de Pierre Assouline

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La République des livres
Comment on est passé de « Fatma de Prisunic » à « Bayadère de carnaval »

Comment on est passé de « Fatma de Prisunic » à « Bayadère de carnaval »

S’il est un classique qui a éprouvé de longue date les foudres du politiquement correct, c’est bien Hergé. Son œuvre ayant régulièrement été dénoncée comme colonialiste, raciste et misogyne, il s’était résolu dès l’après-guerre à la modifier dans les rééditions de ses albums. Non par conviction mais pour céder aux pressions de son éditeur lui-même soumis à la pression des associations ad hoc (en deux mots). Pour lui, la cause était entendue : il s’agissait de « Noirs de fantaisie », caricaturaux comme tous les personnages de son oeuvre. L’examen de sa correspondance avec Casterman est à cet égard édifiant.

La refonte de ses albums avait commencé pendant l’Occupation mais pour des raisons purement techniques (mise au format etc). Après la guerre, il s’agira aussi de rectifier le tir. Techniquement mais aussi moralement et politiquement. Très tôt soucieux de faire accéder son héros à l’universel, Hergé l’avait de fait rendu de moins en moins belge et catholique, de plus en plus européen et laïc. En 1946, Casterman lui avait forcé la main pour « blanchir » une mère et son bébé, le portier d’un hôtel ainsi qu’un gangster, tous noirs de peau, dans Tintin en Amérique. A la demande de Simon&Schuster, il en fit autant dans Le Crabe aux pinces d’or tout en se défendant de blanchir les personnages ainsi qu’il s’en expliqua dans une lettre :

« Ils sont, dirais-je, de race indéterminée. On voit qu’ils ne sont pas de « chez nous », mais quant à savoir d’où ils sont, mystère… Le souhait de l’éditeur américain était : pas de Noirs. Et pas plus de bons Noirs que de mauvais Noirs. Car les Noirs ne sont ni bons ni mauvais : ils n’existent pas (comme chacun le sait aux USA)… ».

Le matelot noir du Karaboudjan ne l’étant plus, les insultes durent s’adapter et passer de « Moricaud ! Anthracite ! » à « Emplâtre ! Doryphore ! ». Sauf que ces aménagements à l’intention du public américain s’étendirent également à tous les lecteurs. L’Etoile mystérieuse reflétant un peu trop l’air du temps de sa création (1941), après la guerre le quartier général des « méchants » se déplaça de New York à Sao Rico, capitale d’un Etat imaginaire ; leur chef, le banquier Blumenstein, fut rebaptisé de manière plus anodine Bohlwinkel, ainsi que l’on nomme les confiseries du côté de Bruxelles, et la courbe de son nez, rectifiée… Ce qui n’empêcha pas une Madame Bohlwinkel de s’en plaindre auprès d’Hergé !

Pour la refonte de l’Île noire en 1965, il s’agissait avant tout de moderniser des détails (voitures, paysages, billets de banque) ou de corriger des erreurs (uniformes des policiers censés être ceux du Sussex, architecture des maisons etc). Mais deux ans après, pour celle de Coke en stock, Hergé dut désamorcer tout reproche de racisme envers les Noirs et les Arabes. On lui demanda d’atténuer les traits des pèlerins se rendant à la Mecque, d’éviter que des personnages parlent « petit nègre ». C’est ainsi qu’une dizaine de vignettes virent leur lexique bousculé, « Toi, pas te fâcher, missié » se métamorphosant en « Ecoute, m’sieur… Faut pas te fâcher… », les « nègres » en « noirs », « la graisse d’anthracite » en « graisse de hérisson », un « par la barbe de votre prophète ! » très mal vu par un plus œcuménique « par tous les diables ! », le très imagé « bougres de zouaves à la noix de coco » en « bougres d’ectoplasmes à roulettes » et l’historique « Fatma de Prisunic ! » cédant la place à « Bayadère de carnaval » !

Quant à Tintin au Congo, quoique refondu, il était introuvable car épuisé, moins par crainte de la réaction des Africains que par « celle des pro-Africains de France » comme disait le dessinateur par allusion au lobby intello-tiers-mondiste. Il dut menacer son éditeur de rééditer l’album ailleurs pour ce que lui-ci consente à le faire circuler à nouveau en 1970. Ce qui n’empêchera pas alors les écologistes de demander son remaniement au motif qu’on y massacrait gazelles, crocodiles, serpents et buffles ! Pas question de céder. Un avertissement fut juste concédé en liminaire.

De nos jours, l’air du temps n’a jamais été aussi favorable aux associations antiracistes qui, depuis des années, exigent que Tintin au Congo soit cantonné au rayon » Adulte » des librairies ; elles aimeraient, à force d’actions en justice, que l’ouvrage soit retiré de la vente ou, à tout le moins, précédé d’un avertissement dénonçant « ses préjugés racistes » de manière à « repositionner l’album dans son contexte historique ». Comme Mein Kampf et les pamphlets de Céline ! D’autres fronts pourraient s’ouvrir. Pas de quoi déboulonner son statut mais tout de même. Tintin étant racisé depuis des dizaines d’années, va-t-on désormais s’aviser de ce qu’il est étrangement genré ?

(« Tintin au Congo », Hergé/ Moulinsart)

Cette entrée a été publiée dans Bandes dessinées.

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1 430 Réponses pour Comment on est passé de « Fatma de Prisunic » à « Bayadère de carnaval »

et alii dit: à

dans un monde en voie de mondialisation accélérée où les guérisseurs africains suivent des congrès internationaux à Honolulu, et où les chamans d’Amérique du Sud donnent des démonstrations spectaculaires dans des music-halls parisiens. Mais malgré cette apparente abrasion des singularités, la fréquentation des pratiques traditionnelles par les populations est toujours aussi intense – peut-être est-elle seulement moins exclusive. Contre toute attente, non seulement les guérisseurs survivent dans ce monde, non seulement ils en vivent, mais il semble qu’ils y trouvent de nouvelles manières d’approfondir leur pratique sans en perdre l’esprit.
https://www.cairn.info/revue-outre-terre1-2005-2-page-575.htm

B dit: à

Espèce de salon(e) , ils auraient bien fait de vous mettre sous les verrous. Peut être n’est il pas trop tard pour vous coincer ou avez vous changé d’options. Plus d’enfants, plus d’adolescents sans défense mais de jeunes adultes consentants. Pourri, ordure, dechet, malade mental dangereux.

B dit: à

Salop (e). Correcteur.

et alii dit: à

tobie nathan vous connait bien
Elle a pu constater que chaque population possédait non seulement ses propres systèmes d’interprétation des désordres, mais également ses professionnels, ses objets thérapeutiques, ses êtres surnaturels et ses rites thérapeutiques. Les patients qu’elle a accueillis ont eux-mêmes changé tout au long des années, au rythme des modifications du monde – surtout au rythme de l’adaptation aux nouvelles technologies. On n’entretient pas la même relation avec le village au temps de la cassette vidéo, du téléphone portable, de l’Internet et de la démocratisation du voyage par avion. Malgré ces modifications radicales des processus d’intégration dans la société d’accueil, nous avons constaté un attachement paradoxal aux traditions, chez les immigrés de première et de seconde génération.

Janssen J-J dit: à

@ Béré. J’espère que vous vous adressez à etalii. Parce que moi, je n’aimerais pas être traité.e de la sorte, même si je le méritais.
Bàv, b., je retourne à ma plage. Je ne partage pas celle de MS, autre triste louf, dieu soit loué !

et alii dit: à

nathan:
 » il existe une sorte de continuum thérapeutique « africain », que l’on retrouve de l’Afrique équatoriale à l’Afrique du Nord, et dont on perçoit l’influence également en Europe du Sud. Il est très difficile de trouver des équivalences avec ce que l’on rencontre en psycho-pathologie « savante ». Les dispositifs thérapeutiques sont articulés tant avec les rituels religieux qu’avec les organisations de type initiatique et souvent « politique ». Ils comportent trois vastes espaces techniques qui semblent, apparemment, indépendants, mais qui se révèlent vite entremêlés lorsqu’on s’engage dans la pratique : la sorcellerie, la possession, la divination par interrogation des « choses ». Les différences entre les différents pays africains résident, la plupart du temps, dans la désignation de l’espace interrogé, en premier lieu, et dans la gradation des interprétations. Les thérapeutes des pays d’Afrique centrale (Congo, Cameroun, Gabon… ) ont tendance à évoquer d’abord les phénomènes de sorcellerie que les anthropologues désignaient autrefois comme « cannibaliques ». Le fait est que, plutôt que de dire « untel a été ensorcelé », on dit « untel a été mangé [4]
[4]
Sur une analyse fine de l’énoncé « untel a été mangé », Cf… ». Quant à ceux d’Afrique occidentale (Sénégal, Mali, Burkina Faso… ), ils ont tendance à mobiliser d’emblée les interprétations liées à la possession par des esprits ou par des morts. Au Maghreb, l’interprétation la plus immédiate est, la plupart du temps, une forme atténuée de la sorcellerie cannibalique que l’on désigne comme ‘ayn, « l’œil », improprement traduite en français par « mauvais œil ». Pour les thérapeutes des pays du golfe du Bénin (sud du Ghana, du Togo, du Bénin et du Nigeria), les interprétations immédiates de la négativité sont, le plus souvent, celles évoquant la transgression des interdits liés à la religion traditionnelle (vaudou).

et alii dit: à

nathan
 » : Pour ce qui me concerne, je ne vois aucune relation entre ces systèmes thérapeutiques/religieux/politiques et la théorisation psychanalytique. Il s’agit de deux univers radicalement hétérogènes et souvent opposés. Les théorisations africaines sont essentiellement centrées sur l’identification des invisibles et sur l’explicitation de leurs intentions. Elles n’ont que faire d’une ontologie psychique et n’y font jamais appel dans la mise en œuvre des traitements. En d’autres termes, foin d’Œdipe, de surmoi ou d’inconscient ! Nous sommes là en prise directe avec un champ de force profondément articulé sur la réalité sociale, à la fois familiale – ou plus exactement d’ordre lignager – et profondément politique. Ce sont, par exemple, les mêmes personnages à qui l’on fera appel pour soigner une crise de folie ou pour conseiller un candidat à la députation ou à la présidence.

15Outre-Terre : Quelle est votre position par rapport à Jung et à la notion d’inconscient collectif ?

16T. N. : J’avoue que j’ai toujours été décontenancé par les formulations de Jung. J’aurais dû y trouver quelques similitudes avec les propositions de l’ethnopsychiatrie puisqu’il était le seul, parmi les premiers psychanalystes, à considérer avec un certain respect les thérapeutes traditionnels. Mais ces propositions sont si manifestement orientées vers la promotion d’un mysticisme universel, si proches d’une phraséologie panthéiste, aux relents politiques évidents, que l’on ne peut véritablement leur accorder un intérêt sérieux. Il faut tout de même reconnaître à Jung une certaine capacité « prophétique », puisqu’il fut sans doute le premier psychanalyste fondateur de « secte » – avec des héritiers à foison, comme on sait [6]
[6]
Cf Richard Noll, Jung, « le Christ aryen », Paris, Plon, 1999..

