Romain Rolland au-dessous de la mêlée
Rien de tel que des scellés sur un manuscrit pour exciter la curiosité. Le lecteur se dit aussitôt que, pour se voir appliquer un traitement de services secrets, il doit être particulièrement saignant. Le cas du Journal de Vézelay 1938-1944 (1180 pages, 39 euros, Bartillat) de Romain Rolland (1866-1944). Avec un tel intitulé, on se dit que les révélations doivent y alterner avec le souci du spirituel, voisinage et ambiance obligent.
On ne mesure plus guère le prestige qui fut celui de Romain Rolland dans la première moitié du XXème siècle. Son influence n’allait pas de soi car il eut autant de partisans que d’adversaires, si l’on en juge par l’écho que ses positions suscitèrent chez les uns et les autres. Qu’importe l’étiquette qu’on lui colla (« conscience » paraît préférable à « guide » ou « référence »), le fait est qu’il compta autant comme modèle que comme anti-modèle, autant pour la popularité que lui valut le cycle romanesque de Jean-Christophe (10 volumes entre 1904 et 1912) que pour l’appel à la jeunesse qu’il publia le 15 septembre 1914 dans le Journal de Genève et lui valut de retrouver son nom accolé pour la vie à son titre : « Au-dessus de la mêlée ». Tout un programme- pour le meilleur et pour le pire. Rarement une expression-slogan de trois mots aura connu un tel destin d’étendard. Les pacifistes de tous poils ne furent pas les seuls à le brandir ; il est vrai que Rolland ratissait large puisqu’il fourrait dans le même sac tous les impérialismes bellicistes. Et comment des intellectuels refuseraient-ils de signer au sortir de ladite Grande guerre une « Déclaration d’indépendance de l’esprit » ? C’est après que cela se complique. Sa lucidité si aiguë est à géométrie variable : d’un côté, il est des rares (de même qu’André Suarès, Cassandre trop rarement cité) à dénoncer très tôt les dangers fasciste et nazi. Refuser la médaille Goethe en 1933, quel geste alors que Stefan Zweig en est encore à s’interroger sur la vraie nature du régime ! D’un autre côté, son militantisme au comité de vigilance des intellectuels antifascistes l’amène à voyager du côté de Moscou et à devenir jusqu’à la fin de ses jours un compagnon de route fort utile au PC. Etonnant comme sa clairvoyance ne s’est exercée que d’un côté.
Le diariste du Journal de Vézelay a 72 ans. Il raconte sa vie sous l’Occupation sans pour autant tenir la chronique de mon-village-à-l’heure-allemande. Des notes à leur date avec leur charge de malentendus, de contradictions et d’ambiguïtés. Il tient une correspondance fournie, reçoit des visiteurs (écrivains, prêtres, militants et Maurice Thorez). Il ne s’est pas mis à la retraite mais placé en retrait. Pour tout autre (Malraux par exemple), on se posera la question de l’opportunité d’un tel surplomb par rapport aux évènements ; mais pour celui qui s’était voulu au-dessus de la mêlée un quart de siècle avant ? Il tient qu’il ne peut décemment pousser à l’engagement des autres par les armes en ne s’engageant lui-même que par la plume. Il n’y a pas que cela : on le sent désenchanté par la trahison du pacte germano-soviétique, désabusé de toute politique. La vigueur pamphlétaire le reprend pour écrire en leitmotiv aussi souvent que possible : « Delendum est Hitler »
L’écriture est tenue, la main ne tremble pas. On y apprend des choses, on y redécouvre d’autres choses. Des choses vues, lues, entendues. Des portraits d’une acuité et d’une justesse remarquables, tel celui de Le Corbusier qui lui rend visite après une escale de plusieurs mois à Vichy, ou du « Maréchal et ses curés, leurs dégoûtantes patenôtres, leur phraséologie de sacristains » qu’il abhorre. Des traces d’humilité s’y mêlent à des éclats de prétention : «… les Cahiers de la Quinzaine, sans moi, n’eussent pas existé ; et s’ils n’avaient existé, ils n’eussent pas vécu : ce sont mes œuvres seules qui les ont fait vivre ». Il suit l’actualité depuis sa thébaïde. Ce qu’il retient de la drôle de guerre : à Noël 1939, « le stupide vandalisme » des soldats français accusés de voler et de piller en Alsace. : « C’est une peuple toujours de Gaulois indisciplinés, anarchistes au fond, indifférents à la communauté, et qui ont besoin d’un poing solide qui les oblige à marcher au pas, -d’un Etat fort,- d’un Napoléon. » Le philosophe Jean Lacoste, éditeur attentif de ce volume, a raison de souligner que ce millier de pages est d’une parfaite cohérence, et qu’elle forme un tout avec le reste de son œuvre. Pas de surprise car pas de hiatus : c’est bien du Romain Rolland du début à la fin. Le Journal remplit son office. On peut même aller jusqu’à solliciter sa manière et, comme nous y invite l’éditeur, trouver une dimension musicale à son usage permanent des tirets comme autant de pauses du grand beethovénien ; ou que l’abus de virgules reflète le souffle oppressé dont il ne cessa de se plaindre tant il en souffrait.
Que contenait-il donc qui méritât de demeurer si longtemps cadenassé dans les coffres de la BnF et de la Bibliothèque universitaire de Bâle? Des lignes, jadis caviardées et désormais rétablies, sur la maitresse de Paul Claudel et sa fille, que le poète avait confié à la garde son ami de jeunesse. De beaux moments sur Péguy qui l’envoûte et auquel il s’emploie à consacrer un essai afin de le soustraire à son instrumentalisation par Vichy (par une ruse de l’Histoire, lorsque, après la guerre, la gauche voudra faire entrer Rolland au Panthéon, la droite s’y opposera en lui préférant Péguy, brandissant le patriotisme charnel du catholique contre le patriotisme abstrait du pacifiste). Des indulgences pour des copains de toujours tel Alphonse de Chateaubriant dont l’hitlérophilie est excusée par la « demie-folie » (dire qu’il le croit aussi doué que son autre ami intime, Pierre-Jean Jouve !) Des pages sur les visites d’officiers allemands si fiers de rencontrer le grand écrivain –et on comprend qu’ils aient voulu approcher le « réconciliateur » qui, dans son Journal des années 1943-1944, veut se « réconcilier » avec l’Allemagne dans une Europe vaincue et dominée par elle.
