Sylvie Germain et David Bosc, une sensation du monde
Les romans portés par une écriture sont si rares qu’on les croirait tenus par rien d’autre. On ne voit alors que cela, cette grâce invisible appelée à être un jour concassée, décortiquée, théorisée. En attendant ce sacre universitaire et colloquant, le lecteur a le privilège de savourer le texte dans son jus, son liquide amniotique, à peu près vierge d’analyse et de commentaire. Alors emparez-vous des romans de Sylvie Germain et de David Bosc avant que des savants les accaparent- c’est tout le mal qu’on leur souhaite. Ils ne sont pas poètes mais portent un regard poétique sur le monde. Ce qu’ils ont en commun ? Une certaine beauté qui une musicalité comme un parfum entêtant du début à la fin. Mais aussi une dette souterraine aux auteurs admirés qui les ont faits. Pour l’une Levinas, Michon, Bauchau, Quignard. Pour l’autre, Michon, sentiment renforcé par la parution sous la même couverture jaune citron de Verdier.… Voyons voir.
Dans Petites scènes capitales (256 pages, 19 euros, Albin Michel), tressé de quarante-neuf tableaux reconstituant l’histoire d’une famille, Sylvie Germain invite à considérer le temps comme un labyrinthe. On s’y perd pour mieux se retrouver à l’instant précis de franchir une ligne invisible et de mettre un pied de l’autre côté. Voici le monde de Barbara dite Lily, petite fille ordinaire, intranquille permanente ni belle ni laide, à l’identité chahutée par les accidents de la vie et les aléas d’une famille recomposée, en aval et en amont de 1968. Des personnages s’ébrouent autour d’elle, le temps s’écoule reflétant histoires de famille et secret des origines, tandis que la mort accidentelle par sa faute d’une de ses demi-sœurs, une jumelle de surcroît, précipite l’effondrement de la cellule familiale. La langue est magnifique, l’écriture, ciselée. L’auteur a choisi le procédé des vignettes pour raconter son histoire, un destin poignant sinon tragique. Un parti pris original qui séduit de prime abord, même si le fragment est un genre éprouvé. Des images, des détails, des impressions. Toutes choses qui peuvent laisser une impression générale d’abstraction lyrique, de désincarnation, d’allégorie permanente. Pourtant, Sylvie Germain défend l’art du roman ; les personnages demeurent sa vraie passion. Enchantée de merveilleux médiéval, sa langue est belle même si elle se grise parfois un peu trop d’elle-même.
Le sujet est secondaire. Seul le détail compte où l’intérêt peut se condenser. Progressant parfois en bande organisée, sinon en meute, les détails font les petits importants. L’auteur avance par petites touches et digressions. Un œil sur son chaudron de mots, elle y espère le surgissement de l’inattendu, de l’imprévu, des bouffées de ce je-ne-sais-quoi qu’on nomme à tort et par défaut l’inspiration. Une note de violoncelle, la « voix des oiseaux », un froissement de tissu, suffisent à donner une touche cristalline à une situation banale. Elle se dit fascinée par le « pourtant », le « cependant », le « nonobstant » qui sont autant de variations du « malgré tout » de l’Ancien Testament où des hommes se font prophètes malgré tout, malgré l’indifférence, la cécité, la surdité des pêcheurs. On y retrouve aussi la sublimation du petit pauvre, de l’humilié, de l’avili, et sa conception du sacré en mode mineur, deux piliers de son œuvre telle que les a pointés Aude Bonord au cours des Septièmes Rencontres de Chaminadour à Guéret consacrées l’an dernier à Sylvie Germain, et reprises dans Carnets de Chaminadour (262 pages, 20 euros, Association des amis de Marcel Jouhandeau). Jamais la conteuse en elle n’a paru aussi éthérée et intemporelle. Qu’importe au fond tant que l’ivresse poétique ne nuit pas à la fluidité du récit d’une rédemption l’autre. Petites scènes capitales laisse une signature de lumière. Son idéal de légèreté et son rêve de sagesse.
David Bosc est, lui aussi, l’auteur d’un des romans les mieux écrits de la rentrée. Une langue pleine de finesse, sensuelle, minutieuse, précise anime de bout en bout La claire fontaine (14 euros, 115 pages, Verdier). L’incipit donne le ton :
« De corps fatigué, avec sur ses cheveux comme une pelletée de cendre, cinquante-quatre ans, les épaules chargées d’un sac, Courbet enquilla la rue de la Froidière, la barbe ouverte d’un sourire de bel entrain. Là où les pavés cessent, il se retourna, faisant se tordre l’écharpe bleue de sa pipe. »
On a parfois l’impression rare qu’un mot y rencontre un autre pour la première fois. C’est la grande qualité du texte avec sa justesse dans l’harmonie. Car l’histoire est connue : Courbet le communard, peintre français en exil à La Tour-de-Peilz, sur le bord du Léman, sauf qu’elle est racontée par un écrivain français en exil à Lausanne. Ses travaux et ses jours, sa maladie, son chemin vers la mort durant ses quatre dernières années. Courbet est bien là, jouisseur sans nostalgie, l’homme tout entier alors que c’est celui de la fin. Les digressions, suprême liberté du romancier d’une histoire dans l’Histoire, le permettent à l’envi. « Le premier, peut-être, Courbet a peint la jouissance de la femme » écrit Bosc. Vraiment ? Et de citer La femme dans les vagues et une étude pour La femme au perroquet. Heureusement qu’il y a « peut-être ». Un moment de sa vie pour dire sa vie : c’est le secret des biopics réussis. Ca part d’un passage dans une simple notice du dictionnaire : « Condamné à reconstruire la colonne à ses frais, poursuivi par la haine officielle, Courbet doit se réfugier en Suisse, où il meurt en 1877 ». Les aides que Courbet avait engagés pour accélérer sa production de paysages s’appelaient Pata, Alexandre Rapin, Jean-Jean Cornu et Marcel Ordinaire : « Le dernier des vaudevillistes aurait eu scrupule à choisir de tels noms ». Seule réserve : une certaine affèterie, une légère préciosité dans la recherche du mot original. Aussi, lui si précis dans son vocabulaire, comment peut-il parler de « l’holocauste écoeurant dans lequel furent jeté la Commune et les communards ». Non que le massacre eut été niable mais le terme d’holocauste, c’est dire de sacrifice rituel, n’est pas plus pertinent pour eux qu’il ne le fut pour les Juifs pendant la seconde guerre mondiale. Un détail qui ne gâte pas pour autant ce récit où les détails sont à la fête. Là encore, l’ombre portée du grand Michon, celui des Vies minuscules, se fait sentir. L’effet Verdier comme il y a un effet Minuit. Ou comment une couverture peut faire école stricto sensu.
Par leur réussite, ces deux romans témoignent qu’il ne suffit pas d’être porté par une écriture exigeante et des personnages forts, incarnés. Pour qu’une sensation du monde passe jusqu’au lecteur, il y faut également ce qu’on n’ose plus appeler un supplément d’âme qui fait toute la différence.
(« Deux enfants », photo Henri Cartier-Bresson ; « Gustave Courbet » photographié par Nadar)
521 Réponses pour Sylvie Germain et David Bosc, une sensation du monde
Ils ne sont pas poètes mais portent un regard poétique sur le monde.
Donc ils sont poètes. Le regard poétique fait le poète.
tressé de quarante-neuf tableaux
Pourquoi « tressé » ? Quarante-neuf tableaux juxtaposés, ça ne tresse rien du tout.
On s’y perd pour mieux se retrouver
Lieu commun usé jusqu’à la corde.
La langue est magnifique, l’écriture, ciselée.
Bof. Du vent. Des preuves, on veut des preuves.
Je suis prise d’une soudaine méfiance quand je lis chez passou à propos de Sylvie Germain : « Jamais la conteuse en elle n’a paru aussi éthérée et intemporelle.
« je préfère le : »écrivez comme le code civil » de Stendhal, ou cet autre conseil d’Henry Belle
« j’écris à mesure que je pense et,comme ma pensée va plus vite que ma plume,il en résulte que je suis obligé de supprimer les transitions. »
Un parti pris original qui séduit de prime abord, même si le fragment est un genre éprouvé.
