Les Rothschild, un nom gravé dans le marbre du temps
Dire qu’il fut un temps où l’expression « aristocratie juive » revêtait un sens qui n’était ni péjoratif, ni mélioratif, mais légèrement admiratif sans pour autant refléter un jugement de valeur. On a du mal à se l’imaginer en ce début de XXIème siècle où l’on aurait plutôt tendance à croire que les deux termes constituant l’expression seraient plutôt antinomiques, sauf à leur donner une dimension religieuse, ou à les associer au phénomène des Juifs de cour. C’est pourtant d’autre chose qu’il s’agit. Disons un microcosme au sein d’une toute petite société qui se donnait pour une élite, avait soif de grandeurs d’établissements, et se révéla prête à déposer des sommes folles, une énergie inépuisable et une imagination sans limite afin de s’intégrer aux noblesses d’Ancien régime et d’Empire, allant jusqu’à contracter des mariages aux allures de fusions-acquisitions au terme desquels les uns blasonnaient leur dot en permettant aux autres de doter leur blason. Tout pour obtenir le fameux « ticket d’entrée dans cette brillante civilisation », ainsi que l’évoquait le poète Heinrich Heine, familier du salon de la baronne Betty, laquelle goûtait dans l’intimité le bonheur sans mélange de bavarder avec lui en yiddish. Le Paris de la seconde partie du XIXème siècle en fut le théâtre d’ombres, avec un éclat et une magnificence qui firent dire aux chroniqueurs que ceux qui avaient vécu après ignoreraient à jamais ce que fut la douceur de vivre dans l’ancien temps.
Ce monde a existé, cette société a connu ses grandes heures et ses drames qui se sont parfois confondus avec ceux de la France. Elle n’était constituée que d’une poignée de personnes qui furent autant de personnages en vue dans la galerie : une famille souvent (Rothschild, Camondo, Cahen d’Anvers, Ephrussi), ici une fratrie (les Pereire), là un franc-tireur (le baron de Hirsch). Ils ont suscité biographies, monographies, articles, études et discours avec un bonheur variable, mais on les a rarement envisagés collectivement, au risque de l’effet de groupe, illusion dont on sait qu’elle peut conduire au mythe sinon à la légende. C’est toute la vertu de l’exposition modeste, mais intime et fervente, que la Bibliothèque nationale consacre, en la galerie Mansart de son ancien site, à cette Atlantide engloutie entre la rue Laffitte, le faubourg Saint-Honoré et la plaine Monceau. Une fois n’est pas coutume, il est déconseillé de se fier à son titre , qui est également celui du catalogue Les Rothschild en France au XIXème siècle (196 pages, 36 euros, éditions de la BnF); car l’ambition de ses commissaires, Claude Collard et Melanie Aspey, embrasse davantage que ce thème annoncé, même si ils en sont le pivot. Encore que même si les organisateurs s’en étaient strictement tenus au cadre annoncé par le titre, cela eut été une première en France. En effet, si le Museum of London (1998) et le Jüdisches Museum de Francfort (1994) ont déjà accueilli une semblable réunion de documents, les cimaises françaises étaient étrangement en reste jusqu’à présent. Cette lacune est désormais réparée avec cette assemblée d’archives, de photos, de lettres, de tableaux, rarement montrés ou jamais confrontés les uns aux autres. L’occasion s’y prêtait avec la commémoration du 260ème anniversaire de l’installation à Paris de James de Rothschild, fils de Mayer Amschel, fondateur de la maison de banque MM. De Rothschild frères et inventeur de la branche française de l’illustre famille.
Qu’est-ce qu’une exposition réussie ? Un lieu ordinaire d’où se dégage une émotion extraordinaire. Le cas de celle-ci. Non que l’ancienne Bibliothèque nationale de la rue de Richelieu n’ait pas conservé un peu de son parfum d’antan, mais la salle choisie n’a rien d’un écrin de nature à rehausser le bijou. C’est dire que, la qualité de l’accrochage aidant, les pièces déployées se suffisent à elles-mêmes et prennent davantage de relief encore dès lors que les commissaires ont choisi de les faire entrer en conversation, se livrant à l’art le plus délicatement français légué par le Grand siècle. Tous les aspects des Rothschild s’y retrouvent : banquiers, philanthropes, collectionneurs, mondains… L’aspect religieux n’est pas négligé, rappelé par la présence d’une plaque ornementale de la Torah, ou d’une Hanoukkiyyah en bronze en provenance de l’Italie du XVIIIème. La vue du blason sur le titre d’anoblissement, par lequel l’Empereur d’Autriche les fit barons après qu’ils eurent l’autorisation d’adjoindre une particule à leur patronyme, la devise « Concordia Integritas Industria », les cinq flèches tenues d’une main ferme, tout cela se passe de commentaire ; d’autant que les emblèmes héraldiques (licorne, lion) sont carrément royaux. Quelle illusion ! On pourrait étudier les contradictions et les valses hésitations de la volonté forcenée d’assimilation de ces « Grands Juifs » au milieu du faubourg Saint-Germain à travers le prisme exclusif de leur (non)appartenance au Jockey-Club, l’un des cercles aristocratiques les plus fermés, dont ils furent, dont ils claquèrent la porte avant d’y revenir.
Ici plus qu’ailleurs, le pedigree des objets est passionnant. Ainsi cette tabatière d’émail et diamant offerte par la reine Victoria au banquier Achille Fould, puis donnée la baronne Elie de Rothschild, née Liliane Fould-Springer, au plus grand de nos musées par l’intermédiaire de la Société des amis du Louvre… Les aquarelles peintes vers 1865 par Eugène Lami au château de Ferrières sont poignantes car il en émane une nostalgie proustienne pour ce qui fut et ne sera plus. Nul mieux que cet artiste n’a évoqué les nuances et la légèreté de ce monde. L’atmosphère des salons, l’air du temps politique, le tremblé artistique, l’ambiance économique, tout y est, tout ce qui nous permet aujourd’hui d’appréhender moins une vision du monde qu’une sensation du monde. Qu’il s’agisse des souscriptions aux chemins de fer ou des portraits en pied de l’atelier Disderi, le moindre détail est éloquent dès lors qu’on lui prête l’oreille. Un cliché sépia montrant Emile et Isaac Pereire sur le chantier transatlantique en 1867 est si criant de vérité qu’on les sent prêts à bondir hors du cadre pour en découdre avec leurs anciens employeurs de la rue Laffitte. Ne manque que le portrait de ma chère Betty (Mme James) par Ingres, dans l’exposition mais non dans le catalogue, car elle sort très rarement, et moins encore depuis que l’aîné de la famille en ayant hérité comme le veut la tradition, elle dort dans le coffre d’une banque. Mais le portrait de son époux par les Flandrin est bien là, imposant, majestueux, impérial. Il règne sur cette assemblée de fantômes suspendus. On quitte l’exposition avec l’envie pressante de relire La Maison Nucingen de Balzac, Lucien Leuwen de Stendhal et L’Argent de Zola, histoire de vérifier les caractères
Il y a une autre vie après la vie : celle du nom, sa persistance, son inscription dans le marbre du temps. Les Camondo n’ont plus qu’un musée, les Pereire un boulevard. Seuls les Rothschild ont maintenu et survécu, moins fortunés qu’au temps de leur règne mais fidèles à leur légende. Qu’importe, la trace est là. Elle a la puissance d’une empreinte. Plus forte encore que les clichés antisémites qui ont fait de ce nom l’immédiat synonyme inconscient d’ « argent », et plus encore, de la souveraineté de l’argent. Mais on ne sache pas que, dans la France des XIXème et XXème siècle, une famille française, israélite ou pas, ait autant donné aux musées nationaux que la leur.
(« Le hall du château de Ferrières, vers 1865 » aquarelle d’Eugène Lami ; « James de Rothschild » photo d’Eugène Disderi, Bnf ; « Les deux frères Pereire (au centre) à l’inauguration du chantier Transatlantique, 1857 », photo Robert Howlett, National Portrait Gallery, Londres)
1 237 Réponses pour Les Rothschild, un nom gravé dans le marbre du temps
Je n’avais pas gardé un souvenir aussi impérissable de ma première visite à la galerie Mansart. Vous donnez envie d’aller y refaire un tour, serait-ce pour vérifier comment un franc-tireur israélite et non maçon s’y prenait pour blaser sa dot à défaut de doter son blason. La richesse blasée d’un monde perdu met la RDL en forme émerveillée apparemment, bravo !…
Ha ben voilà c’est comme chez les Verdurin on a encore oublié Charles Swann…
la banque mondiale
D’ avoir si longtemps fréquenté Betty, son monde et ses descendants pour les mettre dans son roman, Pierre Assouline a dû devenir une sorte d’ami de la famille ;en tout cas lorsqu’il nous parle de tous ces gens, qui gravitaient autour des Rothschild, le ton et le contenu de son billet semblent de quelqu’un qui aurait grandi au milieu d’eux ,et pour qui les complexités subtiles des relations de parentèle et de fonctionnement des réseaux mondains dans cet univers sont des réalités familières et vivantes
Dire que les Rothschild sont liés à l’argent c’est un euphémisme : ils représentent la banque. Point.
On ne donne pas aux musées nationaux : on ne fait pas de la philanthropie non plus : faut arrêter de prendre les gens pour des tartes : les familles de caste paient leurs impôts à l’État liés aux droits de succession par des œuvres d’art qui elles ne rentrent pas dans les droits d’héritage.
C’est ainsi que l’Origine du monde de Courbet a été payée au musée d’Orsay pour les droits de succession de Jacques Lacan : il n’y a aucun don derrière cela.
Notre chère Rose va encore se faire accuser d’anti-sémitisme!
J’ai connu un Rothschild. Par discrétion, je n’en dirai pas plus.
Voir et acheter aussi le catalogue de cette exhibition:
Les Rothschild
En France au XIXème siècle
ISBN978-2-7177-2523-0
Que dire sur la famille Rothschild, quand on est Juif Français ? Je devrais ajouter, et né après WW2, c’est à dire une génération de gens qui ne mettait pas leurs origines sur leur carte de visite virtuelle ? Je n’ai pas envie de développer, ma génération avait une certaine honte à être d’origine juive. Il n’y a aucun jugement à porter, c’était ainsi.
Les Rothschild, tenaient à leurs origines et en conséquence, donnèrent une leçon à ceux qui à force de vouloir être émancipés, auraient eu tendance à soit changer de patronyme, soit à changer de religion.
Bref, les Rothschild c’est une sorte de famille à garder en écusson pour les autres familles.
Le château de Ferrières n’est plus dans la famille, l’Hôtel Lambert vendu à un prince Quatari, va tomber dans un certain anonymat. Et que sont devenues les collections, ce qui reste quand tout à été vendu ou n’existe plus, ou presque plus d’un empire économique ?
