de Pierre Assouline

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La République des livres
La Grande Terreur nous regarde

La Grande Terreur nous regarde

On dira que c’est une étrange idée que d’en parler au cœur de l’été, mais il n’y a pas de saison pour cela. Ces photos, ces visages, ces regards, attrapent le lecteur et ne le lâchent pas. Autant dire que ce livre nous regarde. Enfin, un livre… : un album très grand format qui doit bien peser deux kgs mais qui n’a rien du beau-livre. Il ne viendrait d’ailleurs à personne l’envie d’en faire un coffee table book. Vu le contenu, ce serait obscène.

La Grande Terreur en URSS 1937-1938 (traduit du polonais et du russe par Véronique Patte et Agnès Wisniewski, 412 pages, 40 euros, Editions Noir sur Blanc) a bénéficié du concours d’un certain nombre de soutiens et d’auteurs, mais il a un maître d’œuvre, ou plutôt deux : le photographe polonais Tomasz Kizny, à qui l’on doit déjà le projet photographique Goulag (2003), et la journaliste et directrice artistique Dominique Roynette. Ils en ont eu l’idée fixe et en ont été hanté jusqu’à l’achèvement du projet.

La terreur stalinienne ? Il ne s’agit pas là de la traiter dans son ensemble, en y incluant les purges, déportations massives, dékoulakisations, mais uniquement ce que les Russes appelaient la « iejovchtchina » et que les historiens ont baptisé « la Grande Terreur » avec force majuscules, à savoir les purges politiques opérées par le NKVD en 1937-1938. 1,7 million de personnes arrêtées sur l’ensemble du territoire de l’Union soviétique pour « crimes contre l’Etat » dont 750 000 exécutées clandestinement, soit un millier par jour pendant deux ans, enterrées en secret dans des fosses communes. Cela a suscité toute une bibliothèque. On se souvient surtout des livres d’Arthur Koestler et de Robert Conquest, mais peu se sont donnés comme but de la restituer par le regard et le visage.

Au premier abord, c’est un recueil de photos de l’identité judiciaire prises par les fonctionnaires de la police politique (NKVD) quelques jours avant l’exécution. A l’examen, c’est bien plus que cela car Tomasz Kizny a enquêté avec l’association moscovite Memorial ; il a réalisé une véritable topographie de la barbarie moderne en photographiant les lieux d’exécution et d’enterrement, les objets des condamnés, les familles des proches … Ils sont l’autre face indispensable de cette histoire ; car pour eux, ce fut l’attente et le doute des années durant puisque leur parent, interné « sans droit de correspondance », était officiellement membre de l’innombrable tribu des disparus.

Ce massacre systématique à l’échelle d’un pays-continent se voulait entreprise de nettoyage, d’épuration, de prophylaxie sociale. Les coupables sont connus : Staline, Iagoda, Iejov, Beria, Vychinski, Khroutchev, car une postérité de réformateur n’exonère personne d’un passé de bourreau. Sans oublier les complicités internationales, des apparatchiks purs et durs aux idiots utiles en passant par les militants et les compagnons de route. Ceux qui ont couvert, excusé, justifié. Ils ne savaient pas ? Mais au même moment d’autres savaient et le faisaient savoir.

Le parti pris du recueil saute aux yeux dès la couverture. Ni titre, ni auteur, ni éditeur. Juste un portrait, un regard qui nous hante dès lors qu’on le croise et le fixe et cette mention : « Alekseï Grigorievitch Jeltikov. Exécuté à Moscou en 1937 ». Un coup de poing, un choc, une réflexion. Il faut aller voir la tranche du livre pour savoir. Aucun souci d’esthétisation, rien de morbide. Les images sont souvent de qualité (piqué, contraste) car ce sont des clichés 6x9cm tirés d’après des négatifs 13×18 ou 18x24cm. Tout est très précis : nom, origine, fonction, adresse, dates, études… Certains n’ont pas vingt ans, d’autres sont à la fin de leur vie, ils n’ont tous que quelques jours, parfois quelques heures à vivre. Ce J’accuse est d’autant plus terrible que le texte s’y fait modeste par rapport à l’image. Même s’il y en aura toujours, on les entend déjà, pour soupirer d’un « A quoi bon encore ? » face à toute tentative de documenter le crime de masse. Les artisans de la Terreur ont réalisé ces portraits pour identification, tout en activant l’entreprise d’oubli des condamnés. Raté. Avis aux fonctionnaires du massacre : n’archivez jamais !

Dans sa critique du livre, le grand slavisant Georges Nivat a comparé ces portraits soit à des gisants étrusques soit à « des masques d’outre-tombe, sculptés dans une éternité de douleur et d’étonnement », semblables aux milliers de masques tous blancs mais tous différents que l’on peut découvrir à Tokyo en visitant le musée des masques Nô. On ne saurait mieux dire à quel point la terreur stalinienne ne regarde pas que les Russes mais l’humanité.

Ces photos sont à ranger dans une anthologie de la terreur entre les gravures de Goya et les dessins de Music. J’ignore si cela aide à concevoir l’inconcevable. Des documents d’archives sont reproduits, notamment l’administration de l’assassinat et les procédures d’exécution : fusillade dans une « cellule de la mort ». Comprend-on mieux désormais cette volonté d’anéantissement des « ennemis du peuple » dont la logique, une fois mise à nu, fait froid dans le dos si l’on songe qu’elle a fait école, au Kampuchéa notamment ? Dans sa contribution sur « le silence assourdissant des images », Christian Caujolle n’hésite d’ailleurs pas à mettre cet inventaire visuel en parallèle avec celui réalisé par un seul auteur à S-21, le centre de détention et de torture des Khmers rouges. Les clés d’explication sont là, et les historiens (Nicolas Werth notamment invite à « repenser » la Grande Terreur), convoqués à donner des textes autour de ces images, sont souvent convaincants, notamment lorsqu’ils disent l’impuissance des Russes aujourd’hui à circonscrire le Mal dans leur mémoire de la Terreur, comme l’explique l’historien Arseni Roguinski :

« A la différence des nazis qui tuaient essentiellement les « étrangers »- les Juifs, les Polonais, les Russes-, en Russie on tuait essentiellement les Russes, ce que la conscience refuse d’accepter. Dans notre mémoire de la Terreur, nous sommes incapables de répartir les rôles principaux, nous sommes incapables de mettre à leur place les pronoms « nous » et « eux ». »

Mais encore ? Peut-être que la phrase du philosophe Georges Didi-Huberman, spécialiste de l’image, placée en épigraphe de l’album, qui me parut si déroutante de prime abord est, à la réflexion, éclairante :

« Pour savoir, il faut s’imaginer »

 

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630 Réponses pour La Grande Terreur nous regarde

Jacques Barozzi dit: 21 août 2013 à 13h04

A défaut de rafraîchir, la déferlante littéraire chauffe.

« La palme du titre le plus savoureux de la rentrée va d’ores et déjà au premier roman de Romain Puertolas : L’extraordinaire voyage du fakir qui était resté coincé dans une armoire Ikea »

Jacques Barozzi dit: 21 août 2013 à 13h06

L’auteur, dont c’est le premier roman, travaille à la police des frontières et il y est question d’immigration clandestine. Que fait Manuel Vals ?

bouguereau dit: 21 août 2013 à 13h18

c’est pas déjà un peu le ghetto, JB ?

