de Pierre Assouline

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La République des livres
Moïse et Jude, des hommes, rien que des hommes

Moïse et Jude, des hommes, rien que des hommes

« …s’il a d’ailleurs jamais existé…  si Moïse il y eut jamais…». On trouve ces phrases dans Moïse fragile (276 pages, 22 euros, Alma).  « …peut-être… pourquoi pas… » figurent dans Vie de Jude, frère de Jésus (386 pages, 22,90 euros, Albin Michel). N’y voyez ni excès de prudence, ni principe de précaution, ni facilité rhétorique, ni stratégie pour ratisser au plus large vers un public que la foi a déserté si elle l’a jamais habité. C’est simplement que Jean-Christophe Attias et Françoise Chandernagor, chacun avec les moyens qui lui sont propres, ont avancé dans l’inconnu avec des repères éblouissants.

L’un et l’autre font leur miel d’une tradition historico-critique de l’exégèse biblique qui remonte au XVIIème et n’a jamais cessé, avec des pics de scandale comme en 1863 lors de la parution de la Vie de Jésus de Renan, même si elle est devenue beaucoup plus sereine. Leurs livres peuvent être lus aussi comme deux tentatives de renouveler la biographie, genre qui s’épuise lorsque le domaine est profane et se perd le plus souvent en hagiographie lorsque domine le sacré. Celui de Jean-Christophe Attias figure d’ailleurs dans la sélection pour le prochain Goncourt de la biographie

Quel beau titre que Moïse fragile !  Son titre dit déjà l’essentiel du projet de l’auteur, titulaire de la chaire de pensée juive médiévale à l’Ecole pratique des hautes études (Sorbonne). Mais qu’on ne s’y trompe pas : son livre est tout sauf universitaire. Tout en s’appuyant sur une érudition très sûre, et un commerce éprouvé avec les Ecritures, il s’autorise une liberté de plume, de réflexion et d’analyse réjouissantes, d’autant qu’elles ne sont pas la norme dans ce monde-là. Tout y est ambivalent, nul n’en sort irréprochable. Toutes les références au texte y sont mais l’air de rien, avec une touche de légèreté.Image 1

Des croyants le jugeront trop ironiques, des historiens s’offusqueront de la méthode, et c’est tant mieux. Son récit de cette vie-là est d’une telle fluidité qu’on ne sent même pas le lumineux essai qui s’insinue dans les interstices ; des moments de grâce poétique y côtoient des analyses linguistiques de haut niveau ; son écriture est si ailée qu’on lui pardonne un instant d’égarement, quand page 111, son héros est dans l’obligation de « gérer » la tension… « Son » Moïse, car c’est bien du sien qu’il s’agit, tel qu’il l’a vu et reconnu, après avoir tout lu outre le texte scripturaire, le De Vita Mosis de Philon d’Alexandrie, la Vie de Moïse de Grégoire de Nysse jusqu’à L’Inquiétante étrangeté de Freud et le livret du Moïse et Aaron de Schoenberg, son Moïse donc nous est présenté comme une figure paternelle mais pas comme un père.

Un maître plutôt. Un maître un peu kitsch à cause de Michel-Ange et de Cecil B. de Mille. On en a retenu la nuque puissante et les larges épaules, la colère et la force, de quoi exprimer la domination. Son corps en témoigne : c’est un prophète musclé, né circoncis, déjà porteur du signe de l’Alliance. Pas un Dieu mais un homme de Dieu. L’humilité est sa plus grande vertu, chose d’autant plus remarquable qu’il est seul à mouvoir s’enorgueillir d’un face-à-face avec l’Eternel. Son parcours rappelle que, si grand que puisse être le maître d’un peuple, il n’en est pas moins le serviteur de son Dieu. Fils de l’Egyptienne, né dans un trouble identitaire, issu d’une ambiguïté généalogique, il tire sa force de cet handicap et universalise son message à mesure qu’il s’enracine dans sa communauté.

Chef, guide, libérateur, législateur, intercesseur, il est tout sauf parfait ; d’ailleurs, il est bègue, ce qui ne sied guère aux prophètes, d’ordinaire plus assurés ; or celui-ci balbutie la Torah que l’Eternel lui a confiée au Sinaï pour la transmettre à son peuple. Il a parfois des réactions de mère fatiguée par son peuple ; d’ailleurs, par deux fois, la Torah parle de lui au féminin, Le renoncement le taraude, l’incertitude le hante, les contradictions le rongent et pourtant, il avance. En homme, éventuellement en mensch, jamais en surhomme ni même en héros au sens grec du terme  (demi dieu ) ou fils de Dieu comme Jésus.

Lorsqu’il ne comprend pas, l’auteur reconnaît qu’il bute et cherche la lumière. Comme dans les fameux trois versets de terreur et de ténèbres (Exode 4, 24-26) où l’Eternel voue son prophète à la mort, celui-là même qu’il avait chargé de conduire son peuple hors d’Egypte. Premier à recevoir, Moïse est le premier à transmettre. Il est le maillon qui commence la chaine. Ayant reçu Torah du Sinaï, il la transmit non à l’un de ses fils mais à Josué lequel la transmit à son tour aux Anciens, ceux-ci aux Prophètes et les ceux-ci aux gens de la Grande Assemblée. Réception, célébration, transmission.

Ténèbres_..9La tradition juive n’a pas seulement donné au monde la semaine, invention qui règle le temps, mais cette cadence en trois temps qui domine les âmes. Fortement influencé par le judaïsme rabbinique, Jean-Christophe Attias articule l’héritage de Moïse sur le prisme de la double Loi, écrite et orale, autrement dit la lettre et l’esprit. Il en fait un modèle et un guide pour un judaïsme qui ne soit pas celui du combat, de la Terre et du sang mais celui « de l’esprit, de l’errance et de l’inachèvement ». Au risque de l’échec puisque Moïse a échoué.

Pauvre pécheur, il est mort dans un baiser divin à l’âge de cent-vingt ans. On dit qu’une nuée s’est posée sur lui et l’a enlevé. Pas de restes, pas de sépulture, pas de pèlerinage. Tant mieux car cela oblige à aller à l’essentiel au lieu de se perdre dans le folklore. Mais quelle trace…. Jusqu’au soufisme qui voit en lui un maître d’initiation à la Voie. Sa leçon ? Une école de gai savoir. On en parle encore longtemps après cette éclipse, c’est dire. Il avait tout vu et tout prévu ; sa mission n’en était pas moins inachevée puisqu’il ne vécut pas assez pour voir son peuple entrer en Terre promise après quarante ans d’errance. Grâces soient rendues à Jean-Christophe Attias d’avoir rendu ce génie à son humaine condition en dé-voilant son rayonnement. « Quant à Dieu, qui n’existe pas, je suis encore assez déraisonnable pour espérer en sa miséricorde » écrit-il. Et on se prend à rêver d’un « Mahomet fragile » qui n’a pas encore trouvé son écrivain…

Françoise Chandernagor, elle, a clairement pris le parti du roman, donc de la fiction, pour retracer la vie de Jude, benjamin de la fratrie de Jésus (c’est une hypothèse). Pourquoi pas, après tout : tout lecteur de la Bible ne porte-t-il pas en lui son cinquième évangile ? Agnostique de culture chrétienne, l’auteur s’est replongée dans les Evangiles à la faveur, si l’on peut, dire, de la maladie et de l’empêchement d’écrire, ou de lire autre chose que des textes courts et évocateurs, et non pour y chercher un secours. C’est un roman sur les frères de Jésus : Jacques, José, Simon et Jude, les quatre « appartenant à l’Histoire » et l’histoire étant racontée à la première personne du point de vue de ce dernier.

Ils sont mentionnés dans le Nouveau Testament, ici considéré comme un récit historique plutôt que comme une théologie, dans les Actes des Apôtres et dans des Epîtres, tous textes canoniques. Si elle a jeté son dévolu sur Jude, c’est qu’il était au fond celui qui s’y prêtait le mieux ; moins important et moins admirable, mais auteur tout de même d’une brève Epître, il est plus banal, plus ordinaire, ce qui est plus pratique pour imaginer ce qu’il a pu faire, tout en conservant une légitimité.

L’auteur sait y faire, entraîner le lecteur et ne pas le lâcher. Pour réussir l’exercice aussi bien que dans L’Allée du roi, elle s’est appliquée à restituer non la langue de l’époque mais ce qu’elle imagine être sa sonorité en s’imprégnant de l’ Ecriture. Dans l’esprit non d’un faux Evangile mais d’un pseudo-apocryphe. Ce que l’auteur qualifie de « style biblico-évangélique », un ton paléo-chrétien que l’on ne dirait pas traduit du grec, tout de même, mais suffisamment pénétrant pour faire illusion et donner un certain crédit aux incertitudes. Les différents épisodes sont restitués de manière si saisissante ou émouvante que cela dispense de se demander ce qu’il en fut vraiment.

Comme le Moïse de Jean-Christophe Attias, le Jude de Françoise Chandernagor est ramené à son humaine condition, mais pas trop. C’est pourquoi sa sincérité touche, et ses doutes ébranlent. Le roman s’arrête à la page 349 ; pourtant le livre en compte trois cents quatre-vingt six. Cette quarantaine de pages est peut-être notre seul regret, notre principale réserve, avec les notes en bas de page tout le long du récit, qui précisent et développent. Non parce que cette postface recèle des indications bibliographiques ; cela fait longtemps que cela ne choque plus, et qu’elles sont même parfois nécessaires, à la fin d’un roman historique documenté.

Or là, c’est surtout prétexte à explication. Pour prouver que tout cela est attesté bien que les frères et sœurs de Jésus aient été plutôt marginalisés, évacués, effacés par l’Eglise de Rome pour laisser place aux dogmes de « virginité perpétuelle » (649), alors que seule la « conception virginale » figure dans les textes canoniques, et de l’Immaculée Conception (1854). De cette histoire de frères (adelphoï dans le texte grec), la tradition ecclésiale fit des cousins (anepsioï) s’appuyant sur la polysémie de « frère » dans les Evangiles aussi bien que dans le Genèse et le Lévitique, renvoyant à l’hébreu ‘ah et à l’araméen. Françoise Chandernagor réveille l’affaire au risque de banaliser la chose en faisant de Marie et de ses enfants une famille nombreuse à laquelle ne manquerait que la carte de réduction dans les transports en commun. A ses yeux, cela ne la diminue en rien :

 « Car enfin, à qui fera-t-on croire qu’un mère de famille nombreuse est, par nature, moins sainte, moins aimante, moins secourable et moins « médiatrice » qu’une vierge perpétuelle ? » (…) Risque-t-on de ternir l’image de Marie, mère universelle, en reconnaissant que, si l’aîné de ses fils fut « unique », elle mit au monde et éleva d’autres enfants, En écrivant ce roman, j’ai eu à la fois le désir de rétablir une vérité que je crois « historique » et le souci de respecter la belle figure de la Madone : celle qui « sourit et pardonne », comme on chantait autrefois dans les églises ».Image 4

C’est justement là que le bât blesse et que des croyants, des historiens, des théologiens tiqueront quand ils ne s’indigneront pas devant ce qu’ils tiendront pour une approche positiviste qui s’obstinerait à distinguer le Jésus historique du Christ de la foi. La vérité est dans la fiction, mais ladite « vérité historique » se déploie ailleurs que dans un roman, avec d’autres moyens. Ces deux mots seront jugés de trop ici, à moins qu’ils soient justement au cœur du projet de l’auteur, lequel se veut moins iconoclaste que dérangeant, troublant. Mais pourquoi se justifier ?

