
Trois livres pleins d’autres livres
Tout écrivain ayant été ou étant resté un grand lecteur, rien de plus naturel que de retrouver dans les siens le reflet tangible, l’écho assourdi, l’ombre atténuée des livres des autres. Cela n’en fait pas des textes cultivés et l’on chercherait en vain la moindre cuistrerie dans la volonté de l’auteur. Juste un hommage subliminal. Un récit et deux romans qui viennent de paraitre l’illustrent avec éclat.
On s’y attend sous la plume d’un écrivain comme Jean-Paul Kauffmann mais pas nécessairement dans un livre qui s’annonce au départ comme une enquête sur l’accident de la route qui précipita dans la mort dix-huit footballeurs membres de l’équipe du bourg de Corps-Nuds (Ille-et-Vilaine) retour d’un match le 2 janvier 1949. L’auteur avait grandi dans ce coin-là. C’est peu dire que la tragédie demeurait inscrite à jamais dans l’esprit de tous ses habitants. Cela a déclenché L’Accident (327 pages, 22 euros, Équateurs), méditation sur l’étrange travail de reconstruction et de distorsion qu’opère le temps sur la mémoire, ses déformations lorsqu’elle provoque les maladies du souvenir. Il est vrai que dans le même temps où cette histoire revenait le hanter une autre tragédie a resurgi dans l’inconscient de Jean-Paul Kauffmann, plus intime, plus personnelle bien qu’elle ait pris une dimension nationale : ce qu’il appelle « mon accident libanais », à savoir son enlèvement le 22 mai 1985 à Beyrouth par des terroristes chiites du Hezbollah suivi de sa captivité de sous-sol en geôles trois années durant. Il y revient par éclats du monde d’avant tout au long de ce beau texte, s’attachant à creuser ce qui demeure à jamais en nous de notre part d’enfance, en l’espèce celle qui eut pour cadre la France rurale et catholique des années 50.
Il doit à l’accident libanais de s’être penché sur l’accident de Corps-Nuds, à moins que ce ne soit l’inverse, peu importe au fond car son retour sur soi s’articule autour de ce va-et-vient. Un chapitre, on croit accompagner l’enfant de chœur tout de blanc vêtu d’Un enterrement à Ornans, le fameux tableau de Courbet exposé en majesté au musée d’Orsay, observant l’assistance des fidèles qui ne se croyaient pas observés, car au fond, c’est lui cet adolescent, Jean-Paul Kauffmann. On sort de la toile et on est avec les paroissiens sortant de la messe pour se diriger vers la boulangerie-pâtisserie Kauffmann afin d’y acquérir la spécialité de la femme du boulanger : le Salambô, pâte à chou remplie d’une onctueuse crème pâtissière parfumée au Grand Marnier, le sommet glacé au caramel, le tout formant un compromis historique, on peut le dire, entre croustillant et moelleux.
De se plonger intérieurement dans son enfance radieuse, de tenter de retrouver son odeur perdue lorsqu’il survivait enchainé à un radiateur dans une cave, de se remémorer inlassablement chaque touche de L’été de Nicolas Poussin qui l’avait enchanté dans ses jeunes années, l’a sauvé de l’ennui qui corrode les esprits les mieux armés, de la folie qui lui fait cortège lorsqu’il s’installe durablement. Le bonheur dans les nuits de Beyrouth en solitaire, ce fut de retrouver le fournil du père et l’église du village. La vérité du pain, une question de parfum autant qu’une affaire d’ingrédients. Son récit est sa manière de payer sa dette à son enfance heureuse et aimante, exercice dénué de nostalgie (il l’exècre) et de mélancolie (il s’en tient à distance). Ses souvenirs d’en France sont gouvernés par la joie malgré les années de pensionnat pleines d’un monde d’abbés, un souvenir de malheur, car L’Accident se veut un livre de réconciliation et de gratitude.
Pas un cauchemar durant ses trois années en résidence très surveillée à Beyrouth. Ni haine, ni vengeance, il ne fera pas ce cadeau aux terroristes. Les cauchemars l’ont rattrapé peu après son retour en France. On fait ce qu’on peut avec ce qu’on a lorsque l’on se résout à cohabiter avec son passé.
« Je reste indéfectiblement fidèle à l’homme souffrant que je fus pendant trois années. Impossible d’oublier le séquestré du Hezbollah, cet être pitoyable appelant à l’aide sur ces cassettes, exposé de manière obscène, humilié à jamais. Je dois lui rester loyal, ne pas repousser ce qui m’est arrivé. Cet individu qui en a bavé n’est pas mon double. C’est moi. Nous avons ensemble une histoire très forte. Face à l’adversité, l’être misérable a fait ce qu’il a pu. Même chancelant, il ne m’a pas trahi. Cet alter ego qui s’est montré faible et tenace m’appartient pour toujours. »
Vitré est le berceau de la famille Kauffmann, des paysans et des curés bretons de lointaine origine alsacienne (d’où le nom qui, dans son cas, n’est pas juif contrairement à ce qui fut cent fois écrit du temps de sa séquestration). Mais le plus vibrant des hommages qui jalonnent ce livre va à un cousin prêtre du nom de Georges Rousseau, accompagnateur à éclipses à qui il doit d’avoir fait des études et dont il cherche à élucider l’existence évaporée. Son enfance lui a fait aimer son destin et dépasser tout ressentiment. Enfin, tout, faudrait voir, quand il parle du Hezbollah. Ce qui ne leur pardonne pas, au-delà de la torture physique et psychologique, c’est de l’avoir humilié, d’avoir été réifié par eux, exposé, instrumentalisé, exhibé « de manière obscène pendant trois années ». Une telle attitude définit mieux que tout la pudeur, la retenue, la discrétion, l’inadhérence au monde de cet homme qui passe parfois pour assez raide dans la dignité, voire « curé rigide », réputation qu’il ne dément pas tout à fait et dont il use pour se protéger du monde quitte à paraitre glacial, à l’opposé de son livre si chaleureux et fraternel. Il dit ses vérités, conscient que sa philosophie de la vie peut faire penser à du développement personnel- et alors ? A 80 ans, lorsqu’on a une œuvre de la plus belle encre derrière soi, on peut tout se permettre sans le moindre souci de la réception.
Dès son enfance dans son village natal de Saint-Pierre-la Cour (Mayenne), puis dans son adolescence à Corps-Nuds (Ille-et-Vilaine) et plus encore lorsqu’il fut pensionnaire à Notre-Dame d’Orveau du côté de Segré-en-Anjou Bleu (Maine-et-Loire), il a développé un goût forcené de la lecture jusqu’à avouer un rapport « névrotique » aux livres. Peur d’en manquer, nécessité impérieuse de se sécuriser à leur contact. Ce maraudeur de bibliothèques sait comme nul autre évoquer le son, la qualité de silence qui leur est propre.
Dans L’Accident, ils sont partout, explicites ou implicites, reflétant une curiosité tous azimuts. Au Liban, au plus profond de sa nuit, là où le contraire de la joie n’est pas la tristesse mais la peur, il se récitait de mémoire les analyses fulgurantes de Jankélévitch et le Colonel Chabert, se souvenait des meilleures pages du Bonheur des rebelles de Jean Sulivan et ne regrettait pas d’avoir rejeté Le Petit prince dès son plus jeune âge, ruminait peut-être déjà la biographie qu’il consacrera à Raymond Guérin dans le fol espoir de le remettre au goût du jour à rebours d’un air du temps au sein duquel même « l’espace littéraire » a changé. Mais la lecture directe, et non plus sa réminiscence, lui a permis de tenir bon, de résister, lorsque ses géôliers lui ont fait passer quelques livres qu’il lira et relira sans fin : une Bible, La Guerre et la paix, Le Sursis de Sartre… De s’y engloutir et de se laisser submerger par leurs pages l’a sauvé.
La présence de ces livres auxquels on doit le salut sinon la vie est plus subliminale dans Histoire de la femme sauvage (305 pages, 21,50 euros, JC Lattès), le nouveau roman d’Isabelle Desesquelles ; elle est moins directe car, en dehors des phrases placées en épigraphes, elle obéit moins à la citation ; elle n’en irrigue pas moins le texte de bout en bout qui doit son titre non à un livre mais à un tableau de Renoir Paysage algérien, ravin de la femme sauvage. Le jour où l’écrivaine ou son personnage le découvrit sur les cimaises du musée d’Orsay, elle voulut y pénétrer. Comme un geste sans retour accompli dans un état limite. Il est vrai que Laure, qui porte cette histoire, a été marquée à vie à l’âge de huit ans par le suicide de sa mère bipolaire. Comment se construire sur le souvenir d’une telle absence et du vide qu’elle a laissé ? Soudain, on se prend à revenir à la couverture du livre et à entendre résonner le nom de l’auteure comme « des séquelles ».
On la suit dans ses allers retours entre la France des années 2000 et l’Algérie des années 50. Sa quête d’identité fondée sur le secret des origines et le tabou familial autour d’un mot, la pousse à se demander si les pieds-noirs dont elle est issue n’étaient pas en fait des kabyles. Et dans ce cas, qu’est-ce qui a bien pu se passer pour les pousser à partir ? On voit ce déployer toute une réflexion sur l’exil à travers ce récit tendu, manière sensible et profonde d’articuler l’universel sur le particulier. Revient alors en mémoire ce qu’en disait le poète portugais Miguel Torga : « L’universel, c’est le local moins les murs ». On y est et on avance en terre inconnue, celle d’une intime omerta réduite au cercle bien fermé des siens, gouvernée par des réparties définitives qui en augmentent l’énigme : « Après ce qui s’est passé ». Ou encore : « Ce que tu cherches n’existe plus ». Ou même, dans la famille maternelle de Laure qui tient le mot « Algérie » comme un mot interdit car ce passé, c’est ce dont on ne parle pas : « Ce pays n’est plus le nôtre, c’est fini ».
Lancée dans sa quête des origines, la romancière se fait fresquiste pour restituer les paysages de Haute-Kabylie fait de plantes de montagne, d’oliviers et de sable rouge. Puis, parvenue au cœur du secret, elle retrouve un ton de conteuse pour dire le paradoxe par lequel on se souvient de ce que l’on ne sait pas, de ce que l’on n’a pas connu. Sa mémoire est du même argile que cette région. On a beau se découvrir issue de M’tourni, autant celui qui tourné le dos que celui qui a retourné sa veste, un converti, un apostat, un qui mérite la mort, on en est réduit à se demander toute une vie durant à quel âge on sait quoi faire de ce qui nous pèse. La réponse importe moins que la question. Histoire de la femme sauvage la pose puissamment. Nul doute qu’elle s’appuie sur des livres qui ont irrigué l’inconscient de l’auteure car on en perçoit des signes ça et là.
Pour l’universel dès l’épigraphe en tête du livre, l’une des plus célèbres citations du Guépard de Lampedusa, celle qui fait allusion à ces chacals et ces hyènes appelés à succéder aux guépards et aux lions, tous se considérant comme le sel de la terre. Mais aussi l’Aragon du Mentir-vrai ou Clarice Lispector. Le particulier est plus parlant ; s’y côtoient Assia Djebar, Taos Amrouche, Jean Amrouche, Jean Pélégri et même Henri Lhote, le préhistorien spécialiste de l’art pariétal du tassili n’Ajjer. Cela dit, les Pléiades dont il est question ne sont pas des livres mais un amas ouvert d’étoiles brumeuses. Un texte en émerge qui scintille dans leur entre-deux, rédigé tout le temps dès son plus jeune âge par Made dans ce qu’elle appelle « mon cahierlivre » en un seul mot. Inutile de le solliciter pour comprendre qu’on le tient entre les mains. « Un livre ne vous abandonne pas » surtout l’on y trouve des réponses aux questions que l’on n’a pas le droit de poser.
Ce ne sont pas seulement des livres mais une œuvre qui parcourt entre les lignes Les braises de Patagonie (250 pages, 20,90 euros, Le Cherche-Midi) le nouveau roman de Delphine Grouès, ou plutôt la suite de son épopée, sur les destins croisés de deux personnages. Valentina héritière du clan Silva au centre de Cordillera, à croire que l’auteure n’arrivait pas à s’en séparer. Âgée de 40 ans en 1950, envoyée en mission par la Société d’exploitation de la Terre de Feu, propriétaire en Patagonie de millions d’hectares et de centaines d’estancias, celle qui fut l’ne des premières femmes médecins du Chili, se retrouve transbahutée d’une exploitation l’autre pour soigner les travailleurs. Une transfuge à tous égards, issue d’une famille d’arrieros (« muletiers ») de la région centrale du Maule, petite-fille d’une indienne mapuche. Luis, un havrais de 24 ans en 1998, découvre que son père était un « détenu-disparu » de la dictature de Pinochet. Il part au Chili à la recherche de son identité nimbée du secret du silence de sa mère. Deux quêtes initiatiques dans un paysage époustouflant sous cette plume-là ; il leur ravit la vedette, comme s’il était le personnage principal.
