Recyclés, Cassin, Zola, Gramsci !
Il n’y pas que dans le tri des déchets : dans le commerce des idées aussi la récupération est d’actualité. L’air du temps n’a jamais paru aussi favorable à l’opportunisme de ce type d’opération en trois temps : détournement, recyclage, instrumentalisation. Plusieurs hautes figures intellectuelles en ont fait les frais ces derniers temps.
René Cassin (1887-1976) tout d’abord. Juriste et diplomate, c’est en tant que co-auteur de la Déclaration universelle des droits de l’homme en 1948 qu’il fut vingt ans plus tard doublement couronné du prix Nobel de la paix et du prix des droits de l’homme des Nations unies. Une conscience que cet homme unanimement respecté dont la dépouille repose au Panthéon. Or il vient d’être enrôlé à son corps défendant par les nationalistes tant basques que catalans. Chez les premiers, on a ainsi pu entendre lors d’une réunion sur le campus universitaire de Vitoria d’anciens responsables terroristes de l’ETA se référer à René Cassin. Par quelle acrobatie ? En lui attribuant entre guillemets la dénonciation des «prétentions des États existants à vouloir trancher par le biais de leur constitution les problèmes reliés à l’autodétermination d’un peuple que les hasards de l’histoire ont placé sous leur domination » alors qu’il s’agit là… du commentaire du préambule de la Déclaration par un autre juriste.
Une manipulation que l’on retrouve sous la plume d’autres partisans du nationalisme basque. Qu’importe puisque cela leur permet de mêler dans l’inconscient collectif son nom prestigieux, les droits de l’homme et leur cause. A ceux qui objectèrent que les conceptions de la démocratie de René Cassin étaient aux antipodes des leurs, ils rappelèrent qu’il avait été aussi le responsable du service juridique de la France libre, un activiste et un militant dans sa défense des droits de l’homme et, argument imparable, qu’il était natif de Bayonne dont chacun sait qu’elle se trouve au pays basque ! Et tant pis si au passage ils piétinaient le double engagement juif et républicain qui domina son existence…
Autre exemple : Emile Zola. J’accuse, le plus célèbre éditorial de l’histoire de la presse française, est devenu un mantra chez les indépendantistes catalans. Au plus fort des récentes manifestations, ils ont usé en toutes circonstances d’un #JoAcuso pour dénoncer la répression de l’Etat espagnol contre leur mouvement et les condamnations judiciaires de leur partisans. Et ils l’ont explicité en dressant des parallèles avec l’injustice dont le capitaine Dreyfus fut la victime. Ce que n’a pas manqué de faire l’avocat Paul Bekaert, défenseur du président catalan destitué Carles Puigdemont : dans son cabinet trônait en bonne place un exemplaire du J’accuse de Zola au cas où l’analogie aurait miraculeusement échappé aux journalistes venus l’interviewer. Est-il besoin de rappeler que les deux causes n’ont rien à voir ?
Enfin, Antonio Gramsci (1891-1937). Jamais ce philosophe, et écrivain italien n’a été aussi tendance. Ce qui ne va pas de soi en regard non de sa stature intellectuelle mais de la nature de son engagement : membre fondateur du parti communiste italien, ce théoricien marxiste a souvent été réduit à une formule (« Pessimisme de l’intelligence, optimisme de la volonté ») et à sa définition de la crise :
« Le vieux monde se meurt, le nouveau monde tarde à apparaître et dans ce clair-obscur surgissent les monstres ».
Mais c’est surtout ce qu’il dit du « combat culturel» dans ses fameux Cahiers de prison qui a été récupéré. A l’extrême-droite depuis longtemps par Alain de Benoist qui en appelait à un « gramscisme de droite » au risque de l’oxymore, et à droite à la veille de la présidentielle de 2007 par Nicolas Sarkozy :
« Au fond, j’ai fait mienne l’analyse de Gramsci : le pouvoir se gagne par les idées. C’est la première fois qu’un homme de droite assume cette bataille-là ».
Depuis le philosophe est régulièrement cité, et donc instrumentalisé et dénaturé, par tous les courants politiques d’un extrême à l’autre pour son concept d’« hégémonie culturelle ». On le trouve derrière le populisme de la gauche radicale en Espagne aussi bien que dans la récente campagne électorale au sein des Démocrates de Pete Buttigieg aux Etats-Unis (mais lui au moins a une excuse : son père Joseph Buttigieg est le traducteur en anglais des Cahiers de prison et il fut le président de l’International Gramsci Society…) ou en France du côté de Marion Maréchal. Tous convaincus que la conquête du pouvoir passe par la capacité d’attraction et de séduction des idées sur l’opinion publique via les intellectuels. Mais qui n’est pas « gramsciste » aujourd’hui ? Ainsi annexe-t-on des penseurs qui n’en peuvent mais. Leurs fantômes en rient encore. D’un rire jaune ?
(Photo D.R.)
1 675 Réponses pour Recyclés, Cassin, Zola, Gramsci !
« qu’est-ce que j’ai jugé trop rapidement ? »
Ton étiquette : « Giono collabo », hamlet. Honteux !
« oui y’a pas beaucoup d’homosexuels dans l’opéra wagnérien. »
Là encore tu te goures, hamlet !
lmd, on ne peut pas prévoir.
renato dit: à
Mais si, on peut prévoir. Pour commencer tout ce qui est « abstrait » passera à la trappe (une bonne partie déjà pourrit dans les réserves des musées et finira à la poubelle).
Sans critères esthétiques objectifs, c’est impossible que la farce dure des siècles.
Il ne connait pas le sens de l’expression ironique « bonne voyage » ce frustré. Donc, ne suis pas cité parce que je ne veut pas être cité, pour des raisons indépendantes de ma volonté j’ai dû accepter d’être present dans l’histoire de deux gallérie — Minini et Toselli —, et les copies cadeaux des katalogues sont dans le tiroir qui m’est dedié chez Persano, c’est dire l’intérêt que je leur porte. Quant à « journaliste », jamais eu la carte : j’écrivais sur ce sui m’intéressait lorsque je voulais — Schwitters, Balthus, Klee, Merz, etc. —, c’était pour moi un laboratoire. Donc, bien à Vous et bon voyage.
comparé à Wagner, Wolfgang Bomarché c’est plus lgbt, même pour la 1ère Chérubino était chanté par une femme qui ensuite se déguise en femme :
@ Ch., pardon d’avoir tardé à vous répondre, mais il y a eu tant à faire aujourd’hui, pour les corrections d’épreuves de papiers à paraître… J’avoue vous avoir un brin oubliée.
Je viens de retrouver la trace de votre lectere passionnante et passionnée de JMGLC, en glissant loin en bottum up..
(Oui, J-J.J. j’ai aimé passionnément ce livre).
Je me doutais qu’il était excellent et propre à m’émouvoir, car je suis dans une démarche analogue dans la mobilisation des souvenirs de mes trois à sept ans. Et vous m’avez convaincu, bien que je n’en eusse pas eu besoin. Cet ouvrage est sur la pile de mes commandes en attente, bien sûr…, et je reviendrai vers vous quand j’en aurai pris connaissance. Mais ne serez-vous pas alors sur une autre toile, dans cette course et quête incessantes qui m’affolle un brin ?
NB / Je n’ai pas compris un petit point équivoque de votre chaleureuse défense, « c’est un livre de femmes », dites-vous. Qu’entendez-vous par là au juste ? qu’il évoquerait surtout les femmes de sa tendre et difficile enfance ? ou écrirait dans un style parlant surtout à la sensibilité des femmes bretonnes, et à la vôtre en particulier ?.
Vous savez que nous sommes tous un peu à cran sur ce chapitre en erdélie. Quoiqu’il en soit, merci d’avoir pris la peine de me répondre hier, j’en suis tout à fait comblé, d’autant que vous êtes du genre à argumenter, quand vous avez lu quelque chose. Et cela vous dépareille de pas mal des m’as-tu-vu de l’erdélie, nous serons toujours OK sur le point. Je regrette d’avoir riposté aux stupides provocations d’Hamlet sur Le Clézio, qui m’avaient détourné de votre message. Très bonne fin de journée.
Jazzi dit: « oui y’a pas beaucoup d’homosexuels dans l’opéra wagnérien. »
Là encore tu te goures, hamlet !
»
non, pas possible, Hitler n’aurait jamais toléré ça.
transforme le festival de Biroute en banlieue de San Francisco, et puis quoi encore !
rose, le projet de constitution de la Corse pr JJ Rousseau, qui a influencé celle érigée par Pasquale Paoli, qui elle-même a influencée la constitution des Etes-Unis…
http://www.ac-grenoble.fr/PhiloSophie/old2/file/rousseau_corse.pdf
encore que les américains on refait une version lgbt de l’Or du Rhin, y’a que la musique qui pèche un peu :
@christiane
sur le rôle de Vichy dans la solution finale la grande somme de laurent jomy qui montre que l’administration française de vichy a eu un rôle moteur dans l’exclusion, l’occupation lui offrant une occasion de faire aboutir des projets qui murissaient depuis longtemps dans la droite nationaliste et que l’administration occupante l’a aidée à mettre au point . S’agissant de l’extermination elle a joué un rôle de de suiveur mais cooperatif et actif tout en faisant semblant de ne pas savoir le but ultime de l’ action a laquelle elle participait
Bref, jzmn, vous ne vous l’expliquez pas…
Vous ne faites que confirmer subjectivement un lieu commun parisien, si je résume bien votre 1ère réponse…
Peut-on savoir néanmoins si votre compagnon (Ch?) 1 – aime l’opéra baroque, 2 – n’aime pas 3 – est indifférent, 4 + NSP ?
Ou bien, ce début de sondage qu’on nous a commandités sur les goûts musicaux dans la communauté LGBT vivant maritalement, est-il indiscret ?
D’ailleurs, je le pose également à l’AMS et à l’etalii, qui pourraientt fort bien figurer dans mon panel, mais si elles ne se sentent pas directement concernée par la PROBLEMATIQUE de la « musique baroque », en ce cas, FAIRE EN SORTE QUE de n’y pas répondre non plus, plutôt que de gâcher le travail, merci.
