60 ans de « Masque », 30 ans de « Répliques » : bon anniversaire !
Combien de temps une émission-culte peut-elle demeurer une émission-phare ? La preuve par deux : Le Masque et la plume, cela fait soixante ans ; Répliques, trente. Les deux viennent de souffler les bougies autant que l’air du temps le permettait.
Les fidèles disent « le masque » et Dieu sait qu’ils sont nombreux, tenaces et inconditionnels dans leur fidélité. Soixante ans que cela dure sous les férules successives du tandem François-Régis Bastide/Michel Polac, Pierre Bouteiller et Jérôme Garcin. Ce dernier vient d’y consacrer un livre-anniversaire Nos dimanches soirs (299 pages, 19 euros, Grasset/ France Inter) au ton un rien nostalgique alors que l’aventure continue, et de plus belle, avec un public nombreux que le podcast a encore augmenté. On peut, comme s’y emploie son chef d’orchestre/chef de gare/chef de gang depuis 1989, définir cette émission comme une réunion publique de beaux parleurs, un concours d’éloquence ou la rencontre entre l’Actors Studio et le grand oral de l’Ena. Au fond, c’est avant tout une pièce de théâtre.
Ne jamais oublier qu’elle est enregistrée en public trois jours avant sa diffusion. Ce qui change beaucoup de choses. Les critiques s’y produisent devant les centaines de personnes en gradins qui garnissent le studio Charles-Trenet. De quoi stimuler et encourager le cabotinage sinon la démagogie. Tout le sel de la joute orale. Nul doute qu’il en serait autrement dans le catimini d’un petit studio classique où l’on distingue à peine les réactions sur le visage des régisseurs à travers la vitre. Des passeurs, certes, mais des comédiens que ces chroniqueurs (je m’honore d’en avoir été de temps à autre, autrefois).
Pas sûr que tous bannissent « la complaisance et l’élitisme, l’à-plat-ventrisme et l’à-quoi-bonisme », ainsi que l’assure sans trembler le chef de la bande. On a même régulièrement la preuve du contraire chez tel ou telle. Mais globalement, c’est vrai que nul n’est épargné. Pas sûr que le conseil du Baltasar Gracian du Criticon y ait été souvent suivi d’effet : “ Tout bon entendeur doit y trouver salut et s’y retrouver non sali “.
Au vrai, lorsqu’un créateur consacre quelques années de sa vie à écrire un roman ou une pièce, à réaliser un film, s’il comprend qu’il faut accepter d’être critique selon l’adage “Qui expose s’expose”, il n’apprécie pas que l’on se serve de son travail pour rivaliser de bons mots, faire tordre de rire le public et s’emparer d’une oeuvre à seule fin d’en guignoliser l’auteur. Pas de droit de réponse qui tienne face au massacre. Les critiques bien nés se souviennent d’un papier assassin d’Henri Jeanson sur Un grand amour de Beethoven, film d’Abel Gance avec Harry Baur, à la suite duquel il adressa au journal une lettre pour se plaindre, que le critique commenta d’une phrase : « Même la lettre est mauvaise ». Le même Jeanson, lorsqu’il oeuvrait dans la critique dramatique, avait été fort mécontent de se retrouver à une première place derrière un pilier ; ne voyant que la moitié de la scène, il quitta le théâtre furibard à la moitié de la pièce et publia la moitié d’un article.
Sur ce plan, celui de la partialité de la critique d’humeur, comme sur les autres (vivacité du débat, violence des partis pris, humour, jugements acérés, dérision, goût des formules qui tuent – « c’est curieux de nullité »-, caricature, rosserie, exagération) rien n’a changé. Y compris dans l’excès en toutes choses. Jusque dans la méchanceté. Ainsi est-ce vécu à juste titre par nombre de créateurs systématiquement étrillés. Ils feraient mieux de ne jamais écouter cette émission lorsqu’elle les concerne de trop près, conseil d’ami que je suis le premier à suivre. De toute façon, gentillesse ou méchanceté, cela n’a guère de sens puisqu’un critique juge en fonction d’un absolu de la littérature, du cinéma ou du théâtre. Tant pis pour les dégâts.
A cette tribune, on a l’excommunication d’autant plus facile que l’on est dans l’entre-soi ; il en serait autrement si l’on faisait face à l’offensé. Mais lorsque la mauvaise foi enveloppe la malhonnêteté intellectuelle, c’est à mépriser et à fuir. Il suffisait d’écouter le florilège des moments les plus saillants proposé dimanche dernier par le malicieux Jérôme K. Jérôme Garcin pour s’en convaincre.
« Les critiques de théâtre sont un peu plus violents que les autres. Les critiques livres, eux, se régalent à prendre un air accablé pour lire une phrase accablante. Il y a plus d’empathie chez les critiques cinéma. Pour le reste, le principe est le même : on examine la forme, le style, avant le propos, l’histoire” explique l’animateur.
Grâces en soient rendues au légendaire tandem de frères ennemis Charensol/Bory qui ne perdait jamais une occasion de rompre des lances. La tradition a perduré avec les critiques cinéma Ciment/Kaganski, en théâtre avec Nerson/Costaz (autrefois Sandier, Schmitt) et même en littérature avec Crépu/Viviant. C’est peu dire que ces antagonismes sont encouragés ; ils font vivre l’émission et participent à sa réputation. Ils en sont l’esprit, à défaut de l’âme, pour le meilleur et pour le pire. Comme si on avait placé un micro à la bataille d’Hernani. Tant et si bien qu’au lendemain du suicide de Jean-Louis Bory, apprend-on dans Nos dimanches soirs, François-Régis Bastide envisagea de mettre un terme au Masque : « Car sans Bory, la fête était finie ». On aura compris, au cas où le doute planerait encore, que la radio, c’est du spectacle. Au fond, cette émission a préfiguré avec quelques décennies d’avance une récente tendance qui a consisté à installer des caméras dans tous les studios où se fait l’information en direct, comme c’était déjà le cas pour le divertissement.
Et ceux qui se demandent selon quelle mystérieuse alchimie se choisit l’indicatif d’une émission découvriront dans ce livre que c’est souvent pour des raisons extra-musicales : la Fileuse de Mendelssohn, extraite de Romances sans paroles (opus 67, No4) interprétée au piano par Daniel Barenboïm. Avant, un impromptu de Schubert accompagnait le générique du Masque. Mais en 1975, Bastide décida soudain d’en changer. Pour deux raisons : Bory le mélancolique survolté se trouvant en clinique terrassé par la dépression, l’animateur espérait que ce signe amical et particulièrement gai aurait des vertus thérapeutiques ; et le courrier du Masque étant devenu depuis quelque temps irrespirable, des auditeurs évidemment anonymes s’étant plaint du « trop de youtres à la tribune », plutôt que d’y faire le ménage comme on l’y invitait, Bastide leur infligea une double peine en choisissant un compositeur juif interprété par un musicien juif.
Nos dimanches soirs est en filigrane un bel éloge de la critique. Ne manque qu’une seule dimension à ceux du Masque pour être pleinement convaincants : le sens de l’autocritique, s’agissant notamment d’une tendance à sacrifier le fond d’une œuvre pour s’offrir l’effet facile d’un jeu de mots. Il leur faudrait tomber le masque. Cette famille d’esprit y gagnerait en noblesse ce qu’elle perdrait un peu en rigolade. « Plus on s’engueule, plus on est près de la vérité » disait Claude Chabrol. Raison de plus pour continuer à allumer le poste le dimanche à 20 heures et des poussières pour ce pur plaisir si français de la conversation lorsque, après avoir ferraillé, l’on s’accorde enfin sur ses désaccords.
Lors de la soirée anniversaire du Masque et la plume, qui s’est tenue jeudi dernier dans le studio Charles Trenet, au cours de laquelle deux émissions ont été enregistrées en présence d’invités, il y eut quelques beaux échanges. Celui-ci par exemple :
« Jean-Michel Ribes : A 25 ans, j’ai pleuré en écoutant votre émission : ce que vous avez dit de ma première pièce était tellement cruel et injuste… Et puis quoi : les critiques ne racontent pas la pièce : ils parlent d’eux. Le manque de talent, parfois, la haine le remplace. Enfin, c’est mieux que rien…
Les critiques : Nous ne nous adressons pas aux créateurs, contrairement à ce qu’ils croient, mais au public.
J.M. Ribes : Trop difficile d’être critique.
Les critiques : Qu’en savez-vous ?
J.M. Ribes : Ca ne doit pas être drôle d’aller tous les soirs au théâtre ».
Quand on vous dit que le Masque est une pièce ! Ce soir-là, on a pu notamment entendre cette réaction chue du courrier des lecteurs :
« Quand vous dites du mal d’un spectacle, est-ce que ça pourrait prendre moins de temps que quand vous en dites du bien ? »
Répliques n’a pas eu la chance du Masque de fêter dignement son anniversaire. A croire que le sort s’acharne sur l’émission d’Alain Finkielkraut. 2015 est l’année de ses trente ans. Cela devait être célébré par deux émissions enregistrées pour une fois en public avec des invités prestigieux : la première fois, la grande grève de mars-avril dernier a imposé l’annulation ; la seconde fois, la semaine dernière, les mesures de sécurité pendant les trois jours de deuil national faisant suite aux attentats, ont également poussé à l’annulation. Pas de chance. Raison de plus saluer cette émission qui n’a rien de commun avec le Masque, qui se situe même aux antipodes.
