Quand on est quelqu’un, pourquoi vouloir être quelque chose?
Ne vous êtes-vous jamais délecté du parfum subtil du paradoxe en lisant une étude très sérieuse aux plus hauts effets comiques ? Non que l’un exclue nécessairement l’autre, mais on ne s’attend pas nécessairement à éclater de rire, ou à rire sous cape si l’on se trouve dans le train, en lisant Coupole et dépendances (284 pages, 19,95 euros –sympa, ça, pour les libraires !- éditions du Moment), enquête sur le fonctionnement de l’Académie française. Ce n’est certes pas le premier livre qu’elle suscite. Mais dans cet esprit journalistique, il n’y avait guère que celui, amusant et informé, du plus parisien des Québécois, Louis-Bernard Robitaille (Le Salon des immortels, Denoël, 2002). Depuis, la chronique s’est enrichie des nouvelles aventures de la douairière du quai Conti, et ce n’est pas triste. C’est que le mythe est bien vivace. Songez donc qu’en 2001, lorsque la Ville a entrepris la réfection du parvis, les employés de la voirie n’ont pas eu à débarrasser les vieux pavés de granit (disjoints, Proust oblige !), des parisiens s’en chargeant personnellement, en souvenir !
L’enquête du journaliste littéraire Daniel Garcia, au ton serein et malicieux, est impeccable, nonobstant ses coups de griffe à tel ou tel écrivain (Angelo Rinaldi, Paule Constant) ou le recours répété aux mémoires du candidat malheureux Jacques Isorni qu’il épingle par ailleurs ; et tout n’y est pas neuf, notamment la partie historique maintes fois contée, de même qu’un certain nombre de rumeurs, ragots et bons mots ayant beaucoup circulé ; on savoure le plus souvent l’évocation de ces dérisoires batailles de gagas, tant d’académiciens consacrant leur temps à instrumentaliser non sans perversité les candidatures de ceux qui rêveraient d’en être, grâce à des témoignages inédits sur l’intact et inexplicable magnétisme exercé par « ce corps littéraire d’Etat » selon l’expression lancée par Fumerolles, ainsi que Philippe Sollers se plaît à appeler Marc Fumaroli.
On sait que l’Institut, dont l’Académie française n’est que l’une des composantes, est riche. La liste de ses propriétés foncières est impressionnante. Mais que c’est mal géré ! Façon de parler : ça ne l’est pas pour tout le monde. Certains s’y retrouvent. La Cour des comptes y a mis son nez. L’histoire est contée par le menu, chiffres à l’appui. Accablant, surtout pour le chancelier Gabriel de Broglie. Comme le sont les quelques pages consacrées aux intérêts africains « suprafrancophonie » de l’ancien directeur de cabinet du perpétuel Maurice Druon.
Au chapitre des visites du candidat, on se rend compte que Fontenelle n’avait pas réglé la question, son trait fut-il célèbre : « Sommes-nous trente-neuf, on est à nos genoux, et sommes-nous quarante, on se moque de nous ». On apprend ici que Valéry Giscard d’Estaing, qui ne s’abaisse guère à recevoir les victimes de la fièvre verte, avait fait une exception pour le romancier François Taillandier « parce qu’il avait vu que j’étais né à Chamalières ». Le linguiste Claude Hagège, qui avait ses chances, s’est coulé tout seul par ses visites : non seulement il les a saoulés de son verbe polyglotte et noyé sous le flot interrompu de son babil, mais il n’a parlé que de lui et de son oeuvre ; même ceux qui soutenaient sa candidature y renoncèrent lorsqu’ils comprirent qu’ils auraient à le supporter à vie. Forcément, il n’est pas convenable de faire sentir aux Quarante qu’ils ont de l’esprit comme quatre. Cela dit, à ce jeu, les authentiques écrivains sont désavantagés par rapport aux médecins : la tournée de visite de l’hématologue Jean Bernard fut une consultation ininterrompue et l’ophtalmologue Yves Pouliquen ne dément pas avoir opéré plusieurs académiciens de la cataracte. Disons que, s’il est vrai qu’une élection est imprévisible avant et inexplicable après, certaines le sont moins que d’autres.
Dans un registre sensiblement différent, on découvre qu’il y a 10% de gays parmi les académiciens (mais comment Daniel Garcia est-il parvenu à l’établir ?), qu’un couple d’hommes (mon Dieu !) siégea même sous la Coupole entre 2001 et 2012 (avis aux amateurs de recoupements) mais qu’un « lobby gay » aussi vert que rose relève du fantasme.
Au chapitre de l’ingratitude, Philippe Sollers occupe une place de choix. Passe encore qu’il veuille bien être de la compagnie à condition de ne pas faire de visites et d’être assuré d’être élu s’il consentait à se présenter (cela lui ressemble) ; mais se voir décerner le Grand Prix Paul Morand 1992 pour l’ensemble de son œuvre, l’accepter et sécher la séance solennelle de remise des prix, puis envoyer un relevé d’identité bancaire pour empocher les 300 000 francs (soit 45 000 euros), c’est là une goujaterie qui vaut bien de n’être plus appelé sous le coupole que « le vicomte de RIB ».
Parmi les morceaux de choix, on trouvera le récit détaillé du hold-up, il n’y a pas d’autre mot, monté par le tandem Léo Scheer/François Weyergans, l’éditeur et l’écrivain ayant comploté avec succès « pour se marrer » afin que le Goncourt 2005 soit attribué à Trois jours chez ma mère et que son auteur succède au fantomatique successeur de Maurice Rheims à son fauteuil de l’Académie française, Alain Robbe-Grillet, mort avant d’être intronisé immortel. Du grand art comme on en voit peu dans les coulisses de la république bananière des Lettres. Désopilant ! Leur tactique ? Des missives personnalisées, documentées, peaufinées, adressées à chacun des académiciens après étude approfondie de leurs œuvres y compris les plus anciennes, élevant la flagornerie au rang des beaux-arts. Tant et si bien que la plupart la lurent au premier degré. Aujourd’hui, ils disent l’avoir égarée. Dommage. On imagine l’anthologie ! Tout de même, il y en eut, tel Yves Pouliquen pour y voir plus clair que les autres. Forcément, l’un très ophtalmo, l’autre très myope : « Je me suis demandé s’il ne se foutait pas de ma gueule. Il me comparait à Diderot ! » Bien vu.
Alors pourquoi en être ? Pas pour l’argent. Avec l’indemnité forfaitaire à laquelle s’ajoutent des jetons de présence aux diverses commissions, le salaire de l’hâbleur n’excède pas les 4000 euros par an. Mais les compensations collatérales sont plus intéressantes. La Maison ne laissant jamais tomber ses membres encore actifs, non plus que ses malades et plus tard leurs veuves et orphelins, n’a pas volé sa réputation de « deuxième famille ». En être délivre de biens des soucis à commencer celui du logis. La Maison possède des immeubles de rapport boulevard Saint-Michel, rue Monsieur-le-Prince, rue Crébillon (Quartier latin), rue du Ranelagh et rue Davioud (XVIème) ainsi que rue Pasquier et boulevard Haussmann (quartier des Grands magasins).
La vanité étant répandue avec équanimité dans le petit monde des mains à plumes, les grandeurs d’établissement séduisent comme autrefois, bien plus qu’on ne l’imagine. Pour se dédouaner, les candidats rappelleront ce que Baudelaire en disait : « C’est le seul honneur qu’un vrai homme de lettres puisse solliciter sans rougir ». On dira qu’en ce temps-là, c’était autrement mieux fréquenté. Eh bien non, justement : en ce temps-là déjà, et même avant, des Dabadie y côtoyaient des Dumézil.
Et puis il y a le dictionnaire. Le grand alibi, dirait-on, même pour ceux qui ne participent pas à son élaboration. Les travaux de l’actuelle édition ont été lancés en 1936. Un service d’une dizaine d’agrégés (Lettres modernes, Lettres classiques, Grammaire et… Biologie) y travaillent à plein temps toute l’année, en amont d’une dizaine d’académiciens constituant la commission du dictionnaire « du français durable », sa vocation, même si le lexicographe Alain « Robert » Rey objecte cruellement que, par définition, le français n’est pas durable. Ce qui n’empêche pas les forçats du dico d’être beaucoup plus sollicités qu’avant par les usagers. C’est la société Nestlé demandant s’il faut écrire sur l’emballage d’un dessert « avec deux moules à chocolat » ou « avec deux moules à chocolats » ! Ou une psychiatre leur enlevant une épine du pied en suggérant l’adjectif « désenfanté » pour désigner celui qui perd un enfant, et que l’on ne peut dire ni veuf ni orphelin. Où l’on voit que, malgré de légères avancées sur la définition du mariage, l’Académie reste conservatrice sinon archaïque : elle préfère traduire binge drinking par « beuverie collective » (comme si ça se buvait le petit doigt en l’air !) plutôt que par « biture express », ce qui serait plus parlant.
Ce qui est durable en revanche, c’est le dur désir de durer en gravant son nom dans le marbre de crainte de ne pas l’inscrire dans la mémoire de ses contemporains. En 1878, le jour où le sort académique de Taine et de Renan se décidait, Flaubert se demandait dans une lettre à la princesse Mathilde en quoi l’Académie pouvait bien les honorer : « Quand on est quelqu’un, pourquoi vouloir être quelque chose ? »
(photos D.R.)
