Prisonnier de Nasser, libéré par Nadia
On le sait depuis la Lettre du voyant (1871) de Rimbaud, « je est un autre ». Mais quand l’auteur s’abrite derrière un pseudonyme dissimulant un tandem ? Alors « je est deux autres » ? Etrangeté de ce « je » à deux qui resurgit dans le roman de Mahmoud Hussein Tenir tête aux dieux (165 pages, 17,50 euros, Gallimard). Ils sont français d’origine égyptienne, ils ont veillé pendant des années à la bonne marche du Courrier de l’Unesco, ils se sont fait connaître en 1974 lorsque Jean Lacouture les a mis face à l’historien Saül Friedlander pour ce qui deviendra Arabes et Israéliens. Un premier dialogue et plus récemment par des essais sur l’islam et par une relecture du Coran, ils s’appellent Baghat El Nadi et Adel Rifaat. Depuis leur jeunesse, ces deux-là ne font qu’un, mais lequel ?
Le phénomène est encore plus troublant lorsqu’on sait que Tenir tête aux dieux noue une histoire d’amour et des souvenirs d’enfance à un récit politique des événements tels qu’ils les ont vécus. Ils avaient vingt ans et des poussières. Ils appartenaient à un petit groupe d’activistes révolutionnaires composé d’intellectuels, d’étudiants, d’enseignants. Rien d’une véritable organisation mais cela suffisait. Même si eux, contrairement aux Frères musulmans durement réprimés par le régime qui réussit à les briser, ont pour seul objectif que de « traverser cette épreuve (la détention) sans trop de dégâts ».
Nous sommes en 1959 dans l’Egypte du président Nasser. Dans les toutes premières heures de l’année, une grande rafle est organisée ; le narrateur tombe dans ses filets; étudiant coupable de contester la dérive autocratique du régime, il se retrouve incarcéré avec quelques centaines d’autres militants à la Citadelle, sur une colline du haut de laquelle Bonaparte fit bombarder Le Caire en insurrection, puis à El-Fayyoum, un camp en plein désert ; la surveillance y est assurée par les Hagganas, un corps spécial d’unités d’intervention mobiles constitué de nubiens, muets, implacables, des hommes à la réputation redoutable. Neuf mois durant, il tiendra face aux tortures mentales et physiques, aux pressions et aux humiliations, grâce aux longues lettres de Nadia, rédigées sur le mode de la conversation afin qu’il ne se sente pas exclu du monde des vivants.
L’attente est au centre de ce roman mais ce n’est pas celle du Désert des Tartares. C’est autant une attente amoureuse que celle d’une libération individuelle et collective, l’utopie d’un peuple libéré de ses entraves politiques et religieuses. Le narrateur attend, lui aussi ; il tâche de garder intacte sa dignité et de ne pas oublier la mesure du temps telle qu’elle pratiquée au-dehors, quand les gardiens s’emploient à la lui faire oublier jusqu’à lui faire perdre ses repères naturels. Surtout ne pas baisser les yeux face à ceux qui veulent le pousser à s’avilir et à se souiller. Maktoub ? Non, ce n’était pas écrit. Il faut résister, tenir, se tenir. Nul besoin de regarder vers le ciel pour défier le fatum et tenir tête aux dieux. Il suffit de soutenir le regard de l’officier qui veut le faire plier devant ses codétenus. On l’admire pour ce haut fait mais qui sait qu’il l’a fait pour protéger ses lettres d’amour ?
A El-Fayyoum, il attend. Le doute corrode la raison. Pas d’information, que des rumeurs. Sa situation a quelque chose de kafkaïen : un châtiment à la recherche de sa faute, tel K. dans Le Procès. Car on ne lui dit rien de ce qu’on lui reproche précisément. Que des questions qui se résument en un mot répété ad nauseam : « Communiste ? » Ce n’est pas à eux qu’il expliquerait ce qu’il confie à ses camarades :
« Il y a quand même une différence, entre nos communistes et nos ulémas… Les ulémas apprennent le Coran par cœur, alors que les communistes, chez nous, n’ont jamais lu une page du Capital ».
Sa naïveté est touchante. Il croit encore à une séparation de la religion et de la politique, au prix d’une rupture radicale entre elles, impensable dans un pays arabo-musulman. Il se dit marxiste sans être communiste, favorable à l’établissement d’un régime réellement démocratique en Egypte nonobstant le fait que tout décret du raïs revêt l’autorité d’un décret divin. Lorsqu’il discute avec ses camarades d’infortune, il défend pied à pied la dictature du prolétariat car sans elle, la critique marxiste du capitalisme serait vidée de son sens. Les exemples venus du bloc de l’Est, l’Union soviétique en tête, ne plaident pas en sa faveur, mais il balaie aussitôt l’argument au motif qu’il ne faut pas regarder de ce côté-là vers l’Asie, la Chine, le Vietnam. Autant de modèles à ses yeux non encore dessillés.
Il récuse l’activisme des religieux, les Frères et les autres, car il leur reproche de passer leur vie à préparer leur enterrement au lieu de changer le monde. Nasser est certes très critique envers l’étouffement de la pensée par le religieux, il l’a prouvé en actes et en discours (suivez ici l’un d’eux, des plus célèbres, d’une étonnante actualité) ; et puis n’a-t-il pas rendu sa dignité à son peuple en nationalisant la compagnie du canal de Suez en 1956. De cette gifle aux anciens colonisateurs, il retira le plus grand profit après l’échec de l’expédition anglo-franco-israélienne. De quoi ériger de son vivant sa statue de héros du panarabisme. Mais son plus grand bouleversement a abouti à concentrer tous les pouvoirs entre ses mains. C’est d’abord à ce dieu-là qu’il faut tenir tête.
« Les Mahmoud Hussein » comme on les appelle se sont connus dans ces circonstances. Ils ont été des prisonniers politiques en Egypte à plusieurs reprises entre 1959 et 1964. Tous deux dans la même cellule. Prisonniers de Nasser. De cette épreuve ils ont tiré une fraternité qui a évolué au fil du temps en véritable fratrie. Ce lien singulier transparaît dans l’unité de ce roman à deux mains où l’intime s’articule au politique. Il l’éclaire d’une secrète lumière intérieure.
Post scriptum : La bande originale qu’un lecteur peut attribuer à un roman m’intrigue toujours. Pourquoi, lors de leur récent passage au micro de France-Culture, la productrice de La Grande table a-t-elle choisi Arouh limin d’Oum Kalsoum, et Elpapa Men Ebtoh de Chipsy plutôt que…
(« Le président Nasser », août 1959″ photo D.R. ; « Elle et lui » photo Vivian Maier)
464 Réponses pour Prisonnier de Nasser, libéré par Nadia
Il est 3h 15 et mon QI est de 976 à cet instant.
« Christiane je n’ai pas lu la Bible , avez vous parcouru la traduction littérale de Chouraqui qui en cette nouvelle approche du texte fit beaucoup de bruit tant elle différait des précédentes? »
Ce fut une bombe, ce Glébeux qui nous péta à la gueule, à la sortie du monument. J’ai parcouru plusieurs Bible de siècles différents, mais lu entièrement celle de Chouraqui, fasciné par le verbe….
Si les vieilles Bible parlaient comme Bossuet, la sienne parlait comme le prolétaire, vous savez le bêta qui croit intelligent de tendre à notre cher Macron un « bleu de travail », comme seul uniforme du vrai « travail », le congre !
Avantage chez Chouraqui, le parler brut de décoffrage, malgré la recherche du rythme ; le défaut, un peu lassant à la fin, lourdeur et violence…. mais très belle tentative de traduction.
2430 pages chez Desclée de Brouwer
« L’amour est plus fort que la mort… »
Les cimetières sont remplis d’amoureux ensevelis, de Romeo et Juliette pourrisant, mâchoires serrées sur de la terre ….
la Mort gagne toujours.
Le football européen me fait profondément gerber …. vivement le 10 juillet !
Allez-voir, Christiane, ce que le Père Hugo fait du Cantique des Cantiques dans La Fin de Satan.
Peu d’enthousisame pour le fatras Chouraquien façon Elohim créa le glébeux……
MC
@MC dit: 11 juin 2016 à 6 h 41 min
Le temps d’un café nous sépare ! Visite aussi de mes petites graines de fraisier sur le balcon. Elles germent si petites. Quelques feuilles lilliputiennes ont surgi entre les mottes de terreau. Si les fraises (des bois) sont du même format, il me faudra une loupe pour les cueillir !
Donc, Hugo et « la fin de sa.tan ». Ce livre n’a pas survécu au déménagement. Il était rude et tourmenté. Dites-moi ce qu’il a fait du Cantique des Cantiques. Après ce que j’ai lu hier au soir, les gouffres hugoliens ne m’étonneront plus.
Et chez Richard, quoi de neuf ?
@JC….. dit: 11 juin 2016 à 5 h 31 min
deux avis, donc : M.C et vous. Je comprends qu’on puisse être fasciné par une langue chaotique et un rythme de laboureur. Ah, les mots… C’est vrai qu’ils sont comme la terre grasse et lourde des labours mais ces livres de la bible, quand ils sortent de guerres sanglantes et interminables, sont aériens, couleur de mots qu’on ne peut attraper qu’avec un filet à papillons. A la glèbe, les dessins tourmentés à l’encre sépia de Van Gogh, au ciel les traces évanescentes du Dieu de l’absence et de l’inconnaissance. Chaussons alors les semelles de vent des poètes.
Très belle intervention de Jean-Pierre Siméon (Printemps des Poètes) sur France Inter vers six heures, ce matin. Il évoquait les régions de son enfance et de sa vie professionnelle. C’était plein d’ombres, des petites rues de Clermont-Ferrand, les fondations d’une maison datant du XIIIe siècle puis chemins creux de Bretagne (près de Rennes),loin de l’Auvergne, près de la mer et du ciel – comme une prairie où on respire. Un bloc de lave sur son bureau pour lui rappeler, lui, citadin- que les volcans sont proches. Bref, un beau moment transistor-oreiller-brumes du réveil avec un dit de la poésie vivifiant.
Mon avis de « critique littéraire » est nul, vous vous en doutez, et ne supporte pas comparaison avec ceux autorisés, voire inspirés par dieu lui-même : il en traine ici comme ceux de notre noble Court !
Ce ne sont, tout au plus, que mes souvenirs de cette lecture datant des années 90. On découvrait un texte rude, fruste, étranger aux ors du Vatican ! Je me souviens du mot « le Glébeux » …. ça faisait drôle à entendre, et comme j’adore sourire, j’ai tiré de l’amusement, de cette Bible faussement paysanne, torturée, violente, « rebelle » ! … Pas sûr qu’une relecture aujourd’hui, ne soit pas ennuyeuse…
Plus généralement, me reste l’impression globale que les livres saints sont vraiment nés de la peur de vivre, de la peur de mourir, des humains ! Des fadaises qui devraient être oubliées depuis longtemps si nous étions autre chose que des larves de création récente !