Les Camondo, presque tous exterminés, laissent le fameux hôtel particulier du Parc Monceau.
Que reste-t-il de la saga Rothschild ?
Bien sûr un Hôpital Rothschild et cela n’est pas rien.
Les Warburg, la famille de banquiers hanséates, n’ont jamais accepté de titre nobiliaire et considéraient que Warburg valait mieux que Baron von Warburg. C’est aussi un Warburg qui en 1945 ( reprenant la résidence familiale, un château près de Blankenese, reprise aux nazis par les Anglais, puis aux Anglais qui l’avait réquisitionnée pour en faire un Lazareth.) comprit en établissant dans ce château un orphelinat pour des enfants réchappés des KZ, que le vrai salut devait être de partir en Palestine.
Rose, être banquier, quand même, c’est moins grave que d’être fabricant d’armes.
Bien sûr l’un n’empêche pas l’autre.
Bref, Rose, vous n’aimez pas les banquiers ?
Vous gardez vos économies sous votre lit?
D’autre part, je ne vois pas pourquoi la Banque Rothschild, serait une institution pire, que le Crédit Lyonnais.
En avez vous aussi contre les notaires ?
« prince Quatari »
TKT
Avec sa manie de traduire ou pas les noms propres nous ne savons jamais dans quelle langue écrit vontraube.
Je me demande même si ce Quatari est bien prince.
Rose, Je crains que vous ne soyiez pas trop familière des collections : le seul « Astronome » de Vermeer leur aurait permis de faire non une donation mais une dation en paiement de droits de succession. or ils ont donné des milliers d’oeuvres dont vous ne soupçonnez pas l’ampleur.
@ sang de poisson dit 3 février 2013 à 17 h 38: »Avec sa manie de traduire ou pas les noms propres nous ne savons jamais dans quelle langue écrit vontraube. »: D. ou pas, j’écris mes commentaires comme on fait la conversation. À priori, je n’aime pas parler avec des gens qui ne possèdent que leur langue maternelle, je suis fainéant, cela me fatigue. Quant aux noms propres, les traduire systématiquement me semble un peu un travail inutile. Vous auriez dû vivre en Allemagne, ou dès janvier 1933, tout mot étranger était interdit. Vous devriez traduire vontraube, par « degrappederaisin ». C’est un peu long ? Utilisez TKT.
Ce que je reproche (parfois) aux musées, où les œuvres sont exposées par époque et genre, c’est de détruire l’unité qui mettait une collection dans un écrin.
« je n’aime pas parler avec des gens qui ne possèdent que leur langue maternelle »
vontraube
Le monologue vous est donc définitivement interdit, quelle tristesse face aux miroirs,
déjà que……..
De James à Nadine.
Grandeur et décadence
Merci de ce mot dation Pierre Assouline.
Pour donner des milliers d’œuvres, il faut qu’elles soient en votre possession, ce qui n’est pas le lot du commun des mortels ; il n’y a pas de meilleur emploi que de faire revenir ce patrimoine à la collectivité pour qu’elle en jouisse librement. Non, je ne soupçonne pas l’ampleur de cette collection. Je sais que vous avez eu le privilège de vivre, in situ, avec une toile, un portrait fait par Jean Auguste Dominique Ingres de Betty de Rothschild et vous en avez tiré la substance d’un roman. C’est une belle chance.
Aux Etats-Unis d’Amérique, Passou, les musées ne fonctionnent quasiment qu’à partir du mécénat et ce que l’on voit, nous visiteurs, provient essentiellement de collections particulières léguées aux musées : j’aime ce retour au peuple, cela me semble justice.
J’irai la voir si je le puis.
ouf, je n’ai pas encore vu ce billet, mais je ne veux pas laisser san réponse l’apostrophe de passouline au précédent , où la réponse était vies de Job, le narrateur .
Mais omme lorsque j’ai passé l’exam aux langzo
en hébreu, je n’ai pas aussitôt appris le clavier d’un ordi ,parce que voilà de quoion me parla et la rédaction était une messibah , (en hébreu!)e svais bien ce qu’était une messibah, mais je n’en avais pas une expérience vraiment vivant et peronnelle comme celle de mon ordi qui pivote à 90 degrés: ça doit être rude ça en alcool de mirabelles!
donc bonne soirée .
au fait Hildenstein est un pseudo que je me suis fabriqué , et qui me plaisait bien, pour des raisons intimes littéraires d’invention il y a longtemps d’une petite fille, tout à fait de papier-(j’ai du tout jeter à laquelle je faisais aimer des choses que moi, je n’aimais pas, comme la laine angora . celle qui servit un peu de modèle, me dit qu’elle n’aimait pas cette petite fille, et moi j’aime toujours la petite fille de papier : excusez-moi mais je peux m’en inventer un autre de pseudo !
à 2H
« collections particulières léguées aux musées »
rarement aux musées
léguées à une fondation, gérée très souvent par les descendants.
Ceux qui réussissent sont souvent mal-aimés, et c’est une erreur. Il vaudrait mieux les prendre en exemple. Valable pour tous ceux qui se battent….
Hildenstein,
Ok pour le rdv à 2h. A l’endroit habituel…
Les Ephrussi, enfin…le blé de l’Ukraine, Paris, les netsuke, Vienne, Tokyo, Londres. Et un de leurs descendants, Edmund de Waal (de Gaulle), céramiste hors pair et fabuleux chroniqueur familial. « La mémoire retrouvée », encore et toujours, pour ceux qui n’auraient pas lu ce livre d’exception, au titre de prime abord si sybillin en anglais: The Hare With Amber Eyes.
On raconte l’histoire suivante:(et Passou nous dira,peut-être,si elle est véridique?)
Dinant un jour avec le baron James de Rothschild, Eugène Delacroix, lui confessa que depuis quelques temps, il cherchait en vain une tête qui pût lui servir de modèle pour un mendiant devant figurer dans un tableau qu’il était en train de peindre.
Regardant les traits de son hôte, l’idée lui était soudainement venue qu’il avait devant lui la tête désirés.
Rothschild, qui était un grand amateur d’art, consentit immédiatement à poser comme mendiant.
Le jour suivant, dans son atelier, Delacroix plaça un manteau sur les épaules du baron, lui mit un bâton dans la main,
et le plaça dans l’attitude d’un mendiant assis sur les marches d’un ancien temple romain.
L’artiste dut sortir un instant de la pièce, et pendant cette courte absence un de ses élèves favoris entra.
Le jeune homme conclut naturellement que le mendiant venait d’arriver, et tout en le regardant avec sympathie,
il lui glissa une pièce de monnaie dans la main.
Rothschild le remercia simplement, mit la monnaie dans sa poche, et l’étudiant s’en alla.
Le baron questionna Delacroix, et apprit que le jeune homme avait du talent, mais peu de ressources.
Peu de temps après, l’élève favori du peintre reçut une lettre lui disant que la charité porte intérêts,
et que les intérêts accumulés de la somme qu’il avait donnée à celui qu’il avait supposé être un mendiant
formaient une somme de 100.000 francs qui l’attendait à la banque Rothschild
pardon,je corrige
sans réponse
je savais bien
expérience vivante
et voilà messibah en hébreu : une « party! »
מְסִבָּה
Il fut un temps plus raisonnable ou on laissait le brassage d’argent aux maudits.
On ne s’occupait que des choses importantes de la vie, L’argent outil, allait, venait, la nouriture ne dépendait pas du sac à la ceinture, la est l’erreur. La citation ne fait noter que la perte de l’esprit français.
Cordialement
« À priori, je n’aime pas parler avec des gens qui ne possèdent que leur langue maternelle »
Racisme à l’état brut…
Nadine, la voluptueuse baronne est une ancienne starlette du nom de Tallier… souvent en déshabillé, chic
merci pour messibah « la party »
j’aime bien votre pseudo Hildenstein le « n » central il swingue comme dans rock n’ roll
il m’est difficile de comprendre les pseudos multiples et ce faisant de faire confiance à mon/ma interlocuteur/trice. Je n’accepte pas le non-engagement que cela implique.
Si vous êtes content vous-même avec celui-là, et que vous pouviez avoir la gentillesse de le conserver quelque temps…
>TKT mon rapport aux banquiers est celui de Gary Grant in L’Extravagant Mr. Deeds (Mr. Deeds Goes to Town), film américain de Frank Capra sorti en 1936, avec Jean Arthur qui réussit à se faire pardonner par lui des crasses qu’elle lui fait.
mon rapport aux banquiers : un bon coup de pied dans le derrière, vlan !
@c’est vous rose qui dites « non engagement » . il me semble que cela implique un engagement absolu !
et je changerai de pseudo quand cela me semblera nécessaire , pour moi.
il est temps que vous renonciez à vouloir régir les gens sur tous les blogs où vous passez déclarer votre pinksterotonine
« À priori, je n’aime pas parler avec des gens qui ne possèdent que leur langue maternelle » (Tkt)
Ça exclut d’emblée au moins 90% des Français. Très sélectif, le Tkt…
Jacques Barozzi, je vous ai répondu sur le fil précédent.
Et tkt ne supporte pas non plus les lettres carrées: par écrit, il n’aime que les pétroglyphes !
Au XVIè siècle, il y a eu des Juifs nobles dotés d’un blason sous Henri II je crois, des Juifs Portugais.
Rose, vous devriez jeter un coup d’œil dans le bouquin d’Attali, Les Juifs, le Monde et l’Argent Histoire économique du peuple juif. (8€, c’est pas cher…!).
C’est un Rotschild qui a financé l’industrialisation de l’Egypte. Morsi et les Frères musulmans devraient s’en souvenir !
ML 19h32
Vous devriez prendre plus de soin de tkt, comprendre que cet homme ne s’aime pas, que pour lui la vie est un cauchemar.
Ne pas s’accepter, quoi de plus terrible.
Ne négligez pas ça façon à lui de l’exprimer, comme dirait D., cet homme doit être respecté
« En 1865, écrit Attali, cinquante Juifs sont dirigeants de banque à Paris ; en 1872, sur 440 patrons d’établissements financiers, ils sont 95, ce qui marque leur apogée. Après 1870, leur rôle en Europe redevient modeste, comparé à celui de la haute banque protestante et de la grande banque catholique qui dominent désormais le marché des capitaux avec de nombreuses agences, des milliers de comptes, des participations industrielles multiples. »
Pente fatale dit:3 février 2013 à 18 h 04 min
« De James à Nadine.
