A propos, pourquoi le rouge et pourquoi le noir ?
On dira que la réponse va de soi : le rouge républicain et le noir ecclésiastique. Ce qui saute aux yeux à tout lecteur de Le Rouge et le noir. J’y repensais en sautant et gambadant dans le savoureux Dictionnaire amoureux de Stendhal (816 pages, 25 euros, Plon). Dominique Fernandez y est parfaitement à son affaire en raison de sa connaissance intime tant de l’écrivain et de son œuvre que de l’Italie. Curieusement on n’y trouve pas d’avant-propos condensant son propre stendhalisme – ni même, allons-y gaiement, sa stendhalité comme diraient les cuistres. C’est que tout le recueil en est la quintessence. Comme si d’avoir si longtemps vécu en stendhalie lui avait donné les clés de son ars poetica.
D’ailleurs, il désarme toute critique de ce côté-là dès la première entrée « Absolu » : partant du principe que tout écrivain a donné un raccourci de son génie dans un texte bref, il cite par exemple La Femme abandonnée pour Balzac, Douce pour Dostoïevski, Billy Budd pour Melville, Tonio Krüger pour Mann, et pour Stendhal l’une de ses Chroniques italiennes intitulée « S. Francesco a Ripa », du nom d’une église romaine qui abrite une admirable statue de Bernini, héroïne de ce texte. Choix contestable, ce qui est bien le moins dans ce type de dictionnaire qui se veut aussi subjectif qu’arbitraire. Mais tout sauf doctrinaire, ce qui est le plus important. Comme toujours lorsqu’on avance en terrain connu, on espère la surprise, l’inattendu à défaut de l’inédit. Ils sont au rendez-vous.
Le développement sur le « Plagiaire » est instructif ; on y (re)découvre que, notamment dans ses écrits sur la musique et la peinture, Stendhal se livrait allègrement à la contrefaçon, comme diraient les tribunaux en pareil cas ; sauf qu’il réécrivait en traduisant, tout de même ; et dans ses romans, il n’hésitait pas à recopier et à s’approprier des articles entiers de gazettes ; bref révèlerait-on qu’il a plagié le grand Goethe qu’aussitôt se lèveraient comme un seul hommes les stendhalistes (ah, ceux-là…) pour assurer que Goethe lui-même, n’est-ce pas… Bref, on n’invente jamais rien alors pourquoi se gêner quand un autre avant vous a déjà si bien exprimé votre pensée. Fernandez nous offre également un bel aperçu sur la récurrence du « Peut-être » sous la plume du grand écrivain. Il réussit même, mais qui s’en étonnera, à remplir six pages à l’entrée « Homosexualité », ce qui est une prouesse s’agissant d’un auteur dont il dit lui-même, avec l’ombre d’un regret dans la voix, qu’il était « si manifestement hétérosexuel » ; était-donc si indispensable d’aller chercher dans une lettre une parenthèse au sein de laquelle Stendhal évoque un tableau de Ganymède « à jamais sacré pour moi » ?
Il est plus convaincant dans l’exposé des petits mystères stendhaliens qu’il se propose de résoudre, à la suite des experts Henri Martineau, Pierre-Georges Castex et Victor Del Litto : l’abandon de l’écriture de Lucien Leuwen alors que le manuscrit était pratiquement au point. Ou l’inachèvement de Lamiel. Ou encore à propos de la Bible l’allusion à un « c… d. M…. » dont on apprendra un jour qu’il n’a rien de scabreux car c’est ainsi qu’il abrégeait les Contes des mille et une nuits. Mais alors, pourquoi le rouge et pourquoi le noir ?
On y vient. Dominique Fernandez rappelle que Stendhal raffolait des couleurs et des jeux de mots qu’elles favorisaient. Des vêtements rouges sur fond noir lui ont souvent été inspirés par des tableaux, notamment ceux de Raphaël et du Corrège. Lucien Leuwen a failli s’appeler « Le Rouge et le Blanc ». Et quand il conçu le projet de développer sa nouvelle Mina de Vanghel pour en faire un roman, le titre devait en être « Le Rose et le Vert ». C’est dire ! Mais Le Rouge et le Noir ? La glose en est pleine. On a tout lu. Pour le noir : les milieux ecclésiastiques, le sombre des congrégations. Pour le rouge : le républicanisme, la toge des magistrats, les rideaux cramoisis avec effet de taches de sang, la couleur de la guerre avec en douce un hommage à Napoléon. Sans oublier cette dichotomie quand, dans la rêverie de Julien, le noir de la soutane se transforme en pourpre cardinalice. Et sans compter que le rouge et le noir sont les deux couleurs de la roulette.
D’ailleurs, dans Le Goût du rouge (141 pages, 6,80 euros, Le Petit Mercure), Pascale Lismonde extraie fort à propos du roman de Stendhal la scène de l’église de Verrières où le soleil fait rougeoyer les rideaux cramoisis, lesquels, se reflétant dans le bénitier, donnent à croire que le sang y coule. Alors pourquoi Dominique Fernandez, tout à sa passion de Stendhal dont il devine qu’il se serait bien amusé de toutes les savantes exégèses suscitées par son oeuvre, ne s’autoriserait-il pas sa propre interprétation ? La voici :
« Julien est un héros « chevaleresque », et les chevaliers, lorsqu’ils se battaient en duel ou dans les tournois arboraient les couleurs de leur dame. Je vois dans rouge et noir les couleurs des deux maîtresses de Julien. Noir, c’est Mme de Rênal, femme mariée, sérieuse, engluée dans une province médiocre, vêtue de mantilles et de châles. Rouge, Mathilde de La Mole, jeune fille romanesque, étoile de la société parisienne, éclatante d’esprit et de grâce ; hantée, de surcroît, par le souvenir de la tête décapitée de Boniface de La Mole, son ancêtre ; au point de dérober la tête coupée de son amant, de l’emporter sur ses genoux, dans sa voiture drapée, et de l’ensevelir de ses propres mains ».
Voilà ce que l’on trouve à l’entrée « Couleurs » qui renvoie, il est bon de le préciser, à l’entrée « Mystifications ». L’hypothèse exposée par Fernandez est séduisante. Et puis quoi, nous a-t-on assez répété que tout lecteur était le co-auteur du roman qu’il aimait puisqu’il le réinterprétait par la seule vertu de sa lecture méditative ? Je dois avouer que, l’esprit d’escalier aidant, ce dictionnaire m’a amené à me replonger dans le dernier numéro de la Nrf D’après-Proust (sous la direction de Philippe Forest et Stéphane Audeguy, 320 pages, 19 euros, Gallimard) ; une contribution notamment m’a retenu : celle, particulièrement brillante, par laquelle Laure Murat exécute cruellement l’aristocratie française en l’enfonçant dans ce qu’elle peut avoir de plus grossier, trivial, vulgaire, égoïste afin de montrer que toute la Recherche est le tombeau de cette classe qui y est comiquement éreintée ; dans ce but, elle rappelle comment, dans une brève scène située à la fin du Côté de Guermantes, alors qu’ils s’apprêtent à monter en voiture pour se rendre à un dîner, le duc reproche à sa femme de porter des souliers et une robe dépareillés, ce qui serait d’une effet désastreux ; et, malgré l’avis contraire de Swann, il l’oblige à remonter dans ses appartements afin d’accorder ses couleurs. Une toilette rouge et des souliers noirs, vous n’y pensez pas. Cette scène, qui en dit tant, dit tout. Le rouge et le noir. Décidément, on n’en sort pas. Qu’il s’agisse du roman de Stendhal ou de celui de Proust, ils témoignent de ce que, comme disait Italo Calvino, un chef d’oeuvre, c’est un livre qui n’a jamais fini de dire ce qu’il a à dire.
