de Pierre Assouline

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La République des livres
Le Corbusier, lumière et pénombres

Le Corbusier, lumière et pénombres

Rien n’exaspérait Le Corbusier comme d’être appelé Charles Le Corbusier, d’autant que pour l’état-civil il était Charles-Edouard Jeanneret. Il fut « Doudou » pour sa famille, et « le fada » pour les Marseillais. A propos, un biographe peut-il appeler son héros par son prénom ?  Il y a là un abîme de réflexion. Tant et si bien que le quotidien The Guardian s’en est récemment ému en lui consacrant une enquête. Il est vrai qu’il y avait péril en la demeure : Robert Crawford n’ose-t-il pas donner du « Tom » à son héros dans sa nouvelle biographie de T.S. Eliot ? Il s’agit certes de l’écrivain dans ses années de formation, mais tout de même. Ce fut l’occasion de s’interroger sur la familiarité, l’affection, voire l’intimité qu’entretiennent certains biographes avec leur personnage. Ainsi a-t-on découvert que la Austen se faisait traiter de Jane, Strachey de Lytton, et que Kipling se faisait rudyarder.

Bref, cela ne va pas de soi. En faire trop ou trop peu, telle est la question étant entendu que ce sera pris soit pour un abus de proximité soit pour un excès de distance. En France, on a tout lu. Et même le biographe de Fernand Braudel lui donner du « F.B. » du début à la fin. Les initiales, c’est peut-être le pire de la désincarnation. Et pourtant, ça se fait. Comment peut-on s’attacher à un homme désigné par un sigle ! On ne fait pas plus froid. Cela dit, « Fernand » eut été trop amical. Unprofessional, eut-on dit outre-Manche et l’avis serait tombé comme un couperet. N’empêche, on n’imagine pas une vie de Le Clézio dans laquelle son chroniqueur lui donnerait du J.M.G.L.C. cinq fois par page durant cinq cents pages. Et encore une vie de Le Corbusier où il serait C.L.C.Villa_Dos-001bis

Le cas de François Chaslin vaut qu’on s’y attarde car son enquête époustouflant sur le Le Corbusier (510 pages, Seuil) est l’un des livres les plus originaux et des plus passionnants qu’il nous ait été donné de lire ces derniers temps. Il faut toujours se méfier d’un biographe qui annonce en incipit : « Ceci n’est pas une biographie ». Généralement, c’est bon signe. Le ton est donné dès le titre : Un Corbusier. Dès l’avertissement placé en liminaire, l’auteur affronte « le » problème : « J’ai parlé de Le Corbusier lorsqu’il s’agissait du personnage historique et du Corbusier dans les cas de plus grande familiarité ». Ce qui n’empêche pas les variantes qui donnent du piquant à son portrait : Corbu, maître Corbu, le Corbu ou encore son totem : le Corbeau.

Y a-t-il jamais eu plus célèbre architecte ? Son nom même, bien campé dans la notoriété du pseudonyme, incarnait sa profession, et jusqu’à la modernité. La plus récente biographie qui ait été consacrée aux Etats-Unis s’intitule Modern Man. The Life of Le Corbusier, Architect of Tomorrow ! Son image (épaisses lunettes rondes, noeud papillon, costume strict, chemise blanche, pipe entre les dents), très travaillée avec son photographe personnel (Lucien Hervé puis René Burri), participait à l’édification permanente de sa légende. François Chaslin a resserré la focale sur l’homme. Non sa vie privée mais son esprit. Rigide, sérieux, dogmatique, il ne s’écartait plus jamais d’un récit dès lors qu’il lui avait trouvé sa forme. Ce n’était pas un politique mais un opportuniste à tout crin, quelqu’un qui aurait « pactisé avec le diable pour voir ses projets prendre forme » (selon Charlotte Perriand) passant sans état d’âme  du Moscou du début des années 30 à Vichy où il a grenouillé dix-huit mois sous l’Occupation et fréquenté Arno Brecker, Josée de Chambrun, Alfred Fabre-Luce, Alexis Carrel.

Il demeura toute sa vie (comme Hergé) sous l’influence d’un environnement intellectuel de jeunesse, conservateur, clairement marqué à droite sinon d’ imprégnation fasciste, « antisémite bonhomme, banal, sans haine particulière et par ailleurs pragmatique, considérant que tout problème, la « question juive » notamment, pouvait trouver une solution par l’urbanisme ». Le jugement de François Chaslin, argumenté et tempéré, est plus convaincant que la charge sans nuance de Xavier de Jarcy qui consacre tout un livre à Le Corbusier. Un fascisme français (215 pages, 19 euros, Albin Michel) afin de prouver que, une ville par lui conçue comme droite et debout était nécessairement au garde-à-vous, qu’elle était nécessairement inspirée par une esthétique totalitaire, que le béton était de toute façon cynique et que leur héraut avait été corporatiste, maréchaliste et eugéniste, ce qui selon lui, on s’en doute, discrédite son oeuvre. Comme si un bâtiment conçu par un esprit décrété fasciste, le mot qui tue, était nécessairement « fasciste » ! Cela dit, il était nécessaire d’aborder enfin frontalement la face sombre du maître de la lumière.

A partir d’un semblable raisonnement, on suit mieux Marc Perelman qui, dans son Le Corbusier. Une froide vision du monde (246 pages, 19 euros, Michalon), insiste dans une démarche tout aussi critique sur sa conception de l’ordre, sa vision autoritaire de la société, ses inquiétantes machines à habiter « où il est toujours question d’imposer un mode d’existence unique à l’ensemble des individus », mais sans pourtant lui dénier l’originalité de son savoir-faire et la portée de sa puissance de conviction. Cela dit, malgré son empathie lyrique P1050236pour le personnage, François Chaslin lui-même, à rebours de la doxa en cours de longue date chez les architectes, voit en lui un idéologue qui aurait réussi en leader de groupuscule radical si l’époque lui en avait fourni l’occasion (entre les deux guerres, il fut actif au sein du « Faisceau » de Georges Valois). Mais dans d’autres pages, il reconnaît que, lui aussi, longtemps producteur à France-Culture d’une excellente émission sur l’architecture, considérait ses penchants autoritaires et totalitaires comme folkloriques et les mettait au débit du fada en ses excès, jusqu’à ce que cela ne le fasse « plus rire ni sourire » et que lui apparaisse clairement le tout harmonique qui présidait à sa conception de l’individu comme module. De là à pointer l’univers concentrationnaire de ses réalisations… Tout individu de bonne foi qui se laisse porter par ses pas dans la chapelle Notre-Dame-du-Haut à Ronchamp doit convenir que ce chef d’oeuvre désarme toutes les critiques.

Chaslin a vécu et dormi un peu partout là où Le Corbusier avait construit, dans les lits de fer du couvent de la Tourette et sur la terrasse de la Cité radieuse à Marseille. Il s’est interrogé sur la morale du blanc de chaux et sur l’esprit du béton Mais au fond, il est relativement peu question d’architecture, du moins sur le plan technique, ce qui n’est pas plus mal, du moins pour ceux qui ne sont pas du bâtiment. L’auteur a fait des choix, digresse par sauts et gambades, en toute subjectivité, ce qui nous vaut une constellation de détails, insensible à ce que Roland Barthes, l’apôtre des biographèmes, appelait le démon de la totalité.