B dit: à

autre triste louf, dieu soit loué !

Oui, 3J, le maître et un disciple ou acquis á
cette cause. Pour le mérite, vous repasserez. Je campe sur ma position et j’ai des raisons. Et n’ai.éjectée pas de Derrida ou Lacan la dedans. J’écris – des raisons – et non déraison.

B dit: à

N’injectez. Correcteur.

et alii dit: à

pour ceux qui se cantonnent sur « la bouffe »
Sur une analyse fine de l’énoncé « untel a été mangé », Cf Tobie Nathan, Nous ne sommes pas seuls au monde. Essai d’écologie des invisibles non-humains. Paris, Le Seuil et Les Empêcheurs de penser en rond, 2001.
[5]
Cf. l’étude très complète de Tobie Nathan, Lucien Hounkpatin, La parole de la forêt initiale. Paris, Odile Jacob, 1996.

Marc dit: à

Christiane,

Merci, merci, merci, merci, merci, merci…
Joie, joie, joie, joie, joioioioioioioioioioie de vous lire…
Hihihihihihihihihihihihihihihihi
Moi aussi je sais faire ma Christiaaaaaaaaaaane !!!

Janssen J-J dit: à

Bon, je me demande aussi qui a bien pu initier l’autre de ces deux créatures semblables en matière de pose de liens délirants.
Et s’il y aura jamais gagnante au sujet du délire de leur surenchère perpétuelle pour mieux complaire aux billets de passoul.
On est en pleine folie furibarde, et moi itou, car impossib’ de sortir sous cette fournaise tropicale.

—-
Sous les noirs acajous, les lianes en fleur,
Dans l’air lourd, immobile et saturé de mouches,
Pendent, et, s’enroulant en bas parmi les souches,
Bercent le perroquet splendide et querelleur,
L’araignée au dos jaune et les singes farouches.
C’est là que le tueur de bœufs et de chevaux,
Le long des vieux troncs morts à l’écorce moussue,
Sinistre et fatigué, revient à pas égaux.
Il va, frottant ses reins musculeux qu’il bossue ;
Et, du mufle béant par la soif alourdi,
Un souffle rauque et bref, d’une brusque secousse,
Trouble les grands lézards, chauds des feux de midi,
Dont la fuite étincelle à travers l’herbe rousse.
En un creux du bois sombre interdit au soleil
Il s’affaisse, allongé sur quelque roche plate ;
D’un large coup de langue il se lustre la patte ;
Il cligne ses yeux d’or hébétés de sommeil ;
Et, dans l’illusion de ses forces inertes,
Faisant mouvoir sa queue et frissonner ses flancs,
Il rêve qu’au milieu des plantations vertes,
Il enfonce d’un bond ses ongles ruisselants
Dans la chair des taureaux effarés et beuglants.

Bàv,

Marc dit: à

Christiane,

Moi, Marc, je ne suis qu’un brimborion, et vous, un vase étrusque…
Hihihihihihihihihihihi…

B dit: à

Intarissable etalii. Autre chose en réserve? Nous sommes tout regard et attentifs, du moins c’est ce que je pense de l’intérêt porté en général à votre flux ininterrompu.
Vous prenez le temps d’uriner ou gardez-vous constamment votre Android à portée ?

Bloom dit: à

Excellent polar de 1947, sur la suite du travail pas terminé. Du cru qui saigne, à-la-Selby, ‘hard-boiled’ à souhaits:

Il y jeta un coup d’œil en passant et fut assez surpris d’y voir des traces de sang coagulé à l’intérieur. Il y avait même une véritable flaque encore fluide où les moucherons par dizaines trempaient leur trompe. Il eut un petit frisson à la base du crâne et commença de croire que les fameuses expéditions punitives n’étaient pas seulement de légers amusements d’intellectuels. Le dénommé Criquet avait dû en prendre un sérieux coup ! A moins qu’il ne se soit défendu et que le sang versé soit celui de l’un des justiciers ? Il revint au chalet en pensant à autre chose qu’à la chair fraîche de Christine.

– Jean Meckert, Nous avons les mains rouges Gallimard.

et alii dit: à

comme on avait parlé d’arbres, je songeais que l’on pouvait ériger une statue à P.Assouline à
Saint-Pierre-des-Ifs ( Eure ) il nous mettrait peut-être l’heure et notre bienheureuse pourrait dire
joie joie quel bon heurE

et alii dit: à

POUR DES NOUVELLES ?9A C4EST UNE NOUVELLE/
Didier Raoult porte plainte contre Martin Hirsch pour « dénonciation calomnieuse »
Le directeur de l’AP-HP avait accusé le professeur de l’IHU de Marseille de « faux témoignage » devant la commission d’enquête de l’Assemblée nationale, à propos des taux de mortalités du Covid-19 dans leurs hôpitaux respectifs. le monde

Janssen J-J dit: à

@ bloom, votre adresse rouge renvoie à ceci http://uzmaaslamkhan.blogspot.com/
Rapport incompréhensib’ avec l’ouvrage également cité dans la Selection du reader’s digest d’etalii.

Janssen J-J dit: à

Uriner sur son Androïd et sans masque…, c très tendance dans certains quartiers de Paris proches de la rue des Rosiers, parait-il, d’après D. (A).

renato dit: à

Le nom, Pravo vient de « guai a voi anime prave » (Enfer, III – 84).

Cela dit, Jacques, elle n’a jamais nié ses retouches, mais pas de passage silicone. Elle était plutôt plate et comme beaucoup de filles plates avec l’âge elle a pris du corps — certaines ont aimé la métamorphose d’autres pas, elle a aimé —.

https://youtu.be/-3kxcdW4Z5Q

Patrice Charoulet dit: à

CHRISTOPHE GIRARD

Je suis hétérosexuel, marié depuis 45 ans, père de famille; je ne suis ni homosexuel, ni pédophile. Politiquement, je suis de la droite classique.
Je ne soutiens pas Mme Hidalgo, et si j’étais Parisien, j’aurais voté pour Rachida Dati aux municipales. Je ne connaissais pas Christophe Girard, il y a un mois.

Ayant suivi d’assez près ce qui est arrivé à Christophe Girard , qui a cru devoir démissionner et que j’ai entendu plaider pour lui-même aujourd’hui, longuement et clairement, je l’approuve entièrement. Et, dans la foulée, je condamne toutes les porteuses de pancartes, qui ont osé parler de « culture du viol » et de « Pédoland » devant la mairie de Paris.
Toutes ces lyncheuses hystériques et dingos me font horreur et me dégoûtent.

Janssen J-J dit: à

– faites vous mousser la sauce du covid21 pendant qu’on se déconfine un brin, martin et didier.

– L’inénarrable Albinos de Chalandon vient de bâzir à cent balais d’lheure. Il faudrait voir à songer à le saluer à la rdl. Son œuvre littéraire nous a tous marqué. Vous souvenez-vous de l’affaire du compte rémunéré de chez Chaumet, face à la Chancellerie ? Quelle rigolade ! J’y travaillais à l’époque, la honte. Heureusement, depuis notre Cahuzac a fait plus propre à Bercy, hein… Tout ça c’était de la fanfougnie des bergouilles, des chalandonnettes un brin scandaleuses, juste un brin…, encore des bérégo aux petits pieds, même, jouant aux purs…
Ce qu’est devenue depuis la concussion publique à la française, quand on y pense, avec ces pantouflages démesurés de l’ENA dits « en réserve de la République » ! Enfin, conservons le monde tel qu’il est, pas vrai Jissé, ne le changeons surtout pas, il irait de mal en pis.

Janssen J-J dit: à

Toutes ces lyncheuses hystériques et dingos me font horreur et me dégoûtent.

Vous avez des façons vulgaires qui n’honorent pas votre profession, Patrice, pour signifier vos indignations. Modélisez-vous sur Bilger et fils, la patrie erdélienne vous en sera reconnaissante. Que pensez-vous du racisme du père de Tintin, au juste ? Moi, JE PENSE qu’il me dégoûte, mais EN MEME TEMPS comme dirait l’autre.

Janssen J-J dit: à

Comment peut-on vouloir voter pour Rachida D., la créature de Sarkoland ? Autant se demander la différence existante entre une cigogne.

et alii dit: à

Autant se demander la différence existante entre une cigogne.
il ne finit pas ses phrases;sa « pensée » l’étouffe!

renato dit: à

Janssen J-J, une autre perspective pop :

https://youtu.be/zM1NwHYPxMg

Si vous avez quelqu’un qui peut traduire c’est pas mal interessant ; p. ex., lorsque la troisième entre en scène : « Toi, qu’est-ce que tu as de plus sous la veste ? »

Janssen J-J dit: à

@ merci r(enato) de bien vouloir m’initier, toutes trois sont charmantes, mais leur auditoire m’a l’air bien monocolore. Seraient-elles ?… Celle du milieu avec son t’shirt troué vaut le détour… Me plait bien.

@ et alii, vous avez été mal éduquée aux cigognes. Peut rin faire de plus pour vous, hein. Vous vous en remettrez, pas grave, j’ai toute confiance en vous, femme forte (et fatigante). Non, vous n’êtes pas mon homme !

et alii dit: à

et encore :cliché de commentarium !

Bloom dit: à

Rapport incompréhensib’ avec l’ouvrage

J’avoue mon forfait, JJJ. De tendance latérale classique, canal historique, je viens de terminer The Miraculous True History of Nomi Ali, roman extra-ordinaire comme tout ce qu’écrit Uzma, et, en attendant qu’il soit traduit en français, me suis dit qu’il était bien de tirer 2 coups de ma Winchester à chef-d’œuvre, l’un dans le corps, l’autre dans la tête. Les mains rouges, c’est du grand délassement et une pure catharsis par procuration, le roman sis aux îles Andaman, est lui, du très très grand art.
There WAS method in my madness!
CQFD.

Marie Sasseur dit: à

#Je ne connaissais pas Christophe Girard, il y a un mois.
Ce pauvre Charoulet et l’informatique…

Marie Sasseur dit: à

« Le bel hommage de Rachida Dati après la mort d’Albin ChalandonLa candidate battue aux élections municipales à Paris est celle qui a marié l’ancien garde des Sceaux à la journaliste Catherine Nay. »

poussière dit: à

et alii dit: à

il ne finit pas ses phrases;sa « pensée » l’étouffe!

Chère et alii comme vous n’avez guère l’habitude de mettre en meilleure forme vos copié-collé, heu, comment dire…

Janssen J-J dit: à

merci poussière pour votre aide… Notre découpeuse de la toile Amatla ne connait visiblement pas la réponse de ses classiques, est-elle nullarde ! La voici, u rl’emporter au paradis : « Elle a les deux pattes de la même longueur, surtout celle de droite ». Tout le monde le savait, sauf elle.

Z’êtes sûr de vous renato, pour celle du milieu et pas les deux autres ?! (voire l’inverse ?)… Que les hétérox mascul peuvent être facilement bernab’, des fois !
Bon, passons les ponges, Francis ! ça va l’faire avec MS, qui puise aussi dans Gala ! Quelle diversité culturelle ! Je vous l’avais dit, … à quoi mène leur compète frénétique en rdl ! frénétique… Le soir, after laplaya, c exaequo !

renato dit: à

On n’est jamais sûrs de rien, Janssen J-J.