Comment dire une chose et son contraire. Si le fragment est un genre éprouvé, le parti-pris (avec un trait d’union) ne saurait être original)
Toutes choses qui peuvent laisser une impression générale d’abstraction lyrique, de désincarnation, d’allégorie permanente.
Pouèt pouèt
deux piliers de son œuvre telle que les a pointés Aude Bonord au cours des Septièmes Rencontres de Chaminadour à Guéret consacrées l’an dernier à Sylvie Germain, et reprises dans Carnets de Chaminadour (262 pages, 20 euros, Association des amis de Marcel Jouhandeau)
Bachar, file-moi un bidon de gaz sarin, s’il t’en reste, j’ai un paquet de nuisibles à liquider
Jamais la conteuse en elle n’a paru aussi éthérée et intemporelle
Pierrot, file-moi ta brosse à reluire, j’ai une urgence
Les digressions, suprême liberté du romancier
Pourquoi suprême ? Mystère et boule de gomme
« Le premier, peut-être, Courbet a peint la jouissance de la femme » écrit Bosc. Vraiment ?
Ah ! Enfin un éclair de lucidité. Il était temps, à dix lignes de la fin.
affèterie
afféterie. Pitié pour l’ortograf.
, comment peut-il parler de « l’holocauste écoeurant dans lequel furent jeté la Commune et les communards ». Non que le massacre eut été niable mais le terme d’holocauste, c’est dire de sacrifice rituel, n’est pas plus pertinent pour eux qu’il ne le fut pour les Juifs pendant la seconde guerre mondiale
Si Assouline cite exactement, « furent jeté » est une faute d’accord. En plus, on se demande comment qu’on aurait bien pu faire pour jeter la Commune et les communards dans un holocauste. L’auteur doit confondre l’holocauste avec un chaudron ou une poubelle. Y a pas à dire, sa langue est pleine de finesse, minutieuse, précise ! A dégager le Bosc. Va-t-en relire Michon.
l’ombre portée du grand Michon, celui des Vies minuscules, se fait sentir
C’est pas gentil pour Michon. Faudrait lui demander son avis. Quand le Bosc saura ce que c’est qu’un holocauste, on en reparlera.
JB,
« C’est une bien curieuse élection qui se tient depuis deux ans en Israël. Réunissant des survivantes des camps de concentration nazis, un jury choisit celle qui représentera l’Holocauste pendant un an.
Voici Shoshana Colmer, 93 ans. Un peu émue, elle arbore fièrement son écharpe de Miss et son diadème. Mais ce n’est pas un concours de beauté ou celui de la grand-mère de l’année qu’elle vient de remporter. Non, Shoshana vient d’être élue Miss Holocauste face à 13 autres prétendantes au titre. Ce concours un peu particulier qui s’est tenu à Haïfa jeudi dernier, en est à sa deuxième édition. »
http://www.aufeminin.com/news-societe/a-93-ans-elle-devient-miss-holocauste-s163599.html
Ou comment une couverture peut faire école stricto sensu.
Y a plus effectivement qu’à tirer la couverture. Et l’échelle, tant qu’on y est.
si Michon est grand, c’est un peu dire comme Vialatte
« et c’est ainsi qu’Allah est grand. »
Tout est affaire de croyance, JB.
Finalement, tu mets quelle note à la rédaction de Passou, JB ?
Shoshana vient d’être élue Miss Holocauste face à 13 autres prétendantes au titre. Ce concours un peu particulier qui s’est tenu à Haïfa jeudi dernier, en est à sa deuxième édition. (cité par Des Journées)
C’est pas vrai. Et Miss Zyklon B, jamais ? Laissons Shoshana, elle a des excuses. Mais les zigotos qui ont organisé cette mascarade, il s’est trouvé personne pour les dégager à la trique ? L’avachissement post-moderne gagne tous les jours un peu plus de terrain. Indignez-vous ! Qui est-ce qui disait ça,déjà ?
JB, des fois faut ouvrir les liens.
John Brown dit: 12 septembre 2013 à 22 h 26 min
La barbe avec intranquille.
Pas faux ; suivre ces modes ne peut faire que du tort, et souvent pour rien.
Ha mais par exemple le coup des écritures en écaille là c’est du tout bon c’est la poursuite de l’idée qui fuit on est en plein dans le boulot…
« Interviewées par Euronews, les candidates, elles, y voient un beau pied de nez à l’Histoire, une opportunité « de rencontrer des femmes de sa génération, de célébrer ce qu’elles avaient accompli et de se raconter leurs histoires, de montrer au monde qu’elles n’avaient pas été détruites par l’Holocauste, qu’elles avaient des vies et qu’elles savent aussi parler aux nouvelles générations », reprend Shoshana Colmer dans le quotidien Haaretz. »
http://www.aufeminin.com/news-societe/a-93-ans-elle-devient-miss-holocauste-s163599.html
Un vague ruisselet mystique entouré de chagrins bégonias, le genre de truc qu’on doit réserver à son agonie, voilà comment j’ai trouvé les romans précédents de Sylvie germain.
Finalement, tu mets quelle note à la rédaction de Passou, JB ? ( Jacques Barozzi)
Il me semble qu’on l’a connu plus inspiré, non ? Mais enfin, l’urgence, l’abondance et, je pense, quelque diable aussi le poussant … Il me semble que, protégé par sa notoriété, Assouline pourrait se permettre de ne lire qu’ UN livre par mois. Frustration pour les accros de la RdL, mais enfin, on aurait sans doute aut’ chose à se mettre sous la dent que des » Y sont pas pouèt pouèt mais y z’ont la fibre pouétik a tik aïe aïe aïe » ou » Sylvie Michon défend l’art du roman « , assertions qui, perso, me laissent un peu sur ma faim.
J’ai bien connu Madame de Rênal; jamais elle n’aurait employé le mot « truc ». Elle disait « machin » ou parfois « cosi », en raison de son ascendance italienne par sa grand-mère.
…
…pour couper court,…à ce naufrage d’idées,…et autres charabias,…
…
…
…le moteur,…quoi le moteur,…çà va pas,…un quelque de louche,…explique pour voir,…
…
…déjà,…un fait,…rien ne se perd, rien ne se créer,…Lavoisier,…
…
…ensuite,…toute l’économie d’état, basée sur les taxes aux voitures,…épargnant les bénéfices des industriels,…
…
…et puis, déjà, depuis 187?,…les premiers essaie de voitures électriques,…à Paris, ensuite à Londres,…
…
…et, plus récemment dans les 60’s,…des amateurs au brevets de moteurs à l’eau,…
…
…or, suivant Lavoisier rien ne se perd, rien ne se crée,…conclusion,…le système du moteur actuel n’est pas bien ficelé,…pour les consommateurs,…par contre pour les finances des états,…çà baigne dans l’huile,…
…autrement dit,…il y a forcément une escroquerie de procédés d’ingénieries du moteur,…
…
…(((((… en ce sens,…que l’essence, ou la matière de propulsion du moteur doit aussi,… » chimiquement « ,…se retrouver en essence, par l’apport d’autres matières transformées avec les résidus des gaz, qui ne sortent plus par l’échappement,…
…mais sont » recyclés « , directement par un processus de recyclage adéquat,…en marge du moteur principal,…et, donc, les gaz d’alimentation ne sont pas évacuer,…mais constamment recycler,…
…
…en conséquence, vous faite le plein une fois,…et, la voiture roule toute sa vie,…avec ce genre de nouveau moteur,…))))),…
…
…donc, un système d’énergie » perpétuelle chimique « ,…comme l’équivalent du » mouvement perpétuel » en horlogerie,…
…
…et, l’état,..remet des taxes sur » autres choses « ,…pour ses frais de fonctionnement,…l’A.D.N.,…l’U.L.M.,…etc,…l’imagination ne lui manque pas à l’état, et aux ministres » saintes nitouches » à l’€uro,…mes Savants à deux balles,…Merci,…
…
…une autre, une autre,…( pas assez payer ),…et sans châteaux d’expériences trop difficile,…Champagne,…aux Ô’s,…
…etc,…Bip,…Bip,…Ah,…Ah,…etc,…
…
Une personne âgée bien construite -il en existe tant(ce que je ne suis pas mais serai sans doute un jour) a gagné en sagesse, en capacité d’émerveillement, en assurance, en confiance, en mansuétude et pourquoi pas en foi. Elle sent parfois les maux physiques de l’âge mais s’en amuse.
