Pour ceux qui aiment vraiment le théâtre
Au fond, qu’est-ce que le théâtre ? Peut-être quelque chose comme ça. Nous sommes en 1943 à Auschwitz. Une française du nom de Charlotte Delbo, déportée pour faits de résistance, réussit à échanger à des Gitanes une ration de pain contre un petit livre qu’elles avaient volé entre autres choses : une édition du Misanthrope dans la collection des Petits Classiques Larousse. Chaque soir, celle qui avait été avant-guerre l’assistante de Louis Jouvet de l’Athénée en apprenait quelques pages par cœur ; chaque matin elle se les récitait durant les heures interminables passées debout dans le froid dans la cour au moment de l’appel. Quitte à paraître pour une folle qui parlait toute seule, elle s’aidait des alexandrins pour résister tant à la douleur qu’aux souffrances.
« Il n’y avait pas de spectacle, mais il y avait du théâtre »
Ce spectacle, on nous le fait imaginer ; or rien ne dit plus intensément la vérité du théâtre que cette absence de représentation. Telle est la conclusion de cette histoire vraie que rapporte Jean-Loup Rivière en ouverture de son recueil d’éclats de réflexions Le Monde en détails (308 pages, 21 euros, Le Seuil) nées d’une vie consacrée au théâtre, celui-ci étant peut-être « un lapsus du Monde ». A le lire, l’écouter, l’examiner, le regarder, l’étudier, l’exalter, l’analyser, le scruter, l’aimer- le subir aussi. Ce sont des chroniques de trois pages courtes pages chacune classée par thèmes en toute subjectivité, sans souci d’exhaustivité, en privilégiant les caprices de la mémoire et en obéissant à la mémoire de son bon plaisir. A condition de réduire chacune des entrées à un détail dont on se doute qu’il sera significatif et dira bien autre chose que ce qu’il dit. Les titres, d’un mot et pas davantage afin de mieux inscrire dans l’esprit du lecteur qu’il peut y gambader comme dans un anti-dictionnaire, sont déjà une annonce. Le fragment relatif à Charlotte Delbo s’intitule « 31661 », pour la même raison qu’un semblable numéro est la seule inscription gravée sous son nom sur la pierre tombale de Primo Levi.
L’air de rien, par petites touches, Jean-Loup Rivière en dit bien plus sur le théâtre que… Passons. A l’entrée « Haine », il prend prétexte d’une critique particulièrement plate de Jacques Julliard dans le Nouvel Observateur, pour rappeler que les controverses théâtreuses sont aussi vieilles que le théâtre, et que les arguments ne sont guère renouvelés. En l’espèce, il s’agissait de houspiller un comédien qui tournait le dos au public, ce qui n’a rien d’extraordinaire en soi, surtout si la mise en scène l’exige, mais ne devient problématique, voire insupportable, si cela se prolonge au point de rendre ses répliques inaudibles, comme nous avons pu l’éprouver encore tout récemment lors des Trois sœurs de Tchékhov. Jean-Loup Rivière a certes raison de souligner que la situation, les attitudes, les gestes expliquent jusqu’aux plus « obscures clartés », pour reprendre l’oxymore popularisé par Le Cid ; mais tout de même, parfois, il arrive que l’on aille aussi au théâtre pour la beauté du texte, qui est la dernière chose qui nous reste quand tout a été laminé.
Ses rappels s’imposent. Il fait prendre conscience de ce que le temps réel du théâtre est un direct nécessairement corrompu par le passé. Ou que les acteurs sont susceptibles dès lors que l’on critique leur prononciation (ah, le e muet…) car elle fait partie de leur corps et que c’est aussi vexant que de critiquer leur physique. Ou qu’une pièce doit obéir à une nécessité ce qui n’est pas toujours le cas. Ou que l’art suprême du metteur en scène consiste à faire de toute la scène « un visage qui me regarde », ce qui est plus que rare. Ou que les portes ne sont pas seulement les piliers du comique de vaudeville mais peuvent être des personnages. Ou de ce qu’un acteur doit être non seulement capable de tout jouer, de même que le théâtre peut tout faire (« le monde en quelques mètres carrés, une foule avec quelques acteurs ») mais d’endosser n’importe qui, quel que soit son âge, son accent ou la couleur de sa peau, car cela peut avoir du sens, et répondre à un projet ou une vision, que de se voir confier un rôle auquel tout l’opposerait, car rien ne donne du relief comme la discordance.
« Quand Vitez donne le rôle d’Electre à une actrice plus âgée que celle qui joue sa mère, Clytemnestre, c’est pour montrer que l’inaltérable haine d’Electre la vieillit »
Jean-Loup Rivière ne se refuse rien, étant entendu que les entrées apparemment les plus triviales donnent à penser. Ainsi à « Jambes » (essayez toujours de les placer…), il déplore à juste titre que les récents réaménagements des théâtres n’aient pas jugé bon de tenir compte de l’augmentation de la taille de la population et se demande si ce sadisme qui consiste à forcer le spectateur à se tenir en position fœtale n’est pas délibéré, le théâtre étant, selon une étude universitaire américaine, une dérivation de la cavité primitive. Peut-être est-ce l’ultime ruse de la puissance allégorique du théâtre. Ailleurs, il a de beaux passages pour exprimer cet état de grâce qui touche le spectateur lorsque le théâtre déborde son cadre pour interroger en lui autre chose qu’un spectateur. A condition qu’il le trouve. Car il y a des soirs, sans que la pièce, la troupe ou la mise en scène soient en cause, où c’est le spectateur qui n’est pas très bon.
Rien ne lui échappe. Même le seul moment où le spectateur peut être amené à faire l’acteur : lorsqu’il doit se rendre dans une loge à l’issue d’un spectacle qui l’a laissé déçu ou dépité et qu’il doit surmonter son embarras. Même l’ergonomie des sites internet des théâtres et leur manière de présenter des extraits. Même la désespérante destinée des monstres de théâtre, le Cromwell de Hugo, le Faust de Goethe, du Deuil sied à Electre d’O’Neill, du Château des cœurs de Flaubert, si longs soient-ils ne sont jamais montés intégralement, soit ils le sont longtemps après (le Soulier de satin a attendu plusieurs décennies).
Même la vocifération, spécialité française, paraît-il : c’est à l’entrée « Cris », naturellement, où il est observé que le hurlement passe à nouveau pour le signe du théâtre puisqu’il revient sur scène, alors que donner de la voix à tout instant apparaît surtout comme une tentative désespérée de compenser une absence de corps, donc de présence. Et Jean-Loup Rivière de rapporter le témoignage ému de ceux qui ont vu Helene Weigel dans Mère courage : « une bouche grande ouverte sans un son ». De la fumée que ces paradoxes chers à l’auteur ? Justement, il y a même une entrée « Fumée » pour dire combien elle l’enchante sur scène tant elle donne de la consistance à l’espace théâtral et qu’elle déréalise l’atmosphère par son instabilité même.
Le plus souvent, les livres sur le théâtre sont des recueils de critiques de l’auteur déjà lues par ailleurs, même si la nécessité de les rendre pérennes ne saute pas aux yeux, des panoramas historiques sur l’art de la représentation ou des considérations théoriques sur ses origines. Mais Le Monde en détails est, pour sa part, ce qu’on peut lire de plus original et de plus stimulant sur le sujet. Lequel au fait ? Le théâtre, moins pour ceux qui aiment y aller que pour ceux qui l’aiment vraiment, et ne s’interdisent pas de se poser des questions sur ce qu’il y a sous la scène et derrière les mots. Nul besoin d’épater le spectateur par une débauche de moyens. Ou de lui en mettre artificiellement plein la vue en exhibant les moyens de production de la pièce, lieu commun de la prétendue modernité en matière de mise en scène.
