de Pierre Assouline

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La République des livres
Sylvie Germain et David Bosc, une sensation du monde

Sylvie Germain et David Bosc, une sensation du monde

Les romans portés par une écriture sont si rares qu’on les croirait tenus par rien d’autre. On ne voit alors que cela, cette grâce invisible appelée à être un jour concassée, décortiquée, théorisée. En attendant ce sacre universitaire et colloquant, le lecteur a le privilège de savourer le texte dans son jus, son liquide amniotique, à peu près vierge d’analyse et de commentaire. Alors emparez-vous des romans de Sylvie Germain et de David Bosc avant que des savants les accaparent- c’est tout le mal qu’on leur souhaite. Ils ne sont pas poètes mais portent un regard poétique sur le monde. Ce qu’ils ont en commun ? Une certaine beauté qui une musicalité comme un parfum entêtant du début à la fin. Mais aussi une dette souterraine aux auteurs admirés qui les ont faits. Pour l’une Levinas, Michon, Bauchau, Quignard. Pour l’autre, Michon, sentiment renforcé par la parution sous la même couverture jaune citron de Verdier.… Voyons voir.

Dans Petites scènes capitales (256 pages, 19 euros, Albin Michel), tressé de quarante-neuf tableaux reconstituant l’histoire d’une famille, Sylvie Germain invite à considérer le temps comme un labyrinthe. On s’y perd pour mieux se retrouver à l’instant précis de franchir une ligne invisible et de mettre un pied de l’autre côté. Voici le monde de Barbara dite Lily, petite fille ordinaire, intranquille permanente ni belle ni laide, à l’identité chahutée par les accidents de la vie et les aléas d’une famille recomposée, en aval et en amont de 1968. Des personnages s’ébrouent autour d’elle, le temps s’écoule reflétant histoires de famille et secret des origines, tandis que la mort accidentelle par sa faute d’une de ses demi-sœurs, une jumelle de surcroît, précipite l’effondrement de la cellule familiale. La langue est magnifique, l’écriture, ciselée. L’auteur a choisi le procédé des vignettes pour raconter son histoire, un destin poignant sinon tragique. Un parti pris original qui séduit de prime abord, même si le fragment est un genre éprouvé. Des images, des détails, des impressions. Toutes choses qui peuvent laisser une impression générale d’abstraction lyrique, de désincarnation, d’allégorie permanente. Pourtant, Sylvie Germain défend l’art du roman ; les personnages demeurent sa vraie passion. Enchantée de merveilleux médiéval, sa langue est belle même si elle se grise parfois un peu trop d’elle-même.

Le sujet est secondaire. Seul le détail compte où l’intérêt peut se condenser. Progressant parfois en bande organisée, sinon en meute, les détails font les petits importants. L’auteur avance par petites touches et digressions. Un œil sur son chaudron de mots, elle y espère le surgissement de l’inattendu, de l’imprévu, des bouffées de ce je-ne-sais-quoi qu’on nomme à tort et par défaut l’inspiration. Une note de violoncelle, la « voix des oiseaux », un froissement de tissu, suffisent à donner une touche cristalline à une situation banale. Elle se dit fascinée par le « pourtant », le « cependant », le « nonobstant » qui sont autant de variations du « malgré tout » de l’Ancien Testament où des hommes se font prophètes malgré tout, malgré l’indifférence, la cécité, la surdité des pêcheurs. On y retrouve aussi la sublimation du petit pauvre, de l’humilié, de l’avili, et sa conception du sacré en mode mineur, deux piliers de son œuvre telle que les a pointés Aude Bonord au cours des Septièmes Rencontres de Chaminadour à Guéret consacrées l’an dernier  à Sylvie Germain, et reprises dans Carnets de Chaminadour (262 pages, 20 euros, Association des amis de Marcel Jouhandeau). Jamais la conteuse en elle n’a paru aussi éthérée et intemporelle. Qu’importe au fond tant que l’ivresse poétique ne nuit pas à la fluidité du récit d’une rédemption l’autre. Petites scènes capitales laisse une signature de lumière. Son idéal de légèreté et son rêve de sagesse.

David Bosc est, lui aussi, l’auteur d’un des romans les mieux écrits de la rentrée. Une langue pleine de finesse, sensuelle, minutieuse, précise anime de bout en bout La claire fontaine (14 euros, 115 pages, Verdier). L’incipit donne le ton :

« De corps fatigué, avec sur ses cheveux comme une pelletée de cendre, cinquante-quatre ans, les épaules chargées d’un sac, Courbet enquilla la rue de la Froidière, la barbe ouverte d’un sourire de bel entrain. Là où les pavés cessent, il se retourna, faisant se tordre l’écharpe bleue de sa pipe. » 

On a parfois l’impression rare qu’un mot y rencontre un autre pour la première fois. C’est la grande qualité du texte avec sa justesse dans l’harmonie. Car l’histoire est connue : Courbet le communard, peintre français en exil à La Tour-de-Peilz, sur le bord du Léman, sauf qu’elle est racontée par un écrivain français en exil à Lausanne. Ses travaux et ses jours, sa maladie, son chemin vers la mort durant ses quatre dernières années. Courbet est bien là, jouisseur sans nostalgie, l’homme tout entier alors que c’est celui de la fin. Les digressions, suprême liberté du romancier d’une histoire dans l’Histoire, le permettent à l’envi. « Le premier, peut-être, Courbet a peint la jouissance de la femme » écrit Bosc. Vraiment ? Et de citer La femme dans les vagues et une étude pour La femme au perroquet. Heureusement qu’il y a « peut-être ». Un moment de sa vie pour dire sa vie : c’est le secret des biopics réussis. Ca part d’un passage dans une simple notice du dictionnaire : « Condamné à reconstruire la colonne à ses frais, poursuivi par la haine officielle, Courbet doit se réfugier en Suisse, où il meurt en 1877 ». Les aides que Courbet avait engagés pour accélérer sa production de paysages s’appelaient Pata, Alexandre Rapin, Jean-Jean Cornu et Marcel Ordinaire : « Le dernier des vaudevillistes aurait eu scrupule à choisir de tels noms ». Seule réserve : une certaine affèterie, une légère préciosité dans la recherche du mot original. Aussi, lui si précis dans son vocabulaire, comment peut-il parler de « l’holocauste écoeurant dans lequel furent jeté la Commune et les communards ». Non que le massacre eut été niable mais le terme d’holocauste, c’est dire de sacrifice rituel, n’est pas plus pertinent pour eux qu’il ne le fut pour les Juifs pendant la seconde guerre mondiale. Un détail qui ne gâte pas pour autant ce récit où les détails sont à la fête. Là encore, l’ombre portée du grand Michon, celui des Vies minuscules, se fait sentir. L’effet Verdier comme il y a un effet Minuit. Ou comment une couverture peut faire école stricto sensu.

Par leur réussite, ces deux romans témoignent qu’il ne suffit pas d’être porté par une écriture exigeante et des personnages forts, incarnés. Pour qu’une sensation du monde passe jusqu’au lecteur, il y faut également ce qu’on n’ose plus appeler un supplément d’âme qui fait toute la différence.

