Quel tohu-bohu métaphorique !
Pierre Lazareff avait coutume de dire qu’un bon papier est un papier qui arrive à l’heure. Dans le même esprit, on serait tenté de dire qu’un bon dictionnaire est un dictionnaire dans lequel on peut chercher avant même d’être celui dans lequel on peut trouver. C’est la limite du Livre des métaphores (1120 pages, 30 euros, Bouquins/ Robert Laffont) de Marc Fumaroli, de l’Académie française, professeur au Collège de France et spécialiste des rhétoriques antique et moderne (et aussi Pierre-François Burger si l’on en juge par la formule des remerciements qui lui rend hommage) relu ces jours-ci quelques années après sa parution pour le plaisir d’y picorer.
L’érudition de l’auteur n’est pas en cause, non plus que la richesse de ses trouvailles. Le problème est dans le classement thématique : « L’Univers anciens, astrologie et astronomie », « Le temps qui passe et les âges de la vie », « Le corps sémaphore », « La vie à la ferme, « Le cheval et son monde », « Le demeure urbaine » etc Quelle drôle d’idée ! Vraiment pas le genre de Bouquins dont le catalogue et la réussite témoignent du sens du pratique. Or rien n’est moins commode que ce livre qu’on aimerait tant aimer mais que son rangement rend si peu aimable. A moins de connaître à l’avance à quelle catégorie se rattache la métaphore que l’on cherche (seul Pic de La Mirandole devrait y parvenir), on ne peut s’en sortir. « Tirer son épingle du jeu », vous le cherchez où ? Je ne sais plus. Pour « Une douche écossaise », voyez à au chapitre « Médecine ». Et « Laver son linge sale en famille » ? Celui-ci au chapitre « Cuisine, aliments »… Et « Se refaire une virginité « ? Celui-là, c’est au chapitre « Chimie et pharmacopée anciennes ».
Ah bon… Impossible de s’y retrouver, sauf quand c’est évident, ce qui arrive tout de même assez souvent, soyons justes (« Reprendre du poil de la bête » au chapitre « Animaux »). Marc Fumaroli dira qu’il a composé un lexique et non à proprement parler un dictionnaire. Question de vocabulaire, on ne va s’envoyer des lemmes à la figure ! Lexique ou dictionnaire, c’est tout un : même si celui-ci est sous-titré « Essai sur la mémoire de la langue française », il ne se lit évidemment pas en continu comme un essai ; on y pioche, on y pique, on s’y balade par sauts et gambades, souvent avec bonheur ; mais quant à y trouver ce qu’on y cherche, Tintin ! Dans sa préface, Marc Fumaroli rend à juste titre ses lettres de noblesse à la métaphore en lui accordant « le charme des citations poétiques ».
Les métaphores, il les chasse depuis longtemps non pour les mettre en fuite mais pour les attraper dans son filet à papillon et les conserver. Comment avaient procédé ses prédécesseurs pour ranger « Rompre le charme », « Graisser la patte », « Avoir le couteau sous la gorge », « jeter le froc aux orties », « Enfiler des perles »? Le lexicographe Alain Rey avait fait un classement classique par ordre alphabétique, et Claude Duneton un classement thématique. Marc Fumaroli juge le classement alphabétique« fort abstrait, en contradiction avec la nature, concrète, visuelle, sensuelle, imaginative et ironique de ces expressions verbales ou locutions adverbiales ». Il a donc opté pour un classement par champs sémantiques ; il a parié sur l’intelligence du lecteur en supposant que sa mémoire a emmagasiné « références tacites et points de comparaison cachées ». Il a tort. Non qu’on se perde dans son livre. Pire encore : on ne s’y retrouve pas. Ce qui est d’autant plus râlant qu’il est d’une grande richesse (même si dans les nombreux exemples choisis pour illustrer l’usage de telle ou telle métaphore, on est parfois surpris de trouver Métro, journal gratuit dont les qualités d’écriture nous transportent rarement, aux côtés de Joachim du Bellay).
Ceux qui ignorent que « Tohu-bohu » vient de l’hébreu n’auront jamais l’idée d’aller chercher dans « Ancien Testament » ! A noter une étrange absence : on cherche en vain un chapitre sur les métaphores sexuelles alors qu’elles abondent dans le langage courant, en littérature et en poésie. « Lever l’étendard »reste confiné au lexique de la guerre, et « Planter sa tente » ne sortira pas de l’itinéraire de Jérusalem (Ancien Testament) à Chateaubriand (Mémoires d’Outre-Tombe). Je suis bien tombé, tout à fait par hasard en « Histoire », sur une entrée « Discuter du sexe des anges », mais j’ai été plutôt déçu. Non parce que je m’attendais à quelque chose de sensuel. Le problème, c’est l’explication :
« Une légende veut qu’au moment où les Turcs du sultan Mehmet II forçaient en 1453 les défenses de Constantinople, les théologiens byzantins disputaient entre eux du sexe des anges. C’est un peu comme le vote des congés payés dans une France démobilisée face au réarmement hitlérien : une légèreté suicidaire ».
En revanche, question cheval, on est ferrés.
(« Une boutique aux Champs-Elysées, un dimanche de mars 2019 » photo Passou)
1 788 Réponses pour Quel tohu-bohu métaphorique !
pour faire plus rapide : de tous ses systèmes.
Certes, D. mais l’anaphore pondéreuse visait à souligner la gravité de ce qui nous arrive.
@Chaloux,
100% d’accord avec vous. Après 7 années passées à l’étranger, je ne suis pas revenu dans le même pays. J’ai d’abord tout mis sur le compte du Hollandais. Après un an passé au pays, je suis atterré par la dégradation du quotidien et le degré d’exaspération à l’égard d’un pouvoir qui a érigé le mépris en mode de gouvernement, et qui ne sait ni voir ni écouter, ni s’exprimer au-delà des gesticulations de la com.
@Phil
Fumaroli ne peut pas mourir, il est immortel, comme le sont les huit figures mythologiques du taoïsme. Dans notre panthéon « grand siècle », ils sont 40, car nous avons toujours été modestes.
S’ils ont jadis réussi à faire dévier de son tracé ce qui est maintenant la ligne 4 pour ne pas ressentir les trémulations du métropolitain, ils n’ont depuis plus eu aucun poids dans la vraie vie. Des immortels morts au monde payés 3 000 euros l’année.
« il me semble qu’il y a aussi la notion de passer du chien/jour où l’on est en confiance au loup/nuit où l’on a peur. »
Oui Lavande, et une citation de Valéry que le Robert donne va dans votre sens : le jour, c’est ce qui est rationnel, la nuit ce qui appartient au règne de ce qui est « sauvage », comme la langue classique et l’argot par exemple.
rose, quand Elsa Triolet obtient le Goncourt (en 1944 en effet, c’est Jean-Louis Bory qui l’aura en 45) , le couple était à la tête du comité d’épuration des écrivains français. Ceci expliquant cela…
Pablo75 dit: 30 juillet 2019 à 13 h 34 min
Boulez c’est nul, c’est tellement nul que Barenboïm a inauguré il y a 3 ans à Berlin un auditorium pour musique de chambre baptisée « salle Pierre Boulez ».
t’imagines Pablo : la mafia boulezienne a même des ramifications en Allemagne ! et même ton pote Barenboïm en fait partie !
vas-y Pablo, continue sur ta lancée je te sens bien parti !
Je vais être très clair, Bloom : seul un ou une souverainiste peut sortir la France de l’ornière. Il y en avait une au second tour de la présidentielle, j’ai voté pour elle.
J’ai bien conscience de tous les problèmes que pose le RN, à commencer par ses racines et un certain nombre de liaisons dangereuses toujours pas coupées, plus les lacunes de MLP.
J’ai conscience des outrances passées et craint certaines qui pourraient venir, mais aujourd’hui sans aucun rapport avec le racisme. Il y a une urgence, c’est de sauver la France contre ceux qui collaborent à sa dissolution dans un projet fédéraliste entièrement soumis aux lois de l’économie mondialisée. Je n’accepte pas cette trahison, je n’accepte pas la soumission. Je n’accepte pas de faire comme si il ne se passait rien alors que le projet fédéraliste est écrit, que nos technologies d’armement nucléaire élaborées sous De Gaulle doivent être sous quelques années livrées à l’Allemagne. Ça c’est insupportable pour moi. Et je souhaiterais que ce le soit pour vous et pour tous.
Le rôle de la France est de briller, d’éclairer, pas de suivre le côté obscur.
Le titre exact est le Comité national des écrivains
https://fr.wikipedia.org/wiki/Comité_national_des_écrivains
Sarah Kofman
Nietzsche et la métaphore
EXTRAIT
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PRÉSENTATION
« Étrangeté de l’écriture nietzschéenne qui distingue le texte de Nietzsche de tout autre. Philosophie nietzschéenne, insituable, hors catégorie, impossible à classer. Ni science, ni poésie, mêlant dans son écriture tous les “genres”, biffant toutes les oppositions d’un grand éclat de rire, elle force à une attention particulière à son “style”, à ses “styles” : elle utilise des procédés inouïs et subversifs.
Parmi eux, un usage privilégié, peu commun en philosophie, des métaphores. Privilège de la métaphore sur le concept mais afin de généraliser la notion de métaphore et de montrer, en définitive, que le concept, considéré par toute la tradition métaphysique comme l’opposé de la métaphore, n’est lui-même qu’un condensé de métaphores “oubliées”. Oubli originaire, corrélat nécessaire de l’activité métaphorique instinctive, mais aussi secondaire, voulu par les forces alliées du logos, morale, religion et société. »
http://www.editions-galilee.fr/f/index.php?sp=liv&livre_id=2896
le couple était à la tête du comité d’épuration des écrivains français
—
Baroz, as-tu lu les traductions de Maïakovski dues à Elsa Triolet? Du grand art. Comme tu le sais, sa soeur, Lili Brik, était l’amante de l’auteur du Nuage en pantalon.
Avant l’épuration, il y a le désastre de juin 40 & ce poème d’Aragon, d’Aragon que notre merveilleux professeur d’hypokhâgne nous donna en concours blanc:
Les Ponts de Çé
J’ai traversé Les Ponts-de-Cé
C’est là que tout a commencé
Une chanson des temps passés
Parle d’un chevalier blessé,
D’une rose sur la chaussée
Et d’un corsage délacé,
Du château d’un duc insensé
Et des cygnes dans les fossés,
De la prairie où vient danser
Une éternelle fiancée,
Et, j’ai bu comme un lait glacé
Le long lai des gloires faussées.
La Loire emporte mes pensées
Avec les voitures versées,
Et les armes désamorcées,
Et les larmes mal effacées,
Oh ! ma France ! ô ma délaissée !
J’ai traversé Les Ponts-de-Cé.
Louis Aragon, les Yeux d’Elsa, 1942
et alii et la métaphore :
« Ne pas mettre tous les liens dans le même panier ! »
Elsa Triolet se distinguent aussi par leur choix des matériaux : coton nacré, cuir, porcelaine, verre, autant que par les architectures imaginées ou les sources d’inspiration: style art déco, baroque, ethnique…
Elle récupérait aussi des fusibles électriques pour faire des boucles d’oreille.
Bcp de récup.de créativité de réemploi pour la déco. Des lampes de wagons de chemins de fer. Une, deux, trois bibliothèques achetées dans un club anglais, repeintes et installées au moulin, dans me grand salon, où anciennement tournait la roue.
Un goût sûr, tourné vers la contemporanéité.
Une femme tenant à son indépendance, gardant pour cela le patronyme de son premier mari officier Triolet, celui qui lui a donné la nationalité française. Mariage éclair, deux ou trois ans, même si leurs pas les ont conduits à Tahiti d’où elle rapportera d’autres éléments décoratifs, en vannerie ou nattes tressées.
D, les lacunes? C’est un cratère dont on espère qu’aucun magma ne sortira. Ce n’est pas tant elle qui est dangereuse bien qu’elle le soit que ses soutiens populaires, desinhibez la population me semble quelque peu risqué sans meme penser à la légèreté du programme qui sans Philippot se resume à du racisme ordinaire pour moteur à explosion après election. De toutes façons, ML a renoncé à sortir de l’Europe.
Elle aimait bcp Maïakovski, Elsa.
C’est grâce à lui qu’elle a rencontré Aragon.
Jazzi
la difficulté des pays industrialisés (occidentaux) à dire, à imposer aux pays émergents, tels l’Inde ou la Chine, de réduire leur taux de croissance exponentiel.
C’est à nous de réduire drastiquement notre taux de croissance. Notre consommation. Etc.