Delphine Grouès a une connaissance charnelle, sensuelle, minérale de la Patagonie de la région des lacs au cap Horn. Elle ne l’a pas seulement foulée à de nombreuses reprises, elle l’a chevauchée inlassablement. Cette intimité irradie cette histoire sur laquelle s’étend en permanence l’ombre portée des peuples premiers ou dits plus joliment encore « peuples racines » de cette région, décimés au début de l’autre siècle par des pionniers qui en ont saccagé la nature immémoriale. La romancière ne manque pas de moyens (et ceux du conte familial ne lui font jamais défaut) pour dire comment des personnages blessés par la vie se relèvent grâce à la résilience, mais aussi par la solidarité. Mais ses écrivains de chevet ne sont pas en reste, Pablo Neruda et Francisco Coloane que l’on n’est pas surpris de retrouver là et avant tout, en majesté de bout en bout, Lucila de María del Perpetuo Socorro Godoy Alcayaga dite Gabriela Mistral (1889-1957), première poétesse à avoir obtenu le prix Nobel de littérature en 1945.
Cette femme, dont l’œuvre (traduite en français par Roger Caillois et Mathilde Pomès dès 1946) est aussi admirable que sa biographie est fascinante, eut une vie marquée très tôt par l’abandon et la misère ; institutrice autodidacte d’une bourgade perdue, elle avait appris à dompter sa douleur avant d’inventer son nom de plume en organisant « la rencontre » en une manière d’hommage subliminal de Gabriele d’Annunzio et de Frédéric Mistral. Il y a de pires manières d’exprimer une reconnaissance éternelle à ceux qui vous ont faits. On imagine que l’évocation des paysages andins, des hautes montagnes et des fleuves interminables qui traversent son œuvre, ont dû infuser sous la plume de Delphine Grouès, chilénisée comme peu d’écrivains français. Elle ne pouvait décemment échapper à l’emprise de Gabriela Mistral dont le rayonnement fut et demeure considérable, tant poétique que plus largement spirituel, dans toute l’Amérique de langue espagnole. Dans Pequeño mapa audible de Chile, écrit dans les années trente, elle appelait de ses vœux une carte des résonances qui rendrait un pays audible. De la Patagonie, elle écrivait :
« On entend, quand on entend quelque chose, une marque sauvage qui se faufile entre les canaux et se débat dans le grand détroit. A l’intérieur des terres, à peine peuplées, il y a des silences d’herbes immenses, d’herbes épaisses et endormies, qui ressemblent à la stupeur des icebergs dans la dernière mer ».
Loués soient ces livres qui ouvrent sur tant d’autres livres. Ils sont source de (re)découvertes sans fin. Chacun abrite une bibliothèque invisible. Personnelle, elle ne demande qu’à être partagée.
(« L’été ou Ruth et Booz » , huile sur toile de Nicolas Poussin, 1660-1664, Musée du Louvre ; « Mons-Ferratus » et « Kabylie » photographies de Karim Kal exposées jusqu’au 13 avril à la Fondation Henri Cartier-Bresson ; « Paysage algérien : le ravin de la femme sauvage » huile sur toile d’Auguste Renoir, 1881, musée d’Orsay )
1 922 Réponses pour Trois livres pleins d’autres livres
29/03, 14:19] En Europe de l’est. Et bcp en Pologne
[29/03, 14:21] Psycho généalogie ? questionne Nathalie Cohen.
[29/03, 14:22] Extrêmement rationnel de prêter attention à la présence de ceux qui ne sont plus là.
Rendre vivants nos ancêtres.
[29/03, 14:26] ce livre est dédié à ma mère perdue il y a qq années et à ma grand mere DCD à Auschwitz.
Ma mère est là et elle est tout le temps là.
Comment nous, les psys, on peut aider nos patients à aller mieux et à guérir en étant en lien avec les autres invisibles, les morts.
[29/03, 14:26] J’étais très proche de ma mère
[29/03, 14:28] Un des gros problèmes des patients est la solitude.
Pas slt ça.
Ils ont besoin au moins d’être reconnus. Ils ont besoin de gens qui sont attentifs, qui les écoutent, qui comprennent ce que le patient dit.
Le bruit isole et la maladie isole.
[29/03, 14:29] Guérir de la fin d’un monde Nathalie Cohen.
[29/03, 14:29] Débat en // avec Ruben Barrouck
Un article de fond
L’« internationale réactionnaire » contre les juges
Merci, Soleil vert. Oui, c’est celle-ci.
[29/03, 14:34] Djinn en Afrique du nord guinéenne.
[29/03, 14:35] Sous hypnose elle parle une langue qu’elle ne connait pas, le yiddish d’Europe centrale, une langue rare.
Le yiddish
[29/03, 14:36] Europe centrale, la Pologne.
[29/03, 14:37] Nous, les psys, on aime les malades pck c à travers eux que les forces invisibles s’expriment
[29/03, 14:39] Ça pourrait être moi g tout inventé : née à Paris de parents enfants cachés.
Toutes les familles en Pologne ont disparu
Le père de ma mère déporté la mère de mon père déporté (ou l’inverse ?)
J’ai monté une structure.
Je suis une universitaire.
Ce premier roman, je me suis laissée faire.
[29/03, 14:40] On commence une idée et puis c les personnages qui nous attrapent j’ai été possédée et embarquée embarquée, c’est un plaisir.
[29/03, 14:41] J’ai vécu deux ans en Guinée.
[29/03, 14:41] Structure, le lieu d’écoute pour les survivants de la shoah.
[29/03, 16:18] Avec une équipe, j’ai créé cette structure au mémorial de la Shoah.
Ah ben voilà, on s’absente qq heures, et la bêtise ici, reprend du poil du sanglier.
« Depuis plusieurs années, l’organisme d’État chargé de la lutte contre les sectes affirme que certaines pratiques thérapeutiques peuvent conduire à des dérives sectaires. Parmi elles : le décodage biologique et la psychogénéalogie. »
« « en 2030 la France devra payer 1.000 milliards pour rembourser, non pas la dette, mais les intérêts de la dette. »
puck dit: 1 avril 2025 à 18h26
Or, les intérêts de la dette sont cet année de 67 milliards € et seront de 69,6 mds € en 2027. Donc, dans le pire des cas, ils pourraient être de 100 Mds d’euros en 2030, c’est-à-dire 10 fois moins que ce que notre grand analphabète économique veut nous faire croire »
pedro tu sais quoi ? je viens sur le blogapassou de puis de nombreuses années et crois-moi j’en ai vu des pinailleurs, mais un pinailleur comme toi limite j’aurais jamais cru que ça pouvait exister !
cent milliards… mille milliards…
sérieux ? tu crois que c’est ce genre de raisonnement qui va sauver notre pays de la faillite ?
d’ailleurs les mecs ils viennent de tilter dans leur tête, quelqu’un a dû leur dire avec mille milliards d’intérêt ou cent milliards si tu préfères il vaut mieux que ce soit le RN qui se les cogne pluôt que nous.
parce que reconnais au moins, que ce soit cent ou mille milliards, il faut être complètement fada pour vouloir être au pouvoir en 2030 !
du coup ils se sont rendus compte que ce juge qui a empêché MLP de remporter les élections de 2027 en vérité c’est un cadeau empoisonné.
du coup ils vont la laisser devenir présidente en 2027 et lamentablement se vautrer avec les intérêts de la dette qu’entre nous personne ne peut régler.
et après ils reviendront en 2032 en disant MLP a coulé la France, c’est nous les suaveurs blablabla…
pedro du coup tu vois bien que cent ou mille milliards d’intérêt ça ne change absolument rien au problème et si tu veux vriament pinailler cherche d’autres sujets où tu pourras venir pinailler avec Bonessian et Parsimoni, encore que raciste comme tu es ça m’étonnerait que t’aies des potes arméniens et italiens.
Encore une décision judiciaire qui fera date , dans l’agenda des fachos :
« Eric Zemmour condamné à 10 000 euros d’amende après avoir soutenu que Philippe Pétain avait « sauvé les juifs français » pendant la deuxième guerre mondiale »
Rose 14h35
Oui, j’avais rectifié !
La bêtise ici :
Nathalie Cohen, Nathalie Zajde, je vous passe le flambeau quant à la psychogénéalogie.
P.S : c’est le travail fait par E.C dans Un roman russe, avec son grand-père.
Merci Christiane !
@ »www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/(…) »
sérieux ? tu sais qui est l’oligarque propriétaire de ce journal ? c’est une espèce de catholique intégriste, quand tu lis ce qu’ils écrivent sur la Russie ce journal dégouline de haine anti slave !
en fait la vraie secte c’est eux !
tous les journalistes de ce journal doivent aller en cure de désintoxication anti secte !
sérieux c’est vraiment l’hôpital qui se fout de la charité…
Si Renelle est là pour apprendre, faudrait voir à pas lui inculquer des escroqueries comme la psychogenealogue. On a quand même du bagage.
« Atelier 30 – Zététique : La psychogénéalogie et ses dérives »
À télécharger là :
Inutile de rameuter tout paris VIII, une usine à branleurs, on sait.
@puck dit: 1 avril 2025 à 18h43
keupu met un lien vers un titre de Neil Young pour agrémenter la soirée ; okay
@Marie Sasseur dit: 2 avril 2025 à 5h48
Un nouveau dernier jour sans fin pour les vieux ici, avec un peu de Pierre Perret au réveil, c’est beau , aussi , la niaiserie.
L’envoi de Marie Sasseur se passe de légende ; okay
Alors pourquoi ce titre de NY a-t-il été sucré par les modos ? Une allergie aux couleurs ?
https://youtu.be/wuwBy6Hc_l8?si=9fWgcgNBaVYrEe4a
@ »www.lemonde.fr/idees (…) »
je te rappelle que le monde appartient à Xavier Niel qui est le gendre de Bernard Arnault à savoir les 2 oligarques français qui ont mis Macron au pouvoir !
tu veux que ta pensée se retrouve prisonnière du système oligarchique français ?
c’est ça ?
tu refuses de faire l’effort de réfléchir par toi même et du coup tu offres la part de ton cerveau disponible, ou ce qu’il en reste, à l’oligarchie qui en vérité contrôle la pensée de la France afin de servir leurs propres intérêts ?
sur ce coup tu me déçois, je te croyais plus libre d’esprit.
sérieux il ne faut plus lire ou écouter tous ces médias qui appartiennent à ces oligarques français !
Pourtant
https://larepubliquedeslivres.com/wp-content/uploads/2024/11/Image-1.jpg
@sur ce coup tu me déçois, je te croyais plus libre d’esprit.
Tu as raison pour le monde libre de l’Ogre.
Mais vu de Sirus il faut aussi savoir prendre ce qu’il reste parfois d’une éthique journalistique qui devient, hélas, rarissime.
« éthique journalistique »
ça c’est ce qu’on appelle un pléonasme ou un oxymore j’en sais rien et je m’en fous, faut demander à pedro le pinailleur.
aujourd’hui la définition d’un journaliste en France c’est un type ou une meuf complètement déconnecté(e) du réel et obligée de sucer la bite de l’oligarque qui le (la) paye.
exemple au hasard : un type te dit que les chars russes vont débarquer à Paris ce week end.
si ce type est ton voisin ou un ami à toi tu peux t’inquiéter pour sa santé mentale.
par contre si ce type est journaliste tu te dis ce type est normal c’est dans l’ordre des choses.
du coup trouver qu’un type marche complet à côté de ces pompes ça devient un type normal dès que tu sais que ce type est journaliste dans la mesiure où sa fonction première est de marcher à côté de ses pompes.
l’époque du Watergate limite c’est la préhistoire.
plus tard on dira à nos petits enfants qu’on a connu l’époque où* des journalistes étaient connectés au réel limite on pourra leur dire qu’on a croisé des dinosaures que pour eux ce sera la même chose, ils nous regarderont avec des yeux ronds du genre wow c’est incrpoyable…
cent ou mille milliards d’intérêt ça ne change absolument rien au problème
puck dit: 2 avril 2025 à 15h17
PPPPP (Puck la Pute Payée Par Poutine), le type pour lequel il n’y a pas de différence entre 100 et 1000, pour qui devoir 10.000 euros ou 100.000 c’est pareil (ou 100.000 euros et 1 million). Pour lui les gens qui touchent un salaire ou une retraite de 1000 euros par mois et ceux qui touchent 10.000 ont le même pouvoir d’achat.
Il suffit à PPPPP (Puck la Pute Payée Par Poutine) qu’il y ait 10 % de vrai dans une idée ou une opinion pour qu’elle soit vrai à 100 %, c’est-à-dire devienne une vérité absolue.
PPPPP (Puck la Pute Payée Par Poutine) c’est Monsieur 10 % de fiabilité (dans le meilleur des cas).
14.08 Donc si les sélectionneurs partagent l’étonnement de certains ici qui considèrent qu’un flic ne peut rien connaître a la littérature ,vous avez vos chances
——
Z’êtes sympa, rosanette. Mais ils devront s’apercevoir que je ne suis pas un vrai flic ni ne l’ai jamais été. C’est juste une légende urbaine un brin colportée par passoul depuis des plombes et que je n’ai jamais voulu démentir… Il se trouve que les ai juste très longtemps beaucoup côtoyés à titre professionnel, haïs et aimés quelques-uns, vu la diversité des gens qui composent la flikaillerie, comme dans toutes corporations, quoi… Des Norek, y’en à des paquets, certes moins que des Henriette Chafoin qui en pincent pour les Marines, que voulez-vous, c’est komsa, ça reste très démochratisque et de plus en plus diversifié en race et en genre et en (agri)cultures.
