Un pas de côté avec Régis Debray et Patrick Boucheron
Que faire de toutes ces images qui nous tombent dessus et comment survivre à cette avalanche ? On analyse tant les métamorphoses que traverse le regard du lecteur qu’on en oublierait celles que connaît l’oeil du spectateur. Opportunément, Régis Debray nous invite à une méditation sur le temps dans Le stupéfiant image (400 pages, 30 euros, Gallimard), titre qu’il a emprunté au Paysan de Paris où Aragon présentait la chose comme un opium faisant fonction de madeleine. C’est une énigme lorsque le temps s’immobilise sur un plan fixe. Par un mystère face auquel l’historien rend les armes, les chefs d’œuvre de l’art nous apparaissent contemporains quand bien même auraient-ils été tracés il y trente cinq mille ans avant notre ère sous forme de félins sur la paroi d’une grotte.
Même si nous les connaissons avant même de les avoir observés, le vu ne précédant pas toujours le su, un vertige nous saisit que Debray évoque comme « notre désarroi quasiment panique » face aux figures paléolithiques. Prudent, il se garde bien de parler peinture, ayant retenu de Francis Bacon que l’on peut juste parler autour de la peinture. Très illustré, on s’en doute, et traversant allègrement les siècles, son album, constitué d’articles, de préfaces et d’études ici rassemblés, tient que le roman national est fait d’images d’Epinal avant de l’être de mots d’auteurs. On aura compris qu’à ses yeux, le seul institut qui vaille est l’Institut du temps qui ne passe pas.
Nul ne sait vraiment si, comme il en est convaincu, l’époque est révolue où les lettres et les images pouvaient fraterniser. La vue d’une photo, d’un tableau, de la couverture d’un livre peuvent engager une vie, et plus encore lorsque des mots les rencontrent. La question n’est pas de croire dans les images mais de croire les images. A une époque où n’importe quel internaute peut lui faire dire ce qu’il veut en la bricolant sur son ordinateur, et le faire croire au plus grand nombre, le buzz iconographique jouit d’un pouvoir de désinformation supérieur à tout écrit. Rien ne remplace la mémoire rétinienne directe. En 1963, les Cahiers du cinéma avaient expédié Régis Debray en Sicile pour un reportage sur le tournage du nouveau Visconti. Le demi-siècle a passé et lorsqu’il en parle, on discerne encore les incrustations lumineuses des images du Guépard in vivo dans son regard.
Le livre de Régis Debray n’est pas la seule méditation sur le vu à rendre hommage au regard de feu Serge Daney, l’un des rares critiques à avoir réfléchi à l’image cinématographique. Celui de Patrick Boucheron également. Dans Conjurer la peur (288 pages, 33 euros, Seuil), il montre qu’être médiéviste est aussi une autre manière d’être contemporanéiste. Sa réflexion, issue d’une ancienne recherche sur l’urbanisme italien, se concentre sur ladite « fresque du bon gouvernement » peinte en 1338 par Lorenzetti sur les murs du palais communal de Sienne, à côté de celle du « mauvais gouvernement ». Un programme politique y est révélé à qui sait le voir : un gouvernement se juge sur les effets bénéfiques ou néfastes, mais immédiats et tangibles, qu’il produit sur la vie de chacun. Le danger qui menace la démocratie, la peur qui vient dans la perspective de la tyrannie, Boucheron s’est moins employé à les déchiffrer ou à en faire l’histoire, qu’à « comprendre leur puissance d’actualisation », et la force politique des images. Son travail aboutit à une réussite paradoxale non en ce qu’il a pu nommer ordinairement cette tyrannie, mais en ce qu’il a pu extraordinairement en voir le visage sans pouvoir en dire le nom. Car la tyrannie n’est pas l’Autre de la République venu de l’extérieur ; elle est insidieusement tapie en son sein guettant l’heure où elle se révèlera. Elle est dans l’autorité de la seule seigneurie contre celle partagée des Neuf.
L’art a le pouvoir de révéler l’invisible, mais il n’y a pas de description neutre de l’image. Entre nous et elle s’interposent les couches d’interprétations sédimentées qu’elle a suscitée au cours des siècles. Patrick Boucheron en est hanté à force de se sentir regardé par la peinture siennoise. Conjurer la peur, aussi remarquablement écrit que son Léonard et Machiavel (les historiens doués de la plume sont suffisamment rares pour être signalés) est une lecture indispensable dans une société si pressée d’identifier qu’elle en oublie de regarder. Prendre le temps de lever les yeux vers ce qui nous regarde et s’y attarder, c’est s’offrir le luxe inouïe de l’attente. Mais s’il est hautement recommandé, le voyage de Sienne n’est pas obligatoire. A défaut, on peut voir la fresque sur Google Art Project. Sauf qu’elle est amputée de son dernier tiers, le plus intéressant, celui du mauvais gouvernement…
Les albums de Debray et Boucheron sont deux vrais beaux-livres, dénués de l’esprit de l’apparat qui préside aux coffee table books. Ces deux-là sont autant à lire qu’à regarder. Ils invitent à visualiser autrement un monde que l’on ne peut plus voir en peinture. En une époque accélérée telle que la nôtre, prendre le temps de regarder les images pour en recevoir la puissance critique, c’est déjà faire un pas de côté pour regarder de biais. Là où l’on voit toujours mieux lorsqu’on n’y voit plus rien.
(« Allégorie du bon gouvernement » d’Ambrogio Lorenzetti, palais communal de Sienne ; « No1 Royal red and blue » de Mark Rothko; Quant aux mains, elle sont probablement d’Egon Schiele.)
752 Réponses pour Un pas de côté avec Régis Debray et Patrick Boucheron
comme un écho de notre passé dans l’avenir. Une parole nécessaire pour lutter contre l’oubli. Avoir été et être là même dans ces terres d’incommunicabilité. (Christiane)
Ah ça c’est beau. Non, sans blague, c’est vachement beau. On dirait du Malraux, mais revisité par Campistron. Tiens, si je me retenais pas, d’émotion, j’en mouillerais mes culottins. Cricri est inimitable. La seule commentatrice de la RdL à pouvoir s’auto-pistacher. S’auto-pasticher, veux-je dire. Même Macé-Scaron avoue forfait, c’est dire.