Il faut voir le substrat, Pablo, si la base théorique est solide l’œuvre reste — nous entrons ici dans un « territoire » dont je peux parler en privé mais non écrire : trop de vampires dans le milieu.
Mais rénato ne manque pas d’air!
Il ne voulait pas figurer…mais il nous les cite complaisamment toutes ces parutions introuvables qui n’intéressent personne! 😉
En fait il ne fait que s’auto-citer, ses pins it, son blogfigure, ses amis imaginaires, tout ça dans sa bulle épiscopâle martini.
Bientôt il va lui falloir aller faire pisser les chiens.
Je voudrais voir une oeuvre de renato au moins une fois dans ma vie. Quelqu’un a un tuyau ?
Toutes les publication sont trouvables, pauvre frustré.
renato dit: à
Il faut voir le substrat
Une œuvre va mal?
Le substrat,
le substrat vous dis-je!
« comparé à Wagner, Wolfgang Bomarché c’est plus lgbt »
T’as l’air dans connaître un rayon sur les homos à l’opéra, hamlet ? Tu serais pas un peu folle !
Tu devrais répondre au questionnaire de JJJ…
Le substrat théorique : en ce sens, voyez, par exemple, les traveaux de Klee, Pablo.
Toutes les publication sont trouvables,
C’est sûr, vous conservez même les peaux de banane en pin it!
Le substrat théorique
Vous voulez dire le poumon de l’œuvre?
Désole, pauvre frustè, je ne conserve rien, mais vous pouvez consulter les archives des galléries, des revues, dès photographes il sont plus exhaustifs que les miens.
Jazzi dit: Tu devrais répondre au questionnaire de JJJ… »
non j’ai trop peur du résultat, en général les routes ne savent pas trop où elles vont, il suffit de ne pas les suivre…
Consulter, consulter, vous en avez de bonne,vous. Mes journées sont déjà très occupées…
Si j’ai bien compris, cet inedit de SdB sera publié par Les Éditions de l’Herne.
D., ou le quantique des quantiques…
(bon, d’accord, je sors, dès le 11 mai, promis.Dans un rayon de 100 kilomètres : j’espère que ce sera suffisant pour m’éviter de mauvaises rencontres. Comme D., par exemple.)
renato, merci. Ma curiosité est parfaitement éveillée.
« Mes peintures ne sont que les cendres de mon art » – Yves Klein
Mais, Renato, il ne peut pas avoir un substrat théorique solide puisque l’art abstrait est totalement subjectif. C’est le marché, au fond, qui décrète ce qui est « bon » ou pas dans l’art abstrait, sur des critères totalement arbitraires.
« Mes peintures ne sont que les cendres de mon art » – Yves Klein
Pat V dit:
C’est qui qui décrète que ce que fait Klein est de l’art et non pas de la fumisterie?
Bonsoir, Janssen J-J,
« Un livre de femmes » ? C’est pour Le Clézio car en ces années-là il a vécu avec son frère uniquement avec sa mère et sa grand-mère, et son grand-père. Le père était absent, bloqué en Afrique. Donc c’est d’elles qu’il parle, par rapport à elles. Elles ont été son roc, sa citadelle, sa protection quand la guerre est venue bouleverser leurs vies.
Mais les lecteurs sont tous bienvenus !
« Je suis né à Nice le 13 avril 1940. Les cinq premières années de ma vie, je les ai vécues dans une guerre. […]
Les enfants ne savent pas ce qu’est la guerre. Je ne me souviens pas d’avoir entendu ce mot, tout le temps qu’elle a duré, ni même dans les années qui ont suivi. Pour eux, tout ce qui arrive est normal, ils ne se doutent pas que leur vie pourrait être autrement.[…]
Ma grand-mère était une femme forte. Elle n’avait pas facilement peur.[…]
Quand je suis né, mon père a demandé à ma mère que je sois déclaré au consulat des États-Unis, puisqu’il n’y avait plus de représentation britannique. le consul des États-Unis est irlandais. […] C’est lui qui prévient ma mère : « les Allemands arrivent. Il faut partir, vous cacher quelque part, vous risquez la déportation en camp de concentration, vous et toute votre famille. » […]
Le refuge, c’est le petit village de Roquebillière, dans l’arrière-pays niçois. Pourquoi ma mère et ma grand-mère choisissent-elles ce village ? […] Est-ce que les habitants de ces villages ont fait preuve de compassion ? […] la solidarité a été totale. Il n’y a même pas eu de dénonciation, ni même d’objection.
[…]
Mon père, à huit mille kilomètres de là, en Afrique, ne sait rien.. […] Dans un pays défait comme la France en 40, il n’y a plus de solidarités, plus de lois, plus de dignité. […]
Mais d’avoir passé les premières années de mon existence au milieu de femmes a certainement changé l’idée que je peux avoir d’une guerre. […] On ne parle pas des femmes. […] les femmes et les enfants sont des éléments collatéraux de la guerre. […] Ils ne sont pas des victimes, ils sont des dommages. Ils ne seront jamais des héros. […]
Vivre la guerre au milieu des femmes, c’était à la fois inquiétant et très doux. […] Elles étaient soumises à la guerre comme elles pouvaient l’être, à cette époque, à l’autorité absolue des hommes. […]
Mais c’était doux aussi. Certainement très doux. »
Voilà, JJJ. Bonne soirée.
DHH, dit: « @christiane
sur le rôle de Vichy dans la solution finale […] »
Merci, DHH. Terrible…
Hamlet,
« sur le Larzac : début des années au lycée tout le monde lisait Giono pendant la récréation, après le Clezio a repris le flambeau du grand retour à la terre, avant d’aller vivre avec les indiens, fou comme avec le recul tout cela parait caricatural… on avait plus ou moins tous un pote parti élever des chèvres vers le Larzac, et qui au premier hiver, a failli mourir de froid. »
Joli souvenir !
Merci à nouveau Ch., J’ai encore plus envie de le lire.
NB/ Souffrez-vous ou pas trop du confinement parisin ou normand ? Le parc de Montsouris est-il réouvert ?
Bonne soirée.
Pablo, un post relatif au substrat n’est pas passé, l’ai envoyé à Passou : à un moment il sera en ligne.
hamlet dit: « christiane, merci, marrant j’avais en mémoire qu’il avait aussi écrit dans le journal «je suis partout».
Apparemment C’est Brasillach qui y écrivait. (Cité par Simone de Beauvoir dans la revue « Les temps modernes ». Voir ce document :
https://www.persee.fr/doc/mots_0243-6450_1998_num_54_1_2329
Ah, Ch. je voulais vous poser une question que j’oublie toujours au vu de votre dernier message. Et là je la tiens.
Vous recopiez de très longs passages qui vous ont plu dans un bouquin qui vient juste de sortir. Comment faites-vous ? est par le biais d’un un copié-collé provenant d’une liseuse ? Ou d’un recopiage intégral à même le livre papier (ce qui serait héroïque).
Je vous supplie de me dire la vérité, ça me tracasse depuis très longtemps. Merci par avance.
Janssen J-J dit: « Souffrez-vous ou pas trop du confinement parisien ? Le parc de Montsouris est-il réouvert ?
Bonne soirée. »
Bonne soirée aussi.
Non, je vis paisiblement et n’utilise même pas toujours l’heure quotidienne autorisée pour faire des achats et se promener.
Lecture, peinture, bricolage, couture, communication occasionnelle avec mes proches par internet ou téléphone. Radio, télévision. Musique…
Le monde me fait mal par les nouvelles de ces chagrins, de ces douleurs, de la faim et de la pauvreté mais intérieurement, je suis paisible. Je pense souvent à la banlieue que j’ai quittée, à ces familles serrées dans les HLM.
Le parc est fermé mais partout la nature s’éveille. Les arbres du quartier et de la rue sont magnifiques et le matin est fou de merles.
L’orage était beau tout à l’heure.
J’aime les poésies de Raymond Prunier. Elles sont apaisantes malgré la tristesse qui les nimbe.
Jansen J-J,
un copié provenant d’une liseuse : oui. Fort utile ! car la poste dessert mal. Ma plus grosse dépense : les livres !!!
Et « mes » livres, partout des livres mais moins que sur la photo choisie par Passou, du moins pas tous entassés ! Et mes carnets…
JJJ,
mais je recopie mot à mot tous ces textes en tapotant sur mon clavier ! (peu de copié-collé.)
@christiane
une coquille dans mon post
lire « Laurent Joly :Vichy dans la solution finale
Ils ont inventé une nouvelle couleur pour repeindre: orange.
Vert orange rouge, les couleurs de la France de mai 2020.
Les copains de deachach vont apprécier :
Coronavirus : la délation explose en Allemagne.
Les parisiens ont repris leurs bonnes vieilles habitude…
Ce soir je vois la vie bleue comme une orange .
« C’est qui qui décrète que ce que fait Klein est de l’art et non pas de la fumisterie? »
et si c’est moi qui écrit ce genre de truc on va dire que je suis lourdingue…
christiane, ok merci, Brasillach en était (je crois) le rédacteur en chef. Giono s’est probablement fait récupérer par des gens mal intentionnés, avec son thème du « retour à la terre » devait rentrer dans leur créneau, et lui, « brave type pacifiste » qu’il était s’est laissé embobiner.
That epidemic, known as the Spanish flu, or “the Spanish Lady,” did not originate in Spain. Its first victims were U.S. soldiers stationed in Kansas who had recently returned from the European battlefields.
According to historian of epidemics John Barry, “By the old naming conventions, the 1918 Spanish flu probably ought to be known as the Kansas flu.” Barry’s history of the epidemic, The Great Influenza: The Epic Story of the Deadliest Plague in History, notes that “ the first identifiable cases arose in Haskell County, Kansas. They soon spread to Fort Riley, from there to other military bases, and then to Europe in troop ships. France, Germany, and Britain had war censors controlling news reports; Spain did not. Spain got the blame.” By not obscuring the truth about the number of victims, Spain—at least in the popular imagination—got the blame
was known in Yiddish by many names: grippe, flentsye (a contraction of “influenza”), mageyfe (in Hebrew, plague), and in translation from the English as Shpanke, “the little Spanish one.”
But I find the more poetic “Menshen-fresser,” applied to the sequence of epidemics of the early 20th century—TB, polio, cholera, and influenza—the most powerful.