..des fois qui s’turaient pas qu’entreux..et les balles perdues?..non un mur comme à jérusalème..t’es pas inspiré du trés haut ça svoit baroz

bouguereau dit: 21 août 2013 à 13h25

la nénette en haut a pas froid aux noeils et a une belle bouche et le mec a lunette un vague air de dustin hoffman..le mec à barbe plane un peu

Jacques Barozzi dit: 21 août 2013 à 13h26

« je prends ceci comme un compliment. »

Merci, Thierry, mais ça va encore jaser.
Je me demande si JC, pour améliorer sa retraite, ne propose pas des balades en mer aux touristes. Il parle d’amis, pour le fisc ! Est-ce qu’il fait chambres d’hôtes et aussi la cuisine lui-même ? Faut avouer qu’il vit dans un petit paradis maritime, quoiqu’en dise Abdel !

bouguereau dit: 21 août 2013 à 13h32

t’as pas faux, sûr de lui on dirait qu’il va ramasser sa mise..l’probloc baroz, c’est que pour note génération les barbes c’est trop grillé..on est perturbé

bouguereau dit: 21 août 2013 à 13h35

cqui est certain c’est quy’a du défi chez les trois, le dernier voudrait bien mais jcrois qu’il est pas photogénique..l’instantané le dessert pour des bétises..lui il lui faudrait au moins un gif animé

bouguereau dit: 21 août 2013 à 13h37

Il parle d’amis, pour le fisc !

..tu veux dire qu’il a une barbe aussi ?

Les deux font la paire dit: 21 août 2013 à 13h38

« Difficile d’imaginer sur un seul Blog, deux personnes aussi débiles »

Suggérez-vous vontraube que baroz et vous ne faites qu’un.
Je me disais aussi, cette histoire der Cannes.

bouguereau dit: 21 août 2013 à 13h40

par exemple baroz, j’ai connu une fille qui avait une vache de coquetterie dans l’oeil..le regard c’est une perspective, un temps de reflexion..bref c’était assez bandant..sur photo c’était archi rapé, pas elle presque

gerard dit: 21 août 2013 à 13h48

« Il parle d’amis, pour le fisc »

il n’a pas de vrais amis
Et comme pratique c’est malhonnête, pas chrétien et après ça critique les cannibales, les socialos et les cocos ! Trop facile!

joseph dit: 21 août 2013 à 13h52

« l’Humanité a accumulé, au fil des âges, un stock de protocoles expérimentaux politiques, sociaux, religieux »

déjà les lions n’ont plus de chrétiens à bouffer, tu parles d’un progrès

bouguereau dit: 21 août 2013 à 13h59

et pus d’marranes qui judaisent en secret pour les poires d’angoisse keupu..on s’marre moins c’est certain

bouguereau dit: 21 août 2013 à 14h01

Trop facile!

..c’est certain que pour lui compliquer la tâche..bref on smarre pas keupu

anna dit: 21 août 2013 à 14h05

Oui mon bel Assouline, pour savoir, il faut savoir s’imaginer…. Tout est dit.

joseph dit: 21 août 2013 à 14h08

quand on pense qu’une tarte comme le pov jicé en est réduit à biaiser le fix on regrette une bonne guerre

keupu dit: 21 août 2013 à 14h19

cui qui ménerve c’est lancien félix popotin alias fred joseph gérard boudegras etc brèfe cui qui confont son stylo avec un déboucheur a troudballe..dsk vdqs épicétou..gueblo de meeerde..

bérénice dit: 21 août 2013 à 14h44

15h06 Manuel Vals donne la couverture d’une actualité estivale cherche à éteindre la mèche reliée au baril de poudre(blanche) s’étourdit en recherche de solutions apaisantes étudie le PH du terrain raviné des Calanques prévoit des urgos pour ses administrés et des prisons pour tous les trafiquants ramifiés jusqu’à notre économie en forme de machine à laver.

hamlet dit: 21 août 2013 à 14h52

C.P. je suis désolé, c’est vous qui avez raison, bien sûr, c’est évident.
je suis un peu comme Jep Gambardelli : je n’ai pas envie de ma fâcher avec vous.

ni non plus avec vous renato.

bien sûr que je ne vais pas jouer les Jep Gambardelli, dire dans un moment pitoyable de lucidité leurs quatre vérités à tous nos écrivains compatissants.

C’est que comme Jep je ne suis un provincial, du coup j’idéalise un peu.

Je vous l’accorde c’est un bon film, il nous montre à quel point les choses se sont arrangées de telle sorte que nous n’avons désormais que deux alternatives possibles : adhérer et entrer dans le rang ou être pitoyable… comme ce pauvre Jep dont les états d’âmes sont condamnés à n’intéresser personne, pas plus le spectateur que lui-même.

bien à vous.

tentative qu'on évitera de dire scrupuleusement votre dit: 21 août 2013 à 15h07

un album n’estpas un livre1662 lat. album amicorum « petit cahier blanc des voyageurs destiné à recevoir des autographes ou des sentences » (Ch. de Saint-Evremond, Comédie à la manière des Anglais, Sir Politick would-be, III, 2 ds Rob. : Ils [les gens de lettres allemands] se munissent … d’un livre blanc bien relié, qu’on nomme « album amicorum », et ne manquent pas d’aller visiter tous les savants des lieux où ils passent, et de le leur présenter, afin qu’ils y mettent leur nom); 1704 album cité dans la liste Differentiae vocum latinarum à la fin de Trév.; 1762 id. « id. » (J.-J. Rousseau, Ém. ds Littré 1863 : Un Allemand porte son album chez tous les savants); 1762 (Ac. : Album […] Il se « 

bérénice dit: 21 août 2013 à 15h07

Si la littérature est une sorte de polder de surface flottante et mouvante à géométrie en perpétuelle construction parce que la terre ferme ne suffit n’a jamais totalement comblé la soif et l’appétit des hommes,comment pourrait-on définir le territoire de la photographie ou celui de l’Image?

tentative qu'on évitera de dire scrupuleusement votre dit: 21 août 2013 à 15h08

Le sens 1 b existant seul dep. le xviiies. apparaît, selon Kluge 1967, chez Nehring 1684, Manuale, 112; le sens 2 directement emprunté au lat. album « tableau blanc (blanchi au plâtre, exposé publiquement, pour que tout le monde pût lire ce qu’il portait écrit) » (Lucilius, 588 ds TLL s.v., 1507, 62).

Jacques Barozzi dit: 21 août 2013 à 15h13

« comment pourrait-on définir le territoire de la photographie ou celui de l’Image ? »

Un gouffre recouvert de sable mouvant ?

hamlet dit: 21 août 2013 à 15h19

à une époque si proche Sartre écrivait : « je tiens Flaubert et Goncourt pour responsables de la répression qui suivit la Commune parce qu’ils n’ont pas écrit une ligne pour l’empêcher. »

tous nos écrivains ont lu cette phrase, elle a dû les marquer, à un point tel qu’on aurait envie de renverser l’accusation de Sartre, écrire : je tiens pour responsable des misères de ce monde tous nos écrivains, ils ont écrit trop de lignes pour pouvoir les empêcher.

