2018 : Voeux à volonté !

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bises

Meilleurs Vœux, et beaucoup de bons livres!
MC

Je vous souhaite à tous également ce que vous pouvez vous souhaiter, mais en mieux, pour cette année 2018 ! À voir ce qu’elle nous réserve.

… et une chose dans l’autre nous voilà en 18…

https://blogfigures.blogspot.fr/p/news.html

Mais comment cette photo a-t-elle pu se faire ? que font ces deux-là sur le toit ? Juste au-dessus d’un appartement doucement éclairé. Où était Passou pour prendre cette photo ?
Quant au chat de Philippe Geluk, il est extra !
Bon, vieux ou pas, premières heures dans l’année. Vent et pas encore la pluie annoncée. Meilleurs vœux. pour le petit peuple de ce blog et une gerbe d’humour pour son capitaine.
« Peu importe ce qu’on pourra vous dire, les mots et les idées peuvent changer le monde (…)C’est dans ses rêves que l’homme trouve la liberté, cela fut, est, et restera la vérité. » (John Keating)
« O Captain! My Captain! our fearful trip is done ;
The ship has weather’d every rack, the prize we sought is won ;
The port is near, the bells I hear, the people all exulting,
While follow eyes the steady keel, the vessel grim and daring » (Walt Whitman)

Je vous offre moi aussi du Philippe Geluck (mais malheureusement sans le dessin!):
« Une nouvelle année qui commence c’est comme quand il a neigé toute la nuit et qu’on peut faire des traces dans la poudreuse »
Je vous souhaite à tous de faire de belles traces.

Pierre Murat se souvient d’une séquence de « Radio days » : « Sur le toit d’un immeu­ble luxueux, une nostalgie à la Tchekhov étreint soudain ces mondains : « Encore une année qui s’en va », dit l’un. « Elles passent si vite et voilà qu’on se retrouve vieux, sans jamais avoir rien compris », ajoute un autre. « Qui se souviendra de nous ? » fait un troisième… Film magique sur les souvenirs, ces instants volés au néant. « 

Excellente année à tous.

(Clopine toujours si bizarrement spirituelle. Vous me faites penser à un poète que j’ai bien connu. Je raconterai ça un de ces jours, mais pas ici, trop trash).

D. a survécu à une énième fin du monde.
Bravo D.
Bonne année à tous.

Meilleurs vœux à tou(te)s
et pour des souhaits plus précis je crois qu’on ne peut pas dire mieux que ce que nous dit le chat en tête du billet

…
…le chat, du billet, c’est de la merde, pour moi,!…prenez en soins,!…Ah,!Ah,!…
…
…je ne tolère pas, le monopolisme de ce chat,…il, y à mieux, partout ailleurs, en l’esprit de chacun, de nous,…
…à sortir, de ce manichéisme graphique,…
…déjà, des environ, du début, des années 1980,… » çà date, cette marque de Lego  »
…pour s’enfiler les saints esprits,!…des paradis apocalypses, à dérocher,!…
…
…franchement, tordez, votre linge, en familles,…
…

Mais nombre de livres qui paraissent aujourd’hui nous tombnt d’emblée des mains et sont illisibles déjà à leur sortie…

Un écrivain, c’est rare !

Ah, dans cette catégorie là, il y a pour feue 2017 le Désérable, ou l’on apprend sans rire et entre autres bévues que le Rouge et le Noir est une chronique de 1830. Le découpage par brefs paragraphes numérotés en première partie ne se justifie pas, et le tartinage du Moi de l’Auteur laisse pressentir un beau désastre! On peut se demander comment Gallimard a publié ça!
Certaine Lanterne d’Aristote parue il y a quelques années , mieux fichue, n’est pas , en un genre différent, plus convaincante. Ce n’est lus de l’obsolescence, c’est de l’inutilité programmée!
Bien à vous.
MC

a-t-il dit oui ?
http://www.preljocaj.org/newsletter/focus/2018_01/Voeux_2018_web.html

Bonne année

Ce n’est lus de l’obsolescence, c’est de l’inutilité programmée!

tu peux pas faire dla critique par hanticipation dirait polo..et puis tout cqui fait des thunes ça se critique..et doctement meussieu courte..gacheur de métier

