de Pierre Assouline

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La République des livres
Quand on est quelqu’un, pourquoi vouloir être quelque chose?

Quand on est quelqu’un, pourquoi vouloir être quelque chose?

Ne vous êtes-vous jamais délecté du parfum subtil du paradoxe en lisant une étude très sérieuse aux plus hauts effets comiques ? Non que l’un exclue nécessairement l’autre, mais on ne s’attend pas nécessairement à éclater de rire, ou à rire sous cape si l’on se trouve dans le train, en lisant Coupole et dépendances (284 pages, 19,95 euros –sympa, ça, pour les libraires !- éditions du Moment), enquête sur le fonctionnement de l’Académie française. Ce n’est certes pas le premier livre qu’elle suscite. Mais dans cet esprit journalistique, il n’y avait guère que celui, amusant et informé, du plus parisien des Québécois, Louis-Bernard Robitaille (Le Salon des immortels, Denoël, 2002). Depuis, la chronique s’est enrichie des nouvelles aventures de la douairière du quai Conti, et ce n’est pas triste. C’est que le mythe est bien vivace. Songez donc qu’en 2001, lorsque la Ville a entrepris la réfection du parvis, les employés de la voirie n’ont pas eu à débarrasser les vieux pavés de granit (disjoints, Proust oblige !), des parisiens s’en chargeant personnellement, en souvenir !

L’enquête du journaliste littéraire Daniel Garcia, au ton serein et malicieux, est impeccable, nonobstant ses coups de griffe à tel ou tel écrivain (Angelo Rinaldi, Paule Constant) ou le recours répété aux mémoires du candidat malheureux Jacques Isorni qu’il épingle par ailleurs ; et tout n’y est pas neuf, notamment la partie historique maintes fois contée, de même qu’un certain nombre de rumeurs, ragots et bons mots ayant beaucoup circulé ; on savoure le plus souvent l’évocation de ces dérisoires batailles de gagas, tant d’académiciens consacrant leur temps à instrumentaliser non sans perversité les candidatures de ceux qui rêveraient d’en être, grâce à des témoignages inédits sur l’intact et inexplicable magnétisme exercé par « ce corps littéraire d’Etat » selon l’expression lancée par Fumerolles, ainsi que Philippe Sollers se plaît à appeler Marc Fumaroli.

On sait que l’Institut, dont l’Académie française n’est que l’une des composantes, est riche. La liste de ses propriétés foncières est impressionnante. Mais que c’est mal géré ! Façon de parler : ça ne l’est pas pour tout le monde. Certains s’y retrouvent. La Cour des comptes y a mis son nez. L’histoire est contée par le menu, chiffres à l’appui. Accablant, surtout pour le chancelier Gabriel de Broglie. Comme le sont les quelques pages consacrées aux intérêts africains « suprafrancophonie » de l’ancien directeur de cabinet du perpétuel Maurice Druon.

Au chapitre des visites du candidat, on se rend compte que Fontenelle n’avait pas réglé la question, son trait fut-il célèbre : « Sommes-nous trente-neuf, on est à nos genoux, et sommes-nous quarante, on se moque de nous ». On apprend ici que Valéry Giscard d’Estaing, qui ne s’abaisse guère à recevoir les victimes de la fièvre verte, avait fait une exception pour le romancier François Taillandier « parce qu’il avait vu que j’étais né à Chamalières ». Le linguiste Claude Hagège, qui avait ses chances, s’est coulé tout seul par ses visites : non seulement il les a saoulés de son verbe polyglotte et noyé sous le flot interrompu de son babil, mais il n’a parlé que de lui et de son oeuvre ; même ceux qui soutenaient sa candidature y renoncèrent lorsqu’ils comprirent qu’ils auraient à le supporter à vie. Forcément, il n’est pas convenable de faire sentir aux Quarante qu’ils ont de l’esprit comme quatre. Cela dit, à ce jeu, les authentiques écrivains sont désavantagés par rapport aux médecins : la tournée de visite de l’hématologue Jean Bernard fut une consultation ininterrompue et l’ophtalmologue Yves Pouliquen ne dément pas avoir opéré plusieurs académiciens de la cataracte. Disons que, s’il est vrai qu’une élection est imprévisible avant et inexplicable après, certaines le sont moins que d’autres.

Dans un registre sensiblement différent, on découvre qu’il y a 10% de gays parmi les académiciens (mais comment Daniel Garcia est-il parvenu à l’établir ?), qu’un couple d’hommes (mon Dieu !) siégea même sous la Coupole entre 2001 et 2012 (avis aux amateurs de recoupements) mais qu’un « lobby gay » aussi vert que rose relève du fantasme.

Au chapitre de l’ingratitude, Philippe Sollers occupe une place de choix. Passe encore qu’il veuille bien être de la compagnie à condition de ne pas faire de visites et d’être assuré d’être élu s’il consentait à se présenter (cela lui ressemble) ; mais se voir décerner le Grand Prix Paul Morand 1992 pour l’ensemble de son œuvre, l’accepter et sécher la séance solennelle de remise des prix, puis envoyer un relevé d’identité bancaire pour empocher les 300 000 francs (soit 45 000 euros), c’est là une goujaterie qui vaut bien de n’être plus appelé sous le coupole que « le vicomte de RIB ».

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Parmi les morceaux de choix, on trouvera le récit détaillé du hold-up, il n’y a pas d’autre mot, monté par le tandem Léo Scheer/François Weyergans, l’éditeur et l’écrivain ayant comploté avec succès « pour se marrer » afin que le Goncourt 2005 soit attribué à  Trois jours chez ma mère et que son auteur succède au fantomatique successeur de Maurice Rheims à son fauteuil de l’Académie française, Alain Robbe-Grillet, mort avant d’être intronisé immortel. Du grand art comme on en voit peu dans les coulisses de la république bananière des Lettres. Désopilant ! Leur tactique ? Des missives personnalisées, documentées, peaufinées, adressées à chacun des académiciens après étude approfondie de leurs œuvres y compris les plus anciennes, élevant la flagornerie au rang des beaux-arts. Tant et si bien que la plupart la lurent au premier degré. Aujourd’hui, ils disent l’avoir égarée. Dommage. On imagine l’anthologie ! Tout de même, il y en eut, tel Yves Pouliquen pour y voir plus clair que les autres. Forcément, l’un très ophtalmo, l’autre très myope : « Je me suis demandé s’il ne se foutait pas de ma gueule. Il me comparait à Diderot ! » Bien vu.

Alors pourquoi en être ? Pas pour l’argent. Avec l’indemnité forfaitaire à laquelle s’ajoutent des jetons de présence aux diverses commissions, le salaire de l’hâbleur n’excède pas les 4000 euros par an. Mais les compensations collatérales sont plus intéressantes. La Maison ne laissant jamais tomber ses membres encore actifs, non plus que ses malades et plus tard leurs veuves et orphelins, n’a pas volé sa réputation de « deuxième famille ». En être délivre de biens des soucis à commencer celui du logis. La Maison possède des immeubles de rapport boulevard Saint-Michel, rue Monsieur-le-Prince, rue Crébillon (Quartier latin), rue du Ranelagh et rue Davioud (XVIème) ainsi que rue Pasquier et boulevard Haussmann (quartier des Grands magasins).

La vanité étant répandue avec équanimité dans le petit monde des mains à plumes, les grandeurs d’établissement séduisent comme autrefois, bien plus qu’on ne l’imagine. Pour se dédouaner, les candidats rappelleront ce que Baudelaire en disait : « C’est le seul honneur qu’un vrai homme de lettres puisse solliciter sans rougir ». On dira qu’en ce temps-là, c’était autrement mieux fréquenté. Eh bien non, justement : en ce temps-là déjà, et même avant, des Dabadie y côtoyaient des Dumézil.

Et puis il y a le dictionnaire. Le grand alibi, dirait-on, même pour ceux qui ne participent pas à son élaboration. Les travaux de l’actuelle édition ont été lancés en 1936. Un service d’une dizaine d’agrégés (Lettres modernes, Lettres classiques, Grammaire et… Biologie) y travaillent à plein temps toute l’année, en amont d’une dizaine d’académiciens constituant la commission du dictionnaire « du français durable », sa vocation, même si le lexicographe Alain « Robert » Rey objecte cruellement que, par définition, le français n’est pas durable. Ce qui n’empêche pas les forçats du dico d’être beaucoup plus sollicités qu’avant par les usagers. C’est la société Nestlé demandant s’il faut écrire sur l’emballage d’un dessert « avec deux moules à chocolat » ou « avec deux moules à chocolats » ! Ou une psychiatre leur enlevant une épine du pied en suggérant l’adjectif « désenfanté » pour désigner celui qui perd un enfant, et que l’on ne peut dire ni veuf ni orphelin. Où l’on voit que, malgré de légères avancées sur la définition du mariage, l’Académie reste conservatrice sinon archaïque : elle préfère traduire binge drinking par « beuverie collective » (comme si ça se buvait le petit doigt en l’air !) plutôt que par « biture express », ce qui serait plus parlant.

Ce qui est durable en revanche, c’est le dur désir de durer en gravant son nom dans le marbre de crainte de ne pas l’inscrire dans la mémoire de ses contemporains. En 1878, le jour où le sort académique de Taine et de Renan se décidait, Flaubert se demandait dans une lettre à la princesse Mathilde en quoi l’Académie pouvait bien les honorer : « Quand on est quelqu’un, pourquoi vouloir être quelque chose ? »

(photos D.R.)

Cette entrée a été publiée dans documents, Histoire Littéraire.

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commentaires

1 371 Réponses pour Quand on est quelqu’un, pourquoi vouloir être quelque chose?

