Un éclat de prose poétique pour la fiancée de l’Emir
L’expression “prose poétique” est devenue une telle tarte à la crème que, s’agissant des productions contemporaines, ce qu’on n’ose appeler les nouveautés, elle recouvre tout et n’importe quoi. Sans en appeler à Xavier Forneret ou Maurice de Guérin, ni au Baudelaire du Spleen de Paris, ni à même à la cinquième promenade rousseauiste du rêveur solitaire au bord du lac, elle est devenue si pratique pour anoblir l’ordinaire qu’on en viendrait à se demander si elle ne va pas bientôt être consacrée par quelque instance (para)universitaire au titre de genre littéraire à part entière. Nul n’est à l’abri. En attendant ce jour de gloire, on se délectera du dernier livre de Vénus Khoury-Ghata La Fiancée était à dos d’âne (160 pages, 16,50 euros, Mercure de France)
C’est l’histoire d’une fiancée juive, Yudah, fille du rabbin Haïm, vendue par son père à l’Emir Abdelkader ; car dans certaine tradition, en guise de dot, c’est l’époux qui paie le père de la mariée. Chacun y trouve son compte : l’Emir qui cherche une quatrième épouse, le rabbin qui entend faire bénéficier ainsi de la plus sûre des protections sa petite communauté régulièrement persécutée et massacrée à Mascara. Sortie de son village du désert à dos d’âne pour le rejoindre, la jeune vierge croit qu’elle va épouser l’homme le plus important du pays ; mais c’est un proscrit condamné au nomadisme politique qu’elle découvre. Façon de parler : elle n’a pas même l’occasion de lui parler. Le rêve d’un grand destin s’effondre. Car ce remarquable guerrier à la tête de la résistance contre le corps expéditionnaire français qui entend coloniser l’Algérie, n’est autre que le mythique Abd el-Kader ben Muhieddine (Mascara 1808- Damas 1883) .
Quinze ans qu’il lutte contre colonialisme français. Jusqu’à la reddition et l’exil. Les Français, qui le tiennent pour un homme d’honneur par sa manière de concevoir la bataille, l’estiment et le respectent. Les Européens l’appellent même « l’ami des Français », et les Français, le général Bugeaud comme le duc d’Aumale, « notre meilleur ennemi ». Il est assigné à résidence au château de Pau, tandis que ses milliers de partisans sont envoyés à Sainte-Margerite, l’une des îles de Lérins, qui sent la mort. La promise suit le pérégrin, ne parvient toujours pas à le voir, mais elle est emportée par sa smala, véritable capitale mobile faite de tentes, de guerriers et de familles ; elle va de lieu en lieu, ballotée par des évènements qui la dépassent tant leur portée lui échappe. Yudah se retrouve métamorphosée en Judith par le soin des carmélites d’un monastère qui la recueillent. Mais si les musulmans la rejetaient, les religieuses la soupçonnent des pires turpitudes. Il n’y a guère qu’une troupe de comédiens itinérants pour la prendre pour ce qu’elle est, et l’accepter comme telle, à condition toutefois de métamorphoser la Judith en Esther, pour les besoins de leur pièce, leur manière à eux de l’enRaciner.
Tant pis pour ceux qui s’offusqueront de ce que la narratrice décrètent tous les Arabes bisexuels de tous temps (« C’est toléré par leur religion. Tout trou est bon à pénétrer, même celui d’une chèvre en l’absence d’une femme ») ou qu’ailleurs Dieu apparaisse en « gros propriétaire céleste ». Rien de choquant car rien de gratuit, rien de tapageur, rien de racoleur sous cette plume qui nous dédommage de la vulgarité ambiante. Le voyage nous mène jusqu’au château d’Amboise, loin du passage des caravaniers, chasseurs de gazelles et creuseurs de mines de sel. Là où Abd-el-Kader, le guerrier devenu écrivain, poète, soufi, philosophe (ses Ecrits spirituels ont été traduits par Michel Chodkiewicz, Seuil, 1989), rumine son humiliation. Il réfléchit, il écrit et cette ultime étape transfigure le guerrier en saint tant religieux, laïque que politique (bien plus tard, le FLN en fera le père de l’Etat algérien moderne). Mais on ne vous dira pas comment Yudah, elle, finira par mourir sur les barricades de 1848 lors du soulèvement contre la monarchie, tandis qu’à l’issue de quatre années de captivité, l’Emir est royalement traité par Napoléon III qui le reçoit en grandes pompes…
Il s’agit bien d’un roman mais animé de part en part d’un souffle, d’une sensibilité, d’une écriture, d’un rythme, d’une couleur, d’un son authentiquement poétiques ; on y retrouve même des inflexions récemment observées dans ses traductions de l’arabe de poètes tels qu’Adonis. C’est peu dire qu’elle sait les mots justes pour dire la musique du khamsin qui déplace les dunes, le silence du désert, l’esprit des Qurayzas qui voient plus loin que leur vie, les superstitions et rituels locaux. D’origine libanaise, l’auteur mêle naturellement le roman au conte, à la fable et au légendaire. Exempt de ce côté documentaire qui alourdit toute histoire qui doit à l’Histoire, sans rapport aucun avec le genre bien éprouvé du roman historique, son récit est ailé au point d’effleurer ce nirvana auquel rêve tout romancier quelle que soit la matière de son récit : l’inaccessible légèreté. C’est d’autant plus remarquable que son histoire est si riche en rebondissements et en ouvertures qu’il y avait là de quoi nourrir un épais roman ; mais c’est justement la poétesse en elle qui l’a poussée à l’épure, au dépouillement de la langue.
(« Etude pour la noce juive au Maroc » aquarelle d’Eugène Delacroix, Collection particulière -à noter que dans son Delacroix. Un voyage initiatique (Non Lieu, 2006), Maurice Arama précise : « Le peintre avait associé des études faites au Maroc et à Oran à une petite moisson algéroise pour exécuter la toile du Louvre » ; « Abd-el-Kader » photo Carjat.)
468 Réponses pour Un éclat de prose poétique pour la fiancée de l’Emir
TKT dit: 10 juin 2013 à 17 h 25 min
Je ne sais pas, mais il me semble qu’après des années de blog, on devrait ne pas pouvoir affirmer que.
TKT, serait-ce bientôt votre anniversaire ?
Ce qui serait vraiment sympa, c’est que P. Assouline vous distingât (O tempora! O mores!), par un geste, même le plus anodin,- ne comptez quand même pas sur un Goncourt, fût-il celui de la loufoquerie occasionnelle-, pour vous remercier de votre talent d’animateur.
Je partage la consternation probable de Mme Venus Khoury-Ghata sur ces commentaires de ce jour.
Avez-vous pensé aux auteurs francophones du monde entier qui viennent naïvement consulter ce blog prestigieux?
Manet/Courbet …
Avant de tonner pour un lapsus, il faudrait te tenir au courant.
Manet a dessiné la Semaine Sanglante. Il est entré dans Paris juste après.
Puis :
Tu confonds lapsus et ignorance. Je t’explique. Chaloux a fait un lapsus.
Tu es ignare.
C’est la raison pour laquelle tu es incapable de reconnaître un lapsus, d’opérer une distinction claire entre ta parfaite absence de lettres et une étourderie d’un instant.
Je voudrais vraiment que tu comprennes à quel point cette incapacité à distinguer te définit. C’est capital.
Je t’explique.
L’étourderie a duré dix minutes. Ton ignorance est sans fin. Tu es ainsi pour jamais.
Ta supériorité intellectuelle s’exerce sur un moment d’absence. C’est chiche. Trouve autre chose.
Archives du blog dit: 10 juin 2013 à 19 h 53 min
20H11 est pour toi.
Se faire une chèvre n’est pas si facile qu’on le croit.
http://margot.id.au/italy%202/italy%20web%202/album/slides/pompei%20pan%20and%20goat.html
Venator Manet dit
Arrête tes pauvres justifications Chaloux, tu ressembles de plus en plus à LML pontifiant à propos du Tristram qu’il n’a pas lu.
Mostefa L. dit: 10 juin 2013 à 20 h 08 min
Et encore, vous n’y êtes pas.
Comme le dit V.K-G :
« Que dire de celles qui pourchassent l’obscurité avec leur torchon de cuisine »
Comme le dit V.K-G
Oui, après ces escarmouches de midinettes, revenons au sujet, revenez au sujet que diable!
Archives du blog dit: 10 juin 2013 à 20 h 22 min
Rhétorique dépréciative qu’une guenon composerait si on lui confiait une machine à écrire. Guenon.
