Prendre le temps d’écouter ce bruit-là
Si tout autre maison que le Bruit du temps (avec La Dogana) avait publié ce coffret (1200 pages, 59 euros) habité par un cri et par la grâce, on aurait été en droit de dénoncer une injustice. Quel plus bel hommage que cette édition techniquement si soignée (typographie, papier, mise en page, finition) de ces deux volumes rassemblés, Œuvres poétiques ( en bilingue, 784 pages) et Œuvres en prose (736 pages) d’Ossip Mandelstam (1891-1938) ! On dira familièrement que c’est un petit éditeur. Comme quoi la taille ne préjuge pas de l’envergure. C’est pourtant un des plus discrets, exigeants, ambitieux, obstinés que celui qui se plaça dès sa naissance en 2009 sous l’autorité du poète en se donnant pour nom de baptême le titre d’un de ses livres : le Bruit du temps. Manière de rappeler la puissance et la fragilité de la parole poétique, c’est dire sa puissance symbolique.
Ossip Mandelstam a été traduit pour la première en français en 1925 par les soins de la revue Commerce (on ne louera jamais assez le rôle précurseur, pionnier, défricheur des revues tant en littérature qu’en poésie) mais il a fallu deux exceptionnels intercesseurs pour que les lecteurs non russophones soient en mesure d’en mesurer le génie : une première fois en 1959 lorsque le poète Paul Celan le traduisit en allemand dans un esprit d’une remarquable fraternité, en n’oubliant jamais que sa poésie lui donnait le sentiment de cheminer « aux côtés de l’irréfutable et du vrai » ; une seconde fois en 1972 lorsque Gallimard publia Contre tout espoir, le grand livre de souvenirs de sa veuve Nadejda Mandelstam.
Nombre de ces textes de ce coffret nous sont déjà connus : des poèmes, Le Timbre égyptien, le Voyage en Arménie etc Mais ici rassemblés, doublement préfacés avec une érudition sans faille par le traducteur Jean-Claude Schneider et l’auteure des notes et commentaires Anastasia de la Fortelle, augmentés de variantes, premiers jets et autres textes inédits, ils donnent le rare sentiment d’être enfin en présence de la totalité de l’œuvre. N’y manque désormais que la correspondance dont on sait à quel point elle permet parfois de déchiffrer l’indéchiffrable d’un écrivain, et les poètes n’y échappent pas. En attendant de l’y voir adjoindre, on ne se bercera pas d’illusion : il est aussi vain de tenter d’expliquer la vibration qui anime secrètement sa poésie que de vouloir le faire avec celle qui gouverne un tableau de Rothko.
Il disait être en Russie le seul poète à travailler à la voix, et il est vrai que dans ses derniers temps, confrontés aux interdictions et aux censures, il le sera comme jamais, ruminant clandestinement ses mots, les libérant pour leur permettre de retourner à leur musique intérieure. On dit de lui qu’il énervait l’écriture, autant qu’il pouvait parfois exaspérer ses plus proches. Pourquoi au cours de ses cinq dernières années, Ossip Mandelstam a-t-il pris le risque d’être dénoncé, arrêté, torturé, emprisonné et enfin déporté à mort en lisant devant son petit cercle d’amis réuni un soir de 1934 sa fameuse épigramme de seize lignes contre Staline ? Aucun de ses biographes, pas même Ralph Dutli, n’a réussi à élucider ce mystère de manière convaincante.
« Nous vivons sourds à la terre sous nos pieds/ A dix pas personne ne discerne nos paroles. On entend seulement le montagnard du Kremlin,/ Le bourreau et l’assassin de moujiks. Ses doigts sont gras comme des vers,/ Des mots de plomb tombent de ses lèvres. Sa moustache de cafard nargue,/ Et la peau de ses bottes luit. Autour, une cohue de chefs aux cous de poulet,/ Les sous-hommes zélés dont il joue. Ils hennissent, miaulent, gémissent,/ Lui seul tempête et désigne. Comme des fers à cheval, il forge ses décrets,/ Qu’il jette à la tête, à l’oeil, à l’aine. Chaque mise à mort est une fête,/ Et vaste est l’appétit de l’Ossète. » »
Ces lignes ont beaucoup fait pour son mythe de martyr-de-la-poésie-victime-de-persécutions-politiques. Mais ce serait injuste pour son génie de l’y réduire. Heureusement que les plus grands poètes en Russie comme ailleurs ont su lui rendre un hommage à sa mesure. Le cas du traducteur Jean-Claude Schneider qui juge que « aux informations à caractère biographique, aux commentaires sur les circonstances à l’origine de toute écriture, on peut privilégier l’abrupt du poème et sa gangue d’obscurité, sachant qu’une glose obscurcit ou éclaire » ; mais n’est-ce pas contradictoire avec le travail de l’éditrice Anastasia de La Fortelle qui se livre justement à l’indispensable travail savant sur les réminiscences historiques et les références mythologiques de sa poésie ?
Mandelstam connaissait Staline en qui il voyait un monstre fascinant. Ces lignes l’envoyèrent à la mort. Il en savait les conséquences. Alors pourquoi : le courage mêlé d’inconscience ? l’idéalisme et la conviction intangible que la vocation d’un poète est de dire la vérité ? Le poète, c’est celui qui dit la vérité, celui qui fait exploser un poème à la barbe d’un dictateur en hurlant que le roi est nu. Pour ses amis, la poétesse Anna Akhmatova et l’écrivain Boris Pasternak, Mandelstam était un phare. Eux-mêmes ont peiné à comprendre comment Mandelstam, du fond de sa nuit, effrayé par l’ombre de son ombre, désespéré, halluciné et guetté par le suicide, lâcha in fine une ode à Staline de sinistre mémoire dans le fol espoir d’en sortir enfin.
Là-bas, un poète, c’est quelqu’un. Et un poème, une chose qui compte. Vieille tradition qu’on peut leur envier. Mais comment un grand poète peut-il être un homme petit ? Vaste question à laquelle celle qui la pose, en mars 1926, avoue ne pouvoir apporter de réponse. Seuls les attendus importent. Un livre écrit entre 1922 et 1925 est à l’origine de cette affaire : Le Bruit du temps, recueil d’esquisses autobiographiques. Po&sie, la précieuse revue animée par Michel Deguy, y a consacré un article en mai 2011 (No 135, 142 pages, 20 euros, Belin) : « Ma réponse à Ossip Mandelstam » de Marina Tsvetaeva. C’est l’histoire d’un mal-entendu entre deux des plus grandes voix poétiques de leur temps, l’une aussi pétersbourgeoise que l’autre est moscovite. Ils se sont rencontrés, se sont aimés, se sont quittés. Classique. Sauf que les poètes laissent des traces, à commencer par leur œuvre. Il leur arrive même de régler leurs comptes par articles interposés. Ce qui est le cas. Mandelstam, homme de ruptures, est alors au proie à une sévère dépression ; il vit une période d’angoisse, de désarroi et de détresse qui ne teinte pas seulement d’amertume sa vision du monde : elle tarit l’inspiration du poète qui se consacre dès lors à la prose, fût-elle violente, excessive, révoltée, voire haineuse et teintée de mauvaise foi, comme c’est le cas dans Le Bruit du temps, publié en mars 1926 avant d’être réuni deux ans plus tard à un autre ensemble de textes sous le titre Le Timbre égyptien.
Marina Tsvetaeva n’ignore pas son état, mais son exigence de vérité et d’absolu est telle qu’elle ne peut laisser passer ce texte sans réagir. Qu’elle réagisse en ancienne compagne, ou en ancienne partisane de l’Armée blanche et de la famille impériale, sa réponse s’adresse, avant tout et directement, à Mandelstam ; on ne sait s’il en a eu connaissance car ses amis devant lesquels elle l’avait lu, effrayés par sa férocité et l’ayant convaincue de surseoir à sa publication, la réponse n’est parue qu’en 1992. Elle vaut d’être lue et méditée car elle pose entre autres toute la question de la critique poétique, une critique qui, selon elle, ne peut être que passionnelle, le critique étant à la fois « un juge qui instruit et un être qui aime ». S’appuyant sur des citations de son livre « ignoble », elle n’a de cesse de reprocher à l’homme d’être davantage épris de pouvoir que de grandeur, et de se croire né en 1917 au point d’avoir rayé tout ce qui était advenu avant. Mais elle finira par sauver le poète, demeuré intègre pendant la Révolution, pour mieux accabler l’homme incarné en prosateur. Elle le schizophrénise malgré lui et le sauve par la seule grâce de son Verbe. Sous son regard, et sous ses traits assassins, le grand poète et l’homme petit coexistent. Ils se retrouveront bientôt, en 1934, dans la fameuse épigramme contre Staline, scandale qui le mènera au bord du suicide. La « Réponse » de Tsvetaieva pourrait ne relever que de l’anecdote polémique au sein de l’histoire littéraire, si elle ne posait pas des problèmes qui dépassent cette seule affaire. Elle donne envie de creuser et creuser encore dans la chair de leurs poèmes, ce privilège ne serait-il accordé qu’à ceux qui peuvent accéder àla langue dans laquelle ils ont été composés.
