Shakespeare, toujours aussi déconcertant
Déconcertant : c’est le mot. Celui qui revient le plus souvent pour évoquer les comédies de Shakespeare. Leur interprétation y semble ad infinitum. On dit de cet univers qu’on peut s’y perdre comme dans l’ordonnancement labyrinthique d’un jardin anglais. Leur structure est pleine d’énigmes. Dès qu’en surgit la part dissimulée le doute envahit le lecteur/spectateur (la, précision s’impose car on en connaît qui n’apprécient pas Shakespeare au théâtre mais s’en régalent lorsqu’ils en tournent les pages). On aura beau ranger ces comédies sous l’étiquette bien commode de « maniériste », avec tout ce que cela suppose d’énergie dans le scepticisme, il en faudrait davantage pour dissiper la perplexité, d’autant que c’est une auberge espagnole (enfin, anglaise…) de l’humanisme.
Déconcertant, le genre même, dans son indéfinition, de ce qu’on appelle là des comédies mais qui ont été classées par l’auteur même en tragi-comédies, comédies du renouveau, pièces à problème, voire romances, ce qui ne l’empêcha pas de bousculer les genres. Mais c’est bien sous le titre collectif de Comédies I (1 520 pages, 60 € jusqu’au 31 janvier 2014, Bibliothèque de la Pléiade) que Jean-Michel Déprats, maître d’œuvre depuis vingt-cinq ans des Œuvres complètes dans la même prestigieuse collection et Gisèle Venet ont choisi de regrouper La Comédie des erreurs, Les Deux gentilhommes de Vérone, Le Dressage de la rebelle, Peine d’amour perdue, le Songe d’une nuit d’été, Le Marchand de Venise. Et contrairement aux apparences, La Mégère apprivoisée n’a pas été oubliée puisque The Taming of the Shrew a été traduit pour la première fois par Le Dressage de la rebelle ; à lui seul, ce choix a déjà fait couler beaucoup d’encre, ce qui est assez dire qu’avec les shakespeariens, on a affaire à des fans aussi exclusifs que les amateurs d’opéra ; mais les éditeurs n’ont pas été jusqu’à rebaptiser The Comedy of Errors, La Comédie des méprises comme d’autres l’ont fait dans le passé au risque de perdre l’idée d’errance ; ils n’ont pas davantage rendu Twelfth Night à la douzième nuit après Noël et donc à l’Epiphanie, lui préférant La Nuit des rois. Le choix d’un titre français revêt une telle importance, quasi programmatique, que s’agissant de « La Mégère », Jean-Michel Déprats et Jean-Pierre Richard ont tenu à signer le paragraphe de la notice qui s’y rapportait. Il vaut d’être reproduit et médité car il reflète bien les débats intérieurs d’un traducteur, le réseau de connaissances convoqué, son travail tout en infinies nuances dans le rendu d’un mot, d’un seul, parfois :
« « Apprivoisée », qui exprime un résultat plus qu’un processus, est un terme trop faible pour décrire la torture physique et morale (privation de sommeil, de nourriture, humiliations …), dite taming (to tame vient du grec damao : « soumettre au joug »), dont le paradigme est la domestication des animaux ou, plus clairement désigné dans la pièce, le dressage des faucons. Le mot « mégère » évoque depuis le XVIIème siècle en français une femme méchante, acariâtre, généralement âgée et d’une apparence peu amène (sinon effrayante, comme l’est Mégère, celle des trois Erinyes qui incarne la Haine), ce qui ne correspond pas à la flamboyante et jeune Katherina de la pièce, « droite et mince » comme « la tige du noisetier », surtout montrée comme indépendante, insoumise, rétive au joug conjugal, rebelle. Shrew désigne d’abord en anglais (encore aujourd’hui) une « musaraigne ». Si le terme s’applique de nos jours, d’après l’Oxford English Dictionnary, à « une femme railleuse et querelleuse » (…), cette définition ne rend pas compte de l’usage qui en était fait à l’époque de Shakespeare. En effet, ce sont les diverses connotations attachées au Moyen Âge au petit animal sauvage qu’est la musaraigne qui ont donné lieu à un sens métaphorique –dans lequel, signalons-le, le mot s’employait aussi, originellement, pour un homme. Shrew est apparenté à Shrewd, « rusé », « malin » – voire « mauvais »-, mais aussi « fin », adroit », subtil ». Et comme le montre bien Katherina (et Petruchio) dans la pièce, le mot est également lié à l’habileté et à l’astuce du discours. Le français « rebelle » nous a paru rendre compte, mieux que ne le fait « mégère », de ces nuances et de la personnalité de Katherina. Et nous substituons au participe passé adjectivé « apprivoisée » un substantif, « dressage », qui correspond à l’état actuel de l’action. »
Voilà qui vaut bien de réviser un titre ancré en nous depuis des lustres. Plusieurs traducteurs ont collaboré à cette édition. Leur point commun ? Loin du didactisme d’un François-Victor Hugo et de la poétisation d’un Yves Bonnefoy, ils ont eu le souci de traduire ces comédies pour la scène. L’orthographe, la ponctuation et la graphie ont été modernisées mais, par respect pour la scansion, des archaïsmes (élisions des finales de participes passés, élisions de syllabes à l’intérieur d’un mot) ont été conservés. Comme s’il fallait tout sacrifier à l’euphonie, en quoi ils ont été bien inspirés car, c’est encore plus évident en anglais que dans toute autre langue, le théâtre de Shakespeare est musique.
Dans sa préface à l’érudition lumineuse, Gisèle Venet dit que la traduction d’une comédie relève d’un « périlleux exploit » tant l’essentiel se perd de la finesse de l’original. Cet essentiel, Voltaire en avait dressé l’inventaire : bons mots, à-propos, allusions, quiproquos, mises en abyme etc Avec Shakespeare, la difficulté est supérieure encore en ce qu’il truffe son texte de jeux verbaux latins, français, espagnols, italiens, usant d’une imagination lexicale… déconcertante. Autant de défis lancés aux traducteurs que ses « fantaisies irrésolues ».
En regard des canons français de la dramaturgie, rien n’est irrégulier comme ces comédies. Elles semblent s’être données le mot pour bousculer l’injonction d’Aristote à respecter la règle des trois unités (temps, lieu et surtout action). Le grand Bill a pris une telle liberté en composant ses comédies, n’hésitant pas à se renouveler au lieu de répéter un schéma rassurant, que beaucoup en ont été comme désemparés. On croit tenir son art poétique dans une pièce et voilà qu’une autre le dément. Le Songe d’une nuit d’été, sa pièce la plus goûtée par les Français (Hamlet est hors-concours), y malmène avec bonheur les Métamorphoses d’Ovide. Pendant ce temps, dans un coin du Globe Theater, son fantôme en rit encore. On l’entend jubiler, heureux de tout s’autoriser tel un fou assuré de maîtriser sa folie. Douter de tout sauf du doute, accéder à la réalité par le biais du rêve. Quelle leçon, non seulement pour les dramaturges mais pour tout écrivain !
Est-il besoin de préciser que les notes sont à elles seules un livre dans le livre. Je les ai d’ailleurs lues comme telles, dans la continuité, sans me rapporter au texte. La notice consacrée par Gisèle Venet au Marchand de Venise, à l’ambigu naturalisme de Shylock et à l’antijudaïsme controversé de la pièce, est à elle seule un essai remarquable tant il intègre tous les aspects de la question, des plus anciennes aux plus récentes mises en scène, en passant bien sûr par l’examen des sources, la réception etc Enfin, précision d’importance, il s’agit d’une édition bilingue, le texte original en regard du texte français. Ce qui augmente l’enchantement du lecteur et le dédommage de l’anglais d’aéroport qu’il doit subir dès qu’il voyage ou rencontre des étrangers, le globish ayant enterré le shakespearien tel qu’on ne le parlait plus depuis longtemps mais tel qu’on le joue encore.