Melissa, vous êtes une meneuse, vous, comme on dirait dans un sketche de Chevalier et Laspales.
renato dit: 10 juin 2013 à 20 h 15 min
Renato, vous ne pouvez pas avoir oublié ce film des frères Taviani, » Padre, Padrone »
des journées,
j’ai oublié de mettre les guillemets à « Se faire une chèvre n’est pas si facile qu’on le croit » mis en ligne par Kabrasumo dit: 10 juin 2013 à 20 h 00 min…
Ecco, Renato, mais le film des Taviani, concernant les chèvres, c’est quand même quelque chose !
Vénus Khouri a été élue MisS Beyrouth,elle avait 22 ans…
Claudio Magris a parlé d’un livre publié en Italie par une ancienne vice-Miss Italie,Anna Kanakis,le livre s’appelle « l’amante di Goebbels »,il raconte la passion d’une femme pour Goebbels;un bandeau ornait le livre »aimer le mauvais homme »Magris a dit: »bon,on peut dire ça d’une femme qui s’éprend d’un monsieur qui a sept enfants mais quand il s’agit d’un des responsables de « la solution finale »… »
En Italie,comme en France et ailleurs,le marketing éditorial est une grande chose.
Ah ! des journées, je n’ai pas vu le film des Taviani, mais lu le livre de Ledda. Beau aussi, ‘Lingua di falce’.
…
…Non,…mais,…il est tellement habitué à ses chèvres,…
…qu’une fois marié,…putain c’est moins bien qu’avec » biquette « ,…
…pour ne pas divorcé et faire honneur à ses familles,…
…Monsieur,est devenu Bio-nature lait de chèvre,…chambre à part avec ses luxures à » biquette » et Madame du porte à porte pour se glander un bouquetin avec une force de frappe digne d’un lièvre du musc,…
…
…avec,…Paco Rabane,…Chanel 5,…Christian Dior,…çà passe inaperçu,…of course,…
…la chèvre d’Alphonse Daudet,…dans le piège,…en attendant le loup,…le patron s’en donne à coeur joie,…suivant,…
…
…l’esprit d’avoir du coeur dans la solidarité et savoir partager ses joie de l’hospitalité,…pour Madame revue à poils,…des ânes,…des âneries,…
…chacun son lot,…dans la cour des grands fessés,…etc,…la boule des astres lubriques,…
…
» Avez-vous pensé aux auteurs francophones du monde entier qui viennent naïvement consulter ce blog prestigieux? » (rédigé par Mostefa L.)
Blog prestigieux mon cul. Tu vas voir comment qu’on va le lui arranger son blog prestigieux à l’Assouline . Pour commencer, je l’affirme sollemniquement : Dieu existe, j’ai empapaouté LML !
A propos de torchon de cuisine, écoutez cette émission de France Culture qui se déroule autour d’un repas organisé par notre Vénus de toujours…
http://www.franceculture.fr/player/reecouter?play=4529051
Une « mondaine » du 16ème qui écrit en chemise de nuit!
Elle dit à un moment de l’émission : » j’ai de beaux écrivains ici »
Juré de plus de onze prix littéraires, la grande dame sophistiquée du XVIème comme l’affirme un de ces prestigieux invités.
Une réussite cette émission en ce qu’elle décrit l’entregent littéraire.
Grossier personnage.
Vous pourriez avoir plus de considération pour les amoureux de la langue française qui ont contribué au rayonnement de votre pays.
Dois-je vous rappeler qu’il s’agit en outre d’une femme?
Dieu existe, j’ai empapaouté LML !
Ce soir l’a… de renato, c’est l’oculus du Panthéon.
Il a beaucoup apprécié.
Mostefa,
C’est à moi que vous causez ?
Le prestigieux blog à Passou, selon les dire de Phil… Enfin : « j’ai de beaux écrivains ici » — c’est un peu comme au marché : « Oublies, oublies ! Elles sont bonnes mes oublies ! ».
Mais nous avons affaire à une femme formidable qui se dit elle-même extravagante et comme le remarque un de ses amis, aussi, une vivante dans une « solitude qui la disperse dans les autres »…
» Grossier personnage. »
Je ne sais pas si c’est bien moi que vous inséminez, mais si jamais c’était le cas, sachez, Monsieuye, qu’une femme ne vaudra jamais pour moi une chèvre tant pour la qualité du lait que pour la distraction. Et ce n’est pas votre Nunuche Bourrique-Tata qui me fera me dévêtir.
Que restera-t-il du XXe siècle : renato.
Que restera-t-il du XXIe siècle : renato.
Que restera-t-il du XXIIe siècle : renato.
Ad lib.
« j’ai de beaux écrivains ici » —
Tu parles. S’ils sont tous du calibre de Vénus Bourriche-Tatave, ils font concurrence aux poires que j’ai achetées au marché : cueillies au Chili, équeutées au Maroc, congelées au Brésil, reconditionnées en Espagne, blettes à la maison.
…
…la sainte onction,…un peu de tout,…mais encore,…etc,…
…
Ah, Melissa, quelle cuisinière formidable que Venus !
« Les Invités » chez Venus.
Vous imaginez le roman que cela pourrait faire ?
Monsieur Mostefa, veuillez excuser l’ermite de Falicon.
Ses mots dépassent souvent sa pensée. Il faut vous dire qu’il dispose de relativement peu de vocabulaire et que la faculté de réflexion lui a été chichement mesurée par son créateur. Mais c’est un brave homme qui aime beaucoup les femmes et les animaux. Et qui probablement les respecte.
Ah, Melissa, quelle cuisinière formidable que Venus !des journées entières
Vous imaginez Miss Beyrouth qui écrit ses poèmes en chemise de nuit…Ca le f
Pauvre Chaloux, obnubilé par Renato il en perd le sens des siècles, c’est l’effet volvo ?
Ça le fait!
Quand même, René de Obaldia, Tahar Ben Jelloun, Adonis, Claire Julliard ( vous la lisez dans le nouvel Obs, dit-elle..), Pancrazi…ça le fait!
Melissa,
Peut-on conclure que les jurés Goncourt ont la reconnaissance du ventre ?
Mais ceci ne serait pas représentatif d’autres distinctions pour le Goncourt de la poésie.
Dans la liste, deux noms, au moins, m’enchantent.
Ce qui est étonnant pour un amateur et lecteur de poésie que je suis c’est non seulement le fait d’avoir pris contact des textes lyrico-terrien de Madame Vénus Khoury Ghata dans les revues contemporaines de poésie mais aussi d’avoir très souvent vu sa photo de face les accompagnant.
Effet bizarre, à chaque fois de ne retenir que son portrait.
Merci de votre attention.
Ah mais, c’est trop fort, en voilà assez.
Décidément, la goujaterie l’emporte.
De plus, je ne sais pas qui est cette « LML » et ne tiens pas à le savoir.
Mais c’est probablement une pas grand chose.
Vous devriez avoir honte de souiller ainsi votre langue.
D’autres que vous sauront la faire resplendir.
Ailleurs.
Je ne tire aucune conclusion…D’autres prestigieux invités sont cités, la voix de Le Clézio y ( dans cette émission) est mêlée ce qui fait dire à notre hôtesse qu’elle est « la cuisinière des Nobel », en référence faut-il le préciser aux amis de son mari défunt.
Il est fait mention du Salon littéraire de l’Île de Ré. Mais je ne saurais vous dire à quel endroit précis de l’Île il a lieu.
Vous avez raison, Mostefa, LML c’est une pas-grand-chose, une moins que rien, une fille à soldat, à marin, à tanneur,syphilitique et goîtreuse qui plus est. John Brown ne devrait pas se vanter.
De plus, elleML boîte du pied droit. Les romains la prenant pour une sorcière eussent craché sur son passage.
LMelle suite.
Ses dents sont fausses, ses cheveux sont faux, un de ses yeux est faux, et sa douceur est feinte.
Elle promène en vélo électrique, dans de supposées forêts, son parfum de garum. (« Le garum est une liqueur -romaine- d’entrailles de poisson pourries, puante, mais stabilisée par une grande quantité de sel afin qu’elle ne se défasse pas totalement et garde son goût puissant » -dixit Florence Dupont.)
Quelle conquête.
Melissa,
J’ai écouté l’émission que vous avez donnée en lien, de bout en bout.
Pour attachante qu’elle soit, Venus en sa cuisine, je partage votre dépit.