Un écrivain ne s’autorise que de lui-même. Hermann Broch ne se justifiait pas ainsi à la fin de son chef d’œuvre La Mort de Virgile, non plus que Marguerite Yourcenar dans les Mémoires d’Hadrien, du moins s’agissant de celle-ci en cinq pages et non en cinquante et sans volonté de démontrer une vérité historique. Rendre des comptes, c’est déjà se sentir accusé ; c’est anticiper les reproches et tenter de les désamorcer. Le romancier n’a pas de dossier à produire puisque le roman est par essence le lieu de la liberté de l’esprit. Nous sommes entraînés dans « l’atelier de l’auteur », comme il est dit. Mais a-t-on toujours envie de visiter les cuisines lorsqu’on est attablé au restaurant ? De toute façon, tout making of tue le mystère.

 Post-scriptum : Qui cite le texte scripturaire se doit de préciser dans quelle traduction, car d’une version l’autre, le sens voyage. Jean-Christophe Attias s’est appuyé sur l’édition de la Bible du rabbinat français publiée sous la direction de Zadoc Kahn, sans jamais s’empêcher de retraduire lui-même nombre de passages de l’hébreu ou de l’araméen ; pour le Coran, il s’en est remis à la traduction de Jacques Berque ; et s’agissant du Nouveau Testament, principalement  à la plus récente édition de la Bible de Jérusalem, et à celle d’Edouard Dhorme pour la Pléiade, de réputation plus littéraire. Ce qui est également le cas de Françoise Chandernagor qui a également eu recours aux traductions du chanoine Osty (Le Seuil) et à la TOB, mais avant tout à la version de Louis Segond (1910), courante non seulement chez les protestants de langue française, mais au-delà, attachement qu’elle confesse être littéraire. Mais n’est-on pas toujours un peu le prisonnier consentant de la Bible de son enfance ?

(« Leçons de ténèbres » photos Jean-Pierre Maghit)

Cette entrée a été publiée dans Essais, Histoire, Littérature de langue française.

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commentaires

406 Réponses pour Moïse et Jude, des hommes, rien que des hommes

Sirius dit: à

« La Raison a besoin de la foi pour fonctionner. Sans foi, pas de sciences »

WG, nous sommes dans la confusion la plus totale. Vous donnez au mot foi une extension qui lui ôte toute pertinence dans le débat. De la foi dans l’intelligibilité de la réalité, qui permet effectivement la science, ne découle absolument pas la nécessité d’une foi dans un dieu personnel au sens des religions monothéistes.

Sergio dit: à

Dieu Dieu Dieu… Moi un type qui nous balance des cordes qui vibrent quand elles veulent et des chats qui explosent pas, faut s’en méfier hautement ! Parce que si tout est comme ça, même au fin fond de… ben de tout, quoi, on n’est pas rendu !

C’est vrai, quoi, c’est pas construit, comme affaire…

Widergänger dit: à

Les gros sont un obstacle à la croissance.

Dix ans en camp de concentration, ils vont vite maigrir…

Widergänger dit: à

La foi est la foi, nom de D;ieu…!

Il n’y a pas plusieurs types de foi. La foi et la raison c’est la même chose. Le fait de s’adresser à D.ieu dans les prières est dès lors très secondaire.

mécréant dit: à

« Il n’y a pas de hasard ; il n’y a que des rendez-vous » (Paul Eluard)
Comment peut-on encore croire en dieu ?

Widergänger dit: à

La vraie question est plutôt, dans un univers infini : Comment est-il possible de ne pas croire en D.ieu ?

mécréant dit: à

pour quoi un . D ieu ???

Sirius dit: à

« Vous ne comprenez pas ce que j’ai écrit. Il ne s’agit pas d’individus particuliers. Il s’agit de civilisations entières. Sans Dieu, pas de civilisation, pas de sciences, pas de Dasein, pas de vie commune, pas de repères temporels, rien, quoi. Ce qui s’appelle le chaos. »

Oui, à condition que l’on appelle « Dieu » toute forme de principe d’explication du Cosmos qui ordonne le chaos originel. Les grecs avaient inventé une mythologie pour cela; les mayas une autre; les égyptiens une troisième et ainsi de suite. On a beaucoup écrit pour essayer d’expliquer pourquoi les chinois, si avancés techniquement à une certaine époque, n’avaient pas dominé le monde. Cela n’a rien à voir avec l’absence de la foi dans un Dieu unique personnel, mais tout à voir avec l’organisation bureaucratique de l’Empire du Milieu…

Anselme dit: à

La vraie question est plutôt, dans un univers infini : Comment est-il possible de ne pas croire en D.ieu ? (Widergänger)

C’est possible ! J’en suis la preuve vivante et ne m’en porte que mieux, très à l’aise dans cet univers infini absolument privé de sens. Mais je ne me prive pas d’en mettre, en vertu de mes prérogatives d’animalcule pensant. J’aménage à ma façon ma niche idéologique où je suis bien au chaud. Cuicui.

la vie dans les bois dit: à

Il fallait mieux enfoncer ce clou Diagonal. Lui donner le bon coup de marteau, même si d’un autre côté, vous ne futes pas le dernier à l’enfoncer, ce bouquin de Carrère.

« Si elle a jeté son dévolu sur Jude, c’est qu’il était au fond celui qui s’y prêtait le mieux « .
Plus facile que la vie de Luc certainement, l’évangile romancé de ste Françoise, qui a autant de spiritualité qu’un cheval qui hennit.
C’est un peu la colère qui remonte après le sort qui fut fait à Emmanuel Carrère et son Royaume. Mais ça va passer.
D’autant que cette petite vie parisienne de Pentecôte est un enchantement, vraiment, en ce jour dédié à l’esprit et à sa transmission. L’expo Le Corbusier tient toutes ses promesses. Merci au passage de l’avoir relayée, même si, même si, il faut voir pour croire…

Widergänger dit: à

C’est évident qu’il y a du sens dans l’univers. La preuve : votre présente dans l’univers.

Widergänger dit: à

Rien n’est moins absurde que la constitution physique et spirituelle d’un homme. C’est au contraire une merveille absolue. Que le hasard ait produit une telle merveille montre une présence divine dans l’univers.

mécréant dit: à

je répète : pourquoi écrire D.ieu et non pas Dieu

Widergänger dit: à

C’est pour que vous me posiez la question.

Anselme dit: à

Bien que pas plus gros qu’une mite,
Je suis mite philosophique.
L’univers absurde j’habite,
Au dieu absent je fais la nique,
Je bois, je mange et je fornique,
Je suis champion d’aérobic.
Pas mal pour une simple mite.

Bloom dit: à

Ile d’Yeu, Hôtel Dieu, Bordel de Dieu, Foutredieu, à la rigueur. Mais God, Gott, Deus, Dia, Dievas, Dios, Jumala, Duw,Bóg, Турă, Bondy, Бурхан, Song-ti & tutti quanti, quelle ennui!
Wie froh bin ich, dass ich weg bin!

Anselme dit: à

Rien n’est moins absurde que la constitution physique et spirituelle d’un homme. C’est au contraire une merveille absolue. Que le hasard ait produit une telle merveille montre une présence divine dans l’univers. (Widergänger)

C’est pas en nous ressortant les « preuves » les plus éculées de l’existence de dieu que Widergänger risque de nous convaincre. Un peu plus d’imagination, que diable.

mécréant dit: à

votre non réponse est bien la preuve que dieu ne peut exister

mon beau-frère dit: à

Avec JC, on avait la politique du Café du Commerce, avec WGG on la philosophie du même établissement.

Pas étonnant qu’ils soient copains.

ueda dit: à

Le miracle de la Pentecote, c’est que Widergänger parle en langues, marabouté par D.!

Anselme dit: à

Aux véhémentes affirmations de Widergänger , je répondrai en refaisant le pari de Pascal à l’envers. Qu’est-ce que j’ai à gagner à croire en dieu ? Rien. Forcément, puisqu’il n’existe pas. CQFD . Basta et passons aux choses sérieuses.

mécréant dit: à

WGG a quand même plus de classe, l’autre c’est un voyou

mon beau-frère dit: à

Il manque u., là.

de nota dit: à

pourquoi ça rentre pas dans la bu-bulle?

mécréant dit: à

par-parce que !

de nota dit: à

il nous faudrait un archi-top qu’on le déboulgomme.

christiane dit: à

« Dieu est absent du monde, qui ressent cette absence, sourd d’elle, n’est monde qu’en la poursuivant, débusquant, pour tenter de la combler.
Comment douter de Dieu ? On ne doute pas d’une Absence. »
Roger Munier – « Les Eaux profondes (Arfuyen)
et dans le même livre :
« On peut salir un livre rien qu’en le lisant. On peut salir un texte en le lisant à la hâte ou simplement comme il ne devrait pas être lu. Il serait beau alors que de lui-même il se ferme, et ferme le livre. »

élève à WG dit: à

« la métaphysique occidentale instaure divinement des principes arbitraires, c’est-à-dire divins, pour la développer. »(WG)
« Pauvres Chinois, rejetés hors l’espèce humaine, sans autre forme de procès. »(Bloom)

L’occident est divin, faut pas chercheR à comprendre c’est révélé

WiderG a causé dit: à

Widergänger
‘C’est évident qu’il y a du sens dans l’univers. La preuve : votre présente dans l’univers.
Le hasard, l’ordre, D.ieu, c’est idem. Ce sont des synonymes. »

Tout et rien – on risque pas de se tromper c’est bien pratique comme mode d’emploi

‘L’univers a dû au départ essayer plusieurs systèmes de lois qui n’ont pas marché. Puis la gravitation est née, et elle a fonctionné, puis les autres forces sur lesquelles reposent tout l’univers’

Je sais pas j’y étais pas

D. dit: à

Je pense qu’une méditation de chacun sur l’apport d’une anthropologie pluraliste à la Philippe Descola, avant de poster n’importe quoi sur Moïse, Jude et autres balivernes, contribuerait grandement à rehausser le niveau général de ce blog qui s’effiloche gravement
http://www.laviedesidees.fr/Apologie-des-sciences-sociales.html

Sergio dit: à

Pour Dieu il y a un moyen ; tant qu’on est tous en rond, ça fera jamais rien, sauf la recherche et la technique naturellement.