Marie Sasseur dit: à

#On n’est jamais sûrs de rien.

Renauto a envie d’une viree avec les bikers gay. Et alors, pfff, c’que vous êtes vieux jeu.

Marc dit: à

Je vais vous prouver une fois pour toutes que je suis quelqu’un de gentil et de pas du tout méchant.
Je vais vous souhaiter une bonne nuit :

☆☆☆☆☆BONNE NUIT☆☆☆☆☆☆

Vous voyez comme je suis gentil.
Et tout cela gratuitement.
La gentillesse, c’est gratuit et ça rentre dans le coeur des autres tout aussi gratuitement.

Nicolas dit: à

En même temps l’air du temps est également favorable à Trump and co et aux tweets à Naulleau qui volent pas haut. Discerner qui est le plus politiquement correct est devenu hyper ardu, parce qu’au fond si on le remet dans le contexte Mister Chloroquine est peut être le plus consensuel d’entre tous ^^

Janssen J-J dit: à

Merci. Je sens que je vais bien mieux dormir cette nuit, mistouflé dans mon transat à observer la voûte. La qualité du ciel est exceptionnelle en ce moment. Je prierai pour vous à la première poussière atmosphérique, ferai ce vœu que vous restiez gentil à jamais, ici-bas et dans l’au-delà. Que la paix tombe enfin sur la RDL… On y est presque arrivés ce soir, avec un peu de bonne volonté collective. La fin des apartheids approche. BNàv,

Nicolas dit: à

L’examen de sa correspondance avec Casterman

On peut trouver ça où ?

Janssen J-J dit: à

Laissez aux autres le soin de tirer la morale, pouvez pas vous empêcher…, cher hamlet… faut-il que vous soyez malheureux et seul pour ainsi vous congratuler. Allez en pax, mon ami, ne pêchâtes plus !

hamlet dit: à

je lis vos commentaires, et là vraiment, non, mais de vraiment de vraiment, je me demande comment j’ai pu passer autant de temps à m’emmerder ici.
et l’article de passou, non là vraiment, je sais même pas comment dire.

je me souviens avoir même posté en centaine de commentaires sur un article sur Proust, où passou avait mis une photo en se mélangeant les pinceaux… cent commentaires ! pour finir par recevoir un commentaire de CP disant que je me plantais moi aussi depuis le début ! piouf cent commentaires pour rien sur une photo à la con !

non vraiment ! c’est une histoire sans queue ni tête !

comment peut-on manquer de lucidité à ce point !!! ne pas se rendre compte ! de choses aussi évidentes !

je ne dis pas ça pour dire du mal de vous, vous êtes sympas dans l’ensemble, mais là vraiment c’est tout à fait effarant.

cerise sur le gâteau en survolant les commentaires j’apprends que le copain de Clopine s’est barré avec Sasseur ! c’est elle qui lui a piqué son mec ! alors là les bras m’en tombent…

non vraiment, remarquez bien que je ne dis pas ça pour jeter la pierre ! non point que l’envie m’en manque, mais il est des choses qui ne font pas en bonne société, et contrairement à ce qu’en pense Monsieur Charoulet ici cela reste une bonne société, en tout cas en partie, une partie infime, mais une partie quand même…

je ne veux pas jeter la pierre, à personne, mais si le niveau est tombé aussi bas vous en portez quelque part une part de responsabilité, quelque part un part c’est moche, faudrait dire en quelque sorte une part, pour éviter de répéter le mot part deux fois en mots, encore que c’est toujours mieux que le répéter trois fois en deux mots ! mais j’imagine que ce sont des détails qui quelque part vous passent par dessus la tête.

comment j’ai pu m’emmerder aussi longtemps sur ce blog ? vraiment…

Marc dit: à

Je suis seul et je m’emmerde.
Quelqu’un sur ce blog peut-il me souhaiter une bonne nuit pour me remonter le moral.
S’il vous plaît.
Merci d’avance.

( Si personne ne me souhaite la bonne nuit je me suicide. Je suis sérieux… Aaaaaaaaaaaah !!! Pauvre de moi !!!

D. dit: à

Bonne nuit, Marc.

renato dit: à

« Si personne ne me souhaite la bonne nuit je me suicide. »

Essayer ne coute rien et ça pourrait vous faire une expérience,

renato dit: à

« je lis vos commentaires, et là vraiment, non, mais de vraiment de vraiment, je me demande comment j’ai pu passer autant de temps à m’emmerder ici. »

Certain Renard Gascon, d’autres disent Normand,
Mourant presque de faim, vit au haut d’une treille
Des Raisins mûrs apparemment,
Et couverts d’une peau vermeille.
Le galand en eût fait volontiers un repas ;
Mais comme il n’y pouvait atteindre :
« Ils sont trop verts, dit-il, et bons pour des goujats.  »
Fit-il pas mieux que de se plaindre ?

et alii dit: à

l’auteur de « la bayadère »:
Ludwig Aloisius Minkus, dit Léon Minkus (en russe Людвиг Минкус ; 23 mars 1826 – 7 décembre 1917), est un compositeur autrichien de musique de ballet, un violoniste virtuose et un professeur de violon.
https://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9on_Minkus

et alii dit: à

Le violoniste fait ses débuts devant le public viennois à l’âge de huit ans. Le 18 octobre 1845, une publicité concernant les représentations de la saison précédente et parue dans le journal viennois Der Humorist, définit ainsi le jeu caractéristique de Minkus : « un style classique doublé d’une exécution brillante ». Le jeune Minkus se produit bientôt dans des salles de concert en soliste. Il est qualifié d’enfant prodige à la fois par le public et par les critiques.

Minkus commence à composer pour le violon alors qu’il est toujours étudiant. Cinq pièces pour cet instrument sont publiées en 1846. Minkus s’essaye à la direction d’orchestre dès cette époque. Il est le chef en titre d’un orchestre qu’il complète en lui incorporant celui dirigé par le jeune Johann Strauss II (des années plus tard, Strauss fera la connaissance d’Eugen Minkus, directeur d’une banque viennoise et frère de Ludwig).

Marc dit: à

D,

Merci à vous mon cher ami.
Bonne nuit à vous aussi.

Marc dit: à

Renato,
Vous êtes méchant.
Je ne vous aime pas.

Marc dit: à

et alii,

Bonne nuit à vous aussi.
Répondez-moi, je vous en supplie et dites-moi : Nonne buit.
Je sais que vous êtes un peu cinglée mais ça ne fait rien, même une nonne buit de votre part sera la bienvenue.
MISÈÈÈÈÈÈÈÈÈÈÈRE DE MOI !!!

et alii dit: à

statues:

Politics
The Japanese Government Is Furious About a Sculpture Allegedly Depicting Prime Minister Shinzo Abe Kneeling Before a ‘Comfort Woman’

D. dit: à

Je pense être plus, drôle que vous, Marc.
Ne le prenez pas mal.

Marc dit: à

« Ne me secouez pas.
Je suis plein de larmes. »
Henri Calet

« Secouez-moi.
je suis sans armes. »
Marc

D. dit: à

hamlet ne me manque pas du tout, en tout cas.

Sant'Angelo Giovanni dit: à

…vendredi 31 juillet 2020 à 7 h 17 min.

…ce qui compte, tout de même, c’est la bonne cuisine,…adaptée, pour le mieux à chacun,…

…il y a de tout,…et même si on est très riche,…à devenir  » malade  » de ses sous et lingots,…ou actions, et participations en sociétés diverses, à dividendes,…

…se payez un excellent  » chef-coq « , doubler d’un praticien de diététicien – nutritionniste,!…à votre compte,!…
…c’est presque une nécessité de nos jours,!…pour vivre à l’indispensable,!…

…vivre riche, autant qu’on veut,…mais, S.V.P.,…surveillez votre santé, avant les affaires et ou victimes des roublardises de choix,!…à votre portée,!…
…Ollé,!…

rose dit: à

La maladie d’Alzheimer a trois avantages
« On n’a pas de mauvais souvenirs
On voit tout le temps des nouvelles têtes
Et on n’a pas de mauvais souvenirs »

❤🧡🧡Guy Bedos❤❤❤

renato dit: à

J’ai eu une « vraie conversation » avec le veterinaire.

renato dit: à

« … et pas les deux autres ?! (voire l’inverse ?) »

Je me tiens à ce que les gens disent d’eux-mêmes, Janssen J-J : pas de château en l’air, en d’autres mots, pas de rêveries sur la vie des autres.

Passou dit: à

Nicolas : L’examen de sa correspondance avec Casterman
On peut trouver ça où ?

Nulle part en librairie, en fait. Elle se trouve aux archives Hergé à la Fondation Hergé/Moulinsart

Sant'Angelo Giovanni dit: à

…vendredi 31 juillet 2020 à 9 h 07 min.

…bien sur, je ne donne aucune recette de cuisine,…
…déjà,…
…chacun est spécial, dans la chronologie de sa vie,…à s’adapter,…et saisons,…

…d’autres parts,…en ciblant certain aliments,…pour le nombres de gens, la rareté peut se pointé, et le prix augmenté en conséquences,!…
…donc, tout est bon, chacun sa voie, son égocentrisme culinaire,!…

Janssen J-J dit: à

1. Quelle chance avez-vous eue, renato, d’avoir obtenu les confidences intimes de ces trois magnifiques chanteuses italiennes. Je vous envie, vraiment. La classe !
Bàv,

2. Pour resaluer l’humour de Guy Bedos, désormais en paix en oublieux total de sa mort et de celle des autres.
Bàv, rose (NB/ des bises à votre génétrix familière aux erdéliens, si je puis me permettre).

B dit: à

D, c’est pour vous récréatif d’inventer ou parodier un personnage au nom de Marc ( Duc…). Je le range dans la même catégorie qu’etalii ( avec en moins les crimes de sang) ceci étayé de raisons nombreuses , d’experiences douloureuses et revoltantes qui contrairement au dernier cité manqueront de preuves pour constituer un dossier juridique. C’est un lâche, une fiotte, un menteur, un gros con qui s’adonne à certains de ces commerces condamnables. De ceux-ci je ne dirai rien car après tout cela le regarde. Pour le reste, s’il meurt avant moi et si je le peux, j’irai cracher sur sa tombe. Il aime comme vous l’avez écrit les putains et pas nécessairement celles qui ont du coeur, entre autres conquêtes. Il lui suffit d’un sourire ou d’une bibliothèque plus ou moins interessante, qu’importe leurs caractéristiques mentales, morales. J’en suis arrivée à penser que plus elles sont garces et plus ça l’excite. C’est important l’excitation pour un obsédé sexuel. Je reste persuadée que très souvent qui se ressemble s’assemble et pour lui, ces multiples compagnes éphémères répondent à l’anagramme connu de Salvador Dali : avidas dollar. Un artiste qui bien que critique de l’esprit qui gouverne le monde commercialise et encaisse les bénéfices sans redistribuer, ni aider de quelque façon même en cas de danger réel. Égoïste, individualiste, intéressé, snob, fondamentalement malhonnête , il est tout à fait logique de le compter au nombre des psychopathes intelligents qui comme vous le savez se rencontrent assez fréquemment dans les strates supérieures des sociétés. J’ai été une des matières premières de ses productions non artistiques, autrement dit un vulgaire produit négligeable de toutes les façons, oubliable, jetable, rejetable, méprisable et pour lequel il peut encore tout nier . Tous les moyens sont bons à l’enrichissement personnel. Quand il mourra, je suggère pour sa satisfaction que ses orifices soient bouchés avec des billets de banque. Et que les saisons à venir lui soient profitables, je doute fort qu’il soit une exception à cette règle qui veut qu’on ne change guère avec le temps de nature. Souhaitons lui toutes les putains du monde et une longue vie ainsi qu’à sa descendance.