La poésie d’une « femme allongée », en « chemise de nuit »
J’ai envie de dire
Dommage pour Le Clézio,
Dommage pour cette association qu’il fait avec Rimbaud,
Dommage pour la pésie. Vraiment.
Et si » elle ose affronter l’ordinateur », eh, bien soit !
Zut, c’est la colère.
Poésie !
des journées entières dans les arbres dit: 9 juin 2013 à 22 h 39 min
« Ce roman plaira peut-être à ceux/celles qui ont aimé Angélique. »
Oui, mais il serait tout de même plus commode que ceux-ci descendent de celles-là avant de commencer leur lecture. Celles-là, en outre, n’en liront que plus commodément Angélique.
» Vous avez raison, Mostefa, LML c’est une pas-grand-chose, une moins que rien, une fille à soldat, à marin, à tanneur,syphilitique et goîtreuse qui plus est. John Brown ne devrait pas se vanter. » (rédigé par Fleur de pavé)
Oui, mais elle a le coeur sur la main — enfin, sur ce qui lui reste de main.
Des journées entières sur Cunégonde dit: 10 juin 2013 à 22 h 35 min
Vous avez raison.
Une lecture des premiers chapitres du livre » la fiancée était à dos d’âne » disponible sur la toile, laisse augurer de bien belles aventures susceptible d’emballer les les lecteurs/trices d’Angélique.
Entre nous , la différence ?
C’est que la saga Angélique a nécessité quelques travaux conséquents de recherche historique.
des journées entières dans les arbres dit: 10 juin 2013 à 22 h 49 min
Je suis heureux d’avoir modestement prolongé votre pensée.
Des nuits entières sous Cunégonde dit: 10 juin 2013 à 22 h 57 min
You’re welcome.
Fleur de pavé dit: 10 juin 2013 à 22 h 30 min
Florence Dupont. L’Antiquité, territoire des écarts, Albin Michel 2013, 22 euros.
Page 73.
Un livre plus que passionnant. Plus qu’un livre sur l’Antiquité. Plus qu’un livre.
La RdL projette de la France moisie à coeur, celle que nous avons sous les yeux, une image particulièrement saine et attirante ! Passou en est le maître révélateur, admirable…, aux yeux d’un étranger amusé par notre futilité geignarde d’humanistes volontiers donneurs de leçon.
La vivacité de nos vieillards réjouit le cœur ! Le courant électrique alimente leurs computers grâce aux centrales nucléaires du Général, la zoophilie entre adultes progresse (bientôt le mariage?), les enculés s’enculent, les manifs se déroulent, les agrégés se désagrègent, les ploucs unissent leurs efforts, le temps se met au beau, soleil ciel bleu, dette abyssale, plages bourrées de chômeurs rémunérés, grèves bien organisées à prévoir faut bien s’amuser, la lecture disparaît, les jeunes cherchent du travail ailleurs … De tout cela suinte les propos si justes lus ici-même. Remercions le Ciel de nous éclairer au suif littéraire.
Et par dessus le marché, joie, joie, joie ! Rires de joie ! il y a encore des éditeurs qui envoient des poétesses usées se fracasser au futur pilon, juste pour ne pas déroger à leurs habitudes. Pas belle, la crise, qui est derrière le Pingouin (ne pas oublier) !?
« … la zoophilie entre adultes progresse… »
Vous entendez par là qu’arrivées à leur maturité sexuelle les chèvres sont consentantes ? Vous savez ça par un chevrier ou bien vous extrapolez à partir de vos expériences avec votre chat ?
« Dans ma cervelle se promène
Ainsi qu’en son appartement,
Un beau chat, fort, doux et charmant.
Quand il miaule, on l’entend à peine,
Tant son timbre est tendre et discret ;
Mais que sa voix s’apaise ou gronde,
Elle est toujours riche et profonde.
C’est là son charme et son secret.
»
Un peu de Charles B. pour Venus, la femme aux chats.
Il y avait dans cette Smala, une bibliothèque.
http://www.photo.rmn.fr/cf/htm/CPicZ.aspx?E=2C6NU0GRYEBO
Bonne journée.
Renato, votre définition de la zoophilie date un peu car votre définition de l’animal, et de l’animalité, est elle-même en retard sur l’actualité. Certains humains, de droit, sont de nos jours devenus des animaux, de fait, parlant un dialecte de 300 mots tout au plus.
Cela élargit considérablement la notion de « zoophilie entre adultes » reproducteurs, comprenez-vous ?
renato
JC le PQ, de plus en plus avachi et radoteur, est obsédé par le c ul glauque en particulier; il en est de plus en plus ébranlé depuis les saillies de sa copine frigide, ses copains fascistes – bref, dans son délire il se croit obligé de nous en faire part en tartinant de ses fientes le blog matin et soir et soir et matin il en laisse partout : lui donne l’impression d’exiter encore un peu, et d’être très drôle et intelligent
8h05 vous définissez un peu trop succinctement la notion d’animalité utilisant l’ appauvrissement du langage, que diriez vous de ceux qui ne peuvent endiguer leurs pulsions sexuelles? sans évoquer les modalités de leur prose (remarquant que vocabulaire habille dans ce cas élégamment un récit qui sera tu la plupart du temps)
« Certains humains, de droit, sont de nos jours devenus des animaux… »
Mais non, mais non, il ne faut pas prendre vos obsessions pour une réalité… on finit pour croire que vous êtes dans un processus de déni… un peu comme ces homophobes qui se font peur en rêvant d’essayer les chaussures de leur maman… puis s’en vont ‘casser du pédé’…
« … dialecte de 300 mots tout au plus. »
Dois-je en déduire que si quelqu’un avec qui j’échangerais quelques mots dans la rue, ne comprendrait pas l’expression « linteau à imposte », par exemple, j’aurais à faire avec un animal, et que si notre échange donnerait lieu à une relation plus suivie je pourrais être poursuivi pour zoophilie ?
N.b. que nous sommes des animaux comme les autres… le grand scientifique que vous êtes sait sans doute que Homo sapiens est une espèce animale de la famille des Hominidés appartenant à l’ordre des Primates.
Mais si ! Mais si ! Des bêtes… ! peut-être pas à Colmar, mais au Trocadéro, par exemple ?!
(détendez vous, Xavier ! respirez un bon coup…ça va passer … va falloir tenir, mon brave. Vous me semblez fragile. Avez-vous fait votre communion à l’église ?)
Pratiques de la dot en France au XIXe siècle
Florence Laroche-Gisserot(persée)
Faux : il suffit de voir la production cinématographique en ces temps luxurieux
pour un sorcier mille sorcière comme disoit michelet, c’est l’évidence même qui hurle..et temps luxurieux..segmentés
JC n’est qu’une punaise : la punaise de PQ elle s’agite frénétiquement attention à pas tomber de ton fauteuil roulant et t’assommer avec tes béquilles et surtout oublie pas de prendre tes comprimés roses
je pourrais être poursuivi pour zoophilie ?
hum je crois pas..ça srait carambouillé en « mauvais traitement a animaux » c’est ça nos temps « luxurieux » et franc du collier
Un petit poème en prose de l’âne de la fiancée, pour Renato de Colmar :
« Quii Veut Ma Peau Devra Faiire Des Sacrifice
Si j’etaiit Chipeur Jaurai Dja Mis Une Bastoss a Dora L’exploratrice
Jaii Beaucoup de Probleme Donc Ta Vue Jdor Plus TrOp
Quand Jarrive a Mendormir Mes Probleme Mreveille En Sursaut
Entree Les Rumeurs Quii courent
Et Puiis Les Taspeés Que Jsaute
Jaii Des Diiezz Tout Les Jour
Donc Dormiir Jlaisse Sa Aux Autres
Javaiii Des Bons Potes , C’est Devnu es Laches
Dans La Rue Tu Perd Des Potes Comme Dans Attention A La Marche ! »
Au Trocadéro ?! c’est quoi ce Trocadéro, une ruelle malfamée de Porquerolles ?
Enfin ! vous avez le droit d’être comme vous êtes, pourquoi pas les autres ? Il vous est si difficile de ne penser qu’au seuil de votre chez-vous sans mettre votre nez chez les autres ?
la zoophilie entre adultes progresse
enfin quoi jicé..que tu veuilles les stériliser ça ressemble a une politique..mais leur mettre des bandages et ceintures de chasteté..tu cours à l’émeute et tu finis a coup sur au bout d’une pique..tu vaus pas un caramel comme grand chambellan..tu fous la merde dans mes rododindrons
http://ml.hss.cmu.edu/fol/fol4/modules/module1/F4M102/F4M10209
Un prélèvement ADN a été fait sur le cadavre martyrisé pour clonage. Les Services enquêtent : qui ? pourquoi ?