Ainsi les jeunes générations peuvent l’aimer.
Je suis certain qu’Abraham était comme cela.
Qui ne prendrait pas Abraham comme exemple ?
Ou comment une couverture peut faire école stricto sensu.
Michon vampirisé!c’est l’école scripto sangsue.
Sinon,le dernier livre d’Alexeievitch Svetlana »la fin de l’homme rouge »,dix ans d’entretiens avec des russes est un livre exceptionnel.Transmuer le travail journalistique en grande littérature-bien des pages de ce livre pourraient être d’un Grossman,d’un Chalamov ou d’un Dostoievski-,force l’admiration.
…
…vivre et jouer sur plusieurs échiquiers,…Ah,…Bon,…c’est pas les clowns qui manquent,…
…encore faut – il en mourir de rire à satiété,…etc,…le ventre plein,…et la harpe bien tendue,…etc,…
…
off ain’t out
définitivement
Bonne nuit à tous et toutes.
Kol Nidrei
http://www.youtube.com/watch?v=RHS1q2_SlLk
« (…) malgré l’indifférence, la cécité, la surdité des pêcheurs ». Des pécheurs sachant pêcher ?
Il parle peut-être de ceux qui trouvent des choses inusitées et refusent de les partager — de là l’indifférence, la cécité, la surdité.
P.S.
On dit bien : « Où as-tu pêché cette idée ? », n’est-ce pas ?
« Un vague ruisselet mystique entouré de chagrins bégonias… »
Une Dame aux Bégonias, donc ?
Moins chic-élégant, peut-être, qu’une Dame aux Camélias, mais, compte tenu de la fragilité des bégonias et de la multitude de variantes, plus avant-gardiste et courageuse ?
« Un œil sur son chaudron de mots, elle y espère le surgissement de l’inattendu, de l’imprévu, des bouffées de ce je-ne-sais-quoi qu’on nomme à tort et par défaut l’inspiration. »
Renato, surveillez bien le chaudron de la sorcière.
Dans la bouche de Woddy Allen, le concours Miss Holocaust aurait fait rigoler. Toujours ce jeu subtile entre énoncé, énonciateur et situation d’énonciation, hommage éternel à Emile Benveniste, juif ottoman natif d’Alep.
Ce n’est pas aujourd’hui qu’on découvre qu’il est en Israel une belle brochette de cons qui n’a rien à envier aux brochettes de cons de Jordanie, d’Egypte, de Syrie, de Rafah ou d’ Hebron.
Ma modération est en attente de commentaire.zzzzzzzzzzzzz!
« Quand on put passer à table
Hélas c’était immangeable
La sorcière par malheur
Avait oublié le beurre »
Charpentreau
Honte à la communauté internationale et à son organisation suprême !
Vous assassinez votre voisin, puis vous vous contentez de déposer une demande d’adhésion à l’association des locataires qui l’accepte, soulagée !
Jacques Barozzi,
Votre comparaison, en droit international, ça s’appelle une violation des Conventions de Genève.
« C’est un des 555 romans de la rentrée. Avec un titre plutôt passe-partout, Moment d’un couple, signé par une comédienne pas vraiment connue, Nelly Alard, et paru sous la couverture blanche bien peu tapageuse de Gallimard. Pourtant, depuis le début de l’été, le petit milieu parisien ne bruisse que de ce roman autobiographique. Il n’a pas fallu longtemps aux initiés pour mettre un nom sur la célèbre femme politique qui se cache derrière le personnage de Victoire, amante hystérique et suicidaire de l’époux journaliste de l’héroïne. Il faut dire que Nelly Alard ne lésine pas sur les indices: Victoire est une jeune élue socialiste de la région parisienne à la chevelure flamboyante, normalienne, grande lectrice de Simone de Beauvoir, ayant eu des démêlés houleux avec son ex-époux et à qui il arrive de perdre connaissance lors de cérémonies officielles. L’action du roman se déroule en 2003, mais nous pouvons ajouter que, depuis, « Victoire » a connu une ascension ministérielle fulgurante.
Explosif: Dans ‘Moment d’un couple’, Nelly Alard met en scène une « mystérieuse » élue socialiste.
Roman touchy, comme on dit à Saint-Germain-des-Prés. »
C’est qui Victoire ?
Et du très germanopratin une année qui commence bien, qu’en pensez-vous Jacques de Barozzi?
Ontotologie dit: 12 septembre 2013 à 9 h 54 min
« Pourquoi y a t il renato plutôt que rien ? »
En réalité, il n’y a rien…
« En réalité, il n’y a rien… »
Mon rien me convient, merci.
Tiens ! le traîne-savates de Porquerolles déserte les lieux aujourd’hui ?
Kol Nidrei
http://www.youtube.com/watch?v=Nh4yxMzc70o
Le » traîne- savate de Porquerolles »a pris la mer et vous prenez l’ eau , renato. Moi je préfere prendre LES eauX.
Bonne journée.
renato 13 septembre 2013 à 9 h 12 min
Tiens ! le traîne-savates de Porquerolles déserte les lieux aujourd’hui ?
ils l’ont (enfin) enfermé à l’HP (service gériatrie) de le plus proche
Quoi, Urucu 48, vous l’avez vu sortir en pédalo ?
instantané réaliste de jc http://i.huffpost.com/gen/1349204/thumbs/o-BLOBFISH-570.jpg?6
Je trouve lassants ces tirs de barrage contre mon camarade JC quand ils deviennent mécaniques et ne s’accompagnent pas de raisons.
Ou contre « Toto », « Thierry » ou « Chaloux » ou « Cricri »….
(Marrant, en revanche tirer sur u., c’est OK, il s’en fout).
Oeuf corse, toujours ok de tirer sur u. et adia.
Ou Bloomie!
Argumentez, nom de Dieu.
On s’emmerde.
u. dit: 13 septembre 2013 à 11 h 00 min
Je trouve lassants ces tirs de barrage contre mon camarade JC …
Ou contre « Thierry »
Faudrait savoir : la plupart des tirs anti-JC viennent de « Thierry », justement.
tirer sur u., c’est OK, il s’en fout
Tu remarqueras que JC aussi s’en fout et que « Cricri » est au-dessus de ça. Le seul qui prenne vraiment la mouche, c’est renato.
Chaloux a trollé plus souvent qu’à son tour (notamment contre Toto) et TKT est probablement l’agresseur le plus méchant et injurieux de toute la RdL (voir sa dernière sortie contre JC et D. comparés à des tas d’excrément).
l’agresseur le plus méchant et injurieux de toute la RdL
à égalité avec Daaphnée.
« quand ils deviennent mécaniques et ne s’accompagnent pas de raisons. »
bien sûr…
« JC et D. comparés à des tas d’excrément). »
c’est vrai que jc est une grosse m de néofasciste, qui se trouve drôle en plus
trop à faire, u.. festivals, colloque, magazines et éditeurs n’attendent pas…plongée profonde..glop glop…
à égalité avec Daaphnée.
et pourtant elle lui sied si bien, comme dit le proverbe : tant va la cruche à l’u.
« quand ils deviennent mécaniques et ne s’accompagnent pas de raisons. »
Vous galéjez, u. JC est un provo qui ne demande que ça. Ses diatribes répétitives contre les socialos, l’humanisme (lui seul comprend ce qu’il entend par là), Bloomie, etc. sont elles-mêmes mécaniques.
Evidemment, on peut déplorer que les répliques (le faf de pq…) ne soient pas d’un très haut niveau, mais ses provo n’appellent que des trollismes.