En mettant en scène La Douleur de Marguerite Duras (vu, pour ma part, à Bordeaux dans un véritable état de sidération), et en permettant à Dominique Blanc de se l’approprier jusqu’à en être habitée comme rarement une comédienne a la possibilité de l’être, Patrice Chéreau et Thierry Thieû Niang ont été bien au-delà de la mise en espace, de la typographie animée et bien sûr de la lecture : ils ont renoué avec l’origine du théâtre, ce qu’il était avant son institution et que Jean-Loup Rivière appelle « le moment grec ».
Des détails mais quels ! Il n’y a que lui pour s’arrêter sur l’intitulé que les éditeurs de la Bibliothèque de la Pléiade ont donné au volume consacré à ses pièces historiques : « Histoires » (Histories). Il y voit l’une des clés du génie de Shakespeare, dans cette manière unique de nouer des histoires de chacun à l’Histoire d’un pays. Comme le dit si bien Nathalie Léger dans les Vies silencieuses de Samuel Beckett, pensée placée en épigraphe par Jean-Loup Rivière :
« Il n’y a pas que la langue, il n’y a pas que le style, il y a aussi les chaussures ».
Ce n’est pas que le diable soit dans le détail, mais dès lors qu’il fait théâtre, ou qu’il suppose le théâtre, cela change tout. Ce qui nous ramène à une vieille histoire juive qui avait servi de prétexte à Beckett, justement dans Le monde et le pantalon (1989) : un client s’énervant après moultes essayages chez son vieux tailleur et perdant patience : « Mais enfin, M. Moysche ! Dieu a fait le monde en six jours et vous, il vous faut trois mois pour me faire un pantalon ? » « Oui, c’est vrai mais dites, vous avez vu le monde et vous avez vu mon pantalon ? »
(photos Passou)
172 Réponses pour Pour ceux qui aiment vraiment le théâtre
d’accord P.Assouline, mais il y a aussi des pantalons à UNE jambe -le détail? ils sont pas pour vendre – et les autres: les peits pant
suite les petits pantalons interdits à Nazareth: ce sont des bermudas : bon je repasserai relever les détails
Nous pensions avoir fait de votre monde actuel, humains, le plus gigantesque théâtre possible !
Un Monde aux textes, aux dialogues les plus fous, aux horreurs les plus extraordinaires, aux personnages les plus crédibles, aux péripéties les plus étonnantes, aux évènements les plus bandants, à la démence irréelle … et bien non !
Humains, pauvres de vous, vous ne changerez jamais !
Vous continuez à vous intéresser à des vieux moyens de communication, le théâtre, le livre, datant d’une époque où le monde, vivant dans le non-informé, se voyait lent, se croyait stable, plat, inerte … !
Enfants que vous êtes : allez vous vieillir et devenir enfin jeunes ?!
vous avez ci-dessous un bel exemple de la nullité crasse de mon ex-mari
« La Ménopause » ou le naufrage des belles dames… une pièce éternelle.
Nous sommes en 1943 à Auschwitz. Une française du nom de Charlotte Delbo, déportée pour faits de résistance etc. etc.
Décidément, si Godwin n’existait pas, il faudrait l’inventer.
elle s’aider des alexandrins pour résister tant à la douleur qu’aux souffrances.
« elle s’aidait ». Attention à l’orthographe. Un petit peu d’inattention, et le mélo se transforme en farce.
or rien ne dit plus intensément la vérité du théâtre que cette absence de représentation
Dit comme ça, c’est un contresens massif. Qu’en pensent les gens de théâtre ?
C’est parce que « le monde » est ainsi fait par « VOUS » « o grand Zeus », que la culture, les livres, le théatre restent un refuge, pour nous, simples humains…
« …sadisme qui consiste à forcer le spectateur à se tenir en position fœtale n’est pas délibéré, le théâtre étant, selon une étude universitaire américaine, une dérivation de la cavité primitive ».
J’aimerais bien en savoir plus sur cette étude apparemment extravagante, SVP. Peut-être déjà suggérer qu’obliger le spectateur à se tenir les genoux dans le fauteuil du voisin (place 87) permet aussi d’empêcher ceux qui veulent se tirer de le faire durant le spectacle… Et ça, c’est trop fort, plutôt astucieux que véritablement psychana-paralytirque, je dirais…
…
…le théâtre pour contenter le conservatisme d’état,!…
…tout le monde il est beau, à sa place, comme » montons de Panurge « ,…etc,!…
…
Pourquoi plus d’auteurs de théâtre aujourd’hui, hors les adaptations de romans? Les metteurs en scène qui se mettent entre le texte et le spectateur font ch.er.
11h59
La Ménopause » ou le naufrage des belles dames…
les ménopausées sont interdites d’accès à péq même à la nage
Ah oui, merci pour ce rappel d’un billet de 2009.
« Quand Vitez donne le rôle d’Electre à une actrice plus âgée que celle qui joue sa mère, Clytemnestre, c’est pour montrer que l’inaltérable haine d’Electre la vieillit »
Mais aussi c’est pour signaler que la jeune deviendra vieille et que cela est inéluctable.
La haine enlaidit elle. Et n’est pas inéluctable.
Dans la mise ne scène de la pièce de Jean Paul Sartre Les mouches direction par Charles Dullin, les rôles d’Electre, Clytemnestre et une Erynie sont tenus par Mmes Perret, Olga Dominique et Cassan.
L’ENFANT
J’ai peur
LA FEMME
Il faut avoir peur, mon chéri. Grand-peur. C’est comme cela qu’on devient un honnête homme.
Acte II scène première du premier tableau
Amusante numérotation des fauteuils, à gauche depuis la scène les numéros impairs et, les numéros pairs à droite. J’avais remarqué à la Comédie Française une numérotation bizarre, rendant la place difficile à trouver, peut-être les rangées ne sont pas numérotées ?
J’ai horreur d’attendre et je n’attends pas que les ouvreuses soient libres, parfois mon mal de dos oblige…
J’ai vu Jane Birkin, dans une tournée faisant halte à Zürich, jouer elle aussi la fille, et la mère étant une comédienne plus jeune. Peu importe, le charme de Jane Birkin était tout autant garni de fraîcheur qu’il y a quelques décennies. Sauf que j’étais dans les premiers rangs d’orchestre, et que je voyais tous les détails.
Assouline devrait ouvrir un supermarché kacher.
Voilà une excellente idée je trouve, on verrait enfin la tronche – le falzar aussi, tiens – des plus fidèles clients…
Quitte à paraître pour une folle
n’était-ce pas quitte à passer pour , ou quitte à paraître -une -folle ?
Un beau sonnet qui mérite toute votre attention. Du vrai théâtre !
http://short-edition.com/oeuvre/poetik/la-nuit-etoilee-sonnet-classique
« Birkin, dans une tournée faisant halte à Zürich, jouer elle aussi la fille, et la mère étant une comédienne plus jeune. »
déjà qu’elle s’emmêle dans les articles et temps des verbes (en plus de l’accent!) elle est marrante
Ne le « con »prenez pas mal. Dans les supermarchés on trouve de tout, c’est bien connu, de la variété, du choix, beaucoup d’huile de palme – mais ça on le sait – et même des voleurs à l’étalage.