« Imagination et métaphore » est le texte d’une communication faite par Paul Ricœur à la Journée
de Printemps de la Société Française de Psychopathologie de l’Expression, à Lille les 23-24 mai
1981.Le texte a été publié en 1982 dans la revue Psychologie Médicale ,14
http://www.fondsricoeur.fr/uploads/medias/articles_pr/imagination-et-metaphore-1.pdf
« Chaloux dit: 30 juillet 2019 à 14 h 00 min
@Pablo. J’aime bien Duteurtre, un type supérieurement intelligent. Je vais lire. »
pour qui se demanderait ce que ce « supérieurement » ajoute à la phrase.
en fait ce « supérieurement » ne sert à rien dire de plus sur Duteurtre, mais il sert à dire beaucoup Mt Chaloux.
car pour reconnaitre une intelligence il faut bien sûr être déjà soi-même intelligence.
pour pour reconnaitre dans cette intelligence son aspect « supérieur » il suffit pas d’être juste intelligent, il faut carrément être soi-même un génie, car seuls les génies perçoivent la différence entre un type intelligent et un autre supérieurement intelligent.
pourquoi vous ne montez pas un sketch ?
comme Francis Blanche et Pierre Dac ?
– que pouvez-vous dire de ce monsieur ?
– je peux dire qu’il est intelligent
– pouvez-vous dire de cette intelligence qu’elle est supérieure ?
– heuuuu, oui je peux le dire
– mesdames messieurs, il peut le dire ! n’est-ce pas merveilleux, sublimissime !
Qu’est-ce qui explique qu’on ait pu croire à « l’aventure Macron », voter pour cet homme, et… qu’à un moment donné, on ait dû s’en détourner puis en dire pis que pendre, après avoir dument craché durant six mois sur de la chienlit jauniste et visqueuse ?… Le fascinant, dans tous ces témoignages déceptifs, n’est pas tant la goutte d’eau susecptible d’expiquer le débord (genre : désubventionnement total des Alliances pour le rayonnement du français), que le mécanisme d’aveuglement antérieur… Celui qui vous aveuglait dans ce moment d’état de grâce incarné par le divin Napoléon et qui vous amène au décillement de « Napoléon le minsue », ou bien de « la séduisante Brigitte » à « sa blondasse facho ».
Une fois dégagé de la réserve obligée (bah, bah, bah !…), c’est ainsi que la rdl redevient soupape d’évacuation utile à « se lâcher », à se « débonder », à se « dégorger ». On ne lâchera rien !… une fois les meutes lâchées.
Machinette a raison : vaut toujours mieux s’en prendre à la malfaisance des reines hystériques… N’a-t-on pas appris du bon M. de Rugy que « l’informatrice de Plenel » avait piqué les photos chez Mme Gala pour se venger d’une concurrente qui l’avait éconduite ».
On n’est pas assez doués, nous autres keufs, pour formuler des explications plus élaborées, à l’ordre du monde à sauver. Un monde beaucoup plus simple que celui de donald et boris, voire de notre ami D.
(Et pendant ce temps, l’histoire de la musique ne fait que réévaluer le génie de Pierre Boulez…), etc.
Oui Bloom, j’ai lu la correspondance des deux soeurs, fabuleux document !
Et j’ai relu pratiquement tout Aragon depuis.
Elsa et Louis, le couple le plus haï de la littérature française !
______________________________________
LOUIS ARAGON
Le beau printemps poignardé des jardins de France
Conformément à l’ordre chronologique de leur rédaction, Louis Aragon a placé le poème Les lilas et les roses en fin de deuxième partie de son recueil Le Crève-cœur, publié pour la première fois, en tirage limité, le 25 avril 1941. Ce poème, ainsi que les suivants, ont été écrits en effet après l’armistice signée le 22 juin 1940 entre le Maréchal Pétain et Hitler. Tandis que tous les précédents poèmes étaient consacrés à « la drôle de guerre » et à « la campagne de France ». Malgré la thématique printanière de son titre, et sa double symbolique florale : le lilas est le symbole des premiers émois amoureux et la rose la fleur de l’amour par excellence, Aragon signifie clairement ici, que pour lui, la signature de l’armistice marque la fin de la joie et de la liberté. Deux fleurs d’amour et de résistance, en somme !
LES LILAS ET LES ROSES
O mois des floraisons mois des métamorphoses
Mai qui fut sans nuage et Juin poignardé
Je n’oublierai jamais les lilas ni les roses
Ni ceux que le printemps dans les plis a gardés
Je n’oublierai jamais l’illusion tragique
Le cortège les cris la foule et le soleil
Les chars chargés d’amour les dons de la Belgique
L’air qui tremble et la route à ce bourdon d’abeilles
Le triomphe imprudent qui prime la querelle
Le sang que préfigure en carmin le baiser
Et ceux qui vont mourir debout dans les tourelles
Entourés de lilas par un peuple grisé
Je n’oublierai jamais les jardins de la France
Semblables aux missels des siècles disparus
Ni le trouble des soirs l’énigme du silence
Les roses tout le long du chemin parcouru
Le démenti des fleurs au vent de la panique
Aux soldats qui passaient sur l’aile de la peur
Aux vélos délirants aux canons ironiques
Au pitoyable accoutrement des faux campeurs
Mais je ne sais pourquoi ce tourbillon d’images
Me ramène toujours au même point d’arrêt
A Sainte-Marthe Un général De noirs ramages
Une villa normande au bord de la forêt
Tout se tait L’ennemi dans l’ombre se repose
On nous a dit ce soir que Paris s’est rendu
Je n’oublierai jamais les lilas ni les roses
Et ni les deux amours que nous avons perdus
Bouquets du premier jour lilas lilas des Flandres
Douceur de l’ombre dont la mort farde les joues
Et vous bouquets de la retraite roses tendres
Couleur de l’incendie au loin roses d’Anjou
(« Le Crève-cœur – Le Nouveau Crève-cœur », Poèsie/Gallimard, 1980)
c’est vous qui en parlant de Macron avez appelé Ricoeur
Macron a aimé parlé de « cordée »(premier de)
Et c’est grâce à Elsa que sa soeur Lili a rencontré et lui a piqué Maïakovski, rose !
on avait « les fleurs de TARBES »!
Jazzi dit: 30 juillet 2019 à 14 h 42 min
Quelle soupe. Aragon n’est vraiment qu’un pasticheur. C’est Drieu qui le dit.
Des immortels morts au monde payés 3 000 euros l’année.
Dear Bloom, pour revoir la vie en rose, briguez la direction de l’Institut du Monde Arabe, rémunérée trois fois plus et occupée pour un non locuteur. Bienvenue au pays, fête de la zizique tous les jours.
Janssen J-J dit: 30 juillet 2019 à 14 h 42 min
Qu’est-ce qui explique qu’on ait pu croire à « l’aventure Macron »
Si c’est pour moi, face de Q de Gigi la visqueuse, que tu écris ça, il va falloir réviser tes classiques (et sans dormir cette fois).
les fleurs de Tarbes
l’ouvrage qui, s’il paraît en 1941, est entrepris dès 1926, à un moment où les positions politiques et littéraires de l’avant-garde se radicalisent, et ne laissent aucune possibilité de survie à la littérature après elles5, de ce qui constitue une contribution plus durable à la définition de la littérature et de l’acte d’écrire. Or il est singulier de remarquer le nombre important d’exemples que Paulhan emprunte au domaine de la politique : articles de journaux, fragments de discours, situations politiques… Si cela peut en effet s’expliquer par la place importante que la discussion sur les rapports entre littérature et politique tient au sein de la réflexion sur la littérature dans l’entre-deux-guerres (la NRF de Gide se présente depuis 1908 comme le temple de la « littérature pure », les surréalistes ne cachent pas leur engagement révolutionnaire, l’Action française occupe une place majeure dans le paysage politique et littéraire)
« C’est Drieu qui le dit. »
Tu faisais quoi en 1941, Chaloux ?
Tu dirigeais la NRF allemande ou tu faisais de la résistance ?
bien qu’il semble qu’il ne faille pas simplement accorder une valeur métaphorique au terme de Terreur appliqué à l’idéologie littéraire des avant-gardes, mais bien le prendre au sens propre, selon ce rapport d’homologie qu’on a relevé7 : en effet, le risque est bien pour toute une catégorie d’écrivains – ceux qui ont le malheur d’avoir du talent – de se voir interdire le droit à l’expression, et d’être expulsés violemment de la communauté littéraire :
Le représentant Lebon décrète, en août 1793, que le tribunal révolutionnaire d’Arras jugera d’abord les prévenus « distingués par leurs talents ». Quand Hugo, Stendhal ou Gourmont parlent de massacres ou d’égorgements, c’est aussi à une sorte de talent qu’ils songent : celui qui se trahit aux fleurs de rhétorique8.
5Ainsi, Paulhan ne définit pas un modèle rhétorique de constitution des Lettres, pour ensuite parvenir, par différenciation, à la définition d’un usage politique et d’un usage littéraire du langage, tous deux réglés par la rhétorique, ce qui reviendrait à s’installer dans la dichotomie établie entre Rhétorique et Terreur (qui est bien davantage imputable à cette dernière qu’à l’écrivain auquel pense Paulhan) ; sa démarche consiste plutôt à partir de la configuration du milieu politique pour parvenir à la rhétorique et aux Lettres. C’est ce rapport nouveau qu’établit dans Les Fleurs de Tarbes Paulhan entre rhétorique, c’est-à-dire littérature, et politique que nous voudrions tenter d’éclairer ici.
Une maladie des signes : symptôme de la démocratie
6Puisque communauté politique et communauté littéraire sont structurées de façon homologique, le problème de Paulhan dans Les Fleurs de Tarbes tournera donc autour du langage en général, et pour l’étudier, des exemples pris aussi bien à la sphère politique qu’à la sphère littéraire serviront, sans besoin d’adaptation. Aussi Paulhan commence-t-il par analyser le contenu des discussions sur la littérature et l’idéologie qu’elles révèlent. Le premier élément significatif qu’il relève est l’injonction faite à
Hamlet, Chaloux est surement un fin stratège bien que si stratégie il y a là elle est cousue de fil blanc. Chercherait il à susciter la reaction, est ce une provocation,’il ne s’y prendrait autrement ou alors c’est grave. Je crois,que personne ne doute de l’intelligence des uns des autres , l’évaluation facile à réaliser néanmoins l’intelligence ne vient pas à bout des mentalités, des états d’esprit qui y sont associés. Ce n’est pas tout, je dirai que l’intelligence permet de bien s’en sortir socialement meme si elle ne vous transforme pas radicalement et en profondeur pas plus que la culture quand elle échoue à faire d’un vautour une oie cendrée . J’ajoute que je ne me sens pas concernée par ce qui précède parce que je suis née avec un faible potentiel
D. libre à vous de croire au souverainisme, s’il est du genre Seguin ou Chevènement qui se distingue du fascisme.
La France est beaucoup de choses différentes pour beaucoup de gens différents, urbiet orbi.
Je peux vous dire qu’à l’étranger, la France, c’est la Révolution française, la devise républicaine, Victor Hugo et Jean-Paul Sartre. L’industrie du luxe er de la beauté aussi.
En tous cas, c’est tout sauf les turpitudes du F/RN même dans sa version « fréquentable ».
Le rayonnement est dans le message universaliste, pas dans le repli sur l’hexagone & ses colonies.
Nos enfants font leurs études en Hollande, en Allemagne, en Irlande, (et en GB) et les Indiens et les Chinois viennent faire leur post master chez nous, constituant autant de précieux ambassadeurs à leur retour au pays natal, sans parler des précieux deniers qu’ils apportent aux universités.
Descendant de sans-papiers, au sens propre du terme puisque’à l’époque les passeports n’existaient pas, j’aurais mauvaise grâce à louer les mérites des murs & du repliement.
Soyons sûrs des valeurs qui ont fait la valeur du message & tirons notre épingle du jeu, intellectuellement, socialement, sociétalement & économiquement.
Cela présuppose tolérance et fermeté, respect et confiance en l’autre, qualités que montrent quotidiennement parents & profs ‘sensuels moyens’.
N’ayons pas peur, pour paraphraser les mots d’un personnage qui aura au moins dit une chose sensée dans sa vie.
Une chose est sûre, nous ne sommes pas sur le bon chemin avec ces arrogants qui nous mal gouvernent…!
Comme tu sais, Jazzi, le talent littéraire et le talent critique n’ont rien à voir avec le fond des idées.
Je lis en ce moment beaucoup de Maurras, de Drieu, de Rebatet, parce qu’ils faut les avoir lus et qu’ils sont d’excellents écrivains. Bien meilleurs qu’Aragon qui n’est qu’un copieur nul (tout comme Sartre qui n’a fait que copier Heidegger, Dos Passos etc., bref ce qu’il avait lu).