A Yiddish song titled “Menshen-fresser” was one artistic response to the epidemics that preceded and followed World War I. The song’s poignant lyrics, written by Shlomo Shmulevitz (Solomon Small) ask:
Mikrobn batsiln vos vilt ir?
Zogt vemes shlikhes derfilt ir?
Ir frest di korbones gor on a rakhmones,
in bliyende lebn nor tsilt ir!
Microbes, bacilli, what do you want?
Whose mission are you carrying out?
You gobble the victims mercilessly,
you aim only at blooming lives
Yiddish Plague Songs
American penny tunes captured the enormity of early 20th-century epidemics
BY
SHALOM GOLDMAN
https://www.tabletmag.com/sections/arts-letters/articles/yiddish-plague-songs
www.http://img.over-blog-kiwi.com/0/75/75/33/20180511/ob_eccab3_saints-de-glace.jpg
Merci pour les extraits de Le Clezio, Christiane. On croirait lire les souvenirs d’enfance de Jazz, juste avant le baby boom !
Le thème de la mère et de la grand-mère des écrivains est récurrent dans la littérature…
Ce soir c’est la nuit de la Walpurgis.
ce que fait Klein est de l’art et non pas de la fumisterie?
Sur la photographie envoyée par Pat V, ça fume!
>D.
Mamert
Pancrace et Gervais
Année LvB, Quintetto per archi in do maggiore « Letzter musikalischer Gedanke », WoO 62 :
« Le thème de la mère et de la grand-mère des écrivains est récurrent dans la littérature… »
oui, et autrefois aussi dans les cuisines, mais pas dans les familles d’écrivains où d’autres que ces mères et ces grands mères récuraient à leur place, ce qui permettait de récurer dans les livres de leurs enfants.
Jazzi dit: à
« « oui y’a pas beaucoup d’homosexuels dans l’opéra wagnérien. »
Là encore tu te goures, hamlet ! »
Et dans La Nuit des rois de Shakespeare, qu’elle m’a dit Maya.
Ça devient un blog lgbt ici.🥵
Avec, la dernière, des livres de mecs et/ou des livres de femmes.
Help.
Ayutayo.
« on avait plus ou moins tous un pote parti élever des chèvres vers le Larzac, et qui au premier hiver, a failli mourir de froid. »
Est mort de froid Hamlet.
La Lozère le pays où maintenant faut aller s’installer. Avec de grosses chaussettes en laine des Pyrénées.
Soleil vert dit: à
rose dit: à
avec l’ETA. Les corses sont plus clairs sur leurs allégeances, notamment JJ Rousseau.
Jean Jacques Rousseau est corse ?
Il a rédigé un projet de constitution pour la Corse
Mais, que lui a t’il pris ?
Il est tombé amoureux d’une bergère dans le maquis qui voulait apprendre le grec ancien comme M.Conche ? Marcel.
Jeudi 30 avril.
Ah, je nous suis crus vendredi 30 avril. Il reste demain poir qqn courriers importants. Merci pour ce jeudi j’avais sauté à pieds joints dessus.
Christiane
Un temps Giono a été emprisonné à Marseille dans un fort/prison près du Vieux Port où après questionnement il aura été relâché.
Pat V
La thématique était le tas. Nous avons eu le même souvenir jailli dans la pupille 🙃
Je trtouve un peu légère cette critique du travail de Renato, si ce dernier ressemble à ce qu’il en montrait naguère sur feu son blog. Mais peut-etre n’y est-on pas allé voir.
Que le classement du JD A ne soit qu’un classement, on le sait. La question serait pourquoi titre-t-on sur des artistes français connus 5boltanski, Attia Pasqua, et tous ces pompiers de l’Arrière Garde et ne parle-t-on jamais de ce qui se fait en jeune peinture, ou en maitres étrangers?
Le JDA n’est pourtant pas ce qu’il y a de pire en la matière. Mais aucun journal jusqu’ici, si spécialisé soit-il, n’a fait l’Histoire de l’Art. Le problème est peut-être là.
MC
Demain c’est le 1er mai, c la fête de Marine Le Pen et François Asselineau aux pieds de la statue équestre de Jeanne d’Arc (Paris 1er). Sait-on si le PPP a autorisé cette manifestation annuelle cérémonielle ? Bàv
Demain c’est le premier mai. Un long week-end de trois jours que l’on va passer à la mai son. 👫👣💇♂️💇♀️🤴👸👨🚀👩🚀👨🍳👩🍳👨🎓👩🎓👣🙆♀️🙆♂️.
Aujourd’hui, c’est comme gendredi soir puisque demain personne ne travaille.
Faudrait que j’aille couvrir mes semis iais je n’ai pas le courage. Aglagla. Demain je les rentrerai jusqu’au 12 mai. Fin des saints de glace.
On dit que Sénèque fut exilé en Corse, j’ai même visité la tour génoise qui porte son nom, quelque part au mitan du Cap corse. JJR n’en fait pas mention dans son projet de constitution, contemporain à son au autre projet de constitution pour la Suisse…
PS
Si Loti est coupable pour raison chronologique, alors que dire de ceci
« Faut-il que vous soyez tous assez bêtes pour avoir pris « Méditation sur le Suicide par un de mes amis » par Monsieur Je ne Sais plus comment… Cet article pourrait-être écrit par le larbin de Barrès. avec cela, il respire une indulgence à l’endroit des usuriers, des billets, des emprunts, qui ne peut que déshonorer la Rédaction… Comment un Monsieur, dégouté de tout, désabusé de tout, (attitude pour laquelle l’auteur professe une admiration irritante, qu’il croit évidemment tout à fait distinguée et intelligente) emprunterait-il de l’argent, signerait-il des billets, aurait-il recours aux usuriers? -Maintenant tu me diras peut-être que mes articles sont pires….Mais écrire cela sur la mort! Moi qui ait refusé à un officier il y a quelques années des articles militaires! C aurait été mille fois mieux, et moins compromettant. Je suis désolé pour le Journal de cet article.
Ton affectionné; Marcel;
Monsieur « Je ne sais plus comment » est tout simplement Léon Blum!
Bien à vous.
MC
Du côté de Manosque, entretiens de Jean Giono avec Jean Carrière. 1965
– Jean Carrière : Vous avez bien connu l’auteur des Nourritures terrestres…
– Jean Giono : Oui, Gide, bien sûr.
– Est-ce que vous les aviez lues ?
– Eh bien non. Et il n’y a jamais eu de malentendu avec Gide. Gide lorsque je l’ai vu pour la première fois, Gide est venu à Manosque me voir. Je ne l’avais même pas rencontré à Paris. Je l’avais vaguement aperçu dans la boutique d’Adrienne Monnier, mais à peine. Je ne lui avais même pas été présenté.
– C’était en quelle année ça ?
– C’était en 29 ou… Fin 28, oui.
– Est-ce que vous aviez publié quelque chose à ce moment-là ?
– Colline venait d’être publié dans la revue Commerce et Gide avait beaucoup aimé le texte et s’était promené avec la revue Commerce dans sa poche. Il avait fait dans les salons de Paris qu’il connaissait et qui le recevaient beaucoup de réclame autour de ce livre qui allait paraître. Et autour de ce personnage qui était moi, qu’il ne connaissait pas et que je ne connaissais pas non plus. Alors Gide est venu un jour. J’étais encore employé de banque. C’était peu de temps après que je sois allé à Paris pour la signature de mon service de presse de Colline. J’étais à la banque en train de travailler lorsque ma mère vint me trouver et me dit : « Il est venu un monsieur qui te demande à la maison. Il s’appelle Gide. » J’ai dit : « Ah ! c’est André Gide, alors fais-le monter dans ma chambre, fais-le assoir et dis-lui que malheureusement je travaille et que dans trois quarts d’heure je serai libre et je le verrai. »
Trois quarts d’heure après je suis monté chez moi et j’ai trouvé Gide en train de regarder les livres dans ma petite bibliothèque. Et il m’a dit, très gentiment d’ailleurs : « Je n’ai pas trouvé les miens ». Et je lui ai dit : « Non, vous ne les trouverez pas, je ne les ai pas achetés, cette bibliothèque est une bibliothèque que je me suis composée avec beaucoup de peine à une époque où je gagnais très peu d’argent. Je pouvais disposer à peu près de cinq francs par semaine : je ne pouvais pas acheter les livres de M. André Gide qui coûtaient sept francs cinquante. Mais j’achetais par contre les classiques Garnier qui coûtaient 95 centimes, c’est pourquoi j’achetais Euripide, Aristophane, Corneille, Cervantès, Shakespeare et Diderot au lieu d’acheter André Gide. »
Mais il s’en est accommodé très bien et par la suite quand je l’ai beaucoup plus connu, que je l’ai fréquenté et qu’il est venu souvent à la maison, notamment tout un été qu’il a passé avec moi à Lalley, avec sa fille Catherine, à ce moment-là il n’y avait plus de malentendu : il savait que je ne lisais pas ses livres ou très peu. J’aimais beaucoup l’homme. L’homme pour moi était très précieux, très honnête, très courageux, extraordinairement intelligent et compréhensif. L’œuvre me paraissait être une œuvre de dilettante qui m’était un peu étrangère et un peu éloignée. Cela tenait peut-être à mon tempérament, beaucoup plus à mon tempérament qu’à l’œuvre de Gide-même. Parce que je n’étais pas préparé à recevoir le message que Gide portait dans ses livres.
– Alors justement est-ce que vous ne pensez pas que ce message a fait plus de mal que de bien ?
– Non. Non, non, non. Gide n’a pas fait de mal du tout. Gide ne pouvait pas faire de mal. Il ne pouvait faire de mal qu’à ceux qui avaient déjà le mal. L’influence finalement est très petite. L’influence des écrivains est beaucoup plus petite que ce qu’ils imaginent.
[…]
– Vous avez des souvenirs sur Gide qui sont très intéressants, entre autres un souvenir…
– Non, non. Parce que je n’ai pas pu le fréquenter beaucoup étant donné que j’ai toujours été mal à mon aise avec lui. J’avais beaucoup d’admiration pour lui, ce qui fait que je ne me suis jamais trouvé en grande sympathie, en grande liberté. J’avais des amis qui avec lui étaient à leur aise et qui n’avaient pas plus de raison que moi d’être à leur aise. Mais moi je n’ai pas pu être à mon aise avec Gide.