Ce qui est bien aussi, c’est qu’on peut en sortir quand on veut. Il n’y a pas que la liberté d’expression dans les démocraties…
TKT : « Peu importe, le charme de Jane Birkin était tout autant garni de fraîcheur qu’il y a quelques décennies. »
–
oui, tout comme le tiens mon Thierry.
(‘tain sur twitter une veille parkinson a du mouiller son froc il y a 7 minutes)
La medina papa et maman c’est le bordel.
tiens ,herr heidegger dans la pantalonnade !
et les souffrances de Bellmer
« avec les mots on ne fait que se raconter »
où sont mes cothurnes ?
mon ex est un vrai fumier, tout le sait, tout le monde le dit
il arrive que l’on aille aussi au théâtre pour la beauté du texte, qui est la dernière chose qui nous reste quand tout a été laminé.
En général, quand tout a été laminé, il ne reste pas grand’chose du texte, surtout que, dans ces cas-là, c’est la première composante du spectacle à être laminée…
un acteur doit être non seulement capable de tout jouer
C’est, de toute évidence, confirmé par l’expérience des acteurs et des spectateurs… Admirable exigence, jamais satisfaite dans le réel, mais ça ne fait rien. L’essentiel est d’y croire. Rivière est grand et Assouline est son prophète.
Le théâtre, moins pour ceux qui aiment y aller que pour ceux qui l’aiment vraiment
Peut-on aimer vraiment le théâtre sans y aller ?
Théâtre obscène: le racolage de Bibi.
Jean-Loup Rivière en dit bien plus sur le théâtre que… Passons.
Eh bien non, justement, ne passons pas. A qui Assouline pense-t-il précisément ? Il nous répondra sans doute que, vu le grand nombre de nécessiteux… Soit. Mais dans ce cas, retournons sa formule : Jean-Loup Rivière en dit bien moins sur le théâtre que… A partir de cette assertion en forme d’hypothèse, on peut établir une bibliographie raisonnée. Tiens, par exemple, plutôt que de se procurer cet ouvrage qui m’a tout l’air d’un exercice de virtuosité bavarde, sympathique certes, mais guère utile ni même éclairant, je proposerai la lecture des ouvrages d’Anne Ubersfeld. Comme point de départ.
(vu, pour ma part, à Bordeaux dans un véritable état de sidération)
La sidération n’est pas un état d’âme souhaitable pour le spectateur. Ses sens et son intelligence doivent, au contraire, être aussi intensément mobilisés que chez un chien de chasse de catégorie supérieure. Par exemple, s’agissant de ce spectacle, effectivement exceptionnel, pourquoi, sur le vaste plateau vide, seulement une table et une chaise, légèrement de biais, au jardin ? C’est une façon de travailler l’espace, de lui faire exprimer quelque chose, mais quoi ? pas simple de le formuler. Notable aussi, dans le même spectacle, le refus de la couleur : rien que du noir, du gris, et le bois bruni de la table et de la chaise. La performance (exceptionnelle — au fait, est-elle habitée par son texte ou bien est-ce elle qui habite le texte ? ce n’est pas tout-à-fait la même chose ) de l’actrice est indissociable de ces partis-pris de mise en scène. Dans le cas de ce spectacle, rien de trop, rien de superflu. Une espèce de jansénisme violent.
Pléonasme, jansénisme violent.
Ah, le rugby…. ! ça, c’est du théâtre digne d’Eschyle aux hormones…
Pour le vrai spectacle ? Rien ne vaut le Guignol, ou bien, à la rigueur, les séances télévisées de l’Assemblée Nationale, peut être … uhuhuhu !
doivent, au contraire, être aussi intensément mobilisés que chez un chien de chasse de catégorie supérieure…
Chez les chiens aussi la ségrégation sévit dans la classe.
georges dit: 15 février 2015 à 17 h 19 min
Comme l’activité humaine est riche, dispersée, multiple, nous ne pouvons avoir, nous les dieux, l’œil sur tout.
Savez vous, georges, si Passou, notre bon maître, le spécialiste de Simenon, a pénétré une fois ce domaine promis à l’oubli ?
Pléonasme, jansénisme violent. (Rose)
En effet. Regrettons que les mots « violent » et « violence » soient si défavorablement connotés, en règle générale. Mais un orgasme peut être violent, une émotion aussi, et Apollinaire a écrit : » Et que l’espérance est violente « …
Chez les chiens aussi la ségrégation sévit dans la classe. ( bérénice)
L’inégalité des dons est aussi spectaculaire chez les animaux que chez les humains. J’ai eu l’honneur de fréquenter quelques chiens et chats d’une intelligence supérieure.
…
…sans en rajouter,!…
…à chacun, son théâtre de marionnettes,!…
…j’ai aussi assister aux théâtres,…
…préfère les vaudevilles,…à Jean Lefebvre,…
…les comédies qui font strip-tease des sociétés et autres poulaillers du profits,!…en Stalag-13 social,!…Ah,!Ah,!…
…etc,!…
Passou, notre bon maître (Zeus)
Ouah ouah ! Je me rappelle maintenant que j’avais donné à un de mes chiens le nom de Zeus. Nom de Zeus ! le polythéisme aura vécu des heures difficiles.
Théâtre obscène: le racolage de Bibi.
Mais non, il y a un souffleur, couvert…
Et puis la vérité est dans les films et séries, non mais vous vous tenez informé ou pas ?
« Mais un orgasme peut être violent » (Le Suisse Jüff)
C’est indéniable. Et nous avons constaté, nous qui sommes bien placés par la hauteur olympienne qui est nôtre, que c’est en Suisse que les orgasmes sont le plus violent, et ce depuis la naissance de la Confédération !
Certains orgasmes bancaires seraient à filmer. Capra nous manque…
Regrettons que les mots « violent » et « violence » soient si défavorablement connotés, en règle générale (moi)
Je viens de consulter l’article « violence » du TLF pour m’en assurer. Confirmation spectaculaire. Il faut attendre, en fin d’article, une citation de Merleau-Ponty à propos de la violence du plaisir sexuel pour échapper (partiellement ) à la négativité de la violence.
Avant de vous quitter temporairement car les dieux ne vous quittent jamais : ils font semblant …. une info sans importance.
Le tueur de Copenhague a pour nom Vladimir Vladimirovitch al-Pacino.
Bonne nuit, humains adorables …
Ces alexandrins qui aident Charlotte Delbo à tenir bon au cœur de l’horreur du camp sont comme les vers de Dante dans lesquels se réfugie Primo Levi ,comme il le raconte dans le magnifique chapitre « le chant d’Ulysse » de « Si c’est un homme »
Jean-Loup Rivière ne sert pas le théâtre, il s’en sert, c’est évident
Judith,
Vos alexandrins !!! Parlons en…
Les travaux sur les camps démontrent que les intellectuels mourraient plus vite, mieux, plus désespérés, que les paysans ou les prisonniers incultes capables de se battre et de résister aux horreurs…
Votre intellectualité vous égare. Normal. Phénomène de classe.