(« Deux enfants », photo Henri Cartier-Bresson ; « Gustave Courbet » photographié par Nadar)

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

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commentaires

521 Réponses pour Sylvie Germain et David Bosc, une sensation du monde

D. dit: à

Heureux de cet article. J’adore Sylvie Germain. Beaucoup moins David Bosc.

D. dit: à

D’ailleurs en règle générale, j’apprécie peu les expatriés en Suisse. Mais ce n’est qu’un goût personnel.

D. dit: à

Je n’aime pas l’extrait de Bosc que vous avez choisi. Trop de matière, trop pesant.

D. dit: à

Christiane va adorer ça, elle.

Chaloux sur le départ dit: à

Encore un lot de deux.
A quand les boîtes de six ?

Anatole dit: à

Mais pourquoi diable chaque fois que je vois un portrait de Courbet je pense tout de suite à son « Origine du monde » ?
Suis-je un obsédé sexuel ? A ce point-là ?
Oui, oui, je le suis.
Obsédé dans tous les sens usuels du terme : sexuel, textuel, virtuel, intellectuel…

Anatole dit: à

Serait-ce pornographique ? La concupiscence et la Verge…

Anatole dit: à

Beau billet, vraiment.

Sergio dit: à

Concassée forcément, les gars qui écrivent en écailles…

christiane dit: à

David Bosc, je ne connais pas mais les toiles de Courbet me passionnent. Entre Histoire et roman, peut-être le suivre…
Sylvie Germain, je l’ai lu, beaucoup. Elle en pose des questions et donne peu de réponses et c’est bien ainsi. A son écriture s’appliquerait bien cette pensée de Barthes à propos de la littérature :  » ce très fragile langage que les hommes disposent entre la violence de la question et le silence de la réponse »…
Les liens offerts dans le billet (et que je n’ai pas encore ouverts entièrement) sont très intéressants. Dans l’entretien, que de pudeur ! Ces livres invitent au voyage intérieur, tout en brumes, en bruissements. Un mélange de voix multiples qui questionnent et se répondent. Elle avance à l’intuition. Parole proche de la lumière mais aussi de la nuit. Braises…
Pour ce nouveau livre – si bien présenté – avoir les yeux de ces enfants, se remettre à être, patiemment. Sortir des préjugés des sélections littéraires parce que c’est elle, sans se départir d’une vigilance critique car le nom ne suffit pas. Mais là, le livre a été lu par Pierre Assouline… Risquer la confiance.

D. dit: à

Je n’aime pas ce verbe « départir », Christiane.
Pourquoi l’employez-vous ?

D. dit: à

tout en brume,en bruissements. un mélange de voix multiples qui questionnent et qui se répondent. Mais tout ça c’est dans votre tête, Christiane !

Sergio dit: à

D. dit: 11 septembre 2013 à 23 h 45 min
« départir »

C’est le problème : ça dépend du sens du champ magnétique…

D. dit: à

Ne vous fâchez-pas, Christiane. Je veux juste dire que vous vous faites des idées sans arrêt, que les choses sont beaucoup plus simples et carrées que ce que vous essayez de nous faire croire.

christiane dit: à

Bonsoir, D,
Peut-être trop d’idées dans ma tête à la lecture des livres…
Pourquoi me fâcherais-je ? j’aime bien vos questions. Vous n’êtes pas médisant, juste un peu étrange… Vous ne parlez jamais dans la violence et c’est reposant.
Vous dites que vous partez et vous revenez comme Pénélope qui défaisait le soir son ouvrage pour ne jamais finir sa tapisserie et rester dans l’attente.
Vous êtes un peu comme un ours polaire sur la banquise qui fout le camp à cause du réchauffement climatique. Vous parlez beaucoup du futur d’une façon alarmante et vous dites que c’est moi qui suis compliquée !
Vous avez un drôle de rapport à l’espace. Vous avez besoin de tant de ciel. Là-haut, dans l’espace, on n’entend rien car il n’y a pas d’atmosphère. Peut-être trouvez-vous vos amis de blog trop bruyants ?
(Sans se départir = sans abandonner une attitude de…)
Vous pensez que les choses sont plus simples ? Vous en avez de la chance ! Donnez-moi la recette…
Votre éthique du lointain c’est comme du vide qui s’ouvrirait sur une banquise, ailleurs…

JC..... dit: à

Ce serait illogique, et stupide, de trancher entre vrai/faux : « les choses simples et carrées » comme les voit l’éminent D. ou « la tête pleine de voix multiples » comme l’adorable Christiane le vivrait…

Pourtant, je pencherai plutôt dans le sens de Christiane : le monde des humains est effroyablement complexe et les choses simples et carrées, rarissimes. Liste infinie d’exemples de cette parfaite imperfection complexe où règne sur Terre la joyeuse entropie humaine depuis fort peu de temps à l’échelle cosmique …

La préhension du monde par l’animal sensible Christiane est panthéiste. Emerveillée par ses plongées dans les livres, les êtres, les lieux, les arts, la semoule humaine, qui enrichissent cette complexité de points de vue d’un monde absolument insaisissable, hors sacralité, elle s’émerveille, plutôt qu’elle n’agit.

L’extraterrestre D., lui, est un modélisateur cartésien né angoissé. D’une très grande richesse s’amusant à faire croire qu’il croit aux vertus, non de la sensibilité comme connaissance, mais seulement à l’analyse, poussée jusqu’au vice. Et que, si on le laissait faire (aidé par des puissances extérieures, bien pratique n’est ce pas ? …), il agirait victorieusement sur ce monde à réformer. Inquiétude du spectateur mesurant son impuissance propre, idée que je partage.

Je me demande si tout ne se réduit pas à manquer d’humilité vis à vis du monde. Comme si, nous, coqs et poules d’un poulailler, parmi d’autres poulaillers, pouvions penser autre chose que « naître, vivre et mourir » ! Sans la moindre idée du pourquoi.

Il n’était pas con l’autre qui s’interrogeait : « Pourquoi y a t il quelque chose plutôt que rien ? ».

Question que je ramène à mon niveau de préoccupation : « Pourquoi Christiane a t elle refusé de monter en passager sur mon scooter ? »…

N’est pas Leibnitz qui veut, fan de chichourle !

Leo Bloom Pold dit: à

« Moby Dick », « Ulysses », « USA » ou « Last Exit to Brooklyn » sont-ils « bien écrits »?
Quel critère est-ce là?
A mort la bien écriture!?….

lecteur dit: à

La liberté selon le tordu de pq : inégalités croissantes, « disparitions », tortures, massacres

Jacques Barozzi dit: à

Quand la subtilité d’une langue aboutit à des jugements aussi peu nuancés que celui-ci : « l’holocauste écoeurant dans lequel furent jeté la Commune et les communards », n’est-ce pas du pur maniérisme ?

Jacques Barozzi dit: à

Ou du lyrisme gratuit ?

Jacques Barozzi dit: à

Déjà que les michonneries de Michon sont limites !

Jacques Barozzi dit: à

De la littérature en point de croix ou l’art de la broderie ?

Le crémier de JC..... dit: à

…je croyais qu’il avait le langage fleuri, Michon ….