Grandeur et décadence »: précisez de quelle Nadine vous parlez. Il y en a une dans la descendance de James, née en 1898 † 1958, et puis plus récemment, une pièce rapportée en 1963 par mariage: La fameuse Baronne Nadine de Rothschild, née Lhopitalier, qui fait des vins, écrits des livres (pas de littérature) et je dois dire, elle a le sens des Affaires. Un sens qu’elle avait déjà avant de se marier. Pas un mauvais choix au finish. D’autre part elle a eu l’intelligence de savoir s’intégrer dans une famille difficile.
cet exam aux langzo me marqua : j’ignorais encore que mon prof d’hébreu de la fac de province où j’habitais avait publié sous son nom la traduction à laquelle j’avais dû tant contribuer pour le français (une autre partie de mon travail consistant à l’écouter des heures se plaindre de sa femme -à lui notoirement infidèle – et ex-logeuse qui avait par deux fois conçu de lui une fille puis des jumeaux).Bref, à lexam, la prof qui m’avait parlé de computer me dit « vous, les français, vous êtes cartésiens »
quel rapport avec Rothschild ? les mots du mythe !
Mais les Juifs restent influents comme conseils des Etats.
Par exemple, en 1871, à Paris, les Rotschild organisent l’emprunt lancé par la France vaincue pour régler à la Prusse le montant des dommages de guerre, écrit Attali.
Les banques juives ne restent toutes-puissantes qu’en Allemagne autour de Warburg et de Bleichröder, premières banques d’affaires du pays.
@ Connentaire du 3 février 2013 à 19 h 52 : Aurais-je dû préciser, que depuis des décennies j’accepte les choses comme elles sont ? Je parle de mes origines. J’ai compris un jour, qu’il était préférable d’annoncer mes origines, avant que les gens posent des questions sur mon patronyme. En 2013, il est devenu assez facile d’être Juif et de le déclarer. Dans les années 50, 60 et 70, les choses étaient un peu différentes.
Pour ce qui est des Juifs dans les banques, ML qui cite Jacques Attali, a raison. Aux USA, les pourcentages sont un peu différents. Du moins à Wall Street. Vu le pourcentage de Juifs à NY, il serait difficile de trouver, dans le monde de la finance, des catholiques en majorité.
En fait les grandes-banques sont plus protestantes que catholiques. Crédit Lyonnais, UBS, Crédit Suisse…
Les Rotschild ne sont en fait que la centième fortune en Angleterre.
C’est bizarre qu’on les appelle des « barons » car à l’origine le mot « baron », dans la noblesse française, n’est pas un titre. Il désigne ceux qui ont le pouvoir autour du roi, qui font partie du conseil du roi.
>Hildenstein vous avez suffisamment de temps passé à vous relire & corriger vos multiples bourdes, ne changez rien, changez, je n’en ai rien à carrer ! Vos coms sont des hiéroglyphes je n’ai rien mais alors rien du tout de Champollion : continuez vos charmants monologues abscons sauf à vous-même.
@mauvaise langue
peut-on vous inviter à vous relire : vous écrivez les Rotschild et plus d’une fois : pour un professeur qui s’offre en exemple d’attention et en réclame, et avec des égards!
vous vendez les « h » ? de l’Histoire ou … des Hormones de cHroissance ?
TKT 20h11
Mais qui vous parle de vos origines,
personne.
Perso je m’en fous.
Vos propos m’amuse souvent (leur naïveté) m’irrite tout aussi souvent (leur indignité) mais qui étaient vos parents, je m’en glande, alors pas de grandes phrases qui n’ont aucune raison d’être
@ rose: je vous emmerde !
>ML Je vais le lire ce livre : mais j’apprends que les juifs n’avaient pas le droit d’avoir de terres ni d’être paysans ni d’enseigner et que donc à part les affaires, ils étaient exclus de toutes autres « occupations » dites tripalium. Et puis cette manière de s’intéresser à l’art, cette culture immense, je suis baba.
Oui j’allais parler de la branche anglaise dont fait partie James apparemment.
eh bé : vous êtes capable d’adaptation rapide : c’est un plus.
Moi non, pas du tout.
Banque Lazard aussi.
« le moi non » s’adressait à hildenstein. Sur les blogs il y a 40 millions de rose. Passez vos nerfs sur un autre maintenant : le métier des gens ne vous regarde pas ; on ne vous renvoie pas le vôtre à la figure de manière insane.
peut-être un lien avec les Baronnies.
@rose : on vous a déjà dit que vous écrivez sur les blogs comme si vous vous adressiez à des ados en maison de redressement avec cette nuance que vous parliez trop de votre vie privée …et que ça bassinait ..votre genre « moi la panthère rose , je parle votre bloglangue « … point trop n’en faut !et carrez-vous le où vous voulez .
1981 : Mitterrand au pouvoir => banque Rothschild nationalisée.
Rose, voilà ce qu’en dit Fernand Braudel dans La méditerranée et le monde méditerranéen à l’époque de Philippe II :
« Il y a bel et bien une civilisation juive, si particulière qu’on ne lui reconnaît pas toujours ce caractère de civilisation authentique. Et pourtant elle rayonne, transmet, résiste, accepte, refuse ; elle a tous les traits que nous avons signalés à propos des civilisations. Il est vrai qu’elle n’est pas enracinée, ou plutôt qu’elle l’est mal, qu’elle échappe à des impératifs géographiques stables, donnés une fois pour toutes. C’est sa plus forte originalité, non la seule. »
« Son corps est dispersé, éparpillé comme autant de fines gouttelettes d’huile sur les eaux profondes des autres civilisations et jamais confondues, ce qui s’appelle confondues, avec elles, cependant toujours dépendantes de celles-ci. De sorte que leurs mouvements sont aussi les mouvements des autres, par suite des « indicateurs » d’une exceptionnelle sensibilité. »
C’est cette civilisation juive en Europe qui, aujourd’hui, est en train de disparaître à tout jamais. La fin d’un cycle qui aura duré plus de mille ans.
qui est « on « ? Vous ? Ayez le courage de vos opinions : c’est le seul intérêt du pseudo unique : sous pseudos multiples, on injurie bien plus facilement ; vous semblez n’avoir guère de difficultés. D’où ma remarque sur « gardez le même pseudo ». Maintenant faites de vous ce que bon vous semble.
vous n’avez pas à faire assez de /avec vous-même?
Foutez-moi la paix.
Vous ne m’intéressez en rien.
Je dis de ma vie privée ce que je veux et je ne dis pas ce que je ne veux pas : occupez de nettoyer vos matières stercoraires (merci C.P).
effectivement, j’ai suivi assez les parcours de certains à travers certains blogs pour reconnaître des demandes . après l’épigénétique, rose est une bonne introduction à l’épimerdique .
je n’en fais ni un herpès, ni un hermès , ni une kermesse
La mauvaise langue dit: 3 février 2013 à 20 h 41 min
Rose, voilà ce qu’en dit Fernand Braudel dans La méditerranée et le monde méditerranéen à l’époque de Philippe II :
>ML, grand merci
j’ai le Braudel l’espace et l’histoire sur la Méditerranée : je vais l’ouvrir : jamais je n’ai été impressionnée autant qu’à Cordoue en ce qui concerne le côtoiement des juifs des musulmans et des chrétiens.
à + M.L.
c’est vrai, il y a l’écurie de Rothschild , merci rose , Il a dû augmenter depuis le temps !essayez les ateliers d’art de France, il y a des gens assez doués qui proposent des créations
il a dû augmener: le tour de tête de Rose!
« je n’en fais ni un herpès, ni un hermès , ni une kermesse » hidden stairs dit le 3 février 2013 à 20 h 45 min
Mais un pès déliquescent(ou podatus), oui!
non , Rose, mais relisez un peu d’autres commentateurs : » on » ce n’est pas « moi » !
et c’est sur un blog du monde que vous avez été vous plaindre que vous étiez insultée et que le « proprio « (clavier canniblae) dudit blog a ontesté votre interprétation.
vpus prétendez en plus légiférez sur les pseudos , pathologie des blogs , oui !
je ne le vends pas que je sache !
c’est vrai que j’ai connu plusiers femmes de prénoms « rose », ça date aussi , un prénom , meême en pseudo .
Sur les blogs il y a 40 millions de rose.
Nom de Dieu, une pandémie!
qu’à cela ne tienne, je peux essayer
vous prétendez légiféreR !
…
…les affaires reprennent,…des discutions en roue libre,…mon énergie en poste-gratuite,…
…quel pub,…pour l’abbé Pierre,…donner au faux mendiant pour les intérêts,…y en a qui en sont mort à crédit,…
…c’est pas tout çà,…ils vivent intelligemment dans le système,…guide ou victime,…mystères,…
…
…si on pourrait avoir une régulation des priorités dans l’enchevêtrement des systèmes d’état,…
…apprendre à offrir en priorité le bonheur, la sécurité, la dignité, et le luxe d’avoir à refuser les remerciements et autres cadeaux,…
…pour en être de la très haute d’en être,…sur terre,…des corporations et sociétés à favorisés les vrais abrutis au pouvoir,…pour facilités vos manigances de barons du lucres,…notre chevalier Bayard sans peurs et sans reproches pour son profit à court ou à long terme,…d’intérêts,…
…du genre comment ruiné la cour de Roger II de Hauteville,…roi de Sicile,…
…au bénéfice d’être larguer à Rome,…pour ruiné la papauté de ces temps-là,…belle famille en être de la tribu à escroqués le monde entier,…avec titre en plus,…Ah, Ah,…
…etc,…
Rose, il ne faut pas non plus s’exagérer la tolérance des musulmans à l’égard des Juifs en terre d’Islam, notamment en Espagne au Moyen-Âge.
Les Juifs sont tolérés en vertu du « Pacte d’Omar », texte qui est rédigé de manière définitive au Xè siècle (cf. Béatrice Leroy, Les Juifs du bassin de l’Ebre, J&D éditions, 1997). Ils ne sont pas de vrais croyants pour leurs maîtres musulmans. Ils ont de ce fait un statut inférieur de sous-hommes. Ils peuvent vivre et pratiquer leur culte sous la loi islamique mais ils doivent payer une capitation, la « djizieh », qui est leur rachat de ce droit à l’existence. Ils n’ont pas non plus le droit de construire de nouvelles synagogues ni même réparer, agrandir les anciennes. Ils ne doivent pas, sauf autorisation spéciale, chevaucher de montures nobles, réservées aux seuls croyants de l’islam. Il portent un signe distinctif humiliant, ils doivent vivre en marge des habitants qui relèvent de la loi islamique (très majoritairement la population ibérique est massivement entrée dans l’islam, convertie de gré ou de force, dès le VIIIè siècle). Les Juifs appartiennent corps et âme, avec leurs biens, à l’émir de Cordoue, devenu Calife de Cordoue en 929.
NEW DELHI — A crowd of Tibetans came here to India’s capital last week, bearing flags and political banners and a bittersweet admixture of hope and despair. A grim countdown was under way: The number of Tibetans who have set themselves on fire to protest Chinese rule in Tibet had reached 99, one short of an anguished milestone.