Mais quand on pourra discuter avec les gars des soucoupes, alors là…

Seulement évidemment faut pas qu’ils nous prennent pour des brêles qu’ils fassent exploser d’un seul coup tout le système solaire ! Surtout sans nous le dire… Que j’aie le temps de mettre le coupe-circuit sur la Yam sinon ça renifle le coco dans tout le garage !

Diagonal dit: à

@17.39 « mieux enfoncer le clou »… certes, mais ça dépend dans quel bois christique le faire pour se chauffer au blog. On fait ce qu’on peut, cela dit, merci pour la vigilance.

Voyons, laisse ça dit: à

je sais pas ce qu’ils fichent à Hollywood, mais j’ai pas tout fait tout seul.

le hénième dit: à

de dix tapisseries sur Moïse, tissées et inspirées de neuf tableaux de Nicolas Poussin (1594-1665) et de deux peintures de Charles Le Brun (1619-1690

SUR LE BLOG DE V.Chemla

Polémikoeur. dit: à

Le concept de Dieu peut à la rigueur venir
de notre extrême faiblesse devant l’Univers
et de l’insuffisance de notre raisonnement
pour l’expliquer – en dépit de réels progrès –
mais en aucun cas notre construction mentale
ne suffit à démontrer tout ce qu’elle produit
d’hypothèses, aussi martelées soient-elles,
même en voulant les assaisonner de bribes
de sciences fondamentales mal digérées.
Hasardieusement.

guelfucci dit: à

Chez nous soyez Reine
Chez nous soyez Reine, nous sommes à vous
Régnez en souveraine
Chez nous, Chez nous
Soyez la madone qu’on prie à genoux,
Qui sourit et pardonne,
Chez nous, Chez nous.

guelfucci dit: à

Dio vi salvi Regina
E Madre Universale
Per cui favor si sale
Al Paradiso.
Voi siete gioia e riso
Di tutti i sconsolati,
Di tutti i tribolati,
Unica speme.

A voi sospira e geme
Il nostro afflitto cuore,
In un mar di dolore
E d’amarezza.

Maria, mar di dolcezza
I vostri occhi pietosi,
Materni ed amorosi
A noi volgete.

Noi miseri accogliete
Nel vostro santo Velo
Il vostro Figlio in Cielo
A noi mostrate.

Gradite ed ascoltate,
O Vergine Maria,
Dolce, clemente e pia,
Gli affetti nostri.

Voi dei nemici nostri*
A noi date vittoria ;
E poi l’eterna gloria
In Paradiso.

Polémikoeur. dit: à

Que Dieu nous soit un besoin chronique,
parfois intermittent, ne prouve pas
qu’il existe. Dieu est indémontrable.
Que son invention soit une habile façon
de nous domestiquer nous-mêmes, soit !
mais l’ordre (relatif) social qui en résulte
est-il pour autant équivalent à celui qui sort
petit à petit de nos équations pour modéliser,
comprendre et conquérir tout ce qui nous tombe
sous les yeux ? Peut-être, après tout,
aucune de nos lois ne gouverne quoi que ce soit,
tout au plus décrit-elle le fonctionnement
de ce qui est avant elle et qu’elle ne change pas.
Désolitairement.

Widergänger dit: à

Ce n’est pas une non réponse ! Loin de là. C’est la meilleure réponse que je puisse vous donner pour vous donner une idée de D.ieu et de l’infini, car elle implique que vous me posiez la même question une infinité de fois. C’est pas beau ?

la vie dans les bois dit: à

Diagonal à 19h51
On dirait que comme tous les allaités aux sciences psycho-socio, vous jargonnez.
Sortez de votre « milieu aquatique profond standardisé » que diable.
Se chauffer au bois, christique ou non, encore eût-il fallu que vous sachiez ce que cela veut dire. Pas évident dans le conformisme verbeux qui prévaut ici.
C’est comme cette histoire de cuisine, si vous ne savez pas comment ,et où, on pêche une truite, c’est pas la peine de poser réclamation auprès du chef. Surtout s’il fut, enfant, un grand pêcheur. ( …je pense à un grand chef parisien, là, tout de suite)

Non, voyez-vous ce qui me gêne dans ce billet ( sans aller jusqu’au soupçon de pentecôtisme, qui est un mouvement sectaire), c’est d’un côté la reconnaissance ( du voisin de table) à Françoise C., accrochée à son cathé comme une bernique à son rocher devant Marie, et d’un autre côté la disgrâce dont fut victime le livre de E. Carrère, qui lui, avait fait une vraie démarche sincère devant ce qu’il est convenu d’appeler la foi religieuse.

Inutile ne ce cas, que je vous lâche le « fromage » du Corbu, mais, si vous avez l’occasion d’aller voir cette expo, elle est en un sens très frappante, dans ce qu’il a peint, -et je laisse là d’autres démarches spirituelles, tellement elles ne sauraient concerner qu’un trop petit nombre-, vous y découvrirez à partir de quel moment, dans ce qui apparait comme une réalité « brute » et de matière des premiers « tableaux », il a commencé à peindre des visages, des corps, dans ses oeuvres plus tardives.

Moïse ?
La dernière fois que je l’ai vu, c’est Le Perugin qui m’en a causé.

JC..... dit: à

Enfant des bords de la Loire,
J’ n’ai qu’un tout petit défaut,
C’est d’aimer chanter et boire
Ça n’ nous fait ni froid ni chaud
Saint Etienne est mon patron
Et chacun dit sans façon:

Refrain :
A la tienne Etienne
A la tienne, mon vieux!
Sans ces garc’s de femm’s
Nous serions tous des frères
A la tienne, Etienne,
A la tienne, mon vieux!
Sans ces garc’s de femm’s
Nous serions tous heureux!

Ma moitié qui n’est qu’un’ buse
Vient toujours, c’est son secret,
A tout’s les fois que j’ m’amuse,
Me chercher au cabaret
En riant d’un tel potin
Tous me dis’nt le verre en main:

Coiffer ma femm’ d’un’ calotte
Je n’aurai p’t-êtr’ pas raison
Surtout qu’ell’ port’ la culotte,
Comme on dit à la maison;
Mais j’ suis né bon paysan
Et j’ vas m’ soûler en disant:

Elle vient de mettre au monde
Un moutard solide et beau
Il a la peau rose et blonde,
Moi, j’ suis noir comme un corbeau;
Mais quand j’ai vu tant d’émoi
Je suppos’ qu’il est à moi!

Pour montrer que j’ suis un homme
Parfois je m’ fâche, emballé,
Aussitôt la gueus’ m’assomme
A grands coups d’ manche à balai
Et j’ m’en vais clopin-clopant
A l’auberge en répétant:

Quand délaissant la colombe,
Au cim’tière, je m’en irai
Point de discours sur ma tombe
Mais pourtant j’exigerai
Qu’ mes bons amis d’autrefois
Vienn’nt chanter tous à plein’ voix

C. Pabo dit: à

Famabarb devant l’Eternel en pleine extase avant de se branler.

Anselme dit: à

Widergänger dit: 25 mai 2015 à 17 h 49 min
Rien n’est moins absurde que la constitution physique et spirituelle d’un homme. C’est au contraire une merveille absolue. Que le hasard ait produit une telle merveille montre une présence divine dans l’univers.

J’ai été frappé par le potentiel comique des trouvailles de Widergänger, celle que je cite ici, par exemple. Il a l’étoffe d’un personnage moliéresque, me suis-je dit. Mais lequel ? J’ai cherché un moment sans trouver. Et soudain : bon dieu (c’est le cas de le dire) mais c’est bien sûr ! Sganarelle! Sganarelle redivivus ! qu’on en juge :

Sganarelle –

[…] Pour moi, Monsieur, je n’ai point étudié comme vous, Dieu merci, et personne ne saurait se vanter de m’avoir jamais rien appris ; mais avec mon petit sens, mon petit jugement, je vois les choses mieux que tous les livres, et je comprends fort bien que ce monde, que nous voyons, n’est pas un champignon qui soit venu tout seul en une nuit. Je voudrais bien vous demander qui a fait ces arbres-là, ces rochers, cette terre, et ce Ciel que voilà là-haut, et si tout cela s’est bâti de lui-même. Vous voilà, vous par exemple ; vous êtes là ; est-ce que vous vous êtes fait tout seul, et n’a-t-il pas fallu que votre père ait engrossé votre mère pour vous faire ? pouvez-vous voir toutes les inventions, dont la machine de l’homme est composée, sans admirer de quelle façon cela est agencé l’un dans l’autre ? ces veines, ces os, ces artères, ces … ce poumon, ce coeur, ce foie, et tous ces autres ingrédients qui sont là et qui … Oh dame, interrompez-moi donc si vous voulez, je ne saurais disputer si l’on ne m’interrompt, vous vous taisez exprès, et me laissez parler par belle malice.

Dom Juan –

J’attends que ton raisonnement soit fini.

Sganarelle –

Mon Raisonnement est qu’il y a quelque chose d’admirable dans l’homme, quoi que vous puissiez dire, que tous les savants ne sauraient expliquer. Cela n’est-il pas merveilleux que me voilà ici, et que j’aie quelque chose dans la tête qui pense cent choses différentes en un moment, et fait de mon corps tout ce qu’elle veut ! je veux frapper des mains, hausser le bras, lever les yeux au Ciel, baisser la tête, remuer les pieds, aller à droit, à gauche, en avant, en arrière, tourner …

( Il se laisse tomber en tournant )

Dom Juan –

Bon, voilà ton raisonnement qui a le nez cassé.

Anselme dit: à

J’ai oublié d’indiquer la référence : « Dom Juan », acte III, scène 1

rose dit: à

Les Juifs l’ont réorganisé autour du Shabbat, les chrétiens autour du jour du seigneur, le dimanche.