JC..... dit: à

lecteur dit: 12 septembre 2013 à 8 h 00 min

Eh, mon ami ! vous oubliez : paupérisation de la classe ouvrière, conservatisme royaliste, athéisme sordide, homophobie généralisée, islamophobie répugnante, judéophobie sioniste, philatelophobie compulsive, inculture raffinée, fascisme actif, esclavagisme conjugal, racisme coloré, viol du bourdon et cannibalisme chevalin !

renato dit: à

« Pourquoi y a t il quelque chose plutôt que rien ? »

Même en tenant en compte d’un enviable pedigree, cette question est d’une stupidité sans pareils : il y a quelque chose et c’est tout.

JC..... dit: à

Renato, vous avez raison.
Leibnitz était un vrai con : ça se vérifie tous les jours …

renato dit: à

Leibnitz sans doute pas, même si cette question est stupide ; vous sans doute oui car avez répondu à mon post — où pourtant il était fait allusion à son origine.

JC..... dit: à

Renato,
Vous avez raison :
– je suis con, au niveau le plus élevé
– Leibnitz ne l’est sans doute (!) pas
– vous êtes supérieurement intelligent. Toujours.

Cependant, ne croyez vous pas que ces questions intéressent peu de lecteurs du billet d’Assouline, et que nous allons finir par lasser…?

renato dit: à

Mais ce n’est pas une question d’intelligence, le scootériste, c’est une question de bon sens.

Pour ce qui est de « lasser », pensez plutôt à vos vomis sur tout ce qui ne correspond pas à votre conception du monde.

james dit: à

le cerveau reptilien de pq décrit son programme à 8h38

Leo Bloom Pold dit: à

C’est bien écrit, en littérature = il y a de belle images, au cinéma.
Harldy a compliment, in’it?

Leo Bloom Pold dit: à

S

JC..... dit: à

Terminé…
A vous les studios !

Jacques Barozzi dit: à

« ne croyez vous pas que ces questions intéressent peu de lecteurs du billet d’Assouline, »

D’autant plus que nous sommes présentement en pleine dentelle : points virgules à volonté et mots rares jamais accouplés auparavant !

Jacques Barozzi dit: à

ou bien ça équivaut à dire d’un tableau que c’est bien peint, Bloom !

rift dit: à

Leibnitz était un génie, nous sommes d’accord, JC, mais la question ontologique « pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien » lui est antérieure. Elle occupe toute l’histoire de la pensée (sauf à Colmar, apparemment) ; ce qui vient de Leibnitz, c’est la réflexion autour du principe de raison suffisante, qui en découle.

Polémikoeur. dit: à

Bonjour, bonjour,
Cartier-Bresson, vraiment ?
Sauf erreur, une photo prise à la Bnf
en « chapeau » et un Courbet champêtre,
et c’est tout pour le moment.
Billet gourmandise et début de commentarium
plaisant et léger : bon augure ?
Dron(de surveillance)atiquement.

Arrêtez toutes les afféteries ! dit: à

« Seule réserve : une certaine affèterie (sic), une légère préciosité »

Depuis le bunker, l' »afféterie » (avé l’assent bien placé, sinon urucu va renauder vilain) est à la fête, chez Passou.
Si la chose est taboue et vouée à la censure, le mot, lui, plaît ( et même replet, un peu comme le sac courbant les épaules de Courbet. )
Quant à l' »impression rare » qu’un mot se rencontre pour la énième fois, ce n’est, hélas ! pas qu’une impression.

renato dit: à

@rift, le fait que la question soit stupide n’enlève rien à sa valeur.

D’autre part « “On ne sait pourquoi” est la clef de voûte des systèmes les plus complexes destinés à justifier le monde. »

renato dit: à

Observations relatives aux cellulaires.

Il y a ceux qui l’ont toujours à la main, l’œil rivé sur l’écran, et personne ne leur téléphone.

Il y a ceux qui ne savent jamais dans quelle poche l’ont rangé, et il sonne tout le temps.

D. dit: à

« ne croyez vous pas que ces questions intéressent peu de lecteurs du billet d’Assouline, »

Je me suis senti humilié.

Nous sommes donc une tablée de croquants saisis dans son hébétude par un Le Nain?

D. dit: à

« Il y a ceux qui ne savent jamais dans quelle poche l’ont rangé, et il sonne tout le temps. » (renato)

À gauche ou à droite, ça dépend des fois.
En revanche, Moravia a fait naguère fait parler son discret bijou dans ‘Io e lui’, mais au moins il avait le bon goût de ne pas sonner.

u. dit: à

Les deux posts précédents sont la preuve tangible que j’ai été D. une fois dans ma vie, parce que j’admire les mathématiques.

D., sachez que c’est totalement contraire à mes principes.
Mais l’entité D est le signifiant flottant de ce blog prestigieux.
Prenez le comme un hommage.

Ontotologie dit: à

« Pourquoi y a t il renato plutôt que rien ? »

renato dit: à

D., dans un veston vous avez au moins cinq poches utiles ; dans un pantalon deux — oui, c’est vrai un pantalon a quatre poches utiles, mais pour deux il y a le risque d’un appel de la fesse.

u. dit: à

L’incipit de ce billet a été soufflé par la grâce.

Il faut le saluer, c’est comme une résistance à l’accablement.
Devoir rendre compte de la production d’une rentrée sans être injuste ni complaisant est un travail impossible.

Je me suis imaginé dans cette position, et suis parti épouvanté.

Leo Bloom Pold dit: à

ou l’Internationale bien chantée, Baroz…

D. dit: à

Petit u., sachez que, pour qu’une entité flotte, il faut qu’elle soit gonflée d’air. Je prends donc votre remarque de 9 h 53 pour une insulte. Ce n’est pas votre ami JC qui me traiterait de la sorte ! Mais il est vrai qu’entre JC et moi il y a une compréhension discrète.

u. dit: à

« l’Ancien Testament où des hommes se font prophètes malgré tout, malgré l’indifférence, la cécité, la surdité des pêcheurs. »

Pêcheur, pécheur…

C’est le bruit de la mer qui rend sourd, ou la rumeur ignoble au fond de nous qui nous vient des origines?

christiane dit: à

Vous avez dit « carré », JC, en évoquant D. Je pense à une sculpture de Giacometti « La cage » où l’on voit un homme tellement emprisonné entre les les arêtes d’un cube, alors que l’espace est là tout proche… (peut-être Renato pourrait-il nous en trouver une photo ?). Merci pour l’autre portrait…

Je viens d’écouter avec plaisir l’émission de E.Laurentin (La fabrique de l’Histoire – F.C) et son dialogue pertinent avec David Bosc à propos de ce livre La claire fontaine. Ce que j’ai entendu complète bien le billet de P.Assouline. D.Bosc insiste sur ces corps peints pas G.Courbet ni idéalisés, ni porteurs d’un message politique ou social, une sorte de « matérialisation poétisée », un réalisme nouveau. Ce livre fait revivre le quotidien de l’atelier, ajoutera E.Laurentin.
Un moment intéressant de leur dialogue : celui concernant un rapprochement entre l’état du corps de Courbet (atteint d’hydropisie, miné par l’alcoolisme) et ces toiles où il n’a cessé de peindre l’eau sous toutes ses formes.
On a dit que cette période d’exil était « crépusculaire » dira D.Bosc, qu’elles étaient « un déclin », lui ne trouve pas cela dans les recherches qu’il a pu faire. Il rend compte, plutôt d’un homme qui a continué à « célébrer la vie joyeusement », qui est « resté libre dans l’adversité ».
Avant l’exil, il souligne le côté « lumineux de la Commune de Paris », si brève (75 jours) si « idéalisée » par ceux qui en furent dont G.Courbet, cet amoureux de la liberté.
Donc un livre politique, historique mais aussi, dira E.Laurentin, sensuel et poétique.

u. dit: à

La conclusion du billet témoigne qu’il ne peut y avoir de conclusion.

