de Pierre Assouline

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La République des livres
Le roman de Jean-Paul Dubois prix Goncourt 2019

Le roman de Jean-Paul Dubois prix Goncourt 2019

Le prix Goncourt a été attribué aujourd’hui au roman de Jean-Paul Dubois Tous les hommes n’habitent pas le monde de la même façon publié aux éditions de l’Olivier, au deuxième tour de scrutin par six voix contre quatre à Soif d’Amélie Nothomb publié chez Albin Michel. Des voix s’étaient également portées sur Extérieur monde d’Olivier Rolin (Gallimard) et La part du fils de Jean-Luc Coatalem (Stock). D’autre part le prix Renaudot a couronné  Sylvain Tesson pour La panthère des neiges chez Gallimard. Quant au Grand prix du roman de l’Académie française, il a distingué la semaine dernière Civilizations de Laurent Binet (Grasset).

J’avais déjà dit dans les colonnes de la République des livres dès le 20 août tout le bien que je pensais du roman de Jean-Paul Dubois.

(« Jean-Paul Dubois face à Jules de Goncourt ce matin chez Drouant », Photo Passou)

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française, vie littéraire.

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commentaires

992 Réponses pour Le roman de Jean-Paul Dubois prix Goncourt 2019

Janssen J-J dit: à

non, ce n’est pas sérieux… Edel
Il est inidentifiable. Les sobriquets immunisent, et allez donc vous y retrouver avec Delayoutre, le double en pseudo aveugle ?
La déonto de votre néanmoins ami Passoul lui interdira (de surcroît) à jamais de vous fournir ses deux adresses IP. Le seul service qu’il pourrait vous rendre serait de le « virer » de la rdl, de le « lourder » (j’avais encore jamais osé)… Mais tant qu’il ne s’attaque pas au tôlier, ben non, ça va pas l’faire.
Et surtout, il est trop tard, jacpière, vous n’allez pas nous faire le coup du réveil au viol 40 ans plus tard, depuis le temps qu’il feint de vous z’harceler,le catho mazouthé !…
Il a pas peur
Vous vous ridiculiseriez un brin, un peu comme le furent jeans gros comme devant ui voulurent naguère provouuer un certain wgw en duel et n’en récoltèrent au total qu’un haussement des paules.

Janssen J-J dit: à

marie masseure, vous allez pas vous prendre pour alialo vous non plus, hein !… Déjà qu’elle nous fiche la paix depuis 3 heures, hein !
le vrai classique du vide parfait…, du Tao tö king, hein hein, à la tienne étienne !

Marie Sasseur dit: à

Delaporte, à propos de la tenue de Dubois à la télé, vous ne ferez JAMAIS pire que des critiques parisiens, dont on taira les noms, qui en guise de lecture, regardaient la parka de Houellebecq sous toutes les coutures!

Delaporte dit: à

« Etant donné que Delaporte,sur le blog de Pierre Assouline depuis des semaines, répète toujours les même calomnies sur mmes écrits et que à l’abri de son anonymat, et qu’il s’obstie à calomnier sur ce blog, mon travail de critique littéraire, mes œuvres, et mon travail au « Point », semaine après semaine, j’ai décidé de porter plainte légalement avec l’assentiment de mon éditeur, contre le préjudice que constituent ses calomnies répétées, vérifiables et de poursuivre selon les voies légales celui qui signe Delaporte. »

Mon cher PaulEdel, je pensais que vous étiez davantage doué pour l’humour. Je me trompe, tout en reconnaissant que cet humour contre vous, qui êtes une figure emblématique de ce blog, à la longue doit être pénible, quand on est susceptible. Evidemment que rien n’est sérieux dans la caricature que j’ai faite de vous, et aucun juge ne la prendra en considération. Néanmoins, par considération humaine et respect pour vous, je vous promets d’arrêter ce petit jeu qui n’a certes aucun sens, même pour moi. Les plaisanteries les plus courtes sont les meilleures, et il me déplairait personnellement que celle-ci vous blesse outre mesure. Le fond de ma personalité n’est pas du tout à la bagarre, ni à la souffrance pour autrui. Je suis, en tant que catholique, pour une fraternité entre les hommes, et certes je devrais aller me confesser de tout ce temps perdu à rire, alors que l’espèce humaine demande sérieux et sévérité. Comme circonstance atténuante je pourrais seulement rappeler la phrase du moraliste : Une journée perdue est celle où l’on n’a pas ri. Désormais, nous nous plierons à la loi la plus stricte. Très cordialement à vous, mon cher PaulEdel, et adieu.

x dit: à

En ce moment, France Musique Ph. Cassard, « Portraits de famille » sur Peter Rösel (après le concert d’avant-hier)

Marie Sasseur dit: à

Un siniste cet Edel, il a la grappa mauvaise et des analyses littéraires approximatives.

Delaporte dit: à

Je dois aussi noter que j’avais mis en scène un certain « Popaul ». PaulEdel s’est reconnu dans cette caricature : à la limite, ce n’est pas ma faute. C’est PaulEdel lui-même qui a l’esprit mal tourné. Imaginons qu’il ait eu sa marionnette chez les Guignols des infos, il aurait porté plainte également ? Et Laurent Gerra n’aurait pas eu le droit de l’imiter ? Tout cela est la rançon de sa gloire, en tant que figure emblématique propre à la caricature. La réaction de PaulEdel pose donc la question de la censure : dans une démocratie, on est habitué à exprimer ses libres opinions, notamment à travers l’humour. L’humour est un art, mais apparemment PaulEdel n’apprécie pas en être l’objet, jusqu’à menacer du juge le transgresseur.

Janssen J-J dit: à

mais toi ui a tout lu des liens que tu nous balances tous les jours comme ta cop’ali-allo’l, qui copicolles à tour de bras, tu vas bin nous en faire le résumé, de ta cosmologie du vide au 3e âge neuronal, pas vrai, massssssssee t’heure ?

Marie Sasseur dit: à

Il faudrait résumer des années d’études ?
Non. C’est non.
Sérieux, je plains beaucoup de monde…

renato dit: à

Le vide ? il est question de bouteilles maintenant ?

Chaloux dit: à

Il est évident qu’une prose ridicule tend, à la longue, à faire de son auteur un personnage ridicule.

Janssen J-J dit: à

Il faudrait résumer des années d’études ? Non. C’est non.

Ben voyhons dhonc, feignasse Dubrizole !

et alii dit: à

E.Klein ayant été victime du zèle des médias, ce n’est que le commencement de l’honnêteté de le laisser présenter son travail à son public

Janssen J-J dit: à

… mais tant qu’elle reste Précieuse, hein, pas vrai Pableau ? …

Chaloux dit: à

Anatole…

Janssen J-J dit: à

des analyses littéraires approximatives.

bofl… pas plus pires que celles de Sassoeur et SonfrèreDLP, pour ce qu’on peut lire de leurs fiches, hein.

Je viens de me souvenir avoir été déclarer un vol de portefeuille au commissariat de cette rue à Londres, lors d’un voyage en stop le lendemain de Noël en 1974. Un nom prédestiné !
https://en.wikipedia.org/wiki/Swallow_Street
Il semblerait que ce commissariat ait disparu aujourd’hui.

Janssen J-J dit: à

Bonjour Chaloux, comment vous sentez-vous aujourd’hui ? AU mieux, j’espère.
Je vous adresse mes meilleures amitiés, ainsi qu’à notre amie Ed.

et alii dit: à

le monde sur Klein
Etienne Klein se défend contre des accusations de plagiat
Le scientifique a fait parvenir au « Monde », qui s’était fait l’écho de l’enquête de « L’Express », un texte pour défendre son dernier livre et ses chroniques.

Janssen J-J dit: à

une prose ridicule tend, à la longue, à faire de son auteur un personnage ridicule.

@ DHH, mon affairisme ? euh, mon apophtegme ? heuh… peut-on dire de ça que ce soit là un aphorisme, à défaut de mon aphorisme ?

@MS, je vous donne à titre de comparaison six aphorismes dits de Zurau de qui vous savez, ils datent de 1917-1918. Vous pourrez les recycler dans votre club de fans du 2e âge. Pas de répit pour se cultivateuriser…

1 – Le véritable chemin passe par-dessus une corde qui n’est pas tendue en hauteur, mais à peine au-dessus du sol. Elle semble plus faite pour faire trébucher que pour être franchie. 2

2 – Toutes les erreurs humaines sont l’impatience, une rupture prématurée du méthodique, une clôture apparente de la chose apparente.

3 – Il y a deux péchés humains principaux, desquels découlent tous les autres : l’impatience et la nonchalance. À cause de l’impatience, ils ont été chassés du Paradis ; à cause de la nonchalance, ils n’y retournent pas.

4 – Beaucoup d’ombres de défunts ne s’occupent que de lécher les flots du fleuve des morts, parce qu’il vient de chez nous et conserve le goût salé de nos mers. Le fleuve se hérisse alors de dégoût, inverse son cours et ramène les morts à la vie. Ils sont heureux cependant, ils chantent leur gratitude et caressent les eaux indignées.

5 – Passé un certain point, il n’y a plus de retour. Il faut atteindre ce point.

6 – L’instant décisif du développement humain a lieu tout le temps.

@ Paul Edel, je vous souhaite une belle journée. Ne vous faites pas trop de soucis, hein ! A Belle Ile en mer, il y a encore uelques bouts de plage de sable blanc.

Passou dit: à

A Janssen de 11.51 : Aucune idée…

et alii dit: à

Sérieux,
marie,vous empruntez le tic d’Hamlet!