– Bien que vous sachiez alors qu’il vous portait une grande sympathie et…
– Oui bien qu’il m’aimait beaucoup et que moi je l’aimais beaucoup. Néanmoins il est venu – cette fois là c’était avant de partir pour la Russie où j’étais moi-même invité d’ailleurs et où j »ai été remplacé par Dabit qui y est mort. Gide est venu passer le mois qui a précédé son départ avec nous à Lalley, dans la montagne où j’étais avec ma mère, ma femme et mes deux filles.
– Et Denoël je crois non ?
– Non, Denoël est venu après. Je l’avais connu à Briançon et il m’avait demandé de l’inviter avec Gide et je l’ai invité après et il a connu Gide chez moi.
– Vous m’avez raconté une fois une histoire qui est très charmante. C’est l’histoire d’un type que vous aviez connu dans un village et qui prenait l’apéritif avec vous…
– Ah oui ! C’était un personnage qui s’appelait Bergues. Et Gide jouait aux échecs, comme tu sais, comme tout le monde sait. Il a joué quelques parties avec moi, qu’il a gagnées, toujours. Il était beaucoup plus fort que moi, moi je n’ai jamais été un très fort joueur d’échecs, d’autant plus que je me bornais souvent à jouer des problèmes avec un petit échiquier de poche, et que jouer le problème et jouer la partie c’est tout à fait différent. Étant habitué à jouer le problème je perdais toutes mes parties avec Gide. Mais je lui ai dit un jour : Il y a un garagiste là qui s’appelle Effantin, qui sait très bien jouer aux échecs et vous pourriez faire avec lui des parties plus intéressantes qu’avec moi. Il m’a dit oui, ça me plairait beaucoup. Alors nous sommes allés voir Effantin qui était un personnage très curieux qui avait installé un garage extraordinairement épatant sur une route où il ne passait personne, volontairement. Dans une espèce de cul-de-sac où il ne passait personne, il y avait un gros garage, où naturellement il a fait faillite et d’où il est reparti. Mais en ce temps-là il venait jouer aux échecs avec Gide. Alors ils jouaient dans un petit café et dans ce village il y avait un braconnier que j’aimais beaucoup qui s’appelait Bergues, et dont je me suis servi comme personnage dans Un roi sans divertissement. Ce Bergues était un personnage très curieux car il connaissait toutes les plantes médicinales de la forêt et il vivait de ces plantes médicinales, il savait où se trouvaient les plantes recherchées et très chères, il en ramassait des paquets et allait les vendre dans les pharmacies de Grenoble. Et il gagnait beaucoup d ‘argent. Il était chargé de ramasser de la scabieuse, des plantes encore plus rares qui se trouvaient dans la montagne, de l’arnica, des trucs très curieux… Il connaissait toute sa forêt comme sa poche. Mais il était aussi un pêcheur. Il pêchait la truite à la main dans les ruisseaux. – j’allais quelques fois avec lui – et il pêchait aussi les grenouilles. Et il avait sa poche souvent pleine de grenouilles, il aimait avoir des grenouilles. Il avait un vêtement en cuir avec des poches en cuir et il mettait des grenouilles là dedans. Il s’intéressait beaucoup à ce jeu qui lui paraissait curieux qui était ce jeu d’échecs sur lequel on déplaçait des petits pions, les uns se déplaçant à côté, les autres en arrière. Enfin il était très intéressé par le jeu tout en n’y comprenant rien.
Alors il s’installait à côté de Gide. Et Gide jouait avec Effantin. Et il disposait sur le marbre de la table trois grenouilles. Ces trois grenouilles restaient tranquilles parce que le froid du marbre leur faisait sans doute penser à l’eau qu’elles avaient abandonnée depuis un moment, elles s’étaient un peu échauffées dans la poche de Bergues et elles se tenaient tranquilles toutes les trois accroupies. Elles ne bougeaient plus. Bergues regardait le jeu. Il avait à côté de lui son verre d’anis et de temps en temps il prenait une grenouille, vivante, et il l’avalait et la faisait passer avec un verre d’anis, et il continuait à s’intéresser. Et Gide était bouleversé par ce spectacle de ce bonhomme avalant des grenouilles et chaque fois qu’on avait fini la partie il me disait : « Je déteste cet homme, je déteste cet homme ! » Mais il n’était pas possible de faire partir Bergues et chaque fois que Gide a voulu jouer dans ce café avec Effantin, il y avait toujours Bergues qui avalait ses grenouilles à côté de Gide. Finalement ils sont venus jouer aux échecs chez moi.
Ce soir ce n’est pas du tout comme un vendredi soir, puisque le vendredi soir est une transition de Vénus vers Saturne. Alors que ce soir c’est une transition de Jupiter vers Vénus. Excusez-moi, Rose, mais il faudrait davantage vous ouvrir aux réalités astrales et cosmologiques.
D. dit: à
« Ce soir ce n’est pas du tout comme un vendredi soir, puisque le vendredi soir est une transition de Vénus vers Saturne. Alors que ce soir c’est une transition de Jupiter vers Vénus. »
Néanmoins, demain est férié. Suis allée couvrir tout l’monde…Faisait très froid. Demain retour au chaud.
Savoureux extrait, de nota. Denoël copain de Giono, voilà qui ne va pas arranger les choses ! Quant au spectacle du bouffeur de grenouilles, y a de quoi vous rendre végan !
Quel était le rôle politique de Jean Jacques Rousseau pour porter le projet d’écriture de constitution ?
Ici à Paris il ne fait pas froid. 11 degrés.
On aura 15 demain en journée. Pour une fois un climat parfaitement normal pour la saison. Alors qu’il était parfaitement anormal il y a 4-5 semaines avec des 25 en journée et 19 la nuit fin Mars ! Et une absence prolongée de précipitations au point que les pelouses étaient jaunes il y a seulement 2 jours ! Elles commencent seulement à reverdir.
« Quant au spectacle du bouffeur de grenouilles, y a de quoi vous rendre végan ! »
Dans Les Récits de la demi-brigade, Jacques, l’usurier qui avale son repas produit le même effet.
>de nota
Dans 1900 de bertolucci le garçon Olmo fils du mértayer qui mange des grenouilles.
Dear Baroz, il doit s’agir de Jean Denoël et non pas de Robert Denoël. Plaisant rappel servi par DeNota sur un verbatim oublié par les gloseurs.
Aujourd’hui une page du « Monde des livres » consacrée au dernier livre de Mme Sinclair, fruit « d’une recherche très documentée », écrit le grouillot. 126 pages, ce livre.
Dans le Journal de Renard, le vieux qui écorche des carpeaux dans sa cuisine. Dans un premier moment, Renard, qui regarde depuis la rue, croit qu’il épluche des pommes de terre.
Et merdre ! carpeaux > crapauds
c’était à prévoir, vous préférez les sculpteurs aux batraciens, dear Renato
« Car le bonheur n’est qu’un bâtard miraculeux de la chance, qu’il faut accepter sans demander d’où il vient ».
Robert Brasillach ( Comme le temps passe ).
Ils l’ont fusillé les salauds.
Brasillach est toujours vivant dans le coeur de ses lecteurs. IL EST PARTOUT. Vive Brasillach !
« Cette fois, mon coeur, c’est le grand voyage,
Nous ne savons pas quand nous reviendrons;
Serons-nous plus fiers, plus fous ou plus sages ?
Qu’importe, mon coeur, puisque nous partons… ».
Jean de La Ville de Mirmont
( Cité par Robert Brasillach dans son émouvant roman « Comme le temps passe… » ).
Proust n’aimait pas Blum. N’est-ce pas à Berl qu’il a dit : »Vous êtes bête comme Léon Blum ».
A propos de Gide, je vois que je suis sans le savoir du même avis que Giono.
Rose Ce seraient Paoli et de Butta Fuoco qui auraient proposé chacun de leur coté à Rousseau cette Constitution. Sans doute avaient-ils en tete la phrase du Contrat Social « J’ai idée que cette petite ile étonnera l’univers ». Mais, selon Confessions XII et les Lettres à Butta-Fuoco, l’entreprise est mise en veilleuse.
Bien à vous.
MC
lire: mise en veilleuse jusqu’en 1768. Et pas toujours reprises dans les Oeuvres dites complétes du début Dix-Neuvième siècle. Calquer la Corse sur la Suisse en y rajoutant une mystique égalitaire avait de quoi faire fuir les Contemporains.
Vendredi 1 mai 2020, 5h15
…euh…non….rien ! Un jour comme un autre.
Merci Soleil vert d’avoir initié des petites recherches sur JJ Rousseau et le projet de constitution Corse.
René Cassin a lui, participé à la rédaction de la constitution de la Veme république, dans des circonstances qui pourraient être considérées comme des pratiques clandestines, comme pour des réunions du flnc , loi, ou plus justement d’un réseau de résistants.
« Dans une lettre du 25 octobre 1985, l’amiral Philippe de Gaulle confirme que les archives de son père sont vides : « Je viens encore une fois de vérifier si les archives personnelles du général de Gaulle contiennent des documents intéressant l’élaboration de la Constitution de la Ve République. Je dois malheureusement vous confirmer la négative. »10 Les inventaires publiés depuis confirment ce constat. Le volume Archives du général de Gaulle (1940-1958)11 ne prend pas en compte la période qui commence le 1er juin 1958. Le volume Archives de la Présidence de la République. Général de Gaulle (1959-1969)12 commence, fort logiquement, avec l’installation du Général à l’Élysée, le 8 janvier 1959. Le chercheur y trouvera l’écho des évolutions et crises constitutionnelles des années 1959-1969, mais presque rien sur les mois de juin à octobre 1958.
