Samuel & Beckett en franchise postale
Bigre ! Voilà des éditeurs qui ne marchandent pas leur admiration. Ce qui est pour le moins risqué. Que Samuel Beckett ait été l’un des plus grands épistoliers littéraires du vingtième siècle, ce volume de Lettres (The Letters of Samuel Beckett, traduit de l’anglais par André Topia, 802 pages, 55 euros, Gallimard) en témoigne avec éclat. Mais « peut-être de tous les siècles », vraiment ? Malgré la prudence de la formulation, on se dit que les éditeurs George Craig, Matha Dow Fehsenfeld, Dan Gunn et Lois More Overbeck ont suffisamment de biscuits pour s’avancer ainsi. Eux ont déjà tout lu et surtout transcrit de ce qui est sorti de son illisible plume postale : plus de 15 000 lettres écrites entre 1929 et 1989.
Ce premier volume, qui s’arrête en 1940, représente une sélection, étant entendu qu’il fallait conserver un équilibre entre l’unique et le représentatif tout en privilégiant tout ce qui permettait d’éclairer l’oeuvre : 2500 lettres reproduites, et 5000 autres évoquées en notes. Ah, les notes ! Du nanan pour une Pléiade à venir. En fait, l’ouvrage contient deux livres en un : les lettres et les notes. Outre les nombreuses institutions américaines qui ont financé ce chantier, Emory University a véritablement abrité le « Projet Beckett » de bout en bout, mettant des équipes d’étudiants à la disposition des éditeurs pour les recherches et vérifications permettant d’établir des chronologies, des recoupements et des notices biographiques de chacun des correspondants de l’écrivain avec une grande rigueur. 65% de sa correspondance a été écrite en anglais, 30% en français et 5% en allemand, polyglottisme qui lui permet de découvrir les classiques dans leur jus.
Si Beckett n’a pas voulu s’occuper de l’édition de sa correspondance, il l’a appuyée et encouragée. « Surtout pas de commentaires ! » avait-il simplement demandé, injonction à laquelle il lui fut répondu par un amendement qu’il accepta : « Pas de commentaires, mais il faut du contexte ». Pour autant, cela n’alla pas de soi car si les galériens de cette édition, convaincus que le départ entre la vie et l’œuvre est indiscernable, étaient d’avis que les lettres relevaient des Œuvres complètes, Jérôme Lindon, son ami et éditeur en France, considérait que l’œuvre ne concernait que ce qui avait été publié. Un point de désaccord a d’ailleurs surgi entre les éditeurs (ce qui ont travaillé sur le corpus) et les héritiers de Beckett : les premiers jugeaient que ses allusions obsessionnelles à ses problèmes de santé (palpitations cardiaques, furoncles, kystes, souffrances aux pieds etc) permettait une meilleure intelligence de l’œuvre, contrairement aux seconds qui voulaient les supprimer.
Que fait-il pendant ces années 1929-1940 ? Il voyage beaucoup entre Dublin, Londres et l’Allemagne, occupe un poste de répétiteur d’anglais à Normale sup et un autre de lecturer au Trinity College d’Oxford, visite les musées de Dresde notamment dont il fait des comptes rendus détaillés révélant un jugement esthétique très pointu. Auteur débutant, il fait preuve d’un souci du compromis qui contraste singulièrement avec les exigences sans concession du futur dramaturge attaché au respect de la moindre de ses didascalies. Ainsi prévient-il l’éditeur de son premier roman Murphy (1938) qu’il est tout disposé à couper dans le texte ce qui pourrait en brouiller la lecture. A la veille de publier son essai sur « ma merde Proust », il se dit « impatient d’arracher les couilles de la pine critique et poétique proustienne », ce qui est un beau programme en soi. Son humour ? Lorsque Nancy Cunard rassemble des opinions d’écrivains sur la guerre civile espagnole, il répond d’un mot : « Vivelarepublique ». « Elle a à nouveau écrit pour me demander de développer ».
Il s’autorise des jugements littéraires pour le moins expéditifs, mais ou, ailleurs que dans une correspondance privée, un écrivain peut-il se lâcher sur ses collègues de bureau, être franc enfin ? Le Moulin sur la Floss de Georg Eliot ? « Au moins supérieur aux pièces historiques de Shakespeare ». La Cousine Bette ? « Un Hugo à la Bourse » ; La Nausée de Sartre ? « Extraordinairement bon ». Le Dante de TS Eliot ? « Insupportable de condescendance, de mesure & de ton professoral ». Enfant, il lisait Schopenhauer, moins comme un philosophe que comme un poète, surtout lorsqu’il était malade : il avait découvert que toute autre lecture lui confirmait le sentiment d’être malade.
On voit Beckett reprendre dans Pantagruel le terme de « Sorbonagres » pour railler les professeurs dont il ne veut surtout pas être, préférant livrer ses traductions de l’italien aux éditeurs, publier ses poèmes dans des petites revues ou tapiriser du côté de Normale sup. Mais « les châtreurs de truie de l’impôt sur le revenu », il ne semble pas qu’il l’ait emprunté à Rabelais, pas plus que le « fouting à la porte », ni son évocation de l’ancien président de la République française comme « Ponsieur Doumerde », ou celle de Thomas d’Aquin en « péripatéticien tétragonal » ! Il se lâche, se fend parfois d’un « tant pisse », risque un « dies diarrhoeae » en écho au Dies Irae, moque son éditeur en le transformant en Shatton & Windup. Il ne se ménage pas, prompt à l’autocritique si nécessaire. Ainsi lorsqu’il s’en veut d’échouer à aimer Mallarmé qu’il trouve décidément trop jésuitique alors que lui, Beckett, se voit trop puritain en poésie, peut-être par souci maniaque de l’intégrité dans un surplis :
« Je porte le deuil de l’intégrité de l’émission de sperme chez un « pendu », ce que je trouve chez Homère & Dante & Racine & parfois Rimbaud, l’intégrité des paupières tombant avant que le cerveau ne soit conscient du grain de poussière dans le vent. Pardonner tout cela ? Pourquoi l’esprit est-il si imperméable au pus et le vent si avare de ses grains de poussière ? »
Trois morceaux de choix. Le premier est une lettre fascinante à un ami (10 mars 1935), assez longue, dans laquelle il parle de sa psychanalyse et son désir de se débarrasser de son « sentiment d’altérité arrogante » : il se croit trop bon pour faire quoi que ce soit d’autre que ce à quoi il se croit destiné mais qu’il ne sait pas encore nommé, cette chose qu’on appellera la littérature pour faire au plus simple, activité que plus tard le lauréat du prix Nobel justifiera par une formule demeurée célèbre par sa modestie même : « Bon qu’à ça ». Le deuxième morceau de choix est plutôt une curiosité : une lettre du 2 mars 1936 expédié de Dublin à Moscou et adressée au grand cinéaste Sergueï Eisenstein. L’Irlandais, alors âgé de 30 ans, pose sa candidature à l’admission à l’Ecole d’Etat de cinématographie que dirige le Russe. Il veut y apprendre les techniques du scénario et du montage. On le sait, le projet restera sans suite, ce qui n’est pas plus mal. Autre vrai morceau de choix : une lettre du 9 juillet 1937 au berlinois Axel Kaun, éditeur chez Rowohlt. Peu importe que Beckett finisse par décliner sa proposition de constituer une anthologie des poèmes de Joachim Ringelnatz ; la réponse, rédigée en allemand, va bien plus loin car, pour motiver son refus, il développe sa propre esthétique en deux pages recto verso et c’est un vrai document :
« (…) Grammaire et style ! Pour moi, ils semblent être devenus aussi hors de propos qu’un costume de bain Biedermeier ou l’imperturbabilité d’un gentleman. Un masque Il faut espérer que le temps viendra, Dieu merci, dans certains cercles il est déjà venu, où la meilleure manière d’utiliser le langage sera de le malmener de la façon la plus efficace possible. Puisque nous ne pouvons pas le congédier d’un seul coup, au moins nous ne voulons rien négliger qui puise contribuer à son discrédit. Y creuser un trou après l’autre jusqu’au moment où ce qui se cache derrière, que ce soit quelque chose ou rien, commencera à suinter – je ne peux imaginer de plus noble ambition pour l’écrivain d’aujourd’hui (…) Je sais qu’il y a des gens, des gens sensibles et intelligents, à qui le silence ne manque pas. Je ne peux m’empêcher de supposer qu’ils sont durs d’oreille. ».