ML,vous savez quand même, que le titre de baron de la branche Française des Rothschild, vient d’un décret Allemand. C’est un titre assez relatif, car il ne donne aucun privilège sur des terres. C’est la Légion d’Honneur en plus chic et héréditaire. Dans la noblesse allemande, tous les membres d’une famille ont droit au titre.
À Saragosse, la communauté juive compte au Moyen-Âge plus de deux mille âmes. À Pampelune, cinq à six cents ; à Tudela, un millier.
Oui, c’est ce que je veux dire. L’appellation « baron » n’est en réalité pas un titre noble. Si on les avait nommé comte ou marquis ou duc, ç’aurait été un vrai titre. Mais baron ? D’ailleurs au XVIè siècle en France, il n’y avait aucun baron mais de vrais titres pour les Portugais.
Rose, en 1981, Mittterrand étatisa toutes ls banques,pas uniquement la Banque Rothschild.
Aujourd’hui la Banque Rothschild a son siège à Zürich.
J’ajouterais que quand François Hollande parle d’empêcher les banques Françaises d’être présentes dans les « paradis fiscaux », il parle de quoi ? Ou plutôt à qui ?
Compte t-il fermer les filiales des instituts Français ?
« D’ailleurs au XVIè siècle en France, il n’y avait aucun baron mais de vrais titres pour les Portugais. »
Mimi
Peut-être une forme secondaire d’alzheimer.
Pauvre Mimi, si jeune encore (12 ans en 68)
Baron n’est pas un titre ?
Ne dites pas cela à Annie Cordy, elle tient beaucoup à son titre de baronne Belge.
Si ce n’est qu des signes de maladies dégénraives peuvent êre identifiés chez des gens de moins de 50 ans , ces facilités de ce blog ennuient et m’obligent à rappeler le mot de Heine que « Dieu pardonnera c’est son métier » je signale , couvrant ette priode , de nombreuses histoires dites d’humour juif dans les livres de Judith Stora qui est un des maillons fertiles de la transmission de l’humour et ce n’était pas latterie de ma part lorsqu’elle me confia son désir d’avoir été une artiste qu’elle était une artiste du genre (un article sur le dernier livre sur fabula. j’avais adoré la somme « : De Job à Woody Allen » )
dégénératives
ah le baron perché , bien sûr
en langue courante, le Mimi part en couille.
« Aujourd’hui la Banque Rothschild a son siège à Zürich »
TKT
Vous êtes sûr Thierry ?
Ne vaudrait il pas mieux vérifier
je vérifie comment ça passe bien ou mal en mettant un lien
Juifs, judéite à Paris au début du XIXe siècle
revue persée
couvrant cette période
et que dieu se charge de corriger les autres
négligences : je n’en peux plus .
ML, croyez vous sincèrement que seulement 10% des Français, en 2013, parlent une langue étrangère ?
Les 90% restant ne font pas d’études supérieures scientifiques ? Ni sont étudiants en Economie etc…
Sans oublier les régions dont les dialectes favorisent l’apprentissage des langues des pays limitrophes.
Et que faites vous de nos compatriotes aux origines étrangères, qui parlent arabe, entre autre…
J’avais bien dit être fainéant et avoir envie d’utiliser les mots qui me viennent le plus rapidement.
pour remrcier P.Assouline de son billet, je propose une citation avecc un lien : de gerz Clifford
« Between 1945 and 1965, about fifty-four, depending on how you count, new, independent states, with borders, capitals, armies, leaders, policies, and names appeared in the world. Between 1965 and the end of the century, depending again a bit on how, and whom, you count, fifty-seven more appeared. All the major colonial empires-British; Dutch; French; Spanish; Portuguese; American; German; Australian; and, via the Pacific war, the Japanese; via the collapse of communism, the Russian-dissolved, most relatively peacefully, a few-India, Algeria, the Belgian Congo, the East Indies, Kenya, Indo-China-amid spastic outbursts of generalized violence. »
http://www.fehe.org/index.php?id=434
@ D. habité par un doute:
Vous devriez ne pas mettre en doute automatiquement, ce dont vous n’avez aucune idée:
Source Banque Rothschild Zürich, Mühlebachstrasse, Zürich. Bien entendu il y a aussi des bureaux à Genève.
Members of the British and French Rothschild families set up the bank in Zurich (Switzerland) in 1968. Since then, it has grown into an international private banking group with offices in nine major cities around the world, serving a varied international clientele. The same proud banking heritage, innovative financial skills and highly personalised services that distinguish Rothschild’s activities throughout the world form the basis of the Zurich Bank’s ability to help clients achieve their goals.
D. je ne vous traduis pas, le site de la R.B. doit aussi avoir une page en français.
La plupart ont oublié ce qu’ils ont appris à l’école comme ils ne le pratiquent pas tous les jours. Ça fait pas plus de 10%.
excuses : Clifford Geertz
comme un salut à Bloom
L’actuel château de la Muette, siège de l’OCDE, fut construit par un Rothschild dans les années 20. Les fêtes y furent brillantes, les collections somptueuses occupaient les lambris. Puis la guerre vint… et le commandement de la marine allemande.
Je regarde le Super Bowl en ce moment et pensais justement au bizarre mélange de patriotisme et de connerie servis pendant le préambule…dont je retrouve des échos ici même ce soir…ML nous fait que les juifs ont toujours été pauvres , même les ‘aristos…j’ai fait l’école en Angleterre avec un Rothschild et c’était un trouduc de première, un que JC serait fier d’avoir sur son scooter…bref, je peux pas tout relever, y a un match a la TV hein, mais je voulais juste remarquer que les musulmans sont tenus de payer un pourcentage de leur fortune chaque année a la charité, la Zakat, qui est un des 5 piliers de l’Islam…donc si un royaume musulman avait aussi des sujets juifs ou chrétiens, et que ceux-ci n’étaient donc pas concernés par la Zakat, car non-musulmans hein vous me suivez toujours ? cool…donc la Djazieh compensait …ensuite ML nous dit (faut le croire il est prof de p’tite histoire) sert cette connerie de premiere :’…Il portent un signe distinctif humiliant, ils doivent vivre en marge des habitants qui relèvent de la loi islamique…’ euh…une étoile jaune peut-être ? tain, z’etes grave…bientôt vous allez nous sortir les camps de concentration d’Oran et de Bechar et les rallies nazis de Tipaza…franchement, j’ai pas le morale a ca mais comme disait Goebbels, si on répète suffisamment un mensonge, il devient une vérité…c’est finalement peut-être pour ca que je repasse encore sur ce site, y a tellement de conneries dites sur les arabes et les musulmans que je sacrifie le peu de temps que j’ai pour essayer de raconter une autre version des choses…je vous l’ai déjà dit braves gens : Auschwitz, c’était pas les arabes ni l’Islam…non, regardez plutôt a cote de chez vous…oui je sais, Beethoven, Goethe, Nietzche et les valkyries…sehr schon…
Le statut de Dimmi, c’est-à-dire de sous-homme, avec la capitation appelée djizieh (p. 16, Béatrice Leroy, Les Juifs du Bassin de l’Ebre, J&D, 1997). Eh, je comprends qu’il n’accepte pas la vérité, l’Abdel…! Et c’est pas qu’au moyen-âge la dimmitude. Faut, lire, mon p’tit Abdel, faut se culturer, y’a pas que la City dans la vie ; tiens, je te donne le meilleur pour ta culture, de Bat Ye’Or, une juive égyptienne émigrée à Londres, elle sait de quoi elle parle quand elle parle de dimmitude dans les pays arabes : Eurabia, l’axe euro-arabe, Jean-Cyrille Godefroy, 2007. Ça t’ouvrira p’tête la caboche comme disait ma brave grand-mère.
Oui, les Juifs en Espagne devait, sous la férule musulmane, porter un signe distinctif humiliant (idem, p. 16). Comme sous la férule chrétienne ou nazie.
Ce qui m’importe le plus , c’est l’influence disproportionnée de l’AIPAC (le lobby israelien aux USA, pour les malentendants) sur la politique extérieure des USA…en ce moment même, Chuck Hagel, le proposé de Obama au Pentagone est en train de suer devant le Senat a cause qu’il aurait dit quelque chose comme quoi qu’il était sénateur US pas israélien, et que sa loyauté était envers ses électeurs américains d’abord et que bombarder l’Iran n’était pas dans l’interet des USA…il est possible qu’il soit empêché…quel que soit le dénouement, des questions vont etre posées les réponses auxquelles ne feront pas l’affaire de AIPAC…bon je retourne au Super Bowl…
Les Juifs en terre d’islam peuvent élever leurs synagogues et leurs bâtiments communautaires s’ils payent le Backchich (don, argent donné pour remercier ou pour l’acheter).En 785, Gérone est libérée de sa garnison musulmane, Barcelone en 801, qui devient la capitale de la Marche d’Espagne de l’empire carolingien, où les princes catalans sont en fait très indépendants et libres de leurs intitiatives militaires face à l’islam.
Oui, ne dévions pas la conversation. On parle des Arabes ! Et là dessus, vous dites quoi ?
ML, vous me tutoyez maintenant? on n’a pas fait la bar-mitzva ensemble, non? sinon, vous croyez ce que vous voulez et lisez et copiez-collez ce qui vous chante…cela ne change rien a rien…il y a l’histoire et puis il y a les récits ad hominem, dont les vôtres et ceux de vos références…l’histoire c’est ce qui reste quand le bruit s’est éteint…mais vous deviez le savoir, vous qui seriez presque agrégé si ce n’était pour la RATP…
Le quartier juif a été massacré par l’émir Al-Mansur, en 985, lors d’un raid musulman, une « saïfa », à Barcelone, ravagée. C’est pour les Catalans la date de naissance de la Catlogne d’ailleurs.
Si, ça change tout. Ça vous ferme au moins pour un tempe votre vilain caquet de menteur !
récits ad himonem mon cul, oui !
Les Almoravides à partir de 1086 traversent le détroit depuis le Maroc à l’appel de l’émir de Séville et sont victorieux du Cid en 1099. Les Almohades, après 1150, suivent la même politique d’intransigeance de l’islam, encore plus meurtrière pour les Chrétiens. Alors qu’on ne nous parlent pas de tolérance des Arabes musulmans envers les Juifs et les Chrétiens en Espagne !