(« Gérard Philippe dans Le Rouge et le Noir de Claude Autant-Lara », « Jeremy Irons et Fanny Ardant dans Un amour de Swann de Volker Schlöndorff)
820 Réponses pour A propos, pourquoi le rouge et pourquoi le noir ?
le sexe sévit. L’amour c ‘est une autre histoire.
Il suffit d’avoir un rendez-vous tôt le matin et le sommeil ne se présente pas au rendez-vous. Alors, puisqu’il y a du monde :
Bonux,
quoi ? un gars montre un certain intérêt pour la culture française, et voilà qu’il en trouve un qui n’est pas content… tandis qu’un autre m’accuse de ne pas mettre assez de Français sur mon blog.
Faites une chose utile, retrouvez-vous autour d’un arbre et couchez vos doléances sur le papier, je prendrai bonne note et ferai tout mon possible pour vous déplaire…
Ah ! et estimez-vous encore heureux que je n’ai pas eu l’occasion de me lancer sur Focillon ou sur Chastel, promis que là je vous aurait vraiment emmerdé…
L’amour est enfant de bohème et puis c’est marre.
« Point barre comme ils disent sur face de bouc… »
Il y a déjà vous qui croyez penser et cela nous remplit d’espoir pour un meilleur futur —pourvu qu’il ne soit ni mussolinien ni stalinien… on se contentera de ce que votre intelligence pourra pondre…
La chute reste mystérieuse : « … ou écrit renato quand il jeunise. »
Est- ce que vous vouliez écrire « où » ? Si c’est le cas, sachez que j’ai fermé mes comptes Twitter et Facebook, ma participation à ces expériences aura vécu une quarantaine de jours.
Sachez aussi que mon prénom et mon nom sont assez communs, il n’est donc pas impossible qu’un homonyme plus jeune « jeunise » par-ci, par-là… Vous faite donc fausse route, mais cela doit être une habitude chez vous… ça doit être la force de votre pensée… la force, que dis-je ? la puissance… de votre pensée…
D’un autre côté, on ne vient pas ici pour faire dans le créatif, autrement comment expliquer votre présence qui n’amène même pas des informations. Cela dit, même pour faire du copié/collé il faut savoir quoi chercher et où, c’est d’ailleurs par votre manque d’attention relativement à ce détail que je suspecte que vous ne lisez même pas l’Équipe car un bon lecteur du dit journal sportif sait précisément où chercher un fait, un détail, dans le journal qu’il lit, il ne lui viendrait pas à l’esprit de sortir un argument aussi bête que le vôtre… Mais bon, vous avez une problème avec la pensée, vous savez qu’elle existe, on vous l’a dit, mais vous ne savez pas comme elle se présente, les forme qu’elle peut prendre, nonobstant vous vous obstinez à la définir par le biais de celle que vous croyez être son absence, ce qui serait intelligent si vous pouviez la définir dans sa présence, ce n’est toutefois pas le cas et cela gâche le magnifique tableau où vous vous voyez en moralisateur toujours prêt à partir en guerre contre ceux qui selon votre opinion ne pensent pas… Il y a cependant un mais, il y a toujours un mais quand un coquelet prétend chanter du haut du tas de fumier… et le mais c’est un hic, et puisque nous en sommes au fait d’être toujours prêt à partir en guerre, il faudrait savoir qu’on parle pas de comment les autres manient l’épée si nous-même ne savons pas nous en servir à merveille, et là, bien à part un flatulence, vous n’avez pas démontré être quelqu’un qui pratique la pensée au point de pouvoir juger les autres. Bon, vous vous êtes persuadé du contraire : à chacun ses illusions.
Je vous souhaite, cher moralisateur à 2 cets, une belle journée et toutes ces choses qu’on dit habituellement.
La mauvaise langue dit: 14 mars 2013 à 0 h 07 min
Moi, je dis toujours : Quand être avec soi est pesant{;;;]
D’accord entièrement : mais je parlais boulot un taf partagé c’est mieux qu’un taf solitaire ; pour le reste 100% j’adhère c’est bien plus chiant de vivre à deux que tout seul. L’autre c’est une porte de prison ; il te donne qu’une envie c’est fuit les jambes à ton cou.
Moi aussi je m’aime bien et ce ne m’est pas pesant de vivre avec moi-même et puis vivre avec n’importe qui histoire de vivre avec quelqu’un jamais.
Quelle misère, on en voit le résultat ici…las pour nous.
le fumier faut pas cracher dessus on va en faire du carburant pour se chauffer. Fini le mépris.
Le couple ce devrait être « oh comme je voudrai vivre ça ! » et puis c’est très vite « putain je ne vis pas ça quelle chance ! » puis tu te tires quand même une foutraque de nostalgie et puis plus tard tu lis le type qui veut bécoter l’épine dorsale d’une odalisque et du coup toi tu changes ta vie.
N’importe quel pékin arrogant te picoter l’arête dorsale et puis quoi encore et à la chaîne les cinquante derrière ?
Alors baste, tu te contentes de les regarder vivre et de tristement perdre, comme les peaux de l’oignon quand tu l’épluches, toutes tes illusions d’amour heureux.
Je ne crache pas sur le fumier. Je crache sur le coquelet qui employé les tas du fumier comme piédestal… c’est souvent le point plus haut de la cour…
Vivre à deux c’est ennuyeux car on est obligé de se voir même si on n’en a pas envie. La solution c’est deux appartements non communiquant sur le même palier… c’est la meilleur façon d’éviter la création d’une monoculture aliénante…
C’est très tendance ici aussi.
Néanmoins cela ne réduit pas le coût de la vie même si cela réduit l’ennui.
Il suffirait de laisser l’autre vivre sa vie, mais je vois comment ça pègue : me souviennent les coups de fil harassant » mais où tu es, mais qu’est ce que tu fais, mais quand est ce que tu rentres ? ».
Cela me donne les coliques.
Souvenirs heureux le lit ; hors cet espace de modus vivendi pas de souvenir heureux.
J’essaie d’être lucide, c’est terriblement cruel comme état, la lucidité.
« Mais où tu es », etc., je connais pas : ça doit être emmerdant. Je pensai plutôt aux rythmes de vie, aux habitudes alimentaires, aux préférences musicales de chacun, etc. Quand on est jeunes ça va, mais en prenant de l’âge ça devient difficile.
Naturellement si on pense au double de ce dont on avait l’habitude, le coût de la vie on le double, mais on peut réduire la surface, ce qui réduit les coûts de l’énergie, etc., etc. Enfin, il s’agit de réinventer la vie, ce qui est plutôt salutaire à un certain âge (disons vers les 50 ans).
Habemus Paname. Et ça, c’est unique.
O.K. Bloom pour l’objet tunique , mais un peu plus de précision dans le lexique chasubles et beau linge , s’il vous plait , ce n’est pas un travail herculéen, quand même !alors que lire les « commentaires » , si
Si vou
s êtes toujours partnat pour l’Amérique latine, n’oubliez pas Bloom, qu’il faut une bulle entirèe rien que pour ARG
http://www.cartoonistsleague.org/wp-content/uploads/2010/09/arg_pirate_color.jpg
si vous êtes toujours partant .. il faut une bulle entière dans votre tabatière !
là, c’est du français de fête
«pape François» et non François Ier,
faut-il en conclure que pape est l’homonyme de premier ?
Alorreu, il est françois ou argentin, ce j’ai zuïte?
Si l’est tunique, il l’est vareuse, non?
Je sors…
Habemus papam !