Avec ses poires aux reflets dorés pend

ça fait trop misère allaitante..hon a beau dire la fée verte ça fait plus classe dracul

tiens dracul j’ai hun cadeau pour toi..mais réagis nom de dieu dracul

https://laughingsquid.com/the-isolator-a-bizarre-helmet-invented-in-1925-used-to-help-increase-focus-and-concentration/

chaloux..chaloux..ha oui c’est ce gros conard que j’ai connu l’an dernier..rassurez vous jvous racontrais pas

Bon ça c’est Passou en train d’essayer sa trompe de chasse sur le toit du Lutetia…

la psychanalyse est en dça de l’art de tout faiseur de métaphore et dhimage dracul..tout ce qui n’est pas verbalisabe est socrcelrie pour zigmund..il le dit trés espréssément..je me range derière ceux nombreux qui pensent que cette littéralisation fut un grand désastre pour l’espression en général

Et cette poire qui pend, ça donne quoi en psychanalyse? Cela dit on voit très bien qui est la poire.

ED a bien vu d’emblée qui est ce pauvre boumou… On peut dire qu’il y a là un portrait qui fait mouche, et même grosse mouche.

Dans son poème Celan cite un extrait de l’hymne de Hölderlin sur Le Rhin :

Ein Rätsel ist Reinentsprungenes. Auch
Der Gesang kaum darf es enthüllen. Denn
Wie du anfingst, wirst du bleiben,
So viel auch wirket die Not
Und die Zucht, das meiste nämlich
Vermag die Geburt,
Und der Lichtstrahl, der
Dem Neugebornen begegnet.

_________

Tout jaillissement d’une source pure est mystère. C’est à peine
Si le chant orphique ose lui-même en retirer le voile. Car
Tel tu es à ta naissance, tel tu demeureras,
Si puissante que soit la nécessité
Et l’éducation, rien n’est plus
Puissant que la naissance,
Et le premier rayon de lumière qui
Touche le nouveau-né.
_________
On voit combien la vision du monde chez Hölderlin peut être profondément réactionnaire. On comprend qu’elle ait pu inspirer politiquement Heidegger. Mallarmé aura une autre vision de « l’explication orphique de la terre ». C’est quand même la grande différence entre le légendaire allemand et le français. On comprend que dans ces conditions le nazisme ait pu s’emparer si facilement de Hölderlin et en faire le piètre représentant de la Germanité au sens où l’entendaient les nazis, au point d’en faire une anthologie pour la poche des soldats au front de l’Est. La poésie de Hölderlin reste très ambiguë, quoi qu’on dise !

Meilleurs vœux pour 2018.

>Melle Rose :je consens à siester si vous venez me border
>M WGG : joli, ce paysage qui vient plonger dans l’eau
>M Macron : que retenir des vœux présidentiels ? quelques conjugaisons du futur de l’indicatif et une phrase pompée sur un discours de Kennedy

Message pessimiste du Souverain Pontife, rappelant la folie des hommes, qui n’a pas épargné 2017. Comment espérer après cela une belle et heureuse année 2018 ? L’humanité est en quête de révolution dans les esprits. Il faudra abolir le travail, surtout. Déclarer illégale toute guerre, pour que la paix l’emporte. Arrêter enfin Polanski, pour que la justice passe. Et bien d’autres choses, en espérant aussi que la littérature évoque tous ces problèmes avec talent et produise de meilleurs livres. Un gros labeur en perspective :

« Le pape François a déploré dimanche que 2017 ait été une année marquée par les guerres, les mensonges et les injustices. Il a invité tout un chacun à assumer la responsabilité de ses actes. S’exprimant lors des vêpres de fin d’année dans la Basilique Saint-Pierre, le souverain pontife a estimé que les êtres humains avaient « défraîchi et blessé » l’année qui s’achève « avec des oeuvres de mort, des mensonges et des injustices ». »

Pour le dément wgg l’année a commencé par un sinistre rabâchage autour de Hölderlin, qui ne mérite pas cela. Je fais donc également le voeu que wgg soit moins omniprésent, et qu’il soigne sa sombre manie qu’il trouve à exploiter sur ce pauvre blog où il martyrise les internautes honnêtes.

l’humanité pensante

C’est à dire :Moi, Blabla.