Et James Joyce alors ? Difficile de ne pas penser à lui, d’autant qu’ils étaient proches. Le work in progress de Finnegans Wake paraît alors en fragments. Mais Beckett, qui y voit « une apothéose du mot » plutôt qu’une glorification du silence qui sous-tend toutes choses, l’écarte, jugeant que les Logographes de Gertrude Stein se rapproche davantage de ce qu’il veut dire. Avant de conclure :
« Faisons comme ce mathématicien fou qui appliquait un nouveau principe de mesure à chaque étape spécifique de son calcul. Tempête dans les mots au nom de la beauté. Entre-temps, je ne sais rien. C’est seulement de temps en temps que j’ai la consolation, comme maintenant, d’avoir le droit de violer une langue étrangère aussi involontairement que j’aimerais le faire, consciemment et intentionnellement, contre mon propre langage, et –Deo juvante- le ferai ».
On a tellement insisté sur la pathologie propre aux obsédés du point virgule (j’en suis et je ne me soigne pas) qu’on en a passé sous silence des sectateurs de l’esperluette (Beckett en fut). Pas une lettre qui n’en soit constellée, ce qui leur donne un certain halo artistique. Même quand il n’écrit pas à la machine, il ne peut s’empêcher. En fait, et systématiquement sous sa plume, la « & » remplace le « et » ; ce qui n’est sûrement pas anodin ; étrangement, la légion de chercheurs mobilisée par Emory University ne nous dit rien de cette manie de l’ampersand, elle qui traque le moindre signe qui fait sens, ou alors j’ai raté quelque chose.
La traduction est fluide et agréable. A noter que le traducteur avoue son impuissance à distinguer en français publisher de editor, les deux ne faisant qu’un chez nous sous le vocable insatisfaisant de « éditeur » ; de même pour l’anglais production qui, dans le monde du théâtre, ne désigne pas seulement la dimension financière et commerciale, comme c’est le cas pour « production » en français, mais englobe également la conception de la mise en scène. La version française a été financièrement encouragée la Fondation d’entreprise La Poste. C’est bien le moins. En nos temps de courriels compulsifs, ce rappel de ce que fut le courrier à son meilleur est opportun. De là à parler de culture épistolaire, il y a un grand pas, mais pourquoi pas. Espérons que le savoir vivre en fait partie. Il exige des épistoliers que, comme Beckett s’y est tenu jusqu’à la fin de sa vie, non seulement ils répondent (cela ne va plus de soi) mais qu’ils le fassent par retour de courrier (de plus en plus rare) et avec une certaine courtoisie les questions fussent-elles envahissantes et chronophages.
Alors, Beckett, le plus grand épistolier ? Je n’en sais rien. Tout ce que je sais, c’est que pour la première fois, je me suis laissé prendre non à simplement consulter pour y piocher, mais bien à lire près de 800 pages d’un volume de correspondance de la première à la dernière lettre, non par sauts et gambades mais en continu, passionnément tenu tant par Samuel que par Beckett, par l’homme que par l’écrivain, porté par l’élan même de l’intelligence du scripteur, son humour, sa finesse, son acuité et, déjà, sa vision du monde. Vite, la suite !
(« Samuel Beckett dans les années 70, photo D.R., en 1920, photo D.R. et en 1979 photo Richard Avedon)
744 Réponses pour Samuel & Beckett en franchise postale
Je ne perçois pas chez BHL une vocation affirmée pour le martyre.
il a dit publiquement sur scène qu’il contestait cette tentation: mais c’était sur scène & son rôle !
pas vieux de vieux mais vieux de LA vieille , et chien de ma chienne
Par glissement et jeu confiscatoire, nous aurions pu lire vieux de la veille et chien de ma chaine mais sûrement y-a-t-il comme un machin qui disjoncte dans l’enchaînement des signifiants et tout ceci n’a, de toutes les façons, aucune espièce d’importance, nous allons tous MOURIR
Sherlok Holmes: Watson, vous voyez venir ce qui arrive ?
Watson:
d’un point de vue astronomique, je dirais que c’est énorme,
d’un point de vue astrologique, je dirais que Babette Tessier avait des arguments pas très complexes,
d’un point de vue théologique je vois que Dieu est tout puissant et que l’âne de Martin reste un âne.
Sherlock Holmes: Watson, vous vous améliorez.
» Les astronomes érudits en Provence : Peiresc et Gassendi »
http://lesamisdepeiresc.fr/bibliotheque/conference_arzano.pdf
« Pas surpris par cette irruption militaire (1914) dans un stade? » (ueda)
Pas plus surpris que ça. Le Président, quelques ministres étaient là… Faut bien fournir de la gloire aux fermiers généraux. Rien de plus commode pour un gouvernement que de se raccrocher au passé courageux de WWI, lorsque le pays réel vous tourne le dos et part en vrille rapide, économiquement et sociétalement !
L’aspect sympathique était la joie sincère de ces mercenaires toulonnais, grands galopins dopés aux hormones, majestueux, très cher payés, et l’émotion du groom de l’ascenseur social toulonnais, l’ami Mourad l’iconoclaste, comme celle de l’ex-ministre Laporte, plus à l’aise dans ce rôle que dans le précédent sarkozyste.
De grands enfants, venus de partout, beaucoup plus sympathiques que les stars du ballon rond qui dans mon cœur ne pèse pas le dixième du rugby.
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=ZuTPRGfSuqY
Sherlok Holmes: Watson, vous voyez venir ce qui arrive ?
Plus couramment on cite sœur Anne. C’est dimanche, journée du pamplemousse parce qu’il fait soleil, 1, 2, 3 .
Le grand vainqueur de cette finale du Top 14, ce n’est ni Wilkinson ni même l’équipe toulonnaise mais le groupe Pizzorno, dont le nom orne le maillot des joueurs toulonnais. Du coup, Pizzorno est en passe de devenir le groupe le plus célèbre de France et d’Europe spécialisé dans la récupération et le traitement des déchets (il ne s’agit évidemment pas des membres de l’équipe ni de leur coach Bernard Laporte). L’entreprise Pizzorno fit des débuts modestes dans la ville de Draguignan. Aujourd’hui, le dépliant de l’Office de tourisme indique pieusement,sur le dépliant offert aux touristes désireux de visiter la vieille ville, l’immeuble lépreux (et même l’étage) où naquit, rue de Trans, dans des conditions excessivement modestes, le fondateur du groupe. La célébrité venue, tous les Dracénois, ou presque, ont oublié les démêlés récurrents de l’entreprise Pizzorno avec les syndicats pour d’obscures raisons de salaires et de licenciements. Demander à consulter à ce sujet les archives de la CGT et de FO . Mais tout cela est bien loin aujourd’hui, et le succès du groupe Pizzorno célèbre les noces triomphales du capital et du sport. Panem et circenses.
Mon compagnon n’est pas le bienvenu chez Paul Edel; pour ceux que cela intéresse, son témoignage : MON ÉTÉ 44
http://jacqueschesnel.hautetfort.com/
On vient de mettre la main à Marseille sur un brave petit français de 29 ans, tueur présumé de Juifs, revenu de Bruxelles en autocar avec dans ses bagages, outre une trousse de toilette coquette, une kalachnikov, des munitions, et des effets semblables à ceux du tueur du Musée Juif.