1 371 Réponses pour Quand on est quelqu’un, pourquoi vouloir être quelque chose?
Connaisseur de ver subtil ou d’ATC…* dit: 6 mars 2014 à 1 h 54 min…
tu sais comment on évitait la grossesse aux chamelles, comme ta maman, pendant la traversée du désert ? on leur bouchait la chatte avec un caillou…sinon, elle était bonne porteuse et bonne travailleuse…
Je le savais que je finirai ainsi dans un ravin rocailleux. Mais mon pseudo d’avant rappelle une chanson d’après, caravane de raphaël, qui est plus connue. J’ai des idées qu’il faut se mettre bien avec l’hôte (entendez l’auth si vous êtes lesbien)
Ça c’est pas bien passé avec Barton ? (air comme ça du mec qui lit l’Equipe).
Ça vous pouvez le couper.
Est-ce que quelqu’un peut m’arrêter ou m’enlever les piles? merci.
Ah, les soliloques de la nuit…
Nonne notte.
« Quel est le point de vue du moi ? »…
Voilà une question, posée peu de minutes après 20 h, qui ne manque pas d’intérêt… Je ne sais pas vous, mais moi, bien souvent, je partage le point de vue du moi, et fait mien, le sien.
Une réponse possible, peu coûteuse, au problème posé par l’abstention lors des élections que propose notre chère démocratie…
… confier la décoration du Sénat, de l’Assemblée Nationale, des Salons de l’hôtel de ville de Paris, des Hôtels des départements et des palaces des Conseils de Région, des Préfectures …. à IKEA.
La vente du Mobilier National chez Drouot profitera à la collectivité (au lieu de finir parfois dans les résidences secondaires des élus et hauts fonctionnaires), les représentants du peuple reviendront à la réalité banale, les électeurs ne considèreront plus leurs élus comme crabes se bouffant entre eux dans les ors luxueux du panier des privilégiés …
IKEA ! IKEA ! ça remettrait bien des choses à leur place…
Détestable, la réflexion d’Alain Juppé sur Arnaud Montebourg entendue sur les lucarnes télévisuelles irrespectueuses : « Incapable de redressement, incapable d’être productif ! »
Injuste pour le moins : l’Arnaud a tout de même réussi à engrosser sa légitime aristocrate début 2000 et lui faire deux beaux enfants, avant d’être saisi par la débauche d’un concubinage quasi présidentiel !
(il est vrai que n’importe quel habitant du 93 le laisse, à cet égard, sur place…)
renato, Mark Rothko se sera suicidé pour moins que ça, se demander qui quoi de l’art ou des artistes désespère le plus.
En tout cas excellente l’idée du mélange pour le vieil oiseau empaillé sans couleur du salon.
@ Chaloux dit: 6 mars 2014 à 7 h 39: « Le cas de DHH me fait en outre concevoir la nécessité d’une forme, modérée sans doute, mais résolue, d’antisémitisme. »: La nécessité, d’une forme modérée d’antisémitisme ? Vous proposez quoi, un KZ sans chambres-à-gaz ? Le gulag ?
Abdel,
C’est le subterfuge du Hérisson.
Il a des pensées profondes.
Ma tata Jacqueline me charge de transmettre la météo locale, pour votre pote Karim, avec ses meilleurs souvenirs.
« Encore et encore
À demander quelle
Épaisseur la neige »
Masaoka Shiki
Chaloux est-ce indispensable de ménager une place à la critique négative alors que tant d’œuvres ouvriraient à l’éloge construit. Votre proposition ne mérite pas qu’on s’attarde plus que le temps nécessaire à la rayer des choses acceptables. A quoi l’accordez-vous? La scie mécanique?
consternantes femelles et puis quoi encore pour dénigrer vous pourriez développer en quoi? Elles ne défendent aucune idée criminelle, c’est au moins ça qui pourrait vous inspirer le minimum de respect.
« Je ne sais pas vous, mais moi, bien souvent, je partage le point de vue du moi, et fait mien, le sien. »
Je suppose que votre coiffeur vous a persuadé que le point de vue du journal qu’il vous a conseillé de lire est le votre — c’est fou que les coiffeurs sont forts en rhétorique et en persuasion…
Non seulement je possède quelques enregistrements de Carla et Nicolas devisant gentiment du bonheur d’avoir du blé, mais aussi d’engueulades entre Valérie et François à propos de Julie la Doulce, sans compter ceux d’Eva tripotant Adolf à Berchtesgaden en chantant l’internationale, et bande magnétique rarissime, un échange tuyau de poêle royal entre Madame Du Barry et Louis XV.
« Je suppose que votre coiffeur vous a persuadé que le point de vue du journal qu’il vous a conseillé de lire est le votre — c’est fou que les coiffeurs sont forts en rhétorique et en persuasion… »
Toi pas clair, moi pas comprendre
La vanité niaise de cette malheureuse DHH est assez représentative des prétentions à la pensée qui démangent quelques unes de ces consternantes femelles, telles encore que l’imbécile Clopine, dont les élucubrations encombrent les fils de ce blog. Le cas de DHH me fait en outre concevoir la nécessité d’une forme, modérée sans doute, mais résolue, d’antisémitisme.
D’accord avec vous, Chaloux, cependant même sur la question de l’antisémitisme; ce n’est pas chez DHH que l’on pourra trouver l’ombre d’une pensée autre que sottement communautariste … voire pire, souvenez-vous comme elle emboîtait le pas aux délires néanmoins plus intéressants que les siens, mais paranoïdes, de ML à sa grande époque désormais révolue ..
Un ange passe ..
Moi Tarzan, toi Renato
d’une othodoxie toute heidegerienne
heideggerienne !
Antisémite, misogyne et, en plus, illettré. Tu me diras que les trois font bon ménage.
Un antisémitisme modéré est un antisémitisme raté
Faudrait peut-être voir à arrêter le Chaloux bashing. Après tout, dans l’état où il est, le malheureux n’est sans doute pas toujours pleinement responsable de ce qu’il écrif — écrit.
J’espere pour Chaloux que la conclusion qu’il tire de la niaiserie qu’il constate chez moi releve du second degré .
Sinon le syllogisme raciste est impeccable :
DHH est niaise
DHH est juive
Donc mes juifs sont niais
Donc l’antisemitisme est justifié
Alleurs que sur un blog cela releve de la loi Marchandeau
Ami Chaloux,
Je ne vous reconnaissais plus … Ah ! ces usurpations de pseudos sont fascinantes et plutôt potaches que dangereuses.
Gardez votre morale pour vous, intacte, pure et sans tache, et cela suffira à votre bonheur …
Faut s’appliquer un minimum Tarzan… bon, il est évident que les arguments de votre coiffeur… oups, ne me dites surtout pas que votre coiffeur saute de branche en branche s’aident des quatre mains !
Judith,
c’est quoi la loi marchandeau, pour vous ? J’ai la flemme de chercher sur Wiki !
Pauvre Chaloux, personnellement je ne vous voudrais pas « mien ».
Votre commentaire est inadmissible, votre interprétation, de votre proposition, est le fait d’un homme assez lâche. DHH, telle qu’elle est présentée par Daphnée, est un personnage « limite », ML lui, était bien au-delà d’une limite acceptable. Vous rejoignez JC, la bande de racistes sûr d’eux et de plus, se croyant supérieurs.
Virtuellement, j’admets volontiers, avoir des désirs de liquidation pour se débarrasser de JC; D. et parfois, vous-même. Voilà, c’est virtuel, donc c’est de l’humour et, comme vous ou jC, ou D., cela ne représente même ma pensée. Inattaquable, non ? Je vous souhaite une exécrable journée.
Ami Chaloux,
Que Pierre Assouline mette de l’ordre, ici ? Vous voulez tuer le blog ! En faire un Clopinambour ?
« Vous rejoignez JC, la bande de racistes sûr d’eux et de plus, se croyant supérieurs. »
Ah ! non Thierry, vous dépassez les bornes de l’ignorance historique. « Sûr d’eux et dominateurs », c’est du De Gaulle, pas moi !!!
Qu’une potiche ou qu’un postiche… Choisis toi-même.
C….. dit: 6 mars 2014 à 8 h 26 min
Judith,
c’est quoi la loi marchandeau, pour vous ?
Oui, c’est quoi la loi Marchandon ?
@ Chaloux: Ce n’est pas de vous, en effet, la modération de la RdL, est boiteuse.
JC rigole, JC se gondole, JC a des burnes de 92 ans, dieu merci, JC finira par partir
Chaloux,
JB est malheureux, nous le sommes tous ! A part quelques privilégiés, nous sommes tous perdus …
Pardonnez ! C’est chrétien de pardonner…
JC, vous ne dominez personne, D. ne domine même pas son propre et crado cerveau.
Vous encombrez la RdL, de votre fiel qui vous sert de sève.
Je vous souhaite une exécrable fin de vie !
JC, sa fête sera un grand pardon.