‘…Faut, lire, mon p’tit Abdel, faut se culturer, y’a pas que la City dans la vie…’
la City (et Wall Street, Francfort, Tokyo et même la bourse de Paris tiens) c’est ce qui détermine les vecteurs de votre p’tite vie de p’tit prof provincial hysterique, si vous voulez vraiment approfondir la chose…on peut ou pas aimer, mais c’est un fait…tout comme la loi de la pesanteur…et dites vous ceci: je sais plus sur la littérature que vous ne saurez jamais sur le monde de la banque…et contrairement a vous, je ne parle que de livres que j’ai lus…et vous? que pensez vous de la page noircie de Sterne? la préférez-vous a la page marbrée? perso, j’prefere la page noircie…
La mauvaise langue dit: 4 février 2013 à 1 h 39 min
récits ad himonem mon cul, oui !
ha ha ha…very funny…c’est bien ca…devriez essayer plus souvent de vous relaxer, z’etes trop tendu……chill out comme disent les anglishes…pas assez de cul-cul dans vot’vie…devriez aussi aller voir Mme Fifi de temps en temps, ses pensionnaires sont toujours excellentes travailleuses et vous en donneront pour votre argent…excellent rapport qualite-prix…
Pauvre minable, vautré devant sa télé ! C’est vous qui en faites le plus de mal aux Arabes avec l’image épouvantable que vous donner ici d’eux depuis des années !
Moi, l’image que donne Abdel me navre car on peut être partisan, mais menteur c’est au dela des limites du bon goût.
Il n’y a jamais eu multiculturalisme « égalitaire » lorsque les musulmans étaient au pouvoir. Il y a eu paiement de la dîme, interdictions spécifiques, et coexistence NON pacifique entre les différentes religions. Tout musulman pouvait dominer sans souci tout sous-homme non musulman. Toujours. Partout.
Voulez vous un exemple actuel ? L’évolution décroissante en nombre, en territoires islamisés, des populations « dérangeantes », juifs et chrétiens !
ML a raison : lire EURABIA, plutôt que regarder à la TV des footballeurs débiles taper dans un seul ballon, alors qu’ils ont le moyen d’en avoir un par personne !
ma mère..c’est la république du livre..bamosse
Boug, laisse ta mère tranquille, elle t’a réalisé et le moins qu’on puisse dire …
JC, vous cherchez quoi, au juste? Un clash des civilisations, dans le droit fil des Néo-cons us? Remarquez, en matière de néo-cons, vous êtes plutôt du genre vieux-con, archéo-con, ‘tain con!
Dans mon quotidien professionnel je me situe à l’opposé de votre petite praxis existentielle dont l’effet, sans ce blog, ne doit pas dépasser au maximum un rayon d’action de 3.5 kms.
Ce blog donne la parole à des insiginifiants de votre acabit, c’est la loi du genre. Personne n’est dupe cependant: dans la Vraie Réalité, votre influence sur le cours des choses est celle de l’homme des foules, limitée. On vous prendra à votre juste mesure, celle de Tom Pouce.
Il m’est doné la chance de pouvoir impulser, mettre en oeuvre et représenter une action artistique et culturelle internationale qui s’inscrit résolmument contre tout ce que vous prêchez. Belle occupation que celle qui consiste à mettre les gens et les insitutions en relation, à les faire travailler ensemble, se découvrir, s’enrichir au contact de l’autre.
Une télevision francco-allemande de qualité viendra très prochaiement rendre compte d’un de nos projets sur la mode impliquant désigners européens et asiatiques, dont, horresco referens, des musulman(e)s. Miam, miam…
Il y a plus dans ce vaste monde que votre myopie haineuse y discerne difficilement ou que vous en racontent les paranos belliqueux qui vous font tant frétiller quand ils parlent de foutre sur la gueule de l’Autre.
L’universel et la diversité, je les côtoie chaque jour dans mon métier: ce qui rapproche les êtres est bien plus fort que ce qui les sépare. Je vous plains.
Ironiquement, le plus dangereusement multiculturel de tous, c’est vous, qui essentialisez l’autre, selon son appartenance religieuse, ethnique, ou autre.
Vous êtes l’incarnation semi-vivante des préjugés les plus vils et les plus crasses.
Une allégorie de la crétinerie, en sus d’un moins que rien, ça fait un pas grand chose.
« La mauvaise langue dit: 4 février 2013 à 1 h 43 min »
la première période était tolérante ( de réels échanges dans tous les domaines) ; ça s’est gâté…puis vint le règne des massacres et expulsions au nom de la sainte inquisition, si chère aux neuneus
@Bloom (4 février 2013 à 10 h 10)
Bien envoyé!
Bloom,
Vous êtes l’incarnation semi-vivante des préjugés les plus vils et les plus crasses.
Une allégorie de la crétinerie, en sus d’un moins que rien, ça fait un pas grand chose.
Ma foi, ça marche aussi dans ce sens là ! Vous m’avez apporté une qualité expressive remarquable, ami Bloom ! Enrichissante… merci !
La mauvaise langue dit: 3 février 2013 à 22 h 11 min
« À Saragosse, la communauté juive compte au Moyen-Âge plus de deux mille âmes. À Pampelune, cinq à six cents ; à Tudela, un millier. »
Quelle magnifique ville que Tudela, ML!
Il m’est arrivé de travailler pour une société située dans ce bel endroit où séjournent les cigognes en plein centre ville, protégées par la loi, sur le toit des immeubles anciens et dans les feux des projecteurs, la nuit.
Ces albatros nocturnes bougent imperceptiblement leurs ailes à croire qu’il s’agit d’automates qui font décors.Spectacle quasi fantastique!
Le passage des pèlerins de Saint Jacques de Compostelle y est patent par les monuments et les sculptures aussi.
Bloom,
Vous allez vous facher, mais … dans ce que vous majusculisez de ridicule façon, ce que vous appelez à 10h10 « la Vraie Réalité », vous n’êtes qu’un petit bout de chou culturel prétentieux.
Si vous cessez votre action : rien ne changera. Il n’y aura pas de désastre … vous êtes inutile !
Tout est réversible dans le discours de l’extrême droite. Tellement prévisible. Vous cannibalisez sans vergogne, en bon petit soldat de l’imposture, doté d’un rayon d’action de 3.5km.
La culture des riches fait faire dans son froc au pauvre, Bloom et JC!
Exemple récent.
Faux, Bloom, faux !
Mon rayon d’action est bien plus grand que 3,5 kilomètres ! Je suis ravitaillé en vol par les amis Ecossais qui chargent leurs soutes dans les Islay en Lagavulin bien tourbé.
« Dans mon quotidien professionnel je me situe à l’opposé
Belle occupation que celle qui consiste à mettre les gens et les institutions en relation, à les faire travailler ensemble, se découvrir, s’enrichir au contact de l’autre.
L’universel et la diversité, je les côtoie chaque jour dans mon métier: ce qui rapproche les êtres est bien plus fort que ce qui les sépare. » (Bloom)
Vous avez bien raison de vous réjouir de ce travail, Bloom, et je vous souhaite de réussir dans ce milieu (que je connais un peu).
Mais la question qui était posée n’était pas celle de la diffusion ou de la coopération culturelle à l’étranger: c’est quelque chose qui se fait sans difficulté, entre « adultes consentants », ayant choisi de nouer des liens par intérêt et parfois passion pour le pays d’en face.
La question qui était posée est celle de cet « enrichissement » mutuel dans votre propre pays, au contact de voisins, concitoyens dotés des mêmes droits que vous, et dont les références culturelles ont divergé, sous l’effet de phénomènes démographiques ou économiques qu’ils n’ont pas eux-mêmes choisi.
Après votre retour en France, il restera vrai que « ce qui rapproche les êtres est bien plus fort que ce qui les sépare ». Simplement, la politique au quotidien des rapports entre « l’universel et la diversité », dont vous parlez, soulèvera des problèmes d’une nature très différente.
La générosité cosmopolite (et un peu abstraite) vécue à l’étranger est un sentiment gratifiant mais elle n’est pas nécessairement applicable telle quelle dans un contexte national, où vous avez à répondre à des mises en causes, parfois fondamentales, de vos convictions par des concitoyens dont vous n’êtes pas séparé par l’agréable nuage du statut diplomatique.
Sur l’histoire des Juifs d’Espagne
http://www.sefarad.org/sefarad/sefarad.php/id/38/
Merci pout le tweet Pierre Assouline concernant la minute de poésie à l’ Assemblée!
« J’ai l’impression d’être ridicule
dans leurs souliers
dans leur smoking
dans leur plastron
dans leur faux-col
dans leur monocle
dans leur melon »
Léon Gontran Damas
(Belle intervention dans les commentaires de Nicole Pédia in Minorité n’est pas communauté.)
Evaluation du pouvoir ,JC sort à peine d’un rayon mesurable au Moyen-age et peut rejoindre le précédent billet,la puissance de Bloom dispose de la portée des armes contemporaines,l’homme des foules un mésérable insecte voué à l’orchestration qui ne l’atteindra en aucune façon,que d’efforts se perdent à contempler la barre en haut sachant que les retombées atmosphériques ne pourront que consolider l’immuable ,des mondes cloisonnés coexistent ,organisation.Chacun à sa place dans une situation figée,respectant l’ordre et la grandeur,avec cérémonie,prosternation,révélation.Ce billet me fait penser à Belle du Seigneur avec ces A et ces B la noblesse d’esprit et les commentaires à ce qui arrive en même tant que les prémices de la montée du nazisme,la déchéance qu’ont à vivre des êtres d’exception lâchés de tous cotés par des appuis pourtant si surs .
La décoration très sobre du hall du château de Ferrières me séduit beaucoup.
ueda, êtes vous si sûr de cela ? Que « ce qui rapproche les êtres est bien plus fort que ce qui les sépare « .
Belle profession de foi.
Bel humanisme universel de salon ! Malheureusement, tout prouve que, certes, cela serait souhaitable, mais qu’il n’en est rien depuis toujours !
inscrite dans le marbre des temps mais préférant granit et ardoises plus sobre et à l’épreuve du séisme ,je craindrais qu’un tableau de maître ait à souffrir d’un décrochage inopiné occasionné par quelque faillite ou crise pétrolière .
Feng Chui dit: 4 février 2013 à 11 h 44 min
La décoration très sobre du hall du château de Ferrières me séduit beaucoup.
C’est sûr qu’un locataire japonais qui ne serait pas autorisé à faire le vide mourrait d’hypocondrie.
Remarquez que comme dans les peintures chinoises, il faut un certain temps pour s’apercevoir que des vivants figurent, tout petits, dans le tableau. Les morts prennent plus de place.
Notre ami ML, qui aime parfois les majuscules, dira si ceci exalte l’humilité devant l’Histoire, plutôt que devant la Nature.
plus sobres
« ueda, êtes vous si sûr de cela ?
Belle profession de foi.
Bel humanisme universel de salon ! »
Précisément, JC, c’est une profession de foi (une idée-de-la raison, comme disait le penseur de Königsberg), ce qui implique que je n’en sois pas sûr.
Vous n’êtes pas très gentil pour les salons.
Certains ont développé naguère des horizons infinis…
N’est-ce pas un membre sympathique de cette grande et ancienne famille qui a racheté le journal « Libération » et participe à la protection en mode survie d’une espèce de la presse en voie de disparition?
Café
« Ce qui rapproche les êtres est bien plus fort que ce qui les sépare ».