Cri-cri démasquée, démâtée, désopilée mais Cri-cri pistachée ça c’est drôle enfin, merci JBrown
pffeuh, mater dolorosa et ses furies… Sa propre hystérie, voui.
Pour nos amis, anciens combattants, comme R. Debray,, vous vouliez voir une fresque politique du XXème ?
La maison bleue, le bleu des flamboyants jacaranda et la fresque du palis de la Nacion.
http://www.arte.tv/guide/fr/044588-000/chez-frida-kahlo?autoplay=1
Diego Rivera, fresque du palais de la nacion.
Ah, c’est vrai que Jauni Brownie y va lestement .
Mais , cette prose dégoulinante de Cricri, avec de-ci de-là un petit jet de hargne ..
Quelle misère !
Quand passera-t-on de « dégoulinante » à « nauséabonde » ? Je m’inquiète…
faut arrêtez avec christiane! que vous a-t-elle fait? Ridicules les dafnoz,john B, jc, bougureau, entre beaucoup d’autres
Je suis sidérée !
On ose écrire dans les gazettes – que fait Manuel pour empêcher ça, je me le demande – que mon chéri serait :
« Un monarque tout puissant-impuissant, bref un nouveau LOUIS XVI ».
Quel pays…! Quelle horreur ! Je vais en cauchemarder, cette nuit … Pourvu que …? Non !
Oui, des journées .., conférences intéressantes de Pastureau, notamment lorsqu’il met en garde sur la fiabilité du document iconographique comme représentation exacte de la réalité ..
Cette petite remarque est particulièrement intéressante parce qu’elle montre bien comment l’étude spécialisée peut conduire à des discours erronés si l’on ne prend garde aux limites de l’interprétation …
Eh, stopit ! Christiane est ma copine…
Valeria et Daaphnée, aussi, sont mes copines…
keupu
@9:43 et précédents…
« Le voyageur est encore ce qui importe le plus dans un voyage. Quoi qu’on en pense, tant vaut l’homme, tant vaut l’objet. Car enfin qu’est-ce que l’objet, sans l’homme ? Voir n’est point commun. La vision est la conquête de la vie. On voit toujours, plus ou moins, comme on est. Le monde est plein d’aveugles aux yeux ouverts sous une taie ; en tout spectacle, c’est leur cornée qu’ils contemplent, et leur taie grise qu’ils saisissent. »
André Suarès, le Voyage du condottiere
@ 9:32.
Merci pour ce lien remarquable
« On voit toujours, plus ou moins, comme on est. Le monde est plein d’aveugles aux yeux ouverts sous une taie ; en tout spectacle, c’est leur cornée qu’ils contemplent, et leur taie grise qu’ils saisissent. »
Christiane ferait mieux d’aller contempler le monde au lieu de venir se regarder la cornée!
non JC, Cri-cri c’est la copine de boudegras épicétou
Pôv Boudegras, il ne méritait pas ça!
M’enfin, rouge subtil ! Christiane peut être polyandre, non ? Etre copine avec Boudegras et votre serviteur, non ? Elle est libre. On est pas chez les polygames gynophages enhousseurs, ici…
Ta gueule keupu
« Un monarque tout puissant-impuissant, bref un nouveau LOUIS XVI ». (Valeria Elena)
Qu’on les lui coupe ! encore faudrait-il…
Déjà qu’il est pas grand, Chichois, si on lui fait la coupe de cheveux à la Guillotin, elle n’osera plus se faire entretenir par un nain-puissant, la première concubine … !
Christiane, j’ai lu votre réponse. Pas vu ce film.
(John Brown nous donne le fouet avec sa prostate en lanières. Rigolades habituelles).
Je suis copain avec Chaloux, aussi… Entre intellectuels mélomanes, c’est normal !
la première concubine
jaloux! ça vous suffit pas d’être copain avec toutes?!
@Chaloux dit: 10 novembre 2013 à 11 h 10 min
Il vient de sortir sur les écrans. Ne le ratez pas.
Pour le reste… déjections habituelles…
Christiane,
ne soyez pas trop dure avec nos amis : souvenons nous de Rabelais qui, en avance sur Vienne, disait : « Un bon transit est aussi important qu’un bon transfert ! »
on n’est pas le 24 juillet mais c’est quand même la fête à Cri-cri ici, Daaphnée a vu juste, quelle dégoulinade de verbiage prétentieux pseudo-intello de bazar adoubée par le grand bouguereau, son pote
rougesubtil,
Vous n’avez pas de sensibilité : dans quel goulag vous êtes vous endurci à ce point ?
Deux nouvelles importantes :
-La nouvelle Miss Univers, la Vénézuélienne Gabriela Isler, couronnée hier à Moscou, est apparue aujourd’hui pour sa première prestation officielle vêtue d’un maillot de bain cousu de pierres précieuses et valant un million de dollars. Le maillot blanc porté par la jeune femme de 25 ans, choisie comme égérie par une marque italienne de lingerie, comportait un pendant d’émeraude cousu sur le devant, ainsi qu’un motif fluide composé de diamants et de rubis sertis d’or.
-4 milliards empruntés pour solder les conneries de Peyrelevade…
JC,
Votre force c’est ce rire sain et opportun. Bon dimanche !
Il paraît que Lechelou sait tellement bien lire les partitions qu’il arrive à distinguer un dièse d’un bémol. Je n’en crois rien : si c’était le cas il ne nous ferait pas autant chier avec ses conneries.
JC,
Votre force c’est ce rire sain et opportun. (Christiane)
Cricri ou la petite importune.
Une toupie!
Et toutoune!
Comme vous le voyez, chers « intervenautes », ce pauvre John Brown a été viré de l’établissement spécialisé dans lequel il avait été admis (non sans réserves).