Nous avons réussi notre opération et cette élection nous comble. D’ailleurs, La Melenche Hurlante ne s’y est pas trompé, qui juge notre jésuite conservateur en ces termes :
« L’élection de Jorge Mario Berloglio comme nouveau pape n’est pas une bonne nouvelle pour les progressistes du monde chrétien ni pour la révolution citoyenne en Amérique du sud. Silencieux sous la dictature militaire puis à l’heure des jugements des militaires criminels, opposant connu aux gouvernements argentins de Nestor puis de Christina Kirschner, tendre pour l’Opus Dei, hostile aux prêtres progressistes, le nouveau chef de l’Église catholique devra prouver qu’il n’a pas été élu pour déstabiliser les régimes progressistes de l’Amérique latine ni pour poursuivre les persécutions contre la théologie de la libération. »
Que la fête commence ! Vas-y François ! Attaque !
lu dans la presse sur le quotidien du saint « papa »
» Un ascète encore, qui se lève à 4h30 du matin pour commencer ces journées par une attentive lecture de la presse.
Passou, vous auriez pu notuler sur « les caves du vatican ». Les chaussse-trappes de Gide pour mange-soutanes sont plus enlevés que ceux de Stendhal.
En raison de sa nature nécessairement subjective, fragmentaire et révisable, un dictionnaire amoureux devrait s’appeler « fragments d’un dictionnaire amoureux »
Je lis plus haut des considération sur la vie à deux. Mais vit-on jamais à 2, alors que comme dit papa Freud, chaque acte sexuel en couple met en jeu au moins 4 personnes…On ne vit jamais à deux, sauf seul, on vit à 4 ou à 6, sinon à 8 (ce qu’on est, ce qu’on imagine être, ce que l’autre vous imagine être et ce ce que l’autre imagine que vous vous imaginez être X 2). Que de monde sous un si petit toit! toi, twa(t)
On ne vit jamais à deux, sauf seeul
même seul, si on vit, on est euacoup plus de deux: on a été jusqu’à dire qu’une personne pouvait être comme toute une secte à elle seule !
mais je n’ai pas mon boulier ici
Un Franciscain de coeur et un épris de raison ? Le Vatican nous gâte. Manquerait plus qu’il organise des assises de la réforme pour y voir Claire.
beaucoup , at alors beaucoup beaucoup, c’est vraiment beaucoup plus
Au-delà du non-événement, les vraies questions, posées par les p’tit gars de Lyon, dans Golias:
« Acharnée dans sa défense d’une « anthropologie biblique » idéologisée, tenace quand il s’agit d’exprimer des positions surannées au sujet des questions de mœurs et d’orientation sexuelle, l’Institution ne cesse de refouler ce qui est pourtant l’une de ses réalités intrinsèques : l’Église compte de nombreux homosexuels dans ses rangs, laïcs ou ecclésiastiques. Ce qui devrait être logiquement vécu comme une richesse, une chance, une diversité et une ouverture au monde s’avère être pour l’épiscopat un tabou qu’il s’agit de cacher méticuleusement. »
un pape ultra réac qu’on dit proche des pauvres c’est moderne (un président qui distribue la manne du pétrole aux pauvres c’est un dictateur)
Voilà que Bloom, papy la morale faux catho de gôche mais vrai cureton laïcart va nous la jouer toute la journée avec son anti-papisme?
on ne va pas aller danser ça sur le pontd’Avignon quand même
C’ est sûr, comme non-évènement, l’ élection d’ un pape face à la visite du bedeau à Dijon, c’est de la gnognotte!
« Ce qui devrait être logiquement vécu comme une richesse, une chance, une diversité et une ouverture au monde »
En quoi, au nom de quels éléments « logiques », l’homosexualité serait une richesse, une chance, une ouverture au monde !? Axiomatique appelant une franche rigolade.
Phil, dans ce nouvel épisode des caves du Vatican, où il semble qu’il y ait de l’ordre à remettre en matière de sexe et d’argent, c’est la cohabitation, inédite, de deux papes, ex-rivaux, qui est le plus intéressant : mais le remède (la démission d’un pape) loin de restaurer le dogme, ne risque-t-il pas plutôt de l’achever durablement ?
Après François, le président normal, François, le pape simple !
A force d’élire des papes âgés et l’exemple de Benoît XVI aidant, on risque, dans un avenir relativement proche, de tomber dans un coin de la Sixtine sur un quatuor de vieux papes réformés en train de faire un rami. Dans le futur « dictionnaire amoureux de la papauté « , je vois bien un article » Carton (taper le) ».
Hé, cureton Bloom, t’as entendu la déclaration de ton premier ministre de tutelle ce matin à propos du nouveau Pape?
Les Goliaseux, vrais poseurs de « vraies questions » ? Mon culte sur le confessionnal !
Mais Bloom s’ agenouillera, comme tout bon cureton, aux pieds de son évêque, ancien de la JEC et Premier Ministre du Culte de gôche.
Habemus sinistram!
Pas moi qui lidi, suis pas catho (les dieux du Pan Théon m’en préserve). Arrange-toi avec tes cons-génères, jicé. C’tau VatiKan de régler ses affaires de famille, à 2 pas du plus grand sauna gay du monde, dit Le Monde. La petite fumée qui monte qui monte…Ah!
Mais Bloom s’ agenouillera, comme tout bon cureton, aux pieds de son évêque,
Il les lui lavera, les pieds, pour la prime!
Ces curetons là ne font rien sans stipendium.
Comment çà Pausilippe ? Minute papillon ! Vous croyez qu’on lit sur vos lèvres ?
pa pa
pa pa
pa pa pa pa pa
pa pa pa pa pa
pa pa pa pa pa pa pa
pa pa pa pa pa pa pa
etc.
« Dictionnaire amoureux de la papauté »
Je connais un éditeur, dont on aimerait savoir ce qu’il pense de ce nouveau pape, qui pourrait être intéressé par votre projet de livre, JB.
Baroz, il n’y aura pas plus de gaytitude papale que d’empressement à défroquer Julien Sorel.
la Teigne s’imagine que le monde entier lui ressemble, confit de soumission, de génuflexions, de servilité et d’assujettisement à des illusions que même les petits enfants n’arrivent pas à prendre au sérieux.
Et les accents de prédicateur de foire du meatus prulentus, le comble du grotesque…
Bloom, un choix de posters..
http://images.mortderire.com/images/un-nouveau-pape-au-vatican.jpg
Si j’étais baroz, c’est-à-dire intelligent, cultivé et beau quoique chauve, j’écrirais un Goût du pape.
Avec Marine Le Pen, pour le temporel, et un pape sud-américain, pour le spirituel, Philippe Régniez s’apprêterait-il à connaitre un retour en grâce ?
Mes frères et soeurs, prions pour lui, car la réussite est plus semée d’embûches que l’échec !
Pour nous, pauvres pécheurs, c’est l’hiver éternel : reverrons-nous les lilas, les tulipes et les roses ?
A ce propos, rose, comment peut-on passer soudainement de un à quatre ?
Avec un pape d’ultra droite , qui a copiné avec la dictature des généraux argentins, on est sauvé , dieu bénisse
Je n’ai pas bien compris le 10 h 36 de John Brown.
« quoique chauve »
Pas du tout, abbé mousse, j’ai tous mes cheveux et mes dents, en revanche pour ce qui est de « beau, cultivé et intelligent », c’est plus discutable !
Ne pas confondre le goût des papes et le goût des pipes, abbé mousse !
je me disais : pourvu que ce soit pas un pape français, ce serait mauvais pour l’image anticléricale qui fait notre fierté, et voilà que cet Argentin choisit de s’appeler François ! c’est de la provoc.
j’ai tous mes cheveux
Menteur ! T’as dit que t’avais le crâne rasé.
rose, comment peut-on passer soudainement de un à quatre ?
Le Faust I de Goethe nous met sur la voie :
Lieschen
Es stinkt! Sie füttert drei, wenn sie nun ißt und trinkt.
Gretchen
Ach!
Lieschen
(…)
War ein Gekos und ein Geschleck;
Da ist denn auch das Blümchen weg!