Le problème, c’est qu’à force de s’entendre dire qu’il était une grande conscience, il a fini par le croire. On ne le sent guère animé par la haine de soi. Il faut évidemment s’efforcer de lire et juger ce Journal avec les lunettes de l’époque, comme pour tout document de cet ordre. Il l’a voulu vivier de son œuvre. Un mémento moral où le provisoire l’emporte sur le définitif, où aucune pensée n’est gravée dans le marbre et où domine l’impression d’une heure. Mais tout de même ! Jean Lacoste, éminent germaniste et traducteur de Walter Benjamin, a dû parfois souffrir en rédigeant les notes, notamment page 1058 : tout en insistant sur son philosémitisme, Rolland y expose toute l’aversion, tant épidermique que morale, que provoquent en lui les Juifs allemands. Pour ne rien dire de ce que lui inspire le statut des Juifs « injuste sans doute et hostile, mais non outrageant ». Il y a des passages d’une cécité et d’une naïveté confondantes sur les intentions d’Hitler, telles que celui-ci les expose dans ses interviews et ses discours de 1938 ; il le croit sur parole, comme s’il n’avait jamais lu Mein Kampf où (presque) tout était déjà écrit et annoncé à ciel ouvert. Le 28 août 1940, il en est encore à vitupérer Churchill, à croire dans les vertus d’une « loyale discussion avec le vainqueur » et à rappeler son implacable et chronique hostilité contre l’impérialisme britannique « propulseur hypocrite des guerres –de 1914 comme de 1939- entre la France et l’Allemagne ». Et quand il évoque dans les tous derniers jours de 1943 « l’attente angoissée de l’offensive massive qui va détruire une partie de l’Occident », ou un peu plus tard, lorsqu’il pointe « la réprobation de l’Occident » contre ceux qui prétendent venir l’aider, on est en droit de s’interroger sur son gâtisme. L’un de ses nombreux admirateurs aurait lu ce Journal en 1940 qu’il aurait aussitôt déposé les armes et renoncé à toute résistance. On se frotte les yeux lorsqu’en avril 1941 il compare les troupes de choc allemandes aux sans-culottes de Valmy et Jemmapes au motif qu’ils auraient au cœur un commun élan et une même flamme. Et ce « Chacun son tour » comme si l’occupation de la Rhénanie avant celle de la France se valaient !
Au moins, ses jugements sur l’actualité en marche auront-ils le pouvoir de susciter le débat, ne fût-ce que, par exemple, celui où il se dit prêt à sacrifier les milliers de vies humaines de toute une armée pour sauver une œuvre d’art telle que la chapelle sixtine. Ce n’est même plus le militant pacifiste qui parle là : c’est le Nobel de littérature 1915 qui se sent protégé par son aura. Faut-il que les pages exaltant le génie de Claudel soient belles pour faire oublier celles-là… Malgré ses grands morceaux, le Journal de Vézelay est d’un homme au-dessous de la mêlée car il n’invite guère à se pencher sur ces années-là avec une certaine hauteur de vues, ce qui serait à peine remarqué s’il ne s’agissait pas d’un intellectuel d’une telle stature.
Au fond, on comprend pourquoi les ayants droit de Romain Rolland (sa veuve, sa sœur et les deux amis qui furent ses exécuteurs testamentaires) ont longtemps préféré le garder sous la cire rouge des scellés, prolongeant même la date de communication jusqu’à 2000. Pas pour les secrets des autres mais pour les révélations sur lui-même. En regard, le Journal des années noires de Jean Guéhenno, autre humaniste, n’en est que plus grand.
(« Débarquement allié sur la côte normande, juin 1944 » photo de Robert Capa/Magnum ; « Romain Rolland » photo de Gisèle Freund ; « Romain Rolland et Gandhi » photo D.R.)
736 Réponses pour Romain Rolland au-dessous de la mêlée
c’est pas cool du tout votre histoire,ne comptez pas sur ma présence .
vous vous proposez à Ueda…
..nan merci..geai l’hokkaïdo du voisain pou mes ptits besoins
Je prendrai une infusion à la place quitte à paraître démodée .
HR, vuus n’êtes pas démodée, vous êtes hors d’usage
Voulez-vous dire que l’on ne trouve plus les pièces d’origine ?
Je ne suis pas du tout un refoulé névrotique comme certains essayent de le faire croire.
Tarantino
avoir besoin de tant de sang pour bien dormir cela ne laisse de m’inquiéter sourdement sur ce qui vous est nécessaire pour vous pacifier un tant soit peu.
je vous ai tous lus : c’est l’état de guerre. Cela + Tarantino c’est trop.
Pourrions-nous travailler à la paix ? Et y mettre notre bonne volonté ?
Je veux bien faire un effort conséquent.
Bon je vais aller me coucher. Cela ne regarde que moi, certes, mais il n’est pas inutile que vous en soyez informé quand même.
Il y en a qui s’amusent en ce moment-même avec les fonctions de suppression de messages. Qu’ils sachent que je ne leur en veux pas, même s’ils se trompent.
Peut-être D. que vos ne le savez pas, ce ne serait pas si grave, mais il y a des ‘vieux’ qui aiment faire de l’esprit autour de l’âge et de ses conséquences. Il y en a même qui organisent des blagues pour juste avant ou juste après leur trépas. Je comprends que cette particularité de l’esprit humain vous échappe, personne n’est parfait.
Les Arabes n’ont qu’à aller dans les pays arabes et laisser les Juifs vivre en paix en Judée-Samarie et à Gaza.
