La Grande Terreur nous regarde
On dira que c’est une étrange idée que d’en parler au cœur de l’été, mais il n’y a pas de saison pour cela. Ces photos, ces visages, ces regards, attrapent le lecteur et ne le lâchent pas. Autant dire que ce livre nous regarde. Enfin, un livre… : un album très grand format qui doit bien peser deux kgs mais qui n’a rien du beau-livre. Il ne viendrait d’ailleurs à personne l’envie d’en faire un coffee table book. Vu le contenu, ce serait obscène.
La Grande Terreur en URSS 1937-1938 (traduit du polonais et du russe par Véronique Patte et Agnès Wisniewski, 412 pages, 40 euros, Editions Noir sur Blanc) a bénéficié du concours d’un certain nombre de soutiens et d’auteurs, mais il a un maître d’œuvre, ou plutôt deux : le photographe polonais Tomasz Kizny, à qui l’on doit déjà le projet photographique Goulag (2003), et la journaliste et directrice artistique Dominique Roynette. Ils en ont eu l’idée fixe et en ont été hanté jusqu’à l’achèvement du projet.
La terreur stalinienne ? Il ne s’agit pas là de la traiter dans son ensemble, en y incluant les purges, déportations massives, dékoulakisations, mais uniquement ce que les Russes appelaient la « iejovchtchina » et que les historiens ont baptisé « la Grande Terreur » avec force majuscules, à savoir les purges politiques opérées par le NKVD en 1937-1938. 1,7 million de personnes arrêtées sur l’ensemble du territoire de l’Union soviétique pour « crimes contre l’Etat » dont 750 000 exécutées clandestinement, soit un millier par jour pendant deux ans, enterrées en secret dans des fosses communes. Cela a suscité toute une bibliothèque. On se souvient surtout des livres d’Arthur Koestler et de Robert Conquest, mais peu se sont donnés comme but de la restituer par le regard et le visage.
Au premier abord, c’est un recueil de photos de l’identité judiciaire prises par les fonctionnaires de la police politique (NKVD) quelques jours avant l’exécution. A l’examen, c’est bien plus que cela car Tomasz Kizny a enquêté avec l’association moscovite Memorial ; il a réalisé une véritable topographie de la barbarie moderne en photographiant les lieux d’exécution et d’enterrement, les objets des condamnés, les familles des proches … Ils sont l’autre face indispensable de cette histoire ; car pour eux, ce fut l’attente et le doute des années durant puisque leur parent, interné « sans droit de correspondance », était officiellement membre de l’innombrable tribu des disparus.
Ce massacre systématique à l’échelle d’un pays-continent se voulait entreprise de nettoyage, d’épuration, de prophylaxie sociale. Les coupables sont connus : Staline, Iagoda, Iejov, Beria, Vychinski, Khroutchev, car une postérité de réformateur n’exonère personne d’un passé de bourreau. Sans oublier les complicités internationales, des apparatchiks purs et durs aux idiots utiles en passant par les militants et les compagnons de route. Ceux qui ont couvert, excusé, justifié. Ils ne savaient pas ? Mais au même moment d’autres savaient et le faisaient savoir.
Le parti pris du recueil saute aux yeux dès la couverture. Ni titre, ni auteur, ni éditeur. Juste un portrait, un regard qui nous hante dès lors qu’on le croise et le fixe et cette mention : « Alekseï Grigorievitch Jeltikov. Exécuté à Moscou en 1937 ». Un coup de poing, un choc, une réflexion. Il faut aller voir la tranche du livre pour savoir. Aucun souci d’esthétisation, rien de morbide. Les images sont souvent de qualité (piqué, contraste) car ce sont des clichés 6x9cm tirés d’après des négatifs 13×18 ou 18x24cm. Tout est très précis : nom, origine, fonction, adresse, dates, études… Certains n’ont pas vingt ans, d’autres sont à la fin de leur vie, ils n’ont tous que quelques jours, parfois quelques heures à vivre. Ce J’accuse est d’autant plus terrible que le texte s’y fait modeste par rapport à l’image. Même s’il y en aura toujours, on les entend déjà, pour soupirer d’un « A quoi bon encore ? » face à toute tentative de documenter le crime de masse. Les artisans de la Terreur ont réalisé ces portraits pour identification, tout en activant l’entreprise d’oubli des condamnés. Raté. Avis aux fonctionnaires du massacre : n’archivez jamais !
Dans sa critique du livre, le grand slavisant Georges Nivat a comparé ces portraits soit à des gisants étrusques soit à « des masques d’outre-tombe, sculptés dans une éternité de douleur et d’étonnement », semblables aux milliers de masques tous blancs mais tous différents que l’on peut découvrir à Tokyo en visitant le musée des masques Nô. On ne saurait mieux dire à quel point la terreur stalinienne ne regarde pas que les Russes mais l’humanité.
Ces photos sont à ranger dans une anthologie de la terreur entre les gravures de Goya et les dessins de Music. J’ignore si cela aide à concevoir l’inconcevable. Des documents d’archives sont reproduits, notamment l’administration de l’assassinat et les procédures d’exécution : fusillade dans une « cellule de la mort ». Comprend-on mieux désormais cette volonté d’anéantissement des « ennemis du peuple » dont la logique, une fois mise à nu, fait froid dans le dos si l’on songe qu’elle a fait école, au Kampuchéa notamment ? Dans sa contribution sur « le silence assourdissant des images », Christian Caujolle n’hésite d’ailleurs pas à mettre cet inventaire visuel en parallèle avec celui réalisé par un seul auteur à S-21, le centre de détention et de torture des Khmers rouges. Les clés d’explication sont là, et les historiens (Nicolas Werth notamment invite à « repenser » la Grande Terreur), convoqués à donner des textes autour de ces images, sont souvent convaincants, notamment lorsqu’ils disent l’impuissance des Russes aujourd’hui à circonscrire le Mal dans leur mémoire de la Terreur, comme l’explique l’historien Arseni Roguinski :
« A la différence des nazis qui tuaient essentiellement les « étrangers »- les Juifs, les Polonais, les Russes-, en Russie on tuait essentiellement les Russes, ce que la conscience refuse d’accepter. Dans notre mémoire de la Terreur, nous sommes incapables de répartir les rôles principaux, nous sommes incapables de mettre à leur place les pronoms « nous » et « eux ». »
Mais encore ? Peut-être que la phrase du philosophe Georges Didi-Huberman, spécialiste de l’image, placée en épigraphe de l’album, qui me parut si déroutante de prime abord est, à la réflexion, éclairante :
« Pour savoir, il faut s’imaginer »
630 Réponses pour La Grande Terreur nous regarde
A défaut de rafraîchir, la déferlante littéraire chauffe.