(« Est-ce bien lui ? En fait, on n’en sait rien… » Photos D.R.)
851 Réponses pour Shakespeare, toujours aussi déconcertant
@U
Sur les querelles talmudiques à Paris un excellent petit ouvrage de vulgarisation ,dû ,précisément à Gerard Dahan que vous citez :La polémique chrétienne contre le judaïsme au Moyen –Age
Dans la même collection chez Albin Michel un petit ouvrage sur Rachi de Troyes
Ce vigneron champenois qui vivait au 11 éme siècle et dont les gloses encadrent les pages du Talmud, nous a laissé un des rares témoignages dont nous disposons du français vernaculaire d’alors.
Cette langue orale, à une époque où la seule langue écrite était le latin ,lui servait ,transcrite en caractères hébraïques, à expliquer à ses lecteurs le sens de certaines expressions figurant dans son texte hébreu .
L’ouvrage que je cite consacre un chapitre à ces gloses .
Depuis, beaucoup de grammairiens français et israéliens ont travaillé sur des reconstitutions de cette langue orale vernaculaire, à partir des transcriptions phonétiques, en lettres carrées ou rashi, qu’on trouve dans les textes rabbiniques français de l’époque
Bravo, Mandela !
___
Sale con: l’épidémie de Sida remonte à Thabo Mbeki, le successeur de Madiba, qui a nié la réalité au nom de l’ubuntu et de son ra
racisme anti_blanc.
Je t’ai sous la main, je te fais violer par mon pote séropo…
Bravo, Mbeki !
L’Afrique du Sud compte plusieurs prix Nobel de littérature.
Combien d’entre eux iront aux funérailles de Mandela ?
Rachi de Troyes?
—
Si je ne m’abuse, ses textesfigurent parmi les plus anciens écrits en langue française.
Joli mémorial à Troyes.
On raconte beaucoup, et même dans l’entourage de Passou selon ce que j’entends dire, que ce blog est noyauté par l’extrême-droite. Je n’en crois rien. Il a aimanté des internautes d’une certaine tendance et, peu à peu, ce sont les seuls qui restent.
L’écrémage s’est fait de lui-même.
JC se goberge, u. triomphe, Court jubile, Phil trouve ça normal, macbouguereau se dégonfle.
L’Afrique du Sud compte plusieurs prix Nobel de littérature.
Combien d’entre eux iront aux funérailles de Mandela ?
—
Tu cherches à insinuer quoi, Baroz?
Tu lis l’anglais du Daily Telegraph? Alors, lis ce que disent Gordimer et Coetzee:
By Telegraph reporters
7:00AM GMT 07 Dec 2013
Two of South Africa’s greatest novelists Nadine Gordimer and JM Coetzee have paid tribute to the late Nelson Mandela. Gordimer wrote in The New Yorker that she had attended his 1964 trial when he was sentenced to life imprisonment. She goes on to say that her 1979 novel Burger’s Daughter, about the family life of revolutionaries’ children, was somehow smuggled to Mandela on Robben Island prison: « He, the most exigent reader I could have hoped for, wrote me a letter of deep, understanding acceptance about the book. »
After his release Gordimer writes that Mandela asked to meet her. Rather than talking about her work, though, he spoke about his troubled marriage to Winnie Mandela. She writes: « Mandela: not a figure carved in stone but a tall man, of flesh and blood, whose suffering had made him not vengeful but still more human – even toward the people who had created the prison that was apartheid. »
Gordimer, whose anti-apartheid novel July’s People was banned in South Africa when it was published in 1981, won the Nobel Prize for literature in 1991, a year after Mandela’s release.
Coetzee, who lives in Australia, wrote a typically nuanced piece for the Sydney Morning Herald. While lamenting his 27 years « incarcerated at the pleasure of the state », he also points out that in his final years as a prisoner he was a powerful force with « a power of veto over the foreign policy of his country ». Coetzee praised Mandela for holding the country together before the 1994 elections but also claims he was « blindsided by the collapse of socialism » and did not put up a fight against free-market capitalism.
The novelist’s works have focused an unsparing eye on the faults of post-apartheid South Africa in works such as the Booker-winning Disgrace (1999). Yet he warmly praises Mandela’s « gracious common touch » and « Victorian ideals of personal integrity and devotion to public service ». Ever wary of hyperbole, though, he describes Mandela as « the last of the great men » as the « concept of greatness retires into the historical shadows ».
« Gambit dit: 10 décembre 2013 à 11 h 19 min
On raconte beaucoup, et même dans l’entourage de Passou selon ce que j’entends dire, que ce blog est noyauté par l’extrême-droite. Je n’en crois rien. »
« Je n’en crois rien », ça sent sa Verneinung.
« Il a aimanté des internautes d’une certaine tendance et, peu à peu, ce sont les seuls qui restent. »
Les hommes de fer ont succombé à la fatal attraction?
« L’écrémage s’est fait de lui-même. »
Comme c’est bon, ô Crème, de vous voir condescendre à venir ici faire entendre une voix progressiste.
Je regrette seulement que votre filet de voix s’étrangle si vite!
Osez prendre la parole, personne ne vous la retire.
Ceux qui connaissent écrivent héros, ceux qui ont besoin d’icônes africains écrivent Héros, ceux qui ne savent pas écrire dansent, les faux-culs, nombreux, font un petit tour, rendent hommage, et puis s’en vont.
« Tu cherches à insinuer quoi »
Par delà le tapage médiatique, une vision un peu intelligente et interne de la situation Sud Africaine, Bloom !
Quel bilan aujourd’hui ?
Rien de la part d’André Brink ?
« Tu cherches à insinuer quoi »
En général, sa mentule curieuse.
Tiens, Bloom, un petit rappel sur le bal des hypocrites qui se joue aujourd’hui. Je m’étonne que Charlie Hebdo n’ait pas fait sa une sur les funérailles de Mandela. Ce journal satirique n’est plus ce qu’il était !
http://www.legrandsoir.info/quand-mandela-etait-un-terroriste-pour-l-occident.html
Gambit dit: 10 décembre 2013 à 11 h 19 min
u. triomphe,
exact :
u. dit: 10 décembre 2013 à 11 h 31 min
@Martial
« Tirant sa mentule (curieuse) en l’air, il les compissa sy aigrement qu’il en noya deux cens soixante mille quatre cens dix et huyt- sans les femmes et les petitz enfans » — (Rabelais, Gargantua, chapitre 17)
Epigrammes-Livre IX
« Si tu es pauvre avec tes amis, Lupus, tu ne l’es point pour ta maîtresse, et ta mentule, du, moins, n’a pas à se plaindre de toi. On voit cette impudique créature s’engraisser d’un pain délicat, servi sous la forme du bijou féminin, tandis qu’un pain noir est l’aliment de tes convives. Pour elle, coule le vin de Setia, chaud à brûler la neige; et nous, il nous faut boire le liquide trouble et empoisonné que le Corse verse dans ses tonneaux. L’héritage de tes pères ne suffit pas pour payer une de tes nuits, encore pas tout entière, et ton ami abandonné laboure des terres qui ne sont pas les siennes. Ta concubine est tout étincelante de pierreries arrachées à l’Elysée ; et, pendant que tu la caresses, on conduit ton client en prison. Il ne te coûte pas de donner à cette belle une litière traînée par huit conseillers esclaves, et le corps de ton ami sera jeté nu dans une bière. Va maintenant, Cybèle, châtrer de misérables débauchés ; voilà une mentule qui mérite bien autrement que ton couteau s’exerce sur elle. »
les faux-culs, nombreux, font un petit tour, rendent hommage, et puis s’en vont.
c’est ça le libéralisme jicé..aller au secours de la victoire..surtout quand elle est froide, c’est ça être du coté du biznèce..az iouzul ..tais toi, t’empêches les affaires
Baroz,
tu as lu les 2 prix Nobel? Brink est gentil mais pas au niveau…Breytenbach encore je veux bien parce que lui a tâté de la prison, mais Brink, c’est quasiment un écrivain français.
