un autre débat pour noyer le poisson. Ne comptez pas sur moi pour établir un parallèle oiseux, quoique défendable, entre cet essai tartuffesque de Jean Paulhan et les réflexions plus contemporaines relatives à l’exploitation de la souffrance des juifs, introduites naguère par Norman G. Finkelstein.
Restons en, SVP monsieur Passoul, au sujet du jour, lequel est d’assumer ou non votre apologie d’un « certain esprit français » incarné par le beau parleur aux idées si claires et lumineuses, Raoul Girardet, entre autres sympathique défenseur de l’OAS…
Comment traduit-on : « ça cocotte »…
par « ça schlingue »?
ça se singe aussi..ça s’industrialise et c’est laid..et ça pédophile virtuellement..
Richtig, mais l’éducation apparemment opposée, par la « Nature », celle des Wandervogel, pouvait aboutir à l’imposition d’une discipline de fer et d’un horizon pédérastique (pas « homosexuel »).
« le prisonnier en état d’infériorité et enfermé ne peut s’échapper ni échapper à la déjection »
De qui est la vision d’horreur de prisonniers chiant au dessus de la fosse, et dont les intestins se balançaient comme des serpents?
Antelme ou Levi.
Raymond Aron
..à palpé des ronds dla cia..il ne s’en est pas caché dailleurs..ça l’emmerdait pas et ça boostait furieusement son biz
j’caricature un peu mais c’est dce coté là qu’il faut comprende « je préfère avoir tort.etc.. » du coup ça a autrement de sens
..et je crois qu’un ancien maurassien aurait préféré sfaire livrer du caviar par moscou..il srait descendu dans sa cave et aurait trouvé l’vin qui allait avec
Antelme ou Levi
semprune plutot
Michel Winock, un portrait de Girardet:
Tout ça, ça marchait à la baguette quand même.
Paul Lefraire dit: 27 septembre 2013 à 9 h 55 :
La photographie en question, je l’avais prise sur la RdL, donc à quel insu ? Quand on mets un Jpeg sur le web, c’est rendre public une image. Je ne dévoilerais jamais une vraie identité*, je respecte l’anonymat quand il n’est pas arme de guerre pour se tout permettre. Quant au portrait en question, j’ai proposé une solution, pour que je l’enlève.
Pour ce qui est de votre commentaire, vous êtes en dehors du sujet de la Note de Passouline, donc: Êtes vous un voyou du web ?
* Quand la vraie identité de Paul Edel m’a été dévoilé, par P.E lui-même, j’ai gardé le secret pour moi.
Pour faire court, si je ne suis pas attaqué, je me tais, si je suis attaqué, je me défends. Je ne vois pas au nom de quoi, je n’aurais pas le droit d’attaquer de retour.
Pour dire vrai, Lefraire, vous me semblez juge et partie.
« Restons en, SVP monsieur Passoul, au sujet du jour, lequel est d’assumer ou non votre apologie d’un « certain esprit français » incarné par le beau parleur aux idées si claires et lumineuses, Raoul Girardet, entre autres sympathique défenseur de l’OAS… » (Diagonal)
Ce n’est plus le temps de l’engagement, qui demande un pour et un contre, mais celui de la réflexion. Il s’agit de reconstituer la possibilité d’une histoire commune.
Le Manifeste des 121 ne prend pleinement son sens que rapproché d’autres textes, comme le « Manifeste contre les professeurs de trahison », co-signé par Girardet, Laurent, Nimier, Perret, etc.
t’as raison..c’est pas pasque le reich de mille ans à duré un peu plus de quinze jour qu’il faut que tu te laisses emmerder vontraube..menace le de la baignoire ce gougnafié..ça fait toujours son petit effet
@11.57 « reconstituer la possibilité d’une histoire commune »… C’est cela, et je vous souhaite bon courage.
« je vous souhaite bon courage. »
Je ne dis pas que ce soit agréable.
