Jaenada saisit l’insaisissable Sulak
Qu’est-ce qui fait qu’une vie bascule ? Une enfance calme, une famille aimante, des sœurs adorables, une ambiance de gaieté à la maison, une certaine sérénité dans un petit village de Provence, tout ça pour se lancer dans le monde en s’engageant à la Légion étrangère, déserter et braquer des supermarchés, des banques, des bijouteries, se faire prendre, s’évader spectaculairement, recommencer… Etrange, non ? Une énigme. Celle de Bruno Sulak (1955-1985). Pour son huitième roman sobrement intitulé Sulak (496 pages, 22 euros, Julliard), un titre qui claque, Philippe Jaenada a délaissé l’inspiration autobiographique dont il était légèrement las pour se consacrer à l’éclaircissement de ce mystère universel : le moment de bifurcation et l’instant décisif qui engagent une vie.
Ni vraiment roman, ni tout à fait biographie, disons roman biographique, il a eu le déclic en regardant un documentaire à la télévision. Sa curiosité en fut toute excitée. Il se documenta, rencontra sa famille et les proches de ses anciens complices, fit connaissance de Georges Moréas, le commissaire qui s’attacha à son cas jusqu’à déclarer un jour qu’en d’autres circonstances, Bruno Sulak aurait pu devenir un des meilleurs flics de France. L’auteur prit goût à l‘enquête, exercice pour lui inédit, s’en euphorisa jusqu’à rêver qu’elle ne se terminerait jamais. Il faut avoir connu l’ivresse de la recherche pour comprendre à quoi correspond ce plaisir-là. Rien n’est inventé. S’il y a des blancs, c’est que l’auteur a pêché par omissions, volontairement, pour éviter de mettre en cause des complices. Si la mention « roman » apparaît tout de même sur la couverture, c’est en raison du ton et de l’intrusion permanente et personnelle de l’auteur dans le récit. Comme s’il avait décidé de braquer son héros à chaque page.
Bruno Sulak lui apparut comme un type audacieux, séduisant, belle gueule, courageux, sportif, hypermnésique, doué. Tout ce que lui-même assure ne pas être. Ce qui ne l’a pas empêché d’éprouver de la tendresse pour son personnage, une sorte d’amitié, mais une amitié décalée dans le temps. Il s’est projeté à force d’empathie pour cet aventurier très recherché. Du mythe du gangster sympathique, il fait une légende qui prend place dans la longue tradition du gentleman-cambrioleur illustrée par René-la-Canne, Eddie Chapman, Marius Jacob, Ronald Biggs. Il est vrai que l’insaisissable ennemi public numéro un des années 80, celles de l’après-Mesrine, n’avait jamais tiré sur personne. Ni violenté personne. Il conservait juste deux balles à blanc dans son 357 Magnum, au cas où. C’était un temps où, à Marseille où il avait grandi, on n’y réglait pas les comptes à la Kalachnikov à la terrasse des cafés. Sulak eut une fin tragique dans des circonstances mal élucidées, en escaladant le mur d’enceinte de Fleury-Mérogis.
Deux hommes cohabitaient en lui (un peu comme l’auteur qui, depuis une quinzaine d’années, ne vit pas de ses livres mais de son travail de pisse-copie à Voici). Sa vie était un labyrinthe mais à chaque fois, il en était sorti en ouvrant la mauvaise porte parce qu’il n’avait pas d’autre choix. Il l’aime, son héros. Il n’est pas le seul. Car son livre est vraiment épatant. Bien sûr le bonhomme séduit et fascine par bien des aspects, même si, on s’en doute, il y en aura toujours pour juger suspect, sinon amoral, d’encourager ainsi l’admiration d’un malfrat. Mais il n’y a pas que cela. Jaenada emporte vraiment le morceau par sa manière de raconter, vivante, ironique, pleine d’anecdotes, de litotes, de digressions et de réjouissants commentaires entre parenthèses. Les lecteurs de Jaenada savent que son humour (un réflexe naturel chez lui) est basé sur l’autodérision. Ce qui était en l’espèce impraticable. Il a donc fait le choix du détachement et de la légèreté dans l’écriture. Le meilleur moyen de saisir l’insaisissable.
Au fond, si ces deux-là s’étaient connus, ils se seraient bien entendus. Pour dévaliser la plus fameuse bijouterie de la croisette à Cannes, le braqueur s’était vêtu et casquetté de blanc et armé de sa raquette, puis de son flingue (tout de même), il avait exigé la caisse. Après avoir emporté une somme considérable sans dégâts autres que de gros soucis pour l’assureur, il avait commenté : « Entré chez Cartier en tennisman, j’en suis ressorti avec la fortune de Bjön Borg ». Du Sulak tout craché. On dirait du Jaenada. On aimerait l’écouter la prochaine fois qu’il parlera de son livre, dans une prison.
554 Réponses pour Jaenada saisit l’insaisissable Sulak
La nuit où il fait le mur ses camarades s’envolent pour Kolwesi; si ce n’est pas la bifurcation ça ressemble au point de non-retour.
Consolation d’outre tombe, la fortune de Bjön Borg a fondu comme neige au soleil. vanitas.
Phil: mieux que notre hôte ne pourrait le faire, vous avez certainement deux mots à dire sur la disparition de Raoul Girardet
Des balles à blanc, ou des balles creuses ? Y a une nuance bon Dieu !
Le style Voici laisse à désirer
« Moréas commençait à en avoir ras le beignet »
Pour le paparazzi, on a retrouvé la trace du « garçon aux cheveux clairs »; c’est pas trop difficile avec internet.
Nimporte nawak ce Jaenada.
« Très bientôt, je vais à la foire de Nancy. Je suis content parce que j’ai eu l’autorisation d’aller à la prison, pour parler de mon livre avec les détenus. » dixit Jaenada.
Sergio, Jaenada fréquente les beaux bistrots, p’têt qu’il va aller au Foy.
La pesanteur,
voilà ce qui fait
qu’une vie bascule !
Et qu’on tombe du mur.
Abraquadabrûlement.
…
…le moment de bifurcation et l’instant décisif qui engagent une vie,…Non,…merci,…
…
…toujours rester sur ses nuages,…dans le brouillard,…c’est clair,…très clair,…le contour précis,…très léger,…l’amorce d’une aquarelle,…Non,… » alla prima « ,…
…
…combien d’oeuvres j’ai commencé,…d’un coup-franc,…sur toile,…le pinceau frétillant,…peindre comme une planète » à créer « ,…la virtuosité et l’harmonie champêtre sur le tableau comme sur terre,…
…
…victimes intellectuels des désirs,…en prison comme à l’Elysée,…
…les ministre,…ses compagnons de bagne,…Pépin le bref,… » alors çà sort ce roman,… »,…Oui,…des taxes, des taxes Oui,…avec des Panzanni,!…etc,…
…
Daniel Ben Saïd de 22.26, C’est possible mais qu’est-ce qui vous fait dire ça ?
Ben Saïd hérétique !
(…il n’y a pas mieux que Passou pour dire deux mots sur une disparition, quelle qu’elle soit, Girardet compris …!)
A la relecture du délicieux billet de Maître Pierre, on se dit que, tout de même, l’auteur Jaenada n’a pas vraiment abandonné son goût pour l’autobiographie « dont il était légèrement las ».
Il s’est pris pour Sulak et il continue son autobiographie rêvée, simplement, à travers la vie d’un autre …
Sulak, un grand à bouche molle?