François 1er est un nom qui a laissé de mauvais souvenirs aux Suisses. Il aurait dû y penser, le gaucho.
Ce qui est assez drôlement sinistre de lire sur ce blog, c’ est la caricature volontaire de l’ ensemble des catholiques en l’ image de l’ intégriste de service P.R.
Sans être soi-même croyant on ne peut que s’insurger du fait de résumer le corps ecclésial de l’ Église à des pédophiles ou à des gays.
Cette propension à la caricature que l’ on voit venir de la gauche et pas seulement de l’ extrême, n’ est que le signe d’ une rouge-brunisation d’une bonne partie de ses composants.
« Cette propension à la caricature »
mais oui jc c’est mal élevé (d’ailleurs jamais l’insituteur i pourra remplacer le curé hein) et ça fait de la peine aux fafs
alors que des saints hommes ont collaboré avec des dictateurs assassins pour sauver les âmes! les femens vont aller s’occuper des hommes du vatican heureux mortels
Que voulons nous ?
Sur le Passoulin Blog, règne la licence des incrédules de gauche, voyous qui mentent sur les chrétiens, ne reconnaissent d’autre reine que leur stupide Raison, déesse folle, erratique, courant en tous sens.
Ce que nous voulons, c’est convertir ces incrédules, les enroler, et partir en croisade contre les adultères, pardon les infidèles.
Vas-y François ! on est avec toi !
le nouveau pape n’est pas un rouge ( dieu ne l’a pas voulu
« d’ailleurs jamais l’insituteur i pourra remplacer le curé hein) »
Ah Claude, l’ incitateur au lieu d’ instituteur, la langue fourche l’ inconscient!
Ce que vous pensez profondément, c’ est le curé en vous, le prêchi-prêcha régressif.
On a élu des chefs d’Etat qui ont couvert dans leur passé des actes de torture, chez nous, même!
Aucune déification de qui que ce soit pour notre part, ni de curé béatifié ni de curé de la République!
« L’institution d’al-Azhar, la plus haute autorité de l’islam sunnite, a espéré aujourd’hui entretenir de meilleures relations avec le Vatican sous le nouveau pape, François, que sous Benoît XVI. »
Non mais ! protégez nos chrétiens d’orient comme nous protégeons vos soumis et après, on cause.
Se faire couper les cheveux très courts ne veut pas dire que l’on soit chauve !
Je ne sais pas mentir, abbé mousse.
renato, avec votre épouse et vos deux appartements contigus sur le même pallier, comment vous rencontrez-vous : à heures et dates fixes, sur rendez-vous ou par hasard ?
François Machin : comparer l’homosexualité à la lèpre est un grand signe de fraternité !
comparer la fraternité à la lèvre est un grand signe d’homosexualité !
(1990) De la loi de Godwin, du nom de Mike Godwin, et de point. Cette loi énonce que « plus une discussion en ligne dure longtemps, plus la probabilité d’y trouver une comparaison impliquant les nazis ou Adolf Hitler s’approche de 1 ».
(2013) De la loi de Barozzi, du nom de Jacques Barozzi, et de point. Cette loi énonce que « plus une discussion en ligne dure longtemps, plus la probabilité d’y aborder la question de l’homosexualité s’approche de 1 ».
@Bloom
a-t-cité :Le Lys rouge d’Anatole France ?
On notera que le point Godwin et le point Barozzi sont généralement concomitants, un peu comme les deux appartements contigus de monsieur et madame renati.
« Le Lys rouge d’Anatole France ? »
Et L’Anneau d’améthyste, plus d’actualité ?
Après l’homosexualité et la Loi de Barozzi, on pourra parler d’autres maladies qui tuent : par exemple, la faim dans le monde ?
(j’ai bon, Pape François ? j’ai bon, là ?…vous allez trouver une gâche à Roma, pour mon patron ? j’adore la ville…)
La formule « Monsieur et Madame Untel » est une vieillerie fasciste.
Dans une majorité de langue indo-européennes, le François des Français s’appelle Francis. Ailleurs, c’est フランシス, ou 프랜시스, ou Φραγκίσκος, ou Фрэнсис, etc.
L’est-y Babel la planète?
Il ne faut pas seulement démocratiser l’église, il faudrait aussi élire le patron suprême.
Soutenons la juste lutte de notre camarade venezuélien, la lutte continue là haut aussi!
L’ex-président vénézuélien Hugo Chavez, décédé la semaine dernière, a peut-être influencé la décision du Christ de choisir pour la première fois un pape latino-américain, a affirmé le chef de l’Etat par intérim Nicolas Maduro.
« Nous savons que notre commandant est monté aux cieux et qu’il fait face au Christ », a dit son héritier .
« Quelque chose a influencé le choix d’un pape sud-américain, quelqu’un qui vient d’arriver auprès du Christ et qui lui a dit: ‘Il nous semble que le temps de l’Amérique du Sud est venu' », a déclaré Nicolas Maduro.
(Pas de problème pour m’imaginer JC sous les traits de Méluche)
« Chavez pourrait aussi convoquer à tout instant une assemblée constitutionnelle au paradis pour changer l’Eglise sur terre de sorte à ce que le peuple, le vrai peuple du Christ, dirige le monde », a conclu le président intérimaire vénézuélien.
C’est cohérent, c’est cohérent.
Plus on a un grain, plus on devient cohérent.
Il n’y a pas plus de raison de se moquer de la théologie politique de Maduro que de l’Histoire Sainte de notre ami Mauvais langue.
Y a des bons grains.
Insérés dans les bonnes huitres ça donne des bonnes perles, tout le monde le sait.
Le jour où renato se rendra compte que le monde humain est foncièrement « fasciste », nous fournirons le bidon d’essence …
Vous parlez de religion comme de petits enfants. C’est très divertissant. Merci.
« La formule « Monsieur et Madame Untel » est une vieillerie fasciste. »
Après le point Barozzi, voilà aussitôt l’apparition du point Godwin, mais là où l’on attendait ML c’est renato qui s’y colle !
Scoop : le second prénom du chauffeur de bus vénézuelien allumé à l’Evangile a été oublié !
Nicolas Franco Maduro
renato et ML seraient-ils les Bouvard et Pécuchet de la RDL ?
L’est-y Babel la planète?
elle a tout du babybel , mais qui a volé lunettes rouges de Eva, en les prenant pour celles de l’amateur d’art ?
Sur la rdl nous connaissons aussi le Point Pipilet.
Ce Point correspond à l’apparition du premier commérage barozien lors d’un nouveau billet, il est atteint généralement (sauf maladie ou vacances ténérifiennes) dans les premières minutes de la mise en ligne de ce billet.
Le Point Pipilet a une triple particularité, il se multiplie de façon anarchique tout au long de la vie du billet, il s’exporte sur des blogs adjacents (ex : Chez Popaul) et Kirsch dans la fondue en cas d’absence il est atteint inexorablement par un compagnon de cimetière ou un lecteur de chroniques nécrologiques.
Longue vie au Point Pipilet.
AB Mus, ok pour Anatole le François
et pour
une de mes premières lectures en anglais
THE RED BADGE OF COURAGE, de Stephen Crane, le grand auteur réaliste fin de siècle.
renato, je passe, avec un peu de temps libre.
Incompétente pour l’esthétique selon Stendhal, très simplement indifférente à l’élection d’un pape, j’en aurais bien remis une couche personnelle sur la férocité comique de Proust envers les nobles, mais on dirait que cela n’intéresse pas grand monde.
Mon père n’est pas à Paris, mais j’ai trouvé à sa place le beau poème de Robert Frost. Merci.
En échange ? Il y a quantité de mouettes sur la Seine (Jacques Barozzi doit le voir comme moi). Quelques vers, donc, de « Gulls », de William Carlos Williams :
« … you have seen
the strange birds, have you not, that sometimes
rest upon our river in winter ?
