de Pierre Assouline

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La République des livres
Quand on est quelqu’un, pourquoi vouloir être quelque chose?

Quand on est quelqu’un, pourquoi vouloir être quelque chose?

Ne vous êtes-vous jamais délecté du parfum subtil du paradoxe en lisant une étude très sérieuse aux plus hauts effets comiques ? Non que l’un exclue nécessairement l’autre, mais on ne s’attend pas nécessairement à éclater de rire, ou à rire sous cape si l’on se trouve dans le train, en lisant Coupole et dépendances (284 pages, 19,95 euros –sympa, ça, pour les libraires !- éditions du Moment), enquête sur le fonctionnement de l’Académie française. Ce n’est certes pas le premier livre qu’elle suscite. Mais dans cet esprit journalistique, il n’y avait guère que celui, amusant et informé, du plus parisien des Québécois, Louis-Bernard Robitaille (Le Salon des immortels, Denoël, 2002). Depuis, la chronique s’est enrichie des nouvelles aventures de la douairière du quai Conti, et ce n’est pas triste. C’est que le mythe est bien vivace. Songez donc qu’en 2001, lorsque la Ville a entrepris la réfection du parvis, les employés de la voirie n’ont pas eu à débarrasser les vieux pavés de granit (disjoints, Proust oblige !), des parisiens s’en chargeant personnellement, en souvenir !

L’enquête du journaliste littéraire Daniel Garcia, au ton serein et malicieux, est impeccable, nonobstant ses coups de griffe à tel ou tel écrivain (Angelo Rinaldi, Paule Constant) ou le recours répété aux mémoires du candidat malheureux Jacques Isorni qu’il épingle par ailleurs ; et tout n’y est pas neuf, notamment la partie historique maintes fois contée, de même qu’un certain nombre de rumeurs, ragots et bons mots ayant beaucoup circulé ; on savoure le plus souvent l’évocation de ces dérisoires batailles de gagas, tant d’académiciens consacrant leur temps à instrumentaliser non sans perversité les candidatures de ceux qui rêveraient d’en être, grâce à des témoignages inédits sur l’intact et inexplicable magnétisme exercé par « ce corps littéraire d’Etat » selon l’expression lancée par Fumerolles, ainsi que Philippe Sollers se plaît à appeler Marc Fumaroli.

On sait que l’Institut, dont l’Académie française n’est que l’une des composantes, est riche. La liste de ses propriétés foncières est impressionnante. Mais que c’est mal géré ! Façon de parler : ça ne l’est pas pour tout le monde. Certains s’y retrouvent. La Cour des comptes y a mis son nez. L’histoire est contée par le menu, chiffres à l’appui. Accablant, surtout pour le chancelier Gabriel de Broglie. Comme le sont les quelques pages consacrées aux intérêts africains « suprafrancophonie » de l’ancien directeur de cabinet du perpétuel Maurice Druon.

Au chapitre des visites du candidat, on se rend compte que Fontenelle n’avait pas réglé la question, son trait fut-il célèbre : « Sommes-nous trente-neuf, on est à nos genoux, et sommes-nous quarante, on se moque de nous ». On apprend ici que Valéry Giscard d’Estaing, qui ne s’abaisse guère à recevoir les victimes de la fièvre verte, avait fait une exception pour le romancier François Taillandier « parce qu’il avait vu que j’étais né à Chamalières ». Le linguiste Claude Hagège, qui avait ses chances, s’est coulé tout seul par ses visites : non seulement il les a saoulés de son verbe polyglotte et noyé sous le flot interrompu de son babil, mais il n’a parlé que de lui et de son oeuvre ; même ceux qui soutenaient sa candidature y renoncèrent lorsqu’ils comprirent qu’ils auraient à le supporter à vie. Forcément, il n’est pas convenable de faire sentir aux Quarante qu’ils ont de l’esprit comme quatre. Cela dit, à ce jeu, les authentiques écrivains sont désavantagés par rapport aux médecins : la tournée de visite de l’hématologue Jean Bernard fut une consultation ininterrompue et l’ophtalmologue Yves Pouliquen ne dément pas avoir opéré plusieurs académiciens de la cataracte. Disons que, s’il est vrai qu’une élection est imprévisible avant et inexplicable après, certaines le sont moins que d’autres.

Dans un registre sensiblement différent, on découvre qu’il y a 10% de gays parmi les académiciens (mais comment Daniel Garcia est-il parvenu à l’établir ?), qu’un couple d’hommes (mon Dieu !) siégea même sous la Coupole entre 2001 et 2012 (avis aux amateurs de recoupements) mais qu’un « lobby gay » aussi vert que rose relève du fantasme.

Au chapitre de l’ingratitude, Philippe Sollers occupe une place de choix. Passe encore qu’il veuille bien être de la compagnie à condition de ne pas faire de visites et d’être assuré d’être élu s’il consentait à se présenter (cela lui ressemble) ; mais se voir décerner le Grand Prix Paul Morand 1992 pour l’ensemble de son œuvre, l’accepter et sécher la séance solennelle de remise des prix, puis envoyer un relevé d’identité bancaire pour empocher les 300 000 francs (soit 45 000 euros), c’est là une goujaterie qui vaut bien de n’être plus appelé sous le coupole que « le vicomte de RIB ».

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Parmi les morceaux de choix, on trouvera le récit détaillé du hold-up, il n’y a pas d’autre mot, monté par le tandem Léo Scheer/François Weyergans, l’éditeur et l’écrivain ayant comploté avec succès « pour se marrer » afin que le Goncourt 2005 soit attribué à  Trois jours chez ma mère et que son auteur succède au fantomatique successeur de Maurice Rheims à son fauteuil de l’Académie française, Alain Robbe-Grillet, mort avant d’être intronisé immortel. Du grand art comme on en voit peu dans les coulisses de la république bananière des Lettres. Désopilant ! Leur tactique ? Des missives personnalisées, documentées, peaufinées, adressées à chacun des académiciens après étude approfondie de leurs œuvres y compris les plus anciennes, élevant la flagornerie au rang des beaux-arts. Tant et si bien que la plupart la lurent au premier degré. Aujourd’hui, ils disent l’avoir égarée. Dommage. On imagine l’anthologie ! Tout de même, il y en eut, tel Yves Pouliquen pour y voir plus clair que les autres. Forcément, l’un très ophtalmo, l’autre très myope : « Je me suis demandé s’il ne se foutait pas de ma gueule. Il me comparait à Diderot ! » Bien vu.

Alors pourquoi en être ? Pas pour l’argent. Avec l’indemnité forfaitaire à laquelle s’ajoutent des jetons de présence aux diverses commissions, le salaire de l’hâbleur n’excède pas les 4000 euros par an. Mais les compensations collatérales sont plus intéressantes. La Maison ne laissant jamais tomber ses membres encore actifs, non plus que ses malades et plus tard leurs veuves et orphelins, n’a pas volé sa réputation de « deuxième famille ». En être délivre de biens des soucis à commencer celui du logis. La Maison possède des immeubles de rapport boulevard Saint-Michel, rue Monsieur-le-Prince, rue Crébillon (Quartier latin), rue du Ranelagh et rue Davioud (XVIème) ainsi que rue Pasquier et boulevard Haussmann (quartier des Grands magasins).

La vanité étant répandue avec équanimité dans le petit monde des mains à plumes, les grandeurs d’établissement séduisent comme autrefois, bien plus qu’on ne l’imagine. Pour se dédouaner, les candidats rappelleront ce que Baudelaire en disait : « C’est le seul honneur qu’un vrai homme de lettres puisse solliciter sans rougir ». On dira qu’en ce temps-là, c’était autrement mieux fréquenté. Eh bien non, justement : en ce temps-là déjà, et même avant, des Dabadie y côtoyaient des Dumézil.

Et puis il y a le dictionnaire. Le grand alibi, dirait-on, même pour ceux qui ne participent pas à son élaboration. Les travaux de l’actuelle édition ont été lancés en 1936. Un service d’une dizaine d’agrégés (Lettres modernes, Lettres classiques, Grammaire et… Biologie) y travaillent à plein temps toute l’année, en amont d’une dizaine d’académiciens constituant la commission du dictionnaire « du français durable », sa vocation, même si le lexicographe Alain « Robert » Rey objecte cruellement que, par définition, le français n’est pas durable. Ce qui n’empêche pas les forçats du dico d’être beaucoup plus sollicités qu’avant par les usagers. C’est la société Nestlé demandant s’il faut écrire sur l’emballage d’un dessert « avec deux moules à chocolat » ou « avec deux moules à chocolats » ! Ou une psychiatre leur enlevant une épine du pied en suggérant l’adjectif « désenfanté » pour désigner celui qui perd un enfant, et que l’on ne peut dire ni veuf ni orphelin. Où l’on voit que, malgré de légères avancées sur la définition du mariage, l’Académie reste conservatrice sinon archaïque : elle préfère traduire binge drinking par « beuverie collective » (comme si ça se buvait le petit doigt en l’air !) plutôt que par « biture express », ce qui serait plus parlant.