Il était connu des Services pour avoir combattu en Syrie l’infâme Bachar el Assad, que nous occidentaux haïssons parce qu’il tenait son peuple en servitude anti-démocratique avant que de gentils rebelles qui nous aiment foute le bordel…
On peut donc se demander si cette publication était judicieuse. De son vivant Beckett s’y refusa. Son légataire (H. Causse) eut néanmoins par l’auteur lui-même la latitude de proposer ce qu’il entendait. Et Edith Fournier qui veille sur l’œuvre (Elle est un peu à Beckett ce que Paul Thévenin fut à Artaud) a estimé cette publication judicieuse. Elle l’est sans doute pour les spécialistes. Plus généralement pourtant ces poèmes restent très secondaires et font même de l’ombre aux poèmes postérieurs. Et si la matière de l’imaginaire commence à être mise en doute c’est de manière inconsciente. Avec « Poèmes suivis de Mirlitonnades » la poésie de Beckett trouvera toute sa « lumière autre » selon Bram van Velde l’ami de toujours. Pour l’heure, le temps n’était pas celui que John Lewis, cameraman de l’auteur pour la plupart de ses films relevait lors du tournage de Nacht und Traüme : « c’était pour Beckett de plus en plus difficile d’écrire encore des mots sans avoir le sentiment que c’était un mensonge ». Il fallait donc attendre ce qu’affirme de son côté « L’innomable » au début des années 50 : « La recherche de faire taire sa voix est ce qui permet au discours de se poursuivre ». Tout le reste littérature. Les poèmes du début sont de la littérature. – See more at: http://www.recoursaupoeme.fr/critiques/beckett-prologue/j-p-gavard-perret#sthash.VvFbVfiu.dpuf
« L’aspect sympathique était la joie sincère de ces mercenaires toulonnais, grands galopins dopés aux hormones, majestueux,… » (JC)
La Légion, c’est ça?
Des soldats probablement remarquables pour « faire le travail », mais pourquoi cet air si peu martial chez les mecs de leur harmonie musicale?
Des futals de pépères, des liquettes de gardiens de parking, des bides, des trognes…
Et le spectacle?
Enfin, il y a le chapeau chinois.
Que les anglais appellent Jingling Johnny.
camarade ueda, vous avez dans votre immense et sereine sagesse totalement raison !
Cette humanité faite de bides, de trognes, de grassouillets, de femmes défraichies, de gens mal habillés, de crasse sous les ongles, de rires bêtes, de saillies, de copulation, de chômeurs désespérés et impuissants, cette humanité là, me dégoute !
(.. preuve que j’ai raison, mon ami Thierry que j’aime, pense à peu près la même chose…)
(Elle est un peu à Beckett ce que Paul Thévenin fut à Artaud)
On aimerait quelques prolongements explicatifs…
Selon le grand philosophe Milner-Riz, l’Europe est atteinte de pulsions destructrices.
Les rugbystes ne sont jamais que les déçus du footbalisme.
Les déçus du rugbysme, ça va donner quoi?
lectrice du dimanche dit: 1 juin 2014 à 10 h 38 min
je tiens à préciser que le lien que j’ai donné ci-avant est une totale et divine surprise.
Merci à ses entrepreneurs.
http://www.recoursaupoeme.fr/
« Les déçus du rugbysme, ça va donner quoi? »
Hockey…
« Les déçus du rugbysme, ça va donner quoi? »
Scrabble ?
message : rénatoto a le hoquet, hic ; je répète : rénatoto a le hoquet, hic
« Hollande plancherait sur une France à 12 « super-régions »
La planche se pratique sur le dos.
C’est pas pour les déçus du pédalisme?
Le pédalisme se pratiquerait couché sur le ventre ueda-san ?
N’a-t-on pas laisser passer un tweet sur une histoire de traduction en arabe ?
Pensez un peu aux enfants !
La Reine des Neiges – « Libérée, délivrée » – Exclusif | HD
http://www.youtube.com/watch?v=wQP9XZc2Y_c
( en fait c’est très amusant; j’avais eu à me poser la question: quel livre envoyer- par la poste- à un enfant, devenu très tardivement un membre, j’aime ce mot, de la famille, qui ne connait ni la montagne, ni la neige, ni le foid)
ni le froid, chaleur !
purée, c’est un peu cul cul la praline ce film…
Chaloux (j’entends la prononciation teutonne de ‘jaloux’), votre droit absolu de ne pas apprécier bhl, mais d’ici à déclarer qu’il n’est pas écrivain…
J’en connais des qui aimeraient juste un peu écrire un peu aussi mal…Et des « écrivains » soi-disant…
CNRTL ECRIT
« Prononc. et Orth. : [kuʀje]. Ds Ac. 1694-1932. Cf. courir. Étymol. et Hist. 1. Début xives. corier « porteur de messages » (L’entree d’Espagne, éd. A. Thomas, 13764); id. courier (Gestes des Chyprois, éd. G. Raynaud, p. 285); 1464 courrier (arrêt du 19 juin ds Anc. lois générales, t. X, 489); 2. 1631-32 nom donné à certains journaux (Le Courrier universel, titre cité ds G. Lanson, Manuel bibliograph., t. 1, p. 255); 3. 1770 « ensemble des lettres que l’on envoie ou que l’on reçoit » (J.-J. Rousseau, Confessions, éd. Pléiade, livre 7, p. 307); 4. 1816 « véhicule chargé du service de la poste » (Maine de Biran, Journal, t. 2, p. 871).
ueda,
il ne s’agit pas de faire ce que les Djeunz aiment, mais de se donner une chance de faire un bon cours qui mettent en appétit pour autre chose après. Les prépas font ce qu’on leur donne, c’est évident mais il faut veiller à ce qu’ils tirent un maximum de ce qui est proposé, notamment, pour les non spécialistes (meilleurs littéraires que les spécialistes comme de juste). A ce tarif-là, Coetzee fonctionne mieux que Beckett et Pinter. En fac, avec les moins bons, aussi. Coetzee, du manga pour vous?
Je faisais du Shakespeare en terminale et en 5e en Zep, atelier théâtre anglais, avec The restaurant sketch des pythons, il est vrai. Pas de mépris pour les profs & les élèves, merci.
« purée, c’est un peu cul cul la praline ce film… » (Djedla)
‘Purée’, ça vous a un côté Bab el Oued totalement exotique …
Cucul la prasline, par contre, ça c’est classe : style le Bien Aimé, Choiseul, Plessis-Praslin…
de quoi être notablement « dérangés »
QOTD
Bloom dit: 1 juin 2014 à 11 h 23 min
« Pas de mépris pour les profs & les élèves, merci. »
Surtout pas !… la plupart sont des êtres humains, bien sûr !…Pas tous …pas tous…
http://www.fayard.fr/linstituteur-et-le-sorbonagre-9782755506129
WilKo fait fort, encore…
Je fus, avec ma chinoise, à la finale de 2003 à Sydney. Dans c’te marée de supporters anglais, on était les seuls à porter les couleurs de l’Australie (hôtes de ce lointain pays, normal).
Supporters pour la plupart jeunes, venus de l’autre bout de la terre le matin pour en repartir le lendemain. Blake encore: « I will not cease from mental fight ». Très forts les angliches. Trop.
Une vingtaine de rangs plus bas, des supporters français, le béret (go, vois) vissé sur le crâne dépités tristes tristes de ne pas être concernés par la finale (billet finale & trajet, sapré investissement, ‘ain de justin…).
Vint le drop de Wilko, sur un dégagement de Latham, excellent jusque là, qui n’avait pas senti du pied qu’il mettait le fana de physique quantique en position idéale pour un drop des 35m…
La joie bon enfant de l’après-match: We Love You Johnny, sur l’air de We love You Baby…
Les non-finalistes français, fêtards en costard, en mêlée ouverte avec une nuée de filles autour, Laurent Labit, en surplomb…Serrer la main à la bite…
Ces commentaires cyclothymiques sur l’équipe de foot actuelle, descendue, encensée, puis redescendue, puis ré-encensée…? Wozu?
Rien de mieux à faire en période de pré-affrontement civil?