L’alternative est d’en rester, avec bonne conscience, aux livres d’images.
Perpétuer des mythologies sectaires (de famille ou de parti) permettant un jour d’envoyer des enfants au casse-pipe dans des combats douteux.
Je ne parlais pas QUE DE VOUS, tkt.
Je suis comme tout un chacun sur ce blog, je lis les propos de l’un et de l’autre, des uns et des autres.
Entre vous et D, c’est match nul et comme le dit U, rien ne sert de se crisper.
Voyons ce n’est guère important ces gamineries entres vous deux.
L’ un et l’autre, vous êtes des inconnus à part ce blog, non?
Bien à vous.
( Cela avait aussi un rapport avec le sujet, à savoir le jugement de la psychologie d’une personne par son visage ou sa « gueule », selon le côté où l’on se place.)
Ne connaissant pour ma part aucune de vos deux têtes, je ne peux prendre partie.)
le nazisme (…) et a manqué d’un cheveu une victoire durable en mai-juin 1940.
—
Il y avait le nez de Cléopatre, il y aurait maintenant le cheveu du Führer… En prenant quelques libertés avec l’idiome, on pourrait dire qu’il l’a manqué d’une mèche.
Non, Paul Lefraire, j’utilise ma vraie identité (je ne la cache pas), comme Renato et Jacques Barozzi et parfois Mauvaise Langue.
Je peux facilement imaginer que la plupart du temps vous commentez en signant par un autre nom.
Ceci dit, de mon coté, la conversation avec vous, est close.
PS: Je connais la vraie identité de Clopine et je la garde pour moi
Je ne dévoilerais jamais une vraie identité*,
TKT
Et menteur avec ça, vraiment un vilain coco.
* Quand la vraie identité de Paul Edel m’a été dévoilé, par P.E lui-même, j’ai gardé le secret pour moi.
TKT
Secret ?
Pauvre Thierry.
« Pour faire court, si je ne suis pas attaqué, je me tais »
TKT
Il n’est donc pas inutile de rappeler la première ligne du premier commentaire de TKT sur ce billet :
« Le Durian c’est comme l’odeur de……..D.-JC, infâme ! »
Chacun peut juger.
« PS: Je connais la vraie identité de Clopine et je la garde pour moi »
TKT
Encore un mensonge.
Déjà dévoilée.
Extrait
Duclos Pierre. Girardet (Raoul) – La Société militaire dans la France contemporaine, 1815-1939, Revue française de science politique, 1954, vol. 4, n° 3, pp. 621-623.
« M. Girardet se risque à établir un diagnostic provisoire de la société militaire française actuelle:
« indifférence rarement malveillante, mais volontiers défiantes » à l’égard de l’armée, scepticisme envers ses hommes et ses traditions. Rançon d’une guerre perdue, de certaines défaillances et compromissions avec l’ennemi, mais plus encore peut-être une certaine internationalisation de sproblème de sécurité et d’une technicité de plus en plus poussée, qui, en quelque sorte « déracinent » l’armée et la société militaire.
plus loin dans l’extrait il est évoqué: « simplification abusive » /
le nationalisme militaire vu du côté psychologique, celui de M. Girardet.
Enfin, c’est comme cela que je l’ai compris cet extrait, édifiant.
Popular Science ferme les commentaires sur son blog. L’avenir est ici.
http://www.popsci.com/science/article/2013-09/why-were-shutting-our-comments
des journées entières dans les arbres dit: 27 septembre 2013 à 13 h 15 min
Bravo, Donnadieu (if I may)
À présent, après avoir été édifié, vous allez nous dire comment vous corrigez ce tableau sur la situation de l’armée française à l’époque des guerres d’Indochine et, bientôt, d’Algérie (1954).
certes Uh Uh, je pourrais avoir du temps à perdre, mais le mien est compté cher.