Non, non, DHH; je laisse tomber le prix du livre inter, et je vous passe un lien intéressant…, au kazou la cour de Cass serait obligée, par sa jurisprudence, de donner raison à la première instance infirmée en appel, comme le précise le Volatile du jour***… Les carottes sont cuites pour elle ? Rêvons pas trop, closer et bilger…
A la une de ce torchon (antisémite ?) du jour, on voit la Marine dire au Jordan : »tu te rends compte de ce que ça signifie : avec exécution provisoire ? » – « Voui, si ça se trouve, je suis allé chez les juifs pour RIEN ! » – M-hurck.
https://www.publicsenat.fr/actualites/politique/video-quand-marine-le-pen-demandait-lineligibilite-a-vie-pour-les-elus-condamnes-pour-detournement-de-fonds-publics
Bàv,
[29/03, 14:21] Psycho généalogie ? questionne Nathalie Cohen.
Une vieille connaissance de l’herdélie, crois-j
@Quand Marine Le Pen demandait « l’inéligibilité à vie » pour les élus condamnés pour « détournement de fonds publics »
Un prolongement intéressant, fondamental d’un point de vue juridique et sociétal, serait/sera de discuter des vertus (et des délais) de prescription ; la dette perpétuelle, chez nous, ça n’existe pas
de LA prescription (inopérante au cas d’espèce)
nb/ 0 la une du Canard, le dessin satirique répertorié supra n’est hélas pas signé. Du mloins je ne l’identifie pas…
Au fait, voici un nouveau lien passé par ma soeur 1ère :
https://www.publicsenat.fr/actualites/politique/video-quand-marine-le-pen-demandait-lineligibilite-a-vie-pour-les-elus-condamnes-pour-detournement-de-fonds-publics
Bàv,
(Les crimes contre l’humanité ne se prescrivent pas ; que Poutine, Netanyahu et cie se le disent)
16.27 / Cela fait 200 plombes qu’on discute du « droit à l’oubli » en notre droit pénal… La bonne blague faribolesque… Que voulez vous oublier avec les réseaux sociaux qui nous tracent tout pour les algorithmes de l’IA…, voyons doncques ! Et je vous aime beaucoup comme erdélien qui compte, vous le savez, Jean.
Je crois avoir oublié un lien promis pour édifier la démocratie propre du chemisier blanc :
https://www.publicsenat.fr/actualites/politique/video-quand-marine-le-pen-demandait-lineligibilite-a-vie-pour-les-elus-condamnes-pour-detournement-de-fonds-publics
J’attends en vain d’être pourchassé et puni d’exclusion pour harcèlement littéraire s/ le blogapassoul. Je vas pas tenir longtemps à faire le sale boulot, hein, mon frère ? J’ai d’autres chats à fouetter la crème… Et personne pour nous relayer, ma soeur et moij.
Dis ???? TU crois pas que, parfois, le gilbère, il en fait un peu trop dans la compassion sur le « drââââme » de la bipolarité chez certains journalistes ?
https://www.philippebilger.com/blog/2025/03/mon-infinie-b%C3%AAtise-de-bien-portant.html
@Un prolongement intéressant, fondamental d’un point de vue juridique et sociétal, serait/sera de discuter des vertus (et des délais) de prescription ; la dette perpétuelle, chez nous, ça n’existe pas
Pourquoi avoir fait appel de cette décision ? Un arrêt de la cour d’appel fin 2026 ne constituera pas une décision définitive ; alors que Bardella Jordan pourrait se présenter à la présidentielle en 2027 pour porter les idées soi disant populaires et majoritaires dans le pays, et que Le Pen Marine pourrait lui succéder dans cette mission en 2032
Serait-ce que d’idées il n’y a pas ?
(La prescription n’a rien à voir avec un « droit à l’oubli » que je vous remercie de définir si vous voulez poursuivre, disons dès demain matin après le Pierre Perret désormais de rigueur, une discussion constructive)
(A cet égard, je me permets de rappeler les premières lignes d’un préambule à une certaine déclaration : « Les représentants du peuple français, constitués en Assemblée nationale, considérant que l’ignorance, l’oubli ou le mépris des droits de l’homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des gouvernements, ont résolu d’exposer, dans une déclaration solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés de l’homme, afin que cette déclaration, constamment présente à tous les membres du corps social, leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs(…) » Je la trouve éminemment respectable, pas vous ? https://www.conseil-constitutionnel.fr/le-bloc-de-constitutionnalite/declaration-des-droits-de-l-homme-et-du-citoyen-de-1789 )
Elon Musk pourrait quitter prochainement son poste au sein du gouvernement américain, selon Politico
Sans commentaires…
; la dette perpétuelle, chez nous, ça n’existe pas.
À vous lire, on dirait pas.
Je vous invite à une relecture
Tesla chute avant de se reprendre à Wall Street, après des rumeurs sur un départ d’Elon Musk de l’administration Trump
La défaite humiliante de Donald Trump et Elon Musk dans le Wisconsin
02/04/2025
Malgré une campagne agressive de la part des Républicains et plus spécifiquement d’Elon Musk pour tenter de faire élire un conservateur à la Cour suprême de l’État du Wisconsin, le siège a été remporté par une libérale, mardi 1er avril. Une première défaite pour le camp présidentiel.
Ni ses gros chèques ni son fromage sur la tête n’auront préservé Elon Musk de la défaite. Malgré une campagne agressive de la part du bras droit de Donald Trump – qui a tout de même investi 15 millions sur sa candidature – et de tout le Parti républicain, le conservateur Brad Schimel a échoué à se faire élire à la Cour suprême de l’État du Wisconsin, mardi 1er avril.
Cette élection était particulièrement importante, car décisive quant à l’orientation idéologique de la plus haute cour de cet État pivot, qui examine le droit à l’avortement, le droit du travail et les règles électorales par exemple. Mais l’équilibre a été maintenu avec l’élection, pour 10 ans, de la libérale Susan Crawford : la Cour reste à 4 démocrates contre 3 républicains pour au moins un an.
Bienvenus à la réalité.
@ un « droit à l’oubli » que je vous remercie de définir si vous voulez poursuivre
J’y suis tout prêt, pour disputer du lien évident entre les deux notions, à mes yeux. Mais pourquoi sur le pré, après Pierre Perret ? Cela ne sent pas très bon comme proposition, Jean.
Incidemment, le bienvenue à la littérature du jour revient à Jazzi pour son évocation du festin nu
Etats-Unis : Trump et Musk essuient un premier revers électoral cinglant dans le Wisconsin
Publié le 02/04/2025
C’est un revers électoral particulièrement symbolique. Donald Trump a fait face mardi à une première défaite avec l’élection d’une juge démocrate dans le Wisconsin, un scrutin habituellement d’ampleur locale, marqué cette fois-ci par la forte implication d’Elon Musk.
Susan Crawford, soutenue par les démocrates, a remporté un siège à la cour suprême de cet Etat de la région des Grands lacs pour dix ans, selon des projections de plusieurs médias américains. Elle était face à Brad Schimel, soutenu par Donald Trump et Elon Musk, et dont la victoire aurait fait basculer la haute instance du Wisconsin du côté conservateur.
Un scrutin particulièrement « important », selon Musk
Les gens « ne se rendent pas compte à quel point c’est important », avait lancé dimanche Elon Musk, lors d’un meeting de soutien à Brad Schimel dans le nord du Wisconsin. « Ils se disent « c’est une sorte de truc judiciaire qui n’est pas important » mais en réalité, ce qui se passe mardi, c’est un vote pour savoir quel parti contrôle la Chambre des représentants », avait-il ajouté.
Le multimilliardaire s’est ainsi inquiété d’un potentiel rééquilibrage par la cour suprême locale dans le découpage des circonscriptions électorales, en faveur des démocrates.
Etat pivot, le Wisconsin avait été remporté par Donald Trump en novembre. Le président républicain s’était d’ailleurs fendu lundi sur sa plateforme Truth Social d’un message de soutien à Brad Schimel. Il s’est surtout attaqué à Susan Crawford, qui serait, selon lui, « un DESASTRE pour le Wisconsin et pour les Etats-Unis d’Amérique ». Le locataire de la Maison-Blanche aura donc perdu son premier pari dans les urnes depuis son investiture le 20 janvier.
Commentaire d’un lecteur du Figaro sur le probable départ de Musk:
Les élus républicains font pression depuis des semaines et la défaite dans le Winsconsin montre que Musk est devenu totalement toxique. Son départ est inévitable.
Nulle intention de jouer aux duellistes avec vous
Ni à Guillaume Tell
Les premiers deux mois de l’administration Trump seraient-ils l’équivalent aujourd’hui de la journée des dupes de Richelieu ?
Mais il y en a un autre, total toxique…, 75, et qui va pas s’en aller de Citeau.. Hein ?
Mais voui, le Festin nu… c’était plus sympa en son temps que ‘l’homme nu » de Levi Strauss que jzman a oublié de signaler dans son panthéon sculptural.
Bon toujours le même snobisme… Relisez le, et honnetement, dites moij si ça tient encore la route, plus que le bateau ivre, …
Moij qui viens de faire l’effort, je ne croisj pas… M’enfin… je reste attaché au grand Burroughs, il était l’idole de ma jeunesse « beat » avec Kerouac, « Dean Moriarty » et Ginsberg…
Tchin.
« Je suis vivant et vous êtes morts » – Emmanuel Carrère. (Point 2, 580 p.)
C’est ce livre, Soleil vert, qui tente une biographie de Philip K Dick. L’avez-vous lu ?
Désolé de la distraction ; vous semblez avoir suffisamment à faire pour tenter de définir le « droit à l’oubli » et le distinguer de la prescription (hors champs médical)
@Relisez le, et honnetement, dites moij si ça tient encore la route, plus que le bateau ivre, …
Moij qui viens de faire l’effort, je ne croisj pas…
Et si vous commenciez par vous affranchir des nouvelles méthodes de lecture rapides dirigées par les IA ?
lectures
Merci, Bernard. Vous aimez jongler avec les sonorités des mots comme cette nuit. Et c’est plaisant.
@ »Etats-Unis : Trump et Musk essuient un premier revers électoral cinglant dans le Wisconsin »
pedro il a tellement peur de voir la guerre s’arrêter en Ukraine qu’il guette toutes les victoires qui ramènent les néoconservateurs au pouvoir.
pedro ne t’en fais pas comme ça, même si la guerre en Ukraine devait s’arrêter tes amis en referont encore plein d’autres des guerres.
en fait pedro il a gardé un souvenir tellement fort de quand il était enfant à jouer avec ses petits soldats et son pistolet à eau qu’il vit dans une peur panique de ne plus voir de morts dans son écran tv.
peut etre Puck est-il un psy-conseil pour la RDL?
Génie économique au travail
Pablo est un Zorro de poche, un Goldorak de pacotille, un Batman d’opérette, un Superman de spectacle pour enfants et un Buffalo Bill de cirque Barnum !
Il prend des risques « hénaurmes » sur son écran de portable pour faire la guéguerre contre le Grand Méchant Trump !
Pablo, le Héros de tous les fiascos !
Un héros – des héros.
@@puck dit: 1 avril 2025 à 18h43
keupu met un lien vers un titre de Neil Young pour agrémenter la soirée ; okay
@Marie Sasseur dit: 2 avril 2025 à 5h48
Un nouveau dernier jour sans fin pour les vieux ici, avec un peu de Pierre Perret au réveil, c’est beau , aussi , la niaiserie.
L’envoi de Marie Sasseur se passe de légende ; okay
Alors pourquoi ce titre de NY a-t-il été sucré par les modos ? Une allergie aux couleurs ?
https://youtu.be/wuwBy6Hc_l8?si=9fWgcgNBaVYrEe4a
Heu ! Non, rien …
Dans cet ordre d’idées, le son du titre suivant est okay, mais les couleurs laissent à désirer ; surtout les couleurs de l’interligne (club sandwich au cresson)
https://youtu.be/wZKKiRMdvzc?si=9wvixhlCqh8THtBT
Pourquoi suis-je si méchant avec les Rdéliens ?
C’est une question que je me pose mais… hummm… si j’arrête la méchanceté, je vais devenir… gentil ! je vais dire des choses bien aux Rdéliens… hummm… Euh, par exemple :
– Oui, Christiane, merci, oh merci, vous êtes si brillante…
– En effet Janssen JJ, votre point de vue est si judicieux, quelle érudition…
– Tout à fait Jazzi, comme vous, je ne supporte pas les homophobes…
– Mon Dieu, Pablo, en matière d’analyses politiques, vous êtes un stratège doublé d’un visionnaire…
L’HORREUR !!!!
Non mais ! et puis quoi encore ?!
La méchanceté, le cynisme et la haine, ça conserve et le corps et l’esprit.