Si Hölderlin et Celan avaient pris connaissance de ce qu’un sombre crétin comme wgg leur fait subir à force de commentaires à la con, ils se seraient à nouveau suicidés à la seconde !

@soleil vert
« une phrase pompée sur un discours de Kennedy »
la prochaine fois on aura droit à « la nouvelle frontière »
Ca peut faire image dans une profession de foi européenne

Le pape préconise, dans sa grande sagesse, le silence. Certains ici, tel wgg, seraient bien inspirés de suivre ce conseil. L’homme moderne est asphyxié par le bruit et le mouvement, il n’a plus une seconde pour penser à lui-même. Penser à Dieu, c’est penser à soi-même. Il faut prendre son repos dans la poésie, non celle fabriquée par des prétentieux comme wgg, trop pédants pour être honnêtes, mais dans l’humble recueillement de soi-même, en récitant par exemple, pour commencer, un simple Notre Père :

« Le pape a recommandé de prendre un moment de silence, chaque jour, pour être avec Dieu, affirmant que cela permettra de « garder notre liberté des banalités corrosive de la consommation et des étourdissements de la publicité, du déferlement de paroles vides et des vagues irrésistibles des bavardages et du bruit ». »

Delaporte dit: 1 janvier 2018 à 14 h 36 min
Pour le dément wgg l’année a commencé par un sinistre rabâchage autour de Hölderlin, qui ne mérite pas cela. Je fais donc également le voeu que wgg soit moins omniprésent, et qu’il soigne sa sombre manie qu’il trouve à exploiter sur ce pauvre blog où il martyrise les internautes honnêtes.

Amen.

ED a bien vu d’emblée qui est ce pauvre boumou… On peut dire qu’il y a là un portrait qui fait mouche, et même grosse mouche.

J’ai oublié mes propos à son sujet. Il était plus obsédé par ma poire que l’inverse. Pardonnez-moi d’accorder si peu d’attention aux haineux/tartineurs de confiture de ce blog.
Ma présence ici tient aux articles intéressants et à certains commentateurs bienveillants et un minimum dans l’échange. Quant à ceux qui s’écoutent parler…

de Ses commentaires…

Pat V dit: 1 janvier 2018 à 16 h 49 min
Wégégèze opère avec ce blog comme les artistes malades mentaux avec leur » bourrage » de leur feuille à dessin.Il remplit l’ espace du blog jusqu’ aux bords, de des commentaires avec l’ exégèse de ses propres commentaires.
Remplir pour exister, même un soir de réveillon. La démarche est paroxystique pour ne pas dire démentielle avec les jurons lancés alentours qui font croire à un possédé du Daimon. Belle bête avec du poil aux mots!

http://3.bp.blogspot.com/-pl1_J5soyDQ/Tu8FadTmOiI/AAAAAAAACko/fvMaC_7I-j4/s1600/RaphaelLonne.JPG

Lui, le haineux Petit Rappel et le troll bougou. Ils ont pris un coup de pelle les 2be3 !

Soleil Vert, vos biscuits ne sont pas des petits lus

Ed, vous n’allez pas être ami avec christiane qui raffole de « l’humour » des deux haineux que vous citez, le p’tit Court et boumou

La mise entre guillemets est une évidence.

Soleil vert, d’accord, je consens

comme les artistes malades mentaux avec le » bourrage » de leur feuille à dessin.

Bon, Raphaël Lonné dont l’ œuvre a été mise en lien n’ était pas le moins du monde un malade mental, je tiens à le préciser dès maintenant.

D.
Et moi des endives au jambon (pour rester dans le halouf).

rose dit: 1 janvier 2018 à 17 h 46 min

C’ est drôle mais je pense plutôt à Passou avec son appareil photo toujours dans la poche ce qui n’ est pas sans me rappeler une nouvelle ( ou un roman ) de André Pieyre de Mandiargues se promenant dans les quartiers un peu chauds de Barcelone avec une boîte de préservatifs dans sa poche.
Pourquoi assimiler l’ appareil photo à une boîte de préservatif, ce que j’ éprouve aussi puisque j’ ai toujours un appareil photo par devers moi.
Est-ce la connotation sexuelle, être toujours prêt à tirer ( un coup, un cliché )qui en serait la synthèse sémantique?