@JC….. dit: 11 juin 2016 à 5 h 31 min
« deux avis, donc : M.C et vous. » (Christiane)
Quoi ?… Tu ne me tutoies plus, christiane ? Tu es fâchée ? tu crois à ce que racontent ces garcettes diaboliques d’Annelise (un gros porc), ou Rose (un vieil alcoolique) ?!… mais, tudieu, cornecul, ventre saint gris, c’est faux !
Je ne suis ni gros, ni vieux …
« Anne Hidalgo : toutes les ordures seront ramassées aujourd’hui » (les gazettes)
Euh… y compris celles de l’Hôtel de Ville ?!
Les coptes, oui la vie ils sont chrétiens et à présent victimes de persécutions. Il y peu, affaire d’une ou deux semaines, un dossier sur Arte visitant l’histoire contemporaine de l’Egypte, l’avènement de Nasser, son refus d’allier le pouvoir à la religion et ce qu’elle continuait de vouloir dicter en règle incontournable comme le port du voile, son discours expliquant comment il avait renvoyé les frères et leur imposition du port du voile aux femmes – ils n’ont qu’à eux-même s’en revêtir – les applaudissements, les rires de l’assemblée. On regrette ces temps historiques.
Il est 3h 15 et mon QI est de 976 à cet instant. D
De quelle substance avez-vous bénéficié? Des revenus du CAC 40 , de l’implantation intra-neuronale d’une puce contenant l’intelligence les 5 derniers médaillés Fields ou celle des membres du Club de Rome?
« bleu de travail »
Bien qu’il soit malvenu d’insérer des éléments autobiographiques dans le fil de commentaires, un souvenir très précis des bleus de travail rigidifiés par le gel de l’hiver que ma mère rentraient quand harassée par ses heures de travail à l’usine elle devait au retour s’occuper de l’élémentaire marche du foyer. Tant d’autres détails qui ne s’effacent pas et n’appartiennent qu’à cette classe laborieuse en voie de disparition, on ne s’attarde plus guère au prolétariat qui continue de souffrir sauf en ces temps de grève.
On peut se souvenir de Nasser comme le brillant capteur du Canal de Suez, géographiquement égyptien …
Mais on peut aussi, et ce souvenir restera le plus fort, se moquer du Raïs chef de guerre raté de la Guerre des Six jours : la plus belle branlée que les armées d’Egypte aient eu à subir depuis Ramsès II à Qadesh !
Moitié de l’aviation détruite en deux jours, images des godillots de la soldatesque en fuite jonchant le sable, joie israélienne pour ce triomphe mérité.
rentrait, sorry.
Sacré progrès de transformer les HLM en logements sociaux dont l’affectation est si tentante parfois que des élus les préfèrent aux hôtels bourgeois. Pudeur du langage, camouflage , éloignement d’une condition par la suggestion délicate.
JC je m’étais imaginée que cette guerre avait trouvé à être déclenchée par Israël pour affirmer sa puissance et dissuader ses voisins de toutes atteintes ultérieures, d’après ce site qui en retrace les différentes phases il parait que non, existerait-il une version contradictoire?
http://tsahal.fr/tsahal-au-passe/guerres-et-operations/guerres/guerre-des-six-jours/
@JC….. dit: 11 juin 2016 à 7 h 50 min
Ah, tu attribues bien de l’importance à ce pronom personnel qui comme dans l’objectif d’un appareil photos change de focale, rapproche ou éloigne le paysage. Plus le chiffre est petit plus l’angle de vision est grand…
Je n’ai pas émis de préférence entre vous, n’ayant pas lu cette traduction; j’ai seulement écrit comment me viennent ces textes où je plonge parfois, interrogative, me demandant si je le lis toujours de la même façon.
Et la réponse est normande. Tantôt oui, tantôt non. Je l’ouvre au hasard et mon œil est attiré par un verset souligné. Strates, carotte dans les sédiments… mémoire.
Ou je cherche un des livres, le relis entièrement et là, la distance comme du tu au vous. Ça s’éloigne, se recouvre de la poussière du temps, me fait rencontrer des hommes morts depuis si longtemps que même la poussière de leurs os n’existe plus. Ils ont été, ont écrit, ont partagé par cette écriture des fantasmes de déités qui expliquer la mort, les maladies, les sécheresses, les inondations. Aïe aïe aïe ! le ciel leur tombait sur la tête et le père fouettard les punissait. Maintenant, on le porte dans un sac à dos, on le tutoie, on le protège, on le console puis on le laisse s’endormir dans l’éternité, préoccupé par un face à face plutôt désolant avec la planète et ses occupants.
Tsahal a pratiqué très intelligemment l’adage « La meilleure défense c’est l’attaque »… Les Arabes ayant joué au congre, l’ont payé cher : Israël les avait prévenu.
qui = pour
le = les
Au siècle du numérique, de la responsabilité humaine sur le monde qu’ils habitent, il y a encore des gens fragiles qui ont peur d’une idole, se punissent par soumission un mois durant, et adorent les enluminures bonnes pour les enfants du temps jadis ! …
bérénice dit: 10 juin 2016 à 20 h 43 min
Tu ne peux pas être pervers et heureux.
Je suis catégorique : on ne peut pas être pervers et heureux. Pas besoin de wikipédia. Faire le mal ne conduit pas à être heureux. Violer des vies non plus; Prendre une proie, la dernière en date AL R et la dépouiller,fouailler dans sa vie privée, c’est ce que faisait Fourniret ou Dutroux ou ces tueurs en série psychopathes.
C’est la même chose : totalement inacceptable, répréhensible face à la loi.
Vous êtes au courant. Pas forcément complice, je l’ai constaté avec l’île aux Moines. Vous ne saviez pas ce qu’il en était : c’est moi qui était attaquée là.
Or, parlons, de l’enfant qui est derrière cet adulte là : il est bloqué à un stade qu’il n’a pas dépassé. Si sa seule jouissance est de faire souffrir autrui, c’est, je suppute ou bien que « chic, je ne suis pas le seul à souffrir », ou bien que « chic, je retrouve l’était qui est le mien au quotidien », ou bien que « bon, je suis un salaud mais ils m’aiment bien quand même ; surtout mes mémés, christiane, rose, and so on ».
Il est un petit enfant souffrant et souffreteux.
Pour vous, c’est invivable parce que cette jouissance là, qui le nourrit, morale et perverse, est beaucoup plus jouissive que la vraie jouissance, celle du Cantique des Cantiques, celle de l’univers que la femme offre à l’homme. Celle dont parle christiane.
Et donc, il vous eût eu, parce que vous lui donnez tout et ne recevez rien.
Lorsque je parle de l’homme adorable, c’est parce que, et vous devez parfois en bénéficier, je l’espère pour vous, l’on voit poindre en arrière plan l’homme fragile, mendiant de l’amour.
Mais on se fait avoir, systématiquement : il miaule, on approche er ram un grand coup de griffe.
P.S je sais le truc c’est cui qui dit qui est : n’empêche, le processus, c’est comme cela qu’il fonctionne. Dès qu’il y a risque d’attachement, ram éjecté.
P.P.S je pense que cela doit être lié à la quantité de douleur ingérée macérée etc.. Et, je ne peux me résoudre à penser le contraire, à l’immensité de la gentillesse qu’il doit y avoir in situ, source immense de se faire avoir.
P.P.P.S ce qui ne va pas, c’est que vous êtes entraînée par lui; Or, vous devriez l’entra,er dans l’autre direction ; lui faire prendre confiance en lui.
P.P.P.P.S j’essaierai la scala santa à genoux de san giovanni à Rome. Si on croit aux vertus de la prière, et c’est mon cas, des miracles opèrent : nota bene : si c’est le cas, et que cela opère, il sera couvert de bandages des pieds à la tête. Il faudra de longs soins intensifs ensuite. Je ne demanderai pas qu’il devienne chrétien ni autre. Je demanderai juste sa guérison.
Pourquoi ?
Parce que c’est invivable : ma patience est à bout -un-, et deux, il ne cesse. C’est comme une attitude insatiable ; et ne jamais être à satiété, c’est effectivement terrible. Il faut donc le stopper. Nous sommes ses potes, mais nous avons tort. On ne peut être le pote de quelqu’un d’horrible.
correctifs
c’est moi qui étais attaquée là.
ou bien que « chic, je retrouve l’état
Or, vous devriez l’entraîner dans l’autre direction.
christiane dit: 10 juin 2016 à 20 h 55 min
@bérénice dit: 10 juin 2016 à 20 h 06 min
Ce solo de trompette de Chet Baker est magnifique.
Je ne suis pas certaine que les épreuves sont incompatibles avec la passion amoureuse.
je ne l’ai pas écouté.
Mais moi non plus.
Je pense effectivement que le rayonnement de l’amour peut émerger des grands déserts. J’ai vu, de mes yeux vu, face nord de l’Etna des petits fleurs jaunes miraculeuses pousser sur de la lave noire, sur une terre brûlée. Minuscules et à ras de terre. Mais, une foultitude.
7 h 50 : « je ne suis ni gros ni vieux » écrit le JC….
Faux : il est TRÈS gros et TRÈS vieux et TRÈS moche et…
P’tain !
Ce n’est pas le rayonnement de l’amour qui fait pousser les t’ites fleurs sur la lave, c’est la richesse organique de celle-ci !
Ah ! les femmes et l’amour…
>Jibé
je n’en suis pas encore sûre. Et je balance beaucoup. Ils abandonnent leurs trois derniers, leurs trois garçons. Gavroche sauve les deux mioches, sans même savoir qu’ils sont ses petits frères. C’est un gosse heureux, Gavroche, lui.
Au début du bouquin, je pensais que c’était elle qui était horrible, la mère. Ensuite, lors de la scène avec les truands où ils chopent Jean Valjean et où Javert intervient on voit bien clairement que cette matrone à l’allure de gendarme est totalement inféodée à son homme. Et que c’est lui qui dirige tout. Je vous le dirai JB.
Non, je pense à Dutroux et à Michèle qui rabattait les petites filles à la sortie des écoles; Et je me demande si elle couche avec le juge qui l’a cueillie à la sortie du couvent; Et je pense au juge ; à sa faiblesse, même s’ il est au courant de la noirceur de la condition humaine.
JC….. dit: 11 juin 2016 à 9 h 07 min
ben moi, JC quand je vois çà, je pense à l’amour point barre.
bérénice dit: 10 juin 2016 à 21 h 07 min
A propos du solo , quand je l’ai entendu pour la première fois le texte entendu fut pour moi: i fall in love to fall. Un signe des Dieux.
je traduis pour vous : je suis très experte : cela signifie que, lorsque l’amour vous saisit, vous laissez tomber toutes vos défenses. Schplaf.
nota bene : ben c’est là, ma douée, qu’il faut en profiter pour grandir, guérir et tout le tintouin.
C’est pas la peine de me remercier. Non, non.
Rose, tu n’es qu’une midinette … !