« L’air de rien, par petites touches, Jean-Loup Rivière en dit bien plus sur le théâtre que… »
pas la peine de jouer les gros naïfs le Suisse, tout le monde a très bien compris de qui Monsieur Assouline veut parler !…
« Jean-Loup Rivière en dit bien plus sur le théâtre que… »
mais je comprends et je respecte tout à fait la décision de Monsieur Assouline de mettre des petits points à la place du nom, combien ? trois petits points ! comme les trois coups pom ! pom ! pom ! justement au théâtre…
« Jean-Loup Rivière en dit bien plus sur le théâtre que… »
Monsieur Assouline, me permettez-vous de donner le nom, ou les noms, parce qu’il y en a peut-être plusieurs… qui sait ? mais moi je le sais…
alors ? j’ai le droit ? ou bien vous préférez qu’on en dise pas plus à ce sujet ?
pour montrer que l’inaltérable haine d’Electre la vieillit
Elle a montré sa lune elle aussi ?
« Jean-Loup Rivière en dit bien plus sur le théâtre que… »
donner des noms c’est toujours problématique…
surtout sur un pareil sujet où la délation a joué le rôle qu’on sait…
Le petit hamlet lourd comme un brigadier, lourd…
« Jean-Loup Rivière en dit bien plus sur le théâtre que… »
d’un autre côté on se dit : pourquoi se priver du petit plaisir de le donner, le nom, parce qu’il n’y en a qu’un, c’est un indice, et son nom commence par la lettre…, non il ne faut pas donner trop d’indices après c’est trop facile de trouver.
« Jean-Loup Rivière en dit bien plus sur le théâtre que… »
lourd dites-vous ?
alors que je veux vous aider à trouver le nom ?
dites-nous le, le nom, petit malin !
parce que sans ce nom vous ne comprenez rien à cet excellent article, le nom caché est l’épicentre de tout, c’est ce qui permet d’ouvrir la porte au jour de la Grande Vérité !
La Grande Vérité rien à cirer… Parfois vivre suffit…
« Jean-Loup Rivière en dit bien plus sur le théâtre que… »
c’est que Monsieur Viderden préfère la légèreté à la lourdeur, là où est la légèreté…
Monsieur Viderden est nietzschéen peut-être ? il aime à trottiner comme Zarathoustra ? d’un pas léger…
Et vous mendiez assis sur votre cul ou sur le trottoir un mouflet dans les bras ?
mais mon petit Viderden nous ne parlons pas de vie mais de théâtre ! et donc de culture !
et vous venez me parler de légèreté.
comment peut-on parler de culture avec légèreté en 2015 ?
allez-y petit malin répondez-y à la question…
c’est pénible cette modération, j’avais une discussion avec mon nouveau copain Verboten et voilà qu’on me sucre sous prétexte que je l’insulte !
que serait la culture sans la violence et l’insulte ?
rien !!!
Dominique Blanc est une comédienne fascinante et littéralement géniale, c’est indiscutable. Les grands comédiens sont semblables à ces livres qu’aucune relecture ne parvient à épuiser, et aussi rares.
il faut reprogrammer le robot modérateur.
–
reprogrammons hamlet et n’en parlons plus.
Le Théâtre, ce n’est jamais que du cinéma bon marché pour occuper les acteurs entre deux films. C’est une des raisons pour laquelle je n’y vais jamais.
Et pendant qu’on s’amuse au Théâtre, l’invasion continue, tranquille, déterminée.
http://www.youtube.com/watch?v=DjX1EcLOBlw#t=14
D. dit: 15 février 2015 à 21 h 52 min
Drôlement bien fait ce petit film d’UFO. Le mec est doué. Du beau théâtre, si ce n’était du cinéma.
Cela me fait penser au film de Karl Dreyer, « Ordet », où il y a une belle résurrection. Le temps du film, on y croit dur comme fer.
s’être surtout tapé une partie de tétris
Hé ducon programmant les énhaurmes cigares, faudrait placer une citation sur les hystériques maintenant ?
Je ne vais pas me mettre à hurler que je suis le seul qu’on manipule tout de même…
Non mais c’est qu’il vont se plaindre que je ne flique pas leur vie les mendiants trempant leur froc dans la m…
Enfin, bon, faites tout de même attention, les contradictions ne se portent pas très bien au delà d’un certain nombre. Toutes les divisions ne sont pas celles de schizophrènes…
Le temps du film, on y croit dur comme fer.
Vous êtes un fan de Charlton Heston ou de ses flingues ?
Pasdamalgamos, le petit copain de notre chère et divine APHRODITE, est désespéré.
Le véritable Danois de souche – qui connaissait mieux les armes que les quatrains d’Omar Khayyâm – s’appelle Omar Abdel Hamid El-Hussein, d’après le journal Ekstra Bladet.
Pardon.
« S’appelait » …
Puisque, jugé à l’estime, il n’est plus de ce monde où sa présence était dérangeante.
« Pour ceux qui aiment vraiment le théâtre », allez voir la pièce de Boris « J’irai soulever vos tombes » au Cimetière juif de Sarre-Union où 300 tombes ont été transportées par l’enthousiasme d’amateurs antisémites…
Pasdamalgamos m’a affirmé que rien ne prouvait que…etc, etc,…
De même en Lybie où la décapitation de 21 chrétiens coptes ne serait que le malheureux effet d’un barbier sans diplôme de coiffeur pour dames, travaillant au noir pour l’Etat Islamique.
L’acteur Louis Jourdan, prototype du beau gosse hexagonal, est mort à Beverly Hills.
93 ans…. Il ne s’agit pas d’un crime islamiste. Pasdamalgamos est ravi.
bonne semaine à Perpignan-Les-Bains les esprits bétons..
Pasdamalgamos est ravi.
au contraire on sait bien que, ab ruti, vous êtes déçu mais cela vous distrait tout de même comme vous le démontrez sans cesse pauvre insulaire l’idiot de l’île, qui a besoin de se faire remarquer il s’ennuie à en crever à porquerolles les distractions sont rares et si fades d’autant plus à la morne saison. Bonne chance dans vos efforts pour tenter de capter l’attention (comme ceux que vous prétendez être vos ennemis)
La mode de ces prénoms anglo-saxons est ridicule : Charlie, par exemple, alors que Charles en est l’équivalent authentiquement gaulois. En revanche, j’avoue avoir un faible pour ces beaux prénoms d’origine nord-africaine pour la plupart, appelés à se répandre dans notre beau pays, d’autant plus qu’ils sont ceux de héros de l’Islam : Khaled, Mohammed, Youssouf, Mehdi, Chérif, Saïd, Amédy, ou encore Omar.
Tout à fait d’accord, sur les prénoms, avec le Suisse fou !
Visez moi cette révision ethnique :
« L’acteur Youssouf Jourdan, prototype du beau gosse hexagonal, est mort à Beverly Hills. »
Quelle allure mouderne ! C’est quand même autre chose que ce « Louis », prénom ridiculement capétien… à décapiter sans modération !
En revanche, j’avoue avoir un faible pour ces beaux prénoms d’origine nord-africaine pour la plupart, appelés à se répandre dans notre beau pays, d’autant plus qu’ils sont ceux de héros de l’Islam : Khaled, Mohammed, Youssouf, Mehdi, Chérif, Saïd, Amédy, ou encore Omar. (moi)
Encore qu’avec ces prénoms d’origine étrangère, il faille faire attention, essentiellement pour des raisons d’euphonie; certains sonnent très mal en français, comme, par exemple, Moshé, Benyamin, Itzhak, Ilan ou David. Alors là, j’aime pas.
Le PQ de Porquerolles, alias JC/Zeus, s’est fait virer du blog de Paul Edel… bravo et merci PE
Bon, assez rigolé comme ça, je vais faire les courses avec Sarah.