Hello Abdel,
Pour le résistancialisme j’ai lu qu’il s’agit d’un néologisme de Henri Rousso, historien, pour dire ce qu’a été le mythe de la Résistance en France, dans l’immédiate après-guerre et l’amnésie entretenue comme volonté politique, une sorte de solution thérapeutique, en quelque sorte.
A bientôt
Et le résistancialisme en prendra un double coup dans les années 70: un de l’extérieur (US) avec la traduction en 73 du maitre-ouvrage de Paxton: La France de Vichy; un autre, de l’intérieur, en 71 avec Le Chagrin et la pitié, l’âpre film de Marcel Ophüls, fils de Max. Interdit de télévision pendant des années. On aime se regarder en face chez nous.
Marcel Ophüls est cette semaine l’invité de L.Adler sur FC pour une revue sans concession d’une bonne partie du siècle passé: magistral.
Paulhan ? un tarfuffe. et « Monsieur Passoul » invité à baisser la culotte manière Dernier Métro avant de causer idée de la France. Diable. Monsieur Diagonal, qui n’a pas l’entregent de la Deneuve, soigne l’héritage du CNE pour une nouvelle idée de la France, la précédente rendue inaudible par les petits bras de « pédagogues cuistres et malfaisants » (Goubert).
« Monsieur Passoul » devrait lui retirer son adoubement, autre tradition en déshérence.
13h22
Simply including an ad hominem attack in a reader comment was enough to make study participants think the downside of the reported technology was greater than they’d previously thought.
Alors la revue scientifique ferme les commentaires parce qu’ils risqueraient de faire percevoir une technologie moins favorablement ? Putain de revue.
Les donneurs de leçon ne sont pas forcément les payeurs, Bloom, il arrive même que grâce à cela ils engrangent !
Abdel, de même que tous les Algériens vivant en France et y élevant des petits Français ne sont pas des collabos et ceux restés au pays des résistants, tous les Français ne sont pas des colonialistes nostalgiques. On peut comprendre cependant que certains d’entre eux aient été pour garder l’Algérie française…
ëtes-vous pour la kabilie indépendante au sein de l’Algérie ?
Êtes…
Leo Bloom Pold dit:
« Le Chagrin et la pitié, l’âpre film de Marcel Ophüls, fils de Max. Interdit de télévision pendant des années. On aime se regarder en face chez nous. »
Encore faudrait-il compléter l’information. Voici :
« L’une des farouches opposantes à la diffusion du Chagrin et la Pitié fut Simone Veil qui siégeait alors au conseil d’administration de l’ORTF. Dans son autobiographie Une vie, Simone Veil déclare que, confiant dans la pression médiatique et persuadé que l’ORTF avait de ce fait l’obligation morale de diffuser son film, Marcel Ophüls en avait demandé un prix exorbitant. Devant le refus, il fit une campagne médiatique de victimisation pour mieux vendre son film en salle. Par ailleurs, toujours dans cet ouvrage, Simone Veil critique sévèrement la pertinence de ce documentaire qui ne reflète pas du tout, selon elle, les réalités de cette époque. »
Qu’ils disent honnêtement on n’a pas envie que des tarés de petits cons viennent pourrir notre site. En plus, on sait même pas si c’est pas eux-mêmes qui postent des attaques pour justifier la fermeture des commentaires. J’espere qu’ils remplaceront l’espace de discussion par le tag ‘j’aime’ pour que la communauté puisse continuer à s’exprimer.
Marcel Ophüls a su faire un sort aux « auvergnats » par l’entremise de la séduisante pellicule. Lanzmann s’en souviendra quand il réglera leur compte aux Polonais.
Préférons le père, Maximilian, Austro-Hongrois qui savait tourner dans « La ronde » des identités mosaïques de son empire sans chercher les coupables d’une destruction inattendue.
La bible Paxton ne mentionne pas Bousquet et personne ne s’en étonne.