Les 48 propos sur ce sujet parus entre 1906 et 1914 sont ici rassemblés pour la première fois, ils n’avaient jamais été réédités. Plusieurs gardent une grande justesse d’appréciation de l’institution scolaire qui, en dépit de son idéal républicain affirmé, défaille : un enseignement positiviste pour formater les esprits ; la tentation du réformisme et la novation pédagogiste permanente ; la difficile lutte contre la bêtise et la soumission. Ces 48 propos d’un Normand sont suivis de deux propos inédits : l’un, retrouvé récemment dans les manuscrits d’Alain et qui aurait pu être rédigé pendant la Première Guerre mondiale pour Le Roi Pot ; l’autre, destiné à une revue de gauche roumaine qui devait se voir interdire de publication en 1940, est une formidable conclusion : il n’y a d’autres issues pour l’humanité que de cultiver le culte de l’esprit. Quelques mots appelant à cette véritable Grande Révolution, quelques mois avant le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale.
http://skritt.over-blog.fr/article-l-instituteur-et-le-sorbonagre-alain-86983070.html
‘Purée’, ça vous a un côté Bab el Oued totalement exotique …
Géographiquement c’est encore assez froid. Non, plus au Sud. Ou au Nord; ça dépend de l’hémisphère dans lequel on se place.
des journées entières dans les arbres dit: 1 juin 2014 à 11 h 09 min
Un membre, j’aime ce mot.
You’re so gay !
iceman dit: 1 juin 2014 à 11 h 48 min
Vous êtes en tri- thérapie, ou c’est plus grave ?
ça dépend de l’hémisphère dans lequel on se place
rien de mieux à faire que se la jouer fayot des lignes ?
iceman, vous un homo, comme le chantait le grand Charles, et alors, que voulez-vous que ça me fasse ?
Kicking, pour votre rôle de hyène, j’ai pensé à vous pour le casting:
https://www.youtube.com/watch?v=sIIkps4l8t4
prendre de la hauteur n’est pas prendre de haut, des journées
ce qui n’est pas plus mal.
le professeur Assouline peut pas s’empêcher non plus : mais pourquoi dans cette expression dit-on plus mal et pas pis ou pire alors qu’on dit « ce n’est pas mieux »?
kicking dit: 1 juin 2014 à 12 h 07 min
Lisez le lien du Dr Lecter. A propos d’Alain, tout ça. C’est important.
Vous allez brutalement revenir à la juste mesure. Distance, note, comme vous voudrez.
A plus tard ?
votre droit absolu de ne pas apprécier bhl, mais d’ici à déclarer qu’il n’est pas écrivain…
J’en connais des qui aimeraient juste un peu écrire un peu aussi mal…Et des « écrivains » soi-disant… (Bloom)
Un écrivain, c’est juste quelqu’un qui écrit, trouve le moyen de se faire publier et, parfois, d’en vivre, plus ou moins bien. Et rien d’autre. Il existe sûrement des écrivains qui aimeraient ne pas écrire plus mal que BHL. Leurs ambitions sont limitées. C’est bien leur droit. Après tout, BHL vend assez bien ses livres. Perso, je ne suis pas acheteur. Il y a tout de même beaucoup mieux à lire.
Intéressant, le témoignage de J.Chesnel, cela nous change des pleurnicheries lues chez Popaul
Bloom dit: 1 juin 2014 à 11 h 15 min
Bloom, (je n’entends pas de « prononciation teutonne » en prononçant Bloom) que vous répondre? Si ce n’est que BHL est un plaisantin et vous souhaiter davantage de discernement.
Imagine-t-on le futur Beckett, Henri Michaux ou Pierre Michon déclarant, à l’instar de Hugo : » Je veux être BHL ou rien » ? Ce serait farce.
« Chaloux (j’entends la prononciation teutonne de ‘jaloux’) ».
Accessoirement, Bloom, je vous conseillerais volontiers de ne pas abuser de trop médiocres facilités, même quand elles se trouvent à portée immédiate de votre esprit.
Hurkhurkhurk, comme dirait l’ami Phil…
Souvent, ceux qui voudraient prendre de la hauteur, comme dirait Sénèque, tombent de plus haut … uhuhuhu !
certains harcèlements obsessionnels contre les associations libres sont une forme d’aveu
les premiers jugeaient que ses allusions obsessionnelles à ses problèmes de santé (palpitations cardiaques, furoncles, kystes, souffrances aux pieds etc) permettait une meilleure intelligence de l’œuvre,
ces allusions justifiraient-elles un oubli de l’accord => permettaient ????
Imagine-t-on le futur Beckett, Henri Michaux ou Pierre Michon déclarant, à l’instar de Hugo : » Je veux être BHL ou rien » ?
une raison supplémentaire de ne pas prendre B.H.L pour un trempolino
kicking dit: 1 juin 2014 à 12 h 44 min
Kicking, il faut respecter les accords . Majeurs ou non.
En traduction, il faut ( up to you) faire le distingo entre: homosexuel, gay, et : tafiole.
Est-ce que c’est clair ?
Imagine-t-on le futur Beckett, Henri Michaux (…)
il ne serai pas moins triste de penser-même sans le dire-je veux être le futur nouveau Michaux, Beckett, groucho, Barthes, ou Lacan , Levi-strauss, ou Mandelbrot…
les échanges de ce blog sont trop affligeants:adieu
il ne serait pas moins triste
le journalisme qui ne choque pas le lecteur
» le pronostic de l’une d’elle étant engagé. »
et dans le même article « Deux jeunes filles seraient tombées de l’attraction. «
JC….. dit: 1 juin 2014 à 12 h 40 min
J’ai cherché sur le net une photo qui montrerait Marseille, son Université, depuis le col de la Gineste. Je n’ai pas trouvé. Pas cherché longtemps non plus.
« homosexuel, gay, et tafiole »
Tous ces distinguo me paraissent superfétatoires : personnellement, je ne vois guère de différence fonctionnelle entre Conchita Wurst et Pierre Bergé… hurk ! hurk !
manie de l’ampersand,
entre malades ?
cette passion aurait peut-être suffi
Il se croyait César, il est mort pompé. Il est fort ce Eldin reporter.
« Le suspect arrêté vendredi dans l’enquête sur la tuerie du musée juif de Bruxelles avait déjà été condamné par la justice, notamment dans une affaire de braquage, a-t-on appris dimanche auprès de son avocate.
Mehdi Nemmouche avait été condamné avec deux autres prévenus en mai 2009, à deux ans de prison pour le braquage le 13 août 2006, d’une supérette de Tourcoing (Nord), le «Penny Market», a-t-on appris auprès de Me Soulifa Badaoui. »
Revenons à Beckett : le hors-sujet, ce n’est pas important …
rose dit: 31 mai 2014 à 23 h 47 min
Sam Bass ni le rapport avec louis XIII
Sam Bass était un hors-la-loi terrible du Sud des Etats-Unis et même peut-être même d’un peu partout. En tous cas il zigouillait tout le monde tout le temps, au peacemaker. Ha lui il était pas raciste, hein ! Et il tirait excellemment juste.
Le surnom de Louis XIII était « le juste », non parce qu’il rendait la justice sous un chêne à Vincennes comme son illustre aïeul, mais parce qu’il tirait juste, a priori à l’arquebuse, au mousquet, et toute cette sorte d’ustensiles…
une raison supplémentaire de ne pas prendre B.H.L pour un trempolino (datura xy)
Sans doute, mais reconnaissons que, comme agent sioniste, BHL est tout de même plus performant que comme écrivain, quoiqu’on ne sache plus très bien depuis longtemps quelle casquette il préfère.
« Le suspect arrêté vendredi dans l’enquête sur la tuerie du musée juif de Bruxelles avait déjà été condamné par la justice, notamment dans une affaire de braquage, a-t-on appris dimanche auprès de son avocate.
Pas très futé, entre nous, le gonze, traînant tout son attirail entre Bruxelles et Marseille. Un chargeur dans la kala mais un petit pois dans la cervelle.
ou alors j’ai raté quelque chose.
bizarre cette conviction de P.Assouline de ne pas pouvoir rater quelque chose dans son combat seul contre tous les chercheurs ….
parfois ne vaut-il pas mieux rater un mot ou un point virgule, et même une &?
n’importe ce n’est pas ma question!plutôt et merci à quelques psys professionnels qui n’abrutissent pas non plus en sus de leurs manies, s’ils en ont
« Faisons comme ce mathématicien fou qui appliquait un nouveau principe de mesure à chaque étape spécifique de son calcul. » : c’est exactement ce que font ceux qui expliquent, voire donnent des conseils, à propos d’une question en l’isolant délibérément de son contexte. Ha les rats !