X... dit: 21 août 2013 à 15h24

Un sujet comme celui-ci mériterait mieux que cet étalage de vulgarité, cet usage immodéré de la rigolade. N’avez-vous, messieurs, aucune retenue, aucune décence, en pensant aux victimes du communisme stalinien. Ces regards ne vous disent rien, vieillards oublieux ?

tentative qu'on évitera de dire scrupuleusement votre dit: 21 août 2013 à 15h25

il a été rapporté que pour les « jeunes de la shoah »
rien n’était plus « excitant » que de se faire photographier au photomaton et de voir leur photo

hamlet dit: 21 août 2013 à 15h25

« bouguereau dit: 21 août 2013 à 16 h 03 min
..t’es un triste sire keupu »

je sais greubou, est-ce un crime?

Greubou, je voulais te dire une chose : tu saisn ne le prend pas mal mais je ne voudrais que notre relation amoureuse commence avant d’avoir été présentés à nos parents respectifs.
c’est mon côté puritain.
j’espère que tu le comprendras et que tu ne m’en tiendras pas rigueur.

bérénice dit: 21 août 2013 à 15h26

Que suggérez-vous pour ces écrivains que vous annoncez désengagés, les usines sont fermées restent les travaux d’utilité publique en attendant une ambassade…au minimum

bérénice dit: 21 août 2013 à 15h29

X respect bien évidemment le victimariat prend cependant d’autres formes dans les pays où l’on assassine pas purement et simplement pour garantir la zone géo-politique.

hamlet dit: 21 août 2013 à 15h34

Jacques Barozzi, pour la forme du film vous pensez à sa façon de filmer la ville de Rome, les plus belles fontaines, les plus belles statues, les plus belles demeures, les plus belles femmes, les plus belles actions du calcio….
je l’ai trouvée dérangeante, un peu trop putassière compte tenu du sujet, c’est tellement facile de nos jours de se faire enfumer, entre ceux qui savent écrire, ceux qui savent parler, ceux qui savent photographier et ceux qui savent filmer c’est si vous saviez mon ami comme c’est tellement facile de se faire entuber.

X... dit: 21 août 2013 à 15h36

Rigoler, c’est tout ce que vous savez faire, les hamlet, C.P., bouguereau, Barozzi, bérénice… J’ai honte pour vous.

hamlet dit: 21 août 2013 à 15h41

« X… dit: 21 août 2013 à 17 h 24 min
Un sujet comme celui-ci mériterait mieux que cet étalage de vulgarité »

bonjour X, vous avez vu le film de Sorrentino la Grande Bellezza?

je crois qu’il est hélas bien trop tard.
la vulgarité s’est installée dans notre monde de façon irréversible, rien ni personne (pas même ce pauvre Jep Gambardelli ne pourront rien y faire).

si le mélange entre la lourdeur du réel et la légèreté de la futilité vulgaire vous semble incompatible, la seule chose que nous pourrions être en mesure d’exiger serait d’interdire, désormais, la publication de ce genre de livre : notre monde n’est malheureusement plus en mesure de les accueillir.

que le spectacle continue!
et si on faisait le petit train sur une musique techno, histoire de faire la teuf.

bérénice dit: 21 août 2013 à 15h44

Hamlet triste constat, il vous manque un bon bouclier. Vous ne voudriez tout de même pas mettre en péril l’équilibre fragile de l’ordre qui s’établit fermement entre les forts et les faibles, les dominants et dominés, exploitants exploités, riches pauvres, exposants exposés, vendeurs vendus, combattants combattus, patrons syndicats, éduqués déscolarisés, bourgeois nouveaux pauvres…

hamlet dit: 21 août 2013 à 15h45

c’est une bonne chose d’avoir parler de ce film juste au moment où Monsieur Assouline évoque ce livre.
oui, c’est une excellent chose, pour tout le monde.

hamlet dit: 21 août 2013 à 15h54

ma pauvre bénérénice, le temps de ces combats est hélas bien loin derrière nous, notre monde continuera sa marche, inexorablement, le gouffre qui sépare les nantis et les déshérités continuera de se creuser, inexorablement, le nombre d’artistes compatissants grossira démesurément, inexorablement, l’avenir de ce monde est voué au malheur et à la compassion, inexorablement, ma pauvre bérénice, l’avenir de ce monde n’est désormais voué qu’aux larmes.

bérénice dit: 21 août 2013 à 15h54

Si ces témoins (dans le sens où ils donnent un visage au crime d’état) servent de point de départ on peut mesurer la distance qui sépare deux mondes mais vue d’ici, ce que vous rapportez du film mène à la Dolce vita, son désenchantement, sa poésie mélancolique mais vous Hamlet trouvez vulgaire le résultat?

hamlet dit: 21 août 2013 à 15h57

C.P. vous pourriez demander à Mathias Enard de venir un jour sur le blog de Monsieur Assouline?
pour qu’on puisse discuter avec lui?

bérénice dit: 21 août 2013 à 15h57

Mon impression dont je ne vérifierai pas la justesse est que le monde tourne en rond à la vitesse d’une centrifugeuse.

X .... dit: 21 août 2013 à 16h01

Bonjour Hamlet. Non, je n’ai pas vu ce film, je ne peux en parler, ou plutôt je pourrais en parler pour n’en rien dire.

hamlet dit: 21 août 2013 à 16h04

bérénice : quelle distance sépare ces deux mondes ? la vulgarité ? dommage je n’ai pas noté toutes les phrases profondes qui ponctuent le film, je n’ai retenu que la dernière : « sous le blabla se cache le silence et les sentiments. Que ce roman commence.. »
croyez-moi : toutes les autres sont toutes du même tonneau, chaque pensée profonde dite dans ce film vaut à elle seule son pesant de cacahouètes.
même dans la collection harlequin on ne doit plus trouver ce genre de phrase.

hamlet dit: 21 août 2013 à 16h11

berenice je ne sais pas il faut faire le calcul : la terre tourne à la vitesse de 30 kms/s et les ultracentrifugeuses les plus rapides doivent tourner à environ 200 mille tours à la mn.
essayez d’imaginer : en une minute 200 mille tours ça fait plus de 3000 tours à la seconde, en une seconde : 3000 tours, et une seconde c’est pas long, non, pas la peine d’imaginer, l’esprit n’arrive pas à imaginer ce genre de chose.

bérénice dit: 21 août 2013 à 16h12

Vous souvenez vous des citations que le personnage féminin de « in the cut » lit dans le métro et qui ponctuent le film de JC; un paysage intérieur défile puis c’est la confrontation avec la réalité crue, ce crime, la prostituée, l’homme à l’abeille tatouée,le policier, leur sensualité qui transpire le désir entre ces deux êtres distants.

renato dit: 21 août 2013 à 16h27

Enfin, hamlet, il y a la société du spectacle et en conséquence les pour et les contre… ça c’est le paysage et en le regardant on peut se demander que feraient « les contre » s’il n’y avait pas « les pour » ? comment justifieraient-ils leur existence ?
Et en face, il est évident que « les pour » voient leur influence augmenter parce que critiqués par « les contre » qui passent pour des gens cultivés (ça se discute, mais bon, on se tient au poncif).
Il y a évidemment complicité entre les deux champs, et si on est un chouia paranoïaque, on peut identifier un dessin en filigrane, et enfin se dire : « Des bandits, qu’ils soient pour ou contre, ce ne sont que des bandits ».