Et les musulmans le vendredi jour des prières à la mosquée

Moyen mnémotechnique en anglais pour mémoriser les planètes
my very educated mother juste serving us nine pizzas

depuis que Pluton ne fait plus partie des planètes idem just serving us nachos

la vie dans les bois dit: à

à 21 h 24 min
la femme à barbe, c’est dans l’expo JP Gaultier au Grand Palais : Le vainqueur de l’eurovision 2014.
C’est pas à vous que je vais causer de la métaphysique, celle de l’esthétique.

J’ai dîné en tête à tête avec un extincteur.
Mais il y avait de la zique, et l’assiette n’était pas si mal.
https://www.youtube.com/watch?v=fklt_p0RiRA

Bonjour, et bonne nuit. Cette journée parisienne fut epuisante d’émotions.

la vie dans les bois dit: à

à 21 h 24 min
pour cela voir l’expo JP Gaultier au Grand Palais , elle est en photo: Le vainqueur de l’eurovision 2014.
C’est pas à vous que je vais causer de la métaphysique, celle de l’esthétique.

la vie dans les bois dit: à

Ce doit être la salade qui ne passe pas…

rose dit: à

comment peut-on être juif et incroyant ?

En buvant pour oublier le fossé qui vous sépare ?

Avoir un gouffre qui sépare deux c’est une chose ; avoir un gouffre qui sépare un c’est autrement ardu.

rose dit: à

dire je suis juif c’est dire appartenir à un dogme ; on ne pas dire je suis juif et non pratiquant parce qu’alors on se définit par une autre entrée territoriale, les hommes souvent leur emploi, les femmes leur statut matrimonial. Mais quel est l’intérêt alors de dire je suis juif. Aucun.

Se définir soi ne passe pas par sa religion.

Anselme dit: à

comment peut-on être juif et incroyant ? (Rose)

Il se murmure que Spinoza l’était. Rappelez-vous : « Deus sive Natura » : à l’époque une telle égalité sentait le fagot, sans métaphore…

Anselme dit: à

rose dit: 25 mai 2015 à 21 h 53 min
dire je suis juif c’est dire appartenir à un dogme

Pas nécessairement; c’est aussi bien revendiquer une appartenance à une famille, à une lignée, à une communauté. Une bonne partie des juifs israéliens ne sont pas croyants ; ils n’en sont pas moins juifs, ce me semble, et se revendiquent comme tels.

rose dit: à

Ben non c’est ridicule : effacer ce qui réunit permet de dire que jésus est juif avant que d’être le fils de dieu pour les chrétiens. L’y est pour rien si les juifs l’ont trahi un, et fait crucifier deux.
Jésus est juif ce qui explique le lien judeo-chrétien : on va arriver à ce que j’ai entendu l’autre jour face à mes oreilles abasourdies : moi je suis chrétien, moi je suis musulman. Et celui qui est juif se la boucle parce qu’il a peur.
Plus que jamais il est important de garder les liens avec ceux qui sont différents, étrangers même.

rose dit: à

je ne suis pas juive. Cela ne me viendrait pas à l’esprit d eme définir en disant je suis chrétienne. Alors, à quoi tient cette appartenance si la personne enn question se revendique incroyante. Je ne comprends pas l’intérêt.
Si je ne crois pas, d’ailleurs crois-je ?, je ne dis pas de moi je suis chrétienne. Je le dis si je crois.

Cela signale donc bien l’appartenance à un peuple . Pour éviter le terme de communauté.

rose dit: à

Bien évidemment : étroite parenté entre les trois textes. Bien plus qu’entre l’homme et la femme.

rose dit: à

DHH dit: 25 mai 2015 à 11 h 02 min
Oui merci DHH du document que vous m’aviez passé. Nécessaire parce que participant à notre culture commune, aux liens qui nous unissent et pas toujours à nos différences saillantes (de Pâques à la Trinité, pauvre comme Job, le judas, etc.).

rose dit: à

JC….. dit: 25 mai 2015 à 11 h 16 min

La/Le Conche sur Héraclite ! Aaaaarh !

Je l’ai lu plusieurs fois, tant il est finement commenté par le Marcel, que j’adorais avant qu’il se prenne les pieds dans le maquis corse, avec Corsica.

La vieillesse est un naufrage….

elle l’est pour celui qui se prend les pieds avec une jeunette de trente ans de moins qui s’en sert comme d’une promotion canapé et lui théorise encore « ah le grand amour ». Le cul oui et point barre.
La vieillesse t’est un naufrage.
Fous la paix aux autres ; tu n’es pas exempt de plonger comme Conche. Il a l’avantage sur toi d’avoir su reprendre le bateau vers le continent et se remettre à ses chères études, ce qui n’est pas le cas de tout le monde.

Et merci au fiancé corse, je le bénis lui.

rose dit: à

Les gens des livres : ta biblia

passif ? Le trait d’union marque l’égalité judéo-chrétien. Judéo placé en tête dénie toute idée de passivité c’est le lien qui est mis en avant et la primauté de l’appartenance du christ au peuple juif.

nota : il y a des clans ici.

Comme dans Orient-express.

Sergio dit: à

rose dit: 25 mai 2015 à 21 h 39 min
Moyen mnémotechnique en anglais pour mémoriser les planètes
my very educated mother juste serving us nine pizzas

Il faut avoir des moyens mnémotechniques pour se remembrer les planètes ? Mais… Elles s’en vont pas, quand même ? Ou elles changent de nom manquerait plus que ça… Même Коба oncle Wolf y ont pas pensé s’en chouraver chacun une !

rose dit: à

Anselme dit: 25 mai 2015 à 12 h 42 min

parce qu’elle a ouvert mon esprit,

j’en doute : un esprit ouvert se soumet à une éthique certaine. Sans éthique l’esprit est fermé et s’il est fermé il est proche de obscurantisme.
Autre hypothèse plus délicate et difficile à prouver l’absence d’éthqieu donne la chance de verifier ce qui est par essence même invérifiable. Je suis en train de vous donner les preuves de brouiller vos pistes. Or; vous ne demandez qu’une chose une seule croire en l’innocence même et à la virginité éternelle. Et vous vous plantez magnifiquement.
Pourquoi ?

D’abord parce que vous hurlez silencieusement « je veux croire, je veux croire mais rien ne me pousse à croire ».
Vous ne tenez aucun compte de la part de mystère et de la part de volonté de dieu de se révéler à vous ou pas.

Cherchez vous ne trouverez rien , ne cherchez rien mais ayez le cœur pur (et là mazette ce sont les écuries d’Augias qu’il faudrait convoquer avec le petit Hercule), et vous trouverez.

rose dit: à

c’est ce qu’on apprend aux US aux gosses des écoles : vous êtes contre les moyens mnémotechniques ? Adam part pour Anvers etc. ?

Tiens, comme on s'y retrouve dit: à

voyons, bougez plus, ils ont enfin fait leur grand film, comme l’autre.

rose dit: à

à lire Emmanuel carrère ai surtout appris que paul était un grand prosélyte, infatigable et dévoué.

rose dit: à

Bon je vous ai tous lu. Chacun cherche à croire en ce à quoi il veut croire : où est le temps des chemins de fer des gares et des connexions ? On appuyait sur un truc et hop aiguillage.
Moi je ne crois plus en dieu : j’ai un nègre qui me colle et qui vit dans ma cave. Je lui ai mis un canapé deux oreillers une couverture en laine. J’lui ai dit « tu t’sens tout seul j’vais t’faire une femme demain ». Il n’y croit pas, il n’y croit pas, alors je vais lui prouver le contraire que s’il se sent tout seul c’est parce qu’il est tout seul et que ça sert à rien qu’il vive dans la cave. D’ici huit jours je vire canapé coussins couverture en laine etc; et qu’il ne croit en rien puisque de toutes manières il est convaincu que lui a raison. Personne n’a jamais fait d’un âne un cheval de bataille.
Et baste.
Moïse son sort c’est quarante ans dans le désert pour apprendre dépendance et humilité.

Deneb dit: à

Widergänger dit: 25 mai 2015 à 17 h 07 min

Les lois de la physique sont arbitraires. Elles sont nées du hasard. Elles sont divines. Trois synonymes.
_

En écrivant que les lois de la physique sont nées du hasard, vous assimilez Dieu au hasard, et c’est un grave blasphème.

Deneb dit: à

Je vous ferais remarquer que si l’eau bout exactement à 100 ° C et gèle, comme par hasard à 0° C, cela n’a rien de hasardeux.
100 = 10 x 10 et comme par hasard nous avons dix doigts à chaque main et à chaque pied.
On peut continuer encore comme ça très loin : le mètre se divise, toujours comme par hasard en 100 centimètres eux-mêmes chacun divisés en 10 millimètres. Ainsi le kilomètre vaut 1. 10^6 millimètres. Il se trouve que la lumière met 1 seconde exactement pour arriver sur la Lune.
Pourquoi 1 seconde et pas 2 ou 4 ? Tout simplement parce que 1 est le 10ème de 10 et le 100ème de 100 et ainsi de suite.

Deneb dit: à

De plus vous affirmez péremptoirement que les religions se démarquent de toute métaphysique. C’est une énorme erreur. Calamiteuse. Et je peux vous le prouver quand vous voulez.

Widergänger dit: à

TROIS PERMUTATIONS DU MOT HASARD

Le mot « hasard » se dit en hébreu (miqré) : מקרה. Si on lui fait subir quelques permutations de lettres, ce que Saussure appellerait des anagrammes, on y trouve le mot « D.ieu ».

1. Seulement de D.ieu (raqé-mi-H’) : רק-מהי

2. D.ieu (est) la source (H’-maqor) : הי-מקור

3. D.ieu brode (H’-rokem) : הי-רוקם

Qu’est-ce que le hasard ? Le hasard est au cœur de la pensée tragique, nous dit Clément Rosset, celle de Pascal, de Hobbes, de Nietzsche. Il est le principe destructeur de toute nature. Le hasard est au cœur même de la pensée humaine, nous dit Pascal dans ses Pensées. Si « le hasard fait bien les choses », comme dit le proverbe, rien ne semble pire que de vivre en ayant le sentiment que les cartes ont été mal distribuées. Si le hasard et l’arbitraire règnent en maître dans nos vies, alors quel sens donner aux événements ? À moins que le mot hébraïque מקרה (miqré), hasard, nous en dévoile un autre aspect, capable de donner du sens aux choses de la vie.

Curieusement, la langue hébraïque ne laisse pas beaucoup de place à l’arbitraire mais plutôt une place de choix au Créateur ! Il est présent dans trois permutations du mot « miqré ». A la vue de ces anagrammes, se pose la question de notre libre arbitre. Tout est-il déjà déterminé ?