Comme si ce qu’on peut trouver de commun à ces deux livres n’est précisément pas ce qui les rend intéressants.

Et néanmoins, il faut conclure, quel boulot.

« En attendant ce sacre universitaire et colloquant, … Alors emparez-vous des romans de Sylvie Germain et de David Bosc avant que des savants les accaparent »

Je me reconnais dans ces charogne, leur travail est plus facile.

u. dit: à

dans ces charogne > dans ces charognards!

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…j’ai lu,…sur le site du Monde,…

…le phénomène  » français « ,…

… » appartements à louer contre services sexuels « ,…un peu le  » bordel « ,…de la république française,…

…en prison,…les propriétaires et leurs locataires,… » lois morales à deux balles « ,…
…pour les cafards c’est gratuits,…etc,…
…Vive Henry IV et sa poule au pot,…

christiane dit: à

@u. dit: 12 septembre 2013 à 10 h 20 min
Tout à fait d’accord. Pourquoi rapprocher ces deux livres ? Mystère…

Leibnitz pcc dit: à

(peut-être Renato pourrait-il nous en trouver une photo ?).Christiane.

Non, par pitié, non!
Laissez-le jouer tout seul avec ses petites images, sa pensée d’ Epinal!

renato dit: à

@ 9 h 54 min

Voilà la preuve que la question est stupide…

u. dit: à

« Michon le patron », christiane!

Annette Gadriella dit: à

D., JC est la face chocolat de votre personnalité cloné; écrire multiple serait une erreur, en effet question diversification, c’est le degré zéro. Chocolat par la couleur marron verdâtre (vous mangez beaucoup de salades et de légumes verts). Comme vous êtes gonflé d’air, en fait un hénaurme pet n’est jamais sorti de vos entrailles, votre cerveau ressemble à un fromage de l’Emmenthal, ou mieux à ce fromage niederlandais aux gros trous.
Vous savez à quoi vous me faites penser ? Il y a sur la route entre Las Vegas et L.A., un barrage avec arrêt « toilettes ». Ce sont des petites cabines genre « Toi, Toi ». À l’intérieur pas de siège, des toilettes à la turque en plus minimalistes. En fait, un trou dans le plancher de bois. Au travers de ce trou, on découvre en dessous du plancher, une montagne d’excrément, au moins 2 à 3 mètres de votre matière mentale. Je dois dire, cela coupe même l’envie de faire « la petite commission ». Voilà D. alias JC et les autres pseudos, à quoi je pense quand je pense à vous. Aux cabines WC près du barrage, lequel porte le nom d’un célèbre Politique Américain.
Je vois venir, têtedenœud, vous allez crier au bichon et aux chaussures à glands. Le seul gland, D., c’est vous, quant à JC, c’est plutôt votre œil de Cain, jamais lavé depuis votre puberté. Pour ce qui est de chien, vous et JC, vous êtes un pit-bull siamois, vous avez en commun une seule tête et entre les cuisses, un scooter virtuel.

Annette Gadriella dit: à

Personnalité clonée à la chaine, vive Taylor !

têtedenœud dit: à

Bichon ! Chaussures à glands !
Ah, vous me connaissez bien, Thierry.

Pulcinella dit: à

Annette Gadriella dit: 12 septembre 2013 à 11 h 10 min
D. alias JC et les autres pseudos

il est fort, il est très fort, ce TKT.

Pulcinella dit: à

Barozzi, je te félicite, tu t’es trouvé un copain vachement futé. Un as.

u. dit: à

« D., JC est la face chocolat de votre personnalité cloné »

Cette première phrase est très bien
(même si on peut encore l’améliorer: personnalité clownée, personnalité Clooney, etc.)

Il est dommage qu’elle ne s’arrête pas là.

loustic dit: à

(Pulcinella serait u. que cela ne m’étonnerait pas)

loustic dit: à

(u., attention, vous allez bientôt être traité de connentateur d.bile, attention à vous)

Madame Verdurien dit: à

à propos de livres et de prix, Popol sur le blog qu’il partage avec Christiane, revient sur la critique « d’avant », celle dont il faisait partie et dont il se sent exclu, le pôvre… ah s’il faisait partie des bienheureux de maintenant, cela changerait tout, certainement ; on ne peut écrire cela chez lui parce que hop parti dans les cintres

Annette Gadriella dit: à

Clooney, et D. ? Non, franchement, D. c’est plutôt Boris Karlov dans son fameux rôle du film Frankenstein. Sauf que D. n’est pas baraqué et ressemble bien à un comptable subalterne comme dans une pièce de Feydeau. Il aurait aussi fait bon emploi, en pion de pension catholique de province en France profonde.

D. dit: à

Cher Thierry, comment vas-tu ? Je ressemble un peu à Boris Karlov, en effet. Et je connais très bien le Hoover Dam mais je n’ai pas eu l’occasion de fréquenter les toilettes dont tu parles. Qu’allais-tu y faire ?

Saint-Claude dit: à

…. des pipes….?

christiane dit: à

Merci, cher Renato. Oui, c’est la deuxième. Quel tragique…

christiane dit: à

@Leibnitz pcc dit: 12 septembre 2013 à 10 h 50 min
C’est vraiment méchant votre réaction et erroné.

Ontotologie dit: à

Merci chère Christiane. La deuxième n’a rien de tragique, elle est juste dramatique

d'où viens-tu...? gîtant dit: à

« en pion de pension catholique de province en France profonde. »

Si la province n’est pas la France profonde, le profond où se cache t-il?

sainte Rita dit: à

C’est vraiment méchant votre réaction et erroné.

Méchant peut-être, mais juste!

renato dit: à

Merci Christiane, mais on ne va quand même pas nier aux mérinos le droit de se soulager…

christiane dit: à

@ u
Michon ? Vies minuscules ?
Est-ce quand le docteur C. cite « les premiers vers du poème d’Hölderlin où il est question du bleu adorable d’un clocher, et du cri bleu des hirondelles. » (Vie de Georges bandy – texte dédié à Louis-René des Forêts).En ces pages où il avoue : « comment écrire du reste, quand je ne savais plus lire… ».
ou au chapitre dédié au père Foucault ?
Ou encore, mon préféré : « La vie d’Antoine Peluchet ». Là où on peut lire « de petites choses dont ma joie se souvient ». Là où l’on rencontre des « genêts à hauteur d’homme », « l’ombre crossée des fougères », « une combe de brouillard dans le souffle noir des sapinières » et « un rossignol qui s’évade du sureau » ?
Et dans ces dernières lignes du livre, cette confidence :
« A leur recherche pourtant, dans leur conversation qui n’est pas du silence, j’ai eu de la joie, et peut-être fut-ce aussi la leur, j’ai failli naître souvent de leur renaissance avortée, et toujours avec eux mourir ; j’aurais voulu écrire du haut de ce vertigineux moment… »

christiane dit: à

@Ontotologie dit: 12 septembre 2013 à 11 h 59 min
Expliquez. Çà m’intéresse…

Jacques Barozzi dit: à

L’art est aisé, la critique difficile, u.