« La palme du titre le plus savoureux de la rentrée va d’ores et déjà au premier roman de Romain Puertolas : L’extraordinaire voyage du fakir qui était resté coincé dans une armoire Ikea »
L’auteur, dont c’est le premier roman, travaille à la police des frontières et il y est question d’immigration clandestine. Que fait Manuel Vals ?
il s’inspire du trés haut baroz..c’est dl’eau d’roche
c’est pas déjà un peu le ghetto, JB ?
..des fois qui s’turaient pas qu’entreux..et les balles perdues?..non un mur comme à jérusalème..t’es pas inspiré du trés haut ça svoit baroz
la nénette en haut a pas froid aux noeils et a une belle bouche et le mec a lunette un vague air de dustin hoffman..le mec à barbe plane un peu
« je prends ceci comme un compliment. »
Merci, Thierry, mais ça va encore jaser.
Je me demande si JC, pour améliorer sa retraite, ne propose pas des balades en mer aux touristes. Il parle d’amis, pour le fisc ! Est-ce qu’il fait chambres d’hôtes et aussi la cuisine lui-même ? Faut avouer qu’il vit dans un petit paradis maritime, quoiqu’en dise Abdel !
L’homme à barbe semble pope !
t’as pas faux, sûr de lui on dirait qu’il va ramasser sa mise..l’probloc baroz, c’est que pour note génération les barbes c’est trop grillé..on est perturbé
cqui est certain c’est quy’a du défi chez les trois, le dernier voudrait bien mais jcrois qu’il est pas photogénique..l’instantané le dessert pour des bétises..lui il lui faudrait au moins un gif animé
Il parle d’amis, pour le fisc !
..tu veux dire qu’il a une barbe aussi ?
« Difficile d’imaginer sur un seul Blog, deux personnes aussi débiles »
Suggérez-vous vontraube que baroz et vous ne faites qu’un.
Je me disais aussi, cette histoire der Cannes.
par exemple baroz, j’ai connu une fille qui avait une vache de coquetterie dans l’oeil..le regard c’est une perspective, un temps de reflexion..bref c’était assez bandant..sur photo c’était archi rapé, pas elle presque
« Il parle d’amis, pour le fisc »
il n’a pas de vrais amis
Et comme pratique c’est malhonnête, pas chrétien et après ça critique les cannibales, les socialos et les cocos ! Trop facile!
« l’Humanité a accumulé, au fil des âges, un stock de protocoles expérimentaux politiques, sociaux, religieux »
déjà les lions n’ont plus de chrétiens à bouffer, tu parles d’un progrès
et pus d’marranes qui judaisent en secret pour les poires d’angoisse keupu..on s’marre moins c’est certain
Trop facile!
..c’est certain que pour lui compliquer la tâche..bref on smarre pas keupu
..t’es un triste sire keupu
Oui mon bel Assouline, pour savoir, il faut savoir s’imaginer…. Tout est dit.
quand on pense qu’une tarte comme le pov jicé en est réduit à biaiser le fix on regrette une bonne guerre
t’es un triste sire keupu
c’est clair
..tes un joyeux luron bouguereau..
cui qui ménerve c’est lancien félix popotin alias fred joseph gérard boudegras etc brèfe cui qui confont son stylo avec un déboucheur a troudballe..dsk vdqs épicétou..gueblo de meeerde..
La section intitulée Mythes et histoire évoque la fascination du peintre pour les hommes de pouvoir, Les six images de Lénine sur un piano,
15h06 Manuel Vals donne la couverture d’une actualité estivale cherche à éteindre la mèche reliée au baril de poudre(blanche) s’étourdit en recherche de solutions apaisantes étudie le PH du terrain raviné des Calanques prévoit des urgos pour ses administrés et des prisons pour tous les trafiquants ramifiés jusqu’à notre économie en forme de machine à laver.
C.P. je suis désolé, c’est vous qui avez raison, bien sûr, c’est évident.
je suis un peu comme Jep Gambardelli : je n’ai pas envie de ma fâcher avec vous.
ni non plus avec vous renato.
bien sûr que je ne vais pas jouer les Jep Gambardelli, dire dans un moment pitoyable de lucidité leurs quatre vérités à tous nos écrivains compatissants.
C’est que comme Jep je ne suis un provincial, du coup j’idéalise un peu.
Je vous l’accorde c’est un bon film, il nous montre à quel point les choses se sont arrangées de telle sorte que nous n’avons désormais que deux alternatives possibles : adhérer et entrer dans le rang ou être pitoyable… comme ce pauvre Jep dont les états d’âmes sont condamnés à n’intéresser personne, pas plus le spectateur que lui-même.
bien à vous.
un album n’estpas un livre1662 lat. album amicorum « petit cahier blanc des voyageurs destiné à recevoir des autographes ou des sentences » (Ch. de Saint-Evremond, Comédie à la manière des Anglais, Sir Politick would-be, III, 2 ds Rob. : Ils [les gens de lettres allemands] se munissent … d’un livre blanc bien relié, qu’on nomme « album amicorum », et ne manquent pas d’aller visiter tous les savants des lieux où ils passent, et de le leur présenter, afin qu’ils y mettent leur nom); 1704 album cité dans la liste Differentiae vocum latinarum à la fin de Trév.; 1762 id. « id. » (J.-J. Rousseau, Ém. ds Littré 1863 : Un Allemand porte son album chez tous les savants); 1762 (Ac. : Album […] Il se «
Si la littérature est une sorte de polder de surface flottante et mouvante à géométrie en perpétuelle construction parce que la terre ferme ne suffit n’a jamais totalement comblé la soif et l’appétit des hommes,comment pourrait-on définir le territoire de la photographie ou celui de l’Image?
Le sens 1 b existant seul dep. le xviiies. apparaît, selon Kluge 1967, chez Nehring 1684, Manuale, 112; le sens 2 directement emprunté au lat. album « tableau blanc (blanchi au plâtre, exposé publiquement, pour que tout le monde pût lire ce qu’il portait écrit) » (Lucilius, 588 ds TLL s.v., 1507, 62).
« comment pourrait-on définir le territoire de la photographie ou celui de l’Image ? »
Un gouffre recouvert de sable mouvant ?
A moins que ce ne soit de sable émouvant !
à une époque si proche Sartre écrivait : « je tiens Flaubert et Goncourt pour responsables de la répression qui suivit la Commune parce qu’ils n’ont pas écrit une ligne pour l’empêcher. »
tous nos écrivains ont lu cette phrase, elle a dû les marquer, à un point tel qu’on aurait envie de renverser l’accusation de Sartre, écrire : je tiens pour responsable des misères de ce monde tous nos écrivains, ils ont écrit trop de lignes pour pouvoir les empêcher.