Girardet, intéressant en effet de lire PA à son sujet. Figue marquante de Science-Po tandis que Fabius ou Attali sont sur les bancs. Ensuite « la jeune droite », « l’école de la frivolité » pour justifier certaines dérives, hum. Sa défense de l’OAS demeure entachée d’un triste parfum. On peut préférer la dextérité intellectuelle, la souplesse et les réconciliations de pensées a priori infaisables d’une Germaine Tillion résistante &déportée, militant pour la libération nationale en Algérie mais s’insurgant contre toutes les tortures, s’attelant à préserver les gens quelle que soit leur origine ou leur confession : un apolitisme, si l’on veut, qui aboutit à un engagement d’un autre calibre qu’une « frivolité » revendiquée qui débouche sur des soutiens catastrophiques (De là à l’envoyer dans ce grand machin solitaire et très mal chauffé du Panthéon, la pauvre?)
Mais revenons-en à Julak.
girardet ce gauchiste
Sulak! (Comme le fameux Bruno a l’air avenant,d’une curieuse gaieté, emmené au ballon sur la photo par Gérard Jugnot…)
Si c’est un procès de moralité, alors pour Girardet, je sais rien, et je ne peux témoigner.
Donc je peux pas préférer la version de la Reine du Com à celle d’un journal dit « engagé et sectaire » (pour complaire à beaucoup):
http://www.lefigaro.fr/livres/2013/09/22/03005-20130922ARTFIG00160-raoul-girardet-mort-d-un-historien-engage.php
S’il s’agit de lire le portrait d’un homme dont l’engagement ou des valeurs ont pu conduire à l’aveuglement, c’est différent.
Pour ce qui est du « parfum », reine du com, vous trouvez pas que ça sent la mer ?
http://www.lesechos.fr/medias/2013/09/20/607390_0203004021747_web_tete.jpg
quel poseur, çui-là.
Mort à trente ans, donc? Le livre de Jaenada s’aventure t-il jusque là ou s’arrête t-il à l’orée du rosebud tragique? L’histoire de Bruno Sulak n’en est sûrement pas exempte. Rien qui contredise certain abattage comique, au contraire. « Une fin dans des circonstances mal élucidées, en escaladant un mur »? L’interpellation de Daniel Ben Saïd sur Girardet conduisant à penser à l’OAS, comment ne pas évoquer à propos du « défaut d’élucidation » l’image d’Aussaresses admettant d’un air finaud et vaguement gourmand son implication dans le « suicide » de Larbi Ben M’Hidi en prison ? La sénilité de ce vieux débris borgne sautait aux yeux, flanquait la chair de poule et n’excusait absolument rien.
quel poseur, çui-là
on dirait qu’il est fier comme s’il avait acheté un frigo américain
Bien sympathique papier digne du grand criminalogiste Alain Bauer et sa flamme bien connue pour le crime, le criminel ou la criminalisation primaire. Le romanesque Sulak, consacré par le commissaire Moréas peut désormais entrer dignement dans la 2e édition du guide Bauer-Champérard, avec la bénédiction de l’ARDL.
les beaux mecs avec la police scientifique c’est grillé..bjorn borg on l’fait pisser et il est serré a laéroport avec sa tonne de coke..les truands playboy classieux, qui s’font défrayer le baveux c’est dsk et cahu..les casses croutes qu’on pas assez d’rond pour les bahamas c’est les jicé..la misère quoi
..il dirait par exempe que les chmittes avec la casquette droite et la moustache ça fait plus viril que la baisebol et le chouingom..c’était un esthète le girardet..dailleurs il était a science pot..que des artiss à science pot
Vous devriez avoir honte, Reine des Pommes, de ne pas respecter ce grand soldat d’Aussaresses … et de lui reprocher une vision réduite à un œil quand les deux vôtres ne servent à rien.
Pendant qu’il défendait nos soldats contre les lâches attentats FLN en posant quelques questions par ci par là, Tillion causait tranquillement avec Yacef Saadi …
Au Panthéon poubelle de l’histoire, la Germaine, fissa !
Dans les arbres à 8h47 (pour moi un peu tôt pour y grimper) Un procès de moralité ? sûrement pas. Il ne s’agit en rien de ça. Mais certaine observation des prises de position et des résultats qui ont pu en découler. Je ne suis pas procureur. Aucune vocation ni inclination à enquêter ni poursuivre sous ce mode. Au moment des listes noires j’aurais nettement préféré m’atteler à sortir les gens du pétrin en continuant de leur donner du travail plutôt que de les y mettre au prétexte qu’ils ne suivent pas la ligne ou ne pensent pas comme moi, je n’aurais pas non plus été tentée d’envoyer les intellectuels aux champs se casser le dos, sachant trop ce que ça fait. Après, que chacun interprète à sa manière pour en faire son miel ou pas, en s’écartant du manichéisme. Evident que les personnalités partagées m’intéressent davantage. C’est par exemple le regard incroyablement empathique de Modiano (pas bienveillant, attention, ni complaisant)sur cette petite faune misérable et écoeurante des Bonny Lafont et autres. Cela n’exclut pas la tentative d’y regarder pour de bon, l’ambition folle et coûteuse d’essayer de penser par soi-même, jusqu’au droit de se tromper, en effet – mais pas en prétendant ensuite mordicus que le Roi est habillé.
OFFRE DE SERVICE LITTERAIRE
Forces de l’ordre moustachues ! chevaliers sans peur et sans reproche ! héros oubliés des écrivains ! gens d’armes laissés pour compte des amoureux de belles histoires de malfrats, Ô vous qui les arrêtez ces aventuriers bidons, avant que l’Effroyable Négresse Rouge et ses Valets les relâchent en souriant … envoyez moi les éléments les plus nobles de votre vie !
Je chanterai vos louanges, hommes de grande valeur, je vous hisserai au pinacle du Goncourt, votre vertu anonyme sera enfin célébrée !
Et je vous intéresserai aux bénéfices, s’il s’en trouve, naturellement.
Vive la Loi et l’Ordre !
(J’allais oublier la Famille et la Patrie … où ai-je la tête ce matin.)
« ne vit pas de ses livres mais de son travail de pisse-copie à Voici) »
Pisser sa copie à Voici ou au Monde, c’est désormais kif-kif!
Une paire de sottes vaut Shakespeare!
Ah ! la passion que les écrivaillons portent à la délinquance !
Bon, c’est vrai que ferrer un public de pantouflards avec un comptable malhonnête, il est plus facile qu’avec un comptable honnête. Mais où elle est finie la passion du risque ? Qu’ils nous montrent qu’ils sont capables de rendre intéressante une vie inintéressante, et on les lira.
le 7 mars 2013, 5.39 : « Un jour viendra où les écrivains seront reconnus à leur refus de voir leurs livres publiés ».
P.S.
Je me souviens de mon premier jour en classe de composition. Le prof nous raconta d’un gars qui voulait apprendre la magie, il avait donc cherché le meilleur magicien, il s’était rendu chez lui et lui avait demandé de lui enseigner son art. Sur quoi le grand magicien lui avait répondu qu’il n’avait à que se trouver un travail quelconque, le pratiquer assidûment en acceptant les limites et les contraintes, et à la fin de sa vie l’on aurait dit de lui qu’il fut un grand magicien.
Rien de bien nouveau: (re)lire « Toinou, le cri d’un enfant auvergnat » dans la collection terre humaine.
Photo
« Mariage pour tous, France, 1972 ».
Il est clair que ce flambard se fout de la gueule des deux poulets, de la moustache de flic de l’un, du képi de foutriquet de l’autre.
Sauras-tu, dans cette histoire, insérer le thème du Coiffure Messieurs?
Bonjour, Hamlet 10h36! Ah j’espère bien que non. Nous serions quelques uns à en mourir me semble t-il.