Avatar de JC dit: 11 juin 2013 à 9 h 31 min
Avez-vous fait votre communion à l’église ?
Adepte de Buisson pour le politique, petit à petit il s’avoue fervent de supporter de la Fraternité-saint-pieX pour la religion, que nous cache-t-il encore le scooteriste varois?
http://www.mariage.be/mariages-du-monde/coutumes-traditions-mariage-marocain.asp
Dans le nord du Maroc, notamment dans la région de Tanger, en clôture de la fête, le couple prend place sur une litière placée sur le dos d’un mulet, au sein d’un cortège qui parade dans les ruelles et les quartiers, faisant halte à une mosquée, pour terminer sa route à la demeure du marié. Tradition où la voiture remplace désormais souvent le mulet.
Avatar de Mélenchon dit : 11 juin 2013 à 9 h 48 min
Buisson est rien qu’un gauchiste papiste : une anguille médiatique d’un système corrompu par la finance capitaliste
« Un petit poème en prose de l’âne de la fiancée… »
Touché par la dédicace. Cela dit, pourriez-vous traduire cette potée en français ou en latin ? En y mettant un brin de rythme, si c’est dans vos corders…
Quoi, la « potée » ! L’est super le poème !
« et que si notre échange donnerait lieu »
Le si n’aime pas le ré, renatooo, vous le musicien patenté?
11 juin 1981. PARIS. Le cannibale japonais Issei Sagawa se découpe un steak dans sa copine d’université.
En cette journée d’anniversaire, nous recommandons à nos coreligionnaires présents en France, de maintenir ce haut degré de courtoisie, de délicatesse et de réserve pudique qui, partout en Asie, contribue à notre réputation.
Et voilà que les intervenants le plus vaillants font leur apparition sous pseudo…
Eric Chevillard n’entend rien à l’esprit des arts martiaux japonais. Y a du boulot !
ce n’est pas philippe Forest qui s’en plaindra
ouï-je? dit:
mais on n’a jamais vu entarter quelqu’un avec un récit de/en prose poétique
Chevillard:
« La brutalité des abordages ».
Très Huysmans.
Chevillard ???
Ah ! Le sous-Bigard, ok.
indeed, « Morocco » livre une étreinte lesbienne a dégonfler la bosse des chameaux. Sternberg bénéficie du décret Crémieux et la chaudière Dietrich marche au soufre.
C’était les années 30, pas une éternité, quoi..
« C’était les années 30, pas une éternité, quoi.. »
Des millénaires seulement !
Eh, Vénus ! j’ai essayé de séduire les gonzesses avec tes poèmes. Que dalle ! Je vais repasser à Géraldy : efficacité d’abord
Tu prends çui-là de Popol :
« Comme un diable au fond de sa boîte,
le bourgeon s’est tenu caché…
mais dans sa prison trop étroite
il baille et voudrait respirer.
Il entend des chants, des bruits d’ailes,
il a soif de grand jour et d’air…
il voudrait savoir les nouvelles,
il fait craquer son corset vert.
Puis, d’un geste brusque, il déchire
son habit étroit et trop court
Enfin, se dit-il, je respire,
je vis, je suis libre… bonjour ! »
Tu changes « bourgeon » par « gland », et zou, après récitation à ta belle enamourée, tu enfiles la bergère…
Chaloux ???
Ah ! Le sous-Bigard, ok.
« et zou, après récitation à ta belle enamourée, tu enfiles la bergère… »
Daaphnée en bergère j’imagine mal.
Vous vouliez écrire mégère ?
Il y a zou et zhu … et nous croyions savoir par nos secrétaires, que ce dernier séduit ses perles de nuit, plutôt qu’il ne les
sans se laisser déborder
le tweet » une époque qui exhibe ce qu’elle a tenté de détruire tout en le rendant invulnérable sinon immortel. »
Mais c’est qu’on m’empapaoute pas comme ça, mes petits chéris !
« et zou, après récitation à ta belle enamourée, tu enfiles le berbère… »
Protection des minorités.
Nous protestons vigoureusement contre cette réflexion qui traduit l’influence barozzienne d’une ampleur pornographique démesurée, dans ce blog littéraire remarquable jouissant d’un immense prestige intellectuel au Maghreb !
“In the Arab world, sex is the opposite of sport,” one Egyptian gynecologist explained to me.
“Everyone talks about football, but hardly anyone plays it. With sex — everyone is doing it, but nobody wants to talk about it.” (Shereen El Feki)
> Dois-je en déduire que si quelqu’un avec qui j’échangerais quelques mots dans la rue, ne comprendrait pas l’expression « linteau à imposte »
Heureusement les humains ont les nationalités et les langages différents associés pour s’expliquer les manques de l’interlocuteur.
ce blog n’est pas consacré à l’empapa -oui on t’aime -paouting,si distingués soient les paouteUrs.
bonne journée les dearestos
Et ce n’est pas de l’humour ! dit: 11 juin 2013 à 11 h 26 min
Chaloux ???
Ah ! Le sous-Bigard, ok.
Amusant que les hasard de la publicité associent le portrait de Flaubert à une peinture « orientaliste » de Delacroix.
Dans un livre sérieux quoique rendu racoleur par l’éditeur, Mme EL Feki (« The Sex and the Citadelle ») décrit ainsi le voyage de Flaubert:
« Flaubert proceeded to fuck his way up the Nile. »
Not bad.
Son usage de termes parfois crus est délibéré (et à mon avis bienvenu).
Par exemple, elle traduit le classique « Kitab al-Nikah fi al-Lugha » par Ibn Al Qatta (litt. Livre sur le Nikah dans le langage) par « The Language of Fucking », plutôt que par « The Book of Marriage ».
Elle n’a pas tort, puisque ‘nikah’ désigne à la fois le mariage et la relation sexuelle (dans et hors mariage).
Elle considère ‘nik » comme une forme argotique de nikah dans le langage populaire égyptien (elle est elle-même à moitié égyptienne).
Mais d’estimables savants font remarquer qu’il y a deux racines dans les langues sémitiques à ce sujet (NKH et NK).
See l’éditeur du MIDDLE EAST JOURNAL (t bon blog):
http://mideasti.blogspot.fr/2013/05/shereen-el-fekis-sex-and-citadel.html
Aucun doute que les groupes du type NTM ne soient avertis de ces subtilités.
« … vendue par son père à l’Emir Abdelkader ; car dans certaine tradition, en guise de dot, c’est l’époux qui paie le père de la mariée. »
Ce raccourci (sur le sadaq) est à peine compréhensible, mais il s’agit de littérature, on ne va pas chipoter.
Et ce n’est pas de l’humour ! dit: 11 juin 2013 à 11 h 26 min
Chaloux ???
Ah ! Le sous-Bigard, ok.
C’est toi, Thomas?
bien vu
@ Marwân ash-Sharqî dit: 11 juin 2013 à 12 h 33 : C’est pourtant facile à comprendre, le père de la mariée touche de l’argent, il s’agit donc plus d’une vente que d’une dote. Que vous signiez par un pseudo arabe trouvé sur internet, ne vous rend ni plus intelligent, ni plus cultivé, ni last but not least, plus cosmopolite.
sur la dot le raccourci est très compréhensible et a été éclairé par de précédents posts.
par contre on remarquera que le mot »sadaq est d’une racine sémitique sur la toile http://fr.wikipedia.org/wiki/Sadaqa
la racine est connue en ce sens de contribution de « charité » en hébreu .
je l’entends comme celle qu’il y a dans le nom de l’écrivain iranien : Sadegh Hedayat (en persan : صادق هدایت) est un écrivain et traducteur iranien né à Téhéran le 17 février 1903 et mort à Paris le 9 avril 1951.
« Que vous signiez par un pseudo arabe trouvé sur internet, ne vous rend ni plus intelligent, ni plus cultivé, ni last but not least, plus cosmopolite. »
Vas-y TKT ! Ksss Ksss ! Mord-y l’œil, au Sarrazin … non, mais !
Chaloux en sous-Bigard? dit: 11 juin 2013 à 12 h 42 min
bien vu
Réponse d’ustensile. C’est bien toi.