En fait JC vous êtes atrocement intrusif : ai vu un copain comme vous. Il me l’a dit ; il le sait, il continue. Je lui demande si son mimosa va fleurir, il continue. C’est chacun qui a son destin en mains. C’est pas l’autre qui a ton destin en mains. Pourquoi vouloir influer sur le destin de l’autre ?
JC….. dit: 11 juin 2016 à 9 h 13 min
J’assume. Haut et fort. J’ai offert un savon aux herbes à ma dermatologue qui l’a gentiment refusé ; il était fait par des moines. Trop corrosif à ses yeux. C’est mon savon. Lavande, huile d’olive.
N’empêche que toi, tu es intrusif et c’est un manque d’éducation.
christiane dit: 10 juin 2016 à 21 h 50 min
Ce qui est certain c’est que lorsqu’elle ouvre la porte, il a fui.
pas ouvert le dit lien.
Normal qu’il ait fui : il crève de trouille. Normal qu’il revienne, il ne pense qu’à çà. Elle aussi. On le sait. Avant c’était interdit d’en parler.
je ne supporta pas au final et pire je ne supporte pas impacter. A quitter la pièce. Ce que je vais faire illico.
bérénice dit: 10 juin 2016 à 22 h 06 min
entre adultes consentants et à condition que cela ne démolisse pas l’autre.
Or, ce qui est dit ici c’est que cela entraîne des souffrances atroces : et je l’ai déjà dit antérieurement (ce stade là est derrière moi) : lorsque vous dites à quelqu’un « tu me fais souffrir atrocement » et que l’autre continue, il n’est plus un pervers il est un salopard. Or, faire cela en public rajoute le voyeurisme, le sommet est atteint.
DHH propose une solution. Cela n’enlève pas la racine du mal qui est en celui qui commet les actes de piratage.
La sexualité est du domaine du privé. La vie aussi est privée bérénice : je vous rappelle que la violer est passible du pénal. Vous semblez ne pas savoir cela.
bérénice dit: 10 juin 2016 à 22 h 06 min
il me semble que l’un des deux n’est pas forcément d’accord de se faire enfiler comme vous le dites par des bouteilles de coca cola ou des manches d’aspirateur. Alors, il ne sait pas dire non ?
bérénice dit: 10 juin 2016 à 22 h 31 min
problématique
Rose, à propos de plantes de fleurs et de savonnettes, il doit bien se fabriquer des savons contenant l’essence du mimosa aux vertus cicatrisantes. Si la plante conduit à une meilleure cicatrisation elle devrait de ce fait ne pas agresser la peau pour des soins quotidiens.
a vie dans les bois dit: 10 juin 2016 à 22 h 44 min
Bravo javert,
autant vous le dire à vous, l’inachevée : chaque fois que vous l’appelez javert, j’ai envie de pleurer. Pour moi, il est jean valjean, pour vous il est javert.
Et comme le monde est mal fait.
Mais c’est fait exprès. Sur les nuages, on ne peut pas peser lourd. C’est pour cela que certains ont leur place en bas : c’est une histoire de gravité.
j’ai cherché tafanard dans le dico : il semblerait que ce soit le cul.
christiane dit: 10 juin 2016 à 22 h 57 min
Le monde est tellement plus simple pour moi qui vois dans une porte… une porte !
je vous aime bien ,décidément. Moi aussi je vois la porte comme une porte, vers un passage.
9h27 Rose, les jeux sado-masochistes rencontrent l’assentiment de chacun des partenaires, les conséquences peuvent être imprévisibles et si celui ou celle qui occupe la place du maso accepte tacitement d’être maltraité(e), il ou elle peut ignorer ce à quoi et où la pratique peut conduire: blessures, stage aux urgences, mort si celui ou celle qui détient le rôle du bourreau ( du ma^tre) se trompe dans le dosage infligé pour l’obtention d’un plaisir partagé.
« En fait JC vous êtes atrocement intrusif » (rose)
Oui, c’est bien le principe des relations sociales, non ? …. mais c’est à la demande que je suis intrusif, et je fais moins mal qu’un manche d’aspirateur.
Rose,
on dirait que vous n’avez pas dormi cette nuit. Vos répliques sont sèches et douces comme du papier de verre. Heureusement, il y a le savon à la lavande et à l’huile d’olive. Parfois vous menez tout le petit monde de la RDL à la baguette avec des reproches, des remises en place. Changez la contre la baguette de coudrier du sourcier pour trouver ce qui rafraichit en chacune de ces paroles. Les uns et les autres ne sont pas si méchants et pervers, encore moins des saints, (ni des mater dolorosa). Si ça ne marche pas, changer contre une baguette de fée et transformez les citrouilles en carrosses et les rats en cochers moustachus.
Vous, le feu follette de la garrigue, du serpolet et des oliviers, offrez-nous un grand et beau soleil qui fait fondre la glace des hauts pâturages, celle que l’hiver a oubliée dans les crevasses rocheuses et que les bergers cassent à coup de piolet pour donner de l’eau aux brebis.
j’ai cherché tafanard dans le dico : il semblerait que ce soit le cul.
il nous faut en conclure à ce qu’il reste en ces termes un élément de recherche ne serait-ce qu’à travers un dictionnaire si l’on dédaigne la salissure ou la compromission vulgaire.
T’en j’y crois pas.
Alors que je me coltine à grand frais les 1652 pages du grand Victor, va falloir se farcir 2430 pages chez Desclée de Brouwer.
Je peux dire non. Je le peux.
christiane dit: 11 juin 2016 à 9 h 39 min
j’ai dormi huit heures comme un sonneur. Minuit, huit heures.
Merci de votre attention.
Je vous lis. Tous. Je m’en vais.
Être berger, autant vous le dire, c’est un métier rude. S’il faut les classer, sans doute marin-pêcheur est il plus rude. Mais berger c’est un métier difficile (pour Catherine Poulain).
christiane dit: 11 juin 2016 à 9 h 39 min
Les uns et les autres ne sont pas si méchants et pervers
Lorsque quelqu’un n’est pas prêt à entendre, il n’est pas prêt à entendre : ici, sur ce blog il y a un pervers qui pourrit la vie d beaucoup de monde.
Après, dans la vie, on choisit de savoir ou pas.
Après, on se débrouille.
C’est un peu l’allégorie d cela caverne de Platon : ou on en sort, ou on n’en sort pas. Ce choix là est individuel.
Et nepense pas que je qualifie l’un de pervers s’il ne l’était pas. Une accusation mensongère c’est de la calomnie : ce n’est pas mon genre.
Lui le reconnait et sa compagne le dit. Je surenchéris, point barre.
Désolé,
mais « Lou pichot tresor » du R.P. Xavier de FOURVIERES, chanoine prémontré de Frigolet, auteur du meilleur dico Provençal/Français traduit, page 313, « tafanari » par
1/fessier
2/imbécile (au figuré)
bérénice dit: 11 juin 2016 à 9 h 38 min
9h27 Rose, les jeux sado-masochistes rencontrent l’assentiment de chacun des partenaires,
merci : je ne le savais pas et je ne m’en servirai pas. Donc, cela n’a guère d’utilité pour moi. Je pensais plutôt que l’un subissait et que c’est cela qui faisait jouir intensément l’autre.
Deux remarques néanmoins, peut-être trois :
1/ même problème (celui idoine de l’alcoolisme) de la satiété : il n’y a pas de limite ; donc il y a recul des limites et donc risque.
2/ s’il n’y a pas changement de rôle, (comme la parité par exemple) il peut y avoir haine de l’autre à propos de ce que cela fait surgir en soi : c’est à dire la mise au jour de ce qui vaudrait mieux ne pas mettre au jour.
3/ je ne crois pas à l’ordalie (à la thérapie par le feu) ni à l’émergence d’un autre homme/d’une autre femme par ce biais ; je crois au contraire que de telles pratiques enkystent gravement et ne vident pas l’abcès et ne nettoient pas. Enterrent, grosso modo.
Toutefois, je conçois fort bien que cela puisse être jouissif. Observez juste un peu l’allure de DSK pour voir l’homme qu’il est devenu après les pratiques qu’il a employées.
Bref, liberté, liberté chérie.
Que chacun y trouve son compte (j’en doute juste très fort).
« va falloir se farcir 2430 pages chez Desclée de Brouwer. Je peux dire non. Je le peux. » (rose)
NON ! TU NE LE PEUX PAS !
Il y va du salut de ton âme, pécheresse sur terre, gourgandine, sœur lubrique ! Par Chouraqi …
Ouais bof, je vous ai tous lu, le cul c’est le cul : pas de meilleur sujet de conversation; Nul besoin d’être intrusif.
Salut à tous;
Je vous embrasse.
Faites tout pour être heureux, sans être pervers (çà sert à rien d’être pervers).
La petitesse des fraises des bois fait leur goût (parce que c’est concentré).
Mais il y a aussi les tagadas.
Un jour, je le prendrai le canal de Suez et j’arriverai illico en mer rouge. (je crois bien). Hop sultanat d’Oman, moucharabieh, baklavas au miel. Je penserai à vous : comme j’ai pensé à bérénice quand j’ai nagé vendredi dernier, à combien elle aimerait être à la plage là avec sa crème solaire son bikini et son petit short acheté pour l’été.
Moi- même, je me suis débâchée et baquée ; j’ai fait toutes les bouées jaunes et ventrues jusqu’à la jetée ou les garçons noirs et arabes faisaient les marioles. Puis je suis revenue en leur tournant le dos et en replongeant les bouées, parallèle à la plage : j’ai quarante quatre ans de plus qu’eux. Comme Romain à Big Sur quand il commence à réfléchir à ce qui est derrière lui.
Bonne journée à tous,
<bérénice
ce n'est pas mon truc les relations sado-maso.
Je préfère le saxo.
salut
Pour les fans de …
l’excellente chronique de François Morel de vendredi (3min):
http://www.franceinter.fr/player/reecouter?play=1299843
<JC
arrêtez avec votre tentation : je ne lirai pas ce bouquin en entier.
Tiens, je vais relire les mémoires d'une chanteuse allemande. Et mes tables de trigonométrie. a plus b au carré.
Rose je suis certaine de n’avoir pas à vous en assurer, ce n’est pas le mien non plus. Mon désert est si vaste sur le plan affectif que je n’y trouve pas même un endroit pour faire germer ne serait-ce qu’un rêve érotique. Misère, misère…la vie a raison de tout en usant jusqu’à la dernière de nos issues, jusqu’à nos fêtes chéries. Nous avions eu l’heureuse idée d’accrocher, à la place du néon issue de secours, au dessus de la porte du séjour le mot Jazz, je crains bien que ce ne fut pas la bonne.
Vous aviez adoré notre best seller des années 2000 : « La lubricité pour les Nuls », eh bien, le temps passe, et vous allez adorer notre : « La lubricité chez les grands vieillards », préface d’Alain Juppé, photo de Didier Baupin …
Rose auriez-vous lu ce roman recommandé par Claro: La femme d’un homme qui, Nick Barlay. Un voyage dans un drôle de pays qui renseigne sur les pratiques ayant pour but d’étendre l’homme au delà de la limite du possible habituellement admise.