Pas de public qui applaudit aux saillies des uns et des autres, pas de critiques pour se battre en duel. Juste deux invités en studio feutré, parfois un seul, sans oublier l’invité principal, l’animateur de l’émission Alain Finkielkraut ; mais autant le temps de parole qu’il s’attribuait exaspérait autrefois, autant l’on peut désormais s’en réjouir. D’abord parce qu’il l’a réduit, ensuite parce que dans tout débat d’idées, c’est avant tout avec lui que l’on a rendez-vous eu égard à la place qu’il a prise désormais dans le champ médiatique et intellectuel. On est rarement déçu, sauf lorsqu’il quitte son domaine de compétence et s’aventure en territoire pour lui incertain : peinture, musique, cinéma, bref les domaines artistiques.
Pour le reste, que ses invités soient des abonnés (Paul Thibaud, Pierre Pachet, Marcel Gauchet etc) ou inattendus sinon inconnus, c’est un festival d’intelligences en action, un crépitement de réflexions et de citations qui ouvrent des pistes et des perspectives, stimulent d’autres réflexions, reflètent parfois les recherches en cours en philosophie, histoire, sciences humaines. De la conversation faite controverse entre des gens de bonne compagnie qui ne craignent pas si nécessaire que la polémique se fasse pugilat. Malgré et peut-être grâce aux thèmes (l’école, le communautarisme, la Shoah) et références (Arendt, Péguy, Lévinas) récurrents d’Alain Finkielkraut, son inquiétude et son intranquillité trop hâtivement catalogués comme une propension au tragique, toutes choses que d’aucuns jugeront obsessionnelles mais qui constituent la cohérence d’une pensée sur la durée.
Dans ce pays où l’on est sans cesse sommé de répondre aux injonctions binaires (êtes-vous Voltaire ou Rousseau ? Beatles ou Rolling Stones ? etc), osons être Masque et Répliques. Un concert de voix que ces deux rendez-vous hebdomadaires qui restent, à leur meilleur, des phares dans la circulation des idées et des arts. J’oubliai : la première, c’est sur France-Inter, la seconde, sur France-Culture. Alors, au cas où vous auriez encore un doute, vive la radio du service public !
(Photos Henri Cartier-Bresson)
959 Réponses pour 60 ans de « Masque », 30 ans de « Répliques » : bon anniversaire !
ça a l’air délicieusement rafraichissant comme entrée, DHH !
@phil 15 h 01
si vous aviez poursuivi votre lecture vous auriez compris que la recette que j’indique relève de la session de rattrapage ouverte à tous les recalés de la bigarrade
C’est aussi de la culture, DHH, je suis allé voir sur internet et voici ce que j’ai trouvé :
« La cuisine pied-noir est un mélange de cuisine française, italienne, espagnole, arabe, juive et j’sais pas quoi encore…
De toutes ces cuisines on a pris le meilleur, donc j’vous esplique pas comme elle est bonne not’cuisine…AIE AIE AIE… »
c’est juste dhh. j’ai repris la lecture après l’avis du prescripteur Baroz.
Gnose caustique.
@ DHH du 26 novembre 2015 à 14 h 08 min
« @lucien bergeret(12h 48)
une réponse pour vous à 13 h 08 ,en attente de modération(modération pourquoi?) »
Je crois que votre message est définitivement bloqué au purgatoire.
La tendance végétalien indoor se propage jusqu’à l’entrée du repas sage de midi.
@Attila et d’autres qui pourraient etre interessés
il existe un excellent livre de la cuisine pied-noire de mesdames Karsenty(la mère et le fille)
l’une des nombreuses rééditions y a introduit une savoureuse préface de Roland Bakri
precision:
cette salade est bien une entrée salée :le sucre de la sauce doit être mis en tres faible quantité juste pour éliminer un peu de l’acidité des oranges
bon, repassons les pâtes
@ la repasseuse. 14 26.
vous écrivez ..Il est évident que le couple d’énarques de DHH passe ses loisirs à faire du repassage.
Cette c..ne veut toujours nous prendre pour des co..
votre post releve du fantasme et de l’inexperience
Fantasme :le couple d’énarques(?)
Inexperience :vous semblez ignorer que le repassage hebdomadaire du linge d’un menage de retraité ne mobilise qu’une part tres limitée de leur temps libre et ne phagocyte pas tous leurs loisirs
Ça s’accorde en genre, pied-noir ?!
« La cuisine pied-noir est un mélange de cuisine française, italienne, espagnole, arabe, juive et j’sais pas quoi encore… »
atlante, Jacques. Le couvercle conique des tagines est directement issu de l’architecture atlante, lesquels ont colonisé la région il y a environ 8 à 9000 ans, du temps où le Maghreb était une savane humide.
Attila dit: 26 novembre 2015 à 14 h 00 min
« Allez voir « Suffragettes », mesdames ! »
Pourquoi ?
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Attila dit: 26 novembre 2015 à 13 h 45 min
« elle se rendait souvent à de grandes réceptions, non sans avoir repassé elle-même sa robe de soirée, à la différence de ses confrères de sexe masculin, »
ils ne repassaient pas eux-mêmes leur robe ?
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bérénice dit: 26 novembre 2015 à 13 h 25 min
« L’âme ne voyage pas dans la froide obscurite, elle meurt de façon quasi synchronique en même temps que celui qui l’abrite et la fait vivre ou non , elle résulte de l’activité heureuse de vos neurones, »
On n’en sait rien après tout
« Fantasme :le couple d’énarques(?) »
DHH
Votre dîner de têtes super-diplômées était donc une galéjade.
Dommage pour baroz qui y a cru.
« française, italienne, espagnole, arabe, juive et j’sais pas quoi encore… »
berbère (c’est la base)
« le repassage hebdomadaire du linge d’un menage de retraité ne mobilise qu’une part tres limitée de leur temps »
Il est vrai que ma femme se change de moins en moins.
Ça s’accorde en genre, pied-noir ?!
La plupart des dictionnaires et des grammaires tiennent le mot pour invariable en genre. Pourtant l’accord de l’adjectif au féminin (la culture pied-noire), bien que rare, est attesté.
Sauf que des pieds-noirs, ça va, une pied-noire ça surprend, des pieds-noires ça commence à faire bizarre…
Tout petit déjà, le pauvre JC avait une image d’avant-garde de la femme en voyant l’entente parfaite entre ses parents se partageant amoureusement les tâches ménagère , ainsi:
http://p2.storage.canalblog.com/23/25/177230/85929171_o.jpg
ménagèreS
Je le savais, je m’en doutais, je le subodorais : dès qu’on raconte (en essayant de le faire plaisamment), un épisode domestique, les stéréotypes fusent. Parce qu’à la maison, c’est moi qui repasse le linge, me voici soupçonnée d’être la plus soumise des filles, au service des hommes, réduite, comme disait Anne Sylvestre, aux rôles de « marmittasse et pierre d’évier »…
Alors, sachez que je m’ennuie certes en repassant le linge (encore que Finkielkraut m’aide beaucoup !) , mais que j’échappe par contre à ce qui représente pour moi la corvée absolue, à savoir l’aspiration de la poussière.
J’ai toujours détesté ça. Le bruit, évidemment. Le connard de fil qui s’enroule autour des roues de l’engin. Le tuyau qui se bouche, et dont il faut démonter les parties, et qu’il faut tapoter, pour enfin faire sortir l’objet qui obstruait le conduit, et qui tombe, accompagné du monceau de poussière que vous veniez d’aspirer, comme ça, pouf à vos pieds, et tout est à recommencer. Le sac, dont on ne sait jamais s’il est vide, ou plein. Le dégagement du sac trop plein – avec, là encore, la poussière qui ne reste pas sagement dans le sac mais se répand de nouveau, généreusement, autour de vous – seule solution, vider tout ça dehors, bonjour la bronchite… La remise d’un sac vide dans l’engin : une horreur. On croirait que les ingénieurs qui ont conçu le truc aimaient particulièrement se faire coincer les doigts…
De plus, je n’y vois pas très clair, et suis donc tout à fait capable, munie de mon serpent géant et inefficace que je cogne à tous les meubles, de laisser passer l’énorme toile d’araignée bien apparente…
Il n’y a jamais eu d’ambiguïté à ce niveau-là : féministe de la première heure, je me suis toujours assurée que les hommes qui partageaient ma vie étaient absolument persuadés que rien ne prédispose un sexe, plutôt qu’un autre, à certaines tâches plutôt qu’à d’autres.
Tout fut toujours discuté, accepté, et les compromis équitablement répartis.
Par contre, j’aurais trouvé particulièrement absurde qu’au nom de l’égalité, tout soit strictement partagé. Ce sont les enfants qui demandent que les parts du gâteau soient identiques… Les adultes, eux, peuvent gentiment préférer se resservir du fromage, et laisser leur part de tarte…
Ainsi, si je repasse, Clopin aspire.
Ca nous convient à merveille – quant à ceux qui aspirent à me discréditer, ils pourront toujours…
Repasser…
Clopin, merci pour lui, n’a jamais mis son estime de lui dans l’asservissement d’autrui, ni dans son exploitation quotidienne ou ménagère.
Et si j’aime, comme DHH, faire la cuisine, c’est que je suis bien d’accord avec elle : c’est un acte d’amour. Marguerite Duras disait qu’elle ne savait jamais trop comment dire aux siens qu’elle les aimait : alors elle faisait « ça » pour eux : la cuisine…
Un dernier mot : bibi j’ai eu le privilège d’avoir accès aux recettes méditerrannéennes de DHH . Malheureusement, mon environnement brayon n’est guère adapté à cette gastronomie-là. Mais enfin, je peux me porter garante du plaisir évident et de la qualité de cette activité Dhhienne : les recettes sont parfaites, elles ouvrent l’appétit. Et le tout est accompagné des listes indispensables des instruments de cuisine et des ingrédients de bas… Ca mériterait d’être édité !