C’est une phrase qui peut avoir des sens multiples, en raison de l’ambiguité du mot « rapprocher »
(a) « Ce qui les êtres ont en commun est bien plus important que ce qui les différencie ».
(b) « Ce qui attire les êtres les uns vers les autres est bien plus fort que ce qui les éloigne ».
Hein.
Se foutre sur la gueule exige que l’on soit proche.
Comme les viols en famille.
Ma foi, ueda, croyez en la profession de salon de l’ami Bloom ! Je reste, quant à moi, dubitatif devant les optimistes qui n’acceptent pas les insuffisances du réel comme constitutif de ce réel…
Les optimistes persuadés de venir à bout des difficultés le temps d’une vie,vision à court terme rassurante ,il est des situations par temps clair et dégagé qui le rende plus facile néanmoins,ne pas demander aux ouvriers de PSA comment ils se projettent dans leur propre vie et dans l’Histoire.
« Ma foi, ueda, »
En commençant une phrase par Ma Foi, ami JC, vous êtes à deux doigts de filer du mauvais coton.
ce qu’aligne Ueda serait?
a-le rapprochement a lieu sur le territoire commun,celui de l’intersection .
b-ce qui rapproche les êtres n’est pas nécessairement admirable et pourrait constituer pour d’autres un motif d’éloignement .
…
…vivre comme un ange au milieu des cafards,…
…Prométhée ce feux,…
…Mars,…ce sang impur abreuve nos sillons,…
…
…la renaissance antique,…
…putains,…y a plus de juifs, plus de musulmans, plus de german – britich,…plus de chinois , plus d’hindous, plus de japonais, plus d’incas, plus d’écossais, plus d’hollandais,…
…sûr que je rêve,…pas besoin de me pincer les « couilles »,…elle sont encore pleine d’espoir,…baiser pour les titans germains à Zeus,…Oui,…Cronos, des sources,…Non,…je ne boirait pas de ton eau,…
…café, limonade, vins et spiritueux,…
…
…à chaque époque ses véritable » vampire », à pognon,…les vestales des temples,…un jour,…et les garçons- manqués d’hôtels tous compris de saut – d’homme et goth – home,…
…la pandémie des sauf- y – tell,…
…sur 40.000,…une protestante de l’oignon en boîte à musique,…les caches – Ö -, d’après çà me soûl – âge, le tie-quêtte-l’avion aux €uros des paradis à l’hydromel et huile de ricin,…
…les cheveux plus long,…après usages,…
…etc,…c’était quoi le sujet du jour à ce blog,…d’enfer,…encore au frigo,…de baby-lionne du pain,…etc,…
…et des pissenlits au pop-corn,…autant pour moi,…les hérétiques à poils de chameaux,…
…Non,….pas çà,…il faut en hêtre,…Oui ou non,…des titans,…
Bloom 4 février 2013 à 10 h 52 ‘Tout est réversible dans le discours de l’extrême droite. Tellement prévisible. Vous cannibalisez sans vergogne, en bon petit soldat de l’imposture, doté d’un rayon d’action de 3.5km.’
Depuis la perte de son empire colonial, le petit JC n’a plus que son petit parc et ses petits joujoux
patriotisme ou cosmopolitisme, il faut choisir, mon général
le calligraphe chinois Chiyi Lin, l’alphabet hébraïque éclaire de ses différentes étincelles le sens caché des signes. Les textes inédits d’André Chouraqui, de Shmuel Trigano et d’Hélène Cixous en introduction invitent au questionnement. Cet ouvrage d’art est édité avec le concours de l’Institut Alain de Rothschild et la responsabilité éditoriale a été confiée à Danièle Neumann. » De l’idée à la réalisation définitive, ce projeta pris forme comme dans un rêve comme si les lettres elles-mêmes communiquaient avec l’œuvre. « .
Si vous cessez votre action : rien ne changera. Il n’y aura pas de désastre … vous êtes inutile !
—
Ce n’est certainement pas à vous, le cynique du village, qu’il revient d’en juger, mais à mes employés, à nos partenaires et à la puissance publique, dont je me dit qu’elle consitue un rempart efficace contre des minables nihilistes de votre sous-espèce.
Ueda, je vous sais gré de votre lucidité et de votre appréciation. Je comprends ce que vous voulez dire, mais je n’ai pas l’impression d’être dans l’abstrait: la direction d’un centre culturel n’a rien d’abstait, on ne dirige pas une centaine de personnes sur plusieurs lieux à force d’abstraction. Le recrutement des enseignants, personnels de service et administratifs ne laisse pas beaucoup de temps au rêve. Justement, un de mes responsables d’antenne vient de nous quitter pour aller faire de l’interprétariat en Afrique au sein des forces de maintien de la paix de l’ONU. Le profil de son/sa remplaçant(e)? Vous aurez deviné. TSJC : tout sauf…
Le zéro aura compris que notre activité fait vivre des familles entières et est insérée dans un réseau dense d’activités économiques.
» Le recrutement des personnels de service et administratifs ne laisse pas beaucoup de temps au rêve. » Bloom dit: 4 février 2013 à 13 h 14 min
Mais il laisse d’énormes loisirs à la pratique du discours virtuel sur ce blog!
Bloom pratique la langue de bois qui se pratique à gauche. C’est normal, il n’est pas sujet de son discours, il est traversé par l’idéologie pro-arabe et anti-israélienne du parti socialiste depuis bien avant Mitterrand. Seul Mitterrand fut à ce sujet une exception.
Mais à gauche aussi, tout est réversible ; il n’y a pas seulement qu’à l’extrême droite. La gauche au Mali est en train de revoir ses fondamentaux anti-israéliens et pro-arabes. Parce que ce qu’elle dit des islamistes du Mali, elle pourrait le dire tout autant des islamistes du Hamas dans la bande de Gaza, comme de Mahmoud Abbas à Ramalah. Pour le moment, la gauche est schizophrène, mais ça n’aura qu’un temps.
Les soldats français au Niger sont déjà à l’œuvre, en train de protéger les mines d’uranium. La langue de bois n’aura qu’un temps.
C’est bizarre, Bloom s’attaque à JC qui dédaigne d’argumenter (on peut le comprendre après tout), mais pas à ML qui n’hésite pas à sortir l’artillerie lourde de ses immenses lectures pour pulvériser l’adversaire.
En tout cas, merci ML de remettre en perspective la fable de l’Andalousie heureuse sous la domination musulmane. Heureuse oui, pour les maîtres et colonisateurs musulmans (les hommes surtout), beaucoup moins pour les dhimmis juifs et chrétiens, humiliés toujours, massacrés de temps à autres.
La dernière que j’ai apprise sur la tolérance musulmane: un français épouse une marocaine. Il demande naïvement un passeport marocain, croyant y avoir droit comme ce serait le cas en sens inverse…On lui demande un certificat de conversion à l’Islam! A quelques kilomètres des côtes de l’Europe, un pays réputés l’un des moins fanatiques du monde musulman exige l’adhésion à la religion dominante pour donner un passeport…
Et pendant ce temps, Bloom travaille dans sa bobosphère à la concorde universelle. Je ne méprise pas son travail, loin de là, mais il est à la guerre des civilisations ce qu’est l’IMA ou le Département des Arts de l’Islam à l’océan d’obscurantisme et de fanatisme que représente le monde musulman, dont à peu près tous les représentants éclairés et vraiment libres de parole sont réfugiés en Europe ou en Amérique.
Les adversaires de JC n’ont ici que des propos insignifiants et infantiles à faire valoir. Si encore vous vous armiez d’arguments frappants, mais vous prétendez défaire une armée avec des pièges à rats. Vous êtes vraiment ridicules.
Cette histoire de d’optimisme/ pessimisme, JC, évoque toujours chez moi un épisode qui, depuis que je l’ai lu (bien tard) m’est resté en mémoire.
L’un des meilleurs penseurs du politique qu’ait connu le siècle dernier était Julien Freund, moins connu de d’innombrables bavards parce que tenu un peu en marge de l’institution universitaire.
C’était un jeune résistant revenu de ses rêves (son chef de maquis avait dénoncé et fait exécuté une femme par vengeance personnelle, après que les autres camarades l’aient violée), qui a fait une thèse publiée sous le titre « L’essence du politique », l’un des grands textes écrits par un Français sur ce thème. Il l’avait conçue après un choc ressenti à la lecture de Carl Schmitt (il était allé le voir à Plattenberg pour lui demander des comptes sur son anti-sémitisme). Il n’était pas pour autant schmittien.
Sa soutenance en Sorbonne (en 1965) a illustré de manière exemplaire la confrontation de la lucidité intellectuelle et de la niaiserie humaniste universitaire. Raymond Aron, remarquable comme toujours par sa hauteur de vue, a déclaré : « Je voudrais saluer M. Freund qui va soutenir cette thèse que je trouve géniale, mais je voudrais également souligner le fait que c’est un résistant. Qu’un résistant ait écrit une thèse pareille, c’est extraordinaire. C’est pourquoi je vous demande de vous lever ».
Le célèbre spécialiste de Hegel Jean Hyppolite (directeur de l’ENS) était au jury, et avait refusé d’être le directeur de cette thèse au motif suivant : « Je suis socialiste et pacifiste. Je ne peux diriger en Sorbonne une thèse dans laquelle on déclare ‘Il n’y a de politique que là où il y a un ennemi’ ». Lors de la soutenance, Hyppolite dit : « Reste la catégorie de l’ami-ennemi définissant la politique. Si vous avez vraiment raison, il ne me reste plus qu’à cultiver mon jardin ».
Freund lui répond : « Ecoutez, M. Hyppolite, je crois que vous êtes en train de commettre une autre erreur car vous pensez que c’est vous qui désignez l’ennemi comme tous les pacifistes. Du moment que nous ne désirons pas d’ennemis, nous n’en airons pas, raisonnez-vous. Or, c’est l’ennemi qui vous désigne. Et s’il veut que vous soyez son ennemi, vous pouvez lui faire les plus belles protestations d’amitié. Du moment qu’il veut que vous soyez l’ennemi, vous l’êtes. Et il vous empêchera même de cultiver votre jardin ». Hyppolite, maître de dialectique, en est resté coi : « Résultat, a-t-il dit : il ne me reste plus qu’à me suicider »…
(Postface au bouquin de Freund).
Cette histoire d’ami/ennemi n’est pas prise dans le sens ordinaire de ces termes, mais ce n’est pas le lieu de prendre un troisième café.
Voici plutôt une figure assez pure d’ennemi, c’est-à-dire de quelqu’un qui décide de la guerre.
C’est un garçon dont le discours idéologique primitif prend encore plus de relief quand il est prononcé en allemand (c’est un camarade d’Abou Azzam, un autre « émir » allemand en peau de lapin, qui vient de menacer de mort Mme Merkel).