Rentre à la maison, John Brown, je t’apporterai des bananes.
comme un écho de notre passé dans l’avenir. Une parole nécessaire pour lutter contre l’oubli. Avoir été et être là même dans ces terres d’incommunicabilité. (Christiane)
Ah ça c’est beau. Non, sans blague, c’est vachement beau. On dirait du Malraux, mais revisité par Campistron. Tiens, si je me retenais pas, d’émotion, j’en mouillerais mes culottins. Cricri est inimitable. La seule commentatrice de la RdL à pouvoir s’auto-pistacher. S’auto-pasticher, veux-je dire. Même Macé-Scaron avoue forfait, c’est dire.
(JB)
Bien vu.
Si même au zoo on ne veut plus de John Brown, il ne lui reste plus que la RDL !
La seule question importante: est-ce-que Daaphnée aura la peau de Christiane ou pas?
Elle a réussi à éliminer la plupart des autres femelles du blog…Cricri tient encore, pour combien de temps?
Rendons à John Brown ce qui appartient à John Brown
Sois juste JC:
« -4 milliards empruntés pour solder les conneries de Peyrelevade… »
S’il faut n’en citer qu’un, je dirais plutôt de Haberer…Président du CL jusqu’en novembre 1993.
Cricri la toupie: non je ne suis pas une grongasse
Johny: une toupie
J
j’ai fait une erreur dans le nom de ce professeur, qu’il convient de rectifier: Michel Pastoureau. Passionnant.
Pour rester à la hauteur de sa réputation, le pauvre John Brown n’a plus qu’une solution : il creuse.
Désormais cricri viendra incognito,
elle signera Toutoune.
La gavotte avec ses doubles par Marcelle Meyer, (celle dont l’écoute vaut pour AT dix ans de Conservatoire)
http://www.youtube.com/watch?v=7PKAFOhVZ4Q
au fait, où est passé u. ?
Pathétique et fielleux John Brown : jaloux, vaniteux, le grand paon de ce blog.. le juge bouffi d’autosatisfaction..ridicule..bleu d’amertume… ..souverain dans la bêtise.. il s’applaudit lui-même..pontifiant..aveugle.. . tout de travers et content de lui..obstiné pour empaler Christiane …un type a foutre en gibelotte…
quand on pense que Christiane en est à rechercher les soutiens de JC et bouguereau réunis, on se dit que c’est mal barré pour elle, manque plus que Popol étrangement muet
ce que John Brown écrit sur christiane sur la RDL d’assouline ne vaut pas une seconde d’attention ..Sachez Christiane que vos citations , vos reflexions sont riches, genéreuses,personnelles, surprenantes d’engagement, d’enthousiasme ,de passion et d ‘érudition.ce que vous dites de la peinture et de la littérature sont des choses rares et authentiques.Vous nous apportez beaucoup . je comprends que devant votre generosité, un type qui en est si dépourvu ne crache que fiel et envie.il se bouche la vue lui même. Sachez Christiane vous avez des amitiés solides,fidèles et nombreuses sur plusieurs blogs .
manquait plus que lui… qui se ressemble s’assemble, Popol à la rescousse avec JC et boudegras, le beau trio des pieds-nickelés aux pieuses paroles, amen
Le Chemin des Dames
A mon oncle Lucien,
passé par les armes.
Un lieu qui fait rêver, qui rend mélancolique,
Un automne en été parsemé de colchiques.
Il y fait bon flâner, et le vent de l’été
Caresse les cheveux du passant attardé.
Entendez-vous les pleurs, voyez-vous les blessures
Des soldats engagés dans la triste aventure ?
Le calme règne ici ; qui pourrait concevoir
La fureur et les cris du terrible abattoir.
Rien ! que ces champs de croix fichées sur les squelettes
Noyés dans cette terre aux senteurs de violette.
Et toi, mon oncle offert au baptême du feu,
Tu gardes tes dragées dans ton lourd habit bleu.
J’entends à la radio des discours d’un autre âge,
On hurle et l’on aboie que Nivelle on outrage,
Au cas où de la gloire, on n’aurait rien compris.
Et je sens frissonner les herbes de la plaine,
Le linceul des poilus, victimes de la haine,
Le linceul de Lucien, victime du mépris.
C’est le Chemin des Dames,
Le chemin des damnés.
C’est le Chemin des Dames,
Chemin des condamnés.
Jean Calbrix, 8/11/98
Merci à Christiane et à Chaloux de leur accueil, du partage en sensibilité.
John Brown, faudrait-il que je sois vexée? Bien ri en vous lisant. « Caro » la nouvelle venuuuue, railléééeee par un vieux de la vieille du blog, irascible et crispé sur son territoire, sachant lui de quoooi il parle, de quoooi il convient de rire ou sur quooooi s’extasier. (A moins que je n’aie pas bien compris : en fait, vous êtes bègue, c’est ça? Alors toutes mes excuses : pas mon genre de me moquer des handicapés)
Alexandre Taré pour évoquer Tharaud ? Encore un effort si vous souhaitez postuler pour un numéro du Poulpe. Trop de considération pour la collection pour vous laisser croire qu’on y arrive comme ça. Comment pourrais-je vous blâmer? Mes enfants ados éprouvent la même chose que vous. Ils ne jurent que par Daaaaft Punk.
Deux types qui n’enlèvent jamais leurs casques de moto sur scène, incontestablement ça a plus de gueu-gueu-gueule …
ce que Paul Edel écrit sur Christiane sur la RDL d’assouline ne vaut pas une seconde d’attention… sachez John Brown que vos citations, vos réflexions sont riches, généreuse, personnelles, surprenantes d’engagement, de passion et d’érudition… continuez comme cela dans votre entreprise de démystification de la bien-pensance bidon, de l’intello frelaté qui se regarde écrire pour le pire et le rire. Sachez John Brown vous avez des amitiés, solides, fidèles et nombreuses sur plusieurs blogs dont celui de l’ineffable Popol votre ennemi favori et néanmoins dévoué aux meilleures causes du parti d’en-rire
des choses rares et authentiques.
rares de nullité, oui.
authentiques de niaiserie, oui.