Le bonhomme Corbu, tout d’ordre, de continuité, d’exactitude, de rigueur mais aussi d’agressivité, d’égoïsme, d’aridité morale, eut apprécié ce « tas de choses » obéissant à un chaos apparent. Une machine intellectuelle à produire de la doctrine, capable d’envisager un immeuble en devenir du point de vue de la grenouille tout en réunissant en une seule image le plan, la coupe et l’élévation, se rêvant Palladio. Sa biographie est bien dans ce fouillis, mais bien d’autres choses aussi qui en font le prix. Tous les Corbusier y sont plus ou moins, à commencer par le seul architecte qui consacrait toutes ses matinées toute l’année à peindre. Il ne fallait surtout pas le traiter de « Picasso de l’architecture », poncif que se repassait les gazettes et qui l’exaspérait. Il n’était jamais aussi heureux qu’un pinceau, ou un crayon à la main, seul dans son cabanon de Roquebrune-Cap-Martin, minuscule construction remarquablement rudimentaire que ce personnage au fond tragique considérait comme chef d’oeuvre.LeCorbusier-terrasse-001bis

Il disait : »Urbaniser, c’est classer ». L’exactitude lui était une nécessité. L’enquête de François Chaslin, d’une richesse documentaire et d’une liberté de ton réjouissantes, représente un au-delà de la biographie. C’est un livre d’écrivain. D’ailleurs, Un Corbusier est publié dans la collection « Fiction & Cie ». Normal pour un artiste de génie qui a fini par avoir une place à son nom en plein Paris, mais dans un non-lieu introuvable.

Comme 2015 est l’année du cinquantenaire de sa mort, le Centre Pompidou le célèbre à partir du 29 avril à travers une grande exposition, Juliette Cazenave lui consacre un passionnant documentaire (sur Arte le 13 mai  ), d’autres livres sont annoncés. Quand on lui reprochait son mauvais caractère, il se récriait, excipait de sa clarté :« Ce sont les événements qui sont tordus autour de mon caractère qui est droit, purement et simplement ». Comment ne pas songer au mot de Sade pour sa défense : « « Ce n’est pas ma façon de penser qui a fait mon malheur, c’est celle des autres »…

(Illustrations de Jean-Philippe Delhomme tiré l’album Les heures claires de la villa Savoye (58 pages, 19 euros, Les quatre chemins) écrit par Jean-Marc Savoye en souvenir de cette maison de campagne à Poissy commandée par ses grands-parents à l’architecte en 1929 ; « Le Corbusier » photo Robert Doisneau ; « La chapelle de Ronchamp » photo Passou)

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commentaires

660 Réponses pour Le Corbusier, lumière et pénombres

sirius dit: 10 avril 2015 à 12h34

le petit Court s’est tellement Farcy Xavier qu’il en est muet de confusion

Bloom dit: 10 avril 2015 à 14h05

Ne vous inquiétez pas pour moi, j’ai mes entrées. Y compris aux soirées de l’ambassadeur. Si je veux.

Ça ne m’étonne pas. Les médiocres s’attirent. Turds of a feather stick together.

Giovanni Sant'Angelo dit: 10 avril 2015 à 14h15


…une expérience de trop, ma fille,!…
…à la barre,!…aussi,!…à la mode,!…

…un modèle à poser sa fortune aux andouilles,!…

…et tout ces Clans à se là jouer, première de cour,!…avec tout ses voisins,!…sur celle-là,!…en connivences,!…

…que voit-tu chérie,!…encore de l’argent, des liasses et des lingots,!…
…tu l’aimera l’Adam,…susse aux muscles,!…façons ventouses,!…

…chacune son  » carré  » au noir,!…
…changé,…l’équipe, en Troie équipes,!…
…et le gros lot,!…

…aux armes citoyens,!…encore une novice Adam,!…etc,!…
…Jules arrête ton char,!…les portes sont ouvertes, évidées d’intérieurs,!…Just du must pour s’éclater,!…
…des secrets de polichinelle,!…

…jamais sans fortunes, aux baises,…pour tourner en rond,!…toujours sans châteaux et fortunes & domaines en fortunes,!…
…pourquoi s’entreprendre, à s’unir,!…
…rien à jeter,! de part et d’autres,!…
…la classes des basses-courts,…
…contents pour personne alentour,!…
…Je revient de Rio,!…encore un quart-monde,!…à la file,!…il y en à pour tout le monde,!…du jus à stocker,…des enfants à marier,!…je veux du vingt-Plus,!…
…pas dans cet état des paradigmes,!…

…l’esprit des lois, le profit, sur les citoyen,!…
…elles sont belles, c’est pour vous,!…
…servez-vous,!…
…Non,!…j’en suis aux réserves  » pêches « ,…ce moi ci,!…
…Youtube  » Elvis Presley  » –  » in the ghetto « ,…
…un autre , Plus, aux caviars,!…etc,!…

Bloom dit: 10 avril 2015 à 14h22

Que vous ayez un pouvoir décisionnaire de petit potentat, en revanche serait vraiment une catastrophe, pour les locaux.

Certainement pas de pouvoir de décision pour les gros projets bilatéraux: ce sont les locaux qui décident (selon des critères qui sont les leurs). En revanche suggérer que l’nuiversité » soit relié à la ville par un système de transport en commun allant jusqu’au port peut effectivement rentrer dans mes attributions. Ne vous inquiétez pas pour les locaux qui savent parfaitement à qui ils ont affaire: l’établissement dont je m’occupe est de droit local et j’y suis le seul hexagonal.
Potestas? Auctoritas?
Excellent ulcère à vous!

Bloom dit: 10 avril 2015 à 14h29

Chandigarh est un échec architectural

Bon, on laisse la parole aux gens du cru. On est d’accord que l’architecture n’est qu’un moyen au service d’une fin: le vivre ensemble etc…

Why I love Chandigarh

Some of the known faces from different walks of life tell Ajay Banerjee what the city means to them.

« Its environment and social life are incomparable »

« It is highly democratic and cosmopolitan »

“No small-town mentality here”

“Its spirit is so alive”

“Its controlled modernity is a boon”

http://www.tribuneindia.com/2003/20031007/chdplus/main8.htm

sirius dit: 10 avril 2015 à 14h35

avec Brasilia, Chandigarh est une réussite totale de ville contemporaine ; Oscar et Corbu deux génies

Phil dit: 10 avril 2015 à 14h38

Bloom régale à la mangue saint émilion. ça nous change des générations régressives buveuses d’eau pétillante qui ont le tournis dans la maison du docteur caligari.

observatoire des snobs ordinaires dit: 10 avril 2015 à 14h55

mettre les mains dans le cambouis pour préserver la dignité

le cambouis oui mais alors le top…

observatoire des profs ordinaires dit: 10 avril 2015 à 15h06

combien d’amateurs pour assurer ton côté professionnel chérie ?

sirius dit: 10 avril 2015 à 15h12

ce ne sont pas les charcutiers comme JC ou les papelardiers amateurs comme le petit Court qui parlent le mieux de l’Architecure

Sergio dit: 10 avril 2015 à 15h33

C’est vrai que l’église de Ronchamp on dirait qu’il a fait ses classes à l’organisation Todt…

Widergänger dit: 10 avril 2015 à 15h40

Si la réforme Bel Kacem des collèges et lycée passe, je connais plusieurs profs qui sont prêts à prendre leur retraite anticipée. Car c’est la fin de l’Ecole. Carrément. Vraiment la gauche a tout raté. Tout pourri.

Widergänger dit: 10 avril 2015 à 15h44

Le Pen reprend les vieux mythes de l’aurore boréale. Pur nazi. On n’en sortira donc jamais de cette merde !

Widergänger dit: 10 avril 2015 à 15h47

L’acidification des océans, responsable de la plus grande extinction d’espèces

Plus de 90% des espèces animales marines et plus des deux-tiers des espèces terrestres ont disparu

L’acidification des océans causée par la forte augmentation de dioxyde de carbone après d’énormes éruptions volcaniques, a provoqué la plus grande extinction d’espèces de l’histoire de la Terre il y a 252 millions d’années, ont déterminé des chercheurs.

Plus de 90% des espèces animales marines et plus des deux-tiers des espèces terrestres ont disparu.

renato dit: 10 avril 2015 à 15h58

Aucune conscience écologique ces volcans! Ils lisaient sans doute les journaux de la veille…

Phil dit: 10 avril 2015 à 16h00

dear widergänger, il paraît que le commandant cousteau s’est converti musulman à la fin de sa vie; ça n’a rien changé à l’acidification des océans mais son frérot était un collaborateur à la plume acide. Faut des puissants comme vous, rompus au pilpoul, pour faire le lien !

babel oueda dit: 10 avril 2015 à 16h25

Phil dit: 10 avril 2015 à 18 h 00 min
dear widergänger, il paraît que le commandant cousteau s’est converti musulman à la fin de sa vie

It’s a canard, Phil.
Il est mort en bon (ou en mauvais) catholique.