4Cette situation suscite curiosité et interrogations. Elle s’explique probablement par le processus mis au point pour l’élaboration de la Constitution. La cheville ouvrière de toute cette œuvre, réalisée dans un temps très court (trois mois), est Michel Debré, Garde des sceaux, ministre de la Justice. Il préside et anime un groupe de travail et, surtout, assure la liaison avec le président du Conseil et le comité interministériel13 qui, autour du général de Gaulle, comprend les ministres d’État, lui-même et René Cassin, vice-président du Conseil d’État. Les réunions ont lieu, en général le soir, dans le bureau du Général à Matignon. Georges Pompidou, directeur du cabinet, et Roger Belin, secrétaire général du Gouvernement, y assistent également. »
L’article de wiki est moins tordu que les conditionnels suppositoires de Dr Court.
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Projet_de_constitution_pour_la_Corse
Boeing refuse l’aide fédérale et envisagerait une importante émission d’obligations pour redresser ses comptes.
Un merci hors champ à J. Drillon. Magnifique vue de San Giulio, et de la Madonna del sasso.
Où l’on découvre Jen Jaxques Rousseau au secours de la Corse.🏖
Jean Jacques Rousseau.
Soleil vert 😊
1er mai 2020, 8h04
Un jour pas comme un autre
Renato
Représentation iconique c’est comme on reste à la maison, manere manere, pléonastique.
Ou pléonasmique.
Ouvrabt les vokets vu la bâche sur citronniercet clémentinier et toiles de jute sur voiles d’hivernage sur cagettes sur semis.
Me suis endormie congelée 🥶 les mains les pieds. Ça m’a réussi. Ai dormi.
Marie Sasseur dit: à
1er mai 2020, 8h04
Un jour pas comme un autre
Elle s’est mis un bol sur la tête un peu petit.
RAOULT DERECHEF
Dans la crise sanitaire, deux camps : Les anti-Raoult, et les pro-Raoult. Qui me lit ici et ailleurs le sait. Depuis le début et jusqu’à ce jour, je suis totalement persuadé que les deux médicaments qu’il prescrit aux patients atteints par ce virus devraient pouvoir être prescrits par tous les médecins généralistes qui le souhaitent et devraient pouvoir être donnés à leurs clients par tous les pharmaciens français.
Or, le ministre de la Santé, M . Véran, par un décret l’INTERDIT ! Ces deux médicaments, prescrits depuis des décennies en France, et actuellement autorisés dans le monde entier ont prouvé leur utilité à Marseille dans l’Institut du professeur Raoult sur des milliers de malades. Le chef de l’Etat est allé rendre visite pendant trois heures à ce professeur et a, paraît-il, compris toutes les explications, chiffres à ‘l’appui, qui lui ont été données. Mais la situation reste bloquée. La doctrine du Premier ministre et du ministre de la Santé ne change pas. On continue à seriner qu’il n’y a PAS à leur actuelle de médicaments pour ce virus !Le second du ministre donne tous les soirs les chiffres (nombre de morts, d’entrées, de réas,…) : c’est tout. Les adversaires de Raoult ont pignon sur rue et sont invités dans tous les débats : Marcel Ichou, Michel Cymes, Karine Lacombe , etc. Bien des gens sont décontenancés et ne savent quel camp choisir. Le nombre de morts, pendant ce temps-là, est toujours (trop) grand.
On pouvait voir jusqu’à jeudi dernier des dizaines de vidéo, sur YouTube, où le Pr Raoult, dans son bureau, répondait aux questions d’un de ses adjoints, dont on ne voyait pas le visage, et bien des gens se disaient : Mais pourquoi Raoult n’accepte-t-il pas de répondre longuement à un éventuel contradicteur ? Eh bien ,c’est fait ! L’événement a eu lieu hier soir : Une journaliste, bien connue, s’est déplacée de Paris à Marseille et lui a posé une foule de questions une heure durant. Je suggère à tout le monde de trouver cet entretien (BFM , 30 avril). Si vous hésitiez entre les deux thèses, je pense que vous serez enfin éclairé.
Une dernière remarque. Je regrette, je le dis amicalement, que cet éminent professeur (« nobélisable » (Renaud Muselier) ait passé toute cette heure à se triturer les poils de la barbe.
Tout conseiller en communication le lui aurait dit. On ne voyait que ça.!Il a relevé aussi dix fois es cheveux longs . S’il pense avoir médicalement raison, et il le pense, il devrait souhaiter être le plus persuasif possible : ce b a ba de la communication lui manque. Quel dommage ! Aucun conseiller ou ami n’a eu le courage de lui dire ?
Tous les curieux, amoureux de la vérité, savent de multiples sources médicales que :
– la barbe de ce cher Pr Raoult est pleine de bouffe ayant raté l’entrée naturelle buccale
– que sa chevelure à la Belloubet abrite des insectes affamés qui y ont trouvé refuge.
Ceci explique ses incessants tripotages de l’une et de l’autre….
« Sans amis, sans appuis, sans argent, sans armée, asservis à des maîtres terribles, seuls vous avez secoué leur joug. Vous les avez vus liguer contre vous, tour à tour, les plus redoutables potentats de l’Europe, inonder votre île d’armées étrangères : vous avez tout surmonté… Il s’agit moins de devenir autres que vous n’êtes, mais de savoir rester vous-mêmes. »
Quelle plume ce Jean Jacques !
« Tout conseiller en communication le lui aurait dit. On ne voyait que ça.!Il a relevé aussi dix fois es cheveux longs . S’il pense avoir médicalement raison, et il le pense, il devrait souhaiter être le plus persuasif possible : ce b a ba de la communication lui manque. Quel dommage ! Aucun conseiller ou ami n’a eu le courage de lui dire ? »
La barbe c très laid.
Merci à ceux qui dérogent à la règle. Admise temoorairement chez quelques aventuriers en passe de découvrir l’Amérique. Rentrés à la maison, Gilette.
Nota bene : son look provocateur, dès qu’il ouvre la bouche m’importe peu. Les cheveux deux cm de moins, ça passerait mieux. Le souci à mes yeux est que ça fait négligé. Or, tout dabs ses paroles et ses actes (pas lu ses écrits) dit le contraire.
Nota bis : Marseille en pôle position classee en département orange. Mon département, limitrophe, sept morts dont bcp ds l’EHPAD mouroir du pays classé aussi en orange. 45 hospitalisés.
Ma kalach sous mon lit.
Sur l’île San Giulio on peut visiter la maison de vacances de Cesare Tallone, l’accordeur de Michelangeli et Toscanini. D’un lac à l’autre, Piero Chiara, ecrivain de Luino, a dedié une belle page —
L’Accordeur — à ce « fabricant de constructions sonore » comme l’a defini D’Annunzio — Tallone accordait le piano du Vittoriale à Gardone Riviera —. Bon, l’Immaginifico emploie le mot « artefice » (du latin artĭfex -fĭcis : ars artis – facĕre), mais acceptons cet imprecis « fabricant ».
Je crois que c’est très doux de se caresser la barbe. Ce doit être apaisant.
(1.5.20, 8.43 / Du muguet, un brin, pour nos ehpad)
Bonjour, Je vous préviens qu’aujourd’hui, va pleuvoir toute, mais je ne vais pas me « défiler » pour autant. Je vais étudier la carte vert-orange-rouge et ça va barder ! Vous demande à toues.tes de crier « plus jamais ça »… à la RDL. Mort aux cons !
(NB 😉 Je sais, n° 57, ça fait beaucoup en une seule fois, je sais, je sais, je sais !… Comprends aussi que vous ayez pu être effrayé par mes incessants appels fraternels au meurtre. Mais je vous rassure fissa, avez eu raison de ne point vous sentir trop concerné, hein !).
Justement, rose, icastique est une « expression » déjà accomplie d’un point de vue informatif. Évidemment, je peux comprendre le choix de la redondance.
de la part de Renato :
Vous pouvez jeter un coup d’œil ici, Pablo.
http://indexgrafik.fr/paul-klee-notebooks/
À pied de page link vers :
– Notebooks vol. 1: The Thinking Eye
– Notebooks vol. 2: The Nature of Nature
– Pedagogical Sketchbook
– Son cahiers utilisé pour ses cours au Bauhaus durant les années 20
Enfin bref, cette carte n’est pas encore « cristalisée ». Elle le sera le 7 mai, quand les barrières départementales face au virus seront bien fixées (tels ces murs infranchissab’ à la frontière américano-mexicaine ou israelo-palestienne).
https://www.sortiraparis.com/actualites/coronavirus/articles/216259-coronavirus-le-bilan-meteo-covid-la-premiere-carte-par-departement-enfin-devoile
« Quelle plume, ce Jean-Jacques » (Soleil Vert)
Quelle ordure, ce Rousseau là ! Plus facile de bavasser de la plume que d’élever les 5 enfants qu’il a abandonné aux ENFANTS TROUVES, ce salaud !
Le post « Cesare Tallone » en relation au video mis en ligne par Drillon.
Renato
Merci pour Klee 🥰
Bon,… donc on peut passer par le canal perso de PA pour faire accéder à des documents qu’on ne pourrait pas mettre en ligne, à cause du blocage du robot… (des documents en ligne de deux fois 600 pages… Du jamais vu sur cette chaîne ! (bravo, Renato – Klee)
Ah ! mais c que ça nous intéresse drôlement. Très bon à savoir…
Bonjour Pierre, quelles sont les conditions à respecter pour que vous puissiez donner une suite favorable à semblables autre demandes sans être immédiatement éconduit ?
Merci d’en avertir la communauté erdélienne à ce sujet, tous du côté des travailleurs fraternitaires plutôt que du patronat, aujourd’hui, en ce jour férie qui nous appartient.
Bien à vous et à votre charmante famille.
On voit l’atelier de Paul Klee, ses toiles posées sur chevalet ; on le voit avec son père, professeur de musique, qu’il suivra dans la mort après qq.mois en 1940.
Vaut le coup d’aller sur grand écran de l’ordi.
On ne fout rien de rien, nous autres les Erdéeliens hors sol en ce premier mai ayant perdu toute signification autre qu’incantation vaine …
! On ne va tout de même pas célébrer un Premier Mai pourri par les travailleurs/travailleuses à l’arrêt, et se mettre à rigoler aux côtés des crapules à la Philippe Martinez, le fasciste syndical communautariste stalinien.
Je sais bien que le cégétovirus attaque le cerveau, mais tout de même !