Janssen J-J dit: à

@ pas de rêveries sur la vie des autres

Allons donc, ça n’existe pas !… De là à s’empêcher de colporter des ragots, ça, je suis bien d’accord avec cette déontologie minimale pratiquée par tous les erdéliens.

J’ai également discuté avec mon nouveau vétérinaire, qui a reconnu n’être pas très familier des problèmes de gallinacées. Il a trouvé « passionnant » mon diagnostic de l’étrange comportement de Georges. Cela dit, ce vétérinaire n’a pas cru devoir évoquer ses orientations sexuelles, ni moi non plus. A vrai dire, ce n’était pas le sujet. Il semblait vouloir plutôt évoquer un fait divers local qui affecte pas mal la contrée en ce moment, mais nous n’avons pas trop eu le temps d’en débattre, d’autant que je n’éprouve généralement aucune curiosité pour les faits divers nationaux ou locaux, comme prétexte à discussion.

(J. Ex, 31.7.20_9.25 /// le dernier CR des papotages au café de St Malo sont très agréables à lire. Merci, PE il en faut du talent pour les écrire et pour le lecteur, pour en imaginer la prise contextuelle des éclats).

Janssen J-J dit: à

-> Ouh là là… la charge contre Marc (ou D.) !… Quel talent, bérénice. La concentration des psychopathes dans les coches supérieures… c’est vraisemblable. Mais que signifie l’anagramme de Dali ?… je ne le connaissais point. Naturel Abusif, c’était pas plutôt celui de Laurent Fabius, découvert par etalii ?
-> Beaucoup ri, hier, à la riposte de ma soeur à ché plus qui, sur le masque du covid mal placé.

Bàv, – Aujourd’hui, j’attaque le 4e tome des MOT entre deux négo avec le maître d’ouvrage pour la reconstruction de la ferme. Fera moins chaud en principe.

Marc dit: à

Merci Bérénice… Moi aussi je t’aime bien tu sais.
Hihihihihihihihihihihihihi…

JiCé..... dit: à

Vendredi 31 juillet 2020, 9h52

La RdL ? la République des Lutins….

Janssen J-J dit: à

On dit que l’évangéliste Marc était le plus drôle de la bande des quatre, que c’est le seul qui aurait vu le Jésus de ses yeux vu, lors qu’il était très jeune. Pourquoi vouloir usurper l’identité de cet évangéliste, aujourd’hui ? Il s’emm… à cent sous de l’heure dans la boutique de son oasis imaginaire, au sud du Maghreb, mais le voilà bien coincé, ast’heure.
Bàv,

Janssen J-J dit: à

Grillon a oublié de fermer son commentarium. Profitez-en…
Va sûrement m’enlever. Donc, je recopie après un premier échaudage de ce type de perverse pratique.
Je n’aime pas ses « petits papiers », d’une manière générale. Derrière eux, tout ce qu’IL représente comme personnage de musicologiste snob. C’est épidermique. Ne s’explique pas vraiment. C’est ainsi.
_____________
Janssen J-J dit: à Jacques Drillon
« Le pire : Que la police soit de moins en moins mal faite, la technique suppléant l’intelligence ». … risque pas d’arriver un jour, en dépit des désirs de frédéric péchenard (cf. le sottisier de flaubert)

Alice Coffin et le viol du bourdon tueur ?
A vous William-Jay du vendredi,
https://www.youtube.com/watch?v=4PnQkYOt_SM
________________

B dit: à

La concentration des psychopathes dans les coches supérieures… c’est

Vous pourrez rechercher les études produites à ce sujet, il en existe si cela vous intéresse.

Marc dit: à

JJJ,

Je ne vous aime pas du tout.
Vous êtes trop méchant.
Hum !
( Je vous dis cela en mettant mes mains sur les hanches, penaudement, et en arborant une moue boudeuse… Hum !).

et alii dit: à

ce matin, j’ai vu ma dame de la cote d’ivoire, « chez moi » et elle s’est directement « branchée » sur mon ordi;elle, c’est mélanie, fille de militaire et elle raconte aussitôt que son père l’avait mise au couvent,
Q »longtemps? »je lui demande
R »de la maternelle jusqu’au lycée
Q ça vous a plu?
elle ne me répond pas;je sais qu’elle a fait beaucoup de sport, du judo surtout , mais elle retourne à l’ordi où elle voit l’image de tintin et me demande ce que c’est; elle ne connaissait pas; je lui parle de tintin reporter, d’Hergé et lui dis qu’elle n’a qu’à aller à la bibliothèque où on lui montrera (j’ai ouvert la page d’images sur l’ordi pour elle) et où on lui en prêtera.
Mélanie-elle sait ce que « veut dire » mélanie, elle me l’a dit,- est ravie, ne s’attarde pas et me dit qu’elle va aller à la bibli;
merci P.Assouline

Janssen J-J dit: à

@ Vous pourrez rechercher les études produites à ce sujet

M’enfin B, suis tout à fait d’accord avec vous sur ce point !… N’allez pas vous prendre pour etalii pour autant… en emporte le vent, ast’heure. Un comble !

renato dit: à

Il y a des psychopathes partout, pas seulement dans les coches [?] supérieures. Puis les études… vous savez… enfin, je veux bien qu’il y a des diplômés à faire travailler, il ne faut toutefois pas orendre très au sérieux leurs traveaux.

et alii dit: à

mélanie est brutale,et je l’appelle ma judoka, ce qui la fait rire

renato dit: à

Oups ! orendre > Prendre

D. dit: à

JJJ attention à la diffamation. Je ne suis pas Marc.

Janssen J-J dit: à

Il est très sain de détester celles qui percent à jour. Si ça peut aider à s’extraire de son CDBF, tout le monde y gagne un brin, non ?

D. dit: à

Je ne suis pas Marc, Bérénice.
Il va beaucoup trop loin bien que me faisant parfois rire.

B dit: à

renato, regardez le bouquet de nos dirigeants, c’est ahurissant. Quant au reste, sans aborder le versant psychiatrique des dangereux, il faudrait pouvoir éditer un manuel de défense contre la perversité ordinaire et chronique. Une foule de petits pervers se satisfont de minables tentatives d’atteinte, à ce niveau de la société c’est presque une masturbation collective.

Janssen J-J dit: à

@ r. / pourquoi corriger ses propres fautes avec des oups, après avoir fait semblant de jouer aux mouches du coche [?].

@ D. / Je rappelle qu’il n’existe pas de diffamation possible au sujet des mises en cause de pseudos mélangés, ni d’usurpation d’identités à cet égard. Que vous vous preniez pour Aux amandes, Jissé, hamlet ou CDBF 57 ou 75, ou tout autre branleur pérenne de tels acabits (et inversement), n’emporte strictement aucune conséquence juridique pour celles qui s’en amusent un brin. Aucune incrimination légale n’entre dans ces allègres pratiques internautiques, car on chercherait en vain « l’intention coupable ». Quant à la trace d’un éventuel harcèlement dommageable à votre endroit, il faudra vous lever de bonne heure pour le prouver. Une fois de plus…
Bàv,

Janssen J-J dit: à

Il vaudrait mieux évoquer une concentration de pervers narcissiques maléfiques dans les states (ou couches) supérieures des différents pouvoirs (économiques, politiques et culturels).
Que la perversité vulgaire liée au désir de chacun de faire souffrir son erdélien prochain soit répandue dans le reste de la société n’est évidemment en rien incompatible avec ce premier constat.
Suffit de ne pas se mésentendre sur les mots.
Pas besoin des links d’etalii pour accréditer la véracité simultanée de ces deux points de vue, plutôt que de feindre de leur incompatibilité. Voilà ce que je crois.
Laissons la prétendue pédagogie par des copiers-collés pseudo-savants aux imbéciles heureuses qui en ont besoin pour se faire accroire de la vastitude de leur e-culture.
Bonsoir et FMLP.

renato dit: à

Les dirigents, B, sont l’expression du peuple.

Cela dit, il suffit d’observer le comportement de certaines mères, pas du tout dirigentes, au supermarché — observer leur zèle lorsqu’elles aprennent les mauvaises manières à leurs enfants — futurs psychopathes —.

Pour ce qui est des études, vue la superproduction de pochettes surprise, je maintiens : valeur 0.

renato dit: à

Autant en emporte le vol-au-vent.

et alii dit: à

il se trouve que ma kiné a été en Afrique avec ses parents souvent(père prof de sport) et y est retournée après une fois mariée;elle me raconte les réactions des gens à leur retour;c’est plus intéressant et agréable d’écouter des gens qui ont une expérience de terrain que de supporter des erdélien-ne-s qui cherchent à légitimer des haines recuites

et alii dit: à

ma kiné mariée à un médecin qui a travaillé aussi en Afrique, et travaille dans des institutions où elle échange avec des africaines (ma kiné est une française de Provence )

et alii dit: à

sur le monde :
Grand maître marabout, spiritualiste international, praticien traditionnel, éminent prêtre vaudou, désenvoûteur distingué… Son CV suffirait à expliquer son agenda. Mais en plus, l’illustre guérisseur affirme avoir « découvert une tisane contre le coronavirus » qui lui vaut d’être dérangé dans son Bénin profond « depuis toute l’Afrique, mais aussi depuis la France, l’Espagne et l’Asie ». Son remède garantit de détruire le virus en sept à seize jours. « Quatre personnes ont guéri grâce à moi en Italie », assure-t-il.

Lire aussi Au Bénin, les adeptes du vaudou ont leur explication du coronavirus
Sa recette ? « Un mélange de différentes écorces, des racines et… » pour connaître la suite, il faut d’abord payer. « Mes informations ne sont pas gratuites », précise ce grand maître des herbes, qui propose deux options pour la livraison. « Par DHL… Sinon je peux aussi la faire apparaître à côté de votre oreille. » Va pour la deuxième

renato dit: à

Janssen J-J, j’ai de celle du milieux, selon votre definition, le souvenir d’une brave fille qui faisait avec beaucoup d’application ses exercices de contrepoint et qui demandait aux plus anciens si elle avait fait des erreurs car son prof était très strict — une pâte d’homme mais intraitable lorsqu’il s’agissait de conduite des parties.