Quant à Clopin, ah, Messieurs de ce blog, je sens que je ne vais pas résister à vous communiquer un court texte, que j’ai écrit sur lui il y a quelques années, et qui, pour moi, n’a pas pris une ride.
Peut-être, à cette lecture, comprendrez-vous ce qu’une fille comme moi fait avec un type comme lui…
Ou peut-être pas. Votre opinion, en fait, je m’en moque, et c’est parce que je sais que ce texte va en agacer plus d’un que je m’en vais le copiecoller !
(pour ne pas faire trop long, je l’envoie à part de ce message-ci. Pierre Assouline me pardonnera mon incruste : il tolère bien celle de tant d’autres !)
Ha c’est embêtant, ça, quand le style correspond pas à l’état-civil…
Sergio semble militer pour une vie bien rangée, tiroir ou placard c’est tellement hénaurme de s’y sentir plus mais jamais à l’étroit, nonnon, une deux, une deux, une deux…
LES MAINS DES HOMMES
Au début de ma vie d’adulte, pas d’ambiguïté. J’avais décrété que les mains qui me plaisaient étaient longues, maigres, avec des doigts aux bouts spatulés, des mains d’artistes ou d’intellectuels.
Le summum, c’était évidemment celles de Glenn Gould.
Dès que je rencontrais un homme, aussitôt je « vérifiais » : étaient-ce bien ces mains-là ? J’avais tant rêvé, petite fille puis adolescente, d’une main d’homme se posant sur ma taille…
Depuis ma rencontre avec mon compagnon, j’ai regardé des milliers de fois ses mains. Elles n’ont pas de longs doigts, elles ne sont pas blanches. La paume en est large, la peau qui la recouvre est épaisse, calleuse même. Les ongles, carrés, coupés courts, portent souvent des blessures, des entailles ou des marques noirâtres de coups de marteau.
Parfois, elles sont couvertes de teinture, à cause du brou de noix, parfois elles sont violacées par le froid intense qui règne dans le champ du haut.
Ces mains-là font tout.
Elles plantent des arbres et fabriquent des meubles, des charpentes, des maisons. Réparent les toitures. Jardinent, bêchent, récoltent.. Extraient le miel des ruches et aident à la délivrance des brebis. Dressent les ânes, tuent avec un grand respect les animaux dont nous nous nourrissons.
Elles savent construire les feux. Elles sont également précises et habiles à manier des instruments d’optique ou de photographie, des caméras, des ordinateurs, elles feuillettent des livres et des revues, elles sont le prolongement d’un regard clair qui interroge le monde.
Pendant toutes ces années, je ne les ai jamais vues brandies comme des armes.
Pourtant, je sais qu’elles peuvent être aussi rudes que fortes !
Mais aussi délicates, quand elles caressent le clavier de l’accordéon ou que, s’incurvant autour de mes seins, elles deviennent les plus douces que j’aie jamais rencontrées.
Oui, j’ai changé d’opinion sur les mains des hommes.
La conversation a repris, quelque peu cacophonique, chacun y allant du sien, répondant à l’un ou à l’autre, sans qu’un chef d’orchestre ne puisse diriger tout ça. Le pourrait-il? Bien sûr que non. De quoi vous faire sombrer dans le plus profond désespoir. Angoisse existentielle… Comment y échapper? La perspective de devoir se vider la vessie vient troubler cet état navrant, trouble bienvenu sauf pour les masos pour qui souffrir est un pur délice. Que faire? Que faire? Aller pisser diront les plus simples. Comme quoi uriner règle l’angoisse existentielle. Si ça se pouvait,ça se saurait, non?
le style correspond pas
Dommage de ne pas chanter « ma vie c’est un manège » quand la voix porte, du Nougaro dans la neige un jour blanc ça risque de faire vraiment trop petit pour faire craindre une avalanche. Du coup faut habsolument y aller à l’obus.
Bon, bein, allez-y, effacez, on va pas faire un caca nerveux?
(on’s connAIT?)
Et v’lan ! Pass’-moi l’éponge
Et v’lan ! Fais-moi gligli
Et vlan ! passe-moi Clopine !
Et v’lan ! Gouzi Gouzi
Monsieur le duc, les suffragettes sont bien demandées pour savoir si on pourra rester assis sans envie de se lever dans la salle, on n’y fait pas partout des standing ovations alors envoyer les violons…
15h50 nous ne sommes qu’organiques, une organisation presque parfaite ou qui s’est depuis trop longtemps crue maîtresse de l’équilibre entre les différents règnes et qui à présent regarde un peu plus objectivement sa place dans un ensemble que des générations ont passé à comprendre d’autres à exploiter, globalement on dit que l’humanité va mieux, qu’on vit plus tard mais on finit par mourir. Comme vous pouvez au hasard des promenades sans vous poser la question de la survivance de l’âme rencontrer végétaux et animaux en décomposition vous pouvez tout aussi bien y projeter notre façon de finir je ne vois ^pas ce qui ferait la différence, nous faisons partie d’un tout dans un cycle éphémère qui se répétera soit en continuant de dégrader son support soit en réussissant à inventer des solutions pour que dure notre Terre jusqu’à sa propre fin, pour le moment aucune collision avec un astéroïde géant n’est prévue ou calculée, le danger vient de l’intérieur, de nos infrastructures et de nos fonctionnements un peu comme le vers est dans le fruit.
Eh non, ma vieille. Tu vois pas plus loin que le bout de ton nez.
En picorant sur la pente remontée des commentaires pour tuer le temps avant un important RV d’affaires avec mon coach.
14.05, dans la famille Badinter, toute la maisonnée fut requise en son temps d’administrer des preuves tangibles à la thèse selon laquelle « l’instinct maternel n’existait pas ».
? Sur Françoise Héritier (épouse Augé), on lui demanda un jour de sacrifier à un rite, faire une peu d’égo-histoire comme c’était alors à la mode, alors que l’auteur des Tristes Tropiques ne s’en était lui-même pas privé. Or, avait-on reproché quoi que ce soit à CLS ? Non, nan… ce qui durera encore longtemps de l’oeuvre de cette intellectuelle discrète, c’est son indépassable « Masculin-Féminin II, Dissoudre la hiérarchie », de 2002, car il n’a pas pris une ride et on semble l’avoir déjà oublié, si on l’a jamais lu.
Et ce n’est pas le très faible roman de Virginie Despentes « Baise-moi » qui y changera quoi que ce soit. Je viens de lire à contre-courant l’histoire gore et trash de Nadine et Manu, les cavaleuses tueuses de sang froid… Mais d’où vient donc qu’on ne croit pas une seule seconde à leur histoire ? 20 ans après sa sortie (1994), on n’y voit plus que les figures très convenues au féminin d’affligents braqueurs, violeurs, tueurs dont même la collection Harlequin ne voudrait pas, même s’il s’agissait aussi d’illustrer le slogan « no future ». Lamentable sur le plan de l’écriture et de l’idéologie véhiculée. Quant à King Kong théorie, inutile d’insister. Et on voudrait lui donner la place de Debray ?
@ 18.O2, on verra bien comment rebondir.
16h24 le stress augmente la fréquentation des lieux d’aisance, c’est scientifiquement prouvé. Quelque chose ne va pas?
D peut-être qu’un voisinage trop fréquent avec la mort mène à cette impression. Après on peut aussi lire les témoignages des near miss bien que ce soit un état intermédiaire. Je ne crois pas, D, ce n’est pas une question d’ouverture ou de perspective.
16 h 23, très beau texte de Clopine, madame Vernaglia a adoré, « cela change, m’a-t-elle confié, des vomissements de JC »; elle a bien raison
le garçon qu’on appelait monsieur dit: 26 novembre 2015 à 16 h 22 min
c’est tellement hénaurme de s’y sentir plus mais jamais à l’étroit
Ca dépend, si le gourbi se rétracte comme dans l’Arrache-coeur faut sauter par le plafond, hein… Faut pas rester les deux pieds dans le même sabot comme si c’était Lucky Luciano qui fait la maçonnerie !
Alors le type, là, non seulement il lui souffle des tonnes d’ypérite à pleins naseaux, mais en plus il va lui fragmenter les tympans i va plus rien rester…
faudrait en toucher un mot au comité d’éthique si c’est vrai ce qu’on raconte sur la fin de vie et ses moyens
Les ateliers protégés ne semblent pas en voie de disparition, hélas, trois fois hélas…
@ D
Suite à notre échange sur JNN
J’aime au moins autant son émission du samedi que celle de FINK :Rigueur de l’approche historique, pertinence des rapprochements , compétence pointue de l’interlocuteur, choix éclectique des documents sonores illustrant le propos
Mais chaque fois que je pense à lui je vois en cet ancien jeune ministre de Mitterrand, fils d’un grand ministre de de Gaulle ,petit fils du president du dernier sénat de la III eme république ,une illustration presque caricaturale de la reproduction bourdieusienne .
Peut etre la persistance de la reference dans mon esprit tient-elle a souvenir d’une anecdote que son per rapporte dans ses Memoires :la voici
JNN avait un jour conduit son père en voiture pour une visite amicale à de Gaulle retiré à Colombey , peu de temps avant la mort du grand homme .