@Le football européen me fait profondément gerber …. vivement le 10 juillet !
Bien la 1ère fois que j’aurai eu qq chose à partager avec vous, jc kilucru ?
. Je pensais plutôt que l’un subissait et que c’est cela qui faisait jouir intensément l’autre.
Dans ce cas, il s’agit d’une victime face à un pervers, ce n’est donc pas un jeu, c’est une situation de domination sans jeux de rôle acceptés et sans limite dans le temps, cela peut ne jamais finir ou finir mal pour la victime si le persécuteur n’est pas inquiété soit qu’il détient un pouvoir et en use et abuse soit que la victime ne peut clairement objectiver et faire état auprès des autorités concernées ce en quoi elle victime ou ce de quoi elle est victime. Voyez ces femmes violées qui pendant des siècles se sont vues retourner pour leur défense qu’elles étaient consentantes et y prenaient plaisir, par exemple.
JJJ, en cas de fortune de mer, vous verriez comme une seule bouée de sauvetage rapproche des gens qui ne se connaissaient pas ou faisant semblant …
bérénice dit: 11 juin 2016 à 8 h 12 min
Il est 3h 15 et mon QI est de 976 à cet instant. D
De quelle substance avez-vous bénéficié?
–
Non rien de tout cela, c’est une réalité, Bérénice : lorsque je me réveille au milieu de la nuit, je bénéficie naturellement de facultés cognitives extraordinaires doublées de dons de clairvoyance mais aussi de la faculté de voir dans le passé.
http://www.youtube.com/watch?v=4GdjR6mgKbk
C’est très fugace, je me sens non pas faire partie du tout, mais être la substance-même du tout.
Alors, Janssen J-J (10h32) écoutez le billet de François Morel dont j’ai donné le lien à 10h10.
Demandez à un barbu de l’Etat Islamique, ceux qui adorent violer à la soudanaise les infidèles chrétiennes, ce qu’ils pensent des réactions des femmes violées… :
– Franchement ! Je vous répond franchement. Après le viol elles sont très contentes, les violées !
– Elle vous demandent de remettre ça ?!….
– Toujours ! Ah, ça oui ! Toujours…
– Et qu’est ce que vous faites ?
– Ben, le chef nous a dit de répondre : « on est pas là pour nous livrer à des galipettes inter-religieuses talentueuses, on est là pour abaisser les infidèles. A mort … »
10h47 hilarant et affreusement documenté.
D votre modestie n’a d’égale que votre chevelure.
@Lavande – 10h10
Merci pour le lien ! ce François Morel est impayable ! J’aime beaucoup la « danse » du ballon rond et le pied de nez final.
De plus, sous votre lien (quand on écoute), se trouve celui de l’émission que j’ai écoutée ce matin : « Le Matin du départ » animée par Dorothée Barba les S. et D. à 5h35. Ce matin , elle recevait J-P. Siméon « L’Auvergne, ces grands ciels traversés par le vent ». Demain, matin, la deuxième partie. Elle devrait vous plaire.
10.42 et 10.51. Excellente suggestion de F. Morel… Un seul regret après écoute : j’ai encore raté la troupe de Pina Bausch à Nîmes ! – En écoutant Rémi Brague, impossible de pas entendre la voix de Marcel Gauchet. Le contenu des réponses était assez banal vu le caractère usagé des questions (le religieux comme réponse à l’angoisse prétendument universelle de la mort dans un monde qui douterait des conseils de Bossuet (un peu marre des angoisses existentielles du noble prélat présidant à ‘Répliques’, son émission est toujours un peu inégale à elle-même, comme la vie, mais bon, elle se laisse entendre, car elle fait partie d’une habitude bêtement ancrée). – Il parait que la France a battu la Roumanie, donc nous sommes contents, y’a donc plus que 50 scores à attendre. @10.39, céline et julie avouent rester pantoises… qu’autour d’une bouée de sauvetage, JJJ et JC puissent fraterniser ? C’est carrément impossible : autant crever tout de suite, Janssen. A moins que ton Javert prenne le dessus et là, il t’enfoncera sans aucun scrupule dans les flots, mec.
Quittons nous sur un point de détail :
L’Auvergne, affectivement pour nous autres les maitres de conférence de l’Institut porquerollais, les forçats de l’architecture navale : c’est le bagne du bougnat.
Pis que Toulon, l’Auvergne ! C’est Cayenne avec Christiane Taubira déguisée en Jehanne d’Arc …
Des familiers de Bucuresti, Romania, me rappellent que depuis longtemps, les Roumains savent négocier à la mi-temps. Decebal le Dace, déjà, mesurait que la lutte nationale avait ses limites …
Pour eux, comme pour moi, comme pour les parieurs internationaux mafieux, tout n’est question que d’argent qui rapporte.
Les Roumains ont été payés pour laisser faire le génie français. Vous pariez que le match fut « arrangé »… on parie ?
c’est drôle que l’Auvergne vienne ainsi sur le tapis. Je vas y faire un trek d’une semaine autour des volcans giscardiens, la semaine prochaine en 8, une région inconnue pour moi (départ au village de Nébouzat). Christiane en dit du bien (de l’Auvergne), JC du mal (de Taubira), on verra bien : la verdure sous les cieux aérés les départagera sûrement. Surtout, y aura aucune fan-zone sur les chemins bougnats !
« Christiane en dit du bien (de l’Auvergne), JC du mal (de Taubira) »
Décidement ! on a du mal à se comprendre !
Je déteste Jehanne d’Arc ! une illuminée débile ! un outil politique ! une idiote utile… Comme l’autre cycliste casquée, ronde comme une boule de pétanque…
Le seul qui en parle « convenablement », de Jeanne, est ce cher Frère Arouet dans son délicieux poème : « La Pucelle » …
Le féminin de Baupin c’est Bellepine ?
D, comment mesurez-vous votre QI à un instant T?
‘Mon désert est si vaste sur le plan affectif’
mais non b, il ne faut jamais dire des choses pareilles, voyons.
@Janssen J-J dit: 11 juin 2016 à 11 h 39 min
Écoutez l’émission. Un délice !
http://www.franceinter.fr/emission-le-matin-du-depart-l-auvergne-ces-grands-ciels-traverses-par-le-vent-avec-jean-pierre-simeo
@Janssen J-J dit: 11 juin 2016 à 11 h 24 min
Mais où sont Céline et Julie ? Voilà bien longtemps que je ne les ai lues…
JJJ,
Vous nous direz si une semaine de trek en Auvergne est une peine de substitution pénale, qui vaut le coup ?….
Quand on parlera du harcèlement sexuel des femmes politiques, aura t-on atteint la parité ?
Ce matin, je me sens l’âme chevillardesque !
Seigneur, toi qui là-haut veille sur les scores d’audience TF1,
Fais que les excentriques britanniques triomphent et renvoient la Mère EUROPA, née Thénardier Merkel à ses lessives, sa cuisine, sa corruption morale…. !
BREXIT ! FRANXIT !
Par le culte des pères fondateurs !
@JC….. dit: 11 juin 2016 à 11 h 53 min
Essaie de voir dans un ciné-club ou sur DVD le film (1962) de Robert Bresson Le procès de Jeanne d’Arc. Outre sa beauté plastique (noir et blanc), il s’appuie très exactement sur les minutes du procès. On voit et entend, face à face, dans un affrontement rapide , incisif, : Jeanne (Florence Carrez) et Cauchon (JC Fourneau). On découvre une jeune fille d’une grande liberté intérieure directe, crue, habile, têtue, insolente, orgueilleuse, qui refuse le compromis.
Tu pourrais changer d’avis… et rester perplexe face ce mystère fait femme.
Nasser à rien ?
12h07 jibé, y-aura-t-il un homme de cette classe pour dire le harcèlement subi par les femmes, si vous en étiez une, lequel parmi tous ses séduisants mannequins choisiriez-vous pour élire domicile? Nous voudrions savoir.
@10.10 Le plus drôle au sujet de l’hilarante chronique que vous avez signalée, c’est qu’il ne croyait pas si bien dire, le François des Deschiens. Apparemment, s’est pas rendu compte que le Didier Deschamps était à la fois le nom du patron de l’Euro 2016 et celui du directeur du TNC au Trocadéro où l’on chorégraphie aussi du ballon, ad nauseam, et plutôt deux fois qu’une.
Car si l’on considère que le physique ne fait pas tout et qu’il doive rejoindre nos options politiques, je ne vois personne dans l’hémicycle, désespoir! une fois de plus, rien à attendre de personne, on ne peut tout de même pas se résoudre à passer notre temps à s’admirer le nombril quand bien même il serait des plus beaux, des plus intelligents et éduqués. Quelle solution autre qu’à se jeter dans le paysage quand on n’aime pas lire, aller au cinéma? aider les aveugles à traverser? vaincre son propre égoïsme afin de pouvoir se trouver d’une utilité humanitaire quelconque quand bien même ce ne serait d’aucun flamboiement?
« se jeter dans le paysage »
Vous y fondre, ce serait déjà bien…
En se féminisant, le commentarium n’en est pas devenu pour autant plus intéressant. La femme ne serait-elle plus l’avenir de l’homme ? L’homo, peut-être ?
Vous y fondre, ce serait déjà bien… Oui il faudrait un minimum d’ensoleillement ou être d’une matière métallique, ou alors s’évaporer? Ce serait moins douloureux que de se jeter du panoramique en désespoir de cause.
Mais Jibé pensiez-vous à fondre comme confondre, revêtir une tenue treillis pour rejoindre le maréchal Al Sissi?
« Tu pourrais changer d’avis… et rester perplexe face ce mystère fait femme. »
– Changer d’avis ? jamais …sauf torture, finances ou papouilles logiques et raisonnées
– Rester perplexe ? jamais … Réfléchir après avoir décidé…
– Mystère féminin ? jamais …. tout s’explique toujours, il suffit de patienter un millénaire ou deux.
« aider les aveugles à traverser? » (Bérénice)
J’ai failli être stoppé net dans ma fulgurante ascension sociale par des gens d’armes au service d’un pouvoir inhumain, à cause de quiproquo sans intéret.
J’aidais, soi-disant, les vielles dames à traverser, cheveux propres et dentiers impeccables … Où est la faute !?
en fait je soulageais les familles d’un poids, en poussant les vieilles sous des bus conduits par des cégétistes distraits ou avinés…
« lequel parmi tous ses séduisants mannequins choisiriez-vous pour élire domicile ? »
Les politiques ne me font pas bander, Bérénice.
Mes goûts personnels me portent plutôt vers les classes laborieuses et dangereuses.
Sucer un kamikaze avant l’explosion : ça le dissuaderait peut-être de se faire exploser ou appuyer sur la gâchette, et nous avec ?
Après ça, il ne pourrait plus se présenter en martyr devant Allah !
Le problème, dirait sergio, un kamikaze qui ne se fait pas exploser, est-ce encore un kamikaze ?