V.A.D.I.O.U. dit: 21 août 2013 à 16h39

TKT dit: 21 août 2013 à 13 h 22 min
D., personnage de fiction ? Non, je l’ai aperçu en 2006 au Centre Culturel Suisse de Paris

ha! ha! ha! ha!

dédé dit: 21 août 2013 à 16h40

Ne vous fatiguez pas, renato, hamlet refuse de comprendre. Il préfère végéter dans son ornière.

X .... dit: 21 août 2013 à 17h09

Nous aimons tous « rigoler » ! Pourtant ces visages hallucinés devraient faire comprendre aux débiles rieurs de ce bloc que ces pauvres gens,assassinés par les sauvages communistes adeptes de l’homme nouveau, n’inspirent rien de drôle et doivent susciter chez nous, respect, amour et vigilance.

bérénice dit: 21 août 2013 à 17h36

Pourquoi tant de cérémonie! Hypocrisie ces gens ont été victimes de l’hypocrisie planifiée des quelques malades historiques qui ont eu en charge l’état.

John Brown dit: 21 août 2013 à 17h38

ces pauvres gens,assassinés par les sauvages communistes adeptes de l’homme nouveau, n’inspirent rien de drôle et doivent susciter chez nous, respect, amour et vigilance. (X…)

Foutaise. Ces guignols ne m’inspirent qu’une énorme envie de rigoler.

X .... dit: 21 août 2013 à 17h53

Vous vous perdez vous même, intellectuellement, sachant ce qui vous attend, John Brown. Ivrognerie.

Jacques Barozzi dit: 21 août 2013 à 18h15

« si vous saviez mon ami comme c’est tellement facile de se faire entuber. »

Pas si facile que ça, croyez-moi, hamlet, j’aimerais bien !
Et puis comme dirait sergio, mieux vaut bien que mal. Avec le film de Sorrentino c’était même très bien… ça m’a donné l’envie d’aller passer quelques jours à Rome, où je ne suis plus retourné depuis quatre décennies !
J’avais vingt ans, et j’avais songé à venir y vivre plutôt qu’à Paris.
Mais après coup, de retour de la Ville éternelle, je lui avait trouvé un air encore trop provinciale, quoique indéniablement magnifique. Je pris alors un billet pour Paris…

bérénice dit: 21 août 2013 à 18h20

De guerre lasse ce blog ressemble de plus en plus au désert des tatares! Mais enfin la guerre les périodes de transition permettent l’expression de toutes les perversions: sadisme cruauté mentale inhumanité
tortures appliquées violences viols, tout peut être justifié au nom de l’ordre qui s’installe asservissant soumettant corrompant coercitif.

Jacques Barozzi dit: 21 août 2013 à 18h21

Un palais parisien (Bourbon-Condé) a failli partir en fumée cet après-midi !
Ouf, la Grande Bellazza va pouvoir continuer !

tentative qu'on évitera de dire scrupuleusement votre dit: 21 août 2013 à 18h22

Le parti pris du recueil saute aux yeux dès la couverture. Ni titre, ni auteur, ni éditeur.
ils s’effacent devant les questions qu’ils rappellent par leur travail

Jacques Barozzi dit: 21 août 2013 à 18h25

bérénice, pendant que certains commémorent les morts en lisant des albums, d’autres envoient des armes chimiques contre leur propre peuple. Où croyez-vous qu’il soit le plus urgent de porter notre regard… compatissant ?

bérénice dit: 21 août 2013 à 18h30

Notre regard compatissant n’est pas même une aumône ni soutien, les experts à Poutine ont trouvé que les gaz avaient été utilisé contre l’armée régulière, surement lisons nous mal la même actualité.

X .... dit: 21 août 2013 à 18h46

bérénice dit: 21 août 2013 à 20 h 20 min
« De guerre lasse ce blog ressemble de plus en plus au désert des tatares! »

Au Désert des Tarés, oui.

On ne doit pas plaisanter avec les morts de la dictature communiste soviétique : mes grands parents-maternels y ont laissé leurs espérances, leurs enfants sauvés de justesse.

Les rires de John Brown, et des Français, sont imbéciles.

tégniez dit: 21 août 2013 à 18h46

bN’oublions pas que nous sommes coupables dès la naissance (même avant)-c’est écrit

X .... dit: 21 août 2013 à 18h53

Ne sentez vous pas à quel point vous êtes bêtes de niveler vos sentiments sur de pareils récits ? Pornographie sans orgasme.

D. dit: 21 août 2013 à 19h41

tégniez dit: 21 août 2013 à 20 h 46 min

N’oublions pas que nous sommes coupables dès la naissance (même avant)-c’est écrit

C’est exact et cela s’appelle le péché originel.
Et c’est pour cela que Dieu s’est incarné pour que nous soyons sauvé, car Dieu est Justice, il n’y a pas plus juste que Lui.

D. dit: 21 août 2013 à 19h43

Jacques Barozzi, savez-vous qui était en possession de ce superbe hôtel avant sa vente à l’État ?

robert dit: 21 août 2013 à 19h49

« En un quart de siècle, l’Européen d’aujourd’hui a vu la guerre mondiale, des révolutions victorieuses, des révolutions vaincues, une révolution dégénérée, les fascismes, la crise économique, le réveil de l’Asie, de nouvelles guerres coloniales… On comprend qu’il soit las et inquiet. On se souvient qu’il a beaucoup écopé dans tout ceci. Et pourtant, on voudrait lui crier que ce crépuscule d’un monde a besoin de lui, besoin de chacun de nous ; que plus les heures sont noires et plus il faut de fermeté à considérer les choses en face, à les nommer par leurs noms, à accomplir malgré tout le simple devoir humain… la vie continue et elle aura le dernier mot. Aucune évasion véritable n’est possible, sauf celle de la vaillance. »(Victor Serge, Chroniques, 1936-1940)

D. dit: 21 août 2013 à 19h56

mon pauvre hamlet, si tu savais comment fonctionne un générateur de gravité artificielle. C’est précisément une petite boule très massive qui tourne à une vitesse folle, mais autrement plus folle que tes 3000 tours/secondes. Et pour que la bille ne se désagrège pas sous l’effet de la force centrifuge, elle est faite d’un élément chimique synthétisé en réacteur nucléaire : l’élément 115, le seul capable de garder sa cohésion. T’en as, toi, de l’élément 115 ?
Ben non, bien sûr, t’étais pas à Roswell en 1947 en train d’en ramasser dans les débris.

tentative qu'on évitera de dire scrupuleusement votre dit: 21 août 2013 à 20h22

et cet avis dans le temps d’un médecin selon lequel internet menacerait le cerveau, est-ce une manière de terroriser la population pour retrouver une hégémonie

tentative qu'on évitera de dire scrupuleusement votre dit: 21 août 2013 à 20h46

vomme par hasard ainsi était-elle annoncée avec pour iconographie un enfant
Un psychiatre allemand assure dans un livre à succès que les médias numériques provoquent une dégénérescence du cerveau

tentative qu'on évitera de dire scrupuleusement votre dit: 21 août 2013 à 20h50

comme par hasard , voici encore une annonce sur le même
Manfred Spitzer, professeur à Ulm, ville universitaire du Bade-Wurtemberg, a établi une thèse provocante : les médias numériques font pour ainsi dire « perdre la raison » à l’humanité, qui risque une « démence numérique

John Brown dit: 21 août 2013 à 20h54

tortures appliquées violences viols, tout peut être justifié au nom de l’ordre qui s’installe asservissant soumettant corrompant coercitif. (Bérénice)

Ah ! je bande !