Et le père s’était rememoré à cette occasion une situation comparable ,decalée d’une generation, lorsque lui-même avait conduit son propre père le vieux senateur Jeanneney en visite chez une autre grande figure , Clemenceau retiré en Vendée
les deux pieds dans le même sabot
Par ici la mode chez les mecs un temps c’était de réciter « comme je suis né seul je mourrai seul », nul besoin était de s’étendre dans une crêche tout ce temps pour que je trouve cela déjà plutôt con dès le départ -euh non, la réception, enfin dont acte quoi.
temps temps…
bah… je vais pas la relire dans 12 ans non plus faut dire..
ah oui, c’est pernicieux…
https://www.youtube.com/watch?v=IH5uvog4rS4
Madame Vernaglia elle a un vertugadin ? Parce que c’était encore une affaire, ça, il fallait au moins six jours pour tout délacer… Elle avait le temps de changer d’avis !
@Clopine
j’aime vous lire;vos petits textes sont enlevés et rafraichissants
Que vous parliez des mains de votre homme et des tâches diverses dans lesquelles elles excellent, de vos séances de repassage radiophonique ,de votre répulsion pour l’aspirateur ou de votre goût pour la cuisine, bref de mille choses qui relèvent du quotidien le plus trivial, vous savez trouver les mots, le ton et les allusions, qui font oublier la platitude des sujets sous la drôlerie la vivacité et la finesse de vos mini récits
Loin de « Répliques » et du « Masque », elle exprime ce que d’autres tentent de formuler vainement. Au milieu de la surchauffe des commentaires où se jouent bien des batailles vaines, elle est comme un verre d’eau claire.
17 h 44 : et Sergio gogo il a un cerveau veau veau ?
NORMANDIE MEMERE
Ne pas se rendre compte que son compagnon endure sans rien dire depuis des années est cocasse….
– tant que ça dure, comme disent les optimistes,
– avant que ça pète comme disent les pessimistes lucides !
Toujours vieux garçon solitaire, Résumons….. ?
A-F-F-L-I-G-E-A-N-T-S
Comme on est un peu demeurés, on n’avait rien compris. Un diagnostic disruptif suicidaire (très chic) étant désormais à notre dispo (le pseudo EI n’existe pas face au désespoir des jeunes qui eux, veulent exister… à la terrasse des cafés parisiens notamment), voici le remède : il faut repartir sur un modèle macro-économique viable ! Mais bon dieu mais c’est ben sûr, ma boun’dame, j’y aurions point pensé.
Chez les femmes d’un certain âge, nos chères sœurs que nous adorons, le moisi arrive vite hélas avec les trous dans les casseroles, les phlébites et les fuites urinaires …., on s’en rend compte ici même ! Alors que les hommes restent fringants, car, les descendants des tueurs d’aurochs ne sont pas fragiles, hein ?!
18:06… mais oui …. avec des disciples douées qui ne demandent qu’à apprendre.
La pédagogie n’est pas une exclusivité des enseignants EN !
bérénice 16 h 47
Bon, je tenterai d’être plus clair. Il ne s’agit pas de stress rendant les mictions plus pressantes, il s’agit tout simplement d’un appel régulier se produisant alors que l’appelé – si ce mot a un sens – est en proie à une crise d’angst particulièrement cruelle. Il est ramené à la réalité, comme le serait l’intello gauchisant se demandant si l’oeuvre de Mao ne serait pas qu’un vaste canular alors que la baignoire déborde. «Coupe l’eau!» lui hurle sa femme. Fini les élucubrations néfastes, retour sur terre. L’appel de la vessie joue le même rôle. Compris?
@ lucien bergeret
mon post à votre intention est sorti du purgatoire il apparaît a son heure d’envoi initiale :13 h 08
Jeanneney…Il parait, selon Maurice Schumann, que le père était déjà comme cela en Juin 1940 DHH. il se reportait à 1914 lors du bref projet d’un gouvernement en exil.
Un qui esquinte le fiston, c’est Raymond Triboulet dans ses « Mémoires d’un Ministre du Général ». Spécialement sur la période 1969-1970.
Bien à vous.
MC
Bellerente, vos allégories analogicles sont repoussantes …
les lectures de Court, grand intellectuel : un auteur, Raymond Triboulet uhuhuhuhu
un mec des pourparlers qui figurait des montants astronomiques.
Jacques, j’ai menti : Maman n’est pas niçoise.
Le remord me hantait.
@ DHH
Je pense que nous sommes de la même génération.
Je suis née en 43, Bac en 60, mariage en 64.
Cette absence de liberté sexuelle qui a été mon grand problème à partir de 15 ans ne peut être minimisée.
Autre problème non négligeable : la séparation des garçons et es filles à partir de la sixième, ce qui ne garantissait pas l’équivalence des études.
Résultat : à l’arrivée en prépa, nous étions considérées comme des intruses pour ne pas dire plus.
Si vous avez fait des études littéraires, cela peut avoir été moins gênant pour vous.
Sans parler des taches ménagères que mon père n’aurait jamais envisagé de partager alors que ma mère travaillait, ce qui me les a définitivement rendues odieuses…
J’ai épousé, très jeune, un condisciple encontre en Prépa, partisan de l’égalité des sexes et acceptant le partage des taches ménagères.
Il faut dire que nous sélectionnons des vêtements qu’il est inutile de repasser, que nous mangeons souvent au restau et que c’est un peu le « foutoir » chez nous.
Sérieusement, la mixité des Lycées et collèges était nécessaire…
J’ai l’impression de mélanger un peu tout.
Pour en revenir à ma réaction initiale à une phrase de Christiane qui parlait « du plaisir de donner de la joie aux autres », je ne voulais pas dire que je trouve choquant d’aimer coudre ou d’aimer cuisiner mais que je me méfie de décennies de conditionnement des filles que je résumerais ainsi : »Ton lot, ma fille, sera de t’oublier et de te dévouer à ton mari et tes enfants par tous les moyens dont tu disposes. »
Cordialement.
verra-t’on disparaître l’effet d’Aubaine?
« Lucien » Bergeret, ne vous plaignez pas ! Dans certaines ‘grandes écoles’ c’était pire, une pour les filles, une autre pour les garçons.
Heureusement il y avait des « boums » presque toutes les semaines et les bals de fin d’année (le plus chic : le bal de l’X à l’opéra) pour pêcher le bon parti…. :mrgreen :
18h22 non mais je m’en fous. merci .
C’est ce soucis de la population, qui est de lui faire peur…
@lucien bergeret
de toute ma vie lyceenne je n’ai connu que des classes de filles y compris en prepa scientifique .
De mon temps,quatre ans avant vous, en France il y avait pour les scientifiques des prépas de garçons ,des prépas mixtes et une seule prépa exclusivement feminine ;j’y etais pas pour longtemps ,celle du lycée jules ferry à Paris
c’est bien…
« affligeant Stiegler » ?
http://www.lemonde.fr/emploi/article/2015/11/19/bernard-stiegler-ce-n-est-qu-en-projetant-un-veritable-avenir-qu-on-pourra-combattre-daech_4813660_1698637.html
c’est une réplique lapidaire que seuls peuvent s’autoriser les masqués et plumés, bêtes médiatiques, qui animent, forts de leurs non mots des soirées moroses du dimanches soirs.
C’est bizarre que ce monsieur ne pense pas, -lui non plus-, qu’il s’agit d’une guerre de religion en France. Vous pavoiserez demain.
Inutile de vous remettre ce petit morceau de bravoure de l’académicien « intranquille ».
Juste tranquille, quand il n’est pas interrompu.
Vous avez bien mérité le dessert.
http://www.lepoint.fr/ces-gens-la/alain-finkielkraut-entarte-10-10-2013-1741492_264.php
pour rappel…
C’est très rigolo, votre histoire Lucienne. Dommage que vous portiez des strings kangourou.
Ma page des Stukas
http://www.2worldwar2.com/stuka.htm
« tu n’as rien vu »
On ramène le radicalisme à une question de religion, et c’est scandaleux. La plupart des recrues de l’islam radical n’ont pas de culture religieuse.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/emploi/article/2015/11/19/bernard-stiegler-ce-n-est-qu-en-projetant-un-veritable-avenir-qu-on-pourra-combattre-daech_4813660_1698637.html#oPdVlYDkiKOkZujR.99
la vie dans les bois dit: 26 novembre 2015 à 21 h 31 min
LVDLB préfère le style jeune fille de bonne famille.
Bien propre au dehors et bien degueu au dedans.
j’ai oublié, avant de vous laissé à vos dégueulasseries, bon anniversaire !
http://www.ina.fr/contenus-editoriaux/articles-editoriaux/le-masque-et-la-plume/
et même de vous laisser, plutôt deux fois qu’une.
de faire une maladie, tu t’abstiendras.
Des contes Dracula, y’en avait pas trop avant (je vous laisse y réfléchir…)
Des Hertzo-kilos.
C’est bizarre que ce monsieur ne pense pas, -lui non plus-, qu’il s’agit d’une guerre de religion en France. Vous pavoiserez demain.
Ce qui me pose problème dans cette phrase c’est la grammaire, désolée et bien que le problème soit grave sa portée dépasse de loin nos points d’affectation et notre pouvoir d’action efficacement et quoiqu’il soit nécessaire pour occuper nos soirées tranquilles de nommer justement les choses pour mieux identifier les problèmes, faut il employer le subjonctif pour agir, qu’il s’agit ou qu’il s’agisse? Sérieusement quelqu’un a-t-il une réponse?
C’est bizarre que ce monsieur ne pense pas, -lui non plus-, qu’il s’agiSSE d’une guerre de carré de Lozère
LVDLB Ne vous a-t-on jamais dit que l’argent était le nerf de la guerre. Citation d’un étudiant promotion gnan gnan sciences po, issu de l’immigration positive.