Dire du mal des autres, ça fait du bien. Et c’est tellement humain !
Le rythme est prioritaire, syncopé. Jouez vous d’un instrument, Bernard ?
Ah je n’avais pas vu. Oui, je comprends cela. C’est une question de couleur. De la fureur là où je pose des lignes lentes Moussorgsky ou Bach. L’orage ou la lune ronde et presque immobile. Eh bien continuez. J’aime bien la musique de vos mots. Et tant pis pour les épines.
Il a bien raison, ce Bernard.
@les modos
Clothes Line Saga
https://youtu.be/SmtQ6x1c_yo?si=12c-usGETGiaRJkW
« Ce ne sont pas les images de la fantaisie mais des notions nettement conçues qu’il faut prendre pour guide de ses travaux. Le contraire arrive le plus souvent. A y regarder de plus près, on trouve que, ce qui dans nos déterminations vient en dernière instance rendre l’arrêt décisif, ce ne sont pas ordinairement des notions et des jugements, mais c’est une image de la fantaisie qui représente l’un des termes de l’alternative et s’y substitue. Je ne sais plus dans quel roman de Voltaire ou de Diderot la vertu apparaît toujours au héros placé comme Hercule au carrefour de la vie, sous les traits de son vieux gouverneur tenant de la main gauche sa tabatière, de la droite une prise de tabac, et moralisant; le vice, en revanche, sous les traits de la femme de chambre de sa mère. »
Schopenhauer, Aphorismes sur la sagesse dans la vie. Je me demande de quel roman il parle, ça ne me dit rien…
@ Et si vous commenciez par vous affranchir des nouvelles méthodes de lecture rapides dirigées par les IA
Lectures rapides ? Ai-j toujours lu trop lentement et TOUT, à mon goût… et jamais en diagonale. Je ne sais pas. J’essaie de me tenir au courant de comment lutter contre l’IA… M’affranchir, Jean… Et c’est vous qui dites cela ? – I would prefer not to.
20.32, Les Parerga et Paralipomena ne sont pas vraiment un roman, contrairement à ce que prétendent les algéco de chatGPT.
Bàv.
@ En effet Janssen JJ, votre point de vue est si judicieux, quelle érudition…
Merci Barnard, je savais que vous me rendriez un bel hommage, un jour ou l’autre. Nul vient à point à qui… Ah, j’allais oublier le lien, une fois de plus :
https://www.publicsenat.fr/actualites/politique/video-quand-marine-le-pen-demandait-lineligibilite-a-vie-pour-les-elus-condamnes-pour-detournement-de-fonds-publics
Bàv.
https://youtu.be/OKie8aBF0SQ?si=Sx3GcRgJRDYwo0tv
Ne dirait-on pas Bernard ?
Et encore ce n’est pas Une nuit sur Le mont Chauve avec le sabbat des sorcières !
@ Petit rappel :
Pêcheur d’Islande fut un roman de Pierre Loti, Les travailleurs de la mer, et Han d’Islande, deux romans de Victor Hugo. Les aviez-vous lu intégralement au moins, Jean ? Non ?… Vous auriez dû, pourtant. D’ailleurs, il n’est jamais trop tard pour bien lire.
L’Islande et la Norvège envisagent d’adhérer à l’UE.
20.56, … quant au sabbat des sorcières, aij toujours trouvé que le plus beau gisait assurément dans Le Maître et Marguerite… Vous souvenez-vous du moment où elle s’en va vendre son âme à Woland, se faisant sorcière pour lui. Elle survolait Moscou toute nue comme une démente sur son balai de Sabbat, devenant reine du bal de Satan… Et toussa, pour sauver le Maître. Béhémot le gros chat ricanait en sourdine… Pas de souci pour lui mettre la musique de Moussor dans le manche.
*** Hélas, Chiotti le Chauve me parasite un peu le Mont. Pour le lien sur Marine sans tache, voyez supra. Bàv,
En raison des termes utilisés dans les titres de certains essais regroupés dans Parerga et Paralipomena, quelqu’un de peu intelligent pourrait facilement le confondre avec un roman : 2 fois « histoire » ; 1 fois « le destin d’un individu ».
21.05 – Oui, ils ont peur de la Russie (ras)poutinisée, comme l’ex Courlande jadis, nos trois Etats baltes. Et la Finlande n’est pas en reste, enfin sortie de sa finlandisation historique après la résistance héroïque retracée par Olivier Norek. Elle souhaitait rejoindre le protectorat de l’OTAN, mais vu ce qu’il en reste… Hein,
La « Walkyrie bolchevique » ne voulait en faire qu’une bouchée… D’après Hélène, on finit par l’y envoyer comme ambassadrice à la fin de sa vie pour la calmer et s’y faire oublier… Elle avait fini par insupporter autant Lénine que Staline. Qui ça ?
Quelqu’un a raconté ce matin que 2666 était l’un des plus grands romans du siècle, puisqu’il faut toujours exagérer ce que l’on découvre au fur et à mesure. Nous en avions beaucoup parlé avec DHH, la seule qui l’avait lu de bout en bout, comme moij. et je me souviens de l’horreur de tous ces féminicides irrésolus à Ciudad Juarez. Et je me cuide le Bolano (avec tilde), au questionnaire duquel ont aimablement répondu quelques sympathiques de nos erdélien.nes.
Dire du mal des autres, ça fait du bien. Et c’est tellement humain !
Oui, mais ça finit par faire dissociété… Et c’est alors tellement plus difficile den recoudre les morceaux de tissus épars…, c’est pas l’HORREUR, non… c’est l’HONNEUR de la démocratie plurielle que de faire l’effort d’atténuer la haine contenue en chacun.e, envers -par ordre décroissant- l’erdélien, le collègue de bureau, l’arabe du coin, la voisine de palier, le cousin, l’oncle et la tante paternels, le papa et la maman recomposés, la fifille et le chien. Wouarf.
J J-J 20h49 – renato 21h14:
Le « roman » de Diderot ou de Voltaire dont le nom et l’existence m’intriguaient est celui évoqué par Schopenhauer dans l’extrait de Aphorismes sur la sagesse dans la vie (PUF, Quadrige 8e éd. 2011) que je vais pour la peine et par pur plaisir répéter:
« Ce ne sont pas les images de la fantaisie mais des notions nettement conçues qu’il faut prendre pour guide de ses travaux. Le contraire arrive le plus souvent. A y regarder de plus près, on trouve que, ce qui dans nos déterminations vient en dernière instance rendre l’arrêt décisif, ce ne sont pas ordinairement des notions et des jugements, mais c’est une image de la fantaisie qui représente l’un des termes de l’alternative et s’y substitue. Je ne sais plus dans quel roman de Voltaire ou de Diderot la vertu apparaît toujours au héros placé comme Hercule au carrefour de la vie, sous les traits de son vieux gouverneur tenant de la main gauche sa tabatière, de la droite une prise de tabac, et moralisant; le vice, en revanche, sous les traits de la femme de chambre de sa mère. »
(my emphasis)
Si ça ne vous dit rien non plus, c’est pas bien grave; inutile de lire de travers et de répondre à côté.
Qui croyez vous qui ait pu formuler une thèse aussi généreuse, que je vous résume de la sorte :
————
La dissociété est cette force centrifuge qui éclate en éléments rivaux les composants autrefois solidaires d’une société humaine. Un processus de destruction des liens sociaux, au profit du culte de la performance individuelle et de la compétition. Nation éclatée en « communautés », ghettoïsation, guerre économique imposée entre les travailleurs comme entre les régions, exclusion des perdants, repli sur soi… Pourquoi résistons-nous si peu à l’idéologie néolibérale d’une société de marché où les liens se racornissent en simples échanges ou connexions ? En partie parce que celle-ci puise ses sources dans une erreur anthropologique fondatrice de la culture moderne et qui a contaminé la plupart des courants de pensée politique du XVIIe siècle à nos jours : la conception de l’humain comme un individu existant par lui-même hors de ses liens sociaux.
____
*** Pour le scandale de l’inégibilité temporaire, voir supra le lien donné par ma soeur 1ère.
21.44 @ inutile de lire de travers et de répondre à côté.
Inutile de vous fatiguer à répéter ce que vous avez suffisamment copié-collé et surligné en garas, comme si nous étions sourds…
Nous en sommes tous las !… 😉 Bàv,
@ ORT
(my emphasis)
ô, c’est tellement chou, rapport à CMQS en gras (sic). Ca vous classe le bonhomme ou la bonne femme de neige, tout à coup ! B.à.iel,
On peut aussi évoquer « Emaux et Camées » de Théophile Gautier, si vous le souhaitez. Nous restons tout de même dans un salon littéraire, que diantre !
Bah, qu’il était onk, cet Arthur… C’est dans les Bijoux indiscrets du camarade Diderot, voyons doncques… Voltaire ? N’importwak, le fauteuil !
Je jouais sur le poste de JJ-J et sur un titre, rien de plus.
R. Strauss: 6 Lieder, Op. 17, TrV 149: 2. Ständchen (Arr. Godowsky) – Nelson Freire
https://www.youtube.com/watch?v=rGtkdMvn_gM&list=PLUr7mJqudsHX-7k0cIS0pU6VLpB4KV3nU&index=9
c’est ainsi que le monde marche
https://x.com/ozzymanreviews/status/1907334656539918663?s=46
Bon. Moi, je vous mets mes dernières notes, concernant L’accident de Jean Paul Kauffmann.
Un m’a arraché le micro. Une autre m’a poussée violemment.
J’étais partie lorsqu’il m’a dit Au revoir, Madame.
Rencontre magnifique.
Tout est une question de choix.
Moi, je, j’avais une quarantaine d’années lorsque mes choix se sont ancrés :
La bonté plutôt que la méchanceté.
L’ouverture plutôt que la fermeture.
L’intelligence plutôt que la bêtise.
L’absence de jalousie plutôt que la jalousie.
L’amour plutôt que la haine.
Avancer plutôt que reculer.
Me battre cela ne me convient pas, même si j’aime ça. J’ai pensé à Pierre Magnan hier soir : il vivait dans un grangeon, comme moi, mais bien mieux que moi (pas encore faite à l’usage, il serait temps) mais il n’a pas maitrisé sa fin de vie, ce qui représente, à mes yeux, un drame. Alors qu’il a eu sa vie magnifique à écrire ses livres dans son pays aimé.
Quelle tristesse.
Les choix que l’on fait sont nos choix.
Moi, je n’ai pas besoin, dans ma vie choisie et assumée, de Marie Sasseur. Et d’ailleurs, je n’ai pas besoin non plus de Puck. Que chacun assume ses choix.
Lors de la signature pendant les dédicaces, j’ai continué le dialogue en lui répétant que le signal qu’il attend, de sa mère, n’arrive pas forcément tout de suite. Il m’a répondu « ah, ce serait bien de ma mère, cette façon de faire » et puis lui disant « ce n’est pas obscène, puisque c’était un moyen de nous donner des nouvelles de vous ». Il m’a répondu » ce qui est obscène, c’est ce qui n’a aucun sens ».
J’ai noté » ce qui est obscène, c’est ce qui n’a aucun sens. »
Celui qui m’a arraché le micro à la sortie de la tente m’a dit merci pour vos questions.
Trop tard.
Tous nos actes nous définissent. Y a pas de retour en arrière. Ce qui est fait est fait.
Après, il y a cette notion, cf.dans les notes, que revendique JP Kauffmann.
Certes.
Je lui ai redis que l’institutrice, ce n’était vraiment pas acceptable : il m’a répondu qu’il avait supprimé, pourtant, deux ou trois phrases très dures sur cette punition.
@Ort,
Diderot,- ou Voltaire- n’auront jamais que reinterpreté le vice cet la vertu, de l’ecole socratique quelle importance dès lors ? s’il s’agit de considérer ce que Schopenhauer veut dire dans son aphorisme.
« Suis-moi, je te conduirai sur un chemin doux et facile, sans peine mais avec tous les plaisirs que tu désireras. Je te comblerai des trésors qui achètent les plaisirs, sans avoir à faire les travaux pénibles. »
Héraclès lui demanda comment elle se nommait et celle-ci lui répondit » Mes amis me nomment la Félicité, tandis que mes calomniateurs m’appellent la Volupté ».
A son tour, l’autre femme s’approcha et lui dit; « Héraclès je sais bien qui tu es et toute l’éducation que tu as reçu. J’espère que tu me choisiras et que tu brilleras parmi les grands hommes pour tes exploits et ta vertu. Le bonheur est le fruit du travail, prie les Dieux de t’être favorable, que ton amitié soit généreuse, sois utile à ta cité, apprend l’art des combats et domine ton âme. »
La première l’interrompit en faisant remarquer la longueur et la difficulté de cette voie vers le bonheur quand la sienne est si simple et agréable.
La Vertu la réprimanda, lui montrant que son chemin était celui du plaisir sans l’avoir mérité ou désiré. »
L’accident
Mezzine Arditi
Bonne table hier soir.
Amour que la plupart d’entre nous portent aux chats.
Le patron c’est lui (le chat).
Tien suio ping (?)