Non. Car le Créateur, l’Être, n’est pas une entité figée et uniquement transcendante. Il est aussi une partie de nous-mêmes, puisque nous sommes « à son image ». Il est ce qui fait advenir le monde et dans ce mouvement réside l’amour.

La « broderie » (sens 3) de l’Être pourrait être ce que l’univers « brode » pour chacun de nous avec des fils d’amour. Ils mènent au but final. Mais allons-nous suivre un de ces fils ? Lequel de ceux-ci allons-nous suivre ? Quel chemin allons-nous emprunter ? Notre libre arbitre est là. Si nous sommes prêts à suivre avec humilité le fil de notre intuition, c’est-à-dire ce qui fait que nous sommes celui que nous sommes, autrement dit notre destin, alors nous serons aidés par le « hasard », c’est-à-dire D.ieu.

Deneb dit: à

Vous allez griller pour l’éternité en Enfer, si vous continuez, Michel. Et là vous aurez le temps de broder, croyez-moi.

Sergio dit: à

Deneb dit: 25 mai 2015 à 23 h 21 min
le mètre se divise, toujours comme par hasard en 100 centimètres eux-mêmes chacun divisés en 10 millimètres.

Ha non ça c’est les bolchéviques à Robespierre ! Sinon il serait jamais rentré dans le pavillon de Breteuil, le bidule…

Havant y avait le pied du roi ; quand on se le prenait machin chose, ça voulait huffler ! Ca suffisait pour régler la feuillure, quoi…

Deneb dit: à

Il existe une seule et unique solution à l’équation du non-néant et c’est Dieu qui l’a trouvée.
Qu’avez-vous à répondre à cela ?

Sergio dit: à

Le hasard c’est un truc qu’on regarde pas se faire ; et après y a des baisés, forcément…

Deneb dit: à

Tout à l’heure j’ai suggéré une méditation de chacun sur l’apport d’une anthropologie pluraliste à la Philippe Descola, mais après mûre réflexion cela ne nous éclairerait aucunement. Prier l’être suprême pour qu’il se révèle à chacun d’entre nous dans toute sa vérité me semble de très loin beaucoup plus raisonnable.

Bloom dit: à

(Arfuyen)

La « maison » ci-dessus pratique une politique éditoriale dont elle reconnait volontiers l’arbitraire absolu: elle ne publie que des auteurs morts, en l’occurrence des poètes morts & disparus. Comme nous disait un ami dont le manuscrit avait été refusé: « Ça peut toujours s’arranger ». Il y aurait dans le retour d’un Chabert ou d’un Martin Guerre de la poésie matière à un excellent polar…

renato dit: à

Il y a de bon que rien ne change vraiment… jamais…

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…une découverte, pour les chats difficiles,!…
…hier soir,!…j’ai donné du  » cabillaud « , au chat, errant du jardin,!…bien préparé tiède à chaud,!…

…Oui,!…d’un trait,!…tout avalé,!…
…et Dieu, dans tout çà,!…

…réflexions,…
…vivre pour quels bonheurs en compagnies des créations,!…des poires et des roses,!…
…ombres et lumières,!…
…la divine sérénité, plus royale, on ne peux de son vivant,!…
…se plaire de vivre,!…
…envers et contre tout,!…

…vous n’avez fait que cela,!…
…c’est tout ce qui m’a été donner de faire,!…
…allez voir ailleurs, quel est le système des malheurs du monde,!…
…c’est pas de Confucius,!…Ah,!Ah,!…etc,!…

…donnez du haut, et prendre du bas,!…ou
…donnez du bas, et prendre du haut des arbres,!…
…l’humanisme du règne du miel,!…
…s’interchanger les protections à mieux vivre,!…Oui,!…mais gratuit,S.V.P.,!…

rose dit: à

proverbes des communautés juives :
en terre noire pousse le meilleur blé.
qui plus fait, plus vaut.
qui vole le pauvre vole Dieu.
Dieu ne pouvait être partout, alors il a crée la mère.
Un enfant sans père est un demi-orphelin, un enfant sans mère est un orphelin tout entier.
Celui qui ne donne pas un métier à son fils le fait voleur.

rose dit: à

Proverbes des communautés arabes :
Si vous entrez chez les borgnes, fermez un œil.
Mieux vaut être aveugle des yeux que du coeur.
Ne t’accroche pas à celui qui ne s’accroche pas à toi.
Si la femme commet l’adultère son mari y est pour quelque chose ( et ce serait lui qu’il faudrait lapider donc ? ).
Une femme sans pudeur est comme un plat sans sel.
Si Dieu ne pardonnait pas, son paradis resterait vide.

rose dit: à

Proverbe berbère :
les blessures se creusent et guérissent, les injures creusent et creusent encore.

rose dit: à

Proverbe éthiopien :
ne tenez pas la queue du léopard, mais si vous la tenez, ne la lâchez plus.

rose dit: à

Et puis

si tu ne crois pas réussir je te donne le droit de te retirer du jeu (pour Nash et ses tableaux : car / explosion)

le hasard ou la destinée ?

rose dit: à

et puis encore
les années sont faites de milliers d’heures de jours et de nuits

Pourquoi séquencer en semaines ?

mécréant dit: à

revu hier soir le film de JOHN FORD : « DIEU EST MORT » avec Henry Fonda (*****)

rose dit: à

proverbe arménien :
si tu cries c’est que tu es sourd.

antione dit: à

9 h 49 : ne surtout pas tenir celle de JC, surtout pas

rose dit: à

Nash

no collision
cars
Collision Nash equilibrium
no cars
car 1 chickens
car 2 gets away

rose dit: à

proverbe sénégalais
si tu parles peul, parle peul alors.

rose dit: à

>10h21
si tu as la queue du léopard dans ta bouche, tais-toi donc / tu vas la perdre.
Le léopard et le tigre c’est comme la mésange charbonnière et le moineau : même famille.
Hier au soir, j’ai vu, de mes yeux vu l’existence de dieu : j’étais assise sur un banc à ne rien faire et j’ai vu des mésanges charbonnières venir manger toutes seules les pucerons qui étaient sur le rosier sauvage. Ils se sont fait boulotter tout crus. Aujourd’hui les mésanges ont pris un gramme de graisse.
Proverbe îles tuamotu : nourris toi toi-même. Et dieu vit que ce qu’il avait fait était beau et dis repose-toi sur le banc, femme.
Ce fut dimanche, septième jour.

DHH dit: à

Puisqu’on parle de proverbes , un proverbe que j’aime beaucoup parce qu’il est une leçon d’amitié;
Si tu as un ami borgne, regarde le de profil

JC..... dit: à

Je suis à deux doigts d’abandonner une tache ingrate : aimer nos sœurs comme nous-mêmes, car vous le savez, je suis féministe actif !

La raison en est simple.

Dans notre havre de bonheur insulaire, mais ailleurs pourquoi serait-ce différent ? les couples se présentent au regard de la façon suivante : majoritairement monsieur/ madame, les gouines et les fiottes font semblant d’être des amis de bibliothèques.

Monsieur ? Petit, gros, ventre saillant, cheveux poivre et sel, tête-de-con, sandales sales, tee-shirt ingrat … rien à dire, monsieur est banal/normal. Atrocement réel.

Madame ? Aaaaah, madame !…. elle tente de plaire, encore, toujours, plaire, plaire, plaire ! talons hauts, pantalons moulants, lunettes solaires de prix, et comble d’horreur : les cheveux blancs dessous, blonds, roux, châtain, auburn dessus merci l’Oréal !… et l’armature du soutien, holà ! calcul de résistance des matériaux à prévoir… Madame ment. Horriblement.

Comment être féministe lorsqu’on voit le mensonge de la teinture parler pour la fausse vierge, la vieille putain, la grand mère sept fois grand-mère ?….

Mon féminisme flanche …

rose dit: à

>DHH du bon côté bien entendu…
Plus difficile pour un qui louche ; choisir quel oeil ?
Supplice de Tantale.

J’adore.
JC se déniaise.

Proverbe newyorkais : si tu as faim, mange ; si tu le peux un steak de Manhattan. Si tu as soif bois l’eau de l’Hudson. Si tu as sommeil dors man. Dors baby loup.

rose dit: à

Si JC flanche, il va peut-être croire en dieu. Dieu aime bien ceux qui flanchent. Il aura la disgrâce sur lui puis la grasse.

Ô voluptés divines…

rose dit: à

pour toi Moïse qui a eu une vie dure : tout est chemin pour les pieds légers/em>

de Marchant Ducel 1987
cf Fata Morgana aussi

rose dit: à

je conjecture, disait Socrate en Ménon 98 b.

Olivier Charraras nous l’a dit, je l’ai cru, tout cru. Peut-être cuit eût-il été meilleur, mais j’étais affamée alors.

Bonne journée DHH et aux alii.(gators, brrrrr)

ueda dit: à

‘Prouver sa virilité, en voilant sa femme ?
Encore ! Les jupes et les jambes des filles n’arrêtent pas de faire des remous. Cette fois, ce n’est pas en France mais en Algérie que le sujet inquiète. Une campagne de « pureté », finement intitulée « Sois un homme » (parce que jouer sur la fibre virile peut toujours fonctionner ?) encourage les hommes algériens à ne pas laisser « leurs femmes » sortir dans une tenue qu’ils jugeraient indécente.

L’opération « Ne laisse pas tes femmes sortir avec une tenue osée » a été lancée début mai par des internautes conservateurs sur Facebook, en réaction à un incident survenu à la fac de droit d’Alger, lorsqu’un agent de sécurité a empêché une étudiante de passer le concours d’avocats parce qu’il jugeait sa robe trop courte.’

Dieu nous préserve de cette civilisation atroce.

Ne cédons pas un pouce de tissu!

ueda dit: à

‘Madame ? Aaaaah, madame !…. elle tente de plaire, encore, toujours, plaire, plaire, plaire ! … Madame ment. Horriblement.’

Non mais, tu sens bien JC?
Tu vas finir par vouloir la bâcher!

Polémikoeur. dit: à

« La vérité est dans la fiction »…
Formulation discutable, non ?
Que la fiction soit une sorte
de convention à enlever emballée
plutôt que distribuée au détail,
peut-être, mais est-elle pour autant
l’écrin de LA vérité (si tant est..) ?
Tout ne serait donc « que » roman ?
Approche dangereuse, conduisant
à ne plus discerner, hiérarchiser.
Est-ce qu’imprimer la légende
plutôt que les faits, comme y incite
la réplique du film de Ford,
a une portée générale ?
Fixionesquement.