De passage sur ce blog,je perçois les échos d’une agitation provoquée par des posts de Chaloux au parfum prononcé d’antisémitisme et de misogynie. Je me joins aux protestations qu’ils ont suscitées. Chaloux, cependant, crie à l’usurpation de pseudo. Si tel était le cas, je ne pourrais que me joindre à sa protestation et dire avec lui : mais que fait Assouline ?
TKT, vous êtes quelqu’un…Pourquoi voulez vous être quelque chose, de malsain ?
(nous rappelant, par là, les heures les plus sombres de notre histoire, patati patata)
J’ai une petite théorie subsidiaire en ce qui concerne Colombet, mais par décence je préfère n’en rien dire.
TKT dit: 6 mars 2014 à 8 h 34 min
« JC, je vous souhaite une exécrable fin de vie ! »
Et moi, je vous souhaite une bonne journée !
« Oui, c’est quoi la loi Marchandon ? »
On ne demande pas que l’on connaisse l’histoire du monde, mais pour des Français, connaître au moins l’histoire de France ce ne serait pas de trop !
…
…j’ai trouvé,…
…
…mais, quoi,…une bonne image dans mes songes,…
…
…grosso-modo,…en quelques lignes,…
…
…
…de grille en grilles,…et échiquier de marque et contre-marque en sceau sur l’esprit des nations ,…bien estampillé sur le peuple que nous sommes,…Oyez!,…
…
…les ranchs, les cantons, les départements, les régions, les états,…dans les unions,…
…
…chacun, sa parcelle de peaux de vache à exploiter,…mon hun,…Oui!,…Attila,…
…
…donc, nous posons notre grille sur l’état de l’animal » abrutis « ,…comme avec un échiquier évidé,…Oui!,…vous avez de belles dents de châteaux en liberté,…
…
…allons,…mes » à droite « ,…sur les cases dites noires,…
…mes » à gauche « ,…sur les cases dites blanches, en transparences sur la grille à échiquier » tarte-art « ,…
…
…avec les fourchettes S.V.P.,…
…dépêchez avant que la » bête « ,…ne se meuve toute décharnée,…
…allez la légion d’Académiciens parasites,…ne soyez pas si timides, ne vous faite pas prier,…aux » j’arêts « , aux ligaments sociaux,…
…
…comme , c’est bon,…succulentes ces lois,…Oh!,…là, là,…ces bénéfices sait saignant,…
…
…Oui,…chef!,…et moi,je tourne la fourchette ainsi,…c’est bien mon petit,…
…
…elle à beau se réveiller chef,…à nous cinq il ne reste plus rien de la bête nation,…encore des » pires-annas » des frontières,…
…
…mais, pas de micro,…Non de Dieu,…c’est on,…ou,…off,…chef,…
…
…ta gueule et essuie toi,…avec la serviette,…
…
…sur ma tête,…la grille d’échiquier sans dessous dessus,…Ah,…Non,…
…
…c’est ton tour,…t’est le roi des cons,…
…au suivant,…
…laisse les se reproduire en nations,…et lois d’ordres et de protections,…
…L’€urope des têtes de lard,…du sommet,…
…
…chef,…j’ai pas la loi de leurs dire,…
…la foi de leurs dire,…
…l’Amor du prochain en chômage,…encore des canni-balles parasites,…
…
…soigneux chef,…avec la grille,…sur la notion d’état en partage,…etc,…Bip,…Bip,…de bon matin,…
…
Sinon le syllogisme raciste est impeccable
DHH
Heureusement, DHH, que vous relevez un syllogisme, il n’y a que vous pour voir là une telle logique. CQFD, vous avez autant de capacité à la réflexion que les niaises, soi-disant savantes, de Molière!
Personnellement, je ne crois pas que le « vrai » Chaloux soit l’auteur des posts incriminés. Le « faux », peut-être ? Vrai ou faux, Chaloux n’est pas très futé,certes, mais je ne le crois pas foncièrement méchant. Quant à la modération, dans tout ça, pouèt pouèt. Du haut de son empyrée, Assouline sirote son nespresso et vogue la galère. Quelle époque…
Inutile de continuer une polémique qui ne mène à rien. Passou peut vérifier, et s’il y a eu usurpation de pseudo, nettoyer. En tous cas, il serait opportun qu’une barrière contre l’usurpation de pseudo soit mise en place… au moins ça !
« On ne demande pas que l’on connaisse l’histoire du monde, mais pour des Français, connaître au moins l’histoire de France ce ne serait pas de trop ! »
C’est bien vrai, ça Renato.
Le sieur Marchandon n’existant pas, on ne trouve pas de loi Marchandon. Par contre, un pétainiste, Marchandeau, qui fut Garde des Sots a pondu un truc avant Vichy concernant la liberté de la presse …
Tant que la RdL sera ouverte aux femmes, on ne sera pas tranquille, entre surdiplômés …
« vous avez autant de capacité à la réflexion que les niaises, soi-disant savantes, de Molière! »
« prétentions à la pensée qui démangent quelques unes de ces consternantes femelles, telles encore que l’imbécile Clopine, dont les élucubrations encombrent les fils de ce blog. »
La géniââle Daaaphnée en grande forme, what else (aucune autre ne devrait avoir le droit de commenter: l’astre daaphnette illumine le monde)
TKT 6 mars 2014 à 8 h 34 min
JC, vous ne dominez personne
il a besoin d’illusions, à force de ramper devant sa patronne la marinette, tous ces gros bras
« Le sieur Marchandon n’existant pas… »
Marchandon — Marchandeau : la déformation des noms semble être une spécialité RdL (même Michel, le presque agrégé, n’arrivait pas à écrire correctement « Guggenheim »), je me suis donc adapté et je corrige en lisant…
Avant de vous quitter, une dernière rigolade :
Le chômage baisse avant les élections : VOTEZ SOCIALISTE !
(La boite à futiles en Sapin du Pépère fonctionne à pleins emplois aidés… uhuhuhuhu…)
ma mère de ma mère..
Onésiphore de prébois alias John brown etc, Ca vous va bien de réclamer de la modération et de vous indigner des usurpations de pseudos alors que vous en êtes le plus gros producteur ! Vous êtes bien placé pour savoir que je fais le ménage régulièrement.
Pauvre Chaloux, personnellement je ne vous voudrais pas « mien »
mais à plusieurs dans une tournante tu dis pas non..ma mère
Passou,
Ne touchez à rien : le fumier, diversité organique, est nécessaire aux jolies fleurs …
Passou peut vérifier, et s’il y a eu usurpation de pseudo, nettoyer
« moi qui ai servi rénateau »..ha c’est trémendous comme titre..préface de jean marron « salir pour donner à ceux qui nettoie le sentiment d’exister » postface de jicé « le propre n’est qu’une racaille passée au karshère »
« Ne touchez à rien »
Je n’ai quand même pas demandé à Passou de nettoyer vos vomis… je demande qu’il ni ait pas la possibilité que vous vomissiez sous l’identité d’un autre… ah, j’oubliais ! déjà vous êtes ici sous pseudo ce qui vous honore car vous prenez ainsi toute la responsabilité de vos dire…
ce qui vous honore car vous prenez ainsi toute la responsabilité de vos dire…
ha c’est cool et toi sous prétesque que ton blaze c’est rénato tu t’en autorises des conneries..c’est pas juste
Le Passou de 9h16 n’est pas de moi
..je me joins a l’avis de jean marron qui dirait que vrai ou faux comme chaloux t’es pas foncièrement méchant
« tu t’en autorises des conneries »
Quoi, t’es le seul à en avoir le droit ?
TKT, il faudrait maîtriser vos instincts mortifères!
Voilà plusieurs fois que vous souhaitez la mort de certains blogueurs ici. En dernier lieu, c’était la mort comme internaute (soi disant), pour moi c’était la mort tout court.
S’il nous arrive quelque chose, la police saura où chercher…
« S’il nous arrive quelque chose, la police saura où chercher… », nous fait part Aquarius, alias ? JC ? D. ? D’JC ?
Désolé, mais connaissez vous une autre manière de se débarrasser de votre collectif ? Non ? Moi non plus !
Ne faites pas dans vos culottes, vous ne valez même pas une heure de garde-à-vue. Si j’avais la possibilité de faire donner une correction physique, c’est cette salope de D. que je prendrais comme cible de contrat avec des professionnels.
Mais, Ducornaud, cela reste un désir très virtuel, hélas !
Il n’y a rien de pire, que les voyous, JC ou D. par exemple, qui se rappellent des lois, que quand ils sont eux les cibles.
Je vous souhaite donc, une exécrable fin de vie. Pour D., quoi lui souhaiter, qu’il n’est déjà pas reçu en cadeaux négatifs dans son berceau ?
Portez plainte, ainsi vous serez obligé d’ôter vos masques.
Vous ne faites peur à personne et mes vœux ne peuvent être que des désirs, pas vraiment réalisables.
Vous vous trouvez drôle, vous pensez avoir la liberté de rigoler aux frais d’autrui. Parfait, vous n’en n’aurez pas le monopole.
Bien entendu, grâce à vous et à D., la Rdl est devenue un peu votre fille, du moins la partie commentaires.