Moi, je suis républicain pur jus, mais je ne veux pas de majorités absolues avec 9% des inscrits, je ne veux pas qu’on détruise mon pays, qu’on le livre aux pillards de toutes les manières possibles (as-tu entendu parler de la forêt de Tronçais?). Et je pense que les voyous qui sont au pouvoir en ce moment, ainsi que leurs nombreux complices d’une société qui se dit « civile », devront être traqués, jugés et châtiés. Je ne crois pas que tout ceci fasse de moi un salaud d’extrême droite. Un sévère républicain, tout au plus. Très sévère, c’est évident.
De toutes façons, ML a renoncé à sortir de l’Europe.
–
Non. Non et non.
Elle a d’énormes lacunes en économie qu’elle n’est jamais parvenue à combler, faute aussi d’avoir travaillé un minimum dans ce domaine. Ce n’est pas son truc et c’est un très lourd handicap pour elle.
Mais pour moi c’est très clair : elle est aussi hasbeen que l’était son père quand elles pris les rênes du parti.
Sur l’Europe et sa monnaie elle n’y comprend rien. Mais il vaut mille fois mieux un leader souverainiste bien entouré de conseillers techniques de tendance semblable, que celui que nous avons aujourd’hui qui lui comprend tout et manoeuvre à notre détriment. Et donc au vôtre.
Il faut quitter l’Euro, c’est une certitude pour un bon nombre d’économistes. L’argument est qu’il ne s’agit pas d’une monnaie commune. C’est un mensonge. L’Euro ne s’emprunte pas au même taux partout en Europe communautaire. Donc il n’existe pas de monnaie commune en Europe. Donc nous quittons cette monnaie. Ensuite on verra pour l’Europe elle-même. On mettra la pression et on aura montré avant qu’on aura su la mettre. On remettra l’Europe à la forge. France en tête, et Allemagne derrière par la force des choses.
Bloom, l’autre jour, avec mon ami franco-tunisien, nous regardions les images du journal télé sur les obsèques du président Béji Caïd Essebsi à Tunis. Dans le sillage de Macron on apercevait ton ex patron Olivier Poivre-d’Arvor et l’ancien maire de Paris, Delanoë, tout deux froufroutants à ses côtés…
Elsa Triolet avait un délicieux accent russe, qui n’a rien à voir avec celui des Natacha que des officines stipendiées servent sur canapé.
Baroz, je ne sais pas si Elsa et Louis (lui) sont le couple le plus haï de la littérature française, en tous cas, je sais que le couple le plus haï de la vie politique n’est plus Nico et Carla.
Phil, j’ai du respect pour le premier Lang, c’est grâce à lui que se vendent & s’achètent encore des livres en France. Quand à la Fête de la Musique, je l’ai organisée tellement de fois à l’étranger que j’en ai ma claque. J’aimais bien boeufer avec mes potes au Pakistan et à Paris, mais quand il a fallu remplir 30 formulaires avant et après l’événement, ça m’a vraiment gonflé dans les grandes largeurs.Vide de sens. Comme la fête de la franco-phoney, avec le Qatar au premier rang. Ah, la poésie qatarie, les rimes riches des lais aux marchands d’armes….
Quitter l’Europe, pour la modique somme de? C’est une rançon qui n’est pas négligeable et nous n’avons aucune chance comme je soupçonne la City d’y parvenir de devenir une espece de nouvelle Suisse pour fonds suspects. La place est prise, trop tard! Notre industrie bat la breloque, les chinois guettent , rachètent, annexent. La Chine ou l’Allemagne, au choix.
1 – comment peut on se mettre à aduler le supéieurement intelligent Duteurtre quand on ne l’a jamais lu. C’est le pire écrivain que la France ait connu depuis jean-louis bory. Suffit de lire ceci, https://www.babelio.com/livres/Duteurtre-A-propos-des-vaches/61828 et vous serez édifié… euh… horrifié, veux-je dire, par la prose du benoit.
2 – en quatre lettres : « prit son pied avec sa main ». Je cale.
3 – mais le « promo canapé » en matière musicale, en a-t-on vraiment fini avec ?
4 – Je suis désolé : sans Lili B., il n’y aurait pas eu d’Elsa. Une grande perte certainement, mais on n’y aurait rien pu.
5 – mais surtout, encore plus désolé par le procès fait à Thomas Mann, parfaitmeent injuste… car nul mieux que lui, à son époque, sut borsser le juste portrait d’Adrien Leverkhun, dépoindre les affres de ss pulsion créatrice vers l’inconnu…. IL faut quand même lui rendre cette justice, merdr’ alhors !
6 – m’enfin D., Pourquoi justifier Marine plutôt que Jean-Pierre ? Ce dernier est quand même beaucoup plus propre, me semble-t-il, et au fond, leurs programmes reviennent au même, si on les mesure sur des échelles comparables ? Alors pourquoi choisir la blonde ? L’est plus jeune ? Aurait plus d’avenir ?… Hein !
7 – Je m’adressais à Bloom, voyhons, arrêtons de me baver la fixette. Bonjour Bloom, je ne pense pas qu’un refuge gandhien sera nécessaire pour vous cacher d’un harcèlement de votre ancienne administration. Ici, tous les recyclés du bocage en retraite sont à l’abri ! Leur faut vraiment en faire pour se faire éjecter… Et puis, ce n’est pas irréversible, notez le bien, l’éjection, regardez MS, revenue en grâce, douce comme une agnelle depuis lors.
Bàv.
(NB/ quand on détecte à temps une anomalie dans le liquide, il y a beaucoup d’espoir pour une thérapeutique qui vous aidera à tenir le coup lucidement, au moins encore vingt ans, m’a-t-on affrimé, et ce, en dépit des quolibets permanents qui ne sont guère que des traces de trolls en camaieu et dont il ne faut pas tenir compte, bien au contraire, ils aident à vous aiguiser la verve).
OPDA n’a jamais été mon patron, un partenaire plutôt, à l’AFAA d’abord et à CulturesFrance ensuite. Mon patron, c’était l’ambassadeur du pays où j’étais en poste. En règle générale, deux par mission. A une ou deux exceptions près, rien de bien brillant, surtout comparés à leurs alter ego allemands, britanniques et scandinaves. Tous des de Norpois, dit BHL, qui est en cela plus poli que Sarko à leur égard.
Nos enfants font leurs études en Hollande, en Allemagne, en Irlande, (et en GB) et les Indiens et les Chinois viennent faire leur post master chez nous,
–
Quoi ? !
Aucun de mes proches concernés (9) n’a fait d’études à l’Etranger. Aucun. Juste une qui a fait un an en Irlande pour l’Anglais ce qui lui a été très profitable il est vrai. Mais je considère que c’était un long séjour linguistique.
Il faut arrêter avec cet internationalisme revisité. Notre savoir-faire est à construire ici sur le territoire avec nos méthodes et nos moyens, lesquels peuvent très bien emprunter à ce qui se fait ailleurs, mais il n’y a pas à généraliser et surtout pas institutionnaliser les échanges qui ne devraient s’appliquer qu’à des cas bien ciblés et contrôlés correctement. Et crs échanges doivebt être rigoureusement symétriques tant en effectif qu’en prestation.
Sinon c’est à notre détriment. Au détriment de notre nation, la France, déjà bien mal en point de tout ce qui tente de la ronger ou d’en prélever les sucs, de tous côtés.
@ J’ajoute que je ne me sens pas concernée par ce qui précède parce que je suis née avec un faible potentiel…
Eh bien moi, b., je pense que cela explique votre hyper lucidité…, ce qui n’est point incompatible avec « l’inintérêt » que susciteraient à vos yeux ces vains débats prétendument culturels entre oies blanches péteuses et cygnes noirs morveux.
la forêt de Tronçais?
Où se trouve le chêne consacré par Pétain, Chaloux, n’est-ce pas?
JJJ, hail to thee!
La justice américaine vient de décider qu’il y avait plagiat :
Quel défaitisme, quelle lâcheté, Bérénice…
Vous me faites honte.
Il y a cette lettre terrible, à mon avis sa meilleure page, dans laquelle Elsa reproche à Aragon de n’avoir jamais eu d’érection complète. Comme poète, comme écrivain, il n’a jamais eu non plus d’érection complète. un pasticheur, comme dit Drieu.
Attendez que j’attrape mon carnet:
« Qui est-ce que je hais? Personne. Même pas ceux qui me haïssent. Même pas Aragon. Je le sens si faible, si vainement, si infantilement, si misérablement guindé dans un rôle voulu. Il n’a jamais rien compris à la politique, et tout chez lui est attitude, pastiche littéraire.
Drieu la Rochelle, Journal 1939-1945, 13 octobre 1939, page 93.
JJJ, qui est Jean-Pierre ?
Quoi ? !
—
Yes.
Erasmus & Erasmus Mundus, D.
Vous n’allez pas me faire accroire, comme le fit O’Brien avec Winston que le ciel est vert alors qu’il est bleu. Décidément, il y a bien trop d’idéologie et de frilosité dans cette enveloppe mortelle qui connut l’extase au moins 9 fois.
Get a grip on yerself!
Entre temps, Bloom, ce chêne est devenu chêne de la résistance (1944). Cette forêt qui fait partie du patrimoine français est en grand danger.
Je propose que Macron et ses complices soient, en temps voulu, sévèrement rééduqués par le travail. Très sévèrement.
notre nation, la France, déjà bien mal en point de tout ce qui tente de la ronger ou d’en prélever les sucs, de tous côtés.
J’adore me faire prélever les sucs.
Chacun ses petits défauts.
J’ai déjà dit ce que je pensais d’Erasmus, Bloom : un outil de propagande européo-mondialiste indirecte, agissant sur une matière très malléable et façonnable.
C’est d’ailleurs très malin, je le reconnais.
Mais dans le principe c’est assimilable au monsieur qui attire les gosses avec des bonbons pour les violer ensuite.
Parce que une fois qu’ils auront fait Erasmus, il connaitront la vérité : les stages fourre-tout, l’exploitation des petits cadres, le burn-out, le chômage avec fin de droits, la vie familiale sacrifiée et repoussée aux calendes grecques, la retraite à 70 ans alors qu’ils seront usés jusqu’à l’os. Violés jusqu’à l’os, avec la complicité de leurs parents et grands-parents.
Chaloux, ma forêt d’élection (Montmorency) est aussi en train de changer radicalement sous les coups de boutoir de l’exploitation à outrance. C’est l’avenir qu’on assassine.
Macron aime le travail, il faut lui imposer l’oisiveté, des jours et des nuits à ne rien faire. Il aura tout le temps de méditer ses turpitudes.
Je préconise aussi la fessée en place publique ou en petit comité, sur le modèle des vendredi de l’Elysée. Un châtiment à la mesure des gifles que ce gouvernement distribue.
O pour des Lupercales!
Mais dans le principe c’est assimilable au monsieur qui attire les gosses avec des bonbons pour les violer ensuite.
—
Ce n’est rien de dire que vous exagérez, D. Erasmus n’est pas l’Eglise catholique et romaine, vous faites erreur! allez, je vais au jardin m’occuper de notre jungle.
BàV
Erasmus a aussi plus récemment servi à l’inénarrable, si distinguée et si élégante Nathalie Loiseau (couac couac couac! Toute LREM en un seul être) de faire croire pendant deux heures que c’était elle, Erasmus.
Bloom, avez-vous entendu parler de Françoise Nicolas et de la tentative d’assassinat dont elle aurait été victime à l’ambassade de France au Bénin, tentative d’assassinat qui aurait ensuite été étouffée par ladite Nathalie Loiseau?
Bloom est en grande forme, autant que Drieu avec ses érections durables.
« Pas en mon nom », expression anglaise pur sucre ?
Bloom, la fessée en place publique pour le macronoïde, j’y ai aussi pensé. Une fessée par jour, du lundi au vendredi, dans chaque chef lieu de canton. Un coup pour lui, un coup pour le vieux tableau. Un genre de jeu des mille francs.
I just read “You Must Change Your Life,” Rachel Corbett’s joint biography of the sculptor Auguste Rodin and his protégé, the poet Rainer Maria Rilke, and they were certainly versions of this type.
The elder Rodin had one lesson for the young Rilke. “Travailler, toujours travailler.” Work, always work.