Un sujet comme celui-ci mériterait mieux que cet étalage de vulgarité, cet usage immodéré de la rigolade. N’avez-vous, messieurs, aucune retenue, aucune décence, en pensant aux victimes du communisme stalinien. Ces regards ne vous disent rien, vieillards oublieux ?
il a été rapporté que pour les « jeunes de la shoah »
rien n’était plus « excitant » que de se faire photographier au photomaton et de voir leur photo
« bouguereau dit: 21 août 2013 à 16 h 03 min
..t’es un triste sire keupu »
je sais greubou, est-ce un crime?
Greubou, je voulais te dire une chose : tu saisn ne le prend pas mal mais je ne voudrais que notre relation amoureuse commence avant d’avoir été présentés à nos parents respectifs.
c’est mon côté puritain.
j’espère que tu le comprendras et que tu ne m’en tiendras pas rigueur.
Que suggérez-vous pour ces écrivains que vous annoncez désengagés, les usines sont fermées restent les travaux d’utilité publique en attendant une ambassade…au minimum
X respect bien évidemment le victimariat prend cependant d’autres formes dans les pays où l’on assassine pas purement et simplement pour garantir la zone géo-politique.
Jacques Barozzi, pour la forme du film vous pensez à sa façon de filmer la ville de Rome, les plus belles fontaines, les plus belles statues, les plus belles demeures, les plus belles femmes, les plus belles actions du calcio….
je l’ai trouvée dérangeante, un peu trop putassière compte tenu du sujet, c’est tellement facile de nos jours de se faire enfumer, entre ceux qui savent écrire, ceux qui savent parler, ceux qui savent photographier et ceux qui savent filmer c’est si vous saviez mon ami comme c’est tellement facile de se faire entuber.
Vos commentaires, je m’en essuie le fondement.
Rigoler, c’est tout ce que vous savez faire, les hamlet, C.P., bouguereau, Barozzi, bérénice… J’ai honte pour vous.
Et puis zut !
« X… dit: 21 août 2013 à 17 h 24 min
Un sujet comme celui-ci mériterait mieux que cet étalage de vulgarité »
bonjour X, vous avez vu le film de Sorrentino la Grande Bellezza?
je crois qu’il est hélas bien trop tard.
la vulgarité s’est installée dans notre monde de façon irréversible, rien ni personne (pas même ce pauvre Jep Gambardelli ne pourront rien y faire).
si le mélange entre la lourdeur du réel et la légèreté de la futilité vulgaire vous semble incompatible, la seule chose que nous pourrions être en mesure d’exiger serait d’interdire, désormais, la publication de ce genre de livre : notre monde n’est malheureusement plus en mesure de les accueillir.
que le spectacle continue!
et si on faisait le petit train sur une musique techno, histoire de faire la teuf.
Hamlet triste constat, il vous manque un bon bouclier. Vous ne voudriez tout de même pas mettre en péril l’équilibre fragile de l’ordre qui s’établit fermement entre les forts et les faibles, les dominants et dominés, exploitants exploités, riches pauvres, exposants exposés, vendeurs vendus, combattants combattus, patrons syndicats, éduqués déscolarisés, bourgeois nouveaux pauvres…
c’est une bonne chose d’avoir parler de ce film juste au moment où Monsieur Assouline évoque ce livre.
oui, c’est une excellent chose, pour tout le monde.
ma pauvre bénérénice, le temps de ces combats est hélas bien loin derrière nous, notre monde continuera sa marche, inexorablement, le gouffre qui sépare les nantis et les déshérités continuera de se creuser, inexorablement, le nombre d’artistes compatissants grossira démesurément, inexorablement, l’avenir de ce monde est voué au malheur et à la compassion, inexorablement, ma pauvre bérénice, l’avenir de ce monde n’est désormais voué qu’aux larmes.
Si ces témoins (dans le sens où ils donnent un visage au crime d’état) servent de point de départ on peut mesurer la distance qui sépare deux mondes mais vue d’ici, ce que vous rapportez du film mène à la Dolce vita, son désenchantement, sa poésie mélancolique mais vous Hamlet trouvez vulgaire le résultat?
C.P. vous pourriez demander à Mathias Enard de venir un jour sur le blog de Monsieur Assouline?
pour qu’on puisse discuter avec lui?
Mon impression dont je ne vérifierai pas la justesse est que le monde tourne en rond à la vitesse d’une centrifugeuse.
Bonjour Hamlet. Non, je n’ai pas vu ce film, je ne peux en parler, ou plutôt je pourrais en parler pour n’en rien dire.
JC sors du corps de X ….
bérénice : quelle distance sépare ces deux mondes ? la vulgarité ? dommage je n’ai pas noté toutes les phrases profondes qui ponctuent le film, je n’ai retenu que la dernière : « sous le blabla se cache le silence et les sentiments. Que ce roman commence.. »
croyez-moi : toutes les autres sont toutes du même tonneau, chaque pensée profonde dite dans ce film vaut à elle seule son pesant de cacahouètes.
même dans la collection harlequin on ne doit plus trouver ce genre de phrase.
Idin Samimi Mofakham :
berenice je ne sais pas il faut faire le calcul : la terre tourne à la vitesse de 30 kms/s et les ultracentrifugeuses les plus rapides doivent tourner à environ 200 mille tours à la mn.
essayez d’imaginer : en une minute 200 mille tours ça fait plus de 3000 tours à la seconde, en une seconde : 3000 tours, et une seconde c’est pas long, non, pas la peine d’imaginer, l’esprit n’arrive pas à imaginer ce genre de chose.
Vous souvenez vous des citations que le personnage féminin de « in the cut » lit dans le métro et qui ponctuent le film de JC; un paysage intérieur défile puis c’est la confrontation avec la réalité crue, ce crime, la prostituée, l’homme à l’abeille tatouée,le policier, leur sensualité qui transpire le désir entre ces deux êtres distants.
Rigoler c’est important…
Enfin, hamlet, il y a la société du spectacle et en conséquence les pour et les contre… ça c’est le paysage et en le regardant on peut se demander que feraient « les contre » s’il n’y avait pas « les pour » ? comment justifieraient-ils leur existence ?
Et en face, il est évident que « les pour » voient leur influence augmenter parce que critiqués par « les contre » qui passent pour des gens cultivés (ça se discute, mais bon, on se tient au poncif).
Il y a évidemment complicité entre les deux champs, et si on est un chouia paranoïaque, on peut identifier un dessin en filigrane, et enfin se dire : « Des bandits, qu’ils soient pour ou contre, ce ne sont que des bandits ».
TKT dit: 21 août 2013 à 13 h 22 min
D., personnage de fiction ? Non, je l’ai aperçu en 2006 au Centre Culturel Suisse de Paris
ha! ha! ha! ha!
Ne vous fatiguez pas, renato, hamlet refuse de comprendre. Il préfère végéter dans son ornière.
À chacun sa croix : celle de Jacques Barozzi est TKT.
La mienne est hamlet.
Rigoler, ça sert à rien.