ça commence par une enveloppante caresse : « Les romans portés par une écriture sont si rares qu’on les croirait tenus par rien d’autre. On ne voit alors que cela, cette grâce invisible appelée à être un jour concassée, décortiquée, théorisée. En attendant ce sacre universitaire et colloquant, le lecteur a le privilège de savourer le texte dans son jus, son liquide amniotique, à peu près vierge d’analyse et de commentaire. »

Avec, au passage, une petite baffe à l’une : « Enchantée de merveilleux médiéval, sa langue est belle même si elle se grise parfois un peu trop d’elle-même. »

Puis à l’autre :  » une certaine afféterie, une légère préciosité dans la recherche du mot original. »

Et ça s’achève par un tonitruant solo de trompettes : « Par leur réussite, ces deux romans témoignent qu’il ne suffit pas d’être porté par une écriture exigeante et des personnages forts, incarnés. Pour qu’une sensation du monde passe jusqu’au lecteur, il y faut également ce qu’on n’ose plus appeler un supplément d’âme qui fait toute la différence. »

sage comme une image dit: à

Le « supplément d’âme », c’est comme prier sainte Rita, Baroz?

Animus, anima dit: à

Cela veut dire que Passouline n’a aimé aucun des deux romans !

Diagonal dit: à

Au rythme des divers billets consacrés aux romans gonncourables que Passoul doit se coltiner en tant que juré, nous saurons bientôt de quelle influence il pèse au sein du jury. Quand le verdict sera rendu chez Drouant, il nous faudra relire ses commentaires sur chacun des compétiteurs et sonder conséquemment le poids et l’influence de ses divers arguments.
On prend déjà le pari que Germain et Bosc n’arriveront pas en bout de course.
Du reste, on s’en b… complètement, mais enfin, il ne faudrait quand même pas oublier que Passoul doit se dévoiler en grand lecteur consciencieux comme futur président du jury avant de prétendre pouvoir rejoindre l’A.F. comme utile critique littéraire plutôt que grand écrivain.

u. dit: à

« un tonitruant solo de trompettes »

Un solo de plusieurs trompettes, Jacques?

Pierre A. serait-il déjà marabouté par le collectif du jury?

u. dit: à

« On prend déjà le pari que Germain et Bosc n’arriveront pas en bout de course. » (diagonal)

Allez, poursuivons: à mon avis, Moix et Sureau non plus.

Puisqu’on y est.
Le Nobel suivra-t-il les pronostics, Murakami comme on le proclame?

Ou décidera-t-il, in extremis, de couronner Roth?
Je parie sur ce dernier.

u. dit: à

« Le supplément d’âme »

S’est-on moqué de cette formule de Bergson dans Les deux sources!
Non sans raison quand elle servait dans la pensée française à avaliser n’importe quelle camelote vaguement spiritualiste.

Par nostalgie, je cite le paragraphe:

« Or, dans ce corps démesurément grossi (= grâce à la technique), l’âme reste ce qu’elle était, trop petite maintenant pour le remplir, trop faible pour le diriger. D’où le vide entre lui et elle. D’où les redoutables problèmes sociaux, politiques, internationaux, qui sont autant de définitions de ce vide et qui, pour le combler, provoquent aujourd’hui tant d’efforts désordonnés et inefficaces : il y faudrait de nouvelles réserves d’énergie potentielle, cette fois morale. Ne nous bornons donc pas à dire, comme nous le faisions plus haut, que la mystique appelle la mécanique. Ajoutons que le corps agrandi attend un supplément d’âme, et que la mécanique exigerait une mystique. Les origines de cette mécanique sont peut-être plus mystiques qu’on ne le croirait ; elle ne retrouvera sa direction vraie, elle ne rendra des services proportionnés à sa puissance, que si l’humanité qu’elle a courbée encore davantage vers la terre arrive par elle à se redresser, et à regarder le ciel. »

christiane dit: à

@Polémikoeur. dit: 12 septembre 2013 à 9 h 29 min
Je pencherai pour le musée du Moyen-âge, Cluny. (salle des reliquaires) et non pour la BNF…

christiane dit: à

Le philosophe et chercheur Albert Jacquard est mort

u. dit: à

Jacquard, un homme généreux et sympathique.

— Mais je m’imposerais un délai de décence si je devais parler du contenu de ses prêches…

q. dit: à

un délai de décence si je devais parler du contenu de ses prêches…

Peur de JC, petit u. ?
Bàt,
petit q.

Diagonal dit: à

@ 8.42 « il y a quelque chose et (pi) c’est tout ».

Ca resterait évidemment à démontrer !…
La blogosphère ahurie attend donc la démo au virage, sans impatience ni stupeur ni tremblement, quasi convaincue qu’elle ne viendra jamais !
Et pour cause…, l’auteur de cette navrante réplique n’existe pas vraiment, pas plus que chacun des leurres en intervenautes stipendiés de la RDL.

renato dit: à

« … pas plus que chacun des leurres en intervenautes stipendiés de la RDL »

Stipendiés ?! Passou, pourquoi je ne reçois pas de chèques ?

Cela dit, il n’y a pas de démo à attendre, au moins que l’opinion ne soit redevenue un délit avec procès et toutes ces plaisanteries dignes de gars qui diagonalisent faute de mieux.

Urucu dit: à

cher P.Assouline,
non, je ne prends par pour Michon;juste une suite des souvenirs de ma rencontre av m

DHH dit: à

ces mots qui ont l’air de se rencontrer pour ma premiere fois dont parle Pierre Assouline,n’est-ce pas la definition que mallarmé donnait aussi de la poesie ?

q. dit: à

Urucu dit: 12 septembre 2013 à 15 h 14 min
souvenirs de ma rencontre av m

Mais encore ? Vous nous laissez sur notre faim, grand U.

Urucu dit: à

excusez>ma rencontre avec mon artiste préfeiée ,que j’ai connu dans une galeirei où i exposait des espècse de petits scoubidous qui étaient enfait des

DHH dit: à

le suppl

Urucu dit: à

P.Assouline,
votre blog a des ratés ,je n ‘arrive pas à p

DHH dit: à

ément d

renato dit: à

Voyons ça :

Circa hos dies Lollianus primae lanuginis adulescens, Lampadi filius ex praefecto, exploratius causam Maximino spectante, convictus codicem noxiarum artium nondum per aetatem firmato consilio descripsisse, exulque mittendus, ut sperabatur, patris inpulsu provocavit ad principem, et iussus ad eius comitatum duci, de fumo, ut aiunt, in flammam traditus Phalangio Baeticae consulari cecidit funesti carnificis manu.