« ses provo n’appellent que des trollismes »
ben voilà, il peut toujours jouer les martyres! c’est la rançon de la gloire
JC et D., une même et seule personne, sa bêtise dépasse largement son potentiel de de perversité.
« Je trouve lassants ces tirs de barrage contre mon camarade JC … »
Il faudrait que votre camarade apprenne à voler plus haut que les pâquerettes. Ce n’est pas de notre faute s’il agit à niveau des chiottes… ce qui n’est pas étonnant venant d’un mythomane. qui se prend pour un scientifique
« Le seul qui prenne vraiment la mouche, c’est renato. »
Pas du tout, je me limite à faire barrage — et personne ne peut dire que, venant de ma part, c’est un barrage de gauche car ce n’est qu’un barrage pour contenir la vague de merde que cet imposteur reverse ici.
Marion Bartoli : »Je suis sortie avec Richard Gasquet… »
À quel tour ?
« Le seul qui prenne vraiment la mouche, c’est renato. »
Toto prend la mouche entre ses doigts racés, la mire à la lueur du lustre du grand salon (du Swarowski, acheté en solde sur les conseils avisés de bouguereau), puis, dégrafant son habit brandebourgeois, lui fait subir les derniers outrages.
Ainsi est renato.
« … Chaloux a trollé plus souvent qu’à son tour (notamment contre Toto)… »
C’était passablement amusant, venant d’un gars qui se la joue « kul-ti-vé »…
D’ailleurs, la vivacité des insulteurs anonymes que l’on peut observer ici étant donnée, nous sommes rassurés quant à la survivance du bel instinct de délation qui distingua les meilleurs Européens dans ces grands moments de progrès moral qu’illustrèrent nos beaux pays en cette époque bénie où les méchants démocrates n’avaient pas le monopole des institutions !
autrement dit dit: 13 septembre 2013 à 12 h 47 min
il peut toujours jouer les martyres
Autrement mieux dit : les martyrs
renato dit: 13 septembre 2013 à 14 h 19 min
« … Chaloux a trollé plus souvent qu’à son tour (notamment contre Toto)… »
C’était passablement amusant, venant d’un gars qui se la joue « kul-ti-vé »…
Messieurs, sachez que nous n’apprécions guère que vous dénigriez ainsi, sur la place publique (et quelle !la RdL, une et divisible, du Président Passou), un client aussi distingué que Monsieur de Chaloux, flanqué d’une femme exquise (passons sur ses deux moutards, les pires racailles qui aient jamais foulé le noble sol de la Franche-Comté), jamais pris en défaut d’élégance, toujours tiré à quatre épingles (son écharpe bleue, d’où émerge le culot luisant d’une pipe d’écume, quel style, quelle classe !), et surtout, oui, surtout, payant sa dernière acquisition (un break 403 vintage ayant appartenu à la brigade de la maréchaussée de Pontarlier) rubis sur ongle, qu’il a nacré, opalescent et manucuré de frais…
Non, vraiment, ce sont des façons à faire fuir la clientèle, pensez à la France, à sa balance commerciale, sus aux Souabes et aux Bavarois qui nous ont tant fait fumer le derche à la charnière de Sedan ! Allons z’enfants…
Vous dramatisez hors mesure, Monsieur, ce n’était qu’une banale observation et “positive”… en dernière analyse…
@ Les Cons Réunis D. alias JC: Que vous ne sachiez rien de l’histoire de la Chine ou du bahasa indonésien, soit. Mais Sedan, têtedenœud, c’est 1870, c’est la Prusse, avant la création de l’Empire. La Prusse, D., je ne sais pas si le Roi du Wurttemberg et celui de la Bavière, participaient à la guerre, mais il serait quand même plus juste de ne parler que des Prussiens, des Hohenzollern, de Bismarck. Ce qui est bien avec vous c’est que vous vous prenez pour ce que vous n’êtes pas. Ce que vous êtes ? Une culture générale nullissime.
Depuis 2005, vous menez une campagne de destruction, je n’ai toujours pas compris si vous en vouliez à la RdL ou à certains des participants. Une chose est sûre, bien que vous teniez la grande partie des commentaires sous votre mauvaise haleine, JAMAIS, vous n’arriverez à autre chose que de troller. Vous êtes une mouche née dans la merde et ainsi vous mourrez, une montagne de merde.
renato dit: 13 septembre 2013 à 13 h 40 min
Il faudrait que votre camarade apprenne à voler plus haut que les pâquerettes
renato n’a évolué en rien depuis les bacs à sable de ses cinq ans, toujours le gamin buté qui ne veut jamais prêter son râteau, mais exige toujours la pelle des autres.
Vieux gosse acariâtre et méchant.
Euh… et Courbet?
renato dit: 13 septembre 2013 à 13 h 46 min
« Le seul qui prenne vraiment la mouche, c’est renato. »
et personne ne peut dire que, venant de ma part, c’est un barrage de gauche
Oh non !
Le poujadisme pseudo-artistique n’est que très peu assimilable à la gauche, sous aucune forme.
« Vieux gosse acariâtre et méchant. »
Vous avez évolué, vous n’êtes acariâtre ni méchant, et cela ne peut que me combler de bonheur. Heureux ?
TKT, vous pseudomisez sous Annette ? drôle d’idée. Pas lu les deux livres du jour, mais il me semble que Sylvie Germain tourne autour d’histoires prussiennes dans sa vie d’écrivaine. Vague souvenir d’échos francecultureux.
va-t-on vers un prix pour une oeuvre du même tonneau que celle du jeune suisse pas rasé ? mais qu’ont-ils tous à écrire des romans.. il faut garder les yeux ouverts, disait Yourcenar.
« Oh non ! », qu’il dit… évidemment du moment où on laisse le champ libre aux gros merdeux fascistes dans son genre tout va bien.
Annette Gadriella dit: 13 septembre 2013 à 14 h 55 min
Salut vontraube.
Toujours en forme ?
Le bichon pisse toujours sur tes Bata comme toi sur la rdl ?
Veinard.
Et puis « poujadisme » ! quoi ? dès que l’on ne vit pas comme un parasite de l’État l’on est coupable de poujadisme ? Ah ! le petit monde des artistes à deux balles !
Voulez pas mon p’tit Courbet?
Bon.
Pour introduire un peu de sang-froid et de convivialité, ne faudrait-il pas rappeler notre ami Mauvaise langue?
Phi, vous savez D. en a fait une de ses signatures, ainsi que Gabriella. Je m’amuse donc avec Annette GaDriella. Annette était aussi son aventure virtuelle dans le métro avec une passagère fictive. Sa plus grande œuvre de fiction, c’est un JC vivant à Porquerolles. Pour Gabrielle, c’est surement un hommage tordu à l’ange Gabriel. L’annonce faites à Marie, mère de JC. D. lui monte vers Krypton, un bâtiment de l’hôpital psychiatrique de Melun ?
« si le Roi du Wurttemberg »
TKT
Ah ce Kron.enbourg, toujours à donner des leçons mais incapable de savoir ce dont il cause.
Un ange du passé, c’était une dame qui signait « de la poétique ».
Chaque intervention se faisait dans une atmosphère sereine et comme parfumée.
Quelqu’un a ses coordonnées?
« D. en a fait une de ses signatures, ainsi que Gabriella »
Je n’ai jamais été D., hein. Attation, comme dit bouguereau.
Bien, si on revenait à Courbet ?
Admettez u. que Courbet c’est plutôt banal : beau paysages que l’on apprécie si l’on fait à pieds la route de Besançon à Ornans, mais se compositions avec femmes sont plutôt banales et ce con… pfff ! si ce n’était pas ce qu’il est, c’est-à-dire un objet pour refoulés, quelle valeur aurait-il ? La folie d’Ingres ou l’urgence de Delacroix ? d’accord, mais Courbet… enfin… soyons sérieux et laissons ça au “lacariens”…
« tkt est très imaginatif »
Bof, un mec qui considère qu’il n’existe qu’un seul commentateur n’appréciant pas son merveilleux sens de l’injure ne peut avoir une imagination débordante tout au plus quelques rêves de petit-bourgeois franchouillard.
une dame qui signait « de la poétique ».