De BHL, j’ai lu sa bio de Baudelaire (comme disait Groucho Marx : I couldn’t wait to put it down) et temporisé et tergiversé a livre son pavé sur Sartre…son Beaudelaine fut pénible a finir…lourd mais lourd grave…de fait, je pense que son Sartre restera sur l’étagère jusqu’à ce que j’en fasse don a mon magasin de charité local…par contre son zèle pour Israel Uber Alles… (curieux non, pour quelqu’un qui est ne en Oranie, comme moi, de bander pour une contrée a 4 heures de vol et avec laquelle il n’a rien en commun a l’évidence…une autre Mauvaise Langue ?)…ce mec, tout comme Pinkie, se sent plus israélien que français (c’est son droit hein, mais avant même d’être français, les siens étaient algériens) et on peut se demander le pourquoi du comment de cet engouement quelque peu étrange, pour une telle idéologie raciste…au dela de tout ca, what the fuck is he on about ? and why do people listen to this dick ?
a liRe son pavé…
comme agent sioniste, BHL
—
Type de discours que tiennent les islamistes radicaux libyens, mais pas les démocrates, de Benghazi à Tripoli en passant par Misrata. Ce que disent les taliban pakistanais aussi, mais pas les Bangladais qui l’ont accueilli il y a peu et qui le feront revenir officiellement bientôt.
Plus musulman que les musulmans, James Brown, aussi islamo-faciste que les islamo-fascistes. Un honneur d’être ainsi caricaturé par du brun-rouge qui tache.
rose dit: 1 juin 2014 à 0 h 14 min
pas de tartine pas de miel pas de nutella rien
frigo vide
pas de cerises
–
c’est embêtant
Lisez son Sartre, Abdelkader, même ses vieux ennemis rendent les armes. Vous êtes d’une autre trempe que la merdre brune.
Moi j’ai mangé des côtelettes de mouton pomme de terre sautées à l’ail. J’aime bien les moutons, mais je sais dépasser cette idée quand il le faut.
En dessert : selles sur cher, sorbet citron bio fait maison. Petit Bordeaux supérieur de bonne tenue pour faire couler. Café du Honduras à la fin et carré de pur cru Chuao.
Je me laisse pas dépérir. Me suis installé sur mon balcon qu domine Paris. Entre mes deux oliviers. Faut s’occuper de soi dans la vie.
Mes cerises préférées sont les Bigarreaux Napoléon, celles que je fais pousser dans le Cantal. Un parfum délicieux, une chair tendre mais ferme, une robe rouge et claire à la fois.
Mont chat raffole aussi de la côtelette de mouton. Je suis, obligé de lui en prendre une pour lui aussi. Il faut savoir partager.
Pour ceux qui n’auraient encore rien remarqué, je tiens à préciser que mon pseudonyme contient une énigme.
Un blog de grands voyageurs gustatifs, why not?
Les mangues des Philippes étaient un peu trop faites, dommage, car la pluie fait baisser les températures et l’on peut envisager le Bordeaux de nouveau, comme les Russes hier avec leur râpeux Hardys.
L’ ambassadeurE du Brésil (on ne peut pas en avoir des comme elle, chez nous, i.e. sympa, intelligente, cultivée, qui aime le foot et l’art contemporain?) remarquait, espiègle, que les Russes font de leur mieux pour se faire aimer tout en faisant tout pour se faire détester. Terrible double bind.
Des Philippines, les mangues… enfin, le manguier plutôt….
« je ne vois guère de différence fonctionnelle entre Conchita Wurst et Pierre Bergé… hurk ! hure ! »
JC, vous voulez dire que C.W et P.B. sont en couple ?
Comme nous deux ?
Nous, bien sûr, nous sommes un couple de l’esprit.
JC, vous m’imaginez avec un physique de rugbyman ? Nous pourrions faire un calendrier 2015, vous et moi, nu et nous tenant par la main, un peu comme Adam et Éve en plus moderne.
Votre amoureux platonique,
CE
Si ce n’est que BHL est un plaisantin et vous souhaiter davantage de discernement.
—
Chaloux, je ne sais pas pour qui vous avez voté, mais m’est avis qu’on a de grosses divergences. Vive la démocratie! On pourrait presque prendre un TER ensemble, c’est dire comme nous sensibilités sont proches.
Pour BHL, vous le connaissez mieux que moi, alors je vous laisse baver. Pour le discernement, c’est trop tard, j’ai bien peur d’avoir un peu trop vécu. bien sûr, j’espère pouvoir vous insupporter longtemps encore.
Bons baisers d’un endroit que vous savez peut-être même pas qu’il existe. Poor you.
Bloom dit: 1 juin 2014 à 15 h 53 min
Lisez son Sartre,
Bloom, je suppose que vous plaisantez?
Lorsqu’il est sorti, une amie (pas française) l’avait acheté.
J’avais commencé par l’engueuler, mais j’en avais profiter pour regarder.
Je veux bien être pendu s’il y a une idée nouvelle.
Ce livre est parfaitement inutile.
(Comme on ne peut pas toujours être négatif, citons par comparaison un vrai essai philosophique: Alain Renaut, Sartre, le dernier philosophe)
Perso, je ne suis pas acheteur. Il y a tout de même beaucoup mieux à lire.
—
John B , vous ne voulez pas dire qu’un type aussi articulé que vous condamne sans savoir…?
Que vous n’aimiez pas son livre sur l’assassinat de D. Pearl, je comprends, moi non plus (d’autant plus que j’ai rencontré Daniel et et Marianne le 7 janvier 2002 à Islamabad, pour la venue de notre DG, ancien « sherpa » de Mimit; moins d’une quinzaine plus tard, il était kidnappé devant le restaurant Village de Karachi). Les conclusions sont justes mais le procédé est assez honteux.
Que vous soyez critique de l’Idéologie française, je comprends, vous êtes brun-rouge et en plein dans la cible.
Que Le testament de Dieu vous gonfle, on s’en doute, c’est un truc à base de grandioses blagues juives.
Que Les Indes rouges vous ait fait chier, je le conçois volontiers, tout le monde n’a pas eu la chance de faire son service national au Bangladesh. Bangabandhu Sheikh Mujibur Rahman, c’est du chinois pour vous, sans parler de Md Taha et de ses Naxalites.
Que son Siècle de Sartre vous ait insupporté, rien que de très normal: il y a comme qui dirait incompatibilité entre Giono et Sartre.
Etc; etc.
Mais que vous n’ayez rien lu et que vous passiez des jugements sur l’écriture…Seriez-vous malhonnête intellectuellement aussi?
…Non…???
ueda,
vus n’avez pas bien lu le livre de votre copine (vous êtes gonflé, genre passif-agressif, engueuler pour ensuite piquer, mais bon, chacun ses perversions).
Il ne s’agit pas d’un livre sur la raison dans l’histoire de la Critique de la raison dialectique, mais de la façon dont Sartre a influencé plusieurs générations d’intellectuels.
Souvenez-vous, tout de même qu’à l’époque, prononcer le nom de Sartre, c’était être pris pour un minus: hors Derrida, Foucault, Lyotard, Lacan, point de salut et le goulag des bien-pensants…
Chaloux, je ne sais pas pour qui vous avez voté
Pauvre Bloom ! il ne s’est toujours pas remis de n’avoir pas pu voter pour Dodo Sex Club, son candidat de coeur.
N’oubliez pas que la sensibilité de Bloom le pousse à une sympathie atavique pour ses compatriotes juifs. Un peu comme la sensibilité de Renaud Camus le pousse à une sympathie atavique pour les petits Blancs (pouah, pouah, trois fois pouah) et Marine Le Pen.
Cela explique sans doute sa tendresse, son indulgence excessive pour Bernard-Henri L’Hermite. Je me demande même s’il ne fréquente pas ce blog pour de mauvaises raisons. Mais chut.