Exsistit autem hoc loco quaedam quaestio subdifficilis, num quando amici novi, digni amicitia, veteribus sint anteponendi, ut equis vetulis teneros anteponere solemus. Indigna homine dubitatio! Non enim debent esse amicitiarum sicut aliarum rerum satietates; veterrima quaeque, ut ea vina, quae vetustatem ferunt, esse debet suavissima; verumque illud est, quod dicitur, multos modios salis simul edendos esse, ut amicitiae munus expletum sit.

Qui cum venisset ob haec festinatis itineribus Antiochiam, praestrictis palatii ianuis, contempto Caesare, quem videri decuerat, ad praetorium cum pompa sollemni perrexit morbosque diu causatus nec regiam introiit nec processit in publicum, sed abditus multa in eius moliebatur exitium addens quaedam relationibus supervacua, quas subinde dimittebat ad principem.

Urucu dit: à

de ma rencontre avec ma professeur berrichonne .
des noms de lieux comme Malicornay (où il y avait la couturière)Neuvy-Saint-Sépulchre, et surtout Maillet, avec un unique résistant Auguste Chantraine (1896-1945)
pour moi, le nom d’un helléniste, mais pour ma dame,qui l’a lu sur mon ordinateur , en disant »Ô mon père a dû le connaître »
son père à l’EDF et dans la résistance: elle se souvenait bien, et aussi des petits juifs placés dans des familles , et comme ils cueillaient les aubépines ,et allaient les vendre ensemble .tous ses souvenirs de -on Maillet, de l’école ,(on devrait-je -on=>je +archivistes- je lui ai donné une bonne adresse où les rencontrer -)comme les souvenirs des américains après guerre, qui avaient tant choqué par leurs manières la population villageoise locale .
elle a été écouté Bulawko-aujourd’hui mort- quand elle quitta le Berry et retrouva des amies .
(Elle et moi, Nous devons nous revoir !)

Borderline dit: à

Madame Verdurien se moque de Paul Edel qu’elle appelle Popol ; elle n’a pas entièrement tort tant le personnage se montre aigri, hautain et donneur de leçons ; quant à christiane, la « chic fille » de renato, elle s’épanche en admirations devant l’hôte ou sort ses griffes quand on le titille

en direct du Berry dit: à

Malicornay, c’est plein de brandouilleurs, dirait u.

Urucu dit: à

u peut fumer ses cigarettes caster -symphonic chez bobinartorium

Urucu dit: à

la soeur de ma professeur berrichonne-qui m’a d’ailleurs dit son patronyme – a été professeur d’art plastiqus

Urucu dit: à

arts plastiques

Anatole Pulcidella dit: à

D., vous voulez nous faire croire, que vous connaissez Hoover Dam ?Vous y êtes allé en voyage organisé pour classe populaire avec le secours catholique, de Melun ? Vous avez baissé les yeux pendant toute la visite et vous avez été repêcher au fond des toilettes ?

just passing dit: à

Urucu dit: 12 septembre 2013 à 15 h 38 min
u peut fumer ses cigarettes caster -symphonic chez bobinartorium

u. ne fume que des Lucky Strike et ne va jamais chez bobinartorium.

christiane dit: à

u.
loin des micros il était vraiment profond et discret. Un qu’on ne remarquait pas et pourtant quand il entrait dans le dialogue tout était sans équivoque.L’homme du quotidien, banal, discret, fragile, interrogatif était d’une force incroyable.
Les « prêches »… Ils en ont tous goûter ! à fuir…
C’est comme ici, il faut trier les intervenants et ignorer certaines remarques. (Les pseudos, même différents font parfois entendre la même voix, reconnaissable à son étroitesse, sa jalousie, sa bêtise crasse…)

StéphaneT dit: à

« Jamais la conteuse en elle n’a paru aussi éthérée et intemporelle. » : cette poésie toute en « froissements de tissus » et en « voix » relève d’une préciosité un peu fumeuse, je trouve… La position de P. Assouline me semble d’ailleurs ambigüe, comme d’habitude : en faisant l’éloge d’un livre, il suggère les arguments d’une critique possible… Ai-je l’esprit mal tourné?

Phil dit: à

Il y avait un Bosc qui officiait dans le cinéma français avec des scenarii légèrement anticléricaux, on dirait aujourd’hui d’esprit libre, franc-maçon quoi. Le monde est petit, dixit james bond.

Urucu dit: à

« Le premier, peut-être, Courbet a peint la jouissance de la femme » écrit Bosc. Vraiment ? Et de citer »
assurément cette assertion de « premier » est toujours doublement suspecte lorsqu’elle n’est pas « tempérée »

Sergio dit: à

La bêtise Cras ça désoriente…

Sergio dit: à

Boh le grand U. maintenant qu’y a des jupettes partout…

Nom d'une pipe! dit: à

Une récente étude, menée par des chercheurs d’universités au Royaume-Uni et à Johannesburg et relayée dans la revue internationale de neurosciences « Cortex », sur 800 volontaires, dresse en effet la liste des parties du corps que préfèrent les hommes, et qu’ils trouvent sexy.
……………
En tête, la bouche et les lèvres, qui obtiennent une note de 7,9/10. Vient ensuite la nuque, avec une note de 7,5/10. Suivent les mamelons et les seins, avec une note 7,3/10. Puis les fesses, notées 4,5/10. Et enfin, les hanches (3,5/10).
Les hommes trouveraient donc notre visage et notre cou bien plus érotiques que notre postérieur et notre poitrine.

Cachez ce sein, mignonne dit: à

N’osant peindre le cou, Courbet a peint le con.

Dr en statistrique dit: à

Comment çà 80 volontaires ? Ils se sont pas contentés de leur demande fleur opinion ?

U. dit: à

@17.08 : Vous voulez sans doute parler de cette fameuse étude de Cortex sur un panel de 800 hommes orientés hommes, non ?

Correcteur dit: à

Demander leur

Bost dit: à

Erreur sur la personne. (« Bosc qui officiait dans le cinéma français avec des scenarii »)

Fleur opinion dit: à

Très poétique.

Clavier virtuel d'iPad dit: à

Oui je sais, on est comme ça, nous.

Sergio dit: à

Ha ben oui par exemple dans Sygne de Coûfontaine le mieux c’est le cou pas le coû çapeut pas se discuter aucunement…

Urucu dit: à

pour l’ « abstraction lyrique » , retour à la case peinture

Sergio dit: à

Ha Burgonde ça c’était bien… Comme Elstir, quoi…

Ucuru dit: à

N e m’appelez plus Urucu .

Ucucu dit: à

Ne me confondez pas avec Ucucu, s’il vous plaît.

Ucucu dit: à

Merci.

Ururu dit: à

C’est un nouveau jeu ?

Urubu dit: à

vous pouvez m’appeler condor

Ududu dit: à

@ Urucu, Ucucu, Ururu,

Je trouve vos pseudos ridicules.

Uducu dit: à

Vous ici, Urucu, qu’il l’eût cru ?

L'amer coupable dit: à

> Sygne de Coûfontaine

Je n’avais aucune idée de cette trilogie de Claudel dont des pièces semblent pourtant s’être joués encore récemment.