D. dit: 21 août 2013 à 21h08

Ce n’est pas ma faute, mais je dois dire la stricte vérité puisque vous m’interrogez.

renato dit: 21 août 2013 à 21h10

« démence numérique »

Le processus a commencé par l’invention de l’écriture… enfin, on commence par un aide-mémoire et l’on se retrouve avec une société d’abrutis — incapables de faire quoi que ce soit avec leur tête… parfois même avec leurs mains. Et voilà que pour caser ces pauvres gens, on invente la psychiatrie, les plus atteints c’est psychanalyste qu’ils font…

D. dit: 21 août 2013 à 21h15

Au départ il y avait beaucoup de psys ici, je ne sais pas ce qui les attirait mais c’était un fait ils étaient légion. J’en ai chassé beaucoup. Pour la plupart ce sont des peureux, ils ne reviennent pas de sitôt.
Cet espace de commentaires est depuis beaucoup plus sain et pur.

D. dit: 21 août 2013 à 21h22

Bérénice, j’aimerais que vous vous recentriez sur moi et moi seul. Ces dernières semaines je vous ai surprise en train de converser avec des inconnus ici-même.

tentative qu'on évitera de dire scrupuleusement votre dit: 21 août 2013 à 21h31

quand même pas certain que Lacan ait été un des plus abrutis de son époque !

Giovanni Sant'Angelo dit: 21 août 2013 à 21h42


…un point de vue,…

…le chantage aux  » amalgames  » institutionnalisées,…quoi encore,…allez exprime-toi,…

…le sens entre l’intelligence par l’éducation maîtrisée ( des courtoisies & connivences d’exactitudes ), langages, précisions du progrès par les mathématiques diverses,…pour l’exercice d’un emploi,…

…et, dans le même cas de figure  » inversé « ,…le chantage aux endoctrinements dits de corps  » de métier, de racismes, ou nationaliste confirmé « ,…( il est des nôtre ),…

…or, l’école pour les métiers,…ne doit pas devenir,…un mariage forcé,…avec les traditions, la religion dominante,…un club de K.K.K.,…ou des banquiers de lobbying dominants le social d’Eve à Adam,…

…ainsi,…d’engrenages à engrenages,…les moteurs fonctionnent et roulent,…mais en fin de compte,…pour qu’elles machines, qu’elles machinations,…contre qu’elles libertés à perdre,…

…déjà,…tout ces gens sur concours et sur tablette,…l’êre des loisirs suffocants,…
…le paradoxe des sciences appliquées à la destructions des hommes libres,…
…une véritable religion de remplacement,…l’opium du peuple,…et le virus du lucre,…dans l’homogénéité libérale différenciée,…

…il fallait que ce soit encore moi,…qui l’a sorte celle là,…d’un trait,…etc,…
…que du bonheur,…etc,…Bip,…Bip,…Ah,…Ah,…etc,…
…bonne soirée,…

tentative qu'on évitera de dire scrupuleusement votre dit: 22 août 2013 à 22h05

en l’occurence , ce ne sont pas des lacaniens qui ont connu cette période de la grande terreur en U.R.S.S.mais Freud et des freudiens, et il n’y avait pas internet
Considérer Lacan comme un abruti risquerait donner raison à celui qui incrimine le numérique !

Giovanni Sant'Angelo dit: 22 août 2013 à 22h10


…en plus,…que pratiquement tout les métiers sont sont journaliers, les mêmes gestes, les automatismes, du matin au soir,…

…chouette, vous êtes arrivé en retard ce matin ,…déjà  » amoureux « ,…des métiers hauts-placés à rien foutre, automatismes oblige,…

…conclusions,…nous vivons tous dans des Stalag 13,…avec courbettes et sans-chichis, de ne pas en être des pigeons,…
…prions les satellites qu’ils ne nous retombent pas sur la tête à  » Méduse « ,…etc,…Bip,…Bip,…Ah,…Ah,…etc,…

Jacques Barozzi dit: 22 août 2013 à 22h17

D. dit : J’ai 824 ans, Jacques. Je suis né en mai 1189 et je suis l’un des Chevaliers de la table ronde.

renato dit : « démence numérique »

D. dit : C’est vrai ce que vous dites-là, renato.

hamlet dit: 22 août 2013 à 22h44

renato, je crois qu’il nous manque un paramètre, il doit y avoir une chose évidente à côté de laquelle nous passons, il faudrait faire abstraction des oppositions, réussir à trouver une théorie qui permette de réunifier le « pour » et le « contre », unifier ces différentes forces qui déplacent les volontés humaines sur ces échelles qui mènent du bien au mal en mettant de côté notre émotion.
un peu comme si nous prenions toutes les notes d’une partition et nous les assemblions dans notre tête en faisant abstraction du temps, toutes ces notes totalement rassemblées du début à la fin, empilées les unes sur les autres, sans cette chose qui leur donne leur fore musicale définitive, comme au premier temps de l’univers, à la première seconde, tout le matériau est là, comprimé, cette matière contient déjà tout son avenir, tout est là : le bien, le mal, le pour, le contre, les bandits et leurs victimes.
https://www.youtube.com/watch?v=0DRdxT7XE1E

Un bonjour de Sigmund dit: 22 août 2013 à 6h04

tentative qu’on évitera de dire scrupuleusement votre dit: 21 août 2013 à 23 h 31 min
quand même pas certain que Lacan ait été un des plus abrutis de son époque !

Certain ? non ! Généralement admis, oui !

Darlier au goulag ! dit: 22 août 2013 à 6h15

Darlier dit: 21 août 2013 à 11 h 50 min
« La Grande Terreur Communiste, »
Staline n’était pas communiste.

Exact ! Stalin était décapitaliste.

JC..... dit: 22 août 2013 à 7h32

Bonjour ! C’est Blanche-Neige ! Me voila de retour…

Temps splendide ! Comment vont Grincheux, Prof, Dormeur, Simplet, Atchoum, Timide et Joyeux, mes chers petits choux ? La Grande Terreur vous a regardé dans les yeux, ça fait peur, non, ces systèmes politiques exigeants ? Vous l’achetez ce bouquin ? Oui, n’est ce pas ! Vous le devez…

J’ai lu ici que la Grande Terreur ne POUVAIT pas être communiste ! Exact ? Aveuglement ? Ultime connerie des amoureux de la dictature collectiviste ? Allez ! ne nous fâchons pas … et Bonne journée !

Bien élervé et poli dit: 22 août 2013 à 7h36

« Me voila de retour… »

tu n’es jamais parti hélas

Pilou dit: 22 août 2013 à 8h22

Jacques Barozzi dit: 22 août 2013 à 10 h 09 min
c’était moi, JC !

Allons bon, le mystère s’épaissit.
(Si vous dites à TKT que vous êtes JC, Barozzi, soit il aura une apoplexie soit il ne vous croira pas.)

JC..... dit: 22 août 2013 à 8h23

Bonne nouvelle, Jacques : personne n’est parfait !
(vous avez une idée pour Simplet ?)

Pilou dit: 22 août 2013 à 8h25

une idée pour Simplet ?