Vous êtes nuls, mes pauvres chéris. Si on arrive si facilement à vous remplir avec trois fois rien, c’est que vous êtes vides… des baudruches vides et gonflées de suffisance, avec des pointures comme delalourde et chaloux et closer, le trio infernal…

Pourquoi assimiler l’ appareil photo à une boîte de préservatif, ce que j’ éprouve aussi puisque j’ ai toujours un appareil photo par devers moi

c’est pasque t’as un pti oiseau papate..élémentaire qu’y dirait watson

C’est ce à quoi me fait penser cette photo

c’est pasque t’es hun triss pov nullos qu’a jamais pris l’apéro sur le zinc..

Ce soir je mange du saucisson à l’ail

au rouftop

Wégègèze, on prend calmement le thé sur ce blog ce soir, ne brandissez pas la bouteille de whisky bas de gamme de cette si brutale manière, voyons!

Quand chaloux croit être intelligent, ça fait peur…

Quand Blabla croit être intelligent, ça fait rire…

Rose, je crois qu’ils sont en train de se prendre en selfie.

t’as perdu tes hilluzions et la foi mon larbin..et tu tvois con dur comme fer..duralesque

Oui, cela y ressemble bien…

Mais non Sergio, avec cette description académiquement plate, vous nous faites du figuratif pompier, là.

ils répétaient une antenne

la version de serdgio c’est un gode ceinture en haut d’un paratonnerre?..je vais voir

Seuls les fous rient des gens intelligents, c’est bien connu.

franchment lassouline pour un parisien endurci jm’étonne..que tu sois pas allé bomber des bites sur les chminées..la tienne doit en avoir hune ou deux..et je crois même que je suis allé sur les toits de la rue cherche midi..j’ai pas toujours un protège dent dans la fouille pour mon larbin..mais la tentation aurait été grande de passe houtre

tient ce con d’écorcheur de pti chien..décidément 2018 ressembe a 2017..c’est décevant

Lacenaire dit: 1 janvier 2018 à 18 h 20 min
bouguereau : nouvel an, nouveau gode ceinture !

Il y a des pieds qui usent les chaussures…

Pat V dit: 1 janvier 2018 à 18 h 13 min
figuratif pompier

C’est à caus’de la réalité : elle est contre l’esthétique ; elle a bien tort !

Il y a bien d’autres allusions aux poèmes de Hölderlin dans Tübingen Jänner. Les cris des mouettes à la fin de la première strophe renvoient naturellement au poème apocryphe transmis par Waibliger dans son roman : « In liebicher Bläue », où Hölderlin parle du « Geschrei von Schwalben den/umgibt die rührenste Bläue », « les cris des hirondelles/ qu’entoure le bleu le plus touchant ».
La synagogue de Tübingen, inaugurée en 1882, a été incendiée en 1938, lors de la Nuit de cristal. En 1933, à l’arrivée de Hitler au pouvoir, il y avait 88 Juifs répertoriés, soit 0,4 % de la population. Dès juin 33, la piscine leur était interdite. Yad Vashem répertorie 42 victimes déportés dans les camps entre 1941 et 1942. On imagine l’état d’esprit dans lequel devait être Celan quand il s’est retrouvé à Tübingen dans la fameuse tour au bord du Neckar.

Dernière remarque
Cette pensée réctionnaire, compte tenu que les Hymnes sont pour leur majorité situables entre 1800 et 1806 ne serait-elle pas déterminée par le contexte historique: un pays humilié par son voisin napoléonien, et dont l’élite a tendance à quitter les modèles français du Dix-Huitième siècle pour ressusciter progressivement les mythes de la psyché germanique? On voit cela 10 ans après dans certains tableaux de Friedrich.
MC

et dont l’élite a tendance à quitter les modèles français du Dix-Huitième siècle pour ressusciter progressivement les mythes de la psyché germanique?

le lien entre romantisme hallemand et les nazis est essentielement téléologique comme haurait dit zouzou

À ma connaissance il n’y a aucun psychanalyste « jungien » qui ait commis quelque écrit que ce soit sur Hölderlin. Les études psychiatriques sur Hölderlin sont toutes rédigées par des freudiens.