Ce qui est durable en revanche, c’est le dur désir de durer en gravant son nom dans le marbre de crainte de ne pas l’inscrire dans la mémoire de ses contemporains. En 1878, le jour où le sort académique de Taine et de Renan se décidait, Flaubert se demandait dans une lettre à la princesse Mathilde en quoi l’Académie pouvait bien les honorer : « Quand on est quelqu’un, pourquoi vouloir être quelque chose ? »

(photos D.R.)

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commentaires

1 371 Réponses pour Quand on est quelqu’un, pourquoi vouloir être quelque chose?

Ma vie, mon oeuvre dit: 7 mars 2014 à 10h52

« Tout pour l’oeuvre, nom de dlà, Monsieur Cocteau. »

Mais non,
tout pour LA vie.

bouguereau dit: 7 mars 2014 à 11h07

..assez tourné autour du..au boulot! dans le cul le gros dard velu..dong dong dong..midi sonnant a sa porte..

christiane dit: 7 mars 2014 à 11h07

@ 11:29
Dieu dans tout ça ? ce qu’il en disait :
« Je ne sais pas si Dieu existe mais, depuis toujours, je l’espère avec force. Parce qu’il faudrait qu’existe tout de même ailleurs quelque chose qui ressemble d’un peu plus près que chez nous à une justice et à une vérité que nous ne cessons de rechercher, que nous devons poursuivre et que nous n’atteindrons jamais.
De temps en temps, je l’avoue, le doute l’emporte sur l’espérance. Et, de temps en temps, l’espérance l’emporte sur le doute. Ce cruel état d’incertitude ne durera pas toujours. Grâce à Dieu, je mourrai. »
Cela me convient assez !

@ Clopine
Apollinaire, c’était plus tard. (sans rapport avec l’Académie Française.) Juste sa chanson en regardant la Seine. (Je crois que ce poème a été chanté par Léo Ferré et c’est ainsi qu’il trotte en ma mémoire.)

bouguereau dit: 7 mars 2014 à 11h10

vontraube toujours a y faire des cocardes et des frisettes pour impressionner dans les salons..c’est bien des trucs de suisse tien

christiane dit: 7 mars 2014 à 11h38

@ le pont des soupirs… 11:26
« Quand j’étais petit, l’idée d’arriver à l’an 2000 me paraissait une hypothèse de science-fiction. Et pourtant, bon an, mal an, j’y suis parvenu. Maintenant que je viens de franchir, avec moins d’agilité, l’an 2004, j’avoue que j’ai un peu honte. Presque tous mes amis, même plus jeunes que moi, ont quitté ce monde. Qu’est-ce que je fiche ici, moi ?(…) Et les Indiens, postés sur les collines, lancent une flèche. Ils visent au cœur, au cerveau, aux muscles, aux yeux, aux oreilles. Presque toujours, ils manquent la cible, mais ils font néanmoins quelques dégâts, même si nous ne sommes plus à l’époque de Sitting Bull et si leurs mains tremblent un peu.
Ma mémoire tient encore le coup.(…) Mais j’ai mon avenir derrière moi. Je suis enfermé dans mon deux-pièces cuisine, je tape à la machine sur une Olivetti Studio 46. De temps en temps, le téléphone sonne, c’est encore quelqu’un qui m’aime bien, nous échangeons six ou sept mots, jamais plus de dix. Je suis dans une forteresse assiégée. Là dehors, les nouvelles générations grondent, impatientes, armées d’ordinateurs, de fax, de mails, de PDA, de machines digitales, de SMS, elles parlent des langues que je ne comprends pas, je me réfugie dans la lecture d’un livre, j’ai des amis qui ne me trahissent pas, Tchekhov, Tolstoï, John Fante, Carver, Bukowski, Tobino et tant d’autres. De temps en temps, je mets une cassette et je regarde encore une fois Les Lumières de la ville, La Chevauchée fantastique, Pépé le Moko, L’Ange bleu, Shining, Huit et demi du grand Fellini, La Grande Guerre de mon cher Monicelli, La Ruée vers l’or, Fenêtre sur cour.
La mort ne me fait pas peur, elle ne m’a jamais fait peur… »
Dino Risi Mes Monstres -2014 (éd.Fallois) tr. B.Vierne

Ma vie, mon oeuvre dit: 7 mars 2014 à 11h42

christiane dit: 7 mars 2014 à 12 h 38 min

De l’art de s’apitoyer sur soi.

primerose dit: 7 mars 2014 à 11h49

christiane dit: 7 mars 2014 à 12 h 38 min

Comme dirait JC, vivons, baisons, vive l’avenir et à bas les vieux cons (les jeunes aussi d’ailleurs).

christiane dit: 7 mars 2014 à 11h52

@ primerose dit: 7 mars 2014 à 12 h 49 min
Votre commentaire témoigne d’une belle vitalité !
Sourire.

christiane dit: 7 mars 2014 à 11h57

@ Ma vie, mon œuvre dit: 7 mars 2014 à 12 h 42 min
Vous vous trompez ! Les anecdotes rassemblées dans ce livre écrit par Dino Risi sont souvent très drôles, voire sarcastiques. Cette pensée, relevée au fil des pages est un renvoi au plongeon dans la Seine souhaitée par (?) – voir plus… bas.

Jacques Barozzi dit: 7 mars 2014 à 11h57

Madame de Valognes dit : « pourquoi ? bouguereau est pédé ? »

Le boug : « dans le cul le gros dard velu..dong dong dong..midi sonnant a sa porte.. »

Giovanni Sant'Angelo dit: 7 mars 2014 à 12h02


…Ah!,…
…journée de la femme,…de 14,…après 2000,…

…je vois, les ménages,…dis papa, tu m’a faîte par  » Amour Académicien « ,…

…la vérité,…extraite de nos gros mensonges,…c’est du jus de citron,…s’en sucre,…une pincée de bicarbonate, çà maintient l’humour!,…

…plus cuites les blagues,…çà nous aiderait de nous différenciés des briques prêtent à cuire,…

…l’amour dans la vase sociale endoctrinée,…en pertes et profits,…

…la famille, la domesticité, qui maille à table,…la femme moutarde,…pour faire passé les saucisses,…
…nous ne sommes pas du même milieux,…destinée,…et ce rouleau de papier çà vient,…

…le nivellement par le bas!,…
…elle est bonne mon aristocrate, blanc, bleu, beige,…
…Zorro,…est arrivé,…avec l’Ô d’esprit,…
…Oui!,…çà nous fait une belle jambe,…en plus c’est membre du soleil,…à plumes,…très  » gay’s « ,…
…des Lorettes aux Soumises,…cachetées pur sceau,…etc,…en l’an de grâce,…etc,…
…Bip,…Bip,…l’opinion toute fête,…

JC..... dit: 7 mars 2014 à 12h03

Ah ! Christiane, je vous adore lorsque vous témoignez de votre goût pour l’Institution et les nobles vieillards qui la peuplent !

Et vous, Clopine, votre jouissance trollphobique, insensée, comptable, ridicule, est à mourir de compassion …

TKT dit: 7 mars 2014 à 12h04

@ Clopine Trouillefou dit:7 mars 2014 à 11 h 47: « Sa mondanité, TKT, sa mondanité. »:
Oups, j’ai tremblé, j’avais crû un instant, que vous lui reprochiez une forme de « pride parade ». Jean Cocteau était, jeune-homme, un garçon du monde, comme Marcel Proust et tant d’autres. Les communistes snobs, dont vous faites partie, aiguilles à tricoter plantées comme la Légion d’Honneur, sur la poitrine. Entre un Jean Cocteau, mondain et, Clopine Trouillefou, anti-mondaine de base, figure de prolo fictionnelle, je préfère Jean Cocteau. Bizarre, vous la folle de Proust, comme il y a des fous de dieu, vous prenez les mondanités pour un cancer léthal. Les mondanités vous mettent mal-à-l’aise, soit, je suis mal l’aise parmi les gens qui comme vous, ne supportent que leur propre degré de sophistication.
Vous êtes une précieuse, Clopine, vous tenez vos gants en latex, pour faire le ménage, comme ces gants de soirée, portés avec une robe longue, on ne les enlève pas, on les garde et on peut laisser les doigts à l’air frais.
Küß die Hand, gnädigste Genossin !