De plus vous êtes injuste, christiane, DHH, Clopine sont soit d’un apport précieux soit une réflexion amicale, pour les autres aussi dont on ne sait s’ils sont sous des pseudos asexués des hommes des femmes des transgenres des homosexuels( femmes ou hommes) des asexuels.
Jibé je vous imaginais solitaire mais mondain, bobo et parisien.
« DHH, Clopine »
Ce sont là, la lie, l’hallali, l’allahli d’un blog en déroute … que fait la peau lisse ?
Je parlais essentiellement pour vous, bérénice. Je crois que je vous préférais même en Daaphnée !
Article pour les fans de Libé :
@Sucer un kamikaze avant l’explosion : ça le dissuaderait peut-être de se faire exploser ou appuyer sur la gâchette, et nous avec ?
Voilà une solution qu’elle est bonne : et vous vous porteriez candidat ?… vous qui aimez apparemment vivre dangereusement avec les masses populaires sexuellement rigides, cher monsieur JB ? Vous feriez assurément œuvre utile à la Patrie reconnaissante 😉
gontrand dit: 11 juin 2016 à 11 h 56 min
D, comment mesurez-vous votre QI à un instant T?
–
Je ne le mesusure aucunement, Gontrand, je le connais.
@Jibé dit: 11 juin 2016 à 14 h 12 min
Oui, c’est possible. Rose avait déjà levé le lièvre sous un billet précédent. Il y a dans les post de « Bérénice » un réel effort pour donner une apparente lourdeur, une maladresse dans la façon de s’exprimer, ce qui ne peut cacher une pensée vive prête à bondir. Un peu comme un chat qui s’amuserait avec une souris, retardant le moment où de la dévorer ou de l’abandonner par ennui. Ses rôles tanguent entre innocence et provocation (ce matin Rose et JJJ). Pas inintéressante. Garder néanmoins un espace de sécurité… Elle pourrait être aussi sous une autre apparence (autre pseudo) quelqu’une qui simulerait des crises de rage et de haine envers un(e) autre de passage, ici, aiguisant sa jalousie pour chaque compliment qui ne lui es pas destiné (un peu comme la reine de Blanche-neige : « Miroir, mon beau miroir, dis-moi que je suis la plus belle »). Une qui aime glisser dans ses interventions des signes de connivence avec d’autres commentateurs pour se rappeler à leur mémoire…
Un vrai roman policier, cette toile. Un jeu de massacre, de bal masqué…
où =ou
es=est
« En se féminisant, le commentarium n’en est pas devenu pour autant plus intéressant ».
Je pense tout le contraire et suis étonné de vous découvrir à ce point misogyne, quelle déception.
JC dit: le 11 juin 2016, à 5h 36 min:
« Le football européen me fait profondément gerber… »
En paraphasant Musil, voilà un petit exercice pour analyser la méthode du but de Dimitri Payet hier soir.
« Il sourit de sa plaisanterie. Puis une autre pensée lui vint : « Voyez-vous, la différence dont nous venons de parler entre l’Autriche et l’Allemagne me rapelle toujours le billard : au billard aussi on rate tous ses coups quand on veut se fier au calcul plus qu’au sentiment! »
Le géneral avait deviné qu’il devait se sentir flatté par l’expression de « paix armée des idées », et souhaita manifester son attention. Il possédait quelques notions de billard. C’est pourquoi il dit : » Pardonnez-moi, je joue au billard et aux quilles, mais je n’ai jamais entendu dire qu’il y eût une différence entre le style allemand et le style autrichien? »
Arnheim ferma les yeux et réfléchit. « Moi-même, je ne joue jamais au billard, dit-il alors, mais je sais que l’on peut prendre la bille en haut ou en bas, à gauche ou à droite; on peut viser la deuxième bille plein ou fin; on peut attaquer fort ou faible, donner à la joueuse plus ou moins d’effet; et il y a sûrement beaucoup d’autres possibilités analogues. Or, je puis imaginer autant de nuances que je veux pour chacun de ces coups : le nombre de combinaisons possibles est donc presque infini. Si je voulais l’établir théoriquement, je devrais tenir compte non seulement des lois mathématiques et de la mécanique des solides, mais encore de celles de l’élasticité; je devrais connaître les coefficients des matériaux, l’influence de la température; je devrais disposer des méthodes les plus subtiles pour mesurer la coordination et la graduation de mes impulsions motrices; mon estimation de la distance devrais avoir la précision d’un Nonius; mon pouvoir combinatoire devrait être plus sûr et plus rapide qu’une règle à calcul… Et je ne parle pas des marges d’erreur, du champ de dispersion et du fait que le but poursuivi – la coincidence de deux boules – n’est pas un but déterminé, mais plutôt un but conjectural déduit de tout un ensemble d’incidences… »
Arnhein parlait lentement, imposant l’attention, comme quand on verse un liquide au moyen d’un compte-gouttes. Il n’épargnait à son interlocuteur aucun détail.
« Vous voyez, pousuivit-il, que je devrais posséder des qualités qu’il m’est impossible d’avoir, et faire des choses qu’il m’est impossible de réussir. Vous êtes sûremente assez mathématicien pour juger que le seul calcul d’un carambolage serait la tâche d’une vie : dans ces problèmes-là, notre intelligence nous laisse carrément en panne! Ce nonobstant, je m’approche du billard une cigarette aux lèvres, une mélodie dans l’esprit, le chapeau sur la tête pour ainsi dire, c’est tout juste si je me donne la peine d’examiner la situation, je joue, et voilà le problème résolu! Or, mon général! c’est ce qui se passe presque toujours dans notre vie! Vous n’êtes pas seulement autrichien, mais officier, vous me comprendrez : la politique, l’honneur, la guerre, l’art, tout ce qu’il y a de décisif dans la vie se produit au-delà de l’intelligence rationnelle. La grandeur de l’homme prend racine dans l’irrationnel. »
(Robert Musil, « LSQ » tome 1, p. 681-682)
Il me faut bien reconnaitre qu’être consubstantiel à certains ou certaines exige de prendre sur soi. Mais j’y arrive.
Je suis d’accord avec vous, christiane : hou ! hou ! Hé ! Hé ! ET Hé Hé, ou Hou ! Hou !
« paraphrasant » uf
qui est dimitri payet ? je ne connaissais pas encore cet écrivain apparemment digne de musil.
(wiki) Nasser reste au début du XXIe siècle un symbole de la dignité arabe du fait de ses efforts pour une plus grande justice sociale et sa défense du panarabisme, de la modernisation de l’Égypte et de l’anti-impérialisme. Ses détracteurs ont critiqué son autoritarisme, son populisme, les violations des droits de l’homme par son régime et son échec à créer des institutions civiles durables. Les historiens considèrent Nasser comme une figure centrale de l’histoire moderne du Moyen-Orient et du XXe siècle.
Houi enfin c’est gonflé, cette affaire…
Intéressante, Gardel, cette discussion entre Arnheim et le général Stumm mais pensez-vous vraiment que « tout ce qu’il y a de décisif dans la vie se produit au-delà de l’intelligence rationnelle » et que « la grandeur de l’homme prend racine dans l’irrationnel » ?
Ces tirs au but (qui ont mis les foules en délire -surtout le dernier- et leur ont fait crier : « on » a gagné, « on » a eu du mal mais « on » a gagné), ne sont-ils pas, avec une rapidité fulgurante, un geste mille fois et modestement répété, assimilé ?
Ces joueurs avaient un talon d’Achille : venant de différents clubs français (et y étant excellents), ici, regroupés, ils ne se connaissaient pas ou mal et les stratégies évidentes avec les coéquipiers de leur club étaient mises en échec par l’impossibilité de prévoir la réaction de tel ou tel joueur.
De plus, les attaquants sont toujours mis sous le feu des projecteurs à cause des buts et les défenseurs un peu oubliés, pourtant c’est de l’ensemble des équipes que naît la force du match.
C’était intéressant à observer et sur le terrain et dans les tribunes (où il semblait que cette folie collective effaçait, le temps du match tous les autres problèmes : peur des attentats, chômage, poubelles entassées sur les trottoirs, RER et métros bondés, avions en passe d’être cloués au sol….). La lutte entre l’Élysée et les syndicats, entre les travailleurs en grève et les usagers, entre les touristes et les habitants de la petite couronne, se trouvait soudain minorée, presque oubliée. Ils étaient transportés dans une extase où rire, crier de joie ou rugir de dépit soudait les uns et les autres. J’en ai même vu qui s’embrassaient sans se connaître.
Alors oui, il y a overdose de « danse » comme le proclamait le délicieux François Morel mais ces moments de liesse collective ont un sens (même si je n’aime pas trop regarder ces matchs justement à cause de la surenchère). Mais ce petit qui a quitté son pays et ses proches pour être enrôlé dans une école de foot sur le continent, et qui a marqué le deuxième but, a versé une larme, bouleversé par les applaudissements de la foule. Au pays, ils jubilaient de fierté. Cela lui fera un beau souvenir à raconter, plus tard.
« Pauwels et Bergier, les Zarathoustras du Gaullisme »
De la littérature de gourou qui a mal vieilli…
Le général Stumm c’est un pas bavard faut dire i fait parler que la poudre…
Dimitri Payet est un barbu sauveur de la France.
Notez que l’on doit prononcer « paillette ».
Il n’y a pas que la grandeur de l’homme qui prend racine dans l’irrationnel. Il y a aussi les chambres à gaz !
Apparemment Musil ne les avaient pas imaginées.
@Sergio dit: 11 juin 2016 à 16 h 31 min
Oui, Sergio, « le général se tut, comme on se tait quand tombe une grande parole, par respect. »
D. dit: 11 juin 2016 à 17 h 04 min
Dimitri Payet est un barbu sauveur de la France.
Bon ben faut le compter alors…
Faut quand même faire gaffe si c’est pas un barbu probabiliste…
Les Berlusconi ne savent plus avec quoi faire du fric. Ils ont la berlue…
Je crois que je vous préférais même en Daaphnée ! jibé 14h12
comme vous l’avez peut-être remarqué, je ne suis pas adepte des pseudos multiples et ne pourrais de toutes façons pas me métamorphoser en une autre si tant est que j’en éprouve l’envie. Mais vous avez sans conteste acquis les moyens de rejoindre le club des grosses têtes où la raison des plus forts est toujours la meilleure. Ce qui par ailleurs pourrait nous rapprocher d’une certaine irrationalité , le cœur a ses raisons que la raison ignore, sans pour autant nous éloigner du BA BA archiconnu.
Apparemment Musil ne les avaient pas imaginées. 17h19.
Il était trop bon pour imaginer une telle horreur.
WGG vous oubliez-nous ou vous négligez-nous, à moins que vous ayez été retenu par l’événementiel ou un voyage impromptu, nous ne vous avons plus lu depuis des jours qui nous ont paru une éternité!
L’identité Daphnée /Bérénice s’est imposée à moi au vu de sa réaction pleine d’ironie malveillante à propos de mon commentaire du film »les pieds dans le tapis ».