—-
« Arabenrein » comme auraient dit les nazis. Elle est belle votre vision du monde, ML. Que faites vous encore à être petit prof alors que la reconquête de Gaza, les armes à la main, n’attend que vous. Quelle pitoyable pantin vous faites.
Quel
Je suis ici pour rétablir la vérité des choses.
—
Et moi je suis le prochain Pape, monsieur le personnage de farce, monsieur le cinglé obsessionnel et chimérique.
Votre propagande est honteuse tout simplement.
—
Retour à l’envoyeur.
Vou êtes ni Juif, ni agrégé, voilà qui nos distingue, monsieur Alba, propagandiste du Likoud.
Je n’ai sans doute pas lu le même livre (pas entièrement certes, mais suffisamment pour en avoir une bonne idée, je pense). Il y avait quand même des choses plus intéressantes à écrire. Quand aux commentaires, ah, s’il y avait de vraies discussions et échanges de vues, mais dans ce fatras, on ne peut guère s’avancer.
Il faut dire qu’en RdL on a de grands délirants, fonctionnaires culturels travaillant hors les murs, prenant leurs infirmiers pour des fous, et voulant faire passer leur imprécation propagandiste pour de la sagesse …
Comment faire avancer un âne bâté a toujours été difficile !
« Samedi 16 février 2013, 22h46
Camion citerne bourré d’explosifs. Un nouvel attentat à la bombe contre la communauté chiite (hérétique pour les sunnites) a fait au moins 79 morts et près de 200 blessés samedi dans une province instable du sud-ouest du Pakistan, pays en proie à une montée en flèche du fondamentalisme et des violences contre cette minorité musulmane. »
Religion de tolérance et de paix ! Cela ramène aux guerres religieuses interchrétiennes d’il y a 5 siècles et témoigne d’un léger retard entre deux temporalités.
Les croisades à l’envers ont cet effet qu’elles ne réussissent pas à ralentir l’avancée du progrès(le délitement des moeurs) et qu’à coup d’explosifs et de satellitaires elles ouvrent un gouffre propice à accueillir ces morts désirées programmées ,le maillage de l’équilibre des forces se complique,qui finance quoi,qui récupère qui et pourquoi,fusion ou combustion .
JC, moi aussi je trouve que ces fonctionnaires qui se paient des vacances aux frais du contribuable, c’est dégueulasse. Il y en a des qui sont loin et d’autres des qui sont près, les enseignants, comme l’autre qui va en Catalogne par exemple. T’as vu les vacances qu’ils ont, tu sais combien y nous coûtent? Tous en train de nous sucer JC, les plus petits comme les plus gros. T’as raison de pas les rater, on est avec toi, JC, on se laissera pas faire, foi d’un petit commerçant.
Dieu, Gérard ! que cela me fait plaisir de lire les réflexions censées d’un simulateur de génie comme toi ! Tu as raison : il faut privatiser l’Education Nationale, rétablir les sévices pour tous …
On en a rien a foutre de donner des agrégés, du hachis au boeuf pour les enfants de pauvres, donnons aux morveux, aux ânes, du cochon, des épluchures, des rognures de livre saint ! Et pour les meilleurs, des collèges à l’anglaise, niveau club privé quoi ! Bon dimanche…
Bonjour !
Ah JC, comme on t’aime quand tu mets le doigt sur tout ce qui empêche notre pays d’être une terre qui ment pas. Comme on disait au bistro l’autre soir, avec les copains de la tendance nationale, il est plus que temps de faire le ménage. On est avec toi, nous les fils et petits fils des Hommes de la Cagoule, de l’OAS, de l’Indo, de la milice, du Gud, d’Occident et des cellules d’action nationales.
Gérard, je t’aime comme un frère.
Finissons-en avec les crapules de la gauche caviar. Retour à la droite lingot d’or, et vite !!! En avant, les hommes nouveaux à l’ancienne !
N’est pas Jonathan Swift qui veut…
Mais on est frères, JC, sur le blog comme dans les ratonnades.
Ah ! le bon vieux temps…
Et les chrétiens palestiniens, sont-ils au-dessus ou en-dessous de la mêlée ?
Pas à leur place …
Les chrétiens palestiniens ? Ils se font assassiner par les autres Palestiniens. Et tous les faux culs de Bloom du monde applaudissent !
ZAinsi va le monde des agrégés (d’anglais, les plus cons, j’ai souvent remarqué…).
Bloom prétend que je ne suis pas juif mais en même temps propagandiste du Likoud… !
Il est pas à une connerie près, le bougre ! Il en pond deux par phrase minimum.
« foi d’un petit commerçant. »
Tu sais ce qu’il te dit, le petit artisan/commerçant(bac+5),nikkkouille,fout-la- merde?