« Vous demande à toues.tes de crier « plus jamais ça »… à la RDL. Mort aux cons ! » (JJJ)
Est-elle folle, cette Gigi ! Crier en RdL « Mort aux cons », c’est condamner 99% des contributeurs…
Selon George Sand — Les Charmettes — les enfants n’étaient pas de Rousseau, mais de Thérèse et d’autres hommes. Elle affirme que Rousseau s’était faussement accusé pour culpabilité envers sa femme — Sand cite sa grand-mère, dans la famille de laquelle Rousseau avait été tuteur, et qui lui avait dit que JJR était stérile, qu’il ne pouvait pas avoir d’enfants à cause d’une maladie vénérienne.
Puis il y aurait la question de là schizophrénie. Si c’est vrai, il faut apprecier à sa juste valeur sÀ decision de confier les enfants à l’assistence publique.
Très bien, Jissé, vous vous êtes senti concerné, c’est ce à quoi je m’attendais.
Merci Philippe : vive le 1er mai
(nous icite, est en zone verte : on peut don aller vendre du muguet à la sauvette pour améliorer nos fins de mois).
Je ne connaissais pas cette interpratation de l’affaire Rousseau/Levasseur… Elle me semble un brin extravaguemment capilotractée. A-t-on eu au moins connaissance de l’identité du géniteur de Thérèse, MC ?
Quant à la stérilité de Jean-Jacques liée à une MST… là encore !… Et pourquoi pas liée aux fessées de Mme de Warens, penant qu’on y est ? – N’importe quoi ce matin, sur cette chaine…
(Je rappelle qu’on est le 1er mai, pas le 1er avril… Les premiers dégâts empiriques du confinement virtuel ?).
Célébrer le Premier Mai ! En plein ramdam ! On peut manquer de tolérance religieuse, mais à ce point là !!!
Il faut être gigitant infecté pour se permettre une telle énormité normée.
@ très doux de se caresser la barbe
Tout dépend laquelle…, et en cas de cunnilingus, beaucoup d’épilées intégrales n’en sont pas convaincues, d’après mon expérience.
@ le ramdam du Ramadan, Tariq ?
@ gigitant – énormité normée § ça commence à sa gitée du boboc…
@ plutôt sulfurisé ou cristallisé, à Porcro ?
@ béré : la plage de l’Espiguette est-elle réouverte ?
J’ai donné une reference Janssen J-J : George Sand, Les Charmettes.
Pour ce qui est de la schizophrènie, ai bien écrit « si c’est vrai » ou pas ?
Lorsque Gigi tente désespérément de faire de l’humour, j’ai envie de pleurer *
(*et ce n’est pas de rire…)
Meric r., je ne connaisais pas non plus ce roman de George Sand. J’ai tant à apprendre encore.
Mais relisez moi, n’ai pas évoqué un pb de schizophrénie, me semble que c’est vous qui en avez prononcé le diagnostic possible, non ?
=> Aucune querelle avec vous, r., surtout à prose de Jean-Jacques. Trop de respect, vous le savez. Bonne journée.
@ tente désespérément de faire de l’humour
Mais qui ne tente rien n’a rien, mais là, cela me vient comme naturellement, voyez… voyhons… En rien désespérment, Suzanne !
Le vôtre en revanche, hein, d’humoure, d’après WL, c’est + que du hard poussif en chaise électrifiée pour centenaires atrabiles !
Chacun rit jaune à sa porte rouge, orange ou verte et selon sa commplexion astrologique. Pourquoi s’exclure du mur des kons, jissé ? Vous croyez-vous au dessus du panier ?
Facile d’être au dessus du panier RdL, Gigi, là où des egos, rassis par de brûlantes citations littéraires verbeuses, séniles, barbantes, ces egos démesurés clapotent dans une flaque de risettes joyeuses auto-satisfaites.
Que beau temps pour ce sénile jour débile de Premier Mai confiné …!
@rose,Pablo,
A propos de paul Klee, belle réalisation numérique en effet mais on peut trouver en livre ces documents et qui plus est avec une traduction française de Sylvie Girard édité par Dessain et Tolra en 1973 (j’ai les deux tomes sous les yeux)deux fois 500 pages d’illustrations en noir et en couleur ( les reproductions en couleur sont tirées à part et contre collées) avec des pages dépliées en trois volets. Le livre, en cette circonstance est bien plus intéressant que le numérique à mon avis!
Et pour Pablo cela doit pouvoir se trouver d’occasion.
Paul Klee la pensée créatrice Dessain et Tolra 1973. Tome I.
Paul Klee écrits sur l’art II Dessain et Tolra 1977.
ce sénile jour débile
les débuts rssemblent à des fins..la dysphorie post-coïtale ne dure qu’unun moment jicé..tant de culs si peut de temps
Jazzi dit: Savoureux extrait, de nota. Denoël copain de Giono, voilà qui ne va pas arranger les choses !
»
Jazzi les routes savent toujours où elles mènent, il suffit de les suivre.
Jazzi : Quant au spectacle du bouffeur de grenouilles, y a de quoi vous rendre végan !
»
Jazzi tu rigoles ? manger des grenouilles vivantes c’est bon pour la santé, la grenouille c’est bourré de chloroquine.
« bouguereau dit: les débuts rssemblent à des fins..la dysphorie post-coïtale ne dure qu’unun moment jicé..tant de culs si peut de temps »
vous me l’avez enlevé de la bouche.
– Son cahiers utilisé pour ses cours au Bauhaus durant les années 20
beaucoup de fétichisme autour de klee..et mille choses du bauhaus qui le caractérise mieux
on nous prend pour des enfants !
PARTI PRIS. L’auteur de « Big Mother » réagit au plan présenté mardi à l’Assemblée nationale par Édouard Philippe, qu’il juge « infantilisant ». Par Michel Schneider
LE POINT
TRès erdélien tout ça
Et pour Pablo cela doit pouvoir se trouver d’occasion.
Paul Klee la pensée créatrice Dessain et Tolra 1973. Tome I.
Paul Klee écrits sur l’art II Dessain et Tolra 1977.
140 euros pour le tome I et 80 euros pour le second sur le web… 😉
« Tant de culs pour si peu de temps ! » (Commodore BougBoug)
Par Sainte Thérèse, ne baissons pas les bras, mon ami. Montjoie Saint-Denis !
Janssen J-J, Les Charmettes a été publié dans Laura : Voyage dans le cristal.
– la barbe de ce cher Pr Raoult est pleine de bouffe ayant raté l’entrée naturelle buccale
– que sa chevelure à la Belloubet abrite des insectes affamés qui y ont trouvé refuge.
et entre deux il se grattent les couilles pour faire le michael djckçon..ha elle est belle l’université française
rose dit: « on avait plus ou moins tous un pote parti élever des chèvres vers le Larzac, et qui au premier hiver, a failli mourir de froid. »
Est mort de froid Hamlet. »
pas le mien rose, il a failli mourir mais il est pas mort, parès il est parti travaillé dans les espaces verts pour la mairie de Manosque.
sauf que Manosque avait bien changé depuis Giono. La petite ville de Giono s’est retrouvée entourée de dizaines de barres d’immeubles et de centres commerciaux.
du coup il est parti travailler à Valensole : ce petit coin de Provence protégé du monde qui fleure bon l’ami Jean, avec ses immenses chmaps de lavande à perte de vue, qu’on croirait qu’elles partent parfumer les nuages où vivent les anges et le bon Dieu (avequeu l’accent).
après y’a une riche parisienne qui est venue acheter une grosse maison a quelques kilomètres de Valensole, avec une écurie et des chevaux, et comme mon pote il aimait les chevaux il s’est marié avec elle, et voilà comment après avoir failli mourir de froid au Larzac il est devenu propriétaire de chevaux de course qu’il emmenait courir tous les dimanche dans sa petite remorque.
il faut apprecier à sa juste valeur sÀ decision de confier les enfants à l’assistence publique
cette juste valeur est hors de notre portée..sinon on se retrouve drh a s’otoriser..ou comme ce con de keupu ‘queue les juifs etc.’..’justes’
Pour répondre à PR.
Hier soir, sans heure ni date.
On se fout des œuvres de r, on soulevait l’univers inventé qui peut avoir son charme lorsqu’il n’est pas forgé avec du très gros métal.
On parle de la jeune peinture contrairement à ce que vous dites, on lui donne des prix à gout de pastis même, on leur attribue un critique patenté payé par la galerie d’art sponsor pour l’occasion.
Et que dire de vos « maitres étrangers », les petits marquis sont de retour au Palais de Versailles?
Contrairement à ce que vous affirmez péremptoirement, certaines revue d’art ont fait » l’histoire de l’art » ( je ne mettrais pas de majuscules comme vous…).
Bàv.
Aujourd’hui, avec de grands capteurs, on tourne avec un équivalent de 5000 ASA. Récemment, on a mis au point des appareils filmant en 200 000 ASA, et même en 800 000 ASA
drillon tu devrais rapler que la première photo numérique a été faite -à la main- par son ‘inventeur’ et comment elles sont -fabriqué- aujourdhui..son histoire et beaucoup plus édifiante que toutes ces conneries fin de siècle
De plus en plus il apparaitrait que le covid-19 serait d’abord une maladie du sang avant d’être respiratoire. Il y aurait une grande similitude entre le mode d’action du parasite du paludisme (plasmodium) et celui du virus (bien évidemment le plasmodium est gigantesque comparé à la petitesse du virus).
Le sars-Cov2, virus responsable du covid-19, empêcherait, comme le fait le plasmodium, la fixation normale du di-oxygène sur la macromolécule d’hémoglobine.
Dès lors il deviendrait compréhensible qu’un antipaludéen tel que la chloroquine ait une bonne efficacité dans le traitement du covid-19.
En agissant sur l’hémoglobine, le parasite la diviserait en acides aminés, ce qui libèrerait les molécules d’hème contenues dans l’hémoglobine, toxiques pour le virus lui-même, qu’il transformerait sous forme de cristaux inertes. La chloroquine pénétrant dans érythrocyte infecté stopperait la transformation protectrice pour le virus de l’hème en cristaux inertes, faisant s’accumuler l’hème nocif pour le virus.