Inutile d’essayer, TKT est imperméable aux idées.

louis dit: 22 août 2013 à 8h28

 » lu ici que la Grande Terreur ne POUVAIT pas être communiste  »

tu parles de la terreur de l’oas que tu admires tant

JC..... dit: 22 août 2013 à 8h31

Mon crémier, un type qui a de la jugeote et qui est diplômé (Certificat d’Etudes), m’a dit tout de go : « En France, les Ecologistes ont fait plus de mal à l’Ecologie que toutes les industries polluantes de l’Hexagone ! »

Faut dire que Placé, Mamère et la Grande Lavandière Duflot, ça fait peur de voir ce qu’ils bouffent comme couleuvres pour avoir de l’or, du cuir chaleureux et de la boiserie séculaire autour d’eux …

grégoire dit: 22 août 2013 à 8h31

Baroz
le gnome de PQ contourne le fisc? Quant au « paradis » que serait d’après vous cette pauvre île, quand on voit le gnome et/ou l’ attardé qui y végète, on fuit plutôt!

JC..... dit: 22 août 2013 à 8h33

Louis, t’es vraiment con : les assassinats de l’OAS ? Cinq minutes de l’action meurtrière des cocos soviétiques !

Tu veux l’adresse d’un psychiatre ? j’en connais plusieurs, et des bons…

La Sorcière dit: 22 août 2013 à 8h34

Grincheux : JC
Prof : renato
Dormeur : M. Court
Simplet : TKT
Atchoum : Gio…,va…,n…,n…iii!!!
Timide : bouguereau
Joyeux : John Brown

Pilou dit: 22 août 2013 à 8h39

JC….. dit: 22 août 2013 à 10 h 33 min
Louis, t’es vraiment con

Hélas, malgré toute la détestation que nous inspire JC, nous sommes obligés de lui donner raison sur ce point. Son troll est vraiment con.

bérénice dit: 22 août 2013 à 8h41

La perfection n’étant pas éligible le vocabulaire par définition ouvre la critique constructiviste positive. Simplet ne trouve pas domicile dans votre monde JC c’est d’ailleurs pour cela que des journées portes ouvertes sont prévues dés la rentrée dans des CAT notamment pour un accès plus documenté de réalité au handicap, bien entendu vous pouvez d’ici là prendre tous ceux que vous voudrez pour des imbéciles du moment que votre jugement reste tapi dans l’ombre, ne constitue pas un sujet d’article dans la presse qui a l’habitude d’informer en laissant la conclusion au lectorat, d’un même fait événement phénomène accident incident, liberté s’offre de comprendre ce qui s’accorde à nos valeurs personnelles. Résumé:Ne rien dire qui fâche de façon frontale sinon sauf à faire partie du sérail qui dans ce cas de figure servira de tampon-encreur.

Victorien dit: 22 août 2013 à 8h52

Curieuse, cette unanimité sur Simplet ….

Pas curieuse, tout à fait prévisible, au contraire. (Certes, ce pauvre Thierry s’est fait un pote avec Barozzi. On ne sait s’il faut plaindre notre Jacques ou le prénommer Simplet lui aussi.)

Si on accepte les rôles travestis, ou si l’on ne fait pas de « fixation sur le gender », dirait l’immense Zürichois, je verrais bien DHH en Timide et christiane en Atchoum.
bouguereau, qui aime tant faire la leçon à tout le monde, on pourrait en faire Prof. Grincheux irait bien à renato.

JC..... dit: 22 août 2013 à 8h54

Bérénice, je donnerai volontiers un peu de mes innombrables qualités humaines – elles finissent par m’isoler – pour tenter de sauver les âmes de ces trolls terrifiants de bêtise, comme celle de Thierry Simplet que j’affectionne tout particulièrement …

Mais la prudence s’impose : résisteront-ils à la greffe ? Ce changement – quasi hollandais – ne sera t il pas trop puissant ?…

JC..... dit: 22 août 2013 à 8h57

Petite Terreur sur un billet consacré à la Grande : n’allons nous pas manquer de nains ? Devons nous hésiter à créer des postes de nains en Contrat de Projet ? …

Osons, que diable ! Osons !

au service de bérénice dit: 22 août 2013 à 8h59

Voyons si la ponctuation permet d’élucider son texte :

« La perfection n’étant pas éligible, le vocabulaire, par définition, ouvre la critique constructiviste positive. Simplet ne trouve pas domicile dans votre monde, JC. C’est d’ailleurs pour cela que des journées portes ouvertes sont prévues, dés la rentrée, dans des CAT*, notamment pour un accès plus documenté de réalité au handicap ; bien entendu, vous pouvez d’ici là prendre tous ceux que vous voudrez pour des imbéciles, du moment que votre jugement reste tapi dans l’ombre, ne constitue pas un sujet d’article dans la presse qui a l’habitude d’informer, en laissant la conclusion au lectorat, d’un même fait, événement, phénomène, accident, incident, liberté s’offre de comprendre ce qui s’accorde à nos valeurs personnelles. Résumé: ne rien dire qui fâche de façon frontale, sauf à faire partie du sérail qui, dans ce cas de figure, servira de tampon-encreur. »

CAT : Centre d’acclimatation thermale.

Renseignements Généraux dit: 22 août 2013 à 9h02

Nous venons d’identifier la provenance des commentaires signés JC (Jeune Conseiller) : un bureau proche du Président, Palais de l’Elysée.

Il agirait ainsi pour combattre l’inaction, génératrice d’ennui au plus haut sommet de l’Etat.

Diagonal dit: 22 août 2013 à 9h05

Eh… les gars & les filles d’chez l’Assoul, je vs signale que le dernier petit belge d’Amély Nothomble, « la nostalgie heureuse », est formidab’…
Vite, à vos protège-cahiers d’achats pour la rentrée littératée, la crécré, c’est fini !

pour info dit: 22 août 2013 à 9h07

« les assassinats de l’OAS ? Cinq minutes de l’action meurtrière des cocos soviétiques ! »

plus con et abject que jc ladolphe, c’est pas possible

Victorien dit: 22 août 2013 à 9h16

créer des postes de nains en Contrat de Projet ?

Essayons :

Marcheur : baroz
Grimoire : Court
Accordeur : C.P.
Péteur : bouguereau
Je-sais-tout-mieux-que-vous-my-tailor-is-rich : Bloom
Ampoulé : odradekalexlew
Faux-cul : u. (car quand il faut, y a qu’u.)
L’Incroyable Hurk : phil

louis dit: 22 août 2013 à 9h16

Il ne s’agit pas de défendre le stalinisme mais de pouvoir le critiquer sans être assimilé à l’extrême-droite et ses admirateurs dont l’idiot, raciste, de Porquerolles. De rien.

JC..... dit: 22 août 2013 à 9h18

Pour info, l’estimation des morts attribués à l’OAS fasciste avoisine la centaine…la Grande Terreur a mis à mort, elle, directement quasi UN MILLION de russes !

Cliniquement, votre délire comparatif est, ceci dit, tout à fait intéressant …

JC..... dit: 22 août 2013 à 9h21

Excellent, Victorien ! Je pense qu’un nain, que nous pourrions nommé Delirium, devient nécessaire, car comparer la Grande Terreur, dont on parle, avec les soubresauts meurtriers dus à l’OAS, ça justifie le poste !

Jacques Barozzi dit: 22 août 2013 à 9h22

Être payé pour marcher, je signe Victorien !
Pas de contrat-emploi pour renato ?

bouguereau dit: 22 août 2013 à 9h23

les antifachiss se foutent sur la guiffe.vous devriez vous entre faire des mugshots aussi..rho cte terreur pour les génération futures

JC..... dit: 22 août 2013 à 9h26

Le nain Maelström pourrait emporter, à défaut de contenir totalement, Dexter, Hamlet, Zeno, Puck, D., etc, etc …. ce serait un nain philosophique polymorphe, et il nous en faut un.