P.Assouline s’étant converti aux images bien avant de se convertir au numérique : la preuve, il a intégré une république des images (que je traverse aussi)
bonsoir
flattez n’est pas jouer : il ne faut pas confondre société de simulation et jeux de sTimulation
Christiane m’est également sympathique. Je reconnais qu’elle possède une culture immense et qu’elle sait nous en faire profiter, avec volontarisme et serviabilité, ce qui n’est pas le cas de tout le monde ici, certains pratiquant allègrement la rétention.
excuses : flatter n’est pas jouer
http://internetactu.blog.lemonde.fr/2013/11/08/une-societe-de-simulation/
Caroline dit: 10 novembre 2013 à 16 h 25 min
Deux types qui n’enlèvent jamais leurs casques de moto
Ha ça cela peut arriver quand l’attache se coince, se grippe ou même a eu le temps de rouiller, parce que sans vouloir dire l’acier asiate il est pourrave…
Elena dit: 10 novembre 2013 à 14 h 49 min
Merci d’avoir mis en lien l’enregistrement de Marcelle Meyer. (C’était le temps où les pianistes gardaient les ornements du clavecin). Quelle maîtrise extraordinaire du son.
Pathétique et fielleux John Brown : jaloux, vaniteux, le grand paon de ce blog.. le juge bouffi d’autosatisfaction..ridicule..bleu d’amertume… ..souverain dans la bêtise.. il s’applaudit lui-même..pontifiant..aveugle.. . tout de travers et content de lui..obstiné pour empaler Christiane …un type a foutre en gibelotte… (Galatée)
La distinction par moi posée dans mon post de 14h19 entre l’hypothétique réalité de la dénommée Christiane et l’innommable dondon à moi irrésistiblement évoquée par le moindre de ses commentaires foireux n’a pas retenu votre attention. Faut-il encore que vous me cherchiez une mauvaise querelle. Mais quelle sorte de bourrique malveillante êtes-vous donc à la fin ? Croyez bien que je n’hésiterai pas un instant à corner aux quatre vents le mépris que vous m’inspirez.
Quelle maîtrise extraordinaire du son. (Chaloux)
C’est ce que je me dis toujours en lisant les posts d’Aliboron Chaloux
« Sachez Christiane que vos citations , vos reflexions sont riches, genéreuses,personnelles, surprenantes d’engagement, d’enthousiasme ,de passion et d ‘érudition.ce que vous dites de la peinture et de la littérature sont des choses rares et authentiques. Vous nous apportez beaucoup . »
-Bien d’accord avec l’empereur de la censure, juste parmi les justes, l’élitiste Paul Edel !
-Toujours à votre disposition, chère amie Christiane, pour vous emmener visiter notre île à scooter, dans la limite des lois et mœurs, en vigueur sur le territoire ! Bonne soirée.
le scooter : avec ou sans selle, JC
Le problème qui se pose avec de plus en plus d’acuité c’est l’émergence de l’humour chez cricri et sa perte quasi irrémédiable chez popol.
Peut-être un problème de vases communicants.
La question est : combien de temps va-t-elle tenir.
Toujours à votre disposition, chère amie Christiane, pour vous emmener visiter notre île à scooter, (JC)
La séraphique dondon effondrant le scooter ,j’aimerais voir ça !
Et pourquoi donc mon IP reste bloqué ? Je n’arrive pas à ouvrir votre page et ceci depuis deux semaines. Là je viens de me dire « et si j’essaie avec un IP proxy » ? Et çà marche, du premier coup ! Je comprends pas.
Popaul me fait de la peine : on dirait un plombier qui ne saurait plus faire une soudure, ou pire … une facture !
Sinistre !
John Brown dit: 10 novembre 2013 à 17 h 45 min
la mer, toujours renouvelée
Mais non, justement, on peut pas en importer ! Sinon évidemment ça réglerait tout…
In ne faut surtout pas se poser des questions Highlander, ce site est administré de façon très arbitraire : moi, on me refuse l’entrée avec une adresse authentique mais pas avec une fausse…
dans un grotte,Passouline n’est plus Assouline, ni pierre, ni feuille , ni ciseaux !
http://www.thisiscolossal.com/wp-content/uploads/2012/05/jung-7.jpg
John Brown, tu n’es pas si loin de la vérité. Après de longues marches dans la campagne, j’aime à m’allonger dans les granges et à boire l’eau des fontaines.
Bonne soirée, vieux fielleux filandreux.
Au seuil d’un dizaines de jours de haute paresse, j’ai choisi d’entreprendre la lecture de « Musique et Société du Second Empire aux Années Vingt » de Michel Faure dont les trente premières pages sont bien intéressantes.
Après quoi, je lirai le dernier opus de Gao Xingjian, « De la Création », au Seuil, seulement feuilleté jusqu’à présent mais qui m’a tout l’air de contenir des trésors, comme tous les livres de ce très grand écrivain.
Deux livres qui traitent à peu près du même sujet, sur des modes très différents.
Aucun critère de « lisibilité moyenne » dans tout cela. Manquerait plus que ça.
A bientôt. Peut-être.
Marcel dit: 10 novembre 2013 à 15 h 58 min
Hélas ! hélas ! hélas….
On ne rigole pas Avec PE : pas bien, pas de bombons — c’est la phase décadente de la bourgeoisie de gauche : il faut savoir ce que l’on doit aimer et ce que l’on est en droit de ne pas aimer (il rappelle de près ces personnages qui s’habillaient de l’aura de Pavese pour faire leur intéressant).
Quel bleu profond que cette end of time à 18:22,
à une époque où « n’importe quel internaute peut lui faire dire ce qu’il veut en la bricolant sur son ordinateur. » (sic, sic, sic)
jeu de pierre-feuille-ciseaux:
« En 2005, le président d’une grande compagnie japonaise a fait jouer à ce jeux les représentants de Christie’s et de Sotheby’s pour décider laquelle des deux firmes pourra organiser la vente d’une collection de tableaux impressionistes.
(…)
Les maisons d’enchères, avaient un week-end pour faire leur choix. Christie’s vint avec la fille de 11 ans d’un des employés, qui choisit ‘ciseaux’ parce que « tout le monde s’attend à ce que vous choisissez ‘pierre’ ». Sotheby’s dit qu’ils traitaient cela comme un jeu de chance parce et n’avaient pas de stratégie particulière pour le jeu et choisirent ‘papier’. Ainsi, Christie’s gagna le match, avec des millions de dollars de commission pour la maison de vente aux enchères. »
le lien
Bonne soirée, vieux fielleux filandreux. (Chaloux)
Vieux fielleux filandreux, ah j’aime bien.