Jacques Barozzi dit: 7 mars 2014 à 12h13

TKT, Clopine, vous jouez à « plus mondains que moi tu meurs », on peut participer ?

Giovanni Sant'Angelo dit: 7 mars 2014 à 12h16


…<< Con est quelqu'un, pourquoi en changer! <<,…
…c'est plus court!,…etc,…

JC..... dit: 7 mars 2014 à 12h17

Souhaitons à ce petit enculé d’Eddy la Fripouille, de connaître un avenir « à la Cocteau » : drogué à la solitude publique, poète de salon, peintre lourd, dessinateur convenable, cinéaste aidé, papillon français sans importance, doué certes mais à juste titre éphémère et délaissé !

aquarius dit: 7 mars 2014 à 12h17

« Un jour, marchant tranquillement sur la quai Conti, j’ai croisé un de ces « quarante » dont vous vous moquez ici, Jean d’Ormesson. Il allait , songeur et digne, les yeux posés sur les rives de la Seine. J’ai lu certains de ses livres. De belles méditations sur le temps qui fuit, la jeunesse et ce qui ne l’est plus, la Grèce mythique et ses légendes, la vie, la mort (Tout cela loin des plateaux de télévision où il se perd)… »

Bien d’accord avec vous Christiane…J d’O a commis le péché capital: il a toujours été heureux, l’avoue et ne se repend pas. En plus, il a écrit de bons, voire de beaux livres. La meute des aigris et de jaloux se déchaîne…

Juste pour dire dit: 7 mars 2014 à 12h26

Ah oui Clopine, aquarius n’est pas un troll.
Ne pas toujours croire TKT, il fantasme.

JC..... dit: 7 mars 2014 à 12h27

Eh, les filles !
Demain hommage convenu aux dames…

Pourquoi ne pas changer le convenu en inconvenant ?! Pourquoi ne pas nous dire, chez Passou, ce que vous aimeriez dire …?! »

Surprenez nous !
Bises et à demain !

christiane dit: 7 mars 2014 à 12h29

JC….. dit: 7 mars 2014 à 13 h 03 min
Avec vous comme lecteur de commentaires, je m’amuse à vous regarder passer, comme le furet de la chanson :
(Refrain 🙂
Il court, il court, le furet
Le furet du bois, mesdames,
Il court, il court, le furet
Le furet du bois joli.
Il est passé par ici
Le furet du bois, mesdames
Il est passé par ici
Le furet du bois joli./
Il repassera par là
Le furet du bois, mesdames
Devinez s’il est ici
le furet du bois joli./
Le furet est bien caché
Le furet du bois, mesdames,
Pourras-tu le retrouver ?
Le furet du bois joli. »

(Attention, pas de contrepéterie !)

des journées entières dans les arbres dit: 7 mars 2014 à 12h35

François Delpla dit: 7 mars 2014 à 8 h 41 min
Merci M. Delpla, de ces précisions sur
 » le mythe de la Sippenhaft. Cette loi du 1er août 1944″
Il faut rester dans la précision avec vous; car pour faire un créneau vous avez tendance à faire du rentre dedans à la parisienne. Et ma porsche, le jour où j’en aurai une à moi, n’aimerait pas ça du tout !

Phil, V.S. est un affreux gauchiss ?
Cela ne se voit pas dans le film « Diplomatie », sinon, bien évidemment j’aurais évité ce transport.

Julius, presqu’au même moment, une nuit plus tard à Sigmaringen, est en plein ouah la la, sur le bord du Danube.

TKT dit: 7 mars 2014 à 12h39

@ JC….. dit: 7 mars 2014 à 13 h 17 min
Souhaitons à ce petit enculé d’Eddy la Fripouille »:
Et si vous étiez le père-prédateur, de D. ?

C'est bien vrai ça dit: 7 mars 2014 à 12h44

TKT dit: 7 mars 2014 à 13 h 39 min
Et si vous étiez le père-prédateur, de D. ?

Et toi une burne Thierry.

Deneb dit: 7 mars 2014 à 13h00

cf. 13h 04

Eh voilà de quoi est capable notre ami Thierry, qu’il faut bien entendu continuer à aimer, respecter, cajoler. Le pire c’est que, contrairement à moi, il pense vraiment ce qu’il écrit.

Jacques Barozzi dit: 7 mars 2014 à 13h08

Avez-vous reconnu la mère maquerelle du film, Clopine ?
Judith Gayet !

Jacques Barozzi dit: 7 mars 2014 à 13h11

Le message sous-jacent à ce film (humaniste ou de propagande ?) n’est-il pas discrimanatoire ?
C’est l’islam qui est visé !

lettres mes amours dit: 7 mars 2014 à 13h15

chère clopine compteuse de posts
lorque sur ce blog l’attention des erdéliens et de leur maître P .Assouline fut attirée sur la différence entre transcription et translittération,
(et ce n’était pas à l’ordre des liens du billet, c’est à qui se déchaînerait dans le plus cruel diagnostic le plus kureischiennnement littéraire.
pourtant tous ici ne sont pas des générations clovis vintage ni des enfants de viagra ; il est facile de s’aviser que la translittération est une convention, et qu’il y en a, des translittérations, sous influence « germanique » :
maniaco dépressivez bien

Sergio dit: 7 mars 2014 à 13h28

christiane dit: 7 mars 2014 à 13 h 29 min
(Attention, pas de contrepéterie !)

Ha c’est bien on apprend des trucs…

Clopine qui n'a pas changé dit: 7 mars 2014 à 13h31

lettres mes amours, excusez-moi de ne pas répondre à votre question. Je n’y ai rien compris. Mas je ne demande qu’à comprendre, hein, soyons bien d’accord ! Donc, reprenons là où j’ai misérablement perdu pied :…transcription et translittération (là je commence à trans… pirer, m’enfin je me dis qu’avec un minimum de recherches je vais savoir de quoi on cause)

« c’est à qui se déchaînerait dans le plus cruel diagnostic le plus kureischiennnement littéraire. »

Bon, là je décroche. J’ai envie de me retourner, pour savoir à qui vous parlez vraiment.

Mais je ne demande qu’à apprendre. Faudrait juste traduire…

lettres mes amours dit: 7 mars 2014 à 13h35

en ce qui concerne l’allaitement et même l’accouchement , c’est quand même à Françoise héririer , lors de l rencontre ménagée

lettres mes amours dit: 7 mars 2014 à 13h39

la rencontre ménagée avec julia Kristeva , qui comme chacun le sait n’est pas madame Sollers, donc tout le succès à F.HERITIER .
accouchement avec la présence du père: de gré ou de force, sans douleur, dans l’eau etc!
pour l’invention du tire-lait , cherchez vous-même, avec la philosophe clopine

lettres mes amours dit: 7 mars 2014 à 13h56

Forcément, l’un très ophtalmo, l’autre très myope : « Je me suis demandé s’il ne se foutait pas de ma gueule. Il me comparait à Diderot ! » Bien vu.
l’un et l’autre !!!

bouguereau dit: 7 mars 2014 à 14h01

pépèpe clopine..tu veux pas seulement me mettre une encolure mais toute la croupe..la journée est pas finite

Onésiphore de Prébois dit: 7 mars 2014 à 14h02

Un jour, marchant tranquillement sur la quai Conti, j’ai croisé un de ces « quarante » dont vous vous moquez ici, Jean d’Ormesson. (christiane)

C’est tout comme moi, tiens. On a beau dire, les grands esprits se rencontrent plus souvent qu’on ne croit. Voilà t’y pas que je me trimballais le long du quai Conti perdu comme qui dirait dans mes pensées intimes, et alors voilà un grand escogriffe qui me collimate en plein. « Tu pourrais pas faire attention, eh,tête de noeud, que je l’apostrophe. Y m’regarde, ahuri, c’était Lévi-Strauss, dis donc. Presque centenaire qu’il était à l’époque. Payait pas de mine d’ailleurs. On lui aurait filé cent sous. Tu imagines : je traite Lévi-Strauss de tête de noeud. Moi, comme ça, sur le trottoir. C’est dingue, non? « — Pardon, Monsieur », qu’y me dit en me tirant son galure. A moi ! Tu imagines ! C’est pas pour me faire mousser mais sûr que la postérité, c’est pour moi.

bouguereau dit: 7 mars 2014 à 14h03

spécial clopine , première en tout!