Nous aimons tous « rigoler » ! Pourtant ces visages hallucinés devraient faire comprendre aux débiles rieurs de ce bloc que ces pauvres gens,assassinés par les sauvages communistes adeptes de l’homme nouveau, n’inspirent rien de drôle et doivent susciter chez nous, respect, amour et vigilance.
Pourquoi tant de cérémonie! Hypocrisie ces gens ont été victimes de l’hypocrisie planifiée des quelques malades historiques qui ont eu en charge l’état.
ces pauvres gens,assassinés par les sauvages communistes adeptes de l’homme nouveau, n’inspirent rien de drôle et doivent susciter chez nous, respect, amour et vigilance. (X…)
Foutaise. Ces guignols ne m’inspirent qu’une énorme envie de rigoler.
Vous vous perdez vous même, intellectuellement, sachant ce qui vous attend, John Brown. Ivrognerie.
« si vous saviez mon ami comme c’est tellement facile de se faire entuber. »
Pas si facile que ça, croyez-moi, hamlet, j’aimerais bien !
Et puis comme dirait sergio, mieux vaut bien que mal. Avec le film de Sorrentino c’était même très bien… ça m’a donné l’envie d’aller passer quelques jours à Rome, où je ne suis plus retourné depuis quatre décennies !
J’avais vingt ans, et j’avais songé à venir y vivre plutôt qu’à Paris.
Mais après coup, de retour de la Ville éternelle, je lui avait trouvé un air encore trop provinciale, quoique indéniablement magnifique. Je pris alors un billet pour Paris…
De guerre lasse ce blog ressemble de plus en plus au désert des tatares! Mais enfin la guerre les périodes de transition permettent l’expression de toutes les perversions: sadisme cruauté mentale inhumanité
tortures appliquées violences viols, tout peut être justifié au nom de l’ordre qui s’installe asservissant soumettant corrompant coercitif.
Un palais parisien (Bourbon-Condé) a failli partir en fumée cet après-midi !
Ouf, la Grande Bellazza va pouvoir continuer !
Le parti pris du recueil saute aux yeux dès la couverture. Ni titre, ni auteur, ni éditeur.
ils s’effacent devant les questions qu’ils rappellent par leur travail
bérénice, pendant que certains commémorent les morts en lisant des albums, d’autres envoient des armes chimiques contre leur propre peuple. Où croyez-vous qu’il soit le plus urgent de porter notre regard… compatissant ?
Notre regard compatissant n’est pas même une aumône ni soutien, les experts à Poutine ont trouvé que les gaz avaient été utilisé contre l’armée régulière, surement lisons nous mal la même actualité.
« Ces regards ne vous disent rien »
que faire?
bérénice dit: 21 août 2013 à 20 h 20 min
« De guerre lasse ce blog ressemble de plus en plus au désert des tatares! »
Au Désert des Tarés, oui.
On ne doit pas plaisanter avec les morts de la dictature communiste soviétique : mes grands parents-maternels y ont laissé leurs espérances, leurs enfants sauvés de justesse.
Les rires de John Brown, et des Français, sont imbéciles.
bN’oublions pas que nous sommes coupables dès la naissance (même avant)-c’est écrit
Ne sentez vous pas à quel point vous êtes bêtes de niveler vos sentiments sur de pareils récits ? Pornographie sans orgasme.
Facial Scanning Is Making Gains in Surveillance
http://www.nytimes.com/2013/08/21/us/facial-scanning-is-making-gains-in-surveillance.html?nl=todaysheadlines&emc=edit_th_20130821&_r=0
tégniez dit: 21 août 2013 à 20 h 46 min
N’oublions pas que nous sommes coupables dès la naissance (même avant)-c’est écrit
—
C’est exact et cela s’appelle le péché originel.
Et c’est pour cela que Dieu s’est incarné pour que nous soyons sauvé, car Dieu est Justice, il n’y a pas plus juste que Lui.
Jacques Barozzi, savez-vous qui était en possession de ce superbe hôtel avant sa vente à l’État ?
« En un quart de siècle, l’Européen d’aujourd’hui a vu la guerre mondiale, des révolutions victorieuses, des révolutions vaincues, une révolution dégénérée, les fascismes, la crise économique, le réveil de l’Asie, de nouvelles guerres coloniales… On comprend qu’il soit las et inquiet. On se souvient qu’il a beaucoup écopé dans tout ceci. Et pourtant, on voudrait lui crier que ce crépuscule d’un monde a besoin de lui, besoin de chacun de nous ; que plus les heures sont noires et plus il faut de fermeté à considérer les choses en face, à les nommer par leurs noms, à accomplir malgré tout le simple devoir humain… la vie continue et elle aura le dernier mot. Aucune évasion véritable n’est possible, sauf celle de la vaillance. »(Victor Serge, Chroniques, 1936-1940)
mon pauvre hamlet, si tu savais comment fonctionne un générateur de gravité artificielle. C’est précisément une petite boule très massive qui tourne à une vitesse folle, mais autrement plus folle que tes 3000 tours/secondes. Et pour que la bille ne se désagrège pas sous l’effet de la force centrifuge, elle est faite d’un élément chimique synthétisé en réacteur nucléaire : l’élément 115, le seul capable de garder sa cohésion. T’en as, toi, de l’élément 115 ?
Ben non, bien sûr, t’étais pas à Roswell en 1947 en train d’en ramasser dans les débris.
Je parle trop. Je vais avoir des ennuis un jour.
vous aviez quel âge en 1947, D. ?
la pompe à huile est naze, ça colle plus, désolée
foutus correcteurs automatiques !
et cet avis dans le temps d’un médecin selon lequel internet menacerait le cerveau, est-ce une manière de terroriser la population pour retrouver une hégémonie
vomme par hasard ainsi était-elle annoncée avec pour iconographie un enfant
Un psychiatre allemand assure dans un livre à succès que les médias numériques provoquent une dégénérescence du cerveau
comme par hasard , voici encore une annonce sur le même
Manfred Spitzer, professeur à Ulm, ville universitaire du Bade-Wurtemberg, a établi une thèse provocante : les médias numériques font pour ainsi dire « perdre la raison » à l’humanité, qui risque une « démence numérique
tortures appliquées violences viols, tout peut être justifié au nom de l’ordre qui s’installe asservissant soumettant corrompant coercitif. (Bérénice)
Ah ! je bande !
voici un lien sur la question « démence numérique
http://www.bluewin.ch/fr/index.php/97,650674/_Demence_numerique___les_smartphones_et_consorts_rendent_ils_idiots_/fr/multimedia/
Ce n’est pas ma faute, mais je dois dire la stricte vérité puisque vous m’interrogez.
Je n’en ai d’ailleurs jamais tiré aucune fierté particulière.