« JC, vous m’imaginez avec un physique de rugbyman ? Nous pourrions faire un calendrier 2015, vous et moi, nu et nous tenant par la main, un peu comme Adam et Éve en plus moderne. »
Ah ! Mon Dédé ! c’est vrai qu’on serait beaux sur un calendrier, à poil, main dans la main comme Helmut Kohl et la Mitte, je sais plus où … Vous en demi d’emmêlée, moi en ailier !
Si vous décidez Daaphnée et Bérénice à participer au calendrier, je marche. L’important, c’est qu’elles participent, non ?
PS : Vous ne verriez pas Abdelkader en Mourad, pour faire exotique ?….
comme agent sioniste, BHL
—
Type de discours que tiennent les islamistes radicaux libyens, mais pas les démocrates, de Benghazi à Tripoli en passant par Misrata.
Mon cher ami, en fait de démocrates libyens, qu’est-ce qu’il en reste au juste, de Benghazi à Tripoli ? Le résultat de l’entreprise du petit Nicolas, dûment chapitré par son mentor BHl, est exactement le contraire des intentions initialement tambourinées : en Libye règnent l’anarchie et la guerre civile. La situation est exactement la même en Irak, résultat des entreprises de Bush père et surtout fils. Je me souviens de la fureur des BHL et autres Glucksman (c’était dans une libre opinion du « Monde », qualifiant quasiment Chirac de traître pour avoir refusé d’assister Bush fils dans son équipée irakienne. Inutile de dire combien la situation actuelle en Libye, en Egypte, en Syrie, en Irak, fait le jeu du gouvernement israélien. Du reste, BHL ne fait pas mystère de ses sympathies sionistes, que je sache. En la circonstance, je ne porte aucun jugement de valeur, je me borne à constater. Il suffit de savoir qui est qui. A ce propos, cessez donc de me traiter de facho, ce qui est pour le moins inexact. Vous qui me paraissez plutôt un sympathisant de la gauche israélienne, lisez donc sur la question un récent article de « Libération » intitulé : « Si BHL était allé à Gaza ».
Je me demande même s’il ne fréquente pas ce blog pour de mauvaises raisons.
—
Damned, je suis fait. Vite, la Mordovie…!
Et vous mettez quoi derrière le vocable « sioniste », Jeanbrun? L’affirmation du droit à l’existence d’Israel? Vous aimez être précis, soyez le tout à fait.
ce mec, tout comme Pinkie, se sent plus israélien que français
Finkie, comme Marc Bloch, comme Berl et d’autres grands Juifs français, est un vrai patriote, un authentique Français de coeur et d’esprit. Il verserait son sang pour la Patrie sans rechigner, comme tout bon Français. Bref, c’est un homme d’honneur, d’une loyauté indiscutable, qui ne s’abaisserait jamais à instrumentaliser lâchement certaines pages de notre Histoire pour dénigrer la France. Son soutien à Israel ne diminue en rien son amour de la France. Rien à voir avec BHL ou Bloom, qui sont des larbins atlantistes et des agents de l’Etranger qui dissimulent leur communautarisme derrière un cosmopolitisme de façade qui ne trompe personne. Les Français ne sont pas dupes !
Pour la bio de Baudelaire, lisez plutôt celle de Claude Pichois, qui a passé sa vie à l’étudier et éditeur de la Pléiade de Baudelaire. Pour la critique littéraire, lire les deux bouquins récents de Pierre Brunel sur Baudelaire. Travail savant, sensible, remarquable, comme tout ce qu’écrit Pierre Brunel.
Je vais lire l’article de Libé. Mais franchement, vous iriez à Gaza, vous? Avec le Hamas? Et pourtant nous y avons un Institut Français financé par l’Institut français de Tel Aviv.
L’autre étron pq-uesque ne craint pas le ridicule. Atlantiste…ze fun…
Je vous suis au sujet de Finkielkraut.
Mais vous vous trompez complètement au sujet de Bloom, ici présent. Il a bien des défauts, mais tout ce que vous dites à son sujet, c’est rien sinon de vagues calomnies, toujours désagréables à lire quand elles nous prennent à témoin.
« Sioniste », pour l’autre taré de Prébois, ça veut dire tout et rien. C’est un chiffon rouge qu’il agite faute de connaître Israël et savoir de quoi il parle. Prébois c’est Dupont et Pondut. C’està-dire Rien.
D. dit: 1 juin 2014 à 16 h 13 min
JC….. dit: 1 juin 2014 à 16 h 46 min
TKT pourrait faire le ballon.
« vous êtes gonflé, genre passif-agressif, engueuler pour ensuite piquer, mais bon, chacun ses perversions » (Bloom)
C’est juste.
Mais comme dit Arletty quelque part (je ne me souviens plus très bien de la lettre), on s’engueule c’est pour ça qu’on s’rabiboche.
Soyons sérieux, je suis un type modéré, mais je ne vois pas grand chose à sauver.
Son style de windbag est épouvantable!
(Quoique poilant dans sa pompe, lorsque lu avec recul).
C’est aussi un historien expéditif et souvent foireux.
Même sur la fin de Sartre, où il avait des droits à intervenir, il est préférable de lire les textes originaux, qu’il s’agit de Benny Levy ou de Sartre lui-même.
(Benny Lévy avait un grain mais un authentique caractère).
Votre indulgence est coupable!
cessez donc de me traiter de facho
Mais Colette il ne te traite pas de facho mais de brun-rouge.
Pas faux.
Ah ! Quittons nous sur ces propos lucides et actuels du brave SENEQUE (lucilius XXIX) homme à qui on ne l’a fait pas…!
« Est-il un homme, si la vertu lui plaît, qui puisse plaire au peuple? C’est par de méchantes voies que s’obtient sa faveur. Il faut se rendre semblable à lui : il ne t’approuve pas, s’il ne se reconnaît en toi.
Or le plus important, de beaucoup, est le jugement de ta conscience, non l’opinion d’autrui. On ne se concilie que par de honteux moyens l’amour de ceux qui ont perdu toute honte.
Mais quel bien devras-tu à cette philosophie tant vantée, si préférable à tous les arts et à toutes les choses de la vie ? Tu lui devras d’aimer mieux plaire à toi-même qu’à la foule, de peser les suffrages, non de les compter, de vivre sans crainte devant les dieux comme devant les hommes, de vaincre tes maux ou d’y mettre fin.
Oui, si j’entendais autour de toi les acclamations du vulgaire, si ton apparition provoquait les cris de joie, les battements de mains, l’accueil bruyant qu’on décerne à des pantomimes, si les enfants et les femmes chantaient tes louanges par la ville, pourrais-je n’avoir pas pitié de toi quand je sais quelle voie mène à cette popularité ? »
Bonne soirée, mes petits choux …
On met sur le dos de BHL des événements qui ne sont absolument pas de sa responsabilité.
Ce qu’il a fait en Libye, il fallait le faire quelque part. On ne fait pas d’omelette sans casser d’œufs. Les conséquences de l’intervention des armées françaises et britanniques étaient nécessaires. Je l’approuve sans réserve. La guerre contre les islamistes regardent tous les pays occidentaux, nous en avons pour longtemps encore, et le plus tôt nous en serons débarrassés, mieux ça vaudra pour la paix du monde. BHL n’est nullement responsable des milices islamistes qui sévissent en Libye comme ailleurs dans le Maghreb. Il faut arrêter de nous bourrer le mou. Khadafi était le maillon faible des occidentaux, ils n’aurait de toute façon pas pu résister longtemps face aux islamistes. Qu’il pourrisse dans le désert bouffé par les chacals, c’est très bien comme ça.
JC….. dit: 1 juin 2014 à 17 h 11 min
Merci de me faire comprendre pourquoi Hollande est impopulaire et surtout pourquoi il vous déplait.
« On ne fait pas d’omelette sans casser d’œufs. » (ML)
Comme on dit, où est l’omelette?
Et vous mettez quoi derrière le vocable « sioniste », Jeanbrun? L’affirmation du droit à l’existence d’Israel? Vous aimez être précis, soyez le tout à fait.