Ucupu dit: à

Si les guêpes ne piquaient pas, on les laisserait tranquilles.

Ubucu dit: à

Si je n’avais pas conscience que ce blog est très sérieux, je serais capable d’écrire des conneries.

Ufulu dit: à

ta gueule keupu

renato dit: à

Les guêpes ne piquent que si on les importune.

Ufulu dit: à

..ta gueule l’italote..

Ulucu dit: à

Les gays pneus piquent queue si on les importune ?

S'espacent dit: à

C’est encore vos histoires de scooters ?

Urucu dit: à

Une nouvelle critique littéraire, plus audacieuse car plus indépendante que l’autre, émerge-t-elle de la Toile ?
la toile a peut-être contribué à accélérer l’épuisement des lecteurs des critiques et de auteurs épuisé les uns par les autres .
c’est peut-être la reconnaissance d’une dépression-comme on dit vite , très vite qui peut-être salutaire aux uns comme aux autres
De là à prophétiser ,il y beaucoup plus loin que loin

Sabine dit: à

Oui c’est Sabine. En fait je voulais signer Wespa mais le clavier est vraiment une cata.

renato dit: à

Et si le scooter n’était qu’un vélo triporteur ?

Sabine dit: à

Parce que Wespa avec guêpe ça fait scooter mais s’espacent, là, ça voulait rien dire. enfin, je crois.

Sergio dit: à

Qu’est-ce qu’ils matent, les mouflets ? On dirait un caisson d’or du grand Reich abandonné par « der Dicke » dans une cave de Carinhall…

Ucuru dit: à

la toile est aussi le lieu où les hurlubrelus peuvent s ‘exprimer entoute impunité ,à commencer par les wannabe lacaniens qui polluent l
‘atmosphère .Je ne me considère pas comme un grand critique , mais j’imagine que la littérature mérite mieux
que les e-gonozombies plumitifs de paco -tille à la Paco Till .

Sabine dit: à

À Ben dans ce cas ça m’arranger ait parce que le mec à scooter que je connais il me lâcherait un peu plus.

Ururu dit: à

« On dirait un caisson d’or du grand Reich abandonné par « der Dicke » dans une cave de Carinhall… »

C’est très exactement cela.

renato dit: à

« De là à prophétiser ,il y beaucoup plus loin que loin »

Plus près, j’en connais qui se contentent d’un beau plateau de fruits de mer.

Urucu dit: à

citation de P.Handke
« Et pendant tout le vol j’étais gonflé d’orgueil à l’idée qu’elle avait commis un suicide »

remarque critique sur écrire :
« Ecrire n’était pas comme je le croyais bien au début, me souvenir d’une période close de ma vie, ce n’était constamment que prendre cette attitude dans des phrases dont la distance n’était qu’arbitraire »
remarque qui vaut pour cette dernière phrase , mais devrait valoir aussi bien pour les billets d’auteur , et même leurs billets comme critique .

renato dit: à

« … les wannabe lacaniens… »

on dit « les wannabe laraniens »

Sabine dit: à

citation de P.Handke
« Et pendant tout le vol j’étais gonflé d’orgueil à l’idée qu’elle avait commis un suicide

Vous aussi vous avez des problèmes de clavier ?

Urucu dit: à

qui peut être

Sabine dit: à

Parce que moi il faut vraiment que je configure mon écran tactile, en ce moment j’ai trop de coquilles.

u. dit: à

Mon commentaire est en attente de modération.

Urucu dit: à

déjà avais-je l’intention de rappeler de pages fécondes de H.Atlan sur la temporalité dans « Les étincelles de hasard » , un livre qui pourrait intéresser Chaloux

Caramba encore raté ! dit: à

 » Là où les pavés cessent, il se retourna, faisant se tordre l’écharpe bleue de sa pipe. »
« faisant se tordre » ça sent l’explication de texte. Ah oui mais c’est un roman « écrit » et c’est la Rentrée des classes, faut que ça se sache. Quel dommage que « tordant l’écharpe bleue »..

u. dit: à

Et pourquoi?

A cause de bouguereau.

Je le prouve:

« Quand je pense à Courbet, je me dis: ah, bouguereau, bouguereau, qu’as-tu fait?

J’en appelle à Zola:

« Au Champ-de-Mars il n’y a qu’une toile de Courbet : La Vague, et même ce tableau n’y figure que parce qu’il appartient au musée du Luxembourg, et dès lors l’Administration des beaux-arts a bien été obligée de l’accepter. Et c’est cette toile unique que nous montrons à l’Europe, alors que Gérome dans la salle voisine ne compte pas moins de dix tableaux et que Bouguereau va même jusqu’à douze. Voilà qui est honteux. Il aurait fallu assigner à Courbet à l’Exposition universelle de 1878 toute une salle, comme on l’a fait pour Delacroix et Ingres à l’Exposition de 1855. »

Jusqu’à douze, bouguereau. Tu n’as pas honte?

Le vieux Zola ajoute:

« Mais on sait bien de quoi il retourne, Courbet avait participé à la Commune de 1871. Les sept dernières années de sa vie ont été de ce fait un long martyre. On commença par le jeter en prison. Ensuite, à sa sortie de prison, il faillit mourir d’une maladie qu’avait aggravée le manque d’exercice. Après, accusé d’avoir été complice du renversement de la colonne Vendôme, il fut condamné à payer les frais de la reconstruction de ce monument. On lui réclamait quelque chose dans la région de trois cents et quelques mille francs.
Les huissiers furent lancés à ses trousses et on opéra la saisie de ses tableaux, il fut obligé de vivre en proscrit et mourut à l’étranger l’an dernier, exilé de la France dont il aura été l’une des gloires. Imaginez un gouvernement qui fasse saisir les toiles de cet artiste pour solder les comptes de la restauration de la colonne Vendôme ! Je comprendrais mieux s’il les avait fait saisir pour les exposer au Champ-de-Mars. Cela aurait été plus à l’honneur de la France. »

Et toc.

Urucu dit: à

u fait , pour les records, j’ai appris du livre d’Atlan que « Marilyn vos Savant [mæɹɪlɪn vɔs səvɒ] (née Marilyn Mach, à Saint Louis, Missouri, États-Unis le 11 août 1946) est une auteure américaine connue pour posséder l’un des quotients intellectuels les plus élevés attestés au monde.
il évoque une affaire « ask marilyn » qui n’est pas à l’honneur des universitaires et des savants

d'U à u dit: à

Urucu dit: 12 septembre 2013 à 19 h 10 min
u fait

comme un rat ?

Urucu dit: à

19 h 15 min croit que mon u ,c’est du poulet .

Sergio dit: à

renato dit: 12 septembre 2013 à 18 h 34 min
Plus près, j’en connais qui se contentent d’un beau plateau de fruits de mer.

La légende veut que le prince de Ligne (celui de Louis XIV) se soit englouti une vingtaine de douzaines d’huitres à chaque petit déj. Ca c’est de la madeleine ! Comme en plus ça favorise la mémoire…

Urucu dit: à

et comme j’ai le livre sous les yeux la note 12 précise
Naions’s Guilty of innumeracy Skeptical inquirer été 1991 p 342-345

Sergio dit: à

huÎtres, Trommelfeuer !