Tu es indécrottablement frachouille, Baroz…c’est ça ton problème…tu regarde le monde de ton petit hexagone et tu crois qu’il est comme tu le vois. Un peu comme sous la 3e République…faut sortir, Baroz, et pas seulement dans le Marais…
tu rigoles, U, mais j’entends dire la même chose que Gambit. Et ton « Osez prendre la parole » est ridicule : pour s’adresser à qui ? à toi, à JC, à Daphné ?
on peut faire un constat de l’état de la rdl sans avoir envie de ruer dans les brancards, ça reviendrait à pisser dans un violon.
maintenant, si vraiment tu ne remarques pas une couleur dominante dans les coms, un ton prégnant, c’est que tu manques de sens littéraire.
(hein)
compilation sommaire dit: 10 décembre 2013 à 11 h 53 min
Ce qui peut vous perdre, Gambit, c’est une passion insensée pour l’entre-soi.
Pour jouer au échecs, Herr Schachspieler, il faut au moins être deux.
tu regardes…
Et pendant qu’une foule de chefs d’état se pressait dans le stade pour rendre hommage à ce géant dont ils avaient défendu bec et ongle le combat, on ne vit point même le bout du chapeau noir de Mouammar Kadhafi qui devait sans doute bouder dans son coin, l’ingrat.
keupu couine avec dla chiure tartinée sur le groin et veut nous faire croire que c’est l’commandant marcos..t’es une raclure, djeust une raclure keupu..vrywère you go
« faut sortir, Baroz, et pas seulement dans le Marais… »
Bravo, Bloom, citoyen du monde, continue à danser en criant Madiba, Madiba !
H.A.L. dit: 10 décembre 2013 à 12 h 08 min
on peut faire un constat de l’état de la rdl sans avoir envie de ruer dans les brancards, ça reviendrait à pisser dans un violon.
Permettez-moi, illustre machine (vous jouez aux échecs aussi?) de blâmer votre continence.
Réapprenez la générosité en relisant le Rabelais cité par Barrozi:
« « Tirant sa mentule en l’air, il les compissa sy aigrement qu’il en noya deux cens soixante mille quatre cens dix et huyt- sans les femmes et les petitz enfans » — (Rabelais, Gargantua, chapitre 17)
Cessez d’être si timoré!
l’universel c’est pas un pince fesse avec coquetèle à copacabana kabloom
..c’est être deux dans un caveau à lachaise..ouvert sur le ciel
Centrafrique : deux soldats français tués lundi
directmatin.fr
Par DirectMatin – Il y a 3 heures 32 min
Bah tiens, on ne fait pas un Viet Nam sans casser des œufs.
N’oublie pas le Marais, Bloom !
http://farm9.staticflickr.com/8486/8178593483_c5ed579e2b_o.jpg
non, U, je ne joue pas aux échecs – et je n’avais même pas pensé au robot en signant HAL, ce sont simplement les premières lettres de mon e-mail.
t’inquiète, vieux, je dégage.
(et bouguereau qui me prend pour keupu, oh là là, il s’arrange pas)
quoique faire ruer dans les brancarts tout en faisant pisser dans un violon..héliogabal en a révé et n’a peut être pas eu le temps de le faire..carpé dième!
t’inquiète, vieux, je dégage.
et voilà tu laisses la place..ton cul n’est pas en or toréador..comme si c’était tous des miura..je t’esplique..tu prends un douze a pompe avec du triple zéro..tu te cache dérrière un arbre et tu imites le cri de la croquette..hop tu te retournes et tu fais feu
jicé regarde trop de fime de zombi..mais toi pas assez..shakespeare c’est dépassé
« non, U, je ne joue pas aux échecs – et je n’avais même pas pensé au robot en signant HAL, ce sont simplement les premières lettres de mon e-mail.
t’inquiète, vieux, je dégage. »
Déserteur!
bouguereau dit: 10 décembre 2013 à 12 h 28 min
jicé regarde trop de fime de zombi..mais toi pas assez..shakespeare c’est dépassé
Pas par toi, en tout cas.
Danser, certes, mais pas n’importe comment, Baroz: avec les coudes levés bien vers l’extérieur, en chemise chamarrée (the Queen won’t mind) et avec un grand sourire qui illumine le visage, danser à-la-Madiba.
Et pas avec n’importe qui, avec les amis et la famille, les Nantais, les Marseillais, les Chinois de Taiwan & de Chine pop, les Englishes, les Japonais et les Thais, es Lao et les Malaisiens, les Indiens et les Pakistanais, les Italiens et les Irlandais, les Allemands et les Bangladais, les Australiens et les Commoriens, et avec la maman du meilleur ami de mon fils ainé, Rwandaise, seule rescapée d’une grande famille, qui elle sait précisément ce que signifient les 3 syllabes: Man-de-la…L’Homme qui vient de là..
« Now cracks a noble heart. Good night sweet prince:
And flights of angels sing thee to thy rest! »
-Hamlet
bouguereau dit: 10 décembre 2013 à 12 h 06 min
les faux-culs, nombreux, font un petit tour, rendent hommage, et puis s’en vont.
c’est ça le libéralisme jicé..aller au secours de la victoire..surtout quand elle est froide, c’est ça être du coté du biznèce..az iouzul ..tais toi, t’empêches les affaires
Bah oui, Boug. Sarko-Nolland, même combat !
Au fait, dans les manuels de nos merveilleux lycéens, est-il aujourd’hui question de Rachi de Troyes? (u.)
U. a-t-il toute sa tête ?
« L’Homme qui vient de là.. »
Et toi, Bloom, d’où viens-tu ?
Au fait, dans les manuels de nos merveilleux lycéens, est-il aujourd’hui question de Rachi de Troyes? (u.)
A Troyes, où je suis né puîné, j’ai bien connu une Rachida, mais un Rachi, je ne vois pas. Josette me dit que naguère, à Troyes, elle a consommé un Rachi Parmentier, mais l’humour et Josette… Bon, ne retournons pas le couteau dans la plèvre.
Déserteur ! (zou)
C’est vrai que les désertions se multiplient…
A Troyes, où je suis né aîné, j’ai vite renoncé à éduquer mon petit frère.
Il pleut sur Soweto et Shakespeare a gardé ses lunettes de soleil…
Et toi, Bloom, d’où viens-tu ? (Jacques barozzi)
Ah oui, qu’il nous le dise ! Qu’il avoue, enfin ! Métèque ! Tandis que moi, je suis né à Troyes, d’un père authentiquement Troyen, authentiquement Chrétien ( de Troyes), et d’une mère gravelotte. Qui peut en dire autant, par les taons qui courent ? Sûrement pas Finkielkraut, et encore moins Millet (Richard, pas Jean-François, qui, lui, est né à Troyes, d’une meule et d’un angelus, un authentique Français, lui !)
u. dit: 10 décembre 2013 à 10 h 00 min
Au fait, dans les manuels de nos merveilleux lycéens, est-il aujourd’hui question de Rachi deux trois ?
Rachi deux trois … ? Il faut finir vos phrases mon vieux, mon patron a du mal à vous suivre.
Qu’as-tu fait de ton andouillette, JB ?
« avec la maman du meilleur ami de mon fils ainé, Rwandaise »
+1
tu te cache dérrière un arbre et tu imites le cri de la croquette.
Ah, Le Boug’, je sens là une longue pratique … Si vous savez bien .. comme au lycée -les précoces, c’est bien avant .. – les garçons qui se cachaient derrière la sage épaule de quelques filles consentantes pour lancer des boulettes ..
Pardon ?
Que voulez-vous, certains ne s’y sont pas entrainés assez tôt .
Par Jésus ! la quenelle à Bergé
Bon, Héliogabale, le vrai …
Qui était-il vraiment ?