pas mal mais vontraube va regarder à cul sans trouver prout prout..il va te dauber, prépare toi

bouguereau dit: 7 mars 2014 à 14h04

à postérité y’est marqué « pied dans l’cul » jean marron

bouguereau dit: 7 mars 2014 à 14h07

Mais je ne demande qu’à apprendre. Faudrait juste traduire…

renfield toujours faire ainsi clopine

Clopine qui n'a pas changé dit: 7 mars 2014 à 14h08

Eh bien, je n’aurais jamais cru cela d’un endroit du web où l’on se presse, mais j’ai un net sentiment de solitue. A chaque fois que j’envoie un fil qui, à mon sens, pourrait faire débat, provoquer réflexions, références, faire surgir de la culture quoi, pouf. On tombe dans le ramassis (je ne dirai pas de quoi). Un seul sentiment surnage : l’intuition que notre hôte partage, lui aussi, ce découragement. Un seul espoir : qu’il s’accroche, néanmoins.

bouguereau dit: 7 mars 2014 à 14h10

… Et pourquoi pas en regardant ça, tenez ?

c’est le mec de camelot toujours a dauber le haut moyen age et la sainte église..que chte foutrais ça au cachot moi

u. dit: 7 mars 2014 à 14h14

« qu’elle se passe sans Jcé, ce raciste, machiste, homophobe d’extrême-droite. » (megalo)

Je dirais plutôt qu’il défend sereinement sur ce blog une sensibilité centre-gauche.

bouguereau dit: 7 mars 2014 à 14h16

clopine t’aimes faire la nunuche pasque t’aimes qu’on te bouscule ou le contraire ?
c’est cque je comprends de renfiled..ça me plairait pas

bouguereau dit: 7 mars 2014 à 14h19

tu dis « sensibilité » pasque ça fait pédé zouzou..t’es vraiment lourd

lettres mes amours dit: 7 mars 2014 à 14h21

recommandons à Clopine le mag litt cynisme et la page de Bouveresse sur la distinction entre kunisme et cynisme

Clopine qui n'a pas changé dit: 7 mars 2014 à 14h21

C’est sûrement cela, U; vous devez avoir raison. jcé, humaniste méconnu. Lui qui, sans avoir jamais lu le livre d’Edouard Louis, le traite de « petit enculé », ajoutant, les mains jointes et le regard au ciel « que c’est lui-même qui se qualifie ainsi »… la bêtise jointe à la provocation la plus stupide. Savez-vous pourquoi j’exècre Jcé, et pourquoi je pense que tous ici nous devrions l’exclure ? Parce que son fonds de commerce, c’est en définitive la haine totale de la littérature. On ne compte plus le nombre de ses posts qui commencent pas « je n’ai pas lu »… « je ne vais certainement pas lire ».. « pas question de lire… » : bref : faire ici ce que l’extrême-droit fait avec la démocratie. Profiter de ses valeurs pour cracher dessus.

Curiosa dit: 7 mars 2014 à 14h21

Et si, au lieu dun smillant Jean d’O, la Christiane avait rencontré Rinaldo, pas la chochotte, mais l’autre, Gérard, celui des Charlot ?, hihihi

Curiosa dit: 7 mars 2014 à 14h23

je récapépète : le sémillant Jean D’O et Gérard Rinaldi (ah! l’émotion !)

u. dit: 7 mars 2014 à 14h24

« Parce que son fonds de commerce, c’est en définitive la haine totale de la littérature. »

Je serais plus nuancé.

Phil dit: 7 mars 2014 à 14h33

Desjournées, un gauchiss allemand n’a rien à voir avec son avatar français. L’avocat de la bande à Baader est passé à l’estrèmedroite sans qu’une visière outre-rhin ne bronche. « Le coup de grâce » ou « Törless » sont des classiques. Son Guy Môquet est raté. le scénario d’origine n’était pas des meilleures plumes. Nous discuterons Diplomatie, sans l’avoir vu, au bar du Lutetia. Dusselier rappelle trop le film au couffin, comme Depardieu la pub des nouilles barilla.

bouguereau dit: 7 mars 2014 à 14h34

comme Depardieu la pub des nouilles barilla

n’empêche..ça met du beurre dans les épinard à néchin

bouguereau dit: 7 mars 2014 à 14h36

mais bordel clopine ! amuse nous au lieu de faire chier..il te manque tant que ça?

u. dit: 7 mars 2014 à 14h38

 » Tu imagines : je traite Lévi-Strauss de tête de noeud. Moi, comme ça, sur le trottoir. C’est dingue, non? « – Pardon, Monsieur », qu’y me dit en me tirant son galure. » (Prébois)

C’était un gentleman.
S’entendant traiter de noeud, il ôtait son capuchon pénien pour exhiber l’objet.
Pour un gentleman de sa génération, c’était pratiquement une quenelle.

lettres mes amours dit: 7 mars 2014 à 14h45

simple
et noyé sous le flot interrompu de son babil,
d’abord il les a noyéS
comment P.Assouline le sait-il?
ensuite ne serait-ce pas le flot ininterrompu , le débit de hagège étant incroyable : combien de mots minutes ?

Clopine qui n'a pas changé dit: 7 mars 2014 à 14h53

Non, Bouguereau, il vient de perdre sa femme, donc… Tu me diras que je suis bien bonne, bien conne : est-ce que mon chagrin de perdre un ami a dissuadé un troll de venir ici se moquer de l’une de mes phrases ? Non, n’est-ce pas. Mais justement, je ne suis pas un Jcé. Donc, silence. Et aussi : la meilleure manière de se distraire (et je suis bien coupable de passer autant de temps sur cet ordinateur, mais..; bref, le fait d’avoir pu mettre une identité sur un troll m’a quelque part exonérée) est quand même de contempler la splendeur du monde sensible dont nous faisons, à notre courte honte, partie.

Sergio dit: 7 mars 2014 à 14h54

Clopine qui n’a pas changé dit: 7 mars 2014 à 15 h 21 min
tous ici nous devrions l’exclure

Le mieux une maisonnette au milieu de la prairie avec une cheminée qui fume, une sorte de bungalow, quoi… Ave une clôture électrique comme dans le Chasseur, mais branchée directos sur le trois cent quarante pour économiser l’humidificateur… Euh non le truc, là… Et enfin un mignon petit observatoire en rondins et en hauteur, avec une lentille de Fresnel comme à Cordouan, et un veilleur de nuit à cause du cri sourd des corbeaux…

Et alors pour l’EP (embranchement particulier) là c’est la SNCF qui s’en occupe…

Connaisseur de ver subtil ou d'ATC... dit: 7 mars 2014 à 14h58

Je faisais partie de la tribu des fait en deux temps trois mouvements
maintenant j’ai vu la pub May Be avec Michael Jordan
Comment ça va saigner

Je me prends aussi pour celui qui dit « Quieto, putito » dans Traffic

lettres mes amours dit: 7 mars 2014 à 15h04

exclure clopine ?quelle folie quand tant de contributeurs qui se prennent au jeu se prennent pour elle, l

François Delpla dit: 7 mars 2014 à 15h04

des journées entières dans les arbres dit: 7 mars 2014 à 13 h 35 min

François Delpla dit: 7 mars 2014 à 8 h 41 min
Merci M. Delpla, de ces précisions sur
» le mythe de la Sippenhaft. Cette loi du 1er août 1944″
Il faut rester dans la précision avec vous;des journées entières dans les arbres dit: 7 mars 2014 à 13 h 35 min

François Delpla dit: 7 mars 2014 à 8 h 41 min
Merci M. Delpla, de ces précisions sur
» le mythe de la Sippenhaft. Cette loi du 1er août 1944″
Il faut rester dans la précision avec vous

ah non !
c’est Schön/gely qui fabule, en mettant( dans la bouche de Choltitz des paroles terrifiées sur sa désobéissance, qui immolerait ipso facto et immédiatement ses fils,dans un grand déploiement de l’histoire d’Abrahamn et en allant jusqu’à lui faire dire que cette loi a été concoctée spécialement pour le contraindre de faire sauter Paris. Il est bon de ramener les esprits qui battent ainsi la campagne, tout en prétendant ne pas s’écarter des faits essentiels, aux dures servitudes de la chronologie (une loi du 1er août peut difficilement être motivée par une mission du 7).