Tout à fait d’accord, sur les prénoms, avec le Suisse fou !
Visez moi cette révision ethnique :
« L’acteur Ilan Jourdan, prototype du beau gosse hexagonal, est mort à Beverly Hills. »
Quelle allure minable ! Ilan Jourdan … je déteste. A torturer sans modération…
Que dit au juste Viderden ? C’est une intelligence artificielle en test ?
à porquerolles yen a un qui se prend pour un playboy intellectuel il affirme même , du hait de son 1/2 neurone, que les islamofascistes ne s’en prennent pas aux musulmans
9h20: Two Omarrencontrés, l’un peintre inconnu, asocial, bourru, infréquentable, belles toiles, excellente technique; l’autre pas tout à fait médecin, archi séduisant, musicien à ses heures mais hélas aussi noir que la nuit, les deux auraient pu me procurer de violents orgasmes dans une formule duo, l’amour à trois ne se jouait alors que de façon discrétionnaire et encore, chez les dépravés.
Louis Jourdan avait fait du théâtre, et aussi joué dans les pires navets comme « Peau d’espion » (1967), de Molinaro. sous ses dehors de french lover un peu mou, il savait tout faire (chanter, danser..), comme beaucoup d’acteurs américains. Mais, surtout, surtout, avait-il aussi les chaussures ?
Nous partageons, ici dans nos hauteurs, les analyses du Suisse fou : réouvrons les camps nazis, remettons les Juifs à leur place naturelle le ghetto, confions la Palestine aux entrepreneurs palestiniens si compétents, et ce sera la fin du terrorisme islamique !
(…par contre, nous sommes opposés à ce que, de-ci, de-là, on enferme quelques Grecs pour enrichir les camps de philousophes syriziens, eux qui haïssent les besogneux teutons de l’Impératrice Angela …. Ne mélenchons pas torchons sémites et serpillières hellènes…)
9h47 Vouliez-vous demander s’il possédait une carrure, une stature, l’ossature may be? Ou plus certainement l’envergure…
définition d’un sale type en quatre initiales : JC/PQ
Et dire que le second tour risque fort de nous laisser le choix. Chouette!
Marine Lepen se prononce-t-elle sur ces dernières profanations? En plus de Copenhague l’info du lundi est blindée. Peut-être s’orienter vers un régionalisme inoffensif quoiqu’il dise du repli, d’une réaction de défense, d’un désir de protéger les racines.
Le régisseur entre en scène d’un air menaçant avec le brigadier à la main.
Moi quand je suis spectateur et que je vois un acteur entrer en scène, je me demande toujours s’il ne va pas balancer une grenade dans le public… Ne vous marrez pas, c’est possible, si si… ça ne s’est jamais vu, mais supposez un acteur muet… oui, oui, c’est peu probable, mais bon j’ai dit: supposez, supposez… bon, ben, balancer une grenade pour un acteur muet ce serait pour lui la meilleure manière de s’exprimer. Oui, ben oui, quand il veut agir l’acteur muet, qu’est-ce qu’il peut faire d’autre? …
J’y pense, moi à votre place j’aurais la trouille, regardez ce machin (Il montre le brigadier), imaginez que je le balance… trois morts, facile ! Assommés ! … mais non, n’ayez crainte, le régisseur… oui, c’est moi le régisseur… eh bien je n’ai aucun intérêt à balancer ce truc là dans le public… il est malin le public, un coup pareil et il ne revient plus, c’est pas dans l’intérêt du régisseur, j’y perdrais mon métier, mon aura, mon salaire, ma belle-mère… et mes enfants qui attendent à la maison que je ramène les sous pour payer les casseroles, la vidange, le chauffage, les fronces des rideaux, la papinette pour faire la vinaigrette et les petits beurres qui sentent si bon quand on les met dans le grille-pain, qu’est-ce qu’ils diraient les enfants, hein, je vous le demande, qu’est-ce qu’ils diraient ?
Non, non, n’ayez crainte, je ne le lancerai pas sur vous, quoique… c’est pas l’envie qui m’en manque. Vous n’avez jamais vécu ça vous, un jour ? Je veux dire, assommer d’un coup trois quatre de nos congénères… si, si, non, non, pas en vrai, mais dans la tête, c’est dans la tête qu’on vit les meilleurs moments et quoi de plus délicieux que d’assommer des gens dans son crâne, non…(oui ? y’a mieux…? Ah peut-être…) mais un bon coup de bâton de temps en temps au hasard, ça fait envie, moi je le dis, ça fait envie, on le sent là, au creux du foie, non, au creux de l’intestin grêle, près du pancréas, ça gratouille frivole, ça hésite là, ça bouge jusque dans la cabèche, sous le front dégarni, sous les vertèbres du crâne, partout. Partout ! Jusqu’aux orteils, ces extrémités les plus extrêmes qui touchent le sol et font de vous un homme… euh, une femme aussi… Et puis un éléphant… (un éléphant? Euh non, pas un éléphant !)
Oui, mais après je rentre du théâtre et à ma femme qui me demande: alors chéri, ça s’est bien passé cette soirée ? moi je lui réponds: pas mal, j’ai tué trois quatre spectateurs ; imaginez, ça lui ferait un choc à ma femme, hurlements, tremblements, trépignements et les petits se mettraient aussitôt à piauler, du genre: et qui c’est qui va payer les impôts, suppôt de Satan, qu’ils me diraient les petits, voilà papa qui est un assassin, pa-pa a-ssa-ssin ! Ils me montreraient du doigt dans la rue à leurs copains, pas peu fiers les mioches, j’aurais une aura de raté, la honte! La grosse honte d’enfer, ouh là là, j’ai eu chaud, si je l’avais fait!… Du calme, du calme !
Au fait j’y pense, ce truc là (Il montre le brigadier) ça s’appelle un cocon… euh non, que je suis bête, attendez, euh, c’est un bruit d’acier… non un bris d’acier, non (ah pauvre mémoire !)… un brigadier, oui, voilà, un brigadier, un brigadier… Un sacré truc le brigadier; toute la tradition du théâtre, les trois coups, oui, quand ça commence la pièce, on frappe trois coups, c’est comme un cœur qui bat… En fait je raconte n’importe quoi, c’est une erreur, les acteurs parlent toujours des trois coups, mais c’est qu’ils ne savent pas compter. Ce sont des littéraires, le comptage ils n’y connaissent rien. Avant que les trois coups retentissent y’a toute une suite de coups avant, comme avant que le boxeur soit KO, oui, y’a plein de coups avant, c’est beau comme des points de suspension, oui, c’est, je sais pas moi, pff… une dizaine de coups, oui, des fois que les spectateurs n’auraient pas compris que ça allait démarrer, ils sont tellement stupides les spectateurs, avant que ça commence ils s’amusent, ils oublient qu’ils sont au théâtre, ils jouent au poker, ils mangent du piment frais, ils se grattent la tête, ils pleurent, ils se mouchent dans de grands mouchoirs à carreaux rouges, ils rient, n’importe quoi les spectateurs, n’importe quoi. Heureusement qu’on est là pour relever le niveau, moi, le brigadier, les planches, les projecteurs, les acteurs, les parleurs, les haut parleurs, les radiateurs, l’auteur, les rideaux, les décors, la scène, la purge, le dramaturge, le thaumaturge, la saucisse, les coulisses, la catharsis, ça ça a de l’allure! C’est ça le théâtre ! Allez on commence !