Et oui, pas de rêveries sur la vie des autres, car cette activité archaïque est l’origine de toutes les perversion de la vie en société — le vivre ensemble, en d’autres mots —, je sais qu’il y a des gens pour lesquelles ces rêveries sont la vie — les sur-interpretants —, et je fait tout mon possible pour ne pas y avoir affaire.

et alii dit: à

des noms pour ceux qui ne peuvent respirer sans nom à dénigrer:(même article du monde)
Sur le continent, les Papa Amavenba sont légion. Leurs petites annonces pullulent sur les glissières d’autoroute à Dakar, les poteaux à Abidjan ou les murs à Conakry. Une multitude de petits billets qui arrivent jusqu’aux trottoirs de Barbès, à Paris, et les recoins les mieux cachés du Web. Partout, le marabout omnipotent, qui en temps normal guérit les maux d’amour par des philtres, résout les difficultés financières par la calebasse et soigne l’impuissance par le sceptre, est depuis quelques semaines focalisé sur la disparition du Covid-19. Désormais, sur les glissières, les poteaux et les murs d’Afrique, la grande guerre contre les hémorroïdes a laissé place à la lutte contre le coronavirus.

Article réservé à nos abonnés Lire aussi Les marabouts, piliers de Barbès
Au Sénégal, à trois heures de vol du Bénin (ou un claquement de doigts par projection de pensée, selon Amavenba), Amadou Lamine Seye, promet « un travail sérieux, rapide et discret ». Sa spécialité, ce sont les versets du Coran, qu’il distribue à 5 000 francs CFA en Afrique de l’Ouest, 15 000 en Europe et 30 000 en Chine.

« J’accepte tous les moyens de paiement sauf les cartes », précise-t-il. Certains l’appellent même du Brésil jusqu’à son village de Porokhane, lieu de pèlerinage pour la puissante confrérie soufie des mourides. Pour lui, « le corona, ce n’est pas difficile à soigner, rien à voir avec l’insuffisance rénale », qui demanderait de nombreuses nuits de prières. Si le Covid-19 s’étend dans le pays, il se tient prêt à baqueter dans le puits béni qui protège la communauté des épidémies de méningite depuis les années 1980.

Janssen J-J dit: à

@ Ne soyons pas cruels, mais restons justes, r… je vous illustre par ce petit segment :

Vous écrivez ceci, et j’y ajoute mes propres oups
[je veux bien qu’il y a (oups) des diplômés à faire travailler, il ne faut toutefois pas orendre (oups) très au sérieux leurs traveaux (oups)].

Si nous pouvions nous épargner nos propres corrections en épinglant volontiers celles des autres, nous aurions fait un grand pas en erdélie. Car c’est la rançon du système passo-doble qui n’a jamais souhaité que nous pussions (oups) nous relire avant de lancer un message. Or, nous aurons beau nous relire dix fois, nous ne verrons jamais la faute qui sautera alors immédiatement aux yeux des collègues, une fois qu’elle nous sera devenue imputrescible. A quoi bon alors les rattraper, on passerait sa vie à maudire son correcteur, comme d’aucun.es ?…
Cette pratique d’auto-affirmation de soi par l’écriture électroniqe est agaçante, une fois qu’on a compris l’esprit… Je sais bien que de tels tics autocorrecteurs sont communs à tous les vieux profs de français qui sévissent icite, mais quand même !… je veux dire à ceux-là même qui ont fait chier des générations de mômes, étant infoutus de leur expliquer, autres que par des contorsions idéologqiues ridicules pourquoi le masculin devait l’emporter sur le masculin, et pouruqoi ils auraient à respecter une règle grammaticale des plus arbitraires ou être dument punis pour cette raison…
On voit où tout cela nous a menés. A des auteures et à des autrices que nous sommes toutes devenues…
Enfin, ne revenons pas sur les sujets qui fâchent, hein, même si on en a un brin gros sur la pastèque et la poutargue. On s’égare.

(2 juin 1833… Tandis que je déjeunais, j’ai lu des leçons qu’une dame allemande, jeune et jolie nécessairement, écrivait sous la dictée d’un maître : « Celui qu’il est content, est riche. Vous et je nous avons peu d’argent ; mais nous sommes content. Nous sommes ainci à mon avis plus riches que tel qui a un tonne d’or, et il est. » C’est vrai, mademoiselle, vous et je avons peu d’argent : vous êtes contente, à ce qu’il paraît, et vous vous moquez d’une tonne d’or ; mais si par hasard je n’étais pas content, moi, vous conviendrez qu’une tonne d’or pourrait m’être assez agréable. »

Bàv,

Janssen J-J dit: à

pourquoi le masculin devait l’emporter sur le masculin

Oulà, le lapsus ENHAUMRE à la relecture !… (mdr)

renato dit: à

Le fait est, Janssen J-J, que mon [?] était vraiment un point d’interrogation, donc pas un [sic].

Nicolas dit: à

Merci Passou, c’est ce que j’avais cru comprendre. Ça doit être bien cool de passer dans des heures dans ces archives. J’ai relu l’autre papier que vous aviez écrit sur Hergé et c’est vraiment passionnant, faut faire acte de pédagogie parce qu’on ne peut pas dire que les gens sont ignorants si ils n’ont pas accès à l’information. En même temps sans doute que beaucoup ne cherchent pas trop à comprendre et tournent le machin pour que ça les arrange, un peu comme Naulleau ^^

Bien à vous

et alii dit: à

pourquoi le masculin devait l’emporter sur le masculin
EN VOILA UN QUI DIT BIEN CE Qu’il met en acte MIEUX QUE TOUT AVEU EXPRESSIS VERBIS; mais on avait déjà compris

Janssen J-J dit: à

@ trop tard etlii, pour faire le commentaire après le mien…

Qu’aviez vous compris au juste ?…, vous la grande suceuse (ou sucette) des lapsus lacacaniens calami-teux ?
Bonsoir & FMLaPine avec votre esclave de la RDC, gorette !

rose dit: à

par des contorsions idéologqiues ridicules pourquoi le masculin devait l’emporter sur le masculin

😀😅😃🤣😄😂😁

Au moins, nous savons à quoi nous en tenir.

et alii dit: à

Par de multiples exemples, souvent comiques, Freud montre comment la motion pulsionnelle refoulée fait retour dans la méprise de parole. Le refoulement d’une motion pulsionnelle, généralement soit sexuelle soit hostile (ou combinant les deux mouvements), est la condition nécessaire à la production d’un lapsus linguae (7).

Freud raconte le lapsus de ce président du Reichtag autrichien qui ouvrit la séance par ces mots: “ Messieurs, je constate la présence de la majorité des membres, et déclare, par conséquent, la séance close.” (8) De toute évidence, le président ne désirait pas faire ouvrir cette séance.

Il cite également une dame, connue pour son énergie, expliquant un jour que “ Mon mari a consulté un médecin au sujet du régime qu’il devait suivre; le médecin lui a dit qu’il n’avait pas besoin de régime, qu’il pouvait manger et boire ce que je voulais” (9). Le “je” souligne qu’il y a un lapsus et que l’inconscient parle. Ce lapsus est proche du mot d’esprit.

Comprendre le lapsus, son intention et sa structure, suppose de dissocier le signifiant ( les sons) du signifié ( la signification). Le lapsus procède de façon involontaire mais manifeste l’intention inconsciente aux dépens de celui qui le produit, comme s’il se trahissait. Le caractère révélateur, voire auto- révélateur du lapsus, contribue aux effets de surprise et parfois de honte qu’il peut susciter.

Le lapsus représente à proprement parler un discours qui est l’expression plus ou moins déguisée d’un désir refoulé, d’un voeu inconscient. Il apparaît très vite aussi que ce n’est pas seulement un discours autocentré, à usage interne, mais un discours adressé à un autre.

[1] S. Freud, Psychopathologie de la vie quotidienne, Paris, Petite Bibliothèque Payot, 1967, p. 219.

[2] S. Freud, L’Interprétation du rêve, Paris, Seuil, 2010.

[3] S. Freud, Le mot d’esprit et sa relation à l’inconscient, Paris, Gallimard, 1988.

[4] J. Lacan, Le séminaire livre V, Les formations de l’inconscient, Paris, Seuil, 1998.

[5] J. A. Miller, “ Théorie de la langue. Adresse au congrès de l’Ecole Freudienne à Rome, le 2 novembre1974 ”, Ornicar, 2, 1974.

[6] S. Freud, Psychopathologie de la vie quotidienne, Paris, Petite bibliothèque Payot, 1967.

[7] Il existe également le lapsus calami qui est l’emploi involontaire d’un mot pour un autre en écrivant.

[8] S. Freud, Ibid p. 72.

[9] S. Freud, Introduction à la psychanalyse, Paris, Petite Bibliothèque Payot, 1961.

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Janssen J-J dit: à

merci rôz, tout compte fait, ce n’était pas un énhaurme lapsus calami, mais bel et bien une certitude. Mon esclaffade perso n’avait pas lieu d’être… Prima facie, on rit de soi. Puis réflexion faite, on se trouve avoir formulé une vérité post féministe des plus profonde (analytique).
Par csqt (prescriptif), d’accord pour nuancer les différents genres de masculin dans le langage et l’écriture, de ne point les opposer aux 50 nuances de roses féminins.
/// Suis très content d’avoir fait une découverte sur moi, ce jour, sans avoir eu recours à la la vulgate freudienne tartalakrème du tout-venant 🙂

Janssen J-J dit: à

Rappelons cette sentence de Michel que j’ai toujours partagée :

« Freud n’est pas un homme de science, il n’a rien produit qui relève de l’universel, sa doctrine est une création existentielle fabriquée sur mesure pour vivre avec ses fantasmes, ses obsessions, son monde intérieur, tourmenté et ravagé par l’inceste. Freud est un philosophe, ce qui n’est pas rien, mais ce jugement, il le récuserait avec la violence de ceux qui, par leur colère, posent le doigt au bon endroit : le lieu de leur douleur existentielle ».

et alii dit: à

tarte à la crème: c’est le TALC qu’on met sur le Q ,e (des petiots) ou pas

et alii dit: à

le talc , c’est ça:
tps://www.cdiscount.com/au-quotidien/hygiene-soin-beaute/johnson-s-baby-bocal-talc-500-gr-talc/

et alii dit: à

faisons rougir
tps://www.cdiscount.com/au-quotidien/hygiene-soin-beaute/johnson-s-baby-bocal-talc-500-gr-talc/

et alii dit: à

et merdre

et alii dit: à

confondez pas le TALC et le (small) TALK

et alii dit: à

L’histoire :
Rares sont les aventures de Tintin dans lesquelles le jeune reporter ne s’est pas frotté aux animaux. L’auteur en fait ici un inventaire exhaustif, classées en 3 catégories. a/ Les animaux de terre : éléphants, rhinocéros, lions, singes et girafes volent d’emblée la vedette dans la savane de Tintin au Congo. Néanmoins, Milou compose certainement « l’animal de terre » le plus connu du 9e art. Sans oublier le gorille de l’île noire, le célèbre Yéti et la réplique culte : « Quand lama fâché, lui toujours faire ainsi »… b/ Les animaux de mer : des sauriens et hippopotames d’Afrique, en passant aux requins factices (ou non) du Trésor de Rackam le rouge et au crabe… aux pinces d’or… c/ Les animaux de l’air : les frères « Loiseau », la pie souvent voleuse (d’une clé dans les 7 boules de cristal et des Bijoux de la Castafiore) et bien sûr les perroquets qui se transmettent de générations en générations les fameuses injures de l’aïeul du capitaine…
TINTIN ET LES ANIMAUX
https://www.planetebd.com/bd/moulinsart/tintin-et-les-animaux/-/1758.html

christiane dit: à

@Janssen J-J et à Rose, à propos de : « tout compte fait, ce n’était pas un énhaurme lapsus calami, mais bel et bien une certitude. Mon esclaffade perso n’avait pas lieu d’être… Prima facie, on rit de soi. Puis réflexion faite, on se trouve avoir formulé une vérité post féministe des plus profonde (analytique). »

Très amusant ce ricochet d’une certitude qui ne veut pas finir au fond de l’étant. Vous vous êtes bien trouvés tous les deux pour sautiller à cloche-pied sur la marelle des mots.
Hergé a fait de même avec les jurons du capitaine Haddock. Comme il a dû s’amuser en les écrivant !