« On fait de l’humour, Monsieur, il ne faut pas si méprendre »… c’est vrai qu’en ayant sucé dès le berceau le lait de l’antiracisme il devient difficile de comprendre les finesse de ces esprits supérieurs que lorsqu’ils sont dans certains arrêts du Metro parisien ont peur pour leur intégrité physique car, on ne sait jamais, mais c’est connu que ce gens sont des pervers sexuels, comme les blondes du reste, c’est d’ailleurs parce que les blondes sont des perverses sexuelles qu’il y a autant de blagues sur les blondes… à une époque où le monde était moins hypocrite ils ont même fait un film… Les hommes préfèrent les blondes… et puisqu’on connaît les hommes on n’a pas besoin qu’on nous fasse un dessin pour comprendre le putain de message que ce mec… Hawks, veut faire passer… d’ailleurs cette histoire du mariage pour tous, ce scandale produit par cette société moisie et décadente c’est un complot des noirs et des blondes… réfléchissez un coup, arrêtez de partager avec les militants de tous bords la bêtise des idées toutes faites et aussi la cruauté souriante de ceux qui vous envoient à l’échafaud… le mariage pour tous ce n’est qu’une combine pour éliminer la concurrence… et puis on se demande le pourquoi de tant de blagues sur le blondes… elles sont la perfidie incarnée… et le prochaine passage ce sera quoi ? l’interdiction des teintures pour cheveux afin d’éliminer les fausses blondes ! Vous comprenez la perte que cela représente pour la culture de l’Occident et pour les coiffeurs ? Non, il faut tout vous expliquer… vous manquez complètement d’humour… voilà pourquoi vous vous arrêtez à certains arrêts du Metro parisien sans faire gaffe à ces mélange extraordinaire qui est une des figures du démoniaque… qui a conquis ces arrêts du Metro parisien… et sous le masque de la vertu institutionnelle hybridée la fausse innocence vous marchez avec les préjugés propagés honteusement par les vrais noirs et les fausses blondes. Rattrapez-vous, suivez plutôt les conseils avisés de Swift… trop d’enfants sont à la charge à leurs parents et au pays, battez-vous pour les rendre utiles au public… battez-vous ou bâtez-vous ? enfin, peu importe…
Prions mes frères pour que la Grâce touche enfin, même une seule fois, ce pauvre Bloom…
Et s’il vous en reste un peu en trop, de la Grâce, pensez à d’autres qui furent mal servis …
Oui, mais méfions-nous quand même, même quand il sera touché par la grâce. Parce que les plus rétifs au départ sont souvent les plus fanatiques à l’arrivée. D’ici qu’il s’engage dans le Hezbollah, il n’y qu’un pas. Ne tentons pas le diable ! Laissons-le avec son fanatisme d’athée impénitent et agrégé d’anglais qu’il revendique devant l’éternel de la bêtise humaine…
Ce n’est pas tout a fait ce que dit cet article du Monde à propos d’un récent rapport, ML :
« S’il est vrai que les communautés chrétiennes de Terre sainte sont les plus anciennes au monde, il est vrai aussi que depuis 1948 leur nombre est passé de 18% à moins de 2% aujourd’hui. (…)
Dans un rapport d’une centaine de pages assez accablant pour l’Etat hébreu intitulé, Faith under Occupation (« La foi sous occupation »), publié par Commission of Churches in international Affairs (CCIA), le Conseil Œcuménique des Eglises (World Council of Churches), dénonce le sort des chrétiens Palestiniens dans les territoires occupés. On aurait pu croire ces dernières années, avec la recrudescence d’actes anti-chrétiens commis dans les pays islamiques, que ces chrétiens partageaient le sort des derniers juifs vivant en islam (hormis pour le Maroc et la Jordanie). Mais ce rapport essentiellement constitué de témoignages criants prouve qu’il n’en est rien, au contraire, et que les chrétiens partagent tout du sort de leurs concitoyens musulmans. »
(Le Monde.fr | 16.05.2012 à 11h00)
Bon, c’est dimanche… les cerveaux sont partis au ski en laissant les corps à la maison : il faut bien que quelqu’un s’occupe du litron…
Il faut retrouver l’audace du non-conformisme et du dissensus ! Il faut avoir confiance en soi. Ce n’est qu’aujourd’hui que la parole du prophète Isaïe prend sens : « Pour Sion je ne garderai pas le silence, pour Jérusalem, je ne me tairai pas ! » (Is 62,1).
Le Likud?
Bah, ML, comme vos propos sont très proches de ceux de ce parti, je ne vois pas pourquoi vous ne pourriez pas déclarer pas vos sympathies, c’est une république.
Dans le cas contraire, vos critiques seraient encore plus intéressantes.
« Il faut retrouver l’audace du non-conformisme et du dissensus ! Il faut avoir confiance en soi. Ce n’est qu’aujourd’hui que la parole du prophète Isaïe prend sens : « Pour Sion je ne garderai pas le silence, pour Jérusalem, je ne me tairai pas ! » (Is 62,1). »
Hourrah!
Tout à fait d’accord, dites ce que vous pensez.
Alors?
Quand je vous dis que les cerveaux sont partis au ski.
C’est la propagande anti-israélienne ordinaire du Monde. Aucun intérêt !
La liberté de culte à Jérusalem n’est effective que depuis 1967 et la fin de l’occupation jordanienne illégale, que les sbires du Monde n’ont jamais dénoncé comme telle. Alors qu’ils la ferment, leur grande gueule au Monde !
Mais je l’ai déjà dit, ueda !
Pas seulement Jonathan Swift.
Dans la Route de Cormac%Mc Carthy aussi on mange les enfants (cuits). C’est limite « l’alibi de sa propre violence* » de sa propre détestation concernant les enfants les siens qu’il n’aura pas, ceux des autres qu’il déteste.
* mots empruntés à Fabienne Pascaud ds sa chronique théâtre sur Tendre et cruel de Martin Crimp.
« Ce n’est qu’aujourd’hui que la parole du prophète Isaïe prend sens : « Pour Sion je ne garderai pas le silence, pour Jérusalem, je ne me tairai pas ! »
C’est embêtant ce « ce n’est qu’aujourd’hui » un peu naïf, qui vous met en porte à faux avec toute une tradition juive.
Il fallait vraiment le nationalisme moderne pour donner un sens nouveau aux mots de la tribu?
Pourquoi pas, mais alors, les propos d’Isaie étaient auparavant insignifiants?
Ecoute notre prière : Offre un week-end de ski à renato, ça le travaille …!
La conclusions est aussi aberrantes dans ce bout d’article de merde du Monde !
Un sondage récent montrait en Israël que les israéliens musulmans ne veulent pour rien au monde aller vivre dans les pays arabes !
Qu’ils aillent se faire foutre au Monde.fr !
Sur Cormac Mc Carthy, je fais Front uni avec C.P., Rose.
Surtout pour The Road, extraordinaire poème.
Je m’en récite de longs passage (avec ses mots monosyllabiques, très peu de mots d’origine romane, un rythme étonnant).
Et pourtant je ne suis qu’une brute.
ueda, vous êtes très drôle… mais c’est un extrait de la Torah et des Prophètes que vous prétendez ne pas être dans la tradition juive…
Avec Bloom, vous faites la paire !
Vous me le mettez en état confusionnel ueda, c’est garçon sans épaisseur, c’est vrais, mais au fond c’est un bon garçon… mais vous êtes insensible et cruel et dévoilez sans vergogne ses limites jusque-là connus seulement par les connaisseurs… où va-t-on ?