Phil dit: 10 avril 2015 à 16h47

Merci Babel, ok, la Calypso n’est jamais passée sous pavillon mauresque.
en revanche le frérot a fait dans la collaboration pur sucre. Pour la postérité les deux frérots sont dans le dictionnaire. A l’époque de ma grand-mère qui préférait Larousse au vulgaire Robert, ces choses-là comptaient.

babel oueda dit: 10 avril 2015 à 16h49

la vie dans les bois dit: 10 avril 2015 à 13 h 30 min
Ne vous inquiétez pas pour moi, j’ai mes entrées. Y compris aux soirées de l’ambassadeur. Si je veux.

Marrante, cette phrase.
Ça évoque la pub poilante sur la soirée chez l’ambassadeur (à l’intention des ploucs dirait WG) où on présente une pyramide d’ignobles chocolats Rocher Ferrero…
Les corvées d’ambassade…
Heureux ceux qui ne savent pas.

Attila dit: 10 avril 2015 à 16h53

C’est Saint-Louis qui s’était converti à Tunis, juste avant de mourir de la peste, Phil. Et sans avoir lu le « Soumision » de Michel Houellebecq !

Sergio dit: 10 avril 2015 à 16h58

« Bref, cela ne va pas de soi. En faire trop ou trop peu, telle est la question étant entendu que ce sera pris soit pour un abus de proximité soit pour un excès de distance. »

Cela, c’est Anne-Marie Stretter qui décide… L’important, dans le reste c’est-à-dire tout, c’est l’oeuvre ! Elle lui appartient pas, l’oeuvre, elle est à l’universelle humanité… Elle lui a jamais appartenu la moindre seconde, même et surtout en la faisant ! Donc le peintre, l’écrivain, le compositeur, il pourraient s’appeler même pas d’un sigle, mais voire d’un numéro à quarante chiffres ça changerait rien au nez de Cléopâtre ; maintenant c’est pas très hypocoristique ! Y a que Lucette comme danseuse qu’on pouvait appeler Lili…

Acte I de l'ante-gaz dit: 10 avril 2015 à 16h59

ça, je l’ai jamais trop dit, mais tennis racket, c’est pas mon genre.

D’autres arguments de présentation avant de partir?

Acte final après scènes dit: 10 avril 2015 à 17h11

morale, morale…..

la vie d’autrui et ce dont on (a) fait preuve, point (de chaux) à la ligne et carriage return

renato dit: 10 avril 2015 à 17h23

Dans les faits, la morale le gens il en parlent beaucoup lorsqu’il y en a pas…

Acte final après scènes dit: 10 avril 2015 à 17h48

Beaucoup ? avec des racines de palétuviers dans le biotope du voisin ???

renato dit: 10 avril 2015 à 17h48

Et je ne suis pas sûr que ceux qui nous emmerdent avec la morale puissent vanter un comportement moral… sans taches… mais bon, il en parlent et cela semble leur suffire…

juste pour le fun vu qu'on le sait déjà dit: 10 avril 2015 à 17h54

Phil dit: 9 avril 2015 à 15 h 51 min

la vie dans les bois dit: 10 avril 2015 à 12 h 33 min

renato dit: 10 avril 2015 à 12 h 48 min

Acte final après scènes dit: 10 avril 2015 à 19 h 11 min

renato dit: 10 avril 2015 à 19 h 23 min

renato dit: 10 avril 2015 à 19 h 24 min

renato dit: 10 avril 2015 à 19 h 48 min

faites vos comptes.

renato dit: 10 avril 2015 à 18h13

Enfin! ce gens qui vomissent en public… mais ils ont sans doute un haute sens de la morale… bien que… à tout prendre… il vaut mieux un opportuniste comme l’architecte dont on parle plutôt qu’avec les moralistes dont on préfère taire les noms…

la drama prima donna sur la route de la sustentation dit: 10 avril 2015 à 18h16

Du moment que WGG est là pour tenir le rôle du pion sacrifié faudrait arrêter de faire comme si on vous posait problème aussi !

renato dit: 10 avril 2015 à 18h17

il vaut mieux un opportuniste > il vaut mieux avoir affaire à un opportuniste

D. dit: 10 avril 2015 à 18h17

Trente-si Rafale, on peut vous les faire à 2,7 milliards et si vous en prenez 50 on descend à 2,4. C’est à vous de voir.

renato dit: 10 avril 2015 à 18h24

« ça vole pas haut »

Il faut quand même que ce soit psychologiquement soutenable…

l'erreur de casting dit: 10 avril 2015 à 18h24

crttr suppression du latin et du grec est une hypocrisie de première ; mais s’en remettra-t-on?

Marc Laudelout dit: 10 avril 2015 à 18h25

Vétille : Arno Breker (et non Brecker), faute très répandue.
Cordialement

ML

addicts lovers dit: 10 avril 2015 à 18h25

il vaut mieux un opportuniste > il vaut mieux avoir affaire à un opportuniste

renato il arrête de voir double quand il veut !

renato dit: 10 avril 2015 à 18h30

« … il arrête de voir double quand il veut ! »

Le sens de l’opportunité on l’a ou pas… mais je parlerais plus volontier de strabisme…

Charles d G dit: 10 avril 2015 à 18h35

« un biographe peut-il appeler son héros par son prénom ? »

La réponse est non

renato dit: 10 avril 2015 à 18h35

Ah! vous savez, moi, les S… bien que les $… puis, s’il y a un projet à realiser…

l'erreur de casting dit: 10 avril 2015 à 18h37

il faudrait que tous ceux qui ont eu le bac avec latin et au-delà fassent leur autocritique en grande séance de flagellation !

misère, misère... dit: 10 avril 2015 à 18h38

Il faut quand même que ce soit psychologiquement soutenable…

La quête de la foule ? Il y aurait VRAIMENT de quoi rire !!!

l'erreur de casting dit: 10 avril 2015 à 18h40

Voici le premier ouvrage de M.I. Guinzbourg, publié en 1923, la même année que Vers une architecture de Le Corbusier. Cette brève traversée de l’histoire de l’architecture, à la recherche de modèles susceptibles d’accompagner les transformations sociales modernes, s’appuie sur la notion de rythme,

renato dit: 10 avril 2015 à 18h43

Et bien, un régime est psychologiquement soutenable ou pas… Il est preferable qu’il le soit… Ou non?

l'erreur de casting dit: 10 avril 2015 à 18h44

Ce texte a été présenté lors du colloque « La sociologie de l’architecture, un domaine de savoir en construction ? », 17-18/10/2011, ENS d’Architecture de Paris La Villette, dans les actes duquel il sera bientôt publié. Nous remercions Daniel Pinson et les organisateurs de nous avoir permis de le reproduire ici.

Le statut des dessins dans l’étude de Mauss sur les Inuits (1905)
Deux recherches mobilisant la représentation graphique de l’architecture et des (…)
Pour conclure…
http://rhuthmos.eu/spip.php?article770

Phil dit: 10 avril 2015 à 18h46

Arno Breker, Arno Klarsfeld, Bernard Arnauld…on s’y perd dans tous ces collectionneurs de trophées. Gide aussi orthographiait Verbecke au lieu de Verbeke. Chez certains littérateurs francais, il y a comme une hésitation devant le k allemand. Un peu tissé (hurkhurk) leur semble nécessaire. Colette parlait de monsieur Abesse. Il faut dire qu’elle avait des pieds de pélerin.

Nul nez sut poser la loi dit: 10 avril 2015 à 18h46

Il est preferable qu’il le soit… Ou non?