TKT dit: 11 juin 2013 à 12 h 45 min
il s’agit donc plus d’une vente que d’une dote. Que vous signiez par un pseudo arabe trouvé sur internet, ne vous rend ni plus intelligent, ni plus cultivé, ni last but not least, plus cosmopolite.
plus intelligent : face à von traube la chose semble envisageable
plus cultivé : écrivez-vous la dote ?
plus cosmopolite : connaissez-vous Marlen Dietrich et chantez-vous Lily Marlen ?
C’est donc vrai, le crachoir de la RdL n’est qu’un sous-Bigard.
Le pot de chambre dit: 11 juin 2013 à 13 h 17 min
Avant, en venant ici, on rencontrait des gens de qualité. Maintenant, c’est terminé, plus que des rageurs frustrés et des pervers narcissiques dans ton genre. Le jeu n’en vaut plus la chandelle.
le.. la.. le.. la.. le.. la..
vouloir briller froidement comme un diapason dès qu’il y a une caisse de résonance
si c’est pas malheureux…
en fin de compte on est peut-être pas si mal dans les cordes
Avant, en venant ici, on rencontrait des gens de qualité. (Avant, c’était avant…)
Maintenant on rencontre de la racaille de ton acabit : des Chaloux, des Mauvaises Langues ..
@ « connaissez-vous Marlen Dietrich et chantez-vous Lily Marlen ? »: Comment voudriez vous que quelqu’un de ma génération, ne connaisse pas Marlen Dietrich ? Quant à la chanson Lili Marlen, qui ne fut pas créée pour une artiste vivant à Hollywood, mais pour une Allemande vivant dans le Reich. Non, je ne chante pas Lili Marlen, je suis plus sensible aux chansons d’Hildegard Kneff.
Ce qui est bien avec vous, vous mêlez la bêtise crasse et totale de D., avec la grande connerie de JC.
Je ne sais pas si être cosmopolite est une qualité pour un plouc de votre catégorie, personnellement je suis très heureux de mon statut.
en passant je signale que le nom Haïm , parfois écrit aussi Chaïm comme Chaim Weizmann ou Haim Weizmann (חיים ויצמן) est celui de la vie (Haï)t que l’on retrouve la racine de sadeq dans le nom du grand rabbin Zadoq Kahn
(ceux que cette symbolique onomastique in téresse trouveront surement facilement à se documenter sur la toile je n’ai pas vérifié
HR, en chinois et vietnamien, HAI est le mot pour mer.
Ren Shen
Ren Hai
TKT dit: 11 juin 2013 à 13 h 46 min
Tu touches le fond là von traube, t’attaques déjà le sable.
Un conseil, relis quelques échanges d’hier en début de soirée avant d’être obligé de creuser la roche (18h33, 19h03, 19h13, 19h29 et 19h36) après tu te corriges ou comme d’habitude tu nous oublies pendant deux trois jours.
Mais quelle burne.
« Pourquoi appeler Lady une baronne allemande ? Son père était officier et était titré. »
Stéphane Bern a vraiment des tonnes de mouron à se faire.Von Trüb lui piétine hystériquement, comme le sagouin qu’il est, ses jolies plates-bandes entretenues avec amour. T’as bien mérité de l’apatride, Thierry : à toi le titre de loufiat en chef ! Ah, quand la roture aux sabots crottés se met à baver des ronds de chapeau sur les têtes couronnées (par un cockring, le plus souvent), ça vaut le jus !
Bon, il est con, il a les burnes creuses,Abitur minus zehn, on lui pardonnera d’avoir confondu le réel avec l’affliction : il n’en reste pas moins vrai que, sur ses vieux jours, la chaudière (de) Dietrich ( bien vu Phil) s’est piquée de jouer les baronnes, et qu’elle a été servie au-delà de ses espérances dans l’über-navet de D.Hemmings, « Mein schöner Gigolpinz ».
Ayant pris un (et du) bide, l’ex-beau David s’est aussitôt rebaptisé Lemming, et jeté du haut des falaises de Douvres.
Triste histoire, en vérité.
Ah oui TKT j’oubliais,
Hildegard(e) Knef ou Neff, jamais Kneff.
Mais quelle burne.
» je suis plus sensible aux chansons d’Hildegard Kneff »
« Mensonge ! Vontraube, cet exécrable voisin, écoute du Udo Jürgens en boucle et en dolby surround en matant des pornos bavarois, on entend tout à travers la cloison ! Le syndic a été prévenu, une plainte est en cours. »
17 Jahr, blondes Haar, so stand sie vor mir.
17 Jahr, blondes Haar, wie find ich zu ihr.
lalalala la la la la la
C’était mieux avant… dit: 11 juin 2013 à 13 h 42 min
Avant, en venant ici, on rencontrait des gens de qualité. (Avant, c’était avant…)
Maintenant on rencontre de la racaille de ton acabit : des Chaloux, des Mauvaises Langues ..
N’oublions pas renato, le pou de Colmar… ce serait dommage.
Bon, c’est vrai, liste incomplète, renato est un pouX. Pas une raison pour oublier le x.
m. s. pou
m. pl. poux
mais bon, on ne va pas fignoler pour si peu…
Le pou de Colmar a lui même corrigé. POur une fois qu’il a deux sous d’orthographe…
« Il y a zou et zhu… »
Bof, vous n’avez pas idée des fois que j’ai entendu quelqu’un dire : « Ah, ces noms étrangers ! »
« Ce qui est bien avec vous, vous mêlez la bêtise crasse et totale de D., avec la grande connerie de JC. »
Cher Thierry, essayez de retenir ceci, c’est important :
– D. est le futur Gouverneur de la Terre. Venu d’une autre planète, il est intelligent et d’une grande finesse. Respectez-le !
– JC est mort. Il fut docte, sportif, intelligent, et courageux dans sa mort terrifiante. Oubliez-le !
Ceci n’est pas très important, mais il faut suivre, cher Thierry. Je sais, c’est difficile…
MONSIEUR PASSOU : HALTE AU FEU… ILS SONT DEVENUS FOUS… VOTRE BLOG EST DEVENU UNE VRAIE POUBELLE… RÉAGISSEZ, VITE
touours ue question d’onomastique, je suppose quelenom de Sedecias dérive de cette même racine ce n’est pas dans wiki , et e n’ai pas cherché : »Sédécias (hébreu : צִדְקִיָּהוּ Şidhqiyyāhû « Mon droit [est] YHWH » ; grec: ζεδεκιας Zedekias ; latin : Sedecias; arabe : صدقيا, Şidqiyyā) est le dernier roi de Juda. Sous son règne, Jérusalem est détruite. Sa famille et lui-même sont exécutés peu après. Il fut un contemporain du prophète Jérémie.
« vous mêlez la bêtise crasse et totale de D., avec la grande connerie de JC »
Décidément, la génétique textuelle (sessuelle, on n’en parle même pas) n’est pas le fort de vontraube, il voit des rejetons de dédé et jicé partout ! Dès qu’on s’avise de moucher son vilain tarin, paf ! on rejoint illico la parentèle enchantée.
Dire que ça va bientôt faire huit ans qu’il redouble, plus têtu qu’un âne rouge, sa 1ère année de RdL (passou est bien vu rue de Grenelle, ça lui autorise toutes les entorses): ça tourne à l’acharnement pédagogique. Même Langue Chargée n’en veut pas dans sa 5ème SEGPA ricanante, c’est tout dire…
Seule la faculté de Médecine se montre intéressée, elle aurait dit-on préempté le simili-cortex du mauvais sujet : sortir autant de couenneries à la minute, faut bien reconnaître que ça tient du prodige.
une thèse aux sources de la métaphore matrimoniale
http://scd-theses.u-strasbg.fr/665/01/Hochner_henri.pdf
Il faut dire que Vénus …..
Bon et alors pour la cueillette des olives ?
TKT, votre entrée, occurrence, de 17.10 heures le 10 juin dernier (hier) est bien bonne. Rappel des actualités avant le grand film. Lequel des Cantacuzène avez-vous connu? Lily..est un des deux ou trois (les spécialiss disent deux) bons films de Fassbinder. Match Point vous a fasciné. Vous aimez le tennis et le Montrachet. Depuis, Woody A. fait dans le tourisme de luxe. Plus assez pervers en dépit de ses fixettes psychologisantes.
« Plus assez pervers en dépit de ses fixettes psychologisantes. »
Il n’a jamais été vraiment pervers, Phil… il a plutôt composé un catalogue de signes reconnaissables : le confort des formes connues… quoi…
Angélique, Angélique… Et pourquoi pas la Fosseuse ?
@ transoxyl (pourquoi cette pulsion médicamenteuse?
« sur la dot le raccourci est très compréhensible et a été éclairé par de précédents posts. »
Faites-vous allusion à celui de 9 h 44 min?