La tique ! Ah, souvenirs, souvenirs… mais qu’est-ce qui te fait penser que c’était une dame ?
Faudrait demander à bouguereau, il a peut-être fini par savoir qui c’était.
sapré tkt. et nous ne comprenons toujours rien de vos relations passées avec D. un véritable imbroglio austro-hongrois.
« … un véritable imbroglio austro-hongrois. »
Franco-français, plutôt… Phil.
« La folie d’Ingres ou l’urgence de Delacroix ? »
Vous pouvez développer toto, ou c’est seulement une phrase que vous avez entendu lors d’un vernissage au foyer des anciens du quartier St Antoine.
Ou nous donner le lien sur google.
renato, je croyais tkt assez branché apps-bourgeois, dans sa retraite suisse fortement connectée
Colonel Mustard dit: 13 septembre 2013 à 15 h 36 min
Ce qui est sûr c’est qu’à Chambéry elle ne l’a pas ouverte.
Une femme.
Je me demande parfois si HR ?
@DJEDLA du 22.26. Sur la prétendue stupide question leibnitzienne, je renvoie nos sympathiques internautes au stupide Jean Baudrillard qui l’avait prise très au sérieux, au point d’avoir commis quelque chose comme un traité métaphorique du « crime parfait » en 1995, en se plaçant du côté du « rien » pour en faire advenir du plutôt quelque chose, ce que la RDL n’a jamais prétendu faire, dieu merci!
En somme, JB avait tenté de montrer vertigineusement qu’on pouvait bien lutter contre un « truc comme l’immanence »…. Savoir s’il avait convaincu Renato…, ça c’est une autre affaire !
http://www.liberation.fr/livres/1995/01/19/le-crime-parfait-perdu-de-vue_119365
« Ou nous donner le lien sur google. »
Développer ? moi ? depuis combien de temps vous venez sur la RdL ?
Des links ? faut pas rêver. Si vous êtes dans l’impossibilité de comprendre un tableau, Plongez votre tête dans vos livres, vous arriverez peut-être à entrevoir quelque chose. Que sais-je, une perspective…
Une fixette sur le dab à Mac, c’est ça?
Jamais se faire des illusions Phil… par ailleurs, Traube revendique sa francité.
« mais qu’est-ce qui te fait penser que c’était une dame ? »
Eh oh.
Par recoupements, on en avait un portrait assez précis: cheveu rare, poitrine plate, haleine rance.
Je la verrais dans la rue que je la reconnaîtrais.
« De corps fatigué, avec sur ses cheveux comme une pelletée de cendre, cinquante-quatre ans, les épaules chargées d’un sac, Courbet enquilla la rue de la Froidière, la barbe ouverte d’un sourire de bel entrain. Là où les pavés cessent, il se retourna, faisant se tordre l’écharpe bleue de sa pipe. »
Il est aujourd’hui permis de dire que l’incipit que nous propose Passou est un texte tout à fait apocryphe. De minutieuses recherches ont permis de mettre la main sur le manuscrit, qu’on croyait perdu à jamais : le lecteur pourra juger que l’editor ne s’est pas privé d’opérer coupes sauvages et mutilations radicales, sans doute pour ne pas risquer un procès de la part de C., connu pour son goût de la chicane (Barozzi y aurait trouvé matière à un nouvel opus, croit-on savoir).
« Au volant de sa Volvo fatiguée, dont les carbus à double corps n’allaient pas tarder à rendre leur âme souffreteuse et carbonique, salivant à la pensée du fin souper que Marie-Astrid, sa tendre et dévouée moitié, n’aurait pas manqué de lui préparer – un consommé de cheveux d’ange, pour suivre une potée montbéyardaise de sandre pêché de la veille, énuméra-t-il rêveusement -, le chevalier de Chaloux, la quarantaine, les épaules parfaitement découplées, n’était la disgracieuse gibbosité, héritée d’un havresac trop giboyeux, trophée d’inoubliables parties de chasses provençales sur les terres du Marquis de Brun, s’enquit auprès d’un sergent de ville, avec la politesse dont il ne se départait en aucune circonstance, de la direction de la rue des Refroidis, puis enquilla résolument cette dernière avec la même fougue qu’il avait mise –à cette seule évocation, une nostalgie aussi soudaine que cruelle le poignit- à honorer Astrid lors de leur oaristys vénitienne –et aussi, dussent les convenances en souffrir, quelque peu vénérienne : sa barbe alors – il en avait l’image comme imprimée dans la rétine, laquelle s’embua à ce souvenir-, s’était ouverte, timidement d’abord, avant de s’épanouir dans un sourire béat, puis définitivement comblé, de belle en train… Cessant alors d’être un fleuron de l’industrie suédoise, le break devint instantanément épave, se retourna, et l’écharpe bleue suède qui nouait avec grâce le cou de Chaloux, s’enchevêtrant dans les roues à fil du bolide, tordit le kiki du dandy qui cassa sa pipe illico. »
renato, ces derniers temps la francité est revendiquée par de nombreuses gens. mais quels sont les écrivains capables de faire de belles phrases à la francité plus sonnante que trébuchante ?
renato dit: 13 septembre 2013 à 15 h 50 min
Pas de développement, pas de liens (links fait un peu sous-produit tékatien) donc rien, une phrase en l’air.
Pour vous faire plaisir ou pour vous faire mousser ?
renato dit: 13 septembre 2013 à 15 h 32 min
la route de Besançon à Ornans
Pour affûter les repose-pieds vaut mieux la vallée de la Loue…
Une fixette sur le dab à Mac, c’est ça?
Boh, c’était surtout le fiston qui était visé. Mais d’un mal peut sortir un bien, dirait l’autre : il est toujours aussi pontifiant mais moins chiant sous le nom de bouguereau.
u. dit: 13 septembre 2013 à 15 h 53 min
Une fixette sur le dab à Mac, c’est ça?
Avec volonté affichée de perturber des journées chambériennes consacrées à GAG.
Elle n’a pas bougé le petit doigt.
J’ai lu Brown bouche bée (15h19) et j’ai écris sans pipe cet éloge:
« La langue est magnifique, l’écriture, ciselée. L’auteur a choisi le procédé des vignettes pour raconter son histoire, un destin poignant sinon tragique. Un parti pris original qui séduit de prime abord, même si…. Des images, des détails, des impressions. Toutes choses qui peuvent laisser une impression générale d’abstraction lyrique, de désincarnation, d’allégorie permanente. »
Bravo.
Nous sommes ici pour jouer David, si c’est pour s’expliquer l’on écrit des essais, et voyez-vous, j’ai autre chose à faire… Bon, c’est vrai, presque rien, oui, rien, si vous voulez, mais avez-vous ne serait-ce qu’une vague idée de la fatigue que ne rien faire coûte ?
« Boh, c’était surtout le fiston qui était visé. »
Non
Annette Gadriella dit: 13 septembre 2013 à 14 h 55 min
@ Les Cons Réunis D. alias JC: Mais Sedan, têtedenœud, c’est 1870
jicé mon cul..t’a passé trop de temps dans ton messèrechmide sans t’oksigégé la cervelle vontraube..ou alors c’est les effluve du vacherin..bachar va en faire une jaunisse c’est couru..pas croyabe comme c’est nocive ces frometons suisse
tiens pour ta kulture perso..me r’mercie pas surtout spèce de nain gras
une nostalgie aussi soudaine que cruelle le poignit (Ca a vraiment débuté comme ça… dit: 13 septembre 2013 à 15 h 59 min)
le poigna, peut-être ? ou poignit en lui ?
D’accord Sergio, le gars qui m’a accompagné sur ce chemin m’a bien dit les Noms des Lieux, etc., mais là (dans ce post) la mémoire n’était pas au rendez-vous. Merci, donc.
renato dit: 13 septembre 2013 à 16 h 08 min
Nous sommes ici pour jouer David
Vous m’aurez pas deux fois !