Court dit: 7 mars 2014 à 15h14

Reprenons, car ça devient de plus en plus simple.
Clopine veut bien me concéder que le roman Pour en finir avec ‘Eddy Jolimome n’est pas un roman.
Onésiphore conteste le point. bons arguments.
Là dessus, retour de Clopine sommant les Passouliniens de lire une mise au point de l’auteur.
on lit -que ne fait-on pas pour vous!- son style raboteux et administratif de khâgneux peu talentueux et vexé. Las, c’est « mon roman » que l’on trouve à toutes les lignes;
Dés lors, il faudrait savoir ce qu’est ce nouveau genre qui ne prétend pas etre un roman tout en l’étant ,, et qui l’est si peu que meme ses lecteurs concèdent qu’il n’en est pas un..
Dans l’espoir de voir la clé de l’énigme!
MC

Renato
Concernant l’Académie, il faudrait pour etre juste signaler que ce n’est pas qu’un hospice de vieillards, que Marc Fumaroli n’est pas réductible à un calembour, fut-il de Sollers, que gérer Chantilly avec les clauses du duc d’Aumale n’est certes pas facile, et qu’un effort réalisé vers le grand public comme le site Canalacadémie mériterait au moins d’etre signalé. Mais on hurlerait à la culture de classe (comme si elle pouvait s’apprendre ailleurs que dans une salle de classe!), à l’élitisme, et autres turlutaines. Tant il est vrai qu’on préfère se convaincre que des spécialistes sont nécessairement abscons, alors que canalacad donne régulièrement la preuve du contraire.
Bien à vous
MC

Giovanni Sant'Angelo dit: 7 mars 2014 à 15h27


…les Beatles!,…
…font mieux, en plus court, avec des cheveux longs,…
…déjà, ou sont passer mes pantalons à pattes d’éléphants,…
… » 68 « ,…toujours!,…etc,…

lettres mes amours dit: 7 mars 2014 à 15h28

comment être un authentique ulysse quand on ne s’appelle ni Joyce, ni Freud, ni nora

lettres mes amours dit: 7 mars 2014 à 15h33

et ne croyez pas que les catarrhes de la vieille dame ne sont qu’un mot de s

lettres mes amours dit: 7 mars 2014 à 15h36

les catarrhes sont de toutes saisons : l’alibigeoise n’est pas moins cathartique que le Qatar

Giovanni Sant'Angelo dit: 7 mars 2014 à 15h41


…personne ne s’identifie à Ulysse,…

…un mythe rétrograde pareil,…
…quelle horreur,…allez emmerder les troyens pour faire un cinéma de retour chez lui!,…

…époussetez juste les meubles aux prise avec la vermine,…en manque de vernis laqué,…

…un gode-parlant aux 300 couches de vernis-japonnais,…Urbi & Ôbîtes,…etc,…

bérénice dit: 7 mars 2014 à 15h44

« Déjà, où sont passer mes pattes d’éléphant… »
Vous savez que ce n’est plus indispensable pour faire saut d’homme et s’inscrire dans la mouvance.
Jupiter, c’est la mode.

bérénice dit: 7 mars 2014 à 15h46

…époussetez juste les meubles aux prise avec la vermine,…en manque de vernis laqué,
Trop tard! Gibraltar!

Amicale des Racistes, Machistes, Homophobes d’extrême-droite mégalomanes dit: 7 mars 2014 à 15h52

Admis sur concours dans nos rangs le 1 avril 1962, le nommé JC en a été exclus le 1 mars 2014 pour mollesse.

En effet nous avons trouvé chez lui plusieurs traces d’ouverture d’esprit cosmopolite, du féminisme actif, une tolérance aux amours lesbiens inexplicable, des penchants politiques pour le Centre Mou de ce trou du cul de Bayrou.

Merci d’informer mademoiselle Trouillefou que ce garçon, beaucoup trop instruit pour être honnête, est plus proche qu’elle ne le croit de l’esprit du pays de Bray, terre des péquenots dont la France que nous bâtissons chaque jour sera un jour débarrassée !

Giovanni Sant'Angelo dit: 7 mars 2014 à 16h13


…bérénice,…saut d’homme,…enfin,…

…enfoncé des portes ouvertes,…que reste t’il comme plaisirs,…des contraintes à imposés,…

…la prière,…jusqu’à ce que les joues rougissent d’elles-mêmes,…etc,…
…Soeur Jeanne, ne sent tu rien venir,…
…de quel côté,…je en prise,…je m’en fiche 4,…il y a des modèles plus exponentiels,…à,…8,…fiches,…Oui, pour Studio Cinéma,…au moins le double en plus,…

…çà consomme ces gadgets,…ce n’est pas qu’un appendice,…à Cognac,…
…etc,…

Connaisseur de ver subtil ou d'ATC... dit: 7 mars 2014 à 16h27

On sait pas forcément que c’est Robert Enrico

renato dit: 7 mars 2014 à 16h52

« comment être un authentique ulysse quand on ne s’appelle ni Joyce, ni Freud, ni nora »

Umberto Saba — Ulisse

Nella mia giovinezza ho navigato / lungo le coste dalmate. Isolotti / a fior d’onda emergevano, ove raro / un uccello sostava intento a prede, / coperti d’alghe, scivolosi, al sole / belli come smeraldi. Quando l’alta / marea e la notte li annullava, vele / sottovento sbandavano più al largo, / per fuggirne l’insidia. Oggi il mio regno / è quella terra di nessuno. Il porto / accende ad altri i suoi lumi; me al largo / sospinge ancora il non domato spirito, / e della vita il doloroso amore.

lettres mes amours dit: 7 mars 2014 à 16h59

ce n’est pas de ma faute si ni Sollers , ni Kristeva ne peuvent faire la princesse pour P.Assouline qui n’ a qu’a aller dans les hopitaux pour s’en chercher, battues par leurs merveilleux pères, maris et /ou frères médecins ou avocats experts en comédies de simples (dixit clopine ) familles!

renato dit: 7 mars 2014 à 17h13

Je constate que l’on s’obstine à employer le mot “troll” à tort et à travers.

bouguereau dit: 7 mars 2014 à 17h20

Jupiter, c’est la mode

taille basse jusqu’à la raie du cul..et sans élastique de calçon comme zouzou svp

Connaisseur de ver subtil ou d'ATC... dit: 7 mars 2014 à 17h21

Et John Faez?
Elle a un peu des replis?

renato dit: 7 mars 2014 à 17h22

Appliques-toi les conseils que tu donnes aux autres, le célinien petit…

Giovanni Sant'Angelo dit: 7 mars 2014 à 17h22


…la république sur écoute,…elle aussi,…

…comme une lettre à parfums,…par les Postes,…Oui,…il vaut mieux se l’envoyer soit même si çà se trouve,…le téléphone!,…

…et du chocolat d’Afrique central,…
…mes gay’s, mes amis, mes frères,…la << P'raîde <<, écoute,…est sur les rails du bonheur,…
…Banania,…sur écoute,…etc,…
…Ah!,…je savait pas,…je collectionne les dons des amis,…on s'échanges des adresses de parasites à rien foutre,…
…blanc, comme neige,…c'est P'raide,…et con'sort,…etc,…

lettres mes amours dit: 7 mars 2014 à 17h23

à propos de familles :Meryl streep a dit
« mes adieux au mélo ont eu lieu avec Eastwood sur l route de Madison » j’avais 46 ANS ; j’en ai aujourd’hui 64. C’est tout ce qu’il reste à une femme de mon âge, jouer les gorgones  »
ça ne s’invente pas

Phil dit: 7 mars 2014 à 17h24

Saba, pas bien présent sur les rayons des libraires français. il aurait pu écrire en allemand, ce triestin.

quelque dit: 7 mars 2014 à 17h27

(photos D.R.: manucurés les académiciens …
dernièrement, je me suis délecté d’un petit ouvrage de H. James « esquisses parisiennes » (fin 1875- mi 1876, pour un canard US); dans un de ses articles, il cause des académiciens français ; c’est un must … et d’autres must(s ?) suivent, sacré visionnaire, l’henri, américain, puis, british, Basta … Esquisses parisiennes, est un ? top-de-chez top (certes, j’suis inconditionnel de H.J. – un oeil plus que persan (si, je puis l’écrire ainsi)

Phil dit: 7 mars 2014 à 17h27

Meryl Streep est rentrée dans les chaumières françaises avec « Holocauste ». Faudra vérifier si un Président lui a pas collé la légion d’honneur.

Connaisseur de ver subtil ou d'ATC... dit: 7 mars 2014 à 17h32

C’est pour être bien, c’est pour ça

bouguereau dit: 7 mars 2014 à 17h35

bon raz l’fion des « 40 »..ça finit mal tfaçon..on va en retrouver dans les lasagnes

bouguereau dit: 7 mars 2014 à 17h44

« j’expire un shakespeare trés français »..bloom doit kiffer

Connaisseur de ver subtil ou d'ATC... dit: 7 mars 2014 à 17h46

Morsay !