Josette me dit que Mandela serait mort. J’en crois pas mes oneilles.
« Bon, Héliogabale, le vrai …
Qui était-il vraiment ? »
C’était l’amant attitré de Lou Andreas-Salomé, puis il passa aux chèvres folles de leur corps …
Mandela, plus grand mort que vivant.
Baroz, lui, il préférait l’apartheid, quand les noirs étaient bien rangés, quand ceux qui dansaient un peu trop, on les buttait et on passait à autres chose; c’était propre et idéal pour visiter le Parc Kruger, Pretoria, Blomfontein, se faire dorer la pilule et se préparer un bon ‘braai’ sur les plages du Cap, côté Océan Indien, bien sûr, hien Baroz, vers Noordhoek, à l’abri des filets anti-requins; Ah, ça c’était la belle vie, l’époque du sjambok et du boy xhosa qui te donnait du ‘yes baas’, ‘yes masta’ tant et plus que tu commenais vraiment à te croire spécial…
Et avec l’aide de B.Lugan, tu pouvais même t’offrir un petit viron dans les vignes plantées par tes ancêtres Huguenots de Venise (ville du premier ghetto), du côté de Franschhoek. Noir comme un soudard tu pouvais tirer dans le noir à défaut de te payer un noir.
Ah, ze fun…!
Et pis patatras, il a fallu que ce nègre noir terroriste sorte de sa prison et vienne foute le bins…et maintnenant on fête sa mort partout dans le monde et dans le ciel, un comble…
Slegs nie blankes, c’est ce que tu nous chantes ce soir, Baroz? C’est beau comme un lynchage.
Faut pas regretter les petites sauteries de John Vorster Square, Baroz, tu vas te faire mal, Baroz.
« Aurélie Filippetti gâche l’inauguration de l’institut culturel de Google »
Nous n’avons pas besoin d’un ministre pour nous occuper de culture.
En Afrique du Sud, un verrou a sauté : on va pouvoir passer aux choses sérieuses.
Et toi, Bloom, d’où viens-tu ?
—-
De chez moi (vue sur le lac), et j’y retourne, avant d’aller danser avec la bande à Madiba…
Asimbonanga
Asimbonang’ u-MANDELA thina
Laph’ekhona
Laph’ehleli khona
(…)
Bon, Héliogabale, le vrai …
Qui était-il vraiment ?
un bon garçon qu’on a trainé dans la boue il parait..le contraire de shakespeare
fournitures de bourreau dit: 10 décembre 2013 à 9 h 39 min
u. c’est le Tipp-Ex de l’infâme jc
c’est des raclures de keupu
L’apartheid a été organisée par un gouverneur Hollandais :
tu vas te faire mal, Baroz.
mais non il accompagne avec son vouvoudzèlla..
c’est vrai que charlie aurait fait un carton dans le temps..du genre « plutôt mort que noir »
Faut-il que tu sois à court d’arguments, Bloom ?
Après un renvoi à mon homosexualité avouée en m’invitant à « sortir du Marais » (ça marche aussi avec les juifs, et là on aurait atteint le point Godwin), voilà que tu me prêtes des sympathies, des nostalgies, pour l’Afrique du Sud du temps de l’apartheid. De mieux en mieux. On dirait que tes commentaires s’inspirent des articles de « Je suis partout ».
Encore bravo !
ta gueule keupu
Marcel, ne calez surtout pas!
Bloom tient son créneau, mais il est en dhoti et un peu loin.
Vous avez vu comme le front idéologique s’est dégarni, au dessus des lunettes roses?
La gauche a besoin de ses hommes de ses femmes et de ses enfants.
C’est le moment d’en être.
Déclarer tranquillement, verre en main, « Moi, j’suis d’gauche », avec un regard un peu lointain (dès fois qu’on confondrait avec Solférino), ça commence à avoir une sacré gueule.
Faire partie des 18%, crânement, bien planté sur ses deux pieds, ça devient tentant.
À 15%, j’y vais.
Pas par toi, en tout cas.
par les fimes de zombis..suis un peu
passant sympa dit: 10 décembre 2013 à 13 h 36 min
fournitures de bourreau dit: 10 décembre 2013 à 9 h 39 min
u. c’est le Tipp-Ex de l’infâme jc
c’est des raclures de keupu
Est-ce bien sympa, passant?
C’est pas gentil pour Dédé.
« I don’t like u. », c’est plus franc, et je serai toujours partiellement d’accord.
Faire partie des 18%, crânement, bien planté sur ses deux pieds, ça devient tentant.
À 15%, j’y vais.
t’es du manche zouzou..à 15 c’est ta cognée qui srait cassé..
..t’es mou et t’es con
cette raclure de boucrance est une grosse brute épaisse, un gros c ravagé qu’il aille se faire par ses pourritures de potes pourris
« I don’t like u. », c’est plus franc, et je serai toujours partiellement d’accord
tu t’prends pour un échantillon représentatif zouzou.. »la démocratie c’est moi »
Tiens, Bloom, en avant-première, la première page de mon « Goût de l’Afrique », à paraitre en janvier prochain :
« INTRODUCTION
« J’allais trafiquer avec eux des ivoires longs comme ça,
des oiseaux flamboyants, des esclaves mineures.
C’était promis. La vie quoi ! »
CELINE
« La langue française,
c’est le trésor de guerre des Algériens. »
KATEB YACINE
« En Afrique, quand un vieillard meurt,
c’est une bibliothèque qui brûle »
AMADOU HAMPÂTÉ BÂ
Dès la prime enfance, l’Afrique toute entière, du Nord au Sud, occupe durablement nos imaginaires.
Parvenu à l’âge de raison au début des années soixante, à Cannes, l’enfant que je fus se souvient qu’il collectionnait les timbres de l’Afrique-Equatoriale française (AEF) et de l’Afrique-Occidentale française (AOF). De l’Indochine aussi.
Il se souvient de l’arrivée en masse dans sa région des Pieds Noirs.
Il se souvient d’une jeune veuve de vingt ans, croisée en grand deuil au marché un dimanche matin, dont sa mère lui avait dit que le mari avait été tué à la Guerre d’Algérie.
Il se souvient du camp de harkis, parqués dans des préfabriqués au cœur d’une pinède proche de chez lui.
Il se souvient d’avoir entendu longtemps sur son transistor le drôle d’accent de la réclame : « Y’a bon Banania ! ».
Il se souvient de sa lecture de Tintin au Congo.
Plus tard, à Paris, il ira voir à la cinémathèque du Trocadéro les films ethnographiques de Jean Rouch.
Il visitera les collections du musée de l’Homme.
Il s’intéressera à l’histoire coloniale et aux sombres pages de l’esclavage.
Il aura des amis Noirs…
Et puis il fera des voyages et, aussi, de nombreuses lectures – plus littéraires qu’historiques, sociologiques ou politiques –, qui sont, elles aussi, autant de découvertes d’un auteur et d’un continent !
L’Afrique, où l’Homme serait apparu, il y a environ six millions d’années, dans la savane, quelque part entre le Transvaal et l’Ethiopie.
L’Afrique, point de départ des premières grandes migrations et de successives invasions en retour : Phéniciens, Romains, Arabes, Européens de toutes sortes… avant que les Américains ou les Chinois n’occupent les places laissées vacantes à leur tour ?
Serions-nous tous plus ou moins Africains, sinon par la naissance ou le sang, du moins de lointaine origine ? »
u. il a pas une mèche de traviole, ça en impose
« L’Afrique, où l’Homme serait apparu, il y a environ six millions d’années, dans la savane, quelque part entre le Transvaal et l’Ethiopie. »
t’as vraiment aucun égard pour le camp à jicé en disant ça
Guise dit: 10 décembre 2013 à 13 h 09 min
Mandela, plus grand mort que vivant.
Henri Bill Boquet regardant Henri le maire d’Eu, quel observateur !