Entretien sur Dante est un autre morceau de choix de ce coffret. Dans cet essai critique de 1933, Ossip Mandelstam, qui n’a jamais cessé de s’interroger sur la poésie et la langue, explore la Commedia en démontant sa structure de polyèdre à treize mille facettes ; il avance dans cette œuvre minéralogique, d’une couche à l’autre, dans le but de rendre palpable le grain des choses, armé de son seul marteau de géologue « pour parvenir jusqu’à la texture cristalline de sa roche, pour étudier ses impuretés, ses fumées, sa limpidité, pour en estimer la valeur en tant que cristal de roche exposé aux accidents les plus disparates ». En un peu moins de cent pages denses, rigoureuses, aiguës mais d’une luminosité sans égale, il dialogue de poète à poète par-delà les siècles, met l’accent comme nul autre sur la chimie à l’œuvre dans tel chant, sur le timbre de violoncelle de tel autre, sur des métaphores qui ont gardé le charme des choses jamais dites jusqu’à nos jours. En entraînant le lecteur dans leur commun laboratoire, là où cela pulse en plein milieu du mot, il rend justice au génie de la langue de Dante et donc de toutes les langues lorsque le souffle poétique les irrigue sans jamais se dégrader en récit. Vertigineux.
« N’a pas mugi, ce soir, l’ogivale forêt de l’orgue./ On nous chantait du Schubert- c’est notre berceau natal./ Le moulin murmurait et dans les voix de la tempête/ l’ivresse de la musique rirait de ses yeux bleus.
Ces lieder venus du passé, leur monde est brun et vert,/ mais éternelle demeure leur jeunesse,/ et le Roi des Aulnes dans sa rage insensée agite/ les tilleuls-rossignols aux feuilles grondeuses.
Et la force terrible de ce revenant nocturne,/ ce chant sauvage comme un vin noir,/ c’est, à la fenêtre glacée, le regard/ fixe et vide d’un spectre inhabité, le double ! » (Tristia, 1922)
Comme il le dit dans l’incipit du chapitre « La Komissarjevskaïa » du Bruit du temps, l’écriture autobiographique l’intéressait moins que d’épier « les pas du siècle, le bruit et la germination du temps ». Cela nous vaut des pépites comme ce « Scriabine et le christianisme » publié en 1916, soit un an à peine après la mort du compositeur. Il la met en parallèle avec celle de Pouchkine, l’un et l’autre ayant vécu des vies pleines à l’issue desquelles même leur mort faisait partie de leur œuvre jusqu’en être l’acte suprême. Cela permet à Mandelstam d’approfondir plus encore un thème auquel il ne cesse de revenir : la nature hellénistique de l’esprit russe. Les deux artistes lui paraissent témoigner mieux que d’autres de la soif russe de salut tout en devant à l’antique « la folie »avec laquelle elle s’exprime.
Plus loin, un autre bref essai datant également de 1916, lui permet d’aborder l’étrange question du progrès en poésie. « Aujourd’hui, on écrit mal d’une façon nouvelle : toute la différence est là ! » clame-t-il, réflexion qui n’a jamais cessé d’être, disons, actuelle. Six ans après, il la complète mais cette fois reproche au goût de Moscou de mépriser une double vérité (en poésie, l’invention et la réminiscence marchent la main dans la main) pour privilégier exclusivement l’inventivité. Et de chanter les vertus de l’imitation, du classicisme et encore de l’hellénisme. Et d’enjoindre l’Etat à s’occuper un peu plus de l’éducation de l’oreille à la poésie en enseignant le rythme. Mandelstam, qui plaide en 1924 dans Rossia, pour une science de la poésie si objective qu’elle balaierait l’arbitraire des interprétations, aimerait remettre le lecteur à sa place en balayant son esprit critique. Alors, quel progrès en poésie et en littérature ? Fumisterie ! Ce ne sont pas des machines, la notion de perfectionnement n’a donc aucun sens. En 1922, il commente ce qu’il considère la fin du roman à l’aune de… la biographie, son unité de mesure selon lui ; très admiratif du Jean-Christophe de Romain Rolland, qu’il place aussi haut que le Wilhelm Meister de Goethe, il ne voit pas moins dans ce fameux grand cycle romanesque « le chant du cygne des biographies en Europe »…
On aura compris qu’un pari risqué se niche dans toute entreprise d’édition d’Œuvres complètes. Celle de Mandelstam ne déroge pas à la règle. Malgré la contextualisation et les notes si éclairantes, et malgré l’heureux tour de force par lequel un unique traducteur en la personne de Jean-Claude Schneider restitue toutes ses voix de prose en poésie, on est souvent amené à se gratter la tête en se demandant ce qu’il a bien voulu dire, et c’est tant mieux car ces détours inattendus obligent à se poser de nouvelles questions. A commencer par sa définition même d’une parole de poésie :
« Ce qui distingue la poésie d’une parole machinale, c’est que la poésie nous réveille en plein milieu du mot »
Quant à ce qui nous échappe encore et encore, ce qui nous paraît impossible à soustraire à l’obscurité, on s’en consolera auprès de son passeur Paul Celan lorsqu’il écrivait :
« Qui parle ombre parle vrai »
(« Cimetière » photo Passou ; « Ossip Mandelstam », Nadjeda Mandelstam » photos D.R.)
576 Réponses pour Prendre le temps d’écouter ce bruit-là
On peut dire ce que l’on veut à mon sujet, mais me traiter d' »idiote » en dit beaucoup sur la sénilité de ceux qui prononcent cette insulte. Je suis une jeune femme brillante, avec ses lacunes, comme tout le monde, mais alors « idiote », on en est loin.
Vous me rappelez un amoureux éconduit d’il y a quelques années. Selon ce type bête et méchant, j’étais la personne la plus bête qu’il avait rencontré. Commen prendre au sérieux ce genre d’insultes sans fondement ?
https://youtu.be/YluAf2T6YzQ. Envie de sortir en maillot et entendre LA PLUIE
…
…tout, est beau, dans l’art, encore, faut, t’il, tout comprendre, aux contextes des sensibilités du propriétaire de l’œuvre,…
…et, là, c’est la Bérézina « , pour tous,…tout le monde,voit, ce qui, le démarque, le plus, dans se vie » cuisinée « ,…etc,…
…La Fayette, la renommée, opportuniste, sans plus,…un débris,sur l’échiquier,…
…
@Jean dit: 4 juillet 2018 à 21 h 24 min
Un roman bouleversant raconte cette période : « La leçon d’allemand » de Siegfried Lenz traduit par B.Kreiss. Le peintre Max Nansen (Emil Nolde) n’a plus le droit de faire des tableaux. Le policier Jepsen – père du narrateur – pourtant ami d’enfance du peintre, applique les ordres avec rigueur, confisquant jusqu’aux feuillets blancs où l’artiste « aurait pu peindre l’invisible… » .
Magnifique roman que P.Edel a évoqué sur son blog comme l’exposition qui eut lieu en 2008 au Grand Palais peintures – aquarelles- dessins – gravures…).
Nolde fut maltraité lors de l’arrivée des na.zis au pouvoir. Son adhésion au Parti national socialiste en 1934, ne lui épargna pas d’être publiquement diffamé et de figurer parmi les artistes « dégénérés » . Le vieil homme, âgé de 70 ans, refusa cependant de se soumettre et fut frappé, en 1941, d’une interdiction totale de peindre. Reclus à Seebüll, il produisit alors clandestinement un millier de petites aquarelles, ces émouvantes « images non peintes ». Certaines étaient exposées au Grand Palais.
Giovanni, je ne comprends rien à votre oracle du soir. Ici comme je tentais de le partager sans enlever un seul degré , il fait chaud et le silence ne s’obtient qu’à coup d’orage ou de déluge. En plus du calme soudain imaginez vous installé environné de zinc sur lequel la pluie fait des claquettes . Sinon je découvre Joseph Roth dans un réveil de nouvelles que j’achève de lire, j’y retournerai les yeux fermés, je l’aime quel dommage qu’il nous ait quittés .
…
…et, l »autre J.C.,…qui » aime « , Kandinsky,…
…
…ses œuvres sont d’aplombs, pour revigorer, l’esprit des créations du subconscient,…
…de là, à » aimer « ,…un management,…
…du frein, » à tout « ,…etc,…
…
Tu es très loin d’être une idiote, EdEd.
Et le coloriste , qu’en faites vous Giovanni ?
@gisèle dit: 4 juillet 2018 à 20 h 43 min
Oui, j’aurais pu me le procurer, ce n’est pas le cas mais j’irai le consulter prochainement. Mon premier commentaire, hors la parution de ce coffret, essayait de réunir l’impression que m’avaient donné mes lectures antérieures de la poésie de Mandelstam.
A 12h50 vous avez écrit : « Donc, Ossip Mandelstam ne rencontre aucun succès. Flop. Ch trouve « magnifique » l’édition en 2 volumes, mais Ch lit à la vitesse de l’éclair. ». J’ai compris, peut-être mal, que vous pensiez que j’avais lu trop rapidement les deux livres de ce coffret.
« Aucun succès », je ne crois pas. Peut-être peu le connaissent.
Je ne connaissais que quelques lettres échangées avec sa femme et ses poèmes mais traduits trop mélodieusement je crois, pour approcher sa vérité. Cette nouvelle traduction me parait intéressante. Un livre que j’aimerais lire c’est celui où il refait le cheminement de Dante (« Entretien sur Dante » je crois).
@Paul Edel dit: 4 juillet 2018 à 20 h 17 min
Ah, désolée pour la redite, je n’avais pas encore lu votre commentaire !