Mais il est certain que le poème « Moitié de la vie », qui s’intitulait d’ailleurs d’abord « Schwäne », Cygnes, est intéressant à étudier de ce point de vue analytique : le narcissisme avec l’image renversée du paysage dans le lac ; le verbe « hängen » qui, placé comme il est en fin de vers et séparé du sujet lui-même inversé, produit un effet de vide si saisissant dès la première lecture, la prosodie cassée, les audaces de découpe du vers par rapport à la phrase, et l’image des drapeaux qui se s’entrechoquent à la fin dans une image parallèle mais inversée là encore, de la vie/à la mort, des cygnes qui rencontrent leur image dans l’eau comme Narcisse. Autant de signes d’une blessure narcissique qui débouchera quelques années plus tard sur la folie.

Ce n’est pas un beau poème avec les reflets d’un paysage dans un lac, c’est un poème tragique qui dit une profonde détresse sans nom. Ce n’est pas sans raison que le premier psychiatre à le lire, Wilhelm Lange-Eichbaum l’avait rangé en 1909 dans les poèmes de la folie. D’ailleurs, bizarrement, Fred Uhlman suit ce classement dans son récit.

et dont l’élite a tendance à quitter les modèles français du Dix-Huitième siècle pour ressusciter progressivement les mythes de la psyché germanique?

c’est la révoltion française et napo qui est essentielement la cause de cette ‘renaissance’..c’n’est pas un retour en arrière..c’est la naissance d’hune nation qui ne s’est pas telement faite ‘contre’ la france..leur modernité

« Cette pensée réctionnaire, compte tenu que les Hymnes sont pour leur majorité situables entre 1800 et 1806 ne serait-elle pas déterminée par le contexte historique: un pays humilié par son voisin napoléonien, et dont l’élite a tendance à quitter les modèles français du Dix-Huitième siècle pour ressusciter progressivement les mythes de la psyché germanique? »

Cela me paraît d’une évidence absolue MC. A l’époque l’ogre impérialiste, c’était la France de Napoléon, personne d’autre. Il est parfaitement ridicule de reprocher à Hölderlin une réaction patriotique qu’il partageait avec beaucoup en Europe et d’en faire un ancêtre des nazis.

Je me demande en quoi la folie légitimerait davantage une approche psychanalytique que le bon sens

celle là est pas mal du tout..poigner vilain

Napoléon était-il déjà considéré comme un tortionnaire de l’Allemagne entre 1800 et 1806?

Quand je l’avais rencontré, j’avais précisément discuté avec André du Bouchet de la question des liens entre le romantisme allemand et le nazisme. Lui était franchement contre l’idée de voir un tel lien. Moi j’étais déjà beaucoup plus circonspect. Si les nazis ont pu si aisément s’emparer de poètes comme Hölderlin, c’est qu’assurément il y a quelque atome crochu (si je puis dire) dans leur nationalisme exacerbé qui les rend poreux aux idéaux délétères du nazisme.

C’est ce sur quoi insiste d’ailleurs Dumont dans son livre où il compare le cosmopolitisme français hérité des Lumières avec le nationalisme allemand.

les liens entre litterature poésie et histoire des idées sont essessivement scabreux dracul..

surtout parcequ’on himagine trés vite qui pilotra l’autre..un peu comme zigmund..dla phaizandrie à une hostelrie de notaires de province

Deux hommes finissent leur histoire sur les toits de Paris, c’est dans « La prisonnière », dernier film de Clouzot.

C’est cette logique infernale qui peut expliquer aussi que les socialistes allemands ont voté les crédits de guerre à Guillaume II en 1914. On voit bien l’énorme différence avec le socialisme français à la même époque. C’est éclairant aussi pour la suite.

Je vous laisse à cette érudition de pacotille.

Un esprit.

Sa Couronne, dear Phil, n’est pas ce qu’elle a fait de mieux. C’est la Grèce au congélateur. Reste qu’au début du XIXe, les références grecques sont partout, pas besoin d’être grand clerc pour les dénicher.