Faites-vous allusion à quelques circonstances agravantes ?

pour rigoler en douce dit: 10 avril 2015 à 18h51

collectionneurs de trophées

on fait les conquêtes qu’on peut…

l'erreur de casting dit: 10 avril 2015 à 18h52

La méthode, exécutée sous cette forme pour cette recherche, l’a été par la suite, en faisant collaborer des étudiants, sur la Maison Radieuse de Le Corbusier construite à Rezé, pour une recherche-action coïncidant avec le centième anniversaire de la naissance de Le Corbusier

rose dit: 10 avril 2015 à 18h59

C’est une méthode : ni la flagellation ni l’autocritique permanente dirigée contre soi-même : non ; ne raconter que des conneries. Laisser la foule vous suivre.

L’engager dans la traversée de la mer rouge en lui disant que les flots vont rester ouverts.
Savoir pertinemment que c’est faux, que les flots vont se refermer et que tous seront noyés.

C’est une méthode de dingo.

• Brasilia, une ville rêvée, Antonio Wagner de Reyna, 1994 , 45′, France / 17h00

Il n’y a pas pires erreurs architecturales que Chandigarh et Brasilia : et les deux lieux? de la même manière? ne sont pas habités.

rose dit: 10 avril 2015 à 19h00

Déjà, lorsqu’il a fait semblant de mourir, l’automne dernier, je me doutais qu’il était frappé grave, le génie créatif. Sans bouillir.

rose dit: 10 avril 2015 à 19h01

• Brasilia, une ville rêvée, Antonio Wagner de Reyna, 1994 , 45′, France / 17h00

Il n’y a pas pires erreurs architecturales que Chandigarh et Brasilia : et les deux lieux, de la même manière, ne sont pas habités.

rose dit: 10 avril 2015 à 19h02

Ensuite, lorsqu’il a demandé pardon pour recommencer douze secondes après, j’ai eu confirmation, un fêlé de première. Atteint du ciboulot.

rose dit: 10 avril 2015 à 19h06

>Laeticia, ma bichette, pas d’argumentation saugrenue : don’t bargain, win.
Le pognon que tu gagnes, il n’en voit pas la couleur : tu verras s’il dure longtemps son petit jeu « je suis malheureux ».
Le pèze, c’est tout ce qui l’intéresse. I’s’la joue en suisse.
Un tonton flingueur je t’ dis.

Surveille tes abattis, ma bichette et mets- d’l’argent à gauche.
D’ailleurs, t’as rien gagné pck c la crise. Et tu bosses pour les p’tites sœurs des pauvres.

Y va t’avoir à la tendresse, cède pas sur le portefeuille bébé.

Daaphnée dit: 10 avril 2015 à 19h12

Bon, quand même …
Ces lunettes bord épais au-dessus des yeux, Rose en-dessous, ça fait un peu homme grenouille.

rose dit: 10 avril 2015 à 19h19

>Laetitia

il manque qq secondes avant ce début qui est la fin : elle applaudit à deux mains ravie, ruisselante, épanouie.

https://www.youtube.com/watch?v=5O7gaOLwxGY

Las, le type qui a copié cet extrait a omis les applaudissements d’icelle, pour notre plus grand chagrin.

Profitez quand même, enfantine et heureuse de l’être.
Pour vous perso. cet extrait.
Que les autres tournent casaque, penauds et déconfits. Et à pied.

rose dit: 10 avril 2015 à 19h20

Oui mais vous, les rides partout ça fait un peu varan sorti de son aquarium : c’est sans doute pour cela l’homme grenouille héhé.

ah ça... dit: 10 avril 2015 à 19h23

on fait les conquêtes qu’on peut…

tout le monde ne se met pas en ménage dans un cheval de troie, quoique… en tout cas, vu le nombre de pyromanes qui ont l’air de s’y tenir au chaud ça a comme un air très réfractère…

rose dit: 10 avril 2015 à 19h23

Et merci Daaphnée pck je me demandais justement si vous étiez complice ou pas.
Donc de 50 000 €, je pense passer à 100 000. Puisque vous êtes deux.
hé, hé.

Daaphnée dit: 10 avril 2015 à 19h27

Après  » Corbu, maître Corbu, le Corbu ou encore son totem : le Corbeau. », il ne manquait plus que la corneille, sur sa branche juchée ..
Hein .

(Finalement, U., j’emporte aussi mes palmes et un tuba )

rose dit: 10 avril 2015 à 19h31

Hum ?
Erreur d’analyse : ce n’est pas razgratis. C’est razpayant et cher. Aboule cocotte ton pèze/
Héhé

D. dit: 10 avril 2015 à 19h32

Brasilia m’a toujours fait terriblement vibrer. Je suis en résonance à 100 % avec ce genre d’architecture.

J’aime aussi particulièrement l’ONU à NY et l’UNESCO à Paris. La maison de la radio m’était aussi très plaisante avant travaux. Depuis c’est devenu n’importe quoi. Les auditorium ont perdu toute leur âme, il n’y a plus la moindre enceinte Elipson sphérique, on vit dans le pire des mondes en ce moment et je pense sincèrement que la fin est proche pour tous, je veux dire la fin des temps.

rose dit: 10 avril 2015 à 19h37

>Daaph.
sympathique vous êtes avec votre mitaine, et votre gant noir de vamp. Le soir je tricote, la journée, je vapote.

Allez, je vous laisse : bonne soirée conjugale.
Lui jouit de nous tenir informée de vos activités.
Moi je me demande comment cela est possible ; et vous suggère de garder pour vous le fruit de vos revenus.

Pour le reste, liberté chérie.

J’me marre, igote, à le lire réclamer de l’affection ; alors qu’hormis le pèze et le génie créatif reconnu, rien ne l’intéresse.

De moins en moins intéressant humainement vos personnages à tous les deux.
Pck très peu d’humanité, in fine et bcp de chiqué, de m’as-tu vu.

Bonne plonge.
Même si mauvaise pioche.

rose dit: 10 avril 2015 à 19h39

L’engager dans la traversée de la mer rouge en lui disant que les flots vont rester ouverts.
Savoir pertinemment que c’est faux, que les flots vont se refermer et que tous seront noyés.

Etc... dit: 10 avril 2015 à 19h39

Depuis que tkt ne répond plus D a perdu sa flûte de Pan et ses plumes de paon.

rose dit: 10 avril 2015 à 19h56

dans le film de Meryll Hardt, s’il n’y a qu’une chose à retenir, c’est l’utilisation des placards. Pour le reste esthétique pour esthétique : creux en diable.
Sauf les placards, à mes yeux rose.

bérénice dit: 10 avril 2015 à 19h59

Lui jouit de nous tenir informée de vos activités

Rose « Lui » c’est bien ce magazine avec des femmes nues adoptant des attitudes suggestives pour hommes habillés projetant vaguement de se soulager??

renato dit: 10 avril 2015 à 20h01

Bon, depuis qu’on connait le QI de Jayne Mansfield, le blagues sur les blondes c’est fini…

bérénice dit: 10 avril 2015 à 20h20

L’enquête de l’inspection générale de la police nationale, ouverte après le dépôt des plaintes, n’a pas permis d’établir les circonstances des violences. Trois des victimes, qui ont perdu l’usage d’un œil, affirmaient avoir été blessés par des projectiles tirés par des lanceurs de balles souples de type Flash-Ball ou LBD40.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/societe/article/2015/04/10/notre-dame-des-landes-les-plaintes-deposees-par-des-manifestants-classees-sans-suite_4614059_3224.html#HqSwDFpUYm4EWqsC.99

rose dit: 10 avril 2015 à 20h24

Non pas du tout béré.

Dommage : si vous manquez de lucidité à ce point là, je ne vais pas étaler affres tourments et confidences.

Non : ce qui est très intéressant ce sont ses trémolos dans la voix « han han je suis malheureux » (on a subi cela de longue) et puis « aboule le pèze pétasse ».

C’est plus facile distanciée de comprendre que lorsqu’on est dedans la dite situation.
En fait, c’est comme enlever ces grosses lunettes roses et aussi ces deux gants dissemblables.