…
…Oui, et le coloriste,…
…
…il » Kandinsky « ,…travaille, froid, avec méthodes,…
…
…moi, je suis, plus enjoué, en tout, et avec les liens, en ceinturer,…
…
…il y a des niveaux d’analyse, et a passions,…bonne soirée,!…
L’abbé Delaporte, le curé misogyne jaloux de la jeunesse, radote encore, comme tous les vieillards cacochymes:
« …une époque maudite, faite de pornographie et de stupre à en mourir… »
Avec le ta.ré de Janssen J-J, ils forment le Duo d’Impuissants du Blog, deux clowns pathétiques qui paraissent venir ici uniquement pour exhiber leur dégénérescence mentale avancée.
@ Ed
Rappelle-toi la phrase du grand Courteline: « Passer pour un idiot aux yeux d’un imbécile est une volupté de fin gourmet. »
Sur la poésie russe il faut lire absolument les « Conversations avec Joseph Brodsky » de Solomon Volkov (Anatolia-Editions du Rocher), que par miracle je viens de trouver dans mon capharnaüm de livres.
« – Akhmatova elle-même a toujours dit que le premier poète du XXe siècle, c’était Mandelstam. Etes-vous d’accord?
– Non, je ne suis pas d’accord. J’estime que Tsvetaïeva est le plus grand poète du XXe siècle. Bien sûr, c’est elle le plus grand. »
(p.94)
Brodsky parle très bien de Mandelstam et de son Ode à Stalin (« l’un des événements les plus importants de toute la littérature russe du XXe siècle ») dans les pages 58 à 60 de ce livre, mais c’est trop long à copier.
S.Volkov dit que « Mandelstam déclamait son poème satirique à tous les coins de rue. Or, l’époque était dangereuse, on pouvait se retrouver derrière les barreaux pour une inoffensive histoire drôle » (p. 60), ce qui renforce l’idée qu’il cherchait à transformer sa mort en « l’acte suprême » de son oeuvre, comme lui-même l’avait écrit à propos de celles de Pouchkine et Scriabine.
@Pablo75
C’est exactement mon propos. Je suis flattée, tout autant que lorsque l’amoureux éconduit m’avait proféré ces insultes.
@dédé
Merci. Mais vous n’aurez tout de même pas mon 06 (mon 0176 en l’occurence).
« Relu, dans le catalogue de l’expo « Les aventures de la vérité », concoctée par B-H L., son commentaire au tableau de Rothko qu’il avait choisi. Il s’achève ainsi : » Un tableau pensée. Un tableau messie. Un tableau où la pensée juive apparaît pour ce qu’elle est : la meilleure alternative à la prétention hégélienne de fermer les bans de l’aventure humaine. » »
Jean dit: 4 juillet 2018 à 16 h 46 min
Encore une preuve de plus qu’on peut faire dire ce qu’on veut à un morceau de décoration abstraite. Tous les délires sont permis, y compris les érotiques de Christiane. Par contre on ne peut pas dire n’importe quoi d’un Piero de la Francesca, un Holbein, un Velázquez, un Vermeer, un Rembrandt, un Goya ou un Manet.
Et pourquoi D. d’ailleurs ? Un hommage à K. ?
« 567 romans dont 381 français et 186 étrangers annoncés par les éditeurs entre la mi-août et la fin octobre. »
« Il y a les livres à feuilles caduques et les livres à feuilles persistantes. Ordinairement, ceux de la rentrée d’automne… »
(Eric Chevillard)
« L’abbé Delaporte, le curé misogyne jaloux de la jeunesse, radote encore, comme tous les vieillards cacochymes »
Je crois cependant que si j’étais entré dans les ordres, je ne serais pas resté abbé : tel que je me connais, j’aurais gravi les échelons, pour m’amuser, par défi, et je serais devenu cardinal. Donc, Pablo, vous me rabaissez presque…
Par contre on ne peut pas dire n’importe quoi d’un Piero de la Francesca, un Holbein, un Velázquez, un Vermeer, un Rembrandt, un Goya ou un Manet.
Ou un Albrecht Dürer. Ou un Jan Van Eyck.
Le plus dur pour moi, aurait été de dire la messe de manière grandiose. Vatican II a simplifié la liturgie. Le rite est devenu janséniste – et c’est une bonne chose. Mais c’est d’autant plus difficile pour celui qui est au centre de la cérémonie de rendre justice à sa dimension surhumaine. Vatican II a compliqué les choses, mais le défi à relever est passionnant.
@dédé
Merci. Mais vous n’aurez tout de même pas mon 06 (mon 0176 en l’occurence).
–
Je n’en veux pas. je n’ai rien à te dire. Je suis très mauvais à l’oral.
Cependant, ce qu’on demande aujpourd’hui aux curés, aux évêques, aux cardinaux, c’est de dire des messes, avec des homélies, de manière simple et sincère, et néanmoins profonde. La musique y joue un grand rôle. La solennité est un ensemble global qui doit émouvoir l’âme et conduire au Très-Haut.
Je regarde parfois les messes que dit le pape, notamment lorsqu’il voyage. C’est impressionnant, mais l’émotion est surtout due à la masse des fidèles présents, qui sont là comme à un concert des Rolling Stones. En fait, je préfère les messes dites dans de petites chapelles clairsemées. Pour moi, l’idéal serait une messe basse, comme on en disait avant selon le rite tridentin. C’est dommage qu’à la suite de Vatican II on ait abandonné cette traditions.
« Je n’en veux pas. je n’ai rien à te dire. »
D, ce n’est pas ce qu’il faut dire à son amoureuse… La pauvrette, c’est mal parti…
Face à la dictature, l’Art reste une réponse majeure.
l’art et le théâtre et la poésie. un des exemples au camp des milles avec max ernst et ses copains
. J’en avais peut-être un peu trop parlé à une époque…
ceci est une litote.
depuis il y a Ulriche Meinhof.
ne savons pas ce que vous allez/ voulez nous dire d’elle. Ce n’est pas à piquer des hannetons.
Les messes retransmis à la TV, même sur Kto, c’est bien, mais cela devient, à force, du spectacle, et le téléspectateur est en berne. A défaut de participer, le fidèle est condamné à rester sur la touche. Rien ne vaut une participation effective à tous les sacrements. Kto pourrait, en ce sens, ne pas exister.
christiane 23″h29. Qui annonçait que le billet Mandelstam » ne ferait pas un carton ? j’ai oublié.Mais « il » avait raison,3 fois raison. C’est comme si le billet n’existait pas…
Tant pis tout. Je vais partir avec mes russes dans ma valise à roulettes. Avoir le texte vo/trad est intéressant,on se découvre des amis russes,ou bien l’on rappelle ses vieux amis ou ses anciens souvenirs..Et puis les traducteurs de O M connaissent leur sujet!
…
…rose, à 23 h 54 min,…
…vous parler, d’une &poque, classique, ou la photo, n’existait, pas,…
…
…et, ou tout, parchemin, est précieux, avec ou sans enluminures,…
…toutes les classes représentatives étaient unies, avec, aucune indépendance d’idée,…
…de rares, » la nef des fous « , etc,…
…
@ Delaporte
« et je serais devenu cardinal. »
Tu es misogyne, tu es un harceleur détraqué, tu es jaloux des jeunes, tu es un obsédé sexuel, tu es hypocrite, menteur, fourbe, jésuitique, pharisien, tartufe, faux jeton, … et en plus tu es mégalo??
Mais il est où ton christianisme, perfide grenouille de bénitier? Tu n’as pas honte de te réclamer du Christ?
Blessing signifie la bénédiction.
Sauf pour son fils.
Une cérémonie « parfaite », c’est très rare. Le pape y arrive, grâce à l’aide du chef du rituel – c’est le prêtre qui est toujours à côté de lui pendant les messes, et qui le guide. Il a une notice sur Wikipédia, si jamais vous voulez savoir qui c’est. C’est une pointure…
D. qui a tout compris. Il a dû noter précieusement mon commentaire indiquant que je ne voulais pas être impressionnée par un homme, que je détestais les piplettes et que seuls les hommes drôles et gentils m’intéressaient.
vieux crapaud haineux.
« Tu es misogyne, tu es un harceleur détraqué, tu es jaloux des jeunes, tu es un obsédé sexuel, tu es hypocrite, menteur, fourbe, jésuitique, pharisien, tartufe, faux jeton, … et en plus tu es mégalo?? »
Mon pauvre Pablo !
Pablo a parfaitement cerné le personnage. Grande finesse d’analyse et capacité à lire entre les lignes, à analyser les récurrences.
A propos de Rothko et/ou de l’expo concoctée par BHL ,chez Maeght, il y a 3 ou 4 ans, on peut frôler l’apoplexie. Comment déguster tant et tant d’oeuvres si diverses,accrochées côte à côte; indigeste.
Pour Rothko, nous n’avons pas grand’chose à nous dire..lui et moi;je suis vraiment rétive. Je conçois, pourtant, que ses toiles peuvent faire rêver ou délirer.
…
…vivre, à management, les sociétés?8;;;
…
…tout ces religieux, ils prennent, les gens du monde, pour des cons,à se farcir,…
…
…une industrie en bourse, tout ces banquiers, de promesses & paradis, qu’elle, honte de vous lire, ici,…
…Opus Dei,…des chiens en échecs et mat, perpétuels,…
…fainéants des chiottes,…
…
Delaporte est le type le plus perfide et le moins chrétien de ce blog.
Un faux-c.ul de première catégorie.
Si vous regardez les retransmissions des messes que dit le pape, dans les grandes occasions, vous avez dû remarquer qu’il est aidé par un prêtre qui ne le quitte pas d’une semelle pendant que dure la liturgie. Il s’agit de Guido Marini, son maître des cérémonies, un type remarquable sur qui le pape peut se reposer. Sa notice complète figure sur Wikipédia à son nom :
« Guido Marini, né à Gênes le 31 janvier 1965, est un prêtre italien, actuellement Maître des célébrations liturgiques pontificales (maître des cérémonies) au Vatican. »
« Delaporte est le type le plus perfide et le moins chrétien de ce blog. Un faux-c.ul de première catégorie. »
Plus vous me calomniez injustement, et plus ma place au ciel s’accroît. Merci Pablo !