Guère de doute sur « ce qui nous sépare ».
http://www.youtube.com/watch?v=X3i8CdY2cco
Buona giornata!
Là, je vous rejoints, Coucou. Comme vous, j’ai le plus grand respect pour le travail de Bloom pour maintenir le raysonnement français à l’étranger. Mais ce qu’il dit d’Israël et des Arabes musulmans est toujours faux, excessifs, tordus et suicidaires. Notre Bloom est socialiste donc schizophrène lui aussi… Ça lui passera, il est encore bien jeune. Il croit naïvement que les ultraorthodoxe vont prendre le pouvoir en Israël. Ce que tu te gourres, ce que tu te gourres… comme disait la chanson.
Les ennemis désignés par ces idéologues sont naturellement l’ensemble de la communauté politique se reconnaissant dans une institution républicaine, citoyens musulmans au premier chef (cible privilégiée chez ces recruteurs).
Tien voici exemple de « dialogue des cultures » chez nos voisins d’outre-rhin.
http://www.youtube.com/watch?v=nWze7hfsNk8
Après quoi…
Je passerai à autre chose.
Oui, depuis Clausewitz, on sait quand même ce qu’il en est de la politique, non ? Lire également, puisque vous en parlez, les deux tomes du bouquin de Raymond d Aron sur la guerre.
Je partage totalement la thèse de Freund. Et heureusement, l’Etat-major de l’armée française la partage aussi au Mali !
@Non à la culture fonctionnaire! dit: 4 février 2013 à 13 h 34 min
Il faudrait ici dire la collusion, voire la franche conjugaison des intérêts politiques et financiers véhiculés par cette « culture d’état » dont Bloom est l’agent intérimaire. Un néo colonialisme qui ne dit pas son nom use des armes de la « culture », ces avant-coureurs du renseignement d’état.
Une autre pratique est celle d’un mécène qui collectionne en suivant le fil de sa sensibilité ou de ses intérêts et puis qui lègue à l’État ou à une collectivité territoriale.
Bloom fait son Rothschild avec l’argent du peuple.
boudegras perdu dans les jupes de sa manman !
art et démocratie dit: 4 février 2013 à 14 h 05 min
« Il faudrait ici dire la collusion, voire la franche conjugaison des intérêts politiques et financiers véhiculés par cette « culture d’état » dont Bloom est l’agent intérimaire. »
Un exemple ou deux, camarade?
Pour en revenir au billet de Passou, je résume un peu la situation des Juifs comme Rothschild grâce à un paragraphe très synthétique des problèmes par J. Attali dans son bouquin sur les Juifs et l’argent :
« Au moment où les Juifs cessent d’être prêteurs forcés aux petites gens, et alors que l’immense majorité d’entre eux est encore pauvre et dispersée, un petit nombre d’industriels et de banquiers juifs prennent une place considérable, visible et même spectaculaire dans la révolution financière et économique de l’Europe. Judaïsme et argent se mêlent alors dans l’esprit des hommes du siècle en trois nouveaux fantasmes d’où sortiront les tragédies du siècle suivant. »
Au-delà du problème spécifique aux Juifs, je trouve qu’Attali a une conception très réaliste de l’histoire, contrairement à ce qu’on pourrait penser à priori — et peu orthodoxe — : il affirme que ce sont les fantasmes qui sont le moteur de l’histoire. Et je souscris tout à fait à cette vision de l’histoire. L’expérience des siècles montrent à quel point c’est vrai !
Non, ce que fait Bloom, comme ce que font tous les directeurs de centre culturel, c’est de défendre la culture française à l’étranger, qui n’est pas une culture d’Etat. La France n’est pas l’ancienne URSS, mêem si elle en prend parfois une espèce de langue de bois détestable. Ceux qui ruminent ce genre d’idée absurde sont tout simplement des benêts, des adolescents immatures qui ne connaissent rien de la réalité du monde et qui n’ont qu’une chose à faire : lire et se cultiver pour grandir…!
Il croit naïvement que les ultraorthodoxe vont prendre le pouvoir en Israël. Ce que tu te gourres, ce que tu te gourres… comme disait la chanson.
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Ils ne vont pas le prendre, ML, ils y sont déjà. voir Reuter hier:
His (Bibi’s) administration is expected to be cobbled together from a new centrist party headed by former TV personality Yair Lapid, which with 19 seats is the second-largest party, the 12-seat far-right pro-settler Bayit Yehudi (« Jewish Home ») faction and other centrist and religious parties.
donc schizophrène lui aussi…cette surenchère de diagnostics me semble profondément pathologique , et ressortir d’une langue de bois dénoncée comme telle au moins au collège international de philsosophie par des compratistes de philosophie auxquels ont été préférés comme bien français des femmes psys pour lhistoire de la psychanlyse et de L’Inde , d’ailleurs un lien
Ce collectif rassemble dix contributions de psychanalystes et d’anthropologue qui explorent l’histoire de la psychanalyse dans le continent indien et les enjeux que peut représenter pour la doxa et la pratique pychanalytique l’immersion du freudisme dans la « jungle hindoue
https://sites.google.com/site/olivierdouvilleofficiel/articles/l-inde-de-la-psychanalyse
mais je ne doute pas que Bloom , lecteur de Joyce, comme de Coetzee fait du très bon travail. Sinon il ne viendrait pas sur la Rdl essuyer des tirs éhontés de prétention
il se trouve que j’ai connu et connais toujours de nombreuse personnes soit indiennes soit formées en Inde et qu’il me semble que Bloom par son ouverture d’esprit …
et qu’il ne me tienne pas du nombre de ses amis si vite !
D’une certaine façon, J. Attali est junguien dans l’âme.
Oui, je sais bien que les ultraorthodoxe ont gagné en sièges. Mais ce n’est pour autant qu’ils vont gouverner le destin d’Israël.
De toute façon, il faudra qu’un jour Israël revoit son mode d’élection qui rend le pays ingouvernable. J’espère simplement que ce ne sera pas à l’occasion d’une guerre meurtrière que les israéliens le décideront mais avant qu’il ne soit trop tard.
Yair Lapid est à gauche, Bloom. Un gouvernement Bibi-Lapid devrait vous convenir, non ?
@ueda
Ici un compte rendu d’un colloque organisé récemment au Sénat:
http://sourgins.over-blog.com/article-le-colloque-du-23-janvier-2013-au-senat-114841448.html
Ce sont les petits partis, les ultras qui font la loi. La gauche politique n’a plus de sens en Israel. La société civile, heureusement, est à des milles devant.
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« Il faudrait ici dire la collusion, voire la franche conjugaison des intérêts politiques et financiers véhiculés par cette « culture d’état » dont Bloom est l’agent intérimaire. »
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Marrant, j’allais poser la même question que ueda.
Merci d’être précis, mes premiers pas d’intérimaire dans le réseau culturel datent de 1983.
Bloom dit, le 4 février 2013 à 10 h 10 min
Dans mon quotidien professionnel je me situe à l’opposé de votre petite praxis existentielle dont l’effet, sans ce blog, ne doit pas dépasser au maximum un rayon d’action de 3.5 kms.
Ce blog donne la parole à des insiginifiants de votre acabit, c’est la loi du genre. Personne n’est dupe cependant: dans la Vraie Réalité, votre influence sur le cours des choses est celle de l’homme des foules, limitée. On vous prendra à votre juste mesure, celle de Tom Pouce.
@Bloom
Vous faites semblant de ne pas comprendre.
Vous êtes intérimaire dans cette politique que vous mettez en pratique comme un petit soldat.
Depuis la Lang de Blois et après vous, vous êtes une courroie de transmission pour reprendre une vieille expression marxiste.
Eh ben Bloom bon courage avec les attaques de ces frappadingues et leur petitesse – vous êtes admirable de garder votre calme
« Or, c’est l’ennemi qui vous désigne. » (Freund, cité par ueda)
« L’ennemi est con. Il croit que l’ennemi, c’est nous, alors que c’est lui. » (P. Desproges)
Mais si, Bloom ! Depuis le printemps dernier, vous savez bien que les choses sont en train de changer en profondeur en Israël. Yair Lapid est la conséquence des révoltes des jeunes du printemps dernier. Les ultras ne feront jamais la loi. La majorité des Israéliens les réprouvent. Il ne faut pas être si pessimiste.
C’est sûr que le rôle d’un directeur de centre culturel à l’étranger, surtout en Asie, est limité. Mais sa responsabilité est d’autant plus grande et son mérite aussi !
Les Rothschild sont juifs ?
« Les Rothschild, un nom gravé dans le marbre du temps… »
…d’une concession perpétuelle au cimetière ?
Etrange ! j’ai rencontré si souvent dans les cercles de pouvoir, les petits fantassins de l’inutile, ces permanents de la langue de bois humaniste, qui se croient des metteurs en scène, des serviteurs de la république, et qui finalement ne sont que des intermittents du spectacle !
Distrayant spectacle … Coûteux, mais distrayant !
Desproges avait bien senti l’absurdité de la situation. Malheureusement il faut faire avec l’absurdité du monde. C’est comme ces cons qui disent n’importe quoi sur Bloom, ou Tkt n’importe quoi sur moi. Même absurdité du monde contre laquelle, hélas ! il n’y pas beaucoup de recours. Dans le cas du Mali, on peut tirer, mais le cas d’un blog, on ne peut rien faire.
« il ne faut pas être si pessimiste. »
C’est drôle à entendre dans la bouche de quelqu’un qui ne sait que dire en boucle : « France moisie ! »
En tout cas, Baroz, la tombe des Camondo au cimetière de Montmartre est toujours régulièrement fleurie, et les petits cailloux s’amoncellent.