Eh bien moi, je papillonne d’un des articles à un autre, de ceux que Mona Ozouf publia dans « Le Nouvel Observateur » et qu’elle a réunis dans « La Cause des livres ». Du classique et, dans l’ensemble, du solide. Je mesure le génie de l’intuition pascalienne de l’infiniment petit, en découvrant l’insondable complexité du génome humain, dans le récent numéro spécial de « Pour la science » : j’en suis aux facéties des gènes « sauteurs ». La célèbre page pascalienne est inséparable de la mise au point des premiers télescopes, mais aussi (à la même époque) des premiers microscopes. Bien que lisant les partitions moins aisément que toi, je partage ton admiration pour Alexandre Tharaud, que j’eus la chance d’entendre en concert dans un programme Chopin / Scarlatti. Rigueur inspirée.
« ces personnages qui s’habillaient de l’aura de Pavese »
C’est bien mon JCtout, tu apprécie la poésie.
J’avais pourtant écrit « apprécies »
Ce veau d’ordi me bouffe des lettres.
Bonsoir, Caroline. J’ai bien ri en vous lisant. (Mais a-t-il compris ?)
Merci, Paul.
Je reviens du ciné. Vu « La scandaleuse de Berlin » de B.Wilder. J’espère qu’on en reparlera sur votre blog.
Berlin en ruines… Marlène Dietrich dans un cabaret enfumé et le reste… Extraordinaire ! il est projeté une dernière fois, mardi.
JC;
la virée en scooter ? ça me rappellera une virée sur les flancs de la Sainte-Victoire, carnet de croquis dans la poche !
Le youTube n’est pas fameux, des journées : CP interprète par le biais d’une conception misérabiliste qui ne lui appartenait pas…
Tiens ça me fait penser; il faut que j’aille voir, toutes affaires cessantes » le médecin de famille ». Une histoire qui se passe en Patagonie.
Renato,
m’enfin, for me, c’est « the » youtube de Cesare Pavese, pensez: Morricone, Tarkovsky.
Sachez que je ne vous aime pas du tout.
Et ne croyez pas que je dis ça uniquement pour JC et u., que tout le monde déteste. Je n’aime aucun de vous.
nuoviautori.org n’ont peut-être pas lu Pavese. Quant à la musique, elle n’est pas de Ennio Moricone, mais de Andrea Galli avec Morricone dans l’oreille. Un nom de prestige (Andrei Tarkovski) ne sauve pas un truc mal fichu. Enfin, c’est une option, des journées : les goûts et les couleurs ; mais CP était comme ça : http://www.youtube.com/watch?v=EVmCOU0u0KY — et son écriture le dit bien.
Disons, des journées, que sur ces images, vous pouvez mettre d’autres mots où il soit question d’une femme, de solitude, etc. — vous pourriez même aller les chercher dans un roman-photo des années 50. Mais pas des mots de Pavese pour ces images…
quelqu’un ayant un jour demandé « quelle page de Sloterdijk » je peux ici préciser que ni lui ni son traducteur n’ont vérifié au moins sur wiki, sinon auprès d’un hébraïsant honnête comme on disait, et écrivait arche d’alliance , et arche de Noé en hébreu, dans Globes . (pour repenser le psychologisme universitaire et doctoral matiné de lacanisme de latrinité
Renato,
oui, les goûts et les couleurs.
Merci de ce lien.
(On y reviendra, à Pavese, lorsque le sujet s’y prêtera.)
Renato, encore un mot.
Permettez, je ne lis pas Pavese dans les romans photos.
Là, c’est plutôt question des images suggérées par la lecture de Pavese… (par votre lien) parfaitement dans le billet, donc…
Zut c’et la fin de la récré !
https://www.facebook.com/photo.php?v=172537579612948&set=vb.266057470197372&type=2&theater
Je n’ai pas écrit que vous lisez P. dans les romans-photos mais que vous pouvez mettre sur les images de ce YouTube les mots d’un roman-photo des années 50, ce qui n’est pas la même chose.
Renato, le « clip » sur ce poème de Pavese n’est pas un roman photo.
Y’a des glissements sémantiques qui me font voir rouge kermes.
Je découvre les ravages du typhon aux Philippines et le sort des survivants. Ça c’est important, plus important que ces débauches de haine et de mépris !
Il était temps, Christian vous aurait-il échappé ?
Voyez Renato, mater dolorosa a d’autres préoccupations.
‘reusement qu’elle est là pour se lamenter.
Ce n’est pas cela qui lui vaudra rédemption…
Mon instit’ du CP avait une habitude.
Lorsque l’on lisait bien, elle nous distribuait des « images ».
Je me souviens, je choisissais toujours des images de fleurs.
Et je dirais même plus, la sensibilité de JB est encore en dessous de ce qu’humainement on peut ressentir à lire cette débauche de cruauté.
Bien que, des journées, un coup d’œil à « L’amorosa menzogna » d’Antonioni peut se révéler instructif…
des perspectives:
Un numéro de la revue La Part de l’Œil sur la relation « Formes et forces » et sur les « Topologies de l’individuation, Deleuze, Simondon »
http://rhuthmos.eu/spip.php?article1008
« Je découvre les ravages du typhon aux Philippines et le sort des survivants. »
Les métrologues l’avaient annoncé comme le plus puissant des typhons ! ils ont parlé de vent à plus de 300 km à l’heure dès le jour avant. On pouvez donc prévoir le désastre — sauf si naturellement on n’écoute pas les nouvelles…
@des journées entières dans les arbres dit: 10 novembre 2013 à 20 h 07 min
Alors vous ! plus bête, plus obsédé(e) et plus haineuse(eux), je crois que ça n’existe pas sur ce blog. Franchement, vous n’êtes utile à personne…
@renato dit: 10 novembre 2013 à 20 h 20 min
bien sûr, Renato… Je parle des premières images et reportages qui nous viennent de là-bas.