Comme si, à mon sujet ,même son personnage de « gentille », celle qui signe Bérénice ,ne pouvait résister à la tentation de se répandre avec condescendance et mépris sur la médiocrité intellectuelle qu’elle me prête.
Peut -être son jugement sur moi est- il justifié, mais un peu d’indulgence , ou même seulement de politesse , lui aurait interdit de se montrer humiliante en ridiculisant celle « qui ne la vaut pas », douloureusement ravalée par son propos stigmatisant à son identité de ménagère se piquant de » penser »
16 h 29 min « transportés dans une extase où rire, crier de joie ou rugir de dépit soudait les uns et les autres. »
La police est intervenue sur une rixe qui opposait des supporters anglais, russes et français … (Francetv info)
Sur 319 commentaires postés le 11 juin à 18h36, 133 l’ont été par 3 commentateurs (soit largement plus du tiers) ; 251 émanent de dix commentateurs seulement (en comptant les 3 déjà cités), soit largement plus des deux tiers. Le nombre total de commentateurs est de 40. Près de la moitié d’entre eux n’a posté qu’un seul commentaire.
Le nombre total de commentateurs est de 40.
En supposant que personne n’a utilisé deux ou plusieurs pseudos.
133 l’ont été par 3 commentateurs (soit largement plus du tiers
–
Très intéressant, Charles. Peut-on avoir des noms ?
Franchement, je n’ai jamais trouvé Bérénice en Daaphnée ni Daaphnée en Bérénice.
J’ai beaucoup de mal à comprendre comment les deux peuvent être confondus !
Ah les braves gens !!! les braves gens !!!!! Ils ont dévasté le Vieux Port, tout cassé, et ils bénéficient dans les infos d’une sorte de clémence pleine de sympathie, alors que les Nuitdebout , eux, nettement moins violents, se sont attirés toutes les haines journalistiques, et même ici, certain crétin a, je me souviens, cru réellement que Nuit Debout, la CGT, ETC allaient provoquer une guerre civile…
Mais là, n’est-ce pas, ce sont de bons gars, des Rosbifs, des Popoffs, des Frankaouis, clients de Décathlon, bons consommateurs, c;ons comme des culs de méduse, alors on les encense presque…
L’immensié de la connerie humaine…sauvagerie des Russes, racaille avinée et soumise à Poutine, à la poperie !!!
Et les autres, les porcs engliches et les dégénérés de l’OM ou du PSG, de bons citàyens !! Pensnent pas à nous emmerder avec les grenouilles, les abeilles, les catastrophes climatiques etc…
Tiens JC; dis donc, mon gros, pas d’Arabe dans le fourbi..c.on, hein?
« L’identité Daphnée /Bérénice s’est imposée à moi… »
Je pense que vous vous trompez complètement DHH. La manière Daphnéée n’a rien à voir avec celle de Bérénice…ou alors il faudrait supposer des semaines de travail sur le style, le vocabulaire, la ponctuation, etc. Je suppose que l’une et l’autre ont mieux à faire. Je l’espère pour elles en tout cas.
Dordogne : les chats fourrés de Périgueux ont condamné un couple à combler sa mare, au motif que les voisins se plaignent du COASSEMENT DES GUERNOUILLES…;non, ce nest pas une blague, mais de l’Adjudant Flick au cube, du Courteline au carré.
Astreinte de 150 euros par jour de retard.
Vosges : le maire de Remiremont a obtenu de l’évêque d’Épinal que lles cloches de l’église del a ville ne sonnent plus histoir de ne plus déranger!!!!!
fabuleux pays…..
C’est les cuisses de grenouilles à l’ail et au persil qui sont fabuleuses, n’en déplaise aux anglais.
Alba, viens , on se casse de ce continent pourri
DHH, excusez-moi si je vous ai blessée, mon propos était ironique tout au plus, au jeu des pseudos et n’étant pas très experte en matière d’identification, il se peut que je vous aie soupçonné d’être une autre ( vous l’aviez d’ailleurs souligné). Je ne suis en effet qu’une ménagère mais pas piquée pour autant, si vous m’autorisez à défendre mon intégrité morale et mentale.
DHH, « ménagère » ce à quoi vous êtes très loin de ressembler, je vous lis avec intérêt, ceci dit sans vouloir cirer vos jolis souliers.
19h58 un cas typique du déséquilibre écologique, ce coin manque assurément de prédateurs de grenouilles, y-a-t-il ici un prédateur de grenouilles qui puisse aider ce couple accablé par les forces de police qui encerclent la propriété, le GIGN est sur place! nous craignons le pire.
@berenice 20 h 31;
20 h 40
1) si je me suis méprise sur la portée de vos propos indéniablement ironiques, au temps pour moi
2) Etre une ménagère ce que je suis en réalité aujourd’hui, ne me donne aucun sentiment de devalorisation ,car c’est un statut qui n’exclut rien :l’essentiel est de ne pas « appauvrir en « se claquemurer aux choses du ménage « ,ce que j’essaie de faire, avec l’avantage que, n’ayant pas d’activité professionnelle, je suis d’autant plus disponible pour élargir mon horizon
Correction de mon post précèdent
lire:..s’appauvrir en se claquemurant »
au lieu d »appauvrir en se claquemurer
Ailleurs, c’est souvent pire, mon pauvre Berguenzinc ! Ce monde est foutu, de toute façon…
Sur Linkedin, Gattz propose un rêve pour la France…
Quand le patronat fait des rêves, c’est que nous sommes en plain cauchemar.
Vers la grève insurrectionnelle !
DHH vous avez raison, il nous faut occuper le temps vacant de la façon la plus pertinente en restant ouvert aux autres et à leur pensée quel qu’en soit le véhicule, cependant je suis en panne de carburant et dans un immobilisme flagrant j’attends que mon geôlier daigne faire en sorte que je sois affectée dans un autre maison d’arrêt, il estime de son bon droit que ma peine ne suffit pas à motiver cette demande. Et l’on fouille mes colis avant même que je les découvre ce qui n’en finit pas de m’attrister. La raison du plus fort prévaut aussi quand la situation orpheline n’est accompagnée d’aucune protection, vous laissant ainsi découvrir à l’oeuvre une des parties de l’infinie variété du genre humain.
Sur Linkedin, Attali propose de légiférer sur la fessée pour résoudre le problème de la violence parentale qui produit 2 morts d’enfants par jour. Et il définit l’homme par le contrôle : le propre de l’homme, écrit-il, c’est de se contrôler. C’est ce qui pouvait arriver de pire à l’homme, aurait dit Gille Deleuze.
Attali m’avait envoyé une invitation à rejoindre son réseau. J’étais vraiment flatté de me voir reconnu par une telle éminence grise et un homme de l’ombre comme pouvant relever le niveau de ses commentaires. Mais comme je me suis foutu de lui pour sa loi sur la fessée, il m’a illico presto banni de son réseau… C’est dire combien ce genre de personnage est au bord de la crise de nerf dès qu’on les conteste.
Le pouvoir rend fou, mes pauvres chéris. Complètement fou.
Mais c’est cela le droit de grenouillage !
Une corvée qui battait les mares près du château avec des tapettes ad hoc pour faire taire les grenouilles.
Cela appelle deux remarques :
1) C’est le genre de truc qui a été supprimé dans l’euphorie la nuit du quatre août ; autant dire, rien ; ou alors des choses du même tonneau, péages disparus etc. Mais l’intérêt, c’est que cela permettait de masquer le maintien des vrais privilèges, à savoir les terriers (le cadastre), la terre étant encore pratiquement la seule source de richesse.
2) Pour le droit de grenouillage, il y avait une origine guerrière genre oies du capitole. Il fallait empêcher les grenouilles d’occulter l’arrivée de l’ennemi ou le contraire, je sais plus trop…
un peu de musique
« Alba, viens , on se casse de ce continent pourri » (Bergie le zingueur)
Destination … ?
D j’écoutais Kate Bush jadis et j’aimais l’entendre, ce clip ne la donne pas à son avantage avec ses longs bras qui, dirait-on, cherchent à lui donner son envol un peu comme l’albatros, ce merveilleux planeur de grande envergure peine à prendre le sien. Je n’avais pas encore noté jusqu’à ce matin sa voix si enfantine finalement.
Destination?
La civilisation civilise quand elle ne gâche pas , ils disposeraient ainsi d’un large choix. Une cabane au Canada, loin de l’incendie ravageur? Sur les rives du Lac la biche.
Une des hypothèses avancées sur l’origine de ce sinistre.
https://reporterre.net/L-incendie-de-Fort-McMurray-crime-ecologique-des-exploitants-d-energie-fossile
Il est urgent d’équiper Noel Mamère d’un module d’Intelligence Artificielle tant son logiciel est devenu inaudible de platitude …
Je n’en attendais pas moins de votre crincrin, Le Figaro en a fait ses titres au mois de mai, en pourra s’attendre à une falsification des compte-rendus d’expertise comme il est courant de constater que le poids de certaines industries continuent de peser sur la diffusion de certaines vérités, cependant si vous avez lu ce lien vous aurez remarqué que l’exploitation des gaz de schiste dans cette région n’est pas le seul élément mis en cause par N M dans son avis tentant d’analyser les origines de cet incendie. Sont tus tant d’autres sinistres ainsi que leur conséquences qui ont modifié durablement le patrimoine naturel, qu’un écologiste donne un avis pondéré est bien sûr inconvenant, juste laisser faire sans même rien en dire ou penser s’inscrit dans la droite ligne de l’obligation de croître sans avoir à se soucier du respect du à la terre et ses habitants. Personnellement après ce grand raffut autour de la Cop 21 je vois une certaine hypocrisie à autoriser la prolongation du largage de boues rouges dans notre territoire maritime ( ou ailleurs) pour simple exemple. Apparemment votre fanatisme obtus ne s’habille pas en vert, cela tombe bien, le FN n’a que faire des incidences de nos systèmes d’exploitation sur l’environnement et Nicolas Sarkozy qui dans son mandat s’était opposé à toutes prospection s’est dédit et s’il ne change pas de cap, risque fort de faire campagne s’il est retenu à la primaire en usant des thèmes chers au FN: immigration, identité nationale, sécurité.
en= on
prospection= prospections
continuent= continue, nonobstant ces corrections j’imagine que vous aurez compris.
Une autre histoire d’Elle et Lui, gratuite aussi, con un abbraccio grande:
« Delle favole, fin da bambino, mi ha sempre ossessionato l’ultima riga. «E vissero felici e contenti». Il classico brodino rassicurante cucinato dai grandi per farti addormentare tranquillo. »
http://www.lastampa.it/2016/06/12/cultura/opinioni/buongiorno/rosaria-e-pasquale-il-segreto-del-matrimonio-K4SDVUkyR4f4gLdr0tEtBL/pagina.html
« immigration, identité nationale, sécurité » (Bérénice)
Ma chère enfant, pourquoi laisser à ces crapulets du FN des sujets aussi fondamentaux que ceux là… ?