J’espere qu’ils remplaceront l’espace de discussion par le tag ‘j’aime’ pour que la communauté puisse continuer à s’exprimer
toutafé..c’est la segmentation..c’est toujours pareil, les producteurs de contenus pourraient avoir ce genre d’attitude, mais le comble c’est que c’est les agrégateurs qui l’ont le plus souvent..cherchez l’erreur..dailleurs matez bien la fin « faites le pas pour nous mais pour la technologie »..enculéééé
..vdqs ou dsk est nécessaire ?
Les donneurs de leçon ne sont pas forcément les payeurs, Bloom, il arrive même que grâce à cela ils engrangent !
le pire c’est pas que les donneurs de lçon nuisent à leur cause mais qu’ils considèrent que sans eux c’eut été pire..on appelle ça l’ironie de l’histoire baroz
Jacques Barozzi dit: 27 septembre 2013 à 14 h 34 min
bouguereau dit: 27 septembre 2013 à 15 h 40 min
Jacques Barozzi dit: 27 septembre 2013 à 14 h 34 min
bouguereau dit: 27 septembre 2013 à 15 h 40 min
miroir mon beau miroir dit: 27 septembre 2013 à 15 h 46 min
Jusqu’où va aller l’effet miroir ?
Elle n’était pas si ronde que ça Martine Carol, Phil !
14 h 23 min
Le film « Avoir vingt ans dans les Aurès », longtemps interdit
Le cheveu de Hitler n’a rien à voir avec le nez de Cléopâtre !
François Delpla dit: 27 septembre 2013 à 16 h 28 min
Le cheveu de Hitler
Oncle Wolf il est inconséquent : il serait resté il aurait tourné zazou !
oui baroz. Les rondeurs de « Liebelei » semblent plus réussies. Max Ophüls avait le goût du luxe. Son fils a dû en hériter en s’occupant des « auvergnats ».
« Et le résistancialisme en prendra un double coup dans les années 70: un de l’extérieur (US) avec la traduction en 73 du maitre-ouvrage de Paxton: La France de Vichy; un autre, de l’intérieur, en 71 avec Le Chagrin et la pitié, l’âpre film de Marcel Ophüls, fils de Max. » (Bloom)
C’est le « moment 70s ».
Le film a contribué à faire éclater le mythe gaullo-communiste, c’est juste, mais il est à l’origine d’une nouvelle vulgate (la France de la veulerie et de l’abjection).
La lâcheté collaborationniste du Français: ce récit a ensuite été colporté par tous les profs progressistes.
C’est un film sur la France des années 1970, autant que des années 1940.
Nous sommes 40 ans plus tard, les travaux et la réflexions se sont poursuivis.
Personne ne pose plus aujourd’hui le problème en des termes aussi simplistes.
Oui, u. Nous sommes devenus tellement plus intelligents, n’est-ce pas? La preuve est quotidienne.
Les vieux sont morts, et pourtant nous en savons beaucoup plus.
Mais le savoir ne vient pas à bout tout seul des récits opposant les gonflés et les pétochards.
C’est tout à fait normal: ce désir moral est irrépressible (et peut-être nécessaire).
@14.25 « Monsieur Passoul » devrait lui retirer son adoubement, autre tradition en déshérence.
Oui oui punissez-le, c’te flic-là, coupez-le, Pierre… Vous laissez pas avoir ! Commence à nous les gonfler, hein !
Oui enfin vivre dans les bois ça va bien l’été…
miroir mon beau miroir dit: 27 septembre 2013 à 15 h 46 min
Une virgule manque et tout est dépeuplé
Il semblerait que l’on connaisse chaque jour un peu mieux le passé passé à la loupe des sciences sociales, des courants historiographiques divers, annales , mentalités, globale, quantitative, micro-, macro-, post marxiste, John Passes and Better Ones, toutes réflétant davantage les précocupations de l’époque où on l’écrit (comme le fait remarquer u.) que l’époque sur laquelle on écrit, normal.