Bon, pour faire léger, et si Homer Simpsons était plus vieux qu’il ne semble ?
http://dangerousminds.net/comments/adamson_the_original_homer_simpson_from_1949
Avec « sauf si naturellement on n’écoute pas les nouvelles… », je faisais allusion aux autorités responsables, christiane.
christiane dit: 10 novembre 2013 à 20 h 22 min
je n’avais pas lu ce message.
Hélas, votre « utilité », à vous,s’est révélée, comment dire ?
Bien imparfaite ?
Mais comme comédienne, là, je vous dis: chapeau bas. Vraiment.
je crois que ça n’existe pas sur ce blog. Franchement, 10 novembre 2013 à 20 h 22 min
mais ce blog n’est pas suspendu dans le vide :
bravo de réserver la possibilité que ça puisse exister !
@Renato
Merci pour la précision.
Marcel, mon doux, très content de te lire, toi qui es si philosophe et si bon. Tes poèmes m’enchantent toujours autant, plein d’incongruités si amusantes. Je ne te dis pas par quoi j’ai tant envie de remplacer « colchiques ».
Bien à toi,
un potage délicieux au potiron et lait matcha au gingembre
✿•*¨`*•. , feuilleté le Patrick Boucheron, superbe iconographie,
33 euros.
Christiane en mauvaise posture, qui se jette sur les malheureux des Philippines comme la misère sur le pauvre monde !
Quel sens de l’improvisation !
En effet, des journées ..
un blog de médiévistes
http://blogdurmblf.blogspot.fr/2013/10/colloque-hubert-damisch-lart-au-travail.html
…
…il n’y a rien,…pas de commentaires,…etc,…
…
pour information
http://institutdeshumanites.fr/?q=colloques-conferences/faut-il-classer-les-savoirs
En mauvaise posture, daphnée ? Vous prenez vos désirs pour des réalités ! que m’imùporte que mon style ne provoque dans vos commentaires que vos sempiternels « dégoulinants » et autres qualificatifs répétitifs ? Et l’autre donzelle qui a besoin de s’appuyer sur vous pour troller… s’ennuie-t-elle donc tant dans son pré ? Et ce J.B qui ne supporte pas qu’on puisse apprécier Caroline et son post sensible sans aussitôt retourner dans sa boîte à cirages. Quant à curioso… bon, j’ai un peu pitié de lui…
Donc, je ne vois pas en quoi évoquer ces images terribles, notre actualité, puisse être inconvenant.
Si vous êtes insensible à ce drame, ce n’est vraiment pas la peine de semer dans ce blog vos poèmes à l’eau de rose ou les chansons de Nougaro. Ne serait-ce pas un peu d’opportunisme face à des situations qui vous laissent de marbre. Il est vrai que nous n’avons pas les mêmes centres d’intérêt hors les références culturelles qui parfois, dans vos liens, sont excellentes. Mais vous n’êtes qu’une commentatrice parmi des dizaines d’autres, souvent en mauvaise posture.( Car l’agressivité envers vos « consoeurs » -comme dirait u.- est un peu révélatrice, non ? )
Bon, sur ce, je vous laisse jouer à la bataille avec votre normande bien aimée qui se la joue… Duras. Mais là, elle a des progrès à faire…
et aucun nouveau contributeur, alors que les anciens qui se sont rencontrés n’ont pas été « heureux »!! de leur rencontre mais en sont sortis endeuillés sans doute plus qu’ils n’ont pu l’
avouer, question de survivance qui n’est certainement pas moins aigue pour ceux qui ont continué d’envoyer un mot ici ou là pour remercier P.Assouline de son travail , son acharnement dans son pari, son défi ..personnels .
messieurs et mesdames , bonne suite !
@ P. Assouline et aux contributeurs …
ça me fait rire, oh juste 2 minutes mais c’est toujours ça de pris, comme le surf rapide effectué aujourd’hui dans les échos de résultats d’élections mais suffisant pour contaster que, comme d’habitude, de tous les camps s’élevaient des clameurs de victoire
…
…faut-il classer les savoirs à 21 h 59 mn,…
…
…demander à L.Da Vinci,…et d’autre part tout les chemins mènent à Rome,…
…
…en cela,…comme le service militaire,…entre les professionnels et le service obligatoire comme en Suisse,…
…
…les conférences pour un déni de démocratie,…
…et les chemins pour Rome à péages,…comme ceinturer par une muraille de Chine,…
…
…classer les savoirs,…et le monde des cultures aux mains de nouveaux obscurantistes des profits,…déjà,…le prix des Universités,…sans parler d’une vie de collège sans faille,…et des parents rien que pour vous,…Bourdieu,…et ses héritiers,…
…
…le génie administratif, une nouvelle » Caste d’épouvantails « ,…pour faire avaler des couleuvres, vu la pénurie de serpents à sonnettes,…
…
…tu le veux le savoir,…il faut payer cher,…
…au début,…du paradis, tu repart avec ta pomme,…à la case 2,…tu tombe sur Eve,…sur la case 3,…Abel et Cain,…
…
…les conférences des savoirs,…les nudistes au jeux de l’oie,…sur montgolfières estampillées à Castes Universalis des lèches-culs au beurre d’en-choix,…
…etc,…Ah,…Ah,…
…l’îlot sacré des savoirs,…un sigle d’impartialité et de tolérance » zéro » pour d’autres endoctrinés » des Castes en ligne Maginot « ,…
…merci,…pour ramasser le savon, Oui,…un beau cul,…n’est ce pas,…
…la paix des diableries,…pour voir le résultat des zizanies des commerces-clients,…
…elle est bonne » classer les savoirs « ,…
…etc,…cro-magnon,…ton os au nez, pour sortir,…rappels & diversions,…etc,…
…l’occasion du savon,…etc,…envoyez,…
…
…
…l’arche de Noé,…des » pas-perdus « ,…pour tout le monde,…l’administration européenne aux abois,…etc,…
…
Bravo cricri.
D. est un expert en matériel de peinture et en techniques photographiques. Sans talent ni intelligence visuelle, cela mène pas loin…
Panique dans la cour de récré, la maîtresse a fait « fermer la clapet » – son expression favorite- à tout le monde ?
Etre vieille, bigote, et avoir des goûts artistiques, ça existe.