Faut qu’on puisse s’éditer, corboeuf…

Urucu dit: à

ça vousla coupe , mes petits chéris .

Urucu dit: à

Nations’s Guilty
si j’en crois la page internet elle a passé le
MEGA test et a obtenu 46 bonnes réponses sur 48

Urucu dit: à

qui dit mieux?

Urucu 48 dit: à

Winnicott?

D. le vrai dit: à

JC, votre intervention de 7h 07 est très réussie à tous points de vue.
Premièrement elle est postée à 7h 07. Deux fois le chiffre de la perfection.
Deuxièmement c’est bien écrit.
Troisièmement ça a du sens.
Quatrièmement vous n’avez pas cherché à faire rire à tous prix.
Donc je vous félicite.

D. le vrai dit: à

Par contre je me demande ce que vous faites debout à 7h 07. En ce qui me concerne je dors et je pense avoir raison.

Urucu 48 dit: à

pour le renouveau de la psychanalyse , celui que l’on évoque est Adam Pillips (Montaigne for our times ) déjà évoqué sur la RdL

Daaphnée dit: à

Mon commentaire est en attente de modération.

Enfin ! Mais comMENT EST-Ce posSIBLE, U. ???
Un garçon bien-sous-tous-rapports et tellement mesuré .
Pfff !!!

u. dit: à

Vous allez comprendre, Daaphnée, c’est à cause de bouguereau.

Anatole dit: à

La jouissance de la femme dépend de celle de l’homme.
Baiser c’est se satisfaire tout en satisfaisant son/sa partenaire, sinon, c’est pas de la baise ni même de l’amour, c’est juste de la simulation.
Baiser c’est stimuler.
Simuler c’est pas baiser.
Vous pigez les vieux ?

Urucu 48 dit: à

D , votre bien aimé de Suisse se prend pour Marilyn vos Savant , et c’est la raison pour laquelle vous vous attachez à lui
Bonsoir

Anatole dit: à

@D

Alors comme ça, Dédé, tu n’aimes pas les oeufs brouillés…
Catho comme tu es, seuls les oeufs de Pâques bariolés et colorés ont tes faveurs, n’est-ce pas ?
Peindre des oeufs parce qu’on croit !!!
Quelle blague !

C'est toujours beau l'arrivée d'un petit nouveau dans le club dit: à

Anatole dit: 12 septembre 2013 à 21 h 24 min
La jouissance de la femme dépend de celle de l’homme.

Tu ne serais pas encore plus con que TKT et Barozzi réunis mon Totole.
Un bien beau spécimen.

Anatole dit: à

C’est quand même curieux que les visiteurs, occasionnels ou habituels, de la Rdl sont tous des vieux.
Leurs commentaires puent le troisième âge à des kilomètres à la ronde !
Ce blog est un hospice de vieux, aliénés.

C'est toujours beau la confirmation d'un petit nouveau dans le club dit: à

Anatole dit: 12 septembre 2013 à 21 h 32 min

Confirmé, il est vraiment con.

Miroir, mon beau miroir dit: à

Anatole dit: 12 septembre 2013 à 21 h 46 min

Anatole dit: à

C’est toujours beau l’arrivée d’un petit nouveau dans le club dit: 12 septembre 2013 à 21 h 45 min

Tu as raison, mon chouchou, de beaux spécimens de cons comme moi, y en a pas tant que ça.
Que la connerie soit avec toi !

Anatole dit: à

Eh les vieux cons,
Y a pas de mal à être vieux, vous savez.
C’est un bel âge, un très bel âge même : Arthrites, rhumatismes, amnésie, maladies cardio-vasculaires, AVC, infractus, dépressions nerveuses, troubles et absence d’érection, impuissance sexuelle…etc,.
Ajoutez à cela l’aigreur morale, la lassitude funeste, l’ennui mortel et le sentiment de ne pas servir à grand-chose pour ne pas dire ne pas servir tout court et vous aurez un beau tableau.
Sans oublier la Mort… La Mort qui plane sur vos têtes de cons !
Je vous le dis, moi, jeune, con, vivant, vibrant et impertinent : la vieillesse c’est beau, c’est très très beau !

OZYANATOLE.

John Brown dit: à

ce qu’on n’ose plus appeler un supplément d’âme

Effectivement, on ne l’ose plus l’appeler. Alors, pourquoi l’appeler ?

Anatole dit: à

J’en ai vraiment marre de ce blog de vieux cons !
Voici mon dernier et ultime commentaire :

A jamais si ALBERT JACQUARD le veut bien.

John Brown dit: à

C’est quand même curieux que les visiteurs, occasionnels ou habituels, de la Rdl sont tous des vieux.
Leurs commentaires puent le troisième âge à des kilomètres à la ronde !
Ce blog est un hospice de vieux, aliénés. (Anatole)

Mais pas du tout. Perso, je viens de fêter mes seize printemps.

John Brown dit: à

J’en ai vraiment marre de ce blog de vieux cons !
Voici mon dernier et ultime commentaire ( Anatole)

Ouf ! On en avait plus que marre, de l’Anatole. Bon vent, infecte bourrique. Tu puais vraiment trop.

des journées entières dans les arbres dit: à

Urucu dit: 12 septembre 2013 à 18 h 27 min

Cette histoire de dépression me fait penser à une petite conversation du jour.
Elle avait pour thème: pV=nRT
Thème très pascalien s’il en est : la pression.
En corollaire le dépression est tout sauf une basse pression telle qu’on peut ressentir, dans des circonstances bien particulières.
Vous ne me suivez pas tous ?
C’est pas bien grave.

Diagonal dit: 12 septembre 2013 à 14 h 25 min
Bien ententendu qu’il ne faut pas attendre quoi que ce soit.
L’immanence, c’est un truc, ça, vos pouvez pas lutter.
C’est comme de dire qu’avant la matière, y’avait finalement que de l’énergie. Et venue d’où ?
Qui croyez-vous convertir ( à l’hérésie) ?
Courageux, vous êtes.

Bon S. Germain j’ai déjà donné. Et je regrette. Bien sûr; si j’avais su, à l’époque que « sa langue est belle même si elle se grise parfois un peu trop d’elle-même. » avant de la lire, son histoire d’ours en peluche magnus, j’aurais pas perdu du temps. J’aurais avancé plus vite, pour m’en affranchir quoi. Du cloaque un peu verbeux qui est le sien.
Tu parles d’une sensation !

John Brown dit: à

intranquille permanente

La barbe avec intranquille. Intranquille n’est pas dans le dico. Intranquille par ci intranquille par là. Depuis le temps qu’Assouline nous abreuve de son intranquille, peut-être qu’il pourrait se fendre d’une définition et la proposer au TLF.

John Brown dit: à

Les romans portés par une écriture sont si rares

Sans blague. Et par quoi d’autre qu’ils pourraient être portés? Par la page blanche ?

John Brown dit: à

cette grâce invisible appelée à être un jour concassée, décortiquée, théorisée.

Baratin à la con. On tire à la ligne. Une ligne de tirée.

John Brown dit: à

sacre universitaire et colloquant

Colloquant ? Barbarisme.

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