Rose ne peut se faner et JJJ être méchant, Marc a beau redoubler de lancement de fléchettes empoisonnées, il rate toutes ses cibles.
Il reste sur la première page du billet une de ses pensées mode d’emploi :
« Même mes souvenirs d’avenir, je les regrette. » Je crois qu’il marche sur la tête et que c’est dans l’inverse de ses mots qu’il faut trouver sens à ses paroles.

Jazzi dit: à

Hergé ou Hugo Pratt, c’est toujours des histoires de tafioles, Marie Sasseur.
Sous la plume du second, Dieu que les hommes sont (un peu trop) beaux !
Corto baise (une fausse bisexualité qui équivaut à une vraie homosexualité), tandis que Tintin fait éternellement… tintin.
Je n’ai jamais été client de BD, qui s’adresse exclusivement aux ados attardés…
https://www.bing.com/videos/search?q=corto+maltese&view=detail&mid=D4C3C4B2FBC779CE6B14D4C3C4B2FBC779CE6B14&FORM=VIRE

rose dit: à

Christiane
une certitude qui ne veut pas finir au fond de l’étant.

trop bon : vous les convoquez tous, Tobie Nathan, Serge Tisseron, Lacan Freud et Karl Jung ; et même ceux qui n’existent pas.

Comme c jubilatoire parfois ce blog, avec votre fond de l’étant, Christiane …
Étant, suspends ton vol.

renato dit: à

Dans le monde de Pratt les femmes ont toujours été des protagonistes, et souvent beaucoup plus courageuses et déterminées que les hommes. Lire éventuellement Donne d’avventura où Pratt explore les femmes qui ont marqué la vie de Corto ainsi tout le reste de son travail. Images, notes et correspondances privées révèlent les aspects cachées de ces femmes.

https://pin.it/7b6uine

 

et alii dit: à

SUR LE MONDE/
Lorsque Philippe Matron s’est inscrit au camp « Au cœur des hommes », il ne savait pas bien ce qui l’attendait. Trois jours plus tard, ce catholique pratiquant de 56 ans, père de six enfants dont cinq filles, est ressorti transformé de ces moments passés « entre frères » et avec le Christ. « J’ai découvert qu’on ne devient pas un homme grâce à une femme mais par son père ou par des références masculines », dit-il.

Quentin Schaepelynck, 34 ans, lui aussi catholique pratiquant, se souvient de moments très forts où l’on peut se livrer, faire tomber le masque : « J’ai compris quelle était ma place en tant qu’homme au sein de ma famille, dans la société. Y aller, c’était un petit cadeau aux miens. »

« Au cœur des hommes », « Optimum », association Pater… Depuis deux ou trois ans, les offres destinées spécifiquement à des hommes à la recherche de leur masculinité et de leur place dans l’Eglise catholique se multiplient. Comme si une inquiétude existentielle s’était emparée d’eux. Camps, retraites, expéditions, fraternités à l’ambiance « virile mais pas bourrin » sont venus s’ajouter aux quelques pèlerinages des pères de famille (Cotignac, Saint-Michel, Vézelay) déjà existants.

rose dit: à

Autant en emporte l’avenant

lmd dit: à

Jazzi, vous avez un peu raison, le personnage de Corto Maltese a bouffé Hugot Pratt.
Et la série des portraits donnée en lien par Marie Sasseur plus bas, est à ce titre un peu minable.
Il y a beaucoup d’autres dessins plus dignes que ceux là: https://www.bedetheque.com/serie-6894-BD-Sergent-Kirk-Sagedition.htmlL
Et Una ballata del mare salato est un très beau livre.
En tout cas, Hugo Pratt a mieux réussi comme dessinateur que Saint-Exupéry comme aviateur.

et alii dit: à

Le nouvel âge des pères
Chantal Delsol , Martin Steffens

2015

Cerf
NON FICTION
Le plaidoyer de Chantal Delsol a pour toile de fond l’émancipation des femmes en Occident et la relative indétermination du concept de virilité/masculinité/paternité qui en découle.

Chantal Delsol voit dans l’émancipation des femmes depuis le siècle dernier une spécificité de l’Occident et une conséquence de son héritage chrétien. Face à des cultures dans lesquelles les femmes tendent à être soumises car plus faibles, elle lit la revendication de l’égalité avec l’homme et de la liberté comme une réussite inégalée de l’Occident. Contre une tentation humaine et presque naturelle à asservir le plus faible – c’est-à-dire dans toutes les civilisations et à toutes les époques précédentes, les femmes – l’histoire récente de l’Occident apparaît comme une exception qui tend à se diffuser dans le reste du monde . Et les transformations de cette évolution sociale, juridique et morale
https://www.nonfiction.fr/article-7576-comment-etre-un-homme-et-un-pere.htm–

et alii dit: à

ROSEpossible que vous aussi ayez médité avec christiane La traduction française, réalisée par François Fédier, publiée avec retard en octobre 2013, chez Gallimard sous le titre Apports à la Philosophie (De l’avenance) ; elle ne fait pas l’unanimité (voir plus bas « Polémiques »). La version anglaise est disponible sous le titre Contributions to Philosophy (From Enowning) depuis 2000, la version espagnole sous le titre Aportes a la Filosofía depuis 2003.
mais c’est les vacances et le préfère suivre tintin
bonnes vacances, avec amour et joie

et alii dit: à

je préfère

et alii dit: à

art :
The Berlin-based curator Rebeccah Blum died on June 22 at the age of 52. Reports that she had been murdered by her partner sent ripples of shock and pain through the international art world. An American who spent much of her career in Germany, Blum was a multifaceted art-world professional who worked as a dealer and curator and helped develop the careers of artists including Monika Baer and Jorinde Voigt.

Last Wednesday night, Blum’s longtime partner, artist Saul Fletcher, 52, is suspected to have killed Blum in their Berlin apartment before dying by suicide himself. A police report states that an investigation into a violent murder is ongoing, as well as Fletcher’s apparent suicide in their summer home shortly thereafter.

For many close to Blum, the media coverage of her death added more pain to an already horrific tragedy. Initial reports honed in on Fletcher’s “moody” art practice and his accolades, obfuscating the brutal nature of Blum’s killing, as well as her own accomplishments

Jazzi dit: à

Dans le monde de Pratt les femmes sont… des hommes, renato !

Janssen J-J dit: à

« le fond de l’étant… »,
– je le garde itou, sur mon fond d’écran.
Coulos !…
merci, Ch. pour ce bel humour de rebond, et la sympathie de votre message.

renato dit: à

C’est lui qui l’a dit, Jacques, ou c’est votre interpretation ?

Janssen J-J dit: à

@ citation du dieu d’etalii. (Le refoulement d’une motion pulsionnelle, généralement soit sexuelle soit hostile (ou combinant les deux mouvements), est la condition nécessaire à la production d’un lapsus linguae ».

Quand on examine ce texte, son incongruité saute aux yeux du péquin moyen…

1 – En quoi une motion pulsionnelle (que signifie ce jargon ?) d’un refoulement est-elle la condition de la production d’un LL ? On n’en saura jamais rien !

2 – Qu’y a-t-il de commun entre une explication « sexuelle » (?) et d' »hostilité » ? Le péquin moyen aura beau se creuser les méninges, il ne verra jamais rien venir. Ces deux termes accolés l’un à l’autre censément « explicatifs » sont totalement ineptes à défaut d’être incongrus…

3 – Pourquoi un lapsus linguae ? Quid d’un lapsus calami dont il était question icite ? Et si notre brave président avait dit : « messieurs, la séance est close… car je vous le dis, il n’en sortira rien de bon ? » (ce qui était le fond de sa pensée), en quoi le bougre F. devrait-il y voir un refoulement sexuel d’hostilité, à la séance d’ouverture de ce congrès ?…

Et tout le reste à l’avenant… chez ce charlatan et chez les gogo.tes qui croient intelligent de venir nous recopier-coller semblables fadaises éculées. La honte !

Voilà où en est notre abrutie de service, déjà partie à la conquête de nouveaux territoires sur le talc et autres grands n’importe quoi.

Faites la terre !

Janssen J-J dit: à

Manuel Carrère avait essayé de devenir un « pratiquant très fort »… On sait qu’il n’avait pas vraiment réussi son forçage, mais qu’il sut néanmoins en tirer un gros bouquin un peu plus tard… Pas toujours convaincant ce bouquin, mais bien utile pour nourrir la famille…
Merci qui : Mon Dieu…?, ou… ma mère Hélène de m’avoir fait et bien aidé au démarrage ?…

B dit: à

renato, les femmes sont pour certaines débarrassées d’une hyper féminité dans laquelle je ne sais pas trop quoi ranger mais qui me les rend antipathiques. Il me faudrait dresser la liste des éléments que je n’aime pas rencontrer . Pour Corto, ce lien

https://cortomaltese.com/fr/femmes/

Jazzi dit: à

Ma simple impression à la vue de ses dessins et personnages, renato.
Du moins, le peu que j’en ai vu. Les hommes sont toujours dotés d’une beauté virile d’autant plus troublante que féminine. A commencer par Corto, le beau brun au yeux pers. Et le reste à l’avenant.
Les femmes, c’est tout le contraire. Sous leurs artifices féminins, sans moustaches ni barbes, elles offrent des visages semblables aux personnages masculins.

Vous ne trouvez pas une certaine androgynie dans sa représentation idéalisée de l’homme et de la femme ?

Marie Sasseur dit: à

Eh bien la tafiole du blog n’a rien lu, mais sait qui baise quoi.