« C’est en faisant l’inventaire des œuvres d’art du lieu que les restaurateurs et archéologues espagnols sont tombés de leur chaise. Un inconnu avait défiguré le précieux portrait, au point de le faire ressembler à un dessin de jardin d’enfants. »
Christiane dit: 10 novembre 2013 à 12 h 27 min
JC,
Votre force c’est ce rire sain et opportun
Christiane
comme votre ami cinglé, vous les trouvez saines et opportunes, les blagues racistes
« Une banane ! Une !
Pour le simiesque Gilou* »
*vous lui faites un paquet cadeau : c’est pour offrir à une copine de zoo…
@gilou dit: 11 novembre 2013 à 8 h 32 min
Certainement pas !!! j’évoquais juste son intervention pleine d’humour dans les derniers échanges…
@ des journées entières dans les arbres, un CORBEAU dit: 11 novembre 2013 à 8 h 27
(Il n’y a pas que Duras qui évoque ceux qui sont perchés dans les arbres, La Fontaine est un expert…)
« Maître Corbeau, sur un arbre perché,
Tenait en son bec un fromage.
Maître Renard, par l’odeur alléché,
Lui tint à peu près ce langage :
« Hé ! bonjour, Monsieur du Corbeau.
Que vous êtes joli ! que vous me semblez beau !
Sans mentir, si votre ramage
Se rapporte à votre plumage,
Vous êtes le Phénix des hôtes de ces bois. »
A ces mots le Corbeau ne se sent pas de joie ;
Et pour montrer sa belle voix,
Il ouvre un large bec, laisse tomber sa proie.
Le Renard s’en saisit, et dit : « Mon bon Monsieur,
Apprenez que tout flatteur
Vit aux dépens de celui qui l’écoute :
Cette leçon vaut bien un fromage, sans doute. »
Le Corbeau, honteux et confus,
Jura, mais un peu tard, qu’on ne l’y prendrait plu. »
Gare à la renarde qui vous donne raison…
En fait j’aime bien le kiwi. Un fruit vitaminé.
Kiwi, dont j’appends incidemment, -un pas de côté- qu’elle est une association pour enfants.
Certes, me direz-vous, il est aussi facile de « s’émouvoir », pour les Philippins, devant les images qui nous parviennent.
Cela relève du « sublime » comme dirait Marguerite. Focément…
Forcément.
pour ne rien manquer…
Le lien ne fonctionne pas.
http://www.kiwi-organisation.org/?post/2012/03/16/Entretien-avec-Alexandre-Tharaud-%3A-Le-c%C5%93ur-grand-ouvert-pour-ne-rien-manquer-!
ça commence comme ça:
Alexandre Tharaud est sur Lyon pendant deux jours. Un petit SMS nous prévenant de venir le voir en concert. Le rendez-vous est pris pour jeudi 15 mars à 14h30. Il fait un temps superbe place des Terreaux. Alexandre est là. Un petit entretien amical dans un coin tranquille au bar de l’hôtel. Quelques heures plus tard, Bach prend vie sous les doigts d’Alexandre à la salle Molière.
des fleurs de bach, donc.
http://www.youtube.com/watch?v=QqA3qQMKueA
Encore là, Christiane ?
Quelle mauvaise pugnacité !
Vous grenouillez, vous grenouillez! Et vous lassez tout le monde.
Bref, personne ne cherche votre compagnie pas plus ici que chez PE où les contributeurs vous tiennent en quarantaine … Vous devriez y réfléchir.
Quant à ce blog-ci, il y a des hommes, il y a des femmes … Et c’est ce même echec pour vous: John Brown – pour une fois – vous a très justement remise à votre place.
Quant à moi, je n’ai même pas pris la peine de répondre à votre réaction sur ce que je signalais de Pastureau, tellement vos interventions sont creuses.
De la dégoulinade, de la pâmoison de nunuche, rien de plus.
Que voulez-vous, il y a des hommes et des femmes qui passent, ici. Tous, dont vous, ne sont pas de fins lecteurs; mais vous, comme vos « consoeurs » DHH, Rose et Clopine, n’êtes pas intelligentes.
C’est comme ça.
Heureusement, ce n’est pas le cas de la majorité de ceux qui passent, avec plus ou moins l’envie d’être sérieux ou plus ou moins l’envie de plaisanter, ici.
Bref, cela me suffit amplement pour passer outre vos mauvaises petites crises,
pour tout dire,
totalement insignifiantes.
Ça va mieux, daphnée ? Encore un bubon de crevé ?
Vos interprétations vous appartiennent. Entre misogynie et nymphomanie vous pensez que ce blog vous appartient. Las ! il est celui de Pierre Assouline où vous n’êtes que de passage…
Las ! il est celui de Pierre Assouline où vous n’êtes que de passage…
C’est bien ce que vous devriez vous répéter chaque matin avant de venir vous y répandre.
Las ! c’était pour vous !
J’ai quant à moi de bonnes raisons d’être fidèle à ce blog… avec joie.
« penser que toujours celui qui entre s’imagine entrer le premier alors qu’il n’est jamais que le dernier numéro de la série précédente même s’il est le premier de la série suivante, chacun s’imaginant être le premier, le dernier, le seul et unique, alors qu’il n’est ni premier ni dernier, ni seul ni unique, dans une série qui procède d’une infinité d’autres et se reproduit à l’infini. (Ulysse. p. 655)
Daaphnée est bien trop subtile pour vous, Christiane.
@commentateur lambda dit: 11 novembre 2013 à 12 h 47 min
Phénomène d’écho ? de démultiplication de pseudos ?