Euh… Les strings kangourou c’est passeque i sautent plus vite ? Mais c’est très bien, cela…
Y’a la gaule en Syrie renato est de plus en plus laconique bientôt des formules lapidaires. Attendons qu’il accepte de mettre en branle sa pensée perçante comme une chignole, vibrante elle une scie musicale soumise aux vents contraires et nous aurons du biniou .
telle évidemment .
Même génération, même génération… Ca dépend parce que le bac, on peut mettre plusieurs générations pour y arriver, hein ! Au début on a des copains zazou, à la fin des techno…
N’abandonnez jamais, qu’il a dit, le Winston…
Le mec, derrière, il écoute… Mais y a rien à écouter l’autre i gueule comme un veau !
2084 de Boualem Sansal, élu «meilleur livre de l’année»
C’est tout
Clopine, je ne voudrais pas paraître exagérément critique, mais après tous ces travaux de la ferme, l’évocation des mains de votre époux sur vos seins donne l’impression involontairement comique qu’il songe à vous traire.
Je ne crois pas que Gould ait eu de si grandes mains. Voyez plutôt chez les russes, Rachmaninov ou Horowitz.
(…Like a good wine, I’m better as I grow older, and now – https://www.youtube.com/watch?v=RDLRp8IY8N4 )
…
…l’école du sexe,!…mais, vous vous taisez la gueule ouverte,!…chacun sa démocratie, sa tolérance,!…
…vous avez du 18 cm, du 20 aux bornes,…S.V.P.,…merci allons voir ailleurs, d’autres histoires de vicieux européens,!…pour nous entretenir,…aux prunes,!…
…jamais, sans être riches, encore plus, pour oublier la misère de nos parents, pour vivre et exister,!…
…sa suffit,!…la guerre à nos riches,!…pour vivre avec le minimum d’espace libre, et jouer au tennis, et n’importe quoi,!…
…sans les jaloux, de tout dogmes , à nous mettre leurs religions d’états, ou de toutes convivialités,!…de sécurité,!…
…vérifions leurs abrutissement,…Okey, lozers,!…
…la Bourse, à ses Euros,…nouveaux,!…
…les vierges avachis,!…c’est pour le cuir, à arracher vif,!…entre les actualités sur parchemins,!…qu’il est beau mon parchemin ensanglanté,!…du 18 cm,!…en étuis,!…enfin, mon lavabo,!…
…tient bien droit, les intérêts,!…
…etc,!…
Je propose un grand rapport d’activité sismique sur les centrales qui permettra de mieux connaître la géologie de notre pays.
guerre de religions /.
Gloîre à la dèche qui rend nos jours meilleurs.
0h33 ah tiens un qui a fini d’exfiltrer ses pulsions et soulager ses siphons pour libérer un peu d’espace du disque local. La vie tient du miracle informatique.
HOMMAGE NATIONAL, MON CULTE !
« L’idéologie du ‘Touche pas à mon pote’, imposée par le progressisme durant sa longue domination, a introduit le racisme, la haine, la violence qui tue. Relire la somme d’âneries récitées depuis des lustres sur l’irénique ‘diversité’ ou sur l’islam ‘de paix et de tolérance’ fait prendre conscience de l’intensité de la propagande.
Elle a endormi les vigilances élémentaires.
L’esprit du 11 janvier’ avait été la énième réécriture des faits, destinée à faire croire en une France unie et fraternelle. Les carnages du 13 novembre, où de jeunes Français des cités ont massacré des jeunes Français des villes, ont confirmé les impostures du Système…/..Ce n’est pas en Syrie, où s’enracine l’État islamique, que se trouve le pire ennemi de la France : il est chez ces esprits clonés qui ont permis au nouveau totalitarisme – l’islam radical – de s’installer dans un pays habité par le vide. » (Ivan Rioufol)
Rien à ajouter. N’oubliez pas, innocents bisounours, de suspendre le fanion tricolore au fenestron de vos domiciles : ça vous donnera l’impression d’agir intelligemment, alors que vous ne voulez pas comprendre.
le de nota de 23h48 est un faux, as usual…
Nota bene:
Définition de l’usurpation d’identité en ligne:
Concrètement l’usurpation d’identité consiste à utiliser sur internet, sans votre accord, des informations permettant de vous identifier telles que :
– vos nom et prénom,
– votre pseudo,
– votre adresse électronique,
– votre adresse postale,
– vos photographies,
– etc …
Cette usurpation peut avoir lieu sur n’importe quel type de site internet : blog, forum de discussion, réseau social, sites de partage, sites institutionnels, chat, etc …
Concrètement, il pourra notamment s’agir de :
– commettre sous votre identité des actes répréhensibles,
– nuire à votre réputation sous votre identité en créant un faux profil, un blog, ou rédigeant des commentaires sous votre identité,
– récupérer à partir d’un faux site des informations personnelles : pirater des boîtes mail ou des comptes Facebook,
– accéder à des comptes sécurisés,
– vous envoyer un message en se faisant passer pour un organisme public ou une entité privée à des fins commerciales, économiques, financières, politiques, etc. …
2) Conditions du délit légal de l’usurpation d’identité en ligne
La loi n° 2011-267, du 14 mars 2011, dite d’orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure, dite LOPSI 2, a crée un nouvel article 226-4-1 dans le code pénal , au chapitre « Des atteintes à la personnalité », Section 1 « De l’atteinte à la vie privée » qui dispose que :
« Le fait d’usurper l’identité d’un tiers ou de faire usage d’une ou plusieurs données de toute nature permettant de l’identifier en vue de troubler sa tranquillité ou celle d’autrui, ou de porter atteinte à son honneur ou à sa considération, est puni d’un an d’emprisonnement et de 15 000 € d’amende.
Cette infraction est punie des mêmes peines lorsqu’elle est commise sur un réseau de communication au public en ligne. »
Ceci est un avertissement sans frais…d’avocat.
5h42 l’appel à la prière c’est quelle heure? dans votre citadelle assiégée, les meurtrières restent elles ouvertes sur la possibilité d’aborder d’autres sujets bien que celui-ci détermine jusqu’à la couleur des bulletins qui seront déposés dans les urnes prochainement. Où voulez-vous en venir exactement sans risquer le prosélytisme, épuration ethnique, création d’un Guantánamo? Je suis assez d’accord pour instaurer rapidement la possibilité d’une déchéance de nationalité pour ceux qui auront choisi d’aller combattre dans ces pays, qu’ils y restent puisqu’ils ne trouvent pas leur compte ici et vont jusqu’à voler celui de ceux qui ont réussi à s’en sortir, et je ne pense pas que le traitement ou l’absence de traitement des banlieues soit une solution pour régler ce problème qui s’enracine ailleurs que dans un Islam tel qui l’était avant les années 90. Les musulmans ne sont pas tous des fanatiques, des hystériques ou fanatisables hystérisables . Nous est d’offert d’accéder au discours d’une certaine élite musulmane qui ne soutient strictement pas la dérive sectaire et ce qui en résulte. On pourra faire le tour du processus de récupération, des risques liés à la porosité des frontières de l’espace S , l’inertie qui depuis plusieurs décennies renforce le processus de ghettoïsation avec l’enkystement des haines et des racismes mutuels. A cela la marche du monde qui ne va pas bien droit, l’introduction dans notre mode de vie de l’outil informatique qui comme une traînée de poudre s’enflamme peut semer la révolution ou la terreur , permet de recruter, de commercer, en compliquant en les rendant difficiles les tâches de surveillance.
Etes vous sûr, ami de nota, que nous sommes dans votre cas sur une « usurpation d’identité » réelle, ce qui est un délit très grave ?
Je pencherai plutôt pour le délit « d’usurpation de pseudo », ce qui est une imbécillité grave, je vous l’accorde !….
Tant que votre compte en banque n’est pas débité du peu qu’il contient …
Détendez vous, Bérénice, et payez vous un moment de franche rigolade !
Allez lire ce que raconte ce Filousophe, BERNARD STIEGLER qui affirme sur TWEET TWEET :
« Vous n’avez rien compris : Daesch n’a rien à voir avec l’islamisme. Juste avec le désespoir. »
Monument de stupidité par l’importance qu’il donne à l’économique pour justifier les actes nihilistes des tueurs de l’islamisme radical …. Affligeant !
Je commence à saturer, je m’éjecte du débat en espérant que personne au sol ne me prendra pour cible ( accord de Genève).
Allons, Bérénice ! Comment saturer de si bon matin ? Il vous faut vérifier votre activité nutritionnelle, il y a un manque… Sinon étendre l’étude aux domaines connexes.