Moi j’aime bien Corto. La ballade de la mer salée est ressortie chez Casterman, en 2015, avec une trad’ revue et corrigée. Il y a en préambule le témoignage qui historiquement donne du poids à l’ histoire du Moine.
lmd, qui dit l’avoir lu, vous donnera toutes les infos.
Il y avait sur la rdl un vrai lecteur de Pratt… et de Saint- Ex’.
Le défi pour lmd, assis, va être rude…

B dit: à

Jazzi, pas cet album dans mon bazard mais un album graphique est consacré exclusivement à ces aventurieres. Pratt comme tous à développé un style . Parcourez ses portraits de femmes, vous en aurez une idée plus précise. De la vamp à l’indigène.

et alii dit: à

je ne crois pas à la talking cure sur internet avec des zombidextres qui se prennent pour Dieu ,et s’imaginent intéresser quiconque; on dit sur la toile « game is over »;et j’en ai une overdose de tous les erdélien-n-es qui outrepsychologisent

Janssen J-J dit: à

@ C’est lui qui l’a dit, Jacques, ou c’est votre interprétation ?

le pb avec jzman, c’est qu’étant un spécialiste mondain de la gaytude boboïste, il joue en permanence sur un effet « entenduu » parmi sa communauté à laquelle il se défend d’appartenir. Ses arguments restent d’autorité, de gentilles insinuations qui sont un peu des arguments d’autorité. Sur le jugement d’Hugo Pratt dont je ne sais rien, cet aplomb est incroyab’… Et quand des insinuations vont trop loin à son goût, s’en sort par des formules : « j’ai jamais tenu la chandelle »… Bref, si on ose demander des preuves, on passe soit pour un hétéro demeuré, soit pour ou un pédé refoulé. Voilà ce que je constate depuis des plombes à fréquenter les milieux de jazman parmi d’autres…
C’est à vrai dire assez désespérant. Car cela n’évolue pas vite, car ce type d’affaires de cul chez les filles et les garçons fait saliver pas mal de mondes depouis des plombes (comme on dirait en belgik).
Faut faire comme ça avec Jacques, renato…, il a son propre charme et ses propres faiblesses (ou points d’aveuglements), comme tout un chacun, hein !

Marie Sasseur dit: à

Cela dit, je vous emmerde, et poliment; tant que je peux venir commenter billets de Passou et lectures, je reste, comme disait l’autre… allez y.

B dit: à

lmd, j’ai eu une période BD parmi lesquelles les aventures de Corto, ma lecture n’étant pas exhaustive et les souvenirs lacunaires je n’en garde que la beauté et la qualité des dessins et aquarelles ainsi que la captation opéré par l’ensemble. Il me faudrait y retourner.

Marie Sasseur dit: à

Je suis bien heureuse du reste, d’avoir évoqué Hugo Pratt, Z’avaient plus rien à se mettre sous la dent, les clébard-e-s .

renato dit: à

Au contraire de Crepax, Jacques, Pratt était un dessinateur plutôt conventionnel — ce qu explique en partie son succes — ; peut-être pas un choix, plutôt d’un limite — avec tout ce qui va avec. Si vous trouvez le livre dont j’ai parlé plus haut Donne d’avventura, vous povez observer la différence entre l’intention — ou l’idée — et la réalisation. Enfin, pas tout le monde est un virtuose du crayon comme Crepax :

https://blogfigures.blogspot.com/2012/06/guido-crepax-disegna_29.html

Jazzi dit: à

« on passe soit pour un hétéro demeuré, soit pour ou un pédé refoulé. »

Les deux, mon général JJJ !

Janssen J-J dit: à

au fond, la MS dit la même chose,… mais avec son style. La différence, c’est qu’elle est cinglante pour justifier et défendre ses goûts.

Jzmn, je viens de lire qu’après cette prise de positon d’un aplomb incroyab’ sur hugo pratt, sommé de vous expliquer, vous n’évoquez plus qu’une vague intuition fondée sur rien…
Vous rendez-vous compte de la portée d’une telle attitude ?…, alors que vos goûts sont pas mal considérés et désormais consacrés sur la place publique parisienne en général et erdélienne en particulier ?
Bàv,

et alii dit: à

sur ce que les psys nomment plus volontiers « la tache aveugle »
, je cite l’auteur : « l’aporie fondamentale de la pensée, de l’entendement, de la connaissance et de la vie même ». Il s’agit rien de moins que d’inclure dans une théorie psychanalytique de la connaissance cela même qu’elle, cette théorie, poserait comme ce qui fait partie d’elle, de sa mission et qu’en même temps elle doit réussir à poser comme la tâche aveugle propre à son champ de vision.

8Après une première lecture de ce livre, je me suis reportée au livre princeps : Phantasme, mythe, corps et sens pour retrouver le sous-titre de ce livre : une théorie psychanalytique de la connaissance. Une des optiques possibles de la lecture du livre actuel s’inscrirait donc dans cet axe. Ce que re-confirme ma relecture du chapitre intitulé : « L’énigme et le mystère » qui, à son tour, aurait pu constituer le sous-titre du livre dont nous débattons aujourd’hui, où l’auteur écrit : « l’originaire ne peut conduire qu’au mythe et au mystère, au mythe et au myste dont l’originaire n’est qu’un autre nom, un synonyme et qu’il est grand temps d’accorder au mystère ainsi défini sa place non pas résiduelle mais positive dans notre épistémologie psychanalytique » (p. 267).
in Nathalie Zaltzman
Dans Topique 2003/3 (no 84), pages 201 à 206

Janssen J-J dit: à

Comme clébard, je crois avoir encore d’autres ressources à ma dispo. ‘reusement, la mère veille au grain de sa couverture bien à elle.
Il est vrai, concédons-lui, que la plage est longue et le Sureau bin ennuyant… Mais le populo aoûtien débarque, quelle aubaine, va nous rentrer fissa.

Jazzi dit: à

« vous n’évoquez plus qu’une vague intuition fondée sur rien… »

Mes intuitions ne sont jamais vagues, JJJ.
Et lorsque je reste réticent devant l’oeuvre que tout le monde claironne autour de moi, c’est déjà un choix.
Oui, c’est « la beauté » du dessin chez Pratt qui pose problème…
On trouve plus de vérité chez Tom of Finland !

B dit: à

Aujourd’hui, eau à 23, vent de mer, mer trouble. Vers 16 heures distance de sécurité difficilement observable. Des allemands, des anglais, des français en nombre et une petite et curieuse Lisa avec de grands yeux ronds intriguée par le parasol et ma présence. Âge 18 mois.

Janssen J-J dit: à

@ je cite l’auteur

Vous n’en avez pas un brin marre de citer l’auteur ?… ON S’EN BRANLE LE NOEUD OU LE CLITO DE VOS AUTEUR.ES, fmlp !
Enfin brefl, du calme JJJ… Continuez si ça peut vous faire du bien taxifoldingue… Hein !

B dit: à

Jazzi, qui et quoi obligeraient à des oeuvres de vérité, et la part rêvée, poétique ? Tout le monde ne vit pas dans votre ghetto en cuir! Si vous compariez ce qui est comparable ?

Janssen J-J dit: à

On trouve plus de vérité chez Tom of Finland !

Je m’étonnais aussi de n’avoir pas encore entendu la parrallèle…. franchement, mon ami, vous nous parlez de VERITE !… Mesurez vous la portée de vos comparaisons. Ces deux hommes auraient-il couché ensemble par hasard ? Et si nous, quel est le plus VRAI des deux ?
Meuh, vous dérapez grave, ce soir, mon ami..;

(Mes intuitions ne sont jamais vagues !… plus vraies que celles du père Freud, sans aucun doute ?) – La modestie…, mon ami, vous ne savez guère ce que vous dédaignez… j’ai vu les plus honnêtes gens près d’en être accablés…!
Il faut toujours douter de tout et surtout de soi-même, voilà mon humble conseil.

B dit: à

Merci Marie, vous l’astre de l’office de tourisme, sans vous cela bouchonnerait serieux et nous frolerions la panne d’essence. Catastrophe!

et alii dit: à

ça fait has been de parler de branlette sur internet;
vous êtes si has been , tous et toutes , que bonsoir

Marc dit: à

Chaque fois que je fais de l’humour personne ne me comprend et tout le monde me prend au sérieux.
Mon humour est à mon image : Raté.
Pôôôôôôôôôôvre de moi !

Jazzi dit: à

« Il faut toujours douter de tout et surtout de soi-même, voilà mon humble conseil. »

Oui, mais ça c’est dans l’intimité, JJJ.
Pas quand on descend dans l’arène…

Marie Sasseur dit: à

@Il est vrai, concédons-lui, que la plage est longue et le Sureau bin ennuyant… Mais le populo aoûtien débarque, quelle aubaine, va nous rentrer fissa.

Un keuf, reste un keuf, chassez le naturel il revient au galop.

Et alors quoi ducon ? Tu mets tout le monde en garde à vue sur ce blog ?
Tes fantasmes limite, font pitié.
Non, tu n’auras pas pas ma geoloc’. De mémoire, un sur la rdl, avait déjà galéré pour échapper à ta convoitise.

Je reviendrai sur le livre de F. Sureau, sur le billet correspondant. Tu peux compter là-dessus !

B dit: à

#Marc, allons, ne soyez pas si sévère envers vous même vous êtes très très drôle dans ce nouveau rôle. Un comique de situation. Vous etes une acharnée.

Marie Sasseur dit: à

Comment est-on passé de Prisunic à Monoprix, et de Hergé, possiblement raciste par conviction avant de se convertir, à des vieux cons impuissants qui rivalisent sur le contenu de leur slips sur internet ?

Alors que… déjà Passou essayait de démolir une légende…😝

http://www.congopage.com/Quand-Pierre-Assouline-parle-de-La

Ça c’est comme pour la course à pied, soit tu chausses comme les Kenyans, soit tu restes au vestiaire, lol.

Chantal dit: à

Toc toc toc = je lis qu’on parle de l’oeuvre de Pratt , j’ai vu l’an dernier une remarquable exposition de ses dessins à la Hulpe, des planches de ses romans graphiques initiation au rêve et au voyage :

https://www.youtube.com/watch?v=D6-XD1lZqH8

Janssen J-J dit: à

Moi, j’essaie d’être gentil par amour pour l’isolement éclairé. N’ayant aucun goût pour la tauromachie, je ne descends jamais dans une arène comme celle-ci, vu que ce n’en est pas une. Cela dit, n’ai jamais cherché non plus à géolocaliser les génisses moyennes, dieu m’en garde. Je ne fais que plussoyer au blog à passoul. Car enfin, pourquoi nous alarmer avec ce genre de pléonasmes flaubertiens : « Un keuf, reste un keuf, chassez le naturel il revient au galop ») ? A la Bovary, Bove a ri aussi. – B, vous nous mettez renato au féminin ast’heure ? C’est follement gai. – Depuis quelques temps, icite, je suis « déchiré de l’anus », comme a dit mon nouveau coiffeur hétéro de province. – J’aurais jamais cru ça possible, ma crudité et celle des gens, veux-je dire… Finalement, c’est très facile de se lâcher un brin, icite à la rdl… Plus difficile d’être un homme… « qui se contient ». Seules les intelligentes ayant un peu d’homour comprendront mes nuances. J’en suis sûr. Aucun des intelligents d’ici, en revanche, même pas Jzmn que j’aime beaucoup pourtant, l’est plus décevant que JMB, renato, Pat V., Phil, GS’A et Petit rappel réunis, des gars équilibrés sur qui on peut compter…, un peu vifs parfois -, mais pas souvent, hein. D’une manière générale, le féminin sexué et genré l’emportera toujours sur le masculin, même efféminé. C’est ainsi
(haec tamen simul edidit. Pas vrai mon Philippe ?).

D. dit: à

JJJ vous avez fait le 777ème commentaire.
C’est de très bon augure pour vous.