This is the heroic vision of the artist. He renounces earthly and domestic pleasures and throws himself into his craft. Only through total dedication can you really see deeply and produce art.
https://www.nytimes.com/2019/07/29/opinion/work-relationships.html?action=click&module=Opinion&pgtype=Homepage&fbclid=IwAR0IPTmeF7QDr6Oja4_xiS8xjrXldn1bmdMuJR95qthltSxCWDLcPezweNg&utm_source=Breakfast+with+ARTnews&utm_campaign=d1c5c7d0dd-EMAIL_CAMPAIGN_2019_07_29_04_20&utm_medium=email&utm_term=0_c5d7f10ceb-d1c5c7d0dd-293418193
Chaloux dit: 30 juillet 2019 à 15 h 54 min
de faire croire, non, qui a voulu faire croire.
15h30 honte? Le pays se fait grignoter par petits pans. C’est une évidence et c’est dans l’air du temps. Quels sont les pays européens à ne pas subir le phénomène d’infiltration , de rachats, de ventes. Une étude a t elle été produite? Et si c’est à cela que doit s’attacher la honte que cette approximation économico politique provoque en vous.
Sinon pour le reste, constat lucide. Je ne suis pas très combative, D, le contraire se saurait, je suis lasse et lassée, désabusée, nihiliste, pessimiste et rompue. Et puis les moulins à vent on déjà donné leur figure.
Ont .
« les moulins à vent on déjà donné leur figure »
C’est une métaphore, Bérénice ? Qu’est-ce à dire ?
Un jardin en forêt… de Montmorency ! Il y a pire comme exil, Bloom.
Moi je vais souvent chez des amis du côté de Saint-Leu, dans l’ancienne propriété d’Edith Warton, transformée en hôpital…
« Erasmus n’est pas l’Eglise catholique et romaine, vous faites erreur! »
L’Eglise n’est pas que cela, mon pauvre Bloom. Si vous aviez tant soit peu de culture (ce dont je doute, vu votre style) vous sauriez que l’histoire de l’Eglise catholique est époustouflante, et sa grandeur morale intangible ! Avant le pire (certes effectif), il y a eu le meilleur, le grandiose, le magnifique !
Jazzi, je laisse aux autres supérieurement intelligents l’opportunité de dépenser leur belle énergie et leur grande sincérité à cette lutte contre les géants, ils s’engagent méthodiquement pour dénoncer un système auquel on n’a pas encore inventé de schema remplaçant. Il faut moraliser le debatpublic, ils s’y emploient en contre pouvoir illusoire, Bravo.
@ Mère Clopine, une phrase puisée dans Monsieur Ouine de Bernanos, qui utilise à bon escient le beau mot de « dégorger », qui plaît tant à la Brayonne. La voici :
« Mais, quand tombe le soir, à cette heure du crépuscule, la terre harassée dégorge une vapeur tiède et grasse, une espèce de sueur qu’il faudra toute la nuit pour dissoudre. »
16h14 bof bof. Michel Roquebort et son Histoire des cathares ouvre une voie , elle explore les méandres lointains , les tenants les aboutissants de la dite église. Il est vrai qu’elle a depuis évolué. L’unification de l’Eglise tout en douceur, c’est exemplaire
Bravo, Delaporte.
D’après le Canard de demain, c’est déjà la panique pour 2022 chez Macron. Jouissance de la vengeance qui vient.
« Bravo, Delaporte. »
Merci, D. Vous avez apprécié ? Bernanos, c’est le nec plus ultra.
Montmorency : j’allais souvent rue Théophile Vacher visiter un ami maintenant disparu, par Andilly, saint-Leu, etc…- Et il y a bien des années à l’étang bleu et l’étang vert avec mon père, on attrapait des têtards et quand la métamorphose avait eu lieu on allait libérer les grenouilles dans la piscine d’un casino abandonné des bords de Seine d’un autre bled du Val d’Oise. Le problème de Montmorency, surtout en haut, les avions qui volent trop bas, barouf du diable.
Mère Clopine peut prendre cela comme une belle et noble leçon, elle qui fait « dégorger » les légumes, et, sans doute, le poireau. Bernanos fait « dégorger » la terre tout entière. C’est sublime. Les descriptions de la nature dans Monsieur Ouine sont profondément géniales. Elles font corps avec l’ambiance désastreuse de l’histoire narrée. C’est vraiment un roman marquant, que je conseille à Mère Clopine. Otez vos oeillères, Mère Clopine, et lisez Bernanos, nom de d’là !
Mère Clopine peut prendre cela comme une belle et noble leçon, elle qui fait « dégorger » les légumes, et, sans doute, le poireau. Bernanos fait « dégorger » la terre tout entière. C’est sublime. Les descriptions de la nature dans Monsieur Ouine sont profondément géniales. Elles font corps avec l’ambiance désastreuse de l’histoire narrée. C’est vraiment un roman marquant, que je conseille à Mère Clopine. Otez vos oeillères, Mère Clopine, et lisez Bernanos, nom de d’là !
… le mec qui sent monter son orgasme trois ans à l’avance. C’est quoi déjà, sa marque de viagra ?… Jean-Pierre C. ?
Il y a exactement 12 ans jour pour jour qu’ Ingmar Bergman est mort.
(oublis du jour – hsitoire de finir le cahier de vacances du mois de juillet 2019, le 30.)
2 – RAS
2 bis – Laisse Twonbly !
2 ter – Commenter : « il n’y a pas plus homophobes que les homos ». C’est normal ! Comment pourraient-ils se singulariser du ghetto-troupiau, sinon en se faisant passer pour des hétéros garantis, comme on le voit icite ?
2 quater – Un récent article inattendu sur les prétendus succès de la pléthysmographie pénienne en criminologie de la déviance sexuelle (« the machine doesn’t lie »…, contrairement à ce qu’on raconte : it lies).
.
2 quiquiès – Trouver des motifs d’espoir de ‘sauver la pas nette’, durant tout le mois d’août 2019.
Je remercie Hamlet et x qui ont fait ce qu’ils ont pu en mon absence pour répondre à la Dame du Pays de Bray. Comme on dit dans Cyrano, « C’est bien plus beau lorsque c’est inutile ».
Bien à vous.
MC
PS I
ce n’est pas le Musée d’Art Moderne, c’est un bâtiment très fermé de la Défense qui renferme les oeuvres contemporaines que l’on suggère aux ambassadeurs d’accrocher dans leurs locaux. la légende veut que les malheureux francophiles qui s’y risquent en ressortent accablés.
PS II
Le bouquin de Duteurtre, Requiem pour une Avant Garde, restera comme dénociation d’une dictature musicale. Préférer la première édition à la seconde, légèrement adoucie.
PS II . « A Propos des Vaches » a été interdit de réimpression par son auteur, qui se trouve ainsi d’accord avec JJJ!
PS III L’Etat Culture, certainement, mais aussi le Syndrome de l’Opera de Maryvonne de St Pulgent, qu’on ne taxera pas, j’espère, d’incompétence ou pire, de gout de lucre comme on semble le faire pour Marc Fumaroli, grand professeur s’il en fut, parfaitement à sa place à l’Académie.
MC
A Propos des Vaches
ARCHITECTURE MÉTAPHORIQUE
Peut-être la voix la plus importante de l’école d’architecture métaphorique à l’heure actuelle est Dr. Basil Al Bayati dont les dessins ont été inspirés par les arbres et les plantes, les escargots, les baleines, les insectes, les derviches et même les mythes et la littérature. Il est également le fondateur de l’École internationale d’architecture métaphorique à Málaga, en Espagne.
https://www.hisour.com/fr/metaphoric-architecture-28347/
« Il y a exactement 12 ans jour pour jour qu’ Ingmar Bergman est mort. »
Il est mort le même jour qu’Antonioni. J’avais acheté Libération, qui avait dû faire deux manchettes foireuses. Peu de points communs entre ces deux génies.
un exemple d’architecture métaphorique
Mosquée des Palmiers de l’Université King Saud à Riyad par Basil Al Bayati,
data:image/jpeg;base64,/9j/4AAQSkZJRgABAQAAAQABAAD/2wCEAAkGBxISEhUSEhIWFhUXFxgWFxUVFRgVFxUVFRUXFxcXG
@16.51 merci pour ce Petit Rappel, P. Edel. Nous ne nous en sommes jamais vraiment remis, à vrai dire. Pas plus que de la mort de Marthe Mercadier, du reste, ni de la vôtre et ni de la mienne à venir. Que en paz descanse, todos y todas !
N’ayons point peur !… Ô Les regrets, les regrets… Non, rien de rien, non, je ne…
__________
Si je n’ai plus la faveur de la Muse,
Et si mes vers se trouvent imparfaits,
Le lieu, le temps, l’âge où je les ai faits,
Et mes ennuis leur serviront d’excuse.
J’étais à Rome au milieu de la guerre,
Sortant déjà de l’âge plus dispos,
A mes travaux cherchant quelque repos,
Non pour louange ou pour faveur acquerre.
Ainsi voit-on celui qui sur la plaine
Pique le boeuf ou travaille au rempart
Se réjouir, et d’un vers fait sans art
S’évertuer au travail de sa peine.
Celui aussi, qui dessus la galère
Fait écumer les flots à l’environ,
Ses tristes chants accorde à l’aviron,
Pour éprouver la rame plus légère.
On dit qu’Achille, en remâchant son ire,
De tels plaisirs soulait s’entretenir,
Pour adoucir le triste souvenir
De sa maîtresse, aux fredons de sa lyre.
Ainsi flattait le regret de la sienne
Perdue, hélas, pour la seconde fois,
Cil qui jadis aux rochers et aux bois
Faisait ouïr sa harpe thracienne.
La Muse ainsi me fait sur ce rivage,
Où je languis banni de ma maison,
Passer l’ennui de la triste saison,
Seule compagne à mon si long voyage.
La Muse seule au milieu des alarmes
Est assurée et ne pâlit de peur :
La Muse seule au milieu du labeur
Flatte la peine et dessèche les larmes.
D’elle je tiens le repos et la vie,
D’elle j’apprends à n’être ambitieux,
D’elle je tiens les saints présents des dieux
Et le mépris de fortune et d’envie.
Aussi sait-elle, ayant dès mon enfance
Toujours guidé le cours de mon plaisir,
Que le devoir, non l’avare désir,
Si longuement me tient loin de la France.Je voudrais bien (car pour suivre la Muse
J’ai sur mon dos chargé la pauvreté)
Ne m’être au trac des neuf Soeurs arrêté,
Pour aller voir la source de Méduse.
Mais que ferai-je afin d’échapper d’elles ?
Leur chant flatteur a trompé mes esprits,
Et les appas auxquels elles m’ont pris
D’un doux lien ont englué mes ailes.
Non autrement que d’une douce force
D’Ulysse étaient les compagnons liés,
Et sans penser aux travaux oubliés
Aimaient le fruit qui leur servait d’amorce.
Celui qui a de l’amoureux breuvage
Goûté mal sain le poison doux-amer,
Connaît son mal, et contraint de l’aimer,
Suit le lien qui le tient en servage.
Pour ce me plaît la douce poésie,
Et le doux trait par qui je fus blessé :
Dés le berceau la Muse m’a laissé
Cet aiguillon dedans la fantaisie.
Je suis content qu’on appelle folie
De nos esprits la sainte déité,
Mais ce n’est pas sans quelque utilité
Que telle erreur si doucement nous lie.
Elle éblouit les yeux de la pensée
Pour quelquefois ne voir notre malheur,
Et d’un doux charme enchante la douleur
Dont nuit et jour noue âme est offensée.
Ainsi encor la vineuse prêtresse,
Qui de ses cris Ide va remplissant,
Ne sent le coup du thyrse la blessant,
Et je ne sens le malheur qui me presse.
Quelqu’un dira : De quoi servent ces plaintes ?
Comme de l’arbre on voit naître le fruit,
Ainsi les fruits que la douleur produit
Sont les soupirs et les larmes non feintes.
De quelque mal un chacun se lamente,
Mais les moyens de plaindre sont divers :
J’ai, quant à moi, choisi celui des vers
Pour désaigrir l’ennui qui nie tourmente.
Et c’est pourquoi d’une douce satire
Entremêlant les épines aux fleurs,
Pour ne fâcher le monde de nies pleurs,
J’apprête ici le plus souvent à rire.
Or si mes vers méritent qu’on les loue
Ou qu’on les blâme, à vous seul entre tous
Je m’en rapporte ici : car c’est à vous,
A vous, Seigneur, à qui seul je les voue :
Comme celui qui avec la sagesse
Avez conjoint le droit et l’équité,
Et qui portez de toute antiquité
Joint à vertu le titre de noblesse :
Ne dédaignant, confine était la coutume,
Le long habit, lequel vous honorez,
Comme celui qui sage n’ignorez
De combien sert le conseil et la plume.