La Silice et l'athénée dit: à

Le problème n’est pas tant de chercher à plaire que de définir à qui. Et là, Jc voit sa plainte tomber dans l’eau grasse, malodorante et cloaqueuse du port de Porquerolles. Car quelle fille douée de sa raison (hors la compatissante Christiane, qui n’a pas de rancune…) chercherait à lui plaire, mmmhhh ?

pathos dit: à

JC….. dit: 26 mai 2015 à 10 h 49 min

Madame ? Aaaaah, madame !…. elle tente de plaire, encore, toujours, plaire, plaire, plaire ! talons hauts, pantalons moulants, lunettes solaires de prix, et comble d’horreur : les cheveux blancs dessous, blonds, roux, châtain, auburn dessus merci l’Oréal !… et l’armature du soutien, holà ! calcul de résistance des matériaux à prévoir… Madame ment. Horriblement.

Comment être féministe lorsqu’on voit le mensonge de la teinture parler pour la fausse vierge, la vieille putain, la grand mère sept fois grand-mère ?…. »
JC y a pire les VIEUX BEAUX!! si ça vous dit quelque chose?

ueda dit: à

Exode 4, 24-26

En dépit des gloses infinies, ces versets restent énigmatiques et terrifiants.

Et ce fut en route, à la halte de la nuit, que Yahvé vint à sa rencontre et chercha à le faire mourir.
Ex 4:25- Çippora prit un silex, coupa le prépuce de son fils et elle en toucha ses pieds. Et elle dit :  » Tu es pour moi un époux de sang.  »
Ex 4:26- Et il se retira de lui. Elle avait dit alors  » Époux de sang « , ce qui s’applique aux circoncisions.

Ça rend un peu amer le café.

Je ne lirai pas la fantaisie romanesque de Mme Chandernagor, mais certainement le livre de JCh Attias.

Je me souviens du grabuge engendré par le livre qu’il avait publié avec sa compagne, ‘Israël, la terre et le sacré’.
Un livre excellent pour qui veut réfléchir un tant soit peu sur cette foutue histoire de terre…
Peu propre à être compris par un de nos amis sur ce blog, dont le crédo est moins un « Notre Père » qu’un « Notre Terre »…

Après… les avis de la sénatrice Esther Benbassa…
Bon, lui c’est lui, et elle c’est elle.

mon beau-frère dit: à

ueda dit: 26 mai 2015 à 11 h 19 min
pathos dit: 26 mai 2015 à 11 h 46 min

Je n’en crois pas mes yeux : il y a donc vraiment des gens qui lisent les posts de JC ?

antione dit: à

10 h 21 : ya longtemps qu’il l’a perdue, le vieux grincheux

Polémikoeur. dit: à

Glané : une langue ne laissant pas beaucoup
de place à l’arbitraire…
Une langue donc qui serait moins le résultat
de conventions ? Et ce, parce que le « Créateur »
y tient une place de choix ? Tout le mythe
de la parole donnée ici condensé ! Tout repose
sur le socle d’argile du « message » d’un ordre
supérieur et de sa transmission par quelque
illuminé en état second, de la caverne enfumée
à la fournaise désertique, voire au pilier
de la cathédrale. Visions, illusions,
hallucinations, d’une part, crédulité, fragilité,
anxiété, de l’autre, et magie à la fin !
La parole (divine) est la médecine
de première intention contre
la solitude cosmique.
Silenspacieusement.

ueda dit: à

« Madame ? Aaaaah, madame !…. et l’armature du soutien, holà ! calcul de résistance des matériaux à prévoir… »

De toute façon, JC, ça fait des jours que je pleure par anticipation sur des ruines, et sur la cité de la reine Zénobie.

Sachons saluer avec bienveillance les petites ruines que nous croisons dans notre quotidien.

ueda dit: à

Le sombre YHWH de l’Exode, c’est un roc contre la prolifération du parler Canal-plus.

De lui, au moins, on ne dira jamais qu’il est extra, qu’il est top, qu’il est cool.

ueda dit: à

« Tout repose
sur le socle d’argile du « message » d’un ordre
supérieur et de sa transmission par quelque
illuminé en état second, de la caverne enfumée
à la fournaise désertique » (Pol.)

Quand j’étais étudiant, c’est comme ça que je voyais l’armée, j’étais anti-militariste.

de nota dit: à

Le divorce d’avec Thierry Rey, chez les Chirac, c’était quelque chose.

JC..... dit: à

Camarades erdéeliens, une bonne compréhension du féminisme, gagné par la féminitude humaniste moisie qui le met en danger, devrait nous inciter à la noblesse virile qui est nôtre ! Crions notre joie d’être et soyons cartésiens : « Je bande, donc je suis ! »

Sachant que Passou est avec nous, d’âme et de cœur, hurlons notre discipline footeuse : « Le rut, c’est notre but ! »

Amitiés ! Bonne soirée ! Bonjour chez vous …

Fouchtra dit: à

Rhô, ce ueda, quel déconneur ! J’adore.

ueda dit: à

À propos d’exode

Voici une observation de bon sens de J. Attali:

‘En réalité, les pays européens pensent que la politique de l’immigration doit rester dans le non-dit : on ne doit pas dire combien on en reçoit, ni combien on en refuse.
C’est une attitude absurde.’
Certes, elle engendre la peur et l’agressivité.

Et voici, du même, une proposition qui montre en revanche un manque total de jugement politique, et même une ignorance stupéfiante de ce qu’EST le politique:

« En fait, il faut affronter ouvertement le problème. Et partir de deux faits incontournables : l’Union européenne a besoin d’immigration non européenne, pour maintenir une pyramide des âges équilibrée. Et elle ne peut fermer ses portes à ceux à qui les conventions internationales imposent d’accorder asile.

On arrivera assez vite à admettre que l’Europe a intérêt à :
1. Accueillir plusieurs millions d’émigrants non européens chaque année, et en particulier attirer tous les talents du monde, d’où qu’ils viennent, en les répartissant selon les besoins démographiques.
2. Accueillir en particulier les demandeurs d’asile et les réfugiés politiques et les répartir en proportion du nombre déjà reçus.
3. Mettre en place des moyens d’intégration proportionnés. »

Tous les talents du mondes, les besoins démographiques…
Il suffirait d’une bonne ‘gouvernance’ pour gérer ces flux d’humains interchangeables et les traiter rationnellement en ‘mettant en place’ des moyen d’intégration proportionnés.

La morale plus le marché, tel est le crédo libéral.
La politique doit disparaître, ou devenir leur simple habillage.

Henri L. dit: à

Ce ueda, quel pince-sans-rire !

Widergänger dit: à

Evidemment Esther Benbassa, c’est pas ben ça !

Widergänger dit: à

Heureusement que Babibel sait se servir des majuscules, sinon il ne pourrait même plus penser, ce petit fromage chéri !

Anselme dit: à

Même si l’hypothèse la plus probable concernant Moïse est qu’il s’agit d’une figure syncrétique résultant de la combinaison de diverses traditions, la lecture de « Moïse et le monothéisme », où Freud développe l’hypothèse d’une origine égyptienne de Moïse, reste indispensable. Avec celle, bien entendu, de « L’Avenir d’une illusion », chef-d’oeuvre de cet athée définitif que fut Sigmund Freud.

antione dit: à

12 h 23 : portrait de JC très ressemblant

Anselme dit: à

la lecture de « Moïse et le monothéisme », où Freud développe l’hypothèse d’une origine égyptienne de Moïse

Origine égyptienne de Moïse ET du monothéisme dont le premier promoteur serait Akhenaton (milieu du XIVe siècle av. J.-C. Voir, sur Wikipedia, l’article bien documenté sur Akhenaton.

Duc Bihoreau de Bellerente dit: à

Comment s’étonner que les Mahométans cherchent refuge dans ce qu’il y a de plus conservateur dans leur religion alors que l’Occident ne fait plus d’enfants, ne pense qu’à acquérir, consommer, jeter, et qu’il ne croit plus en Dieu ou le fait hypocritement, comme aux États-Unis. Leur prophète n’avait pas une bien haute idée des mâles puisqu’il leur interdisait l’alcool et la vue des femmes. Peut-être faudrait-il dire à ces hommes: si la vue d’une femme te trouble, t’excite ou te scandalise, reste chez toi. Dans ta maison, ou mieux encore, dans ton pays.

Sergio dit: à

La Silice et l’athénée dit: 26 mai 2015 à 11 h 43 min
l’eau grasse, malodorante et cloaqueuse du port de Porquerolles.

Elle doit pas être tellement plus pire que les autres, lorsqu’il y a force neuf la houle ça déménage quand même, et puis jusqu’à la Tour Fondue il n’y a pas tant que cela, d’une certaine manière ça peut faire isthme l’eau elle bombe…

Non, ce qui est plutôt rigolo, ce sont tous les minuscules (quelques mètres) yachts ancrés devant les plages : il s’agit d’embarcations que l’on peut piloter sans gros permis moteur, mais avec un embryon de moteur quand même, qui traîne le bouzin à quelques noeuds ; de la sorte, et bien qu’ignorant et craignant la pratique du gréement voilier (car il y en a un, bien entendu, c’est même le moteur principal), ils peuvent venir stagner là quelques jours, ce qui leur procure éventuellement des illusions et aussi un loyer moins cher que celui d’une véritable villa.

Un gars comme Proust pourrait en faire ses choux gras, mais à la réflexion c’est du trop petit fretin…

Bloom dit: à

Plus que jamais urgent de lire comment la Raison grecque s’est dégagée de la mentalité religieuse, comment elle a dépassé le mythe, comment se sont articulés cité & raison, en lisant le magistral premier livre de JP Vernant, « Les origines de la pensée grecque ».

Sergio dit: à

Duc Bihoreau de Bellerente dit: 26 mai 2015 à 14 h 59 min
et la vue des femmes.

Si on les voit pas c’est pas pratique, hein ! A moins qu’elles fassent tout… Rusés, ces Muslims !

Widergänger dit: à

Si tu lisais ta Bible mieux que papa Freud, mon petit chéri, tu saurais que l’Egypte joue un rôle crucial dans la Torah. Un peu comme les Etats-Unis face à l’Europe, tu vois, aujourd’hui. Grenier à blé du Moyen-Orient, empire du savoir. On trouve de nombreux juifs dans les peintures égyptiennes.

Moïse était un juif égyptien comme Moustaki… Très banal pour l’époque aussi.

Ce qui est remarquable et que tu ne sais pas voir, c’est que Moïse n’avait aucune culture juive et qu’il a néanmoins joué un rôle central dans l’histoire du peuple juif. Ça, mon petit chéri, c’est essentiel. Tu peux refermer papa Freud qui n’y entrave que dalle.