« Plus vous me calomniez injustement, et plus ma place au ciel s’accroît. »
(Delaporte)
L’orgueil monstrueux qu’il faut pour écrire cela ! Delaporte se prend pour le Christ !!
…
…églises et pouvoirs, mêmes combats de Tartufes, sur le monde,…
…pub,pub,…
moi je l’ entends le demi soupir écrit.
je l’ entends et je pleure.
A propos de Rothko et/ou de l’expo concoctée par BHL ,chez Maeght, il y a 3 ou 4 ans, on peut frôler l’apoplexie. Comment déguster tant et tant d’oeuvres si diverses,accrochées côte à côte; indigeste.
Non.
Ce n’ était pad l’ expo.
c’étaient les commentaires.
« Grande finesse d’analyse et capacité à lire entre les lignes, à analyser les récurrences. » Ed
En effet, c’est bien beau d' »analyser les récurrences ». Mais ça mène Pablo à proférer des inepties, et Ed à être encore plus idiote que de coutume !
Guido Marini a la confiance du pape François, comme nous en informe Wikipédia :
« Le 13 avril 2014, le pape François le confirme dans ses fonctions de maitre des célébrations, cette décision intervient après l’analyse par les médias des différences de sensibilités sur la liturgie entre lui et le pape, mais les gestes réguliers d’affection du pape envers lui ne sont finalement pas restés inaperçus. Il est renouvelé en décembre 2017 pour un nouveau quinquennat malgré encore cette fois ci des spéculations. »
J’ai toujours eu beaucoup d’admiration pour les intelligences comme celle de Guido Marini, qui savent régler un rituel de cérémonie à la perfection. J’aurais aimé avoir ce talent, proche de celui des acteurs de théâtre, et même carrément des metteurs en scène.
« Maître des célébrations liturgiques pontificales (maître des cérémonies) au Vatican. »
Quel beau titre ! Cela me rappelle évidemment Talleyrand, comme type d’humanité grandiose qui m’a toujours fasciné.
Notons d’ailleurs que notre président Macron suit ces traces. Son rapprochement récent avec l’Eglise catholique n’a pas d’autre signification. Macron a décidé d’approfondir la et le politique par ce cheminement des gestes sacrés. Il va nous apporter l’onction républicaine, mieux que Mitterrand. Un mandat présidentiel dont Macron voudrait qu’il restât dans les annales, et ma foi il en prend le chemin !
Du fait d’avoir été évêque, Talleyrand a toujours eu une longueur d’avance sur les autres.
A votre avis, pourquoi Macron a-t-il accepté le titre de chanoine du Latran ?
C’est vrai que Ed ne doit même pas savoir qui est Talleyrand, ce qu’il fit, quand il vécut… Tout cela est pourtant indiqué dans les bons livres.
Ed dit: 5 juillet 2018 à 0 h 18 min
vieux crapaud haineux.
∞∞∞∞∞∞
Je vois bien cela sur une carte de visite
vieux crapaud haineux, esquire
Merci Christiane de votre apport sur Emil Nolde.
Je vais me noyer dans ses couleurs.
AMICALE DES NONAGENAIRES LIBRES
« Arizona : son fils veut la placer en maison de retraite, elle le tue ! La police a annoncé hier soir avoir arrêté une femme âgée de 92 ans soupçonnée d’avoir tué par balle son fils de 72 ans qui voulait la placer dans une maison de retraite. »
Toutes nos félicitations à cette vaillante maman aux décisions fondamentales si courageuses !
Delaporte est le frère jumeau de Dédé. Aussi chrétien que ce dernier est galactique !
« Tu es misogyne, tu es un harceleur détraqué, tu es jaloux des jeunes, tu es un obsédé sexuel, tu es hypocrite, menteur, fourbe, jésuitique, pharisien, tartufe, faux jeton, et en plus tu es mégalo?? » (Pablito)
Reconnaissons à notre ami Pablo un coup de pinceau analogue à celui du monstrueux berlinois GROSZ qui était remarquable dans l’illustration des vices éclatants de santé de bien des humains !
« Reconnaissons à notre ami Pablo un coup de pinceau »
Un seum mot pour caractériser ce coup de pinceau : FAKE !
Ce n’est pas très brillant de se faire une place sur ce blog par la calomnie, une calomnie bête et insignifiante qui reprend tous les poncifs du genre. Aucun terme ignominieux ne se rapporte à moi, par contre l’abjection de chacun réside dans le sentiment trouble que j’inspire à ce freluquet, tel Othello vis-à-vis de Iago.
Pour tout dire, la jalousie de Pablo envers moi prend une forme assez peu élégante. Il est comme l’autre sur son tas de fumier, mais évidemment sans la réconciliation éventuelle avec un Dieu vengeur. Le châtiment, avec Pablo, correspond à la faute effective. Il n’y aura aucun salut, pour lui, car il est trop fier pour accepter de quitter son être propre, qui est tout d’ordure…
de Une épée de feu à leur juste défaite
le lien
il n’y a plus de lien. reste le chagrin.
je crois qu’elle écrit
j’avais accepté d’être secondaire.
je vais aller voir un ostéopathe. mal partout.
coude gauche genou droit plexus solaire diaphragme
en miettes; ne sais si c l’injure du thon ou d’avoir touché à Joseph et je pencherai plutôt pour cela mais la coupe est pleine.
espère que la métaphore avec le pape n’est pas en lien avec le taulier pc k ce serait tellement hors de propos. Un prévaricateur contre un homme de bien sont la bonté est le viatique.
Lettre à un ami :
Pour cause d’alitement prolongé, à vingt ans, j’ai lu les trois mille pages de La Recherche.
Je ne le referai plus.
Vive La Rochefoucauld, La Bruyère, Chamfort, Rivarol, Joubert, Cioran..
Puisque je parle de Cioran, qui m’honorait de son amitié, il m’avait dit sa perplexité devant les livres de Jankélévitch. Cinq cents pages sur la mort !
Je vénère aussi tous les lexicographes , Richelet, Furetière, Littré, Larousse, Robert…
Dans le petit Larousse, on trouve ces merveilles ;
« Bru : Femme du fils. »
« Miche : Pain rond. »
Et, comparons avec le philosophe susdit :
« Mort : Fin de la vie. »
Vous avez raison, pourquoi tant écrire ? Que de livres inutiles !
«… il a plusieurs oreilles absolues réparties dans tout le corps ou est le Snob du Blog. »
Nom d’une pipe Pablo ! un minimum de solfège de premier niveau suffit à vous dispenser d’aller plus loin :
C’est : un ta ta ta | etc. ;
non : ta ta ta | etc.
Le Temps étant ce qu’il est, il y une nuance, dirait l’Optimus Sergio.
Naturellement, si en cherchant noise vous parvenez à vous sentir vivant, faite seulement ; tâcher néanmoins mayen d’être drôle ; gaffez-vous toutefois de vos habituelles topiques, car vous savez, je suppose, que « le propre d’une Topique, c’est d’être un peu vide ».
Cela dit, je vous invite à relire le post qui vous a indisposé, en prêtant un minimum d’attention aux mots que j’ai employé !
Oups ! le 4 juillet 2018 à 7 h 55 min, je pensais à Nolde et voilà que Zotl est devenu Zolte, pardon.
Nocturne :
http://renatomaestri.blogspot.com/2018/07/notturno-briga-stazione.html
Imogen Cunningham :
Pour les italophones, Il volto élitario del populismo :
http://www.lintellettualedissidente.it/inattuali/il-volto-elitario-del-populismo/
Rose – 6h50
Que de disputes dans les échanges qui encadrent vos commentaires (Pablo – Delaporte – Renato…) ! qu’ont-ils donc ? Peut-être la chaleur lourde de la nuit…
Merci pour le cadeau imprévu de votre lien (Simone de Beauvoir – Mémoires d’une jeune fille rangée) et surtout le passage choisi « une épée de feu ». La façon dont elle cerne les interrogations de l’enfant dans ce monde d’adultes où s’opposent la façon enjolivée dont elle voit ses parents et les paroles négatives qu’elle saisit dans l’entourage de sa nurse. C’est une page formidable où l’on sent la détresse de l’enfant, ses premiers doutes.
Et avec toutes ces fugues en d’autres livres, Mandelstam parait oublié.
Vous aurez observé, christiane, que je ne fait ici que répondre !
un coup de pinceau analogue à celui du monstrueux berlinois GROSZ
Il s’ agit surtout de dessins et de gravures – le trait incisif, mordant comme l’ acide – Pablo c’ est la croûte chinée aux puces, pas les pâtes onctueuses comme un coup porté à l’ estomac de Dubuffet.
Grosz, c’ est déjà de l’ art dégénéré pour le classical lover of pintings…comme au bon vieux temps des nazis.
painting…
Vous oubliez le p’tit Court, Madame Christiane, c’est le pire !!!
bien à vous
CM
(Claude Mauduit, le p’tit rouquin au fond d’la classe à la Madame Christiane)
from Carmarthenshire)
À propos de « le Snob du Blog », à savoir que je pratique le dandysme ; évidemment la discipline est toujours plus difficile — on peut plus compter que sur les vêtements —, donc je m’applique à être pertinents… mais puisque les préjugés ont la peau dure, vous pouvez vous servir du mot « snob » sans que cela ait une quelconque incidence sur mon équilibre.