« démence numérique »
Le processus a commencé par l’invention de l’écriture… enfin, on commence par un aide-mémoire et l’on se retrouve avec une société d’abrutis — incapables de faire quoi que ce soit avec leur tête… parfois même avec leurs mains. Et voilà que pour caser ces pauvres gens, on invente la psychiatrie, les plus atteints c’est psychanalyste qu’ils font…
C’est vrai ce que vous dites-là, renato.
Au départ il y avait beaucoup de psys ici, je ne sais pas ce qui les attirait mais c’était un fait ils étaient légion. J’en ai chassé beaucoup. Pour la plupart ce sont des peureux, ils ne reviennent pas de sitôt.
Cet espace de commentaires est depuis beaucoup plus sain et pur.
Bérénice, j’aimerais que vous vous recentriez sur moi et moi seul. Ces dernières semaines je vous ai surprise en train de converser avec des inconnus ici-même.
quand même pas certain que Lacan ait été un des plus abrutis de son époque !
…
…un point de vue,…
…
…le chantage aux » amalgames » institutionnalisées,…quoi encore,…allez exprime-toi,…
…
…le sens entre l’intelligence par l’éducation maîtrisée ( des courtoisies & connivences d’exactitudes ), langages, précisions du progrès par les mathématiques diverses,…pour l’exercice d’un emploi,…
…
…et, dans le même cas de figure » inversé « ,…le chantage aux endoctrinements dits de corps » de métier, de racismes, ou nationaliste confirmé « ,…( il est des nôtre ),…
…
…or, l’école pour les métiers,…ne doit pas devenir,…un mariage forcé,…avec les traditions, la religion dominante,…un club de K.K.K.,…ou des banquiers de lobbying dominants le social d’Eve à Adam,…
…
…ainsi,…d’engrenages à engrenages,…les moteurs fonctionnent et roulent,…mais en fin de compte,…pour qu’elles machines, qu’elles machinations,…contre qu’elles libertés à perdre,…
…
…déjà,…tout ces gens sur concours et sur tablette,…l’êre des loisirs suffocants,…
…le paradoxe des sciences appliquées à la destructions des hommes libres,…
…une véritable religion de remplacement,…l’opium du peuple,…et le virus du lucre,…dans l’homogénéité libérale différenciée,…
…
…il fallait que ce soit encore moi,…qui l’a sorte celle là,…d’un trait,…etc,…
…que du bonheur,…etc,…Bip,…Bip,…Ah,…Ah,…etc,…
…bonne soirée,…
en l’occurence , ce ne sont pas des lacaniens qui ont connu cette période de la grande terreur en U.R.S.S.mais Freud et des freudiens, et il n’y avait pas internet
Considérer Lacan comme un abruti risquerait donner raison à celui qui incrimine le numérique !
…
…en plus,…que pratiquement tout les métiers sont sont journaliers, les mêmes gestes, les automatismes, du matin au soir,…
…
…chouette, vous êtes arrivé en retard ce matin ,…déjà » amoureux « ,…des métiers hauts-placés à rien foutre, automatismes oblige,…
…
…conclusions,…nous vivons tous dans des Stalag 13,…avec courbettes et sans-chichis, de ne pas en être des pigeons,…
…prions les satellites qu’ils ne nous retombent pas sur la tête à » Méduse « ,…etc,…Bip,…Bip,…Ah,…Ah,…etc,…
…
D. dit : J’ai 824 ans, Jacques. Je suis né en mai 1189 et je suis l’un des Chevaliers de la table ronde.
renato dit : « démence numérique »
D. dit : C’est vrai ce que vous dites-là, renato.
renato, je crois qu’il nous manque un paramètre, il doit y avoir une chose évidente à côté de laquelle nous passons, il faudrait faire abstraction des oppositions, réussir à trouver une théorie qui permette de réunifier le « pour » et le « contre », unifier ces différentes forces qui déplacent les volontés humaines sur ces échelles qui mènent du bien au mal en mettant de côté notre émotion.
un peu comme si nous prenions toutes les notes d’une partition et nous les assemblions dans notre tête en faisant abstraction du temps, toutes ces notes totalement rassemblées du début à la fin, empilées les unes sur les autres, sans cette chose qui leur donne leur fore musicale définitive, comme au premier temps de l’univers, à la première seconde, tout le matériau est là, comprimé, cette matière contient déjà tout son avenir, tout est là : le bien, le mal, le pour, le contre, les bandits et leurs victimes.
https://www.youtube.com/watch?v=0DRdxT7XE1E
C’est effrayant la BD. Quelqu’un aurait-il l’amabilité de bien vouloir m’indiquer dans quelle république placer ce morceau ?
http://www.youtube.com/watch?v=LnKJNWSK7q0
Cette union des contraires existe déjà : la vie humaine.
Album BD à placer dans la république des chiottes.
tentative qu’on évitera de dire scrupuleusement votre dit: 21 août 2013 à 23 h 31 min
quand même pas certain que Lacan ait été un des plus abrutis de son époque !
Certain ? non ! Généralement admis, oui !
Darlier dit: 21 août 2013 à 11 h 50 min
« La Grande Terreur Communiste, »
Staline n’était pas communiste.
Exact ! Stalin était décapitaliste.
@8 h 15 min
pauvre jc, décidément,toujours aussi ridicule
tomas toujours perspicace, et utile avec ça !
Il est des nôtres.
Observatoire de la RdL
Pas autant que toi
Bonjour ! C’est Blanche-Neige ! Me voila de retour…
Temps splendide ! Comment vont Grincheux, Prof, Dormeur, Simplet, Atchoum, Timide et Joyeux, mes chers petits choux ? La Grande Terreur vous a regardé dans les yeux, ça fait peur, non, ces systèmes politiques exigeants ? Vous l’achetez ce bouquin ? Oui, n’est ce pas ! Vous le devez…
J’ai lu ici que la Grande Terreur ne POUVAIT pas être communiste ! Exact ? Aveuglement ? Ultime connerie des amoureux de la dictature collectiviste ? Allez ! ne nous fâchons pas … et Bonne journée !
« Me voila de retour… »
tu n’es jamais parti hélas
On vient d’identifier Grincheux …
Joyeux c’est comme gay ?
Ou imbécile heureux ?
Jacques, Joyeux n’est pas gay !
(sauf information nouvelle …)
C’était pour dire que Joyeux c’était moi, JC !
Jacques Barozzi dit: 22 août 2013 à 10 h 09 min
c’était moi, JC !
Allons bon, le mystère s’épaissit.
(Si vous dites à TKT que vous êtes JC, Barozzi, soit il aura une apoplexie soit il ne vous croira pas.)
Bonne nouvelle, Jacques : personne n’est parfait !
(vous avez une idée pour Simplet ?)
une idée pour Simplet ?
Inutile d’essayer, TKT est imperméable aux idées.