Janssen J-J dit: à

Passou dit: à
A Janssen de 11.51 : Aucune idée…

Merci Passou pour la réponse un brin éludée (j’ai du mal à vous croire), mais hélas et surtout, j’ignore à quelle heure vous nous l’avez donnée… alors u’apparemment vous restez le seul maître de nos horloges. C’est pas juste pour les erdéliens, et vous le savez. Car vous n’avez toujours pas remédié au problème. Pouruoi ? POURQUOI ?… vouloir ainsi babéliser le nouvel âge de la conversation qui sème à ce point la zazinie, entre zineddine jeanmaire et zizi zidane ? Ouarfl.

rose dit: à

 surtout, j’ignore à quelle heure vous nous l’avez donnée…
JJJ
Avant 16h23.
Là il est 17h36.

Jazzi dit: à

On dirait que Passou nous pousse gentiment vers la sortie ?
Je vous fais mes adieux au cas où…

Delaporte dit: à

« On dirait que Passou nous pousse gentiment vers la sortie ?
Je vous fais mes adieux au cas où… »

Vous voulez dire que ce blog vit ses dernières heures ? Mais où irons-nous ? Où trouver une telle liberté et tout ce qui convient à l’honnête homme d’aujourd’hui ? Ce serait la fin du monde, malgré le temps perdu, souvent.

Jazzi dit: à

« Mais où irons-nous ? »

Quoiqu’il en soit, n’oubliez pas que mon « Goût de la paresse » parait au début du mois de février 2020… (finie l’autopub !)

PS à Delaporte. Que l’on s’en prenne à ta gueule, tu veux bien, mais que l’on s’attaque à ton portefeuille, là, non, jamais !
Tu t’es aussitôt dégonflé.
Tu as dis que tu ne le referais plus, mais tu as oublié de faire tes excuses ?

Janssen J-J dit: à

-< jzmn, voilà deux fois que vous vous inquiétez à ce sujet, votre vie serait-elle amoindrie si la rdl n'existait plus ? Pour ma part, je sais que vous me manqueriez un brin, car je vous apprécie beaucoup, vous le savez.
-< rose, on ne peut rien faire d'une heure aussi imprécise et approximative hélas (par ex. je voulais répondre à l'un de vos textes d'avant hier qui m'avait frappé, mais suis totalement inapte à le retrouver pour essayer d'y répondre correctement)
-< Bon, je viens également de retrouver le titre d'un roman de Jules Verne lu à 14 ans et qui me trottait depuis 50 ans en mémoire. Or je ne parvenais pas à le recapturer à cause d'un encodage défaillant du mécanisme secondaire. Mais les strates les plus ensevelées réémergent, c'est formidable, et ils vont étudier cela dans le protocole auquel j'ai consenti de participer. Il s'agissait donc du Rayon vert, et notamment de ce personnage qui ressemble à s'y méprendre à D., Aristobulus Ursiclos… Vous en souvenez-vous ?
https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Rayon_vert
-< Je pense que Pierre Ass. va nous faire une annonce assez fracassante à la fin de l'année, jzmn, mais pas celle que vous croyez. Chaviré par la publication de votre goût de la paresse, il décidera alors de prendra sa retraite ou de ne pas vous suivre.

Clopine dit: à

Bah, le « aucune idée » de notre hôte répondait simplement, à mon sens, à cette question que vous lui aviez posée, JJJ :

« Bonjour Pierre,
Si vous lisez ce message, sachez ue tous les erdéliens se demandent si votre préface aux pamphlets prévus dans la Pléiade de Gallimard aura plus de chance d’aboutir rapidement par suite de la disparition tout à fait imprévisible de la veuve de l’écrivain antisémite de Meudon.
Merci de nous éclairer, icite ou ailleurs, le cas échéant. Bien à vous,
Bon WE. »

Et c’est déjà bien beau qu’il vous ait répondu, JJJ. IL ne prend pas ce soin pour tout le monde, et fait des distinctions dont on ne sait souvent sur quoi elles sont fondées. Quant à son laconisme, mon dieu, comment lui en vouloir, dans cette pétaudière ?

Autour de ma table, ce midi (ragoût de mouton et crumble aux pommes), le grand chien Pile-Poil était absent. IL a ttotalement traumatisé une amie, la dernière fois qu’elle est passée, et aujourd’hui, elle n’arrivait pas à se décider de sortir de sa voiture. Elle était en larmes quand Clopin est allé la chercher, après avoir bien entendu enfermé le chien. Cela conforte mon opinion qu’il faut absolument canaliser ce chien, l’assagir, l’éduquer. Cela me fait violence, mais je n’ai pas le choix. Je dois devenir la maîtresse d’un beauceron : adieu la douceur, la projection sur la bête d’un compagnonnage fondé sur l’affection. Bonjour la rigueur, le « rien laisser passer », la cohérence extrême. IL m’est aussi difficile d’être autoritaire et cohérente que pour Pile-Poil d’être un gentil chien à sa mémère. Mais c’est aussi une occasion en or de vérifier quelques théories sur l’inné et l’acquis, nom de Zeus. Et j’espère bien que les appréhensions de ma pauvre amie s’évanouiront définitivement, quand le chien montrera qu’il peut être le plus patient et le plus doux des animaux… Y’a du boulot !

Delaporte dit: à

Mon cher Jacuzzi, vous me décevez, à remettre de l’huile sur le feu. Pour moi, l’incident est clos. De toute manière, tout disparaîtra dans le néant ! A commencer par vous, Jacuzzi.

Jazzi dit: à

« deux fois que vous vous inquiétez à ce sujet »

Pour un qui perd la mémoire c’est pas mal de t’en souvenir, JJJ !
Mais j’ai comme une intuition de fin de cycle…

Jazzi dit: à

C’est cornélien, Clopine !
Bon courage.

Clopine dit: à

Delaporte, votre catholicisme dont vous nous parlez à longueur de com’ devrait définitivement vous empêcher de renvoyer quiconque à un « néant »quelconque. C’est antinomique, je vous dis ça je vous dis rien, hein.

C’est rigolo aussi comme vous avez changé de ton depuis que Paul Edel a fait part de sa détermination à porter plainte contre vous. toutes les saloperies que vous lui balanciez à qui mieux mieux, sur sa carrière « puante », sur le mépris que vous adressiez au journal Le Point, tous ces commentaires fielleux, voire ignobles, deviennent pour vous des traits d’humour qu’il faudrait considérer avec le sourire de l’ironie.

Eh bien, à vous voir vous tortiller ainsi sous la menace, tenter déjà de minimiser vos opinions, en appeler à l’humour (!), commencer déjà à abaisser votre pantalon avant même que quiconque vous ait vraiment demandé de le faire, c’est bien entendu l’ironie d’un sourire, et pas plus, que vous m’inspirez, De ma Porte, ma Yourte, et autres pseudos trollesques.

Jazzi dit: à

« commencer déjà à abaisser votre pantalon avant même que quiconque vous ait vraiment demandé de le faire »

C’est ce que l’on appelle une déculottée, Clopine !

Jean Langoncet dit: à

@J’espère qu’Edel ne va pas se ridiculiser au point de mettre ses menaces à exécution

J’espère qu’il va poursuivre avec détermination

Chaloux dit: à

Avec Langoncet, le plus con est toujours sûr.

Jean Langoncet dit: à

Quant à la lopette qui prétend s’appuyer sur Voltaire pour couvrir ses misérables manifestations trollesques … Cul-de-basse fosse suffit à le qualifier, en effet

OZYMANDIAS dit: à

Qu’est-ce qui fait le plus mal ? L’amour ou la solitude ?
Seul tel un stylite perché sur sa colonne marmoréenne et la chérissant comme une amante.

et alii dit: à

abaisser le pantalon? PLUTÖT LE TWEET ROTH (SUR LA REGLE DU JEU)c’est plus fumant!

Chaloux dit: à

Avec Langoncet, le plus sot est toujours sûr.

Paul Edel dit: à

Vous devriez méditer ce qu’est la diffamation publique , Delaporte, et le préjudice moral et économique que je subis par vos propos répétés sur des semaines, concernant mon œuvre,et ma collaboration au » point » – ce journal peut également porter plainte- et enfin mon honneur.

Voici quelques éléments juridiques qui me sont communiqués et après-midi par mon avocat.
« La diffamation publique est un délit de presse, soumis au régime de la loi sur la Liberté de la presse du 29 juillet 1881 et au juge pénal. Le fait que l’infraction soit commise sur le réseau internet, un blog, un forum de discussion, un réseau social, etc. caractérise le caractère public de l’infraction et rend donc possible la poursuite en justice de l’auteur des propos diffamatoires.
Le « préjudice moral » qui atteint la personne dans son affection, dans son honneur ou dans sa réputation est indemnisable. La diffamation peut être sanctionnée « même si elle est faite sous forme dubitative ou si elle vise une personne ou un corps non expressément nommés, mais dont l’identification est rendue possible ».
En matière de diffamation lorsque les propos se rapportent à la vie privée d’une personne, dans ce cas, la preuve de la véracité des faits n’est pas admise : peu importe que les propos soient véridiques ou non, s’ils portent atteinte à l’honneur ou à la considération, ils seront diffamatoires.
Selon les personnes visées (individu isolé, armée et autre corps constitué, administration, ethnie, groupes religieux…) par les propos injurieux ou diffamatoires, la sanction peut aller jusqu’à un an d’emprisonnement et 45.000 euros d’amende. La peine d’emprisonnement peut être portée jusqu’à 5 ans dans le cas de la dénonciation calomnieuse.
Ces condamnations pénales viennent s’ajouter aux dommages et intérêts que l’auteur des propos peut se voir condamner à verser à la victime, à condition de rapporter l’existence d’un préjudice direct et certain.