Je vous souhaite donc, une exécrable fin de vie
au moins avec vontraube c’est pas des « bonne journée » ..c’est pas un faux cul lui..suivez mon regard
@ Passou
Cher Monsieur Assouline, alerté par un ami, je découvre avec effarement l’invraisemblable micmac de pseudos dans lequel, bien malgré moi, je me trouve impliqué. Croyez bien que je comprends votre indignation, d’autant qu’elle est aussi la mienne. Une précision pour commencer : aucune des interventions postées sur ce blog n’est de moi, et pour cause : c’est en effet la première fois que j’écris sur votre blog, qu’il m’est arrivé, certes, de lire avec plaisir, mais dont je ne suis jamais été un contributeur. Dans ces conditions je m’interroge : en admettant même que les posts incriminés émanent de mon ordinateur — ce que je me refuse à croire, mais vous êtes bien placé pour le savoir, je compte sur vous pour me le dire — il s’agirait de trouver une explication. Je n’en vois qu’une, hélas ! Père de quinze enfants et affligé de surcroît d’une épouse dont j’ai de solides et anciennes raisons de soupçonner la loyauté à mon égard, j’ai depuis longtemps accordé à tout ce monde la possibilité d’accéder à l’ordinateur familial, à ds fins scolaires, extra-scolaires et extra-conjugales. Les uns et les autres ont donc fort bien pu détourner les divers pseudos que j’utilise pour signer les articles d’un blog confidentiel (hélas) sur lequel je déverse mes modestes pensées du jour (on a les consolations qu’on peut). Tels une bande de gremlins acharnés à me ridiculiser, il est clair qu’ils s’en sont servis abondamment pour mettre à mon compte leurs aberrations, propos injurieux et autres. Je vous prie, cher Monsieur Passou, de bien vouloir accepter mes excuses et de les transmettre aux personnes miss en cause, ce pauvre Monsieur Chaloux notamment, ainsi que Mesdames DHH, Clopine Trouillefou et Paule Edel. Je vais tâcher de rétablir un semblant d’autorité dans mon ménage mais, hélas, je suis vieux et n’ai plus l’énergie de mes vingt ans, mais qui sait. je sens que l’indignation me galvanise. Sursum corda !
Bàvous
Bonjour tout le monde, j’ai parlé de certains d’entre vous sur mon blog. je copiecolle juste un passage ici, hein. Sinon, on va dire que je m’étale (ahahah) :
» Cette hantise de l’émotion concerne tout le monde, pas seulement moi. Certains des visiteurs souhaitent ouvertement que le blog s’en tienne à une posture intellectuelle, toute tissée de références et laissant apercevoir une culture universitaire, sans jamais montrer le moindre sentiment, et surtout sans jamais « parler de soi ». C’est bien entendu totalement paradoxal : les passouliniens passent leurs temps à parler de livres, de textes, d’auteurs qui n’ont jamais rien fait d’autre que d’utiliser leurs propres vies et leurs propres personnalités pour nourrir leurs oeuvres : bref, qui n’ont jamais rien fait d’autre que « parler de soi ». (Proust en tête, of course.) En quoi, d’ailleurs, exprimer sa personnalité serait si insupportable ? Je crois en fait que certains passouliniens sont si imbus d’eux-mêmes, si assis sur leurs savoirs comme sur des bijoux de famille, si « rassis », qu’ils ne peuvent prendre la distance nécessaire pour parler d’eux-mêmes avec simplicité. D’où l’ukase… »
Euh… Mon lien ne marche pas ; je viens de cliquer dessus, ça répond que mon blog n’existe pas, mais si mais si : http://clopine.over-blog.com/
@ bouguereau dit:6 mars 2014 à 10 h 00: Merci, en effet, et même dans la vraie vie, je suis connu pour mon franc-parler. Faux-cul me fait penser à la mode féminine d’avant WW1. Mode pour les femmes, certaines, dont nous avons vu l’arrière-train photographié, ont le faux-cul naturel.
votre blog, qu’il m’est arrivé, certes, de lire avec plaisir (moi-même)
… de me faire lire avec plaisir, car hélas, parmi les diverses infirmités dont je suis affligé, je suis aveugle. Au fait, j’y songe à présent, contraint que je suis de dicter à l’un de mes enfants, voire à mon épouse, les articles que je dépose sur mon blog ( fort peu lu, heureusement), il se pourrait fort bien que les ennemis de mon repos aient mis en ligne des élucubrations aberrantes, injurieuses pour de tierces personnes, voire tombant sous le coup de la loi. Quelle angoisse. Je précise que j’ai dicté, comme le précédent, le présent post au seul ami fidèle qui me reste, mais hélas, mon dieu, à qui se fier ?
« Père de quinze enfants et affligé de surcroît d’une épouse dont j’ai de solides et anciennes raisons de soupçonner la loyauté à mon égard, j’ai depuis longtemps accordé à tout ce monde la possibilité d’accéder à l’ordinateur familial, à ds fins scolaires, extra-scolaires et extra-conjugales. »
La première moitié de tes gosses sont de moi*, Onésime ! T’as bien raison de douter de ta chère et tendre !
*l’autre moitié est peut être à toi, si tu lis Closer, tu sais avec qui je fornique aujourd’hui…
Clopine, JC et John Brown, sont assis sur leurs bijoux de familles. ils ont les encensoirs écrasés. D., qui se prend pour dieu, s’encense avec ses propres burnes qu’il porte à l’intérieur et qu’il cuisine avec de la ciboulette.
J’ai été sur votre blog. Vous êtes bien jeunette pour ne pas comprendre qu’il y aura toujours des torchons et des serviettes, et des torchons qui se prennent, sans raison hormis l’orgueil, pour des serviettes.
sapré tkt. le bicorne vous irait bien. et dégainer votre épée sous la coupole (pas le restaurant aux huîtres, hein !)
Il existe même une vache qui regarde passer les trains…
Pour une fois que quelqu’un m’écoute, je suis ravi !
Clopine, sans bijoux, sans famille, sans billet de train
… En fait, la situation que je décris sur mon blogue n’existe plus. Il n’y a plus guère que des trolls, par ici ! (soupir).
“Parce que leur but final est de supprimer les « classes » – et que ça, ce n’est certes pas demain que cela se produira ! », nous écrit Clopine sur son bloginou.
Ma bonne Clopine, si vous aimez les classes uniques, prenez le métro, l’autobus ou le tramway. Votre but final, remplacer les différentes classes sociales (qui se déclinent en une multitude de possibilités) par une classe unique, la prolétaire (dont vous ne faites pas ou plus parti), est un projet qui tire par le bas. Tous dans un F2, dans le 93 ? Je fantasmerais plutôt pour une maison par famille, avec jardin, piscine et jacuzzi… Bref le rêve américain et des heures de transport par jour…
Je suis un bobo, cœur à gauche, ccb à droite.
Je suis pour les différences de classe, car autrement, pourquoi travailler ? Votre monde désiré, est presque là, je viens de téléphoner à une Cie d’assurance, et la répondeuse humaine, pas futée et fort fainéante, me proposa d’aller me faire voir sur internet.
Les andouilles, mal payées, même en Suisse allemande, désirent ne pas en faire trop. Sale époque !
Pour ce qui est du livre d’Édouard Louis, je suis en train de le lire, en diagonale, c’est un témoignage en milieu « asocial », du malheur d’être différent des autres, dans un monde qui ne réfléchit pas beaucoup.
Édouard Louis, est un jeune auteur, il est publié, il est critiqué pour son livre, bref il ne fait plus partie du Fußvolk qui vous est cher. Qui vous est cher, mais que vous ne respectez que virtuellement et encore. Vous n’aimez pas les ploucs, bravo Clopine, moi non plus.
Je ne les aime pas visuellement, car comme individus, ils sont comme tous, tous particuliers. JC a raison, il y a des ploucs dans tous les milieux socio-culturels. Je ne sais pas si JC, était un plouc, avant de devenir un retraité toqué et fielleux.
Il y a aussi des snobs dans tous les milieux, voir Thackeray’s Vanity Fair. Clopine, je vous considère comme une snob, mentalement, car visuellement, vous aimeriez rester une prolétaire. C’est votre droit.
Et votre fils rêve de Janson et de terminer dans « La Carrière ». Bref, vous n’avez pas réussit à lui faire comprendre la supériorité du monde prolétaire, sur les autres classes sociales ?
la critique littéraire selon Popaul : À POIL !
Curiosa, à poil !
TKT, les ploucs, c’est comme les classes sociales : il y en a de toutes sortes. Je n’aime pas CERTAINS ploucs. D’autres sont des gens formidables. Mais tous sont des victimes de la transformation de leurs métiers, dans les années 60. Et le problème est que le monde rural, c’est aussi le monde sensible de « tout le monde ». Or, si certains agriculteurs en usent avec leur environnement comme les nations puissantes en usent avec les nations faibles, en pillant, en polluant, en tuant, non seulement ils scient la branche sur laquelle ils sont assis, mais encore cela une conséquence directe sur vous, votre « american way of life totalement destructeur, sur moi, sur tous.
Savez-vous que la Bretagne, juchée sur un château d’eau, doit importer de la flotte, tant la sienne est polluée ? Que la nappe phréatique de la picardie verte a dépassé depuis 5 ans le taux de non-retour, en matière de nitrates ? Etc., etc.