« Sionisme » est en effet un mot qui n’a pas le même sens pour les uns et pour les autres, et il s’agit de sortir de cette ambiguïté. Si le sionisme, c’est l’affirmation du droit à l’existence d’Israël, nation reconnue et accueillie par les Nations Unies, non seulement je n’ai rien à y redire mais j’y applaudis. Mais force est de reconnaître que le mot « sionisme » a fini peu à peu par s’identifier à une politique impérialiste et colonialiste qui est aujourd’hui, au moins depuis l’assassinat de Rabin, celle de l’Etat d’Israël, une realpolitik qui foule aux pieds les principes fondateurs de la démocratie israélienne (c’est vous-même qui l’avez dit) au nom des avantages d’un pragmatisme qui risque à chaque instant de se retourner contre ses promoteurs. Je ne sais pas quel âge vous avez, mais moi, j’ai été ado à une époque où Israël bénéficiait, en France et un Europe, d’un capital de sympathie et d’estime dont peut-être aucun Etat n’a jamais bénéficié. Et puis ce fut le séisme de Sabra et Chatila. La stupeur désespérée que ce fut. Comment Tsahal, l’armée du peuple martyr, avait-elle pu consentir à laisser ses alliés libanais massacrer des civils sans défense dans un camp de réfugiés ? Ce refus de l’empêcher valait complicité. Vous vous rappelez certaines images atroces du film « La liste de Schindler », décrivant des massacres de Juifs ? Eh, bien, ce que nous montrèrent alors les actualités, c’étaient les mêmes images. Quelque chose s’est brisé pour moi ce jour-là. Je sais bien qu’Israël doit quotidiennement défendre sa population contre les terroristes djihadistes. Mais qui a donné le fatal coup de pied dans la fourmilière qui les fait proliférer partout ? La politique que soutient BHL est une politique suicidaire.
…
…aux parfums!,..au parfum,…
…
…<< Jaïpur << !,…
…
…homme!,…eau de parfum,….BOUCHERON,…Paris
…
…quoi!,…encore!,…etc!,…
…
votre indulgence est coupable!
—
Peut-être ueda, mais j’ai pris (et prend encore) un vrai plaisir à en relire des passages. OK, je plaide coupable.
Ce qui ne m’empêche pas de lire Sartre, Les Carnets de la drôle de guerre et Situations III récemment, le texte sur l’Amérique.
Il a écrit sur l’Amérique aussi Bhl, je n’ai pas lu, on a la version US en bibliothèque, je vais m’y plonger, après Rohinton Misty, découverte de l’année avec Sebastian Barry.
C’est vrai que les non-Français ont bien aimé le Sartre de Bhl, ici tout le monde l’a lu. Le monde entier est coupable.
Tous vos commentaires sur le sionisme ne correspond à rien sinon à vos pauvres préjugés.
Il n’y a d’abord pas un mais des sionismes. Un sionisme de gauche et un sionisme de droite.
Vous oubliez tous qu’à l’origine d’Israël, c’est un pays qui doit son existence à des Juifs communistes émigrés de Russie ou de Pologne. Tel-Aviv a été façonnée par les Juifs communistes. Vous n’êtes que de petits cons qui ne connaissent rien et parlent pour ne rien dire.
Ce ne sont que des idées toutes faites que de prétendre que la politique d’Israël ne ferait qu’engendrer des terroristes. C’est oublier toute l’histoire d’Israël, du rapport violent entre Juifs et Arabes dans les années 30 et des massacres de Juifs par les Arabes à l’époque. Ce que vous dites, ce ne sont que des idées reçues, sans aucun fondement ni politique, ni historique. L’histoire vous donne tort et la politique arabes depuis 1974 aussi.
« C’est vrai que les non-Français ont bien aimé le Sartre de Bhl, ici tout le monde l’a lu. Le monde entier est coupable. » (Bloom)
C’est ça, me voilà dans la position enviable du mec qui engueule le monde entier.
En levant sa canne?
Je crois que je vais aller prendre mon Pouilly, tiens.
(Des bistrots ferment à Paris, mais d’autres ouvrent.
Vous verrez à votre retour…
Déprimé d’abord, réconforté ensuite)
Ok pour votre définition. Oui Sabra et Chatila, ou Der Yasin en 48, des crimes abominables, commis le premier par Sharon et ses hommes, le second, par l’aile droite du mouvement sioniste, l’Irgun où opérait Y.Shamir, futur PM.
La malhonnêteté consiste à assimiler la population israélienne à ces crimes.
Qui a montré avec le plus de pathos Sabra et Chatila à l’écran? Un ancien tankiste israélien dans Valse avec Bashir. Et il savait ce dont il parlait, il était sur place. Alors coupable aussi, Ari Folman?
Il faut sortir de ces accusations de masse, ne pas prendre les intellectuels & démocrates palestiniens pour des types du Hamas et inversement.
Vous savez ce que c’est pour un Juif de savoir que parmi ses cousins il y a de vrais fachos?
Avez-vous jamais rencontré les kibboutznik qui ont asséché les marais autour du Kinneret après avoir réchappé à l’extermination? Pas un centime d’économie, pas de propriété privée, des purs. Tout ça pour ça…
Les nouvelles générations sont impitoyables – comme ailleurs, elles veulent du fric, ici et maintenant. Les Arabes, des gêneurs…
Les idéaux humanistes, aussi imparfaits soient-ils ont vécu. Les pays arabes sont en pleine décapilotade…
Alors, on fait quoi? On se renvoie du passé qui passe pas, de l’imparfait à la gueule ou on avance, avec le plus petit dénominateur commun: le respect et le droit à la vie de l’Autre, qui qu’il soit?
Allez, shalom, salam, khudda Haafiz, et que la nuit nous soit belle (et torride).
« L’histoire vous donne tort » (ML) -je n’ai pas compris qui est vous.
L’histoire vous donne tort.
L’histoire me donne raison.
Voilà deux expressions qu’on devrait prendre avec des pincettes.
Alors, on fait quoi? On se renvoie du passé qui passe pas, de l’imparfait à la gueule ou on avance, avec le plus petit dénominateur commun: le respect et le droit à la vie de l’Autre, qui qu’il soit? (Bloom)
On avance, évidemment. Il y a eu Yizhak Rabin. Il y a eu Hanokh Levin . Il y a Zeev Sternhell, et bien d’autres. Aucune raison de baisser les bras.
« Vite, la suite ! »
The letters that make up this second volume—covering the years in which Beckett wrote almost all of his most famous works—are calmer, more restrained. The humor still breaks out (« Keydrich Rhys is here, fat and serious and full of autonomous balls about Wales »), but the war had clearly changed Beckett. No letters survive from 1941 to 1944, but the editors are right to give 1941 as the starting date and to remind us that what Beckett went through in the war years is an important part of his story.
http://online.wsj.com/news/articles/SB10001424052970204190704577026274282144672
Bloom, si je vous disais crument ce que je pense de ce que vous m’écrivez, je passerais ici pour un être grossier, ce à quoi je ne tiens pas.
Pour faire court: 1)je ne suis pas plus con que vous. 2) Latitude et longitude n’ont que peu d’influence, si je ne me trompe, sur la pertinence de ce qu’on écrit. 3) Les esprits à prétention encyclopédique sont souvent creux.4) « Passif agressif » ne vous va pas trop mal.
J’ai voté écolo.
Vous savez ce que c’est pour un Juif de savoir que parmi ses cousins il y a de vrais fachos?
..les goys ils ont l’habitude des murs de la honte kabloom..alors pourquoi lassouline il se décarcasse pour te montrer la vraie sagesse !
En levant sa canne?
et en tenant le calbut de l’autre zouz..etché homo!
Un chargeur dans la kala mais un petit pois dans la cervelle.
n’exprime pas si brutalement ton mépris du terroriste jean marron..
si les enfants et les femmes chantaient tes louanges par la ville, pourrais-je n’avoir pas pitié de toi quand je sais quelle voie mène à cette popularité ?
toutafé se faire jeter des cailloux par les enfants et s’entendre dire qu’on en a une petite c’est que t’es un aristocrate épicétou
Pour avancer au Proche-Orient, il faut être deux, Juifs et Arabes. Quand les Arabes ne veulent pas avancer, je ne vois pas ce que les Juifs, toujours remplis de bonne volonté, peuvent faire. Les pourparlers de paix ont encore échoué à cause des Arabes. Les Juifs l’avaient prévu dès le début des négociations, les sondages l’ont montré. Et ça s’est vérifié. Les Arabes ne feront jamais la paix. Rabin s’est trompé.