Constitue une diffamation toute allégation ou imputation d’un fait qui porte atteinte à l’honneur ou à la considération de la personne ou du corps auquel il est imputé. Des faits ou des propos présentés de telle sorte qu’ils laissent supposer que la personne déterminée est responsable d’actes répréhensibles sans aucune preuve à l’appui, caractérisent la diffamation .
L’article 29 de la loi du 29 juillet 1881 définit la diffamation comme le fait de porter atteinte à l’honneur ou à la considération d’une personne par le biais d’accusations infondées. On distingue la diffamation publique de la diffamation privée. Si vous accusez quelqu’un d’un crime dans un SMS, il s’agit de diffamation privée alors que si vous le faites sur un blog ou un réseau social ouvert au public, alors c’est une diffamation publique.
Cet article vous intéressera particulièrement Delaporte.
À savoir : L’utilisation du conditionnel ou le fait de ne pas nommer clairement les personnes visées ne change rien, cela relève toujours de la diffamation.
Si vous êtes victime de diffamation, vous pouvez vous retourner contre celui qui en est à l’origine. Une enquête sera alors ouverte pour savoir qui est l’auteur des propos diffamatoires, sans toutefois s’attacher à la légitimité de ces propos. Il vous faudra relever les propos diffamatoires et réunir toutes les preuves de la diffamation : témoignage, capture d’écran ou enregistrement audio.

Clopine dit: à

Chaloux, vous devriez faire un peu attention, vous aussi. J’ai raconté un jour comment un dindon avait attaqué les yeux d’un tout petit garçon, et comment le père de l’enfant en question, Clopin, avait réagi en tuant l’animal à coups de bâton.

Vous déformez à dessein cette histoire en faisant mine de croire que c’est moi qui ai tué l’animal, par plaisir pervers de voir souffrir les animaux.

Si j’en crois les propos de l’avocat de Paul Edel, c’est juste de la diffamation, et de la plus belle haut.

Si l’on y joint les invraisemblables insultes que vous m’adressez journellement ici…

Qu’en pensez-vous ?

Chaloux dit: à

« la seule mauvaise publicité pour un artiste, c’est le bulletin de décès ».

Charles Trenet.

Chaloux dit: à

Clopine, je raconte cette histoire parce que vous avez légitimé ce crime, en négligent cruellement que cet animal était d’un règne qui ne pouvait pas comprendre pour quelle raison on le mettait à mort d’une manière aussi démente, violente et inhumaine en guise de punition. Votre narration qui doit pouvoir se retrouver était scandaleuse tant vous y marquiez de satisfaction, ce qui est aussi la cas ce soir. Et il est en soi hallucinant que vous n’ayez pas présenté d’excuses publiques après avoir raconté cette chose immonde, mais le fait que vous n’ayez jamais fait amende honorable sur ce point montre quel est votre sinistre niveau intellectuel et humain. Maintenant, allez-y, aucun problème pour moi. Ensuite, j’attaquerai à mon tour, et j’espère pour vous que avez les reins solides. D’autant que je pourrai y intéresser, puisque vous racontez tout cela vous-même, des associations de protection animale tout en informant vos sponsors de vos exploits. Jouez si vous voulez jouer. Dès mardi, je mettrai en ligne un résumé de cette histoire en contactant l’association Brigitte Bardot. Nous verrons bien qui a raison.

Chaloux dit: à

J’en enverrai également copie au conseil départemental de l’Orne ainsi qu’à votre conseil régional, et à vos sponsors qui ne seront pas trop difficiles à trouver.
Pour ma part, j’ai la plume leste, mais je n’ai jamais légitimé ce genre de crime abruti.

Chaloux dit: à

Et dire que quelques vieilles fées d’ici vous ont comparée à Colette. Colette…

Clopine dit: à

Sauf que vous ne m’accusiez pas de prendre plaisir à raconter cette triste anecdote, pendant des commentaires et des commentaires vous avez affirmé que c’était moi qui avais mis à mort l’animal, Chaloux. En omettant bien sûr à chaque fois de signaler que le dindon avait attaqué les yeux d’un enfant. Vous vous parez de la défense des animaux, en faisant mine d’ignorer que je passe ma vie au milieu d’animaux que nous respectons infiniment plus que ceux qui nous entourent, et vont sans problème acheter de la viande de orc en barquette en se fichant bien de savoir comment diable vivent les porcs en question.

Chaloux, vous n’êtes pas crédible pour un rond, et encore une fois, vous devriez faire attention aux termes que vous employez. Et si vous êtes assez fou pour « contre-attaquer » sous forme de plainte contre Clopin pour cruauté envers aimaux, faites-le donc, je vous en prie. Le « crime » remonte à 30 ans…

Je pense que n’importe qui peut comprendre les sentiments du père d’un petit enfant attaqué par un animal plus gros que l’enfant en question. Tout le reste, Chaloux, ne relève certes pas de votre attention au règne animal : vous vous en moquez. Cela relève juste de votre volonté de me nuire. Réfléchissez-y bien, Chaloux. Soigneusement.

Clopine dit: à

Colette aurait embrassé Clopin, Chaloux, si elle avait été là.

et alii dit: à

, et de la plus belle haut.
de quoi s’agit-il ?

Clopine dit: à

d’une erreur, Et Alii. De la plus belle « eau », évidemment.

Chaloux dit: à

Clopine, vous avez choisi de raconter cette histoire abjecte publiquement. Je l’ai lue il y a dix ans, depuis dix ans j’y pense souvent et elle ne cesse de me scandaliser. Il y a dix ans qu’à chaque fois vous la légitimez. Un homme peut aimer ses enfants, mais il peut aussi réfléchir, être sensé et ne pas tuer une bête à coups de bâton. Quant aux animaux que vous adorez, vous les envoyez à l’abattoir où ils sont tués, je l’espère, un peu plus proprement que par votre Clopin.
Cette hideuse anecdote est scandaleuse et le regard que vous portez sur elle vous montre dans toute votre sinistre cruauté et votre sotte inconscience. Ce n’est pas moi qui vous nuit, vous n’avez besoin de personne, c’est vous même. Que votre incommensurablement orgueil n’accepte pas qu’on vous le dise est une autre question.

Quant au reste, il y a ici des milliers de posts qui montreront assez bien comment vous traitez les autres.

Chaloux dit: à

A mon avis, Colette aurait pu embrasser Chopin. Mais votre Clopin, j’ai un doute. Après qu’il lui eût raconté cette histoire, elle lui aurait tourné le dos.

Clopine dit: à

Non, Chaloux, nous n’envoyons pas nos animaux à l’abattoir. C’est un tueur qui vient tuer nos moutons, et je vous garantis qu’il fait ça dans le plus grand respect des animaux que nous élevons.

Quant aux milliers de commentaires où j’aurais insulté et calomnié les gens dans l’intention de leur nuire, montrez-les moi, Chaloux, je vous en prie.

Vous prenez décidément votre cas pour une généralité, et vous abusez de ma patience.

Chaloux dit: à

Clopine, agissez, mais dans tous les cas je vous conseille d’éviter de me menacer. Ce que je dis, je vais le faire. On verra bien ce qui en sort.
De plus si vous légitimez ce crime, vous en êtes complice. Vous y connaissez-vous un peu en droit?

D’autre part, une femme qui ne serait pas vous, une femme avec un cerveau qui lui servirait à autre chose qu’à se contempler en extase à chaque heure du jour et de la nuit, aurait pu délicatement enlever le bâton des mains du pauvre hère sans conscience avec lequel elle vit et éviter cette hideuse mise à mort.

Clopine dit: à

Et évidemment, Chaloux je ne doute pas une seule seconde qu’à la place de Clopin, vous auriez laissé crever les yeux de votre enfant, plutôt que de tuer le dindon en question. Ben voyons.

Clopine dit: à

Et je ne vivais pas avec Clopin à l’époque, je l’ai rencontré trois ans plus tard, et c’est lui qui m’a raconté l’histoire, il en tremblait encore, et je vous plains sincèrement, Chaloux, je vous plains.

Chaloux dit: à

et vous abusez de ma patience.

Ma pauvre fille…

Quoiqu’il en soit, les frais de justice coûtent très cher. Trouvez-vous des sponsors!!!

Mais je vous garantis que vos menaces auront des suites.

Chaloux dit: à

Ma pauvre fille, vous déraillez. Un dindon c’est comme un esprit, ça se maîtrise.

Marie Sasseur dit: à

Je ne sais pas du tout si celui qui a écrit ça a été poursuivi pour diffamation et préjudice moral et pécunier.
Il en a mis une sévère à un roman Goncourt, de 2003?

« Qu’importe l’intrigue puisqu’il n’y a ni langue ni style pour la soutenir. Juste des mots, d’une banalité scolaire, en rang d’oignons, des  » il y avait  » qui signent l’absence d’écriture, et nul relief. Chaque chapitre écrit comme on fait des colliers de nouilles. »

Marie Sasseur dit: à

C’est dur d’être un z’éro.