Au ski, ce sont les jambes qui partent pas les cerveaux.
Comme aux compet. d’aviron : pendant ce temps Marc Zuckenberg pique l’idée et sait construire le reste.
Quand les deux sont liés c’est qd même top.
Cet article du Monde est pourtant plus pondéré que vous, ML, il ajoute :
« Ce rapport porte à croire que le peuple palestinien est un tout uni musulman et chrétien à la fois. La réalité est différente même si l’occupation doit aussi être un ferment dans la résistance. Les chrétiens, comme hier les juifs, en terre d’islam, s’ils étaient ou sont acceptés, sont le plus souvent tolérés et vivent comme dhimmis (protégés en arabe), situation qui peut devenir pour de courtes ou longues périodes de tensions, parfois fort délicate voire hostile.
Mais le rapport cherche seulement à faire porter toute la responsabilité de la condition menacée de ces chrétiens à la seule occupation israélienne. Autrement dit, les chrétiens palestiniens sont-ils devenus les « juifs » d’aujourd’hui dans une Palestine occupée ? Et peut-être même les « juifs » des « juifs » arabes, car d’aucuns ont pu voir les Palestiniens comme les « juifs » du Proche ou du Moyen-Orient, par la créativité et les qualités intellectuelles et artistiques de ce petit peuple.
Le Père Michel Remaud posait à Liliane Apotheker, spécialistes des relations judéo-chrétiennes, qui fut rapporteur du dossier devant une commission du CRIF : » On n’entend pas parler d’un exode musulman de Terre sainte. » Devant la commission du CRIF chargée du rapport avec les Eglises chrétiennes, L. Apotheker disait récemment : « Le déclin de ces chrétiens palestiniens est le même qu’avant 1967 (sous les Jordaniens). Il faut rappeler qu’Israël est le seul pays du Proche-Orient où les chrétiens sont en constante augmentation. »
« Qu’ils aillent se faire foutre au Monde.fr ! »
Pourquoi cette limitation au site numérique ? Qu’ils aillent TOUS, les mondoliens, se faire foutre : ils font honte à la mémoire des grands du journal !
la tête et les jambes voulais-je suggérer.
Allons, allons, ML, c’est ça votre éthique de la discussion?
Pas très charitable pour le vieil Isaie…
« Il est pas à une connerie près, le bougre !
Aucun intérêt !
Alors qu’ils la ferment, leur grande gueule!
Qu’ils aillent se faire foutre! »
Non, il n’est pas pondéré du tout. Comme d’habitude au Monde.fr. Ce sont de violents propagandistes anti-israéliens. Alors ne venez pas me la ramener avec vos conneries du Monde.
Et le mot dhimmis est un mot qu’il est complètement abusif de traduire par « protégé ». C’est au contraire un statut de sous-homme, le dhimmi !
Propagande honteuse du Monde, comme d’hab. Nulle à chier.
« Ecoute notre prière… »
Ce n’est vraiment pas le moment… ce sont les Vacances d’hivers… si vous voyez ce que je veux dire… à moins que votre cerveau aussi ne soit parti au ski… ce qui justifierez votre prière…
Le rapport émane de gens qui sont de toute façon foncièrement anti-israéliens voire antisémites !
enfin, deux mots, après ménage (berk trois fois):
Tarantino : il s’est mis en scène ds une des scènes finales (les trois qui l’emmènent à la mine, il est un des trois je sais pas lequel ; je l’ai vu écrit Tarantino au générique, rouge sang comme les trente six tonnes d’hémoglobine nécessaires au tournage du film, au second tiers j’ai fatigué c’est vrai, au moment de la castration 3 à 4 personnes, sensibles sont sorties).
J’en dirai pas plus, pour ne pas déflorer l’histoire : premier sentiment, je le trouve assez enfantin Tarantino. Le dernier de Leos Carax m’a emballée bien plus que Django.
J’aimerai bien savoir si les noirs américains sont contents de son film à Tarantino, s’ils le prennent comme une revanche ou quoi, Nelson par exemple, et j’ai bien peur que oui. J’ai bien peur aussi que les hommes, longtemps, restent de grands enfants.
Bien dormi quand même, sans cauchemars.
Il en a qui comprennent vite si on leur explique lentement…
Et puis, dans cet article de merde, on sent, ça suinte de partout, le ton jésuitique et doucereux épouvantables des pourris du Monde.fr !
Ça me fait penser aux Provinciales de Pascal quand il imite le ton des Jésuites. Atroces, ces journalistes du Monde ! Abominables !
En fait ce rapport montre bien que, entre peste et choléra, les chrétiens Palestiniens ont le cul coincé entre deux chaises. Plutôt en dessous qu’au-dessus de la mêlée. On y note que eux aussi se réclament comme les plus anciens occupants de la Palestine. Manquerait plus que le nouveau Pape soit Palestinien !
ueda dit: 17 février 2013 à 10 h 39 min
je n’ai pas lu ce qu’a dit C.P sur La Route.
Je ne récite pas The road, je fais des conserves pour le père et son fils que je mets dans des cachettes : à chacun sa manière de lutter. Pas seulement des légumes.
Ici, on part le matin et on rentre le soir mais ce sont des montagnettes quasiment des collines à peine pointues.
Allez zou.
Ce rapport ne montre rien du tout !
Les chrétiens israéliens vivent tranquillement en Israël, sans aucun problème lié à leur religion. Ils n’ont jamais été plus libres que dans l’Etat d’Israël. Allez en Israël pour vérifier au lieu de lire les abomination du Monde.fr !
Jean Rolin (le frère d’O.R.) a écrit un livre étonnant, à l’issue d’un séjour à Bethléem, « Chrétiens », où ils montre la dénégation embarrassée chez les leaders religieux chrétiens de cette situation d’oppression sournoise, dans un contexte majoritairement musulman.
Cette violence sourde est intériorisée et relativisée, parce qu’ils se sentent tout autant palestiniens.