Let them cause you to think well then of the storms
that drive many to shelter. These things
do not happen without reason. »
Cet été, Josette et moi avons décidé de revoir la Sixtine. C’est bien la sixième fois que nous la visitons mais, vu l’état d’avancement de mon Dictionnaire amoureux de la papauté (à paraître l’an prochain chez Laffont), j’ai pensé que cette visite serait bénéfique mon inspiration, et puis, on peut, jusqu’au dernier moment, laisser passer quelque chose d’important.
A l’entrée, un vieux monsieur fort sympathique et plutôt distingué, en dépit de la casquette de base-ball portée un peu sur le côté qui lui donne un air passablement canaille, engage la conversation. Il s’offre à nous faire visiter l’édifice que, dit-il, il connaît bien.
N’était la casquette, je jurerais avoir déjà vu notre cicerone quelque part. Tout en nous donnant des informations fort intéressantes et souvent inattendues sur ce qu’il appelle « les dessous de la Sixtine », il lorgne, sans se départir de la discrétion du vieillard bien élevée, le décolleté, pudique mais suggestif, de Josette. Elle de son côté l’observe avec une curiosité un rien narquoise.
Tandis, que, le nez levé, nous admirons le plafond de Michel-Ange , « Vous voudrez bien m’excuser, nous dit-il, je suis attendu » — Je lui demande s’il accepterait un pourboire. Il ne dit rien mais sa mine intéressée est une réponse. Je m’aperçois que je n’ai sur moi qu’un billet de cent euros. Je le lui tends .
« — Je n ‘ai pas de monnaie, fait-il, mais soyez sûr que nous en ferons bon usage « . Tandis que j’hésite à décider si ce « nous » est de majesté ou collectif, il empoche le billet et s’éloigne à la hâte.
— Tu ne l’as pas reconnu ?, me demande Josette.
— ????????
— Ratzinger.
— ??!!??
— Eh bien oui, l’ex-Benoît XVI.
Pas possible, elle a dû confondre.
Nous continuons notre visite. Derrière un pilier, nous tombons sur quatre vieux autour d’une table engagés dans une partie de cartes. Cette fois, pas de doute possible, je le reconnais, c’est bien Ratzinger. Il brandit mon billet.
— A toi de dire, François, je mets cent euros.
Dans l’interlocuteur, je reconnais Bergoglio, l’ex- François Ier, lui aussi démissionnaire pour cause de limite d’âge et de rhumatismes. Mais ma stupéfaction atteint son comble quand je reconnais, dans les deux autres , l’ex-Jean Paul III et l’ex-Grégoire XVII ! Ce dernier, à ce que je crois comprendre, complètement lessivé, vient d’engager sa casquette.
Un rami à la Sixtine, passe encore, mais un poker , surtout un strip-poker, alors non.
Voilà ce que c’est que de se lancer dans des réformes hasardeuses. Au moins si le Vatican servait à ses papes réformés un salaire décent, il n’en seraient pas à chercher des petits boulots pour s’offrir leurs petits plaisirs.
Dans mon Dictionnaire amoureux de la papauté, j’ajouterai un article : « Carton (taper le) « .
Dans mon Dictionnaire amoureux de la papauté, j’ajouterai un article : « Carton (taper le) « .
attention à l’ordre et de ne pas faire un dictionnaire des papes amoureux
Si possible Monsieur Brown,
moins fort
john Brown, le prénom de Josette va bien avec vos moustaches, on sent les gens qui ne sont pas issus de ce que ma grand-mère appelait « les gens convenables ». Vous avez de l’humour mais, cela sent le bistro de quartier un peu vulgaire.
Mon boss, qui est en demande de job auprès du jésuite François (si ça pouvait arriver j’adore le Trastevere) me dit : « Méfie-toi de jambrun, petit ! c’est un mécréant de première … »
Il y a tellement de mécréants …!
Bougreau a disparu ?
Josette Day était une grande sauteuse.
» … le bidon d’essence … »
Je comprends le point de vue de votre patron, je me vois cependant dans l’obligation de le contester car le fascisme est un phénomène bien défini du point de vue historique que de celui du droit.
Si mon souvenir est bon, c’est vrai que votre patron ne donne que peu d’importance à l’étude du droit et aucune à celui de l’histoire, ce qui justifie le tas de conneries qu’il écrit ici. Conneries qui aliènent la valeur de la quelque opinion cohérente au réel qu’il arrive, par pur hasard, à sortir de la poubelle qui lui sert de boîte crânienne.
D’un autre côté, s’il croit sincèrement que « le monde humain est foncièrement ‘fasciste’ », c’est qu’il parle par expérience. Or, sauf intervention criminelle d’une tierce partie, chacun est responsable de son expérience, et si celle de votre patron l’amène à ainsi voir le monde, je ne peu qu’en conclure qu’il fréquente mal, ou qu’il souffre d’une maladie morale qui l’empêche de voir les différences, ou, plus banalement, qu’une éducation mal fichue le détourne du processus démocratique quand les réponses qu’il donne ne correspondent pas à ses désidératas.
Bon, je me suis assez tracassé pour un pauvre type. Cherchez un travail dans un environnement plus sais, serait, de votre part, faire preuve de bon sens.
Vous avez de l’humour mais, cela sent le bistro de quartier un peu vulgaire.
TKT
Vontraube lui sent le petit-bourgeois franchouillard arrosé de Jean-Paul Gaultier pour cacher la merde au chat.
Merci, Céline. Le hasard veut que je cherchais quelque chose à place en exergue du Journal que je viens de commencer et votre William Carlos Williams est tombé à point.
Je n’y peux rien, Jacques, si vous ne comprenez pas la monstruosité qui se cache derrière la formule « Monsieur et Madame Untel » qui aliène non seulement le Nom mais aussi le Prénom d’une personne — cette incompréhension de votre part me désole…
Échange vieux mecs en robe contre jeunes femmes en futal.
J’ai fait part de votre point de vue à mon boss, renato.
« La poubelle qui lui sert de boîte crânienne » a répondu d’un sourire : « Les éboueurs, pires ou meilleurs, voient des poubelles partout ! » Il a ajouté : « Il n’empêche … c’est tout de même dégueulasse, chez eux ! »
Va comprendre, rené ?! mon avis c’est qu’il ne vous aime guère… comme tout le monde !
renato, éminence, une aliénation ou un slip ?
Ils étaient indigènes, ils distribuaient une manne et avaient été tous les deux parachutistes.
Sauras-tu tracer un trait entre ces deux visages, l’un d’en-bas et l’un d’en haut?
Von traube se pisse dessus en permanence, lave compulsivement ses atours, se parfume au proustmadame Monoprix et continue à puer , hélas !
Être ou paraître : il a fait le mauvais choix…
Je tiens à présenter mes plus plates excuses à la communauté des croyants pour le post mis en ligne sous mon nom à 12h41. Ce post est un faux. Tout le monde sait, en effet, qu’il n’y a pas de piliers dans la chapelle Sixtine. L’auteur mal intentionné de ce post a dû confondre la Sixtine avec Saint-Pierre et les fresques de Michel-Ange avec le baldaquin du Bernin. Je soupçonne Josette. Depuis que je l’ai quittée, elle est tout le temps saoule et m’en veut d’être obligée, vue la modestie de ses moyens, à passer le plus clair de son temps libre chez sa mère à Bezons.
« mon avis c’est qu’il ne vous aime guère… comme tout le monde ! »
Disons que être aimé n’est pas ma priorité. Être aimé par votre patron serait vraiment blessant. Cela dit, avant de cracher sur les éboueurs il devrait remémorer ce qui se passe dans une ville lorsqu’ils se mettent en grève… Mais c’est vrai que pour votre patron l’usage de la simple mémoire est un mission impossible…
Il en pense quoi, Onfray?