(elle devait sortir celle là)

u. dit: 7 mars 2014 à 17h49

« bouguereau dit: 7 mars 2014 à 18 h 36 min
Tu me diras que je suis bien bonne
..faut voir »

en body de dentelle et talons aiguille Louboutin, cpmme Deneuve?

Je suis pour le principe de précaution.

u. dit: 7 mars 2014 à 17h55

bouguereau dit: 7 mars 2014 à 18 h 20 min
taille basse jusqu’à la raie du cul..
bouguereau dit: 7 mars 2014 à 18 h 35 min
bon raz l’fion des « 40″..

Il faut reconnaître que si tu n’avances que pas à pas, tu ne t’égares pas en route.

La taille basse, c’est le courage.
C’est la fin des dilemmes douloureux à la haddock (au dessus ou au dessous des poignées d’amour?)

grégoire dit: 7 mars 2014 à 17h55

le peuple grec est tout à fait « complice » de cette « corruption »

mais non, pas tous

û embedded dit: 7 mars 2014 à 17h58

C’est tout ce qu’il reste à une femme de mon âge, jouer les gorgones

alors que daaphnée (la femme idéale) , à 60 ans, on lui en donne 30 à peine

lettres mes amours dit: 7 mars 2014 à 18h12

il me semble que l’un des rêves secrets, con scients ou non de P.Assouline est d’identifier ou de susciter la production d’un objet littéraire , un genre littéraire nouveau ?
que ce soit par défi, de ses amis qu’i titille , ou de ses lecteurs qu’il appelle les nuls, les hystériques ou les paranos .
quant à l’histoire LML, ne serait-ce pas qu’il a pris trop au sérieux ces échanges , et notamment la référence psychanalyse qui a tant m

Onésiphore de Prébois dit: 7 mars 2014 à 18h13

Savez-vous pourquoi j’exècre Jcé, et pourquoi je pense que tous ici nous devrions l’exclure ? (Clopine)

Le problème, c’est que les démocraties dites populaires censées être gouvernées directement par le peuple le sont généralement par un dictateur qui fait bien ce qu’il veut sans en référer à personne. Et voilà notre Clopine déchirée entre son rêve de démocratie directe et son irrésistible penchant pour l’exercice du cirage de pompes inhérent au culte de la personnalité. Le faraud « nous devrions l’exclure » cache en réalité un « Maître, nous venons vous prier de nous dire si des fois vous n’auriez pas l’intention d’exclure JC », dans le plus pur style toutou caniche. Décidément la journée de la femme s’annonce mal.

lettres mes amours dit: 7 mars 2014 à 18h15

notamment la référence psy qui est parallèle(rencontres à l’infini?) à la référence de la judéité et que ce soit sur le fond de cette question qu’il a noué des liens ambigus avec des contributeurs et des contributrices , dont DHH

lettres mes amours dit: 7 mars 2014 à 18h18

plutôt que par « biture express », ce qui serait plus parlant.
mais pas plus ni mieux écrivant

renato dit: 7 mars 2014 à 18h21

« Savez-vous pourquoi j’exècre Jcé, et pourquoi je pense que tous ici nous devrions l’exclure ? »

Vos arguments me répugnent, je vous le dis et je les combats, mais je ferai tout mon possible afin que vous puissiez les exprimer…

lettres mes amours dit: 7 mars 2014 à 18h22

P.Assouline feint apparemment d’ignorer que des femmes ont découvert avec stupeur que leur psychanalyste était choqué qu’elles disent fric-comme leur maître en conversation?- en séance !

Connaisseur de ver subtil ou d'ATC... dit: 7 mars 2014 à 18h23

C’est pour que tu piles quand ça part
Ulysse en fit autant

TKT dit: 7 mars 2014 à 18h25

@ Phil dit: 7 mars 2014 à 18 h 27. « Meryl Streep est rentrée dans les chaumières françaises avec « Holocauste ». Faudra vérifier si un Président lui a pas collé la légion d’honneur. »: Remember, Phil, « The Deer Hunters » ? Chaumières françaises, non, Phil, le cinéma américaine, idem pour les séries, se faufilent partout.
Il faudrait contrôler si The Deer Hunters, est vraiment le début de Meryl Streep. Un des trolls-larbins-wiki s’en chargera !

Phil dit: 7 mars 2014 à 18h29

Jean d’Ormesson méritait l’Académie rien que pour « Au plaisir de Dieu », fresque d’une France incompréhensible aux identitaires multiculturels de tout poil d’aujourd’hui et qui donna un téléfilm que les angliches nous ont envié.
Y’a pas de quoi sauter de joie en longeant les quais de Seine.

Chaloux dit: 7 mars 2014 à 18h34

Toto, la Grèce est un pays que je me trouve sans aucun doute connaître beaucoup mieux que toi. Et je maintiens que tes aphorismes dindonnants me feraient vomir si je n’avais le cœur si bien accroché.

Quant à vous Clopine, vous devriez réfléchir avant d’écrire. Sans doute trolle-t-on sur la RDL, mais on y écrit également, sans troller le moins du monde, des sottises d’assez fort calibre. N’aurait-t-il pas mieux valu, pour lui et pour nous, au risque épouvantable de le voir entrer à l’Académie, qu’Apollinaire vive quarante ans de plus?

Ce n’est plus un robinet à parlotes, c’est un déversoir à monstruosités.

lettres mes amours dit: 7 mars 2014 à 18h34

« Meryl Streep est rentrée dans les chaumières françaises
ouf on

Paul Edel dit: 7 mars 2014 à 18h36

Meryl Streep est apparue dans « manhattan » de W Allen.(1979) dans le rôle de l’ex- femme de Isaac Davis(Woody Allen) qui va publier un livre people qui dira tout sur sa vie conjugale (ce qui est arrivé dans la vie réelle 25 ans ans plus tard avec Mia Farrow…), et elle était vraiment tres belle dans un rôle de garce.. .. perso, je l’ai pas trouvé bonne du tout dans le film récent où elle tient le rôle de Margaret Thatcher,la dame de fer, avec un scénario bien médiocre.

lettres mes amours dit: 7 mars 2014 à 18h37

« Meryl Streep est rentrée dans les chaumières françaises
on a eu peur que ce ne soit dans les chaudières
je ne suis pas l’andrugyne de service

bouguereau dit: 7 mars 2014 à 18h38

Y’a pas de quoi sauter de joie en longeant les quais de Seine

le long de la thames c’est encore plus pire..ha c’est des fortiches les brits

bouguereau dit: 7 mars 2014 à 18h39

..on se croirait à knock le zout..et encore on a des chances d’y rencontrer jcvd..ça compense

renato dit: 7 mars 2014 à 18h39

Pauvre chacal, pas d’infos et il cause, il cause, c’est tout ce qu’il sait faire.

bouguereau dit: 7 mars 2014 à 18h43

et toi rénato..tu voulais pas virer philippe ? camembert plutot que de faire les voltairien de rien

Phil dit: 7 mars 2014 à 18h44

Aufpassen tkt, deer hunter n’est pas un téléfilm (comme les maigret qui sentent le chou sur toile cirée), seule catégorie à pénétrer dans les chaumières des années septante qui n’allaient pas « en ville ». « Holocauste » a olyhoudisé « le chagrin et la pitié » et la balle est passée dans le camp (si l’on ose dire) américain.

bouguereau dit: 7 mars 2014 à 18h45

le rôle de Margaret Thatcher,la dame de fer

c’était un role pour jicé épicétou

renato dit: 7 mars 2014 à 18h46

« tu voulais pas virer philippe ? »

Là tu te trompe, célinien petit, j’ai demandé qu’on supprime un post où Ph. R. incitait à la violence, et au meurtre, c’est tout.

Chaloux dit: 7 mars 2014 à 18h46

quelque dit: 7 mars 2014 à 18 h 27 min

Au petit livre de James, il faut ajouter les extraordinaires chroniques parisiennes (entre autres) de Dickens dans « Le Voyageur sans Commerce », chez l’Arbre Vengeur.

des journées entières dans les arbres dit: 7 mars 2014 à 18h47

Phil dit: 7 mars 2014 à 15 h 33 min
« Nous discuterons Diplomatie, sans l’avoir vu, au bar du Lutetia. »

Alors saluez Edouard de ma part; car si Julius n’était pas à Paris au mois d’août 1944, Edouard en revanche y était bien. Ses collègues du Meurice l’avaient d’ailleurs tout de suite prévenu du fait que Choltitz s’était constitué prisonnier.
Et à Edouard, faut pas lui raconter des cracks.
http://www.youtube.com/watch?v=Uqvr6igV3Wc

Connaisseur de ver subtil ou d'ATC... dit: 7 mars 2014 à 18h47

Comment ça s’appelle la rappe en bois qu’on frotte avec un bâton?
Je suis désolé je connais pas
Un guiro? Y’a que ça? (pas le souvenir que ça soit creux)

bouguereau dit: 7 mars 2014 à 18h48

comme les maigret qui sentent le chou sur toile cirée

..ha t’es dégueu phil..mais qu’est ce que lassouline attend pour te virer

bouguereau dit: 7 mars 2014 à 18h49

Comment ça s’appelle la rappe en bois qu’on frotte avec un bâton?

la planche a laver ?