Par ailleurs, tout le spectre de symptômes ou de faits observés converge vers cette hypothèse sanguine et notamment la susceptibilité différente suivant les groupes sanguins, l’affaiblissement conséquent de tous les organes, principalement causé par la privation d’oxygène (neurones, muscles, cœur etc..)occasionnant les troubles sensitifs de longue durée et les pertes de mémoire.
Dès lors ce virus devrait être, dans les mois qui viennent, rebaptisé severe acute circulatory syndrome coronavirus 2 (sacs-cov2) et non plus « respiratory ».
Tout ceci devant être confirmé d’un commun accord par le milieu scientifique spécialisé.
l’obsolescence programmée de l’homme en italique chais pas on dirait..date de péremption dépassée..l’épitaf à mon larbin
De plus en plus il apparaitrait
reste flouté dédé..c’est mieux
Cher Patrice Charoulet,
Cette charmante journaliste est Apolline de Malherbe, de la très ancienne famille de Malherbe, dont le père est propriétaire du Château de Poncé.
Grâce à elle, BFM qui avait tendance à toucher le fond, remonte.
Christiane
merci oui. « J’aime les poésies de Raymond Prunier. Elles sont apaisantes malgré la tristesse qui les nimbe ».
Oui, chère Christiane, je les écris dans cet esprit: apaisantes. Oui. Bien sûr. Pour la tristesse, c’est notre temps…
🎉🎊🎉Enfin une bonne nouvelle…👍🎉🎊
L’artiste des miroirs, Michelangelo Pistoletto, survivant du Covid à 86 ans
Cette figure de l’Arte povera a même donné une interview depuis son lit d’hôpital à Biella, sa ville natale dans le Piémont. L’utopie toujours chevillée au corps.
Qui a rencontré Michelangelo Pistoletto, 87 ans le 25 juin prochain, reste frappé par la force de commandeur qui se dégage de ce patriarche italien, l’une des dernières grandes figures du courant de l’«Arte povera» (l’Art pauvre).
Il y a encore peu, ce bel homme au profil de médaille, à l’œil bien bleu, à l’élégance italienne suave, à la parole affirmée et sans partage, faisait du ski dans ses montagnes du Nord de l’Italie. Le «Maestro» est actuellement en soins à l’Hôpital de sa ville natale de Biella où, à 86 ans, il a survécu au coronavirus. Un miracle.
Le Cittadellarte Journal l’a interviewé, en exclusivité, depuis son lit d’hôpital où sa verve d’orateur engagé et d’utopiste est restée intacte. «Le rôle de l’art, dans cette pandémie, est la sensibilité», dit-il ainsi à ses compatriotes et à tous les peuples de l’art…….
( article du journal Le Figaro)
🎉🎊🎉🎊🎊, on souhaite à ce grand artiste, un prompt rétablissement et on a hâte de le revoir en pleine performance.
( A partir d’un post fb de l’ami Ludovic F.
Le paysan, qui en 1750 nourrit deux personnes ; celui de 1990, qui en nourrit quarante
..dans cette petite phrase git le péril..et je ne suis pas du tout un détracteur de lagriculuture productiviste..le beauceron a sa place et il en nourrit surement plus..ce qui est contreproductif pour tous c’est de virer de son petit coin assez inculte et difficile le cul terreux des 4 coins de la planéte qui se nourrit pour le laisser en friche..l’agriculture industriel a une logique..’le’ paysan est un irrationnel tout simplement
papate..tu dois lui faire honte avec tes emluminures de fraise au sucre..
A propos des œuvres d’art contemporain, Pablo75 se réfère de façon un peu automatique à des artistes produisant des peintures, alors que beaucoup d’artistes, effectivement, se sont dépouillés de l’obligation de faire des peintures. De même beaucoup de musiciens accomplis (jazz) placent l’essentiel de leur musique hors d’une partition, mais dans l’instant où ils jouent.
Quant aux «critères esthétiques objectifs» Pablo75, s’il vous plait, donnez une indication, quels sont-ils ? Et peut-être pourriez-vous mentionner des artistes récents répondant à de tels critères.
Avez-vous déjà été, debout, seul, au centre d’une une salle entière de Rothko ? (« tout ce qui est « abstrait » passera à la trappe »).
@ là où des egos, rassis par de brûlantes citations littéraires verbeuses, séniles, barbantes,
là … un bon point pour vous… Je pense souvent de même… Bcp icite se croivent déshonorés de ne point citer un truc obscur déniché derrière leurs fagots de bouquins et salons musicaux poussiéreux pour accompagner leurs pensées profondes, i.e leur vacuité sur le tout-ou-rien-ou-lr-je-ne-sais-quoi. Chez moi les miséreux taiseux, on appelait ça des maniéreux.
Vous n’êtes pas trop de cette race, (apparemment), mais n’en restez pas moins un gros k….d, dans votre autre genre !
Essayez donc de dire un truc un peu intelligent et non injurieux, icite, juste pour une fois…, hein, (avec une bonne citation référée à l’appui, si besoin), qu’on soye sûrs de ce que vous valez… bien évidemment, il faudra rester très « au-dessus de la main au panier »…
Histoire de faire démentir le reflet de votre mauvaise conscience (WL, votre rectum/versus).
Merci.
Merci qui ?
Merci monsieur Jicé.
Je vous en prie.
Bien cordialement,
J J-J
pourquoi convaincre Pablo sur Paul Klee ?
à quel moment il en parle ? il parle de Klein.
vous confondez pas par rasoir Paul Klee et Yves Klein ?
et si vous parvenez à accomplir cette mission impossible de convertir Pablo à l’art contemporain, je vous donne une autre mission : le convaincre que l’astrologie c’est un truc pour les neuneus.
cette bande s’autodétruira dans 15 secondes…
Vendredi 1er mai à 11 h 37
Ce matin, je ne sais pas pourquoi, je me demande dans quel cercle (de l’Enfer ?) Dante aurait placé Savonarole, s’il avait vécu plus tard ?
Vous n’auriez pas une petite idée, renato ?
roo le jj..pasque y tutoye cricri..que rosy te laisse boire ses fonds de verres et que bonne clopine te rfile ses liens cochons y fait son délégué dla ligue..
Bon premier mai à Passou, à tous les commentateurs de ce blog, sous pseudo et à ceux qui écrivent sans pseudo
« […]Il est étrange de voir Rousseau avouer si complète équivalence entre l’aventure courue sous un faux nom et la tension par laquelle il prétend habiter véridiquement son vrai nom. Mais si on se rapporte aux pages où Rousseau raconte ses aventures pseudonymes, l’on s’aperçoit qu’elles ne sont pas explicables par la psychologie de la dissimulation. A de très rares exceptions près, il ne s’est jamais agi pour lui de cacher sa véritable identité, mais au contraire de conquérir une nouvelle identité avec laquelle il pût se confondre sans retour. Il ne masquait pas pour duper les autres mais pour changer sa propre vie. quand Rousseau ment, il croit à son mensonge […] Il ne sait pas, ou ne veut pas savoir qu’il simule. « C’est lui-même qu’il s’agit de mystifier », écrit Marcel Raymond*. […]
Un imposteur craindrait d’avoir à donner ses preuves ; mais Rousseau, tout au contraire, se prête joyeusement à l’expérience, parce qu’il va enfin vivre sa nouvelle identité, laisser agir son nouveau moi.[…]
Rousseau se confie et s’abandonne à son personnage. Dans cette façon de devenir un autre, on peut certes voir un coup de force de la volonté ; mais ce coup de force se double d’une passivité vertigineuse. Ce qui a commencé par un acte de la volonté se continue en une sorte d’hypnose, où il ne s’agit plus que de laisser faire ce que le rôle commande de faire. On peut parler ici de comportement magique, parce que la magie consiste précisément à provoquer des forces que l’on laisse ensuite agir sur soi ; ces forces opèrent par elles-mêmes, elles échappent à notre contrôle ; une fois suscitées, elles nous délivrent de la nécessité de vouloir et de diriger nos actes. Il suffit alors de consentir à ce qui nous arrive. L’acte magique commencé par nous, s’achève sans nous. »
PP. 78/79 de l’essai de Jean Starobinski Jean-Jacques Rousseau : la transparence et l’obstacle Gallimard / collection Tel – 1971.
« […] C’est une analyse de la création littéraire de Jean-Jacques Rousseau comme si elle représentait une action imaginaire, et son comportement comme s’il constituait une fiction vécue. […] C’est par le conflit avec une société inacceptable que l’expérience intime acquiert sa fonction privilégiée. […] ».
(avant-propos)
* Marcel Raymond J.J. Rousseau. Deux aspectes de sa vie intérieure Corti, 1962.
vanina dit:
très belle réfléxion sur l’oeuvre d’art au temps du
covid par Peter Schjeldahl, « New Yorker, 13 April ».
Au centre rien de moins que « Las Meninas »,Margarita
Teresa et tout le virtuosisme prospectique de Velasquez.
L’opéra, et oui mais quel opéra, si j’aime Richard Strauss et son « Chevalier de la Rose », fleur ultime de
son temps, celà n’exclut en rien Wagner, son antécedent et tous les Italiens , qui sont à l’origine
du phénomène et chez qui l’opéra est l’art nazional
popolare.
J’ai des doutes sur le « recyclage », Zola et Gramsci
sont des valeurs sures, Il ne s’agit pas de les aimer,
ils ont une place assurée, Zola dans l’histoire littéraire, Gramsci dans l’histoire des doctrines politiques.
Bien à vous, dans cette fete du non-travail.
je me demande dans quel cercle (de l’Enfer ?) Dante aurait placé Savonarole
..et bien profond baroz
Sur la Thérèse de Jean-Jacques, lire le chapitre qui lui est consacré par G. Lenotre (pas le boulanger, le Balzac de la Révolution) dans le dernier volume de sa série Vieilles Maisons, vieux papiers. Jean-Jacques aurait été terrassé par son coup de sang mortel en la surprenant avec un autre homme. Elle a fini sa vie en tenant un estaminet assez mal famé sur la route de Senlis ou de Meaux. Elle n’a jamais su citer dans l’ordre les mois de l’année. Un phénomène.
Je pense que tout le monde ici,étant donné le niveau de culture de chacun, a lu Vieilles maisons, vieux papiers et beaucoup d’autres Lenotre.