Bien sûr, on peut hausser les épaules. On peut aussi tenter de faire bouger les choses. Ou au moins, prendre conscience, TKT, prendre conscience…
Sœur Clopine nous demande de faire notre examen, de conscience?
Quand on est rien, pourquoi vouloir être quelqu’un ?
Avant 1960, pas de ploucs !
à Popaul : j’y suis depuis longtemps !
Film d’horreur, « Clo et TKT chez les ploucs »
Questo non ha nulla a che vedere con il ‘biglietto’.
Quand quelqu’un dit devant un ami jésuite « Ecoutez, elle est nature », il plisse les yeux, soupire et répond d’une voix flutée:
« C’est vrai… La nature sans la grâce ».
C’est un théologien, bien sûr.
Voici un exemple de grâce:
http://www.youtube.com/watch?v=-IeD0xW9404
Maria Tipo, la conosce?
Napolitana…
Maria Tipo, u, fille d’Ersilia Cavallo qui fut élève de Busoni — si on ajoute Casella et Agosti on a une magnifique stratification (géologie de la culture pianistique) :
@ Un historien dit 6 mars 2014 à 11 h 19 min. « Avant 1960, pas de ploucs ! »: Oh que si, vous ne connaissez pas Daninos ? Il parlait avec humour des ploucs. Les ploucs ont toujours existé. Molière en parlait déjà.
Mais si on est toujours le « nouveau riche » d’un autre, devenu riche avant (comme aimait dire mon grand-père), il en va de même en plouquerie.
« vous avez autant de capacité à la réflexion que les niaises, soi-disant savantes, de Molière! »
Les preuves en sont accablantes mais voyez dans votre miroir.
Clopine, la transformation des professions, commença avec l’industrialisation. Certaines industries, par la suite, évoluèrent ou disparurent, la limite dans le temps n’est pas les années 60.
Que dire des année, immédiate d’après-guerre, ou 80 et 90 ? J’ai vu en Suisse, surtout allemande, des usines, PME, se créer comme des champignons, partout, et disparaitre par la suite. D’autres méthodes de travail apparaissant. Il y a quand même, partout, plus de gens qui vivent mieux que leurs parents ou grands-parents, idem pour l’Allemagne. En France, le gouvernement compliquent la vie des créateurs d’entreprises. Et si en Alsace, on voit des petites usines, il n’y a rien, ou pas grand chose ailleurs.
Votre père, Clopine, était menuisier, il aurait pu devenir industriel.
« Portez plainte, ainsi vous serez obligé d’ôter vos masques. »
TKT
Mais c’est contre toi que NOUS devrions porter plainte Kron.enbourg adoré.
Les injures, les calomnies, les pulsions de meurtres, elles ne viennent que de toi.
Jusqu’à nouvel ordre, te supposer un bichon, des mocassins à glands (ce que tu nous a avoué), un pull jaune d’or (cherche bien) noué sur les épaules et un jean avec le pli bien repassé, n’est en rien passible de quoi que ce soit.
Une silhouette, ici tu n’es qu’une silhouette, trop proche de la réalité elle te gêne, tu voudrais tant être autre chose, mais
rien n’y fait, pour nous tu seras toujours un petit-bourgeois franchouillard cherchant à paraître plus haut qu’il n’est.
Vacuité et fatuité restent les mamelles auxquelles tu t’abreuves.
De toutes façons, il y’a ceux qui payent et ceux qui payent pas dans cette coterie.
La géniââle Daaaphnée en grande forme, what else (aucune autre ne devrait avoir le droit de commenter: l’astre daaphnette illumine le monde
Oui elle respire alors que nous suons sang et eau alors que nous prétendons à ce que perspiration et inspiration coïncident.
exemple de grande critique littéraire. Blanchot écrivant sur Proust:
Maurice Blanchot | l’expérience de Proust
Il n’y a pas d’art possible sans une révélation non rationnelle, et le sens de l’art est de restituer à cette révélation une expression dont l’intelligence tire parti.
L’expérience de Proust a une simplicité sur laquelle glissent les commentaires. En revanche, si l’on essaie de lui rapporter les explications et les interprétations que Proust y a rattachées, elle devient intellectuellement très riche, mais elle semble perdre une partie de son authenticité.
De ce fait qu’il parvient au privilège de l’éblouissement à l’occasion d’un phénomène de mémoire, il conclut que l’éblouissement est une révélation du temps, du temps dans lequel l’être ne meurt pas mais existe selon des perspectives généralement inconnues mais non inconnaissables, et il pense qu’en étudiant ces impressions simples, en les recréant par la mémoire et en les éclairant par l’intelligence, il fera revivre la réalité que l’angoisse voyait perdue avec le temps. D’abord, il livre à la connaissance, comme propre à lui fournir un sens objectif, ce qui n’est éprouvé que comme une déchirure de cette connaissance. Il s’empare du sentiment étourdissant de félicité qu’il y trouve et qui n’est que la réconciliation fortuite de l’angoisse pour l’éterniser et s’affranchir de toute anxiété.
C’est en cela que Proust n’a pas trahi la révélation qu’il a rencontrée et dont il a offert l’image la plus étendue et la plus admirable comme pour montrer qu’elle ne l’épuisait pas.
des conneries polo..ou proust a rencontré une révélation et la littérature est un moyen de la communiquer ou il n’a rencontré aucune révélation connu depuis des lustres sauf qu’il a su la faire éprouver litterairement en parlant mieux qu’un autre au point d’en faire un effet de révélation..la révélation c’est un cheval de poste comme un autre polo, blanchot au passage lui donne son nom et parie dessus..et nous fait passer un tocard pour un crack..vieille combine de book
« C’est vrai… La nature sans la grâce »
un jésuite..parlant de grâce..chez les boudiss t’impressionnes mais chez les ploucs, nibe, zouzou
SECRET DEFENSE Le Blog
Revenons aux choses importantes, mes petits choux, parce que le reste … est « littérature » ! Pendant la révolution, les affaires continuent !
« Le Vladivostok est un BPC (Bâtiment de projection et de commandement) de la classe Mistral. La Marine nationale en possède trois, le Mistral, le Tonnerre et le Dixmude. Ce sont de gros bateaux de 20.000 tonnes qui sont un peu les outils à tout faire des crises actuelles. Capables de mettre en oeuvre des hélicoptères, comme ceux qui attaquaient la Libye en 2011, de débarquer des troupes grâce à leurs capacités amphibies, ils peuvent transporter aussi des troupes et du matériel, accueillir des civils, servir d’hopital pour des missions humanitaires ou assurer, depuis la mer, le commandement d’opérations.
La Russie en a commandé deux à la France, en 2011, pour une somme totale d’1,2 milliards d’euros. L’acquisition de deux autres est en option. Le contrat avec DCNS permet à la Russie d’apprendre à construire de tels navires, ce que ses chantiers navals sont aujourd’hui incapables de faire. Le premier est à 80% français et 20% russe, le deuxième à 60% français et 40% russe et ces proportions s’inverseraient pour les deux suivants si le contrat est finalement signé. La décision ne devrait être prise par Moscou qu’au terme d’une année après la mise en service du premier dans sa marine. »
Premiers essais en mer à Saint Nazaire, aujourd’hui ! Livraison du Vladivostok prévue en octobre prochain.
Clopine, je vous considère comme une snob, mentalement, car visuellement, vous aimeriez rester une prolétaire. C’est votre droit
visuellement..dis tout de suite qu’elle a un gros cul vontraube
mes petits choux
..c’est pas vontraube qui parlerait comme ça
Mon cher Bouguereau,je comprends votre reflexion mais Clopine -la -piétaille va vous expliquer Proust mieux que moi.Elle a écrit un livre entier là dessus..
TKT, je ne vous considère pas comme un snob, ni mentalement ni visuellement, vous aimeriez tant le paraître mais vous restez petit-bourgeois franchouillard. C’est votre lot.
« Clopine -la -piétaille va vous expliquer Proust mieux que moi. »
Allons, Paul, la rancune est un vilain défaut !
Paul 12 h 35 et la suite : ne vous moquez pas trop de moi, s’il vous plaît… Bon, le texte mis en ligne me semble concerner uniquement le phénomène de réminiscence, chez Proust; et puis, depuis mon humble « Recherche Racontée », j’ai eu une autre intuition : j’aimerais beaucoup échanger là dessus, mais personne ne daigne, ce n’est pas grave, mais c’est dommage. Mon « intuition » proustienne est que Proust « écrit comme il respire », avec l’exaltation et son contraire : la peur de mourir, à chaque inspiration, à chaque expiration, comme l’asthmatique qu’il était. D’où l’incessant mouvement contradictoire, de la phrase à l’oeuvre entière.
« Pendant la révolution, les affaires continuent ! »
Tiens ! en voilà un qui a découvert l’eau tiède et les journaux par la même occasion : voir ces sauts de qualité c’est toujours touchant…
Jean Brun tu usurpes.
connexions:
http://cm.revues.org/104
renato tu gagates.
A la recherche du souffle perdu, Clopine ?
Le point final fut donc son ultime respitation !