Bonne journée
Lu, sous la plume de B-H L. (dans le catalogue « Les Aventures de la vérité ») :
» La question posée par l’art, c’est moins celle de la beauté que celle de la vérité « .
Eh bien non. C’est le contraire qui est vrai. Si la beauté n’est pas la priorité de l’art, la spécificité de l’art devient indiscernable.
@Lacenaire dit: 5 juillet 2018 à 9 h 42 min
Je suis fidèle en amitié et en estime. Cela fait si longtemps que le « grand » M. Court me fait rêver avec ses livres rares, sa culture, son amour de la Bretagne. Les querelles avec Anna ou autre jeune personne sont des petites passes d’armes virevoltantes. Pas de quoi s’alarmer. Laissons le dans son activité préférée : lire, scruter les annales, rechercher la trace d’écrivains, de textes aujourd’hui disparus ou s’attarder devant les toiles superbes de Kiyoshi Nakagami.
C’est un hérisson qui sait piquer quand on l’embête !
@renato dit: 5 juillet 2018 à 8 h 46 min
Vos réponses sont souvent des photos sublimes. Vous semez la beauté sur ce blog. Soyez-en remercié.
« tel Othello vis-à-vis de Iago. »
T’es « Nègre », Delaporte ?.
La modération de la rdl a fini par laisser passer le message de 21.44 hier soir qui s’adresait à Edel, Ed. et Delaporte.
Ce matin, je m’aperçois avoir imputé à gwg ou lvdb par erreur ce qui avait été écrit par delaporte, qui n’a toujours pas l’air de beaucoup apprécier pablito57, d’après les développements de ce matin.
Tout cela est tellement ennuyeux. On en perdrait le fil des dialogues feutrés entre r. et ch. – Pendant ce temps, d’autres se sont fait la malle, eu la chance de bénéficier de deux mois de congés débranchés.
BJ à toussent et aux travailleurs CGT du blog de la rdl.
Votre protégé, le « grand » Court (!!!) a blessé profondément quelques personnes que j’aime et je ne lui pardonnerai jamais, je méprise ce « petit » monsieur si imbu de sa « personne »
@ renato maestri, Sachez rester snob dasn votre équilibre intrinsèque, pourvu que nous ayons notre plaisir renouvelé comme en chaque aube diaphane. Pour paraphraser notre amie Ch., je dirai que vos photos sont souvent des réponses sublimes qui sèment de la beauté sur ce blog. Soyez-en remercié. (Ah qu’en termes galants, ces choses là chemises – Hosons-les !)
@ Lacenaire. J’aime beaucoup le très érudit M.C., et continuerai à aimer ses interventions même s’il avait dû blesser mes amis. Car mes amis auraient passé l’éponge depuis longtemps et ne m’auraient jamais laissé garder si longtemps mes traces de vinaig’ à son endroit.
@Lacenaire dit: 5 juillet 2018 à 10 h 48 min
Protégé ? Il n’en a pas besoin, Lacenaire. Blesser vos amis ? Vous prenez cela trop au sérieux. Faites-moi rêver avec vos moutons, le bélier belliqueux, les herbages, la solitude loin de ces rumeurs sans conséquence. Les orages sont suivis de bien des détresses, ici, pour les particuliers et les hommes de la terre. La grêle ne fait pas de cadeaux ! ça c’est grave.
« jalousie de Pablo envers moi »
ahahahahahah
Faut voir la cri cri passer sa main dans le dos à tout le monde,( sans aucun esprit critique ), la bande de zonards addicts d’ ici…
ahahahahahah
–
Brayonne, sors de ce corps !
Cri cri aime caresser les toiles de sa main (sic)
A la peinture donc, le voile de la jouissance l’ y mène ( l’ hymen ).
« Lenz (1926-2014) est l’un des écrivains allemands les plus connus de la littérature de l’après-guerre et d’aujourd’hui. Il est l’auteur de quatorze romans et de nombreux recueils de courtes histoires, d’essais et de pièces radiophoniques ou théâtrales. Il a obtenu le Prix Goethe en 1999. « La Leçon d’allemand » parait en France en 1970. »
(Paul Edel)
J’ai connu il y a 20-25 ans la représentante allemande pour la France et l’Espagne de l’éditeur allemand de Siegfried Lenz (qui était un ami à elle). Je l’avais aidée je crois qu’à faire une quatrième de couverture pour l’un de ses livres qui devait être publié en espagnol (ou c’était pour un article de présentation de l’oeuvre de Lenz en Espagne? Je ne me rappelle pas très bien). Par contre je me rappelle qu’elle trouvait scandaleux que ni en France ni dans le monde hispanique Lenz soit reconnu comme l’un des plus grands écrivains allemands du XXe siècle (je n’avais pas osé lui dire que je ne le connaissais même pas de nom). Elle m’avait donné l’un de ses livres, que j’avais trouvé très ennuyeux et j’avais été incapable de finir.
Je ne sais pas en France, mais dans le monde hispanique, Lenz n’a pas « percé », malgré la publication de plusieurs de ses livres par l’un des meilleurs éditeurs espagnols.
@D. dit: 5 juillet 2018 à 11 h 35 min
je pensais à lvdb… L’une, l’autre. Tant de points communs…
« jalousie de Pablo envers moi »
ahahahahahah
(Ed)
Je ne l’avais pas vue, celle-là, et pourtant elle est bonne: « Pour tout dire, la jalousie de Pablo envers moi prend une forme assez peu élégante. Il est comme l’autre sur son tas de fumier, mais évidemment sans la réconciliation éventuelle avec un Dieu vengeur. Le châtiment, avec Pablo, correspond à la faute effective. Il n’y aura aucun salut, pour lui, car il est trop fier pour accepter de quitter son être propre, qui est tout d’ordure… ».
Moi jaloux d’un harceleur détraqué, d’un obsédé sexuel, d’un faux jeton mégalo, d’une grenouille de bénitier admiratrice de Guido Marini, le maitre des célébrations du Vatican?
Mais jusqu’où peut arriver l’imagination humaine !!
Claude Lanzmann est décédé.
Delaporte est une grenouille de bénitier qui se prend pour un crapaud de pissotière.
oui il est probable qu’il va falloir s’habituer à Morigène, nouveau substitut à lvdb… détentrice d’une nouvelle IP…, vu que Miss CT ne nous a jamais appelée « cri-cri ».
Enfin bref, j’avais dit que la guerre des pseudos addicts m’ennuyait un brin lourd. Eternel recommencement. Et il faut tenir boutique même l’été.
Un autre Serge Lentz qui n’a jamais vraiment percé non plus en France dont je me souviens du roman Vladimir Roubaiev, littéralement tombé des mains : quel ennui, mon dieu !… Mais qui s’en souvient encore ? Ed., peut-être ?… (il était sorti l’année de sa naissance, au jugé)…
https://www.babelio.com/livres/Lentz-Vladimir-Roubaiev-ou-Les-provinces-de-lirreel/29995
https://www.lemonde.fr/disparitions/article/2018/07/05/claude-lanzmann-le-realisateur-de-shoah-est-mort_5326308_3382.html
ah…, j’aurais parié que ça allait bientôt arriver. Cet homme a fait du bon boulot historique, mais quel sale type, il fut,un caractère de m…! Ses mémoires ne manquent pas d’intérêt et notamment les passages du lièvre de patagonie dédiés à sa liaison à SDB, entre autres. Très drôles ! Et puis vont être reprojetés à la télé ses documentaires de janvier sur les témoignages admirables de ces 4 femmes qui n’avaient pas pu être intégrées au monument « Shoah » (NB/ j’en connais un qui va encore nous éructer sur ce terme, et je lui dis tout de suite, à titre préventif : attention aux dérapages !).
Bon courage aux siens, de toute façon…
Donc Siegrid Lentz, jusdqu’à présent inconnu de mon bataillon. Peu traduit en France apparemment
https://fr.wikipedia.org/wiki/Siegfried_Lenz
J’aimerais bien aller y jeter un oeil. On peut vous faire confiance, Edel et Prunier pour… « Une leçon d’allemand » ?
Je rectifie, sorry : Siegfried LENZ
@Janssen J-J dit: 5 juillet 2018 à 12 h 19 min
Même raisonnement !
Parlons plutôt de littérature allemande ou de Mandelstam.
Jannssen. Siegfried Lenz est étudié comme un classique en Allemagne.selon moi, c’est tout à fait mérite tant son style a quelque chose de classique et d’aigu.. Il est resté curieusement moins traduit en France que Grass- le- tonitruant ou le décalé et sarcastique Arno Schmidt(lui aussi homme du nord de l allemagne qui voit et décrit(la Landert- les rivages en expressionniste .donc Lenz appartient à la génération avec Grass et Martin Walser qui a contribué à faire un bilan des années nazies quand on a traversé la période enfant adolescent ou jeune homme . Sa « Leçon d’allemand » est un modèle de lucidité pour décrire un petit village du Schleswig par le fils du gebdarme chargé de surveiller le peintre Nolde.. il a collaboré longtemps à la rubrique littéraire de Die Welt. publié en 68 , c’est le roman qui a fait sa célébrité. Lenz exprime avec beaucoup de délicatesse et de finesse sociologique ce que sont les limites de l’être social immergé dans les+ sombres périodes.Il fut militantnc du SPD et accompagna Willy Brandtdans son célèbre voyage à Varsovie.