JC..... dit: à

« Et je SAIS que je sais lire. »

Et moi AUSSI, je sais que je sais lire !
Et je sais que je sais compter
Et je sais que je sais que je ne sais rien

N’est ce pas vermeilleux, Trounormand ?…

Angelion Rinaldust dit: à

Clopine, on vous l’a déjà fait remarquer, ce n’est « Singmaringen » mais « Sing Marie-Jeanne », mince. Un peu d’attention, svp.

JC..... dit: à

« Ne me dites rien ! je sais juste que j’avais raison  »

Et je sais que moi AUSSI, j’ai raison !

JC..... dit: à

Sieg Marie Gène ?

Phil dit: à

avec Singmaringen Clopine dénazifie. mais sing-sing peut sonner torture chinetoque. Faudrait demander à Hagège si l’assonance est bonne pour fourguer des Hongroises dans son lit.

JC..... dit: à

Puisque l’on est dans l’académique, deux enregistrements superbes :
– Colère, de Yannick Noah le révolté
– Suspicion, de Patrick Buisson la fouine

Angelion Rinaldust dit: à

De rien Clopine, cela peut nous arriver à tous. Pensez à Sigüés la petite ville de la vallée de Roncal en Aragon. Même si Sigmachin se prononce comme Zig à la première syllabe.

Curiosa dit: à

JC, vilaine petite fille, toute pitite

Giovanni Papini dit: à

Si les écrivains ne lisaient pas et si les lecteurs n’écrivaient pas, les affaires de la littérature marcheraient infiniment mieux. »
de Giovanni Papini [+]

JC..... dit: à

Curiosa, vilain pervers pédophile ! Si tu prends la petite fille JC sur tes genoux, tu vas te retrouver avec un composite organique plus proche d’un néanderthalien repoussant que d’un modèle réduit de Scarlett Johansson !Change de braquet, Raymond, wrong way…

renato dit: à

Vous savez Clopine, nous vivons en démocratie, ce qui, en d’autres mots, signifie que chacun a le droit d’avoir des opinions et de les défendre. Cela dit, et c’est curieux, c’est que chez les intellectuels… surtout les latins… ce fait ne semble pas naturalisé.

Or, chez vous… vous me pardonnerez si je vous case chez les intellectuels, mais puisque vous en partagez les défauts… comme chez Paul, on peut observer cette propension à ne pas relativiser son jugement, ce qui est typique de l’intellectuel latin, c’est-à-dire fascisant sur les bords…

Il est évident qu’il n’y a plus de critères par lesquels un objet quelconque (livre, tableau, mixer, tasse de wc) puisse être jugé et éventuellement classé… sa coïncidence avec le réel bien à part, et la mode ou air du temps, naturellement… mais là, encore, ce qui coïncide pour moi ne coïncide pas (ou pas toujours) pour d’autre et vice-versa… des polémiques stériles s’installent donc… stériles et ennuyeuses… Vous vous êtes persuadée qu’un livre porte des valeurs littéraires et de civilisation que d’autres ne voient pas ? Mettez vos opinions noir sur blanc… enfin, peu importe la couleur du support… composez un essai suffisamment concis pour ne pas emmerder le lecteur et publiez-le sur votre blog… et voyez les développements de la chose…

Bien, c’est dit… et cela dit, je suis sûr et certain que je ne lirai pas Sigmaringen (ou Singmaringen, comme vous dites), ni l’autre… là… Belle-quelque-chose car j’aurais horreur de finir intellectuel latin…

Clopine Trouillefou dit: à

renato, mais c’est précisément ce que j’ai fait !

http://clopine.over-blog.com/3-index.html

(des fois, c’est à se les prendre et à se les mordre, comme dit le Boug’).

Sinon, vous avez bien évidemment raison. Et écouter les arguments des autres doit vous nourrir tout autant que vos propres raisonnements. Mais comment faire, si jamais personne ne prend la peine d’argumenter un minimum, si on assène une opinion sans tenter au moins d’expliquer comment on se l’est forgée ? J’essaie toujours d’expliquer, peut-être maladroitement, mais enfin… bon, je vais tenter de suivre votre conseil, et vous en remercie.

Jacques Barozzi dit: à

Dans la photo d’illustration en tête de la note, ce n’est pas tant la scène mythologique du pommeau de l’épée qui m’interpelle, mais plutôt les mains soigneusement manucurées de l’académicien de service, qui ne reflètent pas l’aspect manuel, artisanal, d’un métier qui paradoxalement devrait pourtant l’intégrer à la classe ouvrière ?
Belle gueule ou sale gueule, l’écrivain doit-il toujours avoir les mains aussi propres que sa phrase ?

JC..... dit: à

« ce qui est typique de l’intellectuel latin, c’est-à-dire fascisant sur les bords… »

Les exemples de fascistes latins ne manquent pas : Adolf, Goebbels, Himmler, Eichmann, Stalin, Lenin, Beria, Putin, Pol Pot, Mao Zedong, Arafat, Tojo …

Curiosa dit: à

merci et bravo pour votre commentaire, renato

réveil? mâtin! dit: à

de la piétaille à cet élitisme finkielkrautien

On aura tout lu de la Clopine!

Connaisseur de ver subtil ou d'ATC...* dit: à

Un bon caviar est un caviar mort.

Jacques Barozzi dit: à

Qu’importe le flacon…
Que demande t-on à la littérature ?
Il est indéniable, renato, que « En finir avec Eddy Bellegueule » a profondément marqué Clopine, déclenchant chez elle de fortes pages sur son père, au point qu’elle utilise le mot « kairos » au sujet de cette lecture…
Certes, Clopine peut être maladroite, impulsive, dans ses réactions, mais elle se raconte toujours avec sincérité. C’est principalement ce que j’aime chez elle !

bouguereau dit: à

l’intellectuel latin, c’est-à-dire fascisant sur les bords…

roo il a la haine de lui ce rénateau..tiens va dire à oxford que rollo étoye un latin rénateau et il te biffe ton visa ad vitam..pis tu dvrais tmettre au jus.. »germain ».. »latin ».. »celtes »..une invention de jules césar qui resiste pas une seconde au test adn d’une de tes séries télé préférées..une invention

bouguereau dit: à

composez un essai suffisamment concis pour ne pas emmerder le lecteur et publiez-le sur votre blog…

un filet d’huile d’olive et rien t’étouffe toi rénateau..t’as le coup de menton et le pompom?

bouguereau dit: à

élitisme finkielkrautien

« yé né pas changé »..avec sa main sur la bite comme sur la photo en haut? baaah..

renato dit: à

Hé, le célinien petit ! puisque je ne suis pas un intellectuel… enfin, mais pourquoi on te cause ? essaie de réfléchir une fois… dans les limites du possible, ça va sans dire…

bouguereau dit: à

mais elle se raconte toujours avec sincérité. C’est principalement ce que j’aime chez elle !

..toujours a tortiller du cul les pédés..un hétéro dirait qu’elle est franche du collier

bouguereau dit: à

puisque je ne suis pas un intellectuel

son zeitgeist à rénateau c’est choisir entre latin berlusconien ou texan ahuri..du coup il sait plus..il rape son parmidhgiano sur sa choucroute et pis merde tiens..du calme rénateau..respire !

Qu'ils se racontent uniquement sur leurs blogs dit: à

Clo-Clo se raconte, baroz se raconte, vontraube se raconte, Chaloux se raconte.
Je crois que les raconteurs m’emmerdent.

Phil dit: à

il y a une dérive regrettable du sens de la qualité « fascisante ». Gide remarquait déjà à son époque la confusion faite entre romantique et libidineux.

bouguereau dit: à

si on assène une opinion sans tenter au moins d’expliquer comment on se l’est forgée ?

faut surtout pas espliquer clopine..tu te dévalorises..faut faire un peu de muscu..se faire un piercing dans le téton droit, un dragon sur la fesse et persévérer dans son immanence..t’as déjà vu vontraube espliquer ? c’est pour les prolos !

Qu'ils se racontent uniquement sur leurs blogs dit: à

Ne parvenant pas à être quelqu’un les raconteurs veulent être quelque chose, même virtuellement.

u. dit: à

« Les exemples d’intellectuels fascistes latins ne manquent pas : Adolf, Goebbels, Himmler, Eichmann, Stalin, Lenin, Beria, Putin, Pol Pot, Mao Zedong, Arafat, Tojo … » (JC)

Au milieu Bernard Pivot, pinard et foot, capable de faire converser tous ces lettrés sur un ton enjoué.
Vive notre Grande Nation littéraire!

renato dit: à

Mon zeitgeist ?! mais mon célinien petit, ça c’est un problème pour punk en retard… enfin, c’est ton problème… et attention ! faut que cela coïncide avec l’horoscope du jour, autrement on ne peut pas parler de zeitgeist et c’est une catastrophe pour un garçon qui, comme toi, n’aspire qu’à coïncider avec l’esprit du temps…

Esplication dit: à

« t’as déjà vu vontraube espliquer ? c’est pour les prolos ! »

Comme JC, même combat.
Ce qu’il faut c’est l’ultra-libéralisme.
Pourquoi ?
Parce que.
Circulez.

bouguereau dit: à

.. ta gueule raclure

bouguereau dit: à

un garçon qui, comme toi, n’aspire qu’à coïncider avec l’esprit du temps…

savoir ce qu’il est..mais c’est déjà tout un boulot de prolo rénateau..évidemment aprés on peut l’affirmer sans espliquer..

Jacques Barozzi dit: à

Le monde erdélien se diviserait-il en deux, avec les raconteurs d’un côté et les trolleurs de l’autres ?
Rien au centre ?

renato dit: à

Qui a mis ce foutu zeitgeist sur la table sans s’expliquer ? mais l’ineffable célinien petit… quelle question !