…
…je vois autre chose,…aussi,…
…
…la société » image pour la famille « ,…
…ou bien,…
…la famille comme » image pour la société « ,…
…
…bon,…mais alors, ne mélangeons pas nos pinceaux,…sous le même système d’appareils d’états,…en plus, des inversions cachées,…
…
…les familles nombreuses « riches »,…
…souvenirs de certains cas cachés,…oubliés;…et probablement en nombres,…
…
…le père se les roule, avec autorité!,…
…les parents mangent les premiers,…
…les enfants dans l’ordre des naissances,…
…idem,…pour les priorités scolastiques,…
…
…presque » du Petit Poucet « , réécrit,…version après-guerre,…
…
…cela me fait penser aux » sociétés riches » d’€urope ou ailleurs,…
…
…il y a des compromis, aux seins des familles,…tu fait cela,…en contrepartie il te rend ce service,…
…tout de même, les complots s’installent dans ces cas,…l’ordre devient,…
…les apparences » extérieures « ,…visibles,…
…
…avant guerre, et maintenant, mes filles à qui vous promettre,…en voeux chastes et de félicités,…
…
…aujourd’hui,…d’autres excuses » des « , dans la débrouille,…le diplôme, l’expérience, le chômage,…la concurrence déloyale,…le profit exponentiel,…
…
…ou est, la misère,…qui l’à créer,…pour se torcher le cul,…des familles heureuses en paix,…de vivre avec leurs ressources,…
…
…citadins, fermiers de retour au labour,…
…les champs, les cerisiers en fleurs,…
…comme des enfants désossés,…dans les patries,…
…et le diplôme,le sport,l’entreprise,…des vases communicants,…généalogiques,…en franc-maçonnerie de connivence,…
…çà c’est sûr et certain,…avec le retour aux berceaux des fermes improbables,…
…et la production,…mise en échec,…par la concurrence des enfants-esclaves asiatiques ou d’ailleurs,…
…toujours,…des structures à former des stratifications sociales injustes et grossières d’inégalités,…pour user les familles par l’état central,…en somme et ses manipulateurs pour créer la » misère « ,…coûte que coûte,…
…
…la noblesse d’état, et autres gens compétents,…de la merde,…aux parfums,…etc,…
…
…il n’y a rien à négocier,…tout est abject,…
…aucune » morale « , d’entreprise seines,…
…
renato dit: 6 mars 2014 à 13 h 16 min
« Pendant la révolution, les affaires continuent ! »
« Tiens ! en voilà un qui a découvert l’eau tiède et les journaux par la même occasion : voir ces sauts de qualité c’est toujours touchant… »
D’accord avec toi, crapule de Renato : Hollande est touchant en humaniste !!!
(… toi qui est si simplet, t’as pas voté pour lui, au moins, gros bêta… ? Si ?! Tant pis pour toi …)
Ben… Il est mort fort peu de temps après, non ?
… Et, pour quelqu’un dont la vie ne tenait qu’à un souffle, il a laissé une oeuvre qui n’en manque pas (de souffle) !
Marcel Proust, vampirisé par son oeuvre. Il faudrait imaginer un vampire se nourrissant, non de sang, mais d’air. L’oeuvre absorbant ainsi, petit à petit, chaque respiration de l’homme, ainsi cachée dans les replis somptueux d’une langue marémotricienne…
Franchement, Clopinouille, les histoires de Marcelou Proutprout… c’est illisible et ennuyeux, non ?
Onésiphore de prébois, pas de rancune,plutot une vraie rigolade. J’ai lu ce matin le blog de Clopine. Elle est tres remontée » tres lutte des classes »,drapeaux et étendards en tete du cortège.Hugo egt Valles la soutiennent.
Elle souffre beaucoup.
« t’as pas voté pour lui, au moins »
Là le gros bêta c’est vous car moi, je ne vote pas en France… mais… et ce n’est qu’une opinion… vous ne méritez pas mieux, “mon choux”…
…
…J.C.,…tout le monde fait sa dix-version,…
…
…si au moins, çà nous fait un autre Proust,…etc,…
…
JC je n’ai pas voté pour un homme, ni pour un programme irréalisable,plus vraisemblablement pour une idée de projet de société qui ne défend théoriquement pas avant les autres les maîtres mais cherche encore à offrir l’occasion à la domesticité de s’affranchir, je ne mourrais néanmoins pas en militant.
Non, Paul, pas plus que d’habitude, mais vous m’attristez beaucoup. Je vous ai déplu, vous avez pris pour vous des réflexions qui étaient destinées à d’autres, et vous vous vengez par le sarcasme. J’en suis désolée. Vraiment.
Clopine -la -piétaille va vous expliquer Proust mieux que moi
les groupies c’est comme les marie madeleine ça a accés a des trucs..enfin des trucs..bref clopine est stigmatisée bien bien profond..comme si jésus avait troussée marthe dans la cuisine..vontraube qui est cousin de jésus et copin du petit personnel et caché dans l’armoire normande..a tout vu..il en sait trés long..il nous cache des trucs
Mais il y aussi d’authentiques érudits, et de très grands intellectuels. Clopinoblog
Des noms, des noms!
Histoire vraie sur les engagements révolutionnaires.
J’avais une copine qui vendait l’Humanité dans la rue. Jeune et riche héritière, fortunée, lorsqu’elle voulait faire la grasse matinée après une nuit conforme, elle se rachetait tous ses exemplaires avec son pognon et … poubelle du paquet de journaux pourris !
Tout a fait Clopine, snobinarde erratique, politiquement parlant, capable du mauvais comme du pire, ahahaha !
..c’est la scène primitive de la collaboration de classe..nous qu’on est 2 fiers coco on se comprends polo
Ce que j’aime chez renato, c’est son absence d’humour ! Rare chez un transalpin qui se croit instruit …
Jean Brun tu usurpes encore.
des noms ? Paul Edel en est un. Bloom aussi. Jean Granoux. DHH. Chaloux, mais oui. J’en oublie tellement…
faire la grasse matinée après une nuit conforme
..c’est trés bon ça clopine..ça fait « parle à mon cul ma tête et malade » de la fort fainéante de l’assurance à vontraube..vous êtes raccord dans un monde parralléle
C’est vous qui en manquez complètement “mon choux”, d’autre part, étant données les lacunes de votre éducation, je ne m’attend pas à que vous compreniez le mien…
renato sait être drôle, il faut trouver l’écrit.
…
…@,…bougereau,…vous êtes » impayable « ,…etc,…
…
Allez Popaul! Invitez nous au resto et qu’on n’en parle plus.
Renato a eu un moment de gloire dans sa vie de chat : il a bouffé le canari qui vivotait dans sa cage.
Puis il s’est installé dans celle-ci et enseigne « l’intelligence » à tout matou libre qui passe à portée de sa prison…
renato sait être drôle, il faut trouver l’écrit
UN écrit en quatre cinq ans de commentaires assidus, nous devons vous l’avouez bérénice, c’est peu et nous n’y voyons que l’effet du hasard.
Bouguereau 13 : 44 : mais de quoi parlez-vous, grands dieux ???
il enseigne l’intelligence…
J’aurai beau travailler 32 heures sur 24 comme un chinois, je ne remplacerai jamais l’ingénieur.
Etre enseigné requiert un minimum d’intelligence et ses formes quoique variables ne sont pas adaptables à tout métier.
« Quand on est quelqu’un, pourquoi vouloir être quelque chose ? »
pasque clopine, pourquoi y’a til dormesson plutôt que rien
@TKT
Vous voyez une trahison de classe, ou à tout le moins une incoherence par rapport aux convictions qu’elle affiche, dans le fait que Clopine souhaite que son fils entre dans la carriere et devienne ambassadeur.
Sachez que, tout au moins en France, le recrutement du Quai, comme on dit ici, est en réalité fort peu un recrutement de classe.
Devenir ambassadeur est une destinée professionnelle normale de tout énarque qui sorti dans un rang moyen choisit les affaires etrangeres .
Et contrairement à ce qu’on croit le recrutement de l’ ENA lui-même est tres diversifié socialement ;il est même depuis quelques années mâtiné d’un peu de discrimination positive qui ne dit pas son nom .
Je ne pense pas que Bloom ,familier de ce monde me contredirait
JC….. dit: 6 mars 2014 à 13 h 52 min
l’image est belle..mais les matous libres non coupés se font rarissime..tu dois avoir des regrets
Paul Edel dit: 6 mars 2014 à 13 h 29 min
Onésiphore de prébois, pas de rancune,plutot une vraie rigolade.
Si c’est vraiment vous, Paul Edel (car, par ces temps de bourrasques de ponant, il vaut mieux se méfier) , je vous embrasse, si vous le permettez. Et puisque vous m’en donnez l’occasion , je vous confie que j’aimerais de temps en temps faire un tour sur votre blog et, de temps en temps, y écrire un commentaire, à condition d’avoir l’assurance de ne pas me faire jeter comme un malpropre.
« matou libre » ?!
Mais vous êtes prisonnier de vos préjudices “mon choux”… et votre image de coquelet de comptoir n’arrange rien…
http://www.inegalites.fr/spip.php?article1030&id_mot=100
et ça s’aggrave et je crois savoir que leur origine géographique aussi..