…
…la vie est faite comme cela,…offerte à tous,…j’apprécie tout le monde,…y compris, les nouvelles,…
…j’ai aussi, assez de personnalité,…que pour distinguer les habitudes du savoir-vivre des gens » étiquetés « ,…avec des passions humaines,…tout le monde s’y met, à faire miroir & faux-cons à dresser,…
…ne somme-nous pas déjà dresser, à la république,…d’autres sont dresser en parasites accortes,…que du beau monde,…
…
…chacun, vient pondre son oeuf à éclore,…
…nos élucubrations pour nous résigner à nos certitudes en assurances-globales,…
…
…et si Madame joue aux boules,…plein centre sur le cochonnet,…déjà la cambrure de la pose,…Oui,…et quel lancé des boules,…
…
…Oui,…des soutiens-gorges plus souples,…qui nous engobent mieux les formes,…ravissantes,…des sourires,…encore,…
…
…a propos,…s’est combien déjà, la mise,…je me disait bien,…et en plus elles jouent du piano chez l’habitant,…pourvu qu’elles ménagent mes boules,…de toutes expressions musicales,…
…queues du bonheur à piano,…
…restons-en coït sur nos chaises,…
…sachons donner, le portefeuille en main de peur qu’il s’envole avec les boules en jeux,…etc,…
…
…votre cavalier, Monsieur,…Oui,…il nous emmerde,…c’est le jeux,…Madame est servie,…etc,…
…au suivant, aux leurres à faux-cons,…
…
voyons Christiane il ne faut pas critiquer cette pauvre femmne source d’inspiration des plus grands
« …chacun, vient pondre son oeuf à éclore,… »
Avec plus ou moins de fortune, Giovanni.
« Aujourd’hui, le nom comme les oeuvres créatives et multicolores de Karl Fabergé constituent encore une référence dans le monde de la joaillerie. A tel point, qu’il n’est pas rare de voir dans des films ou d’autres oeuvres des clins d’oeil aux fameux oeufs de Fabergé. En novembre 2007, l’un des oeufs du créateur baptisé Rothschild et créé en 1902 s’est d’ailleurs vendu pour pas moins de 12,5 millions d’euros à des enchères tenues à la maison de vente Christie’s. «
@cédric dit: 11 novembre 2013 à 13 h 24 min
Source ou bouche d’égout ?
« De sa bouche sortait des crapauds » (ce n’est plus que dans un conte…)
Encore bravo cricri.
Plus vous restez dans ce registre, plus la dafnoz s’enfoncera dans la vulgarité.
Christiane
il faut éviter de lui faire de l’ombre (se limiter à des commentaires d’une ligne au maximum, à moins d’éloges célébrant sa personne)
Mon commentaire sur les propos de Daphnée sur le fil suivant.
Salut à Rose ,clopine ,christiane ,avec qui je partage l’infortune d’etre regardée de haut par cette dame
on aimerait savoir ce qu’elle a pu realiserd’exceptionnemment intelligent dans la vraie vie pour s’autoriser à juger ainsi des femmes qui jusqu’à plus ample informé ne sont pas plus bêtes qu’elle
…
…@,…des journées entières dans les arbres,…
…Merci,…je sais tout cela,…des questions de » prestige « ,…pour les nouveaux » riches « ,…copier/coller en » Tsar « ,…a deux balles,…
…
…nos merveilleuses et extraordinaires d’A.D.N.,…de l’est,…au sang » bleu « ,…
…
…nos allemandes des Tsars,…Cathérine Trust’s & C°,…
…
…juste, une idée, je vous en livre combien des oeufs à Karl Fabergé,…
…avec les mêmes techniques de son époque,…
…ou avec le 3D en reproduction,…made of Japon,…
…c’est toute la question de l’originalité en art et humanismes-global d’arnaque de commerce de proximité,…
…
…avoir un savoir-faire c’est une chose, encore faut’il en être de la corporation à faire la pluie et le beau-temps,…navré,…O.K,…
…des métiers protégés pour faire de la crasse,…un art prisé,…etc,…Ah,…Ah,…
…
…autant , préférer les » bijoux de G.Braque,…etc,…Monsieur est servis,…
…
@DHH
Ne la prenons pas quand même pour madame de Girardin… qui a écrit :
« Il n’y a qu’un moyen de faire un bel éloge d’une femme, c’est de dire beaucoup de mal de sa rivale. »
Christiane, pourquoi te donner la peine (perdue) de répondre à Daaphnée, ça n’en vaut pas le coup ! Passe, dis ce que tu as à dire, et ignore les réactions de ceux qui ne sont animés que par la malveillance, la haine, l’animosité…
Bof, tu as raison, Jacques…
Pierre, feuille, ciseaux ?
Pierres.
Jacques Heers à propos de l’histoire de Sienne :
L’essor d’un nouvel urbanisme
Sienne fut ainsi l’une des premières cités à promouvoir des règles qui répondaient à la recherche du beau et de l’harmonie. On réglementa les alignements des palais privés et des maisons situées tout autour de cette place ; on limita la construction des balcons et des portiques. Les décrets de 1297 interdisaient aux propriétaires des maisons sises sur la place de les surmonter de terrasses fermées par des balustrades et les obligeaient à n’avoir, sur la façade, que des fenêtres bifores, à doubles arcades, toutes les mêmes. Le Campo fut l’une des premières places soigneusement pavées en Italie et les statuts de 1346 décrivaient avec force détails ce pavage de briques, tel qu’il se présente encore, disposé de façon parfaitement régulière, interrompu par neuf lignes de pierres grises convergeant vers le centre.
Coïncidence ? Le gouvernement qui, dans les années 1300, mit fin aux troubles et aux conflits, réduisit ses opposants à merci et institua une sorte de tyrannie était formé de neuf personnages, d’abord autoproclamés puis cooptés. Ces Neuf, craints de tous, se faisaient acclamer pour leurs bienfaits, notamment pour leur soin mis à embellir la cité et rendre la vie plus agréable. Les « maîtres des rues » visitaient régulièrement ville et faubourgs pour vérifier la largeur des rues et faire dégager les passages encombrés. Les voies publiques en mauvais état, les rues obscures, étroites ou dégradées, devaient être réparées ou élargies. Des élus veillaient à ce que les briques ne soient pas vendues au-dessus du prix fixé et qu’elles soient « lourdes et solides, ainsi qu’il est dit dans la Constitution ».
Daaphnée* qui cogne sur Cricri (soudain plus d’amour mais de haine) qui cogne sur la normande qui cogne sur Daaphnée… c’est la famille tuyau de poêle !
Manque plus que Sandgirl !
* Qui remporte haut la langue le prix de la plus belle vipère même pas lubrique.
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