» lu ici que la Grande Terreur ne POUVAIT pas être communiste »
tu parles de la terreur de l’oas que tu admires tant
Mon crémier, un type qui a de la jugeote et qui est diplômé (Certificat d’Etudes), m’a dit tout de go : « En France, les Ecologistes ont fait plus de mal à l’Ecologie que toutes les industries polluantes de l’Hexagone ! »
Faut dire que Placé, Mamère et la Grande Lavandière Duflot, ça fait peur de voir ce qu’ils bouffent comme couleuvres pour avoir de l’or, du cuir chaleureux et de la boiserie séculaire autour d’eux …
Baroz
le gnome de PQ contourne le fisc? Quant au « paradis » que serait d’après vous cette pauvre île, quand on voit le gnome et/ou l’ attardé qui y végète, on fuit plutôt!
Louis, t’es vraiment con : les assassinats de l’OAS ? Cinq minutes de l’action meurtrière des cocos soviétiques !
Tu veux l’adresse d’un psychiatre ? j’en connais plusieurs, et des bons…
Grincheux : JC
Prof : renato
Dormeur : M. Court
Simplet : TKT
Atchoum : Gio…,va…,n…,n…iii!!!
Timide : bouguereau
Joyeux : John Brown
Bon, Pilou, c’est noté : Simplet, c’est Thierry.
Curieuse, cette unanimité sur Simplet ….
JC….. dit: 22 août 2013 à 10 h 33 min
Louis, t’es vraiment con
Hélas, malgré toute la détestation que nous inspire JC, nous sommes obligés de lui donner raison sur ce point. Son troll est vraiment con.
La perfection n’étant pas éligible le vocabulaire par définition ouvre la critique constructiviste positive. Simplet ne trouve pas domicile dans votre monde JC c’est d’ailleurs pour cela que des journées portes ouvertes sont prévues dés la rentrée dans des CAT notamment pour un accès plus documenté de réalité au handicap, bien entendu vous pouvez d’ici là prendre tous ceux que vous voudrez pour des imbéciles du moment que votre jugement reste tapi dans l’ombre, ne constitue pas un sujet d’article dans la presse qui a l’habitude d’informer en laissant la conclusion au lectorat, d’un même fait événement phénomène accident incident, liberté s’offre de comprendre ce qui s’accorde à nos valeurs personnelles. Résumé:Ne rien dire qui fâche de façon frontale sinon sauf à faire partie du sérail qui dans ce cas de figure servira de tampon-encreur.
Curieuse, cette unanimité sur Simplet ….
Pas curieuse, tout à fait prévisible, au contraire. (Certes, ce pauvre Thierry s’est fait un pote avec Barozzi. On ne sait s’il faut plaindre notre Jacques ou le prénommer Simplet lui aussi.)
Si on accepte les rôles travestis, ou si l’on ne fait pas de « fixation sur le gender », dirait l’immense Zürichois, je verrais bien DHH en Timide et christiane en Atchoum.
bouguereau, qui aime tant faire la leçon à tout le monde, on pourrait en faire Prof. Grincheux irait bien à renato.
Bérénice, je donnerai volontiers un peu de mes innombrables qualités humaines – elles finissent par m’isoler – pour tenter de sauver les âmes de ces trolls terrifiants de bêtise, comme celle de Thierry Simplet que j’affectionne tout particulièrement …
Mais la prudence s’impose : résisteront-ils à la greffe ? Ce changement – quasi hollandais – ne sera t il pas trop puissant ?…
La distribution est plaisante, Victorien !
Petite Terreur sur un billet consacré à la Grande : n’allons nous pas manquer de nains ? Devons nous hésiter à créer des postes de nains en Contrat de Projet ? …
Osons, que diable ! Osons !
Voyons si la ponctuation permet d’élucider son texte :
« La perfection n’étant pas éligible, le vocabulaire, par définition, ouvre la critique constructiviste positive. Simplet ne trouve pas domicile dans votre monde, JC. C’est d’ailleurs pour cela que des journées portes ouvertes sont prévues, dés la rentrée, dans des CAT*, notamment pour un accès plus documenté de réalité au handicap ; bien entendu, vous pouvez d’ici là prendre tous ceux que vous voudrez pour des imbéciles, du moment que votre jugement reste tapi dans l’ombre, ne constitue pas un sujet d’article dans la presse qui a l’habitude d’informer, en laissant la conclusion au lectorat, d’un même fait, événement, phénomène, accident, incident, liberté s’offre de comprendre ce qui s’accorde à nos valeurs personnelles. Résumé: ne rien dire qui fâche de façon frontale, sauf à faire partie du sérail qui, dans ce cas de figure, servira de tampon-encreur. »
CAT : Centre d’acclimatation thermale.
Nous venons d’identifier la provenance des commentaires signés JC (Jeune Conseiller) : un bureau proche du Président, Palais de l’Elysée.
Il agirait ainsi pour combattre l’inaction, génératrice d’ennui au plus haut sommet de l’Etat.
Eh… les gars & les filles d’chez l’Assoul, je vs signale que le dernier petit belge d’Amély Nothomble, « la nostalgie heureuse », est formidab’…
Vite, à vos protège-cahiers d’achats pour la rentrée littératée, la crécré, c’est fini !
l’engrenage stalinien : l’aveu (Arthur London-Coats Gavras) https://www.youtube.com/watch?v=C2Henxrk3KE
(et « bravo » au faf de PQ pour minimiser les horreurs de ses pairs de l’oas: il n’en ressort que plus éclatant dans toute sa co..erie)
« les assassinats de l’OAS ? Cinq minutes de l’action meurtrière des cocos soviétiques ! »
plus con et abject que jc ladolphe, c’est pas possible
créer des postes de nains en Contrat de Projet ?
Essayons :
Marcheur : baroz
Grimoire : Court
Accordeur : C.P.
Péteur : bouguereau
Je-sais-tout-mieux-que-vous-my-tailor-is-rich : Bloom
Ampoulé : odradekalexlew
Faux-cul : u. (car quand il faut, y a qu’u.)
L’Incroyable Hurk : phil
Il ne s’agit pas de défendre le stalinisme mais de pouvoir le critiquer sans être assimilé à l’extrême-droite et ses admirateurs dont l’idiot, raciste, de Porquerolles. De rien.
Pour info, l’estimation des morts attribués à l’OAS fasciste avoisine la centaine…la Grande Terreur a mis à mort, elle, directement quasi UN MILLION de russes !
Cliniquement, votre délire comparatif est, ceci dit, tout à fait intéressant …
Pincette : Chaloux
Excellent, Victorien ! Je pense qu’un nain, que nous pourrions nommé Delirium, devient nécessaire, car comparer la Grande Terreur, dont on parle, avec les soubresauts meurtriers dus à l’OAS, ça justifie le poste !
Être payé pour marcher, je signe Victorien !
Pas de contrat-emploi pour renato ?
les antifachiss se foutent sur la guiffe.vous devriez vous entre faire des mugshots aussi..rho cte terreur pour les génération futures
Euh, Victorien, pour nos erdéliennes, toutes à la cuisine ?