Clopine est ainsi la mère de Romain Gary, quelle surprise et dire que son père ne l’a pas reconnu!
Merci, DHH, mais vous savez, je ne souhaite RIEN pour Clopinou : c’est lui qui décide, qui a décidé, depuis le bac ; certes, j’avais peur qu’il ne fasse HEC, parce que je ne crois pas que l’argent rende heureux (même si le manque d’argent peut rendre malheureux, c’est paradoxal) ; mais s’il l’avait voulu, nous l’aurions, son père et moi, évidemment soutenu, gardant nos réticences pour nous. De toute manière, depuis il a encore changé d’avis, et quelque part c’est bon signe : il n’a que vingt ans vous savez.
La seule chose que je lui souhaite, c’est d’être heureux et d’exercer une profession qui lui plaise. Ca m’a l’air bien parti, mais… Nous pouvons tenter de rendre nos enfants heureux, mais nous ne pouvons leur garantir le bonheur, qui est une affaire entre soi et soi, généralement. Je fais ce que je peux : à savoir fournir à mon fils les conditions de bien-être les meilleures que je puisse lui fournir, dans la mesure de mes moyens. Le reste le regarde… Mais, DHH, vous savez, Clopinou a suffisamment de « tête » pour profiter des judicieux conseils que peuvent lui prodiguer d’autres que ses parents…
Sans jc et daaphnée (((((monstres )))))) ((((((d’intelllligence)))) (((((((s’il en est)))))) on ne saurait comment réagir ni que penser
oui bougreau. et tous des fils de profs. faillite assurée quand ils débarquent dans les entreprises françaises.
le bizness, c’est pas réciter du racine, c’est la manger. hurkhurk.
à condition d’avoir l’assurance de ne pas me faire jeter comme un malpropre
..tes exigences sont léonines jean marron
sapré clopine. Présentez Clopinou à Ceccaty, y’aura de l’édition. bon, faudra être un peu flexible..but what else
« nous n’y voyons que l’effet du hasard… »
Bon, évidemment, si vous prenez l’insulte et la vulgarité comme paradigmes de l’humour, avec JC vous êtes bien servi…
image de coquelet de comptoir
blatte des égouts plutôt pour définir la buse de pécul gros chou à boucros
Clopine en femme de la campagne vous avez su protéger votre plant du gel et des intempéries, le nourrir pas trop ni trop peu, l’arbre se chargera des fruits de votre amour et de vos attentions. Bon travail.
faudra être un peu flexible..but what else
et à 20 ballet clopine..c’est pineuts..et en même temps c’est un test : si ton clopinou n’écoute pas les conseils de tonton phil, c’est qu’il est con et qu’il faut l’orienter dardard dans l’informatique ou le conseil agricole
…
…s’en connaître, les preuves et détails,…
…
…après, déjà mes très jeunes soixante ans,…je ne me suis pas tromper,…dans mon flair du monde,…
…je sort,…me trouver,…du ballet d’air pur,…sans E.N.A,…de connivence mafieuse d’état,…
…les con-courts des SS,…baise-mains à Stalag 13,…etc,…
…
à Bouguereau: » Je suis ton père. ».
DHH dit: 6 mars 2014 à 14 h 00 min
Sachez que, tout au moins en France, le recrutement du Quai, comme on dit ici, est en réalité fort peu un recrutement de classe.
Faudrait voir le vice-consul de Lahore… Je crois qu’il avait fait des études plutôt ternes… Mais le gérant du cercle, lui, il avait franchement rien branlé ! Et alors c’est quand même « corps diplomatique », un gérant de cercle, isn’t ?
Giovanni une impression tenace qu’à marcher sur des œufs en écraser ou pas n’a plus guère d’importance, ils sont partout! Suis-je paranoïaque?
merci, Bérénice, vous savez, j’ai eu mon fils deux minutes avant la fin du match. J’ai longtemps eu l’image d’une mère trop protectrice, le mot à la mode était « fusionnelle ». Mais en fait, je mettais quand même des limites (et puis le père était là, ouf !). Tenez, une anecdote (façon Chevillard penché vers ses filles et souriant) : quand Clopinou avait deux ans, il a essayé d’ouvrir la porte d’une salle fermée à clé. Il actionnait la poignée, ça ne marchait pas… Alors, il s’est retourné vers moi et a dit, l’air désolé : « Maman, la porte elle me dit non ! »
J’étais assez contente qu’il assimile un « non » à une porte fermée à clé, ça m’a rassurée.
Quand je l’attendais, j’ai fait bien évidemment du Clopine à 100 %, à savoir que j’ai acheté à peu près tout le rayon des livres de puériculture de la librairie l’Armitère. Je les ai tous lus, oui oui, même l’imposant Piaget, même l’insipide Pernoud (« j’attends un enfant », « j’élève mon enfant »), Dolto of course. Bon sang, j’étais du genre à changer le bébé, une main sur son ventre et l’autre sur la page requise du Cohen-Solal (un bon, celui-là, plein de bon sens), ou d’un autre. Et puis finalement, j’ai plutôt regardé le bébé que les livres…
Je crois que nous sommes toutes fières de nos enfants, non ? Enfin, je veux dire, celles qui les aiment, tout simplement ?
le bizness, c’est pas réciter du racine, c’est la manger
et bouffer les autres c’est moderne ( une preuve d’intelligence)
« Faudrait voir le vice-consul de Lahore… »
Faut aussi voir comment il vient en photo — faudrait voir quelques selfis…
..c’est pas un faux cul lui..suivez mon regard
par la recherche permanente d’un porteur de merde tout le monde ici fait dans le raccord parallèle rayon manière de ne pas l’être.. la différence est dans le stempel usw..
langue marémotricienne…
allons bon, la mégalo nous fait des bouffées de chaleur d’équinoxe maintenant..
Ah là là, ça y est, je suis partie à divaguer sur le clopinou petit. Un soir, il était dans sa chambre, dans son lit, il a joué avec ses feutres, il en a fichu plein les draps. Quand il s’en est aperçu (il devait avoir dans les 5-6 ans), un éclair de lucidité a dû s’abattre sur lui, il a anticipé les conséquences probables de son acte. Alors, avec le plus beau des feutres, le gros rouge, il a écrit à même les draps : « esscusé-moi, je l’ai pas fait escpré » et il s’est endormi, la conscience tranquille et les mains barbouillées, comme un ange.
Quand je suis entrée dans la chambre, le lendemain matin, et que j’ai vu ça, j’ai eu vraiment beaucoup de mal à punir le garnement, parce que j’avais un fou rire irrépressible…
« esscusé-moi, je l’ai pas fait escpré »
A cinq ans !
Vous voyez qu’il est âchement doué le Pinou.
J’ai été obligé de mettre le lien, l’histoire n’a pas retenu le nom
http://www.youtube.com/watch?v=TeaKAB-IxOE
Maman dit, vous ne croyez pas si bien dire, ahaha !
Berenice pizza vesuvio, 12h30, place d’italie,13° dimanche prochain, le 9 mars ..avec des enfants si vous en avez.
– On se félicite de couper les effets de l’autre, on y trouve matière à narration
– Et puis?
– Et puis l’encre sèche et on souffle dessus
ou alors on écrit, et puis voilà, ça suffit bien.
@clopine @berenice
Je crois qu’il n’y a que les psychanalystes pour penser que le type de mère qu’on a été ait une influence déterminante sur le devenir des enfants et la construction de leur personnalité. C’est pourquoi les conseils d’ordre psychologique distillés par les Dolto et autres ne me semblent pas mériter qu’on les suive, et surtout qu’on se laisse aller au sentiment de culpabilité qu’ils génèrent en vous collant l’impression que vous ne faites pas ce qu’il faut.
Avec les enfants ,il ne faut pas s’embarrasser de principes, encore moins aller les chercher dans les livres ;l’essentiel est de ,les aimer et c’est tout , De toutes manieres il deviennent ce qu’ils doivent être ; notre capacité d’ inflexion sur leur trajectoire est vraiment marginale et c’est tant mieux.
Mais il ne faut pas trop le dire ,cela ferait s’ecrouler un pan essentiel du marché de l’edition car les meres inquietes à visées perfectionnistes ,sont un fonds de commerce stable, car assis sur des constantes démographiques
où est-ce que ça coule?
Alors là, entièrement d’accord avec vous DHH. Il n’y a pas que dans le domaine de l’édition qu’il « ne faut pas trop le dire ». C’est partout : il suffit de mettre une étiquette « spécial bébé » et vous vendez n’importe quelle saloperie plus chère. Les mères perfectionnistes sont prêtes à tout.
… Le pire que j’ai vu dans le genre, c’était une directrice de crèche. Elle arrivait à insinuer à des parents (fort fauchés) que, pour l’apprentissage de la marche, rien ne valait des chaussures en cuir souple, et sur mesure n’est-ce pas, qui valait la peau du buffle tout entier. J’avais croisée la mère en totale désemparée, qui se demandait comment elle allait bien pouvoir faire, et se torturait sur le thème « je ne peux pas donner à mon môme ce que les autres donnent aux leurs ». j’avais été scandalisée. Cette jeune mère aimante donnait bien plus que toutes les pompes en trois chiffres avant la virgule, et son bébé avait d’office quelques chances de plus que son frère sahélien, par exemple (ou d’autres endroits riants de notre globe).