Ailleurs qu’en Israël, on leur flanque une balle dans la tête, on les passe par la fenêtre comme faisaient les nazis avec les Juifs dans le Ghetto de Varsovie, on détruit leurs église en Egypte, alors ça suffit les conneries !
Ben évidemment, ueda ! Si le Pape soutient le boucher de Bagdad, c’est parce que de l’autre côté, en Syrie, les rebelles de Al Qaida passent les arabes chrétiens par la fenêtre. Des vidéos en témoignent tournées par les criminels eux-mêmes pour leur propagande de merde en occident.
Le boucher de Damas… une guerre de retard…
« Le rapport émane de gens qui sont de toute façon antisémites ! »
Sacré ML.
On sent bien qu’ils vous sont nécessaires comme le pain azyme.
Si je n’étais pas cerné par des « penchants criminels », qui serais-je?
Ce qui est tragique c’est que tout le monde croit avoir ses justes raisons et jamais qu’ils se disent : « C’est entre moi et moi-même, pas besoin d’en faire commerce ». Mais bon, si les humains étaient intelligents ça se saurait… pour ce qui est de ‘civilisés’ il y a malentendu et parfois tricherie sur la marchandise… d’ailleurs les singes sont vachement plus rationnelles…
En plus Baroz, vous n’avez même pas compris ce que dit l’article au sujet des plus vieux chrétiens du monde !
C’est effarant !
Vous ne savez même pas lire !
Mais en plus ce journal de cochon commet la même erreurs que tous les ignares du monde. Quand le Christ était vivant, la Palestine n’existait pas !
La Palestine est née en 120 après J.C. Avant ça ne s’appelait pas la Palestine, mais la Judée.
« Le boucher de Damas… »
Je vous arrête, ML.
Saint Paul a été accusé de beaucoup de chose, et le livre d’Alain Badiou sur l’universalisme de Paul n’a guère été goûté par Milner, mais trop, c’est trop.
Paul de Tarse, après sa conversion, du sang sur les mains?
Ueda, vous dites n’importe quoi !
Vous savez quand l’Eglise de Rome a reconnu officiellement l’existence d’Israël ?
Non, évidemment !
Mais très tardivement comme de bien entendu…
Arrêtez de jouer au con, ueda…
Je parle de Assad, vous le savez très bien.
C’est étrange, par un glissement sémantique, les chrétiens Palestiniens, ainsi qu’ils se revendiquent eux-mêmes, dans la bouche de ML deviennent les chrétiens israéliens !
Et alors ? Je vous parle des chrétien israéliens. C’est vous qui ne comprenez pas ce que j’écris.
« Seigneur, fais que l’on comprenne bien les buts poursuivis par ces maudits barbaresques, partout dans le monde. Que les chrétiens ne croient pas ce que disent les intellectuels musulmans : ils ne sont ni écoutés, ni suivis ! Et que les traducteurs ne trahissent pas trop le sens des mots : le dhimmi, c’est un sous-homme en sursis. »
« La Palestine est née en 120 après J.C. »
Et le christianisme, combien d’années après, ML ?
Cher ML, étant donné les positions qui sont les vôtres, ne pensez-vous pas que vous souffrez d’un déficit de crédibilité (comme disent les lycéens), tant que vous n’aurez pas fait votre aliya?
On parlait, il y a un siècle des « marxistes de la chaire ».
Les sionistes de la bonne chère sont-ils plus convaincants?
Et le christianisme, combien d’années après, ML ?
???
Tout ça n’a strictement rien à voir avec une alya.
ça ne doit pas être évident d’être laïc en Palestine, la minorité des minorités ?! C’est sûr que c’est certainement plus facile en Israél !
Les sionistes ne cherchent pas à convaincre de toute façon. C’est peine perdue, de toute façon. Ce qui n’empêchera pas Israël d’exister.
Vous croyez en Dieu, ML ?
Mais les jeunes israéliens sont très laïcs. Ils sont légions.
Je vous parle de singes, c’est vous qui ne comprenez pas ce que j’écris. D’ailleurs vous ne comprenez jamais ce que j’écris. Où est finie la profondeur de la pensée Occidentale ? au chiottes, avec le PQ moisi que vous employez pour écrire vos articles de merde que ce journal de merde publie afin d’alimenter le grand complot hourdis contre les singes parfaitement herbivores par les singes omnivores, ces vauriens qui mangent du cheval persuadez que c’est du macaque. Je parle des chimpanzés, vous le savez très bien… mais vous ne savez même pas lire ! Le rapport émane de gens qui sont de toute façon anti-gorille ! Si les babouins soutiennent les omnivore, c’est parce que de l’autre côté, là où ils sont majoritaires, ils mangent du bébé chimpanzés. Des vidéos en témoignent tournées par les babouins eux-mêmes pour leur propagande de merde chez les éthologues qu’étudient les primates. Et ce sont surtout des femmes, parfois blondes, qu’étudient les primates. Voilà que tout s’explique ! Il y a-t-il des blague sur les éthologues blondes qu’étudient les primates ?
Je vous ai déjà dit que oui. Vous n’écoutez pas ce qu’on vous dit, comme les élèves…
« Seigneur, remets cet égaré de Barozzi dans le droit chemin. Qu’il prenne bonne épouse aux hanches larges, et l’engrosse de beaux enfants ! Amen ! »
« Vous n’écoutez pas ce qu’on vous dit, comme les élèves… »
Et on les comprends !
C’est à dire que je juge plutôt sur les actes que sur les paroles, ML : vous croyez que j’aurais accés au paradis éternel de Yahvé, moi aussi ?
« Une urgence, Seigneur ! Fais quelque chose pour soustraire renato à la puante et glaciale atmosphère de Colmar. Un séjour gratuit en Thaïlande, massages compris ?…. Merci Seigneur ! »
Non, pas vous, Baroz ! Vous irez rôtir en enfer pour la vie éternelle.
Dans le Judaïsme il n’y a pas de notion d’au-delà. Le Shéol se réduit à pas grand chose.