Depuis que Clopine est partie…
Dans mon « Dictionnaire amoureux de l’appât potelé », j’ajouterai un article : « Carlton (se les taper au) «
Plutôt un slip, Phil.
Vous faites bien l’erreur, renato. Vous confondez la personne avec la formule.
Pas du tout, Phil, si on se tient à la question posée ; c’est d’ailleurs en ce sens que le peuple romain l’interprète, et il faut leur reconnaître une certaine connaissance du sujet.
que sait-on des dessous de la toge, renato ?
Eminence? Et sur la tête?
« Petit Papeau ».
Il y a tellement de mécréants …!
mais il n’ya en a qu’un qui soit un traducteur connu:
« Jun Takami
> Marc Mécréant (Traducteur)
> Yasunari Kawabata (Préfacier, etc.)
je me permets d’envoyer bêtment la page sur le livre signalé ci-dessus traduit par mécréant
http://www.babelio.com/livres/Takami-Haut-le-coeur/35515
Sur la photo, trois personnages de la RdL sont en grande conversation.
Sauras-tu les identifier?
Au fond à droite, deux savant discutent de la nature d’un objet.
L’as-tu reconnu?
« le bistro de quartier un peu vulgaire. »tkt
Vulgaire se dit d’une personne, pas d’ un lieu.
Confondre le « vulgaire » et le « populaire » n’ est pas donné à tout le monde!
La vulgarité n’ est en aucune façon l’ apanage du peuple. Des parvenus, souvent..
Vous êtes fort en advertising, Phil, ou est-ce que c’est la marque que vous achetez ?
renato, il me semble qu’éminence, dans sa version slip, a fait faillite. Enfoncé par les caleçons. Ne reste donc que la personne, peu suspecte de rachat.
@ le sens de la nuance dit:14 mars 2013 à 14 h 17 min: Ducornaud, il y a même des ambiances vulgaires. Quant à l’adjectif populaire, il peut se rapporter à ce qui plait d’une manière générale à tout le monde tous milieux socio-culturels confondus. Ce qui ne rend pas la chose vulgaire. Un objet, une tenue, des couleurs, peuvent aussi être vulgaires, pas seulement les individus. Vous avez manqué une occasion de vous taire. Mais votre désir de connenter est plus grand que votre QI.
Pour les choses ou les lieux on peut employer « vulgaire » (péjoratif) : il porte un vulgaire slip de grande marque ; elle fréquente un vulgaire salon de thé. Cela n’a rien à voir avec le populaire, naturellement, ni avec la lingua volgare qui fut à l’origine des langues romanes…
JC, je me suis bien amusé en commentant le post signé John Brown. Je savais que les trolls allaient réagir, c’est à dire vous et le gardien de piscine.
« Ne reste donc que la personne, peu suspecte de rachat. »
Donc le titre honorifique ‘‘éminence’’ est un slip.
Pour ce qui est de « peu suspecte de rachat », vous admettrez que la formule est ambiguë : quelqu’un aurait déjà acheté la personne ?
Renato, c’est perdre son temps que de vouloir enrichir le vocabulaire du d.bile de service.
J’ai vu D. un jour de vernissage, il était rien, ni vulgaire, ni distingué, le genre d’individus que l’on ne remarquerait pas, s’ils n’avaient le regard fuyant des timides maladifs.
renato, pour bien comprendre, il faut imaginer occuper une position qui donne droit à « éminence ».
Oui tkt, personne ici ne comprend bien les arcanes de vos relations avec ce D. La faillite des slips Eminence est beaucoup plus transparente.
TKT dit: 14 mars 2013 à 14 h 47 min
Mais quelle burne
Phil, est-ce que vous occupez cette position ? Si oui je veux bien vous croire, dans le cas contraire je comprends mal pourquoi vous m’invitez à imaginer, etc. Disons que je préfère me tenir à l’opinion de ceux qui les voient vivre… Vous avez lu quelque sonnet en dialecte romain de Gioachino Belli ?
dies-nous passou: pourquoi parlez-vous de Caprio dans vos touites ? ne vois pas bien de quelle littérature il s’agit.
Oui tkt, personne ici ne comprend bien les arcanes de vos relations avec ce D.
Phil
Mais traube n’a aucune relation avec D., traube n’a qu’un fantasme de D. qui lui permet de survivre.
Sans son rêve de D. il n’est rien, ok avec il n’est pas grand chose non plus mais il s’en contente.
TKT dit: 14 mars 2013 à 14 h 47 min
Renato,
Vite, vite baroz, accourez, le trio Pipilets se reconstitue
@Ils sont dans l’escalier
Je n’ai fait que porter une lumière sur une question de ‘vachabulaire’, c’est-à-dire à propos de l’usage péjoratif du mot « vulgaire » car, apparemment, pour les lettrés de la RdL le préjugé l’emporte sur la réalité des choses et des mots… et mourir qu’ils ouvrent un dico avant de déblatérer… d’ailleurs, il semble que le dico soit un objet poussiéreux inconnu ou OPI — à ne pas confondre avec « Opération Préalable à l’Inscription »…
Bougreau a disparu ?
Oui, mais Màc est réapparu !
Un peu d’humour, renato, vous ferait le plus grand bien !
A mon « monsieur et madame rinati », vous répondez facsiste, excusez du peu !
Ce n’est pas beau de se cacher derrière l’humour chaque fois qu’in dit une connerie, Jacques.
Je constate que vous n’avez pas lu mon post de 13 h 41 min. Le revoilà donc : « Je n’y peux rien, Jacques, si vous ne comprenez pas la monstruosité qui se cache derrière la formule « Monsieur et Madame Untel » qui aliène non seulement le Nom mais aussi le Prénom d’une personne — cette incompréhension de votre part me désole… »
baroz, êtes-vous bien sûr de vos déductions pseudomisées ? il y faut une expérience en éminences grises
Ce que vous n’avez pas compris, renato, c’est que j’écris ici une sorte de roman, ne pas confondre l’opinion de l’auteur d’avec celui du narrateur qui, lui, emploie la langue commune et claire propre à son style. Capito !
Jacques Barozzi dit: 14 mars 2013 à 15 h 22 min
Un peu d’humour, renato, vous ferait le plus grand bien !
Allons bon, le trio a de l’eau dans le gaz.
Acceptons, surtout que baroz pour une fois ne manque pas de jugement
Oui, d’accord, vous écrivez ici une sorte de roman… Une sorte de roman c’est de l’humour, je suppose…
« Allons bon, le trio a de l’eau dans le gaz. »
Celui qui manque de jugement c’est vous, mais vous êtes persuadé du contraire et cela devrait suffire pour qu’on applaudisse vos trouvailles…
Jacques Barozzi dit: 14 mars 2013 à 15 h 31 min
j’écris ici une sorte de roman
P.tain, la marrade
Je suis un grand spécialiste des éminences grises, Phil, depuis l’enfance et les émotions que me procurait la vision de mon père en caleçons gris et moulés… mais je ne voudrais pas actionner à nouveau le point B. !
Bouguereau était un Màc nouveau et remodelé, mais il semble que le vernis craque de toutes parts pour redonner naissance au Màc retrouvé en pleine régression !
renato,
je ne sais pas qui est bon juge ici, mais une chose est sûre, vous manquez d’humour.
– Une sorte de roman c’est de l’humour, je suppose…, dit renato.
Il ose, il est donc reconnu, lui répond :
– P.tain, la marrade
Un humour de roman, en somme !
Faute d’éditeur LML publie ici ses ratées.
Baroz, écrit ici une sorte de roman.
prudence, baroz. certains masques peuvent en cacher d’autres, ainsi ce fameux bal à Versailles raconté par Saint Simon.