Renato 10h27, une vie inintéressante je ne sais pas. La part de nigredo est forcément là, partant d’une famille aimante et de soeurs adorables en Provence pour en arriver à plastronner entre deux gendarmes avant de dégringoler du mur de Fleury. Il y a eu quelques livres pas mal, malgré tout, autour de vies inintéressantes. Mais bon. « De sang froid » a coûté un bras à Capote, question nerfs et vie postérieure au livre.
donc, l’renato en fin de carrière, est en passe de d’venir grand écrivain …
Hé ! l’magicien ! qui vous dit que j’ai pris pour moi le sens de la parabole ? et puis, ai-je jamais dit que je pratique l’écriture en écrivain ?
« qu’il n’avait à que se trouver »
L’renato grandécrivain?
Encore un effort!
Ah ! les grands correcteurs !
Nette amélioration titresque.
Piénicklettement.
« « De sang froid » a coûté un bras à Capote, question nerfs et vie postérieure au livre. »
On ne va pas comparer le travail de Capote (qui tomba en dépression après la rencontre avec l’un des deux criminels, et fut “spectateur” et témoin lors de l’exécution par pendaison), avec n’importe quoi.
Plus intéressant, le travail de Nabokov pour « Lolita »…
Marcel Reich-Ranicki
Je me souviens d’avoir écouté attentivement son discours au Bundestag à l’occasion du Tag des Gedenkens des victimes du NZ, en janvier 2012 –et de la pièce de Chopin jouée par Jasha Nemtsov.
Impressionnante séance.
http://www.bundestag.de/dokumente/textarchiv/2012/37432080_kw04_gedenkstunde/
Le texte du discours de MRR est là:
http://www.bundestag.de/dokumente/textarchiv/2012/37432080_kw04_gedenkstunde/rede_ranicki.html
Roman, romanesque, romantique,
à partir d’une matière
peu recommandable
en de qu’elle
est transgressive
de l’appareil garant
de l’ordre établi et public.
Robinoudement.
@hamlet dit: 23 septembre 2013 à 10 h 36 min
Intéressant !
L’art du contrepied ?
Trompe-l’œil, sauf à encourager
l’escroquerie voulant que le non-événement
soit un événement. Autant lire des cahiers vierges,
aller au cinéma dans des salles entièrement obscures
(sans projecteur) ou au restaurant de l’assiette vide !
Le minimalisme et l’illusionnisme sont, bien sûr,
distincts du foutage de gueule.
Branchitudement.
Et puis – toujours pour 10 h 36 -,
sans publication, plus d’édition
ni de critique ! Fini le monde littéraire,
il n’y a que le présent commentarium
et ses semblables qui survivraient
de leur mouvement perpétuel !
Fictionnablement.
…
…comme beaucoup de pays l’Allemagne est » sado-maso « ,…
…çà permet des profits-privé » Collos-sales » qui dépassent largement les 3% imposés pour les conjonctures économiques,…donc,…l’€uro,…la vitrine-Cinéma,…des » Métropolis « ,…aux » Don Quichotte « ,…et à » l’Enfer de Dante « ,…
…
…la même » soupe » des connivences au dessus des partis « ,…
…
…la force économique du » racisme intérieur « ,…et son Cinéma de majorité démocrate-chrétien,…
…Oh,!,…le Christ,…c’est merveilleux,…
…encore à s’enfoncer des clous pour être plus belle que ses voisins,…
…You-Tube,… » Je suis la plus belle pour aller danser « ,…collet monter & ourlet ouvert,…
…le pouce en bouche,…vraiment apprend-moi,…comment mieux faire,…etc,..
…un gode-ceinture allemand pour l’Europe,…etc,…
…
« qui tomba en dépression après la rencontre avec l’un des deux criminels, »
Chagrin d’amour sans Capote ?
C’est normal qu’un commentaire faisant l’éloge de fascistes terroristes et tortionnaires ne soit pas « modéré »?
ta gueule keupu
Hé ! l’magicien ! qui vous dit que j’ai pris pour moi le sens de la parabole ? et puis, ai-je jamais dit que je pratique l’écriture en écrivain ?
mais si tu grenouilles ici pour l’goncourt et pour ton rénato page ranking..et t’es jaloux tu veux une pension en plus..foireux !
Hé ! l’magicien ! qui vous dit que j’ai pris pour moi le sens de la parabole ? et puis, ai-je jamais dit que je pratique l’écriture en écrivain ?
mais si tu grenouilles ici pour l’goncourt et pour ton rénato page ranking..et t’es jaloux tu veux une pension en plus..foireux !
Hé ! l’magicien ! qui vous dit que j’ai pris pour moi le sens de la parabole ? et puis, ai-je jamais dit que je pratique l’écriture en écrivain ?
mais si tu grenouilles ici pour l’goncourt et pour ton rénato page ranking..et t’es jaloux tu veux une pension en plus..foireux !
In memoriam…
J’ai traduit un bref passage du discours de MRR (qui raconte les circonstances conduisant au suicide de Czerniakow dans le ghetto de Varsovie.
J’ai traduit comme je peux, c’est-à-dire pas très bien.
Je vais ajouter le texte original, pour les nombreux germanistes de ce blog.
« La porte du bureau de Czerniaków était ouverte, contrairement à son habitude. Il se tenait, entouré de quelques officiers supérieurs SS, derrière son bureau. Avait-il été arrêté ? Quand il m’a vu, il s’est tourné vers un des officiers SS, un homme chauve et corpulent : c’était le SS Sturmbannführer Hermann Höfle, chef du Département central Reinhard, connu sous le nom de « Commando d’extermination » sous l’autorité du chef de la SS et de la police (c’est bien ça ?). Je lui ai été présenté par Czerniakow dans les termes suivants : « c’est mon meilleur correspondant, mon meilleur traducteur ». Ainsi, après tout, je n’avais pas été convoqué comme futur otage.
Höfle voulait savoir si je connaissais la sténo. Quand je lui ai dit que je ne la savais pas, il m’a demandé si j’étais capable de taper suffisamment vite à la machine pour prendre les minutes de la réunion qui devait se tenir. Quand je le lui ai confirmé, il a ordonné qu’on prépare la salle de réunion adjacente. Sur un des côtés de la longue table rectangulaire s’assirent huit officiers SS, y compris Höfle qui présidait. De l’autre côté s’assirent les Juifs : à part Czerniakow, il y avait les cinq ou six membres du « Conseil juif » qui n’avaient pas encore été arrêtés ainsi que le chef de la police juive du ghetto et moi-même en tant que secrétaire. Des gardes étaient postés aux deux portes de la salle de réunion. Je pense que leur seule fonction était d’instiller la peur et l’alarme.
C’était un jour magnifique et chaud, et les fenêtres sur la rue étaient grand ouvertes. En conséquence, j’étais capable d’entendre exactement comment les SS, qui attendaient dans leurs voitures à l’extérieur du bâtiment, passaient leur temps : ils avaient de toute évidence un gramophone dans une des voitures (probablement un phonographe portable) et écoutaient de la musique, une musique pas du tout mauvaise. Des valses de Johann Strauss, qui en fait n’était pas lui même un bon Aryen. Les SS n’avaient aucun moyen de le savoir parce que Goebbels, qui admirait Strauss, veillaient à ce que soit tenue secrète l’origine raciale pas tout à fait pure du compositeur… »
« Die Tür zum Amtszimmer Czerniakóws war, anders als sonst, offen.
Er stand, umgeben von einigen höheren SS-Offizieren, hinter seinem Schreibtisch. War er etwa verhaftet? Als er mich sah, wandte er sich an einen der SS-Offiziere, einen wohlbeleibten, glatzköpfigen Mann – es war der Leiter der allgemein « Ausrottungskommando » genannten Hauptabteilung Reinhard beim SS- und Polizeiführer, der SS-Sturmbannführer Höfle. Ihm wurde ich von Czerniaków vorgestellt, und zwar mit den Worten: « Das ist mein bester Korrespondent, mein bester Übersetzer. » Also war ich nicht als Geisel gerufen.