Pour comprendre le processus douloureux d’indépendantisation de l’Afrique du Sud par rapport à l’Empire colonial Britannique, il ne serait pas inutile de lire mon lien. La littérature ce n’est pas la chronologie des faits.
Si certains s’entêtent tant pis pour eux.
Pour les réponses, on peut chercher de ce côté-là !
SOMMAIRE
FUGUES AFRICAINES
Daniel Rondeau : Carthage toujours recommencée et romancée
Olivier Rolin : Au soleil rouge de l’oubli de Port-Soudan
Joseph Kessel : Abyssine Ethiopie
Frédéric Mitterrand : Lettre d’amour à la Somalie
Karen Blixen : Impressions Kenyanes
Joseph Conrad : Le Congo en Blanc et Noir
Louis-Ferdinand Céline : Bardamu au Petit Congo
Marie NDiaye : Vacances sénégalaises
Paul Morand : Retour aux origines en Côte d’Ivoire
(RE)NAISSANCE DES NATIONS
Alaa el Aswany : Révolution en terrasse
Alain Mabanckou : Rois nègres et magie noire
Wole Soyinka : Jours de fêtes
J.M.G. Le Clézio : 1968, année noire
William Boyd : Les mauvaises influences occidentales
Nadine Gordimer : Résistances séparatistes
André Brink : White micmac
J.M. Coetzee : L’Afrique utopique
Maryse Condé : L’apartheid et après ?
MIROIR D’UN CONTINENT
Tidiane N’Diaye : L’Afrique des esprits
Amadou Hampâté Bâ : L’âge d’homme
Donato Ndongo : Transmission tribale
Léopold Sédar Senghor : L’invention de la négritude
André Gide : En dansant et en chantant
Michel Leiris : L’Afrique fétichiste
Amin Maalouf : L’eau chaude de la mémoire
Salluste : D’où viens-tu Kabyle ?
Kateb Yacine : Souviens-toi de ta tribu !
ni connaissance du pays..
@ Leo (Bloom) Pold dit:10 décembre 2013 à 10 h 57:Bravo, Mandela !
___
Sale con: « »l’épidémie de Sida remonte à Thabo Mbeki, le successeur de Madiba, qui a nié la réalité au nom de l’ubuntu et de son ra »…:
L’épidémie du Sida, découverte en 1982 aux USA, aurait-elle fait son apparition en ZA (South Africa), avec l’élection de Mbeki ? Ce n’est pas très sérieux. Par contre en effet, Mbeki, avait une approche particulière du virus. Avec Zuma, les choses ont été rétablies, les Sud Africains connaissent le virus et les campagnes pour l’usage des préservatifs font partie de la vie quotidienne. Antoine, dit n’importe quoi, bien sûr, les nations les plus touchés par le virus, sont les pays les plus pauvres du continent africain.
J’ai entendu, lors des reportages sur Mandela, que quand il fut Président, il ne s’occupait pas des « affaires courantes », mais dirigeait d’une main ferme, avec un sourire charmeur, LA RECONCILIATION entre les communautés. Il a réussit, il n’y a pas eu de bain de sang.
Les vieilles familles de la Noblesse ancienne noire, tiennent le pouvoir, Mandela est le rejeton d’une famille royale Xhosa. Les Blancs sont toujours, quand ils sont Entrepreneurs, les dirigeants des grandes boites. Quand ils sont fonctionnaires, il y a le système des quotas en faveur des Noirs… On peut observer, une bourgeoisie aisée et noire, qui se développe.
Entre 2000 et 2012, j’ai trouvé le pays fort changé, en bien.
PS: Jacques Barozzi, pourriez vous développer, ce que vous reprochez à Mandela ? Ou vous reprochez aux médias d’en faire trop ?
Jacques Barozzi dit: 10 décembre 2013 à 12 h 58 min
Qu’as-tu fait de ton andouillette, JB ?
http://storage.canalblog.com/30/26/110565/60241740.jpg
JB parle à JB. Est-ce que Jacques aurait le don d’ubiquité par hasard ?
Très bien, Baroz, mais c’est l’Afrique francophone surtout, pas la lusophone (Angola, Mozambique, Guinée), ni l’allemande (Cameroun, Togo, Tangyka, Namibie avant 14), ni l’Anglophone (AF Sud, Rhodésie du Sud/Zimbabwe, Rhodésie du Nord/Ouganda, Kenya, Ghana, Sierra Leone, Gambie, Rwanda..) , italienne (Somalie), indépendante (Libéria)…
Ca fait une plus petite Afrique que la vraie. Il va nous falloir d’autres tomes…
Tanganyka (Tanzanie)
Relisez toutes mes interventions sur le sujet, Thierry, et vous aurez votre réponse.
Que pourrais-je reprocher à Mandela ?
Peut-être sa première femme !
J’ai rappelé seulement que dans le processus de changement du pouvoir, ils étaient deux.
Un Blanc et un Noir.
Le Noir est mort, paix à son âme !
Il reste le Blanc…
Les langues officielles de la République sont le sepedi, le sotho, le tswana, le swati, le venda, le tsonga, l’afrikaans, l’anglais, le ndébélé, le xhosa et le zoulou.
http://www.axl.cefan.ulaval.ca/afrique/afriquesud-4pol-linguistique.htm
« Qui trop embrasse mal étreint », Bloom, c’est le problème avec la mondialisation. Mieux vaut partir d’un bon ancrage, fut-il héxagonal.
Intéressante ta haine de TA francité, mais je crains que parfois elle ne t’égare !
Non, TKT, l’épidémie de sida ne date pas de Mbeki, mais c’est sous son mandat qu’elle a pris des proportions gigantesques, incontrôlables…
Helen Suzman, que vous connaissez certainement de nom, avait déclaré avanrt sa mort en 2009 que la grande erreur de Mandela avait été de ne pas briguer un second mandat.
Pour la bourgeoisie noire, ce n’est pas nouveau, j’ai visité Soweto en 95 (la seconde ville d’Afrique après le Caire à l’époque, Lagos a pris sa place depuis), et toute une portion de ce township présentait déjà une foultitude de maisons cossues.
revenant au théâtre, sujet de ce billet, j’ai relu avec attention les commentaires de ducon Court et j’en suis arrivée à la conclusion suivante, tout en ne désirant pas tirer sur une chaise à porteur, que ce triste sire est tout simplement « créationniste » et qu’il me fait penser à Sarah Palin déguisée en Bécassine (avec bigouden et sabots derrière son ordi enchâssé dans son buffet Henri 2), dézinguant avec morgue et autres roqueries tous ceux (ici ou chez son pote Popaul) qui ne partagent pas ses idées ou ses admirations des créateurs d’un autre temps… on se souvient de sa façon peu amène de traiter Chéreau de « petit » ou de ses dénigrements méprisants de certains écrivains d’aujourd’hui dont aucun ne trouve grâce à ses yeux, pensez donc… comment prendre un tel zigoto au sérieux, comme la Palin, son modèle et sa figure de prout ! quelle pignolade !
Intéressante ta haine de TA francité
—
Je trouve qu’il y a une belle bande de cons arrogants dans ce pays…Mais aussi quelques personnes de qualité, 2 ou 3…?
Marcel, il est d’usage ici que JB = John Brown.
Pour moi, c’est selon : baroz, Jacques, Jacky, Jacounet, barozizi, le pipelet…
Yep, je ne m’en lasse pas.
http://www.youtube.com/watch?v=C8py3MaTT4Q
Faudrait revoir cette « injonction » prétée à Aristote. Me semble être un abus de langage. Un de plus.
Qui a causé de Nordey ( Hélas, hélas, hélas !) sur ce fil, Hamlet ?
« Incendies » de W.Mouawad est une vraie tragédie au sens grec du terme. Je vous conseille le film de Villeneuve, du même nom.