Ce fut pourquoi ce sage et vaillant prince,
Vous honorant du nom d’ambassadeur,
Sur votre dos déchargea sa grandeur,
Pour la porter en étrange province :
Récompensant d’un état honorable
Votre service, et témoignant assez
Par le loyer de vos travaux passés
Combien lui est tel service agréable.
Qu’autant vous soit agréable mon livre,
Que de bon coeur je le vous offre ici :
Du médisant j’aurai peu de souri
Et serai sûr à tout jamais de vivre.
(JdB)
un autre exemple
Sur un terrain acquis en 1953, l’architecte iranien Fariborz Sahba, construit pour l’Association bahá’ie indienne un temple en forme de fleur de lotus, un symbole de pureté indissociablement liée à l’esprit religieux en Inde. Le chantier est ouvert en 1980 et, le 24 décembre 1986, l’édifice est officiellement consacré au Dieu Un, à l’Unité de la Religion et de l’Humanité.
https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/d/dc/Lotus_Temple_in_New_Delhi_03-2016.jpg/280px-Lotus_Temple_in_New_Delhi_03-2016.jpg
Chaloux dit: 30 juillet 2019 à 14 h 12 min
je crois que le prochain régime ce sera l’armée…
Le révolutionnaire de pacotille militerait-il pour la candidature du général frère du fou du Puy ?
Ils sont comme cela quelques uns à rêver, dans leurs canapés banlieusards, d’un retour d’étoiles sur un képi, pour enfin matter (spéciale pour toi mon chaloux) tous ces profiteurs qui ne sont pas lui.
Avec Chevènement à la Défense ?
Céleste parle de Marcel. Entre Proust et moi, seulement deux personnes. La personne que je connaissais avait connu (ô combien) celui qui avait bien connu Proust, – un membre de la famille.
Et vous, combien d’intermédiaires entre Proust et vous?
Un petit jeu amusant, non?
(je fais ma Bistouflette, celle qui a toujours connu celui dont on parle!!!).
Chaloux dit: 30 juillet 2019 à 14 h 47 min
C’est Drieu qui le dit
Donc ,d’après mon chaloux, si Drieu le dit la chose s’avère juste.
Je comprends enfin tes tourments politiques mon chaloux.
« 2 ter – Commenter : « il n’y a pas plus homophobes que les homos ». C’est normal ! Comment pourraient-ils se singulariser du ghetto-troupiau, sinon en se faisant passer pour des hétéros garantis, comme on le voit icite ? »
Gigi la visqueuse, de la part d’une trave hors d’âge comme toi, cette remarque est plus amusantes…
Janssen J-J dit: 30 juillet 2019 à 16 h 43 min
… le mec qui sent monter son orgasme trois ans à l’avance.
Vieille cagole bouffie, tu prouves encore une fois que tu ne sais pas lire du tout. C’est comme pour Sand avec le piano.
Le plaisir est pour aujourd’hui, la vengeance est pour demain.
est de plus…
EST DES PLUS. (clavier à changer).
Chaloux dit: 30 juillet 2019 à 15 h 08 min
Je lis en ce moment
Cette phrase mon chaloux nous la sort au moins une fois par jour, et derrière toujours un (rarement) ou plusieurs (souvent) noms tous différents.
Cet homme est sûrement le premier prototype de « la machine à lire » inventée par un nouveau Steve Jobs au fond d’une cave de banlieue parisienne.
Deuxième option, un mythomane.
J’hésite.
l’opera de sidney est aussi une architecture métaphorique
https://www.google.com/search?q=u+l%E2%80%99op%C3%A9ra+de+Sydney,+en+Australie,&source=lnms&tbm=isch&sa=X&ved=0ahUKEwjcy4Lg_NzjAhVC1xoKHSNaAb4Q_AUIESgB&biw=1230&bih=823#imgrc=GijWH6aDnCf3kM:
D.
c’est une certitude pour un bon nombre d’économistes.
Euh, des noms ?
Et pourquoi ceux-là seraient-ils plus à écouter que les autres ?
L’économie science exacte ! Vous!!!
Je ne supporte pas les films de Bergman.
En règle générale je n’aime pas grand chose de la Suède à part les sandwiches et le groupe ABBA.
17.30 @ cette remarque est plus amusantes (sic)
… et surtout des plus lucides, apparemment. Pourquoi TE sens-TU visé, mon pauvre chacale pourrave ? Pablito 57 t’aurait-i fait des vilaines misères sur son canapé en promo, today ?
@ je sais très bien lire, mais c’est TOI qui ne te relis pas, maroufle. Que de bévues commets-TU en TON nom, Kagolin ! La vengeance au punctum de l’orgasme dans trois ans…, comme dans les Châtiments hugoliens pour le minus ! Faudra TE lever de TON canapé un peu plus tôt pour ça, présenter tes excuses à GWG et à l’IRCAM, avant d’aller faire TON pélerinage en haute Vendée du Képi.
NB/ Scoop du Volatile de demain : on vient de retruver le vrai piano de George dans les Sandres d’un CDBF oublié au collège de france. Une découverte archéologique de Patrick J’t’en Bouche un Coin-Coin, parait-il !
(pas drôle).
Commençons par Olivier Delamarche.
Je ne sais pas si vous avez déjà visité une grande ville suédoise genre Stockholm, la capitale je crois, mais c’est épouvantablement moche et déprimant.
Et il paraît que des qu’ils ont du temps libres ils picolent comme c’est pas possible pour oublier où ils vivent.
Dans tous les cas, la métaphore, comme instrument de traduction, paraît fondamentale pour comprendre la nature « en transition » de l’architecture et de l’urbanisme. En ce sens il est intéressant de se référer au livre de Peter Collins, Changing Ideals in Modern Architecture (1965) dans lequel l’auteur identifie quatre analogies qui ont déterminé l’architecture : biologique, mécanique, gastronomique et linguistique. Il est d’ailleurs révélateur que Collins y parle d’analogies et non pas de métaphores.
De même, les avancées dans la programmation et l’application des algorithmes en architecture et urbanisme, posent la question d’une nouvelle nature de la métaphore biologique, une des plus fréquentes dans l’histoire de l’architecture.
Le colloque se développera sur trois jours et autour de trois sujets principaux : métaphores comme instruments de connaissance, métaphores réalisées et métaphores comme descriptions. Chaque intervenant délivrera une présentation de 30 minutes et chaque soir il y aura une table ronde qui donnera la possibilité de poser des questions et de trouver des liens entre les différentes présentations. »
Andri Gerber, architecte et enseignant à l’École Spéciale d’Architecture de Paris – Organisateur du colloque.
http://www.esa-paris.fr/portfolio/evenements/Colloque-Metaphores-dans-sur-l?lang=fr
ô, qq, crottcrott, Gigi la visqueuse, qui montre ton derrière à tous les passants, dans, coconne, Jouissance de la vengeance qui vient. où est-il dit, butor, paltoquet, pignouf que la jouissance est différée? NULLE PART, moule à gaufre, travelo, goton, marcheuse, Marie-couche-toi-là. NULLE PART, roulure, ribaude, traînée.
Pauvre gourdiflot, ton cerveau n’imprime plus. Depuis longtemps déjà.
La métaphore biologique le corps social comme organisme vivant a
pris le pas sur la vision mécaniste. Pourquoi?
https://www.liberation.fr/sciences/1995/12/19/vices-et-vertus-de-la-metaphore-biologique_151951
Modèles imaginaires et métaphores biologiques. Discussion du rapport de J. Canestri
Sylvie Faure-Pragier
https://www.cairn.info/revue-francaise-de-psychanalyse-2004-5-page-1543.htm
D.
Delamarche.
Je ne connaissais pas (ce n’est pas un défaut ni pour lui, ni pour moi)
J’ai lu ce qu’il dit de lui.
C’est pas un peu mon chaloux en économie :
tous méchants, tous incompétents, tous pourris.
Vous me direz, il a créé sa SICAV et sa société de gestion, donc il doit bien trouver quelques attraits au système qu’il combat.
D.
Il est Auvergnat ?
ça expliquerait.
D.
Je vois aussi qu’il a été chroniqueur à BFM Business !!!
Mais faut jamais regarder BFM Business D., jamais, ça pervertit tout sens critique.
Vous croyez qu’il avait besoin de notoriété pour que sa Sicav fonctionne ?
Il teste c’est tout.
Je n’ai jamais regardé BFM business de ma vie entière. Soit-dit en passant.
Métaphore :
« Il teste c’est tout. »
Là mon cher permettez-moi de vous dire que je vous ai connu (lu) bien plus rigoureux à maintes et maintes reprises.
Il teste.
Quoi ?
Quitter l’euro ? (15h11)
non mais l’érection est-elle complète ou pas ? on voudrait savoir
l’histoire de l’Eglise catholique est époustouflante
Ca ne veut rien dire. Si elle avait été si époustouflante, jamais le schisme entre Orient et Occident ne se serait produit, jamais le protestantisme ne serait advenu.
L’Église romaine est l’école de la crétinerie, que vous incarnez à merveille d’ailleurs, Delalourdingue.
Lui, par contre, il détourne les attentes de l’environnement dans lequel il conduit son action :
D. je suis allé plusieurs fois à Stockholm et, restaurants, hotels, ruelles anciennes,parcs églises,musées, quais et bateaux,c’est un endroit calme et délicieux.vous dites vraoment n’ importe quoi.
Au-delà de la fin d’un empire déjà moribond, la chute de Constantinople a un impact profond sur le monde et notamment en Occident. Héritier de l’Empire romain, traditionnel rempart à l’expansion musulmane en Orient, l’Empire byzantin laisse derrière lui un vide important. Cependant, malgré son déclin politique, l’Empire connaît lors de ses dernières années d’existence un profond renouveau culturel dont les principaux représentants comme Jean Bessarion ou Manuel Chrysoloras émigrent peu à peu en Italie et dans le reste de l’Europe à mesure que l’Empire byzantin s’étiole.
De nombreux historiens, dont Jules Michelet, ont estimé que la chute de Constantinople constitue une vraie rupture marquant la fin du Moyen Âge et le début de la Renaissance. Toutefois, cette vision est de plus en plus remise en cause et les historiens modernes considèrent plutôt la chute de Constantinople comme une étape dans le processus de transmission du monde grec vers le monde latin, conduisant à la Renaissance.
wiki
« vous dites vraoment n’ importe quoi. »
C’est son côté farfelu : il se fait des idées et il croit qu’elles sont la vérité.
À savoir
Après une La résistance en médecine
En médecine, la résistance désigne l’adaptation des pathogènes aux traitements mis en place. On parle par exemple de la résistance aux antibiotiques (lorsque les bactéries qui… » data-image= »https://fr.cdn.v5.futura-sciences.com/buildsv6/images/midioriginal/c/e/c/cecbf6f965_50037582_2376316311-5b35c6f209-o-02.jpg » data-url= »/maison/definitions/maison-resistance-10889/ » data-more= »Lire la suite » style= »box-sizing: border-box; color: rgb(80, 193, 217); transition: all 0.2s ease-in-out 0s; text-decoration: underline; position: relative; cursor: pointer; font-weight: 400; display: inline; »>résistance héroïque, Constantin XI, le dernier empereur byzantin, est mort sur les remparts de sa ville. Son corps n’a jamais été retrouvé.
Mauvaise manip’
A savoir.
Constantin XI, le dernier empereur byzantin, est mort sur les remparts de sa ville. Son corps n’a jamais été retrouvé.
Coup d’oeil sur la théologie byzantine [article]
J. Bois
Revue des études byzantines Année 1901
C’est toute une partie de l’histoire de la littérature byzantine, et non pas l’une des moins étendues ni des moins importantes, qui se présente à nous sous le titre de théologie byzantine (i). En effet, dans ce monde byzantin si complexe et si varié, la théologie occupe une large place; elle se mêle intimement à la vie intellectuelle et littéraire de l’époque, elle abandonne même parfois les hauteurs tranquilles et sereines de la spéculation pour s’aventurer dans le champ clos des querelles politiques, ou plutôt, on l’amène sur ce terrain qui lui est étranger pour s’y livrer, en son nom, à des luttes qui ne sont plus ce que l’on peut appeler des luttes de l’esprit.