Chaloux dit: 7 mars 2014 à 18h49

Mon pauvre Toto, d’infos j’ai tout autant que toi, mais de gingin bien davantage.

Quant à toi pauvre Boug, je commence à comprendre de quel bois tu es fait. D’un bois qui flotte, pas davantage.

Bon week-end.

bouguereau dit: 7 mars 2014 à 18h51

Là tu te trompe, célinien petit

mon cul..t’as dla chance que chus faignant..à moins qu’un troll larbin à vontraube s’en charge

renato dit: 7 mars 2014 à 18h55

« t’as dla chance que chus faignant »

Mais pas du tout, cependant si tu le dis ça doit être vrai… mais tu dis tellement de choses…

Phil dit: 7 mars 2014 à 18h56

Merci Desjournées. Le disque bien rayé vient de me rappeler que Stroheim était fait pour le rôle de Choltitz.
Schlöndorff doit parfois se dire qu’il est né trop tard.

Onésiphore de Prébois dit: 7 mars 2014 à 18h56

Meryl Streep est apparue dans « manhattan » de W Allen.(1979) dans le rôle de l’ex- femme de Isaac Davis(Woody Allen) qui va publier un livre people qui dira tout sur sa vie conjugale (ce qui est arrivé dans la vie réelle 25 ans ans plus tard avec Mia Farrow…), et elle était vraiment tres belle dans un rôle de garce.. (Paul Edel)

Plus que le théâtre, le cinéma nous fait toucher du doigt le mystère de l’incarnation. Dans « Sur la route de Madison », où elle a trouvé peut-être son plus beau rôle, Meryl Streep est vraiment divine; la poésie, l’émotion poignante du film passent par son visage, par ses yeux, par son jeu, mais aussi par ce qui se passe d’ineffable entre elle et son partenaire-metteur en scène, Clint Eastwood. Parce que c’était elle, parce que c’était lui. Des milliers de comédiennes et de comédiens ont incarné et incarneront Juliette et Roméo, Chimène et Rodrigue, mais les deux protagonistes de « Sur la route de Madison » ne pourront jamais être incarnés que par Meryl Streep et Clint Eastwood.

Chaloux dit: 7 mars 2014 à 18h57

Quel Blaireau, ce louffiat de Toto…

L’heure d’enfourcher le break…

renato dit: 7 mars 2014 à 19h00

Et il insiste le parvenu, c’est vrai qu’ils n’ont aucun sens de la bienséance ni de la mesure…

Compète dit: 7 mars 2014 à 19h03

Chaloux dit: 7 mars 2014 à 19 h 34 min
Toto, la Grèce est un pays que je me trouve sans aucun doute connaître beaucoup mieux que toi

Toto sache que c’est un peu comme pour :
la musique, la littérature, Quignard, Paris, le piano, la philosophie, Colette, la volvo, Daaphnée, le cinéma, l’architecture, les Grecs (anciens), les romains, l’école, les diplômes, la vie quoi !

Connaisseur de ver subtil ou d'ATC... dit: 7 mars 2014 à 19h06

Les fauves n’attendent pas leur festin

Vie de couple dit: 7 mars 2014 à 19h07

« j’ai demandé qu’on supprime un post où Ph. R. »
renato

Bravo Toto, t’es un vrai libertarien.
Moi oui, les autres non.

troll larbin de vontraube dit: 7 mars 2014 à 19h11

« Là tu te trompe, célinien petit »

Seul le Dantien minuscule sait, épicétou.

renato dit: 7 mars 2014 à 19h12

Est-ce que vous, Vie de couple, vous êtes d’accord avec l’incitation à la violence et au meurtre ?

Cela dit, puisqu’on y est, je vous conseille de voir la définition de libertarien…

renato dit: 7 mars 2014 à 19h15

Je sais ce que j’ai écrit et pourquoi, troll larbin de vontraube, vous par contre vous glissez sur quelque chose, là…

Chaloux dit: 7 mars 2014 à 19h18

Toto, tu mériterais d’être fessé cul nu en place de Grève.
Je m’en vas.

lettres mes amours dit: 7 mars 2014 à 19h22

tant d’académiciens consacrant leur temps à instrumentaliser non sans perversité les candidatures de ceux qui rêveraient d’en être,
on se souvient d’un contributeur qui se dressait sur ses ergots, et son ego pour interdire le verbe instrumentaliser :il s’était fait des fans, dont DHH

Liberté toujours, égalité un peu, fraternité déconnez pas là dit: 7 mars 2014 à 19h24

« la définition de libertarien… »
renato

Principe ou axiome de non-agression, coopération libre et volontaire entre individus…
suppression des posts qui déplaisent.

J’ai bon là ?

renato dit: 7 mars 2014 à 19h28

« suppression des posts qui déplaisent »

D’accord, l’incitation à la violence et au meurtre ça ne vous déplait pas, c’est bon à savoir…

lettres mes amours dit: 7 mars 2014 à 19h28

et l’ autre merveille qui ne comprenait pas transcription
dans les texte du monde :
« Les conversations entre client et avocat sont confidentielles. Leurs échanges ne peuvent donc être transcrits Les conversations entre client et avocat sont confidentielles. « 

TKT dit: 7 mars 2014 à 19h30

@ Phil: “Aufpassen tkt, deer hunter n’est pas un téléfilm « :
Phil, aufpassen ist gut, aber auch für sie selbst: J’ai bien écrit, que les films et les séries se faufilent partout. The Deer Hunter est un film, pas une série, ais-je dit le contraire ? Je me souviens de la première fois, que j’ai visionné le film. Au cinéma.

lettres mes amours dit: 7 mars 2014 à 19h41

sollers pourrit se recommander de l’exemple de perelman gregori, lequel ne se déplace pas si facilement

Ouvrons notre coeur à Toto dit: 7 mars 2014 à 19h42

Toto, tes conneries c’est une forme de violence particulièrement perverse. Impossible qu’on ne te l’ai jamais dit.
… Et pis chaloux n’a pas tort, une petite fessée, c’est rien qu’une petite fessée… L’homme supporte plus qu’un boeuf… Et pis vraiment tu la mérites.
EPICETOU.

Causes, effets dit: 7 mars 2014 à 19h46

20h28
Il y a ici une modération renato (ou une passoumodération)
A la fois assez cool (parfait) mais stricte sur le fond (le vrai)
Laissez-la agir et ne nous gonflez pas avec vos lettres de dénonciation.
Ph. R. ne vient plus, peut-être est-ce du à une modération efficace ou à une impossibilité pour lui de supporter les réponses données à ses commentaires, je ne sais, mais sûrement pas à des demandes personnelles et clamées de censure.

renato dit: 7 mars 2014 à 19h52

Causes, effets,

le post dont il est question ne fut pas modéré d’office, la modération semblait distraite, et je ne suis pas le seul à l’avoir signalé. Quant à « lettre de dénonciation », bof… laissons pisser…

renato dit: 7 mars 2014 à 19h54

Quant à « lettre de dénonciation », bof… laissons pisser… je disais… mais non : moi, par ailleurs, je suis ici avec ma vraie identité, contrairement au faux culs de votre espèce.

Phil dit: 7 mars 2014 à 19h58

sapré tkt. alles klar. Al Pacino se faisait pas encore dans le mafieux esthétisant.
Desjournées, les rayures font partie du charme. Aujourd’hui on relifte des muets comme les premiers spectateurs n’ont jamais pu les voir. Je ne dis pas cela pour Dalida.

des journées entières dans les arbres dit: 7 mars 2014 à 20h05

Phil dit: 7 mars 2014 à 20 h 58 min
Ce matin à la radio, George a dit on the radio, avec beaucoup d’humour, que Paris était à tout le monde. Ils causait des monuments.