Belle mémoire du Monde :
https://www.lemonde.fr/disparitions/article/2018/07/05/le-journaliste-et-cineaste-claude-lanzmann-est-mort_5326313_3382.html
Delaporte me rappelle ces filles que l’on retrouve dans des émissions testimoniales (après s’être perdu sur YouTube à 2h du matin). Moches comme des poux, elles incarnent un sujet du genre « Je suis narcissique, mes proches ne me supportent plus » et disent en voyant une photo de Monica Bellucci que l’actrice ne leur arrivent pas à la cheville.
Voilà. Appelez NRJ12 et donnez-leur les coordonnées de Delaporte en vue d’un sujet « Je suis un vieux catho misogyne et obsédé sexuel, et suis persuadé que les autres me jalousent »- Un peu long, mais l’idée est là.
« Delaporte est une grenouille de bénitier qui se prend pour un crapaud de pissotière »
Euh… L’inverse plutôt, non ?
*arrive.
(Corrigeons nos fautes d’orthographe, sinon Delaporte va s’astiquer la nouille pendant 50 commentaires dessus)
Je suis née en 90, pas en 85.
Bah il reste la possibilité du crapaud de pissotière ET de bénitier mais moi j’aime bien Delaporte, je ne trouve pas que ça lui corresponde. J’aime bien tout le monde d’ailleurs. Même Rose. Alors hein…
Rose se porterait mieux si elle dormait plus et à des horaires réguliers…
J’ai beaucoup aimé 90, je ne suis nullement surpris qu’une personne de ta qualité ait pu naître en 90.
Pourquoi « même » rose, et non pas SURTOUT rose ? J’aime bien ses interventions, moi. Comme la plupart des femmes d’ailleurs. Moins de b.ranlette, plus de contenu.
oui il est probable qu’il va falloir s’habituer à Morigène, nouveau substitut à lvdb…
Quel psychologue ce j’ en J.J.! Accompagné de sa dame patronnesse nippée en rombière, c’ est le bouquet!
Si Passou sort bientôt une vf du congelo pour nous la servir avec mayonnaise et cornichons, je sens qu’il va falloir décrocher le grand miroir du saloon.
A propos d’ art, cricri titille toujours le sujet mais ne le pénètre jamais à fond et c’ est bien regrettable pour les deux!
Merci P. Edel, zêtes vraiment toujours vigilant à la rdl. Je vais donc aller me procurer ce roman de Lenz, car m’avez convaincu de son intérêt, et je vous en dirai mon sentiment au cours de l’été (si j’y pense… peut-être oserais-je aller sur votre blog pour pas embêter delaporte et pablito). Faut dire que je lis moins vite que Ch. Enfin, je lis vite et beaucoup, mais vu ma pile, et de tout ce dont je dois rendre compte dans mon cercle littéraire de Guernesay, au large de chez vous, hein, brefl… pas besoin de vs faire un dessin ! Un bel été à vous, surtout. Et croyez bien au passage que je compatis avec Passoul (et sa pile) pour la rentrée !… Moi, j’ai aucune obligation de résultat : lui, faut pas qui s’gourre pour le gongourt (je sais, c pas drôle, mais peux pas m’impeachmer, désolé, pardognez-moi
Qu’avez-vous aimé dédé ? La réunification allemande ? Le tube de l’année « Here she goes » ?
@ Quel psychologue ce j’en J.J.!
Merci merci Almo-Rigène, c trop d’onneurs, encore une vertu qu’on m’avait jamais dite. J’su vraiment gâté : fin spichologue, hum, j’adore !
J’aime bien Rose mais je ne la comprends pas. On est pas faits pareil, on a pas le même humour alors je lévite. C’est embêtant mais c’est comme ça.
bjr ED @ 13.41. Pourriez pas nous fournir votre CV très détaillé une bonne fois pour toutes, de sorte qu’on pourrait se sentir un peu moins à côté du placo-plâtre sur… votre âge, votre genre et vos potentielles. Merci. La rdl réunie pourrait en outre vous faire de meilleures suggestions quant à votre avenir d’écrivaine déjà fort bien démarré, et surtout vous aider à contrer les bassesses des blessants qui vous veulent du mal, ou, pire, cherchent à vous draguer éhontément en vous appâtant avec leur dîner du soir. Tout va bien du côté sylvie germain, entre toutes les femmes et dans les cercles fermés de la techno déjantée de hambourg ?
Oui je ne pensais plus à la chute du mur mais oui. Non surtout l’année professionnelle, le climat politique français. Une sorte de légèreté et de confiance qu’il qu’il impossible de connaître de nos jours avec les gouvernants que l’on a, augmenté de l’infâme poix qu’est devenue l’Europe qui se voulait au début prometteuse…belle année 1990, belle et légère atmosphère. Même s’il y eut le Koweït, la raclée à Saddam fut presque une caresse et fit si peu de victimes.
La rdl réunie pourrait en outre vous faire de meilleures suggestions JJJ
Mais il en jouit jamais seul le J…vraie tête à flaques.
L’Europe est un poix ? hehe
JJJ, la techno déjantée c’est à Berlin. Voilà qu’il nous confond les villes maitnenant ! Quant à mon CV, jamais de la vie. Je n’ai pas besoin des recommandations de gens qui me veulent du mal et détestent mes écrits. Non mais !
L’opération Tempête du désert à d’ailleurs débuté en 1991. Le 17 janvier. Cette date à été choisie pour une raison magique car les opérations pouvaient en réalité débuter bien plus tôt.
« @Soleil vert dit: 4 juillet 2018 à 21 h 48 min
Oui, Renoir peint d’une manière impulsive, sans retouches, à laquelle vont se rattacher toutes ces nus de femmes plantureuses dans des tons ocre-rouge.
Il souffrait de rhumatismes articulaires et fut contraint à s’établir dans le midi à Cagnes, où il fut frappé, progressivement d’une paralysie des jambes et des bras. Il continua néanmoins de peindre, un pinceau attaché à la main, pendant les sept dernières années… »
Renoir dans sa dernière période revenait à une technique plus classique. Allons un cran au dessus (Renoir est un grand peintre mais) : Monet à demi-aveugle peint les nymphéas avant de mourir et préfigure l’art abstrait. Et ne parlons pas de Cézanne
Ah ma petite Ed, tu es encore très jeune pour ne pas connaître la différence entre poix et pois mais à partir d’aujourd’hui jeudi 6 juillet 2018, à marquer d’une pierre blanche, tu la connais et c’est grâce à moi, D., qui pourrais être ton père, que tu la connais.
@ la techno déjantée c’est à Berlin
Je vois que vous connaissez pas encore tous les bons coins de Hambourg.
S’agissant de votre CV, je suggérais cela pour aider les autres, car franchement, je préfère de loin que vous le soustrayez à la rdl déjà bien encombrée avec tous les ergots érigés des coq et poules germaniques, aux ego égrotants et ergotants…, des fois que je pourrais m’en servir avec Arbo-Morigène pour en dire pis que prendre de ce CV, qui sait ?
Quelle lucidité vous avez !… Bravo, je suis fier de vous et de Sylvie Germain, votre coach.
Tu peux aussi quitter son ton mi vieux libidineux, mi paternaliste, tu sais ?
JJJ
Vous vous reprenez surtout parce que vous voyez bien que je ne marche pas dans vos co.nneries. Quant aux « bons endroits » de Hambourg, vous ne me ferez pas croire que vous y connaissez quoi que ce soit. On dirait dédé et Delapoutre pas dans le slip qui disent qu’un ville est affreuse tout en ayant jamais mis les pieds, ou en la confondant avec l’horrible Francfort. Belle bande de bras cassés, mais on vous aime bien comme ca…
qu’une ville est affreuse tout en n’y ayant
Et Sylvie Germain n’est pas mon coach. Elle ne sait pas qui je suis, tout comme je n’ai encore jamais lu un de ses livres. Elle a juste accepté de parrainer ce formidable projet.
« Arizona : son fils veut la placer en maison de retraite, elle le tue ! La police a annoncé hier soir avoir arrêté une femme âgée de 92 ans soupçonnée d’avoir tué par balle son fils de 72 ans qui voulait la placer dans une maison de retraite. »
Toutes nos félicitations à cette vaillante maman aux décisions fondamentales si courageuses !
Cette femme est mon idole.
Elle est formidable cette petite Ed, n’est-ce pas ?