Jacques Barozzi dit: à

Avec sa forte pointe d’ail, le mot piétaille sonne agréablement à mon oreille.
Pourquoi Clopine devrait-elle s’en passer ?
Pour le reste, c’est juste un malentendu, Paul Edel…

Jacques Barozzi dit: à

Sans les raconteurs, les trolleurs seraient au chômage technique ?

Jacques Barozzi dit: à

L’inverse est moins probable…

Des noms dit: à

Jacques Barozzi dit: 5 mars 2014 à 12 h 12 min

Mais si Jacquot :
u., JC, bouguereau, renato, Giovanni, même Colette, Paul, Sergio, Abdel, D., Polémikoeur….
Tu connais leurs vies ?
Pas celles que tu fantasmes, hein.

De l' air, du champ... dit: à

renato dit: 5 mars 2014 à 11 h 12 min

Qui pense comme un bidet?

Jacques Barozzi dit: à

« Les ateliers d’écriture sont une perte de temps pour les étudiants. Ils y apprennent à faire des phrases, pas à raconter des histoires. Parole d’expert : Hanif Kureishi, romancier… »

L’essentiel ne s’apprend pas à l’école, seulement à celle de la vie…

« u., JC, bouguereau, renato, Giovanni, même Colette, Paul, Sergio, Abdel, D., Polémikoeur….
Tu connais leurs vies ? »

J’en sais probablement plus sur eux que sur bien de mes connaissances et amis non virtuels !

Parisien de Paris dit: à

Je vis au milieu des ploucs

Vous en êtes une vous-même, votre langage de plouc en fait foi. N’essayez pas de vous extraire du lot. Vous pensez plouc, vous parlez plouc, vous êtes une plouc. Mais des ploucs on en trouve à Paris aussi bien qu’en Province, dans la classe ouvrière comme dans la bourgeoisie, ce n’est pas une question de géographie ni de milieu social. Être plouc c’est un état d’esprit, c’est ce que ne comprendront jamais les ploucs comme vous condamnés à le rester.

Parisien de Paris dit: à

il fut un temps où la piétaille n’avait pas le droit de l’ouvrir devant ceux qui avaient le « savoir » et ce dans tous les domaines

Discours classique de l’homme du ressentiment. Tous les ratés prétendent toujours qu’on leur met des bâtons dans les roues. Les prétentions littéraires d’une Clopine sont du plus haut comique, il n’y a aucun complot contre elle de la part des éditeurs ou de la critique : sa prose est tout simplement à chier, comme son humour d’ailleurs (Cloupinou, hou hou que c’est drôle) qui est de loin le plus pénible sur ce blog.

Jacques Barozzi dit: à

« u., JC, bouguereau, renato, Giovanni, même Colette, Paul, Sergio, Abdel, D., Polémikoeur….
Tu connais leurs vies ? »

Le « coupable » de ce commentaire, qui ne se veut ni troll ni raconteur de sa propre vie, se cache probablement dans cette liste ?
Sauriez-vous le reconnaitre ?
Mais dans quelle clan caser Daaphnée, dont la sexualité n’est plus un secret pour nous ?
Et Christiane, rose ou DHH, entre autres blogueuses ?

Des noms dit: à

Jacques Barozzi dit: 5 mars 2014 à 12 h 26 min

Fais pas ton TKT baroz, te vantes pas, ou alors, possible, t’as pas d’amis.

Des noms dit: à

Le « coupable » de ce commentaire, qui ne se veut ni troll ni raconteur de sa propre vie, se cache probablement dans cette liste ?

Encore perdu mon Jacquot.
Le fantasme de celui qui CROIT.

La clan des Erdéliennes dit: à

« Mais dans quelle clan »

Tu féminises trop baroz.

bouguereau dit: à

Avec sa forte pointe d’ail

le droit canon authorise la levrette et admet même qu’on plaidoit l’approximation dans les vases et orifices ..l’ail étant odieux au malin l’erreur n’est qu’humaine..

bouguereau dit: à

à condition que la plaidante mime bien devant son emminence et ne laisse rien dans l’ombre..ça prouverait sa fourberie..elle doit ensuite si elle connait un peu de notre bon fançois couché tout ça sur le papier lequel sera affiché au pilori et signé..le corps littéraire y sera exposé aux crachats et à la honte publique..

bouguereau dit: à

coucher..son emminence viens de me gifler..je lui ai filé un pain..nous sommes quitte et bon chrestien

bérénice dit: à

« il fut un temps où la piétaille n’avait pas le droit de l’ouvrir devant ceux qui avaient le « savoir » et ce dans tous les domaines »
Clopine, pire, il y a peu une interview trottoir datant des années 70 diffusé à je ne sais plus quel propos, où un homme d’un style jamais rencontré pour ma part déplorait qu’avec le folio la culture puisse migrer au-delà du territoire qui jusqu’aux livres de poches lui était réservé. L’homme ne semblait absolument pas douter du bien-fondé de son opinion et il ne s’agissait pas encore pour l’homme du commun de pouvoir s’exprimer.

Avec toutes nos félicitations dit: à

13h38

bérénice vient de découvrir que les cons existent.
Bravo bérénice.

bérénice dit: à

il y a une dérive regrettable du sens de la qualité « fascisante »Phil 11h54
Phil pourriez vous préciser dans quel sens vous regrettez la dérive car si votre suite sur cette intervention ne laisse pas l’ombre du doute, je ne comprends pas bien à moins que vous pensiez à ces ukrainiens décrits par les pro-russes comme des fascistes.

bérénice dit: à

Non mais j’ai été stupéfaite de découvrir que de tels cons puissent défendre une telle position, même à replacer l’interview dans le temps, je n’en reviens pas! Ce mépris, cette arrogance, l’accès à la culture comme un privilège de classe.

des journées entières dans les arbres dit: à

ça feuilletonne dur didon, ce jour.
Y’a beaucoup de « buisson » qui s’ignorent.

Si d’aventure un sage passait par là, quel est le philosophe ayant traité le mieux de la loyauté, concept peut-être un peu brutal ( sauf pour Julius) dans ces colonnes, j’en ai bien conscience.

Sinon, Phil, pour « Diplomatie » , il faut être parisien pour l’apprécier, ou alors bien connaitre l’escalier de l’hôtel Meurice ?

Connaisseur de ver subtil ou d'ATC...* dit: à

Alors? Notre invité de marque, comment se réfrigère t’il en cette journée de franche déconnade?

DHH dit: à

@chere Clopine
Pourquoi avez-vous ce complexe de l’autodidacte ,qui vous vous force à vous justifier en permanence de votre legitimité à vous exprimer ?
Moi je voudrais vous dire plusieurs choses
1) les diplômes ne préjugent en rien de la capacité à emettre un jugement litteraire ;un ou une agrégée de lettres , par exemple , cela peut être quelqu’un qui un jour de concours a réussi un theme grec et s’est endormi ensuite sur ses lauriers, sans progresser en rien .Qu’aurait-il (ou elle ) à dire de plus sensé que vous, qui lui conférerait un droit à délivrer une parole respectée ?
2) s’agissant de vous, il est clair que vous avez un don d’ecriture incontestable et que vous avez beaucoup lu et bien lu . Et si la légitimité sur ce blog devait s’apprecier à l’aune de la richesse et de la tournure des interventions, vous etes dans le peloton de tête. Si l’acces à ce blog, ce qu’a Dieu ne plaise se faisait sur la base d’une selection, vous seriez en tête des admis
3) le miracle des blogs et de celui-ci en particulier ,c’est de pouvoir offrir aussi à la piétaille le droit d’emettre une opinion et de dialoguer avec des gens avertis qu’on ne rencontrerait pas dans la vraie vie ;En tout cas c’est ce qu’il m’a apporté, et je serais désolée s’il fallait montrer, comme semblent le souhaiter certains, patte blanche littéraire pour avoir le droit de s’y exprimer ,quelle que soit la mediocrité ou la naîveté de ce qu’on a à dire, et que justement ces grands esprits peuvent corriger
4) donc Clopine soyez vous-même et c’est déjà tres bien et songez que beaucoup qui aiment vous lire,et aimeraient ecrire comme vous ne se posent pas la question de votre manque de peaux d’âne,ou alors c’est que de vous savoir moins diplomée qu’eux (ou elles)met un baume sur leur jalousie à votre égard

des journées entières dans les arbres dit: à

y’a pas à dire je préfère M. Court quand il fait la leçon. Au moins, ça flagorne pas.

Connaisseur de ver subtil ou d'ATC...* dit: à

J’attends un colifichet.

Surtout nous avons là un beau sujet dit: à

affreuseté moche

Curiosa dit: à

eh oui, bérénice à 13h54 : « ce mépris, cette arrogance, l’accès à la culture comme un privilège ce classe »… il n’y a qu’à lire les commentaires de MCourt pour s’en rendre compte

Jacqueline dit: à

@chere Clopine
Pourquoi avez-vous ce complexe de l’autodidacte ,qui vous vous force à vous justifier en permanence de votre legitimité à vous exprimer ?