« La question n’est pas de savoir si le chat est noir ou blanc la question est de savoir s’il attrape les souris. »
Le texte de JPK est un récit.
Une très belle langue une histoire prenante et de très belles émotions.
À l’unanimité, JPK L’accident a été élu le prix du roman 2025 des écrivains du sud.
L’accident
Mezzine Arditi
Bonne table hier soir.
Amour que la plupart d’entre nous portent aux chats.
Le patron c’est lui (le chat).
Tien suio ping (?)
« La question n’est pas de savoir si le chat est noir ou blanc la question est de savoir s’il attrape les souris. »
Le texte de JPK est un récit.
Une très belle langue une histoire prenante et de très belles émotions.
À l’unanimité, JPK L’accident a été élu le prix du roman 2025 des écrivains du sud.
Notes
[29/03, 16:22]Mohammed Assaoui interviewe & remplace au pied levé Mme ?
[29/03, 16:26]Prix des écrivains du sud a récompensé un écrivain de l’ouest de Haute Bretagne, dit JPK.
Ai essayé d’écrire un livre joyeux, j’espère de jubilation, de gratitude, de réconciliation.
Quatre ans et demi à l’écrire. Commencé en 2020 puis stoppé net pendant le confinement. Les distortions de la mémoire, ses événements fictifs
[29/03, 16:26] 18 jeunes hommes c tte la jeunesse d’un village.
Personne n’en parlait jamais.
[29/03, 16:28] J’ai eu une enfance heureuse, bienfaisante, enchantée, radieuse, un peu spartiate, et cette enfance heureuse m’a sauvé la vie.
Elle m’a protégé lorsque je suis devenu adulte, elle m’a sauvé la vie.
[29/03, 16:29] L’interviewer est sorti ou entre ds le métier de journaliste lorsque JPK a été libéré du Liban.
[29/03, 16:29] Importance des cinq sens dans la vie. Odeur du vin => oenologie
[29/03, 16:30] Monde disparu anéanti ; né en 44 France de l’après guerre rurale qui n’aspire qu’à une seule chose retrouver la vie des années trente. La France des terroirs. La France rurale.
[29/03, 16:32] Je suis un boomer, je suis un privilégié. Monde austère, spartiate, encore en noir et blanc.
On va connaître la couleur au milieu des années soixante.
[29/03, 16:33] Éducation extrêmement catholique. J’étais enfant de chœur.
Premier lieu essentiel dans ma vie d’enfant :
Le fournil paternel : olfaction, l’importance du corps dans ce métier de journaliste.
Les cinq sens doivent marcher à plein régime.
[29/03, 16:34] Second lieu l’église. Odeur encens orgue, enfant impressionnable que j’étais.
Titre ambigu pck polysémique..
Eh bien quel salmigondis. Pauvre Kauffmann.
[29/03, 16:35] Accident libanais.
Les premier et dernier jours où j’ai cru mourir.
[29/03, 16:35] Comment est né ce livre MA ?
[29/03, 16:38] Livre de gratitude, de remerciements ; si je n’avais pas eu l’accident libanais je n’aurais pas parlé de l’accident des dix huit jeunes morts.
Trois impensés:
-Accident de Mart.ne Lacheau. ( Le lieu nommé)
-Nom corps nuds
-église en parfaite dissonance/décalage avec ce petit village
Gracq n’en a pas parlé dans les carnets du grand chemin.
[29/03, 16:40] L’inconscient humain est qq chose de merveilleux
Pdt ma détention, aucun cauchemar. Pdt le jour c’était un travail de Pénélope a l’envers je réparais la nuit ce qui serait défait pendant le jour
J’allais être transporté dans ce pays heureux de mon enfance, cela a été bénéfique pour moi et c la raison pour laquelle j’ai écrit ce livre.
[29/03, 16:43] Premier livre publié trois ans après ma délivrance : l’arche des Kerguelen, voyage qui m’a marqué à jamais.
Convalescence : il ne s’agit pas seulement d’être libéré il s’agit de revenir.
Comme Lazare qui ressort du tombeau, vous jaillissez dans la lumière le bruit ; j’avais l’impression que les autres étaient dans un état d’ébriété.
Kerguelen environnement hostile.
Avec le Marion Duquesne. Oui, il est allé deux fois aux Kerguelen. Trois semaines de bateau, avec l’océan de grosses vagues. Deux mois en tout.
[29/03, 16:43] Deuxième livre
Napoléon à Sainte Helene
[29/03, 16:43] Ex otage du Liban et spécialiste des îles
[29/03, 16:44] La captivité de Napoléon et la mienne cela n’a rien a voir mais tous les enfermements se valent.
[29/03, 16:45] Le Liban et ces années d’après guerre. Ils s’adossent.
[29/03, 16:45] Voyage au pays de la désolation.
[29/03, 16:45] Arche des Kerguelen, son premier livre en sortant de détention.
[29/03, 16:47] : TAF terres australes artiques
Rester loyal à cet homme misérable qui réclame libérez moi c’est moi ce n’est pas un autre.
Je n’ai pas la conscience victimaire.
[29/03, 16:48] J’ai écrit ce livre pour faire oublier ce statut de victime cette souffrance.
Heureusement qu’ils lui ont arraché le micro , pauvre Kauffmann, après avoir supporté la captivité, et l’humiliation, le voilà soumis au dictaphone déglingué.
Je lui ai rappelé qu’aux Kerguelen, en 1851, il y avait la plus grosse usine baleinière au monde qui décimait les baleines. Il le sait.
Dit que la punition de l’institutrice était disproportionnée. Qu’elle aurait dû savoir qu’un enfant rebelle, on ne le soumet d’aucune manière.
Admiré la rencontre avec Isabelle, la fille de celui qui conduisait le camion de l’accident.
J’ai rayé le Marie Sasseur de mes communications : je ne nourris pas la perversité, et ne suis pas là. Qu’il fasse face à sa pauvreté intrinsèque.
On a le son mais pas l’image, quel ennui, grands dieux, quel ennui, pauvre Kauffmann.
JJJ – 21h14
Merci de rappeler ce livre inouï . Oui, je me souviens de ce sacrifice et du roman incroyable.
Oh et puis alors la maîtresse qui punit, comme si son bouquin ne concernait que cela. Pauvre Kauffmann.
Jean Paul Kauffmann a fait des choix inouïs après avoir vécu sa situation d’otage.
Impressionnée par ce qu’il dit concernant le retour à la liberté et combien il est difficile de se réinsérer dans une vie normale. Sa « sauvagerie » était dûe à cette réappropriation d’un espace qui n’était plus le sien.
Pensons aux otages palestiniens et aux otages israéliens qui subissent cette privation de liberté depuis nombre d’années et qui en seront marqués à vie : la dernière proposition de trêve vient d’échouer.
Comme on est soi-même, on voit les autres.
Et l’atelier de depecage des baleines à Kerguelen, comme si c’etait le sujet de son bouquin, ou qu’il ait même évoqué ce détail wikipedia, mais non pas du tout; quel ennui, grands dieux, quel ennui, pauvre Kauffmann.
La baleine de Forcalquier, oui, mais là:
https://www.babelio.com/livres/Magnan-Periple-dun-cachalot/290954
La présence de spectateurs qui veulent être intéressants et veulent des réponses et donner des solutions. Voilà pourquoi, finalement, j’ai arrêté d’aller aux vernissages… même aux miens… surtout aux miens.
Je me souviens d’une rencontre avec Zanzotto à l’université de Turin et d’une jeune fille qui voulait expliquer au poète les tenants et aboutissants de son œuvre : c’est ce qui arrive quand on n’a plus besoin de biner un potager pour vivre. Malheureusement, ces personnes semblent ignorer la valeur profonde d’une œuvre d’art, la considérant comme un simple message ou une allégorie, plutôt que d’apprécier ses aspects esthétiques et sensoriels.
Il y a même qqchose de particulièrement malsain, dégueulasse au sens propre , de salir , avec cet abattoir a baleines, ce paysage de Poussin que sont les Kerguelen pour Kauffmann, des pages magnifiques, sur le pétrissage de la pâte a pain/ travail de la boue, couleurs chaudes de cette géographie, où la nature a sculpté des arches quasi divines.
Non vraiment, l’obscenité de l’intervention de la rosse, sa trivialité bestiale, qui n’a manifestement pas lu ce bouquin de JP Kauffmann, on l’a vi à propos de St Mali, où elle lui fait dire tout le contraire de ce qu’im écrit,
kesk’on on en a à foutre, sérieux, qu’elle veuille aller mettre ses gros sabots aux îles Kerguelen , alors que JP Kauffmann connait son monde…
Là, aussi :
https://www.editionslatableronde.fr/larche-des-kerguelen/9782710380252
on l’a vi à propos de St Mali
Oh oh
on l’a vu à propos de St Malo
@jjj la dissociete :jacques généreux je l’ai lu en son temps .
L’Herdélie ne commente pas une décision judiciaire, même fort bien articulée. Elle en extrait quelques fragments significatifs, pour mémoire, avant qu’ils ne disparaissent sous la mauvaise foi généralisée. Elle lutte à son niveau dans le souci d’un « devoir de mémoire » imprescriptible et sacré à l’égard des scélérats qui voudraient effacer ce qui n’aurait pas existé, en décrétant un « droit à l’oubli » immédiat, transformant leur criminalité caractérisée en absolue et injuste victimisation.
————
EXTRAITS
page 43 /// Ce système de défense constitue, selon le tribunal, une construction théorique qui méprise
les règles du Parlement européen, les lois de la République et les décisions de justice
rendues notamment au cours de la présente information judiciaire, en ne s’attachant qu’à
ses propres principes. Il révèle de la part de personnes condamnées qui ont pour les
principales une formation de juriste ou d’avocat, une conception peu démocratique de
l’exercice politique ainsi que des exigences et responsabilités qui s’y attachent.
(…)
page 44 /// Au mépris des faits, ces déclarations relèvent d’une conception à tout le moins narrative
de la vérité. (…)
Il revient donc plus précisément au tribunal, conscient de la nécessaire humilité qui
s’attache à une décision de première instance, d’apprécier et de mettre en balance deux
risques : 1) au regard des droits de la défense, le risque que cette peine complémentaire assortie de
l’exécution provisoire ne soit pas confirmée en appel, alors que la peine d’inéligibilité
aurait déjà été exécutée par provision. – 2) Dans l’hypothèse où le tribunal n’assortirait pas la peine d’inéligibilité de l’exécution
provisoire, le risque de voir les personnes condamnées être candidates, voire élues, alors
qu’elles ont été condamnées à une peine d’inéligibilité en première instance notamment
pour des faits de détournement de fonds publics, et pourraient l’être par la suite de façon
définitive. (…)
Le tribunal prend en considération, outre le risque de récidive, le trouble majeur à l’ordre
public démocratique qu’engendrerait en l’espèce le fait que soit candidat, par exemple et
notamment à l’élection présidentielle, voire élue, une personne qui aurait déjà été
condamnée en première instance, notamment à une peine complémentaire d’inéligibilité,
pour des faits de détournements de fonds publics et pourrait l’être par la suite définitivement.
Il s’agit ainsi pour le tribunal de veiller à ce que les élus, comme tous justiciables, ne
bénéficient pas d’un régime de faveur, incompatible avec la confiance recherchée par les
citoyens dans la vie politique.
Dès lors, dans le contexte décrit, eu égard à l’importance de ce trouble irréparable, le droit
au recours n’étant pas un droit acquis à la lenteur de la justice, il apparaît nécessaire selon
le tribunal, à titre conservatoire, d’assortir les peines d’inéligibilité prononcées de
l’exécution provisoire.
(…)
Dans le cadre d’une décision rendue au nom du peuple français dans son ensemble, cette
mesure est en effet proportionnée aux objectifs à valeur constitutionnelle de sauvegarde
de l’ordre public et de bonne administration de la justice ».
(FIN DES EXTRAITS)
—————-
La très légaliste herdélie dans son ensemble, en rappelant les items de ce remarquable jugement, ne se livre en aucun cas à une quelconque diffamation entre le Front National, ni envers Madame Le Pen. Elle rappelle juste aux nombreux lecteurs de ce blog que cette délinquante et ses acolytes, aussi menteurs soient-ils devant les évidences, sont passibles des foudres de la loi comme tout un chacun.
L’Herdélie dans son ensemble assume son devoir d’informer la République des Lettres en citant ses sources et ses bonnes feuilles.
Elle souhaite une très bonne journée démocratique à tous.tes. Bàv,
7.16 – Exact. Merci Renelle pour votre attention. Je pense que vous avez souvent de bonnes lectures. Bàv,
@L’Herdélie dans son ensemble assume son devoir d’informer la République des Lettres en citant ses sources et ses bonnes feuilles.
Oui, mais pour la bonne compréhension de tous, vu le niveau c’est même une exigence, précise que tes extraits proviennent du délibéré du jjugement pour détournement de fonds publics prononcé a l’encontre du fn rn, et 24 prévenus dont la cheffe, et mis en lien sur ce blog dans les commentaires.
6.07 – Moi, j’ai l’image mais pas le son. Quel dommage !