(Il file en coulisses, frappe les coups, mais au troisième on entend un hurlement comme s’il s’était frappé sur le pied).
J’apprend de la bouche même de ce farceur de DIONYSOS une facétie que je réprouve.
Ce démon dément aurait autorisé, il y a quelques temps, notre chère et divine ATHENA NIKE à prendre l’apparence humaine d’une certaine Murene LaPine ! Qui est cette personne ?
Présente t elle un danger par chez vous ? Je veux dire un danger supérieur aux autres dangers …? Insupportable ivrogne, ce dieu.
« – Avant l’ouverture des portes, Coco,
tu veux bien aller place 87
et raccrocher son numéro ! »
Régisseureusement.
foetus foetus ;;et le bouc tragique , comment il replie ses pattes sur un strapontin ?
Tous ces numéros, dans le théâtre de poche, me font penser au jeu de l’oie. « celui-ci ne comprenait pas moins de 339 cases, retraçant les principaux du chef-d’oeuvre de l’Arioste. Des Roger, des Renaud, des Mandricards, avec cette différence qu’ils ne combattaient qu’avec des cornets de dés (…) »
http://www.giochidelloca.it/storia/poirier.pdf
La sidération, actuellement, c’est plutôt ce qui se passe en Hollandie. Il faudrait qu’un éminent membre de l’akadémie du théâtre, comme ce monsieur Rivière, fasse une théorie, à la façon de Barthes, avec, dans les rôles principaux, le Bedonnant de Corrèze qui appelle les Juifs à ne pas écouter le premier ministre israélien, le picador, son premier ministre, qui enjoint tout le monde de s’habituer à vivre sous la terreur islamo-fasciste, et un monsieur, retiré des affaires, chaussé de bottines de luxe le soupçonnant « d’influence juive », avec comme supporters tous les cadors du fn qui se répandent sur les ondes et se présentent comme seul rempart à l’antisémitisme et derniers garants des valeurs de la République.
Ah que voilà une scène à la hauteur de la Tragédie.
Ah que voilà une scène à la hauteur de la Tragédie.
La question reste de savoir lequel de nos grands auteurs tragiques s’en serait le mieux inspiré : Labiche ? Feydeau ? Courteline ?
IL est vraiment rare ce document de R. Poirier donné en lien. Le jeu de l’oie, comme jeu didactique a également servi un temps, à l’apprentissage chez les jeunes enfants.
Je ne pense pas que cela ait un quelconque rapport avec ce qu’a pu en faire cet idéologue; on en a plein les poches de leurs concepts vaseux.
Ce blog est devenu lamentable. C’est à celui qui se montrera le plus bête et le plus méchant. Hommage déguisé à Charlie?
Dans un cours du M2… scènes de la vie du théâtre du Poirier, le 23 janvier dernier ///
Genre… un mec comme toi (autrement dit, pinailleur de détails à encastrer des mouches) -rires- ///
L’autre flic, la caricature du 1er beauf de Cabu, on aura tout eu dans le registre de la prévention situ : il supporte pas les ‘identités policières’, vu qu’en tant que policier municipal, il les aurait en haine. Peut-être était-il agacé par le cours précédent sur les PM (va savoir).///
La jeune fille idéaliste qui nous fait le coup de la déontologie (« moi, je vois pas ça comme ça, il y a un code maintenant, donc il est respecté », dit-elle)///
Et l’autre, plus âgée plus adulte, moins remontée, qui veut dire que les contrôles sur place de la Commission nationale, elle les a connus, ça rigole pas, c’est du sérieux(merci Madame de votre aide) ///
Et le Beur de service (encore plus âgé, 2e géné) qui nous fait le coup à tous de : « Pas d’histoire, quand on veut réussir à s’intégrer, on le peut… Il suffit de le vouloir, et après on gagne beaucoup d’argent » (tu m’étonnes – lui, il peut en parler qu’il a une boîte à Lyon où il exploite tous les petits beurs du coin) ///
Et l’autre, de l’Assistance publique des HP qu’il chambre, un vrai plaisir ///
Enfin la belle magh. porte parole du groupe qui te taquines à fleurets mouchetés sur le racisme, les minorités visibles des différentes filières des recrutements blacks et beurs : « Mais vous avez un problème avec ça que vous nous tournez autour du pot depuis une demi heure, ou quoi ? » ///
Wouah, à croire qu’elle nous aurait tous pris pour des vieux fachos. – Penser aux jus de fruits, cidres, amuse-bouche, vins, assiettes et gobelets en carton. Ils ont impacté les mamans.
affiche :théâtre de poche
le Bedonnant de Corrèze qui appelle les Juifs à ne pas écouter le premier ministre israélien
euh.. les juifs de France hein.. mais bon..
bien, continuez vos placements de produits, qui ne vous ressemblent guère n’est-ce pas…
@16.00 J’ai toujours beaucoup aimé le verbe reprener du 1er groupe. Mes élèves préfèrent le reprendre (écœurés, et sans unisson) et le laisser aux oubliettes du 3e vestiaire. Quant à Porquerolles, ils peinent à savoir où cette île se situe sur une carte de géographie, ils présument seulement que les gros colombins n’y sont sans doute pas couverts, que ça doit y puer (puer ravec moi tous en choeur, leur dis-je alors).
Avant de vous quitter pour une ripaille divinement vulgaire, nectar et ambroisie, chez des dieux amis organisant une soirée littéraire, je vous livre une information capitale. Elle concerne les jisséophobes de ce blog de prestige : soyez radieux. Nous venons d’élever le camarade JC au rang de demi-dieu, héros de fait, digne d’estime et de respect, et ainsi le placer sous l’aimable protection de nos héros Hercule et Achille, dévoués à la cause du panthéisme grec le plus vivace ! Passez une bonne soirée ….
354 . . . Si bien que le dialogue m’amène à présent à ne rien savoir. Car tant que je ne saurais pas ce qu’est le juste, j’aurai bien du mal à savoir s’il se trouve être l’excellence ou non et si celui qui le possède n’est pas heureux ou est heureux.
357 Pour ce qui me concernait, après avoir dit cela, je croyais m’être débarrassé de la charge de parler . . .
trad Pachet à recommander au moins pour ce point.
Panthéisme ? pet-hainisme couvé par maman plutôt…
Diagonal, si vous ne vous étiez empressé de monter sur les planches pour faire le coq, vous auriez pris très au sérieux l’histoire de ces nobles jeux de l’Oie écrite par René Poirier.
Pachet à recommander au moins pour ce point.
. Car tant que je ne saurais pas ce qu’est le juste, j’aurai bien du mal à savoir
l’orthographe . (saurai)
C’était bien un futur, c’est vrai. Et donc. . . Au temps pour moi, commel’on le dit.
Celui-là vient de Platon; on le reconnait à mille lieues, de là.
@20h16, dites, vous avez besoin de son adresse, pour que vous nous infligiez ainsi votre désir ?
Je vais vous la redonner:
https://www.youtube.com/watch?v=wokOgLqdtf4
Ou que les acteurs sont susceptibles dès lors que l’on critique leur prononciation (ah, le e muet…) car elle fait partie de leur corps et que c’est aussi vexant que de critiquer leur physique.
Leur susceptibilité, on s’en fiche. La diction, ça existe, c’est le b-a ba du métier. Quant à ce qui, du métier de l’acteur, ne fait pas partie de son corps, ne passe pas par son corps, j’aimerais bien qu’on me dise quoi. Le théâtre est par excellence l’art de l’incarnation .