Parlons en, de cette immigration incontrôlée, de l’identité nationale bafouée, d’une sécurité mise à mal par une magistrature faite d’inconscients pompeux…
Ces sujets ne sont pas des sujets tabous, réservés Marion Bas résilles made in China, ils sont totalement nôtres … !!!
Bon dimanche !
« Si vous n’avez pas encore vu les danseurs de la Batsheva se mouvoir sur scène, je vous invite fortement à visionner quelques unes de leurs vidéos. La maîtrise qu’ils ont de leur corps, la façon qu’ils ont d’occuper l’espace et de happer au passage toute l’attention de leur public, est unique et captivante. »
http://www.onydanse.com/une-lecon-de-gaga-avec-ohad-naharin/
revue de presse, suite, dans la série, » on accueille des étrangers ».
« Quelques instants plus tôt, cours d’Estienne-d’Orves, une trentaine de hooligans russes ont dévasté les terrasses, attaquant des centaines d’Anglais à coups de poings, de barres de fer, de chaises et de tables. »
Là, c’est pas gratuit:
http://www.lequipe.fr/Football/Article/-les-russes-lui-ont-saute-dessus-a-pieds-joints/693678
Le foot est un exutoire à la violence, une espèce de remplacement, déplacement de la guerre que naguère se livraient les peuples en autant de rencontres sportives qui ne parviennent cependant pas à cristalliser la haine des brutes en un fair-play attendu ou un goût pour l’échange, la rencontre censé s’exercer dans l’itinérance et le voyage. Cette pitoyable bêtise humaine qui n’en finit pas de s’en prendre à des innocents, hier matin, vaguement entendu tant ces manifestations sportives m’indiffèrent parler de hooliganisme, le speaker devait craindre qu’il ne trouve de nouveau à s’illustrer. Quelle barbarie crasse!
Madame Verniglia est formelle : aucune femme n’est entrée dans le gourbi deux pièces-cuisine du JC au Camp à Nella depuis plus de cinquante ans malgré ses tentatives de séduction vite avortées, elles de débinent en hurlant, nous avons de nombreux témoignages, toute la rue Fournier, ne vous laissez pas embobiner par ses bobards aussi énormes que lui (plus de 100 kgs)
On tolère à des migrants sexuellement pervers du Moyen Orient (musulman) la palpation des rondeurs allemandes de nos européennes à Cologne, et on viendrait se plaindre de quelques Russes (orthodoxes) qui s’amusent joyeusement à casser de l’ Anglais (protestants) embiérés comme d’habitude, sur le Vieux Port ?
Marre de ces religions qui, finalement, ne servent à rien contre le football de haut niveau ! ….
A propos de polémique.
« du journalisssme »
PS du 12 juin :
le sieur SSSSallussti traîne déjà derrière lui des casseroles. Dont une affaire Dreyfus. Et ça , en 40 caractères de tweet, on se garde bien de vous en faire le détail.
Après tout, l’important est le livre sacré « mon camping », en toutes langues, annoté, pas annoté, gratuit, payant, en papier, en Zéro.un, nan ?
Le véritable écologiste copule dans la nature !
Quelle meilleure litière que le galet humide, le sable chaud, les aiguilles de pin piquantes d’esprit, les genêts ombrageux, la pinède complice, le sentier amoureux et la mer si pure … Lustrale ?
Allez faire comprendre ça aux sauvages qui s’agitent vainement en chambre close au regard mort, aux volets angoissés !
Que d’amalgames JC, a-t-on une stat des violeurs en France, % des français de souche auteurs d’attouchements , abuseurs, violents comparé à celui de ceux qui comptent dans leur arbre généalogique des ancêtres nord-africains ou moyen-orientaux, une vraie stat qui ne passerait pas sous silence les brebis égarées mais non inquiétées.
Quant au foot de haut niveau, il ressemble de plus en plus en machine à fric.
« Jamais, comme pendant la Coupe du monde au Japon en 2002, je n’ai éprouvé une aussi parfaite concordance des temps, où le temps du football, rassurant et abstrait, s’était, pendant un mois, non pas substitué, mais glissé, fondu dans la gangue plus vaste du temps véritable. C’est peut-être là l’enjeu secret de ces lignes, essayer de transformer le football, sa matière vulgaire, grossière et périssable, en une forme immuable, liée aux saisons, à la mélancolie, au temps et à l’enfance. »
http://www.leseditionsdeminuit.fr/livre-Football-3156-1-1-0-1.html
JC ou l’inconnu du lac. J’ai bon?
le sieur SSSSallussti traîne déjà derrière lui des casseroles
de quoi s’agit-il? une fois de plus je ne perce pas le mystère de votre post.
2002 / 2016 le contexte a changé et puis le Japon inspire probablement d’autres sentiments, de plus moins facile d’accès.
possible de se retrouver dans la citation poétique et empreinte de nostalgie, il m’arrive de laisser filer un match uniquement pour sa sonorité liée pour moi à l’enfance quand la diffusion des match n’obtenait pas plus que mon oreille, mais c’est un souvenir inscrit comme une madeleine: « C’est peut-être là l’enjeu secret de ces lignes, essayer de transformer le football, sa matière vulgaire, grossière et périssable, en une forme immuable, liée aux saisons, à la mélancolie, au temps et à l’enfance. »
Perso, je m’y suis toujours perdue dans les commentateurs du blog de Pierre Assouline. Il y a ceux que j’ai rencontré dans la vraie vie : Jibé (le curieux professionnel, je crois que c’est celui qui met le plus de « lien » ici), Jc (non, pas celui-là, l’autre, le passionné de Jazz), DHH (la « Grande Dame » de ce blog. Irrésistiblement, j’ai pensé à elle dans « les pieds dans le tapis », tant elle aurait pu incarner le personnage de la mère. Elle en a la lucidité un peu narquoise, la vivacité, et l’élégance. A mon sens, hein.)
IL y a ceux que j’aime bien lire : Bloom (l’anglophone aux loisirs diplomatiques) Chaloux à cause de la musique (quelqu’un qui possède trois pianos ne peut être aussi « noir et blanc » que ses touches : il joue donc d’une manière nuancée, Lavande (la mathématicienne passionnée de spectacle vivant, qui a la gentillesse de partager son goût avec nous), Paul Edel (même si ça a mal tourné entre nous, je l’ai déçu profondément, ça m’arrive tout le temps mais bon, il est quand même un sacré bon connaisseur de littérature), Bérénice que je crois être une écrivaine belge (et choisir ce pseudo-là est significatif d’une propension à la tragédie – ou de la recherche d’un Titus, même traître !), Rose qui se cache derrière ses épines, Sergio que j’aime bien mais qui est bien plus intéressant sur son blog à llui qu’ici, d’autres encore que j’oublie…. Le point commun de tous ces internautes est qu’ils conservent leurs pseudos, ce qui prouve qu’ils ont envie de communiquer car c’est une condition pour pouvoir converser ensemble : une relative permanence qui permet de savoir qui parle, qu’ils ont un « style » bien à eux et qu’ils laissent souvent s’échapper un peu de leur « vraie vie » – la seule qui vaille vraiment, à mes yeux – tout en étant bien sincèrement attirés par la chose littéraire.
IL y a aussi ceux qui ne sont pas forcément « ma tasse de thé », mais que j’ai envie de défendre souvent : Christiane (championne toute catégorie du copié-collé, sinueuse et enveloppante, et pétrie d’un sentiment religieux qui se décèle dans son vocabulaire et que j’ai un peu de mal à supporter, c’est vrai. Elle me fait souvent penser à ce faux-jeton de Jean Lebrun, qui, sous des dehors pleins d’urbanité, nous sert en réalité Radio Vatican)
Il y a ceux qui changent souvent de pseudo et ne laissent jamais rien échapper sur eux, mais qui cependant restent courtois et ont parfois de bonnes analyses ou des propos pertinents, voire drôles; Jansen JJ en est un bon exemple…
Il y a l’insupportable provocateur crétin de Jc, mais il est incontournable, hélas, car il est rivé devant son écran, indéboulonnable, bas de plafond, no life !!!
Et puis il y a les trolls…
Et je n’aurai garde d’oublier mon « redresseur de trolls » : l’internaute qui, systématiquement, quand je suis agressée verbalement par tel ou tel, « réplique » sur le même ton mes agresseurs. Je ne lui ai jamais rien demandé, mais qu’il sache tout de même que j’ai remarqué ses interventions : je ne serais pas capable de manier le propos vachard comme lui, alors je le remercie, même si cela alourdit le blog !
Quant à moi… Je viens ici tenter de rompre une certaine solitude, et le reproche (si on me l’adresse avec courtoisie, je suis prête à l’entendre) le plus habituel est celui de « l’égocentrisme exhibitionniste ». Pourtant, j’ai surtout envie de parler littérature, et de rencontrer des êtres, même virtuellement, que je n’aurais jamais eu la chance de simplement côtoyer, sans cette drôle de machine qu’on appelle le net…
JcC 9h17 peut-être ne suis-je pas assez sensible à votre ironie et n’ai-je pas saisi en ses justes termes votre humour. Jusqu’à présent les orthodoxes n’ont eu que faire des protestants, mon avis est qu’autre chose est en jeu, la bêtise de certains supporter imbibés de vodka.
être une écrivaine belge
aH mais grand merci Clopine pour cette attribution!
« le contexte a changé »
Ecco !
« Les réseaux sociaux ont donné le droit de parole à des légions d’imbéciles qui, avant, ne parlaient qu’au bar, après un verre de vin et ne causaient aucun tort à la collectivité »
millet richard, joue dans la même équipe que finkie ?
aarf, et on nous l’aurait caché ?
LDVB cette rixe qui laisse un homme entre la vie et la mort a eu lieu en plein air, je ne saisis pas le lien entre l’usage des réseaux qui déversent platitudes et banalités et violences urbaines prenant pour prétexte une rivalité footballistique.
Je vous laisse l’avantage, je ne suis pas l’actualité des réseaux sociaux ,si je vous comprends, vous suggérez une émulation via les réseaux qui pousserait au passage à l’acte.
Oups ! quel bien cela fait de lire Clopine (même si elle m’a oublié)… bien vu, bien dit, merci
@bérénice dit: 12 juin 2016 à 9 h 14 min
Oui et non, Bérénice.
Les gosses qui tapent dans un ballon sont heureux et fair-play. Les clubs régionaux qui entrainent des équipes de foot : idem. Par contre les grandes rencontres internationales mêlent les deux : foot sur le terrain, public excité dans les tribunes ou devant les postes de télé ou retransmissions en plein air. Et enfin ces batailles de rue violentes, alcoolisées qui correspondent bien à votre description. Pour moi, l’équivalent des batailles de rue en banlieue où des bandes s’affrontent régulièrement au pied des tours avec l’envie de tabasser, de blesser. Quel rapport avec le foot ? Je ne sais ? folie guerrière. Bêtise crasse : oui.
@Clopine,
ne vous donnez pas la peine de me « défendre ». Je n’ai nul besoin de vous, troll et clone de lvdb (sauf pour l’anglais).