Une histoire époustouflante : voir la bulle Dum Diversas pondue, on suppose avec une intention de montrer sa profonde humanité et kulture, par Pape Parentucelli en 1452 qui par ce chef-d’oeuvre autorisait le roi du Portugal à soumettre les Sarrasins et les païens pour une durée indéterminée, en claires lettres : « Par les présentes Nous vous accordons, de par Notre autorité apostolique, permission complète et libre d’envahir, de rechercher, de capturer et de soumettre les Sarrasins et les païens et tous les autres incroyants et ennemis du Christ où qu’ils puissent être, ainsi que leurs royaumes, duchés, comtés, principautés et autres biens et de réduire leurs personnes en servitude perpétuelle. »
Renouvllée en 1456 par Pape Borgia, en 1481 par Pape della Rovere (Francesco), en 1514 par Pape Giovanni de’ Medici.
« Ca ne veut rien dire. Si elle avait été si époustouflante, jamais le schisme entre Orient et Occident ne se serait produit, jamais le protestantisme ne serait advenu.
L’Église romaine est l’école de la crétinerie, que vous incarnez à merveille d’ailleurs, Delalourdingue. »
Vous connaissez bien mal les choses humaines, Bloom, pour ignorer que les meilleures choses connaissent quelquefois des crises, qui sont réelles et parfois fatales. Mais l’Eglise, protégée en tout par le Saint Esprit, renaît sans cesse de ses cendres. Elle le doit sans conteste à une intelligence féconde qui s’est souvent manifestée, et qui est même surhumaine. Son élan prodigieux n’est pas fini. Le pape actuel est une marche inespérée vers encore plus d’ampleur. A votre avis, de quoi ont besoin nos contemporains, qui gisent dans le travail et la pollution ? D’abord de spiritualité, qu’ils trouvent dans diverses sectes, et qu’ils pourraient trouver tout aussi bien dans une Eglise neuve et rénovée ; ensuite dans une écologie intégrale qui leur donnerait la vie bonne à laquelle ils aspirent, une vie sans travail et où l’abolition serait une réalité. Qu’on se le dise, immonde esprit de Bloom !!!
renato dit: 30 juillet 2019 à 19 h 25 min
Votre document faisandé (vous aimez le faisandé et le dégorgement) ne montre qu’une chose : c’est que depuis Vatican II, l’Eglise a changé de cap. Désormais, elle annonce l’avenir et le salut de l’humanité. Ceci étant, tout n’est pas à jeter dans son histoire. Et elle le sait, savamment.
Coup d’oeil, suite.
« Il est deux autres éléments dont il faut tenir compte pour bien s’expliquer le caractère qu’ont revêtu en Orient. les controverses théologiques : ce sont les moines et le peuple.
La vie monastique fut toujours en honneur chez les Orientaux, et il se forma sur divers points des centres d’une fécondité et d’une vitalité étonnantes. L’Egypte, la Palestine, la Bithynie comptent parmi les principaux. Constantinople même fut le foyer d’une vie religieuse intense, et, si quelqu’un s’avisait de faire le relevé de tous les couvents que la capitale de l’empire vit s’élever dans ses murs ou autour de son enceinte, il aurait vite atteint et dépassé le millier. De ces moines, les uns s’isolaient dans la retraite et la contemplation, complètement étrangers auxchoses de ce monde; d’autres, et c’était sans doute le plus grand nombre, s’intéressaient encore aux bruits du dehors, surtout lorsque leur arrivait l’écho de quelque discussion d’ordre religieux. Evidemment, ils ne restaient pas neutres. Même, quand l’intérêt de la vérité ou de ce qu’ils croyaient être la vérité leur semblait exiger ce sacrifice, ils ne craignaient pas de déserter momentanément leurs paisibles retraites pour venir, en masses imposantes, dans les villes, se livrer à des démonstrations d’un effet parfois irrésistible. Témoins ces dix mille moines qui. envahirent un beau matin Jérusalem, s’assemblèrent à la basilique de Saint-Etienne et obligèrent les représentants de l’empereur suspects de favoriser les monophysites à se déclarer contre eux et à accepter les quatre Conciles (s 13). »
Stockholm est en effet une belle ville, malgré un hyper-centre encombré de laides constructions inspirée par l’amollissante sociale démocratie, fléau qui n’est pas propre à la Suède. Il suffit d’en faire abstraction, la ville de Charles XII l’encercle aimablement, admirable depuis les terrasses Fersen, du nom de ce comte entiché de l’écervelée Marie-Antoinette qui lui trouvait de beaux attraits, et qui finit de la même manière, lynché par la foule mais en différé, c’était avant la sociale démocratie. Julien Green avait aussi le goût de Stockholm, il s’y rendait fréquemment probablement pour y fréquenter les bordels, ce que la version uncut de son Journal nous apprendra en septembre, à paraître chez Bouquin, pléiade du pauvre, mais accessible aux bourses modestes françaises qui ne peuvent pas plus se payer les prix actuels de Stockholm.
« à paraître chez Bouquin, pléiade du pauvre, mais accessible aux bourses modestes françaises qui ne peuvent pas plus se payer les prix actuels de Stockholm. »
Bouquins n’est pas la Pléiade du pauvre, chaque volume coûte déjà une fortune, au moins trente euros. Une grosse somme ! Deux volumes valent autant qu’une Pléiade, ce qui n’est pas peu. Et souvent, les éditions d’auteurs classiques, ou moins classiques, sont excellentes et en tout cas utiles. Certes, il n’y a pas les fameuses préfaces, ni l’appareil de notices et de notes de la vraie Pléiade, mais quand même. C’est une collection magnifique, et époustouflante !
Faisandé ?! Apprenez l’histoire, petit inculte prétentieux. D’ailleurs, pour un qui s’appuie sur une culture où la pédophiles est l’habitude, s’en prendre à Polanski est niveau racaille, ce que, je suppose n’étonne personne. Et incidemment, l’église ne peut pas changer de cap parce qu’elle se fonde sur de gens de votre acabit.
parler comme un livre?
La haine des clercs de la jeune universitaire Sarah Al-Matary propose une analyse diachronique convaincante de l’anti-intellectualisme en France. Enfin, Les intellectuels de gauche de l’apprenti historien helvète Hadrien Buclin dresse un tableau très précis du paysage politique et intellectuel européen de l’après-guerre (1945-1968) et, plus spécifiquement, en Suisse.
Une ethnologie sensible du monde du savoir et de la recherche
L’approche d’histoire sensible et ethnologique de Françoise Waquet est particulièrement originale et prolonge ses principaux travaux – qui font autorité – Parler comme un livre. L’oralité et le savoir (XVIe-XXe siècle) et L’ordre matériel du savoir : comment les savants travaillent : XVIe-XXIe siècles . A travers de nombreux exemples historiques, la directrice de recherche explore toute la gamme des émotions qui font le quotidien des chercheurs : plaisir et ennui, peur et espérance, enthousiasme et désespoir, bonheur et souffrance…Surtout, de manière particulièrement intéressante, Françoise Waquet analyse « l’écologie émotionnelle » du monde de la recherche et du savoir en s’attardant sur les « lieux émotionnés » (bibliothèque, laboratoire, bureau…), les « objets affectifs » (livres personnels, notes et manuscrits, ordinateurs…) et les liens qui
https://www.nonfiction.fr/article-9998-une-autre-histoire-des-intellectuels.htm
renato dit: 30 juillet 2019 à 19 h 46 min
Votre colère stupide montre que j’ai touché le point sensible en vous qualifiant de « faisandé ». C’est vraiment l’adjectif qui vous caractérise, petit Rital de mes deux !
Paul Edel dit: 30 juillet 2019 à 19 h 00 min
D. je suis allé plusieurs fois à Stockholm et, restaurants, hotels, ruelles anciennes,parcs églises,musées, quais et bateaux,c’est un endroit calme et délicieux.vous dites vraoment n’ importe quoi.
–
Je n’y suis pas allé mais j’ai vu à la télévision, Paul. C’est sinistre. Cela me rappelle Brest.
L4ANTI INTELLECTUALISME/
Le principal intérêt théorique du patient travail de Sarah Al-Matary, maîtresse de conférences en littérature à l’université de Lyon-2 et rédactrice en chef de La Vie des idées, est de démontrer que l’anti-intellectualisme, loin d’être seulement une « haine de la culture », peut tout autant être analysée comme l’affirmation d’une « culture alternative ». Dès le XIXe siècle, en lien avec la Révolution industrielle, l’opposition entre le travail manuel et le travail intellectuel prend progressivement le pas sur la société des trois ordres, propre à l’Ancien Régime. Les « nouveaux clercs » formés par les intellectuels (jusqu’à la massification de l’enseignement supérieur, dans les années 1960, on ne parle pas encore de « professions intellectuelles » dans les catégories statistiques) tiennent leur prestige (et leur pouvoir) de l’essor de l’enseignement et de l’instruction sous la IIIe République. Cela explique pourquoi l’anti-intellectualisme trouve un terreau favorable à l’antirépublicanisme et à l’antiparlementarisme à la fois à droite (nationalistes maurassiens, catholiques intransigeants) et à gauche (anarchistes sous la IIIe, maoïstes et situationnistes sous la Ve), ce qui ne signifie pas, bien sûr, que la culture de l’anti-intellectualisme ne génère pas, elle aussi, ses propres intellectuels . Dans ses derniers chapitres les plus contemporains, La haine des clercs envisage l’anti-intellectualisme des dernières décennies,
https://www.nonfiction.fr/article-9998-une-autre-histoire-des-intellectuels.htm
C’était peut-être Helsinki, qui se trouve juste à côté.
renato dit: 30 juillet 2019 à 19 h 25 min
C’est à propos de la chute du billet.
Pas de votre problème avec le cardinal Martini on the rocks!
C’est l’histoire d’Istanbul et de la chute de Byzance avant l »invasion par les troupes de Mehmed II, jeune homme de 21 ans, tres cultivé et fin stratège, et Rome appela à l’aide l’Occident, en vain…
« Cette absence d’écoles et de partis s’explique par la nature même du mouvement théologique en Orient. Le progrès et le développement de la théologie y sont, en effet, essentiellement subordonnés au progrès même et au développement de l’erreur. Chaque nouvelle hérésie provoque un nouveau pas dans l’étude du dogme, dans la formation et la fixation des doctrines et des formules théologiques. Et ce procédé n’est pas, comme on pourrait le croire, spécial à la théologie des Pères, on le retrouve dans tout le cours de la théologie orientale, au moins de la première période, comme nous le verrons mieux en en déterminant les différentes étapes.
La théologie latine, au contraire, se rattache moins étroitement au mouvement patristique et à la lutte contre les hérésies. Elle se constitue et se développe plus tard lorsque, le dogme étant déjà fixé et déterminé sur tous les points essentiels, il ne reste qu’à l’organiser méthodiquement, à le systématiser, à l’encadrer pour ainsi dire dans une théorie philosophique, assez solide et assez forte pour le porter. C’est ce qui fit la fortune de la philosophie d’Aristote et donna à la théologie scolastique son caractère particulièrement rationnel et dialectique. Et cela nous explique pourquoi l’héritage littéraire que nous ont laissé les principaux maîtres de la théologie occidentale est surtout constitué par des Sommes ou exposés didactiques et complets de la doctrine catholique, auxquelles viennent s’ajouter des traités moins étendus, mais identiques pour la méthode et le fond, sur des questions particulières se rattachant à l’ensemble des questions étudiées par eux dans leurs grands ouvrages.
En Orient, au contraire, les théologiens font surtout œuvre de polémistes. Π nous faut arriver jusqu’à saint Jean Damascene pour trouver un exposé complet et méthodique de la doctrine catholique et, cependant, la théologie avait déjà traversé une période importante et non la moins brillante de son histoire. Après ce grand docteur, nous retrouvons encore des ouvrages de ce genre, modelés évidemment sur le sien et s’en inspirant plu,s ou moins, mais leurs auteurs ne sont pas des plus en vue parmi les écrivains religieux, et ils ne semblent pas avoir exercé une influence bien marquée ni bien prépondérante. »
meme lien
…enfin le genre d’endroit sinistre où les gens boient pour noyer leur tristesse et le goût âcre du hareng en saumure.
Vous n’avez rien touché, petit inculte prétentieux : la racaille ne me touche jamais.
j’ai aimé Stockholm,nombreuses promenades, et arrêt au musée (art contemporain, design!)
Une bonne âme sur ce blog (s’il en existe !) pourrait-elle me dire ce que signifie « la théorie du bahut ancien chez Heidegger » ?
A quoi cela fait-il allusion ?
Merci d’avance !
@x
tentative de synthèse (partiale ?) sur les dix ans qui séparent 89 de la désignation en 99 de la commission de rédaction de ce qui sera le code civile de 1804 : salmigondis du droit coutumier on ne peut plus disparate, les Lumières à l’épreuve de la réalité, radicalisme jacobin qui préfigure le stalinisme et tentation du retour à l’ancien droit … 89 le sens commun et les libertés individuelles : vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage
La rédaction évoquée
https://www.courdecassation.fr/IMG/File/intervention_xavier_martin.pdf
civil
« C’est à propos de la chute du billet. »
Vous n’étiez pas visée, mais si vous avez ainsi perçu mon post ce n’est pas mon affaire.