Oh les « pauvres » petites qui ont besoin de toutous pour faire porter l’écho de leurs voix… Quand on ne se parle pas ou plus, mes pauvres petites, quel maquillage pitoyable pour planquer la tr0nche tirant si souvent la gueule dont vous avez laissé le souvenir…
Pour parler d’autre chose quelle climat catastrophique dans les hôpitaux un peu partout…
Ne vous dirais pas pourquoi cela ne m’étonne pas.
Ah, le pouvoir…
Futur donc dirai
le temps réel du théâtre est un direct nécessairement corrompu par le passé
Ma foi, on peut en dire autant du temps de la condition humaine. C’est même ce qui distingue les hommes des animaux : ils sont corrompus par le passé.
se poser des questions sur ce qu’il y a sous la scène
des poteaux de soutènement
…
…tantôt, j’en est sortie une bonne,!…
…
…à quoi çà sert d’être riche, etc,…évitez de payez les impôts, les paradis fiscaux,….et tout et tout,!…
…
…pour de toute façons,!…inéluctablement… » mourir « …toujours,… » mourir « ,!…
…
…mourir de rire,!…une facette des théâtres,!…etc,!…
…
…il y a tellement à faire, à rendre la vie heureuse au mieux pour tout le monde,!…
…
…c’est incroyable,!…le lucre et profits par les abominations,!…comment est ce possible,!…incroyable,!…
…
…la vie, si courte dans l’éternité, pour personne,!…etc,!…
…enfin,!…du théâtre ce soir,!…
…ou çà,!…
@22h04, parlant de vous, on peut dire « une vieille loque »
Tournier en italien à propos d’Aristote, c’est pour vous.
JB, je pense que l’on dit « un dessous de scène », avec des trappes.
Le texte de Pierre Assouline est bon. Les commentaires sont dérisoires.
Qu’est-il arrivé à ce blog?
…
…Oui,!…et la télé,!…et le journal aux chiottes,!…
…c’est pas du lourd à blog,!…dérisoire dérisoire,…encore bizarre,!…etc,!…
…
@22h37, à Lyon, le théâtre de Guignol est une institution.
Vous êtes du nord ?
Alors elles s’actionnent avec des tringles.
http://www.marionnettes-pas-sage.com/?page_id=41
@22h28
pardon de ne pas vous harceler IRL (avec petits soldats ou sans) pauvre chochotte que je ne connais pas…
Facile de s’en ficher de qui on s’en fichait déjà, hein ?
Trop facile. Pré-maché.
Tout ce qu’il vous faut…
Allez, bonne nuit les heureux de s’enlaidir, pour de vrai…
Quand on s’obstine à faire régner la calomnie avec des excuses de vieil aigri, franchement, ma pauvre…
(Et passons sous silence les vieux naufragés qui parlent de cadre légal existant quand ils ne l’appliquent pas)
Bien entendu, nous les dieux, nous sommes pour une Olympe ouverte ! Il faut le dire.
Nous accueillons volontiers les héros qui le méritent. Hercule en fait partie, Achille, plus récemment JC, et bientôt Emmanuel Macron !
J’ai dit « ouverte »… Pas multiculturelle !!!
On ne va tout de même pas gâcher l’ambiance divine olympienne en accueillant des parasites venant foutre le biordel chez nous avec leurs moeurs à la qon … Non, mais !
N’oubliez pas chers Humains que nous avons, d’ici, une vue parfaite sur le monde lointain.
Dans deux jours, la grande fête du Festival du Printemps dans toute la Chine ! L’année 2015 du calendrier chinois débute le mercredi 19 février en Chine à 7h48 am heure de Beijing -le mardi 18 février en Amérique et en Europe- pour se terminer le 8 février 2016.
Nous passerons du Cheval/Eau, à l’année du Bouc/Bois…. et, ne manquant jamais une occasion de fête, nous serons chinois pour la bonne cause : le Printemps !
Dernier conseil de notre part, chers amis européens : abandonnez la démocratie qui vous a mené là où vous êtes, vous, vos valeurs universelles et votre civilisation molle.
Vous êtes dans une impasse mortelle, le couteau sous la gorge !
Redevenez théocrates panthéistes ! Cela vous donnera cette force que vous avez perdue. Avec nous à vos côtés, vous êtes comment dire, imbattables ….
Non ! Non ! et non !… la rumeur que font courir les Grecs actuels est sans fondement.
L’Olympe n’a pas basculée Syriza ! Nos fonctions impliquent notre sérieux, ces bouffons comiques passeront.
Ils ne valent pas mieux que Beppe Grillo….
aux chiottes le PQ de Porquerolles et vite
Ch. Lipman dit: 16 février 2015 à 22 h 37 min
Le texte de Pierre Assouline est bon. Les commentaires sont dérisoires.
Qu’est-il arrivé à ce blog?
– Car il y a des soirs, sans que la pièce, la troupe ou la mise en scène soient en cause, où c’est le spectateur qui n’est pas très bon.
NON EVENEMENT
Un twitt larmoyant nous informe de la fermeture d’une librairie à Saint Germain des Près, ne faisant que confirmer un fait bien connu : rien ne tient bon, et l’activité humaine évolue au fil du temps.
un fait bien connu : rien ne tient bon, et l’activité humaine évolue au fil du temps.
Fatalisme mahométan?
Sympathique librairie, remplacée par une galerie quelconque.
Demain, la galerie sera aménagée en lieu de prière.
« Sympathique librairie, remplacée par une galerie quelconque. Demain, la galerie sera aménagée en lieu de prière. »
Ahahahahahaha !
In Raqqa, the Isis “capital” in Syria, women were initially ordered to wear a black abaya covering the entire body. Soon after, a command to wear a veil was issued, then a third ordered a shield on top of the abaya. Women are also instructed to wear only black, including gloves and shoes. Isis subsequently ordered women to hide their eyes, requiring a a double-layered veil.
Il serait plus simple de leur crever les yeux.
Après tout, seuls leurs ventres sont dignes d’intérêt pour la jouissance et la reproduction des guerriers.
« Il serait plus simple de leur crever les yeux. »
Qu’ils fassent ce qu’ils veulent de leurs génisses. Ici, il serait souhaitable d’ouvrir les nôtres !
Monsieur Nutella est mort.
Affliction chez les derniers obèses.
« La situation en Lybie est devenue extrêmement complexe » (les journaux)
On ne pourrait pas parachuter un philosophe aux idées claires pour finir le job?
Le monde est mon pantalon.
Le monde ne cesse de faire des plis.
Quand sera-t-il frais repassé comme une chemise de philosophe?
« un philosophe aux idées claires »
Nous sommes preneur ….
« Nils Muiznieks, commissaire aux droits de l’homme, s’inquiète aussi du nombre élevé d’agressions verbales et de démonstrations injurieuses à caractère haineux ou discriminatoire recensées en France »
Game is over
Qu’est-il arrivé à ce blog?
qui répond ?
Ce que je n’aime pas, c’est qu’on me retire une case à cocher.
J’ai entendu un vociférant qui disait (ivre d’un rêve héroïque et brutal): « nous soumettrons les juifs, les croisés et les apostats (islamiques non islamistes) ».
Pèpèpe.
Bravo, mais elle est où la case pour agnostique?