Nouvelle venue sur ce blog, j’ai suivi par curiosité la polémique entre Clopine et Paul Edel/Court. J’ai lu « Pour en finir avec Eddy Bellegueule » et je suis bien obligée de donner raison à Paul Edel/Court contre Clopine. Ce qu’elle dit me paraît très bête, faute d’un minimum de réflexion. Elle ferait mieux de s’occuper de son poulailler plutôt que s’essayer à la critique littéraire. Je suis pour donner la parole à la piétaille, dans des limites raisonnables, mais dans le cas de Clopine, on n’est plus dans la piétaille, on est carrément dans le bas de gamme. J’ai été sidérée, d’autre part, par l’agressivité de certains commentateurs, comme Curiosa et Chaloux; ce ne sont qu’injures ordurières et menaces contre d’autres intervenants. Il paraît que beaucoup de commentateurs de qualité ont peu à peu cessé d’intervenir sur ce blog; cela ne m’étonne pas, si personne ne fait le ménage pour balayer ces tas d’ordures. Il semble qu’aucune modération ne soit pratiquée ici. De la part d’un écrivain et critique aussi connu que Monsieur Assouline, cela m’étonne car il doit bien se rendre compte qu’un tel laisser-aller nuit à son image de marque. Enfin, il fait bien ce qu’il veut, n’est-ce pas. Quant à moi, en tout cas, je m’en vais définitivement ailleurs, histoire de respirer un air moins délétère et de lire des commentaires d’un autre niveau.

Curiosa dit: à

Jacqueline : on t’a reconnue, JC !

Polémikoeur. dit: à

Ne dites pas : Sigmaringen,
mais dites : « Singing in the rain ».
Quelqueparticulièrement.

Sergio dit: à

Jacqueline dit: 5 mars 2014 à 14 h 42 min
son image de marque

Ouais mais libertad ! Les sociétés normalement quand c’est bien fait elles finissent par s’huiler toutes seules… Faut qu’elles se polissent, pas qu’elles se policent…

Société des désagrégées dit: à

que vous avez beaucoup lu et bien lu .
DHH

DHH est complètement désagrégée

Phil dit: à

L’important est de savoir si M. de Ceccaty a pistonné le jeune homme, dans tous les sens du terme. Dear passoupline est au courant de toutes ces fumerolles.
Fascisme; quand Mussolini parlait, Hitler riait. Au début de l’ére chrétienne, c’était autre chose, les Romains mâtaient la Judée pendant que les Germains chassaient l’ours. DHH est agréable à lire malgré son pseudonyme de nettoyant.

Connaisseur de ver subtil ou d'ATC...* dit: à

warf*, c’est pour se retravailler un peu

Titoeuf dit: à

Trouillefou est la tête de turc de ce blog. La pôôôôv, elle va jouir en dépit de son plein gré!

Mimi dit: à

Certes, Clopine blablabla
Barrozizi

ben va lire dans son chiotte et lache-nous la grappe connard!

Sergio dit: à

Phil dit: 5 mars 2014 à 15 h 01 min
Fascisme; quand Mussolini parlait, Hitler riait.

L’idiot de Berlin ? Quand tu dansais, Dolly…

Dany le rouge dit: à

Ce mépris, cette arrogance, l’accès à la culture comme un privilège de classe.
Bérénice

Y’a les intelligents et les cons, c’est comme ça

c’est tout sauf une question de classe sociale.

Pascal dit: à

@Jacquelie « Nouvelle venue sur ce blog »

Mentir est haïssable

Connaisseur de ver subtil ou d'ATC...* dit: à

s’être menti, c’est la dévastation.
A priori je réagis qu’aux petites interventions minuscules (petites minuscules ça va de soi) puisque Jacqueline se présente

angela dit: à

les Romains mâtaient la Judée pendant que les Germains chassaient l’ours

ours toi -même

christiane dit: à

O.K, Clopine, pas de problème. Bonne fin de lecture.

Sergio dit: à

angela dit: 5 mars 2014 à 15 h 46 min
les Romains mâtaient la Judée

C’est comme ça qu’on se prend des tuiles…

JC..... dit: à

christiane dit: 5 mars 2014 à 15 h 48 min
O.K, Clopine, pas de lecture. Bonne fin de problème.

JC..... dit: à

« Y’a les intelligents et les cons, c’est comme ça
c’est tout sauf une question de classe sociale. »

Ce que j’ai lu de plus sensé depuis « Ma vie, mon œuvre » de Ravaillac …

Connaisseur de ver subtil ou d'ATC...* dit: à

ah oui… le sponsoring paribas (genre)

Paul Edel dit: à

Mon cher Renato, mais que serait un critique littéraire qui ne croirait qu’à moitié à ce qu’il dit ? une sorte d’indécis sur ses opinions.. une sorte d’indécis perpétuelle.. ? en critique c’est rien. Une lecture provoque ennui, parfois enthousiasme, et le plus souvent une réflexion gênée devant des livres moyens et des qualités moyennes, disons les ¾ de ce qui se publie de littéraire en France…ce qui est important c’est de découvrir un vrai écrivain et de le défendre becs et ongles..chaque rentrée littéraire permet d’en découvrir ou au moins quelques uns. Et il fait le dire clairement, avec arguments forts ! sur le courant de la production alors il vaut mieux faire silence..On retient de la critique ses découvertes ses enthousiasmes, et quelques descentes en flammes d’auteurs déjà célèbres ( c’est le coté Rinaldi, excellent) pur les enthousiasmes le pus bel exemple célèbre , c’est Balzac saluant « la chartreuse de parme » de son confrère Stendhal.. qui, pourtant, possédait des qualités qui ne sont pas du tout balzaciennes..

.La critique littéraire est ouverte à tous ? tant mieux. Avant les blogs, il y avait les revues, ds cahiers, une presse locale, des signatures de presse , des radio locales, qui pouvaient s’exprimer, ou bien cette conversation entre passionnés dans une simple librairie
les blogs ouvrent les vannes à tout le monde. Tant lieux. Renouveau, redynamisation. Ce n’est plus le privilège de quelques journaux qui forment l opinion. Le carcan est desserré. ^parfait.. tant mieux.. et c’est une source nouvelle . un espace parlé, passionné et démocratisé (parfois trollisé,certainement..) est en leine naissance.
la critique littéraire est en train d’ouvrir les fenêtres grâce aux blogs.
.
une chance pour étudiants, simples lecteurs, auteurs publiés,personnes éloignées de là où çaa s’écrit , auteurs non publiés, qui soudain peuvent se faire entendre, voire même écouter..faire partager enthousiasmes ou déceptions, perplexités ou réactions à vif, reliés soudain au monde entier..avec un effet boule de neige et polémique.. la littérature, à tous les siècles, a vécu de polémiques, d’empoignades homériques (Barbey d’aurevilly spécialiste..), de querelles piquantes, d’accusations minées, de griffures, de procès, de guerres picrocholines,…
Une querelle sur un roman est la chose la plus naturelle du monde et la pus délectable.. Et quand on refait l’histoire de la critique littéraire depuis sainte- beuve jusqu’à François Nourissier, on s’aperçoit que au moins une fois sur deux la postérité ne ratifie pas.la critique litté raire, mais que les « papiers » sont succulents à reire,par leur inelligence, leur ton, ,parfois leur violence polémique, (Rinaldi) ou la finesse de leurs arguments (Renaud Matignon par exemple sur Bernanos)).
même lorsqu’elle est analyse complète, ce n’est pas une science exacte, mais au moins, la voix d’un critique littéraire, son attention sa chaleur, ses débats moraux, sa voix, son style, son écriture, son ton sont reconnaissables et rendez vous précieux ; même si l’auteur qu’il défend tombe dans ‘oubli, car une grande critique littéraire fait partie de la littérature, au même ttre qu’un poeme ou une prose. Ce que paul Valery écrit sur Voltaire, Gide sur Montaigne, Blanchot sur Kafka, Nourissier sur Giono, sont aussi des grands moments littéraires. .
C’est vraiment un métier ouvert à tous et aujourd’hui particulièrement grace à ces blogs, à celui de la rdl, à celui de clopine, à tant d’autres. Il peut y avoir aussi mauvaise foi, copinage, enculage de mouches, gros effets de manche, mais ca se voit vite et ca ne tient pas le coup longtemps, car le lcteur,justement, n’est pas dupe.
C’est bien sûr un infini de liberté, la critique littéraire. . Quel bel espace. Le problème c’est qu’il est devenu, dans pas mal de journaux, une simple pub pour des maisons d’édition, un réseau d’entraide, une extension de la com, via les attachées de presse.
Enfin, le critique littéraire doit s’attendre à se faire des ennemis. car si on comptabilise les auteurs mécontents parce qu’on ne parle pas d’eux, ceux qui souffrent qu’on parle d’’eux en faisant des réserves, ceux à qui on a promis une carrière éblouissante et qui ne la font pas, ceux qu’on a aimé sur un ou deux livres et pas sur les autres, ceux dont on a fait l’éloge avec des arguments qui ne leur plaisent pas, il doit rester 5% de satisfaits sur ceux qui otn été critiqués.. Enfin ceux qui publient à compte d’auteur peuvent, grace au net, avoir un écho, assez alrge, n’est-ce pas Cloopine ? ceux là peuvent avoir des lecteurs, des acheteurs,un forum, et des critiques argumentées.. Mais bien sûr, on apprend l’humilité quand on fait une carrière dans laa critique littéraire car on voit des auteurs défendus il y a 15 ans, qui se sont arrêtés d’écrire ou qui, hélas, continuent à écrire. Alors qu’ils n’ont pus rien à dire ;. ou d’autres qu’on avait mal évalueé, devenir des « grands »..On voit aussi en lisant la grande critique littéraire du XIX et XX° siècle, que de Théophile Gautier à Nisard et de Thibaudet à Renaud Matignon, tous les grands critiques ont eu des jugements que la postérité a quelque fois démenti .mais qu’on peut toujours lire comme de beaux morceaux de prose.

je n’ose imaginer le silence que serait la publication d’œuvres si il y avait une grve de la critique littéraire pendant plusieurs mois.. Donc, vive la critique, car même aveugle sur ses contemporains elle nous apprend beaucoup. Rinaldi préférait les morts , de saint simon à Flannery o’ connor, et n’aimait pas trop sa génération ni la précedente….ni claude simon. ni modinao, ni le clézio, ni robbe-grillet, ni d’Ormesson, ni,ni,ni, ; Mais on garde un excellent souvenir de tous ses « papiers » dans l’Express.. tellement ils étaient signés d’un grand écrivain.
. la critique rassemble différentes espèces de critiques ,vrai zoo:depuis le « tigre » qui déchiquète l’auteur et le livre, le chat faisant sa pelote et nuançant et feutrant ses gris..(façon Nourissier), ou l’impeccable professeur à bouse grise , façon Julien Gracq parlant aussi bien de Breton que de Jünger, de Proust que de Mauriac.