La chute du billet je l’avais déjà rangé avec l’histoire du nez du Tristram, plus amusante.
La chute de Costantinople, à l’époque de mes études, faisait partie du programme, donc pas besoin de Wiki & Co.
Tous ces pays scandinaves ne m’attirent pas du tout. Déjà les heures de soleil, faut les compter. Et Jo Nesbo malgre un talent évident
réussit difficilement sur la durée, à nous faire aimer ces pays deprimants.
Calmez vous Renato.
Sur la chute du billet, voir, comme déjà indiqué, la famille des Ange. Qui était assurément sexuée !
Le problème pour notre Auvergnat préféré à multiples vocations, c’est la prolifération des idées, des provocations, des idées rien que pour voir les réactions mais sans en penser un mot, des provocations pour titiller untel ou untel, du jeu quoi.
Alors parfois il se retrouve un peu dans les cordes, sans aucun parachute prévu à l’avance, sans la moindre réponse à opposer puisqu’il n’a lui-même jamais été d’accord avec son commentaire.
Alors nous avons droit à ce que j’ai appelé le « passage de la ligne », il n’hésite pas à se contredire, à confondre (dernier exemple) Stockholm, Helsinki, Riga, Copenhague ou Vilnius (pourquoi pas Montevideo s’il est en forme).
Mais que serait le charme (et parfois (souvent) la profondeur) de la rdl sans lui.
Marie Sasseur dit: 30 juillet 2019 à 20 h 14 min
Jo Nesbo
Mindieu, fauty pas aimer les polars
la mémoire de la langue française :
je rappelle que l’on ne saurait en avoir une bonne connaissance sans connaître Rachi :
Rachi n’hésite pas à utiliser des mots français pour expliquer des notions difficiles: ce sont les laazim, on en compte plus de trois mille, elles constituent un apport considérable pour l’étude de l’ancien français médiéval.
Les laazim sont des gloses écrites en hébreu classique, mais Rachi ne veut que simplifier le sens des versets à ces élèves.
et il est mille fois plus efficace de dire aux élèves : “C’est ce que dans votre langage vous appelez…”
Dans de nombreux autres cas, ce système permet également de distinguer des acceptions parallèles, de faire comprendre des tournures particulières, de définir des objets d’usage courant, etc.
Personne ne songeait à enseigner le français qui était considéré comme un patois populaire.
Mais il nous reste aussi des textes plus importants, dont le plus complet et le plus émouvant est la Complainte des martyrs de Troyes, découverte dans un manuscrit du Vatican et publié au siècle dernier par Arsène Darmesteter.
Au XVIII° siècle, quelques savants essayèrent de dégager le sens de ces grimoires mais il leur manquait d’ordinaire l’esprit scientifique et la familiarité avec l’ancien français.
Ce n’est qu’à la fin du XIX° siècle qu’un ancien élève-rabbin devenu professeur de philologie française à la Sorbonne, Arsène Darmesteter (1846-1888), entreprit d’étudier sérieusement ce domaine.
Il obtint des ordres de mission pour examiner les manuscrits les plus anciens de Rachi dans les bibliothèques d’Europe, et commença à établir des listes de vocables français contenus dans ces textes.
Mais le travail gigantesque auquel il se livra pour poser les bases générales de l’étude de l’ancien français finit par l’épuiser, et il mourut à quarante-deux ans. La plupart de ses travaux étaient restés à l’état d’ébauche.
En 1929, David Simon Blondheim, qui devait devenir professeur de philologie française à l’Université John Hopkins de Baltimore, reprit les notes de Darmesteter, et, avec une admirable minutie, publia la liste des gloses franco-hébraïques de Rachi sur le Talmud.
Un deuxième volume, destiné à comprendre les résultats de ses recherches lexico-graphiques, ne fut qu’entamé, car Blondheim, lui aussi, disparut prématurément (1887-1934).
Il faut souligner que les termes transcrits contenus dans les oeuvres de Rachi et de tous les rabbins français du Moyen Âge constituent un apport considérable pour l’étude de l’ancien français.
En effet, au XI° et au XII° siècles, il n’existe presque pas de littérature en langue vulgaire, car l’on continue à écrire en latin.
Ce qui nous reste de l’ancien français de cette période est quantitativement très faible et appartient à des domaines restreints : brouillons de sermons, cantiques populaires
un exemple de glose de Rachi:
OBLEDES (glose de pat kisnin, sorte de pain d’épices, Gn 40, 16) : cette pâtisserie (français moderne : oublies) n’est pas mentionnée dans le texte de la Bible, mais Rachi, en interprétant le mot “panier” – les paniers que le panetier du Pharaon portait sur la tête – raconte que les marchands d’oublies utilisent cette sorte de panier.
(La glose figure aussi dans le Talmud, Berakhot 41a-42a, pour désigner une sorte de gaufrette ou de pain d’épices.)
et un autre du même registre:
TORNER (glose de avra tsourato, “sa forme a changé”, Talmud, Bava batra 95b et de ’arakh, “préparer”, Talmud, Menahoth 50b et 55a) : ici le verbe torner est employé dans un sens particulier : “tourner la pâte pour lui donner la forme du pain”.
Il est accouplé avec la glose entorter, arrondir comme pour faire une tarte (certains linguistes lisent torter au lieu de torner), et précédé de l’expression : “en français”, ce qui semble vouloir dire qu’entorterest un terme spécial, employé par les Juifs, sans doute pour désigner la forme particulière des miches préparées pour les repas sabbatiques.
La famille des Ange:
Certes, la dynastie des Anges joua un rôle important dans la chute de Constantinople. Mais les causes de son déclin étaient déjà apparentes sous la dynastie des Comnènes et il serait injuste d’en faire porter l’entière responsabilité sur les Anges. De profonds changements avaient eu lieu tant en Occident qu’en Orient au cours des XIe et XIIe siècles. Mais une résistance au changement plus forte à Constantinople que dans les royaumes qui se constituaient à l’Ouest l’empêcha de s’adapter aux nouvelles réalités. Dans son livre A History of the Byzantine State and Society, Warren Treadgold, mentionne plusieurs causes lointaines qui contribuèrent au désastre de 1204.
wiki
« Calmez vous Renato. »
C’est en effet le seul et unique conseil qu’on pourrait donner à notre Rital du blog. Il en faut un, c’est sûr. Celui qui a rencontré le cardinal Martini (gin !), excusez du peu ! Je suis époustouflé.
le connaisseur contemporain de Rashi , que j’ai cité, est Simon Schwarzfuchs
Rachi de Troyes de Simon Schwarzfuchs, éditions Albin Michel, “Spiritualités vivantes”
Inculte et impoli, le barbare immonde et ennuyant.
Dum Diversas :
Je ne suis pas d’accord avec vous Renato. Vos souvenirs d’internat catho, où votre papa vous a collé vous aveuglent. Ce ressentiment vous empêche de penser.
Vous croyez vraiment que votre opinion peur m’intéresser, MS ?
peur > peuT
En plus si vous avez été contraint de rester dans une institution gérée par un pédophile comme l’aumônier de St Luc à Lyon, il faut vous en prendre à votre papa. Il avait peut-être la foi du charbonnier. Et a vous-même. Vous n’avez pas fait preuve de discernement. En plus vous avez laissé vos coreligionnaires dans le pétrin, et vous n’avez rien dit?
Oups ! il se peut que le pauvre Delaporte ne soit pas familier du latin…
pic de la Mirandole
petit retour en arrière sur P.Legendre qui a intitulé
Leçons I. La 901e conclusion13. Étude sur le théâtre de la Raison, Paris, Fayard, 1998
↑ Dans le titre de cette œuvre qui introduit les « leçons » parues antérieurement, Legendre fait référence aux 900 conclusions philosophiques, cabalistiques et théologiques publiées par Pic de La Mirandole en 1486.
L’avantage avec la Tique et et alii (qui nous a quitté définitivement hier soir comme l’ont souligné Annibal/Jacky/Jazzy/Jacques Barozzi/etc. et baroz) c’est que si(par hasard ou pas) un sujet soulevé par eux vous intéresse il suffit de faire comme pablito, vous vous asseyiez dans votre canapé, vous mettez Lou Reed, Clapton, J.J. Cale ou Tom Waits dans votre lecteur (l’option Mozart, Bach, Haendel, Rameau, Satie, Cage, Boulez, est permise) et peinard(e) vous les laissez chercher, les liens arrivent, vous sélectionnez, vous êtes heureux, et rien que pour le plaisir vous finissez par un Janis Joplin ou un Patti Smith (ou un Boby Lapointe, mais seulement si vous ne faites pas de faute à Boby), un petit (pourquoi petit?) lagavulin pour dire que et c’est le bonheur.
« En plus vous avez laissé vos coreligionnaires dans le pétrin, et vous n’avez rien dit? »
Ma pauvre, j’ai dit, avec les conséquences d’usage — institut pour garçons difficiles — ; mais comme dit, votre opinion et 1 rien plus 1 rien et ½ c’est la même chose.
Donc sur Pic un peu:
À 23 ans, il publie 900 thèses sous le titre :Conclusions philosophiques, cabalistiques et théologiques, et, grand seigneur, invite tous les érudits à en débattre avec lui à Rome, quitte à ce qu’il leur paie les frais de déplacement ! L’initiative déplaît en haut lieu et le 31 mars 1487, Pic de la Mirandole doit renoncer à plusieurs de ses conclusions, jugées hérétiques par une commission papale.
L’année suivante, il tente de fuir en France la vindicte du Saint-Siège. Mais il est arrêté à Lyon et brièvement interné au donjon de Vincennes. À sa libération, il s’empresse de répondre à l’invitation de Laurent le Magnifique et, mettant fin à ses voyages, s’établit à Florence.
Mais le savant est fauché en pleine jeunesse par une fièvre maligne et meurt pieusement à Florence, à 31 ans. Le même jour, dans la ville soumise à l’autorité impitoyable du moine Savonarole, entre le roi de France Charles VIII à la tête de ses troupes. C’est le début des longues guerres d’Italie qui vont révéler la Renaissance aux Français…
Que vous apporte Renato de vous martyriser avec un texte en latin, du XVeme, que vous ne contextualiser pas, ni n’avez compris, si ce n’est encore de vous reprocher un courage que vous n’avez jamais eu.
« By the summer of 1452 Ottoman Sultan Mehmed II had completed the Rumelihisarıfortress on the western or European side of the Bosphorus. Located several miles north of Constantinople, it commanded the narrowest part of the Bosporus. Byzantine Emperor Constantine XI wrote to Pope Nicholas for help. Issued less than a year before the Fall of Constantinople in 1453, the bull may have been intended to begin another crusade against the Ottoman Empire.[4] Nicholas V’s nephew, Loukas Notaras, was Megas Doux of the Byzantine Empire.[7][better source needed] It was not until Alfonso V of Portugal responded to a Papal call for aid against the Turks, that Pope Nicholas V agreed to support the Portuguese claims regarding territory in Africa.[8] Although some troops did arrive from the mercantile city states in the north of Italy, Pope Nicholas did not have the influence the Byzantines thought he had over the Western Kings and Princes. France and England were both weakened by the Hundred Years’ War, and Spain was still engaged in conflict with Islamic strongholds in Iberia. Any Western contribution was not adequate to counterbalance Ottoman strength. »
wiki
Que vous ne contextualisez pas Renato, un comportement infantile. Bon client pour Sigmund&cie
20h44 20H51
Elle a vraiment un problème avec les internats (a priori plutôt catho) not’ Tique préférée.
Une enfance difficile à acceptée ?
Une expérience douloureuse ?
Un regret ?
Dites-nous tout mon ange de bonté et de douceur.
Confessez-vous.
«… les conséquences d’usage », car naturellement un garçon qui s’était donné la mort à cause du comportement indigne de l’éducateur ne comptait pour rien, et un vilain garçon indiscipliné accusait injustement un pauvre prêtre : une victime ce pauvre pédophile.
un sujet soulevé par eux vous intéresse
en l’occurence il ne s’agit que du billet de P.Assouline pour ce qui me concerne et devrait concerner tous les erdéliens respectueux du travail de P.Assouline
Dites pedo le doryphore, je vous ai mouché. Et pour moi l’affaire est close. Un petit fonctionnaire alcoolique et macronien sinistre, ça suffit .
je suppose que si les erdéliens avaient remarqué que Pic était homosexuel, ils s’y seraient intéressés et auraient peut-être vu en lui ,et en ceux qui transmettent sa mémoire, un maître
@Pablo.