Höfle wollte wissen, ob ich stenographieren könne. Da ich verneinte, fragte er mich, ob ich imstande sei, schnell genug zu schreiben, um die Sitzung, die gleich stattfinden werde, zu protokollieren. Ich bejahte knapp. Daraufhin befahl er, das benachbarte Konferenzzimmer vorzubereiten. Auf der einen Seite des langen, rechteckigen Tisches nahmen acht SS-Offiziere Platz, unter ihnen Höfle, der den Vorsitz hatte. Auf der anderen saßen die Juden: neben Czerniaków die noch nicht verhafteten fünf oder sechs Mitglieder des « Judenrates », ferner der Kommandant des Jüdischen Ordnungsdienstes, der Generalsekretär des « Judenrates » und ich als Protokollant.
An den beiden zum Konferenzraum führenden Türen waren Wachtposten aufgestellt. Sie hatten, glaube ich, nur eine einzige Aufgabe: Furcht und Schrecken zu verbreiten. Die auf die Straße hinausgehenden Fenster standen an diesem warmen und besonders schönen Tag weit offen.
So konnte ich genau hören, womit sich die vor dem Haus in ihren Autos wartenden SS-Männer die Zeit vertrieben: Sie hatten wohl ein Grammophon im Wagen, einen Kofferapparat wahrscheinlich, und hörten Musik und nicht einmal schlechte. Es waren Walzer von Johann Strauß, der freilich auch kein richtiger Arier war. Das konnten die SS-Leute nicht wissen, weil Goebbels die nicht ganz rassereine Herkunft des von ihm geschätzten Komponisten verheimlichen ließ. »
parce que Goebbels
tatata..c’est lui qui décidait qui était juif ou pas
d’ahbitude ça merde et là..raaaf..la machine se rebelle contre rénato..fous’y un coup dlatte rénato
Ce n’est pas parce que tu la répètes trois fois ta litanie que je la comprends…
christian dit: 23 septembre 2013 à 12 h 33 min
C’est normal qu’un commentaire faisant l’éloge de fascistes terroristes et tortionnaires ne soit pas « modéré »?
C’est tout à fait normal, christian, si on ne veut être ni crétin (ironie) ni ignorant (ces discours existent, sans les lire on est incapable de les critiquer).
ce que j’aime chez zouzou c’est qu’il te traite de crétin ignorant keupu, mais pour t’instruire
Bonjour.
que je la comprends
pas la tête contre les murs rénato..un coup dlatte dans l’bouzin..ton apeul par la window
Quel plaisir d’être débarrassé de la « modération » de la plate-forme du Monde.
Un texte en allemand se serait pas passé.
Je me souviens qu’une fois un court paragraphe avait été sucré.
Je m’étais creusé la tête pour savoir pourquoi.
La seule hypothèse plausible était que comme le texte contenait le mot « bitte », les modérateurs y avaient vu une histoire de cul.
Βonjour.
et si’l parlait tout simplement pas la langue zouzou..? et qu’il avaient peur que t’étoies un islamisss qui causait wurst pour pourrir la choucrete ? un aube doré du cul vérolé ? ha..tu vois que je sais instruire aussi
choucroute..pas la choucréte
« Un texte en allemand se serait pas passé. »
Un intervenant avoua avoir cliqué sur le bouton ad hoc chaque fois que quelqu’un avait mis en ligne un billet en langue étrangère — il faisait parfois exception pour le latin…
Euh? Plaît-il, Duran Duran ? Que nous vaut votre étrange manière d’engager la conversation ? Simon, t’es le bon, Nick tu te rôdes ou simplement un reflex?
Choucréte — choupinette — chaussette…
L’écrivaine Vargas a tout de même sérieusement compromis l’exercice de style.
Girardet..il faut faire confiance, Passoupline n’est pas sensible aux « haines recuites ». Certes, ceux qui aimaient Pierre Goubert n’ont pas eu à prendre le train, car « on n’en fit pas plus de cas qu’une chèvre morte ».
christian dit: 23 septembre 2013 à 12 h 33 min
« C’est normal qu’un commentaire faisant l’éloge de fascistes terroristes et tortionnaires ne soit pas « modéré »? »
C’est normal !
Ce qui est anormal c’est que ta mère n’ait pas avorté, compte tenu du résultat estimé, coglione ! Bête, ne connaissant rien à la guerre, attaché à sa bible comme un pérroquet à sa barrette
J’aurais bien compris dans ton cas cette « modération » ; pardon « censure » !
Bonjour. D’apres moi, ´bonjour’ n’est pas une nouvelle façon d’engager la conversation mais quand on met façon au masculin il faut s’attendre à tout.
Bonjiour !
Au revoir.
« Le romanesque Sulak, consacré par le commissaire Moréas »
Diagonal, si le commissaire Moréas se mettait à écrire sur « l’insaisissable » ça serait une autre histoire.
Pas une biographie, où il y aurait des gros morceaux de lui dedans. Enfin, c’est mal dit, mais c’est ce que je pense.
Romanesque ?
Qu’en dit le journal « sectaire et engagé » ?
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2008/08/14/01016-20080814ARTFIG00006-bruno-sulak-l-aventurier-perdu-.php
– Dites moi Sénéchal, qui est ce Sulak ?
– Beau Sire, juste une crapule…
– Diable ! Pourquoi ce Jaenada en fait il un héros ?
– Sire, il faut bien trouver quelque chose à dire quand on a rien à dire …
Ce qui intéresse à travers Jaenada, c’est aussi savoir si c’est faisable d’écrire de bons livres comiques avec l’intention déclarée de vouloir évacuer la gravité, « le choix du détachement et de la légèreté » etc. Je n’en suis pas sûre. Roth ou encore J-L. Benoziglio, tenez, « Tableaux d’une ex ». D’autant plus à crever de rire que l’acceptation de la gravité, voire une façon indirecte mais parfaitement assumée de la cultiver éclatent à chaque phrase.
En train de découvrir Seksik, là. Après on verra. Sur ce je m’éclipse.
@11.25 « De sang froid » a coûté un bras à Capote et une grave dépression nerveuse…
Quant aux enquêtes sur « l’Adversaire » (voire sur « Limonov »), ils n’ont pas coûté grand chose à Manuel Carrère, sauf l’obtention du grand prix de l’Ac. Fr. (et la modique somme de 40000 euros allant avec), décerné en 2008 par maman, secrétaire à perpétuité.
Ce qui prouve que tous les écrivains ne vivent pas aussi dangereusement que les L. Carroll ou les V. Nabokov à l’ombre des Alices et autres Lolitas.
Pierre Goubert, Phil, son Louis XIV et 20 millions de Français, lecture obligatoire en khâgne. Avec le Bédarida sur l’Angleterre victorienne, Les Inoubliables.
Touite
N’ayant jamais lu une ligne de JK Rowling, j’ai lu cette déclaration du Pr. Comba partagé entre le rire et la honte:
« Le problème est que personne n’a osé se dire, tout simplement, que ce livre pourrait égaler, dans son genre, des ouvrages comme «Robinson Crusoé», «David Copperfield» ou «le Livre de la jungle», c’est-à-dire des livres qui ont d’abord passionné les enfants, mais qui ont aussi très rapidement rencontré un public d’adultes. Si Kipling reçoit le Prix Nobel de Littérature en 1907, à l’âge de 42 ans, c’est bien qu’il n’y a pas eu que les enfants pour le lire ! «Harry Potter» peut aussi être lu comme une œuvre littéraire, comme une œuvre savante, subtile et magnifiquement agencée. Un travail de critique littéraire peut être fait sur ce livre. »
Je fais quoi? Je ris ou je potasse Potter?
Ni l’un ni l’autre: café. A bientôt.