Il s’agit d’un prêche religieux sur la supériorité du droit musulman sur la société « pré-islamique ».
Il ne vaut rien, et est aussi éclairant sur les comportements réels que le Catéchisme catholique le serait pour expliquer les rapport entre les sexes dans les sociétés occidentales.
@ TKT (je le prend comme abréviation de al-Taktrîti: originaire de taktit comme le fameux Saddam?)
Le billet disait: « …vendue par son père à l’Emir Abdelkader ; car dans certaine tradition, en guise de dot, c’est l’époux qui paie le père de la mariée »
Votre glose:
« C’est pourtant facile à comprendre, le père de la mariée touche de l’argent, il s’agit donc plus d’une vente que d’une dote. »
Heureux homme!
Vous vous satisfaisez à bon compte.
La phrase de PA est un raccourci.
Votre glose est le raccourci d’un raccourci.
La question est naturellement celle des mots employés.
Si vous désintéressez du problème, comme en littérature ou dans le parlez quotidien, pourquoi pas? Vous entendez alors par « dot » tout transfert de richesse effectué à l’occasion d’un mariage.
C’est flou, mais on devine de quoi vous parlez.
Mais qu’il s’agisse de Singapour, du Canada, du Maroc, de la Rome antique ou ce que vous voudrez, il y a deux choses à observer:
1. Ces transactions matrimoniales se font en deux sens différents: soit c’est un transfert de la famille de la mariée vers celle du marié, soit c’est l’inverse;
2. Soit ces biens sont transférés à la famille, soit ils restent sous le contrôle de l’épouse.
Pour commencer à comprendre en quoi la situation sous Abd-el Kader diffère de la nôtre (qu’il s’agisse du mariage juif ou du mariage arabe), il faut commencer à utiliser des mots différents.
Ensuite, on voit.
Désolé pas le temps.
Wa salama.
Le mariage, pour tous ou pour chacun, pour les déviants ou pour les gens normaux, est de toute façon une connerie mo-nu-men-ta-le ! Un résidu de vieilles pratiques dépassées, la burka de l’amour.
La prise du Trocadéro, c’est le duc d’Angoulême, aîné du comte d’Artois. Finalement c’est comme la smala, même après l’Ogre on en prenait encore pas mal, des trucs…
> affronter l’ordinateur
Les environnements deviennent user-friendly. Lors d’une récente conférence, Tim Cook, Chef d’Apple, a annoncé la mise au point d’un nouveau dispositif d’impression électronique : le iBurnes.
il faut bien reconnaître que la jeune écrivaine méritait davantage son prénom que l’ancienne reine des courts.
Cette fameuse histoire de dot (il ne fait pas en faire un fromage, mais c’est quand même dans l’histoire de Mme VKG)
« 1. Ces transactions matrimoniales se font en deux sens différents: soit c’est un transfert de la famille de la mariée vers celle du marié (type A), soit c’est l’inverse (type B);
2. Soit ces biens sont transférés à la famille, soit ils restent sous le contrôle de l’épouse. »
Dernier mot:
1. Utiliser notre mot latin de « dot » ne peut de tout façon pas convenir puisque le mariage arabe relève du type B (les « sociétés à dot », comme celles que nous connaissons sont relativement rares au sein des cultures connues);
2. Il est vrai que selon les prescriptions du droit musulman (interprété diversement), l’épouse devrait pouvoir jouir d’un bien propre, en cas de divorce, etc. (parfois du reste versé après le mariage). Si on veut parler français, il faudrait dire qu’il s’agit non d’une dot (comme chez les mariage de type A) mais d’un douaire.
La jeune Yudah n’a pas eu de douaire (l’argent est allé à son père) soit en raisons de sa confession (il faudrait voir), soit plutôt en raison de la très grande différence de statut social (banal).
Les douaires, comme les dots, autres que symboliques, c’est pas forcément pour les filles pauvres.
Oui enfin les colonies y avait au moins un truc, c’est qu’il faisait chaud !
et on y buvait beaucoup ! (en lisant des tintins interdits, qui faudra lire bientôt sous le manteau. encore une raison d’avoir chaud)
Delacroix, peintre pascalien.
C’est lui-même qui le dit dans son Journal : « Ma pensée m’échappe » (Journal, 26 avril 1824), imité d’une célèbre pensée de Pascal : « En écrivant ma pensée elle m’échappe quelquefois, mais cela me fait souvenir de ma faiblesse, etc. »
Plus tard, lorsqu’il rédigea son article sur Poussin, Delacroix s’intéressera à ce qu’il appellera « la méthode de Pascal ». Pascal est pour lui un modèle d’écriture fragmentaire pour son Journal.
Vénus Khoury-Ghata
—
Petit délire onomastique à deux dirhams: le nom Khoury signifie prêtre en arabe*. Ghata est un nom indien qui signifie « temps qui change ».
Ce patronyme à rallonge donnerait donc: Vénus prêtresse du temps qui change…Prose poétique dans le nom même.
« Oui enfin les colonies y avait au moins un truc, c’est qu’il faisait chaud ! »
Vous auriez jamais dû partir, les Français ! Depuis que vous n’êtes plus là, c’est un bordel chez nous en Afrique. On ne sait même pas si Bouteflika est mort ou vivant …!
« Ma pensée m’échappe »
toi tu t’oublies dracul..y’a une nuance dirait sergio
(en lisant des tintins interdits, qui faudra lire bientôt sous le manteau. encore une raison d’avoir chaud)
on peut être toutes nues sous la burka phil..
Boh onomastique onomastique… Comme diraient d’augustes membres du FLN algérois à une de leurs nouvelles recrues, un étudiant qui adressait tous ses rapports en arabe : « On n’y comprend rien ; peux pas parler français comme tout le monde ? »
Oui enfin les colonies y avait au moins un truc, c’est qu’il faisait chaud !
—
Ici, c’est grand soleil presque toute l’année, et il fait bien chaud comme on aime.
Chez un de mes collègues et ami de province, dans une vaste maison sur les hauteurs entourée de végétation luxuriante, on s’est offert avant-hier une belle soirée intimiste foie gras sur mangue arrosée au St Emilion. The best of both worlds.
En France, 72h de soleil sur 3 mois, répétions-nous: vive les colonies libres!
peux pas parler français comme tout le monde ?
gaga y s’est fait brit..toujours du coté du manche..et bien profond
bouguereau dit: 11 juin 2013 à 17 h 35 min
on peut être toutes nues sous la burka phil..
Non mais quand il faut dévider un bastringue pareil ! On n’est pas des gabiers, même d’empointure…
vive les colonies libres!
..lui aussi il cause brit..best of the best..et vontraube et nous on est les damnés de la terre..jicé c’est the weurst of the weurst..heureusement que t’es là jicé..tu nous consoles
la mangue au saint émilion. un truc pour soirée paramount à tkt. sapré bloom. fait du Morand « hiver caraïbes ». après le foie gras mangué chez les indigènes, la pastille vichy !
Bloom dit: 11 juin 2013 à 17 h 39 min
St Emilion
Mais il cuit, non ? Il doit suinter de partout ! Pire que la Vichy à Valéry Larbaud…
La notion de « récit poétique » a beau être devenue une tarte à la crème (pour les ignares), elle n’en demeure pas moins une réalité littéraire dont J-Y Tadié a pu esquisser une théorie dans « Le récit poétique ».
Il se caractérise par un certain traitement du langage qui fait sentir sa réalité signifiante et symbolique.
L’emprunt qu’il fait aux autres arts par le rôle joué par la musique des mots comme les images à la peinture ne permet pas d’engendrer un vaste roman poétique. Il s’agit toujours d’une œuvre relativement courte. Proust n’est pas sans cesse poétique ; si l’ouverture de la Recherche est un vrai poème en prose, la suite est plus traditionnelle même si Jean Milly a pu montrer que la phrase proustienne obéit à une recherche rythmique qu’on ne trouve guère chez Balzac mais déjà chez Flaubert. Proust, au fond, contrairement à un préjugé tenace à son égard, innove très peu ; c’est surtout un grand écrivain de synthèse de la littérature depuis la fin du XVIIIè siècle. Quand Céline innove, Proust synthétise. Il reprend à Nerval, à Baudelaire, à A. Bertrand les traits de la prose poétique, il reprend à Balzac l’art des personnages marquants, la peinture tragique des passions, etc. Céline invente une langue nouvelle.