On a le même effet en passant le Tibre. Mais c’est plus loin.

Saluto : j’ai entamé le grand nettoyage.

Comme n'importe qui dit: 10 avril 2015 à 20h25

@ babel oueda dit: 10 avril 2015 à 18 h 31 min

Et sinon l’usage du mot « système » chez la fille ou le père ça vous chatouille ou ça vous gratouille ?

Comme n'importe qui dit: 10 avril 2015 à 20h42

à force de l’entendre celle là…

quoi ? faudrait se « décomplexer » comme tout le monde ?

Giovanni Sant'Angelo dit: 10 avril 2015 à 20h45


…un panier du verbe,!…aux systèmes,!…

…écrire, pour renseigner,!…aux corporations,!…gratos,!…Ah,!Ah,!…Go,!…

…etc,!…cinéma,!…maquettes pour dromes,!…et encore des hôtesses d’écoles pour le vernissage,!…
…toutes ces saintes aux ordres du bluff profit aux arts,!…une touche,!…
…etc,!…

Ici Londres dit: 10 avril 2015 à 20h48

Lui » c’est bien ce magazine avec des femmes nues

N’aies pas honte de te faire du bien avec ce que tu peux, Béréré.

bérénice dit: 10 avril 2015 à 20h49

22h25 Ce qui pourrait gravement poser problème le cas échéant et quand bien même ML renierait la culture paternelle réside en autant de soutiens que de bulletins de vote qui loin d’aller chercher dans les archives historiques se complaisent à caresser leur racisme et leur antisémitisme ataviques en attendant le jour où ils se sentiront soutenus pour les afficher sans complexe et passer à l’acte.

Sergio dit: 10 avril 2015 à 20h55

Oncle Wolf, à un moment, se voulait presque autant architecte que peintre ; il avait imaginé comment refaire les grandes places de Vienne, Linz, peut-être Salzbourg…

bérénice dit: 10 avril 2015 à 21h02

Après avoir couru le cerf, Béré court la biche.

Il y a méprise accablez moi mais ne racontez pas n’importe quoi non plus les filles n’ont pas ce que je cherche désespérément, une demi-pointure.

rose dit: 10 avril 2015 à 21h10

C’est pas la peine de chercher désespérément : vous êtes tellement gentille que vous trouverez un homme qui vous respectera. Des demi-pointures y’en a plein partout.
Ne soyez pas triste, cela me peine.
Plus que les simagrées de renato. Style « je suis malheureux » alors qu’il ne l’est pas.

rose dit: 10 avril 2015 à 21h11

Article 226-4-1 du Code pénal
Le fait d’usurper l’identité d’un tiers ou de faire usage d’une ou plusieurs données de toute nature permettant de l’identifier en vue de troubler sa tranquillité ou celle d’autrui, ou de porter atteinte à son honneur ou à sa considération, est puni d’un an d’emprisonnement et de 15 000 € d’amende.
Cette infraction est punie des mêmes peines lorsqu’elle est commise sur un réseau de communication au public en ligne.

Voilà.

réchauffons, réchauffons... dit: 10 avril 2015 à 21h11

non plus les filles n’ont pas ce que je cherche désespérément

le monde n’est pas tel qu’on le désire, on vous l’a jamais dit ?

rose dit: 10 avril 2015 à 21h12

Non, les filles on a plutôt des chaussons de danse style repeto.
Qu’après tu as les pieds en bouillie.

bon à retourner dit: 10 avril 2015 à 21h13

Style « je suis malheureux » alors qu’il ne l’est pas

ah non, ça c’est le vôtre, lui c’est maître-nageur en eaux troubles et vous n’êtes qu’une bidonneuse parmi d’autres

bérénice dit: 10 avril 2015 à 21h13

le monde n’est pas tel qu’on le désire, on vous l’a jamais dit ?

Oui mais savez vous que certaines femmes vouent un culte au phallus? sans pour autant aimer les phallocrates , on a encore le droit de se revendiquer hétéro non?

Sergio dit: 10 avril 2015 à 21h14

S’il faut faire des routes en lacets pour pas être fasciste, en revanche ça va pas faire de bien au prix des carburants…

rose dit: 10 avril 2015 à 21h15

Et puis, les filles nous sommes des grandes pointures.
Style Le Corbu.
Ce qui induit handicap à vie : tu marches à grandes enjambées à côté de mecs aux pieds à demi-pointure : comment tu veux que ça marche ?
Tu galopes et lui claudique. Lui, le type. Enfermé vaguement proxénète. Qui te console pas quand tu pleures.

réchauffons, réchauffons... dit: 10 avril 2015 à 21h15

on a encore le droit de se revendiquer hétéro non?

on vous l’interdit ?

rose dit: 10 avril 2015 à 21h18

Je sais pas ce que c’est bidonneuse.
Hétéro : grands dieux oui !
On n’est pas tous pdg à radio-france. Prêts à virer 300 seniors en pleine forme pour embaucher 50 minets aux métiers qui n’existent pas. Danseurs de sabre dans des back-rooms à tous les coups.

Pourquoi personne ne le dit ?
Alors qu’on explique la grève tournante ?

l'amour de l'alignement des poteaux télégraphiste dit: 10 avril 2015 à 21h19

Ah… Sergio… vous me faites rêver d’Arizona…

rose dit: 10 avril 2015 à 21h21

Bon allez, je vous laisse : quand ça chauffe, c’est meilleur ensuite. Marre de vous tenir la chandelle. Et pis j’ai du repassage à faire.

Entre Le Corbu et Zlatan, ya pas photo : un est un petit grand et l’autre un grand petit.

Salut à tous les deux, ho hé hein bon.
Et vous béré. soyez intransigeante bordel !

réchauffons, réchauffons... dit: 10 avril 2015 à 21h21

mais enfin rose, à force de chialer d’être enculés et de lècher des culs de mâles dominants…

bérénice dit: 10 avril 2015 à 21h29

le monde n’est pas tel qu’on le désire, on vous l’a jamais dit ?

on vous l’interdit ?

—-> parce qu’on pourrait y croire à ce monde du désir de liberté aussi, de respect, d’humanité, de droit, d’équité, de sincérité alors que nous voyageons au pays des cyniques entre autres espèces envahissantes.

Sergio dit: 10 avril 2015 à 21h31

quel poilade dit: 10 avril 2015 à 23 h 17 min
on vous a refilé un gps pourri ?

Le GPS, c’est surtout pour les sens interdit, et surtout après les élections, parce que là ils changent de sens pour prouver l’activisme de la municipalité, même si c’est toujours l’ancienne ; comme il n’y a que deux sens, on finit par s’y retrouver. Mais l’Himalaya, du moment qu’on n’y va pas en orthodromie, ça se trouve encore assez bien, hein …

réchauffons, réchauffons... dit: 10 avril 2015 à 21h31

allons bon, la clarté aussi on vous l’interdit ? ma pauvre…

quel poilade dit: 10 avril 2015 à 21h33

parce que là ils changent de sens pour prouver l’activisme de la municipalité, même si c’est toujours l’ancienne ; comme il n’y a que deux sens, on finit par s’y retrouver

Merci infiniment d’avoir rendu réel mon pseudo !

Sergio dit: 10 avril 2015 à 21h56

quel poilade dit: 10 avril 2015 à 23 h 33 min
réel mon pseudo !

Oui : il n’y a que deux sens ; donc si c’est pas l’un, on prend la relation de Chasles et on la retourne, c’est plus facile que la bagnole. Ensuite, c’est comme le lait sur le feu, il suffit d’attendre ; d’attendre quoi ? Les prochaines élections : de toutes manières, FN ou lutte pour les femmes écologiques, ils vont retourner, le panneau. Donc justement faut pas y tomber !

quel poilade dit: 10 avril 2015 à 21h58

En même temps t’as comme un air de panneau « casque obligatoire » là…

Sergio dit: 11 avril 2015 à 22h00

ils vont LE retourner, le panneau, Trommelfeuer !