@JEDLA, 13.49,
http://moreas.blog.lemonde.fr/2008/08/20/le-tresor-de-sulak/
…mais le blog du commissaire G. Moreas fait partie de sa biographie romanesque même, (Souvenirs d’un flic de l’intérieur, 1985), laquelle n’a rien à envier à celle de Philippe Jaenada, & que l’on veuille bien en faire le comparatif !
http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb42272492m/PUBLIC
Durant Durand,
Avant d’en faire une dépression – son partenaire amoureux ayant été retiré, à juste titre, de la circulation – le Truman Capoté a rudement joui de la fréquentation affectueuse du tueur avec lequel il forniquait en cellule sous l’œil de gardiens complices …
Il a eu de bon moment dans sa vie, le pitchounet ; des ridicules aussi, lorsqu’à un bal une photo célèbre le montre au supplice dans les bras gorgés de sève de Marilyn, ogives nucléaires prêtes à exploser !…
Cliché tiré d’un Unbewusste stalinien:
Koulak braqué par Iagoda.
Potasser Potter ?
Plutôt mourir…
(…Avec ce qu’il nous reste à lire ! Pure folie !…)
« dans les bras gorgés de sève de Marilyn, ogives nucléaires prêtes à exploser !… »
Ouaouh, kind of hot.
Pas bien ça JC, il faut bosser.
« Potasser Potter ?
Plutôt mourir… »
Entre deux ogives?
Possible.
hamlet 10 h 36 : que des frustrés
tous les posts de JC : du facho pur jus
Le commissaire Moréas, c’est sûrement le petit neveu du poète des stances.
indeed Bloom, avec vingt millions on fait une nation. C’est le grand nombre qui nous fiche dedans. et fini le foie gras à la mangue saint Emilion frappé.
http://www.lovingmarilyn.com/mmtruman.jpg
On voit bien qu’il ne sait pas comment ça fonctionne, ces bêtes là.
@14.24 Marilyn était au supplice pendant qu’il torpillait ses informateurs ? Mais où va-t-il chercher tout ça, le ji(né)cé ?
Cristobal dit: 23 septembre 2013 à 14 h 34 min
« que des frustrés tous les posts de JC : du facho pur jus »
T’as rien compris Tonton Cristoblabla ! Le frustré, c’est toi accroché à tes oripeaux humanistes qui te les compriment, grave !
Les fachos comme moi (admettons hein, c’est pour étudier le cas d’école…) ils sont heureux : racistes, fascistes, homophobes, islamophobes, antisémites, bouffe-curés, pédophiles, bagarreurs, violeurs de bonnes sœurs, dévoileur de converties, buveurs, baiseurs, incultes, ils sont heu-reux ! et ne souffrent pas le moins du monde … !
Au contraire : le fascisme anarchiste rabelaisien, c’est la joie !
Malfrats.
Echange chehab contre kebabs.
« Marilyn était au supplice pendant qu’il torpillait ses informateurs ? »
Mais où va-t-il chercher tout ça, le ji(né)cé ?
Le propos de JC est parfaitement pertinent. Il voulait parler de Marylin Manson dont le nom de scène est composé du prénom de Marilyn Monroe et du nom du serial killer Charles Manson. Il est même dans le sujet du jour. Grâces soient rendues à la finesse de son esprit.
C’est pas beau, un agent… Ah non non non non !
Petit déjeuner chez Sulak, la visite d’un romancier français
Cristobal dit: 23 septembre 2013 à 14 h 34 min
hamlet 10 h 36 : que des frustrés
tous les posts de JC : du facho pur jus
oui, pour le taré de porquerolles, tortionnaire = humaniste – il espère ainsi attirer l’attention sur lui
« J’ai traduit comme je peux, c’est-à-dire pas très bien. »
Tu fais trop le modeste, maître zou.Tu pourrais même concourir haut la main (pas de panique, c’est pas un hold up) au titre de « bester Uebersetzer ».
En tout ca, ça nous change agréablement des enflures de ML (on notera le pluriel…immer korrekt, comme dirait euh…bon).
Juste quelques broutilles, juste pour dire de.
D’abord, sache que si un linceul n’a pas de poche, une porte n’a pas non plus d’habitudes (« contrairement à son habitude »). Mais passons.
De même qu’on glissera sur quelques impropriétés : « prendre les minutes » : hé, oh, c’est pas le procès de Nuremberg, non plus ! »compte rendu » ou « procès-verbal », ça faisait mieux la rue Michel.
Tant qu’à (mal) faire, tu aurais pu dire « prendre les grosses », au moins ça aurait fait marrer bouguereau.
Idem pour quelques tournures idiomatiques paresseusement éludées (« knapp bejahen » : sûr que ML aurait tourné ça du genre : « je répondis par l’affirmative, en esquissant un bref hochement de tête », dans le style concis et puissant qu’on lui connaît).
Ou encore un plan de table (« neben…ferner ») un brin foutraque: « à part…ainsi ». T’es pas assez mondain , zouzou, tu mésestimes les usages protocolaires. Faudrait que Daaphnée se décide à te mettre au parfum.
Plutôt réussie, la vision des huit schleus « assi(s) » « sur » un côté de la table. Décidément, aucun sens des convenances, ces pignoufs.
Allez, un ‘tit dernier : je trouve que ce pluriel « Goebbels (…) veillaient » est indigne de ton esprit raffiné. Mauvaise langue (et quelques autres) pourraient te dénoncer à la Kommandantur pour racisme anti-gros.
Prédicat : globalement positif (15/20, compte tenu que tu as fait alld LV2).
Le passage dans la classe supérieure est pratiquement acquis.
et u. soutient les propos fascisants de son petit copain de pq ?
Les Nombreux Germanistes de ce Blog Réunis
Je lis et m’incline avec respect.
Qui souhaites-tu ainsi protéger, Marcel?
Les enfants?
Ce qui est anormal c’est que ta mère n’ait pas avorté, compte tenu du résultat estimé, coglione ! Bête, ne connaissant rien à la guerre, attaché à sa bible comme un pérroquet à sa barrette
J’aurais bien compris dans ton cas cette « modération » ; pardon « censure » !
pauvre jc ton père le proxénète,alcolo, et trafiquant d’armes, ta mère la marie du port , elle-même trop imbibée d’alcool.. les parents boivent les enfants trinquent -c’est pas de ta faute – aucun des pères putatifs (légion et dockers ) ni que que ce soit d’autre (pas même le curé après t’avoir euh..) n’a eu envie de perdre son temps à s’occuper de toi pauvre tâche
@JC « Ce qui est anormal c’est que ta mère n’ait pas avorté, compte tenu du résultat estimé, coglione ! Bête, ne connaissant rien à la guerre, attaché à sa bible comme un pérroquet à sa barrette
J’aurais bien compris dans ton cas cette « modération » ; pardon « censure » ! »
pauvre jc ton père le proxénète,alcolo, et trafiquant d’armes, ta mère la marie du port , elle-même trop imbibée d’alcool.. les parents boivent les enfants trinquent -c’est pas de ta faute – aucun des pères putatifs (légion et dockers ) ni que que ce soit d’autre (pas même le curé après t’avoir euh..) n’a eu envie de perdre son temps à s’occuper de toi pauvre tâche
christian dit: 23 septembre 2013 à 15 h 15
« oui, pour le taré de porquerolles, tortionnaire = humaniste »
Mais, non, pitchoun !
Humaniste = tortionnaire
(tortionnaire du réel ! Tordu, quoi ! menteur, truqueur, baratineur, bobo.. Tu vois, si tu voulais, tu comprendrais. Ah !? Tu ne peux pas par construction… ah, bon !)
ma-mar-cel…
Tu bé-bé-bégaies ?
T’échauffe pas, Marcel, t’échauffe pas.
Nothing personal.