Personne ne semble avoir rappelé l’excellent petit bouquin de Ludovic Janvier « Beckett par lui-même » (au Seuil). Publiée du vivant de Beckett, elle s’arrête malheureusement à 1969. Peut-être a-t-elle été actualisée.
n’exprime pas si brutalement ton mépris du terroriste jean marron..
Pèpèpe, âgé de 29 ans, natif de Roubaix, c’est un Ch’ti.
premier numéro de la quizaine littéraire
la quinzaine
dès le titre du billet, j’ai compris que je ne les supportais plus, ces séductions de P.Assouline
JC, pas de femmes pour notre calendrier, que nous deux. J’ai une collection de strings à pois multicolores de Paul Smith, un habilleur du blvd Raspail. Je ne porte que du français fournisseur du FN. Je vous invite dans le Cantal, j’y ai tout le confort et les toilettes se trouvent en pleine nature.
Un article de Anne Fabre-Luce parut dans La Quinzaine littéraire 113 du 1er mars 1971
Samuel Beckett, Le Dépeupleur Minuit éd., 55 p.
A l’inverse du courant le plus général de la littérature actuelle – à l’exception peut-être des dernières expériences littéraires faites par l’avant-garde allemande l’écriture de Beckett tend vers la concision la plus rigoureuse : au lieu de partir, comme le fait l’école du Nouveau Roman, d’une sorte de « EST » général dont peuvent découler l’infinie variation des descriptions du monde, Beckett se dirige vers ce « EST», infiniment général, réduction de tout discours, et auquel seul le silence peut, en fait, succéder. Face au « plus-dire» de toute la littérature, il oppose un « moins-dire» systématique qui parvient à résumer et à contenir à sa manière toutes les autres formes « proliférantes» du discours littéraire
https://laquinzaine.files.wordpress.com/2009/11/numero-82.pdf
je passerais ici pour un être grossier, ce à quoi je ne tiens pas
Chaloux
Vous passez, Chaloux, vous passez.
LE
LIVRE
DE
LA
QUINZAINE
La
fin
du
Itlonde?
J.-M.
Le
Clézio
Le
Déluge
Gallimard
éd.
15
F
«
L’homme
qui
marche
»
est
un
thème
familier
à
J.-M.-G.
Le
Clézio.
Porte
ce
titre
une
des
nou-
velles
de
son
admirable
recueil
La
Fièvre,
que
je
préfère,
je
le
dis
tout
de
suite,
à
ce
quelque
peu
monstrueux
Déluge.
Déjà,
dans
le
Procès-Verbal,
son
héros
était
atteint
de
déambulation,
cette
maladie
moderne
dont
Mol-
loy
offre
le
parfait
exemple
TKT dit: 1 juin 2014 à 20 h 14 min
Papy Thierry a pris un coup de vieux, il a oublié de changer ses coordonnées avant de faire « Enter ».
Il voulait bien entendu signer D., mais un geste trop rapide oh horreur, tout le monde a la preuve que TKT est l’un des usurpateurs de ce blog.
sur mathématique , lire le texte de Beckett dans le lien envoyé
En traduction, il faut ( up to you) faire le distingo entre: homosexuel, gay, et : tafiole.
Est-ce que c’est clair ?
euh.. je peux savoir pourquoi vous éprouvez le besoin de m’écrire cette injonction gnognotte de chochoteuse ?
M
E
R
C
I
Dr
L
E
C
T
E
R
Pour ce Cube.
kicking dit: 1 juin 2014 à 21 h 15 min
Erreur de la poste en votre faveur. Vous ferez passer le message à votre voisin iceman.
‘…On ne fait pas d’omelette sans casser d’œufs. …’
ca me rappelle quelque chose ou quelqu’un…ah oui…il avait lui aussi mal fini, non sans avoir fait beaucoup d’omelettes…
mais bon, à tout hasard.. prendre son pied sexuellement avec quelqu’un après rapport ce serait pas un truc de branleur ?
proposait d’« abluer » un texte recouvert par la critique et les lectures psychanalytiques, pour inaugurer une interrogation infinie sur ce que parler veut dire. Dans « De l’être du balbutiement à l’être lieu? Quand Quignard devient chat »
http://www.fabula.org/
Kicking il serait pas du genre comme TKT , à faire la sortie des écoles avec un imper, et rien dessous ?
JCouille l’observateur pervers: Je trouve très amusant ce lien vers mon Blog et cette pharmacie spécialisée dans la vente du canabis.
Que voulez vous, JCulé, je suis encore stone !
Mais, D. n’est-il pas un pseudo à usages multiples ?
Le pseudo pour tous en quelque sorte.
Et vous êtes malicieux, JCouille, si vous étiez l’usurpateur ?
Votre humour est légendaire et vous aimez vous travestir.
By the way, JC, seriez vous amoureux de Conchita Wurst ?
Vous en parlez tout les deux commentaires.
Je vous imagine bien, micheton faux-cul aller vous faire mettre par un vrai homme barbu déguisé en femme, pour ne pas vous donner trop de complexes. Les travestis sont surtout appréciés par les gens comme vous.
Ciao, stronzo !
Beaucoup de belles découvertes, ce jour.
Bonne soirée
Dr Lecter, pour votre bonne pioche:
http://www.recoursaupoeme.fr/critiques/chemins-ouvrant-de-yves-bonnefoy-et-g%C3%A9rard-titus-carmel/lucien-wasselin
datura46/47/48 dit: 1 juin 2014 à 20 h 16 min
Preuve que le discours critique à La Quinzaine pouvait être, chez elle aussi, assez abscons, pour ne pas dire franchement… con…
Mais si il y tient dit: 1 juin 2014 à 20 h 30 min
Je sais bien, je plaisantais, crétin(e).
TKT dit: 1 juin 2014 à 21 h 41 min
Piètre défense TKT, vous usurpez des pseudos depuis des années, seul passou en avait la preuve, maintenant tout le monde l’a.
des journées entières dans les arbres dit: 1 juin 2014 à 21 h 36 min
pour voir si vous sortez parfois de l’escalier ? non..
2) Latitude et longitude n’ont que peu d’influence, si je ne me trompe, sur la pertinence de ce qu’on écrit.
—
Vous voulez dire sur ce blog, pas en général, do you?
Mon ami Thierry ! Je n’ai rien usurpé de votre identité : j’ai la mienne qui ne me déplait pas … Pourquoi vous faire enrager ???
Reconnaissez votre fausse manip, et on n’en parle plus : on est là pour se donner du bon temps, non ? L’Auberge Passou est une bonne place.
D’JC, je sais que vous vous prenez pour le Maître Suprême de l’internet, personnellement je n’ai pas besoin d’avoir votre consentement.
Vous êtes le champion de la mauvaise foi, du mensonge patent et des crises de nerfs quand vous êtes soit censuré (chez Paul Edel), soit quand un autre commentateur vous renvoie sur votre gueule les balles par vous envoyées.
Cher Thierry, vous déformez à mauvais escient !
Je suis fair-play, en sport et dans la vie ! Je n’ai jamais triché en compétition, jamais pris de dope, toujours préféré perdre une place que ne pas la mériter. Professionnellement, j’ai tué des mauvais, c’est exact, pour le bien de tous, mais j’ai sauvé des bons qui étaient mal vus !
Bref, mon côté angélique (sans majuscule) vous échappe complètement ! Heureusement, j’ai des ami(e)s …
TKT dit: 2 juin 2014 à 11 h 58 min
Pas de fausses pudeurs mon Kron.enbourg chéri, t’as triché, tu t’es fait prendre, tu assumes.
Tu usurpes, c’est dans ta nature, accepte, tu sais bien que ce n’est pas à ton âge que tu vas changer, sois fort dans ta tête.
Ah oui, je ne signe jamais ni JC ni D. (ni TKT d’ailleurs)
744
commentaires