Pour le récit poétique, tout le problème est de savoir — comme le dit J.-Y Tadié — comment le poème réussit à raconter. La réponse de Tadié est que « le poème-récit est une épopée : le poème ne peut raconter qu’en se faisant épique, c’est-à-dire que sa part de récit n’est qu’apparence. Il se décompose en figures immobiles qui sont des images de l’éternel. » Un récit comme Un Balcon en forêt, de J. Gracq est bien en effet une succession d’image animées qui correspondent comme on pourrait le montrer à des cartes du jeu de Tarot (influencé en cela par Nerval via A. Breton et un universitaire ami de Breton qui qui a écrit une thèse sur ce problème à propos des récits nervaliens et qui l’a fait connaître à Gracq qui s’en est inspiré. C’est aussi pourquoi, on trouve dans le récit de Gracq une allusion au jeu cartes et à Alice au Pays des merveilles.
Tout l’art du récit poétique est de savoir maintenir l’équilibre fragile du récit qui raconte avec des faits bien concrets et de la prose qui donne à rêver. Il faut savoir garder ce ton épique. On trouve au XXè siècle tout un renouveau du ton épique, aussi bien chez les poètes qui aiment raconter des histoires (V. Larbaud, Apollinnaire, les poètes russes, etc.) tout en essayant un autre lyrisme, que chez les romanciers comme Peter Handke qui parle volontiers à son égard de prose épique qui ont aussi une tonalité poétique. La palettes des possibles est assez large et constamment renouvelée au cours du siècle dernier.
..jicé c’est une kro tiède et un paté de foi de cochon sur pain de mie moisi..et pour dracul c’est tarte à la crème tous les jours
Mais il cuit, non ? Il doit suinter de partout ! Pire que la Vichy à Valéry Larbaud…
—
Or donc, Sergio, il existe tout une gamme de moyens de conservation tout à fait performants, de la chambre froide de la cave de la résidence de l’ambassadeur au petit caisson thermique à température constante de l’amateur local de jaja.
Certes, les vins de l’hémisphère sud, plus solidement charpentés, se conservent mieux, mais nos bordeaux résistent bien.
La France par son seul bon bout/goût. Le reste – amis et famille exceptés- ne manque pas. Mais alors pas du tout.
Phil, j’entame le Voyage au Congo de Gide, qui vient bien après les récits terrifiants de Roger Casement, pendu à la prison de Pentonville après avoir participé au soulèvement de 1916 à Dublin. J’y cherche de nouvelles recettes.
Bloom dit: 11 juin 2013 à 18 h 32 min
la chambre froide de la cave de la résidence de l’ambassadeur
Là si c’est à Calcutta faut quand même faire gaffe les vice-consuls quand ils viennent voir Anne-Marie peuvent toujours planquer des trucs…
« Non mais quand il faut dévider un bastringue pareil ! On n’est pas des gabiers, même d’empointure… »
Traduction, svp ?
No comprendo l’argot classique !
Gamin je reçus en héritage la vision de sainte Bernadette Lafont en fiancée du pirate à cheval sur les conventions de la bonne société. Une sorte de Mouchette qui aurait vaincu le signe indien de Phoolan Devi, celle qui dévalisait de leurs baisers tous ceux que les prêtres du culte de l’amour avaient avalisé tout crus comme bons pour le mariage, celle qui se faisait violer par des bracos de clans rivaux parfumés à l’arsenic. Voir Bernadette sur l’écran, c’est.., c’était comme siroter un verre de Cheval blanc (avec quand même 40 % de Merlot pontique — eh oui, l’océan atlantique n’est pas loin –, dedans) sur la terrasse du Rashtrapati Bhavan, sans trop baver malgré toute l’eau à la bouche, l’impression d’être le président de tout le continent indien (mais même pour une place d’eunuque j’aurais presque signé) et de tout le continent noir féminin en même temps…La grâce de Bernadette-Mouchette, c’est, je m’en aperçois aujourd’hui en lisant le billet et surtout les commentaire, le genre de Vénus que j’aurais poursuivi toute ma vie et peut-être rencontré quelquefois dans la poussière chaude d’un sourire.
Bloom assiste au bal du consul et boit du château Duras !
Et tout ça au frais du pauvre contribuable de France et de Navarre !
Chapeau,
Et profite tant que tu peux.
Avant le reour en retraite des anciennes colonies Françaises.
Pour toi, l’exil c’est ici.
Ailleurs, c’est le vaste monde
C’est mieux…
Adieu
Bernadette c’est une bonne nature, xlew.m, Vénus donne plutôt dans la créature sublime passablement liftée et tirant les ficilles d’une réseau en forme de toile d’araignée en fil de miel…
Bonjour le chorestérol pour cause de prose poétique trop sucrée !
Jacques Barozzi dit: 11 juin 2013 à 18 h 42 min
Traduction, svp ?
Ben par exemple dans les bandes dessinées culturelles comme par exemple les Passagers du vent, on voit fort bien les gabiers grimper à tous périls dans les huniers pour défaire collectivement toute la toile… Et alors d’empointure je sais pas trop, il y avait des sortes de hiérarchies dans les gabiers, ceux-là c’étaient les plus balèzes, tout ce dont on est vraiment sûr c’est qu’il n’y en avait plus sur par exemple le Potemkine, le Graf Spee ou encore par exemple le Missouri…
Et tu descends de l’un d’entre eux, sergio ?
« au frais du pauvre contribuable de France et de Navarre »
au frais à l’ombre !
et puis il paie pas d’impôts (retenus à la source ou pas) ?
Et tu descends de l’un d’entre eux, sergio ?
dés qu’on parle de gabier tu te revois petit mousse à la calle la tête dans les cordages baroz..et ça te fend pas que le coeur
Vénus donne plutôt dans la créature sublime
pas du tout baroz..dire que pauline est morte comme une gueuze..je m’en souviens ça m’a fait comme un truc..chacun ses souvenir de jeunesse baroz
La France par son seul bon bout/goût. Le reste – amis et famille exceptés- ne manque pas. Mais alors pas du tout.
excellent kabloom excellent
« Gamin je reçus en héritage la vision de sainte Bernadette Lafont en fiancée du pirate à cheval »
Ce n’est pas ce film où on voit Lafont assise à côté d’un puceau en short?
Ça trouble l’ado.
@ Bloom: Le Québec chaud ? Les îles toujours françaises à l’est du Canada, Saint-Pierre et Miquelon, bien au nord, chaudes ? La France est aussi un des rares pays à avoir des territoires en Antarctique, pas vraiment un climat chaud. Et puis si Napoléon avait gagné toutes ses batailles, la côte baltique serait territoire français. Pas vraiment non plus un climat de rêve.
Jacques Barozzi dit: 11 juin 2013 à 19 h 06 min
Et tu descends de l’un d’entre eux, sergio ?
Ca c’est difficile à dire parce que même étant d’Auvergne, au moment où l’Atlantique venait timidement lécher les volcans énormes de six mille mètres… Et puis après c’est vrai, on a eu Darlan à un moment, mais c’était suite à une mutation et d’ailleurs il est pas resté…
six mille mètres !…c’était au moins temps du cinéma muet
au temps..hô
..il parait qu’ils vont se revéiller un jour, c’est mathématique..je te dis pas le saint émillion comme il va bouillir
TKT dit: 11 juin 2013 à 13 h 46 min
Tu touches le fond là von traube, t’attaques déjà le sable.
——
Laissez-le tranquille.
Sergio, pensez quand même qu’il n’y a d’ambassadeur, auprès d’une nation souveraine, que dans une capitale. New-Dehli est la capitale, d’après une de mes cousines qui y a vécu, années 90, c’est une ville moche où les expats sont parqués luxueusement dans des quartiers spécialisés.
« ..il parait qu’ils vont se revéiller un jour… »
C’est un projet ouvert ?
Six mille mètres, ce devait être quelque chose !
En tout cas, à cette époques-là il n’y avait probablement pas de chèvres. Que de très gros mammouths ..
Bloom a quand même été très fort parce que s’il y a bien un pays dont le système de la dot a été à la une des essais sur les femmes , et leur maltraitance, c’est bien l’Inde !