Aucune intention de convertir qui que ce soit, hamlet — je suis peut-être con mais pas à ce point —, le pose des traces et chacun il en fait ce que bon lui semble.
Je pense que tout le monde ici,étant donné le niveau de culture de chacun, a lu Vieilles maisons, vieux papiers et beaucoup d’autres Lenotre
si tu fais défaut mon larbin..c’est à cause de ta condition..mais il faut poindre et non point plaindre vilain
« je pose des traces et chacun il en fait ce que bon lui semble. »
ça va être vite vu.
cela dit je ne pensais pas à vous, mais au message de Pat V. :
Et pour Pablo cela doit pouvoir se trouver d’occasion.
Paul Klee la pensée créatrice Dessain et Tolra 1973. Tome I.
Paul Klee écrits sur l’art II Dessain et Tolra 1977.
sauf que Pablo n’a parlé que de Klein, je vois pas ce que Klee vient faire là dedans.
encore que Klein / Klee – Klee / Klein…
Oups ! le > Je
C’est parce que vous n’avez pas suivi le fil, hamlet.
« quand Rousseau ment, il croit à son mensonge »
et s’il croit à son mensonge, alors est-ce encore un mensonge ? Pierce dirait que s’il y croit alors cela devient des vérités.
croire en ses mensonges c’est un peu comme nier ses vérités.
« Je pense que tout le monde ici,étant donné le niveau de culture de chacun, a lu Vieilles maisons, vieux papiers et beaucoup d’autres Lenotre. »
Chaloux.
Non. Mais je connais la maison.
« C’est parce que vous n’avez pas suivi le fil, hamlet. »
ok merci !
>D.
J’ai fait un lapin sauté à la lyonnaise.
Remontant de ma cave à vin, ai renoncé à une bonne bouteille, Gewurtz.Sancerre ou autre de qualité.
J’ai deux solutions, ne peux me décider :
Ou je renonce au verre de vin blanc dans la recette de Bocuse ou je remplace par un verre de bière ambrée.
Que me diriez-vous si je vous posais la question ?
christiane : « Il est étrange de voir Romain Gary avouer si complète équivalence entre l’aventure courue sous un faux nom et la tension par laquelle il prétend habiter véridiquement son vrai nom. Mais si on se rapporte aux pages où Romain Gary raconte ses aventures pseudonymes, l’on s’aperçoit qu’elles ne sont pas explicables par la psychologie de la dissimulation. A de très rares exceptions près, il ne s’est jamais agi pour lui de cacher sa véritable identité, mais au contraire de conquérir une nouvelle identité avec laquelle il pût se confondre sans retour. Il ne masquait pas pour duper les autres mais pour changer sa propre vie. quand Romain Gary ment, il croit à son mensonge.
Un imposteur craindrait d’avoir à donner ses preuves ; mais Romain Gary, tout au contraire, se prête joyeusement à l’expérience, parce qu’il va enfin vivre sa nouvelle identité, laisser agir son nouveau moi.[…]
Romain Gary se confie et s’abandonne à son personnage. Dans cette façon de devenir un autre, on peut certes voir un coup de force de la volonté ; mais ce coup de force se double d’une passivité vertigineuse. Ce qui a commencé par un acte de la volonté se continue en une sorte d’hypnose, où il ne s’agit plus que de laisser faire ce que le rôle commande de faire. On peut parler ici de comportement magique, parce que la magie consiste précisément à provoquer des forces que l’on laisse ensuite agir sur soi ; ces forces opèrent par elles-mêmes, elles échappent à notre contrôle ; une fois suscitées, elles nous délivrent de la nécessité de vouloir et de diriger nos actes. Il suffit alors de consentir à ce qui nous arrive. L’acte magique commencé par nous, s’achève sans nous. »
Œuvres de Milo Manara, dédiées à celles et ceux qui n’ont jamais cessé de travailler en ces mois d’urgence pour Covid-19
« J’ai fait un lapin sauté à la lyonnaise. »
quelle coïncidence : j’ai fait un lyonnais sauté à la japonaise.
« quand Rousseau ment, il croit à son mensonge. »
ça c’est que Popper appellerait un fait invérifiable.
Je préfèrerais le vin blanc, rose !
un fait invérifiable, ou une proposition (affirmation) invérifiable.
« Je préfèrerais le vin blanc » à ton âge le blanc c’est mauvais pour les articulations.
C’est préférable à la mise en bière, hamlet !
« Rousseau, tout au contraire, se prête joyeusement à l’expérience »
proposition invérifiable.
« Bcp ici se croient déshonorés de ne point citer un truc obscur déniché derrière leurs fagots de bouquins et salons musicaux poussiéreux pour accompagner leurs pensées profondes »
proposition invérifiable.
Au centre rien de moins que « Las Meninas »,Margarita Teresa et tout le virtuosisme prospectique de Velasquez.
des profils de pangolins, Raoult embusqué derrière velasquez, du virus dans le pinceau
Depuis l’âge de raison, qui m’est tombé dessus très tôt, je suis sincère …. et je m’en vais vous confier un secret connu de tous !
Je me secoue la tige jade, je m’engriveauxoise, bref je me fous totalement de l’opinion des autres, quels qu’ils soient, en particulier à mon propos et plus généralement relatif à leur jugement sur le monde !
Bien à vous, cher Gigi !
« l’obsolescence programmée de l’homme en italique chais pas on dirait..date de péremption dépassée..l’épitaf à mon larbin »
proposition invérifiable.
« Giono collabo »
proposition vérifiable.
« Je regrette d’avoir riposté aux stupides provocations d’Hamlet sur Le Clézio »
proposition vérifiable et justifiée.
« hamlet tapette »
proposition vérifiée.
Il ne manquerait plus que l’opinion d’autrui pèse sur notre vie.
« il ne peut pas avoir un substrat théorique solide puisque l’art abstrait est totalement subjectif »
proposition erronée.
le Clezio :
« Les enfants ne savent pas ce qu’est la guerre. » : proposition invérifiable.
« Pour eux, tout ce qui arrive est normal » : proposition invérifiable.
« ils ne se doutent pas que leur vie pourrait être autrement. » : proposition invérifiable.
le Clezio encore à la moulinette de Popper :
« Ma grand-mère était une femme forte…. » : proposition invérifiable.
« Elle n’avait pas facilement peur » : proposition invérifiable.
bouguereau dit: à
papate..tu dois lui faire honte avec tes emluminures de fraise au sucre..
J’ai copié/collé le post de l’ami fb, Ludovic F.( honte à qui?) Lui est très branché, Ludovic )il visite toutes les expos de Parisn et d’ailleurs. On a plus à se déplacer!
Le jazz et les toiles abstraites, c’est toute la musique et la peinture que je tolère chez moi !
hamlet dit: à
le Clezio :
Tout à fait d’accord. Il n’y a jamais de pensée juste, ni véritable, ni singulière, chez Le Clézio. C’est ce qui me le rend insupportable.
Non, pas de réponse sur Rousseau, JJJ; Je pencherais tout de même pour une anecdote controuvée. A cet égard, Les Mémoires de ma Vier de Sand demandent à etre lus avec prudence.
Mais il y a une lettre magnifique ou il justifie l’abandon de ses enfants. Ce sont ces arguments là que je retiendrais. Non, pas la référence en tete. Peut-être à Madame d’Epinay. J’en cite le début de mémoire
« Oui, Madame, j’ai mis mescenfants aux Enfants trouvés… »
J’aime beaucoup Lenôtre Chaloux, mais Balzac de la Révolution est un peu excessif. Balzac ne compilait pas. La vieille blague d’époque « Le mien, Le tien le sien, Lenôtre! » n’est pas dépourvue de fondement.
Bien à vous.
MC
PS
La manie des sigles sur la RDL progresse. A croire qu’on ne peut plus appeler les gens par leurs noms. Dernière victime, Pablo; Faudra-t-il bientôt un Dico siglier façon la RDL sans peine?
Il faut mettre toute la bouteille de vin blanc dans la cocotte?
M. Court, ce n’est pas moi qui ai inventé l’expression « Balzac de la Révolution ». J’ignore son origine mais elle est très répandue. Quant à son sens de la synthèse, pour ne pas dire plus, il enchante encore. Que lui reprocher?
Tout G. Sand, que par ailleurs j’aime infiniment, est à lire avec prudence.
moi ce que je trouve insupportable ce sont les généralisation du genre :
« Les enfants ne savent pas ce qu’est la guerre.
« Pour eux, tout ce qui arrive est normal »
« ils ne se doutent pas que leur vie pourrait être autrement. »
il fait de son expérience (ou de ses opinions) un cas général.
et dès que ça touche les enfants ça devient très vite insupportable.
pour Popper « invérifiable » = « réfutable ».
Surtout qu’il est incapable de réfléchir avant d’écrire. Heureusement, il ne s’agit pas d’une lecture obligatoire.
Un verre de vin blanc dans la cocorte Staub mais non, je ne me résouds pas. Pas d’invitation en vue.
La cocotte
encore plus insupportable le lecteur guidé soit par la petite musique des mots ou par son « adoration » se dit « ah oui c’est vrai, les enfants ne savent pas ce qu’est la guerre ».
quitte à ce qu’après avoir fermé le bouquin, ce même lecteur, à table, en face vous, si vous avez le malheur de dire « les enfants ne savent ce qu’est la guerre… » entre dans une folie furieuse et vous gueule « qu’est-ce que tu en sais toi ! tais-toi au lieu de parler de ce que tu sais pas ! »
Rose, nous sommes vendredi et vendredi c’est poisson, certainement pas lapin.
Jazzi dit: à
C’est préférable à la mise en bière, hamlet !
hamlet dit: à
« Je préfèrerais le vin blanc » à ton âge le blanc c’est mauvais pour les articulations.
Super génial.
Je le mets en bocaux. Ensuite je fais cuire le poisson. Vous avez raison.
J’aurais aimé le mettre chaud en bocaux.
L’interview du professeur Raoult.
À voir absolument.
www.http://youtu.be/cj4bGVszZP8
« Sartre pousse des petits cris quand on l’encule. »
Proposition invérifiable ou vérifiée, hamlet ?
D.
Je retourne à la cave.
Je vais me résoudre.
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