@ J. Barozzi et renato
« Les singes européens ont ordinairement des queues; au Japon, ils n’en ont pas, bien qu’ils soient très variés, et pour les Japonais, c’est une très grande nouveauté. »
Il plane sur nous comme une fatalité…
Malgré tout:
« Nous sentons le melon à sa tête, les Japonais le sentent à sa queue »
RP Luis Frois, « Européens et Japonais, Traité sur les contradictions & différences de moeurs, écrit au Japon, l’an 1585 ».
»Chère Madame, Jamais je n’aurais cru devoir un jour vous écrire publiquement pour parler littérature… » Ainsi commence la lettre ouverte adressée par Adeline Blondieau, ex-femme de Johnny, à Amanda Sthers, nègre d’icelui pour la rédaction de ses Mémoires. Euh, littérature, vraiment ?..
Passou aime le twitt à toute vitesse mais pas le twist !
Barozzi,
Tu seras le bienvenu en notre Paradis si tu cesses de pratiquer tes sodomites habitudes ! rapproche toi du Seigneur, des femmes, nombreuses, à la lubricité sans égal, enfante des petits Barozzi, épouse, sanctifie tes saillies, puis…écris nous un « Goût du mariage » !
Mais les melons ne portent-ils pas leur queue sur la tête, ueda ? En bas, c’est le cul !
écris nous un « Goût du mariage » !
Trop tard, D., une certaine C. Taubira vient déjà de rendre son manuscrit à mon éditrice : « Le goût du mariage… pour tous ».
« Le Shéol se réduit à pas grand chose. »
éternellement pessimistes, les Juifs orthodoxes, ni ici ni la haut !
Vous n’en avez que plus de mérite à vous donner tant de mal, ML !
Dans quelques jours, tous les exemplaires du « Goût du Confus », de la mère renataubira, seront passés au pilon.
Eh oui, je suis bien d’accord ! Comme disait Gramsci, je suis un pessimiste actif…!
Je suis très gramscien sans être un chien…
Baroz, je ne pense pas que vous sachiez qui sont les Juifs orthodoxes ni ce qu’ils sont. Si vous alliez en Israël (où vous n’irez jamais, D.ieu soit loué…!), vous seriez bien surpris parfois.
Ce qui me fascine chez les êtres humains, c’est l’abîme que constitue l’Autre pour chacun. Le cas des Juifs orthodoxes pour l’Européen de base étant emblématique de ce phénomène.
C’est juste.
Il est possible, J. Barozzi, que l’enquête du P. Frois sur les queues n’aient pas été menée à son terme.
Il jalouse ses collègues, les bonzes bouddhistes, et note que les monastères pour femmes sont des lupanars.
On sent néanmoins une grande admiration pour les Japonais.
Mais ce n’est pas parce que le Shéol se réduit à pas grand-chose qu’il n’y a pas de vie éternelle, Baroz.
Faut pas tout confondre !
Vous auriez besoin d’un exercice talmudique au quotidien pour exciter vos neurones endormis. Le réveil talmudique du onze heures, tiens, par exemple.
Et comme dit Gantenbein : « je me sens inférieur à tout Français, pour autant qu’il comprenne lui-même sa propre langue. »
« Mais les melons ne portent-ils pas leur queue sur la tête, ueda ? »
C’est un point que les melons ont en commun avec le béret français, J. Barozzi.
Je me suis toujours demandé pourquoi, s’agissant de la nécessité religieuse de se couvrir la tête, on ne s’était pas tourné vers la solution la plus simple.
Dans les écoles comme dans les mosquées ou synagogues, la solution républicaine n’est-elle pas de généraliser le port du béret français?
Je voulais aller voir la Gay pride à Tel Aviv, ML, mais finalement je retournerai m’exciter les neurones avec les derviches tourneurs d’Istanbul en mai.
Dans le quartier Saint-Paul au Marais-sur-Seine, j’en croise beaucoup des juifs orthodoxes aux ravissantes papillotes et chapeaux à larges bords accompagnés de femmes à perruque.
Grande question métaphysique :
Vaut-il mieux être un pessimiste actif ou un optimiste passif ?
Moi je trouve qu’il faut avoir les neurones drôlement éveillés pour en arriver à écrire une telle phrase : « Mais les melons ne portent-ils pas leur queue sur la tête ? »
il faut avoir les neurones drôlement éveillés
Selon Pinel, l’agitation excessive des neurones engendrait sur le crâne une légère protubérance.
Le lien avec le béret français n’est pas prouvé.
Le port du béret sur melon ne fera jamais un français de souche
Cacher les sacrosaintes différences que font les particularités de la culture gorille sous un béret français, que si je ne me trompe pas est basque, n’est qu’un projet innommable, une tentative de nier les particularités de cette culture dont, pour ce qui concerne la connaissance des végétaux comestibles, l’apport à l’évolution des espèces n’est plus à démontrer. Qui oserait aujourd’hui servir à ses enfants des pousses de bambou à la mode ou en gratin ou simplement bouillies et assaisonnées d’un filet d’huile de noisette si des générations de gorilles n’avaient expérimenté les qualités énergétique de la pousse dont on parle : 12 kCal pour 100 g, sans compter les 1.53 g de protéines, les 0.22 g de lipides, les 1.92 g de glucides, le 1 g de fibres… et ne pas oublier les 95.92 g d’eau. Je dis bien 95.92 g d’eau, en un moment où cette précieuse ressource se fait de plus en plus rare et de plus en plus dégoûtante à cause des traitements qu’on lui inflige afin qu’on puisse la tenir pour un produit comme un autre… merdre, le téléphone, à plus…
D’un point de vue analogique, le melons ne portent pas leur queue sur la tête car, déjà celle que nous appelons queue du melon est pour le melon plutôt un cordon ombilicale ; puis, établir où est la tête du melon n’est pas si simple qu’il semble. En tenant en compte l’analogie qu’on a vu, le melon, comme la courge du reste, est plus proche d’un estomac — assez gros, ou dilaté, chez certains exemplaires de courges. Certes, les humains voient des queues partout, mais il ne faut surtout pas laisser que cette particularité curieuse de l’espèce nous trompe : ce n’est pas parce que la majorité d’entre nous se prends pour la queue de la poire que les poires ont une queue. D’ailleurs, les gens, surtout les mâles, parlent tellement de queue, en général, parfois, et plus particulièrement en particulier de la leur qu’ils ont toujours de proportions inquiétantes ; ou encore de celle des autres, toujours insignifiante — si on se tient aux témoignages. Enfin, on s’est compris, je suppose.