Widergänger dit: à

Un autre truc essentiel à comprendre, que je t’éclaire un peu de ma science infuse, c’est que les Juifs arrivent à 70 avec Jacob et Joseph en Egypte, et en repartent deux siècles plus tard en une foule de plus de deux millions. C’est ce passage de la famille au peuple qui est significatif dans l’histoire du peuple juif, et le fait que ce passage se fait précisément en Egypte ! Eh ben ouais, mon petit chéri ! C’est ça le truc que tu dois méditer au lieu d’ouvrir papa Freud ! Pourquoi fallait-il que cette vraie mutation se fît en Egypte ? So ist die Grundfrage ! Tu piges ?

le Jocrisse et l'intubé dit: à

… Au fait, pas de rapport avec le sujet du jour mais un bienveillant conseil. Laissez donc tomber tous les multiples livres passés, présents et à venir autour de Je suis Charlie et autres analyses foireuses à la Todd.

… Mais n’en achetez qu’un. Il remplacera aisément tout le reste.

« Catharsis », de Luz, chez Futuropolis.

Je ne vous dirai absolument rien de plus.

Catharsis, de Luz.

Diagonal dit: à

« mieux enfoncer le clou »… certes, mais ça dépend dans quel bois christique le faire.
Cela voulait simplement dire : enfoncer le clou dans les paumes du Christ en croix, et… du point de vue des bourreaux du décodage, l’idée était que ce n’était pas forcément facile au vu de la texture du bois sur laquelle nous ne savons pas grand chose, à vrai dire.
Bref, un peu de malice plutôt que du jargon.

pathos dit: à

quand je pense que sa femme me disait récemment: « on me dit que JC me trompe, la question que je pose c’est pas avec qui mais c’est avec quoi? » et il fait le cacou, ah les vieux naufragés!

bref dit: à

l’HISTOIRE selon Widangeur:
« Jacob et Joseph en Egypte, et en repartent deux siècles plus tard en une foule de plus de deux millions.  »
de sacrés baiseurs les jacob et joseph, ils arrivent à deux et selon notre génie, que fout Malthus, pire que des lapins!!

Widergänger dit: à

Un autre truc pour éclairer ta lanterne, c’est qu’on ne peut pas comprendre le rôle de l’Egypte dans la Torah sans le relier au rôle de Babylone. C’est fondamental, mon petit chéri !

Au nord, l’empire babylonien. C’est là qu’est né Abraham. Tu piges ? C’est quoi Babylone ? C’est le Tigre et l’Euphrate. Un peuple de pasteur, d’errants. Ces deux grands fleuves ont des cours et des débits capricieux et nulle part on ne trouve une zone de sécurité comparable à l’Egypte.

Et c’est quoi l’Egypte ? Ben, c’est précisément le contraire de la Mésopotamie. Ben ouais ! Le lieu non seulement de la science, mais aussi où la maîtrise de l’homme sur la matière est une évidence : par le dessin des canaux et le réglage de l’irrigation. Le pouvoir politique repose sur la maîtrise de l’agriculture. Ça, mon petit chéri, c’est fondamental pour l’époque. Tu piges ?

Alors que vient faire Israël avec la figure de Moïse dans cette histoire d’empires ? Eh ben, c’est simple à comprendre. Si tu regardes une carte du monde, ce qui frappera tes yeux hagards et aveuglés par papa Freud, c’est qu’Israël se trouve juste au milieu entre ces deux grands empires de l’Antiquité. Entre les pasteurs dans le nord et les agriculteurs donc sédentaires dans le sud. Eh ben ouais ! Et pis c’est ça le truc, tu vois ! C’est ça qui te définit l’identité juive. Une identité ambiguë, ouais ! Double ! Ouais ! Tantôt errants (les Juifs d’Europe);, tantôt sédentaires (Israël aujourd’hui), selon les aléas de l’histoire du monde.

Canaan est situé à la frontière de ces deux mondes, des frontières à la fois géographiques et mentales. Israël est tantôt un jardin (comme l’Egypte), tantôt un désert (comme le nord. Et la Galilée est un jardin tandis que la Judée est un désert, reproduisant dans sa géographie même sa fondamentale dualité spirituelle. Et c’est ce que reproduit aussi l’histoire de Caïn et d’Abel. Caïn, c’est l’Egypte, Abel c’est Babel. Leurs affrontements matérialisent au niveau des empires le conflit fondateur de l’histoire humaine (et l’actuel conflit israélo-palestinien n’en est peut-être lui aussi qu’un avatar), et leur réconciliation dans le projet messianique.

C’est aussi pourquoi, contrairement à ce que pense la doxa occidentale qui ne comprend rien au Moyen-Orient (cet Orient compliqué), la résolution du conflit israélo-palestinien ne peut pas ne pas passer par la religion. La clé du conflit n’est ni politique ni sociale mais religieuse, éminemment religieuse. Et le peuple juif est au cœur même de la réconciliation de l’Homme avec lui-même.

Widergänger dit: à

Et Moïse est le premier en titre d’un rôle qui deviendra typique des Juifs éminents jusqu’à aujourd’hui dans la figure du juif conseiller du prince, Attali avec Mitterrand. Moïse est le conseiller du Pharaon.

L’Egypte c’est l’empire caïnique. Ça se lit dans la Torah par le fait que l’anonymat est imposé à tous ses sujets qui ne sont jamais désignés par leur nom mais uniquement par leur fonction. Ce ne sont que des rouages dans la mécanique déshumanisée et déshumanisante de l’empire égyptien, comme tous les empires jusqu’à aujourd’hui avec l’Europe (sauf Putiphar, employeur puis beau-père de Joseph : « le préposé au pain », « le préposé aux boissons », etc., ils n’ont pas d’identité sur les fresques, ils tous le même visage et ne diffèrent que par leurs outils.

Et dans cet empire, les Juifs sont devenus des esclaves. Néanmoins, il y a un léger progrès en Egypte par rapport à Caïn et à la Tour de Babel, autre monde de l’anonymat. Le Pharaon qu’a connu Joseph avait été attentif à ses recommandations, et il avait accueilli le patriarche Jacob avec bonté et respect. Mais avec le nouveau Pharaon, la situation s’est dégradée. Le nouveau Pharaon « n’avait pas connu Joseph ». Et commencent les persécutions.

ueda dit: à

Widergänger dit: 26 mai 2015 à 18 h 23 min
« Et Moïse est le premier en titre d’un rôle qui deviendra typique des Juifs éminents jusqu’à aujourd’hui dans la figure du juif conseiller du prince, Attali avec Mitterrand. Moïse est le conseiller du Pharaon, etc. »

Ce développement ne vaut pas un clou.
L’auteur n’est pas historien, mais cela ne constitue pas une excuse.

le hénième dit: à

Moîse n’est pas le premier conseiller du prince:un cerain échanson interprète des rêves avant lui, et qui avait des frères , …..bonsoir

Henri L. dit: à

ueda dit: 26 mai 2015 à 18 h 43 min
Widergänger dit: 26 mai 2015 à 18 h 23 min
Ce développement ne vaut pas un clou.

Ouh, toi, mon p’tit gars, tu vas t’attirer des ennuis.

olé-o-duc dit: à

faut se faire souris dans la vie

La voix de la vérité dit: à

contrairement à ce que pense ce petit fromage pour souris de babibel, le développement de Widerganger est lumineux, irréfutable.
Heureusement qu’il est là pour nous éclairer. Ah c’est autre chose que le faux Chinois.

arbitrage objectif dit: à

WIdergänger : 10
Ueda : 0

La RdL en délire dit: à

Bravo, Widergänger ! Merci d’exister !
Des comme lui, on n’en fait plus, mes petits chéris. C’est l’honneur du blog.

ueda dit: à

arbitrage objectif dit: 26 mai 2015 à 19 h 06 min
WIdergänger : 10
Ueda : 0

Objectif peut-être, mais quel manque d’élégance!

les pendules à l'heure dit: à

ueda est beaucoup plus intelligent que WGG, c’est un fait.
Ce n’est pas par hasard si Daaphnée est amoureuse de lui, elle a l’œil, elle sait reconnaître les grands esprits.

renator' dit: à

Lacan est la bible

D. dit: à

Je crois plutôt que Daaphnée est impressionnée par Michel, tout comme par moi.

Daaphnée dit: à

Pris en flagrant délire mythomaniaque, ce Wiwi !
A force de se chercher une ascendance aussi prestigieuse que fantasmée, il va finir par nous faire le burnout du siècle.
Déjà que sa maison les pieds dans .. est peut-être à l’eau ..

Daaphnée dit: à

( De toutes les manières, entre Wiwi et D., il faut faire le test de la guirlande.
Si le Wiwi clignote, il est plus fortiche que D. .)

le hénième dit: à

entre le burnout et le burnous, il faut choisir

le hénième dit: à

lacan a été plus modeste, si l’on peut dire en intitulant son livre « Ecrits » un titre biblique effectivement

le hénième dit: à

et le burnous, il faut choisir, sans nous faire suer

Daaphnée dit: à

Après, le plus fort c’est celui qui possède le plus de dromadaires …
Pour D., on ne sait pas.
Pour Wiwi, déjà qu’à bicyclette ..

Y. P. dit: à

Babibel, c’est joli comme petit nom, je trouve. Qu’en pensez-vous, le hénième, vous qui est le grand spécialiste en pseudos de ce blog ?

Y. P. dit: à

Et Daaphnée, vous trouvez que c’est un joli pseudo ? Moi je trouve que ça fait un peu nunuche, ce double a et ce e final, mais c’est peut-être exprès. On ne sait pas.
Vous avez une idée lacanienne là-dessus, le hénième ?

le hénième dit: à

by Etgar Keret
In this excerpt from his new book, the author remembers his father’s shiva and how there are so many different ways to know our parents.
new yorker

w9 dit: à

action décisif contre l’indécision

merrydiennement dit: à

Il a parfois des réactions de mère fatiguée par son peuple ;
pourquoi de mère si ce n’est pas ici la logique du féminin qui précède? les réactions de père sontelles différentes? on connaît celles du Divin

D. dit: à

N’est-ce pas qu’en réalité je vous ai toujours impressionné, Daaphnée ? Vous n’oserez pas le dire mais je suis le type d’homme que votre inconscient désire. Il faut reconnaitre que Ueda est un type très bien, cultivé et intelligent, mais au fond de vous ça ne peut vous satisfaire.
Est-ce que je me trompe ? Je vous permets de ne pas repondre.