Quant à moi, Clopclop…, mon silence volontaire sur widerganger, adèle h., sant’angello, D., polémiqueur et bouguereau me parait suffisamment assourdissant.
bérénice dit: 12 juin 2016 à 9 h 14 min
Le foot est un exutoire à la violence, une espèce de remplacement, déplacement de la guerre que naguère se livraient les peuples en autant de rencontres sportives qui ne parviennent cependant pas à cristalliser la haine des brutes en un fair-play attendu ou un goût pour l’échange, la rencontre censé s’exercer dans l’itinérance et le voyage. Cette pitoyable bêtise humaine qui n’en finit pas de s’en prendre à des innocents, hier matin, vaguement entendu tant ces manifestations sportives m’indiffèrent parler de hooliganisme, le speaker devait craindre qu’il ne trouve de nouveau à s’illustrer. Quelle barbarie crasse!
–
C’est fort juste, le terme d’exutoire est remarquablement bien choisi, en effet s’ils n’étaient pas canalisés pour beugler, se tabasser, etc.. ils génèreraient très probablement des cartels délinquants aux méthodes violentes.
C’est aussi pourquoi les vendeurs à la sauvette, les taxi-vélo etc, sans papiers dans un grand nombre de cas, sont tolérés à Paris bien qu’interdits en théorie. S’il ne faisaient pas leurs petits trafics à la vue de tous, on sait qu’ils en organiseraient de plus gros de façon cachée (ce qui est parfois le cas, de toutes façons !).
Ceci démontre à la fois que nos frontières ne sont pas gardées, ce que nous savions, hélas, mais également que l’éducation à la base est très mal dispensée, ce que nous supposions également, hélas aussi.
Miss tigriss, si véritablement vous êtes miss, elle vous a oubliée en raison des nouvelles règles qui régissent notre état civil, c’est vraiment dommage qu’elle n’ait pas donner suite à votre appel.
Bonjour à tous,
bon dimanche
je le trouve équilibré le commentarium : à parité.
Le rêve.
Ni mieux, ni moins bien. Juste équilibré et c’est beaucoup.
De plus, je trouve que les interventions entre les commentateurs peuvent participer à l’équilibre aussi. Arrondir les angles, arracher les épines, se montrer conciliant. Ne pas brandir ses défauts comme des armes ; mais les atténuer. Être correctement civil.
Sur Marseille, je peux essayer de me modérer : je pourrais ce matin en référer au stade de France, versus les cogneurs du vieux port de hier au soir, mais je ne mettrai pas en lutte/compétition, car nous avons une grande antériorité archéologique, nous, ceux de la grotte Cosquer et ceux de Lascaux envers vous, ceux de Lutèce. Mais bon, Paris est une ville magnifique : tous les japonais le diront.
c’est ça javert, tu peux prêcher pour ta paroisse. En toute légitimité ? T’es sûr ?
il y en a qui font la distinction entre légitime et légale. Et leur contraire, également.
« La police est l’une des institutions dépositaires du monopole de la violence physique légitime. Cette définition de la police, inspirée de celle de l’Etat livrée au début du XXe siècle par Max Weber, réunit depuis les années 1950 l’immense majorité des sociologues de la police, principalement sous l’influence de l’ethnométhodologue Egon Bittner. Elle a été fortement contestée par le Canadien Jean-Paul Brodeur et donné matière à de nombreux débats académiques dans les sciences sociales francophones, que nous ne pourrons restituer ici. »
http://criminologie.com/article/police-et-usage-de-la-force
Ah, j’oubliais, votre portrait, Clopine :
« sinueuse et enveloppante, et pétrie d’un sentiment religieux qui se décèle dans son vocabulaire et que j’ai un peu de mal à supporter, c’est vrai. Elle me fait souvent penser à ce faux-jeton qui, sous des dehors pleins d’urbanité, nous sert en réalité » son désir d’être reconnue comme « la grande dame » de la RDL. Une bonne plume (il est vrai) ne suffit pas…
J’ajouterais : courtisane éhontée qui fait la danse du ventre devant tout écrivain pouvant lui servir de tremplin pour être publiée quand son « blogounet » qu’elle nous inflige ici sous mille et un prétextes, (« championne toute catégorie du » lien nous harponnant sur son blog) ne suffit pas.
Super, il y a crépage de chignon.
Il manque Daaaafnée. La pauvre, elle a du se prendre une purge aux échecs…
Clopine ?
Con-passion….
Elle a un nombril plus gros que le cerveau !
(on me la dit, j’ai pas été voir… si je dois tomber si bas, que ce soit le plus tard possible …uhuhu !)
@la vie dans les bois dit: 12 juin 2016 à 11 h 03 min
Mais elle est là… sous un autre pseudo…
tss, tss, javert, tu vas encore avoir du boulot today.
Je viens de voir une indic’, comme quoi, il y en a qui ont des « faux pseudos » !
« Si l’on veut monter haut, il faut s’abaisser bien bas … » (L’éphémère de Beaubec*)
* certains disent qu’il s’agirait d’une relique du temps jadis, une écologiste, gauchiste anarcho-utopiste, située intellectuellement bien avant l’avènement du maréchal Sissi, le New Raïs, et de Donald Trump , le blond qui succéda à un métis bien habillé mais mou de la trique …)
Le légitime et le légal est un sujet de philo, j’ai cherché une dissertation, une étude, mais c’est trop compliqué ou alors c’est service payant pour obtenir un corrigé. C’est un sujet intéressant, on attend les chantres de cette république pour dépasser l’horizon policier que nous propose LDVB.
Cela peut passer par la demande d’euthanasie, certaines revendications qui pour ne pas être légales dans ce sens où le législateur ne les a pas inscrites, pour les autoriser, dans la loi d’un pays, n’apparaissent pas pour autant illégitimes aux yeux d’une partie non négligeable. Vraisemblablement nombre de demandeurs d’asile trouve légitime leur séjour illégal.
Enfin si le dénommé Javert se présentait sous son pseudo habituel, ce serait avantageux pour dissiper les nuages matinaux. A moins que Clopine ait raison et que je sois ce personnage en qui je ne me reconnais pas, la vie est si tortueuse.
Richard Millet ne se sent guère concitoyen des Bleus parmi lesquels « les Français de souches sont minoritaires ».
J’adore la coquille « Français de souches »: ainsi, un » Français de souches » s’enracine à plusieurs souches. On le sait sur les territoires de l’actuelle France au moins depuis Vercingétorix. Je songe au mot de Gide à Barrès : « Né à Paris de père uzétien et de mère normande, où vouliez-vous Monsieur Barrès, que je m’enracine ? » Introuvable identité nationale.
Ce que nous autres, scientifiques douteux mais doutant, nous disions en des temps où les peuples colonisés, et ravis de l’être, rêvaient d’indépendance communiste… est cela :
« lorsque qu’on ne sait rien faire, et qu’on le sait, on fait Lettres, Philo ou Saint Cyr ! »
on ajoutait :
« lorsque qu’on ne sait rien faire, et qu’on ne le sait pas, on fait Droit, l’ENA ou la Préfectorale ! »
11:22, JC, mou de la trique… exact, du cerveau aussi
Clopine je viens tout vous avouer, en fait vous aviez vu presque juste car je ne suis autre que le célèbre Michel Houellebecq et en procès de révision de mon oeuvre visionnaire je projette ces différents titres quand toutefois j’aurai enfin élu domicile sur l’île de Groix où mon architecte travaille à l’embellissement de ma future résidence médisante.
Extension des parties privatives
les particules agro-alimentaires
plateformes et pétrochimie
insoumission et réclusion à perpétuité.
« Musulmans, catholiques, protestants : les pratiques religieuses se mêlent harmonieusement au sein du groupe de Didier Deschamps. Explications. Par Antoine Grenapin »
Nous exigeons que le Cazeneuve, surveillant des Cultes, cède sa place à ce génie des gazons coupés court GRENAPIN le Chenapan !…
J’ai été hier avec mon petit cartable mettre mon nez dans de nos frères blessés : tic / tac / tic / tac … j’ai bien aimé comment était traitée la figure du « traïtre » ainsi que les passages plus intimes où sont montrés les liens affectifs et les idéaux des militants communistes dans l’ambiance très houleuse de la fin de la guerre d’Algérie.
Quelques mots en arabe dans le texte. Je comprend mieux l’intention de l’auteur de nous faire ressentir ce qui a été oublié.
J’avais une hésitation parce qu’en lisant les extraits ici sur le collectif supposé auteur, puis en passant outre puisqu’in fine c’est une seule personne physique, joseph andras.
le livre n’est pas très épais, donc assez vite refermé comme une parenthèse dans l’histoire. Il y a le nom dedans de l’homme aux archives sans lequel ce livre n’aurait pas pu voir le jour.
Clopine trêve de plaisanterie, il y a une actrice belge, très belle que vous devriez voir si ce ne l’est pas, dans « Un Secret » tiré du roman du même nom; Cécile de France superbe en nageuse. Beaucoup aimé dans son rôle de « sœur sourire ».
» Henri séduisait les femmes sans le savoir/ son calme n’était pas de la quiétude, plutôt une sorte de pureté, celle des lacs des hautes montagnes. Sa pondération n’était qu’apparente; ses colères, rares, tenaient dés lors de la furie _ comme ce jour où il raconta à Abdelhamid, un ami journaliste, comment, à Constantine, un capitaine parachutiste avait enfoncé son revolver dans la bouche d’un bébé algérien, après avoir essuyé le canon au moyen d’un mouchoir, puis avait appuyé sur la détente. Henri avait hurlé… »
page 122 de nos frères oubliés.
Chantal,
Quel bonheur que cette tête traitre tombe ! Jamais sciure n’aura été si bien utilisée : moins on a de traîtres à nos valeurs en péril, mieux l’avenir de nos enfants s’éclaircit !
Ce fumier a eu ce qu’il méritait !
Tirons la chasse algérienne, voulez-vous ?
De nos frères blessés.
Chantal, votre message est très interessant.
M’enfin, ce n’est pas une histoire Belge.
La fin de la guerre d’Algérie, -encore sujet à polémique, de part et d’autre, d’un peu partout-, n’est pas d’un point de vue objectif, la date de l’exécution de Fernand Iveton.
Elle prenait fin en France, -jusqu’à une date récente-, officiellement fin, suite aux Accords d’ Evian… Ville d’eaux…
Votre message est intéressant car il renvoie à ce mur: la raison d’ Etat.
Et ces recherches d’archiviste de JL Einaudi, dont J. Andras s’est servi, en le remerciant, changent peu être un peu de l’histoire officielle du roman naZional et de ses thuriféraires; historiens, enfin sociologues, socialistes, bien installés, natürlich…
Il ne faut pas faire l’apologie de ceux qui, immondes crapules comme le héros d’Andras, s’imaginent dehors mais restent dedans pour les avantages sociaux, salaires, SS, retraite, paroles….
(e pose une bombe, je porte une valise, car moi, madame/monsieur, j’ai du cœur …)
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