Jacques Barozzi dit: 14 mars 2013 à 15 h 43 min
falsificateur
« je ne sais pas qui est bon juge ici… »
Vous avez raison de le souligner Brigitte, d’autant plus qu’en gros une confusion est faite ici entre humour et vulgarité.
Brigitte, vous ne seriez pas un peu parente avec Josette, dite madame John Brown ?
renato ne manque pas totalement d’humour, c’est ce que l’on appelle un pince sans rire. Mais son humour est tellement subtil, que lui seul peut le comprendre !
Nous autres, on ne peut pas, à part Phil, peut-être, et encore pas toujours.
Jacques Barozzi dit: 14 mars 2013 à 15 h 38 min
Je suis un grand spécialiste des éminences grises
Jacques Barozzi dit: 14 mars 2013 à 15 h 50 min
Brigitte, vous ne seriez pas un peu parente avec Josette, dite madame John Brown ?
Vous faites donc erreur sur tous les points Jacques Barozzi
baroz, l’humour de renato a une tendance psycho-rigidifiante, probablement due au multilinguisme. Même symptome observé chez tkt mais qui vire à la débandade. un autre charme.
Hier soir, après avoir sillonné Paris sous la neige une grande partie de la journée, j’ai découvert vos échanges avec ML et je me suis demandé à quoi servait la culture et, pour ce qui vous concerne, la bonne éducation. J’ai été proprement consterné par vos échanges peu distingués. Navrant ! Entre l’humour et la vulgarité, juste ue question de dosage ?
Ce dernier message était pour renato, bien sûr !
Donc Brigitte c’est encore D. !
Je ne me souviens pas d’avoir lâche des vulgarités lors de ces échanges. Naturellement je ne parle que pour ce qui me concerne.
Tkt, Jacques et renato, il me semble que depuis quelques heures vous avez commencé à taper le carton.
Vous voulez que je vienne pour faire le 4ème vieux con?
(Ce serait avec joie, mais j’exige un costume d’avant Vatican II.)
Sans problème en ce qui me concerne, ueda, vous êtes le bienvenu, mais vous prenez le risque de vous faire traiter de fasciste par renato !
ueda, in « Il visconte dimezzato » Italo Calvino écrit :
Da parte loro non s’imbarcarono in affermazioni di fede, anche per timore di dire cose teologicamente errate. Così finirono in vaghi discorsi caritatevoli, disapprovando ogni violenza e ogni eccesso. Tutti d’accordo, ma l’insieme fu un po’ freddo.
Jacques Barozzi dit: 14 mars 2013 à 16 h 03 min
Ce dernier message était pour renato, bien sûr !
Donc Brigitte c’est encore D. !
Comme il est dit plus haut à propos de TKT,
mais quelle burne
Pal mal, renato.
Je suis tombé sur ça:
Nulla piace agli uomini quanto avere dei nemici e vedere se sono proprio come ci s’immagina.
Je comprends que cela puisse vous déplaire Jacques, mais « Monsieur et Madame Untel » reste une formule fasciste. Naturellement personne ne vous empêche de l’écrire dans votre sorte de roman mais il faudrait bien étudier le personnage qui l’emploie…
ueda dit: 14 mars 2013 à 16 h 13 min
Vous voulez que je vienne pour faire le 4ème vieux con?
Mais non, ils ont Phil et dans le genre…….
Reçu un coup de fil de Mauvaise Langue, qui rentrait du bain.
« Dispo pour faire le quatrième », qu’il m’a dit.
C’est toujours bon?
Les querelles de vieux slips sont une des spécialités du prestigieux blog à passou. Chloé Delaume, une écrivaine qui débuta à l’époque où l’on disait écrivain, l’avait affirmé ici. Panisse au pseudo ramolli devrait s’en souvenir.
Ce que j’ai aimé in « Le Vicomte pourfendu », ueda, c’est que pour finir tout redevient comme avant : Trelawney repare Medardo, le bon et le mauvais finalement réunis, Pamela peut épouser Medardo, Trelawney retrouve le navire de Cook et l’enfant narrateur est laissé à ses jeux…
ueda dit: 14 mars 2013 à 13 h 41 min
« Échange vieux mecs en robe contre jeunes femmes en futal »
Le jeune vieil obscurantiste, faux q , ami des généraux tortionnaires assassins, c’est le mieux que ces saints hommes en robe aient trouver au sein de leur formidable communauté
Oups ! repare > répare
aient trouvé
« je vais à Tortosa voir la cathédrale et la Porte des Juifs. »
ML
Faut suivre ueda, ok ce n’est pas facile, mais après vous faites des erreurs impardonnables.
Sorti du bain, pfuitt !
Sorti du bain, pfuitt ! (Chronique de Sitges)
« Avec Google Earth, voyagez aux quatre coins du monde en visualisant des images satellite, des cartes, des reliefs ou des bâtiments en 3D » .. etc.
« le bistro de quartier un peu vulgaire. »tkt
Vulgaire se dit d’une personne, pas d’ un lieu.nuance etc »
Si vulgaire signifie, commun, ordinaire, quelconque ( définition 1 du Larousse)cela signifie que notre bistrot est comme tous les autres bistrots…
Ce qui veut dire que tkt et renato parlent pour ne rien dire!
Mais ça, on le savait déjà.
si l’ adjectif vulgaire est placé avant le nom, il n’est rigoureusement que ce qu’il est, ici, un vulgaire bistrot.
Ou encore,pour tkt, un vulgaire bichon!
êtes-vous bien sûr de vos déductions pseudomisées
écoutes phil c’est la voie d’la raison baroz..le calcif feldgrau c’est son rayon.. toi à peine qu’ tu voye une éminence tu fonce tête baisser..le calbute en tirebouchon sur les chville..forcément tu raffle la mise..dipsrote..t’es incorrigibe baroz
» … parlent pour ne rien dire! »
Parler pour ne rien dire semble être votre péché mignon car j’ai écrit : « Pour les choses ou les lieux on peut employer « vulgaire » (péjoratif) : il porte un vulgaire slip de grande marque ; elle fréquente un vulgaire salon de thé. Cela n’a rien à voir avec le populaire, naturellement, ni avec la lingua volgare qui fut à l’origine des langues romanes… ».
Or, il semble que le mot « péjoratif », par ailleurs mis entre parenthèses, soit échappé à votre attention, ce qui n’étonne personne, puisque vous vous arrêtez à la première acception, et, comme tout le monde sait, « le dictionnaire consigne les nombreuses acceptions d’un mot ».
Il serait donc opportun qu’avant de parler vous lisiez attentivement ce qui l’autre écrit, quitte à parler pour ne rien dire… justement…
Parler pour ne rien dire ? Je sais faire ! Par exemple, j’aimerais signaler l’hypothèse suivante (je n’ai pas vu que ça ait été dit, ici ou ailleurs, mais tant pis si ça l’a été): le nouveau Pape vivait dans un petit appartement et se faisait lui-même à manger, d’où l’hypothèse : le conclave l’a choisi lui, fort judicieusement, car c’est un homme qui n’a pas besoin d’un majordome !
renato 17h32
mais il en a pas marre l’artiste d’aboyer et de mordre tout ce qui passe.
Vieil atrabilaire de pacotille.
« vulgaire slip de grande marque »
Renato, avec vulgaire placé avant, il n’est rigoureusement que ce qu’il est, un slip!
renato, prenez-le bien : Où suis-je a raison pour « vulgaire » antéposé, qui a simplement le sens de « simple », « ordinaire ». C’est postposé qu’il prend son sens fort. Je crois qu’on peut alors tout à fait l’appliquer à un objet, à un lieu… En somme, un bistrot vulgaire n’est pas un vulgaire bistrot.
Bizarre que ce taf de JC ne signe jamais, quand il utilise d’autres pseudos, de celui de Burne qui lui irait à merveille. JC c’est D. en vierge de nulle part.