M’enfin, Marcel, quel contresens : JC, c’est de Daniel Mermet de la RdL !
comme toujours le reptile de porquerolles fait l’apologie de la torture …ça le démange de se faire la main , il appelle ça connaître la guerre -grâce à lui les psys ont du boulot!
Je vais te dire une chose, Marcel, mon instinct me dit (mon instinct, hein) qu’en cas de coup dur on pourrait davantage compter sur l’Abominable JC que sur bien des humanistes.
My hunch!
LE, of course…
Marcel, Jean, mdr…?
Mais ma parole vous êtes toute une chambrée, bande de joyeux drilles!
@13.49, Il a quand même du style le commissaire arrière petit fils du poète parnassien, non ?
Rien à envier à Jaenada, je dirais …
http://moreas.blog.lemonde.fr/2008/08/20/le-tresor-de-sulak/
Et chez le barbier, u., elle vous dit quoi votre intuition ?
marcel, reprenons calmement les éléments du dossier biographique comme le ferait Jaenahda :
« pauvre jc ton père le proxénète, alcolo, et trafiquant d’armes, ta mère la marie du port , elle-même trop imbibée d’alcool.. les parents boivent les enfants trinquent -c’est pas de ta faute – aucun des pères putatifs (légion et dockers ) ni que que ce soit d’autre (pas même le curé après t’avoir euh..) »
Résumons
– Pour l’alcoolisme des parents, c’est exact
– pour le proxénétisme, il ne fut que saisonnier, seulement saisonnier…
– pour le trafic d’armes, faux !
– pour les légionnaires, possible : ils sentent si bon la Kro…
– pour les dockers CGT, ma mère est royaliste humaniste : impossible, politiquement !
– pour le curé, c’est moi qui l’ai niqué, il criait « Jésus ! Jésus », c’était un copain à lui : on a fini à trois.
en cas de coup dur on pourrait davantage compter sur l’Abominable JC que sur bien des humanistes
..c’est ça file lui la eiseneusse kreutz tant que tu y es..et toi t’es uberstourmf..mollo!
u.
Le Monde n’est pas Minute
Petit déjeuner chez Sulak, la visite d’un romancier français
c’est ce rajout insidieux trés superfétatoire de « français » qu’on voit que ton calçon dépasse zouzou..celui d’un humaniss qu’a mauvais genre
Passou, please, arrêtez le massacre, JC et bouguereau : DEHORS, vite
pauvre keupu..il se fait 36 légions et ça fait jamais qu’une poignée de morbac
– pour les légionnaires, possible : ils sentent si bon la Kro…
..dénigrement de nos forces armées d’élite..c’est là que tu trahis jicé..en cas de coup dur..sur ta tête !
C’est pas beau, un agent… Ah non non non non !
..veuillez garer votre véhicule sur le bord de la chaussée..éteignez le moteur..pour qu’on se comprenne mieux
keupu dit: 23 septembre 2013 à 15 h 59 min
« Passou, please, arrêtez le massacre, JC et bouguereau : DEHORS, vite »
Non, Passou ! Non ! pas moi, pas moi … Pitié ! je ne saurais plus où aller ! je ne veux pas finir SBF, sans blog fixe, jamais…
(par contre bouguereau, il la mérite, la porte ; il se recasera : il est débrouillard, lui ! Ou Renato… il aimera ce rôle de stylite forcé/contraint…)
bouguereau dit: 23 septembre 2013 à 16 h 06 min
« – pour les légionnaires, possible : ils sentent si bon la Kro… »
Je me disais que j’avais oublié qqch : évidemment, le Sable Chaud !
Je profite de cette accalmie dans l’affaire Sulak, passionnante affaire, pour faire un papier Hors Sujet, en reprenant un article du Monde.fr :
VENEZUELA
Pénurie de PQ à Caracas
« Le président lui-même – arrivé au pouvoir en avril après la mort d’Hugo Chavez en mars – a d’ailleurs dénoncé une conspiration émanant de l’opposition et des milieux industriels, relayé ensuite par le ministre du commerce, Alejandro Fleming Cabrera, qui avait déclaré en mai à la radio d’Etat ATV :
« Il n’y a pas de souci de production, mais une demande excessive générée par une population nerveuse à cause d’une campagne médiatique. »
Un mouvement de panique sans fondement, donc, mais face auquel le ministre avait malgré tout annoncé que le pays importerait 39 millions de rouleaux de papier toilette, avant d’envoyer la garde nationale occuper l’usine d’Aragua. »
On tire la chasse et on revient à ce brave Sulak…
le 23 septembre 2013 à 16 h 06 min, à propos de :
– pour les légionnaires, possible : ils sentent si bon la Kro… (JC)
bouguereau dit:
..dénigrement de nos forces armées d’élite..c’est là que tu trahis jicé..en cas de coup dur..sur ta tête !
Bon papier.
bouguereau dit: 23 septembre 2013 à 16 h 11 min
..veuillez garer votre véhicule sur le bord de la chaussée..éteignez le moteur..pour qu’on se comprenne mieux
Corboeuf ma Yam un véhicule ? Terrestre à moteur, en plus ?
« en cas de coup dur on pourrait davantage compter sur… »
Affirmatif ! En première ligne derrière mon clavier pour la ratonnade !
JC….. dit: 23 septembre 2013 à 13 h 17 min
Dire qu’il n’y a pas de gazier plus acharné à défendre le droit de dire n’importe quoi sur la RDL.
Quand ce droit est le sien, bien sûr.
Autrement, il est pour la censure, hein !
Relis bien ce que j’écris, mon petit cœur de Clopinette empressée :
« Ce qui est anormal c’est que ta mère n’ait pas avorté…/… coglione …/…j’aurais bien compris dans ton cas cette modération ; pardon censure ! »
Tu vois, maintenant, à quoi je faisais allusion… ? Bonne soirée.
Il s’y connaît en pq,l’apologiste de la torture ce reptile 2 pq !
Ça rappelle le sabotage (la pénurie de pq et autres produits de base produits de base dont le pq) organisé par les fafs pour renverser le gouvernement allende
Clopine (Dire qu’il n’y a pas de gazier plus acharné à défendre le droit de dire n’importe quoi sur la RDL.
Quand ce droit est le sien, bien sûr.
Autrement, il est pour la censure, hein !)
c’est un pervers
-faut le laisser mariner dans sa m.. il s’en barbouille c’est sa raison d’être
JC….. dit: 23 septembre 2013 à 17 h 12 min
D/Sosie/JC n’a pas été censuré, pourquoi censurer christian ?
Quoi ! Qu’ouï-je ? Il y aurait la CIA derrière chaque feuille de papier toilette vénézuelien ? Kolossal sabotache !
(Pour le bien du pays, il est indispensable que Maduro se fournisse en PQ à La Havane, sinon le PQ américain CIA va permettre la lecture directe de la pensée présidentielle, au jour le jour !!!)
en passant dit: 23 septembre 2013 à 17 h 21 min
Drôle de jeu u/zhou…
De toute façon 17:23,
Vous faites semblant de ne pas comprendre ou vous êtes idiot ? rassurez-nous, please.
En passant dit « c’est un pervers »
Bien vu.
Et, comme tout pervers, inaccessible à tout raisonnement qui n’est pas le sien, jouissant de la colère qu’il suscite.
Chez moi, pas de colère.
Et même pas de la pitié.
Juste un coup de rire de temps à autre.
Allons, quelques couplets de « La Complainte de Mandrin » :
La première volerie
Que je fis dans ma vie,
C’est d’avoir goupillé
La bourse d’un, vous m’entendez…
C’est d’avoir goupillé
La bourse d’un curé.
J’entrai dedans la chambre
Mon Dieu, qu’elle était grande !