Chaloux dit: à

Quoiqu’il en soit, cette histoire sera sur les réseaux sociaux dès cette semaine. On verra bien ce qui en sortira. Je crois, Clopine, que c’est vous qui serez rapidement à plaindre.

poussière dit: à

Et mort aux cons comme disait ma grand-mère

oui, qu’ils crèvent

Jean Langoncet dit: à

Bécassine, vous singez la liberté d’expression, et pour cause

Clopine dit: à

Je parie que vous n’en avez jamais vu, de dindon, Chaloux, (à part évidemment quand vous vous regardez dans la glace). Que vous ne savez pas faire la différence entre une oie de guinée et une oie de Lorraine. Que vous n’avez jamais eu de volaille à nourrir , dont il faut prendre soin, que vous n’avez jamais vidé une étable ou un poulailler, ni nettoyé une écurie. Que vous seriez bien incapable de vous occuper d’une troupée de moutons. Ni d’apprendre à un simple âne à tirer une carriole. Ni à faire vivre ensemble de grands chiens et des chats. Je me demande si vous avez déjà construit un abri pour chouettes effraies… Ni d’ailleurs vous savez à quoi exactement elles ressemblent. Ni protégé la moindre chauve-souris… Je ne vous interroge pas non plus sur votre abonnement, ou non, au journal « la Marmotte » (le plus lu dans les terriers), ni si vous avez fondé une quelconque association de défense de l’environnement, qui organise des sorties nature et des opération sde sensibilisation à l’observation de la nature. Ni évidemment remis en question, en quoi que ce soit, votre mode de vie et vos habitudes de consommateurs. Ni fait le rapprochement entre ce que vous achetez et la destruction des habitats naturels de ces animaux que vous prétendez aimer.
Vous n’avez évdiememnt jamais lutté pendant toute votre vie pour préserver la vie sauvage, ni réintroduit les castors dans certains cours d’eau de France. Vous n’avez pas non plus engagé la conversation avec des bergers, ici et ailleurs, pour tenter de trouver une solution de cohabitation entre les troupeaux et les loups. Vous n’êtes pas non plus, que je sache, celui qu’on appelle dans le coin quand il s’agit de convoyer un animal blessé à l’association d’Allouville. Vous ne savez d’ailleurs pas ce que c’est exactement, qu’Allouville. Vous n’avez pas, dans vos archives, des milliers et des milliers de photos animalières? Vous n’avez pas non plus réalisé de documentaires pour défendre les abeilles, et pas seulement apis mellifica mais aussi toutes les abeilles sauvages. Vous n’avez pas non plus un jardin et des prés exempts de tout produit chimique depuis quarante ans, qui permettent d’accueillir encore des papillons comme le grand Flambé qui n’existe plus ailleurs. Vous n’êtes pas capable de gérer quoi que ce soit de plus altruiste, de plus généreux, de plus intelligent et de plus sensible que votre abonnement internet qui vous permet de venir déverser ici vos insultes à mon égard (entre autres). Et bien sûr, bien sûr, vous vous permettez de venir dire ici que j’ai tué un dindon avec un maximum de cruauté, et pour mon plaisir pervers, déformant ainsi le récit à loisir, et vous permettant de venir calomnier quelqu’un que vous ne connaissez pas, à qui vous n’arrivez même pas à la cheville, et dont les mains intelligentes, habiles, savantes et si profondément humaines ont fait naître une demeure entourée dont vous salissez, par vos propos calomnieux, et le projet, et l’harmonie.

Continuez à jouer du piano, Chaloux, je vous en prie. Et laissez Clopin vivre une vie si exemplaire que vous ne pouvez même pas la comprendre.

Clopine dit: à

Je suis tellement en colère que j’en écris des conneries. Ce n’est pas la marmotte, mais la Hulotte, évidemment. Clopin y est abonné depuis le premier numéro… Et nous avons toute la collection.

Marie Sasseur dit: à

Histoire d’ambiancer.

Un procès littéraire en règle.
La fin est grandiose.
Je ne sais pas si c’est mérité, quoique les scènes de « baise » de l’autre côté de part et d’autre du rideau de fer ont l’air bien glauques..

« Le roman s’écrit par juxtaposition de notes accolées les unes aux autres dans l’attente qu’un écrivain, un jour, s’occupe d’elles. De Brecht, on a droit à des morceaux de vie morte (comme ces peaux qui traînent au fond des baignoires). Un ânonnement en forme de curriculum vitae :  » Il se souvenait des premiers mois de l’exil au Danemark. (…) L’époque des soirées parmi les pins, les criailleries des enfants, les verres levés, la longue table de chêne sur l’herbe, les  » peuples frères « , les amis artistes qui revenaient de Moscou, les chansons à boire.  » (p. 64) Il arrive que ce zapping rapide tombe, sinon sur le Canal + du samedi, du moins sur le M6 du dimanche :  » il avait (…), relevé la robe de cette magnifique brune, tiré négligemment l’élastique de son soutien-gorge.  » (p. 64) La chair est triste et Amette a écrit ce livre, hélas.
L’auteur, par ailleurs, ponctue ses scènes de tics de scénariste qui sont comme ces épices qu’on donne à des plats sans goût. Tels des fondus au noir de cinéma, des descriptions de ciels où  » défilent  » (on défile beaucoup dans ce roman) des nuages de carton-pâte, sonnent le tic-tac des horloges dans les maisons de retraite. Et même Berlin, balafrée par la guerre, Berlin centre du monde, devient un lieu commun où s’enlise la lecture. Sous la plume de Jacques-Pierre Amette, voici ce que la ville offre au regard :  » des gens parlaient, des voitures passaient, des manteaux circulaient.  » À lire ça,  » des gens  » s’endorment. »
Et c’est l’heure, non?
Bonne nuit.

http://www.lmda.net/din/tit_lmda.php?Id=22041

Chaloux dit: à

Lire vos tartines me fait chier, Clopine, je déteste votre prose. Mais j’ai passé le plus clair de mes vacances en Dordogne et en Corrèze dans des cours de ferme presque jusqu’à l’âge de vingt ans, en pleine campagne, et on s’occupait des animaux, des moissons etc. Dès que j’ai pu le faire j’ai renoué ce lien avec la campagne. Cessez de vous croire un exception, d’autant que vous habitez aux portes d’une ville. D’après vos écrits lamentables, votre Clopin n’a rien dans le citron, vous étiez faits pour vous rencontrer. S’il vaut mieux que je ne crois c’est que la hideuse et sinistre bêtise de votre plume le salit et le fait passer pour une brute immonde, un demeuré incapable de se maîtriser, un pauvre hère qui vous aurait ramassée je ne sais où pour ne plus être seul. Cessez d’en parler, vous lui rendrez service.

Chaloux dit: à

Moi, je ne suis absolument pas en colère. Je m’amuse.

Clopine dit: à

Ah, ça, qu’est-ce que je peux l’entendre aussi : les vacances à la campagne ! Je sais tout, parce qu’au mois de juillet chez Mamie j’allais cueillir les fraises…

Vous les sucrerez bientôt, les fraises en question, Chaloux. Franchement, vous êtes hideux, le savez-vous ?

Chaloux dit: à

ce sont mes trois  » P  » du style Amette.

Il faut pardonner Nourrissier qui a l’époque était déjà un vieux monsieur.

Le saviez-vous, il existe un épisode des Cinq dernières minutes…. Pas avec Souplex, tout de même, tout ce qui est exagéré est insignifiant. mort d’homme.

Clopine dit: à

Mais de quel côté est située la perversion, si tout ceci vous « amuse », Chaloux ? Si déformer le récit d’une mise à mort d’un animal dangereux n’est pour vous que le prétexte à vous tenir les côtes ?

Chaloux dit: à

Je vois, Clopine, que vous avez les mêmes mœurs que Blabla. Dès qu’on vous sort un adjectif vous le réutilisez aussi sec. C’est très laid. Vous devriez vous offrir un dictionnaire. Mais c’est vous qui êtes hideuse, ma pauvre fille, un être sans conscience.
Et Proust, où en êtes-vous? Maintenant que vous venez d’apprendre? Ô stupeur, qu’il avait écrit des nouvelles, dix ans après avoir publié UN LIVRE sur lui, les avez-vous lues? Au moins.

Clopine dit: à

Sans rire, Chaloux ? Vous venez ici déclarer que vous allez porter plainte pour cruauté envers un animal, et vous déclarez ensuite que tout cela vous « amuse » ?

Moi, ça ne m’amuse pas, Chaloux.

Pas du tout.

Du tout.

Chaloux dit: à

Un dindon, un animal dangereux. Ma pauvre. Votre Clopin doit être bien chétif… Si votre bien-aimé a pu le tuer à coups de bâton ne pouvait-il pas simplement l’éloigner? Cet horrible crime ne peut être défendu. Vous n’avez décidément rien dans le cigare.

Laissons cela. Je vous dis à mercredi où cette navrante anecdote trouvera sa place au niveau national.

Clopine dit: à

tiens, c’est idem pour Proust, Chaloux : diffamation.

Allez chercher une seule ligne signée de moi où j’aurais affirmé avoir « écrit un livre sur Proust ».

Bon courage dans vos recherches.

J’ai écrit un livre sur ma lecture de « la Recherche du temps perdu ». Je ne suis pas la seule : plein de gens, une fois ce livre lu, ont eu besoin de témoigner de leur lecture.

Je n’ai JAMAIS écrit un livre sur Proust. Ca, Tadié l’a fait, et avec des moyens et une intelligence dont je ne saurai m’approcher.

Mais vous allez, vous allez, répétant à l’envi que j’ai écrit un livre sur Proust sans l’avoir jamais lu…

Seriez-vous complètement con ?

Chaloux dit: à

Je vous assure, Clopine, que ce crime atroce, perpétré par un crétin, me hante depuis des années. Au bas de chacune de vos pages, dont on pourrait du reste fort bien faire l’économie, il y a pour moi une flaque de sang.
Ce qui m’amuse, ce sont vos menaces de pécore et les suites que je vais y donner.