Le nain Maelström pourrait emporter, à défaut de contenir totalement, Dexter, Hamlet, Zeno, Puck, D., etc, etc …. ce serait un nain philosophique polymorphe, et il nous en faut un.
Bien entendu, Blanche-Neige aurait une assistante…
..tes poteaux t’ont crispés jicé..ça se sent..détends toi du troudbal comme disent les jeunes..s’sont cassé ces chieurs
je lis..keupu a tous les étages..une infestation
A la réflexion, je vais acheter trois albums La Grande Terreur : j’en offrirai un à Laurent, Pierre et Mélenchon Jean-Luc. Dédicacés.
On s’est régalé à parler musique, Bougboug : c’était des producteurs new-yorkais pas affolés du troudbal pour deux sous ! Sissi !
Jacques,
Qui verrais-tu comme Naines ?
(parlons d’assistantes, non ?)
pour nos erdéliennes, toutes à la cuisine ?
Y a pas de naines dans l’histoire.
Blanche-neige : christiane
la sorcière : Daaphnée
la fée : DHH
Il faudrait créer de nouveaux rôles (les épouses des nains ?)
Marcheur : Barozzi !
Plutôt Erreur, dans tous les sens.
ligne de coke, bimbo et américane esspress..
bon keupu m’indispose cmatin jicé..bonne journée
Simplet : TKT
C’est vraiment pas sympa pour Simplet qui est plutôt un chouette mec.
bouguereau dit: 22 août 2013 à 11 h 39 min
Ouf !
Comité de défense des nains sympathiques dit: 22 août 2013 à 11 h 47 min
TKT : Alberich
Être payé pour flâner et constamment me planter dans mes jugements, pas de problèmes, je signe quand même !
Pour info, l’estimation des morts attribués à l’OAS fasciste avoisine la centaine…la Grande Terreur a mis à mort, elle, directement quasi UN MILLION de russes !
Pour info? ah c’est vrai tout le monde l’ignorait!!
Il est marrant jc le binaire, l’ignare, avec ses calculs de boutiquier et ses colères dès que ses pareils sont mis en cause
« des producteurs new-yorkais »
l’honneur est sauf
Alberich exige une méchanceté d’ordre supérieur …
Excuse jc le troll , mais la fin sanguinaire de cent trente ans de galère (commencés par des enfumades) pour tout un peuple, tu trouves que c’est rien, ou si peu, t’es un gros c..
pour info dit: 22 août 2013 à 11 h 07 min
Tu as compris, maintenant, gros bêta ?….
La départementalisation de l’Algérie fut la meilleure chose qui pouvait arriver à ce territoire « émergent » !
(et hop, on est parti pour une bonne centaine de commentaires…)
Justifier les millions de morts soviétiques par les turpitudes (inadmissibles) de l’oas, faut oser.
Quelques inconditionnels de Badiou osent encore.
Regardons la Grande Terreur en face !
« PEOPLE – La rumeur courait depuis des années mais mercredi 21 août l’acteur Wentworth Miller a confirmé qu’il était bel et bien gay. Invité au Festival international du film de Saint-Pétersbourg, le héros de la série à succès Prison Break a décidé qu’il était temps de rendre publique son orientation sexuelle.
« Je vous remercie de votre aimable invitation. Ayant apprécié mes visites en Russie par le passé et possédant des origines russes, je serais heureux de venir », a écrit le comédien dans une lettre au directeur du festival. « Étant gay, je me dois cependant de refuser ».
Ce dernier a ensuite expliqué plus longuement sa décision:
« Je suis profondément dérangé par l’attitude et le traitement actuels du gouvernement envers les hommes et femmes qui sont homos. La situation est inacceptable et je ne peux pas, en mon âme et conscience, participer à un événement festif qui se déroule dans un pays ou des gens comme moi se voient constamment interdire les droits humains de vivre et d’aimer en toute liberté. » »
Illustration
http://famous-wallpapers.com/wp-content/uploads/2009/05/wentworth_miller-1280×1024.jpg
« Alberich exige une méchanceté d’ordre supérieur »
D’accord.
TKT : un petit nain bien méchant mais stupide qui voudrait être Alberich à la place d’Alberich pour piquer l’or et s’enfuir en Suisse.
« Quelques inconditionnels de Badiou osent encore. »
« Quelques in-con-ditionnels de Badiou osent encore. » me parait très adapté… ce type est un véritable connard ! Bien français… une relique maoïste.
Ces photos sont manifestement truquées ! Elles ressemblent à s’y méprendre à celle de malades mentaux, pensionnaires de l’hôpital psychiatrique de Cracovie,dans les années 1935/1939. J’ai pu avoir accès aux archives de l’hôpital (je tiens à la disposition des curieux le dossier complet). Il s’agit en réalité de dangereux psychopathes qui, comme bien l’on pense, n’ont jamais mis les pieds en U.R.S.S. . La femme à gauche s’appelait en réalité Wanda Ovoulovska, dite « la Terreur des bébés », convaincue d’enlèvements, meurtres et anthropophagie. Le personnage au centre, Gastron Baschlardow, était un assassin et faussaire, dont le moindre délire était de se prendre pour TolstoÏ. Le personnage de droite, Trophime Arlowski –arrière-petit neveu du grand Frédéric (Chopinowski) — répondait au surnom de » l’égorgeur au rasoir ». Quant au prétendu Alexei Grigorievitch Jeltikov — de son vrai nom Tithon Bittembow –, maniaque sexuel et pseudo-prophète inspiré, il soumettait, en tant que « Messie cosmogalactique » (c’est le titre dont il s’était affublé ») ses nouvelles converties aux traitements qu’on imagine. Pour des raisons de sécurité publique qu’on peut comprendre, tout ce joli monde fut transféré, après 1940, sur ordre des autorités d’occupation, dans un établissement spécialisé proche de Cracovie, à la suite de quoi on perd leurs traces.
« Pour savoir, il faut s’imaginer », a dit excellemment Georges Didi-Huberman. Il parle d’or.
Tu nous prends pour des billes, Johnnie !
Nous savons bien que le « Messie cosmogalactique » (c’est le titre dont il s’était affublé ») s’appelle Dédé ! Tes explications ne sont que tissu de mensonges …
Tu touches combien de l’Ambassade …?
romain dit: 22 août 2013 à 12 h 05 min
avoisine la centaine
Oui ça fait léger des sanctions s’imposent über alles…
Pierre Assouline, il y a une chose curieuse qui vient seulement de me sauter aux yeux dans A TWIT’ VITESSE : « CosmoZ », un chef d’oeuvre de la rentrée ? Laquelle ? Ce roman de Claro a été publié en août 2010 aux éditions Actes Sud, et je l’ai lu à ce moment-là. La confusion vient-elle de Pierre Maury ? D’une publication en Poche ?