L’afrique du sud n’a jamais fait partie de la francophonie, alors il ne faut pas tout mélanger.
L’afrique du sud n’a jamais fait partie de la francophonie
—
Sûr, mais le Qatar, lui en fait partie.
le Qatar est client de la Francité, nuance Bloom 😉
Tu mets le Qatar en Afrique, Bloom ?
Par ailleurs, dans mon sommaire on trouve des auteurs de langue anglaise (Wole Soyinka, entre autres) ou espagnole (Donato Ndongo)…
Jacques ont ne te reproche pas tes lectures mais ton forcing ..
laisse un peu décanter, on enterre un symbole aujourd’hui, ceux qui y sont attachés parce que cela représente intimement quelque chose dans leur identité te sauront gré de ta réserve.
« on enterre un symbole »
enfin ….
On ne m’a jamais appris les « bonnes manières » Chantal, et je m’en réjouie. Toi, tu devrais plutôt t’en libérer…
(au passage, on me traite de pédé héxagonal pro apartheid, et personne ici pour s’en offusquer ?)
On s’apprête à enterrer aussi ce soir deux soldats français, tandis que des cadavres noirs jongent encore le sol de Bangui, Chantal…
jonchent
Je te répondrais autrement , par une question un jour posée à Giacometti :
« Faut-t-il choisir, au cas où il y aurait un incendie, entre sauver un chat ou une toile de Rembrant ? »
Monsieur Barozzi, la méchanceté de l’hétéro pentagonal et raciste est sans limite : tout le monde ne peut pas avoir l’intelligence de Monsieur Bloom
Pour moi, c’est le chat…
Entre sauver une toile de Rembrant et une de Rembrandt, n’hésitez pas à sauver le chat
Jacques Barozzi dit: 10 décembre 2013 à 14 h 45 min
t’es-tu offusqué des propos d’u. et JC, baroz ?
(au fait, baroz, même ton ami C.P. s’est barré)
(pas pour des raisons idéologiques, certainement, mais parce qu’il ne mélange pas tout, peut-être ?)
« t’es-tu offusqué des propos d’u. et JC, baroz ? »
Souvent, et de bien d’autres aussi, mais en général j’essaie de relever le niveau des débats…
Sauver un chat ?
« (au fait, baroz, même ton ami C.P. s’est barré) »
Chacun fait ce qu’il veut, mais je regrette un peu renato…
Jacques Barozzi dit: 10 décembre 2013 à 14 h 20 min
Marcel, il est d’usage ici que JB = John Brown.
Pour moi, c’est selon : baroz, Jacques, Jacky, Jacounet, barozizi, le pipelet…
Ah ? Je vous conseille quand même de changer de pseudo et de vous appeler Jacques Carozzi par exemple. Encore que l’on risque de vous confondre avec un autre, momentanément décédé, soit, mais qui risque de renaître de ses cendres. L’addiction à la RDL, vous connaissez ?
sur ceux qui se barrent, un seul responsable : boudegras et se vitupérations malfaisantes
rhoo, que vois-je ? Zouzou veut ouvrir un débat. Peuple de gauche, prends la parole, qu’il dit.
S’il était pas si mignon, on jurerait qu’il est con.
mais je regrette un peu renato…(barozzi)
Il ne vient plus ? Je ne suis pas très assidu, mais il m’avait semblé voir sa signature de temps en temps. j’ai dû croiser son chemin par coïncidence au hasard de mes visites erratiques.
Je regrette que Renato soit parti en Centrafrique avec les paras se mêler de ce qui ne le regarde pas. Un peu comme ici, souvent.
tu aurais pu me répondre par analogie : un vieillard qui meurt, c’est une bibliothèque qui brûle ..
Jacques Barozzi, vous avez raison, le Président J.W. De Klerk a presque autant de mérite que Mandela. Tous les deux formaient un team.
Mais, il ne suffit pas de deux hommes pour faire tomber un régime, sans violence. Il fallait aussi que dans la vieille ZA, une partie de la population blanche soit en accord avec la chute de l’apartheid.
Pour Wendi Mandela, que dire, en dehors qu’elle devrait être en prison ?
Lors de son procès, accusée de meurtre (en tant que donneuse d’ordre), Nelson Mandela ne l’a pas soutenu. Il a divorcé.
Un pacifiste anti-colonialiste dit: 10 décembre 2013 à 15 h 18 min
Je regrette que Renato soit parti en Centrafrique avec les paras se mêler de ce qui ne le regarde pas. Un peu comme ici, souvent.
Mais non, mais non. C’est seulement pour pouvoir partir en fumée depuis qu’il sait qu’il est une bibliothèque.
Le Bouguereau est en rognes. Il est quatre heures moins dix et le livreur du PC ne lui a pas encore livré son plat du jour. Recolle ton dentier, le Boug,il va surement arriver.
vous voulez dire, Chaloux, qu’il n’a pas encore fini de cuver et qu’il n’est pas très clair ???
Comme le livreur n’arrivait pas, notre petit Staline est tombé dans le colis de Noël du Parti. Pruneaux à l’alcool, pâté en croute, chocolats au sucre, champagne polonais. M’étonne pas qu’il ait du mal à faire surface.
http://www.beauxartsparis.com/expositions/expositions-en-cours#553
Bouguereau, ceci pour vous apprendre à trier le linge, à séparer le bon grain de l’ivraie et ne pas confondre drap de bain et serviette de table. . Sans rapport au billet.
Pour un ultime hommage à Nelson…
Invictus – William Ernest Henely (Texte original de 1931)
Out of the night that covers me,
Black as the pit from pole to pole,
I thank whatever gods may be
For my unconquerable soul.
In the fell clutch of circumstance
I have not winced nor cried aloud.
Under the bludgeonings of chance
My head is bloody, but unbowed.
Beyond this place of wrath and tears
Looms but the Horror of the shade,
And yet the menace of the years
Finds and shall find me unafraid.
It matters not how strait the gate,
How charged with punishments the scroll,
I am the master of my fate :
I am the captain of my soul.
Dans les ténèbres qui m’enserrent,
Noires comme un puits où l’on se noie,
Je rends grâce aux dieux quels qu’ils soient,
Pour mon âme invincible et fière,
Dans de cruelles circonstances,
Je n’ai ni gémi ni pleuré,
Meurtri par cette existence,
Je suis debout bien que blessé,
En ce lieu de colère et de pleurs,
Se profile l’ombre de la mort,
Et je ne sais ce que me réserve le sort,
Mais je suis et je resterai sans peur,
Aussi étroit soit le chemin,
Nombreux les châtiments infâmes,
Je suis le maître de mon destin,
Je suis le capitaine de mon âme.
« Le temps de la Françafrique est terminé, mesdames et messieurs les députés, voilà une des fiertés de la politique de la France »
Quelqu’un se dévoue à lui expliquer ?
TKT dit: 10 décembre 2013 à 15 h 31 min
Pour Wendi Mandela, que dire, en dehors qu’elle devrait être en prison ?
Lors de son procès, accusée de meurtre (en tant que donneuse d’ordre), Nelson Mandela ne l’a pas soutenu. Il a divorcé.
D’abord, Thierry, ce n’est pas Wendi mais
Winnie.
Maintenant, si elle devait être en prison, c’est toutes l’Afrique du sud qui devrait y être.
C’est toujours pareil, il y en a qui luttent, et d’autre qui ramassent les billes par derrière : les résistants et ceux de la dernière heure, les black Panthers et Luther King, Robespierre et naboléon…
Mandela n’allait pas sacrifier sa carrière pour sa femme, porte-parole de l’ANC qui allait lui remonter le moral en prison… Dehors, le vieux kleenex !
j’aime la façon qu’a Mme Verdurien de se payer le portrait de MCourt (à 14 h 18)
bien à vous
C.
« idées ou ses admirations des créateurs d’un autre temps…
C’est la définition même de la culture. Quelle conne… Les ignares sont souvent méchants.