…
…il n’y a qu’un drapeau national français,!…
… » champ d’azur, semé de fleurs de lys d’or,!… »
…
…en ce là, je rejoint,…l’opportunisme de Charles X,!…ou tout ou rien, la place vide,!…les républicains baissez vos pantalons,!…un cours d’histoire, et B.B., au strip-tease,!…relevons les valeurs aux freins,!…avec la Kidman, les valeurs scotchés aux plafonds!…
…en chambre d’amis,…tresome only ,!…
…et cet indépendance, de la Barcelone,!…en bondage,!…
…et, la Sicile,!…à se faire farçir du black,…pour teens,!…made in U.S.A.,…
…merci,…l’Italie des » Luciano « ,!…
…l’empereur » Frédéric « ,!…la baise, indépendante de l’Ile,…aux pas de l’oie de l’africa C°,!…
…plus que 18 cm,!…ou renvoyez l’ascenseur social,!…des freins,!…ou des clito juifs, il faut choisir par ou se méttrés, sa paix en guêrres et pais,!…
…César, les ambitions le pied levé,!…ni plus, ni moins,!…les dieux à genoux, un autre revers sur monnaies » impériales « ,…le temps de vivre, à » casa di Rè,!…sans partages,…l’absolutisme divin oultre,!…Go,!…etc,!…
…sans modérations,…Ah,!Ah,!…aux banques d’états,!…le profit au social,!…
…solidarités pour quels conflits d’intérêts, le grand Charlemagne en valeurs,!…
…liberté de frappé monnaies,!…un plus régnant,!…
…mes barons aux gymnastiques,!…une deux, une deux, des pompes, des pompes,!…aussi, aux Albigeois,!…une deux, les fesses en l’air,!…
…
…combien, pour ses conseils,!…pas de taxes et T.V.A.,!…pour des nombrilistes juifs-italiens à berluscons papales,!…rendre les comptes des profits sur le peuple à lèche-culs,!…les rapports à jours,!…Graziè,!…
…Impérial, sur les Lions – Clubs,!…à Stallag 13 ,!…Clinton’s C°,!…
…tout çà en l’air,!…Baraque avec, parachute doré,!…
…
…repos le profit,!…résultats des comptes,…rendre les trop riches,!…riches de bonnes volontés,!…ou dressage à la Madoff,!…
…
…voler, voler,!…à l’U.L.M….Delta plane motorisé,!…, les habitations, en style » caméléons « ,…
…etc,!…des plans, des plans, pour écraser les peuples,!…Vive l’empereur, ou Tsar d’opportunité,!…l’ordre pour en vérifier les freins d’héritiers du capitalisme correct,!…
…etc,!…point de démesure,!…Go,!…
…Ah,!Ah,!…le plus, toujours , pour vivre sans tarés à ses trousse dans sa coupella,!…son corps en exemple,!…l’éternité, violée ressuscitée,!…
…
…l’histoire, tout en un,!…la source du bonheur,!…etc,!…
…excellent,!…envoyez,!…toutes les régions indépendantes, pour en finir,!…de quoi,!…
…tout le monde est à sa stratification dans ses limites objectives,!…
…l’Europe tel quel,!…un cahier des charges, déjà sociaux,!…
…Déclaration des droits de l’homme à ses représentant du peuple,!…signé Louis XVI,…
…
…un complot pour couper sa tête,!…en familles des connivences en partages,!…les scéna-riots ,!…pour ce là couler douce,!…
…etc,!…l’élite coupable, pour s’enrichir,!…
…tout est bon dans le cochon, ailleurs aussi,!…Ah,!Ah,!…à nos sanguinaires d’esprits sains,!…questions d’humours et d’expertises,!…
…en vracs,!…etc,!…magnifique of course,!…
…
…
…Merci,!…de nota,!…à ,…6 h 16 min,…
…
« Vous n’avez rien compris : Daesch n’a rien à voir avec l’islamisme. Juste avec le désespoir. »
Le philosophe Bernard Stiegler est un traducteur pour le moins incertain ! Pour lui, les cris des tueurs « Allahou Akbar ! » signifient …. « Donnez nous des sous et un emploi ! »
On peut faire plus nul, mais cela sera difficile ! Bel exemple de philo-économiste comique.
Il faudrait faire preuve d’une attention plus soutenue, bérénice…
Pour info (les mains de GG):
https://mozart2006.wordpress.com/2012/10/03/glenn-gould-trent-anni-dopo/
Plutôt que faire comme tous les c.ouillons… !
Ceux qui croiront bien faire de pendre la bannière tricolore aux fenêtres aujourd’hui, expliquons que des Français tuent des Français, qu’il faut agir sérieusement, pas par des action dans l’esprit « Bisounours/Charlie », qu’il faut changer les lois, rénover la magistrature laxiste, construire des prisons, expulser les salafistes recensés, serrer les boulons sinon on est foutus !
Une guerre civile est en cours, cessons de rigoler, appuyés sur nos certitudes humanistes et fraternelles hors de propos !
RENCONTRE INTERNATIONALE
-Papa, c’est qui le grand monsieur mince avec des dents bien blanches, celui que tu dis qu’il fait régner la justice, et la démocratie partout, comme l’ont voulu les Pères Fondateurs …?
– Lui ? le Prix Nobel de la Paix ? C’est Zorro, qu’il s’appelle !
– Et le petit gros à qui il parle distraitement ?…
– L’autre ? avec un sourire béat ? ….c’est le Sergent Garcia, mon chéri !
Chaloux, vous m’avez faite rigoler avec, comment dire ? « la traite des « blanches » ?
J’y penserai, à l’occasion – mais si vous aviez mieux lu, vous auriez remarqué que certes, nous possédons poules, oies, canards, moutons, ânes, chien, chats, mais point de vaches à nous…
Cependant, à l’horizon, nous « vivons sous les vaches », c’est vrai : le voisin les met à pâturer dans un champ qui surplombe la maison, et Clopin et moi nous aimons bien ça : il y a quelque chose d’homérique dans ces animaux-là. Lever le nez et les voir paître vous ramène illico du côté de l’Iliade…
Et de plus, notre chien (un être exceptionnel, je pèse mes mots !) a très précisément adopté les couleurs des susdites. Globalement blanc, il présente cependant de grosses taches noires, en forme de nuages, accompagnées de quelques traces d’un joli beige orangé…
J’aimerais bien parler des bêtes qui peuplent ma demeure entourée… Nous avons d’ailleurs, à Beaubec Productions, un projet de cinéma (cette fois avec le premier fils de Clopin), pour une courte fiction : une pochade autour des moutons…
Et à ce sujet… IL nous faudra vraisemblablement, au printemps 2016 ou 2017, deux ou trois figurants. Si ces figurants étaient parisiens, ce serait épatant.
Les parisiens, lâchés dans les prés beaubecquois, sont (ah là là, comment dire exactement ?) attendrissants, c’est cela : attendrissants. Un parisien courant après un mouton récalcitrant a quelque chose de l’enfance, ou mieux de Saint-Exupérien…
(il n’est pas question de faire jouer aux figurants le rôle désagréable des « victimes » d’une émission comme Strip-tease, n’est-ce pas. Il s’agit de profiter avec bienveillance de leur « fraîcheur rupestre », pour en faire quelque chose, in fine, de virgilien…)
Et ça risque d’être vraiment très rigolo à faire !!!
Bref, je doute qu’à part quelques erdéliens plus curieux, plus partageurs et plus fous que les autres, mon appel à figuration serve à grand’chose ici (d’autant que ce serait du bénévolat, en plus, mais avec défraiements, gîte et couvert), mais sait-on jamais ?
Chaloux, tenez : ce serait épatant avec vous. On installerait un piano à queue au milieu du pré du bas, et vous devant, et les moutons là autour…
Ne nous MASQUONS pas la vue face aux 42 000 chômeurs de plus en un mois sous ce gouvernement socialiste.
On ne peut tirer aussi facilement un seul trait de PLUME sur ce terrible constat.
Vraiment pas de quoi PAVOISER!
commatérale, ou comment frapper juste avec un lapsus involontaire, le coma d’ une victime collatérale…
comma social, s’ entend.
( Un peu d’ air pur chez la Clopine?)
On a tout ce qu’ il faut ici, merci!
Madame Verniglia, toujours bon pied bon œil,s’est mise à l’internet et lit quotidiennement la RdL; elle est « affligée par certains commentaires dont ceux de ce JC qu’elle connait bien pour le voir pavaner rue Fournier; elle trouve que ce petit braillard est en perte de vitesse, radote de plus en plus, parait épuisé et surtout que de plus en plus sa matière fait cale »
Il me semble avoir déjà joué ce rôle là, Clopine ?
« Un parisien courant après un mouton récalcitrant a quelque chose de l’enfance, ou mieux de Saint-Exupérien…
»
mais JC courant après un bouc, un mouton, une chèvre, c’est pathétique
APPEL AUX VIVANTS
Amis erdéeliens parisiens, soyez nombreux à répondre à la demande de figurants patauds, exprimée crûment à 9:06 ! Ce n’est pas tous les jours que vous pourrez faire votre Claude Levy-Strauss chez les Sauvages normands faisant du Lelouch à la louche ….
9 h 09 min
yen a que ça les démange de voter pour le meilleur à droite (et donc l’extrême droite rapport ça va avec), faut pas qui zhésitent, i va tout résolubre
La question n’est pas de savoir si madame se tape toutes les corvées ménagères, mais de savoir si, pendant qu’elle bosse, monsieur reste vautré devant la télé, joue à la pétanque avec ses potes, ou au contraire travaille réellement à des tâches tout aussi utiles au couple, comme l’excellent Clopin.
le futé trop géant dit:
Pauvre courge!
Et le socialo-pétainisme, vous connaissez?
En arabie saoudite un poète palestinien condamné à mort pour apostasie
Les autorités palestiniennes vont voler à son secours ?
« le socialo-pétainisme, vous connaissez? »
question aussi intelligente que closeruedadu.onlajoie
Trop de drapeaux tue le drapeau, comme le dit dany cohn bendit.
Jules s’ enferre, n’ est pas Ferry qui veut!
toto dit: 27 novembre 2015 à 9 h 33 min
La courge jules est une P. respectable, elle préfère le Pétrole au Poète, diplomatie oblige!
à 9 h 15 : cette dame Verniglia a raison, JC sent de plus en plus mauvais, pouah !!!
Henriette Dumans dit
Drôle ce phénomène de psychologie humaine de ne pas supporter l’ odeur des autres mais de se complaire dans la sienne qui sent très fort!
victime commatérale dit: 27 novembre 2015 à 9 h 44 min
toto dit: 27 novembre 2015 à 9 h 33 min
Qu’il est mignon le petit du.on avec ses insultes à la lpn et appels à voter droite/extrême droite
@DHH
Pour vous ce texte écrit par Odile Jacob qui a édité le livre de Françoise Héritier. (livre que ne n’ai apprécié qu’à la relecture, l’énumération en 80 pages m’étant apparue d’abord ennuyeuse, banale. Reprenant le livre, présenté sous forme d’une lettre continuée chaque jour, enfin presque, sa voix m’est devenue familière et j’ai découvert une femme sensible pas toujours perçue à la lecture de ses livres scientifiques.)