Soleil vert dit: 5 juillet 2018 à 14 h 43 min
Pour Monet et Cézanne, aucune réserve. Pour Renoir, c’est différent…
Il faut signaler le livre de Nadejda Mandelstam « Sur Anna Akhmatova » publié au « Bruit du temps » en 2013, ce livre de souvenirs fut écrit après la mort, en 1966, de Akhmatova, mais Nadejda le détruisit…toutefois, un tapuscrit conservé par une amie fut retrouvé et publié à Moscou en 2006. Je livre ici quelques passages annotés, pour le profit de tous…
« Les femmes ne sortaient pas aussi brisées que les hommes, il y avait moins de psychoses parmi elles, elles ne s’avouaient pas vaincues aussi facilement, même si, elles aussi, on les affamait, on les privait de sommeil et on les battait.Chalamov m’a raconté que les femmes venaient parfois rejoindre leur mari à la Kolyma afin d’adoucir leur existence, ne fût-ce qu’un peu. Elles allaient au-devant de tourments inimaginables, elles se faisaient violer, bafouer. Mais elles faisaient le voyage, et elles vivaient là-bas. En revanche, il n’a jamais entendu parler d’un seul homme qui soit venu rejoindre son épouse ou son amoureuse… »
« On peut appeler ce qui s’est produit chez nous » une crise de la force d’âme »,et ceux que l’on qualifié d’hommes forts, les he-men comme disent les anglais, ont été les premiers à se décharger de la responsabilité de ce qui se passait, ils se sont docilement mis en rangs, ils ont voté « pour ».Alors que les plus faibles, ceux dont on dit » ce ne sont pas des hommes! », ont manifesté la plus grande résistance. Il s’est trouvé, contre toute attente, que les corps faibles contenaient un petit lambeau de force d’âme. Oh, rien de grandiose, mais au vu de nos péchés, ce n’était déjà pas si mal. Ces hommes-là,avec les femmes, se sont débattus comme ils pouvaient, entretenant la foi dans l’être humain, dans le fait qu’il peut encore renaître, se repentir et entamer une vie nouvelle. Les forts se hissaient en haut de l’échelle sociale, les faibles restaient sur les échelons du bas. Les temps nouveaux ont produit une immense catégorie de jeunes gens qui renoncent en toute conscience à la réussite matérielle et à une carrière. C’est un premier signe de guérison… »
« Il(Ossip Mandelstam) faisait partie des êtres qui ne supportent pas la violence, c’était organique chez lui »
« C’est à ce moment-là qu’il( Ossip Mandelstam) m’a parlé en chuchotant du » bacille de la puissance » la terrible maladie du XX siècle »
« J’entends encore la voix pleine de bon sens de Tania Lougovskaia expliquant qu’un soviétique ne peut quitter ni son travail ni son appartement, la seule chose qu’il puisse quitter, c’est sa femme( une femme, comme l’a fait justement remarquer Platonov, est le seul bien qui soit dans les moyens d’un pauvre) »
« Je bénissais le destin qu’Ossip ait eu un petit cœur rond qui ne permet pas de vivre longtemps- c’est le plus bel heritage que sa mère lui ait laissé »
Je suis désolé, Ed, mais Francfort est mieux que Hambourg. Tout le monde s’accorde sur ce point. Au lieu de dire des contre-vérités, racontez-nous plutôt comment vous avez malencontreusement atterri là-bas ?
Cela-dit il y a pire comme endroit, je prefererais encore Hambourg à Barcelone ou Berlin. Entre autres exemples.
J’aurais, de nota, remplacé petit lambeau par petite parcelle dans ce texte.
à la rdl, ils lui apprennent à peaufiner sa repartie… sûr. Quant au contenu, y’a hencore des progrès. D., vous emballez pas trop, c pu trop d’vôtre âge (30 vs 45, le différentiel du slip est déjà énorme). Bravo, Ed., j’ai bien aimé ce coup-là. Un conseil néanmoins : n’vous rajeunissez-vous pas trop non plus, hein, vous risqueriez la jeunisse … et lacenaire pourrait pu vous apprend’ le rock des sixteen’s
https://www.google.com/search?q=jaunisse+symptomes&client=firefox-b&source=lnms&tbm=isch&sa=X&ved=0ahUKEwjpkLm2h4jcAhUI1RQKHY4dCe4Q_AUICigB&biw=1585&bih=769#imgrc=gjhwiQ44bWaQ7M:
Belle bande de bras cassés, mais on vous aime bien comme ca…
Sans cette bande, en +, vous vous ennuieriez tant à votre bureau ! A part de ça…, y’a pas de maternalisme outre-rhin. Moi, j’aime tout le monde, vous le savez, donc a priori, je vous périmètre dans mon écriture incluante, sauf si vous me cassez trop les rouilles encagées.
Z’auriez pas des nouveautés éclectiques à mett’ depuis le 20 juin, plutôt que de paresser icite à parasiter le monde dépourvu de blogues ?
@ Cette femme est mon idole.
Non c’est une criminelle. A son âge, il ne faut pas résister aux ehpad. Et si on ne veut pas y aller, alors on se retire dans la montagne et on attend que le froid vous gagne et vous engourdisse à jamais. Ça un peu plus d’allure, c un genre de suicide altruiste à la Narayama. On monte sur les épaules de son fils plutôt que de lui tirer dessus.
C’est quoi, ces manières de Ma Dalton ?
« Scriabine et le Christianisme? »
Je suppose que c’est l’article paru à la mort de Scriabine en 1916?
Par un renversement russo-Baroque, Scriabine deviendrait une figure tutélaire d’Héllène sauvage, et par là, le symbole du Christianisme Oriental Russe.
Reparait là dessous le fantôme impérial russe de la Troisième Rome, une sorte d’anti-Byzance dont A.S serait une figure Dionysiaque, Le mot n’est pas prononcé, mais c’est l’idée.
C’est une idée très poétique, qui unifie un être de contrastes,virtuosissime, à la fois très influencé par la Théosophie et créateur de belles synesthésies, plus souvent en Europe qu’en Russie comme tant d’autres, mais qu’importe.
C’est une très jolie récupération dans un pays qui en a vu d’autres depuis, et pas toujours inoffensives.
Bien à vous.
MC
dédé,
Vu votre appréciation des villes, je ne peux aller plus loin dans cette discussion avec vous.
JJJ
« Z’auriez pas des nouveautés éclectiques à mett’ depuis le 20 juin »
Non. Les prochains articles seront sur mon blog de lecture (tomtomlatomate wordpress)
Quant à ma répartie, je n’ai pas attendu la rdl pour en avoir. Vous vous surestimez, une fois de plus.
« apprend’ le rock des sixteen’s »
Prêcher une convertie ? Parce que vu ma tendresse pour les Kinks…
« Tout le monde s’accorde sur ce point »
Tout le monde = dédé.
Ce soir je mange du lieu jaune en matelots avec des pommes de terre. Un petit Bandol pour faire glisser. De l’andouille de vire véritable en entrée, du melon en sortie.
N’empêche que les cons ont tort de s’exciter. Quand je parle des maîtres de cérémonie Guido Marini ou Talleyrand, ou même d’Ulrike Meinhof, c’est qu’il y a bien une raison, un sens, une profondeur qui leur échappent. Et mes préoccupations ne sont pas sans relation avec le Christ.
Lanzmann qui vient de mourir, grand événement. C’était à la fois un héros (Shoah) et un esprit profondément critiquable (sa défense de Tsahal). Son dernier film sur les quatre soeurs, comète de Shoah, était magnifique et bouclait son grand oeuvre de toute une vie.
« Quand je parle des maîtres de cérémonie Guido Marini ou Talleyrand […] c’est qu’il y a bien une raison, un sens, une profondeur qui leur échappent. »
(Delaporte)
En tout cas, pour Marini la raison paraît claire: étant amoureux du maître des célébrations du Vatican, tu rêves de te faire empapaouter (ou enfourailler, ou empétarder, si tu préfères) par lui, et tu frétilles par avance en imaginant la mise en scène de ton ami Guido pour votre première rencontre intime.
Du livre « Poètes-musiciens. Cendrars, Mandelstam, Pasternak » d’Anne Faivre Dupaigre (Presses universitaires de Rennes, 2006)on peut lire ici le Chapitre 2. « Mandelstam et Schubert : « Du, Doppelgänger, Du, Bleicher Geselle !… » »:
@ Rose
« je vais aller voir un ostéopathe. mal partout. […] en miettes; ne sais si c l’injure du thon… »
Manger du thon est très dangereux, parce qu’il contient plein de mercure. La presse espagnole parle souvent de ce thème:
« Según un estudio del Instituto de Salud Carlos III, las mujeres españolas tienen en el organismo 10 veces más mercurio que las alemanas o las canadienses. El mercurio está considerado un neurotóxico que afecta al desarrollo infantil. Y la razón de la alta exposición de los españoles es su elevado consumo de pescados como el atún, el pez espada, el lucio o el emperador. Estas son las grandes especies y están más expuestas a los contaminantes que hay en el mar.
Aunque los pescados azules son ricos en omega 3, esencial para el organismo, la Agencia Española de Consumo, Seguridad Alimentaria y Nutrición recomienda limitar el consumo de estas grandes especies a una ración de 50 gramos por semana o una de 100 cada dos semanas en niños de 3 a 12 años y evitarlo en los menores de 3 años y mujeres embarazadas o en periodo de lactancia. «
@de nota dit: 5 juillet 2018 à 15 h 19 min
mille mercis.
C’est triste de voir le Pablo, qui a un bon fond, dérailler ainsi vers la scatologie et salir ce que l’humanité a de plus beau, l’Amour universel. Pablo est l’homme du ressentiment, comme dirait un Nietzsche qu’il faudrait inverser. Car aujourd’hui il y a lieu d’inverser Nietzsche et toutes les non-valeurs, et de glorifier le Très-Haut.
@Pablo75 dit: 5 juillet 2018 à 17 h 52 min
Passionnant ! je copie le lien pour lire cet essai tranquillement.
Pablo 75
entre ton thon et les multiples substances toxiques que vous ingérez et inhalez outre mesure, il n’y a pas photo.
Pour ma part, c’est d’autre chose que je parle.
Le premier à m’avoir traitée de thon, il y a 15 ans de cela, était également taré : sa vie sexuelle, son acceptation que sa femme se fasse sauter dans le lit conjugal à ses côtés, par un autre des années seventies « j’ai guéri à jamais de la jalousie » m’a.-t’il dit, suite à cet évènement ; son départ pour Tahiti avec une jeune femme dont la mère a couché avec son mari/ père de sa fille, à la recherche de son.propre père, sa grassitude, son aspect vieille femme d’une judéité inventée et totalement fantasmée, toute cette médiocrité encrassée et tenace, un cas pathologique.