Reste mégalo Jean Brun, n’usurpe pas.
.. Et, tant qu’on y est, l’autre truc qui me fait râler, ce sont les autocollants sur les bagnoles : « attention, bébé à bord ». Non mais ! Je revendique l’autocollant personnalisé : « attention, femme de 58 ans à bord ». Une vie, c’est une vie, mordel de berde !
La Mégalo en Pédalo dit: 6 mars 2014 à 15 h 29 min
.. Et, tant qu’on y est, l’autre truc qui me fait râler, ce sont les autocollants sur les bagnoles : « attention, bébé à bord ».
Surtout qu’il est peut-être pas encore fait !
En tant que Plouc, je confirme tout ce qu’a dit Clopine.
@Puitepée dit:6 mars 2014 à 12 h 29 min
« Portez plainte, ainsi vous serez obligé d’ôter vos masques. »
TKT
Mais c’est contre toi que NOUS devrions porter plainte Kron.enbourg adoré. »:
C’est bien ce que je voulais dire, que « vous » portiez plainte contre moi, afin que vous ôtiez votre masque.
C’est là ou D.bile et JC se confondent, bêtise dépassant la méchanceté et le fiel.
Pauvres trolls !
D., vous êtes le paradigme du franchouillard, issu de la campagne, monté en ville, employé de bureau subalterne, pleurant aux discours de Mélenchon et de Martine Le pen. Se croyant d’une races supérieure, car crétin de souche, bref, vous avez la totale
Bérénice Café Marly, 13h, au Louvre, dimanche prochain, le 9 mars, sans enfants.
Putain de truchement existentiel
Non, je plaisante. Je sais que vous préférez de très loin les pizzas.
, De toutes manieres il deviennent ce qu’ils doivent être
je n’avais jamais imaginé que les enfants devaient être… quelque chose , même pas des commentateurs opiniatres et rabougris
Un petit footballeur pendu au rétro c’est très bien. Ou alors un chien sur la plage arrière, qui hoche la tête et dont les yeux s’allument dès que les mâchoires des freins entament les disques…
Oh, Bérénice, vous pouvez aussi venir à la campagne. On a vu les premières tourterelles turques ce matin. Rendez-vous place Brévière, Forges-lese-Eaux, 14 h, face au PMU. Ne pas oublier les bottes, cependant.
Comme disait un grand normand
« Quoi, pour etre quelqu’un tu te crois quelque chose? »
(C’est dans Cinna me semble-t-il . 5non Clopine, pas le canapé! La tragédie de Corneille…J’y pense en vous lisant.)
Vous, ce serait ^plutôt l’école
« Ah frappe-toi le cœur, c’est là qu’est le génie! »
Musset a de beaux restes, mais pas ce vers là.
Et la critique textuelle combine écessairement les deux.
Ici , il y a un problème : statistiquement, nous ne pouvons pas vibrer aux memes textes.Ce qui vous émeut aux larmes laisse froid d’autres dont je suis, ce qui ne fait pas de nous des etres dénués de sentiment, soit dit au passage, car l’affectif rentre aussi dans le phénomène de rejet.
A vous lire, vous considérez EB un peu comme Lévi-Strauss ses amazoniens; une terre sauvage,; la Picardie, des tribus ouvrières quin’ont pas accès selon vous à la Galaxie Gutemberg, un chemin de croix athée, Jésuites
en moins et « petit défaur » en plus
En fait, c ‘est la personne qui vous intéresse plus qu’un éventuel personnage. Je suis désolé, mais le roman, ce n’est pas ça. Le roman commence avec le personnage et le style. Je suis au regret de dire qu’au delà du témoignage lacrymal ou supposé tel, on les cherche encore.
bien à vous.
MC
T’as qu’à te lancer dans la carrière de Pétrarque
« T’as qu’à te lancer dans la carrière de Pétrarque »
Diplomate ?
Bon, Court, je vais m’accordez avec vous sur un point : non, je ne pense pas qu' »En finir avec Eddy Bellegueule » soit un roman. Là, êtes-vous satisfait ?
Maintenant, considérons l’objet littéraire. Oui, je persiste : c’est un objet littéraire, formalisé, « pensé » quoi. Drôle d’objet : décrire une situation contenant le plus d’affects mortifères, avec le recours à l’analyse la plus « objective », scientifique : la sociologie. Et se servir pour cela d’une « bande magnéto » : l’auteur a pour toujours enregistré le vocabulaire de son milieu, qu’il nous restitue, sans jamais en amoindrir la violence.
Vous rendez-vous compte des risques qu’il prend ?
… J’en sais quelque chose. Ici, j’ai par exemple, fait état souvent de mes sentiments. Devinez ce que j’ai reçu, en boomerang.
« m’accordeR » merdre, merdre, merdre.
renato dit: 6 mars 2014 à 16 h 22 min
« T’as qu’à te lancer dans la carrière de Pétrarque »
Diplomate ?
Rancier ça existait pas Renato
ai lu que le doyen de la vénérable maison était
René de Obadia et qu’il recevait beaucoup de lettres d’enfants !
Obaldia
D’ailleurs, à propos de boomerang (allons, non, vous n’aurez pas totalement flingé votre après-midi en traînant ici) :
quelqu’un a dû me prendre pour m’écrire
c’est l’étalage des pollutions nocturne de clopinou qui indispose meusieu court..
les meres inquietes à visées perfectionnistes ,sont un fonds de commerce stable, car assis sur des constantes démographiques
assis sur des constantes démographiques..mais tu sais qu’t’es bonne dh
assises dabord..faute!
Mon cher Thierry,
Vous me posez la question, importante j’en conviens, de savoir si avant que d’être un rentier à mi-temps, vivant dans d’effroyables conditions intellectuelles à Porquerolles, j’étais un Plouck. Bonne question, à laquelle je réponds bien volontiers avec la franchise la plus grande : oui, je suis un Plouck depuis mon plus jeune âge ! Nous sommes une famille de Plouck, de père en fils…
Vous n’ignorez pas que bébé, rejeté par ma noble famille à cause de ma grande laideur, je fus jeté par un domestique surpayé dans une poubelle publique. Enfant trouvé ! …
Mon bracelet or – que cette crapule, fin saoul avait omis de me voler- portait mon nom : Jan von Plouck. Je l’ai fait fondre pour en faire une chevalière à nos armes…
Les von Plouck sont connus. Je descends, en effet de cette illustre famille venue d’Europe du Nord, famille ayant loyalement servi plusieurs salauds historiquement connus comme rois des cons ou princes des glands austro-hongrois. Nos domestiques ont toujours été suisses…
Les Plouck sont célèbres depuis des siècles. Les vertus des Plouck se transmettent d’une génération à l’autre, par bonheur jamais altérées par une éducation à l’allemande parfaitement inutile … Passons !
Devenu adulte, je pus choisir mon nom. J’abandonnais le nom Plouck, honni pour les raisons que vous connaissez, et pris celui que je trimballe de par le monde depuis lors : Coulp, c’est-à-dire Plouck, légèrement modifié.
Vous savez tout.
Bien à vous
Votre fidèle Jan Coulp, en abrégé, JC
Bonne soirée !
Bon, pardon,
C’est pas idiot de passer de la musique de naze, il faut juste savoir le faire
http://www.youtube.com/watch?v=mqjg5AY3SIE
On a vu les premières tourterelles turques ce matin.
des sales bêtes pour 12 à pompe ! as tu encore des tourterelles des bois plus fines plus racée plus belle..plus sex ? non, vdsk
Maman 14h50 A cet age j’écrivais encore des lettres au père Noel, j’étais une attardée, depuis j’écris au Diable pour être entendue.
Jan von Ploock verdamt
Ce Jan, un ami à vous? Épatant, brillant, captivant.
La Mégalo en pédalo, qui ressemble à Clopine beaucoup plus que je ne ressemble à Chaloux, concède à Court que le livre d’Edouard Louis n’est pas un roman. Mais c’est pour réaffirmer qu’il est un « objet littéraire ». Certes, un objet littéraire n’est pas forcément un roman. Mais voilà que, dans la foulée, notre spécialiste du rétropédalage nous présente le livre comme une analyse de type sociologique, « objective », « scientifique », et voilà l’objet littéraire qui déjà s’évanouit. En réalité, pédalant dans la choucroute plus que sur un pédalo, notre mégalo se refuse à admettre que « Pour en finir avec Eddy Bellegueule » n’est ni un objet littéraire digne de ce nom (notamment au plan de l’écriture, tristement bâclée, comme plusieurs contributeurs de ce blog l’ont déjà signalé) ni un document sociologique scientifiquement utilisable, ne serait-ce que parce que celui qui témoigne ne saurait être à la fois juge et partie, sans compter que son témoignage est probablement truqué. « Pour en finir avec Eddy Bellegueule » est en réalité un objet hybride médiocre, très représentatif, selon moi, des dérives auxquelles expose le choix de l’autofiction.
Dérives sexuelles, bien évidemment, il n’y a qu’à lire ce Chevillard sur son auto-fictif pour savoir où elles conduisent.
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