Vous dites que nous aurions pu écrire ce livre. Je n’en suis pas certaine. Chaque vie a ses souvenirs, sa petite « madeleine de Proust », mais le continuer par la pensée ou l’écriture, pourquoi pas ?
Ne trouvez pas cette joie à la lecture de certains commentaires ?
« Françoise Héritier est connue dans le monde universitaire comme ethnologue et anthropologue. Elle appartient à la longue liste des ethnologues africanistes : Michel Leiris, Marcel Griaule, Germaine Dieterlen… et j’en oublie beaucoup et de fameux. Françoise Héritier a succédé à Claude Lévi-Strauss au Collège de France où elle a donné sa leçon inaugurale du haut de la nouvelle chaire d’étude comparée des sociétés africaines le 25 février 1983. Avec d’autres chercheurs, Françoise Héritier pense que les différences morphologiques entre les hommes et les femmes ne seraient pas que prédéterminées par le gonosome mais également subtilement influencées par la pression de sélection culturelle initiée il y a près d’un million d’années et favorisant nettement l’homme au niveau alimentaire en opposant moult interdits alimentaires à sa compagne.
Son dernier ouvrage est aux antipodes des problématiques ethno-anthropologiques et s’inscrit avec pertinence dans la philosophie de la madeleine de Proust ou dans celle, plus proche de nous, de « la première gorgée de bière et autres plaisirs minuscules ». Françoise Héritier saisit l’opportunité au bond en répondant à une carte postale que lui adresse son médecin et ami, le professeur Jean-Charles Piette, lors d’ « une semaine volée de vacances en Ecosse ». Elle répond à son ami en lui expliquant que c’est plutôt sa vie que le médecin vole quotidiennement puis s’en suit une phrase sur quelques quatre-vingts pages exprimant les petits riens de la vie qui en font le sel. Elle nous enseigne à ouvrir tous nos canaux sensoriels en toutes circonstances afin de faire de notre mémoire le réceptacle de sensations uniques : « apprécier le toucher d’un beau cuir ou d’une pêche ou d’une chevelure » ; « sortir sur le tarmac à la saison des pluies à la nuit à Niamey et sentir l’odeur chaude et épicée de la terre africaine » ; « sentir la crispation des papilles sur le gingembre » ; « admirer les belles glycines de maisons particulières à Redon » ; « fermer les yeux pour mieux entendre le bruit du vent dans les hauts peupliers de Bodélio… » ! Cette longue mais plaisante et jamais ennuyeuse énumération est parsemée de souvenirs désopilants que cette africaniste a glanés sur le terrain tel « rire encore au souvenir du chaton au bord d’une route togolaise qui mangeait voracement et le poil hérissé des morceaux de viande un peu pimentés ». L’anthropologue éveille aussi notre curiosité : « trouver à l’Université d’Accra des taxis pour Germaine Dieterlen que les chauffeurs fuyaient à cause des ses exigences ». Pourquoi ? Et, ailleurs, elle crée une profonde émotion empreinte de compassion et de désespoir avec « avoir sangloté en silence pendant des heures devant les « virgules » qui tombaient des tours du 11 Septembre ».
In fine, Mme le professeur Françoise Héritier nous invite en quelque sorte à une sublime séance de méditation en pleine conscience (mindfulness meditation) pour le plus grand profit de notre santé psychique, physique et mentale. Le bonheur à portée de main … »
Le sel de la vie, Françoise Héritier
Odile Jacob
à 9h44 la victime de sa co nn erie comprend rien décidément est encore plus dé bile que dé bile!
La dernière fois que le drapeau bleu blanc rouge flottait aux fenêtres c’était à la Libération de Paris : aujourd’hui, une façon de dire « dehors, les fous d’Allah » ?
eric est d’ une bêtise anonyme indécrottable,
dany Cohn Bendit est mon non institutionnel porte-drapeau.
Un point c’est tout!
Il est juste de rendre hommage de manière solennelle aux victimes du 13 novembre.
Mais c’est une erreur d’organiser à leur sujet une cérémonie d’ordre militaire, réservée à des combattants.
L’Europe se réveille lentement de son sommeil pacifiste mais la « guerre » lui reste tellement étrangère qu’elle est encore dans le trop ou le pas assez.
victime commatérale dit: 27 novembre 2015 à 9 h 32 min
Pauvre courge!
Et le socialo-pétainisme, vous connaissez?
eh grosse patate, vous ne savez pas compter et fait trouver autre chose pour votre défense du camp de courte pattes
La dernière fois que le drapeau bleu blanc rouge flottait aux fenêtres c’était à la Libération de Paris :aujourd’hui, une façon de dire « dehors, les fous d’Allah » ?
Oui, Attila, mais ne pas faire abstraction des « collabos » comme en 45!
à 10 h 10 min
vous ne comprenez rien, en plus d’être hystérique
Le commentarium n’a pas besoin d’un état d’urgence
mais d’un contrat de nettoyage et de détergence.
Encaustiquement.
« une erreur d’organiser à leur sujet une cérémonie d’ordre militaire, réservée à des combattants. »
Avec le pape ça aurait de la g.uele
Polémikoeur. dit: 27 novembre 2015 à 10 h 17 min
« Le commentarium n’a pas besoin d’un état d’urgence
mais d’un contrat de nettoyage et de détergence.
Encaustiquement. »
paroles d’expert en commentaires crétins
« ne pas faire abstraction des « collabos » comme en 45! »
le papyzinzin tout tremblotant de bêtise a sorti sa carabine
les fascistes déjà se voient à l’élysée en 2017
« les fascistes déjà se voient à l’élysée en 2017 »
éric en est leur porte drapeau mental en avant poste!
10 h 29 min
critiquer la droite et l’extrême-droite est ^éché
Sans bleu, ni rouge, juste du blanc, celui de la porcelaine, dont le céramiste & écrivain Edmund de Waal (The Hare with Amber Eyes) raconte la geste dans On The White Road.
Cette fois-ci, Passou, vous n’allez pas laisser passer cet autre grand livre, j’espère!
https://www.hatchards.co.uk/hatchards-calendar/white-road-evening-edmund-de-waal/
Péché
Le fascisme a passé nos frontières, il y a longtemps, les collabos ayant bien facilité les choses …. Aux larmes, citoyens !
10 h 29 min
jamais rien lu d’aussi débile que vos commentaires complètement à côté de la plaque
Be alert. Your country needs lerts!
à JC Résumons : VIVE LA MADAME VERNIGLIA !
Dehors les Fous d’Allah?
Dehors le troulala?
Dehors les Fous d’Alba?
Dehors le Fou d’Alba?
Polemikeurement!
Oui, Attila, vous étiez excellent dans ce rôle-là, et c’est même en pensant à vous que j’ai imaginé d’inclure des figurants parisiens dans tout ça.
En fait, vous ne le savez pas, mais ce jour-là, vous avez commencé à vous fendre si largement la pipe que c’en était contagieux. Le pré était tout souriant, avec vous dedans…
Du coup, voyez la chose : nous, nous sommes dans le « quotidien ovin », nous ne nous rendons plus compte de l’image que nous donnons.
Votre réaction nous a donné l’occasion de voir notre propre image, de la « tenir à bout de bras », en quelque sorte…
Du coup, hop ! Scénario !!!
Vous comprenez bien l’humour (bienveillant, j’insiste) qui peut se dégager de tout ça. L’idée est évidemment de faire jouer nos différences, comme on cogne deux pierres pour en faire jaillir une étincelle, pour mieux en rire tous ensemble.
Si ça vous dit, je vous envoie le scénario (quand il sera écrit, j’ai deux trois bricoles à faire en ce moment !), ou au moins le pitch du film…
(et puis qui, mieux que vous, peut jouer le rôle du Parisien aux champs ? Vous êtes l’émanation même de la Ville, vous la connaissez de fond en comble, l’avez parcourue dans tous les sens…)
vivement que les fascistes de pq et dala s’entre-tuent
S’il vous manque une chèvre borgne pour votre mièvrerie bocagère, Clopine, Henriette Dumans fera l’affaire ….
Elle a le don.
Avec Stiegler, c’est toujours « Tempête sous un crâne ».
Chaos productif ou confusion stérile?
Cet homme a trop écrit pour que j’aille voir par moi-même.
Devant l’épreuve actuelle, son diagnostic est inutile.
En toute sincérité, nous sommes nombreux, ici, à ne pas comprendre pourquoi une cérémonie militaire est organisée aux Invalides à destination d’un électorat pleurant des victimes civiles ?!
Il y a une confusion certaine au plus haut sommet de l’Etat.
Il nous semble que Bernard Stiegler montre sa compétence comme Miley Cyrus montre son cul. Affligeant….
Nous avons adoré le « fendre sa pipe » concernant Attila.
What’s else
Bloom dit: 27 novembre 2015 à 10 h 39 min
Edmund de Waal, On The White Road.
En ce jour de ferveur patriote, exigeons une traduction exhaustive.
Edmond de Gaulle, Sur la route blanche.
« Nous connaissons l’ennemi. C’est la haine.
Celle qui a tué à Bamako, à Tunis, à Paris. C’est le fanatisme, l’obscurantisme, celui d’un islam dévoyé qui renie le message de son livre sacré. »
Non.