Sinon le rythme de la phrase il se plonge par terre…

Giovanni Sant'Angelo dit: 11 avril 2015 à 22h04


…l’air de rien,il vaut mieux être, marier,!…

…mais, déjà, chambre à part,!…Oui,!…
…une porte tournante et des fenêtres aux murs, pour se vérifier d’êtres ensembles,!…

…et, puis, depuis, le temps,!… en quoi vous en êtes abuser jusqu’à vous marier, comme pour rentrer dans un tiroir,!…
…des suivis, apocalyptiques des cinq sens,!..
…entre toutes les mains, et services profits pour charmes,!…etc,!…
…vous protéger quelqu’un,!…
…rester, célibataire,!…qui est l’homme,!…et qui fera la femme,!…tranquille,!…
…quel désir des arts aux formes,!…s’aimer en public,…
…juste un spectacle,!…dans une enceinte de verre,!…privée,!…
…quel hôtel,!…s’est écrit devant la porte,!…un Must,…un Plus,!…
…c’est le patron, avec sa fille,!…
…c’est légal,!…en spectacle,!…
…l’imagination,…un vent de rien,!…
…etc,!…

Sergio dit: 11 avril 2015 à 22h06

quel poilade dit: 10 avril 2015 à 23 h 58 min
En même temps t’as comme un air de panneau « casque obligatoire » là…

Voilà une idée ! Commercialiser des faux casques… En liège en balsa tout… En holographie ! Avec des faux gilets jaunes…

Bon je rentre à la base le marchand de sable arrive avec son trente-huit tonnes…

Giovanni Sant'Angelo dit: 11 avril 2015 à 22h25


…qui porte le pantalon,!…qui fait confiance à l’autre, dans les initiatives, intérieures ou extérieures,!…

…rechercher le pivot central, d’équilibre,!…pour pousser le bouton,!…cinéma,!…Moteur on tourne,!…

…l’idéologie hétéro risque problèmes,!…
…il n’y a pas que le lit au mariage,!…
…il y a un théâtre,!…pour des riens,!…
…tu regarde déjà la voisine,!…etc,!…
…l’imagination,…une police dans ton lit,!…
…etc,!…les combines,!…
…et crédits,!…l’extase,!…

et la musique d'ascenceur continue son massacre dit: 11 avril 2015 à 22h28

les ploucs, à trop y tenir vous perdrez tout…

Giovanni Sant'Angelo dit: 11 avril 2015 à 22h35


…n’importe quoi,!…
…l’imbroglio, sans sécurisé,…
…son rapport avec sa partenaire,!…
…être soi, ou dans un chassé-croisé,!…etc,!…
…sommeil, et merci,!…bla, bla, en coeur,!…

Giovanni Sant'Angelo dit: 11 avril 2015 à 23h44


…basket, et talons hauts,!…à nos talentueux efforts pour en arriver là,!…masse mes pieds,…je suis à ta charge maintenant,…
…je suis ta divine,!…c’est çà,!…çà commence bien,!…

…msn actualité,!…c’est pas vrai,!…

…Lianas Barrientos, c’est marié huit fois, à des maris étrangers,!…
…8 maris, en mêmes temps,!…sécurité,…ou affaires d’escrocs,!…
…et, quel suivis des familles,!…en ces affaires,!…un bordel,!…d’architecture,!…en montages,!…

…être mariée, mais, comment,…
…pour quels passions,…le vol, ou crimes organisés,!…
…un écu, au cul,!…etc,!…

Court dit: 11 avril 2015 à 1h32

Ne lisant pas Telerama ,J ai lu ce livre sans prejuge sur son auteur, n en deplaise aux amateurs de particules, et a la joie malsdaine, pour une fois qu elle nest pas triste, de l inenarrable Wiederganger>
On peut, et je l ai dit, reprocher a ce livre de ne pas avoir pris en consideration le cas d autres architectes en general. Mais on ne peut lui reprocher un travail sur les textes, du moins sur ceux qu on preferait oublier>
Dois je ajouter que cette lecture se double d autres sur ce passe qui ne passe pas, tout specialement les deux Arnaud Lacroix? Et dois je defendre le travail d un journaliste, lors meme que c en est un qui mene ce blog, et qu il leur arrive parfois de traiter des sujets devant lesquels les historiens reculent? L Ahnenherbe, par exemple….
Je m excuserai en revanche d un clavier a l anglaise, mais qu y faire? Je ne peux plus taper sur le mien>
Bien a vous>
MC

Trait d'humour dit: 11 avril 2015 à 5h19

 » La génialité n’intéresse guère le génie, son but, son thème, son amour, c’est le non-génie absolu: l’éros vivifiant de la vérité éternelle: un parti « limité », une échauffourée locale, chose éphémère, éphémère jusqu’à la moelle. »

la vie dans les bois dit: 11 avril 2015 à 5h22

M. Court, pouvez-vous préciser quelques éléments de bibliographie de ce livre de de Farcy, en rapport strict avec ce qu’a réalisé, ou écrit,- documents, lettres- Le Corbusier, qui auraient de près ou de loin alimenté les travaux de cet institut nazi, l’ahnenerbe, que vous citez.

Je vous précise que cette sollicitation n’est pas une invitation à critique ou comparaison architecturale facile entre les bâtiments cages à lapins de Le Corbusier et une architecture concentrationnaire nazie.

Tout comme le fait d’écrire  » Tout individu de bonne foi qui se laisse porter par ses pas dans la chapelle Notre-Dame-du-Haut à Ronchamp doit convenir que ce chef d’oeuvre désarme toutes les critiques. », je vous l’accorde, n’est pas non plus un argument de nature à faire taire le pèlerin. (il est d’ailleurs oublié de mentionner sur la colline un monument aux morts, mais il devait être moins visible que la chapelle)

Je comprends que vous êtes en décalage horaire, M. Court, mais c’est pas urgent, je reviendrai vous lire.

Trait d'humour dit: 11 avril 2015 à 5h39

CE QUI TROUBLE Don juan – l’une de ses maîtresses est une fanatique du démos, elle est le chantre, la putain, martyre saisonnière et professionnelle, voire, si besoin est, la théoricienne du parti de la canaille hostile au roi. Don Juan abhorre cette maîtresse : Don Juan est prince, il est parent du roi. Son autre maîtresse est une insatiable libertine, bestiale et perpétuelle jouisseuse de son corps – que faire de cet érotisme de chiffres et d’impressions ? Et la troisième : aveuglément amoureuse de Don Juan, elle n’a rien d’une hétaïre, c’est une véritable compagne, une partenaire éthique en amour – mais elle a l’habitude de se promener solitaire sur le rivage méridional en bain de soleil : elle ne fera d’avances à personne, mais Don Juan est gêné par cette liberté, par cet étalage réservé aux hommes : la possibilité, ne serait-ce, comme ici, que formelle, est un plus grand crime qu’un amant concret (de même que l’argent est un bien plus grand trésor qu’un ou deux objets déjà acquis). Démos, jouissance, solitude : trois déceptions, trois châtiments pour le pauvre Don Giovanni.

Trait d'humour dit: 11 avril 2015 à 5h45

Je comprends que vous soyez en décalage horaire, M. Court, mais ce n’est pas urgent, je reviendrai vous lire dans une autre vie, may be.

JC..... dit: 11 avril 2015 à 5h54

Ouaaah ! la bringue d’hier soir jusqu’à ce matin … Coupable ? Vous rigolez ! Crâne vide, encore plus vide que d’habitude. Qu’importe, non ?!

JC..... dit: 11 avril 2015 à 6h02

La chienlit syndicale des branleurs de Radio France : le mauvais, à démanteler, comme EN.
Les Rafales, enfin, et les Centrales nucléaires à l’export : le bon, à encourager.