Clopine dit: à

Oh, le joli petit projet, Chaloux. Alors, on va se mettre d’accord. Dans un enclos, vous serez installé, avec à peu près autant d’atouts que peut en avoir un enfant de deux ans et demi. Vou erz donc entravé, placé au ras du sol, dans l’incapacité de courir vite, de raisonner ou de simplement comprendre ce qui se passe.

Et puis on va introduire dans l’enclos un gentil gentil dindon, avec bec acéré, pattes costaudes, et un mâle, bien sûr, autoritaire et belliqueux.

Et on va vous laisser gérer gentiment la situation, puisqu’il ne s’agit en aucune manière d’un animal dangereux.

Pas la peine d’appeler Clopin à la rescousse, évidemment. Ce criminel psychopathe est en train de prendre son pied à torturer deux-trois animaux. Il ne saurait donc vous venir en secours… Puisqu’il n’y a aucun danger, en plus.

Chaloux dit: à

Ma pauvre fille, pauvre Clopine, écrire sur La Recherche, c’est écrire sur Proust. Il faudrait avoir tout lu et relu pendant des années, connaître à fond la Correspondance, les textes de jeunesse, les témoignages, pour se faire une idée de ce que bien être ce grand roman. Mais vous n’avez aucune éthique intellectuelle, aucune conscience même de ce que peut être ce grand livre, juste un incommensurable orgueil. Vous croyez qu’en ignorant tout il est possible d’émettre un avis. C’est pour le moins de l’imprudence.
Mon ironie sera comprise de tout homme d’esprit. Là-dessus aussi, je vais produire un texte.

Chaloux dit: à

Laissons cela, Clopine, laissez-moi vous hisser jusqu’à la gloire. Vous en avez toujours rêvé? Je veux exaucer votre vœu.

Chaloux dit: à

Même chose, Clopine, vous voulez qu’on s’écharpe sur J.D. mais vous n’avez lu aucun de ses livres. Moi si. Vous ne savez rien, vous ne lisez rien, et vous voulez parler de tout.

Clopine dit: à

Mais je n’ai pas d' »avis » sur Proust, Chaloux, je n’ai pas votre outrecuidance ! Je témoigne d’une lecture, je veux convaincre mes amis des plaisirs -plus que des plaisirs, des bienfaits- que l’on peut retirer d’une lecture de la Recherche, et ma posture est on ne peut plus modeste…

Bon, de toute façon, vous êtes tellement englué dans la mauvaise foi, et l’incapacité à légitimer vos postures monstrueuses, que vous voilà aussi immobilisé qu’un pauvre hère engoncé dans un sable mouvant.

C’est le moment de lâcher le dindon, non ?

Clopine dit: à

J.D. ? Jacques Derrida ? Excusez-moi, Chaloux, mais vous êtes de plus en plus confus…

Chaloux dit: à

qu’un pauvre hère.

Encore? Mais vous n’avez donc pas de vocabulaire à vous?

Pour le reste, vous feriez rire n’importe qui au bout de votre chemin. C’est bien d’ailleurs ce qui vous arrive. Ce que vous croyez être « une posture monstrueuse », c’est un peu rigueur, une qualité qui n’est pas pour vous.

A la semaine prochaine.

D. dit: à

Pourquoi dites-vous que Clopin est un criminel psychopathe, Clopine ?
De pareilles affirmations sont très graves.

Jazzi dit: à

On se croirait dans Les Plaideurs, tout le monde veut son procès !
ça va encore enrichir les avocats…

Chaloux dit: à

D-R.I.L-L.O-N.

Clopine, pauvre vieille brouillonne, vous oubliez tout d’une heure l’autre. Vous devriez consulter. Vous ne vous souvenez même plus de vos posts du jour. Avec un bon traitement, vous trouveriez les autres moins « confus ».

Chaloux dit: à

De pareilles affirmations sont très graves.

La pauvre fille est tellement confuse qu’elle va finir par porter plainte contre elle-même.

Clopine dit: à

Ah mais non, Chaloux. Vous pensez depuis dix ans au dindon, vous voyez avec une douleur extrême son sang de martyr venir ponctuer chacun de mes commentaires, et, non content de vous en amuser, vous prétendez que vous alles passer le dimanche (car « la semaine prochaine », c’est juste après-demain, soit un peu moins de 48 heures sans rdl, je conçois que cela soit long dans le vide de votre vie mais relativisez, que diable ! Vous allez pouvoir nettoyer au moins deux étables dans la splendide exploitation agricole que vous gérer en souvenir de vos été d’antan !) vous allez passer le dimanche, dites-vous, à oublier la criminelle que je suis…

Vous plaisantez ?

Au pied, Chaloux, au pied.

On hait quelqu’un, ou pas. Une haine quelconque, cette horrible passion triste dont je suis heureusement dépourvue, demande au moins autant de temps qu’un témoignage sur la Recherche du temps perdu.

Si l’on vous en croit.

Chaloux dit: à

Quand un pauvre type ne peut pas conserver son sang froid en présence d’un dindon, on se réjouit pour lui qu’il n’ait pas eu à faire la guerre.

Pour le reste, CF La Comtesse Fritouille.

Clopine dit: à

Ah ou, Jacques Drillon, que vous méprisez, évidemment, Chaloux…

Vous connaissez tellement à fond les mécanismes du mépris que je me demande où vous les avez appris. Je subodore que, encore plus que chez Dostoïevski, c’est en vous regardant dans la glace que vous avez testé le truc. Y’avait de quoi, bien sûr, m’enfin vous auriez pu aussi y apprendre à accepter tout simplement d’être un être humain.

Même aussi démuni en face d’un simple dindon inoffensif, Chaloux.

On vous en veut un peu de paniquer pour si peu, vous savez.

Parce qu’il n’y a pas de quoi.

Chaloux dit: à

« Au pied ».

Ma pauvre vieille, votre frustration sociale obsessionnelle n’a d’égale que votre présomption.

Clopine dit: à

Oui, je me suis mal exprimée Chaloux, vous avez raison.

Au dindon.

Restons-en au dindon, voulez-vous ?

Sans rire, cela vous colle tellement à la peau…

Qui doit être tout aussi rougeaude, flétrie, ridée que celle du cou de ce noble animal, si peu dangereux qu’on l’installe dans son lit, et qu’on le caresse tendrement…

Chaloux dit: à

Pauvre pécore, ce n’est pas un numéro comme toi qui va me faire paniquer.

Résumons.

La semaine, je mets un texte sur l’histoire que tu as publiquement racontée (j’ai une tonne de captures d’écran). Avec évidemment toutes ses suites et tes plus récentes menaces.

Je balance sur les réseaux sociaux, J’envoie à qui de droit.

Lundi prochain -à tout prendre mardi-, pour toi, c’est la gloire.

De quoi te plains-tu?

Chaloux dit: à

Sans rire, cela vous colle tellement à la peau…
Qui doit être tout aussi rougeaude, flétrie, ridée que celle du cou de ce noble animal, si peu dangereux qu’on l’installe dans son lit, et qu’on le caresse tendrement…

Ma pauvre, j’ai pitié de ta face de Maritorne. Je ne la reproduis pas.

Clopine dit: à

ben, pas la peine, Chaloux : vous l’avez déjà fait, avec une photo qui certes ne m’avantageait pas… Vous êtes donc aussi mesquin qu’imbécile ?

Clopine dit: à

Et que les appendices des dindons rappellent désavantageusement les sexes d’homme, ce n’est pas moi qui y ai pensé la première, savez-vous, pauvre Chaloux.

Chaloux dit: à

Etant donné la misère de votre niveau intellectuel, pauvre Clopine, il est très probable en effet que vous n’avez jamais rien pensé la première.

Clopine dit: à

Tout provient d’ailleurs peut-être de là : votre posture gonflée à l’hélium du mâle, du vrai… Peut-être de petites faiblesses de ce côté-là, que vous tentez de masquer par le mépris et ce goût de la procédure, cette outrance, cette « flaque de sang » à laquelle vous pensez à chacun de mes commentaires ?

Il faudrait imaginer un Chaloux puceau, balourd et langue pendant, entreprenant maladroitement une jouvencelle ayant hélas ses règles. Voyant rouge, mi-paniqué mi-butor, l’impétrant aurait renoncé inconsciemment à ses (déjà faibles) qualités de discernement, et aurait basculé incontinent vers les contrées balisés du machisme et de la mauvaise foi…

C’est une hypothèse, bien sûr.

Chaloux dit: à

Clopine, vous pouvez imaginer tout ce que vous voulez. Je fais copie d’écran sur copie d’écran. Votre prose sera lue à l’audience.
Pour le reste, si vous êtes un laideron, et c’est le cas, je n’y peux rien.
Et puis personne n’est moins macho que moi. C’est un idée que vous vous faites et qui va bien avec l’univers arriéré dans lequel vous évoluez, enfermée que vous êtes dans une vilaine campagne -je connais-, et enchainée à un quasi bestiau à moitié fou.

Clopine dit: à

« un quasi bestiau à moitié fou » : mais arrêtez donc de parler de vous quand vous essayez de qualifier les autres Chaloux. Ca se voit beaucoup trop, que vous connaissez bien le sujet…

Chaloux dit: à

Craignez qu’un jour, Clopine, pris de démence, votre compagnon au regard si doux ne vous poursuive pour vous frapper avec un bâton, vous prenant pour une dinde.(J’ai déjà vu une dinde, et même bien plus).

Hurkhurkhurk!

Clopine dit: à

Ah, et puis, que c’est délicieux ce « personne n’est moins macho que moi », ce cri du coeur du mec qui ne s’est jamais vraiment interrogé, ni remis en cause en quoi que ce soit, qui s’est toujours autojustifié, admiré, dédouané !