7.30 Je reprécise une fois de plus aux Herdélistes que le texte du jugement a été pour la première fois posté par notre amie marie ma soeur 1ère, comme elle vient de le rappeler à juste titre à l’instant… Elle s’en attribue l’exclusivité, comme si elle avait elle-même écrit le délibéré en question. Ce qui est peut-être le cas, allez savoir… Par conséquent, on espère que son escorte policière la protègera longtemps des risques que vont durablement faire peser les nervis du GUD sur sa santé physique. Et qu’elle ne traitera pas les agents de son escorte de vieux keufs pourris, comme à son habitude. Et qu’elle leur offrira des boissons fraîches, de temps en temps, au cas où ils auraient trop chaud.
Bàv,
Internationale populiste etc.
On parle de juges soumis aux pressions mais attendez, la séparation des pouvoirs n’est pas unidirectionnelle. Un politique ne doit pas entraver le fonctionnement de la justice mais l’inverse ? Un juge peut-il intervenir sur un processus electoral ?
Elle s’en attribue l’exclusivité, comme si elle avait elle-même écrit le délibéré en question.
C’est ça fais ton boursouflé, ça te dérange de citer le texte d’où tu sors tes extraits ?
Ce que tu ne fais pas, malgré tes effets de manche.
_____
J’ai déploré qu’il faille galèrer pour trouver ce délibéré.
On ne se refait pas !!!
7 23 merci de rappeler les items de ce jugement.en y extrayant la substantifique moelle !côté lecture je n’arrive pas à entrer dans ce roman russe de carrere trop égocentrique à mes yeux mais vais persévérer
Je sais pas si Renelle est le nouveau fake de ce blog.
Dites bonjour à Renelle, vous z’aut.
Moi, je sors, marre de ces toxiques.
« Elle lutte à son niveau dans le souci d’un « devoir de mémoire » imprescriptible et sacré à l’égard des scélérats qui voudraient effacer ce qui n’aurait pas existé, en décrétant un « droit à l’oubli » immédiat, transformant leur criminalité caractérisée en absolue et injuste victimisation. »
Cela me rappelle terriblement quelqu’un.
Angot a dit Écrire.
Kauffmann a dit Sortir de la victimisation.
Pour certain, ce n’est pas acquis.
Nota : un livre n’est pas intouchable.
La glose est requise, le débat, la confrontation des idées.
Maintenant ne plus aller aux raouts littéraires et ce faisant, ne plus se bourrer la gueule, c’est un bon choix.
Avec Nathalie Zajde, ai argumenté, Mona ce n’est pas qu’elle ne trouve pas l’amour, c’est qu’elle est hantée par son dibbouk qui prend toute la place. Elle a approuvé.
Des gens ouverts, reconnaissants que l’on soit leurs lecteurs attentifs et bienveillants. Une fête d’aller à leur rencontre. Avec Kauffmann, j’aurais bien prolongé la discussion.
Le sanglier de Forcalquier, bibine est cachetons, qui a épuisé plusieurs psychiatres comme elle le racontait ici a qui s’en foutait, veut sans doute faire croire qu’elle est sobre.
Pauvre Kauffmann.
Rester loyal à cet homme misérable qui réclame libérez moi c’est moi ce n’est pas un autre.
Je n’ai pas la conscience victimaire.
[29/03, 16:48] J’ai écrit ce livre pour faire oublier ce statut de victime cette souffrance.
Ce qu’il dit, c’est absolument magnifique :
Il dit de lui, c’est moi. Et je ne renonce pas, je ne renie pas qui j’ai été durant ces trois années d’enfermement.
Il dit aussi moi, je ne suis pas une victime. Et ce rôle la que j’ai joué bien malgré moi, j’en suis sorti.
Il rend hommage à l’enfance heureuse qui l’a aidé à tenir le coup durant ses trois années de geôle.
Moi, j’ai appris deux choses que je ne savais pas.
Un/ sortir de la condition d’otage et retrouver une vie normale, c’est plus que ardu.
Deux/ l’obscénité c’est ce qui n’a pas de sens.
bibine et cachetons.
Je n’en revient toujours pas, Kauffmann fait part dans ce livre, de ce qui l’a aidé à tenir, et elle vient lui balancer ses baleines éventrées qu’elle a dans son cerveau malade, sous le nez.
Une folle hystérique, ils ont bien fait de lui couper le son.
Et zut je n’en reviens pas, et re, je sors.
Macron ignore que l’antisémitisme n’est pas né à droite. Il raconte n’importe quoi, comme d’habitude.
7.49 Zut pour elle, la toxique marie ma soeur prévient fissa le risque d’une nouvelle concurrente, qui mettrait en danger son leadership…, en faisant accroire que la Renelle serait un troll… Mais non, c’est une nouvelle internaute très intelligente et cultivée qui a également le droit de vivre et de picorer ses graines. Bienvenue au club de l’Herdélie, nous y accueillons les meilleures volontés, croyez-le bien. Ne vous laissez pas barrer par le Pacifique ! A pluss.
7.41 Un juge peut-il intervenir sur un processus electoral ?
Ah bon ?… Un juge qui rappelle des faits précis depuis 2016 interviendrait dans un processus électoral ? Mais depuis quand a-t-il donc commencé ce « processus », au juste ?…
—-
Voilà une bien singulière façon poivrée de se débarrasser d’une Justice qui n’entendrait plus courber l’échine face aux puissants qui se croient tout permis… Elle ne fait que son travail à son « humble » niveau, ce nous semble, comme Madame Pélicot fit le sien, en tant que justiciable courageuse et multivictimisée. Bàv, Edmond Sel. Seriez vous un brin partisan et de mauvaise foi ?
Zanzotto, vous dites, renato ?
Renelle, 7h46.
Oui, même impression quand je le lis. Beaucoup de narcissisme comme dans ses précédents livres. Il est son énigme préférée.
C’est bien de vous lire.
Les faits sont antérieurs à la loi. Le délit de trouble public évoqué politique ( dénomination exacte à retrouver) n’existe pas.
Fermez le ban.
Manœuvre politique exactement comme l’affaire Fillon. Les patrons de Macron et de celui qu’ils ont l’intention d’imposer en 2027 sont sans scrupules.
Un homme politique de gauche ( de gauche… ) impliqué dans une histoire de costumes jamais inquiété, pas plus que pour ses affaires de mœurs.
Je n’aurais pas voté Fillon pas plus que RN.
Rose, j’ai lu avec attention cette avalanche de questions adressées à JP. Kaufmann.
Une impression fugitive : c’est comme si pour vous, le livre était insuffisant, comme si l’homme qui a écrit ce livre était plus important que ce qu’il a écrit. Un écrivain ne dit pas tout. L’écrit remplace le silence mais exprime la vérité de l’auteur différemment de ce qu’il pourrait dire. Il y a même une formidable éclosion par l’écrit. Ce qui écrit signifie alors ce qui ne peut être dit, ce qui ne veut pas être dit parce que c’est trop bouleversant. Brisant ces digues vous mettez l’homme questionné en position instable.
Parfois, refermant un livre. Je me dis : Paix à son auteur. Laissons lui une vie allégée par ce qu’il a écrit et qui maintenant voyagera sans lui.
Parfois, encore, je me dis que les écrivains qui s’ancrent dans l’autobiographie vont finir par s’envoler tant leurs écrits les auront libérés… Sauf si une lectrice attrape la ficelle qui les retient pour en savoir plus.
Pierre Perret chantait : ouvrez la cage aux oiseaux. J’aurais envie de vous murmurer : laisser les écrivains s’envoler. Leurs plumes servent aussi à cela, même si Icare est de mauvais conseil !
ce qui est écrit
NON JE NE SUIS PAS AUTISTE,quoi qu’en pense TRUMP (sur le monde) qui ferait mieux de s’occuper de son coiffeur et de sa fascistocolor:
moi, j’ai réarmé https://www.ulifmarseille.org/2023/11/23/pins-hai-de-joan-sfar/
Rose, j’ai lu avec attention cette avalanche de questions adressées à JP. Kaufmann.
Christiane, non
Tout ce qui est horodaté c’est lui qui parle de son bouquin.
Il y a eu deux questions.
La seconde concernait son rapport à l’oenologie, les vins de Bordeaux. Dans sa réponse, il explique qu’il en avait fait un jeu avec ses compagnons de captivité Carton et Fontaine
Dans son livre, il explique le rapport très proche avec les cinq sens, sens développés tout particulièrement dans le fournil de son père, boulanger.
Ce qu’il dit tient en un mot, Christiane, la rédemption.
JP Kauffmann est profondément apaisé, et en cela il est bouleversant. Tout son livre démontre que l’on tourne les pages.
Il souriait, il était bienveillant, un grand bonheur cette rencontre.
boulanger.
et nmoi, je défends les boulangers, fils et petit fils de boulangers, même italiens (par le père, comme par la mère)
et je m’y connais en bonnes farines (parce que tant qu’à se faire rouler dans la farine! inutile d’appeler farinelli!
Xxxxxxxxxxxxx petite erreur de pseudo …
Il parait que Macron se parfume outrageusement toute la journée, à tel point que son odeur le précède et le suit dans tous ses déplacements. S’il est prisonnier de cette manie, c’est qu’il sait à quel point il pue.
Alors j’ai mal interprété ce qui était horodaté et vos remarques sur le micro arraché ainsi que votre remarque (Lors de la signature pendant les dédicaces, j’ai continué le dialogue en lui répétant que le signal qu’il attend, de sa mère, n’arrive pas forcément tout de suite.)
Néanmoins , Rose, il y a quelque chose dintrusif, en général, dans les signatures de livre, venant des lecteurs qui ont lu le livre.
De plus, Rose, vous abordez une précédente rencontre avec Nathalie Zajde. J’ai dû mêler les deux. Autant pour moi
« C’est ainsi que la femme de William Burroughs s’est pris une balle en plein front, tirée par son mari ! »
Et ça vous détourne de lire l’oeuvre Jazzi ?
Ce n’est pas grave Christiane.
Toutes les notes horodatées sur Zajde et Kauffmann, ce sont les écrivains qui parlent de leurs œuvres.
Et alii
Et Pagnol avec La femme du boulanger !
C’est un vrai problème ces oeuvres qui ont été écrites par des criminels.
César serait aujourd’hui devant le Tribunal pénal international. Il a commis un génocide (un million de Gaulois morts, un million de Gaulois réduits en esclavage et déportés). Il a fait assassiner son amant Vercingétorix à Rome, avant d’organiser l’assassinat de Cicéron.
Et on fait lire ça aux enfants dans les collèges.
de la bonne manière de penser et voir les choses :
– être sensible à la lecture d’un type qui raconte sa captivité pendant que plus mille civils enfants femmes vieux sont morts sous les bombe en 1 semaine, et pour ceux qui survivent pas d’eau ni médicaments…
– être hyper sensible à la beauté de la musique tout en poussant 1 million d’ukrainiens à la morts (ça fait penser à ces nazis gardiens des camps de concentration qui passaient leur tempos à jouer du Schubert sur leur violon)
– justifier qu’une démocratie utilise la justice pour virer le candidat le mieux placé en parlant de respect de la justice…
– reprocher à un président démocratiquement élu de mener sa politique économique telle qu’il l’entend sous prétexte qu’elle ne nous convient pas et qu’on souffre d’un TDS (Trump Syndrome Derangement)…
Sans compter la colonisation de la Gaule.
Il faudra attendre la chute de l’Empire pour qu’elle soit décolonisée.
A sa décharge les Gaulois étaient pleinement associés à la vie de l’Empire.
lors de son discours de Munich JD Vance a dit un truc assez percutant : « Quand je regarde l’Europe d’aujourd’hui, on ne sait plus très bien ce qu’il est advenu de certains vainqueurs de la guerre froide »
hyper pertinent : l’Europe est en train de passer du côté obscure de la force…
la citation complète de JD Vance :
« Nous devons faire davantage que simplement parler de valeurs démocratiques. Nous devons les incarner. Dans la mémoire encore vive de beaucoup d’entre vous ici, la guerre froide opposait les défenseurs de la démocratie à des forces bien plus tyranniques sur ce continent. Et si l’on se remémore ceux qui, dans ce combat, censuraient les dissidents, fermaient les églises, annulaient les élections… Étaient-ils du bon côté ? Certainement pas. Et Dieu merci, ils ont perdu la guerre froide. Ils ont perdu parce qu’ils n’ont pas accordé de valeur et n’ont pas respecté les bienfaits extraordinaires de la liberté, que sont la possibilité de surprendre, de se tromper, d’inventer et de construire. En fin de compte, on ne peut pas imposer l’innovation ou la créativité, pas plus qu’on ne peut obliger les gens à penser, ressentir ou croire quelque chose en particulier. Nous considérons que ces dimensions sont liées. Et hélas, quand je regarde l’Europe d’aujourd’hui, on ne sait plus très bien ce qu’il est advenu de certains vainqueurs de la guerre froide. »
Elizabeth Bishop, L’art de perdre
Dans l’art de perdre il n’est pas dur de passer maître, / tant de choses semblent si pleines d’envie / d’être perdues que leur perte n’est pas un désastre. // Perds chaque jour quelque chose. L’affolement de perdre. / Tes clés, accepte-le, et l’heure gâchée qui suit. / Dans l’art de perdre il n’est pas dur de passer maître. // Puis entraîne-toi, va plus vite, il faut étendre / tes pertes : aux endroits, aux noms, au lieu où tu fis / le projet d’aller. Rien là qui soit un désastre. // J’ai perdu la montre de ma mère. La dernière / ou l’avant-dernière de trois maisons aimées : partie ! / Dans l’art de perdre il n’est pas dur de passer maître. // J’ai perdu deux villes, de jolies villes. Et, plus vastes, / des royaumes que j’avais, deux rivières, tout un pays. / Ils me manquent, mais il n’y eut pas là de désastre. / Même en te perdant (la voix qui plaisante, un geste / que j’aime) je n’aurai pas menti. À l’évidence, oui, / dans l’art de perdre il n’est pas trop dur d’être maître / même si il y a là comme (écris-le !) comme un désastre.