« C’est comme ces cons qui disent n’importe quoi sur Bloom, ou Tkt n’importe quoi sur moi. » (ML)
Et sur moi !
vous étiez peut-être à New-York récemment comme beaucoup d’amateurs d’Ingres. chez Christies, le 31 janvier dernier, ils proposaient à la vente le sublime dessin qu’avait fait le peintre de Marie d’Agoult et de sa fille Claire…ça ne me fait rien de savoir que reposent dans des coffres certaines oeuvres majeures de la Renaissance ou du dix-neuvième siècle, une autre exposition ponctuelle, comme celle du site Richelieu dont vous nous parlez, les remettra peut-être au grand jour, et c’est vrai qu’à cette occasion l’émotion forte naît toujours. beaucoup plus que dans le cas des installations permanentes où l’on a pris soin de figer différentes versions de happenings non dérangeant dans la carbonite de la cote officielle, dans les salles de tel ou tel palais vénitien où les grands collectionneurs d’aujourd’hui font le pari (obligé, obligeant) d’une postérité de carton-pâte pour les fabricants d’art qu’ils se sont choisis (Murakami, Hirst, Veilhan et leurs petites SARL.) on parle souvent des collections d’art de ces grandes aristocraties du passé mais n’oublions pas qu’elles ont favorisé l’essor du bien-être pour tous (avant le welfare state) avec leurs fondations. (leur sionisme, qui fut une passion tranquille, ne doit pas cacher que pour beaucoup d’institions juives de l’époque — et même d’aujourd’hui — l’aide aux autres fut toujours une préoccupation. on ne compte plus les programmes de secours mis en place dans le monde entier par elles dans tous les secteurs, pas seulement lors de catastrophes. très près de là où j’habite, on peut voir la trace émouvante laissée par l’une de ces grandes familles de jadis, les Camondo (que notre blogueur connaît mieux que personne) : sur le monument aux morts de la geurre de 14 d’Aumont en Halatte on voit le nom gravé du pilote Nissim de Camondo, mort pour la France. la mousse commence à recouvrir la colonne, et la « Villa Béatrice » (construite par le père et nommée d’après la soeur de Nissim, morte assassinée à Auschwitz) a depuis longtemps été divisée en appartements. à l’entrée on aperçoit une grappe de boîtes aux lettres de couleur bordeaux ou crème qui ont l’air de faire un concours d’empilement dans l’habitacle d’une 2cv Citroën. trois ou quatre rangées de poubelles de tri sélectif sont postées comme des gardes endormis devant l’édifice qui, lorsqu’on le regarde depuis le jardin, a conservé entière une certaine élégance, voire toute sa grâce simple.
Dans le cas du Mali, on peut tirer, mais le cas d’un blog, on ne peut rien faire.
Y en a qui poussent.
Ben Baroz, c’est parce que je suis optimiste justement que je peux critiquer la France moisie. Je ne parle pas du point de vue de la moisissure, mais de l’extérieur pour la dire et la montrer. N’est-ce pas ça précisément le combat pour l’avenir de la France en dénonçant son mal actuel ?!
Faut réfléchir Baroz ! Faut réfléchir !
alec dit: 4 février 2013 à 15 h 00 min
vous étiez peut-être à New-York récemment comme beaucoup d’amateurs d’Ingres.
Mais bien sûr.
Non, justement, ils ne peuvent pas pousser sur la détente. Donc, ils ne poussent pas !
Ueda: Vous montrez le pire aspect de ce qui se passe en Allemagne, par l’entremise d’un reportage sur les islamistes et des pires, ceux qui considèrent Ben Laden, comme un martyr. J’ai écouté le reportage dans son intégralité, cela n’est pas représentatif des musulmans sur le territoire Allemand.
Dans plusieurs villes d’Allemagne, des centres culturels musulmans flambants neufs viennent de voir le jour. Hambourg vient d’inaugurer une mosquée et un centre culturel ultra-moderne par l’architecture. Les voisins Allemands, cela se passe en pleine ville, ont participé aux festivités de l’ouverture. Il est même permis aux non-musulmans de rentrer dans les lieux de prière, sauf lors de cérémonie, et les femmes sont mêlées aux hommes. Hambourg a une grande population d’origine turque, depuis au moins les années 60-70. On y trouve des gens de tous les milieux, pas seulement des immigrés indigents, mais des commerçants, des médecins et des avocats. Mixité sociale. Au Bundestag siègent quelques députés d’origine turque et quand on regarde la TV, il y a plus de noms turcs, que de noms du Maghreb en France, dans les génériques. Est-ce le hasard, ou les Allemands sont moins frileux ? Ou, la législation allemande est plus attentive au racisme ?
PS: J’ai bien rigolé, quand le fou de dieu vient raconter, que seuls les musulmans iraient au paradis et les autres, en enfer. Les deux catholiques de la Tradition, de ce Blog, pensent la même chose mais dans leur fantaisie ou fantasme, seuls eux iraient au paradis.
Un paradis rempli de fous de dieu, quelque soit la lecture de leur livre de prières, franchement, je n’en voudrais pas.
ML a aussi écrit, un peu plus haut, que l’islam verrait sa survie dans la judaïté. Une bande de dangereux individus, prêts à en découdre, pour un paradis qui n’est qu’une allégorie. Franchement, question paradis, je ferais plus confiance, à une chaîne d’hôtels dans les mers du sud.
D. n’a pas de moi, car dépourvu d’identité, de sa propre volonté ou inconsciemment ?
alec dit: 4 février 2013 à 15 h 00 min
vous étiez peut-être à New-York récemment comme beaucoup d’amateurs d’Ingres.
Ce blog est d’un chic ! On a parfois pris Chaloux pour un snob, mais c’était oublier alec.
« ces frappadingues » par ciao.
Vous désignez comme fous vos contradicteurs, l’histoire à déjà connu ces « distinctions » dans certains états forts!
Redresseur de Kultur, souhait d’amalgame ciao?
On sait que Bloom fait ce qu’il peut, il s’est plaint, ici même sur ce blog, de son impuissance à son poste, surtout sous Sarkozy, nous avait-il précisé.
Depuis tout baigne?
Ce n’est pas moi qui le dit, Tkt, mais Eliezer Cherqui, un éminent islamologue, dont vous devriez écouter les conférence, ça vous en apprendrait à la fois sur l’islam (que vous ignorez totalement) et sur le Judaïsme (que vous n’ignorez pas moins…). Ce qui ne vous empêche nullement d’être très arrogant à ce sujet. Mais peut-on attendre moins de vous ?
Jacques Barozzi dit: 4 février 2013 à 15 h 04 min
D. n’a pas de moi
Je n’ai rien de vous, en effet. Mais si vous voulez me faire un cadeau, ne vous gênez pas.
Et Eliezer Cherki le rapporte pour l’avoir entendu de la bouche de musulmans ! Vous lisez tout toujours à moitié.
Rémi R, sans vous désobliger, je faisais un petit clin d’oeil, hein, sans pour autant me moquer non plus.
ça vous en apprendrait à la fois sur l’islam (que vous ignorez totalement) et sur le Judaïsme (que vous n’ignorez pas moins…) [ML à TK]
Détrompez-vous, mauvaise langue. Thierry est très calé sur ces deux questions. Demandez à Jacques Barozzi. Ils en ont longuement parlé au cimetière de Montparnasse. Je les ai suivis.
ML, on ne peut pas dire mieux que vous, en matière de n’importe quoi sur vous, vous vous en chargez personnellement avec plus de talent et d’érudité.
OK, je m’étais trompé, vous n’êtes pas prof d’histoire-géo, mais prof de littérature pour les 5ème. J’avais été induis en erreur, par un commentateur qui, lui, pense vraisemblablement qu’un prof d’histoire géo est, per se, moins valable qu’un prof de littérature. Allez savoir pourquoi ?
Vous faites chiller avec votre France moisie, vous devriez de temps à autre, tirer sur votre chasse d’eau.
Ah, je ne savais pas que vous troussiez Baroz et Tkt dans les cimetières, D. Savez-vous que ce n’est pas très joli, ça ? Je ne vous fais pas mon compliment comme dirait CP.
TKT est malheureusement desservi par son côté concon, qui masque une réelle érudition dans bien des domaines.
Vous êtes intérimaire dans cette politique que vous mettez en pratique comme un petit soldat.
Depuis la Lang de Blois et après vous, vous êtes une courroie de transmission pour reprendre une vieille expression marxiste.
—
Je ne savais pas qu’ils existaient encore, les archéos…Hello! les fossiles!
On ne met pas en pratique une politique, c’est fini ça, on la crée à partir du terrain, par l’intermédiaire d’appels à projet,ou sur fonds propres. Ca vous dépasse? Je sais. Le plus génial (car c’est génialissime) c’est que plus l’Etat se dégage, plus on a de liberté pour monter des projets zinnovants et aller chercher les financements idoines auprès de gentils mécènes pour qui la responsabilité sociale des entrerprises, c’est pas du pipo. Pas encore de crowd funding pour l’instant, mais j’étudie la possibilité.
Décidément, vous datez, pardon, vous sentez, un peu.
Que vous dites, Tkt, que vous dites… Mais tout esprit bien tourné ne voit jamais ce que vous seul voulez bien voir dans mes commentaires qui n’ont rien que de banals. Ce que vous croyez lire en dit plus sur vous que sur moi. Et sur vous, ils disent simplement que vous êtes un benêt. C’est assez simple.
ML, si il y avait une Chair d’Arrogance, à l’ENA ou à l’HSG (Sankt-Gallen), vous devriez vous la voir octroyée.
Bien sûr, vous êtes plus fou qu’arrogant, ou vice versa.
A propos de l’Histoire de la péninsule ibérique, tégniez le « coucou » s’abstient de mentionner les horribles persécutions des Juifs sous les si bons chrétiens wisigoths puis les rois cathos, comme c’est curieux
Mais personne n’est parfait, bien sûr. Il peut arriver que, dans d’autres domaines, Thierry soit d’une ignorance crasse et d’une bêtise à faire pâlir une guenon. Il faut savoir faire la part des choses, c’est tout.
Une information aussi pour votre gouverne Tkt. On n’est pas prof de littérature pour les 5ème. On peut enseigner en collège et être agrégé et même agrégé et docteur ès lettres. J’ai une collègue de lettres agrégée, et d’autres agrégés dans d’autres disciplines. Il y a aussi des profs certifiés qui enseignent dans des lycées. Mais vous ne connaissez rien de rien. Vous vous contentez de juger les gens et le plus souvent pour les humilier tellement vous êtes minable, mon pauvre Tkt. Minable de chez minable pour vous livrer à ce genre de petit jeu sadique et mesquin qui ne vous honore pas. Vous n’êtes qu’un marchand de pinard, épicétout.
La guenon pâle, quel joli futur pseudo pour… pour qui ?
vous êtes minable, mon pauvre Tkt. Minable de chez minable (La mauvaise langue)
Voilà des termes excessifs, mauvaise langue, même si, sur le fond, je ne suis pas loin d’être d’accord.
S’il est un anniversaire à ne pas manquer,
c’est bien le 260e !
Comitédéfètement.
Merci pour cet article magnifiquement écrit. Je suis heureuse de voir retranscrite l’émotion que j’avais ressentie en visitant cette passionnante et intelligente exposition.
Qui suis-je ?
Vous aurez compris que ces mécènes sont nos Rothschild. Mutatis mutandis. On ne fait que réinventer la roue.
art et démocratie dit: 4 février 2013 à 15 h 08 min
« ces frappadingues » par ciao.
Personne ne vous empêche de juger digne le zèle de ces soi disant contradicteurs à défendre les pratiques les plus dégueux. Quant à FH, il est en effet bien au-dessus de l’escroc et sa bande
Bof, ML, n’étant pas un fonctionnaire de l’EN, ma bênitude a peu d’importance.
TKT dit: 4 février 2013 à 15 h 28 min
ma bênitude a peu d’importance.
Ne dites pas cela. Je ne sais pas ce que signifie « bênitude » mais je suis certaine que la vôtre a de la valeur.
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