Bien entendu, Blanche-Neige aurait une assistante…

bouguereau dit: 22 août 2013 à 9h26

..tes poteaux t’ont crispés jicé..ça se sent..détends toi du troudbal comme disent les jeunes..s’sont cassé ces chieurs

JC..... dit: 22 août 2013 à 9h30

A la réflexion, je vais acheter trois albums La Grande Terreur : j’en offrirai un à Laurent, Pierre et Mélenchon Jean-Luc. Dédicacés.

JC..... dit: 22 août 2013 à 9h33

On s’est régalé à parler musique, Bougboug : c’était des producteurs new-yorkais pas affolés du troudbal pour deux sous ! Sissi !

Victorien dit: 22 août 2013 à 9h37

pour nos erdéliennes, toutes à la cuisine ?

Y a pas de naines dans l’histoire.
Blanche-neige : christiane
la sorcière : Daaphnée
la fée : DHH

Il faudrait créer de nouveaux rôles (les épouses des nains ?)

bouguereau dit: 22 août 2013 à 9h39

ligne de coke, bimbo et américane esspress..
bon keupu m’indispose cmatin jicé..bonne journée

Comité de défense des nains sympathiques dit: 22 août 2013 à 9h47

Simplet : TKT

C’est vraiment pas sympa pour Simplet qui est plutôt un chouette mec.

Proposition dit: 22 août 2013 à 9h57

Comité de défense des nains sympathiques dit: 22 août 2013 à 11 h 47 min

TKT : Alberich

Jacques Barozzi dit: 22 août 2013 à 10h01

Être payé pour flâner et constamment me planter dans mes jugements, pas de problèmes, je signe quand même !

romain dit: 22 août 2013 à 10h05

Pour info, l’estimation des morts attribués à l’OAS fasciste avoisine la centaine…la Grande Terreur a mis à mort, elle, directement quasi UN MILLION de russes !

Pour info? ah c’est vrai tout le monde l’ignorait!!
Il est marrant jc le binaire, l’ignare, avec ses calculs de boutiquier et ses colères dès que ses pareils sont mis en cause

en passant dit: 22 août 2013 à 10h13

Excuse jc le troll , mais la fin sanguinaire de cent trente ans de galère (commencés par des enfumades) pour tout un peuple, tu trouves que c’est rien, ou si peu, t’es un gros c..

JC..... dit: 22 août 2013 à 10h15

pour info dit: 22 août 2013 à 11 h 07 min

Tu as compris, maintenant, gros bêta ?….

JC..... dit: 22 août 2013 à 10h19

La départementalisation de l’Algérie fut la meilleure chose qui pouvait arriver à ce territoire « émergent » !
(et hop, on est parti pour une bonne centaine de commentaires…)

Poids, mesures et tébuchet dit: 22 août 2013 à 10h38

Justifier les millions de morts soviétiques par les turpitudes (inadmissibles) de l’oas, faut oser.
Quelques inconditionnels de Badiou osent encore.

Jacques Barozzi dit: 22 août 2013 à 10h38

Regardons la Grande Terreur en face !

« PEOPLE – La rumeur courait depuis des années mais mercredi 21 août l’acteur Wentworth Miller a confirmé qu’il était bel et bien gay. Invité au Festival international du film de Saint-Pétersbourg, le héros de la série à succès Prison Break a décidé qu’il était temps de rendre publique son orientation sexuelle.

« Je vous remercie de votre aimable invitation. Ayant apprécié mes visites en Russie par le passé et possédant des origines russes, je serais heureux de venir », a écrit le comédien dans une lettre au directeur du festival. « Étant gay, je me dois cependant de refuser ».
Ce dernier a ensuite expliqué plus longuement sa décision:

« Je suis profondément dérangé par l’attitude et le traitement actuels du gouvernement envers les hommes et femmes qui sont homos. La situation est inacceptable et je ne peux pas, en mon âme et conscience, participer à un événement festif qui se déroule dans un pays ou des gens comme moi se voient constamment interdire les droits humains de vivre et d’aimer en toute liberté. » »

Proposition dit: 22 août 2013 à 10h46

« Alberich exige une méchanceté d’ordre supérieur »

D’accord.
TKT : un petit nain bien méchant mais stupide qui voudrait être Alberich à la place d’Alberich pour piquer l’or et s’enfuir en Suisse.

JC..... dit: 22 août 2013 à 11h51

« Quelques inconditionnels de Badiou osent encore. »

« Quelques in-con-ditionnels de Badiou osent encore. » me parait très adapté… ce type est un véritable connard ! Bien français… une relique maoïste.

John Brown dit: 22 août 2013 à 12h14

Ces photos sont manifestement truquées ! Elles ressemblent à s’y méprendre à celle de malades mentaux, pensionnaires de l’hôpital psychiatrique de Cracovie,dans les années 1935/1939. J’ai pu avoir accès aux archives de l’hôpital (je tiens à la disposition des curieux le dossier complet). Il s’agit en réalité de dangereux psychopathes qui, comme bien l’on pense, n’ont jamais mis les pieds en U.R.S.S. . La femme à gauche s’appelait en réalité Wanda Ovoulovska, dite « la Terreur des bébés », convaincue d’enlèvements, meurtres et anthropophagie. Le personnage au centre, Gastron Baschlardow, était un assassin et faussaire, dont le moindre délire était de se prendre pour TolstoÏ. Le personnage de droite, Trophime Arlowski –arrière-petit neveu du grand Frédéric (Chopinowski) — répondait au surnom de  » l’égorgeur au rasoir ». Quant au prétendu Alexei Grigorievitch Jeltikov — de son vrai nom Tithon Bittembow –, maniaque sexuel et pseudo-prophète inspiré, il soumettait, en tant que « Messie cosmogalactique » (c’est le titre dont il s’était affublé ») ses nouvelles converties aux traitements qu’on imagine. Pour des raisons de sécurité publique qu’on peut comprendre, tout ce joli monde fut transféré, après 1940, sur ordre des autorités d’occupation, dans un établissement spécialisé proche de Cracovie, à la suite de quoi on perd leurs traces.

« Pour savoir, il faut s’imaginer », a dit excellemment Georges Didi-Huberman. Il parle d’or.

JC..... dit: 22 août 2013 à 13h47

Tu nous prends pour des billes, Johnnie !

Nous savons bien que le « Messie cosmogalactique » (c’est le titre dont il s’était affublé ») s’appelle Dédé ! Tes explications ne sont que tissu de mensonges …

Tu touches combien de l’Ambassade …?