JC..... dit: à

« u., JC, bouguereau, renato, Giovanni, Jambrun, Sergio, TKT, D., Daaphnée, Christiane, rose, ….
Tu connais leurs vies ? »

Vous saurez tout, lecteurs ! Je termine l’histoire de notre vie à tous, frères et sœurs, qui, livre à succès oblige, devrait nous assurer honneur et fortune…

Je tiens le récit de l’accouchement de notre mère de la bouche même de la sage-femme, Judith DHH, qui l’aida le 14 décembre 1962 à enfanter.

– Voilà, madame, ce sont des sextuplés ! en parfaite santé ! Bravo… Vous sentez vous délivrée ?
– Hélas, j’ai bien l’impression que cela n’est pas tout à fait terminé…
– Bon dieu, mais …. ! en voilà encore six ! Allez poussez, je vois la tête du dernier !
– Mon dieu ! Dans quel état m’a collé ce monstre… 12 enfants d’un seul coup !
– Quel homme vous avez ! Quelle vigueur …
– Et oui, tous les Barozzi sont comme ça ! Depuis la Renaissance !
– Vous allez en donner, j’espère ? Douze c’est beaucoup…
– Evidemment… et en jeter un ou deux, les plus laids, naturellement !

romain dit: à

« Au début de l’ére chrétienne, c’était autre chose, les Romains mâtaient la Judée pendant que les Germains chassaient l’ours.  »

les Romains ont mâté aussi les Germains en partie

Deneb dit: à

et même les Germaines.

Deneb dit: à

je n’aime pas le mot congénital, il est dégoûtant au possible.

Tartalacrème dit: à

Paul Edel essaie vainement de se raccrocher aux branches suite à son commentaire un tantinet venimeux hier à 21 heures 09, profil bas mais ça ne trompe personne, trop tard

Deneb dit: à

.Commencer une phrase par un point ça en jette, c’est très tendance. Je vais m’y mettre moi aussi après tout

Deneb dit: à

.N’est-ce pas Cloopine ?
.Qu’en dites-vous Booguereau ?

Sergio dit: à

Paul Edel dit: 5 mars 2014 à 16 h 17 min
Ce que paul Valery écrit sur Voltaire, Gide sur Montaigne, Blanchot sur Kafka, Nourissier sur Giono, sont aussi des grands moments littéraires. .

Ils ont quand même le pétrole, ces gars, il est presque sidérant, comme dirait Quignard, que l’on trouve à faire sourdre cette énergie en sus de celle nécessaire à ce que l’on privilégie, sa propre oeuvre.

Connaisseur de ver subtil ou d'ATC...* dit: à

pas Resnais, par Sollers, pour 3francs six sous, ça vous botte ? (je lui écris si il faut)

Clopine toute entière à son troll attachée dit: à

yes, yes, yes ! O vous, passouliniens désoeuvrés, courez acheter (attentio je prends mon temps…) SIGMARINGEN : je crois que c’est le meilleur roman de notre hôte. Meilleur que « Vies de Job » ? Peut-être pas, mais plus accessible, parce que souscrivant aux règles romanesques (héros positif, histoire d’amour, un début un milieu une fin) sur fond d’histoire tout court. C’est bien simple : à peine ai-je fini ce livre que j’ai envie de relire « D’un château l’autre », alors que je n’ai lu ce Céline que par devoir, en quelque sorte, et par acquis de conscience. Or, désormais, la vision de (attention, allez, hop 🙂 SIGMARINGENn (yesssss, je crois que ça vient !!!) m’est devenue tellement éclaircie que je vais lire autrement la prose célinienne, et que j’en tirerais, peut-être, allez savoir, le suc ironique.

Bon le mérite du bouquin de notre hôte ne se limite pas seulement au fait que vous allez vous précipiter pour relire Céline après lui, hein. Il est surtout remarquablement documenté, et puis chic : à la fin, Pierre Assouline cite ses références et devinez quoi ? Eh oui, vous le saviez : Altman et Dowton Abbey y figurent en bonne place. Je souris en coin, là.

C’est rigolo : autant, dans son « invitée », Pierre Assouline avait fait l’impasse, et je lui avai reproché parce que j’avais attendu tout le livre quelque chose qui n’était pas dedans, avait fait l’impasse, dis-je, sur l’utilisation des aliments (et pourtant cela se passait pendant un dîner « en ville »), autant là, il rend presque palpables les contingences matérielles. C’est tout juste si l’on ne sent pas l’odeur du rutabaga (à la fin) de la cire aristocratique (au début). Et puis les références musicales sont si justes. Je suis sûre que Pierre Assouline a fait lui-même les recherches dont son héros, ce Julius si allemand, se targue.

Et puis ça « finit bien », en somme, ce qui moi ne me déplaît pas du tout. Bien sûr, on pourrait chipoter, on peut toujours. Par exemple, on pourrait regretter la présence de Trenet comme point d’orgue (perso j’aurais mis la musique qui a servi lors de la cérémonie où Mitterrand a serré la pogne d’helmut), mais bon c’est pendant un mariage alors…

Il y a une faute de typographe aussi, si ça intéresse notre hôte je peux retrouver où, moi ça ne m’a pas gênée j’ai continué tout droit.

Ah oui, vraiment, félicitations mon hôte, sans l’ombre d’une réticence. Vous avez rendu là quelque chose qui vient de votre coeur : votre Julius, c’est-à-dire la culture aristocratique allemande (précipitez-vous TKT !), voilà que vos mots l’absolvent en quelque sorte, non de son crime mais de son intention. C’est vraiment bien. Il faut que ma belle-mère (85 ans, et qui ne parle jamais des allemands sans les traiter de « Boches sortis de Bochie », ahlàlà) lise votre livre. Comment vais-je m’y prendre, nom de dlà ?

Clo enthousiaste.

Sergio dit: à

Tartalacrème dit: 5 mars 2014 à 16 h 50 min
un tantinet venimeux

Faut quand même bien voir qu’on n’a jamais vu la piétaille passer un oxer double… Tandis que Portat des Oncelles, lui, au pas, la pièce de monnaie coincée sous les fesses comme preuve, il survole tous les obstacles du manège médusés…

Evidence dit: à

Clopine toute entière à son troll attachée dit: 5 mars 2014 à 17 h 32 min

Paul Edel a entièrement raison, la critique littéraire est un vrai métier.

Herbie dit: à

Et vas-y que je te cire les pompes. Mais elle est prête à toutes les bassesses, la Clopine Trouillemerde. Affolée de reconnaissance, qu’elle est, la Trouillemouille. Immonde grognasse.

Procédons par élimination dit: à

17h32

DHH nous vante les qualités d’écriture de Clopine.
Une certitude DHH ne sera jamais critique littéraire.

Connaisseur de ver subtil ou d'ATC...* dit: à

Après avoir mangé

Clopine toute entière à son troll attachée dit: à

(je n’aurais pas dû écrire « yes, yes, yes », mais « da, da, da ».) (sourire).

Dites, les trolls, ça ne vous ferait rien de me lâcher les baskets, au moins une fois par jour ?

Chaloux dit: à

Paul Edel dit: 5 mars 2014 à 16 h 17 min

Popaul, vous êtes gentil, mais si vous arrêtiez d’enfoncer les portes ouvertes, hein ? Merci.

Miroir, mon beau miroir dit: à

Chaloux dit: 5 mars 2014 à 17 h 51 min
Popaul, vous êtes gentil, mais si vous arrêtiez d’enfoncer les portes ouvertes, hein ? Merci

Paul Edel dit: à

Chaloux dit: 5 mars 2014 à 17 h 51 min

Mon pauvre Chaloux, le nanisme intellectuel dont témoignent la plupart de vos interventions sur ce blog devrait vous inciter à vous dispenser de me donner des leçons.

TKT dit: à

@ “ votre Julius, c’est-à-dire la culture aristocratique allemande  » nous sort Clopine:
Un majordome, comme représentation de la culture aristocratique allemande ? Allons, Clopine, la culture dont vous parlez ne peut être représentée, que par un officier de la cavalerie amateur de chasses en forêts, un hobereau de lointaine terre, genre Schlesien. Un majordome reste un majordome, n’en faites pas un Major ! Un valet est comme l’infirmière qui passe les scalpels, il connait les règles, les processus, mais ne remplace pas le chirurgien. Et puis vous parlez, comme si il y avait une culture allemande, 1 culture allemande, j’en vois plusieurs.

TKT dit: à

Clopine: Da ? C’est du russe.
Ja, c’est de l’allemand et Jawohl ! c’est de l’allemand qui tient dans ses bottes d’officier.

Chaloux dit: à

Paul Edel dit: 5 mars 2014 à 18 h 02 min

Pitoyable resucée de Trissotin, à la niche !

Sergio dit: à

Herbie dit: 5 mars 2014 à 17 h 43 min
Et vas-y que je te cire les pompes.

Ca, c’est pas grave ; le seul truc qu’y faut pas, c’est fournir le cirage !

bérénice dit: à

Je n’ai pas lu mais comme FF je ne dirai qu’un mot: répugnant.

bouguereau dit: à

hach ja..cul nu avec les bottes rouge..fangen zi mes miches mein herr

Béret basque dit: à

Je n’ai pas lu mais comme FF

Qui est FF ?