Une francité plus sonnante que trébuchante ? Vous me demandez trop Phil car pour ce qui est des Français, je ne suis qu’un banal lecteur, sans la profondeur de champ nécessaire, et je suis plutôt vieux pour me donner la peine de combler cette lacune.
Oups ! ce qui est des Français > ce qui est des ÉCRIVAINS Français… Pardon.
Merci R.T., j’ai trouvé le PDF… c’est très technique… enfin, les paysages de Courbet sont plus à la portée de mes pauvres moyens.
u. dit: 13 septembre 2013 à 16 h 04 min
J’ai lu Brown bouche bée (15h19) et j’ai écris sans pipe cet éloge
U., oserais-je dire que vous me décevez ? Eh bien, oui, j’ose, et je ré-ose, et je ris d’oser des mots roses. De la part de l’exhalé fiscal (son haleine cloaqueuse comme dit Montherlant franchit sans peine la mince barrière de ses masques), la confusion se comprend, est espérée même, puis lâchement raillée par tout un chacun, avant que d’être pardonnée au bout du compte, pardon : au finish.
Mais venant de vous, maître zouzou ! Quelle avanie, quelle sombre, profonde et irrémédiable désillusion ! Bonjour, tristesse, et adieu vos vaches, vos cochons, vos cou cou vés comme aurait dit le Pollinaire.
Seule consolation dans cet océan de détresse, ce joyeux sursaut de mon âme, enorgueillie de cette comparaison -imméritée, certes,mais ce qui est dit est dit- avec l’illustrissime Johannes Maurus.
Tiens, je vais découper votre post, l’encadrer et le pendre à la plus haute cimaise de mon chalet personnel, si vous m’y autorisez.
Bàv
faut y aller au feeling, renato. la phrase glisse bien, comme un bon vin, ou laisse un goût de piquette. y’a moins à tortiller qu’à torpiller.
Et, bien sûr, l’incontournable poème « A ma Loue » d’Amandine Mermaz, belle-sœur de Johnny Weissmüller (ce qu’on sait moins).
Encore merci R.T., mais vous comprendrez que si je dois lire des annales pour comprendre un peintre le jeu ne vaut pas la chandelle.
chipotons dit: 13 septembre 2013 à 16 h 11 min
le poigna, peut-être ? ou poignit en lui ?
V. *poigner, kézaco ?
Non, non,mon jeune ami -vous permettez que je m’honore de votre amitié, poignant ici en ce jour finissant ?-, on a bien dit « poindre », avec sa belle construction transitive qui lui va si bien au teint.
Qu’avez vous fait de mon Toto chéri : l’est devenu tout bêta !
D’accord, R.T., mais seulement si je trouve les annales dans les méandres de la toile…
Y aller au feeling, Phil ? et le goût (ou les arrières goûts) ?
Renato, quand vous écrivez francité, dois-je y voir pour les Français, ce que les Anglais appellent pour eux-mêmes l’englishness ?
Oui, Trauve, bien que cela dépende du contexte historique : englishness ou britishness, ce sera selon.
La vallée de la Loue, ou les gorges du Loup ? Y a une nuance bon Dieu !
Africanité se dit aussi.
Ha ben bon y a rien pour l’Auvergne ; mais on n’a jamais été en guerre contre le Japon, après tout…
chipotons dit: 13 septembre 2013 à 16 h 56 min
Un sentiment profond de regret a poigné mon coeur (CHATEAUBR., Mém., t.4, 1848, p.205).
Une hirondelle ne fait pas plus le printemps qu’un hapax aux airs de co(q)uille molle, un écrivain sans peur et sans reproche.
D’abord, moi,le chateaubriant (tu peux mettre un « d » si ça te chante, je m’en bats l’oeil avec une patte d’alligator), je le préfère aux pommes, bien bleu, avec un Haut-Brion de la bonne année.Pour tout de dire,maintenant qu’on est à tu et à toi, je préfère de loin le tournedos Rossini, mais sans le pâté de foie. Bouguereau te dirait que le gras, y a que ça de vrai…on voit les conséquences. Un mec qui ne jure que par le boeuf à la ficelle, on peut pas vraiment le prendre au sérieux.
Et puis pour commencer,et même pour finir, je n’ai rien, mais alors rien à voir avec ce petit péteux d’odratdebistrolewlew à la syntaxe aussi html que son pseudo. T’es aussi miro que traube, mon pote.
Pour qualifier un truisme uien (ce qui est une hypothèse d’école, car ça n’existe pas), on a tendance à dire « truien », mais c’est une erreur.
Comment ! Tu serais Chaloux ? J’y ai pensé mais sans oser le croire.
Au fait, on écrit « miraud », pas « miro ».
Man wird auch sagen Deutschkeit
Deutschheit.
Helmut, laisse tomber la choucroute et mets-toi à la Diète. Und zwar sofort !
« le chateaubriant (tu peux mettre un « d » si ça te chante, je m’en bats l’oeil avec une patte d’alligator), je le préfère aux pommes, bien bleu »
Pour le steak, il faut un « d », ça n’a rien à voir avec la ville, qui d’ailleurs prend un accent circonflexe.
Au fait, on écrit « miraud », pas « miro ».
Dans ton cas, on peut écrire nase, nazebroque, littéralement et dans tous les sens comme disait Arthur, ça ne fera aucune différence.
Le Boug’ avait écrit, soue le billet de la thune, quelque chose d’assez pertinent sur les variations orthographiques dans l’expression des registres familier, relâché et argotique dans le Bas-Languedoc de la Renaissance à nos jours.
Vachement édifiant.
Pour le steak, il faut un « d », ça n’a rien à voir avec la ville, qui d’ailleurs prend un accent circonflexe.
C’est bien ce qui te trompe, mon petit pote (ça, et ta femme).
Tu serais pas TKT, des fois ? Mettre à côté de la plaque avec autant de constance et d’application, ça confine au génie, sinon du christianisme ou des alpages, du moins artistique.
« Les 2 formes peuvent se rencontrer écrites avec un accent circonflexe p. anal. avec le nom de la ville ou avec château (cf. ex. 2). Étymol. et Hist. 1865 [1856 d’apr. Dauzat 1973] chateaubriant (La Châtre); 1866 chateaubriand (A. Delvau, Dict. de la lang. verte). Orig. incertaine; d’apr. EWFS2du nom de l’écrivain Fr. René de Chateaubriand, parce que l’invention de cette préparation serait due à son cuisinier Montmireil; d’apr. Ac. Gastr. 1962, du nom de la ville de Châteaubriant (Loire-Atlantique) située dans un important centre d’élevage. Les 2 hyp. sans preuves. Fréq. abs. littér. Chateaubriand : 6. »
(in CNRTL)
quel billet l ‘image deux enfants accompagnait-elle déjà ? je l’ai oublié
demandons à Traube
Mon pauvret, si vontrüb est ton horizon linguistique et philologique, t’as vachement intérêt à recaler ton altimètre fissa, sinon tu vas déguster vilain.Splaatsch ! D’ailleurs,lui-même n’en fait pas mystère : même pas germanophone de naissance, Abitur minus zehn, que veux-tu qu’il entrave quoi que ce soit à la langue de Schiller ? Le Schwizerdütsch (qui fait tellement transpirer,rien qu’en articulant..si tu piges pas l’astuce, écris-moi à la RdL, passou fera suivre..mais n’oublie pas le timbre) et encore..juste assez pour commander une douzaine de vacherins et un bout d’appenzeller à Hilde,sa crémière.
Rhô… dit: 13 septembre 2013 à 18 h 09 min
Ho l’enflure, primo tu vas jacter sur un autre ton, deuzio tu t’écrases dans la grande largeur. Quand je théorise à la bonne franquette avec Chaloux, c’est pas un cave aux prunes qui va me foutre des mimosas dans les arpions. Interpose pas ta fraise dans les conversations des grandes personnes si tu veux pas que ça renaude. Troisio ta variation orthographique tu te la carres dans l’oignon.
Oui évidemment il peut pas y avoir de steak oncle Wolf…
C’est comme pour le homard à l’américaine
Amenez-moi le gagnant, comme disait Popeck.