ça doit relever des choses de l’inconscient pour
Bloom , cette manière d’éviter
http://www.monde-diplomatique.fr/2001/05/PARINGAUX/15113
Il me semble que le camp de base du K2 et à 5 100 m d’altitude, restent encore 3511 m pour toucher le sommet, donc 6000 m c’est faisable… avec ou sans Yeti…
Oups ! le camp de base du K2 et à > le camp de base du K2 est à
TKT dit: 11 juin 2013 à 19 h 46 min
New-Dehli est la capitale
Oui mais le Duras a dû être écrit dans l’immédiat après-guerre, ou alors un rien historique ; et puis alors, corboeuf, la mendiante, qui s’est déjà farcie what milliers de kilomètres depuis le cambodge, là il faudrait en plus qu’elle se tape Calcutta-Delhi…
Étrange malentendu de la part des journalistes dont beaucoup au sujet de l’éloge funèbre rendu aux Invalides à Pierre Mauroy ont parlé de grand homme.
Pierre Mauroy fut un homme très respectable, également un Premier ministre, justifiant un protocole particulier pour ses obsèques, mais aucunement un « grand homme ».
Il ne faut aussi pas oublier que c’est à cause de Pierre Mauroy que la France n’est pas sortie de l’Europe dans les années 80 et qu’elle en paye aujourd’hui l’énorme prix.
et encore un lien pour Bloom et DHH .
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/hom_0439-4216_1998_num_38_146_370476
Mais je m’associe malgré tout à l’hommage de nos hommes politiques.
A défaut de roi, la république doit être le vocabulaire par défaut de l’élite nationale.
D’autres sociétés ont le même mot pour roi et pour citoyen (littéralement intrant), car nos conceptions primitives ont été depuis si longtemps dépassées qu’elles deviennent objet d’amusement. Mais vous ne pouvez pas comprendre. Dans ces civilisations, on peut aussi bien dire: tout le monde est roi, et: personne n’est roi.
C’est affaire de maillage, qui implique une autre conception de la temporalité. Le décalage temporel (proposer/ décider, informer/ synthétiser) est depuis longtemps aboli.
C’est une unité, mais qui n’est pas pour autant homogène.
Vous ne pouvez pas comprendre.
Le « mariage » aussi, ça les amuse.
Mais ils ne rient pas quand nous rions et nous ne pouvons pas imaginer rire quand ils rient.
Nos descendants comprendront, sauf interruption.
Le nom de la planète Venus, ils le connaissent mais lorsque les « individus » (ou plutôt, comme ils disent: les parts, les intrants) souhaitent l’articuler, ça ressemble à ce qu’on pourrait appeler un photophon, une luminosité sonore.
Ils ne ressentent rien à notre poésie, mais ils comprennent parfaitement nos réactions.
Marwân de passage dit: 11 juin 2013 à 16 h 49 min
Cette fameuse histoire de dot…
« La jeune Yudah n’a pas eu de douaire (l’argent est allé à son père) soit en raisons de sa confession (il faudrait voir), soit plutôt en raison de la très grande différence de statut social (banal). »
Puisque je vous dis qu’il faut en revenir au texte même !
proposition de type C, la plus probable : personne n’a lu le livre de Venus.
L’Emir n’a rien payé du tout, en l’occurence.
Yudah aurait certainement mangé le « balluchon de dattes » (sic). Dans une autre histoire.
Melissa dit: 10 juin 2013 à 22 h 17 min
Je reviens vers vous, car j’ai omis de préciser que lors de ce raout chez Venus J-M-G Le Clezio s’exprime alors qu’il a déjà eu son Nobel.
Venus est juré de plusieurs prix littéraires. Celui des cinq continents est le plus, comment dire: inattendu.
tranxodyl dit: 11 juin 2013 à 10 h 58 min
Et pourtant un entartage de rêve aurait été ici un pastiche de celui de Rimbaud:
« Ce qu’on dit à la poétesse »
Vous à 14 h 43 min
Très interessante cette thèse, pour qui prend/peut prendre le temps.
Auriez-vous des informations ou autre concernant la réception qui a été faite, dans les milieux autorisés, au livre de B. Benyamin, créateur talentueux de l’émission » envoyé spécial », sur le livre d’Esther, le livre est « le code d’Esther » ?
D vous n’allez tout de même pas nous refaire le coup du chewing-gum collé je ne vous passerai pas pour autant le beurre d’ailleurs…
Frédéric je vous aime! Benoit aussi!
en de qui concerne l’Inde il ne faut peut-être pas dissocier la question du sati des veuves
http://indianred.pagesperso-orange.fr/sati.htm
un lien pour Bloom et DHH
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/assr_0335-5985_1989_num_67_1_13
Cendres d’immortalité. La crémation des veuves en Inde / Ashes of Immortality. The Cremation of Widows in India 69
@ tranxodyl
« s’il y a bien un pays dont le système de la dot a été à la une des essais sur les femmes , et leur maltraitance, c’est bien l’Inde ! »
Est-ce une situation traditionnelle ou relativement récente?
Pourquoi?
Comment expliquez vous ces assassinats déguisés d’épouses en raison de leur « dot »?
Bloom va peut-être demain apporter son grain de sel.
Il n’est pas là-bas que pour se goberger.
« Le récit poétique ».
Il se caractérise par un certain traitement du langage qui fait sentir sa réalité signifiante et symbolique.LML.
On peut aussi le dire de tout!…
Violence faites aux femmes, où à tout un chacun.
Et en France, quelle perception, quelle proportion?
Voici l’impression de M. Renaud Camus:
« De toute façon, les violences skinhead et antifa, qui font un mort tous les dix ans et qui affolent si fort le gouvernement, sont une douce plaisanterie auprès de la violence encapuchonnée, qui gâche quotidiennement la vie de la moitié de la population, attaque les trains, fait régner la terreur dans les rames, pratique le nettoyage ethnique dans les quartiers, abolit les confins entre grand banditisme et guérilla urbaine, arrache à la République des pans entiers du territoire et, par sa haute main sur l’économie parallèle, contribue à l’hébétude générale presque aussi efficacement que ne le font l’école et son enseignement de l’oubli, l’industrie culturelle et l’imbécillisation programmée, la ruquiérisation des esprits.
Ah oui, Serge Ayoub, voilà vraiment un adversaire à la taille de Manuel Valls ! Marseille et le 9-3 peuvent dormir tranquilles, leur indépendance n’est pas menacée ! »
Le ton est vif.
« Alain Minc (encore) poursuivi pour plagiat » (les journaux)
Mauvaise langue, vous aimez autant Alain Minc que Jacques Attali, ou un peu moins?
Ce sont les Guaino et Guéant de l’essayisme.
On aimerait les garder tous les deux.
« Le récit poétique, Il se caractérise par un certain traitement du langage… ».
La poésie on l’a ou on l’a pas, ça se travaille mais ça ne s’apprend pas.
Pour la Vénus, je ne sais pas, je ne l’ai jamais lue. Je ne la connais que de réputation : un peu trop mondaine à mon simple goût.
…
…très, très, intéressant,…
…enfin,…une bouffée de tabac,…Scotch Cut Mixture,…
…le paradis pour tous,…les fleurs du mâle aux parfums,…après près de deux ans d’abstinence,…quelle pipe à double filtre,…etc,…intéressant,…
…
il paraît que Bloom recherche
Mayawati la scandaleuse
http://www.jolpress.com/article/mayawati-la-reine-des-intouchables-detronee-493374.html
« De toute façon, les violences skinhead et antifa, qui font un mort tous les dix ans et qui affolent si fort le gouvernement, sont une douce plaisanterie auprès de la violence encapuchonnée, qui gâche quotidiennement la vie de la moitié de la population, attaque les trains, fait régner la terreur dans les rames, pratique le nettoyage ethnique dans les quartiers » etc. etc. (cité par Marwân)
Comme celui de Richard Millet, le style de Renaud Camus est caractéristique de ces propagandistes d’extrême-droite ressassant leurs simplifications grossières qui sont autant d’appels à la ségrégation, au rejet, à la haine.
« qui sont autant d’appels à la ségréga »
Echange ségréga contre Séguela?
« la ségrégation, au rejet, à la haine. »
Mais non, il aime l’amour.
Dirigé vers d’autres objets, il est vrai.
Comme c’est humain.
Il y a chez Camus beaucoup d’humour, de sensibilité aussi.
Hélas.
Pourquoi a-t-il fallu qu’un simple appel, un bel appel à l’arrêt de la « nocence » (c’est presque bouddhique) se transforme en « parti de », même si c’était à l’origine un anti-parti?
Et pourquoi cautionner des organisations politiques traditionnelles, comme le FN, alors que le pari originel était d’une autre nature?
Grave erreur, M. Camus.
Je suis allé sur son site: on y trouve à présent un secrétaire-général, avec des posts parfois un peu craintifs ou lèche-cul envers le grand homme.
C’est dommage.
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