Tout n’est pas perdu si on est prêt à privatiser ces services publics mal gérés…

JC..... dit: 11 avril 2015 à 6h05

Le Corbusier ? J’ai pu vérifier que son génie n’a fait bouillir personne lorsqu’on évoquait sa petite renommée …

Chaque époque a ses modes, ses icônes, ses fantasmes : qui parle encore du peintre Mathieu, le roi de la croute colorée …?

Bloom dit: 11 avril 2015 à 6h08

JC ne comprend le monde qui l’entoure: sans le public, l’état, pas de contrat, ni pour Areva, ni pour Dassault. Privatiser l’état? Autrefois, les simplets pouvaient se procurer des cervelles d’agneau en cas de défaillance…blip blip blip…

renato dit: 11 avril 2015 à 6h14

Tiens, le Parlement ukrainien vient de passer (à une très large majorité) une loi qui assimile le nazisme et le communisme… il fallait, évidemment, les avoir essayés les gars qui prêchaient la fin de l’exploitation de l’homme par l’homme pour comprendre la nécessité de cette action…

JC..... dit: 11 avril 2015 à 6h14

Bloom comprend tout mieux que quiconque : un scandale …. au frais du public !

JC..... dit: 11 avril 2015 à 6h16

Ce que nous devons redouter, désormais, c’est ce bloomisme fadasse qui détruit nos racines judéo-chrétienne : à bas le bloomisme foldingue !

JC..... dit: 11 avril 2015 à 6h25

Quand je pense (ce qui est de plus en plus rare), à la nullité de Bloom je deviens fier de la mienne …

Bon week-end, mes petits choux !

dom dit: 11 avril 2015 à 6h53

Bloom dit: 11 avril 2015 à 8 h 08 min
JC ne comprend le monde qui l’entoure

c’est pas nouveau

ZEUS..... dit: 11 avril 2015 à 7h03

Quel que soit le respect pour le fascisme, que côtoyait Le Corbusier à son époque, il vaut mieux s’étonner, si on ne veut pas perdre son temps sur les broutilles objet du billet, de ce qui se passe aujourd’hui au Palais Bourbon.

Selon le texte voté ce vendredi soir par les députés, le consentement au don d’organes sera présumé chez toute personne majeure décédée ! La proposition controversée des députés PS Jean-Louis Touraine et Michèle Delaunay a été votée ce vendredi soir à l’Assemblée nationale dans le cadre de la loi Santé.

Décision absolument honteuse, pour ceux qui considèrent que des sujets pareils ne doivent pas être mis entre les mains de députés ne représentant plus le peuple, mais l’objet a minima d’un referendum.

Le corps d’un homme mort n’est pas une superette d’organes, il est respectable.

Giovanni Sant'Angelo dit: 11 avril 2015 à 7h17


…gadget, gadgets,!…tout cela,!…

…les femme au service du profit,!…
…une autre armée, pour voler, la famille,!…
…& ou des bandes organisés,!…
…le ventre en poupe,!…
…Ah,!…c’est la mienne,!…c’est vrai, la mienne à des petits pois sur son maillot,!…Ah,!…c’est votre fille,!…une glace à deux boules,!…
…elle à d’autres bouliers à calculer,!…
…une bonne idée pour toucher des boules,!…des calculs comme des boules en séries à réviser,!…

…vous venez, pour vérifier le boulier à madame,!…le boulier-mère à ses compte,!…
…les sensations fortes,!…
…trop faciles,…les caméras elles sont ou,…à l’endroit des bosses,!…
…encore, un petit massage, superviser par la société mère,!…quel panache privé,!…

…apprendre les hommes, en lèches – mafias,!…
…ma fille veut vous épouser,!…c’est çà,…un cours de massage en crédit,!…et rester sur les dettes à tout vendre ou laisser pour comptes,!…

…et tout, ces immeubles,!…des mariages en nombres,!…classés,!…elles sont belles nos filles à bonnes mains,!…
…ses présidences tendues,!…
…vous renouvelez votre bouliers, of course,!…et en pantoufles,!…
…l’architecture, façons, civilités à Pierre Louÿs,!…un Plus normal à boules,!…

…encore si riche,!…c’est pour des projets de bijoux de familles,!…
…la bourse ou la vie,!…façon chevaliers – brigands,!…ect,!…les autres en formations aux toys,!…du labour,!…
…à l’intelligence sociable un parapluie sur les comptes,!…

…ces artistes polyvalents aux formes d’expressions,!…mettez y les boules au canons de beauté, et tirez, mais tirez,!…

…trop humide,!…tirez à sec,!…au soleil à charmes,!…l’abbaye des amours en arbres,!…façon compas, une planche à ses punaises,!…etc, etc,!…
…comptabilités d’architectures, le pont, aux profits extorqués, un plus payant,!…

…se marié à l’état,!…un Plus, pour récupérer, ses substitutions aux charmes d’escrocs,!…le retour à ses paradis du rêve,!…
…le travail, des hirondelles de saison,!…
…etc,!…aux aquarelles,!…

renato dit: 11 avril 2015 à 7h27

« Le corps d’un homme mort n’est pas une superette d’organes, il est respectable. »

C’est vrai que le potentiel donneur ou ses proches devraient avoir la possibilité de choisir. On peut quand même faire une déclaration (écrite) qui apparait, il me semble, sur la carte vitale.

Il est aussi vrai que légiférer sur la mise à disposition du corps d’autrui, même mort, révèle une pensée plutôt fascisante.

D’un autre côté, il serait plus civilisé d’accepter… non, rien, trop archaïques pour comprendre…

Giovanni Sant'Angelo dit: 11 avril 2015 à 7h29


…depuis, le temps, ce détails,!…

…refus de prélèvements d’organes ou transplantations, je donne rien, et ne veux rien,!…c’est signé depuis le temps,!…

…toutes ces lois, pour vous zigouiller-mort, sans vous respecter,!…en médecine des arts,!…à Frankenstein,!…

JC..... dit: 11 avril 2015 à 7h41

L’humanisme socialiste considère le corps collectif à servir comme plus important que le corps du défunt à respecter.

Il faut. On réquisitionne. La viande pour tous. On présuppose…

Absolument infect !

ami sincère dit: 11 avril 2015 à 7h43

9 h 41 min
t’inquiète pas, demi-neurone de pq! personne ne voudra greffer ton cerveau

le franc symbolique et pas que dit: 11 avril 2015 à 7h45

qui parle encore du peintre Mathieu, le roi de la croute colorée …?

Son œuvre est en voie de réhabilitation, de réévaluation face à une désignation du prêt à penser consensuel dans le genre du vôtre…

Sirius dit: 11 avril 2015 à 7h52

3 h 32 : le petit Court, ce papelardier amateur, n’a toujours pas dit pourquoi il avait choisi le livre de ce de Farcy plutôt qu’un des nombreux autres ?

JC..... dit: 11 avril 2015 à 8h01

L’œuvre de Mathieu est « en voie de réhabilitation, de réévaluation »….

….on repeint ses tableaux merdiques ?…

Professeur Bourget dit: 11 avril 2015 à 8h11

Cela ne s’arrange pas pour JC : en plus de sa détresse intellectuelle, il sombre dans le ridicule extrême, la fin est proche

D. dit: 11 avril 2015 à 8h15

« Il est aussi vrai que légiférer sur la mise à disposition du corps d’autrui, même mort, révèle une pensée plutôt fascisante. »

C’est curieux que vous voyiez les choses comme ça. J’y vois plutôt une volonté de poser des garde-fou dans le but de protéger tant les malades concernés que les soignants.
Il y a par exemple une situation dramatique à éviter à tout prix : donner la mort à une personne qui ne la désirait pas parce qu’on s’est imaginé qu’elle la désirait.

l'erreur de casting dit: 11 avril 2015 à 8h16

La place Le Corbusier est une voie située dans le quartier Notre-Dame-des-Champs du 6e et le quartier Saint-Thomas-d’Aquin du 7e arrondissement de Paris.