Les commentaires de Madame Verdurien réjouissent les esprits de son (petit) acabit.
Chaloux est là et Brigitte Engerer est partie.
Madame Verdurien était une bonne gagneuse, jeune.
Bouguereau, ceci pour vous apprendre
je veux bien..mais sois plus pédagogue : de quoi sagit il ?
Marcel, mettre toute l’Afrique du Sud en prison ?
Tous les Sud Africains n’ont pas du sang sur les mains.
Winnie Mandela, a en effet soutenu son mari emprisonné, cela ne demandait pas de faire tuer des jeunes-gens de son propre entourage. Quant au désir de faire carrière, chez Nelson Mandela, il était l’Homme de la Situation, on ne va pas lui faire de reproche.
Vous en connaissez beaucoup de gens au pouvoir, qui refusent un deuxième mandat ?
Je trouve étrange de vouloir démonter une icône, mais de la part d’un Français, c’est peut-être presque normal, les Français, en partie, adorent détruire les Hommes Politiques, dès qu’ils sont au pouvoir.
Pruneaux à l’alcool, pâté en croute, chocolats au sucre, champagne polonais
mon dieu cheuloux..j’les ai vu les colis du parti quand j’étais moutard..c’était pas si jojo
Recolle ton dentier, le Boug,il va surement arriver
que tout le monde il recolle son dentier..il arrive..il est là
Jc, u., teigniez ont assisté aux obsèques du général Aussaresses à La Vancelle (Bas-Rhin)en compagnie de leur pote Gilbert Colard.
De fourneaux, de zoologie, de musculation, de ne pas s’agiter, de se payer de mots en pays de Caux.
Quelqu’un se dévoue à lui expliquer ?
mais enfin jicé il copie sur la droite qui fait diversion quand le peuple est pas content..ça marchote..il faut croire que c’est fastoche..tu vuex que je t’esplique ? : la droite jusqu’ici depuis 50 ballets se cassait pas et ça se voit..
Court qui ne voyage qu’en diligence a raté la cérémonie.
De fourneaux, de zoologie, de musculation
tu veux enbrouiller l’ignare..t’es de droite ?
t de droite? presque.
Vermine !
Marc Court est notre moderne Arouet, notre Saint Augustin, notre Héraclite d’Ephèse, notre Olympe de Gouges, notre Lucien de Jerphagnon, notre Roux de Combaluzier, notre Maximilen de Mélanchon, notre Prince de la Culture.
Vermine, pourriture, saleté, Filipetti !
recolle ton dentier béré..
tristesse de pleyel dit: 10 décembre 2013 à 16 h 44 min
Monstrueux.
http://www.youtube.com/watch?v=yB_dE28sK_Y
figure-toi, c’est quelqu’un à qui je pense tous les jours.
figure-toi, c’est quelqu’un à qui je pense tous les jours
..oui cheuloux..je la connais la réplique de ventura dans les tontons « moi c’est le fond monétaire international »..t’es mignon cheuloux
Chaloux s’est essayé à du Wagner sur le vieil harmonium de l’église mais des coups de feu ont interrompu sa Valse des amantes de Zurich (en mi bémol majeur). Les paras ont l’oreille sensible.
pas très zonète, Chaloux, retirer un phrase du contexte, c’est mesquin
Marcel dit: 10 décembre 2013 à 16 h 29 min
Ne s’était-elle pas alliée à un gang qui foutait la m…(terreur)dans Soweto et n’a-t-elle pas été impliquée dans une affaire d’enlèvement et complicité pour le meurtre d’un jeune militant de l’ANC ?
personnellement je trouve que TKT se fait trop rare. Ses interventions sont toujours très éclairantes.
..ta gueule keupu
personnellement je trouve que TKT se fait trop rare. Ses interventions sont toujours très éclairantes, surtout en plein jour.
revoilà boudegras et sa délicatesse, quel argument !
« Jc, u., teigniez ont assisté aux obsèques du général Aussaresses à La Vancelle (Bas-Rhin)en compagnie de leur pote Gilbert Colard. »
ils étaient habillés en noir sauf le plouc de pq
« il copie sur la droite »
laisse béton -quand il est plus à gauche ou tente d’être conciliateur, ça fait piaffer fhaine la hyène de pq, qui vient ricaner sur la rdl
TKT dit: 10 décembre 2013 à 16 h 51 min
Thierry, je ne vais quand même pas vous répondre que tous les Suisses sont des petits saints (petits suffit, hi hi hi)
Il faut prendre de la hauteur sinon, vous auriez vite fait de mettre en prison tout résistant ayant tué un collabo, pire un délateur.
Cela étant, j’ai été dans les premiers dans les années 80 à militer pour la libération de Nelson Mandela, et ses petites turpitudes conjugales n’enlèvent rien à la grandeur du bonhomme.
Bouguereau a également raté la cérémonie : erreur de navigation, il avait programmé « La Vancelle- Bas Rein ».
Bas Rein
forcément, en allemand ça se dit Rhein
que sais-je dit: 10 décembre 2013 à 17 h 14 min
Marcel dit: 10 décembre 2013 à 16 h 29 min
Ne s’était-elle pas alliée à un gang qui foutait la m…(terreur)dans Soweto et n’a-t-elle pas été impliquée dans une affaire d’enlèvement et complicité pour le meurtre d’un jeune militant de l’ANC ?
Que vous soyez puissant ou misérable…
en allemand Rhin se dit Rhein
Bouguereau: La plus court pour relier deux points diamétralement opposés n’est pas défini, mieux vaut encore se consacrer au poétique apolitique, ou se vendre au plus offrant, pas le cœur à ça si tant est que cette option requiert sentimentalité, en dehors des bulles d’O2, des territoires gagnés sur l’infâme et qui font illusion dressant des tentes de bédouins en camps de nomades de la pensée pour de pauvres transfuges en mal de réalité ou mal installés ou encore fuyant le mal avec lequel ils ont à découdre. Ce qui ne s’exprime pas n’existe pas. Dire ou ne pas dire, écrire ou ne pas alors même que c’est insuffisant à changer quoique ce soit aux rapports de force en place sous toutes les latitudes avec variables d’ajustement.
bérénice, vous croyez vraiment que boudegras va comprendre !
Y a-t-il du Skakespeare chez bérénice ? En tout cas c’est « toujours aussi déconcertant ».
arthur dit: 10 décembre 2013 à 17 h 35 min
en allemand Rhin se dit Rhein
Arthur vient de gagner 1 choucroute garnie, 1 !
L’apartheid, c’était une idéologie toute en douceur. Les chasses gardées, les massacres à Soweto, de l’intox que tout cela. Quand un homme à la peau noir se pointait sur une plage réservé à ceux dont la peau était de bon ton, l’un d’eux s’approchait gentiment de lui et lui disait fort courtoisement :
– Excusez-moi de vous interrompre dans votre promenade mais cette plage ne peux convenir à votre teinte.
– Mille pardons, Missieur, Je ne viendrais plus interrompre indûment vos ablutions.
Et l’homme de couleur non règlementaire partait honteux et confus.
Et l’homme de couleur non règlementaire partait honteux et confus.
Oui, mais jurant mais un peu tard , qu’on ne l’y prendrait plus.
bérénice dit: 10 décembre 2013 à 17 h 36 min
avec variables d’ajustement.
Vous auriez dû commencer par-là
…d’après les commentateurs, il aurait combattu le régime uniquement par des voies pacifiques. Or, le Congrès National Africain (ANC), dont Mandela était dirigeant, a créé en 1961, en alliance avec le Parti Communiste Sudafricain (PCS), le « Fer de lance de la nation » (Umkhonto we Sizwe)(MK), sa branche armée (2). Mandela et Joe Slovo, secrétaire du PCS, en exerçaient le commandement. http://blogs.mediapart.fr/blog/claude-de-villepin/101213/mandela-chute-de-l-apartheid-omissions-et-mensonges
« Arthur vient de gagner 1 choucroute garnie, 1 ! »
merci ça tombe bien avec ce froid je la donnerai aux sdf du coin
bérénice dit: 10 décembre 2013 à 16 h 56 min
De fourneaux, de zoologie, de musculation, de ne pas s’agiter, de se payer de mots en pays de Caux.