Bien sûr, vous n’êtes en rien déterminé ni par votre appartenance sociale, ni par votre sexe, ni par votre statut, ni par votre âge. Vous êtes juste le type sur terre horrifié par les insupportables souffrances qu’on exerce sur le pauvre animal accusé (injustement, bien sûr) d’être un danger potentiel pour un sale moutard issu de pervers assoiffés de sang.

En plus, ce pauvre animal est un dindon.

L’animal qui va droit à votre coeur, Chaloux. Votre âme-soeur. Votre alter ego, si définitivement exempt de toute dangerosité. Votre frère, pour qui vous saignez…

Un autre vous-même.

Clopine dit: à

je n’ai encore jamais parlé de « regard doux » de Clopin, Chaloux. et pour cause. Il y a là comme un acier.. Là, comme partout ailleurs quand vous parlez de moi, vous avez tout faux. Une des caractéristiques de ce Clopin est d’avoir un regard bleu. Que beaucoup de personnes trouvent froid.

Il faut être dans son intimité pour savoir que ce regard peut s’adoucir. Sinon, je vous le garantis,seriez-vous le plus beau des dindons, le plus magnifique de la basse-cour de Clopin (mais vous n’êtes définitivement pas au niveau), vous ne vous y frotteriez pas.

Enfin, je vous dis ça parce que j’ai un peu pitié de vous, petit Chaloux défenseur de dindon.

Avec beaucoup de farce autour.

très très sincèrement : passez votre chemin. Les mains de Clopins, larges et rudes, ne se sont jamais dressées, au moins à ma connaissance, comme des armes. Néanmoins, je serais vous, je ne titillerais pas trop là autour.

Chaloux dit: à

En plus, ce pauvre animal est un dindon.
L’animal qui va droit à votre coeur, Chaloux. Votre âme-soeur. Votre alter ego, si définitivement exempt de toute dangerosité. Votre frère, pour qui vous saignez…
Un autre vous-même.

Du pur Colette. C’est évident.

Lu par cette écrevisse bouillie, Proust doit faire des loopings dans sa tombe…

Chaloux dit: à

très très sincèrement : passez votre chemin. Les mains de Clopins, larges et rudes, ne se sont jamais dressées, au moins à ma connaissance, comme des armes. Néanmoins, je serais vous, je ne titillerais pas trop là autour.

« Au regard si doux », c’est Hugo, pauvre bille tout le monde sait ça, sauf toi.

Et évite vraiment de me menacer. Je vais te faire vendre ta baraque.

Jean Langoncet dit: à

@tout le monde sait ça, sauf toi.

ça vaut une main de Clopin sur le blair, juste pour savoir

Chaloux dit: à

Les mains de Clopins

Ils sont plusieurs. C’est Moche Neige et les sept nains.

rose dit: à

Je me mettrais bien là au milieu, mais j’ai peur de m’en prendre une.
Je viydrai savour si on a kangé le dindon.

Chaloux dit: à

Langoncet, aussi con que boumou. Sans doute tous deux les fruits des mêmes immémoriaux incestes. Une spécialité régionale.

rose dit: à

Je voudrai savoir si on a mangé le dindon.

rose dit: à

Non c’est le sourire

Mon père, ce héros au sourire si doux,
Suivi d’un seul housard qu’il aimait entre tous
Pour sa grande bravoure et pour sa haute taille,
Parcourait à cheval, le soir d’une bataille,
Le champ couvert de morts sur qui tombait la nuit.

Hugo

rose dit: à

Je voudrai aussi savoir si Clopinexa crié, lorsque le petit a eailli être éborgné oar le dindon.

Jean Langoncet dit: à

@Une spécialité régionale

Faut vous faire à l’idée, ça va finir par arriver ; nos régions ont du talent

rose dit: à

J’ai été préemptée pour etre jurée d’assises.
Pas encore choisie.
Je préférerai être juge d’instruction.

Chaloux dit: à

Si on y a mangé le dindon?

T’es pas folle non!

JAMAIS!

« Le dindon » est un sexe féminin peu poilu. (A soixante trois ans, ça doit pas être la forêt vierge).

exemple: Ses cris s’intensifient et deviennent plus graves quand je tape au fond du dindon

Clopine dit: à

Rose, bravo !

Je n’en sais rien moi-même, au fait. J’interrogerai Clopin (parti pour une enième soirée-débat autour de notre film sur l’abeille, qui est programmé à tant d’endroits en France que j’en perds un peu le fil). tel que je le connais, c’est pas impossible qu’il l’ait en plus bouffé, le dindon.

Sauf que si l’animal se révèle comme ressemblant un peu trop à Chaloux, il est définitivement imbouffable.

Si vous voyez ce que je veux dire, Rose. Pâteux, sûr de lui, et stupide.

Chaloux dit: à

Pauvre crétin de Langoncet, pauvre chose molle dégénérée, viens donc y voir.

rose dit: à

rose dit: à

Je voudrai aussi savoir si Clopine a crié, lorsque le petit a failli être éborgné par le dindon.

Pourtant, j’ai de nouvelles lunettes. Mais là, je porte des anciennes ; j’les aime bien, elles sont roses.

Jean Langoncet dit: à

@viens donc y voir

La Volvo chinoise et la Sologne d’antan pour un Thanksgiving franchouillard ? No thanks, j’ai de l’allonge pour maintenir à distance les facheux

rose dit: à

J’ai encore quelques questions à poser.
J’ai eu un poulailler. Poules, coq, pintades (systématiquement bouffées oar le renard, déli-ci-euses les pintades) un dindon, mais c’est effectivement très laid un dindon, à quoi ça sert puisqu’on ne le mange pas ?
J’ai eu un couple de paons, aussi, albinos, qui se sont reproduits.

Jean Langoncet dit: à

@je ne vois toujours rien

C’est vous qui le dites, cul-de-basse-fosse

Chaloux dit: à

Langoncet c’est boumou après une hémorragie cérébrale. C’est dire si ça fait peur.

Jean Langoncet dit: à

Tout parvient, même en région

rose dit: à

Ce n’est pas de la rigolade
par Jeune-Amateur &co

C’était la mère des miens ? 
Tu dois être très triste car moi aussi mes 4 dindons me suivent et courent derrière moi.
Ma dinde blanche vient vers moi le soir, je lui fais un câlin, elle ferme les yeux et se couche sur moi

J’ai ma dinde noire qui fait du bruit quand elle respire, et éternue (ou tousse) de temps en temps.
Elle est debout avec le groupe et a le bec propre.

J’ai peur. C’est les symptômes de quoi ?
Je lui donne quoi ?

Bérénice dit: à

On n’a pas, désolée.
Quelle ambiance ici!

Jean Langoncet dit: à

@c’est inquiétant

Ne manquait plus que vous ; c’est rassurant pour le survie du plancton local

Jean Langoncet dit: à

la > le

Chaloux dit: à

Il est évident que tout animal, y compris le dindon, peut être extrêmement attaché à celui qui s’en occupe. Il suffit de le considérer comme un être. La Cloquepine nourrit des animaux, soit-disant dans le plus grand respect, les fait tuer, mais ne les connait pas. Il n’y a qu’à voir ce qu’elle disait naguère des chèvres (« il n’y a pas plus bête qu’une chèvre »). C’est évidemment totalement faux. Quand elle aura fini d’apprendre à lire, qu’elle se procure donc le livre sur la chèvre de Marie Mauron. Mais Marie Mauron était un être sensible et intelligent qui ne croyait pas qu’elle savait tout comme l’inepte pécore brayonne qui hante Céans.

Jean Langoncet dit: à

@Langoncet, vieil étron pourri, je t’assure qu’à l’heure qu’il est je ne te vois pas.
Prends sur ton RSA et viens me voir.

ça sort d’où, ça ?

Petit Rappel dit: à

« de la diffamation de la plus belle haut », c’est une coquille, et on peut vous la passer,Clopine, car on en lit bien d’autres sous des plumes que je ne citerai pas. Mais quand vous faites descendre Drillon de Pierre Lombard, certes nommé le Maitre des Sentences, mais avant tout philosophe du Moyen age commenté par Saint Thomas d’Aquin, on est en droit de penser que vous parlez une fois encore de ce que vous ne connaissez pas ,ou, au mieux, maitrisez mal

Clopine dit: à

Chaloux, mais arrêtez une seconde d’avoir tout faux ! J’ai parlé en ces termes des moutons, pauvre type ! Les chèvres, justement, j’en ai toujours voulu, et Clopin a toujours, pour de solides raisons, dit « non »… Bref. Tout faux, comme d’hab’

Chaloux dit: à

Tournier a très bien réussi dans le genre. Son Journal extime est un must. J’espère qu’on pourra lire un jour ce qu’il a laissé dans ses cartons.
Un curieux silence l’entoure depuis sa mort (je ne parle pas de celui du tombeau, évidemment).

poussière dit: à

désolé peut-être pas assez mégalo

on fait tache, forcément

Clopine dit: à

Pour une fois, je vais vous donner raison, Marc Court. Je maîtrise mal voire pas du tout, Pierre Lombard. Je suis juste tombée sur lui au hasard de lectures annexes, et j’ai noté dans ma mémoire ce titre « le livre des sentences », car c’est un si beau titre qu’à mes yeux, quelque soit le contenu, nous avons à faire là à un véritable manieur de mots. Pour trouver un titre pareil, veux-je dire. J’ai fait un tout petit peu mon Et Alii : partie d’un mot : « sentence », j’ai rebondi jusqu’à ce que ce mot m’évoquait, sans grand souci de cohérence.