La place est créée en 1988 sur l’emprise des voies qui la bordent et prend le nom de l’architecte suisse Le Corbusier (1887-1965) qui travailla de nombreuses années dans le quartier et fonda son principal cabinet d’architecture, l’« atelier 35 S » au no 35, rue de Sèvres.

l'erreur de casting dit: 11 avril 2015 à 8h25

PHILOMAG avait mis le paquet sur l' »euhanasie » lors d’un précédent numéro

babel oueda dit: 11 avril 2015 à 8h56

Les emballages des cigarettes, des romans, du tabac à rouler et du papier à rouler seront uniformisés à partir de 2016.

Je me demande si c’est bien sage.

Bloom dit: 11 avril 2015 à 8h57

Christopher Dickey lève le voile sur la face sombre de la guerre civile américaine.

La guerre de sécession n’a jamais été menée par le Nord contre l’esclavage. Si Lincoln avait pu gagner la guerre sans libérer les Noirs, il l’aurait fait. En revanche, elle a pour cause principale la volonté du Sud de perpétuer et étendre « l’institution particulière », et le refus de son extension aux territoires nouvellement conquis par l’Union à l’ouest de la ligne Mason-Dixon, avec le Missouri Compromise de 1820, renforcé par la Wilmot Proviso de 1846, interdisant l’extension de l’esclavage aux nouveaux territoires acquis après la guerre contre le Mexique en 1845 (New Mexico, Arizona, Colorado, California, Nevada, Utah).
Dans le Missouri, la nouvelle ségrégation urbaine est encore plus marquée qu’autrefois. Dans le comté de St Louis, les centaines de municipalités dont certaines n’ont que 15 habitants, vivent du racket à la contravention, qui leur permet de rançonner les Noirs. La compréhension des émeutes de Fergusson est partielle si l’on ne prend pas en compte cette dimension de racket permanent et le nouveau racisme anti-noir.
Voilà ce qui arrive quand il n’y a plus de services publics. C’est la société dont rêve le bas du front national JC.
The Bizarre Workings of St Louis County Missouri – 9 Apr 2015
http://downloads.bbc.co.uk/podcasts/radio4/cc/cc_20150409-1115b.mp3
L’état major US a pendant la Grande Guerre demandé à la France de censurer les publications qui montraient la fraternisation entre soldats des colonies et femmes françaises, afin de ne pas donner de mauvaises idées aux troupes noires qui combattaient sous commandement français. Le gouvernement français a refusé.
De très nombreux combattants noirs des unités ségréguées ont été lynchés ensuite par les petits blancs du Sud. C’est plus proche que la guerre de sécession et c’est aussi, sinon encore plus dégueulasse.
Grosse concentration le corbusienne de « fadas » aux US.

JC..... dit: 11 avril 2015 à 9h09

« De très nombreux combattants noirs des unités ségréguées ont été lynchés ensuite par les petits blancs du Sud. C’est plus proche que la guerre de sécession et c’est aussi, sinon encore plus dégueulasse. » (Bloom)

Ils l’avaient bien mérité ! Reluquer des fillettes blanches ?! Ah les salauds …

D’ailleurs, j’ai confiance dans le jugement des petits blancs du sud. Bien plus que dans celui de ce grand fada de Bloom, ce rêveur entravé !

ami sincère dit: 11 avril 2015 à 9h35

JC….. dit: 11 avril 2015 à 9 h 48 min
Le socialisme est un fascisme bien-pensant.

tant qu’ya fachisme jc est preneur

not so long ago dit: 11 avril 2015 à 9h47

« The reason that they killed him there, and I’m sure it ain’t no lie
Was just for the fun of killin’ him and to watch him slowly die (….)
if all of us folks that thinks alike, if we gave all we could give
We could make this great land of ours a greater place to live »
( The Death of Emmett Till ) Bob Dylan
https://www.youtube.com/watch?v=8OfCXaqieas

la réponse dit: 11 avril 2015 à 10h12

9 h 52 : quand on par »court » les commentaires pédantsde celui que vous appelez « le papelardier amateur » on a la réponse avec toutes ses références broussailleuses et flagorneuses à tout ceux qui portent une particule, c’est assez comique

JC..... dit: 11 avril 2015 à 10h32

Un blog littéraire de prestige doit accueillir la diversité des opinions non-littéraires, même si cela est parfois difficile à supporter.

Un exemple ? Je souhaite rapprocher la castration du père, opérée par notre chère blondasse Walkyrie, des votes socialistes dégueulasses concernant le don d’organe automatisé …

Il est vrai qu’ils ont autorisé l’union sacrée du même au même, ces porcs ! Ils n’en sont pas à une horreur près …

renato dit: 11 avril 2015 à 11h05

« Un blog littéraire de prestige… »

Et merdre! que vous emmerdez le monde avec ce « prestige »! est-ce sue vous avez au moins une Patek Philippe?

renato dit: 11 avril 2015 à 11h16

Vous en avez marre de vous trouver à l’improviste sous la pluie? sortez avec un petit parapluie. Vous pouvez aussi sortir avec un livre de poche dans une poche, et, en cas de pluie, vous entrez dans un bistrot et vous attendez le beau temps…

JC..... dit: 11 avril 2015 à 11h17

renato dit: 11 avril 2015 à 13 h 05 min

On respire ! On expire ! On respire…. Cool. Gardons notre sang froid aux dires de l’autre.

JC..... dit: 11 avril 2015 à 11h18

J’adore ce blog de prestige où des personnalités aussi diverses que X et Y peuvent ne rien apporter au monde.

renato dit: 11 avril 2015 à 11h22

Sans y aller par trois chemins (4 serait de trop), vous avez déjà habité un espace conçu par Charly ou bien vous parlez par ouï-dire?

renato dit: 11 avril 2015 à 11h25

« On respire ! On expire ! On respire »

Vous avez une Patek Philippe ou pas?

JC..... dit: 11 avril 2015 à 11h28

renato dit: 11 avril 2015 à 13 h 25 min
« Vous avez une Patek Philippe ou pas? »

Qu’est ce que ça apporte au sujet ?

renato dit: 11 avril 2015 à 11h33

« Qu’est ce que ça apporte au sujet ? »

Puisque vous parlez de prestige… il serait opportun que l’on sache si vous avez une quelque conscience de la chose…

Phil dit: 11 avril 2015 à 11h34

Un livre de poche dans la poche…sapré renato.
Dear bloom, Green s’est tué à expliquer dans la longueur de son journal que la guerre US avait des mauvais prétextes. Mais bon, c’est un littéraire sensible.
.

roro dit: 11 avril 2015 à 11h38

JC….. dit: 11 avril 2015 à 9 h 41 min
La viande pour tous.

Les vers de terre risquent de crever la dalle, du coup

le franc symbolique et pas que dit: 11 avril 2015 à 11h48

…on repeint ses tableaux merdiques ?…

Jc et son ravalement de façade. Il a pris de la boue et en a fait de l’ or. ( On peut même préciser que d’ extraire la couleur à même le tube et de l’ appliquer telle quelle, c’ est la chier.)… mais on sait que jc n’ aime pas tout ce qui déborde de son ordre imposé…

Giovanni Sant'Angelo dit: 11 avril 2015 à 14h31


…Plus cons, que socialistes français,!…tu meurt sur le billard,!…
…alors, ces vacances chéries,…en trains,!…
…allez & retour,!…t’a ton anti-balle pour la plage,!…les coups de soleil, au carrés de Waterloo,!…
…près, pour s’en donner de la carrosserie sur plan,!…les départementales,!…
…plus vite,!…min 200 Km à l’heure,!…
…récupérations de têtes de l’art, solo, façon bistouris, gratuit,!…
…le retours aux cannibales, Daktari,!…
…les kalachnikovs dans le lard,!…

…en attendant,…les romans à lire,!…pendant que madame, s’envoie en l’air,!…la démocratie,!…
…le fil de l’aiguille,!…

l'erreur de casting dit: 11 avril 2015 à 15h39

. Il faut toujours se méfier d’un biographe qui annonce en incipit
au point où on en est et surtout P.Assouline, il faut TOUJOURS se méfier d’un biographe .

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