Sergio dit: 22 août 2013 à 13h51

romain dit: 22 août 2013 à 12 h 05 min
avoisine la centaine

Oui ça fait léger des sanctions s’imposent über alles…

C.P. dit: 22 août 2013 à 14h01

Pierre Assouline, il y a une chose curieuse qui vient seulement de me sauter aux yeux dans A TWIT’ VITESSE : « CosmoZ », un chef d’oeuvre de la rentrée ? Laquelle ? Ce roman de Claro a été publié en août 2010 aux éditions Actes Sud, et je l’ai lu à ce moment-là. La confusion vient-elle de Pierre Maury ? D’une publication en Poche ?
Bon, ce n’est pas grave…

sigh dit: 22 août 2013 à 14h19

@ »Justifier les millions de morts soviétiques par les turpitudes (inadmissibles) de l’oas, faut oser. »
T’as rien compris, laisse tomber

soyons précis dit: 22 août 2013 à 14h21

« un assassin et faussaire,  »

le portrait du fou de PQ (connu aussi sous le nom de ‘moisissure’)

Jacques Barozzi dit: 22 août 2013 à 14h22

« -Comment expliquez-vous le succès rencontré par Un été avec Montaigne ?
-Antoine Compagnon : Mis à part l’excellent titre, très séducteur, ce succès public et critique répond à une attente: celle de découvrir ou redécouvrir un auteur classique, un sage, qui a rédigé un véritable exercice spirituel, fragmenté, et ce avec une grande liberté de ton. Reste que cet accueil est aussi réjouissant que déconcertant… »

Titre inspiré, pour ne pas dire plus, par Un été chez Voltaire, de Jacques-Pierre Amette, publié en 2007 par Albin Michel ?

tentative qu'on évitera de dire scrupuleusement votre dit: 22 août 2013 à 14h32

ayant trouvé le nom possible avec un z comme je le lisais sur le volets des maisons dans mon enfance, pour un blog que je n’ai aucune envie de créer , je vous salue

tentative qu'on évitera de dire scrupuleusement votre dit: 22 août 2013 à 14h33

les volets
ce n’est pas un z qui a me bouffer les S

anna dit: 22 août 2013 à 14h43

Pour savoir, il faut s’imaginer. Et vous êtes tous là à vous goinfrer de vos ‘indulgences littéraires’, à batailler à qui a le plus long ‘zizi’ ou qui ‘pisse plus loin que son ombre’. Jusqu’à ce mort s’ensuive. Pitié!

Sergio dit: 22 août 2013 à 14h47

anna dit: 22 août 2013 à 16 h 43 min
qui ‘pisse plus loin que son ombre’

Oui enfin là déjà faut savoir si c’est dans Hopper ou dans Chirico…

Sergio dit: 22 août 2013 à 15h00

anna dit: 22 août 2013 à 16 h 51 min
non, c’est dans Lucky Luke

Ha oui mais là c’est énormément complexe l’ombre de la cigarette c’est une paille…

anna dit: 22 août 2013 à 15h11

Paille ou cigarette, tout part en fumée comme un Gainsbourg peintre des mots à l’instar d’un Hopper ou di Chirico

hamlet dit: 22 août 2013 à 15h13

C.P. vous avez vu mes excuses?
en plus pour vous montrer que je n’ai pas l’esprit débile comme vous dites j’ai repensé au film de Sorrentino et j’ai pris 4 passages sur lesqels je suis partagé :
1 – ce moment magnifique où il croise Fanny Ardant dans la nuit, il l’interpelle et au bout de quelques secondes Fanny Ardant se retourne vers et murmure (on entend presque pas) : Dior j’adore… c’est la pub pour Dior la plus sensuelle que j’ai jamais vu.
2 – la pub pour Armani quand il est adossé à la fenêtre avec le Colisée en contre bas c’est splendie
3 – la pub pour Martini Bianco quand il est sur le hamac est bien sauf qu’ils auraient pu rajouter que l’abus d’alcool est dangereux, je veux pas encore faire le filousophe mais question ethique c’est limite
4 – quand ils sont dans le palais à déambuler entre les statues dans la pub pour Dolce et Gabbana c’est nul, là vous ne pourrez pas dire le contraire, ils auraient pu rajouter une musique, genre Mozart le requiem, le lacrimosa ou même Puccini.
vous voyez que j’ai l’esprit ouvert moi aussi, comme reanto, en tout cas je ne suis pas aussi buté que vous le dites.
non?

C.P. dit: 22 août 2013 à 15h21

Keep fresh the target, hamlet, and hold your candle…up straight !

(« Tiens ta bougie…droite ! »)

hamlet dit: 22 août 2013 à 15h21

« bouguereau dit: 22 août 2013 à 11 h 29 min
je lis..keupu a tous les étages..une infestation »

où qu’il est mon boubou adoré.
mon boubou je te rappelle que nous devons envoyer les invitations pour notre mariage !
mon boubou est choubidou mais il a parfois la tête en l’air.

anna dit: 22 août 2013 à 15h30

Non Fréd, il est péni(s)ble parce que décalé comme ‘L’érotisme décalé de Robert Desnos’. On se fout de la gueule de qui ici? A part de sa propre gueule… Pitié!

hamlet dit: 22 août 2013 à 15h38

laissez Badiou tranquille le pauvre.
il va faire un film avec Brad Pitt, même à l’époque du maccarthysme les américains l’auraient laissé travailler en paix à Hollywood : c’est un communiste d’opérette.
d’ailleurs après son film il va en monter une, d’opérette, j’ai déjà un bout du livret :
– je suis un co.. je suis un co.. je suis un communiste
– les choeurs : il est un co.. il est un co… il est un communiste.
– je suis un ma… je suis un ma… je suis un maoiste
– les choeurs : il est un ma.. il est un ma.. un maoïste
– je suis un ni… je suis un ni… je suis un nietzschéen
– les choeurs : il est un ni.. il est un ni.. il est un nietzschéen
– oui c’est ainsi
– les choeurs : c’est ainsi?
– oui c’est ainsi
– les choeurs : ainsi ?
– ainsi que j’ai fait mon beurrrrrr…e
– les choeurs : il est impo.. il est impo.. il est imposé à l’isf
– je suis impo.. je suis impo… je suis imposé à l’isf
c’est une pièce très émouvante, j’en ai écouté un extrait j’ai en ai eu la larme à l’oeil.

tentative qu'on évitera de dire scrupuleusement votre dit: 22 août 2013 à 15h45

il n’y a jamais abus de mots récoltés par un lexicogaphe
toujours des mots que l’on ne trouve que chez lui. L’une de mes nouvelles à paraître contient le terme « pchuteux », qui désigne un jeune homme prétentieux. J’aime lui emprunter des expressions anciennes ou à caractère régional. C’est ma façon de lui dire : « vois, tu étais encore sur mes genoux ! » Savez-vous qu’à l’entrée « se plaindre », on trouve par exemple le mot « ouiouiller » ?
voir le tweet
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Montaigne dit: 22 août 2013 à 16h14

Personne n’est exempt de dire des fadaises.Le malheur est de les dire curieusement*

*avec trop de soin

fréd dit: 22 août 2013 à 16h26

anna
après cinq ans de médiocratie et les débordements des lpn (qui s’y voient déjà)la propagande obscurantiste continue hélas

tentative qu'on évitera de dire scrupuleusement votre dit: 22 août 2013 à 16h30

un blog que nn seulement je n’ai aucune envie de craer mais om je n’ai aucuen envie de commenter .Parler pour ne rien dire ,très peu pour moi,merci vous puovez toujours aller vous faire empatapaoutéter chez les Zélènes-avec un z pour les volets .

tentative qu'on évitera de dire scrupuleusement votre dit: 22 août 2013 à 16h43

le blog de P.Assouline est dissuasif et devenu contre productif il arriverait même dissuader de lire!
certains commentateurs ont déjà dit qu’il avaient 3 blogs : grand bien leur fasse!

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