Auriez-vous fait du tricot, chère Bérénice ?
François H qui se fout de la g ueule de mickey le nabot du discours de dakar entre autres, en l’invitant aux obsèques de Mandela! humour cinglant!
« L’apartheid, c’était une idéologie toute en douceur. »
Vraiment c’était le bon temps ! De nos jours l’apartheid sournois, économique, est bien plus violent, et ce n’est que le début au train où vont les choses
Parlons d’Hélène Berr, qui aurait pu être mon professeur, si ….
Elle était persuadée qu’elle était une Française comme les autres, même un peu plus que les autres parce que bourgeoise. Elle pensait, pour tout dire, qu’il ne lui arriverait rien. Et pour cause: c’était la plus brillante des anglicistes en Sorbonne. Mais les Français lui ont dit: désolée, Mlle Berr, vous ne pouvez pas vous inscrire en thèse car vous êtes juive. Un de ses profs préféré, Louis Cazamian, le savait mais n’en fut a pas indûment perturbé. C’était un Français qui continuait à travailler quand les choses allaient mal pour les autres. Le jour où Hélène Berr a été gazée, puis brûlée, il était encore à travailler sur Shelley, Keats, de Quincey, ou Charles Lamb. Une autorité, L. Cazamian, auteur, avec Legouis, d’un manuel en anglais que les bons étudiants d’Hypokhâgne et de Khâgne (qui n’avaient jamais entendu parler d’Hélène Berr), utilisaient encore à la fin des années 70.
Les éditions Tallandier m’ont fait l’honneur de me demander de traduire les passages en anglais du Journal d’Hélène Berr, préfacé par Modiano (dont j’ai conservé précieusement les photocopies du texte manuscrit). Principalement des extraits de Shelley et de Keats (et un peu de WS – Othello), poètes romantiques dont les fulgurances la traversaient pour ne plus la quitter.
Je me suis toujours demandé auquel des deux elle a songé quand elle a été poussée dans la chambre a gaz.
Elle aurait pu être ma prof, si…
Quel était le sujet, déjà ?
FH a de l’humour jusqu’en Centrafrique. Cinglant. Cinglée, cette intervention
Elle aurait pu être ma prof, si…
Marcel, je ne suis pas citoyen Helvétique.
Tous les Suisses, ne sont pas des saints ?
Tout autant que les autres.
La Suisse fait le ménage des comptes privés étrangers non déclarés et question fabrication d’armes de haute-technologie, c’est terminé depuis longtemps.
LéoBloomPold dit: 10 décembre 2013 à 18 h 02 min
les bons étudiants d’Hypokhâgne et de Khâgne
Ceux qui n’ont pas raté Saint-Cloud en 1978, tu veux dire ?
ou 79.
« Cinglée, cette intervention »
intervention avec l’aval de l’ONU
Vous pensez qu’il vaudrait mieux laisser les massacreurs continuer leur coups ?
Tout ce tapage est excessif. Certes il a réussi à éviter à peu près une guerre civile à l’afrique du sud mais il a condamné à l’exil quasi toute l’élite blanche sud africaine.
Ce personnage reste controversé en raison de son passé communiste que n’a pas manqué de rappeler Melenchon. Avant Mandela, c’est d’abord De Clerk qui a permis l’ouverture, rien ne l’y obligeait et on aurait pu continuer avec une afrique du sud dirigée par les blancs.
Certes le pays s’en sort moins mal que l’ex-Rhodésie où l’épuration ethnique de ce fou furieux de Mugabé a provoqué le départ de toutes les minorités non noires, mais l’avenir de ce pays reste trés incertain.
Continuera t’il à être une exception en Afrique ou deviendra t’il un pays africain comme les autres? Au vu de la délinquance record du pays, la question mérite d’être posée. La seconde hypothèse étant la plus probable.
De nos jours l’apartheid sournois, économique, est bien plus violent,
parole d’expert en histoire
« Qu’allaient ils faire dans cette galère de guerre civile ?! »
c’est d’abord De Clerk qui a permis l’ouverture, rien ne l’y obligeait et on aurait pu continuer avec une afrique du sud dirigée par les blancs.
—–
Il a raison cet universitaire trilingue spécialiste de l’Afrique australe: rien ne l’obligeait, surtout pas le les boycotts économique, sportif, culturels, et le lâchage de tous les pays occidentaux.
On a de bons spécialiste en France.
(…) de Klerk, avé un « K », monsieur le trilingue. Verstaan?
« le les » = les
pour le laid
Question lunettes, je suis fou.
Côté monocle, voir Léopold Bloom !
et le « de » avec un « d » minuscule, le spécialiste austral, comme « von » en allemand. Is dit duidelik?
Antoine, votre nom de famille est-il Régniez ?
« Un matin, ne pouvant se lever à l’heure de l’appel, elle est battue à mort par une gardienne, quelques jours avant la libération du camp par les troupes anglaises »
Selon Wikipedia, Hélène Berr n’est pas entré dans une chambre à gaz, Bloom…un peu de rigueur Monsieur l’expert.
JC, u., Court, Paul Edel, Sergio, Jacques Barozzi, Phil…
Méfiez-vous de l’entre-soi, dit u.
Hi hi hi.
« Qu’allaient ils faire dans cette galère de guerre civile ?! »
vous faire enrager
que faire dit: 10 décembre 2013 à 18 h 22 min
« Cinglée, cette intervention »
intervention avec l’aval de l’ONU
Vous pensez qu’il vaudrait mieux laisser les massacreurs continuer leur coups ?
Quand je veux tuer mon chien, je l’accuse de la rage…
Le plus tragique dans la mort d’Hélène Berr : elle n’a pu avoir Léopold Bloom comme élève.
Marcel dit: 10 décembre 2013 à 18 h 44 min
je veux tuer mon chien
Dommage que ce soit pas un chat, tu sauverais un Rembrandt.
Afflelou dit: 10 décembre 2013 à 18 h 35 min
Cet Afflelou est aussi nul comme gros pardessus que comme opticien.
Beau pseudo qui vous va à ravir.
Lunettes noires ?
Excellent !
Marcel 18 h 44 min
que des experts, ici
Les interventions de Thierry sont non seulement éclairantes, mais aussi il explore sans cesse de nouvelles voies.
Shakespeare ? Un antisémite Shylockophobe ! Un Anglais pervers ! Un raciste Othellophobe ! Que fait la police des moeurs littéraires germanopratine ?
Bon, Bloom, je vais être direct : beaucoup se plaignent de vous ici. Vous intervenez toute la journée, vos commentaires sont inutilement longs et les sujets trop ardus pour la plupart.
Il va falloir cesser maintenant.
Jacques Barozzi a témoigné d’une grande irritation à votre sujet. Il semble que vous mélangiez tout, passiez par des apporximations décevantes, faites des associations d’idées co nsternante.
Monsieur D.
Les interventions de Thierry sont non seulement éclairantes, mais aussi il explore sans cesse de nouvelles voies à la bougie.
marcel va être content dit: 10 décembre 2013 à 17 h 54 min
Merci pour avoir remis les pendules à l’heure. Les castes qui ont le pouvoir ont les crocs bien plantés dans le bifteck, Le combat à cette époque ne pouvait se gagner que les armes à la main. Contre nous, de la tyrannie, l’étendard sanglant est levé.
Tout cela pour une seule chose, vous faire connaître, vous faire valoir, essayer d’exister.
Interlude
Ubangi Stomp http://www.youtube.com/watch?v=nhfTacP1DAE
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