D. dit: à

Parlez-moi de votre enfance, Daaphnée. Le petit garçon dont vous étiez amoureuse à 5 ans est mon portrait tout craché, n’est-ce pas ? Vous n’êtes pas obligé de l’avouer.

Anselme dit: à

 » Moïse et Jude, des hommes rien que des hommes « , ce titre, plus la photo où le personnage du premier plan connaît manifestement un orgasme, je sais bien que l’heure est à la lutte contre l’homophobie, mais tout de même…

rose dit: à

Widergänger dit: 26 mai 2015 à 18 h 23 min

Et Moïse est le premier en titre d’un rôle qui deviendra typique des Juifs éminents jusqu’à aujourd’hui dans la figure du juif conseiller du prince, Attali avec Mitterrand.

Et Rebsamen de Hollande et annonçant de manière prophétique que nous n’avons pas encore réalisé que nous avions face à nous un immense président. Non, nous nous étions arrêté au scooter nous et à certaine photo béate fuitant sur la toile.

En frelon dit: à

pourquoi pas s’y jurer d’y prendre gare?

JC..... dit: à

Résumons,

Moïse ? une espèce d’Omar Sharif coléreux, un type impossible, à moitié fou, entièrement reconstruit dans un décor hollywoodien avant l’âge, un dément, un mégalo mal inspiré… bref un gros nul qui attire les ennuis !

Jésus ? Un terroriste juif, un skinhead, un prophète farfelu, un gourou d’époque, un sale sémite ne respectant pas l’élite pharisienne, un Lenin du collectivisme religieux, un cinglé, un « martyr », un délirant de haute tenue … par chance, ce fou a fini comme il devait finir ! On finira par l’oublier, lui, le vieux barbu et le zoziau.

Conclusion
Je ne mettrai pas un sou dans l’achat de ces deux brochures délirantes encensées par un Passou dithyrambique, certain que ce sont propos de bar sur une légende idiote parmi d’autres, vieillie au mensonge fin….

Bonne journée, petits mécréants !

baptiste dit: à

ueda dit: 26 mai 2015 à 18 h 43 min
« Ce développement ne vaut pas un clou.
L’auteur n’est pas historien, mais cela ne constitue pas une excuse »

Le fait qu’il ait besoin de se faire ce film pour échafauder sa structure psychique et le décréter imparablement historique, peut intéresser les psys

merrydiennement dit: à

Un écrivain ne s’autorise que de lui-même
comme le psychanalyste selon Lacan comme c’est bizarre!

mythes et histoire dit: à

Sargon d’Akkard/Hosarsiph prêtre d’Osiris/Moïse Ramsès: deux ou trois en un

closer dit: à

 » la résolution du conflit israélo-palestinien ne peut pas ne pas passer par la religion. La clé du conflit n’est ni politique ni sociale mais religieuse, éminemment religieuse. »

Il est vraiment très fort ce Widergänger!

Evidemment que la solution est religieuse!

Il suffit que tous les israéliens se convertissent à l’islam sunnite le plus stricte et tout est réglé!

Comment ne pas y avoir pensé plus tôt?

closer dit: à

« le plus strict »

La milice et l'nouveau-né dit: à

Adresse à notre hôte, Pierre Assouline : je sais que vous ne critiquez guère la bande dessinée, mais ce livre-là (d’ailleurs, ce n’est pas de la bande dessinée mais des dessins), vous devriez vous y intéresser. Je n’en dis pas plus, ça s’appelle CATHARSIS, c’est de LUZ. Si, j’en dis un peu plus : foncez dessus…

Abou Jissé al Porquerolli..... dit: à

Elle va nous faire sa danse du ventre -Luz par ci, Luz par là- pendant longtemps, la mère Dagobert ?

« Ô mon Passou ! Du Luz, parle nous ! Ouh Ouh ! »…. débile, la Normande.

Ces blasphémateurs de Charlie ont eu ce qu’ils méritaient … N’en parlons plus !

giulietta massina dit: à

entendu ce Kamel Daoud ce matin sur France-Inter, quelle intelligence… en opposition aux braiments du PQ de Benito toto

Ce qu'en dit Rimbaud dit: à

selon Lacan… 7h16 . Ce frère Jacques aura-t-il-il été canonisé en douce à l’insu du monde scientifique photogénique et apolitique? C’est immoral!

Ce qu'en dit Rimbaud dit: à

14h48 La France héberge également quelques autochtones intelligents, rien d’anormal à ce que ce Kamel ne soit pas complètement noc.

Anna Fort dit: à

rien d’anomal non plus à ce que le PQ de Benito soit une andouille

Quel âne! dit: à

et anna forte andouille, hue!

le lard et le cochon dit: à

c’est normand.

La philosophie pour tous dit: à

Luz par ci, Luz par là- pendant longtemps, la mère Dagobert ?

Le cul de l’âne, sans lumière.

Sergio dit: à

JC….. dit: 27 mai 2015 à 6 h 52 min
Jésus ? Un terroriste juif, un skinhead,

Non mais y a pas que ça, y se balade en pagne ! Est-ce que machin, là, dans les Muslims, y se balade en pagne lui aussi ?

Et puis, comme on disait, dans les lycées de la république, « le Christ est un homme qui a une assiette sur la tête »… Claude Simon n’aurait pas fait mieux ! Chardonne aurait peut-être précisé « en porcelaine Barnery »…

Abou Jissé al Porquerolli..... dit: à

Après le coup de « L’esprit du 11 janvier », merveilleux flop puisque nous avons refusé clairement d’y participer, le coup du « Panthéon pour tous », lequel nous fait marrer tant il démontre la bêtise des élites actuelles …

Eh ! Cannes et le cinéma…. c’est fini ! La vraie vie se passe au Califat !

arcadius dit: à

 » Ce que bcp de gens sont vraiment incapables de comprendre, c’est que D.ieu est une nécessité métaphysique, étant donné que l’homme n’a pas les moyens intellectuels pour définir des normes, des repères dans quelque domaine que ce soit.  »
Autre assertion du frelampier du blog, Dieu est aussi nécessaire que les extras terrestres ; je ne sais plus qui a dit : moi je hais les martiens.

Abou Jissé al Porquerolli..... dit: à

Arcadius,
votre Laplace, ce bouffon des Lumières, « qui n’avait pas besoin de cette hypothèse », il n’aurait pas fait long feu à blasphémer devant nos kalachs ! En joue !…

Elles vont pas tenir longtemps, vos Lumières falotes !

Sergio dit: à

S’ils existaient pas, les extraterrestres, y aurait pas trente-six solutions, faudrait les chercher…

ça impacte dit: à

Sergio dit: 27 mai 2015 à 18 h 43 min
S’ils existaient pas, les extraterrestres, y aurait pas trente-six solutions, faudrait les chercher…

et on peut le prouver

Widergänger dit: à

Belkacem cautionnée par Jean Zay… Celle après laquelle plus rien ne repousse…

Belgacom dit: à

J’imagine que chacun campe sur ses positions.

Hélas! dit: à

brayonnante un jour, brayonnante toujours.

Anselme dit: à

» Ce que bcp de gens sont vraiment incapables de comprendre, c’est que D.ieu est une nécessité métaphysique, étant donné que l’homme n’a pas les moyens intellectuels pour définir des normes, des repères dans quelque domaine que ce soit. » (cité par Arcadius)

Le crétinisme et l’ignorance dévoilés par une telle assertion sont proprement astronomiques. Il faudrait offrir à son auteur une visite au bureau des poids et mesures et à celui des longitudes,ainsi qu’un exemplaire du Code pénal et du Code civil, histoire d’éclairer, rien qu’un tout petit peu, sa lanterne.

lola dit: à

@ widerganger aurait-il été plus exact que vous écriviez: dans un miroir déformant NVB entr’aperçoit Jean Zay ….si loin…si loin

Widergänger dit: à

Il est vraiment drôle, Anselme.

Sergio dit: à

Longitudes, longitudes… En loxodromie, ou en orthodromie ? Y a une nuance bon Dieu !

D dit: à

renato s’il est une chose que le monde doit savoir vous concernant ainsi que moi-même D (le véritable), la voici: nous ne sommes pas auréolés, que le regard s’oriente vers le haut, vers le bas en passant par la Lorraine et alors que nous sommes ceints des lauriers et des herbes aromatiques qui honorent la républiqure.

Oeil de Linx (°!°) dit: à

« Un aveugle qui mendiait
était assis au bord du chemin… »

La guérison de l’aveugle Bartimée est un récit particulièrement fort pour nous inviter tous à la conversion et à l’accueil du Christ dans nos vies.
Aveugle, assis au bord du chemin, Bartimée va retrouver la vue et suivre Jésus sur la route.
Quel bel itinéraire de foi! Cette foi le fait crier sans peur de gêner les autres ou Jésus lui-même, même si certains veulent le faire taire. On dirait même que les empêchements ne font qu’accentuer sa détermination.
Remarquez que Jésus ne l’appelle pas lui-même, mais demande justement à ceux qui le laissaient sur la touche de le faire venir.
Nous pouvons être, les uns pour les autres, soit des « éteignoirs » qui rabaissent, soit des veilleurs qui encouragent. « Confiance, lève toi; il t’appelle! »

Evangile selon sait Marc,
Chapître 10,
versets 46 à 52.

Se tenir debout!

bérénice dit: à

8h32 Après visionnage je me demandais si cela ne cachait pas une autre vérité comme dansun palimpseste, Est-ce que tous nos ministres demandent à ce que certaines toiles soient dérobées à la vue du grand nombre afin de jouir en plus d’un plaisir purement esthétique du privilège qu’offre le détournement provisoire des trésors de la réserve des grands musées.

Anselme dit: à

Un monde fou derrière la plume de François Hollande « écrivant » son discours du Panthéon. Historiens, conseillers…

L’article du « Point » omet soigneusement de dire que l’auteur principal, c’est tout de même M Hollande. Voir l’article du « Monde » de ce jour :  » fidèle à ses habitudes, c’est bien M. Hollande en personne qui a conçu et rédigé ce discours « .

JC..... dit: à

qu’est-ce qu’on s’emmerde ici sans moi, hein ?

rose dit: à

pas du tout.

D. dit: à

J’ai faim.

JC..... dit: à

Il a été plus facile à Moïse de passer la Mer Rouge que le Cap des 400-Coms …..Sic transit gloria moïsi.

PS : félicitations à l’usurpateur de 10h41 : il semble plus vrai que nature. C’est ainsi que les moucherons grossiers se prennent pour des aigles hautains, juste avant la tapette mortelle.

giulietta massina dit: à

usurpation : prouve-le, dugland

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