Et la première épouse sur laquelle je me questionne nuitamment: salo.. à 30 ans, salo.. à 67 ? Aucune évolution donc ?
Aucune semblerait-il.
Que Dalle.
Bah, le thon je l’aime rouge Et sauvage.
Vous laisse à vos ersatz.
Quelqu’un comme Pablo est un esprit « féminin », incapable d’une idée abstraite. Tout chez lui est légèreté, surface, mince surface, et même vide. Le genre d’individus dont on se demande ce qu’ils font là.
D’où te vient ta haine des femmes, Delaporte, que tu dissimules si mal?
Christiane, c’est moi qui vous remercie.
« Tout chez lui est légèreté, surface, mince surface, et même vide. »
(Delaporte)
Quand tu veux on parle de mystique chrétienne, de Denys l’Aréopagite, des mystiques rhénans en général et d’Eckhart en particulier, de Ruysbroeck, de saint Jean de la Croix, de Jacob Boehme, de sainte Thérése d’Avila, de Silesius ou de Louis-Claude de Saint-Martin.
Et si la kabbale, le soufisme, le taoïsme et le zen t’intéressent, on peut aussi en parler, gros c.on.
un maître de cérémonie est tel un majordome, employé, prêt à trahir, jeté. Un gens de peu.
In situ, le majordome est quelqu’un de grande importance, comme tout gens de maison.
Néanmoins, de facto, il n’existe pas pour celui qui l’emploie. Et plus il a d’importance dans le bon déroulement des choses, moins la personne qui mange les marrons sortis du feu lui accorde de l’intérêt.
C’est inversement proportionnel.
Ce qui l’amène invariablement à la trahison.
Triste sort.
Mais quelle horreur ce Delaporte. De pire en pire, mais classique : il déteste ce qu’il craint et il craint ce qui lui est inconnu.
Rose : « un gens » NON, gens est un pluriel : les gens
Le singulier c’est la gent (l’espèce) comme « la gent trotte-menu » (les rats et souris chez La Fontaine)
Si vous voulez parler d’une personne, dites : un gars, une fille….. comme la série télé
bon
Alors je vais dire un jean.
Miettes.
Petit Navire.
Le jeune jean le Baptiste.
Chez moi aussi, c’ est le refuge de la mafia marseillaise où certains viennent se mettre au vert pour se faire oublier.
un gars, une fille, je n’ ai pas la télé, la notion n’ à rien à voir avec un gens.
La gent, que je connais bien parce que féminine, recouvre la notion d’ espèce, l’ humaine par définition et par Robert Antelme.
Or, un gens, c’est un, solitaire, faisant partie d’ un groupe nombreux, les gens. Un individu le sépare : un gens le laisse dans le groupe. Cela décrit une notion.
Je ne vois pas, zerbinette, pkoi vous feriez autorité.
Chacun porte celle de ses actes.
Or, ayant intronisé » las » dans le langage courant, ne vois pas pkoi n’ introniserai pas » un gens ».
La force fait loi. L’ usage en témoigne.
la notion n’ a rien à voir.
Sartre curieux et de Beauvoir, le lieu dit- intelligente, certes, témoignerait d’ une certaine modernité.
je maintiendrai le dialogue avec lui. Un docteur me dit on n’évolue pas par rapport à sa nature humaine.
i-e
une grosse salo.. à 30 ans l’est encore à 67. Cela est possible et plausible.
il précise sauf évènement qui secoue assez l’individu pour le mener à évoluer. style émotionnel, gros choc.
connais un autre docteur qui est une belle ordure, ne le sais pas. n’a pas l’idée d’une telle éventualité.
puis connais un docteur éminemment beau. qui était tellement laid. qui a tant évolué.
pense avoir fait un grand huit avec mon genou et être sur les rotules.
demain, canote avec laeticia casta. cela me changera de la pénible belgitude.
dors quatre heures et la nuit d’ après douze. seize divisé par deux égale huit ; ai mon quota dans la moyenne.
que chacun ait le souci de se rendre beau comme mon mien de docteur au lieu de faire des leçons à autrui.
Mes pensées aimantes à ma maman qui est à plat mais de bonne humeur. Ma mienne, femme d’ exception. Mon tout, ma plénitude. Mon bébé.
Et mes pensées aussi à un petit garçon, en culottes courtes, dont l’activité principale consiste à voler des confitures dans le placard de la sienne de maman. Et c’ est bien plus meilleur que si elle les lui donnait.
L’a pas grandi.
Un grand bonjour amical à christiane, Dhh, lavande, clopine et lvdlb.
pas aux fausses filles. qu’ elles aillent se faire empapaouter chez les grecs avec leurs tentatives d’ être celles qu’ elles ne sont pas : dont acte. Et Ed.
Parce qu’ elles ne sont pas passées par le coiffeur pour qu’ on leur vole leurs cheveux pour les envoyer en Allemagne.
Et les seize coiffeurs ?
Ils s’ exécutaient.
À quel prix survivre, ou résister, hein Ossip ?
Immense erreur conjoncturelle : non, nous n’ avons pas à la tête de nos ètats ni ceux que l’ on mérite – notion obsolète, ni les meilleurs. Nous avons les plus incapables qui sont de gros incompétents. Et pendant ce temps, on ose, pour calmer la vox populi délirante, mettre en garde à vue un type qui fait son boulot.
On marche sur la tête.
Avantage : cela protège les genoux.
nota : nouveau mode de rétorsion dans la pègre, on brise les genoux à coup de marteau.
Dernière tâche de la nuit : réparer la dorure d’une vielle sculpture. [Trajet : vide mental] Première tâche de la journée : répondre aux mails cumulés pendant la nuit. Puis, téléphoner à un amis afin qu’il organise un déjeuner dans un restaurant de Zurich — https://pin.it/ypl7apafksxz2s —. Douter d’une pensée de la veille ; éloigner un souvenir comme on se débarrasse d’une hésitation ; lire les journaux ; jouer au go via Skype avec un ami de Turin — jouer une partie signifie en grande partie l’imaginer : je ne gagne jamais, lui non plus d’ailleurs, car à un moment on range les pions et on passe à autre chose — la politique, un plaisir anodin. Ouvrir la RdL…
Umberto D. :
http://blogfigures.blogspot.com/2011/05/vittorio-de-sica-umberto-d.html
Cindy Sherman :
Un très beau papier de Philippe Lançon dans le journal Libération du 27/04/2018 sur Mandelstam, à l’occasion de la parution de ces deux coffrets (Le Bruit du Temps / La Dogana) :
http://next.liberation.fr/livres/2018/04/27/les-oeuvres-completes-de-mandelstam-la-fleche-du-temps_1646377
On lui a reproché de n’avoir jamais évoqué la mort de Sergio sur la rdl, mais personne n’a remarqué qu’il nous avait délivré des deux créatures qui l’avaient tant déprimé, et auxquelles il nous conseillait, en vain, de ne jamais répondre : gwg et lvdb.
Je crois donc devoir hommager le courageux passoul pour cet acte de bravoure blacklisté.
A même de le remercier pour son papier fort bien bien balancé sur Claude Lanzmann.
Hier soir au TNC, à la dernière des « tragédies romaines » d’Ivo Van Hove, nous étions encore sous le choc, en buvatn un dernier verre avec les fabuleux comédiens de cette troupe flammande extraordinaire…, Durant le spectable, défilaient en rouge les annonces du jour, comme sur les chaines de BFM TV, et notamment le décès de CL. Les parisiens branchés s’en foutaient qui attendaient plutôt la survenue de celui de Coriolan, puis celui de Jules César ; ils n’avaient pas d’heure pour celui de Cléopâtre, d’autant que l’aspic n’avait pas l’air de vouloir sortir de sa léthargie pour lui mordre le sein. Six heures plus tard, nous étions toujours médusés et fascinés, sous le charme, et les rêves de la nuit furent étranges, érotiques et fuligineux. Le billet rdl attendait sagement ce matin, mais les commentaires lui parurent bien décevants. Heureusement, quelqu’un eut l’idée d’incruster un musique de Luigi Nono pour évoquer le silence de Shoah.
Les gens.
Suis d’accord : Ed. est une fausse fille. Sera pareille à 68 qu’elle l’est à 30. Sauf si elle se perd avant, à berlin, sans frakas, comme nous toutes à nos âges, y compris zerbi que tu oublies toujours dans le métro Meteor FM. C’est pas ta faute, tu peux pas penser à toutes, tout le temps, et partoutes.
Je trouve que tu rends pas assez hommage à ceux qui te sont acquis, c injussss, alors que franchement…, à lvdb… sous prétexte qu’elle est de ton genre !!! ben merd’halors ! Faut quand même pas charrier ! c pas une victime comme vous autres, elle, t’en es point arrivée à penser ça, quand même, si ? Et donc nous, les gars, on est tous voués à faire les pedzouilles, ou quoi ?
-Epi, de quel doit tu me tutoies ? hein, jjj… -Ben, c’est quand tu me déçois trop, sinon non, je reprends spontanément le voussoiement de mon immense respect.
Oui, on peut se réjouir d’un récent vent de fraicheur qui souffle sur l’rdl… et avant que jjj soit bientôt éjecté à son tour (ce sera pas trop tôt !). Adios, les gwg, lvdb et Me jean…Entre nous, vous consituiez une belle brochette d’enfoiré.es, avec parfois des éclairs et fulgurances de génie, certes, mais si rarement, hélas…, et aussitôt et toujours gâchées par de méprisables ordurations imprécatoires !
576
commentaires