Tu connais le Requiem de Gouvy?
C’est Didier Ryckner qui conseille de l’écouter.
Vous voyez bien Renato, que vous devriez « consulter ».
« Bon client pour Sigmund&cie »
Vous sans doute, moi mes problèmes je les ai résolus depuis longtemps déjà. D’ailleurs, si je fais une exception pour Martini, c’est parce qu’il à pris la peine de s’excuser pour ce que j’ai eu à subir à cause du comportement du criminel. Bon, il l’a fait en privé, mais pour l’époque c’était déjà beaucoup.
En cherchant si peu du cote de la métaphore, il sera plaisant d’admirer le poète
https://www.etudes-litteraires.com/texte-poetique-baudelaire.php
selon wiki, il semble que Pic ait été empoisonné:
. La rumeur court alors que, trop proche de Savonarole, il aurait été empoisonné par son propre secrétaire à l’instigation des Médicis8. Cet empoisonnement est confirmé en 2008 par une équipe scientifique qui analyse les restes exhumés de Pic et de Politien2,3. Les scientifiques dirigés par Giorgio Gruppioni, professeur d’anthropologie à Bologne, concluent à un empoisonnement des deux hommes à l’arsenic, probablement commandité par Pierre de Médicis et exécuté dans le cercle des proches de Pic, probablement par son propre secrétaire, Cristoforo da Calamaggiore10.
Je ne pense pas Renato. Savoir ressortir au pied levé un texte en latin du XVeme censé illustrer les ignominies des hommes d »Eglise, telle votre intention, à côté de la plaque, est assez symptomatique.
Enfin, nous avons ici l’habitude à votre mauvaise éducation MS. Heureusement lei lascia il tempo che trova.
dear Pado, vous n’allez pas tarder à vous faire taxer de padophile. tout ce beau monde va finir étalé chez etalii, experte en divans.
C’est au moins un siècle avant 1432 que se succèdent les appels à l’aide des Empereurs Byzantins avec divers envois diplomatiques de Manuscrits comme le Pseudo-Denys, l’inertie Occidentale, et le déferlement dés cette période d’intellectuels byzantins dans les grandes Universités italiennes. La création de chaires de grec et l’arrivée des textes vont donner à l’Italie les outils de sa première Renaissance. Je résume en gros ici en me fiant à ma mémoire le cours de Fumaroli sur la fin de l’Empire Byzantin, cours auquel j’eus l’honneur d’assister.
MC
« D’ailleurs, si je fais une exception pour Martini, c’est parce qu’il à pris la peine de s’excuser pour ce que j’ai eu à subir à cause du comportement du criminel. Bon, il l’a fait en privé, mais pour l’époque c’était déjà beaucoup. »
Il nous a enfin dit de quoi il avait causé avec le cardinal. Tout ça pour ça. Sans doute est-ce important pour renato, un traumatisme d’adolescence lié à la pédophilie dans l’Eglise. Voilà pourquoi on sent que c’est quelqu’un de fragile, encore aujourd’hui. C’est la sublime Sasseur qui l’a accouché ! Il doit se sentir libéré, notre cher Rital.
Reprenez un Martini Renato, si c’est la seule façon de calmer votre problème avec tout ce qui porte robe…;-)
Au moins Court suit.
Penser à se lever à l’heure exacte pour le run, demain matin.
Paul Klee 1920 Railway Station.
un extrait de la critique du Monde:
« Il ne fait guère de doute que le réalisateur atteigne aujourd’hui avec So Long, My Son, variation sur le même thème, son point d’orgue cinématographique. Vaste fresque menée sur un demi-siècle d’histoire chinoise, en gros de la Révolution culturelle à nos jours, le film met en scène, avec la mort brutale d’un enfant en lever de rideau, une poignante tragédie familiale, et y entremêle enjeux intimes et politiques, action principale et secondaire, passé et présent, avec un brio certain. »
Barozzi nous en a parlé, mais je ne me souviens pas qu’il ait dépassé le stade d’une critique tiédasse et condescendante. J’ai enfin vu ce film de 3 heures, deuxième film de cette durée se passant dans un pays au moins en partie communiste après « L’œuvre sans auteur ». Des films de cette durée qui n’ennuient pas, c’est déjà un exploit. Ici, comme dans le film allemand, la grande histoire sert de toile de fond à des drames individuels. Sauf qu’ici, il s’agit d’une tragédie qui s’étend sur une quarantaine d’années. C’est construit avec une maîtrise totale. Deux familles séparées par un évènement tragique et qui finissent par se retrouver. Allers et retours entre présent et passé tissent une trame passionnante jusqu’à la fin. Acteurs parfaits. On pourra reprocher un happy end un peu trop beau. Ce n’est plus très à la mode dans le cinéma occidental. Néanmoins il arrive que dans la vraie vie les choses se terminent moins mal que prévu…
« Savoir ressortir au pied levé un texte en latin… »
Pas difficile, ici on avait déjà parlé de ça avec l’éditeur pirate expatrié dans un pays lointain. D’ailleurs, il suffit de lire Carpenter’s gothic.
Et voilà qui réapparaît le barbare immonde et ennuyant.
Et Alii, ces 900 thèses de Pic ont été je crois rééditées chez Allia.
Renato fait référence à un texte, il est toutà fait de bonne guerre qu’il le cite. Je ne vois pas en quoi cela mérite l’ire de Marie Sasseur.
Bien à vous.
MC
c’est la sublime Sasseur qui l’a accouché !
au fort sexe
«…qui l’a accouché ! »
Expression qui en dit long sur l’arrière pays intellectuel du barbare.
Court suit mais en lisant par-dessous la jambe.
Ce n’est pas tant la bulle que l’utilisation que Renato en fait pour soigner son toc.
Théodore Gouvy me parait très surestimé. Un peu le genre de ces vieilles gloires barbues ranimées par un accès de chauvinisme franco- Lorrain. Je me souviens de quelque chose de lui sur Troie plus proche du pire Georges Rochegrosse que des Troyens de Berlioz.
Chaloux. Ne pas oublier que Rycker, élève de Bruno Foucart, à hérité de la fâcheuse tendance de son maitre à défendre de vieux crocodiles empaillés, souvent picturaux!
Bien à vous.
MC
Court a des difficultes de compréhension, et de synthèse, c’est une vraie calamite chez lui.
@delaporte,
Pourquoi insister à plusieurs reprise sur le mot » rital » en ce qui concerne un intervenant sur ce blog? Cela rappelle une haine historiquement marquée contre ceux qui venaient manger le pain des français. Vous savez, le boulanger de Fernand Raynaud.
On peut traiter quelqu’un de doryphore, de crétin, l’ insulte est exagérée souvent, des fois rigolote dans son incongruité mais n’apporte pas ce relent raciste et anti étranger que le mot » rital » traîne avec lui.
Katolicon, mais jusqu’au bout delaporte svp!
MC dit: 30 juillet 2019 à 21 h 32 min
vous avez raison!
d’autant que renato étant italien, il connait peut être des recherches en italien dont il pourrait nous faire part, si on ne le tracasse pas indument
Mise au point: Il y a deux choses, la personne et le problème. Vous vous attaquez de manière très déplacée à la personne (et pas seulement elle); Elle choisit de vous répondre sur ce que vous vous permettez de soulever, puis revient au plus important, le problème. Est-il possible que vous fassiez exprès de ne pas savoir lire à ce point?
Bonne soirée.
Duteurtre Benoit
https://www.lalanguefrancaise.com/litterature/benoit-duteurtre-le-retour-du-general/
Je ne comprends pas pourquoi cette chute de Constantinople ne vous a pas passionné comme elle l’aurait dû, Et Al, maintenant que sont épuisées toutes les variations de la métaphore. ( merci pour l’archi!)
Les anges en peinture sont des amours.
Pas de réponse : je range ma question dans le bahut.
Serait-il possible qu’aucune d’entre vous, à part DHH (comme d’hab’, la curiosité intellectuelle de cette grande dame est patente…) ne l’ait simplement LU ?
(car ma question sur Heidegger est évidemment corrélée à Bourdieu…)
Non Court.
Renato a servi la bulle pour faire part de son aversion pour tout ce qui concerne la religion catholique ( il a ses « raisons »). Il serait grand temps que vous arrêtiez de marcher la tête au ras du trottoir!
davantage de « chauvinisme franco-lorrain » permettrait d’éviter l’hérésie du fromage dans la quiche lorraine, dear Mr Court, en imposant le lard sans discussion (ni taxe). le schisme a toujours commencé dans les cuisines.
dame clopine, trouvez-vous rafraichissant de lire Heidegger pendant la canicule
D’ailleurs, lorsque, après ses excuses, le brave homme sut que pour moi le bref passage par l’institut pour garçons difficile avait été un beau moment, il s’étonna que l’expérience ne m’ait pas traumatisé ; je lui ai donc parlé de l’architecture de l’institut — œuvre de Vittoriano Viganò —, du plaisir que j’avais pris en vivant quelques mois dans ces murs. Je ne vais pas ennuyer le peuple de la RdL avec cette histoire. Bonne soirée.
https://blogfigures.blogspot.com/2012/06/vittoriano-vigano-istituto-marchiondi_30.html
Vous nous auriez fait mention d’une paire de sabots, là on aurait pu vous répondre Clopine…
Marie Sasseur dit: 30 juillet 2019 à 21 h 49 min
mal visé! et ne tracassez pas mon cousin de blog renato SVP!
j’ai beaucoup posté aujourd’hui:place aux autres !
Court n’a rien compris Renato.
Il a autant d’humanité qu’un toquard qui lit l’annuaire.
Bérénice, ce n’est vraiment pas ce que je sauverais de l’oeuvre de Duteurtre! C’est vite écrit, pour ne pas dire bâclé, et ça se sent. Dans le genre léger un brin science-fictionesque,voyez plutôt « La Cité Heureuse » parue bien avant qu’on ne s’insurge contre la disneylandisation des villes.
Bien à vous.
MC
Pas de bol, Et Al, je suis ritale, (presque) comme Renato.
« Pourquoi insister à plusieurs reprise sur le mot » rital » en ce qui concerne un intervenant sur ce blog? »
Lui-même n’a-t-il pas été insultant à mon égard ? Ce n’est que la monnaie de sa pièce. Mais maintenant qu’il a avoué ce dont il avait parlé avec le grand et noble cardinal Martini, je ne lui en veux plus, évidemment, et peux même dire que j’aime en général les Italiens, que Cavanna appelait les Ritals ! C’est vrai qu’on a oublié Cavanna et, surtout, ses oeuvres immortelles à la con même pas drôles ! Repose en paix, Cavanna, toi et tes fameux Ritals !
Renato, c’est peut etre la maïeutique, une confidence banale pour finir. Ainsi nous voici avec un attouchement de plus, mince alors. Je lisais dans ce bouquin le truc des cathares qui refusait le baptême, êtes vous certain que ce Martini n’en fut pas?
Phil, la canicule est heureusement derrière nous; et je ne lis pas Heidegger, mais Bourdieu, qui fait mention du « bahut ancien » d’Heidegger.
Je n’ai hélas pas fait d’études de philosophie, je pensais qu’ici au moins, avec toutes les références balancées comme autant de défis entre les uns et les autres, façon cour de récré (« et toi, t’as lu ça ? Et ci ? Et ton père, il a une voiture de quelle marque ? Plus grosse que celle de mon père ? Etc.) quelqu’un saurait me répondre. J’avais l’espoir d’une réponse claire et concise, en plus.
Comme quoi une autre de mes caractéristiques est bien la naïveté…
Refusaient le baptême par l’eau.
58 oui? Comme moi je suis malienne?
Car on sait enfin de quoi ont parlé renato et Martini pendant leur fameux entretien. C’est prémonitoire, prophétique, époustouflant ! renato ne voulait pas le dire, et il a suffi que la sublime Sasseur le questionne habilement pour qu’il accouche. C’est d’ailleurs à mettre au crédit de Martini qui s’est excusé au nom de l’Eglise. Par contre, renato est sans doute resté marqué par cette histoire, malgré les paroles de Martini. On peut certes le comprendre. Bref : ils n’ont pas parlé des Brigades rouges, comme je le supposais… L’entretien a porté sur une question tout aussi brûlante.
« Marie Sasseur dit: 30 juillet 2019 à 21 h 49 min
mal visé! et ne tracassez pas mon cousin de blog renato SVP ! »
Pauvre Renato, coincé entre la peste et le choléra !!!
C’est la faute à pas de chance…
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