Quand ils ne savent plus quoi faire, ils s’allient, un grand classique de la RDL, solidarité de poivrots.

Je viens de lire mon horoscope pour 2018, il est tellement mauvais que j’ai décidé de passer direct à 2019. Ciao,à beaucoup plus tard. Portez-vous bien, mais ouvrez le troisième oeil, les années paires sont des traitresses, à moins que d’avoir des tendresses cachées, comme pour la boîte de Pandore.Je souhaite donc aux Aristarques – quelle belle antonomase,un peu nase mais très aristo- d’avoir une chance, folle.

antonomase

Gisèle, c’ est un joli mot que celui-là.

Louis Dumont fait remonter la divergence entre France et Allemagne aux Lumières elles mêmes dans la mesure, écrit-il, où les « Lumières allemandes se distinguent de leurs homologues occidentales en ce qu’elles étaient religieuses. »

Trœltsch, auquel Louis Dumont consacre tout un chapitre, montre dans un ouvrage de 1916 comme fonctionne l’Allemand : il vit dans une communauté (Gemeinschaft) à laquelle il s’identifie. Cette communauté est essentiellement culturelle : il est homme en tant qu’il est d’abord allemand. C’est ce qu’on peut lire également dans le récit de Fred Uhlman qui se définit à travers la bouche de son héros Hans d’abord comme Souabe, enseuite comme Allemand et en dernier lieu seulement comme Juif. Mais Trœltsch fait remarquer ensuite que si l’intellectuel allemand se détourne de la société civile (Gesellschaft) au sens où elle est faite d’individus alors qu’il ne se reconnaît que dans la Gemeinschaft, il se pense lui-m^me comme un individu et consacre tous ses soins au développement de sa personnalité propre. C’est le rôle imparti à la fameuse Bildung ou éducation de soi-même, dont le roman de Gœthe, Les Années d’apprentissage de Wilhelm Meister constitue le modèle, modèle si important dans la littérature allemande de Gœthe à Thomas Mann, et dont le roman d’éducation en France est au fond assez éloigné ! L’homme allemand est donc schizophrène par nature en somme. Comme l’écrit Louis Dumont « il y a là une dualité qui est à la fois caractéristique et, à première vue, curieuse. » Cette survivance au cœur des Temps modernes de la notion de communauté, qui n’a rien à voir avec ce que nous appelons en France la « communauté nationale », constitue en Allemagne une « orientation holiste », qui se traduit par le culte de l’obéissance, la soumission spontanée aux autorités politiques et sociales, et un développement proncé de l’individu. On en verra les conséquences désastreuses sous le nazisme.

c’est dla querelle d’almand de de peuples hélus qui rgarde pas les ptis franseuziche dracul..yavé votan même combat à nous chyer des comtoises..ici tcheurchill y dirait que cqu’y nous protège des fantomes c’est qu’y a 36000 fromages dracul..et que tousse..chca not mort certaine!..on en découve hencore..moi pas plus tard qu’hier..et ça rend modeste

de plus heulderlin est ptête pas mal..mais le beuz nazi et heideguerien lui a mais des chaussettes a pompon qui lui vont pas du tout..c’est haussi con de dire que paris occupé c’est dla faute a un bodler défaitiss et ravagé..les deux sont bons mais lheulderlin il est déjà gonflé a l’éliom et toi tu lui met des implants d’adn recombinant et dl’estrait de couille d’auroch..halors que seul le grand goering possédait la formule

Pour sortir de telles âneries, il est clair que le bouguereau a, lui, de grosses couilles d’auroch implantées par Gœring !

Le problème avec bouguereau c’est que ses couilles ne lui servent qu’à être un éjaculateur précoce…

idergänger dit: 1 janvier 2018 à 20 h 21 min
Pour sortir de telles âneries, il est clair que le bouguereau a, lui, de grosses couilles d’auroch implantées par Gœring !