J’y trouvai mille écus,
Je mis la main, vous m’entendez…
J’y trouvai mille écus,
Je mis la main dessus.
J’entrai dedans une autre,
Mon Dieu, qu’elle était haute !
De robes et de manteaux,
J’en chargeai trois, vous m’entendez…
De robes et de manteaux,
J’en chargeai trois chariots.
Je les portai pour vendre
A la foire en Hollande,
J’les vendis bon marché
Ils n’m’avaient rien, vous m’entendez…
J’les vendis bon marché,
Ils n’m’avaient rien coûté…
« JC….. dit: 23 septembre 2013 à 17 h 26 min
Quoi ! Qu’ouï-je »
laisse tomber – en plus d ‘être ignare tu es trop con
« la CIA derrière chaque feuille de papier toilette vénézuelien ? »
non, juste ton pq, qui relève le niveau comme d’habitude
A une semaine de distance, la République Mondiale des Livres perd deux de ses illustres citoyens.
Mort d’un critique :le Papst de la critique littéraire germanopalatine Marcel Reich-Ranicki a eu droit, outre-Rhin, à un tressage de couronnes en règle. »Er hat gelobt und gnadenlos getadelt », titra joliment die Zeit. M2R n’est pas mort de rire, mais d’avoir longtemps vécu.
Aujourd’hui, on apprend qu’Alvaro Mutis, le papa de Maqroll(pas confondre avec Porcroll, attation) s’est tu à jamais.
Oh, Renato, tu fais la sieste ou quoi ???
http://www.liberation.fr/culture/2013/09/23/l-ecrivain-alvaro-mutis-s-est-eteint_934024
ce matin un instant de sidération en lisant,
« non que l’écrivain soit d’essence supérieure,il est autre simplement » signé d’un éditeur !
aussitôt m’est revenue une formule d’un philosophe « tout autre est tout autre »
Durant Durand, 16.06. Vous auriez préféré qu’H. Carrère d’Encaisse s’auto-alloue les 40 000 euros? Et s’ils avaient une toiture à refaire dans la famille? Des vacances un peu chères à payer? C’est comme quand Cahuzac envoie la facture. Un peu de compréhension, de charité! Je trouve le népotisme très bien. Un comportement personnel compréhensible. Nous voudrions tous en bénéficier. De quoi fondre quand Madame Mère dote son fistounet plus que largement et qu’il se goinfre en faisant des mines. Ou quand Mesguich se pâme devant trois vers de mirliton tournés par sa fille, avec une naïveté pénible qui prend le visage d’une inquiétante assurance. Aucun problème autour de ça. Le tout est d’en être conscient, de ne pas en rester là. S’en servir comme d’une plateforme tournée vers d’autres, au-delà du cercle nombriliste. Il a pu arriver à Carrère d’écrire de bons livres. Aucun critique n’en aura assez dans le pantalon pour dire quand il est foireux. Manman, et tous les copains patrons de presse et journalistes de Monsieur Fils seraient pas contents! Il fait donc ce qu’il veut et après lui le tsunami. L’embêtant c’est l’espace, les fonds que ces gens mangent au détriment d’autres. La manne n’est inépuisable que pour eux.
À quoi ressemblera bouguereau dans 100 000 ans?
http://www.myvouchercodes.co.uk/the-code-word/what-will-humans-look-like-in-100000-years/
Et il se marre, et il se marre ; c’est un luron !
…
…#,…J.C.,…à,…14 h 44 mn,…
…
…au contraire: le fascisme anarchique rabelaisien, c’est la joie !
…
…c’est quoi au juste,…une partie de chasse à coure champêtre,…du Cinéma avec Benny Hill,…
…
…un Club de plein aux as,…dans une orgie sous contrainte économo-nique,…
…
…de-vin,…etc,…
…
va moins faire le mariolle au poste loin des caméras..plutôt que jugnot le flic ressemble plutot a beurt rénolsse..les taloches qu’il a du prende
À quoi ressemblera bouguereau dans 100 000 ans?
gros noeils et petite bite comme un mickey de manga..
@18.28 -> Très avisé ce Duchamp qui répond à un message de Durant Durand censuré par la RDL à 16h06. Qui a dit qu’il n’y avait pas de censure ici diligentée par des candidats à la Kadémie française ? En effet, Duchamp,… ce message faisait part d’une relation d’argent naturellement incestueuse entre une mère et son fils. L’auriez-vous gardé dans un fichier à part pour le remettre plus tard subrepticement, ce message, par hasard ?
…
…encore un, qui joue au dindon de la farce,…
…etc,…
« L’embêtant c’est l’espace, les fonds que ces gens mangent au détriment d’autres. La manne n’est inépuisable que pour eux ».
Mais pourquoi est-ce embêtant, au juste ?…
« gros noeils et petite bite comme un mickey de manga.. »
Ouais.
Ça me fait une belle troisième jambe de savoir que je suis en avance.
Il faut cesser de donner le sein à son gosse quand il est trop grand.
Et quand il est trop petit, Barozzi?
u. j’ose me permettre de vous faire remarquer que vous devriez opter pour un autre mode de reproduction, spectacle affligeant que vous donnez à imaginer entrevoir voir peut être, game over…
Lu de larges extraits du bouquin de Jaenada sur Sulak.
Nul.
Désolé pour l’auteur.
Larges extraits extraits du large, est-ce un roman d’aventures?
C’est très injuste, bérénice.
J’aime à penser que je fais face aux clichés sur l’homme jaune avec beaucoup de bravitude.
La vie n’est qu’une succession de choix, de bivium.
Diagonal dit: 23 septembre 2013 à 15 h 41 min
Sûr que G. Moréas a un autre style que Jaenada.
(Phil a l’esprit pointu; G. Moréas petit-fils de Jean ?
http://moreas.blog.lemonde.fr/2010/02/06/mon-identite-nationale/)
J’aime beaucoup quand Moréas écrit:
« Y va pas nous faire pleurer, le Bruno… »
« Qu’est-ce qui fait qu’une vie bascule ? », faut y penser à poser cette question, non ?
« bascule »; un gouffre pour la pensée, ça: basculer. Ca vient tout seul: d’un coup on bascule, l’instant décisif, tout ça. Des âneries.
Il n’y a aucun mal à s’aimer quand on est seul sur la muraille, je vous encourage à persévérer dans cette attitude dignement sereine.
La vie n’est qu’une succession de choix…De fait la vie des simples est plus russe ou inversement quand les supermarchés n’offrent plus que des produits de premières nécessite par exemple, il faudrait d’ailleurs fournir plus d’exemples à l’exemplarité de ces vies sans choix ni an, le nouvel an lui même relégué sur un calendrier chinois pour des accords qui seront signés ou pas ultérieurement à l’ONU.
première nécessité
15h36 > connaître la guerre
Une guerre, trop de sang.
« Une guerre, trop de sang. »
Allons, Héraclite, si c’est une guerre juste?
«Nous autorisons les moudjahidin à l’intérieur du bâtiment à agir contre les prisonniers», a déclaré le porte-parole des shebab, Sheikh Ali Mohamud Rage, dans une déclaration mise en ligne sur un site internet islamiste. »
Ugh, sa sainteté Rage a parlé.
Allons, Héraclite, si c’est une guerre juste?
L’Egisthe est réticent sur le concept.
Il faut avoir connu l’ivresse de la recherche pour comprendre à quoi correspond ce plaisir-là.
c’est ainsi dit (ça correspond ?) encore plus én igmatique que l’ivresse récemment identifiée par « la faculté »
Mister Hyde, animal lecteur dit: 23 septembre 2013 à 21 h 02 min
Je ne sais pas si on peut dire : « nul ».
C’est un roman biographique. Nouveau genre littéraire !
Je connaissais pas non plus.
De larges extarits sont dispos sur le net.