@ML @Blom
-et d’abord moi je suis agregé et pas toi
-oui mais ton agreg et une agreg de cons
ML ,Bloom,est-ce un dialogue d’adultes ou de cour de recréation?
Les deux ! l’Université étant un terrain d’entrainement remarquable pour les gamineries !
M’enfin, faut être franchement débile pour aller brandir son agrég face aux horreurs du Hamas pour le défendre !
Un juif qui protège les nazis maintenant ! C’est n’importe quoi ce Bloom.
Il devrait avoir honte. Mais il se fout tellement des Palestiniens au fond qu’il n’éprouvera jamais de honte à défendre l’indéfendable.
« la leur qu’ils ont toujours de proportions inquiétantes »
Inquiétantes pour qui, renato, pour eux ? Par pour moi en tout cas : « qui aime bien prendre en main une bonne queue appartenant de préférence à quelqu’un d’autre que moi » (extrait du « Journal d’un SDB »)
« M’enfin, faut être franchement débile pour aller brandir son agrég face aux horreurs du Hamas pour le défendre ! »
Là, DHH, nous sortons de la cour d’école et entrons de plain-pied dans la cour du Monde !
Une querelle de Juifs ?
ou une histoire juive !
Je m’associe entièrement aux prières de ceux qui souhaitent le salut de ton âme, Jacky : il te faut prendre épouse et poursuivre la lignée noble des Barozzi en remplissant de ce sperme aristocratique barozzien, des ventres générateurs de pouffinets !
Les trous du cul doivent rester de l’amusette, de la fantaisie intellectuelle, de l’honnête exploration « pauvre » de sens !
(j’ai une copine, haltérophile, qui pourrait te convenir : élément de transition insispensable dans ton cas…)
si ta copine haltérophile a une bonne pine, ça pourra peut-être aller, JC, qui sait ?
Parfait, message bien reçu, JC, je prends… avec une bonne dote !
dot
très tartes vous z’êtes
« je tente de sauver une âme perdue »
c’est l’hôpital qui se fout de la charité i
Comment dois-je le prendre de la part de ce pervers d’entre les pervers (tiens, y’a pas de différence entre le singulier et le pluriel) ?
Moi, à côté, je suis un VERITABLE enfant de choeur…
tartes à quoi, rose ?
tartes aux pommes
c’est vrai et je veux bien témoigner à côté de lui vous êtes, Jacques Barozzi, un véritable (maj) enfant de chœur : là, il tente une adresse au Père pour diminuer son séjour auprès du fleuve du Léthé, mais il diminue de dix minutes et encore s’il s’incline ; or pour un anticlinal s’incliner c’est faire fi de sa nature profonde.
Le reste est censuré, ça chauffe assez, et je flemmarde, pas envie de bagarre ce soir.
Censure ? On se tire !
« M’enfin, faut être franchement débile pour aller brandir son agrég face aux horreurs du Hamas pour le défendre ! »
C’est sûr.
Au moins, un capésien ça sait frapper de taille et d’estoc.
surtout de toc !
Vous avez mis JC en fuite, rose ! Le lâche !
Régniez a dû partir à Rome ! Complote-t-il pour un pape français ou paragayo-sud-américain ?
Ouais le lâche… Jacques B.
J’ai eu raison d’effacer les qq. propos acerbes : ce matin à l’aube, réveillée, je ns voyais tous ds des paradis différents, un pour les juifs un pour les musulmans et un pour les chrétiens.
Lui, cet impie de mes 2, étant donné le nbre insensé de conneries dont il fait preuve, accaparait dieu et était le grand chouchou devant l’Éternel, très intéressé par ce cas hors normes. Du coup j’étais ladiscrète et lui se taillait la part du lion, celle du bien-aimé, du fils prodige (conférences, tête à tête avec Dieu -finis les têtes à queue avec miserdumond’- instruction employée à bel effet, travaux de jardinage et sport imposés pour mens sana in corpore sano, tout ça etpicépatoutdutout, pétales de rose, bains au lait d’ânesse, femme équilibrée, fidélité assurée, cheval proscrit du quotidien nourricier sauf pour chevauchées insensées sur les nuages, enfin Babylone avant sa destruction). Inouï mais réalisé.
Comme ça l’avenir : plus on en bave ici plus c’est doux là-haut (en ce qui me concerne j’ai fini d’en baver et je suis plutôt contente mais si ma proximité là-haut devient moins étroite avec le Très-Haut, c pck je lui ai laissé ma place, à chacun son tour).
Inutile de vous dire Jacques B. que je l’aime bcp. pck’il est un enfant terrible, comme Cocteau, mais qu’il a continué à aimer les femmes (je sais pas comment il fait, avec les couches qu’il se farcit).
+ tard, j’espère que vs me pardonnerez.
Ce matin, je constate qu’un jeune thésard en philo a conçu un chapitre intitulé dans sa thèse qu’il met sur la toile sur une site par ailleurs bien nourri de textes , l’esprit de surplom qu’il définit :
« 412a. L’esprit de surplomb.
L’esprit de surplomb est l’autre nom de l’esprit de sérieux et de certitude. L’Esprit de surplomb est le privilège de la philosophie du jugement qui referme la pensée sur des essences,
Romain Rolland considérait une chose simple que nous résumerons schématiquement comme suit : on veut toujours démontrer ce dont on doute.
Qui (quoi?) que vous soyez, n’hésitez pas, la permission vous est amplement accordée.
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