Dans Geography III
autre extrait du discours de JD Vance :
« Il y a un nouveau shérif à Washington. Et sous la direction de Donald Trump, même si nous pouvons être en désaccord avec vos opinions, nous nous battrons pour défendre votre droit de les exprimer sur la place publique. À ce stade, bien sûr, la situation s’est tellement détériorée qu’en décembre, la Roumanie a tout simplement annulé les résultats d’une élection présidentielle sur la base de simples soupçons d’une agence de renseignement et sous l’énorme pression de ses pays voisins. D’après ce que je comprends, l’argument était que la désinformation russe avait contaminé les élections roumaines. Mais je demanderais à mes amis européens de prendre du recul. Vous pouvez penser que la Russie ne devrait pas acheter de publicités sur les réseaux sociaux pour influencer vos élections. Nous le pensons aussi. Vous pouvez même le condamner sur la scène internationale. Mais si votre démocratie peut être détruite avec quelques centaines de milliers de dollars de publicité numérique d’un pays étranger, alors c’est qu’elle n’était pas très forte. Je pense pour ma part, et c’est une bonne nouvelle, que vos démocraties sont nettement moins fragiles que ce que certains semblent craindre. »
autre extrait :
« Je suis convaincu qu’ignorer les gens, mépriser leurs préoccupations ou, pire, fermer les médias, annuler les élections ou les tenir à l’écart du processus politique ne protège en rien (…) »
autre extrait : « Je crois profondément qu’il ne saurait y avoir de sécurité si l’on craint les voix, les opinions et la conscience de son propre peuple. »
autre extrait : « Depuis des années, on a répété que tout ce que nous financions et soutenions venait de valeurs démocratiques communes. Tout, de notre politique vis-à-vis de l’Ukraine à la censure numérique, est justifié au nom de la défense de la démocratie. Mais lorsque nous voyons des tribunaux européens annuler des élections et des hauts responsables menacer d’en annuler d’autres, nous devons nous demander si nous nous conformons à des normes suffisamment élevées. Et je dis «nous», parce que je suis profondément convaincu que nous sommes dans le même camp. »
je ne saurais trop conseiller de télécharger le discours complet de JD Vance à Munich, c’est probablement le plus beau discours politique que j’ai lu depuis des décennies, on y retrouve tous les concepts des pères fondateurs de la démocratie libérale depuis Hobbes jusqu’à Mill.
dans une époque où l’Europe semble s’éloigner peu à peu de ces pricipes fondamentaux de la démocratie simplement par peur d’elle-même, par peur des peuples, par peur de son ombre, il serait bon pour elle d’apprendre à ne plus avoir peur et de revenir à ces principes fondamentaux.
keupu roi !
Pour rester dans le sujet
Alfred Jarry, La chanson du décervelage
Je fus pendant longtemps ouvrier ébéniste
Dans la ru’ du Champs d’ Mars, d’ la paroiss’ de Toussaints ;
Mon épouse exerçait la profession d’ modiste
Et nous n’avions jamais manqué de rien.
Quand le dimanch’ s’annonçait sans nuage,
Nous exhibions nos beaux accoutrements
Et nous allions voir le décervelage
Ru’ d’ l’Echaudé, passer un bon moment.
Voyez, voyez la machin’ tourner,
Voyez, voyez la cervell’ sauter,
Voyez, voyez les Rentiers trembler;
(Choeur): Hourra, cornes-au-cul, vive le Père Ubu !
Nos deux marmots chéris, barbouillés d’ confitures,
Brandissant avec joi’ des poupins en papier
Avec nous s’installaient sur le haut d’ la voiture
Et nous roulions gaîment vers l’Echaudé.
On s’ précipite en foule à la barrière,
On s’ flanque des coups pour être au premier rang ;
Moi j’me mettais toujours sur un tas d’pierres
Pour pas salir mes godillots dans l’sang.
Voyez, voyez la machin’ tourner,
Voyez, voyez la cervell’ sauter,
Voyez, voyez les Rentiers trembler;
(Choeur): Hourra, cornes-au-cul, vive le Père Ubu !
Bientôt ma femme et moi nous somm’s tout blancs d’ cervelle,
Les marmots en boulott’nt et tous nous trépignons
En voyant l’Palotin qui brandit sa lumelle,
Et les blessur’s et les numéros d’ plomb.
Soudain j’ perçois dans l’ coin, près d’ la machine,
La gueul’ d’un bonz’ qui n’ m’ revient qu’à moitié.
Mon vieux, que j’ dis, je r’connais ta bobine :
Tu m’as volé, c’est pas moi qui t’ plaindrai.
Voyez, voyez la machin’ tourner,
Voyez, voyez la cervell’ sauter,
Voyez, voyez les Rentiers trembler;
(Choeur) : Hourra, cornes-au-cul, vive le Père Ubu !
Soudain j’ me sens tirer la manche’par mon épouse ;
Espèc’ d’andouill’, qu’elle m’ dit, v’là l’ moment d’te montrer :
Flanque-lui par la gueule un bon gros paquet d’ bouse.
V’là l’ Palotin qu’a juste’ le dos tourné.
En entendant ce raisonn’ment superbe,
J’attrap’ sus l’ coup mon courage à deux mains :
J’ flanque au Rentier une gigantesque merdre
Qui s’aplatit sur l’ nez du Palotin.
Voyez, voyez la machin’ tourner,
Voyez, voyez la cervell’ sauter,
Voyez, voyez les Rentiers trembler;
(Choeur): Hourra, cornes-au-cul, vive le Père Ubu !
Aussitôt j’ suis lancé par dessus la barrière,
Par la foule en fureur je me vois bousculé
Et j’ suis précipité la tête la première
Dans l’ grand trou noir d’ousse qu’on n’ revient jamais.
Voila c’ que c’est qu’d’aller s’ prome’ner l’ dimanche
Ru’ d’ l’Echaudé pour voir décerveler,
Marcher l’ Pinc’-Porc ou bien l’Démanch’- Comanche :
On part vivant et l’on revient tudé !
Voyez, voyez la machin’ tourner,
Voyez, voyez la cervell’ sauter,
Voyez, voyez les Rentiers trembler;
(Choeur): Hourra, cornes-au-cul, vive le Père Ubu!
JD Vance est un fasciste déguisé en archi-démocrate qui voudrait désarmer les démocraties européennes pour que le fascisme populiste à la Trump les envahisse.
La preuve: PPPPP (Puck la Pute Payée Par Poutine) est amoureux de lui.
Ce qui dit de la Roumanie est grotesque: il devrait plutôt nous expliquer comment un candidat de Poutine peut gagner les élections dans un pays qui hait les Russes depuis des siècles (il pourrait aussi nous expliquer la même chose en Géorgie, Tchétchénie et Ukraine avant 2014 ou dans ses oblasts occupées depuis 2022).
Au lieu de s’occuper de l’Europe, ce fasciste imbécile de Vance devrait s’occuper de son ami Poutine qui est en train de « l’entuber » en public, ainsi qu’à son maître fou (admirer un taré comme Trump est la preuve définitive du niveau mental lamentable de Vance).
Quand Macron se parfume, les français s’enfument.
« La politique est le moyen par lequel des gens sans morale gouvernent des gens sans mémoire. »
Voltaire cité de mémoire
Le décervelage est un thème de choix pour Jarry. Dans son recueil La chandelle verte, il est question d’un sergent de ville retrouvé décervelé, la tête remplie de papier journal. Conclusion, s’ils sont tous dotés de cette façon etc…
Trump est un sacré bonhomme.
Ses décisions vont dans le sens d’une véritable écologie : décroissance et moins de transports internationaux.
Bravo !
Quant aux projets de sanctions européennes contre les gafa, ça va être de beaux coups d’épée dans l’eau puisque le seul effet sera une augmentation du prix des abonnements. Que les Français payeront cash, comme d’habitude !
L’économie internationale expliquée aux poules et aux enfants de Chaville, c’est toujours un grand plaisir. Lumineux ! Même nous autres, les demeuré.es, on comprend tout d’un seul coup.
la fille du boulanger, quand elle enfile son sweat de fourrire, elle ronronne en vraie it girl qu’elle s’y connaît en chat -pelure d’it alien
expressio:
« L’expression : « N’avoir plus de chapelure sur le jambonneau » signifie n’avoir plus de cheveux, être chauve[2].
Signalons que Nathanael Netanyaou, criminel de l’humanité pourchassé par la CPI, est allé chercher de l’aide chez son ami Hongrois, seul membre de l’UE à ne pas reconnaitre son autorité.
(*pmp, j’ignore si cette remarque est antisémite).
Si l’information relative à la musique électronique peut intéresser quelqu’un…
L’écologie, on s’en branle, Dédé.
Trump est la dernière chance pour l’Occident pour contrer les velléités d’hégémonie chinoise sur le monde.
Le Gendarme de la planète, le vrai, c’est lui, parceque les faces de citron ne reculeront devant rien et feront tout en vue d’écraser les occidentaux et dominer le monde.
Les poltrons européens sont devenus la risée de l’humanité, même les africains se foutent de leur gueule… Même le Mali, le Mali !!! Bordel !!! a chassé la France de son territoire !!!
L’Europe, une salope !
L’Amérique, un Robocop anti-chinetoques interlopes !
En conditionnant l’existence d’Israel, Gigi, tu as déjà fait la preuve de ton antisémitisme. Rampant et passif, comme toute ta personne, mais antisémitisme tout de même. Il n’y a pas de doute sur ce point.
Ingmar Bergman: quand deux directeurs de photo s’affrontent
https://pauledelblog.fr/2025/04/03/ingmar-bergman-quand-deux-directeurs-de-photo-saffrontent/
excusez moi, j’en profite pour souligner que j’ai certes donné nom et adresse de l’ULIF Marseille;
je souligne que c’est le pape François qui a dit:
Marseille, pas en France »
Trump impose un tarif de 10 % sur les îles Heard et McDonald, qui comptent zéro habitant. Bon, c’est vrai que les pingouins sont bipèdes…
Cette bête immonde de JJJ qui traite Netanyahou de criminel me fait penser à un rat qui insulte un lion en croyant que ce dernier va s’en froisser !
Pauvre Janssen, parle-nous plutôt de tes semblables, les rats du Hamas qui trouvent grâce à tes yeux parcequ’ils ont massacré des milliers d’israéliens innocents, avant, pendant et après le pogrom du 7 octobre… Salopard !
T’es même pas un antisémite de bas étage, t’es juste, en fait, un pitoyable vieux lâche noyé dans sa vie de misère et de naufrage.
Renato, la musique du Décervelage est de Claude Terrasse, l’u des maitres de l’opérette 1900…
L’un (!)
l’ULIF Marseille;
je souligne que c’est le pape François qui a dit: je vais à
Marseille, pas en France
Je confirme et alii.
Christiane, Rose: il me semble que Camus a bien défini le problème : « on refait le livre avec l’auteur »…
Langue française
Mot-valise
Un mot-valise, on le sait, est un mot mot composé d’éléments non signifiants de deux mots.
La formation de mots-valises est très productive en américain. L’exemple le plus connu est « motel », formé à partir de « motor(car » » et du mot « hotel ».
En français, voici quelques mots-valises :
« Cendrillon » (personnage de Perrault) ( (cendres + souillon)
« bibliobus » (bibliothèque + bus)
« franglais » (français + anglais)
« alicament » (aliment + médicament)
« velcro » ( velours + crochet)
« bobo » (bourgeois + bohème)
« emoticône » (émotion + icône)
« adulescent » (adulte + adolescent)
« démocrature » (démocratie + dictature)
« infox » (information + intox)
« courriel » ( courrier + électronique)
« divulgâcher » (au lieu de « spoiler », « divulguer + gâcher)
« politichien » (politicien + chien) (mot-valise employé par Charles de Gaulle)
« foultitude » (Victor Hugo) (foule+multitude)
« filousophe » (Victor Hugo) (filou + philosophe)
« nostalgérie » (Montherlant) (nostalgie + Algérie)
« cosmopolisson » (Paul Morand) (cosmopolite + polisson)
« ennuiversel » (Jules Laforgue) ( ennui + universel)
« Eternullité » (Jules Laforgue) ( éternité + nullité)
« japoniaiserie » (Paul Arène)
« explosition » (Prévert) (exposition + explosion)
…
A vous de jouer. Vos (éventuels) mots-valises auront-ils du succès ? L’avenir le dira.