Tiens, pour finir la journée en se boyautant.
Quand je théorise à la bonne franquette avec Chaloux,
Monsieur Chaloux me prie de vous dire qu’il n’a rien à voir dans vos salades (c’est son expression exacte), vu qu’il est actuellement occupé à transpirer sur ces p****s de vis platinées (la 240 polar, quelle chierie !Pendant ce temps, moi, mine de rien, j’en fais autant avec sa bourgeoise, mais j’vous ai rien dit, hein ?
chipotons dit: 13 septembre 2013 à 18 h 30 min
tu te la carres dans l’oignon.
Je le ferai bien dans le tien, mais exercice illégal de la proctologie, ça doit chercher lerche aux assiettes, non ? Sans compter qu’on doit refuser du trèpe, la-dedans ! Poussez pas, y en aura pour tout le monde. Gourmande, va !
(et puis d’abord, veux-tu aller me rapporter tout de suite ton édition princeps du Petit Simonin Illustré chez le Gibert le plus proche, Monsieur de Chaloux a priorité ! S’il se met après ta couenne, ça va chauffer pour tes plumes, mon canard.)
…ferais…s’cuse, milord !
Diagonal dit: 13 septembre 2013 à 15 h 48 min
Diagonal, ce que j’aime beaucoup c’est quand vous renouez votre cravate.
ça fait un peu comme y’a neuf semaines et demi.
Comme le temps passe.
Vous avez bien raison de renvoyer les inconscients à Baudrillard. Surtout ceux qui ont cru en la mémoire de l’eau.
Perso, je n’ai pas assisté (i.e pas lu) à ce grand moment sur la RDL à propos de l’immanence.
(Cela dit dans votre lien, Magiorri Robert, elle cause french ?, c’est pas évident à première lecture, son chaudron de mots est vraiment au point)
Pour cette grande question du rien, j’ai encore aujourd’hui beaucoup pensé.
Que dieu est mort ( depuis le temps); c’est à cause de Friedrich N. entre autres. Tellement c’était encore grandiose, là, tout autour de moi.
Boh, Phil, S. Germain, son ours magnus il a fini en loque. Je ne sais pas si c’était une viennoiserie que ce livre.
quelle que soit l’heure à laquelle vous vous couchez P.Assouline, souvenez-vous
« Read With Your Children, Not to Them
Sep. 12, 2013 — Research has found that reading with young children and engaging them can make a positive impact on the child’s future and their family.
http://www.sciencedaily.com/releases/2013/09/130912112736.htm?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+sciencedaily%2Fmind_brain%2Flanguage_acquisition+%28ScienceDaily%3A+Mind+%26+Brain+News+–+Language+Acquisition%29
bonsoir, les bambini
Je ne peux pas me plaindre qu’on m’offre, avec beaucoup de talent, une si belle sérénade d’adieu (mais je n’aurais jamais pu épouser une « Marie-Astrid », pas dans mes cordes, et même : tout un parcourt pour les éviter).
Un dernier aveu : c’est vrai que j’ai beaucoup trollé, mais j’aime Catulle, Juvénal, Cicéron, Martial, Lucien, Celse et pas mal d’autres, sans oublier les graffitis dont certains relèvent du génie. C’était l’occasion de m’essayer à tout cela, mais un chien qui aboie ne mord pas. Et je ne mords jamais.(Cf la phrase de Freud à propos du premier insulteur fondateur de la civilisation).
Bon vent à tous…
Et causant chaudron, voilà un conte de fée, un peu de magie noire; pour tous les bambini, le marchand de sable est passé :
http://www.mille-mondes.fr/chapitres/memoire%20de%20l'eau%20ADM2_chap07.pdf
Brrrr !
Que devient bouguereau ?
Héros à la mode. Pas assez de larmes de crocodile pour pleurer le tribun humaniste engagé Jacqqqquard ! Tant d’hommes meurent qui le valaient probablement autant, si ce n’est plus ! Déficit d’estime raisonnablement affirmé pour ce bonhomme qui a joué, souvent, les idiots utiles pour des causes qui n’en valaient pas la peine mais ravissaient le boboland germanopratin …
Pauvre JC, il ferait n’importe quoi pour faire son intéressant…
renato dit: 13 septembre 2013 à 21 h 12 min
Pauvre JC, il ferait n’importe quoi pour faire son intéressant…
Ah ! le coup du miroir ! c’est… comment dire… donner une preuve de stupidité pas que l’on vous oublie ?
renato dit: 13 septembre 2013 à 21 h 12 min
Pauvre JC, il ferait n’importe quoi pour faire son intéressant…
–
J’osais pas le dire mais j’en pense pas moins.
D’un autre côté il est loin d’être le seul ici.
Je me demande si Ernestine Murafiore n’est pas un nom d’emprunt.
Si, par nom d’emprunt, vous entendez nom marital, alors, certes, Murafiore est le nom de mon défunt époux.
Traubité, ça se dit ?
Elargissons, mais pas trop dit: 13 septembre 2013 à 15 h 35 min
« tkt est très imaginatif »
Bof, un mec qui considère qu’il n’existe qu’un seul commentateur n’appréciant pas son merveilleux sens de l’injure ne peut avoir une imagination débordante
TKT a raison. Il n’y a qu’un connentateur qui ne l’apprécie pas. Tous les autres le prennent, pour ce qu’il est.
Traubation, ça se dit ? J’ai bien dit à tion, attention à la prononciafion.
Dites-moi, les vendredi 13 ne sont pas favorables à Thierry à ce que je constate.
Vivement samedi 14.
aujourd’hui, mon interlocutrice japonaise m’a dit que sur internet, les gens faisaient plus de fautes d’orthographe qu’elle
jeune étudiante, elle travailla avec Isseï Miyake et aime Proust ..
elle traduit son prénom japonais par Claire et m’a expliqué les signes de l’écriture de son prénom .
et comme elle me disait qu’elle aime Proust , nous avons fait un tour sur la RdL sur mon ordi qui était capricieux
Assouline s’est conquis une nouvelle admiratrice et qui a une panoplie informatique sidérante pour moi !
…
…le » style quartier Haussmannien « ,…
…
…il y a trop d’étranger en Europe,…autant leur construite des quartiers » Haussmann « ,…d’ou ils viennent,…au lieu de nous étouffer par leurs présences et de nous voler nos existences,…
…
…aujourd’hui,…a qui appartient Paris, Londres, Berlin, Rome, Bruxelles, Madrid, Marseille,…
…
…inculquer plus l’esprit de propriétaires fonciers et la géopolitique aux européens,…
…
…l’oiseau de toutes les couleurs,…etc,…
…
…les plans,…Oui,…mais qu’on nous fiche la paix en plus,…surtout les gangs gouvernementaux,…aux partis pris,…franc-tireur,…maçonniques a deux balles à louer,…etc,…
…
IgNobel 2013 : des Français médaillés pour une découverte sur l’ébriété
On se croit attirant quand on est soûl, selon une étude grenobloise. Il est difficile de savoir quand une vache va se relever. Les airs d’opéra ont un effet positif sur les souris cardiaques, et il est possible d’évacuer des pirates de l’air en plein vol. Le cru 2013 des prix « anti-Nobel » est assez croustillant.
le système « recherche » de la RdL laisse à désirer : impossible de retrouver le billet sur les nouvelles espèces végétale dans l’oeuvre de Proust !
à quoi ça sert si comme vous dites, P.Assouline , si la mémoi
la mémoire de la RdL est moins fiable que la mienne
On ne doit pas accepter les conditions judiciaires imposées au malheureux bijoutier de Nice, au motif qu’il n’a eu que 50% de réussite au tir urbain ….
Sous le coup de l’émotion, il a fait ce qu’il a pu ! j’aurai voulu vous y voir…
AMERICA’S CUP
Les NZ de Dean Barker sont désormais à 3 régates de la victoire. Ils mènent actuellement 6-0, malgré l’arrivée de l’Anglais champion olympique Ben Ainsley, extraordinaire finniste, au poste de tacticien d’ORACLE TEAM américain en remplacement d’un petit jeune dépassé par l’horlogerie néo-zélandaise.