L’histoire est un fabuleux passe-temps, un loisir passionnant. Elle est tout sauf utile et sérieuse, même et surtout lorsque les historiens sont convoqués aux tribunal du passé. Est-ce pourqoui elle fait tant chier les élèves? Ces petits cons passent à côté
d’un roman fascinant…
Et pourtant, la vraie vie est ailleurs. c’tun sapré paradoxe, monsieur Michu…
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Machin: ‘tain qu’il est con ce Bloom!
Truc: de quoi j’me mèle, petit prof de langues de merdre tellement perdu dans les jungles urbianes subtropicales qu’il en perd le nord.
Bidule: laisse béton, il est mortel, comme les autres.
Mékong!
Comme sont détestables les Hurk hurk hurk hurk employés par certains pour signifier le rire franc joyeux clair presqu’enfantin je propose la ligne vide entre 2 guillemets qui aurait le même emploi, chassant l’ironie, traquant l’insincérité le faux l’assemblage usiné par des cerveaux rompus à l’exercice.
Le cheveu de Hitler
ni le cheveu ni la mèche mais comme le petit personnel l’a révélé à vontraube, la burne!
ta gueule bérénisse
Je vous dérange?
point ! (hurkurkurk)
Oh je sais il n’existe pour vous de réalité qu’écrite pensée imprimée étudiée, matière première de votre vie, excusez-moi baisse de tension.
il serait resté il aurait tourné zazou !
haute contre à rome
écrite pensée imprimée étudiée
..moi si c’est pas marqué « tuilé » et « vieilli en fut de pvc » je laisse au croquant
..c’est comme les vins sans contrétiquette ou ça doit être amrqué « meilleur avec du foi gras ou des coquille saint jacques »..vontraube dit que c’est bon pour les cleps avec leur paté
Bougue est-ce tout ce qu’il reste de votre énergie libidinale? Je doute fort que vous passiez TOUT votre temps à pondre de belles uchronies.
il faut faire dans le certain béré et affirmer des doutes c’est pas satisfaisant au finiche
De plus vraisemblablement êtes-vous poilu et ne sachant plus si j’aime encore les hommes à poil ou sans je ne sais pas non plus quoi faire de vous en idée comme en paquet lyophilisé.
..et puis ce n’est pas des uuuuchronie, « ça s’peut » comme disent les moutards
Dans les commentaires de ce blog il y a des mèmes dont on nous abreuve, des tics de langage que chacun se refile par mimétisme, de rigueur pour bien signifier qu’on se prend pas au sérieux : « hurk hurk hurk » et autres « sapré », ou bien « …iss » (ex : les « socialiss, fachiss » etc) sorte de tic de langage sous-sous-célinien.
A cause de la perpétuation de mythologies politiques sectaires, on risque d’envoyer nos enfants au casse-pipe. Donc, pour éviter ce risque, relisons le défunt et faisons-le méditer à nos élèves soucieux d’être édifiés dans la vie par l’exemplarité de son apport à l’histoire avec son grand H : le sauveur, la conspiration, l’âge d’or, on n’en veut point. Il n’y a donc que le mythe de l’unité retrouvée dans le parti gaulliste qu’il convient de méditer par exemple… L’Unité retrouvé dans le parti idoine résulterait toujours d’une scission. Warf !
Bon, mais combien de temps va-t-on faire tenir tranquilles nos petites têtes blondes avec cette certaine idée de la Franciade, de la Françafrique ou de la Françitude ?
sapré rénato!
17h44 des tic-tics donc?
Bon, mais combien de temps va-t-on faire tenir tranquilles nos petites têtes blondes
tu causes comme giraudoux..alors forcément y’a dla friture
« Bon, mais combien de temps va-t-on faire tenir tranquilles nos petites têtes blondes »
Expression à rayer de notre vocabulaire, dit le CRAN.
Nos chères têtes diverses, c’est mieux.
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