Bon, ce n’est pas grave…
@ »Justifier les millions de morts soviétiques par les turpitudes (inadmissibles) de l’oas, faut oser. »
T’as rien compris, laisse tomber
« un assassin et faussaire, »
le portrait du fou de PQ (connu aussi sous le nom de ‘moisissure’)
« -Comment expliquez-vous le succès rencontré par Un été avec Montaigne ?
-Antoine Compagnon : Mis à part l’excellent titre, très séducteur, ce succès public et critique répond à une attente: celle de découvrir ou redécouvrir un auteur classique, un sage, qui a rédigé un véritable exercice spirituel, fragmenté, et ce avec une grande liberté de ton. Reste que cet accueil est aussi réjouissant que déconcertant… »
Titre inspiré, pour ne pas dire plus, par Un été chez Voltaire, de Jacques-Pierre Amette, publié en 2007 par Albin Michel ?
Boh Maximilien avait déjà bien expliqué comment l’on s’y prend c’est cela la french touch…
ayant trouvé le nom possible avec un z comme je le lisais sur le volets des maisons dans mon enfance, pour un blog que je n’ai aucune envie de créer , je vous salue
les volets
ce n’est pas un z qui a me bouffer les S
qui va
@12 h 15 min
Pauvre tâche! plus con et lourd que toi, ya pas
Pour savoir, il faut s’imaginer. Et vous êtes tous là à vous goinfrer de vos ‘indulgences littéraires’, à batailler à qui a le plus long ‘zizi’ ou qui ‘pisse plus loin que son ombre’. Jusqu’à ce mort s’ensuive. Pitié!
anna dit: 22 août 2013 à 16 h 43 min
qui ‘pisse plus loin que son ombre’
Oui enfin là déjà faut savoir si c’est dans Hopper ou dans Chirico…
non, c’est dans Lucky Luke. Pas de chance Sergio…
anna dit: 22 août 2013 à 16 h 51 min
non, c’est dans Lucky Luke
Ha oui mais là c’est énormément complexe l’ombre de la cigarette c’est une paille…
Paille ou cigarette, tout part en fumée comme un Gainsbourg peintre des mots à l’instar d’un Hopper ou di Chirico
C.P. vous avez vu mes excuses?
en plus pour vous montrer que je n’ai pas l’esprit débile comme vous dites j’ai repensé au film de Sorrentino et j’ai pris 4 passages sur lesqels je suis partagé :
1 – ce moment magnifique où il croise Fanny Ardant dans la nuit, il l’interpelle et au bout de quelques secondes Fanny Ardant se retourne vers et murmure (on entend presque pas) : Dior j’adore… c’est la pub pour Dior la plus sensuelle que j’ai jamais vu.
2 – la pub pour Armani quand il est adossé à la fenêtre avec le Colisée en contre bas c’est splendie
3 – la pub pour Martini Bianco quand il est sur le hamac est bien sauf qu’ils auraient pu rajouter que l’abus d’alcool est dangereux, je veux pas encore faire le filousophe mais question ethique c’est limite
4 – quand ils sont dans le palais à déambuler entre les statues dans la pub pour Dolce et Gabbana c’est nul, là vous ne pourrez pas dire le contraire, ils auraient pu rajouter une musique, genre Mozart le requiem, le lacrimosa ou même Puccini.
vous voyez que j’ai l’esprit ouvert moi aussi, comme reanto, en tout cas je ne suis pas aussi buté que vous le dites.
non?
Keep fresh the target, hamlet, and hold your candle…up straight !
(« Tiens ta bougie…droite ! »)
« bouguereau dit: 22 août 2013 à 11 h 29 min
je lis..keupu a tous les étages..une infestation »
où qu’il est mon boubou adoré.
mon boubou je te rappelle que nous devons envoyer les invitations pour notre mariage !
mon boubou est choubidou mais il a parfois la tête en l’air.
anna 22 août 2013 à 16 h 43
le radotage ultracons. de certains est pénible
L’abus d’alcool est dangereux non mais qu’est-ce que c’est que cette histoire on croit rêver…
Non Fréd, il est péni(s)ble parce que décalé comme ‘L’érotisme décalé de Robert Desnos’. On se fout de la gueule de qui ici? A part de sa propre gueule… Pitié!
laissez Badiou tranquille le pauvre.
il va faire un film avec Brad Pitt, même à l’époque du maccarthysme les américains l’auraient laissé travailler en paix à Hollywood : c’est un communiste d’opérette.
d’ailleurs après son film il va en monter une, d’opérette, j’ai déjà un bout du livret :
– je suis un co.. je suis un co.. je suis un communiste
– les choeurs : il est un co.. il est un co… il est un communiste.
– je suis un ma… je suis un ma… je suis un maoiste
– les choeurs : il est un ma.. il est un ma.. un maoïste
– je suis un ni… je suis un ni… je suis un nietzschéen
– les choeurs : il est un ni.. il est un ni.. il est un nietzschéen
– oui c’est ainsi
– les choeurs : c’est ainsi?
– oui c’est ainsi
– les choeurs : ainsi ?
– ainsi que j’ai fait mon beurrrrrr…e
– les choeurs : il est impo.. il est impo.. il est imposé à l’isf
– je suis impo.. je suis impo… je suis imposé à l’isf
c’est une pièce très émouvante, j’en ai écouté un extrait j’ai en ai eu la larme à l’oeil.
il n’y a jamais abus de mots récoltés par un lexicogaphe
toujours des mots que l’on ne trouve que chez lui. L’une de mes nouvelles à paraître contient le terme « pchuteux », qui désigne un jeune homme prétentieux. J’aime lui emprunter des expressions anciennes ou à caractère régional. C’est ma façon de lui dire : « vois, tu étais encore sur mes genoux ! » Savez-vous qu’à l’entrée « se plaindre », on trouve par exemple le mot « ouiouiller » ?
voir le tweet
«
L’érotisme qui n’est pas décalé c’est juste un érotisme qui a changé deux fois de décalage…
Personne n’est exempt de dire des fadaises.Le malheur est de les dire curieusement*
*avec trop de soin
anna
après cinq ans de médiocratie et les débordements des lpn (qui s’y voient déjà)la propagande obscurantiste continue hélas
Vous voulez dire Montaigne ‘avec trop de soin ou dogmatiquement’?
un blog que nn seulement je n’ai aucune envie de craer mais om je n’ai aucuen envie de commenter .Parler pour ne rien dire ,très peu pour moi,merci vous puovez toujours aller vous faire empatapaoutéter chez les Zélènes-avec un z pour les volets .
le blog de P.Assouline est dissuasif et devenu contre productif il arriverait même dissuader de lire!
certains commentateurs ont déjà dit qu’il avaient 3 blogs : grand bien leur fasse!
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