Je sais que vous vous en foutez comme de l’an 40 de ce trophée disputé depuis 1851, mais si vous saviez ce qu’on peut lire ici dont on a souvent que faire !
Père UBU, il n’y a pas que la littérature, cornegidouille …
On vous parle de ce qui ne vous intéresse pas, la compétition vélique en Class America, car franchement, vous avez envie de lire les « vignettes » de Sylvie Germain et « l’holocauste communard » de Bosc, Vous ? … Oui, vous …! Moi, pas !
(ayant achevé La Grande Terreur en URSS de Kizny, sacré pavé, pavé sacré, je m’enfile Marc-Aurèle une fois de plus et les Lettres à Lucilius de Sénéque… je vais finir Court)
« je vais finir Court »
JC
Ah mais non, pas de ça mon coco (oh, c’est une blague) vous êtes déjà D. faut pas pousser, laissez quelques intellos aux autres.
Un peu de bon sens, 7h31 !
Constat : mon ami galactique D. est un couche-tard, je suis un lève-tôt. Peu de chose en commun. Une intelligence chez lui que vous chercheriez en vain chez moi.
Et le style, bon dieu, le style ?! Dédé, c’est un style bien à lui, le style lancinant…
Faut vous déTrauber, mon bon ! vous déThierryser, vite ! Cette confusion entre David et Goliath est inimaginable.
7h54
Espérons que ce commentaire sera lu par nos chers duo de pipilets vontraube et baroz et qu’ils sauront en tirer quelques conséquences.
Urucu,
La recherche de Brian:
http://www.mellenpress.com/mellenpress.cfm?bookid=8690&pc=9
Duiagonal, je vous dois un merci, pour cet intermède Leibniz.
Je vous conseille la page Wiki sur l’histoire du calcul infénitésimal. Que de souvenirs !
On pourrait en faire un beau chaudron.
A cette heure, là, je pense que cette petite histoire va faire recette, Urucu :
Laurent Bègue ( prof. de psychologie sociale, c-a-d qu’il n’est pas à l’UJF) a reçu le prix Ig Nobel en psychologie pour son article «Beauty is in the eye of the beer holder’ : People who think they are drunk also think they are attractive” publié en 2013 dans le British Journal of Psychology. Dans son article co-signé par 4 autres chercheurs (dont deux chercheurs de l’université de l’Ohio et de l’université Paris-Descartes), les auteurs posent la question de savoir pourquoi l’alcool conduit celui qui le consomme (ou qui pense en consommer) à se trouver plus séduisant ? La réponse : le phénomène s’explique par un pur « effet placebo ». Par ailleurs, l’impression d’un surcroît d’attractivité ressentie par les personnes-test se limite à la personne elle-même et n’est absolument pas partagée par ceux qui l’observent !
Le prix Ig Nobel a été décerné à Laurent Bègue la nuit du 12 septembre 2013 à l’Université de Harvard à Cambridge, Massachusetts.
Attention ! ne commettons pas l’erreur de minimiser l’importance de TKT ! Pour cela, prenons un exemple personnel.
Thierry est pour moi un guide sûr : tout ce qu’il aime, je ne l’aime pas, tout ce qu’il pense, je ne le pense pas, tout ce qu’il déteste, je ne le déteste pas, tout ce qu’il fait, je ne le fais pas, tout ce qu’il ne fait pas, je le fais !
Bref, tout ce qu’il est, je ne le suis pas.
Observer TKT, faire le contraire, ….vous êtes certain d’être sur le bon chemin !
Il suffit.
Urucu,
C’est en pensant à Shisheido, et à une envie subite de bien-être, que je me suis dit:
ceux qui vont mettre au point cela mériteraient un Nobel, si ce n’est un remerciement des geeks ahuris :
« Google a lancé un nouveau service de recherche par l’odeur.
Le service Google Nose, encore au stade de bêta, s’appuie sur des technologies nouvelles et existantes pour vous proposer l’expérience olfactive la plus riche possible. »
MERCI u. le faux;
des journées,
est-ce qu’il y à quelque part une vérité transcendante et cachée ? est-ce que l’on peut encore créer une nouvelle fin de l’histoire ou imaginer une vérité transcendante ? je ne crois pas, “il n’y a rien à dire”, donc.
Après on peut s’accrocher à tout et n’importe quoi, si cela nous aide à vivre, c’est bon. Mais est-ce que nous avons vraiment besoin de médicaments ? Est-ce que l’indifférence ne suffit pas ?
« Mais est-ce que nous avons vraiment besoin de médicaments ? »
Détrompez-vous Renato, ou alors contextualisez la kestion.
La vôtre, s’cusez-moi, part dans les grandes largeurs.
J’ai du mal à en voir les confins.
Oui, on a besoin de médicaments.
L’eeft placebo, c’est un autre truc. Comme l’homoéopathie.
Cela dit, votre message me met en joie.
Bon week-end.
Que je vous souhaite culturellement « patrimonial »
Aurélie a une nouvelle fixette : sauver quelques horreurs architecturales du XXème.
Je me demande parfois quelles relations les gens entretiennent avec la loi…
Le bijoutier venait de subir une agression : il était sous le coup de la colère et exaspéré, donc pas complètement maître de soi-même, ça se comprends, et c’est la ligne de défense que son avocat aurait du conseiller.
Pour que l’on puisse parler de légitime défense, il faut que l’on soit en danger et donc que la réponse soit nécessaire, et même dans ce cas, elle doit être proportionnée. Dans le cas contraire, c’est homicide volontaire.
Il aurait dû tirer au raz le sol, dans les pneus du scooter, pas dans le gros — ce qui a suggéré « la volonté de tuer ».
l’effet placebo, zut ça coince toujours ce truc
Intéressante, la mobilisation suscitée par le bijoutier.
Attention au contexte culturel.
Dans certaines régions, le coup d’après est que les parents d’Antony liquident à leur tour le fils du sympathique sexagénaire.
On a évité le pire.
Le garçon ne s’appelle pas Karim et le commerçant est un M. Turk.
Va t-on subir la syntaxe lourdingue et la pensée plus qu’approximative de reignatôt tout le week-end?
À une époque, si on était agressé dans la rue, on pouvait tirer un coup dans le gros après avoir tiré un coup en l’air. Je ne connais pas les détails, mais j’ai trouvé plus cohérent l’approche de Jarry : tirer un coup dans le gros puis un coup en l’air.
Personnellement, je trouve plus cohérente l’approche de DSK : tirer un coup dans la grosse, puis une balle dans le pied présidentiable.
Quand on voit la gueule effarée de çui qui y est parce qu’il a gagné le Loto républicain …
« Il aurait dû tirer au raz le sol, dans les pneus du scooter, pas dans le gros — ce qui a suggéré « la volonté de tuer »
c’est un ‘parrain’ à jc
Je crois que Jarry se disait qu’évaluer les intentions de l’agresseur n’est pas chose aisée, il peut prendre peur si on tire en l’air et renoncer à ses dessins, mais il peut aussi tirer un coup dans le gros pendant que l’agressé tire en l’air. Il conseille donc de s’en tenir à la ‘première impression’, en tout cas, à l’époque, la police n’avait pas les moyens pour déterminer quel projectile avait été tiré en premier.
si yen a que ça les démange de m’revoir à la barre pour les bonnes affaires cash entre amici, pleurez donc pas, je reviens bientôt vous sauver
« ça vous retombe souvent sur la gueule, »
bonjour les pensions alimentaires
« renoncer à ses dessins »?
Jamais!
( Comme si rénato renonçait à ses « images »!)
la joie du sperme dit: 14 septembre 2013 à 10 h 21 min
Ne concerne que les Nains, la gravitation terrestre s’opposant généralement à la retombée sur la gueule des Grands.
Oups, oups, desseins, oups!
bonjour les pensions alimentaires
Tirer en l’air ça ne mange pas de pain…
Tirer en l’air ne nourrit pas son homme!
Dixit Dominique Noguez – Une année qui commence bien, Flammarion.
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