Sergio dit: à

TKT dit: 5 mars 2014 à 18 h 04 min
genre Schlesien

Ou Lituanie comme dans le Schlöndorf. Là c’est… préhistorique, comme mecs. Mais c’est du bon !

bérénice dit: à

les Romains ont mâté aussi les Germains en partie
C’était que des décadents.

Paul Edel dit: à

« Paul Edel dit: 5 mars 2014 à 18 h 02 min »
là, ce commentaire n’est pas de moi. j’ai rien dit à 1802, sauf quelque chose à mon chat qui ne regarde que lui et moi..
Quant à « Tartalacrème » vous etes marrant: non je ne me « raccroche pas aux branches », branches à propos de quoi? je ne retire rien de mes commentaires récents, j’explique et j’expose ce qu’est pour moi la critique littéraire..et pourquoi elle me plait tant. tenez je vous conseille de lire les deux volumes de « plaisir et lectures » de José Cabanis. voilà un critique littéraire selon mon gout: pointu, âpre, vif, violent, coupant, précis pour parler de Chateaubriand, de Baudelaire (vue plongeante magnifique sur le critique Baudelaire.), de Taine, de Crébillon fils (« c’est du Marivaux sur canapé ») ou son hommage à Mauriac,si vibrant.

bouguereau dit: à

Un valet est comme l’infirmière qui passe les scalpels, il connait les règles, les processus, mais ne remplace pas le chirurgien

nom d’un berger allemand, t’as une espèce d’autorité naturel vontraube qui force le respect c’est certain..clopine est subjuguée..c’est pas compliqué elle est tienne

bouguereau dit: à

Dites, les trolls

prends les trolls clopine..c’est germain..y’a pas dça par chez nous..que des farfadets

bérénice dit: à

(vue plongeante magnifique sur le critique Baudelaire.)
Peut-être trouverez vous idiote mon insistance ou insistante mon idiotie mais est-ce à dire après recoupements des éléments de l’enquête que le dit Charles porta un soutien-gorge et si oui pour quel autre motif que décadent ou répugnant, lui aussi?

bouguereau dit: à

qu’elle est, la Trouillemouille. Immonde grognasse.

avoue que ça te plait ! ha la jouissance dans l’insulte..c’est de la litterature c’est certain

des journées entières dans les arbres dit: à

Et dire que toute la France est en train de passer en zep, zep+++, en zone d’éducation prioritaire aggravée… Et cela dure depuis au moins, au moins. Très longtemps.
Par conséquent, si on isole un épiphénomène sociologique braillard, quel mal y aurait-il en effet à quémander sur un blog un soutien, du genre scolaire pour vieille illetrée, mais pas analphabète -tout est relatif, c’est cruel, mais comme dit Carla, on ne propose pas de l’anti-ride à une jeunesse de 22 ans- qui ne veut pas savoir lire ?
Heureusement qu’il ne s’est pas trouvé ici un Nathan Zuckerman, car dans cette « affaire » de « regarde comme j’sais bien lire », tout à l’air aussi moche dehors que dedans.

bérénice dit: à

Ceci étant c’est mon poète préféré parce que je n’en connais aucun des autres, trop nombreux, il faut choisir et s’arrêter.

Connaisseur de ver subtil ou d'ATC...* dit: à

C’est complètement frappé au coin du bon sens.

Béret basque dit: à

les Romains ont mâté aussi les Germains en partie

Et si je mâtais Clopine, elle ne s’en porterait sans doute que mieux ?

bérénice dit: à

ATC pour arrête tes c…? Ah t’as rien compris?

bouguereau dit: à

Vin: It’s like a fellow I once knew in El Paso. One day, he just took all his clothes off and jumped in a mess of cactus. I asked him that same question, « Why? »
Calvera: And?
Vin: He said, « It seemed to be a good idea at the time. »

bouguereau dit: à

Et si je mâtais Clopine, elle ne s’en porterait sans doute que mieux ?

it’s vontraube’z djob

Béret basque dit: à

Vin: He said, « It seemed to be a good idea at the time. »

A propos de bonne idée, et si on en remettait une bonne couche au Cheuloux, quoi que t’en dis, le Boug ?

el rollo dit: à

Asperges, Tien Anmen et Compagnie

bérénice dit: à

Bouguereau n’avez-vous donc que des anecdotes de masochiste exhibitionniste en chaleur à rapporter? Voulez-vous mon compas? Afin d’enfin tracer une nouvelle géométrie qui exprime votre mal-être le soir au fond du bois? Comme je vous comprends!

Sergio dit: à

En Prusse, il y a des séquoias, qui ont des tonnes d’années ! On peut pas vivre sans. Et alors c’est très bien décrit par Ferdine. Dans Nord. Avec les oies… Clac ! Clac !

bouguereau dit: à

et si on en remettait une bonne couche au Cheuloux, quoi que t’en dis, le Boug ?

y s’est calté..jeté dans sa fosse septique..et tout au fond il dit..bloub venez me chercher blob bande de pleutres ! (bloub)..

Et Chaloux s'enfonça dit: à

Le 18h02 sent si fort sa Colette que ça doit en être.

bérénice dit: à

Asperges, Tien Anmen et Compagnie
En réalité et malgré la photo qui immortalise la scène, l’homme n’est pas resté longtemps dans la ligne de mire, ses amis affolés sont vite venus le tirer par le bras pour le dégager de là où il semble fiché pour toujours.

bouguereau dit: à

une nouvelle géométrie qui exprime votre mal-être le soir au fond du bois?

ha c’est pas con le coup de la géométrie pour les maux de tête..ça fait méchant pentacle

rose dit: à

u. dit: 4 mars 2014 à 23 h 49 min
Sous la lune, je lis ça:

François Hollande a confirmé les faits relatés par Roger Cukierman: «Des Juifs qui sont agressés sur la voie publique parce qu’ils portent une kippa, des jeunes qui sont insultés dans l’école de la République, des synagogues qui sont souillées par des croix gammées.» «Cette flambée de haine ne surgit pas du néant, a poursuivi le président. Elles sont le produit d’un climat où prospère l’intolérance. (…) Avec les mêmes rhétoriques complotistes ou conspirationnistes qui resurgissent comme si les leçons de l’histoire la plus tragique n’avaient pas été tirées.» François Hollande a cité la manifestation du Jour de colère, «avec des groupes hétéroclites unis par la seule hantise du juif».

C’est indéniable.
Ensuite, on cause.

On commence par lutter contre les représentations primitives, de type racialisantes.

Comme pour Waltari le pelotari cubain qui joue au pays basque : il a eu droit a des cris de singe dans les gradins lorsqu’il jouait a ses debuts.

bérénice dit: à

Béret basque, je ne soupçonnais pas qu’il puisse s’agir de vous, ne prenez pas mal la chose, c’est pour rire.

bouguereau dit: à

des anecdotes de masochiste exhibitionniste en chaleur

on voit que t’es pas un défenseur de la veuve et de l’orphelin..t’es un rationaliss de la bande a calvéra..j’ai un colt qui s’appelle « vadé » et l’autre « rétro » !

Jacqueline dit: à

De passage (très brièvement sur ce blog), je constate qu’en dépit de la saison le niveau des échanges reste à l’étiage. C’était quoi, déjà le plat du jour ? l’acacadémie ? Vous m’en remettrez une louche.

rose dit: à

Etre Academicien c’est avant tout honorifique. Joseph Kessel l’a ete au fauteuil 17, avec Le Lion.

bis repetitat.

bérénice dit: à

Bonne soirée Jacqueline, ne perdez pas votre temps ici c’est pour les abrutis en mal de civilisation. Bye!

rose dit: à

Comme dictionnaire il en existe un extraordinaire non edite depuis dix ou vingt ans que l’on doit pouvoir trouver au marche du livre ancien en quinze tomes (il est sur la toile a 256 euros et quelques poussieres).
J’ai nomme le

Connaisseur de ver subtil ou d'ATC...* dit: à

J’ai quand même l’impression qu’on me tire dessus

Jacqueline dit: à

J’ai quand même l’impression qu’on me tire dessus

Mais non mais non. On n’est pas à Kiev, juste à Sébastopol.

bérénice dit: à

semble qu’aucune modération ne soit pratiquée ici. De la part d’un écrivain et critique aussi connu que Monsieur Assouline, cela m’étonne car il doit bien se rendre compte qu’un tel laisser-aller nuit à son image de marque. Enfin, il fait bien ce qu’il veut, n’est-ce pas. Quant à moi, en tout cas, je m’en vais définitivement ailleurs, histoire de respirer un air moins délétère et de lire des commentaires d’un autre niveau.
Jacqueline en début d’après-midi, quelle classe, n’est-ce pas et je m’unis à son désarroi pour déplorer que le niveau baisse, que le bateau sombre et qu’aucun comité de salubrité ne soit efficace à rétablir une censure saine et intelligente.

Connaisseur de ver subtil ou d'ATC...* dit: à

Jacqueline dit: 5 mars 2014 à 19 h 02 min

J’ai quand même l’impression qu’on me tire dessus

Mais non mais non. On n’est pas à Kiev, juste à Sébastopol.

C’est sans dessus-dessous ça?

Jacqueline dit: à

Jacqueline en début d’après-midi, quelle classe, n’est-ce pas et je m’unis à son désarroi pour déplorer que le niveau baisse, que le bateau sombre et qu’aucun comité de salubrité ne soit efficace à rétablir une censure saine et intelligente.