C’est une forme de légèreté qui, je vous l’accorde, Monsieur Court, ne risque jamais de vous arriver à vous. Car vous êtes si précisément si grisou qu’on s’ennuie autant à vous répondre sincèrement qu’à lire vos questions si platement dénuées d’imagination.

Chaloux dit: à

Mais non, vieille pécore, tu parlais des chèvres, ça m’avait suffisamment choqué. Tu devrais consulter pour la mémoire. Tu cours vers Alzheimer…

Petit Rappel dit: à

Bp, je vois que le mot précédent tombe dans une énième scène Chapine-Cloloux. Titre proposé: le Dindon! (Arrangement possible avec les héritiers Feydeau!)

Chaloux dit: à

Petit rat-pelle, votre humour est poussif. Cloquepine la Boldoclopine, qui est grande spécialiste du vit, vous dirait certainement que cela vient probablement de vos érections problématiques.

Jean Langoncet dit: à

@(Arrangement possible avec les héritiers Feydeau!)

De fines lames !

Chaloux dit: à

Cloquepine la Boldoclopine « le livre des sentences », car c’est un si beau titre qu’à mes yeux, quelque soit le contenu, nous avons à faire là à un véritable manieur de mots.

A la question : peut-on être aussi con?
La réponse est oui.
Comment est-ce possible?
Pas de réponse humaine.

Chaloux dit: à

Petit rat pelé, j’ai oublié de vous demander : où achetez-vous les fantastiques chemises à gigantesques carreaux et à large col que vous exhibez lors de vos prestations? Je m’apprête moi-même à donner quelques conférences et je voudrais avoir l’air aussi péquenot que vous, ça ferait plus sérieux. (J’ai déjà le béret! Chouette, non?)

Jean Langoncet dit: à

@(J’ai déjà le béret! Chouette, non?)

Veiller à l’harmonie du gourbi (sont pas mignons tous les cinq ?)

Chaloux dit: à

Cloquepine nous avons à faire

Elle doit y être encore.

On a affaire à…

Chaloux dit: à

Ta gueule Langoncet, tu n’es qu’un demeuré.

et alii dit: à

la cohérence,cocloriclopine, c’est que je trouve impardonnable d’être aussi emmerdants que vous, aussi prévisibles et toujours fonctionnants; c’est impardonnable; vous tuez tout désir et ,le comble, c’est que ce n’est même pas par l’expression du vôtre ;

Petit Rappel (et divers!) dit: à

Theatre de La RDL
« Je veux bien O Chaloux être parfois poussif,
Mais, ne seriez-vous point, vous meme, répétitif?,
Répétée en tous lieux votre Boldoclopine
Amusante au début, à la fin assassine!
Je passe par pitié (O Temps suspends ton vol!)
Sur l’usage éternel de votre paimpopol.
Faut-il comme Delaporte que vous radotiez?

Chaloux
Ah traitre, tu me gardais ce coup pour le dernier! »

Petit Rappel dit: à

Clopine
Merci de le reconnaitre.
MC
PS Notre Dame, suite.
De source bien informée, les travaux de Notre dame devraient (enfin) repartir avec le début du fonctionnement dans quelques jours de la structure chargée de reconstruire le monument.
Il est temps comme l’a fait comprendre à deux reprises par voie de presse l’architecte des monuments historiques chargé de la cathédrale . Quand on sait la discrétion à laquelle est tenue la profession, on se dit qu’il y a vraiment péril en la demeure. Ou EN LA CATH2DRALE;

Ed dit: à

Très envie de lire le Goncourt 2019 (mais encore plus La panthère des neiges !).
En attendant, je vous emmène en Afrique du sud.
Amitiés à JJJ. Et je vous salue depuis la très belle ville de Dijon.

https://wp.me/p9Bjyn-4B

et alii dit: à

votre problème -quand vous prétendez ne pas comprendre comment je « fonctionne », c’est que vous voulez me manipuler pour m’amener à penser, dire
or votre système d’emprise,comme votre principe de dénigrement en guise de critique me dégoû-
-tent; et je n’éprouve pas de sentiment d’amitié pour vos stratégies et vos ruses;
avec etienne Klein on a vu à quoi ça menait,alors que l’intérêt d’une video est de permettre d’apprécier comment il enseigne (sa réputation de bon enseignant est notoire et suscite des jalousies -oui, j’ai été l’écouter dans des rencontres-)mais vous agressez qui met une video, vous accusez un article en lien dont l’argument est équilibré d’être une tartine,mais vous voulez faire admettre un charabia plus ou moins scatologique comme une « signature »éclairée en savoirs « psy » de surcroît
:non, je n’adhère pas à votre communauté , et la quitterai vite s’il le faut;personne ne s’étonne de l’absence de christiane:qui était la première à chercher à voir d’où venait ce désir de vous quitter; elle ne me retiendrait certes pas mais elle vous éclairerait peut-être sur vous qui projetez à tort et à travers vos questions, de préférence sur des gens qui les ont « surmontées »;
donc, bonne orthographe, fine psychologie , et prospérez bien;moi,je lirai les billets en
http://www.jacqueslanciault.com/2016/11/04/art-public-liseuse-rose-aimee-belanger/

Marie Sasseur dit: à

Pourquoi le poulet, heu le dindon, a-t-il traversé la route ?

Merci Et Al.

E. Klein nous/me fait regretter tout ce temps perdu en cours de philo, avec un prof que tout le monde chahutait parce que son incompétence, son intelligence ridiculement circonscrite aux rêves freudiens, était le phénomène logique qui entraînait cette conséquence.

Il faut voir/écouter la différence.

https://youtu.be/eYJCrfLYabA

Marie Sasseur dit: à

« j’ai décidé de porter plainte légalement avec l’assentiment de mon éditeur, contre le préjudice que constituent ses calomnies répétées, vérifiables et de poursuivre selon les voies légales celui qui signe Delaporte. »

En ce jour du seigneur, entre ici Edel, avec tes mouettes mazoutées, ta vague qui vient s’ecraser sur une plage toute pourrie, ton journal météo foireux qui n’annonce jamais que du grain nauséabond, alors qu’il fait beau.

Car il est dit:

« Seigneur, écoute la justice !
Entends ma plainte, accueille ma prière.
Tu sondes mon cœur, tu me visites la nuit,
tu m’éprouves, sans rien trouver. »

Bon dimanche Delaporte.

rose dit: à

Bon dimanche à tous, présents et/ou absents

https://youtu.be/qgCPIAHME8s

Une mère qui a transmis le rythme à son fils.
Être et être.

Affectueusement,
rose

et alii dit: à

Les vertus anti-inflammatoires et sans effet secondaire du « tsontso », une plante locale malgache
Tianarilalaina Tantely, Andriamampianina, Université d’Antananarivo

Les données empiriques sur l’utilisation du « tsontso » ont montré que cette plante malgache est plus efficace que les médicaments anti-inflammatoires. Qui plus est, elle n’a pas d’effet secondaire.

et alii dit: à

EXCUSE? Je vous confie une « idée » qui me semble folle qie j’ai eue en écoutant Klein lorsqu’il parle de Paoli et JUNG ? ET LE PASSAGE DU 3au 4 parce que c’était la « marotte » de Dumézil et un peu de Lacan, ce passage du 3au4.
c’est ma première fois que je l’entends raconter par Klein ,avant l’histoire du délire de Paoli et de sa psy avec JUNG?et sa folie des nombres;j’ai recherché mal et vite sur internet si je pouvais avancer mais je crois que je vais donner suite à ce « délire »comme « source » voilà vous ne pourrez plus dire que je n’ai rien partagé avec vous en temps réel

et alii dit: à

UN EXEMPLE/
Un jour, il dessine au tableau, pour la première fois, les quatre membres de sa famille. Je l’en félicite chaleureusement, en insistant sur ce qu’il sait : il sait compter jusqu’à quatre, et il sait se compter comme Un parmi les siens, s’inscrire, s’écrire, trouver sa place.

et alii dit: à

CE QUE J4AVANCE EST BIEN ATTESTE
l’inconscient sur sa voix à quatre temps, c’est-à-dire inverser ce qu’on nous fait croire négatif en positif, et confondre les imposteurs de l’inconscient psycho-philosophique qui est le déni de l’inconscient, tel que l’ enseignent Freud et Lacan. Pour cela, il faudra réapprendre à savoir, réellement, compter jusqu’à quatre, chiffre qui, selon Pythagore, représente la justice, la justice absolue, la justice commune, la justice naturelle, la vraie. C’est une question d’oreille. Ce chiffre quatre permet d’accéder à la bien heureuse topologie de l’inconscient. Il est le nombre minimum pour la création du langage topologique comme de toute langue codée. Le chiffre 4 s’écrit avec seulement trois traits, le quatrième est invisible, tel l’ob-jet petit a, absent de ce monde, ou, la face toujours cachée de la lune.