On notera que le « Filousophe » s’applique chez Hugo seulement au très socialisant Pierre Leroux, coupble d’une « Grève de Samarez », apologie d’un Messianisme raté, et, chez Sand, de « Consuelo » comme de sa frénétique suite: » La Comtesse de Rudolstadt »…
MC
Les livres lus récemment, ce n’est pas mon sujet du tout.
En sortant de ma zone de confort, j’ai bcp appris.
Je ne refais pas le livre d’autrui, je je ne le juge pas non plus ; chacun est focalisé sur sa propre souffrance. In fine, il me semble que lire devrait rendre heureux…
Par exemple :
Avec Kauffmann, j’ai appris combien était difficile la réadaptation au monde après avoir vécu enfermé trois ans.
Avec Zajde, j’ai appris combien pour aimer il fallait avoir le cœur libre.
Avec Angot, j’ ai appris qu’un enfant qui a subi l’inceste vit debout avec une épée qui lui transperce le corps.
Avec Norek, j’ai appris que tuer le premier est très difficile, mais qu’ensuite on peut tuer une multitude et que ce sont toujours les femmes qui trinquent lorsque les hommes dont à la guerre.
Avec Amoudi, j’ai appris que l’on peut émerger d’un placement à l’ASE. Mais que si ta mère t’a abandonné alors que tu avais un an, elle t’a abandonné et tu avais seulement un an.
In fine, les écrivains me semblent être des gens de grande souffrance, ce qui me soulage beaucoup d’être une simple lectrice.
Je ne comprends pas cette citation e Camus privée de son contexte, MC. Que voulait-il dire ? Que voulez-vous dire en l’utilisant dans l’essai de dialogue entre Rose et moi ?
Dites bonjour à Renelle, vous z’aut.*
Mais qui doc est ce/cette R. qui Renelle de ses cendres?
donc,…Renelle?
Oui et donc ?simple lectrice de ce blog sans prétention aucune ne voulant point troubler l’harmonie entre ses contributeurs .quoiqu’a dire vrai certains écrits sont féroces et emplis d’acrimonie.
Puck est à l’Oligarque ce que le setter est à la Bécasse. un vrai nez!
Bernard dit: 3 avril 2025 à 13h06
Cette bête immonde de JJJ qui traite Netanyahou de criminel me fait penser à un rat qui insulte un lion en croyant que ce dernier va s’en froisser !
c’est sûr, un gars qui organise le 7 octobre en comptant sur 120 morts au max et qui fait un triomphe avec 1400 macchabées, moi je dis que c’est le Dembélé du massacre
C’est bien ce que je disais, un fake de plus.
La sociologie de ce blog a été faite à plusieurs reprises, et y compris par des pros. Les intervenants sur ce blog ont tous une double vie, ce n’est pas un zoo.
Noys sommes tous lecteurs de ce blog.
Et à part Carrère nombriliste, d’autre impressions de lecture moins ad personam ?
Ou c’est cucul et popotins le genre de Renelle ?
Ici, il faut amener un peu de biscuit pour tous, et pas venir en pique assiette.
Et bien sûr, rien à commenter sur le billet de Passou ?????
Trump renoue avec la vieille tradition du protectionnisme portée par les républicain, alors que les démocrates ont toujours prôné un mondialisme avec l’exportation de leurs valeurs (en dernier c’était le wokisme) le tout devant aboutir à l’hégémonie des US sur le monde.
effectivement j’écoutais une émission avec des chercheurs qui se lamentaient tous sur la fin de l’USAID : à croire que c’était les US qui finançaient la recherche des universités en France.
pas de bol le budget R&D d’Amazon représente 10 fois celui en France de l’INSERM + CNRS…
en fait les mecs n’ont pas encore compris que Trump veut mettre fin à l’hégémonie et au mondialisme porté par les élites du même nom à travers le monde.
d’ailleurs je conseille la lecture du bouquin de Piketty « une brève histoire de l’inégalité » avec un chapitre où il montre que le protectionnisme favorise les élites vivant dans les grandes villes alors que le protectionnisme favorise le peuple vivant à la périphérie.
protéger la périphérie au détriment des élites mondialistes : c’est exactement le projet pour lequel Trump a été élu.
les mecs qui vivent dans la périphérie hors des grandes cités américaines ils en ont rien à cirer de savoir que les crème de beauté de lvmh vont doublé de prix.
c’est d’ailleurs marrant de voir nos élites mondialistes en train de s’affoler, je ne sais si Trump va réussir à aller jusqu’au bout, mais rien que de voir nos journalistes à la solde de nos oligarques qui ont bâti leur fortune sur le mondialsime en train de suffoquer d’indignation de voir leur système en train de s’écrouler c’est quand même hyper jouissif.
avec notre Macron national en tête : lui qui a été mis au pouvoir pour défendre nos élites mondialistes limite il n’a plus de raison d’être…
c’est les US contrairement aux pays européens sont un pays auto suffisant : ils ont tout en dehors de l’uranium enrichi qu’ils achètent aux russes (pas de taxes bien sûr).
pendant la campagne électorale de Trump, quand il abordait le sujet de l’énergie il répondait « drill baby drill »… sur que nous on a pas grand chose à driller…
la seule chose qu’on peut faire c’est juste continuer d’acheter du gaz aux russes…
Les augmentations des droits de douane aux US « tombent comme à gravelotte » peut-on lire ça et là, et surtout pour le secteur automobile.
Tomber comme a gravelotte, voilà une expression désuette d’origine historique, et guerrière.
Je précise pour Renelle, si elle doit justifier de l’utilisation de son cpf, pour dire genre, qu’elle apprend plein de trucs ici .
et voilà c’est hyper simple, même Pïketty l’explique bien dans son bouquin : la mondialisation profite aux élites et le protectionnisme profite au peuple.
Trump reste juste fidèle aux promesses faites au peuple américain qui a voté pour lui qui en a rien à cirer de savoir si leur pays domine le monde alors qu’eux vivent dans la rue !
pendant que les néoconservateurs démocrates appliquaient leurs doctrines à c.n pour scinder le bloc eurasiatique en petits morceaux leur peuple vivait sans toit sur leur tête, sans avenir pour construire une famille !
sauf que les néoconservateurs méprisent ces gens, eux leur seul obsession était d’affaiblir stratégiquement la Russie.
tu parles que les familles qui explosent en vol à cause de la drogue et du chômage ils en ont rien à cirer d’infliger une défaite stratégique à la Russie qui est le dernier de leur soucis !
et c’est pour ça que Trump est là et c’est pour ça que nos élites nous bassinent comme le faisaient les néoconservateurs américains avec une menace russe qui ne sert qu’à ne pas s’occuper de son propre peuple !
et voilà, fin de l’histoire…
@ils en ont rien à cirer de savoir que les crème de beauté de lvmh vont doublé de prix.
On voit bien que tu vas rarement en Institut, je te conseille cette Ricaine , si tu dois faire un cadeau.
« Née Josephine Esther Mentzer en 1908, Estée Lauder a été élevée dans le Queens, New York, par sa mère Rose, née à Sátoraljaújhely, Hongrie, et son père Max, né à Pressburg (maintenant Bratislava, Slovaquie). Le nom Estée était une variante de son surnom d’enfance, Esty.
Estée s’est d’abord intéressée à la beauté lorsqu’elle était jeune, lorsque son oncle, chimiste, est venu vivre avec sa famille. Il a créé des crèmes veloutées pour la peau à la maison, d’abord en cuisine, puis dans une écurie derrière la maison familiale, qu’ils ont transformée en laboratoire. Grâce à son oncle, Estée a appris à formuler des crèmes pour la peau et à les appliquer de manière experte sur la peau.
À la fin des années 1920s, Estée a rencontré Joseph Lauter. Après leur mariage en 1930 et leur déménagement à Manhattan, le couple adopta le nom de famille Lauder, corrigeant une faute d’orthographe qui remonte à l’époque où le père de Joseph émigrait de l’Autriche vers les États-Unis. »
Et hop, encore un truc à mettre sur le cpf à Renelle :
https://www.elcompanies.com/fr/who-we-are/our-heritage/our-founder
« Les augmentations des droits de douane aux US « tombent comme à gravelotte » peut-on lire ça et là, et surtout pour le secteur automobile. »
ben oui : tu en vois beaucoup de voitures américaines toi dans la rue ?
pourquoi les américains nous achèteraient nos voitures alors que nous nous n’achetons pas les leurs ?
l’Europe c’est devenbue une immense cour d’école primaire : m’dame m »dame ils veulent pas acheter nos voitures sniff sniff…
@ »@ils en ont rien à cirer de savoir que les crème de beauté de lvmh vont doublé de prix. »
héhe la fille de hôte savoie tu pourrais avoir l’amabilité de corriger mes fautes quand tu me cites stp ?
@tu en vois beaucoup de voitures américaines toi dans la rue ?
Oui, on en voit, pas dans la rue, mais sur la road. Et sur les pistes, je ne did pas.
Enfin Donald a fait le show hier avec plein de gars de l’usine de Detroit, ville sinistrée s’il en est, et reconnaissables à leur casquette , ils étaient content, car Donald leur avait désigné l’ennemi, responsable de leur misère. Le mécano qui s’est exprimé m’am fait penser au pizaiolo, tu te souviens, celui qui faisait de la figuration derrière le président Macron, lors de son sacre.
Aïe
je ne dis pas
Les géants américains de la tech, victimes collatérales des droits de douane de Trump
Apple, Nvidia, Amazon et Tesla ont plongé à Wall Street après les annonces du président américain. La guerre commerciale va largement impacter l’Asie, dont leur chaîne d’approvisionnement reste très dépendante.
À Wall Street, jeudi, difficile d’imaginer que la personne chargée de sonner la cloche pour l’ouverture des marchés l’ait fait de bon cœur. Après la salve sans précédent de tarifs douaniers annoncée par Donald Trump à l’occasion de son « Liberation Day » mercredi soir, les indices ont tous plongé. La Bourse américaine s’est réveillée avec une sévère gueule de bois, et plus particulièrement dans le secteur de la tech. En début de séance, Apple (- 9 %), Nvidia (- 5 %), Microsoft (- 2,3 %), Tesla (- 5 %), Amazon (- 7 %), Meta (- 7 %) et Google (- 3,6 %) vacillaient. L’indice Nasdaq 100, qui regroupe les cent principales valeurs technologiques et où l’influence de ces « Sept Magnifiques » est prépondérante, baissait de plus de 4 %. Soient plusieurs centaines de milliards de dollars de capitalisation partis en fumée.
Wall Street s’effondre : Trump, le grand illusionniste
Lors de son discours d’investiture, Trump a promis un nouvel « âge d’or » pour l’Amérique. Quelque soixante-dix jours plus tard, ce rêve a du plomb dans l’aile.
Les marchés, en particulier, expriment de sérieux doutes sur la politique économique de l’administration Trump 2.0. Le S&P 500 a baissé de 5,4 % depuis la prise de fonction du président, après des années de hausse quasi ininterrompues. Le Nasdaq, lui, a perdu plus de 7 % sur la même période.
Sur le front économique, les Américains semblent, eux auss,i avoir perdu leur optimisme. Le Conference Board, un cabinet d’intelligence économique américain, rapporte ainsi que la confiance des consommateurs a baissé en mars pour le quatrième mois consécutif, tombant à son plus bas depuis janvier 2021, au cœur de la pandémie.
https://www.latribune.fr/economie/international/bourse-trump-le-grand-illusionniste-1021973.html
donc en résumé : tout ce que vous entendez ou lisez dans nos médias qui appartiennent à nos oligarques c’est tout du flan à servir les intérêts mondialistes de ces oligarques !
donc c’est tout du flan !
quand le peuple aura percuté sur cet enfumage le seul truc que ça donnera c’est une nouvelle révolte population genre gilets jaunes mais puissance mille !
et nos élites mondialistes devraient toujours garder dans un coin de leur esprit étriqué que la spécialité du peuple français c’est pas que faire des fromages et du pinard, c’est aussi de construire en série des guillotines !
« www.latribune.fr/economie(…) »
ce journal appartient à l’oligarque Mr Rodolphe Saadé.
quand on sait que sa fortune repose sur les transports maritimes c’est sûr que…
@ »www.lefigaro.fr/secteur/(…) »
le figaro appartient à l’oligarque Dassault family qui a construit sa fortune sur la vente d’armes.
Aux États-Unis, l’industrie a commencé à licencier des travailleurs, et les retraites des personnes âgées fondent comme neige au soleil.
Selon JPMorgan, les tarifs douaniers de Trump correspondent à la plus importante hausse d’impôts depuis le Revenue Act de 1968. L’économie américaine pourrait se diriger vers une récession dangereuse, ce qui entraînerait une augmentation de l’inflation et un ralentissement des dépenses de consommation.
On verra ça.
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