Morte de rire dans ma cuisine.?
W. sait être drôle ?

l’éducation allemande, dear Wgg, produit de la bmw fully automatic, si ça déconne c’est uniquement la faute à l’utilisateur. Thomas Mann a été « sauvé » sa grand-mère brésilienne. la tivi n’existait pas sans quoi il finissait en eau de boudin hollywoodien, comme sir Laurence Olivier descendu de son cheval qui joue mengele au Brésil.

Louis Dumont insiste lui aussi sur le rôle de Luther dans cette conception de la société allemande qui se met en place à partir de 1830 en Allemagne : Luther a revendiqué, dit-il, l’individualisme dans l’Église seule, et non dans le monde, parce qu’il s’intéressait à Dieu seul. Luther était retourné à « l’individu-hors-du-monde » des premiers chrétiens. Ce sont les idées qui résultent de la théories des deux royaumes dans le luthéranisme et que développe Luther dans quatre textes essentiels, face aux révoltes de son temps dans les années 1623, 1624, 1625 :
— Sincère admonestation à tous les chrétiens afin qu’ils se gardent de toute émeute et de toute révolte (en allemand de l’époque : Eyn trek Vormanung Martini Luther tzu allen Christen, sich tzu Vorhuten für Auffruhr unnd Emporung);
— De l’autorité temporelle et dans quelle mesure on lui doit obéissance (en allemand Von welltlicher Überkeytt, aie weyt man Yhr gehorsam schudig sey);
— Exhortation à la paix en réponse aux douze article des paysans de Souabe (Ermanunge zut Fride auff die zwelff Artikel der Bawrschaft ynn Schwaben);
— Contre les bandes pillardes et meurtrières des paysans (Widder die reubischen und mörderischen Rotten der Bawren).

un martini luther..avec glaçons

Dans son texte en réponse à la question Was ist Aufklärung ? (Qu’est-ce que les Lumières ?), Moses Mendelssohn avait fourni la réponse suivante, extrait de son long discours : « Ich seize allezeit die Bestimmung des Menschen als Maß und Ziel aller unserer Bestrebungen und Bemühungen, als einen Punkt, worauf wir unsere Augen richten müssen, wenn wir uns nicht verlieren wollen. » (« Je considère le destin de l’homme comm la mesure et le but de toutes nos entreprises et de tous nos efforts, comme l’horizon sur lequel nous devons avoir les yeux fixés constamment si nous ne voulons pas nous perdre. »

On comprend dès lors pourquoi le poème fait allusion à ces yeux qui doivent voir loin dans le terme « Auge » qu’il emploie au début de son poème : Zur Blidheit über/redet Auge cette cécité coupable de l’aveuglement qu’a recouvert la multiplicité des discours.

@Phil dit: 1 janvier 2018 à 19 h 22 min
C’est un feu d’artifice sur cette page !
Vous écrivez : « Deux hommes finissent leur histoire sur les toits de Paris, c’est dans « La prisonnière », dernier film de Clouzot. »
Et je rebondis, peu convaincue par cette remarque laconique de Passou. Photo universelle ? Plutôt : évènement.
A part les chats, la nuit, qui se balade sur les toits de Paris ? (ça c’est pure supposition, l’immeuble est-il haussmannien ?) Quant au chat, Passou l’a gonflé à l’hélium, il prend toute la place, presque celle des mots, costumé comme un nanti, tiré à quatre épingles, délivrant doctement ses aphorismes, nanti que n’est pas Geluck qui aime coucher sur papier les délires métaphysiques de son chat, alors que les deux hommes là-haut jouent au chat. Et puis Bouguereau sifflote une de ces paroles qui voyagent dans l’enfance… Oiseau, a-t-il dit, oiseau. Pas celui de Prévert mais celui des grands-mères d’antan qui, impératives, avant le déclic de l’appareil photographique, ordonnaient aux bambins « souriez le p’tit oiseau va sortir ». On les aurait courroucées si à cette injonction répétitive on avait accolé cette autre concernant le petit oiseau des… garçons. Diable on plonge direct dans le passé à cause du Leica de Passou qui est celui d’un narrateur invisible et muet. Et Sergio avec sa trompe qui trompe énormément sur le toit du Lutécia. Feu à volonté ! Le tir est donc autorisé dans cet entre-deux – on dit aussi entre chien et loup quand l’aube et le crépuscule transforment le paysage en tableaux de Magritte. Et pendant ce temps W. est encore dans ses grandes marées poétiques. Effet de la lune qui ce soir est plus grande que jamais ? Gisèle est aussi évanescente qu’Olga. Ordre des feux-follets ou des sternes. Sternenfall. Chute d’étoiles. Kiefer. Fugue dans le ciel nocturne. Présence de Celan « les étoiles tressaillent » Pavot et mémoire… Dans le Journal des Goncourt on peut lire « L’Histoire est un roman qui a été ; le roman est de l’Histoire qui aurait pu être »
Alors cette photo… pour certains oscillation , pour d’autres immobilité sereine (Rose). Situation merveilleuse en marge d’un imprévisible.
Meilleurs vœux, cher Passou. Continuez de nous faire rêver…