Tu me lâches les escarpins, hein, toi, la grognasse. Va te faire titiller par ton Tite si ça te chante, je ne mange pas de ce poupin-là.

bérénice dit: à

Objection, je ne vois pas en quoi cette métaphore détournée, cette analogie serait juste alors que tout savoir se noie dans l’océan, la vie de chaque chercheur un point à l’horizon, la Mer Noire bien que géo-stratégique en rien ne peut laisser entrevoir la vastitude de l’étude jamais achevée.

rose dit: à

Dimitrakos, D. Mega lexikon ellinikis glossis Dimitrakou (Great Dictionary of the Greek Language), Domi 1951, Vol 1-15, pdf

bérénice dit: à

Les soviets ont asséché la mer d’Aral mais ce n’est pas une raison pour passer d’une courtoisie de salon à l’hostilité grossière. Etes-vous lunatique?

rose dit: à

bonne soiree a tous

joe dit: à

« , la Trouillemouille. Immonde grognasse. »

la (((pauvre))) daaphnette est au comble de la félicité et ((((chuuuut))) u. qui ((((((((((((hélas)))))))))))pour lui n’est pas là pour lui tenir le petit doigt!

Jacqueline dit: à

Si on ne peut plus s’amuser sur ce blog, alors… L’acacadémie, c’est sûr que c’est rigolo, mais bon

DHH dit: à

Procédons par élimination dit: 5 mars 2014 à 17 h 44 min
« DHH nous vante les qualités d’écriture de Clopine.
Une certitude DHH ne sera jamais critique littéraire ».
vous avancez beaucoup;
je pense que je sais dire,y compris à propos de Clopine ,si j’aime,si j’aime pas et pourquoi.c’est bien cela la critique?
J’en ai publié s’agissant de films,il y a quelques annéees dans une revue confidentielle ,il est vrai,mais tres lue par sa cible bobo

renato dit: à

La question de la critique, Paul, nous ramène à la question de l’époque et du temps : Valery écrivant sur Voltaire, ne conduit pas la même action et il n’agit pas dans la même situation que Balzac saluant “la chartreuse de parme”.
Puis il y a la question de la destination (les “lettere editoriali” de Bobi Bazlen n’ont pas la même nature que la lecture des “Mottetti” de Montale par Dante Isella, etc). Enfin, chaque approche critique ressent de la nature du support de destination.
Or, via les blogs le lecteur ne donne que des échantillons des perceptions ; échantillons que l’on ne peut pas prendre comme moments critiques car ils ne parlent que rarement du livre dont on cause et jamais de sa facture car, la plus part du temps, c’est du : « J’aime / je n’aime pas »… oui… certes… avec un peu de couleur, mais pas grande chose… oui, parfois c’est le pot de rouge qui tombe sur le sol… d’autres fois ce sera une autre couleur, peu importe… parfois pas de demi-mesure, et c’est l’échafaudage qui s’écroule avec tous les pots : rouge, vert, jaune, bleu… mais cela reste de la couleur… avec beaucoup de bruit, c’est vrai… du bruit et de la couleur… et un grand désordre su le sol car un échafaudage ça fait minimum un pont, parfois deux plus une passerelle, et tous les éléments de la charpente… et nous en somme plus aux échafaudages documentés par Weidenhöffer (baliveau et boulins)… donc un bruit assez doux… nous en sommes à l’acier et à l’aluminium… un bruit infernale, je m’abstiendrais de toute comparaison avec les expériences musicales des années 50/60… bien qu’il y ait dans la chute d’un échafaudage (en it. on dirait “rovina al suolo” ou encore “si disfà con violenza”) quelque chose de ces expériences où étant donné un matériaux (n’importe lequel) on avait des résultats différents selon les condition d’exécution… ou la comprenette de l’exécutant ou interprète… Enfin, pour revenir à la critique, « Quel est le point de vue du moi ? », c’est Benn qui pose la question, et sa réponse est sans appel : « Il n’en a aucun ». Évidemment la critique est un beaux jeu, mais il ne faudrait pas oublier que désormais les gens font des bonnes choses pour des mauvaises raison… par exemple, le Vermeer et le Carel Fabritius, ne sont pas visité pour les bonnes raison… Supposons maintenant qu’un écrivain de bon niveau (comme Donna Tartt pour le Carel Fabritius) écrive un roman où The Rooster de Owon joue un rôle important… déjà tous comme un seul homme voir sur Wiki (« C’è qui celui-là ? »), et puis heures de queue sur le trottoir, au froid, pour ne jeter qu’un coup d’œil à une œuvre dont dans des autres conditions on se foutrait de la plus belle eau… car « Quel est le point de vue du moi ? »…

Connaisseur de ver subtil ou d'ATC...* dit: à

double bobble, you pay twice the price, where’s my argus?

Connaisseur de ver subtil ou d'ATC...* dit: à

pour la modération (cise aux champs-élysées), j’en ai une bonne :
Il faut lever la main
pour répondre?

Chaloux dit: à

Il est bien évident que je ne suis pas non plus l’auteur des facéties de l’après-midi.
Bonne soirée,

kicking dit: à

un hétéro dirait qu’elle est franche du collier

comme d’un joug qu’ils ont tous tirés..

Chaloux dit: à

Le 18h02 sent si fort sa Colette que ça doit en être.

Evidemment. Ce pauvre JB souffre d’un dévoiement de pseudos, qui, comme dirait Feydeau, « fait image ».

Paul Edel dit: à

merci Renato de votre réponse. je constate que la reflexion de G. Benn, est,comme toujours dans ce qu’il écrit, fascinante, de tranchant et de profondeur . il rejoint assez souvent Pirandello sur les problèmes du « moi » cassé, chez l’homme moderne .mais c’est un vaste débat philosophique.je reste au ras de l’expérience journalistique, et des revues etde l’histoir de la critique littéraire.. qui n’est ni lecture dans le marc de café ni science pure..Vous,Renato, vous envisagez une problematique plus vaste sur le « moi » ,fascinante et qui demanderait alors des perspectives philosophiques que je ne suis pas capable de mener . un exemple est dans les commentaires philologiques d’une Heidegger.sur Hölderlin..et ouverture du département critique universitaire, rayons psychnalyse ou sociologie marxiste,ou structuralisme.. etc… fascinant comme la haute théologie .

Phil dit: à

Desjournées, pas vu Diplomatie. mais il fallait choisir un Allemand pour jouer von Choltiz. on ne négocie pas l’ordre de détruire Paris en Kauderwelsch. Schlöndorff eut sans doute peur d’éclipser les bonnes âmes du film comme son acteur Jünger se joua du pâlot Guy Môquet. C’est un Allemand du repentir, une pose au cinéma qui réduit le film au téléfilm.
Il faudrait un Istvan Szabo, l’auteur de Mephisto, pour traiter le sujet.
En attendant Schlöndorff pourrait songer à porter Sigmaringen à l’écran.

Chaloux dit: à

J’ai surtout l’impression que nous manquons moins de grands critiques que de grands lecteurs. Sainte Beuve, souvent pénible quand il « critique », devient passionnant quand il lit. De même José Cabanis et Julien Gracq, plus lecteurs que critiques. Et que dire de Proust? (Les textes sur Flaubert et sur Baudelaire, et toute La Recherche qui peut être considérée en partie comme un apprentissage de la lecture).Morand, souvent lumineux dans sa lecture, est aussi de la famille. Les vertus du grand critique demeurent assez communes, mais celles du grand lecteur sont rarissimes.

Daaphnée dit: à

Pauvre, Joe !
Désolée, ce n’est pas mal trouvé mais ce n’est pas moi qui en suis l’auteur …

D. dit: à

La haute théologie est fascinante, il est vrai.
Et Dieu ?

Connaisseur de ver subtil ou d'ATC...* dit: à

Ça sent le jissé!

Bien lourd, bien gras, bien troué du fion…

Avec le petit opercule élastique sur le côté

non je suis du 51 mon ami, disert, marteau disais-je, peu prompt à parler de la perte du chanteur « et c’est le temps qui court, court » et pas trop collectionneur de bibelots disgracieux pour la commode.

Relativisons dit: à

« Ça sent le jissé! »

JC écrit assez de conneries sous son nom pour ne pas avoir besoin d’autres pseudos pour des broutilles.

Connaisseur de ver subtil ou d'ATC...* dit: à

ça vous dérange si je chante pas sous la douche?

D. dit: à

Bon sang, je suis jaloux de Paul Edel et de renato.

renato dit: à

Vous le savez sans doute, Paul, mais j’aime le rappeler. Pirandello avait commencé ses études de philologie romane à Rome, puis il avait défendu publiquement (lors d’un cours) un camarade qui avait été injustement réprimé par le recteur… donc, en conflit avec le recteur il avait dû partir à Bonn où il a fini ses études. Par sa thèse il se pose dans la ligne des écrivains avec une base dialectale solide (comme Gadda, Pasolini, Zanzotto).

J’aime aussi rappeler le lieu de naissance de Pirandello : Càvusu, qu’en philologue, Pirandello explique comme corruption dialectale du grec Kaos. Toutefois, un ami et ancien camarade d’école (philologue à son tour) me disait que ce lieu dit certains l’appelaient “Càvuso” (chaos) et que d’autres l’appelaient “Càusu” (pantalon) et que pour finir ce fut un employé de la mairie qui trancha car l’on n’a jamais vu quelqu’un venir au monde dans un pantalon… et c’est donc Chaos qui a l’a emporté… Camilleri est plus précis à ce propos mais je suis loin de mes livres et je ne peux pas vous donner la référence (“Biografia del figlio cambiato”, il me semble).

Connaisseur de ver subtil ou d'ATC...* dit: à

bon, allez, ça suffit, je me rentre.
Je reviens avec des pralines.