Ils ne s’attaquent pas à la France mais à un mode de vie (Cohn-Bendit).
Typique de la pensée apolitique.
masud al-bukhari dit: 27 novembre 2015 à 11 h 39 min
pensée apolitique
apolitique mais juste.
Rassemblement rue Fournier devant l’immeuble de JC qui a mis un drapeau nazi à sa fenêtre, les gens le conspuent…
Pourquoi vous compliquez-vous la vie, Français ? Nommez votre ennemi, et combattez le !
Hercule est d’accord pour venir vous aider ; le travail, il connaît !
Il me dit qu’Augias avait des Ecuries à peu près comparables à votre société du vivre-ensemble-dans-la-dèche, comme disait Orwell.
Chaloux Clopine,
Grande et belle main, le violoniste Edgar Moreau qui vient de jouer Bach aux Invalides a une phalange de plus, acquise à force d’entraînement depuis l’âge de 4 ans. Oui, c’est possible.
Pierre Manent, une autre nourriture que Stiegler:
éminemment discutable, càd digne d’être soigneusement discuté.
Diagnostic juste, remède incertain…
(« Situation de la France », 2015, petit livre très réfléchi)
Cet entretien, qui fait sottement s’étrangler le journaleux de Libération, n’en donne qu’une pâle idée:
http://www.liberation.fr/debats/2015/10/23/pierre-manent-il-faut-faciliter-l-engagement-des-musulmans-dans-l-aventure-francaise_1408401
Clopine, je craignais de vous avoir froissée, je vois qu’il n’en est rien et je suis rassuré. Un piano dans un pré, c’est une jolie idée, mais c’est un instrument, un être plutôt, qui demande autant de soins et d’attentions qu’un bébé, ce serait un peu aventureux. Il faut dire qu’il vous rend au centuple ce que vous lui donnez.
Phil, je l’ai entendu -pas ce matin-, c’est un formidable musicien.
elle est duraille, la vie. (Georges Charensol, Le mâââââââââââââââââââsuélaplume)
non, je pensais à Onfray le collabo normand, sorte de Jean-Hérold Pâquis sans envergure, de Henriot de fond de poubelle, et ‘effectivement , elle est duraille , la vie.
Phil, violoncelliste.
heureusement que l’moa m’aide, disait l’autruche.
ô divin Chaloux,
Vous connaissez la sensibilité des mécanismes au service de la musique à touches, blanches et noires ?!
…. ne mettez pas un Steinway dans le pré, chez les bouseux, ils vont essayer de le traire pour en tirer quelque profit, juteux ! Dame, quand on a de petits revenus et de grandes illusions…
Clopine, avec ce week-end-là, à la campagne, du point de vue dramaturgique, vous l’avez votre scénario !
Et pas seulement pour un court métrage, mais au moins un moyen, voire un long, selon la règle des trois unités.
L’action : la rencontre amicale organisée par des rats des champs entre des rats des villes, qui auraient dû se connaitre et ne se connaissaient pas, autour d’un hypothétique projet de création cinématographique.
Lieu principal de l’action : la vaste et accueillante cuisine transversale, entre pré et jardin, des Clopins, réunissant les divers protagonistes à l’occasion de pantagruéliques repas bien arrosés.
Temps : les deux jours d’un week-end hivernal, entre l’arrivée et le départ à la gare.
Pour l’écriture, vous pouvez toujours compter sur moi…
bon alors baroz, vous la reprenez cette république du cinéma ? actionnez le piston passoulinien. mais pas de niaiseries à la jony depp, de la qualité d’hier et d’aujourd’hui.
« J’aimerais bien parler des betes qui peuplent ma demeure entourée… » (de quoi, au fait?)
« pantagruéliques repas bien arrosés. »
Attila, vous pesez combien pour votre hauteur ? et votre taux de mauvais cholestérol ? et votre mémoire, parfois défaillante ? et votre silhouette …
Bref…est ce bien raisonnable de participer à ce Bacchus chez les Parques ?
fichues actions motrices….
renato, merci pour les mains de Glenn Gould… Celles de Bahsung n’étaient pas mal non plus…
http://www.lesinrocks.com/2014/03/14/musique/alain-bashung-la-discographie-1143241/
Au delà du talion, l’aiguille…
Pour le titre, Clopine, de quoi faire s’étrangler le jaloux JC de rage :
LE FESTIVAL DE CAN(N)ES
Frère uedaalzouzou jesaistoutmieux masud al-bukhari va fonder un monastère de mâles en détresse au sein des quartiers sensibles de pq
@Phil – midi
Et Alexandre Tharaud au piano qui accompagne Natalie Dessay qui chante « Perlimpinpin » de Barbara.
Résumons….. dit: 27 novembre 2015 à 12 h 27 min
Attila, vous pesez combien pour votre hauteur ?
Pour le brêle de pq, l’idéal = la stature et les muscles d’airin de vlad
charles dit: 27 novembre 2015 à 12 h 36 min
Vous êtes jaune comme un coing!
« Attila, vous pesez combien pour votre hauteur ? »
T’inquiète !
William Legrand dit: 27 novembre 2015 à 11 h 49 min
Rassemblement rue Fournier devant l’immeuble de JC qui a mis un drapeau nazi à sa fenêtre, les gens le conspuent…
JC l’idiot du village a revêtu sa panoplie nazie
Camarade JC, nos trolls nous lancent un appel pathétique.
Ouvrons un camp de travail pour les mettre à niveau!
« Vous êtes jaune comme un coing! »
c’est çui qui dit qui ê
William Legrand dit: 27 novembre 2015 à 11 h 49 min
Je suis pour la bio-diversité, mais il me semble qu’on pourrait sans aucun dommage serrer le kiki de l’individu à l’identité flottante qui signe Legrand, commère, etc…!
zouzou aime jc
« serrer le kiki de l’individu à l’identité flottante qui signe Legrand, commère, etc…! »
les individus qui soutiennent le naze de pq ont des habitudes révoltantes
une balle
pour l’inculte de 12 : 23, qui demande « de quoi » ?, « la demeure entourée » est l’un des plus beaux poèmes de Jules Supervielle…
La demeure entourée
Le corps de la montagne hésite à ma fenêtre :
« Comment peut-on entrer si l’on est la montagne,
Si l’on est en hauteur, avec roches, cailloux,
Un morceau de la Terre, altéré par le Ciel ? »
Le feuillage des bois entoure ma maison :
» Les bois ont-ils leur mot à dire là-dedans ?
Notre monde branchu, notre monde feuillu
Que peut-il dans la chambre où siège ce lit blanc,
Près de ce chandelier qui brûle par le haut,
Et devant cette fleur qui trempe dans un verre ?
Que peut-il pour cet homme et son bras replié,
Cette main écrivant entre ces quatre murs ?
Prenons avis de nos racines délicates,
Il ne nous a pas vus, il cherche au fond de lui
Des arbres différents qui comprennent sa langue. »
Et la rivière dit : « Je ne veux rien savoir,
Je coule pour moi seule et j’ignore les hommes.
Je ne suis jamais là où l’on croit me trouver
Et vais me devançant, crainte de m’attarder.
Tant pis pour ces gens-là qui s’en vont sur leurs jambes.
Ils partent, et toujours reviennent sur leurs pas. »
Mais l’étoile se dit : » Je tremble au bout d’un fil,
Si nul ne pense à moi je cesse d’exister. »
…
Pas la peine de me dire merci, ô malfaisant troll. Car pour me remercier, il faudrait que vous soyez à même d’apprécier le cadeau. Or, s’il y a une chose sûre, c’est que jamais un troll ne comprendra la poésie de Jules Supervielle…
… : et pour finir, moi, comme la rivière, je vais me devançant, crainte de m’attarder.
« Je suis Charlie »
puis …
« Je suis Bataclan »
puis …
« Je suis Invalides »
puis ….
tout simplement….
« Je suis con »
Supervielle ?
Super !
Supervieille ….
@Résumons/ JC….. dit: 27 novembre 2015 à 13 h 20
Chacun fait ce qu’il peut , comme il le sent, là où il est. Une fleur, une foule, un écran de télé, une présence à l’enterrement de l’une de ces victimes. Bien sûr il y des mots, qui, répétés interrogent mais aussi les attentats qui se répètent.
pourquoi es-tu si méchant, tellement indifférent et moqueur ?
Le masque et la plume ?
Répliques ?
Et si abandonnant ce costume et ces mots qui te dégradent et qui nous heurtent et nous lassent, tu ne gardais que l’autre identité, celle du penseur, du lecteur, de l’ami, du poète…
On en a vraiment m… , JC. reviens à toi.
«La nécessité de parler, l’embarras de n’avoir rien à dire et l’envie d’avoir de l’esprit sont trois choses capables de rendre ridicule même le plus grand homme.
-Voltaire»
« pourquoi es-tu si méchant, tellement indifférent et moqueur ? » (Cricri)
La méchanceté, c’est de ne pas être méchant.
L’indifférence, c’est la bonne réponse à l’indifférence.
La moquerie, mère du rire, est une question de survie.
mais quand ça y sera, t’y seras plus depuis longtemps.
Ils aimaient le rock, ils aimaient le théâtre, ils aimaient étudier et voyager. Ils aimaient Paris ; ils aimaient vivre, etc.
Il n’en fait pas trop dans ce registre, ce gouvernement?
C’est dans les Supervieille marmite que l’on fait les meilleurs soupes poétiques, du con !
Ce gouvernement est éclairé.
A la torche.
A la torche-culs.
Vous n’avez pas le monopole du coeur, monsieur masud al-bukhari ?
….. et éteignez les bisounours falots….
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