Les juifs de cour/Hofjuden des rois de Prusse s’accomodent bien de la trique éducative allemande, dear WGG. L’Allemagne les a désorientalisés pour leur bénéfice.

Polanski est invité au mariage, dear Delaporte ?

l’immeuble est-il haussmannien ? Christiane.

La question ne se pose même pas.

Les Juifs de cour du temps des rois de Prusse étaient précisément ceux qui auraient pu orienter différemment le destin de l’Allemagne !

La destruction des Juifs d’Europe est d’une conséquence énorme pour notre futur en Europe qui s’oriente vers un totalitarisme qui ne dit pas encore son nom.

L’histoire de l’Allemagne est d’autant plus tragique que, comme le souligne Claude Hagège dans son livre, elle était en passe à l’orée des années 30 de devenir la Palestine de l’Europe, selon l’idéal rêvé par H. Heine. L’arrivée du nazisme au pouvoir a tout anéanti. Et nous en subissons les conséquences encore aujourd’hui dans l’égoïsme des nations et leur impuissance à féconder une Europe sociale, ouverte et conquérante. Nous sommes plus que jamais dans des temps de suicide de l’Europe avec la montée des vieux réflexes archaïques de repli sur soi, de xénophobie, de retour d’un antisémitisme archaïque et moderne. Il y a de quoi être inquiet sur notre avenir, même immédiat à échéance de cinq ans.

Raymond Prunier parle couramment allemand, connaît bien Hölderlin.
Notre blog devient résolument européen.

Que devient JM Staive ?

L’immeuble est’il haussmanien.
Les fenêtres, trois carreaux sur six, ai recompté plusieurs fois, la hauteur des plafonds. L’espace des pièces.

comme un point sur lequel nos yeux seraient fixés pour ne pas risquer de nous perdre.

…
…faire la cloche, pour attendre, les fidèles,…
… »je me suis tromper « , comme un éléphant de Dallas,…vous êtes combien, ce matin,!…
…les fidèles,…
…
…une fois riches, qu’est ce qu’on, fait,!…d’autres pauvres,….de moins en moins faciles,…
…le recourt, aux génies en boites à lessive,…
…toutes ces saletés, quelles richesses,…
…pour du sur place,…avec,…le futur, antérieur,!…Ah,!Ah,!…Go,!…
…
…quand, tout, est obsolètes, les affaires des connaisseurs,…aux €uro – portable,…en tranches de liasses,…de 20 à 500 €,…pour quels participations et intérêts,…
…
…
…les affaires, jouer, avec les cons en marchent,…Ah,!Ah,!…promo,…
…etc,…

The Chicago Seven :

http://blogfigures.blogspot.fr/2011/04/chicago-seven.html

auquel le moindre juron serait interdit est de l’ordre de l’impossible, à mon avis.

Merci Pat.V et Rose… Donc nous sommes bien dans les hauteurs de Paris, là où la nuit, tous les chats sont gris.
Qui dit mieux que Catherine Sabbah ?
http://larepubliquedelarchitecture.com/haussmann-smart/

Avec Haussmann, bonjour les grands carreaux et une meilleure lumière!
L’ hygiène visuelle est devenue une nécessité publique et privée et pas seulement avec les larges boulevards!

Mais qu’ell eest moche votre crémone, crénon, Rose!
Commençons par la fenêtre..
http://menuiserie-leonardi.fr/fenetres-xviii-nancy/