Janssen J-J dit: à

Un brin marre de Bétove, renato ?
Envie de remplacer Langoncet, le soir ?… J’applaudis plutôt deux fois qu’une !… hein. Lâchons nous un brin. Et trinquons à des alcohols plus forts que les gin tonix, nom de dieu, c’est les vacances ! Est-on pas bien, là, décontractés du gland au milleux des taftafs et juste à côté de ma soeur et ses gouines toniques ? (‘ah ah ah, soeur Soupire).

et alii dit: à

« contrairement à ce que l’on pourrait penser, l’« Africain » est un motif omniprésent dans l’art des métropoles impériales du XVIIIe siècle. Mais c’est un motif qui assigne et invisibilise les Noirs, bien avant que les discours et les musées ne les neutralisent ou ne les fétichisent à l’heure du tabou colonial. »in
L’art colonisateur
A propos de : Anne Lafont, L’art et la race. L’Africain (tout) contre l’œil des Lumières, Les presses du réel
https://laviedesidees.fr/l-art-et-la-race.html

D. dit: à

Vous êtes devenu le phénix de ce blog, JJJ.
Le phare, le pilier, le sommet !

Janssen J-J dit: à

Merci D. J’attendais justement votre verdique. Je vous aime beaucoup aussite, sachez-le bien ! Bàv, même si parfois vous me décontenancez un brin. Je peux aller jusqu’à mille avant minuit, si c’est bon signe pour moi et si cela peut délasser etalii de ses collets montés… Dites-moi ce que vous avez mangé ce soir, D…, déjà, cela m’encouragera à affronter Cassiopée, cette nuit encore. Oublié de vous dire que vers minuit, la nuit passée, tout nu sur ma grande pelouse et sous le regard de la lune, de mars, venus et des étoiles, je me suis masturbé avec beaucoup de plaisir, et ai fini par jouir un brin au passage de deux poussières dans l’atmosphère. J’ai émis un voeur pour Ch. et rôz. La rdl n’avait pas entièrement suffi à activer mes fantames, mais avait beaucoup Paidé quand même).
Une expérience estivale enrichissante, somme toute. Après quoi, je n’ai pas eu le courage de retourner aux MOT de Chateaubriand. J’ai pensé qu’il pouvait bien attendre et que notre police devait recueillir de nombreux témoignages sur les violences Faites Zaux Femmes. Débandant… ! Voilà toujours les pensées parasitaires au mauvais moment. Après ça, tu peux aller te rhabiller.

BN à tous.tes,

D dit: à

renato ne vous arrive pas à la cheville.
Il n’est qu’un bellâtre qui n’intéresse aucune des divines créatures féminines de ce blog. Alors que vous vous les agglutinez littéralement.

D. dit: à

Regardez, Bérénice est à vos pieds, implorante. Je vous envie.

Jazzi dit: à

« Il n’est qu’un bellâtre qui n’intéresse aucune des divines créatures féminines de ce blog. »

C’est pas gentil pour et alii, D.

Marc dit: à

JJJ,

Oh la la la !!! Janssen, qu’est-ce qui vous arrive ?!
Vous êtes devenu sympathique, charmant et drôle en plus !
Mais j’vais finir par tomber amoureux de vous moi !!!
Sacré Janssen va…

Janssen J-J dit: à

De ma vie je n’ai lu qu’Equinoxiales de Gilles Lapouge. D’après Martin la Soudière qui le tient en haute estime (il lui a consacré un chapitre entier dans son dernier livre de l’an passé), cet écrivian n’était pas facile en amitié à qui elle n’était jamais acquise pour personne. Apparemment ce gars ne s’aimait pas trop non plus. Il semblait vouloir cultiver l’extravagance et le paradoxe. Quand meurent de telles gens, on se sent toujours bêtement injuste au vu des éloges sous tendant les salutations des chairs froides.. Charchina G. jadis, s’était moquée de moi, car j’avais fait l’éloge d’Equinexiales qu’elle tenait pour une merde sans nom, alors que je persistais à reconnaître qu’il m’avait bien barbé. J’étais à l’époque un jeune con provincial et snoble, trop victime du germanopratisme sévissant dans les journaux cultureux de la capitale. Combien ai-je pu me montrer veule et stupide dans les jugements de ma jeunesse, plus ou moins toujours calqués sur le nouvel obs, le monde et le maglitt… Comme il me fut difficile d’apprendre ultérieurement à penser la littérature par moi-même, de manière moins conditionnée… Heureusement que mon long détour par la socio m’en sauva.
Aujourd’hui, je n’ai plus aucune honte à m’examiner quand j’observe à loisir icite sur quoi reposent les connivences mondaines de la rdl autour des ‘grands’ et des ‘petits’ auteurs (anti lagardetmichardisés)…
Bouh, alors parfois j’envie notre ami D., le seul internaute de la RDL à ne jamais nous parler de ses lectures secrètes.
Bàv,

Jazzi dit: à

« Oublié de vous dire que vers minuit, la nuit passée, tout nu sur ma grande pelouse et sous le regard de la lune, de mars, venus et des étoiles, je me suis masturbé avec beaucoup de plaisir, et ai fini par jouir un brin au passage de deux poussières dans l’atmosphère. »

JJJ se branle en direct et différé sur la RDL !
Madame est partie en voyage d’affaires ?

Janssen J-J dit: à

@ Madame est partie en voyage d’affaires ?

Allons bon !… Au dodo, jzmn, inutile de fantasmer sur notre pelouse à votre tour, hein…

christiane dit: à

Chantal dit: « Toc toc toc = je lis qu’on parle de l’oeuvre de Pratt , j’ai vu l’an dernier une remarquable exposition de ses dessins à la Hulpe, des planches de ses romans graphiques initiation au rêve et au voyage » :

https://www.youtube.com/watch?v=D6-XD1lZqH8

Quel à propos ! « Un romancier qui sait dessiner ». C’est exactement comme cela que je le conçois et ces aquarelles sont fluides et à peine posées sur le papier, on le devine, d’un geste léger. Donc il est aussi coloriste.
Je demandais à Jazzi s’il avait lu cet unique roman qu’il a écrit après avoir créé toutes les aventures de Corto Maltese en BD.
La ballade de la mer salée traduit de l’italien par Fanchita Gonzalez Batlle et édité chez Denoël.
Là, aucun dessin ne vient troubler l’apparition des personnages dans notre imaginaire. Tout vient au fil des mots et l’écriture de Hugo Pratt qui n’est plus hachée par la succession horizontale des images et par ces phylactères qui enserrent les mots (souvent des paroles en style direct).
On entre en douceur dans le roman par Corto Maltese enfant entrant dans le verger de l’orangeraie de la mosquée de Cordoue.
Il ne peut s’empêcher d’écrire « on eût dit qu’un coup de pinceau avait réveillé les couleurs ». Fontaines, chaleur, soleil, fleurs, arbres, une musique qui le bouleverse (la Petenera) et cette rencontre inattendue avec un vieillard et son chat gris, le vieux Miguel, gardien de la Synagogue, devenu aveugle.
« On disait que c’était Maimonide qui le guidait »….
Et Miguel reprend quelques paroles prémonitoires de la chanson :
« …Je veux quitter tout ce monde
Car je pense qu’il en est de meilleur…
 »
Et de cette page, il faut faire un grand bon jusqu’à la page 16 où avec la lame du rasoir il trace sue sa paume sa ligne de chance car il n’en avait pas.
Et sans que le lecteur ait eu le temps de le voir devenir un homme on le retrouve « abandonné au Pacifique, rivé les bras en croix à quatre planches après que son équipage se soit mutiné ».
17 pages pour passer de la tendre enfance au début de cette « Ballade » sur l’océan déchaîné.
Peu à peu on apprend à le connaître, à reconnaitre son visage, son silence. Lui et le fidèle Cranio, un grand Fidjien, fort, sage et prudent qui saura le protéger.
Deux jeunes, Pandora et Caïn, son cousin, rescapés d’un naufrage, seront recueillis sur le même bateau où Corto a trouvé asile (et savon à barbe ce qui permettra de découvrir son demi-sourire ironique et la beauté de son visage), celui de l’affreux pirate Raspoutine, fou et cruel…
Ce n’est pas un conte pour enfant mais un vrai roman d’aventures sur un fond historique rigoureux, qui nous entraîne au long de ces 300 pages.
Un moine mystérieux, très âgé va peu à peu prendre une place importante dans le récit.
Et quand Corto Maltese se raconte à Pandora, voilà ce qu’il dit (p.118) :
« Je suis né dans une petite île de la Méditerranée, une île très loin d’ici qui s’appelle Malte, mais j’y suis né par hasard, ma mère était une gitane de Gibraltar et mon père un marin anglais qui venait de Tintagel, en Cornouailles. […] Tu veux savoir comment je suis devenu un pirate ?
J’aimais bien les boutons dorés de cet uniforme, et puis, dans le fond, je ne suis pas si différent d’eux, nous recherchons tous les mêmes choses, sauf que les uns sont un peu plus fous que les autres, et les plus fous sont peut-être les meilleurs… »
Un beau roman qui pour moi ne nécessite pas la forme bande dessinée même si j’apprécie les dessins d’Hugo Pratt mais il idéalise exagérément son héros et lui donne une élégance un peu trop féminine. Corto est plus rude dans le roman, moins dandy…. Mais j’aime la ligne de ses dessins, son jeu de noir et blanc quand il encre au pinceau ou au gros feutre pour les aplats. Contrairement à Hergé, il crayonne très peu, il dessine toujours directement, de manière très juste certainement à la pointe tubulaire mais comme lui avait une ligne claire. Il aimait travailler les ombres (contrairement à Hergé) et semblait détester les détails superflus. Ses dessins ressemblent à une écriture…

Janssen J-J dit: à

merci renato, vous me l’aviez déjà signalé et je l’ai forwardé à mon tour à plusieurs de mes connaisances qui en furent enchantées. Oui, dans mon entourage, bien des gens n’avaient jamais entendu l’intégralité de la 5e. Ce fut pour elles un début d’apprentissage prometteur.
Ne rougissez pas d’avoir pris à nouveau cette belle initiative. Merci du fond des crans.

christiane dit: à

Quel apropos !

christiane dit: à

un grand bond

l’ombelle des talus dit: à

Jazzi dit: à
« vous n’évoquez plus qu’une vague intuition fondée sur rien… »
Mes intuitions ne sont jamais vagues, JJJ.
Et lorsque je reste réticent devant l’oeuvre que tout le monde claironne autour de moi, c’est déjà un choix.
Oui, c’est « la beauté » du dessin chez Pratt qui pose problème…
On trouve plus de vérité chez Tom of Finland !

Bonne soirée aux mignons et aux vilains aussi.
A Boy Named Sue
https://www.youtube.com/watch?v=ZR5XGTpophI

renato dit: à

« Verité » c’est l’un de ces mots que les gens emploient à tort et à travers.

OZYMANDIAS dit: à

Vivons d’abord et philosophons après, surtout quand on est jeune.
Mais si on est vieux, méditons, méditons humblement sur nos existences et sur nous-mêmes.
La mort nous ressuscitera.

Nicolas dit: à

Ça vous dérange si je vous dis que j’ai loué des groupes électrogènes pour des free party ?

Nicolas dit: à

A part ça j’ai découvert que Passou avait écrit une bio de Hergé. lol

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