Janssen J-J dit: à

@ pom pom girl, (en direct de Soweto, à vous Cognacq-Jay)…
Merci pour le clin d’œil et le signal de votre nouveau billet dijonnais, Ed. Si vous rencontrez mon amie Sophie P., à Fontaines lès Dijon, au pied de la petite église du village, embrassez-la de ma part. Il y a longtemps qu’elle ne m’a plus donné de ses nouvelles.
Vraiment rafraichissant votre papier matinal, au vu de l’atmosphère pluvieuse d’icite dempuis hier au soir.
Je n’en avais pas pris conscience au début, mais je constate aujourd’hui, avec un peu de recul qu’il y a chez vous, d’une façon générale, quelque chose de vraiment sympathique qui tient, je pense, à la sincérité de votre foi dans la capacité de la littérature à « édifier » son lecteur, et surtout, moins banalement, à ne pas craindre de montrer comment cette ‘aventure’ renouvelée à chaque billet vous arrive personnellement. Je trouve cela très rare et vraiment courageux. On aurait bien sûr envie de rebondir sur chacun des billets… Et présentement, rebondir sur deux des conclusions qui vous ont marquée dans ce roman sud africain, juste pour le plaisir d’entamer la discussion… Dans l’absolu, par exemple, OK pour l’idée que « personne n’appartient à personne », mais pas OK du tout pour celle selon laquelle « se sentir intégré nulle part, c’est être à l’aise partout ». Discutable, mais à quoi bon en discuter, hein ?…
Si vous me le permettez, je pense qu’il manque un mot à la 4e ligne de votre 2e paragraphe. Et je ne suis pas sûr d’avoir bien compris le sens de : « indemne d’une balle dans la jambe puis dans la tête de son ex mari ». A part de ça, tout va bien. Et je vous félicite à nouveau. Car vraiment, je n’aurais pas le courage que vous déployez à nous faire pénétrer aussi gratuitement dans l’univers de vos lectures. Il y a là, je trouve, une vraie générosité. C’est une grâce et une chance pour nous autres, toujours avides et curieux du plaisir des internautes affiliés à ce blog… Et peu importe vos motivations rélles au fond, le résultat est là, c’est toujours (en soi) un très beau cadeau qui nous est offert.
Bien bonne journée, pom-pom girl… [ you permit ? I hope 🙂 }.

Janssen J-J dit: à

@ Une mère qui a transmis le rythme à son fils.

ah mais moi j’y ai vu le futur mari qui danse avec sa promise… Bon je sais, j’ai toujours l’esprit un brin mal tourné… Mais enfin, comment être sûr de la bonne version, r. ?

et alii dit: à

, la voix performative de l’inconscient, pareille au Dao du Dao Dé Jing dont les 81 poèmes forment le plus beau commentaire du Livre des Transmutations des quatre bases topologiques du Yin et du Yang).

D. dit: à

Quelle panthère des neiges, Ed ?

Ed dit: à

JJJ merci infiniment pour ces gentillesses. Vous avez vu juste : chaque billet est pour moi l’occasion de partager mes aventures de lecture. Le mot est exact. Quand on a une passion que personne ne partage autour de soi, il reste la blogosphère.

et alii dit: à

LA QUESTION DU 4est posée à LACAN EN Belgique;ah, ces belges ils voient tout , ils ont de ces histoires, tintin chez le psy ,
Le chiqué, n’est-ce pas l’artifice ? L’artifice vise au beau, mais ce qui est beau, c’est la démonstration ; prenons le chiffre 4 dans les propositions non démontrables, on en dit : élégant ! belle démonstration !

rose dit: à

Ed

Oui, oui
passion que personne ne partage autour de soi, il reste la blogosphère

Hélas, on ne peut y inclure le repassage.

rose dit: à

si je pouvais avancer mais je crois que je vais donner suite à ce « délire »comme « source » voilà vous ne pourrez plus dire que je n’ai rien partagé avec vous en temps réel

Merci beaucoup et alii

et alii dit: à

évidemment, c’est que le billet précise trois prix!

et alii dit: à

Lacan écrit encore, après avoir raconté un(deux!)déguisements de Goethe:
Le système quaternaire si fondamental dans les impasses, les insolubilités de la situation vitale des névrosés, est d’une structure assez différente de celle qui est donnée traditionnellement – le désir incestueux de la mère, l’interdiction du père, ses effets de barrage, et, autour, la prolifération plus ou moins luxuriante de symptômes. Je crois que cette différence devrait nous conduire à discuter l’anthropologie générale qui se dégage de la doctrine analytique telle qu’elle (305)est jusqu’à présent enseignée. En un mot, tout le schème de l’Œdipe est à critiquer. Je ne peux pas m’y engager ce soir, mais je ne peux pas pourtant ne pas essayer d’introduire ici le quart élément dont il s’agit.
n’oubliez pas quu’un cartel lacanien, c’est quatre personnes!

Chaloux dit: à

Jean-Paul Dubois :Ce qui différencie les hommes, c’est le temps, et d’en avoir donne une responsabilité. La mienne est de ne pas écrire des choses médiocres, sans prétendre à la littérature.

On ne saurait mieux décrire ce qu’est devenu le prix Goncourt. De littérature, point.

et alii dit: à

voilà, je divulgache en langue internet ce qu’enseigne LACAN dans ce texte essentiel:
Tout cela aboutit au quatuor mythique. Il est réintégrable dans l’histoire du sujet, et le méconnaître, c’est méconnaître l’élément dynamique le plus important dans la cure elle-même. Nous n’en sommes ici qu’à le mettre en valeur.

Le quart élément, quel est-il ? Eh bien, je le désignerai ce soir en vous disant que c’est la mort.

lmd dit: à

Autre Klein, autre vide, à Krefeld (chez Mies).

et alii dit: à

un conseil de P.SMITH pour retrouver le sommeil:
In the disorienting midst of the 2016 election news cycle, when “an insidious insomnia” slowly begins to claim her nights, Smith resorts to an old mental game by which she tricks herself to sleep — a kind of shadow theater of the mind, inspired by Herman Melville and reminiscent of a Zen parable.
https://mail.google.com/mail/u/0/#inbox/FMfcgxwDsFkFrPjFlRMldsMmSCrXtVbg

et alii dit: à

comme le savent tous les scientifiques:
La bouteille de Klein n’est possible à représenter dans l’espace ℝ3 (l’espace à 3 dimensions) que si l’on accepte qu’elle se traverse elle-même ; aussi, aucune réalisation que l’on peut voir de la bouteille de Klein n’est « exacte ». Dans ℝ4, il est par contre possible de la réaliser sans auto-intersection (mathématiquement, on dit qu’elle possède un plongement (immersion injective) de classe C∞ dans ℝ4).
sur wiki

Bloom dit: à

Lucette Destouches, la seconde épouse de Louis-Ferdinand Céline (…) est morte vendredi 8 novembre (…)survivant 58 ans à l’auteur de Voyage au bout de la nuit.

Voilà une survie (une survivance?) qui aura duré plus longtemps que bien des vies.

renato dit: à

Dōgen : « Ne faites pas un étant de tous vos forces. »

Bérénice dit: à

Jean Langoncet, soir_ lu votre réplique. Deux lectures possibles. 1_ oui vous avez raison de craindre une pollution , si un de ces paquets d’extra pure se déchirent. Au Japon, des sacs de déchets radioactifs se sont envolés avec le typhon. 4 n’avaient pas été retrouvés. Ne sais trop ce que la coc allongée de leau de l’océan pourrait avoir de nocif pour l’environnement . Pour le moment il ne faudrait pas que cette drogue tombe dans les mains de n’importe qui, dangereuse d’après les analyses parce que pure. J’imagine que gendarmerie s’ active pour ramasser les quelques dizaines de kilos si ce n’est plus qui remonteront avec les marées et courants.
2 _ vous aurez remarqué que je n’interviens plus n’ayant que peu ou rien à poser dans l’encadré. Je reconnais que mon fond s’ appauvrit s’il a deja reussi ( j’en doute fort) à susciter un intérêt quelconque.

D. dit: à

Ce soir je mange des spaghettis à la carbonara.

Bérénice dit: à

Des nouvelles de  » bagatelles  » pour des obsèques fleuries?

et alii dit: à

In Transit: Neil Gaiman Reads His Touching Tribute to the Lonely Genius Arthur Eddington, Who Confirmed Einstein’s Relativity
a lanky quiet teenager who would grow up to be the great English astronomer Sir Arthur Stanley Eddington (December 28, 1882–November 22, 1944) and who would catapult Albert Einstein into celebrity by confirming his relativity theory in his historic eclipse expedition of May 29, 1919.
video
https://www.brainpickings.org/2019/10/29/in-transit-neil-gaiman-eddington/?mc_cid=e1d5b57c2f&mc_eid=efbe7cdc7e

et alii dit: à

stanley EDDINGTON
Stanley — as his mother and sister always called him — learned the multiplication table before he could read and tasked himself with counting the letters of the Bible. By the age of ten, this unusual child who was and would remain very much his own person had observed most of the sky with a 3-inch telescope his headmaster had loaned him.

At twenty, after winning a series of mathematics competitions and scholarships, Eddington entered Trinity College, where he was immediately immersed in the cult of Newton. His peers would later remember him as extremely quiet and reserved, exuding formidable powers of concentration.

et alii dit: à

gaiman:
There is no photograph, not one,
that shows the mind behind the eyes.
He saw the stars behind the sun.

Not with a sword, or knife, or gun,
a simple picture severed ties.
He found the many in the one.

Light bends around us. So we run,
as gravity reclassifies
the stars we saw behind the sun.

To see the world beyond the skies,
to know the mind behind the eyes,
To find the many in the one
he showed us stars behind the sun.

et alii dit: à

ça devrait intéresser renato
For more wonder and beauty from The Universe in Verse, savor astrophysicist Janna Levin reading “A Brave and Startling Truth” by Maya Angelou, “When I Heard the Learn’d Astronomer” by Walt Whitman, and “Planetarium” by Adrienne Rich, Regina Spektor reading “Theories of Everything” by the astronomer, poet, and tragic genius Rebecca Elson, Amanda Palmer reading “Hubble Photographs” by Adrienne Rich, and astronomer Natalie Batalha reading “Renascence” by Edna St. Vincent Millay.

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