Vous aimez le théâtre de la vie, chers Humains, nous le savons :
« Les 250 000 domestiques du Liban n’ont pas le droit de changer d’emploi à leur guise. C’est le système de la kafala (tutelle), en vigueur également dans les monarchies du golfe Arabo-Persique, qui interdit aux immigrés de chercher un meilleur emploi sans l’agrément de leur kafil (tuteur) qui, la plupart du temps, est aussi leur patron. Dans les situations d’abus ou de violence, beaucoup choisissent donc de prendre la fuite et, dans le pire des cas, de mettre fin à leurs jours. »
èmiste de réserve dit: 17 février 2015 à 11 h 24 min
« Qu’est-il arrivé à ce blog?
qui répond ? »
Qui tu es, toi ?
Depuis qu’elle a appris qu’Emmanuel Macron allait devenir héros olympien, la frondeuse APHRODITE est devenue comme folle ! Intenable. PADAMALGAMOS pleure sa solitude…
« Il est si beau ! Si jeune ! Si complétement complétent ! » dit elle aux marchandes de légumes, aux femmes de salle, aux oiseaux de passage …
Amour qui fait se mouvoir les stars d’Hollywood et d’ailleurs !
« Pas d’amalgame », parti d’un bon sentiment et prononcé en général avec une voix grave et le sourcil foncé, est aujourd’hui un slogan tourné en dérision.
Mais lui rend-on l’hommage qu’il mérite?
Chacun sait que ‘amal al-jamâ’a est emprunté à la langue des alchimistes et désigne le mélange du mercure et d’un autre métal.
Mais cette « opération d’union » (ce que veut dire l’arabe) est aussi de nature charnelle (où le mercure est le principe masculin).
Ceux qui disent non au joyeux amalgame sont-ils partisans du harem ou du purdah?
Pas d’amalgame entre croyants…. euh ?!
Il est tout à fait conforme à l’ordre du monde que le point Godwin désigne désormais autre chose.
Le peintre amateur moustachu cède aujourd’hui la place au caravanier hystérique.
Il faut en tenir compte et énoncer désormais God-win en arabe: nasr al-Llâh.
Naturellement aussi dans les traductions.
On ne dit pas les milices libanaises de Nasrallah, mais: les milices libanaises de Godwin.
C’est quand même beaucoup plus clair.
Ce qui est arrivé à ce blog, c’est le huis-clos d’enfer, où les fakes se donnent la réplique.
Pour les effets spéciaux qui « derealisent », ils sont réduits au minimum didactique: l’enfumage.
« Cimetière profané: cinq mineurs en garde à vue »
Pas compris.
Effet du racisme ambiant, on s’en prend à nos gueules noires.
Vît en bois,
ô instrument guerrier!
…
…le théâtre, une passoire d’état, pour le peuple du poulailler,!…
…
…pour une certaine instruction d’esprit, et pour tout ramener à la condition humaine des convivialités relativistes à Voltaire dans son temps,!…libre et humain,…
…
… » de part et d’autres « ,…
…
…en ce sens de sa » part » critique par l’humour des échanges entre connaisseurs des petits riens qui font ficelles d’âmes et retords, d’en quoi » tu m’y reprendra plus « , parler au style de…La Fontaine,…Esope,…
…
…et d' » autres « ,…ou tout le monde se prend pour l’état,…du bon sens du Roy,!…
…
…qu’est ce qu’ils y en a des vraies théâtres, pour émeuter les gens, les foules, les opinions,!…par la scène, ou le livre qui nous fait scandale,!…
…depuis quelques six mois,!…rien que çà,!…
…tout le monde à son » scandale à sortir , à écrire « ,!…Non, c’est trop,!…
…se n’est que la fonction,…qui nous fait larron sur foires,…il n’y à rien,…
…rien que des histoires » montées » au sel et piments « , EX-PRESS,…
…
…tout est lié, cousu main dans la poche des méfaits faciles,…
…une limite étouffante,!…
…commanditée pour éprouver son bon peuple & de France & de Navarre,!…
…
…tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil,!…
…le théâtre,…prétextes pour nous y soumettre à un certain état d’esprit,…des conciliants aux revanchards,…la réalité ne peux être que mensonges,!…
…l’inquisition niveau,…qualité X prix,…
…spécialités, seulement des protestants-laïcs,…tout le monde y met du sien à notre » morale « , gallo-romaine,!…
…queue d’encres, queue d’ancres, et convictions façonnés, l’état artiste et sculpteur d’âmes,…pauvres » Charlie’s « ,…en proie au despotisme de ses intérêts aux » beurres « ,!…
…vous faîtes le met, le plat, la cuillère à soupe,…quel théâtre cette France stratifiée,!…
…mon rôle, photos en Zoom & Panoramique,!…avec floue artistique,!…
…
…pour conclure, rien ne vaut,…la vie dans un village,…d’il y a cinquante ans,!…
…pour simplement, passer l’éponge à tout simplifier sobrement,…voir et comprendre son âme, en errance de liberté,!…
…
…des détails, de trop des restaurations pour faire trop propre,…pour que les liens aux naturels de la vie,!…ont disparus,!…
…
…dommage un vrai village, humain,…ne tombe pas du ciel,!…il se construit, avec l’intelligence des villageois d’une époque,…à s’autogérer,!…
…vivre en paix,…en ce grand village » le monde « ,!…etc,…ma part au vent,…
…
Depuis que U donne dans l’alchimie ..
(Il paraît que Ciotti est un type qui ne craint pas le vertige, c’est ça ? )
…
…tout n’est il plus que » diversions « ,!…
…en plus des » chât-Ô » à d’Ô,…à Oliver Twins,!…
…la bande ministrable du haut du pavé,!…les pyramides profanés vous contemples,!…envoyez,!…à d’Ô à Soeur » âne « ,!…
…je voir venir,…le foutre d’âme,!…etc,!…
…
le PQ de Porquerolles éructe toujours, quelle plaie !
Remercions Josette de cette heureuse initiative. Et puis à Limoges, elle pourra faire emplette de belle vaisselle.
Inutile de vous embarrasser avec des trafics compliqués, JB, car à dix tous comptés, vous formez déjà une synagogue.
Le choix de l’architecte David Apfelbaum est très bien si c’est un local. De toute façon, Lloyd Wright aurait été hors de prix, et puis il risquerait de vous soulever Josette.
à dix tous comptés
arretez un peu ce faux humour
Dans le judaïsme, le minian, ou miniane, est le quorum de dix hommes adultes nécessaire à la récitation des prières les plus importantes de tout office ou de toute cérémonie (circoncision, mariage, deuil…).
Heureusement que vous êtes là Emiste pour déplier le lien. La prochaine fois je vous demanderai la permission de m’adresser à JOsette.
ce blog fut très propsy donc voilà ce que je viens de lire
… (Comme me le confiait un analyste-théoricien, « On n’écrit jamais que sur soi-même. »)
En attendant, Emiste, vous avez peut-etre un lien doc plus pertinent que celui que j’ai poste ?
De toute façon, Josette est maintenant aux arrêts !
http://www.espacelibre.qc.ca/spectacle/saison-2014-2015/splendeur-du-mobilier-russe
Encore une chose, Emiste, -et ici un intervenant me manque cruellement-, je vous conseille la lecture de Kafka. Vous allez découvrir ce que « monter » veut dire.
Mais…
j’eusse eu à dire,
mais,
pas eu le temps…
Le « Théatre »,
… .. .
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