Antonio Corrado dit: à

« Camilleri est plus précis »

Montalbano je suis

Connaisseur de ver subtil ou d'ATC...* dit: à

@ rose
pfffff

Paul Edel dit: à

Chaloux, bien d’accord avec vous. Surtout avec cette phrase »toute La Recherche qui peut être considérée en partie comme un apprentissage de la lecture ».oui lectures des écrivains, des peintres, lecture de sa propre vie et de celle des autres, déchiffrage à l’infini donc « la recherchee ne pouvait pas être achevée » et ce n’est pas un hasard si ça a commencé par le déchiffrage impossibe des signes des clochers de martinville et une contestation claire et nette de la l »thide » sainte beuve.comme par hasard? je n’y crois pas.

pot de colle de porquerolles dit: à

Demain faut que je pense à venir pas trop tôt sinon j’ai l’air no life.

Pas sûr dit: à

22h11

Vous pouvez vivre sans ?

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…Bon,…je recharge les batteries,…avec 1 demi verre de Picon Amer,…et je suis à vous,…

…quoi de neuf,…sur les fronts,…et les champs de batailles,…l’Ukraine,…,l’U’ aime Pé père,…l’Afrite du centre,…allons mon Cincinatus au boulot,…

…ne faite pas attendre tout ce beau monde,…de vos espadrilles ( en latex ),… Ollé,…

…donc, l’ €urope verse sur le Zénith,…à cheval sur Tout’A-kannon,…l’home-hêtre encore froid pour nous remuer le rameau,…faut pas désespérer,…nous avons le vent en Poupe,…

…si, si,…il est bon ce Picon,…
…des caisses pour l’Ukraine,…et puis Zeus,…etc,…

Connaisseur de ver subtil ou d'ATC...* dit: à

Le Louis van Gaal de la femme politique française, il est pas là?

Connaisseur de ver subtil ou d'ATC...* dit: à

c’est ouvert aux petites filles

des journées entières dans les arbres dit: à

Phil dit: 5 mars 2014 à 20 h 41 min
Phil, ce serait dommage de spoiler un premier jour, mais, vraiment, ce ne fut pas une déception.
Choisir un allemand pour le rôle de von Choltiz, je ne sais pas. Niels Arestup est crédible, sauf peut-être l’accent.

stupipedia: Kauderwelsch ist eine Sprache, der man sich bedient, wenn man etwas nicht ausdrücken kann

Peut-être bien plus crédible que Dussolier dans le rôle de Nordling. Même si Dussolier s’est beaucoup investi dans ce rôle, au théâtre Voilà ce qu’il en dit:
« J’ai rencontré la petite fille de Nordling un soir après une représentation au théâtre. Elle m’a montré une photo de son album de famille où l’on voyait son grand-père à Orgeval avec Choltitz, huit ans après la guerre. Ce témoignage montre à quel point ils auraient pu être amis s’ils n’avaient pas appartenu à des camps adverses. »

Ce huis clos est à voir, pour la relation qui se noue entre les deux hommes.
V.S. un réalisateur du « repentir »? boh, il a repris une réécrite existante, celle du théâtre, avec les mêmes acteurs.
Est-ce à dire qu’il réécrit l’histoire ?
Peut-être, au moins pour ce qui est de cette nuit d’août.
Et comme on dit par ici, de ce viol est né un bel enfant.

Les bonnes âmes, comme vous dites, regarderont demain les ponts de Paris, comme s’ils avaient pu sauter. En cela, le film serait à mon sens, complètement raté. Si on pensait que c’en était le but.

Mais M. Court pourrait vous en dire bien plus sur cet escalier qui permettait à Miss Howard de recevoir.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…Oui,…!,…en vadrouille toute la journée,…
…rien du tout,…rien, de rien de spécial,…


…mais, il me semble que mon dernier texte de ce matin, c’est volatilisé,…

… » genre habituel,… » les académiciens lèche-culs d’aristocrates en manque « ,…

…génial,…avant un commentaire de,…@,…Phil,…
…Oui,…quelque chose comme çà,…avant d’allez voir au jardin, des réfections de printemps,…etc,…

…à part nos piétailles sur nos impôts,…etc,…
…l’avantage des emplois factices,…
…Non,…un à la foi,…le père, le fils, et le saint d’esprit,…a men,…encore un verre de Picon,…j’ai d’autres jardins de lèche-culs à voir,…
…Noé,…
…tu descend ou tu monte,…il faut savoir Nom de Dieu,…etc,…

des journées entières dans les arbres dit: à

Et la France a vaincu la Hollandie !
two points.
ça c’est du futur proche !

Connaisseur de ver subtil ou d'ATC...* dit: à

Paris ne doit pas tomber aux mains des Poluttrons.

écran total végétal dit: à

des journées entières dans les arbres dit: 5 mars 2014 à 23 h 23 min

V.S. un réalisateur du « repentir »? boh, il a repris une réécrite existante, celle du théâtre, avec les mêmes acteurs.
Est-ce à dire qu’il réécrit l’histoire ?
Peut-être, au moins pour ce qui est de cette nuit d’août.
Et comme on dit par ici, de ce viol est né un bel enfant.
Les bonnes âmes, comme vous dites, regarderont demain les ponts de Paris, comme s’ils avaient pu sauter. En cela, le film serait à mon sens, complètement raté. Si on pensait que c’en était le but.

vous êtes en « sixième transis » -pour reprendre votre code lourdingue d’étiquetage d’un autre âge- pour écrire si fantastiquement de manière spontanément infantile ?

Béhémoth dit: à

Salutation sss ss s.

des journées entières dans les arbres dit: à

écran total végétal dit: 6 mars 2014 à 0 h 06 min

Je ne participe pas à vos ateliers d’écrivaillons.
Si vous voulez voir le film de Volker Schlöndorff , faut vous bouger le train.

des journées entières dans les arbres dit: à

Et pas attendre quatre ans, écran végétal …

Béhémoth dit: à

Cette nuit, sur ARTE,
« Johnny s’en va t’en guerre » de Dalton Trumbo, à 02H20.
Mais malgré ce film dont il est le réalisateur, je préfère son livre écrit il me semble entre 1937 et 1938.
Seuls passages un peu lourd pour notre époque,
les deux derniers chapitres (des explications superfétatoires sur le sujet).
Bonne nuit à toutes et à tous !.

Connaisseur de ver subtil ou d'ATC...* dit: à

Ce qu’on veut vous dire par là, c’est que Vuitton, ça compte un peu.

Connaisseur de ver subtil ou d'ATC...* dit: à

Je ferai la réforme du show-biz

Béhémoth dit: à

@ Clopine :
« C’est bien simple : à peine ai-je fini ce livre que j’ai envie de relire « D’un château l’autre », alors que je n’ai lu ce Céline que par devoir, en quelque sorte, et par acquis de conscience. »

Malheureusement, tout est dit en si peu de mots !!! !! !.

abdelkader dit: à

DHH dit: 5 mars 2014 à 19 h 46 min
‘…J’en ai publié s’agissant de films,il y a quelques annéees dans une revue confidentielle…’
qu’est donc ce truc? une revue exclusive, a ne pas mettre a la portée de tout le monde? est-ce que la littérature serait devenue une denrée si rare qu’elle devrait être rationnée et publiée sous le manteau pour un public de connaisseurs? Connait-elle seulement, ma malheureuse compatriote oranaise, le principe marxiste du grand Groucho? Venant juste après cette histoire de piétaille qui m’a abasourdi, m’est avis qu’il y’a quelque chose qui tourne pas rond dans la République du Livre…enfin, chez quelques pensionnaires du moulin de Maitre Pierre…

abdelkader dit: à

@des journées, je rentre du pub ou j’ai passé la soirée avec quelques collègues japonais bien plus cultivés (et plus résistants a l’alcool) que moi et suis content de voir que la France en ait mis 2 bien beaux buts a la Hollande…

abdelkader dit: à

rose dit: 5 mars 2014 à 18 h 49 min
il a l’indignation a géométrie variable…quand il s’agit de traiter des gens d’une autre couleur de ‘nègres’ ou de leur balancer des bananes a la tête , il est zen, le moU…comme le klebs de Pavlov, il ne s’agite que quand il entend certains sons…

abdelkader dit: à

Clopine toute entière à son troll attachée dit: 5 mars 2014 à 17 h 32 min
fuck me! words fail me…I just can’t believe anyone can write this much crap…
Downton Abbey, my good lady, est une merde fumante qui ne doit rien mais absolument rien a Altman, autre que le zebre qui a ecrit le scenario pour les 2…Gosford Park est le travail d’Altman, une belle piece d’ensemble…Downton Abbey est le travail d’un sinistre leche-cul de conservateur et alpiniste social…sinon, vous avez tous les droits etc…

Béhémoth dit: à

D’accord / pas d’accord …
Ce que je remarque (et je me marre) c’est que pour 99% des « soit disant » lecteurs français, il faudrait un traducteurs, pour lire Proust ou Celine !!! !! !.
Et je suis gentil !.
1/10 000 serrait plus approprié.

Béhémoth dit: à

@ Renato :
« car « Quel est le point de vue du moi ? »

Toi, toi mon toit, avec un échafaudage en bambou…

Connaisseur de ver subtil ou d'ATC...* dit: à

Hola! Il faut pas autant travailler du chapeau monsieur Abdelkader des chameaux

On va poser ça, Paul Edel, critique de l’Arbizon, découvert par qui on sait
Pierre Assouline, là de tout temps, immanent.
Moi j’appelle ça un Bébémoth

Béhémoth dit: à

Ce que j’ai toujours apprécié chez les philologues,
c’est leurs femmes…
Jamais rencontré un philologue marié sans que je reparte avec la chaire et tendre !.

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