J’ai lu les « remerciements ».
Dont un à Roger Knobelspiess, ce personnage qui défraya la chronique aussi a été oublié.
Et puis Thalie/Thally, hum, hum.
lire: des extraits
(sans lien, les interessés- par le sujet- trouveront)
Vous savez quoi, U. ?
Votre « Allons, Héraclite, si c’est une guerre juste? », je me demande s’il ne faudrait pas se résoudre à un classement bi’polaire, certes (!), les demeurés d’une côté, ceux qui le sont moins, de l’autre .
Vous allez me dire qu’en mettant les indiens d’un côté et les cow-boys de l’autre, cela n’a rien donné …. d’accord, mais.
Je pense que Jaenada a basculé. Raide dingue.
A cause de Thally.
C’est important, l’info que je vous donne, là, Diagonal.
Pensez-y.
Je dirais même plus: c’est un peu une info comme dans « Voici », en fait.
« Pas de fumée sans feu »
Proverbe indien.
P.Assouline voudra bien accepter que je ne suive plus que de très très loin son blog et n’ai aucune envie de me joindre à aucune conversation
Ayant relu le livre des éloges de Manguel, j’ai bien noté qu’il y écrit dans l’éloge de la France en forme de blasphème »le mépris envers le client fait ici partie du métier »
excuse : en forme d’inventaire ; l’éloge du blasphème précède l’éloge de la France , that’s why
@ Polémikoeur (12:02/11:57)
Je crois qu’il faut comprendre cette proposition provocatrice d’hamlet dans le sens d’une concentration sur l’écriture plus que sur le parcours du combattant éreintant à suivre pour qui désire se faire publier. Par ailleurs, pour le lecteur, cette marée de livres à la « rentrée » (souvent des romans)et la fièvre des prix littéraires peuvent donner l’envie d’une fuite plus que celle d’une exploration ou un repli sur des livres anciens et aimés.
Bien sûr que ça ne remet pas en cause votre raisonnement (Littérature / éditeur/ lecteur/ critique littéraire….), c’est seulement une interrogation qui traverse les pensées comme un rejet, une résistance à la facilité de se laisser aller à une écriture facile, un rendement espéré dans les écuries littéraires… Bref, un moment d’humeur bien salubre.
4urartu8 dit: 23 septembre 2013 à 22 h 48 min
P.Assouline voudra bien accepter que je ne suive plus que de très très loin son blog et n’ai aucune envie de me joindre à aucune conversation
–
à mon avis il s’en fout royal.
Demeter,
laissons à chacun le soin de soigner ses illusions.
Vous êtes un sage renato.
(je soigne une illusion)
Sage ? n’exagérons rien.
Sous la plume de Christiane, le mot salubre prend même un côté coquin…
Ne trouvez-vous pas que Sulak ressemble à jeune Mr. Traub?
Non.
Le NYT publie la recette préférée de Signor Renato:
http://www.nytimes.com/2013/09/25/health/lasagna-with-tomato-sauce-and-roasted-eggplant.html?ref=health
Bravissimo!
Désolé Dem, mais à 23 ans vous êtes bien trop jeune pour avoir connu Traub quand il était trader à Hong Kong, ouvrant la Voie Royale au p’tit Malraux.
1. Preheat the oven to 450 degrees. Line a baking sheet with foil and brush the foil lightly with olive oil. Slice the eggplant 1/3 inch thick, sprinkle with salt and toss with 2 tablespoons of olive oil. Place on the baking sheet and roast 15 to 20 minutes, until the slices are lightly colored on the bottom and soft to the tip of a knife. Remove from the oven, and carefully fold the foil over and crimp the edges together (be careful not to burn yourself!). Let the eggplant cool and steam in the foil packet for 20 minutes. Set aside and turn the oven down to 350 degrees.
C’est pas du tout comme ça qu’il faut faire. Étaler l’ελαιολαδο en fine couche sur une planche de travail, presser les tranches d’aubergine sur les deux faces pour les imprégner légèrement puis les braiser sur un grill cannelé sous un poids (couvercle en fonte). Acheter une nouvelle planche pour la prochaine fois.
On peut faire aussi de cette façon la moussaka.
Ma recette préféré ?! vous êtes nouveau ici, je suppose.
La recette préférée de renato est la choucroute garnie.
Ici on parle français.
Vous fantasmez beaucoup Demeter.
« Ici on parle français. »
Le bouton « Alerter » vous manque ?
Lu de larges extraits sur le net du bouquin concernant ce séduisant malfrat. Inintéressant au possible. Rappelle furieusement une vieillerie appelée Détective, magazine pour bonniches.
Pasou, vous devriez « avoir honte » de faire un billet sur cette cagade sous-capotienne…!
« Vous allez me dire qu’en mettant les indiens d’un côté et les cow-boys de l’autre, cela n’a rien donné …. d’accord, mais. »
Ce sont les Cow-boys remuants qui ont marché sur la lune, Daaphnée, pas les Indiens restés sur la réserve. Ce sont bien les vachers qui ont gagné le match et qui nous refont le coup de l’Empire Romain, n’est ce pas ?
« une vieillerie appelée Détective, magazine pour bonniches. »
L’apologiste de la torture s’essaie à faire dans la critique littéraire
La torture ! la torture ! mais vous qui êtes soumis, comme beaucoup, à la torture fiscale insupportable de cette République des Pitres, vous ne vous en inquiétez guère… je ne vous entend pas protester contre cette horreur si douloureuse… !
« Ce sont bien les vachers qui ont gagné le match et qui nous refont le coup de l’Empire Romain, n’est ce pas ? »
Façon élégante d’évoquer le secret de Brokeback Mountain.
Ce que nous sommes:
1/une femme myhtologique: Dans la mythologie greque, Déméter est la déesse de l’agriculture et des moissons.
2/un objet dans l’espace: Déméter est un satellite scientifique du CNES chargé d’étudier les signaux électromagnétiques provoqués par les tremblements de terre.
3/ Une pomme bio produite sans protection et largement pourrie, tout en étant moche et rabougrie avec des taches noires: Le label Demeter est un label qui certifie les produits issus de l’agriculture biodynamique.
4/ Un rien filant dans l’espace: (1108) Déméter est un astéroïde.
5/ Mon vrai moi: En développement logiciel, la loi de Déméter (ou principe de connaissance minimale) peut être résumée en « Ne parlez qu’à vos amis immédiats ».
Mon vrai moi, car connaissance minimale, quand aux amis, je considère comme mes amis tous ceux qui lisent mes commentaires. Je n’ai pas d’ennemis, car mes amis (mes pseudos) font légion.
Source wikipedia
Moi je suis Deneb
Je mange des champignons de Paris, spécialité de Melun.
Quand j’habitais dans Paris, je mangeais de la soupe à l’oignon.
Bref, quand on habite dans un endroit précis, il est un devoir de manger local.
Renato mange donc de la choucroute et Phil, des gaufres.
Correction, il fallait lire quant avec un t et non un d comme D.ieu
Phil, des gaufres
verdammt..à la bière avec de la cassonade et du beurre salé..pasque alley alley on sait bien cque ça veut dire le beurre pas salé sur la table, et on veut pas en mettre sur sa tartine
Ce sont les Cow-boys remuants qui ont marché sur la lune
alleye alleye..sans goering il saurait pas faire alleye une fusée un peu proprement..comme un avion en 14
Bah, à 80 millions, les Germains font bien nation, Phil. La tyrannie du nombre est une fausse excuse. Il est vrai qu’il leur manque la capacité à mêler les doux produits du sud-ouest avec les délices tropicaux.
Et ce n’est là qu’une parmi bien d’autres carences, croyez-en un vieil habitué des programme culturels franco-allemands.
Alles nahe werde fern.
-s
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