TKT dit: 14 mars 2013 à 17 h 49 min
Mais quelle burne
« mais il en a pas marre l’artiste d’aboyer et de mordre tout ce qui passe. »
Vous êtes probablement chrétien, donc vous tendez l’autre joue.
Ce n’est pas mon cas car pour la diplomatie j’ai déjà la vie réelle, ici : on me mord ? je mords.
D’ailleurs vous devriez soigner votre jardin avant d’aller critiquer celui des autres.
Merci Où suis-je? et Céline. Je prends note.
« JC c’est D. en vierge de nulle part. »
vontraube
Retour de la fixette chez propriétaire du bichon.
Comme renato il ne se lasse jamais
@ Phil dit: 14 mars 2013 à 16 h 37 min « Les querelles de vieux slips sont une des spécialités du prestigieux blog à passou. Chloé Delaume, une écrivaine qui débuta à l’époque où l’on disait écrivain, l’avait affirmé ici. Panisse au pseudo ramolli devrait s’en souvenir. »:
Chloé Delaume est elle-même un vieux soutien-à-gorges. J’ai souvenir de cette auteure, dont la carrière n’est pas si brillante que cela, reprochant aux aînés d’être de vieux slips. Expression qui n’est valable que jusqu’à 25 ans, hors la Chloé D. n’a plus la première fraîcheur et franchement, rien de plus débile que de reprocher aux gens leur âge, quand soit même on n’est plus dans ses tweens.
Merci Céline, le sens de la nuance voudrait spécifier qu’un vulgaire slip ne peut en aucun cas être un slip de grande marque.
Mais cela est difficile à renato de l’ admettre.
Il va nous trouver un slip Félibien de derrière les fagots!
Ducornaud, je n’ai jamais eu de chien, alors un bichon ? Mais bon ! J’ai horreur des chiens de petite taille. En pensant à vous, je vais réfléchir si on peut sur le web, utiliser un Rottweiler dressé pour tuer les trolls.
Bon, renato, je galèje.
On sera tous d’ accord qu’un slip de grande marque peut être d’une extrême vulgarité!
Bye!
JC vous pouvez observer, vous ne verrez jamais rien que votre tronche moisie. PQ vous va très bien ou, porc qui roll
Où suis-je? Je vous ai remercié cela signifie quoi selon vous?
Cela dit « grand marque » pour le slip était, comme le salon de thé, n’était que l’un de ces trait d’humour que seulement Phil comprend… selon Jacques…
Ah, ces décalages de commentaire, Renato, je vous ai répondu gentiment.
Bye et Bise.
( Même si en Italie on embrasse pas!)
Où suis-je?
C’est vrai qu’on devrait lire avant de poster ; parfois on lit mais on n’a pas actualisé la page… enfin, ce sont les aléas du net.
Mais enfin !
Qu’est-ce qu’ils ont, tous, à se tirer les cheveux et à s’envoyer leur slip à la tête ???
Ah.
Je vois.
« Eminence? Et sur la tête?
« Petit Papeau ». »
(l’auteur se reconnaîtra ….)
En plus avec Petit Bateau, pas de querelle: les filles, petit rayé rose, d’un côté; les garçons, petite rayé bleu, de l’autre. Quoique, j’ai bien eu un pyjama petit rayé bleu, mais à lépoque on m’avait coupé les cheveux court et j’avais l’air d’un petit garçon. On s’éloigne, on s’éloigne du sujet ..
De toutes les façons, je préfère les caleçons.
« Petit Bateau » a une élégante filiale à Zürich, derrière la Bahnhofstrasse.
D. dit: 12 mars 2013 à 21 h 51 min
Aujourd’hui retour à la normale, on peut faire Choisy-le-Roy / Bourg-la-Reine sans encombres.
TKT dit: 14 mars 2013 à 18 h 06 min
Mais quelles sont les raisons de cette nouvelle fixette sur JC.
Un mystère.
Il a les mêmes tendances politiques et économiques, le même côté m’as-tu-vu, alors quoi ?
Ah oui peut-être, la thèse, oui sûrement la thèse.
Déjà qu’il ne comprend rien quand D. cause philo, alors la physique !
Mais ce n’est pas grave Thierry, on vous prend comme vous êtes le bichon et vous.
(Vous savez, Traube, c’est curieux comme parfois ce sont des objets qui cristallisent qqc de l’enfance. Je me souviens de ce pyjama ( je devais avoir 3 ans), d’un édredon, d’une tortue, d’un crocodile et d’une grande table sous laquelle ma soeur et moi nous cachions quand des invités arrivaient, persuadées que personne ne découvrirait notre cachette .. )
Daaphnée dit: 14 mars 2013 à 18 h 48 min
Intéressant,
vous en pensez quoi ueda ?
Ueda pense quand cela lui chante ..
Bon là ce soir total bourré grâce à Massimo de l’ambassade d’Italie, ah purée le beau spectacle déjanté genre commedia dell’arte et tout et tout, et la sensation que les Italiens (ou l’Italie?) ont (a) une gestuelle qui ne trompe pas, qui fait ni rouge ni noir mais mouche chaque fois… et le public heu-reux c’st ce qui compte. 3eme mi-temps à la hauteur par antiphrase car là c’est le pré-avachisssment programmé avec neurones on the blip et tout le tralala…
Habemus papadam
(bon, voyons la chronique papautéa plus haut .. )
« Oui, mais Màc est réapparu ! »
Jacky
Cornedebouc !
Jacounet, que nous dites-vous là ?
Il croise au large ??
I n c r o y a b l e .
renato, vous n’écrviez pas signore e signora Maestri sur l’enveloppe quand vous adressiez une lettre à vos parents ?
Le 14 mars, ça fait 14.03, presque 3,14. Bref, c’est le jour de Pi, oui, !
le pape françois ne pouvait décemment pas se montrer plus calculateurs que ceux qui l’onélu en gardant un chiffre !
« … vous n’écrviez pas signore e signora… »
Non, et je ne vous dirai rien de plus car le nœud était ailleurs, mais si faire de l’escalade sur vitre vous plait vous pouvez me reposer la question.
l’Italie va vite rentrer dans l’ordre, lente sed certe, les Berlusconi à la trappe et les fidèles agenouillés devant la Vierge Marie à matines.
plus calculateur que ceux qui l’ont élu
excuses
bons rêves !
« car le nœud était ailleurs »
Vous voulez dire que vos parents n’étaient pas mariés ? Mais comment faisiez-vous pour les couples légitimes ?
J’ai dit quelque part que mes parents n’étaient pas marié ? Non.
Cela dit, le nonœud était ailleurs.
TKT dit: 14 mars 2013 à 14 h 47 min
Renato, c’est perdre son temps que de vouloir enrichir le vocabulaire du d.bile de service.
J’ai vu D. un jour de vernissage, il était rien, ni vulgaire, ni distingué, le genre d’individus que l’on ne remarquerait pas, s’ils n’avaient le regard fuyant des timides maladifs.
_____________________________
Totalement erroné puisque quand j’y fus TKT n’y était pas. Et vice-versa d’ailleurs.
…
…comme çà,…le pouce en l’air,…d’ou vient le vent,…
…un schisme en vue,…l’union de tout,…et chacun chez soi,…prêcher la paille, la poutre,…et son contraire à l’oseille de la liberté,…
…enfin un trimaran géant de Noé pour glisser un patin sur un déluge rouge et noir,…
…etc,…
Vous arrive-t-il de répondre simplement à des questions simples, renato ? Pourquoi tant tortiller du cul pour chier droit ! Vous me dites : écrire monsieur et madame untel, c’est fasciste. Je vous demande alors comment vous l’écrivez vous-même. Et vous vous débiner en répondant : le noeud est ailleurs… vous faites de l’alpinisme sur une vitre… mais si vous tenez à reformuler la question… etc, etc,
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