TKT dit: 7 mars 2014 à 20h11

@ renato dit:7 mars 2014 à 20 h 54:
Quant à « lettre de dénonciation », bof… laissons pisser… je disais… mais non : moi, par ailleurs, je suis ici avec ma vraie identité, contrairement au faux culs de votre espèce. »: En effet, nous ne sommes pas nombreux, à être sans masque.
Dénoncer, c’est faire connaitre ce qui ne l’est pas encore. Pointer Teigniez, pour ses propos infâmes, n’est donc pas de la dénonciation. Il faudrait être très débile ou abruti, pour ne pas se rendre compte de la saloperie de Teigniez. Mais au moins, Teigniez a le courage de ne pas se mettre des masques sur le visage. Oui, je sais, il réside dans un pays sans aucune moralité.
Je trouve intéressant, que JC, sous ses pseudos qu’il croit intelligents, plaide pour la liberté de la parole, mêmes des paroles interdites par la loi ou la seule bienséance. JC est le paradigme du troll masqué, moins con que D., il ne livre aucun détail sur sa vie antérieure. Il dit qu’il était un scientifique ? Bof, comme D.bile est un mathématicien, un informaticien, un physicien et last but not least, un chrétien ayant le respect des paroles du Christ, racontées par ses héritiers. JC rêve d’être dieudonné.

des journées entières dans les arbres dit: 7 mars 2014 à 20h15

« Oui, je sais, il réside dans un pays sans aucune moralité. »
Il en sait des chose TKT sur l’éditeur délinquant.

Courage dit: 7 mars 2014 à 20h23

« Je trouve intéressant, que JC, sous ses pseudos qu’il croit intelligents, plaide pour la liberté de la parole, mêmes des paroles interdites par la loi ou la seule bienséance. JC est le paradigme du troll masqué, moins con que D., il ne livre aucun détail sur sa vie antérieure. Il dit qu’il était un scientifique ? Bof, comme D.bile est un mathématicien, un informaticien, un physicien et last but not least, un chrétien ayant le respect des paroles du Christ, racontées par ses héritiers. JC rêve d’être dieudonné »
TKT

Pauvre TKT, c’est dur de voir un individu s’enfoncer dans la paranoïa et l’obsession.
Sachez que nous compatissons Thierry, votre combat est un peu le notre.

TKT dit: 7 mars 2014 à 20h32

JC qui a le courage de ses burnes dit:7 mars 2014 à 21 h 23: Ducornaud, c’est vous, le salaud de service, qui êtes obsédé. Obsédé de se voir mieux que quiconque. Sans vous et votre fils, D.bile, champions de la paranoïa, franchement, je serais satisfait de ne pas répondre à des spasmes de malades mentaux. Chaque mot écrit par un commentateur, est prétexte chez vous à une attaque, qui est obsédée, qui est paranoïaque ?
Il ne vous reste plus dans la vie, que votre écran, votre clavier et la terre entière à détester. Avez vous encore le souvenir, quand vos burnes vous donnaient un certain équilibre ?

TKT dit: 7 mars 2014 à 20h37

HR, je ne sais sur Philippe Teigniez, que ce que nous savons tous.
C’est un voyou de l’édition et un membre d’une secte néo-nazi.
Ceci dit, il ne semble pas atteint de quelconque pathologie.

des journées entières dans les arbres dit: 7 mars 2014 à 20h39

TKT dit: 7 mars 2014 à 21 h 37 min

TKT, mon bon, voyez-vous HR et moi, ça fait deux.
Ne faites donc pas comme l’un. Myope.

Connaisseur de ver subtil ou d'ATC... dit: 7 mars 2014 à 20h41

Faudrait voir si les bouts filtres, c’est bien

Courage dit: 7 mars 2014 à 20h53

TKT dit: 7 mars 2014 à 21 h 32 min

Tu as de moins en moins d’imagination mon Thierry chéri, tu n’es plus capable que de répéter des propos qui ne sont pas les tiens.
Tes obsessions prennent le pas sur ton imagination.
Sois fort Thierry nous t’aiderons.

Connaisseur de ver subtil ou d'ATC... dit: 7 mars 2014 à 20h55

Hé quoi? C’est une question importante !

Phil dit: 7 mars 2014 à 20h58

Desjournées, nos amis américains sont généreux avec les monuments des autres, en particulier ceux de la France. C’est ainsi qu’un millionnaire a pu ouvrir son musée des « cloisters » à nouillorque avec les pièces cisterciennes raflées à vil prix dans la campagne française tombée en déshérence grâce aux gauchiss de l’époque (Schlöndorff était encore au biberon ).
Un jour il s’en trouvera un pour se payer l’Académie Française et la déboulonner sur place. Ce jour là, le fantôme d’Ormesson sautera dans la Seine.

Connaisseur de ver subtil ou d'ATC... dit: 7 mars 2014 à 21h10

Quèlé l’sujet l’pognon
Qu’elle est le sujet? Le pognon
(je sais pas en quelle langue vous le préférez)

lettres mes amours dit: 7 mars 2014 à 21h46

à mes yeux , le billet : est insupportable:
que P.Assouline soit tout politique soit , mais de là à surfer avec cette intempérance rien que sur des fantasmes, les problématiques générationnelles exacerbées par l’internet sur fond de questions de genre et de l’homosexualité masculine.
ce n’est pas une expression des jeunes d’aujourd’hui « vieux gaga » , pas même des quinquagénaires..
alors s’avancer comme the porte parole , the défenseur des écrivains comme « la veuve et l’orphelin » ça fait plus que « mégalo ».
le lexique des commentaires demeure rachitique , quel que soit le « genre » -description », psychologie, idéologie : alors que c’est à P.Assouline à relever les faiblesses des uns et des autres, et non à les encourager par des cliquetis d’arrière cuisines , comme supposés mots d’esprit, dans un magma grammaticalement indigeste .
D’autres que moi ne le supportent pas et n’en appellent pas à Diderot , ni à Sollers

Giovanni Sant'Angelo dit: 7 mars 2014 à 21h46


…porter le chapeau,…des esclandres,…Oui!,…
…tu les auras tes cinq ans,…

…l’état de la France,…clé sur porte!,…

…ou en sont les connivences internationales pour nous préparez aux bénéfices,…un tuyau ou deux,…
…crachez le morceau,…à l’interrogatoire,…
…rien à tirer dans cette partie de boules,…un terrain  » Bond’disant « ,au beurre d’anchois,…ma fidèle  » Pizza « ,…

…la créativité sous d’autres cieux,…etc,…
…qu’elle herse cet échiquier sur notre dos!,…
…la créativité à retrouvez son paradis sans pertes,…notables,…

…les institutions à transmettre, la débauche généralisée,…par acquis de conscience,…
…et déjà par les bibles, les fables, l’urbanisme collectif industriel d’intello’s rentiers,…etc,…
…déductions exponentiels,…cavaliers,…
…il n’y a que Maille qui mate,…etc,…

Court dit: 7 mars 2014 à 21h53

Puisque l’on parle d’Alain Duménil, notons qu’il est l’auteur d’une biographie bien troussée quoique sans apparat critique de François Coty, à ma connaissance la seule à ce jour. Il y tire, textes à l’appui, la barbe de Léon Blum et de quelques autres. On aimerait plus de documents,une chronologie plus rigoureuse, mais on passe tout de meme un bon moment.
MC

lettres mes amours dit: 7 mars 2014 à 22h02

bientôt on va croire que P.Assouline souffre de ne pas être l’objet de l’hostilité des femmes belles jeunes et douées et assez prometteuses (d’apporter un nouveau genre !)

Giovanni Sant'Angelo dit: 7 mars 2014 à 22h03


…la classe,…

…la volonté de vivre ensemble et se partagé les taches en mixité,…
…sur le ras d’Ô,…des râles bols,…

…les engrenages chronométriques à remonter!,…juste inversé le sablier,…!
…Da!,…Da!,…Da!,…etc,…Bip,…Bip,…Ah!,…l’heure,…

lettres mes amours dit: 7 mars 2014 à 22h03

l’hostilité qu’endurent les belles femmes
ceci dit il y en a déjà eu pour se penser le fils de Dieu

Connaisseur de ver subtil ou d'ATC... dit: 7 mars 2014 à 22h05

Je ne sais plus qui (un vieux juif sans doute) disait :
– Estimez-vous heureux d’avoir eu un procès

lettres mes amours dit: 7 mars 2014 à 22h19

et noyé sous le flot interrompu de son babil,
la faute de syntaxe à noyés est un juste chatiment de l’inconscient qui s’est délécté de traiter un auteur très lisible et qui s’y connaît en langues aussi bien que PAssouline sur les fleuves de Babel

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